Au plaisir des deux sexes

Au plaisir des deux sexes - 1 (publié par Davidhandballeur le 24-10-2018)
Au plaisir des deux sexes - 2 (publié par Davidhandballeur le 02-11-2018)
Au plaisir des deux sexes - 3 (publié par Davidhandballeur le 27-11-2018)
Au plaisir des deux sexes - 4 (publié par Davidhandballeur le 01-12-2018)


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Au plaisir des deux sexes - 1

Caroline venait de sortir de la dernière année de formation et avait déménagé en compagnie de son copain, Nicolas pour sa première affectation. Elle était professeur d'histoire-géographie dans un lycée général de la région parisienne.



La jeune fille d'à peine 26 ans, débarquait de sa province du Nord natale pour affronter la vie parisienne comme jeune professeur allait affronter sa rentrée de manière difficile du fait que Nicolas lui annonça, le premier jour des vacances d'été, qu'il la quittait. Elle était trop amoureuse et cela se voyait. La vie n'avait plus aucun sens.



Pourtant quelques heures plus tôt, Nicolas relevait sa robe et tirait sur l'élastique de sa culotte.



Elle relevait les jambes l'une après l'autre pour se dégager du carré de tissu à ses chevilles tandis que Nicolas, d'un geste sûr acheva son effeuillage. Il lança avec désinvolture le carré de coton.



Puis à travers la robe, il dégrafa le soutien-gorge derrière le dos de Caroline qui écartait les bras pour qu'il puisse le passer sous les bretelles des manches de sa robe.



Nicolas releva la robe et mit à nu les fesses de Caroline.



Il se dégagea et s'enfonça dans le sexe martyrisé par la promesse de bonheur. Il la prit comme cela en levrette.



Le sexe de Caroline l'accueillit avec volupté tandis que sa fausse brutalité lui arracha un grognement sourd de surprise autant que de contentement.



Nicolas n'avait aucune délicatesse : il allait et venait avec une brutalité atténuée.



Le sexe de Caroline était béant. Nicolas, sans sortir de la chatte de Caroline, la souleva au niveau des hanches et la porta jusqu'à la salle de bain. Les jambes ballantes, Caroline faisait l'effet d'une gargouille accrochée à son support.



Il entra avec Caroline, toujours accrochée à son pénis profondément enfoncé en elle, dans la baignoire. Nicolas faisait couler l'eau de la baignoire. Ils firent ainsi l'amour longuement dans la chaleur de l'eau moussante.



La peau de Caroline se ramollit autant que sa volonté tandis que Nicolas, engoncé sous ses fesses usait de son orifice vaginal durant ce qui paraissait à Caroline comme une éternité.



Elle jouit comme jamais tandis que de la lave en fusion coulait dans son ventre provoquant le plaisir sur chaque parcelle de sa paroi intime.



Nicolas lui donna un dernier coup de rein où il acheva de se déverser dans le ventre de Caroline, l'inondant encore un peu plus.



Il sortit le premier de la baignoire et sans s'essuyer, il alla se réinstaller sur le canapé.



Caroline admirait, un peu éblouie par la lumière qui se réverbérait dans l'embrasure de la porte de la salle de bain, le corps dénudé de Nicolas.



Elle prit pris une serpillère et essuyait les flaques d'eau que Nicolas avait laissé en marchant sur le carrelage.



Elle tentait ensuite d'aller se blottir entre ses bras mais il la repoussa sans ménagement. Finalement, Caroline allait s'asseoir sur le fauteuil en face, toujours nue, écartant et croisant les jambes pour tenter de susciter à nouveau le désir chez Nicolas avec le spectacle de son sexe béant mais il resta parfaitement indifférent.



Il annonça sa décision de quitter Caroline et partit une heure plus tard pour retrouver Julie, sa nouvelle amie.



Quatre mois plus tard, toujours célibataire, Caroline décide de faire une toilette rapide. Elle ôte sa chemise de nuit, elle est nue devant le miroir, elle examine attentivement son corps. Elle est toujours désirable.



Sa peau est douce, ferme, seuls les seins tombent très légèrement, elle se caresse doucement, les tétons se dressent aussitôt, elle les passe dans la paume de ses mains puis entre ses doigts, les pincent doucement.



La sonnerie retentit, Caroline sursaute, elle enfile en vitesse, le peignoir de bain accroché au porte manteau et descend quatre à quatre l'escalier, pour accueillir l'ouvrier qui doit installer une nouvelle douche.



L'homme qui se tient devant elle, est très grand au moins 1m90, un sourire éclatant illumine son visage, c'est un homme de couleur. Elle salue et le prie d'entrer. L'homme à la peau noire est d'emblée très sympathique, jovial, bavard et souriant. De son coté, Souleymane ne peut s'empêcher de trouver la femme à son goût.



Presque immédiatement, il lui propose si elle le désire de l'appeler par son prénom, ce qui sera moins formel pour la semaine à venir. Etonnée, elle accepte cependant mais se sent obligée de lui dire, d'en faire autant et de l'appeler Caroline. Ils discutent des travaux, elle se sent vite à l'aise avec lui, au bout d'un quart d'heure, elle lui propose même un café avant de démarrer, il s'empresse d'accepter et la suit dans la cuisine. Une tasse dans la main, ils s'assoient, et sirotent le doux breuvage.



Souleymane aperçoit ses jambes entre les pans entrouvert du peignoir, de jolies jambes toutes lisses, il se dit qu'elle a l'air d'être toute nue, là-dessous.



Caroline surprend le regard, elle rougit et referme brutalement les pans. Comment peut-elle se pavaner ainsi devant un inconnu ? Gênée de se donner ainsi en spectacle, elle tente de reprendre son souffle alors que Souleymane visiblement ennuyé, tente de lui tapoter dans le dos. La petite séance a pour effet de desserrer le cordon qui ne ferme plus le peignoir, et Caroline ne le remarque pas tout de suite. Souleymane lui ne peux que constater qu'il avait raison, elle est bien nue en dessous. Elle est très belle, sa peau toute blanche contraste avec sa peau d'ébène, il sent qu'inconsciemment, il commence à bander.



Caroline enfin se calme, et prend conscience de l'indécence de sa tenue, alors que lui se permet de dire :

- N'ayez crainte, je ne vais pas vous toucher ! ! ! Vous êtes une très belle femme !

Surprise de son audace, elle ignore la remarque. Il comprend son malaise et sans un autre mot, disparaît dans la salle de bains.



Elle reste seule dans la cuisine, encore secouée par le compliment. Dans ses réflexions, elle gagne sa chambre et décide de se vêtir. Etrangement elle cherche avec soin, des habits qui la valoriseront. Elle opte pour une robe assez moulante avec un joli décolleté. Sa poitrine est mise en valeur avec le soutien-gorge qui laisse entrevoir la naissance de ses seins.



Satisfaite du résultat, qui reflète dans le miroir une silhouette attirante. Elle hausse les épaules, se demandant ce qui lui prend de s'extasier comme une gamine, en se regardant dans la glace.



Elle brosse longuement sa chevelure blonde. Elle décide de mettre à jour son courrier. Caroline tente de se concentrer sur ce qu'elle fait, mais elle n'entend que le gai sifflement de l'homme, qui se trouve à quelques mètres d'elle. Elle pense à son regard envieux quand il la regardait effrontément, oui c'est bien ça, l'homme avait envie d'elle.



Une femme ressent ça. Caroline s'agite sur sa chaise, mais que lui arrive-t-il ? Comme un automate, elle se lève et sans réfléchir se rend dans la salle de bains. Les sifflements redoublent d'intensité. Arrivée à la porte, elle regarde l'homme qui est de dos, il est torse nu, ses muscles saillants l'hypnotisent, il est si puissant, si magnifique.



Souleymane qui a senti une présence se tourne, le silence est pesant, leurs regards se croisent. C'est Caroline, qui timidement effleure ce torse qui l'attire, la peau humide est noire de jais, elle sent les muscles de l'homme. Interloqué, il la regarde, Souleymane est un homme qui aime le sexe, il sent que la femme devant lui est en manque. Il ne réfléchit pas davantage, il s'approche d'elle, son visage près du sien, ses grosses lèvres écrasent la jolie bouche de Caroline et leurs langues s'emmêlent.



Caroline, sous le baiser profond défaille. Ses jolies mains courent sur la peau du black, alors que lui-même, ose passer sous la robe pour lui caresser les fesses.



Puis tout va très vite, il la veut cette femme, il se détache d'elle et sans un mot, passe la robe au-dessus de sa tête. Elle est à demi nue devant lui, c'est elle qui retire les agrafes du soutien-gorge, les seins libérés éclatent indécents devant lui, il plonge la tête avec délice dans cette douce poitrine blanche, le contraste est magnifique, le noir et le blanc.



Comme en transe, elle s'agenouille devant lui, elle a envie de voir son sexe. Elle libère avec empressement une queue d'ébène, le gland rose pâle. Elle est imposante déjà, comme une statuette en bronze. Affamée, elle se jette sur la verge, la lèche effrontément.



Souleymane frémit sous la langue douce, humide et chaude.



Elle tente d'engloutir le pieu, il est si gros qu'elle peine à y arriver.



Souleymane lui dit :

- Chut, nous avons tout notre temps. Montre-moi ton lit !

La grande main noire se place dans la sienne

- Je te suis ma beauté, lui dit il gentiment, j'ai tellement envie de toi !

Le sourire radieux a raison d'elle, haletante, elle le conduit sur le lit. Il se dévêt lentement devant elle. Elle regarde ce superbe corps athlétique, un corps si parfait. Le sexe raide d'un noir luisant, est majestueux. Caroline, absorbée par la nudité du black a gardé son string.



Il lui demande gentiment de s'allonger et entreprend d'ôter le minuscule vêtement. Il le renifle, il aime l'odeur intime d'une femme, de plus, la petite culotte est trempée. Il s'en imprègne les narines. Ils se dévisagent intensément.



Son cœur bat la chamade. Elle a tellement envie de cet homme, de sentir son corps sur le sien, elle veut être posséder par ce sexe, elle est prête, impatiente même. Il lui écarte les jambes, sa chatte est épilée, ruisselante, il sent les effluves, dont il raffole, qui s'en dégagent. Ses lèvres épaisses s'approchent de son minou, elle a envie de hurler, lui fait durer le plaisir, doucement il lui demande :

- As-tu envie que je te suce ? demande-t-il en la faisant languir

Il joue avec ses nerfs, elle en devient folle !
- Ouiiiii vite, lèche-moi, viens ! supplie t-elle, en s'ouvrant impudiquement

Alors sans la quitter des yeux, il lui écarte les petites lèvres trempées de cyprine, et la bouche délicatement va s'abreuver de son nectar. Aussitôt Caroline gémit de plaisir, quel délice, elle s'écarte au maximum. La langue délicieuse sillonne chaque pli et repli, puis s'aventure sur le bourgeon saillant. On entend plus que les soupirs de Caroline et les bruits de succion lubriques de Souleymane, qui lèche avec délice la chatte de cette jolie femme blanche, en manque de sexe.



Les plaintes s'intensifient quand sa langue masse le clitoris tout gonflé, elle frémit, tressaille, il s'attarde longuement. Caroline plaque ses mains dans la chevelure crépue de l'homme noir, elle sent la jouissance qui monte

- Ohh ouiiii continue, c'est bon, je vais jouir, ahhhhhhh



Caroline s'écoule de plaisir dans cette bouche, traversée par un orgasme terrible qui la laisse toute retournée. Souleymane, qui bande comme un âne, lui soulève les jambes pour les poser sur ses larges épaules, son membre épais et rigide s'engouffre dans le vagin béant et humide de cette femme, qui n'attend que ça.



Le pieu disparaît au plus profond de l'intimité baveuse, elle est envahie par la queue qui la remplit totalement. Elle se pâme de délectation. Souleymane voit les seins blancs, aux auréoles roses, secoués par ses assauts.



- Mmmm t'es bonne, t'en avais drôlement envie, tu vas voir comme Souleymane fait du bien aux femmes, comme toi.

Il la lime furieusement, elle a les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, elle gémit encore.



- Ouvre tes jolis yeux, regarde-moi te baiser, ma bite te défonce, tu aimes ???



Caroline le regarde, de grosses gouttes lui coulent sur le visage, il halète, il retire les jambes de ses épaules et se précipite pour l'embrasser, ses lèvres épaisses baisent les siennes, elle avale sa langue, sa salive. C'est si bon, elle aime ce sexe qui la remplit. C'est sous leurs langues entremêlées, sa queue infatigable qui la pilonne, qu'elle jouit une nouvelle fois.



Puis sans attendre, il retire son sexe et se positionne au-dessus de sa tête, elle comprend son envie, elle ouvre la bouche pour recevoir une quantité de sperme impressionnante, qu'elle avale goulûment.



- Ouiiiiiii ohhh c'est bon, avale le sperme de Souleymane. Ah nettoie ma queue doucement...

Caroline, du foutre plein la bouche et le menton, nettoie avidement la bite du noir, elle aime le goût fort et légèrement épicé, qu'il dégage.



Enfin il se couche à ses côtés, il la regarde la bouche encore souillée. Elle s'étire sur le lit puis se colle à Souleymane.



- Je vais nous préparer quelque chose à manger ?

Elle se lève et se prépare à enfiler un peignoir

- Non, reste nue, dit -il

Caroline hésite, elle est assez prude, elle ne reste jamais sans vêtement dans la maison, même si elle est seule.

- Tu es très belle, j'ai envie que tu restes comme ça, lui dit-il en souriant.

Nue, elle rejoint la cuisine rapidement pour éviter son regard, c'est étrange pour elle de vaquer à la préparation du repas, dévêtue.

Souleymane la rejoint, il s'assoit devant l'assiette, elle rougit alors qu'il la mate, sans vergogne. En posant le pain sur la table, il lui caresse les fesses.

- Tu sais, j'adore ton cul, tu aimes qu'on s'en occupe ?



Caroline secoue la tête, elle ne garde pas un excellent souvenir des sodomies, que lui imposait Nicolas. Elle acceptait par amour, mais n'en éprouvait pas de plaisir.



- Moi, j'aime enfoncer ma grosse verge, dans le cul de mes partenaires, tu verras, tu aimeras ça toi aussi.. !

Elle distingue le sexe entre les cuisses musclées, qui même au repos conserve une belle taille, elle frémit malgré elle, en imaginant ce superbe engin déflorer son petit trou.



Elle se presse de servir les steaks pour ne plus y penser. Souleymane lui, ne pense qu'à ça, il avale de grandes bouchées, les yeux rivés sur Caroline. Elle est pas mal balancée cette nana, se dit il ! Pendant qu'elle cuisinait, il a vu son fessier bien large.



Il n'a plus qu'une idée en tête, enculer Caroline. Il a été surpris de la bestialité de cette femme, elle est vraiment en manque de sexe.



Caroline est assez déroutée par la suite des événements, tout à l'heure elle était comme égarée, mais maintenant, elle se rend compte que la situation. Que fait- elle à manger nue, avec ce type qui travaille pour elle. Elle prend le torchon à vaisselle, elle le tient négligemment devant elle, c'est assez puéril mais protégée ainsi, elle se sent un peu moins vulnérable. Souleymane remarque ce petit changement d'attitude, il ne faut surtout pas qu'elle reprenne le pouvoir, se dit il !



- Enlève moi ça, en indiquant le torchon. Viens près de moi !

Caroline, envoûtée par le magnétisme du black se place devant lui. Les larges mains caressent son corps, des mains chaudes, si douces. A nouveau, elle défaille.



- Tourne toi, montre toi, sans honte.

Elle exécute un quart de tour et ses fesses sont présentées à Souleymane. Toujours assis, il effleure le cul.

- Place toi à plat ventre sur la table, obéis moi

Elle se plie à la demande, elle se fraye une place entre les assiettes non desservies et s'offre indécente. Souleymane se félicite de si vite la dompter, cette petite femelle va devenir plus que docile, il en est certain. Il malaxe ses fesses
- Tu as un beau cul, tu sais.

Elle se détend malgré la posture lascive, elle sent le souffle de l'homme, puis la langue qui lèche la raie de son cul.
- Mmmmm j'aime trop cela. Vas-y écarte toi toute seule, que j'y mette la langue, j'ai envie de te bouffer le cul.
Caroline surprise par la demande s'exécute pourtant, elle s'ouvre bien, il en profite et faufile sa langue humide. Parfois il cesse un instant pour enfoncer son doigt, elle a l'air d'apprécier.



Comme c'est bon, jamais Nicolas ne lui a fait une telle chose, elle se décrispe complètement tant la caresse buccale, et même son doigt est agréable, elle en arrive presque à vouloir sentir quelque chose de plus gros, bien plus gros.
Il s'arrête au bout de quelques minutes. Elle est prête pour se faire enculer juge-t-il et de plus, il bande royalement.



- J'ai envie de ton cul, envie de t'enculer, mais je veux que tu me le demandes supplie Souleymane !



Sa langue reprend place sur son anus, puis son doigt la pénètre à nouveau, elle mouille, elle coule, elle a envie de sa queue, elle ne résiste qu'un instant et l'implore

- Ouiii je le veux, baise moi encore, encule moi, baise mon cul.

Elle ne voit pas le sourire radieux du black ravi, son phallus imposant se place à l'entrée de l'anus encore fermé, puis il force sur la petite rosette boursouflée, qui finit par engloutir le pieu rigide.



Caroline se sent alors déchirée, il est beaucoup trop gros, elle tente de se soustraire au noir, une assiette tombe sur le carrelage. Souleymane lui, n'est pas homme à s'arrêter en si bon chemin, sa pine s'enfonce inexorablement sous les cris de Caroline.

- Encore quelques centimètres et tu auras la queue de Souleymane dans ton cul. Ahhhh voilà j'y suis, tu es chaude, serrée, Ah tu es bonne à baiser !



Il la sodomise plus aisément, les cris sont remplacés par des plaintes. Il glisse facilement dans son cul, elle est vraiment bonne à défoncer cette salope. Il la tient solidement par les hanches et regarde sa bite disparaître dans le trou agrandi, ses fesses toutes blanches dévastées par la queue d'un black et elle a l'air d'aimer ça aussi, la garce.



- Tu aimes la grosse queue de Souleymane. J'aime ton cul. Ah je te baise, je t'encule, salope.



Caroline se fait défoncer royalement par son ouvrier, elle geint sous les coups de bite
Il accélère le rythme, une autre assiette tombe avec fracas.



- Je vais arroser ton cul de chienne en chaleur.



Elle n'en peut plus, elle aime tout ce qu'il lui fait, et même sa façon de lui parler, elle qui déteste pourtant la vulgarité. Elle va au-devant de son sexe, elle s'empale elle-même dessus, l'orgasme arrive, terrassée par sa jouissance elle crie de plaisir.



Souleymane se lâche lui aussi et envoie deux longs jets de foutre. Puis
s'écroule sur elle, tous les deux restent là un moment sans bouger, le sexe finit par sortir de l'anus, le sperme s'écoule du trou agrandi.



Ils se redressent, il l'embrasse et toujours ce magnifique sourire

- Souleymane doit bosser un peu, je te laisse ma beauté.

Il part dans la salle de bains en sifflotant. Caroline ramasse les assiettes brisées sur le sol. Le sperme coule sur ses jambes, elle écarte ses fesses et passe ses doigts sur son anus trempé et un peu douloureux, elle se rend compte qu'ils glissent sans la moindre résistance, dans le petit trou toujours ouvert. Elle s'essuie et pense à la langue de Souleymane qui saurait si bien la nettoyer.



Le reste de l'après-midi s'écoule lentement, elle remet de l'ordre dans la chambre, change les draps salis. Dans la salle de bains, elle entend Souleymane qui siffle toujours. Le noir cogite beaucoup, il va bien s'amuser toute la semaine. Enfin pense-t-il en effectuant la soudure, allons-y doucement, après tout il a encore 5 jours, à travailler ici. Et il compte bien en profiter un maximum.


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Au plaisir des deux sexes - 2

La première fois que Nicolas rencontra Julie, il revenait de la piscine. Il passa comme à chaque fois à la boulangerie proche du travail pour se prendre une collation.



Julie était une grande fille brune aux yeux noirs avec des formes généreuses. Elle était magnifique et Nicolas observait avec plaisir à chaque fois de voir ses seins magnifiques et ses fesses prisent dans un jean moulant.



Au début, les deux jeunes gens s'échangeaient des banalités d'usage. Pendant plusieurs mois rien ne se produisit.



Puis, un jour, Nicolas eût le plaisir de voir Julie en jupe, ce qui laissait apparaître de très belles jambes. Nicolas mît quelques secondes pour sortir de sa rêverie et comprendre ce que Julie voulait de lui.



Sans réfléchir, il lui demanda son prénom. Elle sembla surprise et hésitante. Puis avec un sourire elle lui répondit.



Nicolas donna le sien et le tutoiement céda au vouvoiement. Nicolas passait de plus en plus de temps dans cette boulangerie pour le plaisir de rencontrer Julie qui était une artiste.



Un soir, en rentrant chez lui, il passa une nouvelle fois à la boulangerie un temps assez conséquent à discuter avec Julie. Quand vint le moment de partir, il ne sait pas pourquoi mais il lui demanda son numéro de téléphone.



Elle sourit, sortit son téléphone et demanda à son tour le numéro de Nicolas. Elle le composa et fit sonner le téléphone de Nicolas une fois.



Nicolas partit avec le sourire, se préparant à manger et filer à la douche. Tout en se lavant, il pensa à Julie, ses seins, ses fesses, sa bouche.



Il banda et se masturba en pensant à ce qu'il lui ferait, si elle était présente avec lui.



Il la prendrait contre la paroi de la douche, ses seins s'écrasant, au rythme des coups de butoir, sur le verre.



Nicolas jouit rapidement et termina sa douche.



Nicolas appela Caroline, qui faisait une pause dans ses révisions pour ses épreuves d'admission.



Mais, Nicolas pensait de plus en plus à Julie et lui envoya un SMS. Julie lui répondit rapidement, en précisant qu'elle venait de prendre sa douche.



Nicolas hallucinait d'autant plus que le message suivant précisait qu'elle aurait aimé la partager avec lui.



Ce soir-là, Nicolas partit se coucher des images plein la tête.



Le lendemain, le réveil de Nicolas fut très difficile. Il se sentait plus fatigué que lors du coucher la veille et n'avait envie de rien. Pourtant, son téléphone personnel sonna vers 13h. C'était Julie qui lui demandait pourquoi elle ne m'avait pas vu.



Julie lui annonça son intention de passer le voir et Nicolas se voyait dans l'obligation de lui envoyer son adresse par SMS.



Vers 15h30, l'interphone sonna.



-C'est moi, dit une voix toute joyeuse.



Nicolas appuya sur le bouton d'ouverture et ouvrit la porte attendant l'arrivée de l'ascenseur. Quand les portes de celui-ci s'ouvrirent, il aperçut Julie. Elle avait mis une petite robe d'été noire avec des chaussures ouvertes.



Elle lui fit la bise et Nicolas l'invita à entrer.



Julie et Nicolas s'installèrent dans le salon. Elle alla dans le canapé.



Tout en discutant Nicolas avait du mal à détacher son regard des seins de Julie lorsqu'elle se penchait en avant.



Les deux jeunes gens discutèrent pendant des heures, quand elle regarda sa montre. Il était déjà 20 heures.
- Je vais rentrer. Il faut encore que je me fasse à manger. À moins que tu ne m'invites ? dit-elle d'un air malicieux.
- Si cela ne te dérange pas de passer encore quelques heures avec moi, ça me va.
- Chouette un repas à l'oeil. Tu vas nous faire quoi de bon ?
- Je comptais me faire du poisson avec des légumes, ça te va ?
- Super j'adore ça.
- Je te propose de me suivre dans la cuisine pour que nous puissions continuer à discuter. Et pendant que ça cuit, on prendra l'apéro.



Julie se leva aussitôt et suivit Nicolas dans la cuisine. Il préparait le repas et plaisantait avec elle tout en regardant son décolleté.

- Je peux te poser une question, commença-t-elle.
- Je t'en prie.
- Tu me trouves attirante ?



Pris au dépourvu, Nicolas mît de l'ordre dans ses idées avant de répondre

- Je mentirai en disant le contraire.
- Ça me rassure car je trouve que tu as le regard très baladeur.
Alors dis-moi ce qui te plaît chez moi. Et évite les traditionnels, yeux, bouche ou visage. Sois franc.
- Pour être tout à fait franc, tu as de beaux seins et un joli cul. Tes jambes ne sont pas suffisamment montrées à mon goût alors qu'elles sont magnifiques.



- Au moins c'est franc. Ça te dérange si je retire mes chaussures, elles me font mal à force.
- Fais comme chez toi.
- Ne me dis pas ça, je pourrai le faire.
- J'insiste. Fais comme bon te semble.
- En fait chez moi je me balade souvent en petite tenue voir nue, donc ce serait mal venu ici.
- En effet. Promis je ne m'en offusquerais pas, rigolait Nicolas.



Julie riait et se leva. Elle baissa les bretelles de sa robe puis la fit glisser le long de son corps. Nicolas était bouche bée. Elle portait un magnifique coordonné noir en dentelle. Elle passa les mains dans son dos, retira son soutien-gorge, et baissa son shorty. Julie était devant nue de Nicolas qui avait la mine déconfite, ce qui faisait sourire la jeune fille.



- À toi maintenant. Je ne dois pas être seule sans rien.

Mécaniquement Nicolas se leva, puis s'exécuta. Quand son pantalon fut retiré, il observa le regard de Julie s'attarder sur la bosse que faisait sa queue dans son boxer. Il le retira et sa bite sursauta.



Julie la regarda avec gourmandise et sortit sa langue sur le côté.



- Je vois que ça te plaît ce que tu as sous les yeux.
- Plutôt oui. Toi aussi ça te plaît.
- Beaucoup.



Elle se rapprocha de Nicolas puis posa sa main droite sur la queue. Elle imprima un léger mouvement de bas en haut tout en le regardant droit dans les yeux.



Et comme si de rien n'était, elle s'inquiéta de savoir si le repas était cuit. Nicolas se leva et en allant dans la cuisine, il respira un grand coup. Le poisson manquait encore de cuisson. Il retourna dans le salon où Julie l'attendait allonger.



La queue de Nicolas fit un nouveau soubresaut. Il s'approcha de ce corps puis le frôla de sa main en partant du bas de ses jambes jusqu'à ses seins. Elle frissonna et se redressa



La queue était au niveau du visage de Julie. Elle s'approcha un peu plus et déposa un baiser sur le gland gonflé de désir.



Puis elle ouvrit la bouche et le prit dans sa bouche.



Elle arracha à Nicolas des râles de plaisir puis s'arrêta.



- J'en garde pour le dessert. Encore combien de temps avant de manger ?
- Au moins le temps que je te fasse jouir.
- Tu es bien sûr de toi ?



Sans lui laisser le temps de continuer, Nicolas fît s'asseoir et se mît à genoux devant elle. Il lui déposait un baiser sur les lèvres, puis il descendait vers seins où il mordit doucement les tétons puis jusqu'au mont de Vénus de Julie.



Il embrassait ses grandes lèvres tout en introduisant un doigt dans la fente totalement détrempée. Elle avait un goût acidulé et sucré à la fois. La chatte faisait quelques bruits obscènes de clapotis et Nicolas sentait Julie de plus en plus fébrile.



Dix minutes de ce traitement eurent raison de Julie. Elle jouit dans un profond cri de plaisir.



Nicolas se releva et échangea un long baiser langoureux. Julie se dégagea et remarqua que la queue de Nicolas scintillait de plaisir. Elle la reprit en bouche, décider à la nettoyer.



Le repas fut vite englouti et la table vite débarrasser. Julie la suca encore à deux reprises.



Après un film, Julie et Nicolas reprirent les échanges de plaisir. Cette fois-ci, Julie vint se mettre sur Nicolas au niveau du visage. Il la lécha et la doigta pendant qu'elle le suçait.



D'abord un doigt puis un second dans le vagin trempé de désir et de plaisir.



Julie se releva et vint présenter son antre de plaisir au-dessus du chibre de Nicolas. Elle descendit doucement afin de sentir toutes les parois de son vagin occupée par la queue.



Elle commença à monter et à descendre au rythme de sa respiration et de ses seins tressautant.



La jouissance monta vite pour les deux jeunes et se sont de puissants jets de sperme qui partirent.



Nicolas et Julie se couchèrent enlacés et s'endormirent, vivant encore ensemble au moment où Souleymane et Caroline se rencontrèrent.




Durant les 3 jours suivants, Souleymane se partage entre son travail, dans la salle de bains et baiser sans aucune retenue la femme qui l'emploie et qui est plus que jamais, en demande.



Le black quitte tous les jours Caroline, à 17h00 épuisé, les couilles vides. Caroline, la femme si sage se révèle être une affamée de sexe, elle attend chaque matin la venue de Souleymane.



Sur la demande de l'homme, elle est nue quand il arrive et reste ainsi toute la journée. Lui-même se déshabille. La nudité ne pose plus de soucis à Caroline, elle aime désormais rester ainsi dans le plus simple appareil, et se tenir à la disposition de l'homme pour qu'il la fasse jouir encore, toujours.



Elle ne se lasse pas de son ouvrier, elle aime son corps, son sexe, son sourire. Elle adore qu'il la baise dans toutes les positions, par tous les orifices, même son cul ne lui pose plus de soucis, sa grosse queue a fait son œuvre, désormais son anus est bien dilaté pour la recevoir profondément.



Il l'encule et Souleymane lui dit souvent combien il aimait baiser le cul de sa salope de blanche.



Elle adore son langage cru, jamais elle n'aurait imaginé une telle excitation, en entendant des mots si orduriers. Mais le simple fait, qui la baise en l'insultant de « bonne salope », la mets dans un état d'excitation totale, et la vue de sa bite qui l'enculait, avait eu raison d'elle une fois encore, et elle avait joui intensément comme une bête.



Caroline a retrouvé le plaisir du sexe et a oublié Nicolas. Elle voit même Souleymane qui a terminé ses travaux s'installer dans son appartement.



Souleymane, qui profite de ses fins de journées pour venir devant le lycée, chercher la belle blonde.


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Au plaisir des deux sexes - 3

Les semaines s'écoulaient pour Caroline qui avait remarqué que Marcus, taillé comme un athlète grec et le plus doué de sa classe. Un soir, Marcus se glissait sous les draps et se faufila comme une liane entre ses jambes.



Caroline avait quelques protestations mal assurées mais ses yeux se révulsèrent rapidement : la chaleur du corps de Marcus contre le sien, sa juvénilité l'excitait.



C'est déjà le corps humide et accueillant qu'elle sentait le corps de Marcus atteindre son but et glisser contre le sien.



Une érection maximale se faufila et atteint sans tâtonner la douce ouverture.



Marcus souffla :
- J'ai toujours fantasmé sur vous Mademoiselle.
- Tous les matins, je ne rêvais que de vous prendre sur la table.



- Vous criiez comme une chienne, le pantalon sur les genoux, le slip mal écarté pendant que je vous montais comme une jument.



Caroline avait le souffle coupé quand Marcus se projeta d'un coup dans son ouverture béante. Malgré sa 'brutalité', Marcus coulissait comme un piston trop huilé dans ma chatte dégoulinante de mouille.



Caroline ne pouvait plus retenir un :

- Aahh
- Hi Hi ... Ma prof d'histoire est en train de me faire un cours sur l'éducation sexuelle.
- Ouiiihhh ... Non Nonnnn, s'il te plait arrête ... arr ... êtee ... Aïe ... Mmhhh ... Mmhhh
- C'est encore mieux que dans mes rêves ... Vous êtes bonne Mademoiselle Gauthier ...
- Mmmmhhh ... C'est bon ... Noon ... arrête ... On ne peut pas ...



- Ooohhh
- Oh Mademoiselle Gauthier !!! Vous jouissez déjà ... Vous êtes une bonne prof.
- Ooohh ... Je viens ... Je viens ... Je jouis ... Mets-la au fond ... Ouihhh



- Dites-moi que je suis un bon petit élève ... un bon amant ...
- Ouiii ... Tu es le meilleur ... Mets-la moi encore, s'il te plait ... Mets-la au fond
- Sentez, encore un coup de pine dans votre jolie chatte ... Elle est bonne celle-là hein ?



- Oooohhh ... Je ... Je jouis ... encore ...



- Encore ? Mais vous êtes une vraie fontaine Mademoiselle Gauthier ... De mieux en mieux ... Je vais vous arroser la chatte Mademoiselle Gauthier ... Comme ça vous porterez au plus profond de votre être mon empreinte ...
- Noonnn, ne jouis pas ... dans mon ventre ... Mets-une capote ... Mets une capote s'il te plait ... Mets une ... Aaaahhh
- Arrhhhhh ... Trop tard ... C'est trop bon ... Oohhh c'est trop bon.



Trop tard en effet : Marcus inonda le ventre fécond longuement ... Dans un réflexe commun de deux amants se serraient l'un contre l'autre : toujours à quatre pattes, le derrière offert aux coups de reins de Marcus qui se sentait l'homme le plus puissant de la Terre à cet instant précis.



Marcus s'endormit et au bout de quelques heures, n'y tenant plus, il se releva sur son coude et de l'autre main, il tira violemment les longs cheveux blonds, Emergeant à peine de son sommeil, Caroline suivait le mouvement sans se rendre compte. Marcus présenta alors son sexe gonflé à bloc contre les sphincters et d'un coup de rein puissant força l'ouverture serrée.



- Hmmmhhh ... C'est bon ... Faut savoir souffrir un peu Mademoiselle Gauthier ... Vous n'avez pas fini votre cours ...
MMarcus triompha :
- Lààà ... Vous voyez ? Vous aimez ...
- HHhhh Ouiiihhh
*


Pour la première fois, Marcus embrassait Caroline sur la bouche langoureusement. L'entrejambe de Caroline était rouge et son anus brûlaient comme si on lui avait mis un suppositoire aux piments.



Tel un serpent, Caroline se faufilait et gobait entre ses lèvres le morceau mou de chair qui l'avait sodomisée quelques heures plus tôt.



La massue de Marcus se redressa au fur et à mesure que la langue de Caroline coulissait le long.



Marcus obligea Caroline à garder la position tandis et donna des coups de reins sévères dans le vide, écrasant le visage contre le pubis.



La bite de Marcus agité de soubresauts cracha un sperme lourd, épais directement au fond de la gorge de sa petite prof.



Immobilisée, Caroline était également secouée des mêmes soubresauts que Marcus qui attira le visage de la blonde à son niveau en lui tirant les cheveux à pleine main ...



- Vous serez ma reine, Mademoiselle Gauthier ... Vous voulez bien ?



Mais, Marcus se réveilla soudainement, des images pleins la tête.


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Au plaisir des deux sexes - 4

Aujourd'hui, Caroline, nue ouvre la porte à Souleymane.



Il l'embrasse goulûment. Il sait qu'elle aime quand sa langue s'enroule à la sienne, leur baiser dure quelques minutes, mais au grand désespoir de Caroline, il la laisse sur sa faim.



Surprise de ce brusque changement, Caroline tente de s'occuper. La matinée s'écoule interminable, plusieurs fois, elle a failli aller se rhabiller, tant elle se sent délaissée. Elle se dit que peut être, il s'occupera d'elle, ce midi, elle a tellement envie de lui, de se faire baiser, encore....



A midi, il la rejoint enfin, satisfaite de le voir nu, elle est soulagée.



Quand la sonnerie retentit, elle sursaute. Elle regarde Souleymane, paniquée. Etrangement, celui-ci lui sourit et dit doucement
- Ne t'inquiètes pas, Souleymane t'a fait une surprise, je vais ouvrir !
- Mais tu n'y penses pas, tu ne peux pas ouvrir dans cet état !

C'est vrai, l'homme dans sa nudité totale a, en plus, une érection en pensant à ce qui se trame et à l'homme qui attend devant la porte. Il ignore la remarque et va ouvrir. Elle entend parler les deux hommes, les voix s'approchent. Elle voit que l'arrivant est black, lui aussi, tout aussi grand que Souleymane. Il émane de chez cet homme une force inouïe.



Elle le regarde gênée, puis cherche une explication de la part de Souleymane. Pas le moindre bruit dans la cuisine, tous les trois se toisent ! Puis enfin, la voix de Souleymane résonne dans le silence :

- Je te présente mon cousin Moussa, je lui ai beaucoup parlé de toi...... Je pense qu'à nous deux, nous saurons te combler !



Caroline comprend enfin, elle est scandalisée de l'audace de Souleymane. Rouge de colère, elle s'apprête à lui dire son indignation quand l'autre commence à se dévêtir, en quelques secondes à peine, il est nu. La femme reste muette et stupéfaite, de se retrouver dans une telle situation.



Pourtant elle ne peut s'empêcher de constater, à quel point les deux hommes de couleur sont magnifiques, le fameux cousin bande légèrement, ce qui est plus que prometteur, vu la taille au repos.



Il la regarde d'ailleurs. C'est Souleymane encore, qui parle pour annoncer, qu'ils vont se rendre dans la chambre. Il prend la main de Caroline, celle-ci résiste un peu.

- Non s'il te plait, pas ça ! Je ne pourrais jamais !!!!!
- Viens, laisse nous faire, tu vas aimer.... dit-il.



Il la tire à nouveau, elle finit par le suivre, derrière elle, Moussa ne perd rien des fesses nues exhibées. Il se régale du cul tout blanc.



Son sexe durcit en pensant à sa bite qui va enculer cette femme, son cousin lui a dit qu'elle était bonne à baiser et qu'elle aimait ça.



Tous les trois sont dans la chambre. Souleymane lui demande de s'asseoir sur le bord du lit, elle s'exécute, devant elle, les deux blacks ont la queue dressée, luisante et noire, ils se masturbent doucement. Moussa le nouvel arrivant annonce :

- Allez ne nous fait pas attendre, lèche nos queues, prends-en une, dans chaque main.



Ils s'approchent tout près d'elle, elle sent leur odeur de mâle, timidement ses mains se posent sur leurs sexes, elle les branlent, fascinée par la taille.



- Suce nous, s'impatiente Moussa.



La jolie bouche engloutit le sexe de Souleymane avec avidité, mais l'autre exige qu'elle s'occupe aussi de lui, à regret, elle quitte la verge de Souleymane et avale l'autre sexe, il est plus large encore, il est impatient. Il veux s'enfoncer au fond de la gorge et il ne la ménage pas.



- Suce, petite pute en rut, et continue à branler mon cousin, Ahhhhh t'as raison Souleymane, elle pompe bien Mmmmmm, à son tour, suce le et branle moi.



Caroline, de la bave plein le menton, se libère de la bite et se jette une nouvelle fois sur la verge de Souleymane, tout en branlant l'autre.



Souleymane est béat de voir Caroline, s'occuper de leurs queues.



Il a envie de juter une première fois dans sa bouche pour faire voir à son cousin comme elle avale bien.



Alors n'y tenant plus, il éjacule un premier jet, puis un second, sa main sur la tête de son employeuse, elle avale le foutre, sans hésiter.



- Mmmmm avale tout !!!! Fais voir à Moussa que tu aimes ça



Le cousin est terriblement excité, à peine Souleymane a fini de juter, il n'attend pas plus et lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle obéit, la bouche encore souillée, sa chatte trempée reçoit la grosse bite de Moussa, il est sauvage, plus brutal que Souleymane.



- Mmmm c'est vrai que t'es une grosse salope, MMmmm t'es une bonne chaudasse toi

La verge épaisse s'enfonce en elle, puis un doigt pénètre son anus

- Ahhh t'es bonne, Mmmmm

Un autre doigt rejoint le premier, il les agite frénétiquement dans son anus, elle gémit de plaisir

- Ouiiii gémit salope, on veut t'entendre jouir, hein Souleymane ! Viens te faire lécher la queue pendant que je la lime.



Souleymane présente son sexe ramolli à Caroline qui se jette dessus, c'est tellement bon, elle tète la bite encore molle et qui regonfle doucement dans sa bouche chaude et humide.



La pine qui la baise lui emplit le vagin totalement, l'orgasme arrive, elle le sent qui monte et enfin elle explose de bonheur, en hurlant.



- Ouiiiii jouis, je vais te remplir de foutre Ahhhhhhhhh c'est bon ! ! ! hurle Moussa.



Caroline ne peut reprendre ses esprits, car Souleymane toujours dans sa bouche, bande à nouveau comme un âne et lui dit :

- Reste dans cette position, je vais enfoncer ma queue dans ta chatte remplie

Elle ne bouge pas, il change de place.

- Vas y cousin, enfile ta queue dans mon foutre tout chaud, ça te plait ?



Souleymane prend la place de Moussa et sa verge disparaît dans la chatte inondée du sperme de son cousin, c'est chaud, c'est bon, il voit sa bite qui ressort pleine de sperme, il s'y enfonce à nouveau, sa verge glisse dans le foutre, ça le rend fou d'excitation, il recommence le petit manège, à chaque fois sa bite luisante de foutre, il n'y tient plus, se plonge en elle à nouveau et décharge lui aussi son sperme, qui se mélange à l'autre. Il jouit intensément.



Les deux hommes, les couilles vides discutent gaiement pendant que Caroline file se faire une petite toilette.



Il est 13h00. Quand elle revient les blacks sont tranquillement en train de parler d'elle. Souleymane explique combien elle aime se faire enculer maintenant, gênée, Caroline ne dit rien. Elle regarde les deux hommes allongés côte à côte sur son lit.



Ils sont beaux comme des dieux, Moussa dit qu'il aimerait bien la sucer un peu avant de l'enculer.



- Viens poser ton joli cul sur ma tête, et écarte bien tes fesses, chérie
Elle obéit. Pour le moment, il ne bande pas, elle peut savourer la langue, elle s'écarte bien, et la langue active se faufile partout alors que la grosse bouche de Souleymane dévore ses tétons et lui pétrit les seins, elle ne sait plus où donner de la tête tellement leurs langues lui donnent du plaisir.



Au bout de quelques minutes, Moussa la repousse et lui intime de prendre place au- dessus de sa queue. La bite gonflée se dresse fièrement, elle est dure déjà.



- Viens t'asseoir sur ma queue ! de dos, tu vas empaler ma bite dans ton cul.

Elle hésite encore, le pieu est énorme, mais l'homme est excité

- Dépêche toi chérie, j'ai envie de ton cul, je t'ai bien lubrifié avec ma salive et le cousin t'a bien préparé, grouille toi !



Elle se présente dos à lui, se place au- dessus de sa queue, tremblante, elle sent poindre le gland sur son anus. Il force sur ses épaules pour qu'elle s'assied, elle est défoncée par le large diamètre.



- Ahhhh ouiiiii viens encule toi.



Il force sur les épaules et Carole se retrouve totalement empalée sur ce sexe énorme qui l'encule, elle est assise sur la queue, elle halète...



- Allez bouge, salope, démène toi sur ma queue Moussa.



Caroline alors s'active sur le sexe, Souleymane l'embrasse e Caroline n'en peut plus, elle est écartelée par la bite disproportionnée qui l'encule.

- Ouiiii, baisez moi, je jouisssssssss Ahhhhhhhhhhhh

Telle une furie, elle s'empale sur la tige, Souleymane veut son tour :



- Tire toi vite, tourne toi, je veux ton cul, on va te baiser à deux

Pas le temps de réfléchir, déjà on la bouge, Moussa sous elle, enfonce sa tige dans sa chatte, le cul en l'air bien ouvert attend Souleymane. Sans attendre, il la sodomise, les grosses queues la baisent maintenant, elle n'ose bouger tellement elle se sent investie par les sexes, elle les laisse faire, elle est comme une poupée entre leurs mains, elle crie de douleur et de plaisir,



Moussa enfourne sa grosse langue dans sa bouche, il écarte encore ses fesses pour le passage du cousin qui encule Caroline



Une femme qui se fait baiser comme une chienne en chaleur, et c'est Moussa le premier qui jouit en sentant de l'autre côté de la paroi vaginale, la bite du cousin se frotter à la sienne, puis Caroline a un nouvel orgasme quand Souleymane se soulage dans son cul.



Tous les trois sont épuisés quand ils se séparent.



Caroline a l'anus en feu.



Mais, Caroline se réveille en sursaut. Que lui arrive-t-il avec des nuits agitées, pleins de rêves érotiques en pensant à Souleymane.



Pourtant, avant de connaître le jeune homme Souleymane, elle avait des nuits paisibles. Souleymane, qui lui présente petit à petit sa famille.