Dans l'intimité d'Ève

Au service du plaisir (publié par Evevincent le 10-12-2018)
Initiation (publié par Evevincent le 14-12-2018)


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Inspiré de "Dans l'intimité d'Hélène" par Yann (2007)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb117/reve11719.html]

Nous venions juste d'entrer dans le superbe appartement de Lisa.
Ève promenait son regard inquisiteur sur le moindre recoin de la pièce.




Ève portait un débardeur volontairement très échancré qui dissimulait à peine sa généreuse poitrine.

En face d'elle, Lisa demeurait silencieuse.
Tout en elle trahissait l'attente résignée, mais aussi... le plaisir.
Le délicieux plaisir de l'attente.




C'était une femme très belle et épanouie qui occupait son oisiveté en se livrant à des activités peu conventionnelles pour une femme bourgeoise à la vie bien rangée...
- Il semblerait, Lisa, lui lâcha finalement Ève sans cesser de scruter son intérieur, que vous adorez les situations insolites et... les photos pornographiques...

Ève laissa flotter sa phrase dans l'appartement luxueux.
Elle fixa alors du regard la jolie brune et la dévisagea.

Lisa ne disait toujours rien.
Mais l'expression de son visage exprimait l'attente, à présent.
Sous sa robe très moulante, la lourde poitrine de notre hôtesse pointait sans équivoque.




Ève sourit avec gourmandise :
- Hummm, je constate que vous avez bien compris ce que nous vous avions demandé. Vos seins semblent magnifiques. Et j'adore les femmes isolées trop sages qui ne portent pas de soutien-gorge.




Lisa était une belle femme.
D'allure effectivement très sage et classique, rien en elle ne suggérait la débauche ou la luxure, au contraire.
Excepté cette provocation savamment orchestrée par Ève : de magnifiques seins lourds et libres sous une robe moulante et très courte.

Ève profitait de l'instant.
Je savais que rien ne l'excitait plus que ce type de situations.
C'est elle qui menait le jeu.
Elle pouvait exiger ce que bon lui semblait, au moment qui lui semblerait le plus opportun.




Lisa avait entrepris de nous servir des rafraîchissements.
Elle s'affairait à déposer verres, boissons, douceurs sur la table basse de son salon.
Ses gros seins dodelinaient sous son chemisier, tendu à craquer.




Elle nous offrit plusieurs fois le spectacle de sa croupe ronde parfaitement moulée dans sa jupe, en se baissant pour réajuster un coussin, pour dresser la table, pour prendre des aliments dans le réfrigérateur...
En toute innocence, apparemment.




- Oh, Lisa, si vous le permettez...
Ève avait interpellé Lisa avec courtoisie, comme n'importe quel convive s'apprêtant à demander à son hôtesse le chemin des lavabos.
- Je pense que mon mari aimerait beaucoup se faire sucer la queue.
Pourriez-vous avoir l'amabilité de lui offrir votre bouche ?




Lisa, souriante, accepta chaleureusement.
- Oh, mais bien entendu, Ève. Je vous avoue que j'y avais pensé, mais en me disant qu'il me le demanderait sans doute un peu plus tard. Comment voulez-vous que je procède ? Je l'emmène un instant dans ma chambre ?
- Non, je vous en prie, pas de chichis, répondit Ève. Venez donc vous agenouiller devant lui, ici même. J'ai vraiment très envie de vous voir le pomper. Ça ne prendra que quelques minutes, et nous pourrons passer à autre chose ensuite.




Comme convenu, je devais juste me laisser faire.
Lisa, prévenante, sourit à Ève, et s'agenouilla juste devant la fermeture éclair de mon pantalon.
J'étais dur, et elle n'eut aucune difficulté à extirper mon pénis de mon caleçon de soie.
Elle le laissa quelques instants à l'air libre, puis le décalotta délicatement, et entreprit de me branler très doucement, d'une main très légère.




- La queue de votre mari est tendue, fit-elle poliment remarquer à Ève. Il ne devrait pas être long à jouir dans ma bouche. Comment souhaitez-vous que je m'y prenne ? Voulez-vous que je vous réserve son sperme ? N'hésitez pas à me le dire, vraiment, je trouverai ça normal !
- Non, je vous remercie, Lisa, répondit Ève avec chaleur. Je préférerais au contraire qu'il arrose votre visage et vos seins de foutre. Mais vous pouvez également le boire...

Cette rapide conversation courtoise s'interrompit fatalement lorsque Lisa me prit dans sa bouche, sans cesser d'ailleurs de faire coulisser sa main manucurée le long de ma hampe.
De sa main gauche, elle dégrafa les boutons de son chemisier, pour offrir sa poitrine à nos regards, et préparer sa douche de sperme.
Puis elle entreprit de me caresser voluptueusement les bourses.




Ses seins étaient très excitants : lourds et pleins, ils présentaient de larges aréoles brunes, surmontées de tétons gonflés de désir.
Ève la complimenta.
- Lisa, vos superbes gros seins sont très appétissants... Et vous semblez sucer comme une vraie professionnelle. C'est très agréable à regarder. Mais où avez-vous donc appris à si bien pomper les queues ? Je vous avoue que c'est une très belle surprise...




Sans cesser de me branler doucement, Lisa laissa sortir de sa bouche ma queue luisante de salive, et fit à ma femme un très beau sourire, visiblement touchée par le compliment.




- Oh, ce n'est pas grand-chose, souffla-t-elle. J'ai toujours adoré ça. J'ai surtout été bien éduquée par mes initiateurs, dès l'âge de 18 ans.
- Des initiateurs ? hummm, comme c'est intéressant, Lisa.
Ève semblait de plus en plus excitée.
Je savais qu'elle mourrait d'envie de se doigter, mais qu'elle ne le ferait sans doute pas maintenant.




- Et qui étaient-ils ?
- C'était une amie intime de ma mère et son mari, répondit Lisa en se massant les seins. Ils étaient délicieusement vicieux. C'est elle qui m'a tout appris. D'abord à bien faire jouir une femme, puis à l'art de bien sucer une queue...
- Quelle situation ambigüe et excitante, ma chérie... Une amie de votre mère ? demanda Ève.




- Oui, acquiesça poliment Lisa en laissant planer le silence, et sans cesser de me branler la queue. Mais si vous le permettez, je vais terminer de pomper la queue de votre mari. Le pauvre attend sa libération, et il me tarde de recevoir mon petit cadeau...
- Oh, bien sûr, souffla Ève. Où avais-je la tête. Poursuivez, je vous en prie.

Elle se mit alors à me sucer en experte.
Sa délicieuse bouche m'enveloppait de douceur, et sa langue agile m'enrobait de chaleur.
Sa main légère et ferme à la fois me branlait avec application, en souplesse mais avec fermeté.
Elle gémissait doucement en accompagnant sa masturbation d'un très délicat mouvement de la nuque, et me laissait parfois sortir de sa jolie bouche discrètement fardée pour mieux m'aspirer alors dans un très excitant bruit de succion.




Ève appréciait visiblement, les yeux fixés sur la croupe tendue de l'agenouillée, et surtout sur sa poitrine si lourde, si pleine, qui oscillait au rythme de sa prestation.




Je ne fus pas très long à venir.
La langue de notre hôtesse, ses lèvres, ses mains...
Sa posture soumise, ses seins dardés de désir, je fus tout à coup secoué de spasmes, pour le grand ravissement d'Ève.
- Oh, vous êtes belle et bonne, Lisa, souffla ma femme, dont la voix trahissait l'excitation.




Un premier jet de sperme s'échappa violemment.
Je grognais de satisfaction, en sentant mon jus s'échapper de ma queue si tendue, si grosse, si impudiquement gonflée.
Sans cesser de me branler, elle orienta mon phallus en direction de son visage, et laissa trois autres jets onctueux s'y répandre en soupirant, avant, pour terminer, de frotter mon gland tuméfié sur ses seins, l'un après l'autre, où il laissa de belles trainées humides et blanchâtres.




Le visage d'Lisa dégoulinait de sperme.
Elle dardait sa langue sur ses lèvres et sur mon gland avec gourmandise, pour y recueillir les dernières gouttes de mon nectar, sans cesser de me branler voluptueusement.




- Avez-vous bien joui, Monsieur ? me demanda-t-elle finalement avec courtoisie, tandis que mon membre, gluant, ramollissait dans sa main soignée.
- Oui, je vous remercie, lâchai-je en contemplant mon sperme coulant sur ses seins. Ève n'avait rien manqué du spectacle, et son silence s'expliquait sans doute par la violente excitation qu'elle ressentait alors.
- Levez-vous, ma belle, finit par lâcher ma femme d'une voix altérée. Et donnez-moi votre bouche.




Lisa obtempéra sans sourciller.
Ève enlaça la belle brune, plongea voluptueusement sa langue dans sa bouche, et l'embrassa longuement et passionnément.
Sans cesser de laper les lèvres et la langue de Lisa, Ève se mit à lui pétrir les seins, s'ingéniant à les badigeonner du sperme qui y ruisselait.

Lisa soupirait discrètement, s'offrant docilement aux caresses de ma femme, attendant visiblement d'être récompensée, espérant sans doute sentir les doigts de mon épouse s'insinuer sous sa jupe.




J'étais absolument ravi de ce préambule.
Ma femme, très féline, malaxait sans aucune retenue les superbes globes de chair de sa proie docile.
Elle donnait libre cours à toutes ses pulsions sur un sujet consentant et totalement offert à ses moindres envies.

Depuis toujours, Ève, si sage dans la vie quotidienne, se consumait en réalité de désirs inassouvis sur les femmes.
Elle m'avait confié quelques mois après notre mariage, après que j'aie surpris quelques-uns de ses regards, qu'elle ne se croyait pas lesbienne, mais qu'elle avait toujours été sexuellement attirée par les femmes et, particulièrement, par les femmes aux attributs féminins très marqués : les seins lourds, les hanches rondes la bouleversaient depuis son adolescence.




Elle n'avait pourtant eu sa première expérience lesbienne qu'à trente ans révolus, avec la femme d'un couple que nous avions contacté sur un site de rencontre.
J'avais beaucoup insisté pour que nous tentions l'expérience.
Ève préférait remiser ses envies dans la catégorie des fantasmes qu'elle ne concrétiserait jamais, et se montrait même parfois agressive lorsque je relançais le sujet.

Puis elle finit par m'autoriser à chercher une complice.
J'avais pris beaucoup de contacts avant qu'elle ne cède, de mauvaise grâce, à se laisser entraîner dans une rencontre.

Il avait fallu que je trouve des partenaires parfaits : nous avons vite renoncé à l'idée de trouver une femme seule.
J'ai donc orienté ma recherche sur un couple au mari plutôt contemplatif (elle n'avait pas vraiment envie de se donner à un autre homme) et, surtout, dont l'épouse serait bisexuelle expérimentée, au corps voluptueux, et enfin pas trop vulgaire (même si cette idée m'excitait beaucoup, personnellement).

Le soir venu, Ève s'est au départ juste laissée faire, d'assez mauvaise grâce.
Comme une femme qui aurait juste eu un défi à relever, une corvée dont il fallait s'acquitter.




Lorsque Christelle, notre complice, a commencé à se montrer entreprenante, Ève s'est juste laissée embrasser, puis caresser par cette partenaire très compréhensive.

Le déclic s'est produit ce soir-là lorsque Christelle lui a doucement dévoilé puis offert ses seins.
C'étaient, comme Lisa ce soir, de beaux seins lourds en poire, aux tétons effrontément dressés et gonflés de désir.




Comme elle me l'a confié plus tard, ma femme avait été surprise par un violent orgasme juste en malaxant ces superbes seins qui lui étaient offerts, et alors que Christelle n'avait que commencé à lui doigter la chatte.




Nous avions revu ce couple trois ou quatre fois.
Plus tard, elle avait beaucoup apprécié de me voir posséder cette autre femme, ainsi que (contrairement à ce qu'elle aurait cru) de s'offrir à son mari sous mes yeux, et surtout sous les yeux de sa propre femme.




Dans les mois qui ont suivi, nous avons également pu nouer contact avec une femme célibataire, Françoise.
Une femme très coquine dont j'avais fait la connaissance sur un salon professionnel.
Une authentique cochonne sans tabous, qui adorait obliger Ève à s'exhiber dans des postures et des tenues équivoques.




L'éducation de ma femme se poursuivait.
Elle apprenait à bousculer ses tabous un à un.
Je ne la reconnaissais d'ailleurs plus, tant Françoise la tenait sous son emprise.
Il lui arrivait par exemple parfois d'appeler Ève sur son lieu de travail pour lui fixer un rendez-vous urgent dans un hôtel en plein milieu d'après-midi.
- J'ai juste envie de me faire lécher la chatte par une belle petite bourgeoise, ma chérie, expliquait-elle crûment, en sachant que ce discours excitait ma femme au plus haut point.




Françoise avait fini par se lasser d'Ève, et vice-versa.
Et c'est là que mon épouse, si empruntée, si réservée, s'était mise elle-même à chercher d'autres partenaires.
Elle s'interdisait juste de « prospecter » dans son milieu professionnel.

Pourtant, chargée d'affaires dans un grand cabinet de conseillers financiers, elle rencontrait régulièrement de très bonnes candidates, ainsi qu'elle me le rapportait parfois.

Comme l'épouse d'un investisseur, qui s'ingéniait, m'expliquait-elle, à porter de magnifiques décolletés en sa présence, et qui lui avait même un jour fait du pied sous la table en suçotant un crayon.




Il y avait aussi eu une stagiaire très motivée qui ne faisait aucun mystère de ses mœurs très libres et de sa bisexualité.




Ou encore cette secrétaire intérimaire dont tout le bureau savait qu'elle s'absentait aux toilettes plusieurs fois par jour pour s'y masturber.




Tout ceci émoustillait beaucoup ma femme, qui assumait désormais parfaitement ses pulsions.
Mais elle ne voulait surtout pas mélanger les genres, même si l'idée de caresses furtives avec une belle coquine (elle disait même désormais « salope ») dans les toilettes du bureau la plongeait à chaque fois dans un incroyable état d'excitation.




Et je dois dire que d'imaginer ma femme agenouillée entre les cuisses d'une belle stagiaire dans les toilettes des dames me produisait les mêmes effets.




Ève avait donc décidé de « chasser la bourgeoise » à son tour.
Comme tout ce qu'elle faisait, elle s'y était mise avec application.ˋ
Elle avait deux ou trois fois tenté le contact direct dans des bars, à l'occasion de ses déplacements.
Sans réel succès cependant, à part un long baiser avec une touriste américaine éméchée, qui s'était enfuie lorsqu'Ève avait commencé à passer sa main sous sa jupe.
- Dommage, m'avait-elle confié à son retour. C'était une belle bourgeoise à la croupe évasée et aux gros seins laiteux... Hummmm...




Une autre fois, inscrite sur un site de rencontres, elle m'avait demandé la permission de rencontrer seule un couple.
- Je crois que cette femme attend juste que je suce son mari pour m'offrir son cul. Et ce cul en vaut la peine.

C'est précisément ce qui s'est produit.
Ève a fait jouir le type en quelques minutes, avant de réclamer son dû.




Elle s'est ensuite régalée de sa femme qui, malheureusement, n'a pas été très ouverte à lui rendre la politesse.




Elle s'est donc résignée à se doigter en rentrant à la maison car, comble de malchance, j'étais moi-même sorti ce soir-là.




Il y avait aussi eu de belles réussites : la patronne d'une boutique de lingerie qu'elle fréquentait depuis toujours et qu'Ève, sur une impulsion, avait embrassée à pleine bouche alors que l'honnête femme venait juste l'aider à dégrafer une guêpière.
- Hummm, elle, c'était une refoulée, avait-elle commenté en rentrant, les meilleures. Tu aurais dû voir avec quelle frénésie elle m'a lapé le clitoris... hummmmm. Mais elle, mon pauvre chou, je ne pourrais jamais te la prêter : elle est totalement lesbienne. La pauvre est pourtant mariée depuis 20 ans, et elle vit un enfer.




Car l'objectif demeurait évidemment de trouver une complice pour nous deux.
Une coquine qu'Ève pourrait voir seule à seule, mais surtout que nous pourrions «utilser» à notre guise, lorsque l'envie nous en prendrait.

Et de plus en plus, nous étions tombés d'accord, il devenait évident que nous devions chercher une femme plutôt soumise, cérébrale, et réellement bi, pour mon usage.
Dans l'idéal, cette femme devait être très bcbg et aux formes généreuses, sans être obèse.




Cette femme, nous la connaissions, mais nous ne le savions pas.
Ève avait souvent remarqué que Lisa, l'épouse de notre voisin de palier, possédait les canons d'une parfaite « salope domestique », comme elle le disait avec ravissement.

De fait, cette femme nous faisait beaucoup fantasmer.
C'était une belle femme digne et sage, aux formes très avantageuses, élégante et discrète.




Nous la croisions parfois dans l'ascenseur, aux boites à lettres, et nos rapports se bornaient juste à de courtoises salutations.
Nous savions que notre voisin, gérant de société et grand amateur de chasse, était très fréquemment parti.

Nous avions parfois remarqué que notre voisine rentrait tard le soir, et nous l'avions ainsi croisée une ou deux fois très tard dans le hall de l'immeuble le rouge aux joues, l'air gêné d'une petite fille prise en faute.
Mais nous ne pouvions détacher nos yeux de son opulente poitrine toujours mise en valeur par un décolleté très profond...




Elle doit avoir un amant, avait commenté Ève, amusée.
Et je m'étais pris à rêver de notre voisine, offerte en levrette à mes assauts, jupe troussée aux hanches, seins libres, dardant sa jolie langue rose entre ses lèvres tandis que je la prenais comme un hussard.




Et le pot aux roses avait été découvert grâce à un facteur intérimaire...
Ce jour-là, il avait glissé dans notre boite aux lettres un pli qui était destiné à notre voisine.
Un laboratoire photo spécialisé lui expédiait les épreuves d'une de ses folles soirées : on la voyait d'abord offerte à quatre hommes dans une séquence qui se terminait en douche de sperme...




...et sur une autre série, occupée à lécher avec application la magnifique vulve d'une femme... de toute évidence brune.





- Hummmm, quelle pute, avait lâché Ève en découvrant les photos.
Comme toujours, ma femme employait des mots très crus, lorsqu'elle était excitée.
Regarde un peu ces superbes nichons... hummm, quelle belle chatte humide ! Cette magnifique salope aime la queue et la chatte, avait poursuivi Ève en se doigtant devant la table du salon.




Ses propres mots crus la mettaient toujours dans cet état là.
Après m'avoir littéralement baisé (elle avait troussé sa jupe et m'avait introduit en elle par derrière, tout en regardant les photos), Ève avait rapidement mis son plan en application.




Il était tout simple : elle allait rendre ses photos à notre voisine en personne, tout en s'excusant d'avoir ouvert le colis.
Mais elle allait surtout lui faire savoir que ces images lui semblaient très belles, et qu'elle aimerait que nous venions, tous les deux, en parler avec elle, un jour ou son mari ne serait pas là.

Lisa, après avoir violemment rougi, avait remercié Ève de sa délicatesse.
- Je n'aurais effectivement pas aimé que mon mari voie ces photos...

Puis elle avait affirmé que, tant que son mari n'en saurait rien, nous pourrions, ma femme et moi, passer la voir aussi souvent que nous le voulions pour commenter ces photos, ainsi que celles que nous n'avions pas vues, mais qu'elle tenait à notre disposition.




Ève découvrit alors que notre voisine, esseulée, était effectivement... une salope, au sens où nous l'apprécions.
Lisa, comme elle nous l'avait expliqué plus tard, avait décidé de prendre des amants depuis des années.
Et elle s'était même ensuite inscrite sur des sites de rencontres très spécialisés, où elle pouvait également rencontrer des couples et des femmes, car elle aimait autant les assauts des hommes que les caresses saphiques.




C'est ainsi qu'Ève avait pris rendez-vous chez Lisa, un vendredi après-midi où son mari était parti à la chasse pour le weekend.
Mon épouse avait poliment exigé de notre hôtesse qu'elle ne porte pas de soutien-gorge sous son chemisier, et lui avait fait savoir qu'elle devrait savoir entendre chacune de nos envies, qui seraient sans doute fort nombreuses.




Lisa, m'avait rapporté ma femme, avait visiblement beaucoup apprécié que les choses soient ainsi posées.

Et voilà comment, une semaine plus tard, je me trouvais debout dans le coquet salon de ma voisine, la queue encore à demi raide de m'être fait pomper à la perfection, et contemplant ma femme occupée à malaxer une superbe et lourde poitrine souillée de mon sperme.




- Merci, Lisa, finit par souffler ma femme, en s'écartant de la belle impudique un peu frustrée, j'imagine que vous aimeriez maintenant que je vous doigte un peu la chatte, poursuivit-elle en réajustant son ensemble très sexy.
Un ensemble qui la moulait de façon très suggestive, sois dit en passant.
Ève est une belle et grande femme blonde, de type nordique.




- Oui, en effet, répondit délicatement Lisa, en laissant ses gros seins luisants de foutre exposés à nos regards. À moins que vous ne souhaitiez que je vous lèche la vulve, poursuivit-elle. Je pense que ce serait la moindre des choses, après mon inqualifiable conduite envers votre époux...
- Non, merci, ma belle, trancha Ève avec un peu d'autorité dans la voix. Pas si vite. Restez comme vous êtes, d'abord, et allons prendre un rafraîchissement. Vous allez me raconter votre initiation. L'histoire semble prometteuse. Si vous m'excitez correctement, je vous offrirai le spectacle de ma chatte gonflée de désir, que je doigterai juste pour vous encourager. Et si vos confessions s'avèrent assez excitantes, je vous autoriserai sans doute à venir m'offrir votre langue...
- J'en serais très honorée, répondit Lisa avec sincérité.

Nous nous installâmes donc au salon. Lisa sur un fauteuil Louis XV, dignement installée, jambes croisées au genou, mais chemisier ouvert, et ses seins libres toujours humides et érigés.




Ève et moi en face d'elle, sur un très beau canapé ancien.
Je bandais à nouveau, et ma queue faisait une très belle bosse dans mon pantalon.
- Alors Lisa, commença Ève en ôtant sa jupe, Vous avez donc été initiée par une amie intime de votre mère...

Ma femme ne portait plus qu'une superbe culotte de dentelle blanche, très souple, encadrée de ses bas.
Elle s'assit, cuisses ouvertes, devant notre hôtesse, comme pour l'encourager.




Lisa ne put réprimer un soupir de désir.
Son regard ne pouvait se détacher de l'entrejambe de ma femme, impudiquement ouvert. D'autant qu'une trace humide très explicite souillait la jolie culotte, et en disait long sur le désir que ressentait Ève.
- Oui, en effet, commença Lisa. J'étais très amoureuse de cette femme, si belle, si impudique. Ma mère ne pouvait rien lui refuser, et je ne l'en admirais que davantage. Lorsque j'eu 18 ans, et que mon corps commença d'être celui d'une femme, le regard d'Annelyse à mon égard se mit à changer. Elle se mit à me prendre la taille, à me déposer des baisers dans le cou, à me caresser la croupe. Et je dois dire que cela me troublait, même si je ne comprenais pas vraiment ce que ces gestes signifiaient.




- Un peu plus tard, vers 20 ans, j'ai vécu une très grande émotion érotique, dont je sais qu'elle avait été très minutieusement préparée pour moi : le mari d'Annelyse m'a demandé d'aller chercher un objet quelconque au grenier, à côté des chambres de bonnes. Lorsque j'y suis arrivée, j'ai entendu un long gémissement provenant de la chambre de Martine, notre domestique. Je me suis approchée, et... j'ai pu assister à un spectacle qui m'excite encore aujourd'hui. La jeune bonne, assise sur son lit, cuisses ouvertes, se laissait fouiller le sexe par Annelyse. Annelyse, debout, était comme toujours impeccablement habillée, mais la main de la jeune fille était glissée sous sa jupe, et Annelyse l'encourageait à bien la doigter, tout en gémissant de plaisir. Martine s'ouvrait et s'offrait sans retenue. Je sais aujourd'hui que la petite bonne était coutumière de ces écarts de conduite. Qu'elle était depuis son arrivée le petit jouet sexuel d'Annelyse, et qu'elle partageait régulièrement ses ébats.




- Oui, continuez, Lisa, souffla Ève. Ce que vous me dévoilez-là m'excite beaucoup... Regardez...
Ma femme passait à présent un doigt alangui sur sa vulve gonflée et humide, à travers la dentelle fine.




- Hummm, cette coquine d'Annelyse baisait la petite bonne en compagnie de son mari, et peut-être d'autres familiers de la maison... Hummm, quel excitant méli-mélo. Ce trio vous a-t-il également baisée... ?
- Pas si vite, ma chère Ève, sourit Lisa, heureuse de l'effet qu'elle produisait. Peut-être y viendrai-je dans un instant... Quoiqu'il en soit, ce jour-là, après m'avoir laissée jouir du spectacle pendant cinq bonnes minutes (Annelyse avait ensuite exigé de la petite bonne qu'elle lui lèche la chatte), ma future initiatrice avait soudainement demandé à Martine de s'appliquer à bien se faire jouir, pour que... sa petite Lisa chérie puisse voir à quel point une femme était belle, dans l'orgasme.




- Ces mots m'avaient directement désignée ! Je me croyais invisible, et elles savaient que j'étais là. D'ailleurs, Martine s'est aussitôt mise à fixer l'entrebâillement de la porte où je me trouvais, pour se masturber voluptueusement avec provocation, tandis qu'Annelyse lui pétrissait les seins. J'étais trempée d'excitation, et angoissée d'avoir été ainsi découverte. Sentiment trouble et délicieux. L'amie de ma mère me rejoignit alors, me prit par la main, et m'entraîna dans la chambrette très doucement. Elle m'agenouilla devant le sexe de la bonne, qui se doigtait à présent frénétiquement dans un délicieux bruit liquide.




- « Tu as déjà embrassé un garçon ? » me demanda Annelyse. Alors, embrasse le joli sexe de Martine de la même façon, ma chérie. Tu verras, ce sera délicieux. J'étais dans un état second, et je plongeai aussitôt la tête entre les jambes de la bonne. C'était merveilleux, si doux, si parfumé... Sur les indications d'Annelyse, je me suis mise à laper la chatte trempée qui s'offrait à moi comme un petit chat. Vulve, clitoris...La coquine tortillait en gémissant. J'avais le sentiment d'avoir cette fille à ma merci. Elle coulait dans ma bouche et Annelyse m'encourageait : « - Voilà, c'est bien. Bois bien toute sa mouille... Aspire lui le clitoris... pénètre bien sa vulve avec ta langue... Hummm, tu es une parfaite petite gouine, on dirait... »




- En m'enseignant l'art du gouinage, Annelyse avait aussi commencé à passer sa main sous ma jupe, et je sentis bientôt deux doigts experts me pénétrer la chatte. Dans l'état où je me trouvais, ils glissèrent tous seuls. Ce fut une vraie décharge électrique. C'était la première fois qu'on me pénétrait ainsi, en outre c'était une femme très belle qui me prodiguait cette caresse, et qui plus est, une amie intime de ma mère. C'était trop excitant pour la jeune fille que j'étais. Martine et moi avons joui exactement en même temps. Un orgasme dévastateur. Je n'avais jamais connu ça auparavant. Annelyse me flattait la croupe en me fouillant le con, je sentais ma cyprine couler sur ses doigts, et j'écartais les cuisses au maximum pour mieux la sentir en moi.




Ève écoutait maintenant en dardant sa langue sur ses lèvres, et son long doigt manucuré ne se contentait plus d'effleurer sa vulve, d'ailleurs visiblement trempée et gonflée.
À présent, Ève se doigtait impudiquement le sexe sous la culotte trempée, bouche ouverte et langue tendue.




- Huuuummmm, continue, mon adorable salope, tu vas me faire jouir..., souffla-t-elle juste en fixant notre hôtesse, toujours sagement assise face à elle, jambes croisées, et seins libres.




- Après ce mémorable orgasme, reprit Lisa, heureuse de plaire à ma femme, hagarde, je me suis allongée sur le lit à côté de Martine, qui m'a aussitôt enfoncée sa langue dans la bouche comme une petite paysanne qui veut baiser. La petite bonne m'a juré qu'elle m'aimait, qu'elle aimait ma bouche, qu'elle aimait mon cul, et qu'elle aimait ma chatte. Elle me malaxait les fesses en gémissant.




- Nos langues se mêlaient, j'étais dans un état second, et sur le point de recommencer à jouer avec Martine lorsqu'Annelyse nous tira de cette torpeur alanguie d'un bref rappel à l'ordre : « Allons, mes petites salopes.... Ici, c'est moi qui donne les consignes. Lisa, regarde-moi... ». J'obtempérai. Son beau visage encadré de cheveux bruns semblait enflammé. Ses yeux lançaient des étincelles. Elle était magnifique et impériale, debout, habillée avec soin d'un ensemble jupe corsage très discret.




- « Lisa », commença-t-elle... « Je crois que tu as bien joui... la moindre des choses serait de me rendre la politesse, non ? Mais avant cela, comme tu as bien obéi à ce que je te demandais et que c'est la première fois que tu baisais une fille, je vais te faire une faveur : y'a-t-il quelque chose qui te ferait plaisir ? » Elle ne pouvait pas mieux tomber. Car oui, quelque chose m'aurait fait plaisir. Quelque chose qui m'obsédait lorsque je la regardais, lorsque je rêvais d'elle. J'étais survoltée de désir, excitée comme jamais, et je pouvais enfin demander à cette superbe femme la chose dont je rêvais souvent en secret : « Oui, Annelyse. J'aimerais que tu ouvres ton corsage, que tu dégrafes ton soutien-gorge, et que tu me montres tes seins. Je voudrais les sucer et les embrasser... »




- Annelyse me sourit. « Oui, petite cochonne. Je t'ai souvent vue reluquer mes nichons à travers mes corsages... Je savais que tu étais une adorable future petite gouine... » Annelyse déboutonna alors lentement son corsage. Sa peau était blanche et fraîche. Ses deux mamelles pointaient comme des obus dans le soutien-gorge à baleines qu'elle portait. Elle le dégrafa d'un geste rapide, et dévoila ses deux magnifiques globes qui pointaient impudiquement, et se les malaxa.




- « Ils te plaisent, ma belle ? » ; « Oh oui, Annelyse, ils sont superbes... » Elle s'approcha de moi en présentant ses seins sur le plat de la main. « Vas-y, petite salope. Tête-moi bien les nichons. Suce-les, pendant que Martine te doigte le con... ». Ce fut un moment plus que délicieux. Je léchais avec passion ses seins qui m'avaient tant fait rêver. Ils étaient fermes dans ma main, et doux à ma langue. Annelyse me caressait les cheveux. Comme je m'étais agenouillée, Martine put à loisir me fouiller la chatte à son tour, et je vécus alors une réelle petite mort, en quelques instants. Je fus secouée d'un orgasme tel que je n'en ai jamais ressenti depuis. Quelque chose de très soudain, très violent, et je me souviens avoir crié de plaisir, tandis qu'Annelyse enfonçait ses tétons dans ma bouche. J'ai senti à la vibration de son corps, à son délicat gémissement étouffé, à l'extrême raideur de ses gros tétons qu'elle jouissait intensément elle aussi.




- Quelques instants plus tard, elle m'offrait enfin passionnément sa bouche, et je l'embrassai avec dévotion. J'étais prête à tout pour cette femme qui venait de m'offrir le plus grand orgasme de ma vie. Elle congédia Martine, qui sortit sans mot dire, et passa une heure ensuite à me caresser avec tendresse, sans rien dire, juste allongée à côté de moi. Puis elle se rhabilla, m'embrassa encore une fois, me remercia avec sincérité, me sourit et partit.




Ève avait écouté toute l'histoire en se masturbant sans pudeur, et je devinais qu'elle venait de jouir discrètement, mais qu'elle était à nouveau prête à venir.




- Lisa, ton histoire m'a fait jouir.
Elle se leva, ôta sa culotte trempée de cyprine, et se rassit, cuisses ouvertes.
- Je vais te demander de venir me lécher, car j'ai envie de ta jolie bouche, à présent. Et en m'offrant ta bouche, tu présenteras ta croupe à mon mari, pour qu'il t'honore comme il se doit. Mais avant, j'aimerais que tu me répondes tout de suite : Cette parfaite initiatrice s'est-elle offert le plaisir de t'offrir à d'autres femmes et couples de ton entourage ?




- Non, ma chérie, répondit sincèrement Lisa. Je crois qu'elle attendait le bon moment pour ça. Mais Annelyse m'a ensuite souvent invitée à partager son lit et celui de son époux. Elle m'a appris à bien faire jouir un homme, et surtout à y trouver du plaisir. Mais quelques mois plus tard, ils ont déménagé du jour au lendemain, et ne sont plus jamais réapparus. La petite bonne, Martine, a été congédiée par ma mère, et moi-même, je suis allée terminer mes études à l'université. Je crois que le jeu a été interrompu avant qu'il n'aille trop loin.
- Oh, quel dommage, ma belle... En as-tu été déçue ?
- J'étais sous l'emprise d'Annelyse, et j'aurais pu aller très loin pour la satisfaire. Peut-être trop loin. Aujourd'hui, je me rends compte que depuis je ne fais que chercher à la retrouver. Et grâce à elle, j'assume parfaitement depuis cette époque toutes mes pulsions amoureuses, j'assume parfaitement ma nymphomanie, et j'aime à me dire que je suis devenue comme elle une parfaite salope...
Sur ces mots, Lisa se pinça le bout des tétons en s'humectant les lèvres, se leva, troussa sa jupe, et vint délicatement embrasser la vulve de ma femme en cabrant ses hanches pour m'offrir sa croupe.




Lorsque je m'enfonçai en elle, je vécus un moment parfait.
Sa large croupe était souple et douce, sa vulve trempée m'offrait un fourreau brûlant, souple et humide.
Elle accompagnait mes lents va-et-vient d'ondulations délicates.
Ève se malaxait la poitrine, les yeux mi-clos.

Ève s'abandonnait à la bouche de Lisa en gémissant tendrement.

Je voyais les mamelles de ma partenaire osciller voluptueusement et la sentais vibrer de tout son corps, sans que je sache qui de nous deux lui procurait le plus de plaisir.
Était-ce ma queue qui coulissait délicieusement dans son vagin ?
Mes mains qui lui pétrissaient la croupe ?
Ou juste la vulve d'Ève qui s'offrait sans réserve à sa langue, ruisselante ?




Je pus ainsi tenir cinq bonnes minutes, savourant chaque seconde.
Les deux femmes étaient visiblement en accord parfait.

Puis Ève se tendit brusquement.
Lisa ondula alors des hanches avec plus de fermeté, de plus en plus vite.
Bientôt sa magistrale croupe s'empala littéralement jusqu'à la base de ma queue, et de sa main libre, elle vint me caresser les bourses pour me faire entrer plus profond en elle.
C'était le signal.
Notre délicieuse hôtesse voulait que nous jouissions ensemble.




Ève eut un nouveau spasme de plaisir, et se mit à feuler comme une chatte en chaleur.

- Oh oui ma belle, c'est si bonnnn, oui, bois moi toute, aspire bien mon jus, tu es si bonne, si salope.... Hummmm tu me gouines comme une vraie pute oh je viennnnsssss !
L'orgasme de ma femme fut fulgurant, et aussitôt suivi d'un spasme et d'un long gémissement de Lisa :
- Oh oui Ève, venez dans ma bouche, ohhh vous êtes belle, oh j'aime votre belle chatte... Hummm et la queue de votre mari me remplit bien le con...




Surexcité, je m'abandonnais à mon tour dans un râle.
Je sentis à nouveau des flots de sperme jaillir de ma queue tendue à craquer, et inonder la superbe chatte de ma voisine.
- Oh oui, Ève, votre mari me remplit de foutre, hummmmm, je viens, hummmm je jouiiiiiis.




Je me vidais encore copieusement en elle, en regardant ma femme caresser la tête de sa complice, qui venait de plonger et de s'abandonner entre ses jambes.




Après cet orgasme simultané, nous nous allongeâmes sur l'épais tapis qui se trouvait là, pour reprendre nos esprits.
Les deux femmes s'enlaçaient tendrement en échangeant de longs baisers mouillés.
- Hummmm, quelle parfaite soirée vous m'avez offerte, finit par déclarer Lisa. Considérez que je suis à votre entière disposition...

Ève, épuisée, caressait machinalement les seins de notre voisine.
- Oui, il y a longtemps que je n'avais pas joui comme ça, ma chérie. Ce soir, je n'ai fait que me gouiner avec toi, et je me sens comme si j'avais vidé trois hommes. Hummmm... tu es la voisine idéale. Maintenant, nous allons te quitter, et je vais aller dormir. Mais prépare-toi à de belles surprises. Je crois que j'ai très envie de t'utiliser souvent. Et j'ai même ma petite idée pour la suite...




Nous partîmes quelques minutes plus tard.
Il faisait déjà nuit noire.
En arrivant à notre appartement, après m'avoir embrassé, Ève m'expliqua rapidement ce qu'elle comptait faire de Lisa :
- Je crois qu'il sera très excitant de lui offrir une jeune femme à initier, peut-être même avec son petit ami. Et je crois savoir où les trouver...

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Initiation

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Une suite à « Au service du plaisir », sauf que ce n'est pas une jeune femme, mais un jeune homme qui sera initié par Lisa grâce à Ève et Vincent...

C'est la vision de ce jeune homme qui est décrite ici.
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Ayant réussi mes examens, j'ai trouvé un petit studio à proximité de ma nouvelle école, dans l'immeuble où habitent les très sympathiques propriétaires.
Ils m'ont demandé de les appeler par leurs prénoms, Ève et Vincent.
Malgré ma grande timidité, j'ai accepté volontiers.

Mes journées défilent les unes après les autres et, bien sûr, je m'octroie quotidiennement un petit quart d'heure pour me masturber.
J'imagine des scénarios avec de superbes filles de magazines ou de sites Internet, mais aussi avec Ève, qui est une femme magnifique et très excitante, toujours très féminine dans ses tenues, bref, une femme inaccessible pour moi sauf dans mes rêves masturbatoires...




Un jour, j'étais si excité que j'ai participé à,un forum érotique.
La conversation n'a pas été délirante et je l'ai trouvée assez vulgaire :
« Je te suce », « je te prends », « tu me sodomises, là, sauvagement », « tu me lèches », etc.
Ce n'est pas trop mon truc.

Même avec les prostituées, j'ai du mal.
Il m'est arrivé tant de fois de parcourir la même rue, décidé à en aborder une et, finalement je ne franchis jamais le pas.
Je les regarde de loin, je m'approche, décidé, puis arrivé à quelques mètres, je fais comme si je m'étais trompé de direction.




Les semaines, les mois défilent, et je me sens seul.
Heureusement qu'Ève et Jean, les propriétaires de mon studio, sont très agréables et sympathiques.
Un soir, ils me présentent Lisa, une voisine à qui ils louent également un appartement.

C'est une brune piquante qui n'est pas avare de ses charmes plutôt pulpeux.
Elle a très vite remplacé Ève dans mes rêves !




Évidemment, quand j'en ai la possibilité, je ne me prive pas de lorgner sur son cul qui déambule devant moi.
C'est rafraîchissant, même si je sais que je n'y toucherai pas.




Et parfois, quand elle me parle, je m'approche et elle en fait de même, ce qui me permet de plonger mon regard dans son décolleté qui m'est ainsi offert.




Ça me donne l'occasion de rêver que j'y balade mes mains.
Mais là aussi, c'est juste en rêve.

Je collectionne les images fugaces pour m'en servir une fois rentré, tout seul dans mon lit, avec comme seule compagnie ma main droite.



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Un jour, le mari de Lisa étant en déplacement de longue durée, comme très souvent, elle me propose de déjeuner tous les jours où je le souhaite.
J'imagine alors que, ayant bien cerné la timidité et les difficultés d'insertion de son jeune voisin, elle souhaite lui procurer un minimum de réconfort maternel.
Bien évidemment, j'accepte sa proposition.




Après deux semaines de repas pris quotidiennement le midi en tête à tête avec Lisa, j'ai gagné en confiance et en assurance, mais je ne peux m'empêcher d'avoir du désir charnel pour elle, un désir qui hante chaque jour un peu plus mes soirées.
Tous les soirs lorsque je suis dans mon lit, je me masturbe frénétiquement en pensant à elle.




Tous les midis elle m'attend.
Pour ma part, je la fais souvent patienter, sachant que, quelque part, cela attise son désir.
J'ai envie qu'elle soit tout entière soumise à cette folie d'être à moi et qu'elle soit prête à tout pour m'appartenir.




Et ce qui devait arriver, est arrivé !
Un jour, je suis arrivé en retard, à 13 heures.
Elle bouillonne visiblement de l'intérieur.




Lorsque je pose ma main sur son épaule pour lui faire la bise comme à l'accoutumée, nous nous embrassons à pleine bouche, sans aucune retenue, avec un abandon total.
Mes mains et mes doigts s'insinuent alors partout sous ses vêtements.




Elle s'écarte légèrement de moi, glisse ses mains sous son corsage, dans son dos, dégrafe son soutien-gorge.
Ses seins sont nus sous mes mains.

Quand mes mains descendent sur son corps jusqu'à ses fesses, son estomac se creuse.
Elle se donne entièrement.




Mes doigts se referment entre ses cuisses, je sens le tissu de sa culotte, chaud, trempé.
Elle gémit doucement.
Elle se retourne, plaque ses fesses contre mon sexe encore emprisonné dans mon jean et pose sa tête dans mon épaule :
- J'ai tellement rêvé du moment où tu refermerais tes mains sur moi, tu sens comme tu me troubles ?




Écartant mes mains qui la tiennent par les hanches, elle se recule, défait son corsage, laisse tomber son soutien-gorge.
Puis, tout en me regardant, elle retire sa culotte.
Le tissu s'attarde un peu entre ses cuisses, mes doigts l'ont collé sur les lèvres de son sexe.




Sa culotte tombe, elle se tient nue, impudique, sans la moindre gêne.

Elle prend ma main et m'attire dans sa chambre vers le lit.
Elle me déshabille et ouvre ma ceinture...




Quand mon pantalon tombe par terre, je suis au bord de l'orgasme.
Je retiens sa main...
- Attends, attends... Je ne vais pas pouvoir me retenir, si tu me touches encore !

Elle se colle contre moi à la recherche de mon sexe.
- Prends-moi, murmure-t-elle, je ne tiens plus, prends-moi.




Ce fut bref, violent, presque sauvage.
Je la pénètre doucement d'abord.
Puis nous sommes emportés par la tempête, sans retenue, ses jambes se nouent sur mes reins.
Offerte.
Ses hanches lancent son ventre vers moi.
Ouverte, cherchant à recevoir mon sexe au plus profond du sien.




Mes reins poussent mon corps, mes cuisses frappent ses fesses.
Mon sexe s'enfonce, se retire, la reprend.
Tendu comme jamais, je la remplis, le gland roule sur le fond de son ventre.




Rapidement, trop rapidement, l'orage soudain atteint son paroxysme.
Une brutale déflagration nous emporte simultanément.
Nos corps se tendent, se tordent.




Je sens mon sperme monter le long de mon sexe.
Je gémis, je crie presque, elle colle ma tête sur son épaule, je jouis.
Longtemps encore, nos corps se tordent, se cherchent, jambes enlacées, enchevêtrées.



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Il est bientôt 14 h, je dois retourner en cours sans perdre de temps car je passe un examen important dans moins d'une demi-heure.
Je l'embrasse, me rhabille.
Lisa est là immobile, allongée sur son lit, elle m'observe, je peux voir que l'intérieur de ses cuisses est souillé de ma semence qui dégouline jusque sur les draps pour venir les tacher.




Elle se redresse et m'accompagne jusqu'au seuil de la porte de sa chambre.
Elle m'embrasse à nouveau avant de me faire une proposition qui dépasse mes fantasmes les plus fous.
- Tu... si tu veux... tu peux dormir avec moi ce soir. Jean, mon mari, ne rentre de déplacement que demain dans la journée, ensuite, nous deux... ça sera plus difficile, car il n'est pas prévu qu'il reparte en déplacement de sitôt.

Vous l'avez deviné, en fin de journée, après mes cours, je n'ai pas perdu une seule minute, un bref passage dans mon studio pour faire un brin de toilette bien mérité, et me revoilà à frapper à la porte d'entrée, impatient de retrouver Lisa.

Elle m'ouvre, me sourit, à mon tour, je lui fais un grand sourire.
J'entre et elle referme la porte derrière nous.
Elle semble être entièrement nue sous son peignoir, ses cheveux sont humides, je comprends qu'elle sort à l'instant de sa douche.




Elle caresse mon visage du dos de sa main droite et se penche vers moi pour m'embrasser.
Je suis bouleversé, mon cœur bat la chamade et, pour être tout à fait honnête, c'est également le cas de mon entrejambe.
Ma verge se redresse vigoureusement dans mon caleçon, sans que je ne puisse l'en empêcher.

Elle déplace une chaise pour s'asseoir face à moi, devant moi, son visage à hauteur de mon sexe.
Ses cuisses sont assez écartées, provoquant une ouverture assez importante du peignoir.
Lorsque je baisse mon regard pour loucher sur ses cuisses dévoilées, Lisa, dans un mouvement naturel écarte davantage ses jambes pour m'offrir une vision intégrale de son sexe gonflé de désir.




- Tu as déjà profité d'une fellation ? me demande Lisa en se reculant.
- Non... avoué-je timidement.
- Je vais être la première ? poursuit Lisa en me fixant d'un air extasié.
- Euh... oui...

Comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle, Lisa se redresse, me tire contre elle.
Une fois debout l'un contre l'autre, ma sensuelle hôtesse repousse les pans de son peignoir et s'empare de mes deux mains, elle les pose sur ses énormes mamelles à la peau si soyeuse.
- Caresse mes seins, gémit-elle.




Je m'exécute sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie.
Encore innocent, je demeure ébahi en découvrant combien les tétons sont durs et énormes.
Nous haletons tous les deux.
L'excitation est à son comble.
- Oh oui, gémit Lisa en pressant fiévreusement mes mains contre ses seins gonflés pour m'encourager à continuer mon malaxage mammaire.




Lisa pose alors sa main sur la bosse que fait mon membre viril tendu et me caresse par-dessus le tissu de mon jean.
Nous restons un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir.
Puis Lisa me regarde dans les yeux :
- Tu veux que je t'apprenne ce qu'un homme doit savoir faire à une femme ?

Comment pourrais-je refuser ?
Se reculant, Lisa me repousse, me forçant à m'asseoir sur la chaise.
Me faisant face, elle se caresse les seins d'une manière très sensuelle.




Presque machinalement je pose une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion.
Me fixant, les yeux brillants, Lisa approche sa chaise pour y déposer son pied droit.
Sa cuisse largement écartée m'offre une vue parfaite sur son sexe, dont elle écarte les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve rose et luisante.




Subitement, je ne contrôle plus mes agissements, je tombe à genoux aux pieds de la femme dénudée.
Devinant mon désir qu'elle a si bien provoqué, Lisa me demande d'une voix soudain changée :
- Tu veux embrasser ma chatte ?

Je ne l'ai jamais pratiqué, je ne sais pas vraiment comment je dois m'y prendre.
Heureusement pour moi, Lisa, follement excitée, m'agrippe la tête et pousse mon visage contre sa vulve.
- Embrasse-la, m'ordonne-t-elle d'une voix hachée.




Je pose alors ma bouche contre les lèvres humides du sexe féminin.
Une odeur épicée me monte aux narines.
C'est la première fois que je vois une chatte de si près.
Je me trouve totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m'y prendre.
Heureusement pour moi, Lisa me guide, prise par sa passion dévorante.
Appuyant fortement mon visage contre sa longue fente, elle m'encourage d'une voix rauque :
- Embrasse ma chatte... Tu sens comme je mouille...




Pour le sentir, je le sens, mes lèvres baignent dans une onctuosité odorante.
Fermant les yeux, je me lance à l'eau.
Timidement, je commence à embrasser la vulve ruisselante, la couvrant de petits baisers appuyés.
- Oui, c'est bien, m'encourage Lisa. Lèche-là... Enfonce ta langue à l'intérieur...

Obéissant, je m'exécute, tachant de faire de mon mieux.
Je promène ma langue à l'intérieur de cette faille humide, l'enfonçant légèrement à l'intérieur des chairs chaudes et gluantes.




Aussitôt, Lisa se met à pousser des petits gémissements.
Puis je sens ses deux mains se saisir de ma tête pour l'immobiliser.
Agitant son bas-ventre d'avant en arrière, elle entreprend de frotter avec fougue, son clitoris contre ma bouche et mon menton.

Je ne tarde pas à m'apercevoir que son sexe est de plus en plus dégoulinant de sécrétions, j'ai un goût de liquide gluant et assez salé dans la bouche, ce qui me surprend beaucoup, sans vraiment me déplaire.
Cependant, au bout d'un instant, Lisa cesse tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillit de sa gorge, brisant le silence de l'appartement.




Puis, au bout de quelques secondes, elle me libère.
- C'était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire.

La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui s'est échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, le sexe effroyablement bandé, je me réinstalle sur ma chaise, curieux de connaître la suite des événements.
- Non ne t'assois pas, reste debout, c'est à mon tour de te goûter. Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain.

Elle s'assoit devant moi, son visage à hauteur de mon sexe.
- Tu sais, en amour, rien n'est sale ! Ton sperme ou mon jus, mon foutre, comme certains l'appellent, sont des liquides savoureux ! Regarde, je vais sucer ta queue et crois-moi, je vais me régaler avec ta semence.




Je me trouve plutôt surpris de ce que je viens d'entendre.
Au bas de mon ventre, Lisa joint le geste à la parole et se met à lécher ma tige de haut en bas et de bas en haut avant de me prendre le plus profondément possible avec ardeur au fond de sa gorge.
Si bien qu'en un rien de temps, je sens mon sperme monter avant de jaillir sur ses amygdales.




Lisa se redresse, me saisit la main et m'entraîne jusqu'à sa chambre.
Sans un mot, elle grimpe sur le lit conjugal où elle s'allonge sur le dos.
Là, me fixant avec intensité, elle écarte largement ses cuisses, me dévoilant son sexe totalement offert.
- Viens, demande-t-elle ! Viens entre mes jambes... Je veux que tu me prennes !

Tout en me parlant, elle écarte les lèvres qui me cachent l'entrée de son sanctuaire et, de ses deux mains, elle ouvre sa longue fente.




Du fait de ma position agenouillée entre ses cuisses, je peux contempler sa vulve.
Je remarque à la brillance des parois internes qu'elle est excessivement humide.
À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles, je remarque une énorme excroissance rose, que je devine être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans l'avoir vraiment vu.




Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m'offre généreusement ma maîtresse, je m'approche de cette dernière avec ma bite toujours douloureusement tendue.
Écartant encore plus largement l'entrée de son vagin, elle m'invite à la pénétrer d'une voix oppressée.
- Oui, mets-la-moi ! Enfonce ta queue dans ma chatte, regarde, je l'ouvre bien pour que tu puisses entrer dans mon ventre... Viens... Prends-moi !




Je n'en crois pas mes yeux de voir ce sexe féminin pour la deuxième fois offert à mes désirs, à ma disposition.
Lisa se saisit de ma bite de ses doigts pour diriger mon gland à l'entrée de sa faille sexuelle.
Alors, je me laisse aller et m'allonge sur elle, m'appuyant sur mes coudes.
Avec une énorme émotion, je sens pour la seconde fois ma verge s'enfoncer progressivement dans ce conduit vaginal d'une extrême onctuosité.




Je suis terriblement excité par cette situation.
Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sens mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne, qui, sans que je comprenne pourquoi, se met à gémir sans retenue.

Prise d'une sorte de frénésie, elle avance son bassin et relève ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.




J'entame alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge, cela me plaît énormément.
- Plus vite ! gémit soudain Lisa... Va plus vite... Baise-moi bien à fond !

Puisqu'elle le demande, j'accélère alors mon mouvement pour finir par de grands coups de boutoir qui m'enfoncent violemment dans la chatte de plus en plus ruisselante de jus chaud et onctueux.
Plus mes coups de reins se font violents, plus ma compagne se cambre en poussant de véritables cris de plaisir.




Des gémissements de plus en plus forts sortent du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tend et s'offre à mon membre viril.
Je vois et sens ma queue entrer et sortir de sa chatte ruisselante de désir.
Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonne entre ses dents qu'elle aime ça, que je la rends heureuse.
- Oh oui ! Vas-y, enfonce bien ta queue dans mon ventre ! Vas-y baise-moi profondément... Défonce-moi la chatte, elle est à toi !

Elle souffle, son souffle est puissant et bruyant, elle jouit comme une folle.




Au début, devant les marques évidentes de jouissance, je pense qu'elle me joue la comédie dans le but de me faire plaisir et de me motiver, mais à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je comprends que mon initiatrice ne joue en aucun cas la comédie.
Sa jouissance est bien réelle, et elle m'offre son corps sans pudeur, sans retenue.

Je la baise de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon soc charnel.
Sa chatte dégouline d'un jus chaud et poisseux qui me trempe les cuisses, avant d'inonder les draps du lit.




Subitement, je sens le plaisir monter en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui arrive, je décharge mon sperme au plus profond de son vagin accueillant.
De longues giclées jaillissent de mon gland, comme pour éteindre l'incendie qui ravage la vulve dans laquelle je navigue.




Alors que mon éjaculation arrive à sa fin, Lisa se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant.
Tout son corps se met à trembler, comme pris de convulsions.
Je découvre là ce qu'est un véritable orgasme féminin.
Ça dépasse tout ce que j'ai pu imaginer.




Au bout de quelques instants, Lisa refait surface.
- Tu as aimé ? me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ? Tu me rends folle !
- Moi aussi tu me rends fou, je ne pense qu'à toi, je rêve de toi. Je n'ose pas te dire mes rêves...
- Dis-les-moi...
- Tu crois ?
- Oui, j'en suis sûre, dis-moi !
- Tu veux bien te retourner, t'allonger sur le ventre ?
- Petit coquin !

Elle se retourne et je me mets derrière elle, entre ses jambes ouvertes, je prends aussi appui sur mes bras tendus de part et d'autre de ses épaules.
Mon sexe est à nouveau bandé, bien raide, et bien dur.

Je le pose entre ses fesses.
Au contact de nos deux peaux, mon sexe se glisse entre ses fesses, je m'amuse à m'y frotter, sans la pénétrer, juste à me caresser avec ses fesses.
Sachant le plaisir qu'elle me procure, elle agite son bassin, le tendant alternativement en arrière, me prodiguant de merveilleuses caresses avec ses globes.
Je me branle entre ses deux parties charnues si chaudes et si douces...




Puis doucement, je m'allonge sur son dos, savourant la douceur et la chaleur de sa peau sur mon ventre, et celles de ses fesses sur mon sexe.
Je continue de m'y frotter, mon bassin ondule effrontément, bestialement.
Et d'un coup, sans que je le veuille, mon sexe glisse et mon gland se place en butée devant son petit trou avant de la pénétrer de quelques millimètres.




Je la sens retenir sa respiration !
Je continue doucement et à très faible amplitude mon petit va-et-vient sans parvenir à pénétrer davantage sa petite rondelle extrêmement serrée.
- Doucement, vas-y doucement si tu veux l'enfoncer ici...

Alors, je m'écarte et l'invite à se mettre simplement à quatre pattes.
Elle obtempère sans broncher, le cul tendu... offerte... les cuisses encore ouvertes.
À genoux entre ses jambes, je saisis les fesses à pleines mains, les écarte, pose mon gland à l'entrée...
Et dans ma tête, le fait d'être certain que, dans les secondes qui viennent, je vais l'enfiler par son petit trou !




Je pousse tout doucement.
- Oh oui, grogne Lisa en lançant furieusement son derrière au-devant de mon sexe. Viens, maintenant, m'exhorte-t-elle ! Je veux sentir ta queue dans mon cul ! Mets-la-moi !

Elle passe une de ses mains entre ses cuisses et elle se saisit de ma bite qu'elle dirige entre ses fesses.
Le bout arrondi de mon gland s'appuie sur son œillet rose, qui me semble extrêmement petit.
- Là, tu y es, me prévient-elle d'une voix sourde... Vas doucement, tu es si gros !




Avec émotion, je sens comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal.
Agrippant fermement les hanches de mon initiatrice, je pousse pour enfoncer mon dard dans ce cul offert.
Lisa pousse un petit gémissement, je la vois agripper des deux mains le polochon.
- Oh comme tu es gros, gémit-elle... Vas-y pousse !

J'exerce une nouvelle pression, en tirant à moi Lisa que je tiens fermement par les hanches.
Elle pousse un nouveau gémissement, suivi aussitôt par un petit cri.
Sans que je me rende compte de ce qui m'arrive, je me retrouve fiché jusqu'aux couilles dans le cul féminin qui vient de s'écarteler brusquement.
- Oui, oui, ça y est, grogne Lisa. Ne bouge plus ! Oooh, c'est terrible, tu m'as défoncé le cul ! Ne bouge pas, je t'en prie ! Pas tout de suite...




Je demeure immobile, ivre de joie.
J'encule une femme.
Quand je raconterai ça aux copains...
- Vas-y, me demande enfin Lisa. Mais va doucement, j'ai l'impression que tu me déchires le cul.

Je commence alors à m'agiter, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant convoitées.
Lisa a passé sa main entre ses cuisses et se caresse le clitoris en poussant des petits gémissements.
- Oh oui ! Vas-y, encule-moi bien à fond, défonce-moi !




Je vois ma bite entrer et sortir de l'anus dilaté par mon membre.
Je suis excité comme jamais je ne l'aurais imaginé et les gémissements plaintifs de ma compagne m'encouragent à continuer.
J'accélère peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément.
Lisa pousse de tels cris, que je me demande si elle éprouve du plaisir ou de la douleur.

Mais d'un seul coup, je sens mon sperme monter de mes couilles gonflées jusqu'à ma verge frémissante.
Sans que je puisse me retenir, je lâche mon sperme par saccades dans les intestins de ma belle.
J'ai l'impression de me vider entièrement, tant l'éjaculation dure.

Lisa se raidit subitement et grogne comme un animal, son corps tremble comme une feuille.
Étant penché sur elle, je lui caresse l'intérieur des cuisses que je trouve abondamment mouillées, tant ma complice a joui.




Épuisé par cet acte intime, je retire ma verge de l'anus inondé.
Lisa me remercie de tout ce plaisir qu'elle vient de vivre et de partager avec moi.

Toute la nuit, nous avons fait l'amour.




Au petit matin, je ne suis pas allé en cours pour pouvoir dormir quelques heures dans mon studio.
En milieu de journée, de la fenêtre de mon appartement, j'ai aperçu Jean dans le jardin : comme prévu, il est rentré de son déplacement.
Du fait de sa présence, je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de prendre à nouveau du plaisir avec Lisa avant de repartir chez mes parents pour les grandes vacances.

Mais l'année prochaine, Ève et Vincent me loueront à nouveau leur petit studio...