Vies de profs

Vies de profs - 1 : Nicolas et Maria Helena (publié par Davidhandballeur le 23-03-2019)
Vies de profs - 2 : La rentrée de Nicolas (publié par Davidhandballeur le 28-03-2019)


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Vies de profs - 1 : Nicolas et Maria Helena

Nicolas a rencontré Maria Helena, une jeune femme, belle Espagnole avec qui il entretient une relation mêlant complicité et sensualité sur un site de rencontre.



Auparavant, ses quelques rencards ont vite tourné au fiasco, le courant ne passant pas. Heureusement Maria Helena lui a permis de ne pas sortir bredouille de cette expérience virtuelle.



En chattant avec elle, il a vite compris qu'il était sur la même longueur d'onde : parmi les mots-clés des différents échanges figuraient « feeling », « sans prise de tête », « s'amuser », bref inutile de faire un dessin ! Sa description, relativement peu détaillée, lui a ensuite donné envie d'en savoir plus. Lorsqu'il l'a interrogée à ce sujet, elle lui a répondu que ce qui plaisait le plus chez elle, c'était ses courbes. Là encore cela lui a donné envie d'en savoir plus !



Du coup, après quelques jours à chatter, il lui a proposé de se voir en vrai. Elle a proposé un bar. En la voyant en réel, Nicolas a alors pu constater que la belle ne lui a pas menti sur la « marchandise » : d'aucun lui reprocheraient peut-être d'avoir quelques kilos en trop, mais mieux vaut trop que pas assez, n'est-il pas ?



C'est une jolie brune, au visage assez agréable, et dotée d'un fessier bien comme il faut, mis en évidence par sa robe moulante, mais c'est surtout sur son décolleté plus que plongeant que le regard de Nicolas s'est le plus souvent évadé. Difficile de regarder son interlocutrice dans les yeux dans ce genre de situation ! Mais ça n'a pas eu l'air de la déranger ni de la surprendre plus que ça, à vrai dire cela a même plus semblé l'amuser qu'autre chose.



Ainsi, les deux jeunes gens ont discuté pendant une ou deux heures, avant de quitter le bar. Au moment de se quitter, la belle a alors proposé le sacro-saint « dernier verre » chez elle. Verre que Nicolas n'a pas vu de raison pertinente de refuser !



Maria Helena a un visage de jeune fille qui a fait craquer Nicolas. Elle est si trop mignonne. Elle fait mine de ne pas oser me fixer dans les yeux, mais le professeur la voit tout de même lui jeter un regard de temps en temps.



- Je vous plais ? me demande-t-elle.
- Beaucoup.
- Vous auriez envie de moi ?
- Pas qu'un peu.
- Vous aimez mes seins ?



Nicolas se sent honteux ! Maria-Helena a dû remarquer qu'il a eu du mal à se détourner de son décolleté.

- Vous voulez les voir ?
- Je... avec plaisir, répond Nicolas.



Maria Helena ne sait pas ce qui lui prend, elle doit être en train de perdre la tête. Elle connait à peine cet homme, et pourtant, elle lui propose de lui montrer ses seins sans aucune pudeur. Elle n'est pas comme ça en temps normal où elle est plutôt timide et réservée, mais ce soir, elle n'est plus elle-même. Elle est en manque d'amour.



Elle enlève sensuellement les bretelles de sa robe. Nicolas n'en croit pas ses yeux. Il peut d'abord voir les tétons, puis la poitrine dans son intégralité. Il en reste bouche bée.

- Il vous plaise ?
- La vache, oui !
- Vous voulez les toucher ?
- C'est vrai ? Je peux ?
- Mais oui, allez-y.

Les mains de Nicolas s'avancent vers Maria-Helena. Il prend les seins entre ses doigts. Il les soupèse, il les pétrit.



Maria Helena gémit de plaisir, elle frisonne sous les caresses. Nicolas prend un téton en bouche, il les suce. Il passe d'un sein à l'autre, puis il relève la tête pour embrasser la jeune fille qui fond littéralement.



Elle s'abandonne à Nicolas qui devient de plus en plus fougueux. Il se colle contre Maria Helena qui passe une main un peu trop curieuse vers son entrejambe. Il est tout dur ! Il a l'air d'avoir un sacré morceau en plus.



- Tu bandes pour moi ? lui fait Maria Helena.
- Rien que pour toi.



- C'est vrai ? Tu as envie ?
- Beaucoup. J'ai envie de te faire l'amour, Maria-Helena.
- Alors fais-moi l'amour, Nicolas.



Maria Helena défait la braguette et en extirpe le sexe du pantalon. Elle avait raison ! Il est d'une belle grosseur ! Elle le branle doucement, Nicolas se laisse faire, mieux encore, il gémit.



Maria Helena ne résiste plus, elle craque et s'agenouille devant Nicolas. Il comprend tout de suite ce qu'elle s''apprête à faire. Elle décalotte son gland et le couvre de baisers. Elle a hâte de la sentir en elle, mais pour le moment, elle a surtout envie de jouer avec.



Elle lèche le champignon avant de le prendre entre les lèvres.



Elle l'astique de plus en plus fort, puis fait glisser le reste au fond de sa gorge. Nicolas râle de bonheur.



Elle lui fait une fellation, elle s'applique comme elle ne s'est jamais appliquée. Elle souhaite l'exciter, lui donner du plaisir.



Maria Helena a toujours aimé la sensation d'avoir un sexe en bouche, elle pourrait le pomper pendant des heures.



Elle s'arrête et le regarde avec des yeux suppliants qu'il la prenne. Il saisit le message, il en a envie lui-aussi.



Ils se dirigent vers sa chambre. Elle s'allonge sur le lit, il vient la rejoindre. Il retire sa jupe avant de s'attaquer à sa culotte. Elle frémit en lui dévoilant sa fente déjà dégoulinante de mouille. Elle écarte ses cuisses pour la lui offrir, il peut en faire ce qu'il veut.



- Hmm, Maria Helena, fait Nicolas !
- Elle te plait ?
- Hmm, elle me fait de ses envies...
- Elle te veut...



Nicolas est patient, il prend son temps. Il pourrait la pénétrer maintenant, mais au lieu de cela, il lui caresse les lèvres du vagin. Il joue avec elle, il la fait languir. Maria Helena n'en peut plus ! Elle est chaude et prête à être prise.



Il enfonce deux doigts sans la prévenir ! Elle gémit de plaisir. Il les fait entrer et sortir lentement, trop lentement au goût de la jeune femme qui a une première décharge électrique lorsqu'il frôle le clitoris.



Nicolas se met enfin à le titiller franchement, cela fait couler la chatte, elle déborde de plaisir sur les draps. Des sons de clapotis se font entendre tandis qu'il augmente son rythme ! Maria-Helena suis au comble du bonheur.



Soudain, il arrête tout. Il l'abandonne, la laissant haletante, pour glisser le visage entre les jambes. Maria-Helena sent la langue commencer à la lécher, il lui broute le minou comme un animal assoiffé.



Il la boit, littéralement. Elle se détend complétement, elle ferme les yeux pour se laisser aller. Elle passe ses mains naturellement dans les cheveux de Nicolas pour l'encourager à lui faire du bien.



L'index et le majeur repartent à l'assaut au fond de Maria-Helena tandis que la bouche s'active sur le bouton d'or.



La jeune femme a le réflexe de resserrer l'étreinte autour du cou de Nicolas tant ce qu'il lui fait ressentir est intense.



Lorsqu'il l'abandonne pour la seconde fois, elle le maudit de tous les noms dans sa tête. Elle le pardonne uniquement parce qu'il est enfin prêt à passer aux choses sérieuses.



- J'ai envie de toi, Maria-Helena.
- Vas-y, prends-moi.



Nicolas se redresse en prenant son sexe musclé en main. Maria Helena se repositionne pour lui faciliter la tâche. Elle sent le gland sur les lèvres de son vagin. Elle a l'impression que le temps s'est arrêté. Il la pénètre lentement, avec douceur. Il se loge au fond d'elle, puis il prend du recul afin de recommencer.



- Aaah ! Maria Helena ! geint Nicolas
- Nicolas...



Nicolas lui fait l'amour, et vu de l'expression de son visage, il y prend beaucoup de plaisir. Elle le sens en elle, rien qu'à elle. Nicolas se penche sur Maria- Helena pour l'embrasser, ses mains parcourent mon corps avec avidité, il savoure les formes généreuses. Cela doit lui plaire, car il en augmente son rythme.



Maria Helena chavire :

- Baise-moi, fais-elle à l'oreille de Nicolas.



Il la lime avec vigueur. Il lui fait sentir combien son pieu a faim de du vagin. Il lui empoigne les seins, les pétrit, les masse. Manifestement, il les adore. Il lui suce les tétons, puis les mordille.



Maria Helena gémit pour lui montrer son appréciation. Elle ferme les yeux, elle se perds dans son propre plaisir. Il n‘est pas là juste pour se faire jouir dans une chatte, il veut celle de Maria Helena, et le savoir enivre la jeune femme.



Maria Helena est déjà au bord de l'orgasme, elle a honte, mais le gros engin qui la laboure la rend folle.



- Viens, Maria Helena, dit Nicolas, chevauche-moi.



Nicolas s'est allongé sur le lit. Maria Helena vient le rejoindre en l'enjambant doucement pour le surplomber. Elle agrippe délicatement sa belle verge en l'enroulant avec les doigts. Si droite, si fière, si grosse... elle lui donne de ses envies !



Elle se relève juste assez pour la pointer vers sa fente dégoulinante de mouille, avant de la laisser retomber lentement. Elle soupire en la sentant la pénétrer à nouveau. Ses instincts de femme resurgissent et elle commence à rebondir dessus.



Les mains sur le torse de Nicolas, Maria Helena donne la cadence. Elle va de plus en plus vite, ses seins de se balancent dans tous les sens. Nicolas gémit de plaisir sous les roulements de bassin de Maria Helena. Il se redresse pour l'embrasser. Il l'accompagne en lui donnant des coups de reins.



Maria Helena sent son plaisir croitre, elle n'est plus très loin de la jouissance. Elle l'attend, elle la veut, elle n'en peut plus. Elle pousse un petit cri à chaque fois qu'elle sent son dard cogner au fond de son vagin.



- Nicolas... je vais jouir...
- Oh oui, vas-y Maria Helena.



Nicolas devient plus vigoureux. Il veut achever Maria Helena qui se laisse aller. Il presse sa chair plus fort contre celle de la jeune femme qui n'entend que le son du claquement des couilles et des soupirs rauques.



Maria Helena ferme les yeux une seconde, jurant que la fin du monde est arrivée, pour les rouvrir brusquement en poussant un cri de délivrance :



- Ouiiiiiiiiiiiii ! Aaaaaaaaaaaaaaah !



- J'ai encore envie dit Nicolas, qui n'a pas joui.
- Moi aussi, j'en veux plus ! Beaucoup plus !



Sans plus attendre, Maria Helena se met à quatre pattes, les fesses devant Nicolas.



- Comme ça, ça te va ?



Nicolas ne répond pas, mais Maria Helena l'entend s'affairer derrière pour se mettre en position. Elle est tellement excitée qu'elle cessé d'être une humaine. Elle veut être une chienne, sa chienne.



Il l'enfile et se met à la limer en me tenant par les hanches. La chatte de Maria Helena lubrifie le pénis de Nicolas comme une invitation à la prendre plus fort.



Il la possède bien comme il faut. Il lui donne des coups secs et bruyants. Il lui fait sentir combien sa queue a faim de vagin. Nicolas est devenu aussi animal que la jeune femme. Ce n'est plus un homme, c'est une bête.



- Oui ! Vas-y ! Défonce-moi bien.



Il augmente son rythme sous les encouragements de Maria Helena qui prend un plaisir monstrueux. Elle sent que son prochain orgasme n'est déjà plus très loin, et qu'il risque d'être encore plus violent que le précédent.



- Tire-moi les cheveux !
- Quoi ? fait-il en ayant peur d'avoir mal entendu.
- Tire-moi les cheveux !
- Tu es sûre ?
- Oui, j'aime ça.



Maria Helena souhaite qu'il la fasse sentir sienne. Il s'exécute, il lui fait relever la tête. Il est tellement gonflé à bloc qu'il enchaine sur une petite fessée. Maria Helena frémit, elle a envie de se faire sauter comme la dernière des cochonnes.



- Maria Helena, Maria Helena ! geint Nicolas au bord du désespoir.



Nicolas aussi semble bien s'éclater ! Lorsqu'il relâche son étreinte, la jeune femme s'affale le torse écrasé, la tête dans l'oreiller.



Il l'utilise comme son petit trou pour se faire du bien. Maria Helena se sent salope, vraiment salope.



Nicolas change de position en prenant de l'appui sur la pointe des pieds. Il monte Maria Helena, ou plutôt, il la démonte.

- Aah, Maria Helena, je n'en peux plus. J'ai envie de jouir.
- Oui, vas-y. Tu peux jouir dans ma chatte.
- C'est vrai ? Je peux ?
- Oui. Quand tu veux. Ne te retiens pas, tu l'as bien mérité.



Maria Helena mouille tellement que sa chatte fait des clapotis à chacun de ses allers-retours. Elle veut qu'il la finisse, qu'il se finisse. Ses assauts sont de plus en plus violents, tout le corps de la jeune femme vibre sous les coups de Nicolas qui doit être à l'agonie.



Il se régale de ses soupirs saccadés, quand tout à coup, Maria Helena l'entend grogner comme un ours. Il se fige tout au fond de sa chatte. Maria Helena sent ensuite son liquide chaud la remplir.



Les deux jeunes gens vivent ce moment magique en diapason. Nicolas continue à déverser en elle toute sa semence.



Une fois fini, Nicolas s'écroule à côté de Maria Helena. Les deux sont épuisés, incapable de bouger, bien, heureux. Le foutre s'échappe de la chatte lorsqu'il débande. Vu la quantité, Maria Helena pense qu'elle l'a vidé. Elle est fière d'elle.



Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin et les deux jeunes gens finissent par reprendre leurs esprits et par se rhabiller.



Ils parlent peu, ils échangent de nombreux sourires et des regards. Ils disent qu'ils ont tous les deux passés un très bon moment et qu'ils sont heureux.


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Vies de profs - 2 : La rentrée de Nicolas

D'après [http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/philo-troublante-lyceenne-sujet_21220_1.htm]

Âgé de 28 ans, Nicolas enseigne depuis deux ans l'amour de la sagesse au lycée à des terminales. C'est donc la troisième année qui commence pour lui, et comme à chaque rentrée, c'est le gros coup de stress ! Il a toujours peur de buter sur un mot le premier jour ou pire, se ramasser devant la classe en trébuchant. Il passe une quasi-nuit blanche et attends avec une certaine hâte le lendemain soir pour pouvoir décompresser, avec Maria-Helena, qui est pour ainsi dire sa « compagne charnelle ».



Pourtant, à l'heure du retour au lycée, il stresse un petit peu. Au réveil, il passe un peu de temps à s'habiller : une chemise et une veste classe, afin de montrer une belle apparence.



Pour le premier cours avec sa nouvelle classe de Terminale, il essaie de surprendre un peu son auditoire en le faisant s'étonner sur le monde dans lequel on vit. La philosophie commence par l'étonnement, c'est l'idée de base de ce premier cours, idée qui d'ailleurs a été largement véhiculée par les illustres Platon et Aristote. En même temps, son job ne consiste pas à apporter quelque chose à l'histoire de la philosophie, mais à transmettre son savoir en la matière, en essayant évidemment de le faire de façon claire et dynamique.



Car, Nicolas a beau être professeur et avoir une dizaine d'années de plus que ses élèves, cela ne l'empêche pas d'être un homme à part entière, et de trouver certaines d'entre elles plus que désirables. C'était déjà le cas les années précédentes, et cela semble bien parti pour cette nouvelle année.



La séduction va dans les deux sens, car Nicolas a son petit succès avec la gente féminine, sa condition d'enseignant, de surcroît dans une matière aussi mystérieuse que prestigieuse, accentue ledit succès. Évidemment ça ne va pas plus loin : il ne concrétise rien. Evidemment, certaines filles lui font vaguement fait du gringue, il ne répond pas à leurs avances : c'est un jeu plus que dangereux !



Pour revenir aux demoiselles de cette nouvelle « cuvée », plusieurs d'entre elles sont assez séduisantes, environ trois ou quatre, mais il y en a surtout une qui sort du lot. Nicolas essaie de ne pas trop appuyer ses regards pour ce premier cours, mais ce qu'il peut voir subrepticement lui plaît plutôt bien : une jolie brune, taille moyenne, jolie de visage, et plus que bien roulée pour ne rien gâcher. Et comme en plus la belle a l'air de s'habiller plutôt serrée, le professeur peut se faire une idée assez précise à ce sujet.



Son décolleté notamment s'avère franchement alléchant. En faisant l'appel, Nicolas apprend que la fille en question s'appelle Marion.



Nicolas espère quand même qu'elle ne va pas trop le troubler cette année car il risque d'avoir du mal à donner ses cours ! Finalement les deux heures se passent plutôt bien, la classe dans son ensemble a l'air plutôt sympathique, et a semblé attentive à ce premier cours.



Après une petite sieste régénératrice l'après-midi, Nicolas invite comme prévu Maria-Helena pour la nuit à son domicile. Cela lui fait en tout cas un bien fou de la revoir : « physiquement », les deux s'entendent à merveille, sans engagement, sans sentiments amoureux, simplement un savant mélange de désir, d'affection et de respect. La retrouver après cette première journée chargée d'émotion lui fait bien plaisir.



La voilà donc qui sonne : Nicolas ouvre et lui fais la bise, histoire de démarrer en douceur. Il a le plaisir de voir que Maria Helena a opté pour une de ces robes dont elle a le secret, qui met divinement en valeur ses formes voluptueuses...



Cette fois-ci Nicolas n'essaie en rien de masquer la fascination que lui inspire la vue de son décolleté provocant.



Il invite, une main sur la taille, la belle à s'installer sur le canapé, et lui sert un verre. Comme elle me questionne au sujet de la rentrée, il lui raconte la première journée, et lui exprime son besoin, après tant de stress, de décompresser.



Elle lui répond avec un air taquin qu'elle ne voit pas du tout où il souhaite en venir.



Les mains de Nicolas vont vite à la recherche des seins de Maria Helena, seins qu'ils apprécient tant. Il libère un sein de sa robe pour pouvoir le dévorer comme il se doit, ce qui inspire quelques gémissements qui ne refroidissent pas franchement l'ardeur du jeune homme. Il enlève maintenant sa robe, qui commence à devenir de trop, et la belle lui ôte son polo et s'attaque à la fermeture éclair de son jean pour pouvoir prendre en bouche ce qui s'y cache.



Comme d'habitude, vu sa dextérité en la matière, c'est un régal : l'engin de Nicolas se sent tellement bien dans sa bouche.



La belle continue les festivités en lui prodiguant une branlette espagnole.



Il faut dire que Maria Helena a vraiment le matériel pour, et comme elle s'en sert à merveille, rien de surprenant à ce que la queue en feu de Nicolas se sente comme un poisson dans l'eau, en captivité entre les deux seins majestueux.



Voyant que Nicolas est déjà proche de la « conclusion », Maria Helena vient s'empaler sur l'engin qui sent la sauce monter de plus en plus.



Alors qu'ils se dévorent la langue de plus en plus, au rythme des différents gémissements respectifs et des coups de queue toujours plus intenses, Nicolas finit par jouir en elle, pour un moment d'extase partagée mémorable.



Les deux jeunes gens restent en place quelques instants, se regardent, avant de se rouler une mini-pelle emplie de tendresse.



Maria Helena prend ensuite la parole :



« -Au fait Nicolas, j'ai une mauvaise nouvelle.
- Ah mince, quoi donc ?
- Je quitte la France demain.
- Quoi ? T'es sérieuse ?
- Oui, j'ai trouvé un job en Espagne.
- Je suppose que c'est une bonne nouvelle, mais bon... En plus tu me dis ça de but en blanc.
- De but quoi ?
- En espagnol, ça doit être « de gol in blanco ». Plus sérieusement, c'est quand même un peu soudain !
- Moi aussi je viens d'apprendre la nouvelle. Et si je n'accepte pas, je m'en voudrai plus tard.
- Ok je comprends. Je suis content pour toi. Mais tu vas me manquer ! On s'amusait bien tous les deux. En plus avec tout le stress que je vais accumuler, je vais faire comment pour décompresser moi ?



- Tu vas trouver d'autres filles, Nicolas. Tu ne vas pas avoir de mal à en trouver, surtout pour ce type de relation. Et peut-être aussi que tu vas rencontrer une fille de façon plus sérieuse ?
- Arrête on en a déjà parlé, je ne veux pas de relation sérieuse.
- Tout le monde veut, Nicolas, même toi.
- Bon en tout cas, si je comprends bien, le temps nous est compté. Alors ne perdons pas une minute et profitons-en ! »



Et c'est ce qu'ils ont fait en faisant l'amour plusieurs fois cette nuit-là.