Le scoop

Le scoop - 1 (publié par Davidhandballeur le 05-06-2019)
Le scoop - 2 (publié par Davidhandballeur le 07-06-2019)
Le scoop - 3 : Rosalie, avocate stagiaire (publié par Davidhandballeur le 11-06-2019)
Le scoop-4 : Les galons de Rosalie (publié par Davidhandballeur le 18-06-2019)


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Le scoop - 1

[https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,scoop,19390.html] (par StormX 2014)

Elena, jeune femme de vingt-cinq ans, venait de terminer son cursus universitaire à Fribourg par un brillant master et avait décidé de se lancer dans le journalisme. D'origine napolitaine, Elena avait le teint méditerranéen et possédait pour atouts physiques un joli visage rond, de magnifiques yeux noirs pétillants de jeunesse et de vie et une bouche aux lèvres fines et pulpeuses. Ses cheveux noir de jais tombaient en une longue cascade lisse derrière ses épaules. De taille moyenne et de faible corpulence, la jeune femme possédait de longues jambes fuselées et une poitrine plus que respectable de taille 85C.



En supplément de tous ces avantages physiques, Elena était intelligente sans pour autant passer pour la première de la classe et était douée d'une perspicacité désarmante et d'une détermination à toute épreuve. En cette magnifique période estivale, la belle avait déjà déposé un sacrément bon curriculum vitae vantant son parcours formatif et ses capacités langagières en français, allemand, anglais et italien au bureau du 20 Minutes, l'un des journaux locaux et attendait impatiemment le coup de fil du patron.



La chance finit par lui sourire un après-midi du mois d'août, alors qu'elle était contrainte à rester cloîtrée chez elle en raison d'une averse estivale. Le téléphone sonna et Elena se précipita pour y répondre.
- Allô ?
- Bonjour, Pierre Roland, du journal 20 Minutes. Suis-je bien chez madame Elena Ferrari ?
- C'est bien moi, oui.
- Parfait. Je viens de lire votre CV à l'instant et j'aimerais convenir avec vous d'une date propice à un entretien d'embauche. Quelles sont vos disponibilités ?
- Je suis libre toute la semaine.
- Pourriez-vous passer au bureau cet après-midi pour 16h30 ?
- Bien sûr, monsieur.
- Très bien. Je note notre rendez-vous dans mon agenda. Passez un bon après-midi.
- Merci. Vous aussi.



Elena raccrocha le récepteur et poussa un immense cri de joie. Son rêve de devenir journaliste et de courir le monde à la recherche des vérités les plus impensables allait peut-être bientôt se réaliser ! La jeune femme regarda l'horloge de son salon. 14h30. Elle avait deux heures pour se préparer et arriver à l'heure convenue pour son entretien d'embauche. Elena courut vers sa chambre pour changer de tenue.



En sous-vêtements devant son armoire à glace, Elena regardait pensivement son dressing. Elle souhaitait miser sur l'aspect attractif de sa tenue sans pour autant paraître vulgaire. Après quelques minutes de réflexion, la jeune femme retira son soutien-gorge et le déposa sur son bureau. Elle sortit ensuite une robe noire sobre de son armoire et l'enfila. Elena ouvrit ensuite son armoire à chaussures et choisit de compléter sa tenue par des chaussures à talons assorties à sa robe.



Une fois sa tenue achevée, Elena se regarda dans le miroir. Ce qu'elle y vit la ravit : une magnifique jeune femme dans une jolie robe légèrement moulante marquant à la perfection ses seins et ses hanches aux belles et longues jambes perchées sur des chaussures à talons de dix centimètres. Séduite par la tenue qu'elle avait choisie, Elena gagna sa salle de bain pour se maquiller. Elle se mit un peu de fard à joue et souligna ses yeux d'un très fin trait d'eye-liner. Satisfaite de son maquillage, la jeune femme s'attaqua à sa coiffure. Après quelques coups de brosse, ses longs cheveux noirs devinrent lisses et soyeux.



Fière de sa mise en beauté, Elena sortit de la salle de bain et se saisit d'une pochette argentée dans laquelle elle glissa son téléphone et son portefeuille puis, fin prête, la jeune femme se rendit d'un pas allègre à son rendez-vous avec Pierre Roland. À son arrivée dans les locaux du quotidien 20 Minutes, Elena s'annonça à la réceptionniste. Celle-ci décrocha son récepteur.
- Votre rendez-vous de 16h30 est arrivé, annonça-t-elle dans le combiné.

La réceptionniste raccrocha ensuite le récepteur et fit signe à Elena de monter en lui disant « Deuxième étage, tout au fond du couloir.». La jeune femme la remercia poliment et se dirigea vers l'ascenseur. Lorsque l'ascenseur l'eut amenée au second niveau, Elena se mit à marcher nerveusement vers le bureau de Pierre Roland. Une fois devant sa porte, elle toqua deux fois et une voix grave lui répondit d'entrer. En entrant dans la pièce, la jeune femme eut la surprise de trouver en face d'elle un bel homme charmant d'une quarantaine d'années aux cheveux blonds très courts et aux yeux gris candides. En effet, en entendant pour la première fois le nom de Pierre Roland, Elena s'était attendue à rencontrer un homme d'au moins soixante ans.
- Bonjour, mademoiselle. Prenez place, je vous prie.
Elena obtempéra.
- J'ai examiné votre CV : impressionnant ! Vous avez un certificat C1 en allemand et je constate que vous avez également son équivalent en anglais. Eh bien, je dois dire que vous ferez une excellente journaliste. Voici votre contrat. Si vous voulez discuter d'une clause ou l'autre, nous le ferons.



Elena lit son contrat avec attention. Satisfaite par les propositions alléchantes du document, la jeune femme y apposa sa signature.

- Magnifique ! Vous commencerez dès demain huit heures ! Et plutôt fort, d'ailleurs !
- Qu'entendez-vous par « fort » ?
- Vous partirez aux États-Unis en mission pour le journal. Je suppose que vous connaissez John Stone.
- Le multi-milliardaire ? Bien sûr !
- Il se trouve que nous le suspectons d'avoir fait fortune dans les trafics de cocaïne et autres substances illicites. Malheureusement, nous n'avons jamais réussi à rassembler suffisamment de preuves. C'est là que vous interviendrez.
- Moi ? Mais je n'ai encore jamais fait de déplacement sur le terrain...
- Vous êtes tout à fait apte pour cette mission, ne vous inquiétez pas. Vos connaissances linguistiques sont exactement ce qu'il nous faut.
- Très bien. Je vais donc tâcher de mener cette mission à bien. Merci beaucoup, Monsieur Roland.
- Appelez-moi Pierre.
- Très bien, Pierre.



Pierre Roland serra la main de sa nouvelle employée en lui transmettant les modalités de son départ vers le Nouveau-Monde.



Le lendemain, Elena se rendit à l'aéroport de Genève pour huit heures afin de prendre son vol pour Los Angeles à dix heures. D'un pas las, la jeune femme se dirigea vers le guichet de sa compagnie afin de faire son check-in. Une fois cela fait, Elena décida d'aller faire un tour dans les boutiques de l'aéroport afin de faire passer le temps. Lorsque le speaker annonça l'embarquement pour son vol, Elena poussa un soupir de soulagement.

« Enfin, je vais pouvoir dormir.», pensa-t-elle.
En effet, entre la joie d'avoir été embauchée et l'excitation que lui procurait sa première mission, la jeune femme n'avait que très peu dormi la veille et comptait sur les quelques heures que durait le trajet jusqu'à Los Angeles pour se reposer. Elena se dirigea vers la porte de son avion puis, après avoir donné sa carte d'identité au contrôleur, monta à bord de l'appareil. Une fois assise à la place qui lui avait été assignée, la jeune femme tomba dans un profond sommeil.



Lorsqu'elle se réveilla, Elena regarda sa montre. Il ne restait qu'une heure avant l'atterrissage de l'avion à l'aéroport de Los Angeles. En attendant, Elena se mit à lire un magazine qu'elle avait emporté avec elle pour le voyage. À son arrivée à Los Angeles, Elena, bien reposée, décida de se promener un peu dans la ville en attendant le soir. En effet, durant la nuit de la veille, la jeune femme avait élaboré une stratégie pour tenter de prouver ce que soupçonnait son employeur. Sachant que Los Angeles regorgeait de gangs, Elena pensait que ceux-ci feraient de bons consommateurs ou dealers de drogues et que, par conséquent, ils pourraient lui donner quelques informations utiles pour l'aider à avancer dans sa quête.



Après avoir passé la matinée et l'après-midi à courir les boutiques, Elena rentra à son hôtel déposer ses achats et sortit. La jeune femme choisit de s'éloigner du centre-ville afin de gagner des rues moins fréquentées car elle savait que les gangs se trouvaient le plus souvent loin des lieux touristiques de la ville. Elena savait que sa stratégie était risquée mais elle ne pouvait faire autrement. Après avoir marché pendant près d'une heure, la jeune femme se retrouva dans un quartier pauvre aux rues peu éclairées. Elle continua à marcher lentement, à l'affût de la moindre arrivée.

Après dix minutes supplémentaires de marche, la théorie d'Elena se confirma. Alors qu'elle s'apprêtait à s'engager dans une autre ruelle, cinq hommes surgirent de l'obscurité et l'encerclèrent. Le chef, un homme noir grand et musclé s'adressa à elle.

- Qu'est-ce que tu fous sur notre territoire, sale petite bourgeoise de merde ?

Elena lui répondit le plus honnêtement et le plus poliment possible dans son anglais impeccable.

- Je ne suis pas ce que vous croyez, monsieur. Je suis journaliste et je fais une enquête sur un trafic de drogue à L.A.
- Une journaliste ? Quelle différence ? Tu es toujours trop bien sapée pour appartenir à notre milieu. Et puis, pour ton enquête, si tu es vraiment une journaliste, laisse tomber. Aucun journal n'a jamais pu trouver quoi que ce soit sur ce trafic. Tu bosses pour quel journal ?
- Je travaille pour le 20 Minutes. C'est un journal suisse. Et j'espérais que vous pourriez me donner quelques informations comme, par exemple, vos fournisseurs ou vos clients.
- Tu viens de Suisse ? Pas vraiment mieux que les bourgeois d'ici mais, comme tu es venue de loin, on veut bien te cracher ce qu'on sait. À une condition : que tu nous laisses tirer un coup avec toi.
- Quoi ? Mais je ne suis pas une pute !
Tu n'as pas vraiment le choix : soit tu nous laisses faire gentiment et on te dit tout ce qu'on sait, soit tu persistes à refuser et on te baise quand même sans rien te dire. Qu'est-ce que tu choisis ?



Elena jeta un regard désemparé autour d'elle. Les cinq hommes qui l'encerclaient étaient beaucoup trop forts pour elle et lui coupaient toute retraite. Quand bien même elle aurait tenté une ruse, la route était trop longue et comptait trop peu de cachettes pour espérer semer les cinq hommes. Ce fut donc avec honte que la jeune femme s'entendit dire :

- Si j'accepte, est-ce que vous m'aiderez vraiment dans mon enquête ?
- Bien sûr, poupée ! Pour une jolie femme comme toi, on accepte.
- D'accord, merci. Et pas de trucs uro ou scato ?
- Non, on a horreur de cela chez nous !
- D'accord...
Ben ! Qu'est-ce que t'attends ?! Désape-toi !



Rouge de honte, Elena retira d'abord sa veste puis son T-shirt avant d'ôter son pantalon. En sous-vêtements devant les cinq hommes, la jeune femme se dépêcha de terminer son déshabillage. En la voyant dans son plus simple appareil, le chef émit un sifflement admiratif.



Regardez-moi ça, les gars ! Splendide ! Laissez-la moi, elle n'aura sûrement plus de place pour vous après mon passage.



Sur ces mots, le chef du gang retira son T-shirt puis tomba son pantalon et son boxer, exhibant au regard d'Elena une verge d'une longueur et d'une épaisseur que la jeune femme n'avait jamais pu imaginer chez un homme. Malgré la situation dans laquelle elle se trouvait et la honte qu'elle éprouvait, Elena sentit son sexe s'humidifier à la vue de cet homme à la verge dressée en son honneur.



Le chef du gang s'approcha d'Elena et, d'un signe du doigt, lui ordonna de s'agenouiller devant lui. Sentant instinctivement ce que son partenaire impromptu désirait, la jeune journaliste plaqua doucement le sexe de l'homme contre le ventre de celui-ci et lui lécha délicatement les bourses en les gobant de temps à autre, obtenant pour toute appréciation de son partenaire un ronronnement d'aise. Elena se mit ensuite à lécher le sexe du chef sur toute sa longueur avant de déposer ses lèvres sur le gland gonflé d'excitation et de les faire coulisser le long de cette impressionnante verge.



Autour d'eux, les quatre autres hommes avaient sorti leurs phallus et se masturbaient sans gêne à la vue du spectacle que leur offrait Elena.



La belle journaliste poursuivit ses va-et-vient sur la verge du chef sans se préoccuper d'eux jusqu'à ce que celui-ci repousse sa tête et lui ordonne d'appuyer ses mains contre la façade d'un immeuble et de se cambrer au maximum. La journaliste obtempéra et le chef se positionna derrière elle. Il posa une main sur le postérieur de la jeune femme, de l'autre il fit pénétrer son sexe dans celui d'Elena qui émit un soupir de plaisir.



Le chef se saisit des hanches de la jeune femme et ondula le bassin d'avant en arrière avec force, arrachant à Elena des gémissements de plaisir. L'homme finit par se retirer -trop vite au goût d'Elena-.



- Maintenant, couche-toi par terre et lève tes jambes, lui ordonna-t-il.

Sans hésiter, la journaliste prit la position demandée et le chef du gang enfonça sa verge dans son postérieur, arrachant un nouveau gémissement à Elena. De douleur, cette fois.



Hum... On ne t'a jamais prise par là à ce que je vois. Normalement, je n'en ai rien à foutre que des petites bourgeoises hurlent de douleur quand je leur défonce le cul mais, comme tu as été cool, je vais y aller doucement.



Joignant le geste à la parole, le chef se retira et attendit que la douleur d'Elena s'estompe. Il s'agenouilla ensuite en face d'elle et lui lubrifia l'anus de sa salive tout en lui massant le clitoris avec deux de ses doigts. L'homme pénétra à nouveau le fessier de la journaliste qui, cette fois, émit un ronronnement de plaisir. Satisfait de la réaction de la jeune femme, le chef accéléra son mouvement jusqu'à sentir la jouissance venir et éjaculer sur les seins d'Elena.



- Tu veux que mes potes te montrent ce qu'ils savent faire, poupée ?

La jeune femme secoua la tête.

- Non, dit-elle en portant la semence du chef à sa bouche, je veux juste les finir moi-même pour qu'ils me remplissent la bouche.

Satisfaits, les quatre autres hommes rejoignirent Elena et lui coincèrent habilement leurs sexes entre les seins. La jeune femme comprima ses seins et les quatre hommes se masturbèrent allègrement sur la poitrine généreuse de la journaliste.



Pris de plaisir, les quatre hommes retirèrent leurs verges d'entre les seins d'Elena et éjaculèrent en même dans la bouche de la jeune femme qui avala leur sperme sans hésiter.



Alors qu'Elena reprenait ses esprits, le chef s'adressa à elle :

- Merci pour ce bon coup, poupée ! Maintenant, comme nous sommes des hommes de parole, nous allons répondre sans te mentir à toutes tes questions. Tu pourras même nous envoyer chercher les informations dont tu as besoin si tu veux. Tu peux m'appeler Jimmy. Et eux, ce sont Fred, Lance, Bob et Charlie.



Elena hocha la tête et, après s'être rhabillée, posa ses premières questions de journaliste.

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Le scoop - 2

[https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,scoop,19986.html] (par StormX 2014)

Après avoir été raccompagnée à son hôtel par ses nouveaux "amis", Elena s'endormit paisiblement. La jeune journaliste avait convenu avec les cinq hommes qu'ils feraient une petite enquête pour elle durant la nuit et qu'ils lui rapporteraient les informations récoltées le lendemain.



À son réveil, la jeune femme se rhabilla et descendit à la cafétéria de son hôtel pour prendre son petit-déjeuner. Ses contacts ne l'attendant que dans une heure à leur planque, Elena décida d'aller se promener dans la ville en attendant l'heure de son rendez-vous.



Après avoir pris son temps dans les plus grandes boutiques de vêtements et avoir acheté quelques robes de haute couture, la jeune journaliste prit la direction de la planque de ses informateurs.



À son arrivée, Elena eut la surprise de constater que Jimmy, Fred, Bob, Lance et Charlie n'étaient pas arrivés seuls au rendez-vous. Les cinq hommes étaient accompagnés d'une jolie jeune femme blonde de l'âge d'Elena. En la voyant, la jeune journaliste sourit.



- Vous me remplacez déjà, mes chéris ?
- Non... Ce... Ce n'est pas ce que tu crois...
- Inutile de vous gêner : je la connais et je dois dire que vous avez du goût en matière de femmes.



Les cinq hommes rougirent au compliment d'Elena tandis que celle-ci étreignait amicalement la jeune femme blonde.



- Hello, Rosalie. Comment tu vas ? Et qu'est-ce que tu fais ici ? Rassure-moi, tu ne comptes pas jouer les détectives avec l'aide de ton diabolique patron ? Si ?
- Je n'ai pas joué les détectives, répondit Rosalie d'un ton faussement innocent.

Elena éclata de rire. Puis, se rappelant les objectifs de sa mission, elle demanda à son amie la raison de sa présence.

- Eh bien, répondit Rosalie, mon patron est quelqu'un de très... Opportuniste. Il ne rate jamais une occasion de se faire de l'argent. Et il se trouve que défendre John Stone rapporte beaucoup.
- Tu es l'avocate du plus grand trafiquant de drogues des Etats-Unis ?!
- Oui, mais je pourrai facilement changer de camp si l'Etat de Californie me paie davantage pour l'aider à le coincer.
- Attention ! C'est dangereux de dire ça à une journaliste ! Je pourrais anéantir la réputation du grand Georges Pittet dans l'un de mes articles.
- Maître Pittet s'en est sorti de pire que cela, crois-moi. Par contre, si tu veux raconter quelque chose dans ton journal, raconte comment j'ai réussi à le séduire au point de le pousser à plonger son ex-femme dans la prostitution.
- Quoi ?! Son ex-femme ?! Charlotte Pittet ?
- Elle-même. Ils ont divorcé à cause de moi. Ou grâce à moi. Ça dépend pour qui.
- Comment cela ?
- Parce qu'il se trouve que mon patron est avec notre chère et tendre petite Emmanuelle.
- Whaou !!! Tu me renverses littéralement, Rosalie. Mais pourquoi ne t'es-tu pas fait ton patron ? Tu me disais que tu l'avais séduit.
- Parce que j'ai rencontré un beau jeune homme. Il travaille aussi pour Georges. Ses activités sont plutôt... Secrètes. Nous sommes ensemble depuis quelques mois. D'ailleurs, je me suis mise à la rédaction d'un livre que j'ai baptisé « Fantasme professionnel». J'y raconte mes premiers jours dans mon cabinet d'avocats et comment j'ai séduit mon patron pour avoir des parts de la société et le pousser à virer sa femme. Tu me feras de la pub dans ton journal.



Les deux filles rirent de bon coeur sur les derniers mots de l'avocate. Puis, sortant les deux jeunes femmes de leur conversation peu catholique, Jimmy se racla la gorge.

- Euh... Votre conversation est tout à fait excitante et mes gars et moi aimerions bien vous baiser, mes jolies poupées, avant de vous exposer notre stratégie. Histoire de se détendre un peu avant le travail...



Elena fixa Jimmy d'un oeil réprobateur. Elle craignait que les manières peu convenantes de Jimmy ne mettent Rosalie mal à l'aise mais la journaliste ignorait que son amie, grâce aux expériences vécues durant ses premiers jours de travail, avait acquis une confiance en elle à toute épreuve ainsi qu'une cinglante répartie.



- Offre très tentante, mon ami, répondit Rosalie, mais je compte rester fidèle à l'homme que j'aime.



Habitué à ce genre de scrupules de la part des femmes, Jimmy était loin d'avoir été découragé par les propos de l'avocate.



-Allez, ma jolie, on n'est pas méchants et tu ne seras pas seule. Elena participera aussi.



Rosalie allait répliquer quand Elena posa une main sur son épaule. La journaliste attira son amie à l'écart et lui chuchota quelque chose à l'oreille. Rosalie hocha la tête et les deux femmes rejoignirent les cinq hommes.



- Voilà, les gars. Je l'ai convaincue de le faire mais elle ne le fera pas avec vous. Elle le fera avec moi. Moi, vous pourrez me faire ce que vous voulez.



Jimmy et ses compagnons sourirent de satisfaction tandis que les deux jeunes femmes ôtaient déjà leurs vêtements. Rosalie se coucha à plat dos sur le sol tandis qu'Elena s'agenouillait au-dessus d'elle. La journaliste fit glisser ses doigts le long de la fente trempée de l'avocate qui, tout en lui faisant un cunnilingus, se remémorait avec un certain plaisir à celui qu'elle avait prodigué à son amie Emmanuelle quelques mois plus tôt dans les toilettes de la gare de Fribourg. Rosalie et Elena prenaient toutes deux goût aux caresses de l'autre, leurs gémissements servant d'indice plus que probant.



Jimmy et ses amis regardaient la scène d'un oeil lubrique tout en se déshabillant. Les cinq hommes laissèrent Rosalie et Elena à leurs divagations pendant quelques instants puis, une fois nus, se placèrent en cercle autour des deux jeunes femmes.



Jimmy força l'anus d'Elena qui émit un gémissement de plaisir tandis que les quatre autres hommes s'amusaient à frapper le visage et les seins de la journaliste de leurs sexes rigides.



Après quelques minutes, Jimmy se retira du fessier d'Elena et céda sa place à Bob. Jimmy se positionna ensuite devant Elena et lui présenta sa verge encore raide d'excitation à quelques centimètres de ses lèvres.

- Finis-moi avec ta bouche, poupée, lui ordonna-t-il.

La journaliste goba sans broncher le sexe de son partenaire et fit coulisser ses lèvres sur toute sa longueur. Tandis que la jeune journaliste s'appliquait à sucer Jimmy, Bob, Lance, Fred et Charlie se relayaient entre les fesses de celle-ci, lui arrachant des cris de plaisir étouffés par la verge qu'elle avait dans la bouche.



Tandis que son amie se faisait prendre de toutes parts par les cinq hommes, Rosalie continuait de lécher la fente liquéfiée d'Elena tout en y glissant de temps à autre un doigt expert.



Soudain, Jimmy se retira de la bouche d'Elena.

- Je vais jouir ! Couche-toi par terre à côté de ta pote !

Elena obéit à l'injonction et, devinant instinctivement ce que leurs partenaires désiraient, les deux jeunes femmes ouvrirent la bouche en tirant la langue et soupesèrent leurs poitrines pour les inviter à les arroser de leur semence.



Jimmy et ses compagnons s'accroupirent autour de Rosalie et Elena en formant un cercle.



Les cinq hommes se masturbèrent quelques secondes durant puis arrosèrent de leur liquide séminal la bouche, le visage et les seins des deux jeunes femmes.



Épuisées par leurs efforts, Rosalie et Elena s'enlacèrent.



Elles échangèrent un long baiser sensuel sur les lèvres.



Ensuite, elles s'endormirent dans les bras l'une de l'autre.

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Le scoop - 3 : Rosalie, avocate stagiaire

[https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,fantasme-professionnel,15284.html]

Rosalie Frei, jolie jeune femme blonde de 25 ans, venait de terminer ses études d'avocate par un brillant master. Le précieux sésame en poche, la jeune femme cherchait du travail mais, malheureusement, au vu des difficultés pour les jeunes générations de trouver un emploi, elle n'avait guère eu de résultats dans ses recherches.



Mais un jour, la chance finit par lui sourire. En cet après-midi du 25 août, Rosalie reçut un appel d'un cabinet d'avocats dans lequel elle avait déposé son CV deux mois plus tôt.



« Bonjour. Georges Pittet, du cabinet Pittet et Associés. Suis-je bien chez Mademoiselle Rosalie Frei?
- Oui, Monsieur, c'est bien moi.
- Très bien. Nous avons étudié votre candidature et pensons que vous pourriez avoir votre place chez nous. Cela vous va pour 16 h dans mon bureau ?
- Oui, bien sûr.
- Très bien. À plus tard.»



Rosalie raccrocha, toute contente. Elle avait enfin trouvé du travail. La jeune femme décida de s'habiller chic et sexy pour son entretien avec son futur employeur. Rosalie fouilla dans son armoire afin de trouver quelque chose de convenable à se mettre. Après quelques hésitations, son choix se porta sur une robe rouge sobre et des chaussures à talons. Après avoir revêtu l'ensemble, la jeune femme regarda son image dans le miroir. Ce que celui-ci lui montra lui plut beaucoup. Sa longue robe rouge soulignait à merveille ses hanches sculptées et sa jolie poitrine. Ses chaussures à talons hauts s'accordaient à merveille avec sa robe.



Rosalie se regarda une dernière fois dans le miroir et, jugeant cet ensemble sexy et glamour, décida de se rendre ainsi vêtue à son entretien d'embauche car elle savait que, par définition, les hommes aiment avoir des jolies femmes en face d'eux ; elle voulait mettre toutes les chances de son côté.



La jeune femme sortit de chez elle environ un quart d'heure avant son rendez-vous. Habitant la ville, Rosalie pouvait se permettre de partir assez tard pour arriver à l'heure à ses rendez-vous. Malgré cela, elle marcha d'un pas rapide, pressé, tout heureuse et effrayée à la fois par cette entrevue qui pouvait décider de son avenir professionnel.



Rosalie marcha élégamment le long du boulevard de Pérolles puis, arrivée à la gare, elle décida de gagner du temps en passant par la galerie de Fribourg Centre pour rejoindre la rue de Romont. Elle poursuivit sa route le long de la rue en regardant le numéro des maisons. Peu avant d'arriver à la hauteur du McDonald's, la jeune femme trouva ce qu'elle cherchait. Le numéro 14 de la rue de Romont. La plaque de cuivre apposée sur le mur de molasse, pierre caractéristique de Fribourg, le confirmait :

« GEORGES PITTET ET ASSOCIÉS - AVOCATS FISCALISTES - 1er ÉTAGE »



La jeune femme poussa la porte de l'immeuble et monta au premier niveau. Sur sa gauche, elle vit une porte sur laquelle était fixée une plaque identique à celle du mur donnant sur la rue ; elle sonna et entra. La réceptionniste lui demanda si elle avait rendez-vous avec le patron ; Rosalie lui ayant expliqué brièvement les raisons de sa venue, elle lui désigna une porte de bureau sur sa gauche. La jeune avocate s'y rendit et frappa ; une voix grave lui répondit d'entrer. Un bel homme dans la cinquantaine se leva de son fauteuil pour lui serrer chaleureusement la main.
- Georges Pittet.
- Rosalie Frei.
- Prenez place, Mademoiselle. Et voici mon épouse Charlotte, lui dit-il en désignant une femme assise à sa gauche.



Les deux femmes se serrèrent la main. Durant leur contact, Rosalie ne put s'empêcher de comparer les époux : Georges semblait en pleine forme, et seules de petites pattes d'oie ainsi que quelques fils d'argent sur ses tempes trahissaient son âge ; quant à Charlotte, elle semblait fatiguée.



Rosalie ne poursuivit pas plus loin sa comparaison car Georges avait repris la parole.
« Comme vous avez brillamment été reçue à votre examen et que vous avez choisi le Droit fiscal comme spécialité, vous pourriez intégrer notre cabinet en qualité d'avocate stagiaire. Bien entendu, vous ne plaiderez pas vous-même, du moins dans un premier temps. J'ai besoin d'une assistante pour préparer mes plaidoiries. Vous pourrez vous référer utilement au Code Général des Impôts et aux divers précis de fiscalité pour les cas les plus simples ; par contre, pour les dossiers complexes, il vous faudra impérativement consulter les arrêts de jurisprudence qui pourraient nous être favorables. J'ai rédigé un contrat pour un emploi à durée déterminée d'un an. Si vous nous donnez entière satisfaction pendant cette période probatoire, vous serez embauchée comme salariée et vous pourrez plaider. Et comme l'un de mes associés doit prendre sa retraite d'ici deux ou trois ans, vous pourriez lui racheter les parts qu'il détient et devenir ainsi associée du cabinet. Lisez ce contrat attentivement, Mademoiselle Frei. Si vous voulez discuter d'un point ou d'un autre, nous le ferons volontiers.»



La jeune femme lut les termes du contrat et, satisfaite, accepta l'offre et apposa sa signature. Elle n'avait toutefois pas remarqué le ton sur lequel son futur employeur avait prononcé « entière satisfaction » en insistant bien sur le premier terme...



« Excellent. Vous commencerez demain à 8 heures.»



Rosalie serra la main de ses nouveaux employeurs et rentra chez elle afin de savourer tranquillement son bonheur. Elle se fit couler un bain bien chaud et, après s'être déshabillée, s'y plongea avec délice et, fermant les yeux, elle repassa dans sa tête tous les heureux événements de la journée. Elle se revit marcher le long du boulevard de Pérolles, puis dans la galerie de Fribourg Centre pour finir dans la rue de Romont et monter les escaliers qui menaient à son nouveau travail. La jeune femme revit ensuite la secrétaire lui montrer le bureau, puis sa rencontre avec Georges auquel elle pensa longuement.



Elle s'imaginait déjà être son assistante et attendait impatiemment son premier jour de travail, et surtout de revoir Georges, cet homme charmant, et même désirable.



Ah, revoir Georges...



Savourant le souvenir de son embauche, Rosalie garda les yeux fermés, laissant ses mains se balader nonchalamment sur son corps. L'une d'elles glissa jusqu'à son bas-ventre dont elle caressa doucement la toison noire tandis que l'autre remontait le long de ses hanches jusqu'à son sein gauche, qu'elle malaxa avec douceur.



L'image de Georges s'imposait à son esprit ; la jeune avocate se mit à se masturber de plus en plus frénétiquement tout en se caressant les seins. Des images de plus en plus érotiques et violentes défilaient dans son imagination : se faire tripoter par son patron puis se faire lécher la chatte sous le regard choqué de Charlotte, puis humilier la pauvre épouse cocue.



Plus les images se faisaient violentes, plus la jeune femme accélérait ses mouvements sur son sexe et sa poitrine.



Après quelques minutes de caresses, Rosalie finit par jouir dans l'eau de son bain.



Reprenant contact avec la réalité, elle fut abasourdie par le fantasme qu'elle venait d'avoir. Elle se rhabilla et décida de regarder un épisode de «Friends » pour se changer les idées.



Vers 22 h, la jeune femme alla se coucher mais, malheureusement pour elle, « Friends » n'avait pas réussi à lui faire totalement oublier les images impudiques qui l'avaient envahie ; toute la nuit, elle en rêva.



Après cette nuit étrange, Rosalie se leva, encore perturbée par ses rêves lubriques. Après une douche revigorante, elle prit son petit déjeuner et partit au travail.



À son arrivée, son employeur lui remit une pile de dossiers.
« Installez-vous dans le bureau qui jouxte le mien, juste à votre gauche en sortant. Pour vos débuts au sein du cabinet, ce sera plus commode si vous avez des renseignements à me demander.
- Bien, Monsieur.
- Vous allez commencer par quelque chose de simple : il s'agit de compiler les procès verbaux d'audience qu'ils renferment pour en faire la synthèse. Vous pourrez prendre une pause vers 10 heures. D'accord, Rosalie ?
- Aucun problème, Monsieur ; je commence immédiatement.»



Dans son bureau, Rosalie s'empara du premier dossier et commença la rédaction de la synthèse. Lorsque la pause arriva, elle avait déjà traité une demi-douzaine de dossiers. Estimant qu'elle avait bien avancé, la jeune femme décida de prendre sa pause.



Elle voulut d'abord prendre un café, mais une envie - ou plutôt un besoin plus pressant - la tenaillait. Les fantasmes qui l'avaient envahie la veille ne la quittaient pas ; bien au contraire, le fait de savoir son employeur si proche ne faisait qu'accroître son trouble, qui tournait à l'obsession.



Sa main se porta lentement sur sa robe, qu'elle jusqu'à sa taille, puis elle posa sa main sur sa petite culotte. À travers le fin tissu du sous-vêtement dégoulinant de son jus intime, de légers mouvements circulaires sur son clitoris érigé la firent soupirer de plaisir.



Elle écarta sa culotte pour faire glisser son index le long de sa fente vulvaire dont les lèvres s'écartaient sous son habile caresse. Encore quelques secondes, et l'orgasme qu'elle sentait monter du plus profond de ses entrailles allait l'emporter ; elle haletait...



Tout à coup, on frappa à la porte. Sans attendre une réponse de Rosalie, elle s'ouvrit pour livrer passage à Georges. La jeune fille tenta vainement de remettre sa robe en place, mais il était déjà trop tard : son patron s'était avancé jusqu'à son bureau.



Tétanisée par le plaisir tout proche autant que par la crainte qu'elle éprouvait, elle ne pouvait prononcer la moindre parole. Elle sentit son visage s'empourprer. Elle eut cependant cette pensée rassurante : « Heureusement que le plan de travail l'empêche de voir ce qui se passe dessous... »
- Eh bien, Rosalie, qu'avez-vous ? Un malaise ?
- Euh, je... je...
- Hum, je crois savoir ce qui a provoqué votre malaise... Quel est ce parfum si agréable ?



Bien entendu, Georges - ce séducteur impénitent qui ne comptait plus le nombre de ses conquêtes féminines - avait reconnu la puissante odeur de cyprine qui s'exhalait de la vulve de son assistante et qui saturait l'atmosphère de son bureau. Il n'eut que quelques pas à faire pour le contourner ; il se planta à côté de Rosaline.
- Je ne m'étais pas trompé !



Son regard parcourut posément les jambes dévoilées de son assistante, remonta lentement le long des cuisses encore écartées et arriva à leur jonction : l'auréole sombre qui s'étalait sur la petite culotte confirma ce qu'il avait déduit. Pire, une petite flaque de liquide s'accroissait sur le cuir du fauteuil, alimentée par les gouttes de cyprine qui continuaient de s'écouler de manière obscène le long des cuisses de Rosalie.



Brusquement interrompue dans sa masturbation alors qu'elle était sur le point de jouir, Rosalie haletait. Ses yeux brillants d'excitation ne purent soutenir le regard inquisiteur de son patron ; elle baissa le nez, honteuse. C'est sur un ton sarcastique qu'il s'adressa à elle :
- Pourquoi vous interrompez-vous ? Mais continuez donc ; ne vous gênez pas pour moi !



- Continuer quoi, Monsieur ? répondit la jeune assistante, interloquée.



Elle n'arrivait pas à comprendre ce qu'il lui demandait, ou peut-être le comprenait-elle trop bien... Il lui fallut quelques secondes avant de réaliser l'incongruité de son exigence. « Il n'oserait quand même pas me demander de... » Ses pensées furent interrompues par la réponse abrupte et sans détour de l'avocat :
- Vous n'êtes qu'une petite gourde, Mademoiselle Frei : votre séance de masturbation, bien entendu. Et je vous somme d'aller jusqu'au bout !
- Mais...



Le regard glacial qu'il lui adressa coupa court à sa protestation naissante ; elle hésita encore pendant quelques secondes puis, vaincue, elle laissa sa main droite redescendre lentement sur ses cuisses. Son index se plaqua sur le sillon vulvaire et entreprit de douces pressions. Comme son excitation n'était pas retombée, l'extrémité de son doigt s'inséra facilement dans l'entrée de son vagin pour y découvrir un cloaque brûlant et visqueux.



- Reculez votre fauteuil !



L'ordre venait de claquer comme un coup de fouet. Sous l'injonction, Rosalie se raidit ; cessant ses attouchements, elle leva un regard interrogateur vers son employeur.
- Je veux voir comment une petite vicieuse telle que vous s'astique la moule. Écartez bien vos cuisses ; relevez bien vos jambes et laissez-les reposer sur les accoudoirs.



Sous le coup de l'émotion, le visage de la jeune avocate stagiaire s'empourpra encore plus, mais elle obéit. Ayant repoussé son fauteuil de quelques dizaines de centimètres, elle s'installa dans la position demandée, la robe troussée jusqu'à la taille, les cuisses largement écartées, s'exposant de manière obscène au regard lubrique du quinquagénaire.



- Eh bien, poursuivez !



Honteuse, Rosalie reprit ses caresses et y insérait un gode. Sa soumission augmentait son excitation ; elle éprouvait un plaisir pervers à exhiber sa vulve qui se liquéfiait encore plus en s'ouvrant pour en dévoiler ses moindres détails à Maître Pittet.



Celui-ci ne restait pas indifférent à ce spectacle d'une rare obscénité ; sa verge avait acquis une rigidité exceptionnelle et déformait le pantalon de son costume impeccablement taillé.



La stagiaire, perdue dans le désir qui l'avait envahie, sentit une vague de plaisir prendre naissance dans son ventre ; fermant les yeux pour mieux se concentrer, elle avait perdu toute notion de l'endroit où elle se trouvait, trop accaparée par les caresses qu'elle prodiguait à son clitoris tout en faisant coulisser son godemichet dans le fourreau de son vagin.



À un moment, entre ses paupières mi-closes, elle aperçut une verge noueuse dont le gland violacé pointait vers elle.



- Branlez-moi, Mademoiselle Frei !



Rosalie était décidément trop excitée pour refuser une telle proposition ; délaissant son vagin, elle tendit une main encore engluée de ses sécrétions intimes en direction de la queue qui pointait vers elle et se mit à faire coulisser ses doigts lubrifiés de cyprine le long de ce membre frémissant. La branleuse continuait de s'astiquer le clitoris tout en fixant d'un regard hagard le membre puissant de son employeur. Quelques gouttes de liquide clair commençaient à s'écouler du gland volumineux qui prenait encore de l'ampleur sous ses attouchements. Georges ne pouvait plus résister longtemps à la montée du plaisir.



- Sur ta chatte, petite salope !



Sans se formaliser du tutoiement ni de l'insulte, Rosalie inclina le membre engorgé en direction de sa vulve, mais pas assez rapidement pour éviter qu'une première giclée ne s'écrase sur son visage, puis une deuxième sur sa robe à la hauteur de ses seins.



Elle malmena son clitoris en l'écrasant et en le pinçant jusqu'à ce que le vague de plaisir explose en elle tandis que la verge de son patron continuait à déverser des salves de sperme sur sa vulve, la noyant sous une épaisse couche blanchâtre. Haletant, Georges Pittet contemplait ce tableau d'un érotisme extrême. Rosalie, quant à elle, constatait l'ampleur des dégâts.



- Maître, m'autorisez-vous à faire un peu de toilette ?
- Bien entendu, Mademoiselle.

Mais une idée perverse venait de germer dans son esprit. Avant qu'elle n'ait pu se relever, Rosalie entendit son patron appeler :
- Charlotte, venez donc ici, ma chère...



La porte de communication avec le bureau attenant s'ouvrit, et l'épouse l'avocat pénétra dans ce lieu de débauche. Interloquée, elle s'arrêta après avoir fait quelques pas, prenant conscience de la dépravation qui s'offrait à ses yeux : l'assistante de son mari, affalée dans son fauteuil, la robe retroussée jusqu'à la taille, maculée d'une traînée de foutre sur le visage, d'une autre sur sa robe, et les cuisses ouvertes dans une posture obscène qui dévoilait son entrecuisse recouvert de sperme. Il y en avait tellement qu'il se déversait sur le cuir fauve du fauteuil, et que même un filet opalescent de semence commençait à s'écouler en direction du parquet.



La verge encore congestionnée de son mari s'érigeait hors de sa braguette.
- Approchez - vous, Charlotte. Ne pensez-vous pas que notre nouvelle employée présente d'excellentes dispositions pour nous seconder ?
- Certes, mon ami ; je dirais même qu'elle va devenir une assistante indispensable !
- Vous savez donc ce qu'il vous reste à faire ; je vous la livre.



Vaguement inquiète, Rosalie écoutait ce dialogue surréaliste ; et c'est avec une appréhension certaine qu'elle vit s'approcher cette femme longiligne, aux traits sévères. Elle s'immobilisa devant elle et s'agenouilla ; puis, se penchant vers le bas-ventre de la jeune assistante, la digne avocate se mit à laper la semence de son mari.



Elle déglutissait régulièrement, avalant le sperme encore tiède. Son mari lui releva sa jupe et, après avoir dégagé sa triste croupe osseuse, il abaissa sa culotte le long de ses cuisses décharnées.



Il se recula de quelques pas pour profiter de cette scène scabreuse : son épouse, après avoir complètement nettoyé l'entrecuisse de Rosalie, continuait de lécher sa vulve. , L'épouse de son patron était diablement habile de sa langue, preuve d'une longue pratique du cunnilingus ; elle n'en était pas à sa première expérience du broutage de minou !



Maître Pittet - après avoir extrait un gros cigare de son étui métallique - alluma posément le Havane et en tira quelques savoureuses bouffées ; puis, ayant repris le gode, il s'approcha de sa femme, tira sur la peau flasque de ses fesses maigrichonnes afin de les écarter et lui enfonça d'une longue et unique pression soutenue dans le cul.



La perverse avocate, ainsi enculée, se mit à accentuer ses caresses buccales sur la vulve de Rosalie, aspirant son clitoris congestionné tandis qu'elle lui introduisait profondément son pouce dans le vagin tout en lui distendant l'anus de son index accolé à son majeur pendant que son mari faisait aller et venir de plus en plus violemment le gode dans son cul. Les deux femmes jouirent simultanément.



- Allez ; au travail, maintenant : les dossiers attendent !



Satisfait, l'avocat se retira dans son bureau, imité ensuite par sa femme. Restée seule, Rosalie se prit à ressentir une certaine frustration. Elle avait certes apprécié le cunnilingus de Charlotte, mais elle aurait souhaité avoir davantage d'interaction physique avec Georges. Ravalant sa frustration, la jeune stagiaire poursuivit ses dossiers jusqu'à la pause de midi. En partant, elle salua poliment ses employeurs et rentra chez elle pour faire le point sur sa première matinée de travail. C'est alors que la jeune femme eut une idée. Elle monta dans sa chambre et retira sa robe.



Nue devant son miroir, Rosalie cherchait dans sa penderie des sous-vêtements susceptibles d'aguicher Maître Pittet.



Son choix se porta finalement sur un soutien-gorge blanc et un string assorti.



La jeune stagiaire souhaitait vivre beaucoup plus qu'une simple séance de masturbation avec son employeur et, pour cela, elle avait une idée.



La pause de midi terminée, Rosalie retourna au cabinet des Pittet. À son arrivée, Georges et Charlotte lui donnèrent une nouvelle pile de dossiers à examiner. La jeune femme se retira dans son bureau et se mit à analyser les dossiers en attendant le moment opportun pour rejoindre Maître Pittet dans son bureau et lui dévoiler sa surprise.



Vers 16 h, l'occasion que Rosalie espérait tant arriva. Charlotte dut quitter le cabinet de toute urgence afin de se rendre chez un gros client du cabinet qui ne pouvait pas faire le déplacement en raison du peu de temps qu'il avait à disposition pour régler son affaire.



Charlotte dit au revoir à Rosalie et à son mari puis partit. La jeune assistante attendit une vingtaine de minutes afin de s'assurer que Charlotte ne reviendrait pas au mauvais moment. Assurée de l'éloignement de sa patronne, Rosalie se rendit dans le bureau de Georges. Lorsqu'elle frappa à la porte, la voix de son patron lui répondit sèchement d'entrer. La jeune assistante entra.
- Euh... J'ai terminé les dossiers. Avez-vous encore du travail pour moi ? lui demanda-t-elle.

En face, Georges semblait plutôt énervé.
« Probablement une affaire qui n'a pas tourné comme il l'aurait souhaité... » pensa Rosalie.
- Ah... euh... Oh ! Il est bientôt 16 h 30. Je n'avais plus la notion du temps. Non, vous pouvez ranger vos affaires et rentrer chez vous. On se revoit demain.
- Ça va aller, Monsieur ? Vous me semblez un peu nerveux. Est-ce que je peux faire quelque chose ?
- Euh... non, ça va aller.
- Vous en êtes sûr ? Si vous voulez, je peux vous aider à vous détendre.



Rosalie fit lentement glisser la fermeture éclair de sa robe et laissa le vêtement tomber au sol, dévoilant sa sublime lingerie à Maître Pittet. L'avocat la détailla de pied en cap : une poitrine généreuse, des formes superbement sculptées, des jambes longues et fines ; et tout cela perché sur des talons aiguilles de 10 cm.



L'avocat sourit.
- Eh bien, on peut dire que vous savez plaire, Mademoiselle Frei. Vous me rappelez ma femme quand elle avait votre âge.
- Celle-là même qui m'a léché la chatte ce matin ? Vraiment ? Est-ce qu'elle vous faisait ça ?



Rosalie s'avança vers le fauteuil de Charles et, assise sur ses genoux, lui caressa le visage puis lui donna un long baiser langoureux ; d'abord surpris par l'initiative de sa stagiaire, Maître Pittet n'esquissa pas le moindre geste. Il rendit son baiser à la jeune femme qui lui caressa l'entrejambe à travers le tissu de son pantalon. Rosalie interrompit leur baiser.



- Alors ? Votre femme vous faisait-elle d'aussi belles surprises ?
Ça lui arrivait de temps en temps dans notre jeunesse, mais elle n'avait pas vos formes ni votre beauté, Mademoiselle Frei. Je dois admettre que pour me détendre ainsi, mon épouse ne vous arrive pas à la cheville.



Merci, patron. Maintenant, si vous le permettez, je vais vous détendre un peu plus. Vous me semblez tout crispé ; laissez-moi faire.



Rosalie se libéra de l'étreinte de son employeur et passa derrière son fauteuil. Elle retira son soutien-gorge et commença à masser les épaules de Maître Pittet, qui émit un ronronnement d'aise. La jeune femme massa les épaules et le torse de l'avocat puis lui déboutonna sa chemise en lui embrassant langoureusement le cou. Elle massa les épaules nues de son patron puis fit sensuellement descendre ses mains le long des hanches de Georges. La jeune stagiaire caressa la bosse dissimulée sous le pantalon et fit sauter le bouton du vêtement. Elle abaissa ensuite la fermeture éclair du pantalon et le laissa glisser au sol le long des cuisses de Maître Pittet.



Repassant devant son patron, elle s'agenouilla dans l'espace qui séparait le bureau de la chaise et caressa les cuisses de l'avocat, remontant jusqu'à l'entrejambe et redescendant le long des jambes. Elle répéta l'opération plusieurs fois puis palpa le sexe de Maître Pittet.



- Hummmm... Il y a encore un endroit que je dois détendre.

La jeune avocate stagiaire tira sur le caleçon de l'avocat, en faisant jaillir la longue et vigoureuse queue de Maître Pittet. Rosalie prit le sexe tendu de son employeur dans sa main et se mit à le masturber d'un mouvement lent et régulier en embrassant de temps à autre le gland violacé. Georges émit un râle de plaisir.



Rosalie avança son visage vers le sexe raide et se mit à en lécher le gland. L'avocat fut pris de spasmes sous les caresses de sa stagiaire qui n'en demandait pas tant ; elle se mit à lui faire une gorge profonde.


La jeune femme caressa de sa main droite les testicules de son employeur puis les malaxa tandis qu'elle tenait de la main gauche le sexe imposant de Georges qu'elle suçait goulûment.



Son employeur grogna de plaisir tandis que sa queue palpitait dans la bouche de Rosalie. Elle recracha le sexe encore tout raide et le plaça entre ses seins. Dans un rapide mouvement de va-et-vient, elle masturba Georges qui, dans un râle de plaisir, éjacula sur sa poitrine.



La jeune femme suça le sexe de son employeur pour le nettoyer de toute trace de sperme et étala la semence qu'elle avait reçue sur ses seins.



- Alors ? Ça va un peu mieux ?
Oui... Beaucoup mieux, Mademoiselle Frei. Merci. Je... je vais avoir besoin de vos talents demain. Ma femme a rencontré un riche particulier qui détient d'importants placements bancaires dans toute la Suisse. Il faut que nous arrivions à le convaincre de nous confier ses intérêts : c'est une grande opportunité pour notre cabinet. J'ai besoin d'un atout ; et vous pourriez être cet atout, Mademoiselle Frei.



- Très bien, Monsieur. Je vais tâcher de faire de mon mieux avec votre investisseur.
- Dites plutôt "notre" investisseur, Mademoiselle Frei. Je vais en effet conclure un marché avec vous : si vous parvenez à le convaincre d'adhérer à notre cabinet, vous toucherez 15% de mes actions en plus des 33,3% de mon associé qui partira à la retraite à la fin de l'année.
- Ça m'a l'air intéressant ; mais j'ai l'impression que je vais devoir faire plus que convaincre cet homme. Quelque chose de plus personnel. Je me trompe ?
- Eh bien, on ne peut rien vous cacher, Mademoiselle Frei. Effectivement, vos talents m'ayant beaucoup impressionné, je souhaiterais que vous deveniez ma maîtresse.
- Seulement si je suis le premier choix.
- Mais... Bon, d'accord ; je verrai comment je vais faire avec ma femme. Mais seriez-vous d'accord alors de me "détendre", comme vous dites, lorsque je le souhaiterai ?
- Dans ce cas, oui, cela me convient. Marché conclu !
- Marché conclu. Bonne soirée, Mademoiselle Frei.
- Bonne soirée, Monsieur.



Rosalie serra la main de son employeur puis, après s'être rhabillée, rentra chez elle. Son plan fonctionnait à merveille.


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Le scoop-4 : Les galons de Rosalie

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Au lendemain de sa séance avec Georges, Rosalie se leva de bonne heure. Elle voulait faire bonne impression sur le client et sur son employeur afin de pouvoir accéder aux hautes sphères de la direction du cabinet. La proposition de Maître Pittet l'avait complètement transformée. Elle, qui espérait trouver un emploi de simple assistante, souhaitait à présent détenir la totalité des parts de la société et se servir de son employeur pour soulager ses envies qui se faisaient de plus en plus perverses.



La jeune femme se prépara un petit déjeuner équilibré et, après avoir mangé, monta dans sa chambre et ouvrit le tiroir d'une commode ; après de longues hésitations, son choix se porta sur une petite culotte et un soutien-gorge bleus assortis d'un porte-jarretelles de la même couleur et de bas fumés. Rosalie posa les sous-vêtements sur son lit et se dirigea vers la salle de bain ; elle avait une heure devant elle avant de partir travailler.



Sous la douche, la jeune femme ne manqua pas de se toucher en se remémorant le magnifique cunnilingus que sa patronne lui avait prodigué et la fellation qu'elle avait faite à Georges la veille.



Elle se prit également à s'imaginer en train de se servir de ses talents pour convaincre le client de son patron de confier ses capitaux à celui-ci.



Rosalie prit un peu de savon et l'étala sur son corps, non sans insister sur sa poitrine qu'elle caressa en rêvant de la comparer à celle de Charlotte, qu'elle imaginait flasque et tombante alors que la sienne était lourde et ferme.



La jeune femme continua de laver son corps en laissant ses délicieuses pensées couler librement dans son esprit, puis elle sortit de la cabine de douche et s'essuya en s'imaginant une nouvelle fois nue devant Georges qui comparait son corps à celui de son épouse.



La jeune avocate revêtit la lingerie qu'elle avait choisie et se regarda dans la glace. Satisfaite de l'effet pigeonnant du soutien-gorge, elle passa une robe bleu foncé et partit pour le cabinet des Pittet.



À son arrivée, Georges l'accueillit d'un simple « bonjour » et lui demanda ce qu'elle comptait faire pour amener leur éventuel client à se décider.
- Alors, Mademoiselle Frei ? Que comptez-vous réserver à notre client ?
- Je pense que vais me faire passer pour votre masseuse personnelle. Il sera sûrement un peu stressé : il faudra donc le détendre pour le mettre en condition. Il vous sera ainsi plus facile de le convaincre puisque sa décontraction vous détendra également. J'ai pris ce qu'il faut.
- Très bien, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble ; mais je veux conclure ce contrat. Bon, monsieur Edimbourg arrive dans une heure. Je vous laisse vous préparer.



Rosalie prépara son bureau afin qu'il serve de table de massage ; elle rangea les documents dans l'un des tiroirs et, afin d'assurer un bon confort au futur client, elle recouvrit la surface du meuble d'une couverture qu'elle avait prise de chez elle. L'investisseur arriva bientôt. Rosalie entendit la voix de son patron le saluer puis, après quelques échanges banals sur leur santé respective, Rosalie entendit Georges proposer une « mise en bouche ».



- Vous me semblez un peu stressé, Monsieur. Voulez-vous quelque chose pour vous détendre ? Moi-même, il m'arrive de ressentir du stress durant mes déplacements. C'est pourquoi je me suis attaché les services d'une masseuse. Si vous souhaitez vous relaxer, elle est à votre disposition.
- C'est proposé si gentiment ; eh bien, pourquoi pas un massage avant les affaires ?
- Dans ce cas, si vous voulez bien me suivre...
Les deux hommes se dirigèrent vers le bureau de Rosalie, où ils pénétrèrent.
- Bonjour, Mademoiselle ; pourriez-vous faire bénéficier Monsieur Edimbourg d'un massage d'accueil ?



Rosalie acquiesça et Georges se retira de la pièce. La jeune femme jaugea le client : un homme noir d'environ trente-cinq ans, auxquels la jeune avocate trouva du charme.
- Mettez-vous en sous-vêtements et allongez-vous sur la table, lui dit-elle d'une voix douce.



Monsieur Edimbourg obtempéra et la jeune femme commença à le masser. Elle commença par ses épaules puis descendit lentement le long de sa colonne vertébrale jusqu'à ses fesses, puis elle passa ensuite aux jambes de l'homme mûr, progressant le plus innocemment possible à l'intérieur des cuisses. Rosalie poursuivit son massage durant près de dix minutes avant de s'adresser à lui :

- Ça va mieux, Monsieur ?
- Oui, Mademoiselle. Merci.



L'homme se redressa mais ne put dissimuler la bosse qui déformait son caleçon. La jeune femme eut un petit rire entendu.

Désirez-vous un massage là aussi ?



Monsieur Edimbourg ne répondit rien, surpris par la tournure que prenait son rendez-vous. Cependant, Rosalie n'eut pas besoin d'invitation pour comprendre que le client de son patron souhaitait au fond de lui qu'elle lui fasse du bien.



La jeune femme entreprit de caresser à travers le caleçon la verge tendue, puis elle le fit glisser le long des jambes jusqu'à ce qu'un sexe de bonne taille se dresse devant son visage.



Professionnelle, la jeune avocate résista à la tentation de pousser un ronronnement de gourmandise. Elle se contenta de faire glisser sa robe au sol et de dégrafer son porte-jarretelles et son soutien-gorge, libérant sa lourde et généreuse poitrine.



Se saisissant du membre tendu, elle le masturba lentement avant de le prendre en bouche, pour le plus grand plaisir du client qui laissa échapper un râle.



La jeune « masseuse » poursuivit ses va-et-vient sur le sexe de monsieur Edimbourg, faisant tournoyer sa langue sur son gland volumineux et massant d'une main les testicules gonflés par l'excitation, tandis que de l'autre elle caressait la toison pubienne.



Le sentant près d'éjaculer, Rosalie retira le sexe de sa bouche et le coinça entre ses seins. Sa branlette espagnole ne dura que quelques dizaines de secondes.



Dans un râle de plaisir, monsieur Edimbourg sentit son sexe palpiter contre la poitrine de la jeune femme, et quatre jets de sperme vinrent maculer les seins lourds de l'avocate.



Elle étala la semence sur sa poitrine et lécha ses tétons en le regardant l'homme droit dans les yeux. Apaisé, monsieur Edimbourg se rhabilla et félicita Rosalie pour sa performance.



- Votre patron a vraiment beaucoup de chance de vous avoir, petite coquine !



Elle sourit et regarda l'homme rejoindre le bureau de Maître Pittet. Leur échange privé ne dura que quelques minutes ; les deux hommes sortirent du bureau et se serrèrent chaleureusement la main. Lorsque Monsieur Edimbourg fut sorti du cabinet, Georges se dirigea vers le bureau de Rosalie.

- Bravo, Mademoiselle Frei ! Vous avez réussi ; grâce à vous, nous avons un nouveau client : ce gros investisseur a accepté de placer ses capitaux chez nous.
- Vous m'en voyez ravie, Maître. Mais un succès tel que celui-ci mérite d'être arrosé !



Tout en prononçant ces paroles, Rosalie s'était agenouillée devant son employeur ; à présent, elle déboutonnait la braguette de Maître Pittet. Lorsqu'elle eut terminé, elle ouvrit la bouche et déploya sa langue humide. Répondant à cette invitation muette mais plus qu'explicite, Georges dégagea de son caleçon sa verge encore molle et en amena l'extrémité au contact de l'organe recouvert d'une douce muqueuse.



Cette vision d'un érotisme raffiné exacerba sa libido, donnant de l'ampleur à sa verge. Au fur et à mesure qu'elle se déployait sur le délicat support, le prépuce découvrait de plus en plus le gland qui, maintenant gorgé de sang, avait pris une teinte d'un mauve luisant.



La progression du membre sur la langue procurait à l'avocat de voluptueuses sensations au niveau de son frein, provoquant un gonflement et un allongement accrus de son membre viril qui disparut à l'intérieur de la bouche de Rosalie, qui referma ses lèvres sur la hampe noueuse et entreprit de téter le gland volumineux.

- Non ! Pas comme ça !



L'ordre avait claqué, sec, brutal.

- Ouvrez votre bouche, Mademoiselle Frei, et tirez la langue.



Maître Pittet était un esthète. Même si les succions de sa jeune assistante venaient de lui procurer un plaisir indéniable, sa prédilection pour le voyeurisme lui dictait le comportement susceptible de lui donner un maximum de plaisir.



Lorsque son gland violacé réapparut d'entre les lèvres de Rosalie, reposant sur le présentoir velouté, il le fit glisser de quelques millimètres seulement d'avant en arrière en un subtil va-et-vient, tout en surveillant la montée progressive de son plaisir.



À présent, son membre tressautait et quelques gouttes de liquide transparent s'épanchèrent sur la langue de la jeune assistante. Georges recula de quelques centimètres pour que son frein prenne place juste sur l'extrémité dardée de la langue de Rosalie.



- Caressez-moi le frein de la pointe de votre langue. Et surtout, ne vous arrêtez pas !



L'avocate, attentive au plaisir de son employeur, s'exécuta docilement. Georges Pittet ahanait, le souffle court. Encore quelques secondes de ce délicieux traitement et sa verge se cabra, expulsant une longue traînée de sperme sur le front de son assistante.



Désireux de ne pas gâcher son plaisir, il saisit son membre pour le maintenir en contact avec la pointe de la langue de Rosalie. Alors qu'il laissait échapper un feulement de soulagement, plusieurs longues salves de liquide crémeux vinrent tapisser le palais de la jeune femme.



Les saccades succédaient les unes aux autres tandis que l'arrière-gorge de l'assistante se remplissait du sperme de son employeur. Lorsqu'elles cessèrent, Rosalie déglutit ostensiblement.



- À votre santé, Mademoiselle Frei ; voici un contrat arrosé comme il se doit !
- Maître, puis-je vous transmettre la demande d'une amie ?



L'avocat fronça les sourcils.

- À quel propos ?
- C'est mon ancienne camarade d'école qui est maître de conférences et praticien hospitalier ; elle subit un chantage : quelqu'un a pris des photos d'elle alors qu'elle se changeait sans précautions particulières.
- Mais... cela n'est pas de mon ressort : je ne traite que des affaires financières. Et puis des photos en sous-vêtements, ce n'est pas particulièrement compromettant.
Telle que je connais Emmanuelle, elle aura eu quelques gestes plus sensuels ; et puis, elle ne porte pas toujours des dessous BCBG. Mais voilà une information qui pourrait vous intéresser : je sais que sa famille détient des comptes bancaires dans certains paradis fiscaux.



- Mademoiselle Frei, j'ai l'impression que vous pourriez apporter une affaire intéressante à notre cabinet. Trouvez donc un rendez-vous à votre amie, mais préparez-la correctement, si vous voyez ce que je veux dire..
- Très bien, Maître. Je vais vous arranger un rendez-vous avec elle. M'autorisez-vous à prolonger ma pause afin que je puisse la préparer ?
- Bien sûr, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble, mais n'échouez pas !
- Oui, Maître.



Rosalie regagna son bureau et composa le numéro de son amie.

- Allô, Emmanuelle ? J'aimerais te parler de ton affaire. Non, pas au téléphone. Si on se retrouvait à Intrigo ? Nous y serons mieux pour parler. Je suis en pause jusqu'à 17 heures. On fait comme ça ? Tout de suite, devant Intrigo ? OK, ça marche. À plus.



Après avoir raccroché, la jeune assistante frappa à la porte de son employeur et pénétra dans son bureau.

- J'ai rendez-vous avec Emmanuelle à Intrigo. Comme elle est plutôt pressée et pas mal stressée, elle veut me voir immédiatement. Ça ne vous dérange pas, Maître ?
- Du tout, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble, mais je veux que votre amie devienne notre cliente. Vous comme moi ne pouvons pas nous permettre de laisser passer une telle opportunité. Et n'oubliez pas : préparez-la comme il se doit...
- Comme vous voudrez, Maître.



Rosalie sortit du bureau, passa son manteau sur ses épaules et sortit du cabinet. La jeune femme marcha élégamment le long de la rue de Romont, faisant claquer ses talons sur le sol à chacun de ses pas. Elle descendit ensuite la rue de Lausanne jusqu'au point de rendez-vous.



À son arrivée, Rosalie remarqua la présence d'une grande jeune femme longiligne - aussi mince que les mannequins actuels - à la longue chevelure légèrement ondulée d'un blond foncé, au visage émacié doté d'une bouche charnue aux lèvres pulpeuses, illuminé par deux immenses yeux verts.



La jeune femme se dirigea vers elle et lui fit la bise.



Salut, Rosalie. Ça va ?



- Oui, très bien. Et toi ?
- Ça va.
- On va se prendre une glace ? J'ai toujours eu envie de goûter leur glace aux "Ferrero Rocher".



Les deux blondes entrèrent dans la boutique et commandèrent chacune une boule de glace, que le serveur leur mit dans un charmant petit gobelet en plastique aux couleurs de la maison. Rosalie le remercia et guida son amie à l'étage. Elles s'assirent à une table près de la fenêtre, se garantissant ainsi une certaine intimité.



- Alors, Emmanuelle ? Qu'est-ce qu'il se passe dans ton hôpital ?
- Je te l'ai déjà dit : des infirmiers m'ont photographiée pendant que je me changeais. Et maintenant, ils me forcent à leur faire du bien en menaçant de donner les photos au directeur.
- Tu en es sûre ? Parce que des photos en sous-vêtements, en Droit, ce n'est guère compromettant. Tu étais juste en sous-vêtements ou tu en profitais pour te caresser ?
- Tu sais que tu pourrais être procureur, toi ? Oui, je l'avoue : je me suis masturbée une fois avant de mettre ma blouse. D'ailleurs, j'ai ces fameuses photos sur moi ; les voici.



Elle sortit son smartphone de son sac à main et, après avoir cherché dans les répertoires, elle afficha sur l'écran la première d'entre elles et tendit l'appareil à Rosalie. Cette photo n'était pas compromettante du tout : on voyait Emmanuelle déambuler en justaucorps noir largement échancré au niveau des hanches, une blouse blanche à la main.

- Ce n'est que ça ?
- Attends de voir les autres...



En effet, la suivante était beaucoup plus suggestive : Emmanuelle était à présent assise par terre ; son sein droit était visible, et le téton qui pointait ne laissait aucun doute sur son état d'excitation. Mais ce qui attirait le regard, c'était la vulve aux lèvres gonflées que dévoilait l'entrejambe du justaucorps qui avait été tiré sur le côté.



Quant à la troisième photo, elle ne laissait aucun doute sur l'occupation à laquelle Emmanuelle était en train de se livrer, les seins à nu et deux doigts dans la chatte.



- En effet, c'est très compromettant, tout ça... Eh bien, c'est d'accord. J'ai parlé de ton affaire à mon patron.
- Et ? Il est d'accord de m'aider ?
- Oui, mais il est avocat fiscaliste. Ton affaire n'a rien à voir avec son domaine de compétences. Il a accepté, mais uniquement si tu acceptes de lui confier tes capitaux et, surtout, que ta famille accepte de se faire défendre par lui si l'administration fiscale venait à s'intéresser à ses placements offshore, si tu vois ce que je veux dire... ajouta-t-elle avec un petit clin d'œil complice qui voulait en dire long.
- Ah, c'est vrai... Je n'aurais peut-être pas dû te parler de ces comptes bancaires au Luxembourg et à l'Île de Man ; alors, si c'est comme ça, tu as mon accord pour la gestion de mes propres capitaux. En ce qui concerne les placements de ma famille, je me charge d'obtenir son assentiment en cas de problèmes avec le fisc.
- Parfait. Il ne te reste plus qu'à prendre rendez-vous ; et il se trouve que mon patron est libre cet après-midi.
- OK. J'irai le voir... Au fait, il est comment ?
- Sacrée coquine ! Eh bien, c'est un type dans la cinquantaine, charmant, bien bâti...
- Bien bâti ? Tu couches avec lui ?!
- Pas exactement. Je lui fais des fellations et des masturbations, mais il ne m'a jamais pénétrée. Il est marié.
Et sa femme ? Elle sait que tu couches avec lui ? Je ne pense pas, sinon elle t'aurait déjà virée.



- Virée ? Tu parles ! C'est mon patron, Georges, qui décide de tout dans ce cabinet. Elle nous a surpris ensemble dès notre première fois et... Devine ce qu'elle a fait... Elle m'a léché la chatte sur ordre de son mari. Complètement soumise, si tu veux mon avis.
- Hum... J'ai hâte de connaître ton boss.



Les deux jeunes femmes finirent de manger leur glace tout en se racontant leur parcours professionnel. Rosalie dit à Emmanuelle comment son patron l'avait surprise en train de se masturber sous son bureau, et comment leur relation était née. Emmanuelle, elle, raconta à Rosalie les innombrables écarts de son patron avec d'autres infirmières qu'elle avait surpris durant ses heures de garde.



Avant de se séparer, elles se rendirent aux toilettes de la gare toute proche afin de réparer les dommages causés par leur gourmandise. Alors que Rosalie s'appliquait une couche de rouge à lèvres, elle croisa dans le grand miroir le regard émeraude de son amie, qui semblait un peu gênée.

- Dis, Rosalie, je n'avais jamais eu l'occasion de t'en parler, mais je suis bi. Et depuis que tu m'as dit que tu t'es laissé lécher le minou par cette vieille rombière, j'aimerais bien te faire la même chose...



Surprise, la jeune avocate se mit à réfléchir à cette proposition. « C'est vrai, l'épouse de Georges n'est vraiment pas attirante ; même si je me suis laissé faire uniquement par intérêt, pour m'attirer les bonnes grâces de mon patron, elle a su me donner du plaisir. Là, je n'ai rien à y gagner, puisqu'Emmanuelle m'a donné son accord ; mais elle est tellement belle, et ses photos m'ont bien excitée... Rien qu'à imaginer sa bouche pulpeuse sur mes lèvres intimes, j'en mouille déjà ! Bon. Cette fois-ci, ce sera uniquement pour le plaisir ! ».



Elle ne répondit pas, mais se dirigea vers l'une des cabines, y entra, releva sa robe jusqu'à la taille et s'assit sur la cuvette. Elle écarta ses jambes gainées de bas sombres retenus par un porte-jarretelles noir et, tirant sur son string pour laisser apparaître sa vulve ruisselante, elle prononça d'une voix que l'excitation rendait rauque cette parole qu'Emmanuelle espérait :

- Viens...



Ses talons claquèrent sur le sol carrelé lorsqu'elle se précipita pour répondre à l'appel de son amie et, dès qu'elle eût refermé la porte de la cabine, elle se mit aussitôt à genoux et s'approcha de cette fleur vénéneuse pour la humer. Puis, pointant la langue, elle effleura la fissure intime de bas en haut à plusieurs reprises avant d'en introduire l'extrémité juste à l'entrée du vagin de Rosalie, qui commençait à haleter sous les caresses subtiles. Puis elle se mit à aspirer les petites lèvres à l'intérieur de sa bouche tout en les caressant de sa langue habile ; la jeune avocate ne pouvait plus retenir ses râles de plaisir, qui se transformèrent en un long gémissement lorsqu'Emmanuelle se mit à téter le clitoris de son amie. Rosalie sentait l'orgasme monter en elle, tout proche...



- Non ! Arrête ! Tu n'as pas le droit !

Elle venait de surprendre son amie en train de se caresser entre les cuisses.

- Pas maintenant : tu attendras d'être chez mon patron pour jouir. Pour l'instant, occupe-toi seulement de moi.

Elle suivait à la lettre la recommandation de Georges : « Préparez-la comme il se doit»
Un peu frustrée, Emmanuelle se remit à téter le clitoris de son amie, et lorsqu'elle la sentit sur le point de jouir, elle lui introduisit deux doigts dans le vagin pour caresser son point G ; Rosalie explosa dans un long feulement.
Elle dut attendre quelques minutes pour que les battements désordonnés de son cœur se calment, puis elle rajusta ses vêtements.



Lorsqu'elles sortirent ensemble de la cabine, elles eurent à subir le regard réprobateur d'une vieille bourgeoise aigrie qui se repoudrait le nez devant le miroir.

- Et maintenant, après le cabinet de toilette, le cabinet d'avocats ! Allons retrouver Maître Pittet.

Les deux jeunes femmes sortirent des toilettes en riant du regard de la vieille dame.

- Tu as remarqué sa tête quand elle nous a vues ? Je suis sûre qu'elle n'a jamais connu de cunni. Visiblement, le sexe concerne plus la jeune génération qu'on ne le croit.
- Ne sois pas si catégorique, Manu. Tu vas voir qu'avec mon boss, le sexe, c'est de haut niveau !
Si tu le dis... On verra bien



- Fais vite, nous avons déjà un quart d'heure de retard !
Les deux blondes poursuivirent leur chemin jusqu'au cabinet des Pittet. Arrivée à la porte du cabinet d'avocats, Rosalie sonna une fois et entra, Emmanuelle sur ses talons. Sitôt que les deux jeunes femmes furent entrées, Maître Pittet les accueillit chaleureusement :

- Bonjour, Mademoiselle. Venez dans mon bureau ; mon assistante et moi allons nous occuper de votre affaire.

Emmanuelle y précéda Georges et Rosalie ; Maître Pittet indiqua à sa nouvelle cliente le fauteuil qui faisait face à son bureau et fit signe à Rosalie de prendre note de leurs échanges. L'avocate prit place aux côtés de son employeur et sortit un bloc-notes et un stylo de son sac.

- Bon. Racontez-moi votre histoire, Mademoiselle Perrin. Que se passe-t-il avec vos collègues infirmiers ?
- Eh bien, comme je l'ai dit à votre assistante, mes collègues ont réussi à prendre des photos de moi en sous-vêtements en train de... vous voyez, quoi. Ils me menacent de les mettre sur le bureau du directeur et en profitent pour tenter de me soutirer des fonds.
- Je vois. Mais, comme mon assistante a dû vous le faire savoir, je suis avocat fiscaliste ; par conséquent, votre affaire n'est pas de ma compétence.
- Je le sais, Maître, mais il me fallait un avocat de confiance qui n'essaierait pas de profiter des circonstances particulières de mon affaire pour augmenter outrageusement sa rémunération. De plus, si vous acceptez de me défendre, je vous confierai la gestion de l'intégralité de mes capitaux et - ainsi que mon amie me l'a demandé - c'est votre cabinet qui interviendra en cas de litige entre l'administration fiscale et certains membres de ma famille pour leurs placements, euh... un peu particuliers.
- La confiance : quelque chose d'important ! N'est-ce pas, Mademoiselle Frei ?
- Oui, Maître.
- Bon, laissons cela. Avez-vous ces photos ?
- Oui, j'ai réussi à me les envoyer via le portable de l'un de mes collègues que j'ai subtilisé pendant ma pause.
Vous pouvez me les montrer ?
- Bien sûr. Tenez.

Emmanuelle montra l'écran à Georges qui émit un sifflement admiratif.

- Eh bien, vous êtes plutôt attirante... Un peu comme votre amie. Vous devriez venir travailler chez nous : ici, vous ne risqueriez pas d'être soumise à un chantage ! Bon, assez plaisanté. Je vais stocker vos photos dans mon ordinateur et voir ce que nous pourrons en faire. En attendant, ne commettez pas la moindre imprudence jusqu'à ce que cette affaire soit réglée. Je reviens tout de suite.



L'avocat se saisit du téléphone d'Emmanuelle et d'un câble USB puis il quitta la pièce, laissant seules Rosalie et Emmanuelle. La jeune assistante fit glisser la fermeture éclair de son pantalon et appela son amie.
- Allez, viens. Il faut montrer à mon boss que tu es portée sur le sexe pour qu'il te remarque. Tu crois que j'ai fait comment pour qu'il m'honore autant ?

Sans répondre, Emmanuelle passa derrière le bureau de Maître Pittet et fit tomber la petite culotte de son amie au sol. La jeune infirmière passa une main dans le dos de l'avocate et posa son autre main sur l'une de ses cuisses, puis elle approcha son visage du sexe de Rosalie et fit pointer sa langue. Dès qu'elle fut en contact avec le calice déjà suintant, l'infirmière se mit à l'embrasser amoureusement, le parcourant d'une langue habile. L'avocate poussa un gémissement de plaisir alors qu'un ruissellement de cyprine s'écoulait dans la bouche de son amie.



- Allons-y, Manu ; passons aux choses sérieuses.

Rosalie repoussa la tête de son amie et défit les boutons de son chemisier, faisant jaillir deux seins lourds sous les yeux d'Emmanuelle. Après avoir enlevé son chemisier, l'avocate enlaça l'infirmière, appliqua ses lèvres sur les siennes en un sulfureux baiser que celle-ci lui rendit.



Au bout de quelques secondes, les deux blondes interrompirent leur baiser.



- Tu es encore trop habillée, Manu. Vas-y, montre-moi tes attributs. J'ai envie de toi.

Sans se faire prier, Emmanuelle fit glisser le zip de son pantalon qu'elle laissa tomber au sol et souleva son tee-shirt, dévoilant deux mignons petits seins bien fermes. Les deux femmes s'enlacèrent à nouveau mais, au moment où elles allaient s'embrasser, la porte du bureau s'ouvrit avec fracas, livrant passage à Georges.



- Magnifique, Mademoiselle Frei ! J'ai cru que vous n'arriveriez jamais à sortir votre amie de sa bulle. Je ne vous savais pas aussi dévergondée et libérale... C'est tout à votre honneur. Rosalie fit un clin d'œil discret à Emmanuelle et s'adressa à Maître Pittet :

- Ne vous formalisez pas, Maître ; Emmanuelle est bisexuelle. Je lui ai parlé de notre relation et elle m'a avoué qu'elle aimerait également beaucoup vous connaître.
- Je vois ; mais ça ne se fera pas dans l'immédiat : j'ai d'autres projets pour vous deux. De plus, je constate que vous arrivez avec un quart d'heure de retard ; la ponctualité est une valeur fondamentale : en conséquence, je vais devoir vous punir, Mademoiselle Frei, et je ne ferai pas d'exception à cause de votre joli minois. Quant à vous, Mademoiselle Perrin, j'ai également quelqu'un d'autre à vous présenter

Il poursuivit en élevant la voix :

- Charlotte, ma chère, veuillez nous rejoindre dans mon bureau.

La porte capitonnée s'ouvrit sans bruit, laissant apparaître l'épouse de Georges Pittet, une quinquagénaire aux formes longilignes. Elle s'immobilisa sur le seuil, jeta un bref regard à l'intérieur du bureau lambrissé puis, avisant Emmanuelle, elle se mit à la détailler avec une attention soutenue. Cette fille lui rappelait celle qu'elle avait été trente ans auparavant : très mince - voire maigre - mais sa jeunesse resplendissante la rendait désirable.



Charlotte se remémora sa propre splendeur à l'époque où elle avait connu celui qui allait devenir son mari ; mais toutes ces années passées dans leur cabinet feutré à compulser des dossiers et à plaider des causes inintéressantes dans des prétoires austères l'avaient fanée avant l'âge. Et puis son mari volage s'était rapidement détourné d'elle, passant d'une conquête à l'autre ; elle avait alors assouvi ses envies de sexe en fréquentant des clubs très privés où la bourgeoisie de Fribourg s'adonnait au libertinage au cours de soirées très chaudes... Très vite, elle s'était détournée des hommes, trop égoïstes à son goût, lorsqu'elle connut le plaisir que pouvaient lui procurer des rapports lesbiens ; c'est à cette occasion qu'elle se découvrit un penchant pour le sadisme. C'est donc avec une excitation non dissimulée qu'elle entendit son mari lui annoncer :



- Ma chère, notre jeune recrue ne présente pas toutes les qualités requises pour collaborer efficacement avec nous : elle s'est permis d'arriver avec quinze minutes de retard au rendez-vous que nous avions fixé. Vous allez devoir punir comme il se doit cette jeune effrontée. Allez vous préparer, je vous prie...

Sans rien dire, Charlotte fit demi-tour et sortit du bureau de son mari.

- Mademoiselle Frei, installez-vous sur le canapé... Non, pas assise : à genoux. Et relevez votre jupe ! Plus haut ; et cambrez votre postérieur... Voilà, comme ça.

C'est dans cette position humiliante que Rosalie dut attendre pendant quelques minutes le retour de Charlotte Pittet. Lorsqu'elle revint dans le bureau, elle était totalement transformée : la quinquagénaire effacée s'était muée en une Amazone autoritaire harnachée de cuir noir agrémenté d'attaches métalliques qui luisaient dans la semi-obscurité du bureau. Ses jambes étaient dissimulées par de hautes cuissardes aux talons vertigineux et un phallus factice triomphant s'érigeait au niveau de son bassin.



Un rictus sadique s'afficha sur son visage alors qu'elle s'approchait de Rosalie, une cravache à la main...À genoux sur le sofa, Rosalie paniquait intérieurement mais ne voulait rien laisser paraître, trop fière pour se mettre à pleurer devant cette momie pseudo-dominatrice qui lui servait de patronne. Elle se fit également la promesse de lui retourner chaque coup de cravache lorsqu'elle en aura la possibilité.



Charlotte se positionna derrière Rosalie, prête à frapper. Emmanuelle fixait la scène avec effroi : sa meilleure amie, celle qui était en train de l'aider dans son combat, allait se faire fouetter sous ses yeux. Elle lança un regard suppliant à Maître Pittet. Celui-ci se contenta de hausser les épaules et s'adressa à son épouse :

- Ma chère, eu égard au travail accompli par notre assistante et à ses apports à notre cabinet, je ne vous accorderai que trois coups de cravache.



Charlotte poussa un grognement de frustration : elle s'imaginait déjà fouetter cette petite salope de Rosalie Frei qui se permettait de la prendre de haut et de tenter de séduire son mari afin d'avoir de l'avancement.



La quinquagénaire ravala sa colère et porta le premier coup de cravache sur le fessier de Rosalie, qui planta ses ongles dans le cuir du sofa afin de mieux pouvoir supporter la douleur. La jeune assistante serra les dents : elle refusait d'offrir à sa complexée de patronne le plaisir de la voir manifester le moindre signe de souffrance. Sous le coup, la croupe de la jeune avocate avait rosi et s'était zébrée d'une striure blanchâtre. Elle sentit une chaleur insolite envahir son postérieur cambré et s'étendre jusqu'à son bas-ventre ; quelques gouttes gluantes perlèrent sur ses lèvres intimes.



Charlotte infligea un deuxième coup. Cette nouvelle frappe ne fit qu'accroître le trouble de Rosalie, qui tendit instinctivement sa croupe vers cette cravache qui - à sa grande honte - lui inspirait de troubles désirs et une excitation grandissante. Cette fois-ci, l'avocate recula de quelques pas et, prenant de l'élan, asséna avec violence le troisième coup de cravache. Rosalie tressaillit sous la douleur et réprima à grand-peine le sanglot qu'elle avait failli laisser échapper ; mais ce qui s'échappait à présent de sa vulve ruisselante, c'était de longs filets de mouille qui s'écoulaient de manière incontrôlable sur ses cuisses. Elle était sur le point de jouir...
Georges voulut mettre fin au calvaire de la jeune femme :

- En voilà assez. Maintenant, j'ose espérer que vous avez retenu la leçon, Mademoiselle Frei.

Il fut étonné de l'entendre geindre, d'une voix suppliante :

- Encore, Maître, je vous en prie...



Répondant au regard interrogateur de son épouse, Georges hocha la tête en signe d'acquiescement. Charlotte abattit par trois fois sa cravache sur les fesses frémissantes de la stagiaire qui jouit en un long feulement de délivrance. Elle s'affaissa contre le dossier du canapé, essoufflée ; entre ses cuisses restées écartées, les petites lèvres de son sexe saillaient, luisantes de son nectar intime.



À la vue de ce tableau d'une rare obscénité, la verge de Maître Pittet s'était érigée ; il tenta de lui donner de l'aise mais c'était peine perdue, tant elle avait pris d'ampleur. Il se résolut à ouvrir sa braguette ; son pieux jaillit, orgueilleux, son gland arrogant déjà à demi-décalotté. Le regard d'Emmanuelle, fixé sur cette érection triomphante, ne pouvait s'en détourner. Georges s'aperçut de son trouble.

- Quant à vous, Mademoiselle Perrin, vous allez faire la connaissance de mon épouse : allongez-vous sur le dos. Mademoiselle Frei, accroupissez-vous au-dessus de visage de votre amie, la tête tournée vers moi. Et vous, ma chère, amusez-vous bien avec notre infirmière. Les deux jeunes filles se mirent dans la position indiquée. À quelques centimètres du visage d'Emmanuelle s'ouvrait impudiquement la vulve de son amie. Elle ne put s'empêcher de passer sa langue sur les cuisses maculées de Rosalie, s'abreuvement de sa cyprine. Lorsqu'elle eut tout avalé, elle se mit à laper directement à la source qui continuait de délivrer son jus savoureux.



Pas tout à fait remise de son précédent orgasme, la jeune avocate sentit à nouveau une boule de désir grossir dans son ventre embrasé par la langue habile de son amie qui léchait cette vulve épanouie. L'épouse de Georges s'approcha de lui puis, ayant placé sa cravache sous la verge en érection, elle la souleva en lui portant un regard appréciateur.

- Eh bien, mon ami, vous êtes en grande forme ! Je vous ai rarement vu dans d'aussi bonnes dispositions...

Elle laissa retomber le membre violacé et le tapota de sa badine. Sous l'effet de cet attouchement pervers, une goutte de liquide clair apparut à l'extrémité du gland boursouflé. Elle s'en retourna vers le canapé où les deux amies se livraient à des caresses lubriques.

- Rosalie, je n'en peux plus depuis tout à l'heure, dans les toilettes... Fais-moi jouir !
- Tu veux jouir, petite dévergondée ? s'écria Charlotte. Alors, à genoux, et tourne-toi ! Vous aussi, Mademoiselle Frei !



Côte à côte, les deux amies tendirent leur croupe à la quinquagénaire. Prenant son phallus de cuir en main, elle l'amena à l'orée de la fente de l'infirmière et le fit glisser à plusieurs reprises de toute sa longueur contre le sillon ruisselant. Lorsqu'il fut bien lubrifié des sécrétions intimes d'Emmanuelle, elle se recula un peu, l'appliqua sur l'anus palpitant et s'y engouffra d'une longue et inexorable poussée.



La jeune fille, le souffle coupé par cette lente progression qui l'écartelait, ouvrit la bouche en une longue plainte inaudible, se crispa convulsivement autour du formidable engin qui lui transperçait les entrailles et jouit immédiatement sans que Charlotte Pittet eût à faire le moindre va-et-vient. Lorsque le phallus se retira, elle s'écroula contre le cuir du canapé, le cul encore offert dévoilant son anus distendu.



- On va voir si tu es plus résistante que ta copine... ricana la vieille avocate en se plaçant derrière Rosalie.



Elle posa une main au niveau de la cambrure des reins de son assistante, la fit glisser sur la courbure du fessier et, d'un index investigateur, pénétra le vagin encore tout englué.



- Pas besoin de lubrifier cet orifice !

Elle n'eut qu'à appuyer légèrement pour que l'engin s'engouffre profondément dans le ventre de Rosalie. Celle-ci, qui avait déjà joui plusieurs fois en peu de temps, n'atteignit l'orgasme qu'après que le gode-ceinture lui eût fouillé son fourreau pendant pas loin d'un quart d'heure.



Madame Pittet était tout aussi épuisée qu'elle après cette chevauchée fantastique. Haletante, elle ordonna à Emmanuelle :

- Maintenant, tu vas me lécher, petite chienne !

Reconnaissante du plaisir que l'avocate lui avait procuré quelques minutes plus tôt, la jeune infirmière enfouit sa tête entre les cuisses de la quinquagénaire et s'appliqua à introduire sa langue le plus loin possible dans le conduit intime de madame Pittet, tout en alternant avec des succions de son clitoris, qu'elle avait très développé.



Lorsqu'elle lui introduisit un doigt dans son petit trou, l'avocate se mit à proférer des obscénités que l'on ne pourrait imaginer sortir de la bouche de cette bourgeoise à l'aspect habituellement austère :



- Bouffe-moi la chatte, espèce de salope ! Sale gouine, tu aimes les vieux trous comme le mien ? Eh bien, régale-toi, petite pute ! Lèche ! Avale-moi ! Oui... comme ça... Aaaah !



Elle fut prise d'une jouissance irrépressible qui la laissa pantelante.



Georges, demeuré à l'écart, le dard agité de spasmes, avait suivi avec intérêt les ébats des trois femelles ; mais à présent, il ne pouvait plus contenir son envie.

- À genoux, les jeunes gouines ! Vous allez me sucer toutes les deux !



Devant tant d'autorité, Rosalie et Emmanuelle s'exécutèrent. Agenouillées côte à côte devant Maître Pittet qui dardait une bite congestionnée, au bord de l'éjaculation, l'une se saisit du membre tandis que l'autre prenait ses couilles en main. Elles commencèrent à le caresser.



- Vos bouches, salopes !



Les deux amies approchèrent leur bouche de cette pine majestueuse prête à cracher son venin et, disposant leurs lèvres de part et d'autre de la hampe noueuse, elles les firent courir le long de cette verge arrogante, avalant chacune à leur tour ce gland tuméfié qui laissait perler des gouttes annonciatrices d'un plaisir imminent.



- Vos langues, maintenant, sur le frein ! Léchez-le !



Emmanuelle et Rosalie joignirent la pointe de leur langue sous le gland de l'avocat où elles entamèrent un ballet frénétique sur cette partie si sensible, les langues se mêlant parfois pour un baiser sensuel.



- Charlotte, à genoux devant moi, vite !



Son épouse eut à peine le temps de prendre place qu'un jet de sperme phénoménal vint s'écraser sur son front. Un deuxième atteignit ses yeux ; les suivants achevèrent de lui maculer le visage tandis que son mari hurlait de plaisir.



Après quelques instants, Rosalie adressa un clin d'œil à son amie et lui souffla à l'oreille :

Je te l'avais bien dit : avec mes employeurs, le sexe, c'est un exercice de haut niveau !



- Vous croyez vous en tirer comme ça, Mesdemoiselles ?

La vieille avocate fixait les deux jeunes filles d'un regard furieux, le visage englué du sperme de son mari. S'asseyant sur un fauteuil, elle ordonna sèchement :
- Debout, chiennes lubriques que vous êtes ! Approchez, et venez rendre hommage à la semence de mon époux. Nettoyez-moi le visage ; avec vos langues, bien sûr... termina-t-elle en ricanant de manière sardonique.



Intimidées, Emmanuelle et Rosalie rejoignirent Charlotte Pittet et se placèrent de part et d'autre des larges accoudoirs.

- Alors, qu'attendez-vous, petites pouffiasses ? Léchez ! Régalez-vous !

Les deux amies s'inclinèrent pour amener leur visage à hauteur de celui de l'avocate et commencèrent à recueillir le sperme à l'aide de leur langue.



Excitée par la dépravation qu'elle leur imposait, Charlotte sentit des picotements envahir sa vulve qui s'humidifia et se mit à palpiter. Écartant ses lèvres intimes d'une main, elle s'enfila le manche de la cravache dans le vagin et le fit aller et venir tandis que les jeunes filles s'évertuaient à nettoyer son visage, déglutissant ponctuellement lorsque leur bouche s'emplissait du liquide gluant encore tiède.

- Aaah...
- Vous jouissez encore, chère amie ?



Maître Pittet était étonné de découvrir les ressources insoupçonnées de son épouse ; mais l'avocat, reprenant le dessus sur l'homme, Georges ordonna :

- Cessez tout cela ! Toutes les trois ! Charlotte, allez vous essuyer le visage dans la salle de bain. Mademoiselle Perrin, rentrez chez vous ; nous nous reverrons demain pour discuter en détail de votre affaire. Et vous, Rosalie, restez ici : j'ai à vous parler.

Les trois femmes obéirent à l'injonction et Maître Pittet attendit que sa femme et Emmanuelle fussent sorties de son bureau pour s'adresser à son assistante :

- Vous me troublez, vous savez ?
Comment cela ?
La séance de cravache avec mon épouse. Je n'avais ordonné que trois coups et vous, vous en avez redemandé. Au vu de ce que vous m'avez montré jusqu'à présent, cette attitude ne colle pas. Alors, pourquoi avez-vous fait cela ?
- J'ai pensé que cela vous ferait plaisir de me voir ainsi.
- Eh bien, vous avez eu tort. Au contraire, cela m'a profondément déçu, Mademoiselle Frei.



Sans répondre, Rosalie sourit à son employeur et enlaça celui-ci en lui donnant un sulfureux baiser sur les lèvres. Maître Pittet voulut lui rendre son baiser, mais la jeune avocate s'était déjà retirée.

- Ce baiser, c'était pour m'excuser de vous avoir déçu. Et maintenant, je vais me racheter...



Rosalie s'agenouilla devant son patron et approcha ses lèvres de son sexe. Elle suçota le gland quelques secondes durant puis, la queue de son employeur étant parvenue à son plus haut niveau de fermeté, la jeune femme se positionna à quatre pattes sur le sofa et invita Georges à s'asseoir à ses côtés. Lorsqu'il l'eût rejointe, Rosalie se releva et se plaça debout devant son patron, dos à lui.

- Afin de réparer mon erreur, je tiens à vous offrir un petit cadeau. Votre épouse n'a fort heureusement - pas pensé à le visiter. Je veux donc que ce soit vous qui me preniez par là le premier.



Sans attendre de réponse de son employeur, la jeune avocate se saisit du sexe de son employeur et s'assit progressivement dessus. Malgré la douleur intense qui la traversait de part en part, elle poursuivit sa descente le long de la colonne de chair.
Finalement, après quelques lents va-et-vient sur la queue de Maître Pittet, la jeune assistante ne ressentit plus aucune douleur et se mit à accélérer ses mouvements, lui faisant ainsi comprendre qu'elle était prête à être baisée.



Georges prit Rosalie par les hanches et l'abaissa fermement sur son sexe rigide, puis il la souleva pour l'abaisser une nouvelle fois sur sa queue toute raide d'excitation. Il accéléra son mouvement, ne manquant pas de faire crier de plaisir la jeune fille dont les seins ballotaient au rythme de ses mouvements.



N'ayant pas l'habitude de prendre une femme par derrière, l'avocat sentit qu'il allait éjaculer sous peu ; il souleva son assistante pour que son sexe émerge de son arrière-train défoncé.



- À genoux !



L'ordre avait claqué, sec. En professionnelle qu'elle était, Rosalie obtempéra et, devinant instinctivement ce que Georges désirait, ouvrit la bouche et tira la langue. Maître Pittet se leva et se branla pendant quelques secondes avant de se répandre en abondance dans la bouche offerte.



Sans hésiter, Rosalie avala tout le sperme de son employeur. Épuisé, l'avocat se rassit sur le sofa en poussant un long râle d'aise. Son assistante le rejoignit et l'enlaça, ses seins lui touchant l'épaule. Tout en lui caressant le visage, elle lui susurra à l'oreille :



- Maître, il m'est venu une idée. Je pense que vous allez l'apprécier...
- Allez-y, Rosalie. Quelle est-elle ?
- Eh bien, j'ai remarqué que votre épouse avait un penchant pour le sadisme et les jeux sadomasochistes. Je pense que ces goûts lui sont venus du fait que vous ne lui faisiez pas assez l'amour, préférant le faire à d'autres femmes. Par conséquent, sachant par expérience qu'il y a beaucoup d'hommes qui apprécient d'être soumis, je pense - sans vouloir vous offenser ni discréditer votre épouse - que la meilleure façon pour elle d'être utile à ce cabinet, ce serait de louer un appartement dans lequel elle pourrait laisser libre cours à ses envies, moyennant un peu d'argent.
- Si je comprends bien, vous suggérez que Charlotte se prostitue ?
- Je ne voulais pas vous le dire comme ça ; mais, oui, c'est cela l'idée.



Georges fixa son assistante pendant quelques longues secondes avant de répondre en affichant un sourire satisfait :

Fantastique ! Quelle excellente idée, Mademoiselle Frei ! Je pense que, désormais, je peux vous faire suffisamment confiance pour vous accorder des parts de la société. Dorénavant, je vais faire transférer dix pour cent de mes parts et vingt de celles de mon épouse, sans compter le tiers de celles de mon associé qui partira en retraite à la fin de l'année. Vous toucherez également la moitié de l'argent des passes de mon épouse.



- Merci, Monsieur.
- Mais à une condition : vous serez ma maîtresse, ce qui veut dire que, dès que je le souhaiterai, vous me servirez de vide-bourses. Bien sûr, je souhaite toujours que vous fassiez correctement votre travail au sein du cabinet. Acceptez-vous ce pacte, Mademoiselle Frei ?
- Avec plaisir, Monsieur.
- Très bien. Maintenant, rentrez chez vous et reposez-vous bien. Demain, nous parlerons tous les quatre de cette stratégie que vous m'avez proposée.
- Tous les quatre ?
- Oui ; je pense que votre amie sera également intéressée par la nouvelle. J'ai également une petite proposition pour elle : vous saurez tout demain. Sur ce, bonne soirée à vous et reposez-vous bien.
- Bonne soirée, Monsieur.



En rejoignant son domicile, la jeune avocate n'avait qu'une envie : retourner au cabinet des Pittet le plus rapidement possible afin de poursuivre son projet de séduction.