La quarantaine : Rencontre avec Alice - 1 (publié par Davidhandballeur le 20-11-2019)
La quarantaine : Nuit avec Jessica - 2 (publié par Davidhandballeur le 21-11-2019)
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D'après https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,evolutions,36908.html
La quarantaine : Rencontre avec Alice - 1
La première fois que je vois Alice, elle est en train de boire un café à la terrasse du bistrot, qui est situé juste en face de l'entreprise dans laquelle je suis cadre.

Cette superbe femme à qui je donne entre 30 et 35 ans me plaît énormément dès que je l'aperçois. Elle a un visage magnifique aux traits harmonieux, même si ses yeux sont cachés derrière des lunettes de soleil équipées de verres fumés. Ses cheveux blonds longs lui donne une belle allure.

Cette coiffure a le mérite de dégager entièrement son front légèrement bombé, et ses oreilles de taille moyenne et bien dessinées, que je trouve mignonnes. Mais bien qu'elle soit magnifique, elle est, je pense, le genre de femme qui ne cherche pas à attirer l'attention.

Cela ne m'a pourtant pas empêché, alors que la plupart des tables de la terrasse sont occupées, de ne voir qu'elle.

Bien qu'elle soit assise, j'ai tout de suite remarqué qu'elle est de petite taille, puisqu'elle ne doit pas dépasser le mètre soixante, et que malgré sa manière de s'habiller, elle a une silhouette attrayante. En effet, bien qu'il fasse soleil nous sommes fin mars, et les températures sont encore fraîches à l'ombre. Par conséquent, elle porte un chandail ample, qui part de son cou pour arriver jusqu'à ses fesses.

Néanmoins, son vêtement n'empêche pas de remarquer qu'elle a une poitrine généreuse. Le bas de son corps est couvert par un jean délavé lui aussi large, et elle a aux pieds des chaussures de sport.

Par chance, la table située directement à gauche de la sienne est libre, et bien que j'aie déjà bu mon café dans le restaurant dans lequel je prends en semaine tous mes repas de midi, je m'y assieds et j'en commande un deuxième. Lorsque je tourne la tête vers cette belle inconnue, cela la fait rougir, cependant elle ne se dérobe pas à mon regard.

Seulement comme nous sommes côte à côte et face à la rue, je ne veux pas me faire trop insistant, d'autant plus que je ne sais pas quoi lui dire pour l'aborder.

J'ai eu un coup au cœur, lorsque je remarque au moment où la jeune femme prend sa tasse pour la porter à sa bouche, qu'elle a une alliance glissée à son annulaire gauche. Je me dis alors que c'est en accord avec ce qu'a été ma vie jusqu'à présent, puisque toutes celles qui m'ont vraiment intéressé étaient déjà prises.

Et comme je ne suis pas un coucou qui va s'installer dans le nid des autres, je suis resté à la place qui a trop souvent été la mienne, celle du célibataire. C'est pour cette raison que je n'essaie pas d'engager la conversation avec celle-ci, même si j'en ai très envie, et nous en restons là.

L'inaccessibilité de cette superbe créature, selon les règles que je me suis moi-même fixées, ne m'a pas empêché de changer mes habitudes ; puisque j'ai pris celle de ne plus boire mon café au restaurant, mais dans ce bar, en choisissant à chaque fois une table la plus proche possible de celle qu'elle occupe. Mon seul but étant d'essayer de me rassasier de sa beauté, sans tenter d'aller plus loin, avant de pouvoir passer à un autre fantasme.

Ce petit jeu dure quelques semaines, au cours desquelles celle dont je ne connais pas encore le prénom m'accueille jour après jour avec un sourire de plus en plus franc, qui finit même par devenir chaleureux.

Comme si nous devenions peu à peu des amis, tout en restant de parfaits étrangers.

Que dire de son sourire, si ce n'est qu'avec ses coins de bouche qui remontent pour former des fossettes au bas de ses joues, et ainsi dévoiler ses jolies dents blanches alignées de façon symétrique ; qu'il est éclatant et qu'il illumine ma journée.

Bien entendu, à chaque fois j'essaie de l'observer de manière discrète, mais la belle inconnue n'est pas dupe, puisqu'elle me dédie de plus en plus souvent une petite moue ironique. Mais étant donné qu'elle n'a pas l'air contrariée, je continue comme si de rien n'était.

Son visage, pas plus que ses ongles taillés courts, mais avec soin, ne supporte aucun artifice. Son nez est droit et de longueur moyenne, avec des narines légèrement charnues, et sa lèvre inférieure est pulpeuse, mais juste ce qu'il faut. Son menton volontaire possède en son milieu une légère fossette. Ses yeux que je découvre en dernier, à cause de ses lunettes de soleil qu'elle ne quitte que rarement, sont d'un marron clair lumineux, et surmontés par des sourcils noirs apparemment pas épilés, ou alors de façon subtile.

Sa poitrine, bien que toujours cachée se confirme être de belle taille, étant donné que jour après jour, les températures augmentent, et la jeune femme finit par ne plus porter que des t-shirts. De plus, elle a de petites mains aux doigts fins, et également de petits pieds, puisqu'à vue d'œil, elle ne doit pas chausser plus qu'un 36.

Malgré mon attirance pour elle, je n'ai toujours pas le courage d'engager la conversation. En effet, qu'est-ce que je pourrais bien raconter à cette femme mariée sans passer pour un dragueur lourdingue, alors qu'elle vient ici juste pour boire son café, et probablement après avoir déposé ses enfants au lycée, qui se trouve à une centaine de mètres de l'endroit où nous nous trouvons.

Nous sommes à présent fin mai, et cela fait deux mois que je vois cette femme toujours assise à la même place, comme si cette dernière lui était réservée. Mais en ce vendredi, elle ne m'accueille pas avec son beau sourire, étant donné qu'elle est agacée. Pas par moi, mais par un type qui à la table à côté de la sienne, est en train de la draguer ouvertement et sans aucune finesse.

En les voyant, et tandis que je m'approche d'eux, je prends immédiatement une décision qui va chambouler le cours de nos petites vies tranquilles, et donner un coup de pied au destin. Je vais directement jusqu'à eux, tout en sachant qu'à cet instant, je joue gros, mais lorsqu'elle lève la tête vers moi, je vois le beau visage contrarié de la jeune femme s'illuminer. Alors je me penche en avant, et je sens pour la première fois son parfum discret, que sans être un expert, je définis comme étant boisé. Tandis que ma bouche s'approche de la sienne, elle ne se dérobe pas, c'est par conséquent rasséréné que je dépose un chaste baiser sur ses lèvres, sous le regard médusé de son voisin, avant d'aller m'asseoir tranquillement en face d'elle.

Elle me dédie alors son magnifique sourire, tandis que le type qui vient probablement de se rappeler subitement qu'il a autre chose à faire et ailleurs, hèle le serveur pour régler sa note. Afin d'enfoncer le clou, je demande à l'inconnue qui n'en est plus vraiment une :
- Tu as eu le temps d'aller chercher mes costumes au pressing ?
Elle me répond du tac au tac, avec une voix que je découvre à la fois douce et grave, étant donné que je ne l'ai jamais entendue avant aujourd'hui :
- Oui mon Amour, ils sont dans la voiture.
Puis nous nous regardons droit dans les yeux en souriant, sans ajouter un mot.

Une fois que le type est parti, l'air on ne peut plus dépité, je dis à ma fiancée d'un instant :
- Je pense qu'il aura compris la leçon, par conséquent je vais vous laisser.
Elle paraît étonnée, et cette fois elle hésite avant de répliquer :
- Mince ! Je pensais qu'on se tutoyait, et qu'il était de mon devoir de vous payer au minimum un café, pour vous remercier de m'avoir tirée de ce mauvais pas.
Puis elle ajoute en rougissant :
- Moi qui me désespérais de vous voir faire un jour le premier pas, j'étais loin de m'imaginer que vous en feriez aussitôt après deux à reculons.
Je lui réponds tristement :
- Vous êtes une très belle personne, et après tout ce temps, vous ne devez plus avoir aucun doute au sujet de l'admiration que je vous porte. Mais voyez-vous, j'ai des principes, et l'un d'entre eux veut que je ne courtise jamais les femmes mariées.

Elle devient immédiatement écarlate malgré son teint mat, et je me dis que c'est à cause du compliment que je viens de lui faire. Mais elle me détrompe en partie, lorsqu'elle réplique une fois qu'elle s'est suffisamment remise de ses émotions :
- Je ne porte mon alliance que par habitude, mais aussi pour décourager les fâcheux. Cela marche la plupart du temps, mais comme vous avez pu le constater tout à l'heure, ce n'est pas fiable à cent pour cent.
Je lui demande alors, avec une pointe d'espoir dans la voix :
- Vous êtes divorcée ?
- Non, veuve.
C'est à présent mon tour de me sentir confus, et je ne peux que lui dire :
- Toutes mes condoléances.
- Je vous remercie. Mais vous savez, ça fait 10 ans que mon mari nous a quittés, alors j'ai eu le temps de faire mon deuil.

Moi qui ai toujours pris soin de ne jamais juger les autres selon les apparences, un autre de mes principes, je me sens à présent idiot, et comme d'habitude, je ne sais pas quoi dire. Alors nous nous regardons en silence, mais celui-ci au contraire de tous ceux qui ont eu lieu avant lui, dans le même genre de situation, mais avec d'autres personnes, ne me semble pas pesant. Il est au contraire empli de sérénité, et je pense à ce moment-là qu'il ne doit pas être trop éloigné du parfait bonheur. Je remercie machinalement le serveur lorsqu'il m'apporte comme tous les jours un café, et c'est la belle jeune femme qui rompt le silence, en me disant :
- Bien entendu, le café est pour moi, et je m'appelle Alice.

Je lui tends alors une main qu'elle prend sans hésiter, et je trouve la sienne à la fois douce et chaude, tandis que je lui réponds :
- Alice est un très joli prénom, et vous le portez bien. Le mien est Laurent.
Pendant la demi-heure qui suit, nous commençons à faire connaissance, et nous reprenons le tutoiement de façon assez naturelle. Alice m'apprend qu'elle aura 35 ans cette année, qu'elle est maman de deux filles qui sont de fausses jumelles, qui s'appellent Léo et Léa, et qui vont avoir 18 dans un peu plus d'un mois et demi. Elle me l'a dit en rougissant légèrement et en m'observant, s'attendant peut-être à une réaction négative de ma part. Mais elle paraît soulagée lorsque je lui souris, avant de répondre que j'ai 45 ans, que si je suis célibataire, j'ai été moi aussi marié, mais que je suis divorcé, et que j'ai un fils qui pour sa part a 22 ans. Je ne suis absolument pas choqué par le fait que cette femme ait eu des enfants aussi jeune. Ni lorsqu'elle m'avoue ensuite en s'empourprant encore un peu, que son mari avait 28 ans de plus qu'elle. Qu'elle l'a épousé alors qu'elle n'en avait que 16, après avoir été émancipée par ses parents, qui étaient des amis à lui. Et elle devient carrément écarlate, lorsqu'elle ajoute que jusqu'à aujourd'hui, il a été le seul et unique homme dans sa vie.

Je ne pensais pas que nous irions si vite, pour ce qui est de nous raconter les détails intimes de nos vies respectives, et au moment où je m'apprête à lui parler de moi de manière plus circonstanciée, je reçois un message sur mon téléphone portable. Il s'agit de mon ami Marc avec qui je travaille, et qui me dit :
Elle a l'air canon, la nana que tu es en train de draguer à la terrasse du bistrot d'en face. Mais je te rappelle qu'on a une réunion à 14 heures !
Je regarde alors ma montre, pour constater qu'il est déjà deux heures moins le quart, et je dis à Alice sur un ton désolé :
- Cette conversation est passionnante, mais je viens de me faire rappeler à l'ordre, et il faut que je retourne au boulot.

Elle me fait un sourire, avant de répondre :
- Ce n'est pas la peine de t'excuser, car tout le monde n'a pas la chance de pouvoir vivre sans avoir besoin de travailler. Mais j'espère que nous aurons l'occasion de continuer à papoter plus tard.
Pris d'une inspiration subite, je lui demande :
- Tu es libre ce soir ? Car si c'est le cas, on pourrait aller dîner au restaurant.
- Euh... eh bien. Je suppose que mes filles sont à présent assez grandes pour rester seules à la maison...
Je comprends alors qu'elle n'a pas l'habitude de sortir, même avec des amis, puisqu'elle m'a déjà avoué que les hommes sont absents de sa vie. Par conséquent, j'ajoute de peur d'être allé un peu trop vite en besogne :
- Ce sera en tout bien tout honneur, juste pour apprendre à mieux nous connaître.
Cette remarque la fait sourire, nous échangeons nos numéros de téléphone, et je la quitte en la laissant payer mon café, comme elle me l'a gentiment proposé. L'après-midi se passe pour moi comme si j'étais sur un petit nuage, étant donné que cette réunion qui a son importance ne dure qu'une demi-heure. J'échange des textos avec ma nouvelle conquête.

C'est moi qui lui envoie le premier :
- Quel genre de cuisine tu aimes ?
- Toutes, à condition que ce soit sans chichis. J'aime les choses simples.
- Moi aussi. Italien ça te va ?
- Étant donné que je suis à moitié ritale, ça devrait le faire.
Un peu plus tard, c'est elle qui engage une nouvelle conversation :
- Tu aimes les femmes qui se maquillent ?
- Non.
- Et celles qui portent des chaussures à talons ?
- J'adore ! Surtout lorsqu'une fois qu'elles les ont mises, elles sont toujours plus petites que moi...
- lol.
Et enfin, un peu avant de terminer ma semaine de travail, je lui envoie un nouveau message :
- Si tu veux que je vienne te prendre chez toi, il faudrait que tu me donnes ton adresse...
- 25 impasse des alouettes.
- OK. J'ai réservé pour 8 heures, par conséquent je passerai te prendre vers 7 heures 30.
- J'ai hâte d'y être, et je serai prête.
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La quarantaine : Nuit avec Jessica - 2
D'après [https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,etait-une-simple-soiree,25521.html]
Cinq ans plus tôt, ce samedi soir du mois de mai, j'allais manger au restaurant avec deux très bons et vieux amis. Il y a quelques mois que nous n'avions pas passé de soirée tous les trois et il m'est particulièrement agréable d'être en leur compagnie. Nous mangeons très bien puis nous allons boire quelques verres dans un bar. Il est passé 2h du matin quand nous entrons dans une boite du nuit. Il y a des années que je n'y ai pas mis les pieds. Eux non plus. Un autre verre. L'alcool aidant, nous nous retrouvons sur la piste de danse. Il faut dire que je n'ai jamais eu le moindre sens du rythme, mais après quelques minutes, la spontanéité éthylique de mon déhanchement semble plaire à une jolie blonde qui me sourit avant de venir se coller à moi durant quelques instants.

Elle prend ma main, je la fais tourner. Sa courte robe noire et sa tenue me surprend agréablement. La jeune femme revient contre moi, je pose mes mains sur ses hanches. Cette fois, elle frotte carrément ses fesses contre mon entrejambe. Mes amis sont hilares.

Je propose un verre à ma partenaire qui décline. Mais elle me demande de revenir danser après. Nouveau verre avec mes compères. Je tombe sur un ancien collègue et entame la discussion avec lui. Fatigués, mes amis veulent s'en aller. Mon ex-collègue me donne une bonne raison de rester, bien plus discrète qu'une jolie blonde sur la piste. Ils partent. Comme ils sont venus me chercher en début de soirée, je n'ai pas la voiture, mais je prendrais un taxi. Peu de temps après leur départ, je prends congé de mon vieux camarade et retourne sur la piste. Elle est là :
- J'ai cru que tu ne reviendrais plus.
- Pouvais-je seulement te poser un lapin ?
Elle sourit, regarde alentours.
- Tes amis sont partis ?
- Oui.
- Tu t'appelles comment ?
- Florent. Et toi ?
- Jessica. Mais tout le monde m'appelle Jess.

Son parfum m'enivre un peu plus. Je n'ai d'yeux que pour cette jeune femme qui est en train de me rendre fou. Nous dansons encore une dizaine de minutes puis Jessica revient tout près de moi :
- Je suis fatiguée et j'ai un peu faim. On s'en va ?
J'acquiesce de la tête. Jessica me prend par la main et nous nous faufilons au milieu des danseurs jusqu'à une table autour de laquelle se trouvent quatre filles. Jessica crie à ses amies :
- Je vous présente Florent.
Puis à mon intention :
- Voici Vanessa, Caroline, Jennifer et Élise !
Un sourire et un hochement de tête pour les saluer. Jessica discute avec ses amies en prenant sa veste. J'observe les quatre filles. Vanessa est une petite brune à l'épaisse chevelure noire et bouclées.

Sa robe noire foncée moule en cache cœur une époustouflante poitrine.

Assise à l'extrême gauche, elle est la seule que je vois en entier et je jette un coup d'œil intéressé à ses jambes gainées de nylon, notamment ses cuisses rondes, en haut desquelles apparait la dentelle de sa jarretière. Ce qui, à mes yeux, lui fait gagner quelques années.

A sa gauche, Caroline, une blonde qu'on croirait créée dans le même moule que Jess.

Yeux verts en amande, rouge à lèvres flashy en rupture avec son teint très clair et son haut blanc à col carré, bien plus sage que celui de sa "jumelle".

La troisième fille, dénommée Jennifer, est celle qui me regarde le plus souvent. Un regard noir sous des sourcils épais et bien taillés, une bouche minuscule très rouge elle aussi, des cheveux noirs et bouclés, attachés en queue de cheval. Je ne sais pas pourquoi mais je trouve qu'elle dégage un côté mystérieux.

Enfin, Élise que j'aperçois en vitesse car sa silhouette est ensuite masquée par Jessica. Je ne vois en fait que ses pieds et ses talons compensés vertigineux.

Jessica tourne vers moi un visage contrarié.
- Vanessa est fatiguée. Ça te dérange si on la raccompagne ?
- Non, non.
La petite brune se lève et nous sortons après avoir saluée les trois filles. C'est au dehors que je me rend compte de la beauté de Jessica et notamment ses immenses et si fines jambes, mises en valeur par des talons hauts.

Avec Vanessa, le contraste est saisissant entre la grande mince et la petite rondelette, la blonde et la brune, les cheveux lisses et les boucles. Nous marchons une vingtaine de minutes quand Jessica lance un juron :
- Merde ! J'ai gardé les clés de Jenny ! Elle ne va pas pouvoir rentrer chez elle !
Elle prend son smartphone et appelle son amie. Pas de réponse. Elle envoie un message. Attends. Rien.
- Elles n'entendent rien là-bas. Merde ! Il faut que j'y retourne.
Je lance :
- J'y vais si tu veux, j'aurais plus vite fait.
- Non, non, c'est bon. Je connais le videur qui me laissera entrer car toi, il te fera repayer. Donne-moi ton numéro, on se retrouve à la boulangerie de la place.
Nous échangeons nos numéros et elle file.

Cinq minutes plus tard, Vanessa et moi arrivons à une intersection. Le chemin de la boulangerie est celui de gauche. Vanessa me dit :
- Je n'habite pas loin, je peux y aller seule.
- J'ai du temps alors je peux t'accompagner jusqu'au bout.
Elle sourit et me remercie. Nous traversons un parc très arboré et apercevons un immeuble de taille moyenne.
- J'habite là.
Elle s'arrête alors que nous sommes encore dans le parc. Elle hoche la tête en souriant :
- Je préfère que mon père ne me voit pas arriver avec un homme.
Je souris et répond :
- L'homme voulait te dire que tu es une femme magnifique, tout à fait désirable.
Elle sourit en baissant les yeux. Il me semble qu'elle rougit. Je poursuis:
- Tu dois avoir un sacré succès auprès de la gente masculine.
Le sourire disparait :
- Ils ne doivent pas avoir les mêmes goûts que vous.
Ce visage, ces yeux, ce regard et cette adorable bouche ourlée.

Je dépose un rapide baiser sur ses lèvres. Ses yeux parlent pour elle et je l'embrasse alors délicatement. Sa bouche s'ouvre et nous langues s'emmêlent. Mes mains glissent sur son corps, ses hanches, ses fesses. Sous sa robe, je caresse un large cul. Vanessa tressaille :
Non.

Sans un mot, Vanessa prend ma main. Nous nous dirigeons vers l'immeuble, mais juste avant de sortir du parc, elle bifurque à droite et m'entraine derrière une serre. Nous descendons trois marches pour en atteindre l'entrée. Coincé entre la serre et une haute haie, chapeauté par une épaisse branche de sapin, l'endroit est on ne peut plus discret. Vanessa se jette à mon cou et m'embrasse à nouveau. Je reprends vite mon exploration sous sa robe. Je dois remonter tout en haut des fesses pour trouver trace d'un string qui n'est qu'une ficelle. A bout de souffle, elle cesse de m'embrasser.

J'entreprends de déboutonner lentement son manteau. Appuyée sur le muret, elle ne dit rien, regarde ma main qui ouvre les pans de sa veste et respire plus vite. Je pose les mains sur ses hanches puis remonte jusqu'à ses gigantesques seins. Elle halète toujours autant. Je constate avec ravissement que sa robe n'est fermée qu'à l'aide d'une boucle en double D. Je peux l'ouvrir en tirant simplement dessus. Je l'embrasse à nouveau, insistant sur ses seins puis ma main gauche glisse entre les pans de sa robe et se pose sur sa cuisse nue juste au dessus de son bas.
- J'ai adoré apercevoir la dentelle de tes bas quand tu étais assise à table.
Je... Oui ?... C'est la première fois que j'en mets.

J'écarte les deux pans au bas de la robe. Ses jambes sont découvertes, tout comme son entrejambe. Je m'y agenouille, embrasse l'intérieur des cuisses de Vanessa et remonte jusqu'à son string noir que j'embrasse et lèche. Elle ne dit rien, respire fort et vite.

J'écarte le string et me délecte de son abricot odorant, couvert d'une fine couche de poils compacte et bien taillée.

Il ne faut que quelques secondes à Vanessa pour jouir. Puis, inquiète, elle me repousse, ferme sa robe.
- Je ne dois... Il ne faut pas.

Je recule et lui souris. Elle dit :
- Il faut que j'y aille.
Elle vient m'embrasser. Je lui dis :
- J'ai quand même très envie de tirer sur cette boucle.
Elle sourit en regardant le double D. J'ajoute :
Et je défais ma ceinture. Donnant-donnant !

Elle éclate de rire, ne répond pas. Nouveau baiser. Je commence à ouvrir ma ceinture, puis mon jeans. Vanessa recule et observe. Je descends mon boxer et sors ma queue tendue comme arc. Je l'invite à revenir m'embrasser. Elle n'ose pas s'appuyer contre moi. Je prends sa main et la pose sur ma hampe. Vanessa tremble. Je monte et descends sa main le long de mon sexe avant de la lâcher. Elle poursuit lentement et j'attrape la boucle de sa robe. J'attends. Nos regards se croisent. Je tire sur la boucle.

La robe s'ouvre. Je ne vois plus que ses seins. Ou plutôt, on ne voit que ça. Deux énormes mamelles retenues dans un soutien-gorge noir. Je les embrasse l'une après l'autre. Dessus. Vanessa sourit.

Tu es incroyablement belle et attirante, Vanessa.

Je l'attire contre moi, la forçant à lâcher mon sexe. Je plie les genoux afin d'avoir ma verge contre son string. Nous nous embrassons goulûment. Je passe les mains sous sa robe, sur ses fesses et maintiens ses hanches contre les miennes. Je fais de petits mouvements de haut en bas. Elle me regarde droit dans les yeux. Je lui dis :
- Écarte ton string...

Elle fait non de la tête mais sa main fait l'inverse. Vanessa souffle :
- Pas dedans.
Ma bite glisse désormais contre sa vulve et entre ses lèvres humides. Je suis surexcité :
J'ai terriblement envie de faire l'amour avec toi, Vanessa. J'aimerais que nous passions la nuit ensemble.

Vanessa esquisse un sourire dans son excitation. Elle jouit soudain de cette masturbation improvisée. Elle recule, baisse les yeux sur mon sexe puis se penche dessus. Elle le prend timidement dans la bouche, peu à peu, les lèvres pincées. Elle se redresse juste après m'avoir mieux pris en bouche. Elle sourit :

- Là, il faut vraiment que j'y aille.
Elle se rhabille, ferme son manteau. Je fais de même. Elle me donne son numéro de téléphone :
- J'ai mémorisé le tien tout à l'heure.
Je ris. Un dernier baiser. Elle monte les escaliers.
- Vanessa ?
Elle se tourne.
- Soulève ta robe.
Elle rit, attrape sa manteau et sa robe et soulève. Son gros cul et sa culotte de cheval me font fondre. Je lui lance un baiser et elle s'en va.

Je reprends le chemin à l'envers et me dépêche d'aller à la boulangerie. Jessica n'y est pas. Je prends un croissant en l'attendant. Mon téléphone sonne. C'est elle :
- Je viens de ressortir de la boite. J'arrive.
- Prends un taxi.
- Je n'ai pas d'argent.
- Je le paierai. Que veux- tu manger ?
- Un pain au chocolat et un croissant.

Cinq minutes plus tard, je m'engouffre dans la voiture. Qui repart aussitôt. Je dis :
- Où va-t-on ?
Chez moi si ça te va. Mes parents sont absents pour le week-end.

Jessica mange les viennoiseries dans la voiture sous l'œil mauvais du conducteur. Il ne faut qu'une dizaine de minutes pour atteindre une zone résidentielle. La maison est la dernière au bout d'une allée. Il fait nuit mais la distance entre le portail et la maison me laisse pantois. Nous entrons. Jessica allume et... j'hallucine. C'est le grand luxe. Des tableaux, des statues, des dorures, c'est clairement "too much", mais ça fait son effet. Jessica lit dans mes pensées :
- Oui, je sais, ça en jette. Mais c'est moche. Tu peux le dire.
Sur un pas, elle retire ses talons puis sa veste tombe par terre. Elle se tourne vers moi et m'embrasse. Je bande illico.

Jessica me prend la main et nous empruntons un escalier pour descendre au sous-sol. Dans la pénombre, nous traversons un vaste pièce puis un couloir et pénétrons dans une chambre. Elle n'allume pas, préférant tamiser une fine lueur. Suffisant pour se voir, suffisant pour découvrir un lit immense face à une baie vitrée qui ne l'est pas moins. Un bureau encombré, une bibliothèque contenant autant de classeurs que de livres, des tas de vêtements éparpillés, la chambre semble être le QG de la jeune fille.

Je n'ai même pas eu le temps de finir mon "tour d'horizon". Déjà, Jessica est agenouillée devant moi et me suce avec un entrain et une fougue remarquables. Je pose la main sur sa tête, elle me regarde sans ralentir le rythme de sa caresse. 
Quand elle la cesse, c'est pour descendre mon jeans jusqu'à mes pieds, me forçant à le retirer. Elle s'est assise sur le lit, jambes croisées, tout sourire.

- J'adore regarder un homme se déshabiller.
Je ris et poursuis mon strip-tease en retirant ma chemise. Je n'ai plus que mon boxer. Elle dit :
- C'est le moment que je préfère...
Lentement, je descends mon sous-vêtement. Mon sexe est tendu dans sa direction. Elle se mordille les lèvres :
Tu es bien foutu. Sacrément bien foutu. Viens.

Je la rejoins sur le lit. Elle écarte les jambes : elle ne porte rien sous son collant. Je m'allonge sur elle et l'embrasse. Mes baisers, mes caresses, mon corps sur le sien, tout cela l'excite rapidement. Elle dit :
Pénètre-moi ! J'ai trop envie !

Je m'apprête à ôter son collant. Elle proteste :
- Déchire-le ! Je ne peux plus attendre !

J'arrache le nylon humide et mets à nu un pubis juvénile et glabre, certainement le plus appétissant qu'il m'ait été donné de voir de toute ma vie. En glissant mon sexe à l'intérieur, je regrette de ne pas pouvoir y goûter immédiatement. Je pistonne la jeune femme qui gémit bruyamment. Elle jouit et c'est adorable. Je lui dis :
- J'ai envie de te voir nue moi aussi.

Je me retire, Jessica enlève son collant avant de se mettre à genoux pour retirer sa robe. Mince et très svelte, elle a pour seules formes celles de ses hanches. Elle sourit, me repousse dans le lit avant de passer une jambe au-dessus de mes hanches afin de s'empaler sur ma verge. Je la laisse faire. Sensuelle et lascive, elle se balance en douceur et mon plaisir est immense. Elle jouit une nouvelle fois et s'allonge sur mon torse.

- Te regarder aller et venir sur moi était un spectacle somptueux.
Elle rit et me remercie. Puis ajoute :
- Tu n'as pas encore fini ?
- Non.
- Ça me change de l'éjaculateur précoce avec qui je sortais !
Je souris et l'embrasse :
- Je crois que j'adorerai que tu te mettes à quatre pattes.
- Je crois que moi aussi.

J'observe Jessica qui se redresse et se met en position. Dos à moi. Pour que j'aie son entrejambe devant les yeux, mais juste trop loin pour que je puisse la toucher. Ses cuisses fines, son tout petit cul, son abricot ouvert, son anus saillant, je n'avais jamais vu une telle beauté pornographique que sur des sites spécialisés aux photos retouchées.

Je dois me pincer. Je m'agenouille derrière elle et sans dire un mot, je la pénètre doucement. Jessica apprécie manifestement que je sois lent et doux dans les premiers instants.

Elle comprend vite que je suis à son écoute et me fait monter à son rythme. J'éjacule en douceur. Jessica est aux anges.

Après un passage par la salle de bains, je commence à me rhabiller. Jessica fait la moue.
- Tu ne veux pas rester ? J'ai envie de me réveiller dans tes bras.
Désarmant. Mon boxer retourne sur la chaise du bureau et nous glissons sous la couette. Jessica se blottit contre moi.
- Je n'ai peut-être pas beaucoup d'expérience, mais je viens de vivre la meilleure.
- Quel âge as-tu ?
- 22 ans. Et toi ?
- Tu me donnes combien ?
- J'hésite. Je dirais autour de 30 ans.
J'éclate de rire.
- Merci beaucoup, Jess !
- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- J'ai 40 ans.
- Oh merde... Tu as le même âge que mon père !
Je l'ai pas fait de longues études et mes neurones ne sont probablement pas tous connectés à cette heure-là. Mais 40 moins 22, ça fait 18. Et là, il y a un problème. Je la regarde sans rire. Elle comprend son erreur. Je ris un peu jaune :
- Forcément, ça explique mieux que tu dises en pas avoir beaucoup d'expérience. Alors, quel âge ?

Prise la main dans le sac, Jessica sort du lit, penaude, ouvre un tiroir de son bureau et en sort son passeport qu'elle me jette sur le lit :
- 18 ans. Depuis 10 jours.
Je ne regarde même pas ses papiers. Je la regarde elle, nue, sublime et divine. Elle dit :
- Si tu veux t'en aller, vas-y, je comprendrais.
Mon grand âge te dérange tant que ça ?

Elle rit et revient au lit pour m'embrasser. Sa vivacité d'esprit la rend encore plus attirante. De mon côté, ça cogite un peu. Surtout par rapport à Vanessa qui semblait plus jeune qu'elle. Tourner autour du pot :
- Et ce soir, vous fêtiez encore ton anniversaire ?
- Non, la fête, c'était il y a deux semaines. Là, c'était juste une sortie entre copines.
- Tu les connais depuis longtemps ?
- Caroline est ma cousine, nous avons le même âge, elle est comme une soeur.
- Presque une jumelle. Vous vous ressemblez énormément.
- C'est ce qu'on dit, oui. Elise est une copine de classe, je la connais depuis deux mois seulement. Jennifer et Vanessa sont des copines d'enfance. Vanessa a fêté ses 18 ans avec moi.
- Elle les a déjà ?
La question de trop. Je l'ai formulée par réflexe. Jessica observe et répond :
- Elle les aura dans un mois, le 23 novembre.

Je sais que je blêmis malgré moi. Et la lumière tamisée ne m'est d'aucun secours. Jessica éclate de rire :
- On peut dire que tu as de la veine, toi ! Vanessa a eu 18 ans hier !

Son rire se poursuit quelques instants et s'envole avec lui la boule qui venait de se nouer dans mon estomac. La belle blonde ne semble absolument pas jalouse qu'il se soit passé quelque chose avec sa copine. Elle me demande de lui raconter et à mesure que le récit avance, ma bite durcit. A moins que ça ne soit le fait de la main de Jessica qui me masturbe lentement.

Elle ne t'as pas menti pour les bas. C'était la première fois. Mais elle aurait pu ajouter le string et la robe.

Jessica prend une capote dans sa table de nuit. Elle vient à cheval sur moi et glisse mon sexe dans le sien.

Elle poursuit :
- Et tout ce que vous avez fait ce soir. Non seulement Vanessa est vierge, mais elle n'a jamais eu de petit copain. Elle doit être comme une folle à l'heure qu'il est.
- Elle doit surtout dormir.
Jessica rit.
Peut-être, oui. Moi, je n'ai pas encore envie.

Elle me chevauche en accélérant rapidement le rythme. Pour une femme peu expérimentée, elle semble très bien savoir ce qu'elle fait. Elle m'emmène à un orgasme intense. Je souris :
- Quand même de l'expérience, en fait.
Elle s'allonge à mes côtés.
- Je n'ai eu que deux copains. Le premier était doux et vierge. Le second était prétentieux et égocentrique. Avec le premier, j'ai appris à faire l'amour. Avec le second, à baiser.

Nous repassons par la salle de bains. A notre retour dans le lit, nous nous endormons quasi instantanément. Il est près de 6h du matin.

La clarté du jour me réveille à 9h30. Jess dort à côté de moi, à plat ventre. Son petit cul est vraiment à tomber. Face au lit, la vue sur le jardin est sublime. Il semble y avoir une piscine dans le fond. Je me lève, vais aux toilettes et me lave les dents avec mes doigts. Depuis combien de temps n'avais-je pas fait cela ?
- Tu es là ?
- J'arrive.
Jessica est allongée sur le côté, découverte, une beauté affolante. Je la rejoins, l'embrasse. Elle a dû se lever juste avant mon réveil car elle sent le dentifrice elle aussi. Ses intentions sont vite claires, surtout quand elle descend sur mon sexe pour le sucer avec douceur.

Je prends conscience du tableau qui se déroule sous mes yeux : j'ai 40 ans, je suis séparé depuis trois mois, j'ai un fils de 17 ans et je me fais pomper un dimanche matin ensoleillé, dans l'immense lit d'une petite bombe de 18 ans au corps de mannequin.

Une ambivalence des sentiments. De honte et de plaisir.

J'oublie la honte, pour le moment, et attire les jambes de Jess au-dessus
de mon visage pour goûter à son bel abricot humide que je lèche avec
avidité.

L'excitation de Jessica la fait stopper sa fellation pour jouir.

La mienne d'excitation me dicte de passer à son petit trou. J'hésite. La lumière tombe juste sur ce petit orifice noueux. Dois-je ? Puis-je ? Ose-je ? Après tout. Au point où j'en suis. D'abord du bout du doigt. Pas de réaction. Puis ma langue. Après quelques secondes, Jessica arrête de me sucer et pose sa tête sur ma cuisse. Ma langue glisse dans les pourtours de son anus avant de s'immiscer très lentement à l'intérieur.

La belle gémit, son plaisir semble réel, nouveau. Je la pénètre de quelques centimètres avant de déposer un baiser.

Jessica se retourne et me roule une pelle divine.
- C'était... c'était vraiment trop bon !
- Tu avais déjà...
On l'a fait quelques fois avec mon ex, mais il était trop brusque et j'avais mal. Mais il n'a jamais lécher.

Là-dessus, la capote à peine en place, elle m'attire entre ses jambes. Je m'applique particulièrement et j'ai droit à un compliment qui en vaut mille, pour tout mec basique comme moi :
- Tu me fais l'amour comme un Dieu.
Il faut dire que la jolie étudiante en est à son cinquième orgasme. Yeux dans les yeux, notre ébat est pour le moins intense. Jessica attire mon visage, m'embrasse tendrement et dit :
- J'ai envie d'essayer avec toi.
Je la regarde, interdit. Elle précise :
J'ai envie d'essayer la sodomie avec toi.

Elle sourit et rougit intensément. Je me retire. Elle dit :
- Ça te choque ?
- Non, ça me flatte.
Elle rit. Je demande :
- Tu as ce qu'il faut ?
Elle se penche sur sa table de lui.
- J'avais acheté du lubrifiant, mais on ne l'a jamais utilisé.

Effectivement, elle pouvait bien avoir mal. Je la prépare longuement, tranquillement. Jessica est très réceptive. Elle est surprise que je lui parle autant, que je lui demande sans arrêt si "ça va". Quand elle semble prête, elle se met sur le côté, en cuillère, et je glisse mon gland. Après quelques secondes, je m'allonge derrière elle. Je commence mes va-et-vient. Jessica répète que ça n'a rien à voir et que c'est agréable.

Elle me fait stopper au deux tiers de mon sexe et je poursuis mes doux allers-retours jusqu'à cette limite. Jess dit :
- Tu veux me prendre à quatre pattes ?
Je souris.
- J'en rêve, mais ça n'est pas la plus agréable position pour toi.
- Montre-la moi, s'il te plait.
Je me retire lentement et l'attire au bord du lit, sur le dos. Elle lève et plie ses jambes et je me réintroduis petit à petit dans son anus après avoir remis du lubrifiant.

J'atteins rapidement la limite qu'elle m'avait fixée mais dans cette position, elle m'invite à aller plus loin. Jessica prend un pied incroyable quand mes hanches heurtent ses fesses : je suis entièrement en elle.

- Ne jouis pas...
Jessica y tient, c'est la seconde fois qu'elle me le dit. Après plusieurs minutes de sodomie sur le dos, elle me dit d'arrêter. Dès ma sortie, elle roule sur le lit et vient se place au milieu de celui-ci, à quatre pattes. Ce petit cul étroit avec cet orifice ouvert et rougi. Un fantasme. Je me place derrière elle et effectue la sodomie la plus excitante de mon existence.

Je ne peux me retenir d'exploser, trop vite à mon goût, dans ce sublime popotin. Jessica est aux anges et vient m'embrasser avec passion.

Plus tard, nous passons tour à tour à la douche. Je ne dois pas tarder. Mon portable n'a plus de batteries et ma femme doit appeler pour que je récupère mon fils qui est en vacances avec elle. Je finis de me rhabiller alors que Jessica est toujours dans la salle de bains. Sur le bureau traine le passeport que Jess n'a pas rangé. Je le prends en main machinalement et l'ouvre.

Son nom. Son âge aurait pu me faire pâlir, son nom m'horrifie. J'ai chaud, j'ai froid. Je dois partir d'ici sans plus attendre. Jessica sort de la salle de bains et j'essaye de garder mon calme.

Un mensonge, vite.
- Je dois y aller. Je dois aller chercher ma mère à la sortie de la messe à 11h. J'avais oublié.
Ah oui, tu n'es pas en avance.

Elle m'accompagne en peignoir à la porte d'entrée.

Un smack scelle mon départ.

Je cours dans l'allée, le téléphone éteint collé à l'oreille. Le portail s'ouvre et se referme rapidement. Un coup d'œil sur la boite aux lettres confirme ce que je pensais : je viens de passer la nuit, je viens de baiser et sodomiser la fille du directeur de ma boite !
