The Good Place - Épisode 1 (publié par Legul le 21-12-2019)
The Good Place - Épisode 2 - partie 1 (publié par Legul le 10-01-2020)
The Good Place - Épisode 2 - partie 2 (publié par Legul le 22-01-2020)
The Good Place - Épisode 3 - partie 1 (publié par Legul le 03-03-2020)
The Good Place - Épisode 3 - partie 2 (publié par Legul le 09-03-2020)
The Good Place - Épisode 4 - partie 1 (publié par Legul le 17-04-2020)
The Good Place - Épisode 4 - partie 2 (publié par Legul le 28-04-2020)
The Good Place - Épisode 5 - partie 1 (publié par Legul le 05-06-2020)
The Good Place - Épisode 5 - partie 2 (publié par Legul le 22-06-2020)
The Good Place - Épisode 6 - partie 1 (publié par Legul le 15-09-2020)
The Good Place - Épisode 6 - partie 2 (publié par Legul le 25-10-2020)
The Good Place - Épisode 6 - partie 3 (publié par Legul le 26-10-2020)
The Good Place - Épisode 7- partie 1 (publié par Legul le 09-02-2021)
The Good Place - Épisode 7- partie 2 (publié par Legul le 12-03-2021)
The Good Place - Épisode 8- partie 1 (publié par Legul le 13-04-2021)
The Good Place - Épisode 8- partie 2 (publié par Legul le 25-06-2021)
The Good Place - Épisode 9 - partie 1 (publié par Legul le 20-09-2021)
The Good Place - Épisode 9 - partie 2 (publié par Legul le 15-11-2021)
The Good Place - Épisode 10 - partie 1 (publié par Legul le 10-02-2022)
The Good Place - Épisode 10 - partie 2 (publié par Legul le 13-03-2022)
The Good Place - Épisode 10 - partie 3 (publié par Legul le 28-03-2022)
The Good Place - Épisode 11 - partie 1 (publié par Legul le 25-07-2022)
The Good Place - Épisode 11 - partie 2 (publié par Legul le 05-09-2022)
The Good Place - Épisode 11 - partie 3 (publié par Legul le 16-10-2022)
The Good Place - Épisode 12 (publié par Legul le 04-06-2023)
The Good Place - Épisode 13 - partie 1 (publié par Legul le 25-07-2023)
The Good Place - Épisode 13 partie 2 (publié par Legul le 10-08-2023)
The Good Place - Épisode 13 - partie 3 (publié par Legul le 26-09-2023)
The Good Place - Episode 14 (publié par Legul le 14-12-2023)
The Good Place - Episode 14, partie 2 (publié par Legul le 08-02-2024)
The Good Place - Episode 14 - partie 3 (publié par Legul le 28-02-2024)
The Good Place - Episode 15 - partie 1 (publié par Legul le 06-05-2024)
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The good Place.
Jour 1
Un mur vert, quelques chaises vides, une magnifique orchidée dans un pot blanc posé dans un des coins de la pièce... Voilà ce que voit Julien en ouvrant les yeux et en se demandant où il peut bien être. Il regarde ses mains et effleure son visage. Il va bien, il est entier. Pourtant, il a le sentiment que la situation dans laquelle il se trouvait un instant avant était plus que problématique. Mais bizarrement, il n'arrive pas à s'en souvenir précisément...
Son regard se fixe sur des lettres blanches fixées au mur et qui indiquent « le bon endroit ». Comme une enseigne peu inspirée d'un resto ou d'un hôtel low-cost. Il ignore absolument tout de cet endroit et de ce qu'il y fait. Mais il ne tente pas de sortir, comme s'il savait qu'il lui fallait attendre... sans savoir vraiment quoi.
Enfin, une porte s'ouvre juste à côté de l'inscription, et une femme se présente alors dans l'ouverture :
- Bonjour Julien. Entre.
Sans dire un mot, Julien se lève et entre dans une pièce spacieuse mais assez sobre. Devant lui, un grand bureau derrière lequel la femme se rassoit et une chaise, manifestement destinée aux visiteurs comme lui.
Il s'y assoit à l'invitation de la femme, une grande blonde d'un certain âge, entre 40 et 50 ans, à qui Julien trouve beaucoup de charme, malgré leur différence d'âge.

Celle-ci lui sourit et prend la parole :
- Julien, si tu as l'impression d'être perdu, ne t'inquiète pas, c'est normal. Tu peux être tranquille tu es au bon endroit.
- Le bon endroit ? C'est quoi au juste ?
- Un des trois endroits où vont les humains lorsqu'ils meurent...
- Je... Je suis mort ?
- Oh oui ! Et tu n'as pas faits semblant, je dois dire ! Je n'ai pas tous les détails dans mon dossier, mais on m'a parlé de camion, de poutrelles métalliques, d'incendie... Bref, je ne suis pas sûr que tu veuilles en savoir plus mais, oui, tu es mort. Mais encore une fois, pas d'inquiétude, tu es au bon endroit !
- C'est quoi le bon endroit ?? Une sorte de paradis ?
- Haha, oui, si on veut et selon quelle superstition... pardon, quelle religion tu avais sur terre. En gros, chaque humain accumule ou perd des points en fonction de ces actions sur terre et les heureux candidats qui ont assez de points arrivent ici. Comme toi !
Julien blanchit un peu en repensant à son mode de vie sur terre... Il insiste :
- Donc moi, j'ai eu assez de point ? Moi ?
- Oui, bien sûr ! Et largement en plus ! Ton dossier est parfait : travailleur sociale, engagé pour la protection de la nature, accueil de migrants, dons massifs à des associations, polis, non violent, respectueux des femmes, des minorités, des nécessiteux en tout genre... la liste de tes actions bénéfiques est longue. Tu n'as aucune inquiétude à avoir à ce sujet.
Sauf que des inquiétudes, Julien en avait... Car rien de ce que cette femme avait décrit ne correspondait à sa vie. Il se souvient d'alcool, de bagarre, d'infractions répétées à toutes formes de lois ou de règlements et surtout il se souvient de sa vie de débauche. Julien était ce qu'on pourrait appeler un pervers dominateur, un vicelard, un obsédé sexuel ! Il collectionnait les maitresses qu'il traitait comme de la merde, il espionnait et harcelait les femmes autour de lui, il abusait de son pouvoir au travail pour obtenir des avantages en nature.
Les images de sa vie passée lui revenaient alors que Julia, elle, décrivait un sain !

Il le savait : il était un homme abject, à l'opposé de quelqu'un ayant récupéré assez de points pour aller au bon endroit !
- Du coup, ceux qui n'ont pas eu le bon nombre de point, ils vont où ? demande alors Julien, inquiet de ce que devrait être sa place.
- Ils vont au « mauvais endroit ». En gros, ils y sont torturés éternellement par tous les moyens possibles et inimaginables. Et crois-moi que les gens qui s'occupent de cet endroit ont beaucoup d'imagination ! Haha, c'est clair que tu as de la chance d'être ici !
- Ok.... Donc je suis au paradis pendant que d'autres sont en enfer.... Et vous vous êtes.... Dieu ?
- Question classique ! Non, je ne suis pas Dieu... Dieu n'existe pas, désolé... Nous ne sommes que des êtres immortels chargés de gérer l'après mort, avec une organisation assez bureaucratique, je dois dire. Je m'appelle Julia, et je suis l'architecte de cet endroit.
- L'architecte ?
- Oui, c'est moi qui ai tout conçu ici. Viens, allons-nous promener, tu vas comprendre.
Julia et Julien sortent de la pièce et arrivent dans une rue animée, sans aucune voiture, où les piétons vont et viennent en souriant. Partout on voit des petites boutiques, des restaurants, etc. d'où les gens entrent et sortent gaiement et paisiblement. Il règne ici une sorte d'harmonie généralisée qui tranche radicalement avec la vie sur Terre.

Julia explique :
- Au sein du « bon endroit », chaque architecte est chargé de bâtir un quartier pour accueillir des résidants. Les choix des habitants, leur nombre, leur façon de vivre, leur gout, etc. tout est étudié pour que la vie ici soit pour vous idéale, et cela pour l'éternité. Chaque boutique, chaque rue, chaque maison sont parfaitement adaptés aux goûts de nos résidants. Tout est fait pour votre bonheur.
- Cela veut dire que j'ai une maison « idéale » qui m'attend.
- Tout à fait ! Allons la voir...
Ils marchent quelques minutes dans ces rues où tout le monde les salue puis sortent du quartier « commerçant » pour arriver dans une zone résidentielle, où s'alternent des maisons toutes plus différentes et loufoques les unes des autres. Ils s'arrêtent devant la plus petite et plus simple des habitations de la zone, aux couleurs extérieures criardes. Ils y entrent.

A l'intérieur, tout est simple, sobre, sans âme, sans gout... ou alors de mauvais goût ! Julien regarde sa maison et ne comprend pas : tout est à l'opposé de ses gouts de ses envies, alors qu'elle devrait être la maison idéale pour lui.
Julia, pourtant, semble fière d'elle et fait la visite :
- Comme ton mode de vie passé, cette maison est simple et sobre. Il y a des plantes vertes mais rien de superflu, rien d'inutilement confortable. Comme seule décoration, j'ai accroché aux murs les photos de quelques grandes figures que tu adorais : Mère Thereza, l'Abbé Pierre, Gandhi...
Julien réprime alors un sentiment de dégout... Il était fan de métal, i vivait au milieu d'un joyeux bordel de CD, de poster, de restes de pizzas, de bières, de whisky et sa décoration était faite d'affiches sanguinolentes de groupe de Trash et de calendrier de filles à poil.
Et soudain, devant une telle différence entre cette maison et ce que lui aurait aimé, tout lui apparait clair. En fait, sa place n'étant pas ici, la maison n'est tout simplement pas non plus la sienne, sans doute comme tout ce qu'aura prévu l'architecte pour lui ici ! Il suppose aussi que non seulement il y a eu une erreur dans son dossier mais qu'en plus il a dû y avoir une inversion. Il occupe la place et la maison d'un autre humain que lui, qui avait des goûts de chiotte, manifestement !
Alors qu'il se demandait comment il allait vivre dans cet endroit affreux, quelqu'un frape à la porte et entre sans attendre de réponse. Une belle petite blonde, d'environ 25 ans, fait son entrée et se précipite vers Julien pour lui faire la bise.
- Bonjour Julien ! Je suis Dakota.
- Enchanté... Dakota... ç'est original comme prénom, ça vient d'où ?
- Je suis américaine. Et toi tu es français je crois...
- Oui... Félicitation Dakota, tu parles parfaitement français, sans le moindre accent !
- Haha, c'est vrais que je ne t'ai pas expliqué ça, intervient alors Julia en rigolant. En fait, toutes les nationalités de la terre se retrouvent ici et tout le monde parle la même langue.
- Tout le monde parle français ?
- Non, tout le monde parle un langage compris par tout le monde. Tu as l'impression que c'est du français mais pour Dakota, c'est de l'américain. C'est un traducteur universel instantané, si tu préfères.
Dakota rigole à son tour devant la tête médusée de Julien et saute dans un fauteuil de la maison en disant :
- La maison te plait ? On va être bien ici !
- On ?? répond alors Julien, de plus en plus perdu...
- Ah oui, il y a ça aussi, explique Julia. Nous estimons qu'une vie harmonieuse, surtout quand elle dure une éternité, doit se faire en couple. Donc chaque résidant à une âme sœur. Un être qui lui est parfaitement adapté en tout point. Julien, je te présente ton âme sœur : Dakota.

Évidemment, Julia avait pensé trouver la femme idéale pour Julien en la personne de Dakota : une jeune blonde pétillante, visiblement intelligente et à l'allure innocente alors que Julien aimait plutôt les grandes brunes à gros seins, plus âgées que lui, et si possible soumises et ouvertes à tout. Mais pour le coup, en regardant Dakota, sa bouille, son petit cul et tout le reste, Julien se dit qu'il se satisfera sans souci de passer une éternité avec elle !
Julia sort alors Julien de ses considérations déjà salaces :
- Viens avec moi, Julien. Nous allons finir la visite du quartier. Tu nous excuses, Dakota ?
- Pas de souci !! A plus tard Julien.
- Heu ok.... A plus tard.
En sortant de la maison, Julien demande à l'architecte :
- C'est quoi son histoire à Dakota ?
- Tu lui demanderas... Je préfère vous laisser faire connaissance. Même si elle est destinée à être ton âme sœur, vous devrez apprendre à vous connaitre et à vivre ensemble. Comme sur Terre !
Une voix haut-perchée interpelle soudain Julia :
- Ah Julia, je te trouve enfin !! C'est une catastrophe !!!
Une magnifique grande brune, au teint halé et à la démarche hautaine, s'avance alors vers eux.

Tandis qu'elle arrive à leur hauteur, Julia fait les présentations :
- Julien, je te présente Anissa... Une de nos plus serviables résidentes et ta voisine. Anissa, voici Julien, il est arrivé aujourd'hui.
- Bienvenue Julien. Je suis sûr que tu vas te plaire ici, tout le monde est aaaaadorable ! Je vis juste à côté, précise Anissa en montrant une énorme maison, presque un château, luxueux, exubérant, comme sa propriétaire... Je vais bientôt organiser une magnifique réception en l'honneur des nouveaux résidents, tu vas voir, tu vas aaaadorer.
- Euh... oui... j'en suis sûr... répond Julien, un peu assommé par la femme, à la fois magnifique et exaspérante.
- Anissa, tu voulais me voir ? intervient Julia pour sortir Julien de l'embarras.
- Oui absolument ! C'est à propos des menus pour le prochain banquet, il y a un gros problème...
Julia se tourne alors vers Julien, lève les yeux au ciel, et lui dit :
- Je te laisse, le problème d'Anissa à l'air en effet important... Promène-toi, découvre le quartier, nous reparlons bientôt.
- Mais attendez... je ne sais pas comment la vie fonctionne... la nourriture, les vêtements, comment est-ce que...
- Janet ! dit alors Julia en coupant Julien.
A ce moment, apparait d'un coup une femme brune et souriante à côté de Julia en demandant :
- Oui Julia, que puis-je faire pour t'aider ?

Surpris, Julien fait alors un bon en arrière en se demandant quelle est cette nouvelle bizarrerie.
- Julien, voici Janet. Janet est un système d'information intégré au quartier. Elle est conçue pour répondre à toutes tes questions et te faciliter la vie ici. Tu peux lui demander presque n'importe quoi !
- Donc c'est une sorte de.... robot ?
- Non pas du tout, intervient alors Janet, toujours souriante. Je suis être immortel sous la forme d'une humaine, comme Julia, créé pour détenir et communiquer tout le savoir de ce quartier. Je suis faite de composés énergétiques dont la description n'aurait pas de sens pour toi... Le plus important à savoir sur moi c'est que mes capacités sont presque illimitées et je suis programmée pour optimiser le bonheur des résidents. As-tu besoin de quelque chose, Julien ?
- Heu... non pas pour...
Julien n'a pas le temps de finir sa phrase que Janet disparait instantanément.
- Bon, Julien, je te laisse découvrir le quartier et te familiariser avec ces habitants. A plus tard, lui dit Julia en s'éloignant avec Anissa.
- A plus tard...
Sitôt seul, Julien rappelle Janet qui apparait instantanément :

- Dis-moi, Janet, comment se passe la vie ici ? Comment mange-t-on ? Comment se passent les journées ?
- Je vais tout t'expliquer, Julien.
Durant une bonne partie de la journée, Janet expliqua comment la vie se déroulait au « bon endroit ». Ils recroisèrent Julia et Anissa en grande conversation devant la luxueuse maison de cette dernière puis retournèrent vers la maison de Julien.
- Je te laisse pour le moment, Julien. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à m'appeler : ce service est illimité !
- Merci Janet, à plus tard...
A peine la phrase était terminée que Janet disparait, laissant Julien seul. Il rentre enfin chez lui, désireux de faire le point sur sa situation : sa mort, l'erreur dont il est l'heureux bénéficiaire, la personne pour laquelle les gens le prennent...
A l'intérieur, Dakota était encore là à attendre Julien. Elle se lève aussitôt du fauteuil et va à sa rencontre :
- Alors, la visite t'a plu ? Tu vas voir, tu vas te plaire ici, tout est prévu pour !
- Oui, j'en suis sûr... Du coup... tu restes ici ou... ?
- Non je vais rentrer chez moi. Tous les résidents ont leur maison, même lorsqu'ils sont âmes sœur. Puis, si tout se passe bien, ils finissent par vivre ensemble et l'un des maisons est soit supprimée, soit remplacée par autre chose utile au quartier.
- Ah ? Et on ne pourrait pas avoir une nouvelle maison plus.... grande et confortable pour nous deux ?
- Pour quoi faire ? Celle-ci est parfaite pour toi et comme nous sommes faits pour être ensemble, elle est également parfaite pour moi ! Inutile de changer lorsque tout est idéal !!
- Oui.... Suis-je bête... soupira Julien en regardant le portrait de Mère Theresa sur le mur de son salon.
Dakota se rapproche soudain de Julien et dépose un baiser sur sa joue en disant :
- Ne t'inquiète pas, tu vas très vite retrouver tes marques. Je te laisse pour ce soir... On se voit demain ?
- Ok...
Julien se retrouve seul dans son horrible maison. Par réflexe, il va à la salle de bain prendre une douche même si Janet lui a expliqué que les résidents ne suaient pas vraiment... Tout comme le casse-croûte qu'il avale rapidement, pas vraiment nécessaire avec un système métabolique inexistant dans un corps en réalité constitué uniquement de l'âme... Mais tout cela est important et participe du bonheur des résidents : vivre comme ils le faisaient avant leur mort ont expliqué Julia et Janet.
Plus tard, dans son lit parfaitement inconfortable, Julien fait le point sur la journée :
-Il est mort, se retrouve dans une sorte de paradis géré par une architecte, entouré de gens tous plus polis et gentils les uns que les autres.
-Il ne devrait pas être là car, en fait, Julien est un enfoiré et un pervers obsédé sexuel, et il devrait en ce moment être torturé au « mauvais endroit ».
-Sa vie ici devrait être idéale MAIS comme il n'est pas à sa place, rien ne lui convient... Rien sauf son âme sœur, une jeune ingénue bien mignonne, sa voisine, une magnifique brune métisse et bourgeoise, l'architecte, un milf sexy, et Janet, une sorte de robot également bien foutu.
-Pour résumer, la seule chose qui le motive pour rester ici, c'est sa bite ! Ça et, évidemment, le fait de ne PAS aller au mauvais endroit...
La perspective d'être, pour l'éternité, entouré de toutes ces belles nanas et possiblement de pouvoir les sauter, vaut bien le fait de vivre dans une maison merdique et vaut le coup de se faire passer pour quelqu'un d'autre. Son esprit se met alors à vagabonder et il pense soudain à Dakota, avec qui, si tout se passe bien, il pourra vivre et même coucher, si la définition du couple est la même ici qu'en bas !
Il se demande d'ailleurs comment, sous sa tenue d'étudiante ingénue, est foutue Dakota... Il l'imagine en sous-vêtement, se promenant en ce moment tranquillement dans sa maison...

Puis, il l'imagine se déshabillant et commençant à se masturber en pensant à lui, à leur futur couple.

Il sent alors une érection naissante dans son caleçon et se fait soudain la réflexion, en prenant sa queue en main, que manifestement, les lois biologiques comme l'excitation et l'érection fonctionnent normalement au « bon endroit ».
Soudain, de nouvelles questions et inquiétudes surgissent dans sa tête et remplacent les images de Dakota : est-il encore capable de baiser ? D'éjaculer ? Peut-il mettre enceinte une femme dans un tel endroit ? Les âmes sœurs ont elles uniquement des relations platoniques ou le sexe est-il courant ici ?
Autant de question qu'il aimerait poser à Janet. Janet ! Bon dieu il n'avait pas pensé au fait qu'elle était omnisciente ou pouvait presque tout faire ? Savait-elle ce que pensent les résidents, ce qu'il a pensé de Dakota ou de Julia ? D'ailleurs, connait-elle la vérité sur son passé ?
Cette crainte terrible lui brise toute envie de se palucher et fait disparaitre son érection. Il faut absolument qu'il sache !
- Janet ?
- Oui, Julien, en quoi puis-je t'aider ? demande Janet en apparaissant dans le dos de Julien, provoquant chez lui une grande frayeur.

- Purin, va falloir que je m'y fasse.... Purin ? Purin.... Purin de merle.... Enrhumé de purin de merle !!! Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ? On ne peut pas dire de gros mots, ici ?? se mets alors à pester, presque en panique, Julien.
- Non, c'est impossible... Julia a estimé que les insultes, injures et autres jurons nuiraient à l'harmonie du quartier...
- Je vois... Janet, j'ai encore plein de questions à propos de cet endroit... Déjà... tu dis que tu sais tout... tu connais aussi toute notre vie passée ?
- Non, uniquement ce que Julia m'a indiqué au moment de me programmer, à partir de ce qu'il y a sur son dossier. Elle-même n'a pas d'autres informations sur vous que ce qu'il y a sur les dossiers. Ils viennent d'un autre service, indépendant du bon et du mauvais endroit.
- Effectivement, c'est très bureaucratique, ici.
- En effet !
- Donc tu sais tout sur le quartier, mais pas sur les résidents.
- En effet !
- Et tu peux faire tout pour assurer notre bonheur ?
- En effet !
- En effet.... Tu es sure que tu n'es pas un robot ?
- Sure et certaine ! Mise à part la base de donnée stockée dans mon cerveau, mon corps est tout à fait semblable au tien et tu verras qu'ici, les lois de la physique ne s'appliquent que partiellement...
- Ok, pour jouer avec la gravité, on verra un peu plus tard... Vu que tu parles de corps, je voulais te demander... Comment fonctionnent nos corps, d'un point de vue... hormonal ?
- Tu veux dire au niveau sexuel, je suppose ? Certains résidents posent cette question, même si je ne vois pas pourquoi... Même si ton vrai corps et sur terre en train de se décomposer, ton être ici se comportera de la même manière. Et oui, tu pourras avoir des relations sexuelles.
- Ok... c'était juste pour savoir.... Et il y a déjà eu des naissances ici ?
- Non, c'est impossible. Vos âmes ne peuvent créer la vie. Par contre, si un couple de résidents est animé par le désir d'avoir un enfant, ils seront prioritaires pour s'occuper d'un des enfants qui, malheureusement, arrivent ici.
- Ça parait logique... Dis-moi, puisque tu peux faire tout pour assurer notre bonheur, peux-tu faire apparaitre des choses ?
- Bien-sûr... Que désires-tu ?
Le cœur de Julien palpitait fort car il avait là l'occasion unique et rêvée d'améliorer son niveau de vie ici et, éventuellement, de faire tourner certains éléments en sa faveur. Mais il n'était pas sûr de la réaction de Janet et se devais d'être subtil...
- Janet, pourrais-je avoir un matelas plus ferme pour mon lit...
- C'est fait ! répondit immédiatement Janet en clignant des yeux.
Intrigué, Julien s'allonge sur son lit et constate immédiatement le gain de confort.
- Merci Janet, c'est parfait. Tout à l'heure tu m'as dit que le service était illimité, donc je me permets de te demander autre chose : une tenue décontractée pour être à la maison, genre un T-shirt.... de Metallica.
- C'est fait ! dit-elle en tendant un superbe T-shirt old school de Metallica, période Kill'em all.
En voyant le T-shirt, les yeux de Julien se mettent à pétiller et il ne peut résister à l'envie de l'enfiler immédiatement. Le fait d'enfiler le t-shirt fait naitre dans l'esprit pervers de Julien une idée qu'il soumet aussitôt à Janet :
- Dis-moi Janet, tout ce que je te demande là, soit en info, soit en matériel, est-ce que quelqu'un est au courant ?
- Non. Tout ce que me demandent les résidents reste entre eux et moi. Et même Julia ne sais pas ce que vous me demandez. Je suis programmée pour : je garde pour moi vos requêtes et assure ainsi votre sérénité.
- Dans ce cas j'ai une question qui va te paraitre bizarre : ton apparence est déterminée comment ?
- Toutes les Janet sont identiques, sont stockées dans une pièce et sont activées pour un quartier en particulier.
- Ok, mais ton habillement... C'est toi qui le choisis ?
- Non, c'est une tenue standard qui va avec toutes les Janet. Je la change parfois en fonction des occasions pour coller à l'ambiance et me fondre dans le groupe. Comme pendant les réceptions d'Anissa par exemple.
- Je vois, donc tu es capable de t'habiller plus classe... plus décontractée...
- En effet !
- Alors j'aimerais, si possible, que lorsque que je t'appelle chez moi, en privé, tu portes une tenue plus décontractée... plus légère... tu vois ?
- Comme ça ?
Janet apparait alors vêtue d'un jogging certes décontracté, mais pas du tout dans le sens qu'attendait Julien. Il était rose, ringard, moche à s'en crever les yeux !

- Heu non, je pensais plutôt à quelque chose de léger dans le sens... sexy. Joli à voir... Tu vois ?
- Comme ça ?
Janet se matérialise à nouveau, cette fois vêtue d'une robe en effet légère, assez courte et bien décolletée.

- Voilà ! Comme ça c'est parfait. Si tu peux porter ce genre de tenue lorsque je t'appelle, j'en serai ravi.
- D'accord Julien, si cela peut te faire plaisir, j'apparaitrai comme cela. Mais le fait que l'on voit quand même bien mes jambes et ma poitrine ne te dérange pas ? demande alors Janet, suspicieuse, en croisant les bras. Il me semblait que la vulgarité et ce genre de tenues, lorsqu'elles sont imposées aux femmes, te révulsaient lorsque tu étais vivant !

- Heu... oui, c'est vrais... Mais c'était différent car sur terre, les femmes étaient souvent... victimes de discrimination. Ici, il n'y a pas ce problème et je trouve du coup dommage de ne pas être beau... Tu vois ?
- Je vois... Cela me semble... logique. As-tu besoin d'autre chose ?
Julien hésite alors à pousser sa chance puis, excité, tente quelque chose :
- Un dernier point : je vois que tu nous ressembles en tout point... Je suppose que c'est prévu pour que l'on vive avec toi en harmonie et confiance ?
- En effet !
- Du coup, est-ce que cette ressemblance est... totale ?
- Tu peux préciser ta requête ?
- C'est-à-dire... sous tes vêtements. As-tu tous les détails d'une humaine ?
- Absolument !
- Vraiment ? Cela m'étonne... je veux dire, le corps d'une femme est à la fois subtil, complexe, délicat, potentiellement excitant.... Je ne vois pas comment les gens qui gèrent cet endroit ont pu reproduire cela avec précision.
- Julien, je t'assure que j'ai été conçue à la perfection !
- Je suis comme Saint-Thomas, je ne crois que ce que je vois !
- Je ne sais pas qui est ce monsieur, mais je peux te le prouver si cela peut te rassurer.
Janet se lève alors de son fauteuil, cligne des yeux et apparait entièrement nue devant Julien, avec la mise contrariée d'un être supérieur que l'on met en doute !

Puis elle reprend sa justification :
- Tu vois, Julien... Mes seins ont été calculés pour correspondre à la plupart des standard terrestres : gros mais pas trop, plaisant à voir et rassurant d'un point de vue maternel, indique-t-elle en soupesant ses seins.

... Même mes tétons sont sensibles, comme ceux d'une humaine, précise-t-elle en se les pinçant et en fixant Julien pour s'assurer que ce dernier la croyait.

Janet continue sa description en se tournant sur le côté et en mettant en valeur ses fesses :
- Ma masse corporelle est pile dans la moyenne, pas trop maigre, pas trop grosse. J'ai un peu de ventre, des belles hanches et des fesses généreuses. J'ai même des poils pubiens en quantité tout à fait adaptée à la plupart des gouts.

Julien n'en croyait pas ses yeux, Janet décrivait et exposait son corps nu comme si elle présentait le corps d'un spécimen exotique ramené par un explorateur, avec précision et objectivité scientifique, sans la moindre gêne ni le moindre scrupule. Elle ne se doutait visiblement pas des intentions perverses de Julien et le croyait visiblement sincère dans sa curiosité. Celui-ci tente d'ailleurs de pousser sa chance :
- En effet Janet, tu es visiblement très similaire à une humaine ! Et le résultat est, je dois avouer, très réussit !
- Je te remercie...
- Cela dit....
- Oui ? demande Janet visiblement de plus en plus agacée

- Tu vas me trouver pointilleux mais... au niveau de ton sexe... tes créateurs ont été jusqu'à prévoir chaque détail, ou bien ils se sont arrêtés à une ressemblance... extérieure ?
- Julien, je t'assure que tout chez moi est exactement comme chez une femme ! Regarde.
Janet se rassoit alors sur le fauteuil et écarte en grand les jambes sous les yeux écarquillés de Julien.

Et à la grande surprise de Julien, Janet n'en reste pas là. Elle relève encore d'avantage les jambes pour exposer complètement son sexe.

Puis elle demande à Julien, qui, scotché, n'en revient pas :
- Alors ? demande Janet, suis-je assez humaine à ton gout ?
- Tout à fait ! répond alors Julien en ne lâchant pas des yeux la chatte de Janet.
Celle-ci lui lance d'ailleurs un regard interrogateur et Julien se sent alors obligé de détourner les yeux de sa vulve et de justifier ses demandes avant de mettre fin au petit jeu.
- Je te remercie Janet, tu peux te rhabiller. Je suis rassuré que tu nous sois similaires en tout point et je suis sûr que cela va contribuer à rendre ma vie ici plus sereine...
C'était évidemment une excuse minable pour demander à une femme de se mettre à poil mais Janet, organisme programmé pour assurer le bonheur des résidents, se détend et répond souriante :
- Dans ce cas c'est parfait, je suis heureuse de t'avoir rassuré !

Elle cligne des yeux et se retrouve à nouveau en robe, tenue qu'elle portera désormais lorsque Julien l'appellera. Elle se relève et semble sur le point de disparaitre mais elle demande :
- Dis-moi, Julien (le cœur du jeune homme s'arrête alors une seconde, celui-ci étant soudain persuadé d'avoir été percé à jour), tu es sûr que ce genre de robe ne vas pas t'incommoder au quotidien ? On voit quand même très facilement mes sous-vêtements, je trouve...
Julien respire à nouveau tranquillement en entendant la question innocente de Janet qui, pour démontrer ses réticences, montre à quel point la robe est en effet légère.

- Ne t'inquiète pas, Janet. Ce qui me choquait dans ces tenues c'était quand les femmes étaient humiliées, soumises, obligées de s'offrir à des hommes peu scrupuleux. Ici, il n'y a pas ce problème et tu es une femme quasiment toute puissante... Tu ne crains personne. Cela ne me dérange donc pas que tu m'apparaisses dans cette tenue, voire même dans une tenue encore plus légère. Et tes sous-vêtements sont ravissants ! Et plus, ce n'est que pour moi, en public tu resteras habillée normalement... pour ne pas gêner les autres résidents.
- Alors cela me convient également, annonce Janet avant de cligner des yeux et de disparaitre.
Julien s'assoit alors lourdement dans le fauteuil qui accueillait quelque secondes avant le sexe nu de Janet. Ce qu'il venait de vivre était incroyable : il avait réussi à ruser et à rouler dans la farine une « créature » divine omnisciente pour qu'elle s'expose à lui. Et il comptait bien encore mater cette bombe atomique dès qu'il en aurait l'occasion. Par contre, l'excuse de la « vérification » de son corps ne pourrait plus fonctionner et il allait devoir trouver autre chose pour qu'elle se déshabille à nouveau. A moins, évidemment, que le simple fait que cela le rende heureux suffise à convaincre Janet.
Il se lève en se disant qu'il testerait cela une prochaine fois puisqu'il avait l'éternité devant lui. Surexcité, il décide de sortir de chez lui pour aller souhaiter une bonne nuit à ces voisines et, avec un peu de chance, les surprendre en petite tenue.
Il se rend d'abord chez Dakota, son âme sœur et, l'espère-t-il, sa future compagne. Celle-ci lui ouvre la porte dans une tenue conforme aux espérances lubrique de Julien. Elle était vêtue d'un petit pull blanc, d'une simple culotte et de chaussettes hautes. Une ingénue, inconsciente du caractère érotique de son corps et des envies qu'il provoquait chez ceux qui la regardaient.

- Bonsoir Julien, excuse-moi pour la tenue, j'allais me coucher... Tu as besoin de quelque chose ?
- Non, je voulais juste te souhaiter bonne nuit et te remercier pour l'accueil aujourd'hui. Tu as été très amicale et cela m'a fait du bien après... tu sais... ma mort, quoi. J'espère que l'on apprendra à ce connaître et que ça va coller entre nous.
- Oh, je n'en doute pas... Tu es un homme absolument charmant et visiblement d'une gentillesse et d'une prévenance rare ! J'ai hâte également de mieux te connaitre...
Julien se penche vers Dakota pour lui baiser la joue et lui murmurant bonne nuit. Charmée, Dakota embrasse également Julien, mais sur les lèvres et lui rend son « bonne nuit » en rougissant un peu.
Puis Julien s'éloigne et retourne vers sa maison. Mais, depuis le pas de sa porte, Dakota l'appelle :
- Eh, Julien ! Pour te remercier de ta gentillesse...
Elle tire alors sur son pull qui, délicatement, glisse sur ses épaules, puis le haut de ses bras pour révéler sa petite mais magnifique poitrine.

Puis, en souriant comme une gamine venant de faire une bêtise, elle lui fait signe de la main et referme la porte.
Julien, ravit, reprend la direction de sa maison en se disant que la vie ici va, effectivement, être un paradis. Sur le chemin, il aperçoit de la lumière dans l'immense maison d'Anissa. Il hésite à s'y rendre pour retenter la même expérience qu'avec Dakota mais la lumière s'éteint soudain. Il renonce donc à ce plan car, élément à intégrer, il ne souhaite pas tomber nez à nez avec le mari d'Anissa qu'il n'a pas encore rencontré. Si cet homme était boxeur ou tueur à gage dans sa vie, il pourrait prendre mal le fait qu'on sonne chez lui à pas d'heure.
Sur le chemin qui le ramène à sa maison, il repense à cette histoire de tueur à gage : c'est complètement débile puisque s'il est arrivé au bon endroit, c'est qu'il a dû passer sa vie à faire des choses bien. Sauf si c'est une erreur également... Mais bref, Julien se dit de toute façon qu'il est bien plus probable que le mari d'Anissa soit un gentil bourgeois qu'une dangereuse racaille !
Il rentre chez lui en sifflotant, déterminer à la fois à s'amuser avec Janet, surtout pendant qu'il vit encore seul, à séduire la petite Dakota pour en faire sa femme et à tout faire pour se taper Anissa, probablement une des femmes les plus belles qu'il n'est jamais rencontré. Même morte !
Reste le cas de Julia, qui lui fait franchement peur mais qui, elle aussi, l'excitée beaucoup. Mais Julien décide qu'il est plus prudent de l'éviter dans un premier temps, de ne la côtoyer qu'au minimum et d'aviser ensuite.
Le jeune homme entre dans son hideuse maison, avec la tête pleine d'envie et de projet, ce qui pourrait être quelque chose de tout à fait honorable si ces projets n'étaient pas tous sexuels et pervers ! Il se couche dans son lit à présent bien confortable et, évidemment, se masturbe en repensant à Janet, à Dakota, à Anissa...
La jouissance atteinte, il s'endort paisiblement.
A suivre...
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The good Place.
Jour 2
L'entretien d'embauche s'était pourtant bien passé et la candidate semblait vraiment « pro »...

... bien qu'un peu provoquante à y repenser !

Mais Julien avait besoin d'une assistante, d'une vraie ! Et il n'avait pas envie de gâcher cela en réfléchissant avec sa bite.
Il l'a donc embauché en espérant qu'elle l'aiderait dans son travail mais elle s'est avérée aussi maladroite qu'inefficace !

Il a été patient et s'est montré compréhensif. Mais cette fille tenait plus de la plante verte que de l'assistante... Il a donc décidé de rompre le contrat à l'issue de la période d'essai.

Comme il s'y attendait, elle l'a supplié de la garder et lui a dit qu'elle « ferait tout pour rester »... Julien s'était promis de ne pas entrer dans ce jeu-là mais la jeune fille s'est montrée convaincante ! Surtout lorsqu'elle a proposé de punir ses maladresses avec un martinet.

La jeune recrue est donc restée auprès de Julien, mais d'assistante personnelle, elle est progressivement devenue salope personnelle, toujours prête à se déshabiller pour divertir son patron et ses clients...

Ses talents de suceuse étant nettement supérieurs à ces capacités d'organisation, elle finissait pas passer plus de temps sous le bureau de Julien qu'à son propre poste de travail.

Au bout de quelques semaines, son uniforme de travail s'était allégé du superflu et elle passait ses journées à attendre sagement que Julien l'appelle...

... pour se vider rapidement les couilles entre deux rendez-vous...

... ou pour la baiser sur son bureau, comme une chienne.

Mais une assistante personnelle ne fait pas que du bureau, elle se doit aussi d'accompagner son patron lors de ses déplacements ou à la maison, lorsque le travail l'exige.

Finalement pleine de ressource, la jeune assistante avait montré des aptitudes insoupçonnées à se faire défoncer le derrière, en trouvant cela plaisant et en en redemandant !

Grand amateur de pénétration anale, Julien avait alors développé cette spécificité de son assistante et la prenait presque exclusivement par le cul...

... au point de la rendre plus souple qu'aucune femme qu'il ne connaissait, même les plus expérimentées !

Il l'enculait partout et dans toutes les positions.

Conscient de ces capacités formidables, Julien avait finalement offert une promotion à l'assistante qui, maintenant, l'aidait à la relation clients.

Sa capacité de gestion des groupes, entre autres, était impressionnante ! Elle qui était incapable de gérer l'agenda de Julien... Quelle métamorphose !

Julien usait et abusait de son assistante, créant un formidable essor pour sa petite boite et sa vie sociale puisque tous ces amis et clients faisaient des pieds et des mains pour profiter du cul de la belle blonde.
Mais alors que Julien avait de plus en plus de projets pour elle et que celle-ci devenait de plus en plus une chienne docile, acceptant même parfois de dormir au pied du lit de son maître, il y a eu ce petit sexto qu'elle lui a envoyé alors qu'il conduisait... Une petite seconde d'inattention, une chaussée mouillée, un camion, un train, un incendie...
Bref, une mort aussi violente que spectaculaire.
C'est d'ailleurs le klaxon du camion qui réveille d'un coup Julien, en sueur dans son lit. Il regarde autour de lui et la triste réalité lui revient. Les images de la belle petite blonde sauvagement enculée n'étaient qu'un lointain souvenir tandis que les murs blafards de son horrible maison sont désormais son quotidien pour l'éternité.
Il regarde à ses pieds et constate la monumentale gaule que son rêve lui a provoquée...

Erection qu'il s'empresse de soulager en repensant à son assistante encore vivante mais aussi à Dakota, son âme sœur morte mais présente, à Anissa, sa voisine pénible mais bonne, à Julia, l'architecte mi-déesse mi-milf....
Puis il se lève, va se doucher par réflexe (son corps n'émet plus de mauvaises odeurs ici...) et se dit :
- Putain, il va vraiment falloir que je baise... Pas moyen de passer une éternité à me branler !
Puis il considère ses options... Sa partenaire toute trouvée est évidemment Dakota mais il sent qu'il va lui falloir du temps pour la séduire et la mettre dans son lit, s'il ne fait pas les bourdes classiques d'un mâle surexcité et dont il est passé maitre !
Pour Anissa, Julia et les autres résidentes, il s'agirait surtout d'adultère, ce qui, dans cet endroit si parfait, ne sera pas une mince affaire.
Et il y a Janet, la belle brune, sorte de robot humanoïde toute puissante dont il sait qu'elle fera tout pour lui, du moment que cela est justifier pour le rendre heureux. Il sent qu'il va pouvoir s'amuser un peu avec elle mais pourra-t-il la toucher ? Si sa queue entre en elle, va-t-il se prendre un coup de jus, ou être happée dans une sorte de néant intersidéral ??
Après avoir pris son petit-déjeuner, il sort de chez lui pour aller saluer Dakota et pour l'inviter à un pique-nique au bord du joli lac qu'il a aperçu lors de sa visite du quartier. Elle accepte évidemment avec plaisir, enthousiaste à l'idée de mieux connaître l'homme qu'elle croit être son âme sœur.
Puis il rentre chez lui et cherche une tenue à la fois décontractée et séduisante : il veut faire forte impression, et le faire vite !
Devant la nullité des choix vestimentaires que Julia a prévus dans cette maison merdique, il appelle Janet à la rescousse. Elle apparait dans une nouvelle tenue décontractée et déclarant :
- Bonjour Julien ! Ma tenue te convient-elle ? En quoi puis-je t'aider ?

- Whoa... s'étonne alors Julien en voyant les seins de Janet sous le très léger débardeur qu'elle porte. Cela me convient tout à fait, Janet. Merci. Dis-moi, tu n'as pas de miroir chez toi ?
- Je n'ai pas de chez moi ! Je suis à la fois partout et nulle part, attendant d'être appelée.
- Je vois... En tout cas ne change rien, tes choix de tenues sont parfaits ! Je t'ai appelé pour m'aider à trouver une tenue. J'ai un rendez-vous pique-nique avec Dakota !
- Oh, très romantique cette idée ! Elle va adorer... Mais, les vêtements que Julia t'a préparé dans la maison ne te conviennent pas ? Ils sont censés être parfaits pour toi !
- Heu oui, ils sont très bien mais... j'ai peur qu'il soient trop sérieux pour un pique-nique dehors avec mon âme sœur... je n'étais pas habitué à ce genre de choses quand j'étais vivants alors j'imagine que Julia n'a pas envisagé cela dans son choix de vêtement.
- Oui... c'est logique... déclare Janet au grand soulagement de Julien qui avait eu du mal à trouver une bonne raison ! Alors, si tu veux du décontracté, mignon et adapté à l'extérieur, voilà ce que je te propose...
Une tenue bien pliée apparait alors dans les mains de Janet qui la tend à Julien. Mais en dépliant le haut, le jeune homme doute immédiatement du résultat.
- Ça te dérange si je l'essaie d'abord ?
- Pas du tout... je t'en prie.
Julien pense d'abord à s'isoler dans sa chambre pour se déshabiller mais il a alors une idée pour s'amuser un peu avec Janet.
Sans faire attention à elle, il enlève son T-shirt avec lequel il a passé la nuit et baisse son jogging, exposant ainsi sans pudeur son sexe aux yeux de Janet qui ouvre alors la bouche, surprise et choquée et se tourne.

- Qu'est-ce qui t'arrive, Janet, demande alors Julien, tu n'as jamais vu d'homme nu ?
- Non... Je sais évidemment comment est constitué le corps d'un humain mais aucun des résidents ici ne s'est mis tout nu devant moi !
- Vraiment ? Pourtant je ne vois pas le problème... Tu es là pour nous aider, nous rendre la vie facile. J'ai plus confiance en toi qu'en quiconque ici, du coup, je ne sens aucune gêne à me changer devant toi.
- C'est très gentil, ce que tu me dis là... répond Janet en tournant légèrement la tête vers Julien, un peu troublée par ces paroles. Beaucoup de résidents ici me considèrent plutôt comme un distributeur universel ou comme wikipedia... Pas comme un membre du quartier. Mais je ne voudrais pas m'imposer.

- Janet, tu ne t'imposes pas, c'est moi qui t'ai appelé. Si tu n'as pas de problème avec la nudité, moi non plus ! Retourne toi et regarde-moi me changer, j'ai besoin de ton avis... je veux absolument plaire à Dakota !
- Bon d'accord, si cela peut te faire plaisir !
Janet se tourne donc face à Julien toujours nu mais en train d'enfiler la tenue proposée. Puis, une fois habillé, il demande son avis à Janet qui fait une moue dubitative, visiblement peu convaincue...

- Ok... je vois le genre, déclare Julien. On va essayer autre chose.
Comprenant le message, Janet fait apparaitre une nouvelle tenue devant Julien qui commence à se déshabiller. Janet ne se retourne pas mais fixe intensément le sexe de Julien qui, du fait de la situation, du débardeur transparent de Janet et de son émoi évidement, commence à durcir et à grossir gentiment.

Julien expose sans pudeur sa queue à Janet puis demande :
- Tu n'as jamais vu de sexe en érection non plus, je suppose ?
- Non... je sais que c'est supposé arriver dans certaines situations mais je n'en ai jamais vu de mes yeux.
- Je suis désolé, on ne peut pas contrôler cela...
- Pas de problème, Julien... Serait-ce ma tenue qui provoque cela ?
- Oui, en effet... Tu es très belle ce matin ! Surtout ton débardeur...

Janet baisse le regard vers son débardeur et s'exclame :
- Oh, je n'avais pas vu que mes seins se voyaient si bien... Je comprends ton excitation à présent et je m'en excuse. Souhaites-tu que je me change ?
- Oh non, au contraire... cela me plait beaucoup. Mais maintenant que tu le dis, la situation est un peu embarrassante pour moi...
- A quel niveau ? Ta nudité ?
- Non, le fait que je n'ai qu'une petite érection... une demie molle si je peux me permettre cette expression. C'est assez humiliant....
- Pourquoi humiliant ?
- Parce qu'un homme viril doit pouvoir être fier de ces attributs en face du sexe opposé ! Si je reste dans cet état, je me sens impuissant, tu comprends ?
- Ah la fameuse virilité des hommes ! Oui, j'ai des informations à ce sujet... C'est effectivement très important pour vous d'être considérés comme des mâles puissants ! déclare Janet en levant les yeux au ciel comme si elle trouvait cela puérile. Julien, souhaites-tu voir ma culotte afin d'augmenter ton excitation et de permettre à ta virilité de s'exprimer pleinement ?
- Heu... je... Oui, ça me parait être une bonne idée, répond Julien qui ne pensait pas que la proposition viendrait de Janet elle-même.
Janet, au lieu de claquer des doigts pour apparaitre en petite culotte, commence à déboutonner son short en regardant, amusée, le sexe de Julien qui gonfle à vue d'œil.

Puis elle se retourne et expose ses fesses au jeune homme en continuant de baisser son short blanc.

Elle retire complètement le short et fait à nouveau face à Julien.

- Cela t'a plu ? demande-elle
- Oui j'ai beaucoup aimé... mais je crains que cela ne suffise pas.
- Oui, en effet, remarque Janet en regardant fixement le sexe de Julien, ton pénis n'a pas atteint son maximum d'érection... Voyons voir ce qui se passe si j'enlève le haut.
Sans hésitation, avec la froideur d'un robot, Janet commence à remonter son débardeur, révélant d'abord le bas de ses gros seins.

Puis elle soulève encore son haut et expose ses seins totalement en observant avec malice Julien et sa queue pour en surveiller l'évolution.

Enfin elle retire complètement le débardeur et expose fièrement sa poitrine à Julien en lui demandant si cela fonctionne.

- Oui, cela fonctionne très bien, tu peux le constater toi-même... répond Julien en exposant fièrement sa queue à présent bien bandée.

- Alors c'est parfait ! Tu n'essaies pas ta nouvelle tenue ?
- Ah, si... J'avais presque oublié ! répond Julien en enfilant les vêtements.
- Oublié ? demande Janet, surprise. C'est pour ça que tu m'as appelé !
- Certes... mais j'avoue que tes seins m'ont légèrement distrait !
- Aahh les seins... déclare alors Janet en se les palpant. Je n'ai jamais compris comment de simples excroissances mammaires pouvaient autant exciter les humains. Les taureaux par exemple ne sont pas excités par les pis des vaches mais uniquement par les phéromones !

- Nous sommes des animaux un peu spéciaux, il faut l'admettre... Mais il n'y a pas que tes seins qui m'excitent, je te rassure. Tes fesses, tes hanches, ton regard... y contribuent également.
- Je suis contente que mon corps te plaise... Je ne suis pas sûr d'avoir été créé pour satisfaire « visuellement » les résidents mais si ça marche également, alors tant mieux !
Julien a alors la langue pendue pour dire qu'il espérait bien qu'elle le satisferait autrement que « visuellement » mais il se retient car il ne veut pas faire naitre un doute chez Janet à propos de ses intentions réelles et, surtout, il est censé vouloir séduire Dakota. Donc inutile de passer pour un infidèle dès le deuxième jour ! Par contre, Janet ayant ouvert la discussion sur l'excitation, il tente quelque chose.
- Janet ? Tu sembles être semblable aux humains en tout point. Es-tu également capable d'être excitée ? Je veux dire sexuellement...
- Question intéressante, Julien. J'avoue que l'occasion ne s'est jamais présentée à moi depuis que l'on m'a activé. Cela dit, si j'en crois les données biologiques et physiologiques en ma disposition à propos de l'excitation humaine, je dirais que je suis actuellement assez excitée.
- Ah... Ah bon ? Tu vois ça à quoi ?
- Déjà, du point de vue physiologique, je sens ma température interne augmenter et mes joues rougir... Et les signes extérieurs sont clairs également : mes tétons sont durs...

- ... et je crois que mon sexe commence à émettre de sa cyprine.
Janet écarte alors le haut de sa culotte pour vérifier puis déclare :
- Oui, je te confirme : de la cyprine s'écoule de mon sexe.

- C'est vrais ?
- Bien sûr... regarde !
En un claquement de doigts, Janet fait alors disparaitre sa culotte, se retrouvant totalement nue devant Julien. Elle écarte les jambes et regarde son sexe.

- Les signes sont incontestables : mon sexe est humide et mon clitoris est gonflé.
Puis elle passe un doigt sur son sexe trempé et le montre, dégoulinant, à Julien :
- Regarde comme je m'autolubrifie !

Julien sourit alors à deux titres : ses manigances pour abuser de Janet marchent parfaitement et celle-ci se montre d'une simplicité et d'une naïveté amusante.
- Janet, les humains ne disent pas autolubrifier en parlant de la cyprine mais « mouiller ». On peut dire, même si c'est un peu vulgaire, que tu mouilles...
- Apparemment, ce n'est pas si vulgaire puisque ce mot n'a pas été censuré... Donc, oui, je mouille.
- Et qu'est-ce qui te fait mouiller comme ça ?
- La réponse est évidente, Julien, même pour un humain. C'est ton sexe. A priori, j'ai été suffisamment conçue à l'image des humains pour être excitée, comme une femme normale, par la vision d'un sexe gros et dur.
- Gros ? Tu trouves mon sexe gros ?
- Affirmatif. Ton pénis est bien plus gros que la taille moyenne répertoriée chez les humains.
- Ah, je ne savais pas... dit Julien en mentant, je ne me suis jamais trop posé ces questions. Et comme je fréquentais assez peu les femmes, je n'ai jamais eu de commentaires à ce sujet.
- C'est logique, en effet. Ta tenue semble être très bien, Julien, déclare soudainement Janet en revenant au sujet principal et en regardant, toujours nue, le jeune homme.

Julien, qui avait à nouveau oublié la raison principale de la présence de Janet se regarde dans la glace et trouve en effet que la tenue qu'il porte lui va bien.
- C'est parfait, merci Janet.
- De rien.
Janet disparait alors immédiatement sans que Julien ne puisse continuer de jouer avec elle pour aller plus loin. Par réflexe, il l'a rappelle.
Il réapparait instantanément devant lui, à nouveau habillée comme au début.

- Oui Julien, tu as encore besoin de moi ?
- Heu... non pardon, je t'ai appelé pour rien, répond Julien déçu du « reset » dans la tenue de Janet et ne voulant pas recommencer toute l'entourloupe pour la faire se déshabiller depuis le début.
- Pas de souci. Bonne journée ! répond la belle brune en disparaissant.
Après avoir à nouveau soulagé son énorme érection, Julien sort en direction des boutiques du quartier afin de préparer le pique-nique du midi avec Dakota. Souhaitant progresser rapidement dans la séduction de la petite blonde américaine, il a pris du vin français, autant pour l'impressionner que pour la rendre un peu pompette, même s'il ne sait pas si l'alcool a un effet ici...
A suivre...
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The good Place.
Jour 2 - suite
Vers 12h, après avoir tout préparé, Julien se rend comme convenu au bord du lac, près d'un petit kiosque équipé de bancs, d'un style victorien que Julien trouvait affreux mais qui doit sans doute plaire aux autres résidents. Il installe le pique-nique en attendant Dakota.
Celle-ci fini par arriver avec quelques minutes de retard. Julien est immédiatement surpris par sa tenue : elle est habillée avec un uniforme de lycée ou d'université, manifestement un établissement privé d'élite comme ils en ont aux Etats-Unis. Elle porte même un sac à dos, complétant ainsi le tableau d'une parfaite « schoolgirl ».

Elle sourit à Julien, l'air un peu timide, s'approche et s'assoit sur un bac à côté de lui.

- Bonjour Julien. J'espère que la tenue ne te dérange pas ?
- Non pas du tout... cela te va très bien mais... pourquoi un uniforme scolaire ?
- Ce matin j'ai cherché une tenue pour notre rendez-vous. Je voulais être parfaite. Mais Julia ne m'a prévu que des habits décontractés et cet uniforme que j'avais au lycée lorsque j'étais... vivante. Comme je voulais faire forte impression, j'ai choisi l'uniforme mais maintenant je me sens ridicule.
- Tu n'es pas ridicule ! Tu es très belle... mais tu peux enlever ta veste si tu veux, il fait bon, au bon endroit ! Et tu te sentiras plus à l'aise.
Dakota enlève alors sa veste et se retrouve en chemise blanche et petite cravate rouge tandis que Julien, lui, observe plutôt sa jupe assez courte et ses chaussettes blanches hautes qui rendent particulièrement sexy ses belles jambes.

Julien sent d'ailleurs que Dakota est assez gênée par la taille de sa jupe et préfère donc détourner le regard et présenter le menu. Le pique-nique et la conversation s'engage donc, Dakota présentant de son côté les muffins maison qu'elle a apporté dans son sac à dos.
Les deux âmes sœurs parlent ainsi, tout en mangeant, de leurs vies respectives. Julien de son côté ment sur toute la ligne ou plutôt reste évasif en se disant qu'il faut absolument qu'il consulte son dossier s'il ne veut pas être démasqué un jour. Dakota lui raconte également sa vie, la vraie, sa jeunesse dans sa petite ville pourrie du middle west puis la bourse qu'elle a obtenu pour rentrer dans une prestigieuse université, la vie d'étudiante qu'elle a découvert avec le lot de tentations honteuses : sexe, alcool, drogues, etc. Mais tentations auxquelles elle a su résister et surtout en faire une force puisqu'elle a fait des études de psychologie et d'addictologie. Elle a eu un petit-ami sérieux au lycée avec qui elle a couché mais son départ à l'université les a éloigné et finalement séparé. Elle raconte sa mort aussi, comme Julien lors d'un accident de voiture, raison, sans doute qui a participé au choix de Julia de les considérer comme âmes sœurs.

Le couple en devenir passe manifestement un moment très agréable et même si ce rendez-vous galant restait très sage pour le moment si Julien, toujours fixé sur son idée de la sauter le plus vite possible, ne se prive pas de mâter les belles cuisses de Dakota dès que celle-ci croisait et décroisait les jambes ou remettait sa courte jupe en place.

D'ailleurs, alors que le repas était terminé, ainsi que la bouteille de vin, Dakota surprend le regard de Julien sur ses jambes et les referme d'un coup, manifestement gênée. Et alors que le jeune homme pensait qu'il allait se prendre une réprimande, au contraire en voit la belle blonde s'excuser :
- Julien, je suis désolé de t'imposer cette tenue ! Et je suis désolé de t'avoir montré mes seins hier, je ne sais pas ce qui m'a pris... J'étais... euphorique de rencontrer enfin mon âme sœur.
- Ne t'excuse pas, Dakota, il n'y a aucun problème !
- Tout de même... avec ton passé... j'ai dû te choquer !
Julien se remémore alors la conversation de la veille avec Janet qui lui avait appris que le « bon » Julien était un fervent féministe et qu'il détestait toute forme d'abaissement des femmes, notamment par leur tenues.
- Ne t'en fais pas... mes combats passés avaient pour but de faire évoluer le droit des femmes. Ici, nous sommes tous libres et égaux et je suis au contraire très heureux de voir que tu disposes librement de ton corps et de ton apparence. Et d'ailleurs, qui serais-je pour te juger ?
Dakota semble convaincue par le raisonnement de Julien.
- Alors tant mieux Julien. Donc ma jupe ne t'indispose pas.
- Au contraire, je la trouve ravissante et, si je peux me permettre, elle te fait des jambes magnifiques !
- Tu es vraiment adorable... Je crois bien que tu mérites une petite récompense...
Dakota soulève alors sa jupe et écarte légèrement ses jambes, exposant ainsi sa petite culotte à Julien qui n'en revient pas.

La belle blonde, sans doute pas si ingénue que cela, regarde en s'amusant les yeux de Julien rivés sur son entrejambe puis, après lui avoir laissé quelques secondes, rebaisse sa jupe pour cacher sa culotte.

- C'est tout pour le moment, coquin ! Ouh là... Je crois que le vin m'a rendue un peu pompette... Je vais rentrer chez moi avant que je ne fasse une bêtise, dit-elle en lui faisant un clin d'œil. Cela ne te déçoit pas trop ?
- Pas de souci ! Entre tes beaux seins hier et ta culotte aujourd'hui, je dois avouer que tu me fais de formidables cadeaux et de belles preuves de confiance. J'espère juste que notre prochain rendez-vous va être encore plus plaisant !
- Nous verrons ça, chaque chose en son temps, Julien. Nous avons l'éternité devant nous alors je compte bien prendre mon temps et profiter de chaque instant sans griller d'étape.
- Cela me va très bien, mentit Julien qui se serait bien vu la défoncer ici et maintenant dans son uniforme d'écolière salope. Et est-ce qu'un baiser d'au revoir serait « griller les étapes » après un si beau rendez-vous ?
- Au contraire, cela me semble être le moment idéal !
Julien s'approche donc de Dakota et dépose sur ses lèvres un tendre et long baiser.

Son érection, déjà bien débutée depuis l'exhibition de Dakota se confirme avec ce tendre baiser. Mais il n'ose se frotter à la belle blonde de peur de la brusquer. C'est d'ailleurs elle qui rompt le baiser en le remerciant pour cet agréable moment.
Puis les deux tourtereaux reprennent le chemin de leurs maisons. Mais aux abords du lac, ils croisent Julia qui leur souri et les salue.

- Je suis contente de voir que vous faite connaissance. Tout se passe bien Julien ?
- Oui, merci, tout est parfait ici.
- Je sais ! J'ai tout fait pour !! Allez, bonne fin de journée, je dois aller voir le mari d'Anissa.
Julien et Dakota retournent donc chez eux. Dans son salon, Julien se félicite du succès de ce rendez-vous et se dit que même si cela prendra du temps, lui et Dakota finiront très certainement ensemble. Et vu le tempérament de la petite blonde, il s'en réjouit d'avance ! Puis il repense à ce qu'a dit Julia à propos du mari d'Anissa. Y aurait-il un problème dans le couple ? Quelque chose qu'il puisse exploiter pour se rapprocher d'Anissa ?
De sa fenêtre, il observe la luxueuse maison de sa voisine et attend que Julia en sorte. Puis il voit Anissa et son mari sortir à leur tour et se diriger vers l'extérieur de quartier, vers le lac et la forêt. L'homme tient un petit baluchon à sa main tandis qu'Anissa, simplement vêtue d'un haut rose et d'un petit short blanc, lui parle, manifestement contrariée.
Et Julien sait pas expérience qu'une femme vulnérable est une cible de choix !
Il sort de chez lui et prend la direction du lac par un autre chemin. Au bout de 10 minutes, il aperçoit au loin le couple en train de parler puis, alors qu'il se rapproche, il voit le mari d'Anissa continuer seul vers la forêt tandis que la belle brune reste les bras croisé à le regarder puis fais demi-tour, en direction de Julien. Anissa marche tête baissée et visiblement perdue dans ses pensées, si bien qu'elle ne voit pas le jeune homme et manque de lui rentrer dedans.
- Oh pardon Julien je ne t'avais pas vu !!
- Ce n'est rien, Anissa... Je suis encore nouveau dans le quartier, ça doit être pour ça ! Tu vas bien ?
- Oui très bien je te remercie.

- Tu es sûr ? Tu avais l'air franchement triste en marchant...
Le visage de la belle brune s'assombrit alors et son sourire de façade disparait.

- Tu m'a vu ? Bon, alors pas la peine de jouer la comédie... Oui je suis un peu triste en effet. Mais je ne veux pas t'embêter avec ça par une si belle journée. Tu allais te promener, je suppose.
- Tu ne m'embêtes pas, Anissa et toutes les journées sont belles, ici ! Alors je peux bien prendre un peu de temps pour ma voisine si cela peut l'aider.
- Tu es adorable... Veux... Veux-tu venir chez moi pour prendre un verre ? Cela me ferait du bien de parler...
- Avec plaisir.
Anissa et Julien se rendent donc dans le « palais » de celle-ci. Sur le chemin, Julien ne peut s'empêcher de reluquer le magnifique postérieur d'Anissa, bien mis en valeur par un short plus court qu'il n'y paraissait.

Une fois à l'intérieur, Anissa invite Julien à s'assoir, lui sert un verre de jus d'orange (dans un tel lieu, Julien s'attendant au moins à du Champagne !) et s'assoit en face de lui.
- Alors, peut-on savoir ce qui peut te rendre triste au beau milieu du paradis ?
- C'est Jean-Denis... Mon âme sœur. Il... il vient à nouveau de partir en forêt pour se ressourcer et... prier.
- Prier ? Ici ? Alors que cet endroit prouve que la religion ne disait que de la merle ??
- Oui, je suis de ton avis. Mais vois-tu, Jean-Denis est, comme moi, issu d'une famille aristocrate. Et alors que ces proches étaient très conservateurs, Jean-Denis, lui, a utilisé sa fortune dans des projets philanthropiques modernes, comme moi, d'où sa place ici à mes côtés. Mais à la fin de sa vie, il a renoué avec la religion et est devenu très pratiquant. Après sa mort, en arrivant ici, il a gardé ses convictions sans que je comprenne pourquoi.
- Etrange en effet... Il a l'air plus âgé que toi...
- 20 ans de plus ! Du coup, même si notre relation est très forte (Julia ne se trompe jamais), je sens une distance entre nous qui ne cesse d'augmenter. Avant, il partait quelques heures, puis une nuit, maintenant c'est une semaine. Et je déteste être seule !!
- Et bien tu n'es plus seule, tu as maintenant un super voisin ! Je pourrais venir te tenir compagnie les soirs de cette semaine, si tu veux.
- Julien, c'est adorable mais peut-être tu avais des choses de prévues... avec Dakota sans doute.
- Dakota et moi ne vivons pas ensemble et avons décidé de prendre notre temps pour apprendre à nous connaître. Et elle comprendra très bien que j'essaie de t'aider.
- D'accord, c'est très sage de votre part... Avec Jean-Denis, nous avons été très vite... et on voit le résultat !
- Allons, on est au « bon endroit » ! Je suis sûr que Jean-Denis est fait pour toi et qu'il traverse une phase un peu compliquée... c'est tout. Tiens, pour penser à autre chose, j'ai ramené quelque muffins que Dakota avait fait pour le dessert. Goute, ils sont délicieux !
Julien tend le petit panier de muffin à Anissa qui en prend un et qui semble adorer. Puis la conversation, s'engage sur la vie au bon endroit, les futures réceptions qu'Anissa compte donner dans sa luxueuse maison, etc. Anissa ne rate de plus pas une occasion de rappeler ses amitiés passées avec les stars de showbiz qu'elle rencontrait au grès de ses galas de charité.
Au bout d'une petite heure, Anissa annonce que la journée a été assez éprouvante et qu'elle souhaite aller se coucher après un bon bain. Julien, toujours aussi séduit par le corps d'Anissa prétexte alors un nombre trop important de verres de jus d'orange et demande la direction des toilettes. En s'y rendant, il passe juste à côté de la salle de bain et en y jetant un œil, il constate que la fenêtre donnant vers l'extérieur est occultée par un rideau semi-opaque. Julien mise alors sur la chance et ouvre les rideaux en se disant que, fatiguée, Anissa ne pensera peut-être pas à les refermer.
Puis il retourne dans le salon et, pour avoir une excuse de repasser chez la belle métisse, fait exprès d'oublier son panier avant de partir.
Aussitôt, il fait le tour de la maison et, derrière un buisson, regarde la fenêtre de la salle de bain. Quelques minutes après être sorti de la maison d'Anissa, il voit la lumière s'allumer dans la salle de bain, voit la belle brune passer devant la fenêtre sans s'intéresser aux rideaux.
La première partie de son plan est donc un succès et il décide donc de s'approcher pour voir de plus près ce qui se passe à l'intérieur. Ce qu'il y voit dépasse alors ses espérances. Anissa est sous la douche, en train de se mouiller, son corps nu étant parfaitement visible depuis la fenêtre.

Anissa reste longtemps à se prélasser sous l'eau chaude. Puis elle se saisit d'un gel douche et en met sur sa poitrine...

... puis sur ses fesses, qu'elle se lave ensuite pour le plus grand bonheur de Julien.

Elle se retourne à nouveau vers la fenêtre et continue de se laver en regardant vers l'extérieur. Julien se cache alors précipitamment derrière le buisson alors qu'il rejette un œil vers la salle de bain, il constate qu'Anissa fixe toujours l'extérieur, avec une mine à la fois triste mais aussi en colère. En se retournant, Julien comprend qu'elle fixe en réalité la forêt derrière lui que l'on distingue malgré la nuit et qu'elle pense à son mari.
Mais le regard qu'elle lui lance, n'est pas un regard amoureux. Il y voit plutôt de la rancune.

Julien a ensuite la conviction qu'Anissa ne l'a pas vu puisqu'alors qu'elle se lave, sa main glisse sur son sexe et y reste pour insister sur son clitoris. Anissa ouvre alors la bouche de plaisir et semble presque se souvenir du plaisir que procurent ces attouchements.

Elle continue ses caresses et commence même à s'enfoncer un doigt dans la chatte. Dans son buisson, Julien a également sorti sa bite pour se branler en matant sa belle voisine.

Anissa semble proche de l'orgasme vu sa tête mais elle souhaite manifestement faire durer le plaisir. Elle s'accroupi, ouvre en grand les jambes et reprend ses caresses.

Julien est aux premières loges et ne loupe absolument rien de cette magnifique séance de masturbation, ni les doigts qu'Anissa s'enfonce...

... ni l'orgasme qui la secoue enfin.

Et alors qu'elle expose sa chatte encore tremblante de jouissance, Julien croire lire son prénom sur les lèvres d'Anissa. Est-ce le fruit de son imagination, de son excitation ? Ou est-ce que sa voisine s'est réellement masturbée en pensant à lui.
Il décide donc de tenter sa chance en jouant la carte « panier oublié » pour avoir un prétexte de sonner à nouveau chez Anissa. Il la regarde enfiler une culotte et un débardeur et sortir de la salle de bain.

Il range sa queue et se précipite vers la porte d'entrée pour sonner. Au bout de quelques secondes, Anissa ouvre la porte, surprise d'une visite à cette heure un peu tardive. Mais en voyant qu'il s'agit de Julien, son visage s'adoucit.

- Julien ? Un problème ??
- Non, rien de grave... j'ai juste oublié mon panier chez toi. Excuse-moi de te déranger, tu allais te doucher, peut-être ? répond Julien en pointant du regard la tenue légère et sexy d'Anissa.
- Non, j'en sors, j'allais me coucher.
- Ha... désolé.
- Aucun souci. Et oui, il me semble bien avoir vu ton panier trainer à côté de la table basse. Je vais te le chercher, déclare Anissa en tournant le dos à Julien avec un regard un peu coquin.

- Le voilà... Comme je disais souvent à Brad Pitt qui oubliait tout le temps ses affaires chez moi : quand on n'a pas de tête, on a des jambes !!
- Oui c'est bien vrai ! Encore désolé... Je te souhaite une bonne nuit, Anissa.
- Bonne nuit à toi aussi Julien. Et encore merci pour cette chaleureuse soirée, cela m'a fait beaucoup de bien... tu ne peux pas t'imaginer à quel point ! Viens pas ici que je te remercie...
Anissa appelle alors du doigt Julien qui s'approche, expectatif.

Anissa dépose un baiser sage mais tendre sur la joue de Julien, comme pourrait le faire une amoureuse aussi bien qu'une amie reconnaissante. Puis elle se recule un peu et dit :
- Dakota a beaucoup de chance de t'avoir comme âme sœur... et moi de t'avoir comme voisin. Bonne nuit, Julien.
- Bonne nuit Anissa.
Julien s'éloigne alors pour rentrer chez lui et, au bout de quelques pas, se retourne vers Anissa qui ne semble pas pressée de refermer la porte et lui fait un dernier coucou en admirant la petite culotte rose et le débardeur laissant apparaître ses tétons.

Sur le (bref) chemin du retour, Julien se dit qu'il peut avoir la quasi-certitude qu'Anissa a fait allusion à ses attouchements et qu'elle lui a fait du charme, même sans le vouloir, lorsqu'elle évoquait la chance qu'avait Dakota.
Une fois dans sa chambre, c'est évidemment en pensant à Anissa qu'il s'est soulagé une nouvelle et dernière fois de cette journée riche en excitation.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 3
Ava était la maitresse idéale...

C'était une magnifique mère de famille qui s'ennuyait prodigieusement avec son mari et qui assouvissait avec Julien ses fantasmes les plus coquins, pervers, voire honteux.
Mère de trois enfants, femme au foyer, Ava avait des besoins que son mari ne lui apportait pas, en tout cas pas au niveau où il le pensait. Il lui assurait un confort financier et la considérait uniquement comme une épouse et une mère alors qu'elle voulait être traitée en femme...

... en maitresse...

... et même en salope.

Julien avait tenté d'en faire son objet mais c'était finalement elle qui décidait de « où », « quand » et « comment ». Julien ne s'en plaignait pas car une femme de cet âge aussi belle et bien conservée, avec une paire de seins énormes et un appétit sexuel sans borne, ça ne se refuse pas !
Elle aimait le sexe sous toutes ses formes, des plus classiques...

... aux plus trash...

... en passant par toutes les nuances de perversité et de curiosité.


Mais ce qu'Ava préférait le plus, c'était de jouer à la maman cochonne avec, dans le rôle de son fils, de son beau-fils ou d'un jeune de passage, Julien, qui était ravi de se prêter au jeu.
Elle mettait en place des scénarios porno qui étaient, Julien en était convaincu, tirés de situations réelles dans la vie de famille d'Ava mais sans qu'elle n'ose jamais franchir le pas. Ce qu'elle faisait évidement en fantasme !
Par exemple, elle surprenait son « fils » en train de se masturber et l'aidait à se finir...


...ou, au contraire, un ami de son fils la surprenait en train de se faire plaisir et elle s'offrait à lui en échange de son silence.

Et plus le temps passait, plus Ava demandait à Julien de l'appeler « maman » et s'enfonçait de plus en plus dans ses délires mère/fils... Julien comprenait alors pourquoi elle ne pouvait pas satisfaire ses fantasmes avec son mari !

Leur histoire s'arrêta brutalement lorsqu'Ava annonça un soir à Julien qu'elle avait quitté son mari pour vivre avec lui, s'imaginant sans doute que le jeune homme était accroc à elle autant qu'elle à lui. Mais Julien était un salop, un vrai et la rejeta sans une once d'embarras. Elle venait de briser sa famille pour lui et il lui brisait le cœur sans aucun remord.
Oui, je n'ai absolument rien à faire au « bon endroit » se dit Julien en sortant de son sommeil et de ce rêve où les scènes porno se mêlaient au sentiment désagréable d'être un odieux connard. Mais ce n'était pas ça qui l'avait réveillé, c'était des bruits de panique venant de dehors.
Inquiet de ce qui se passe et imaginant le « mauvais endroit » en train de le chercher, Julien hésite d'abord à sortir, se contentant de regarder par la fenêtre.
Ce qu'il voit le terrifie : à la place du soleil matinal, un œil gigantesque semble observer le quartier.

Il pivote sur lui-même observant tantôt une femme qui court en criant, tantôt un homme qui essaie de se cacher. Puis, en regardant de plus près la population affolée, il s'aperçoit que certaines femmes sont nues.
Ne comprenant rien à la situation, il sort de chez lui et commence à se diriger vers le centre-ville sous le regard de l'œil céleste. Il passe à côté du petit chemin menant au lac et voit une femme se doucher sur la plage après sa baignade matinale, entièrement nue. Celle-ci le salue tranquillement puis soudain, elle semble s'apercevoir de son état et masque alors ses seins et son sexe.

Il tourne alors la tête faisant mine de ne pas s'intéresser au corps pourtant ravissant de la jeune femme. Sur le chemin, la porte d'une maison s'ouvre et une femme en sort, entièrement nue elle-aussi. Elle demande d'où vient cette agitation dans le quartier puis, devant le regard médusé de Julien et des passants à côté, regarde son corps et, affolée, rentre chez elle en masquant ses parties intimes.

Julien arrive en ville et passe à côté de deux jeunes femmes qui, plongées dans leur discussion, ne semblent pas avoir remarqué l'agitation de la rue ni l'œil géant qui les observe. Elles sont habillées de manière tout à fait classique et Julien se dit alors qu'il s'agit peut-être de quelques résidents qui perdent la boule ou qui ont trop bu la veille.

Mais alors que Julien passe à leur hauteur en les saluant, leurs vêtements disparaissent aussitôt, comme par magie, les laissant en sous-vêtements.

Les filles hurlent de peur et courent vers chez elles en essayant de garder un peu de pudeur. La conviction de Julien est alors faite : il ne s'agit ni de son imagination, ni du comportement bizarre de quelques habitants mais bien d'un phénomène magique qui semble surprendre tout le monde et pas seulement lui.
Inquiet sur l'origine de ce phénomène, il se rend au bureau de Julia pour essayer de se renseigner. En entrant dans le bâtiment, il aperçoit la femme qu'il avait vu à l'accueil lors de son premier jour, une belle asiatique, se diriger vers la salle des registres, seins nu, uniquement en culotte.
- Bonjour, je peux voir Julia ? demande alors Julien à la secrétaire qui se couvre alors les seins, honteuse.

- Heu oui, elle est dans son bureau, mais je ne pense pas qu'elle soit... présentable.
- C'est une déesse... elle n'est certainement pas affectée... affirme Julien sans en avoir en réalité la moindre idée.
Julien remercie la secrétaire en essayant de ne pas la déshabiller plus du regard malgré un corps magnifique, se dirige vers la pièce où sa mort avait commencé deux jours auparavant et frappe à la porte. La voix de Julia l'invite à entrer.
En pénétrant dans le bureau, il aperçoit alors Julia entièrement nue elle aussi, debout devant son bureau.
- Oui, Julien ? demande-t-elle tranquillement sans essayer de se cacher.

- Je voulais te parler d'un problème en cours mais je pense que tu es au courant...
- Si tu veux parler de l'œil dans le ciel et des femmes du quartier qui se retrouvent nues les unes après les autres, oui, je suis au courant.
- Ok... et tu sais d'où cela vient ?
- Si je le savais, je ne serai pas moi-même toute nue en ce moment.
- Bon... je vais te laisser...
Et alors qu'il se retourne pour sortir, Julia s'assoit sur son fauteuil, croise les jambes et demande :
- Attend Julien. De ton côté, tu as une idée de ce qui se passe ?

L'air suspicieux de Julia inquiète énormément Julien car, après tout, elle est sensée tout savoir sur lui.
- Heu non, j'avoue que je n'y comprends rien...
- Et as-tu vu des hommes nus dehors, ou bien est-ce que cela touche uniquement les femmes ?
- Je crois n'avoir croisé que des femmes dans cet état...
- D'accord, merci...
Pensive et visiblement déçue par l'absence de nouvelles informations, Julia se vautre en soupirant dans son fauteuil, décroise négligemment les jambes exposant ainsi son sexe à Julien et porte un doigt à sa bouche en, semble-t-il, réfléchissant.

- D'où est-ce que ça peut bien venir, marmonne-t-elle avant de revenir vers Julien en lui demandant de la laisser réfléchir pour le moment.
Julien sort donc du bureau de Julia, complètement déboussolé et excité par ce qu'il vient de voir. Julia ne semblait éprouver aucune gêne du fait de sa nudité et se comportait presque comme si elle ignorait l'effet que peut avoir la vision d'un sexe nu et béant pour un humain.
Et comme si cela ne suffisait pas, il recroise son assistante, cette fois-ci complètement nue, en train d'essayer de se cacher dans un coin de son bureau.

Il lui souhaite bonne journée en ne se privant pas de la dévorer des yeux puis sort du bureau.
Julien, alors qu'il rentrait chez lui, repense à la désinvolture de Julia à exposer son corps et en arrive à la conclusion qu'elle n'a pas vraiment compris ce qu'était un corps humain et de ce qu'il pouvait provoquer... Mais pourquoi, elle qui était sensée tout savoir, tout pouvoir faire ? Il fallait qu'il demande cela à Janet.
Et surtout, il devait se concentrer sur la catastrophe en cours. Il y était forcément pour quelque chose : ces femmes nues et cet œil espion avait forcément quelque chose en rapport avec ce qu'il avait fait ici depuis deux jours, c'est-à-dire abuser de la naïveté des femmes pour les foutre à poil et les espionner ! Pourtant ni Julia ni aucun résident ne semblait comprendre ce qui se passait et Julien se dit donc qu'il allait simplement devoir lever le pied en attendant que ça se calme.
Au moment de rentrer chez lui, il observa la maison de Dakota et se dit que si elle aussi c'était retrouvée nue par « magie » il pouvait éventuellement en profiter. Il frappa donc à sa porte et se frappa aussitôt le front en se maudissant :
- Espèce de gros bon !! Tu viens de dire que tu devais lever le pied !
Julien est à deux doigts de partir lorsque Dakota répond derrière la porte :
- Qui est-ce ?
- C'est Julien.... Je voulais savoir si tu allais bien !
- Attends une minute...
Une grosse minute plus tard, Dakota ouvre la porte de sa maison et passe la tête pour saluer Julien.

- Bonjour Julien ! Oui je vais bien même si c'est le grand n'importe quoi ce matin.
- Oui je sais, je viens de la ville. Et c'est pour ça que je suis passé te voir, pour savoir si tu étais également affectée... Je peux entrer ?
- Heu... c'est que j'ai enfilé un truc vite fait pour ouvrir la porte...
- Comme tu veux, je peux repasser plus tard.
- Non, allez, entre. Après tout on est assez proche maintenant !
En pénétrant dans la maison de Dakota, Julien découvre qu'elle n'est en réalité habillée que d'un petit gilet en haut et d'une petite culotte en bas.

- Désolée de la tenue... c'est tout ce que qui a résisté depuis ce matin, le reste disparaissait dès que je le mettais !
- Pas de souci, ce n'est pas désagréable à regarder ! Il faut qu'on parle de ce qui s'est passé...
Dakota emmène donc Julien vers son salon pour discuter tranquillement. Derrière la jeune américaine, Julien dévore des yeux ses magnifiques fesses, bien mises en valeur par un shorty en dentelle.

Soudain elle se retourne pour demander si Julien veut un café. Elle capte immédiatement le regard du jeune homme sur son postérieur mais n'en dit rien et se contente de sourire, presque flattée.

Dans le salon, autour d'un café à l'américaine insipide, que Julien boit avant tout par politesse, les deux âmes-sœurs discutent des évènements de la journée.
- Je suis allé faire mon footing matinal en forêt et je suis revenue toute nue ! précise Dakota encore inquiète. J'ai d'abord cru que j'hallucinais donc j'ai pris une douche glacée et je me suis rhabillée. Mais l'instant d'après, mes vêtements avaient à nouveau disparu. Je suis donc restée nue jusqu'à ce que tu frappes...
Dakota regarde et touche alors ses vêtements en souriant puis déclare :
- Ceux-là sont plus résistants ou alors les choses rentrent dans l'ordre.

- Je crois que le phénomène se calme, répond Julien en regardant par la fenêtre, les femmes sont à nouveau habillées, dehors. Plus ou moins...
- Les femmes ? Il n'y avait que les femmes de concernées ? l'interroge alors Dakota.
- Oui... cela te perturbe ?
- Non, ce qui me gêne en revanche, c'est que tu as passé la matinée à voir des femmes nues !
- Ah... Je n'avais guère le choix, tu sais... elles non plus d'ailleurs !
- Excuse-moi... cet accès de jalousie est ridicule. Nous sommes âmes sœurs mais nous ne sommes pas officiellement en couple, après tout. C'est même moi qui ai demandé « d'aller doucement », ajoute Dakota en mimant les guillemets, visiblement en colère contre elle-même.
- Écoute, je vais y aller, on pourra se voir plus tard si tu veux.
- Oui, c'est ça...
Julien se lève et se dirige vers la sortie quand Dakota, derrière lui, le retient soudain :
- Attend ! Je ne voulais pas faire la gamine... C'est juste que tu as passé la matinée à voir presque toutes les résidentes à poil.... Toutes sauf moi, ton âme sœur. Tu ne trouves pas ça illogique ? demande-t-elle en déboutonnant son gilet.

- Si.... Un peu... répond Julien, curieux de voir où sa copine allait aller cette fois.
- On est d'accord.
Et sur ces mots, Dakota ouvre son gilet et expose ses seins sous les yeux de Julien.

- Les femmes que tu as croisé ce matin n'étais pas seulement en sous-vêtements, il me semble, mais nues, comme moi dans la foret ?
- Oui, pour la plupart...
- C'est bien ce qui me semblait, répond Dakota en baissant sa petite culotte.

Les yeux de Julien se fixent alors sur le sexe parfaitement sculpté et totalement glabre de Dakota. Ses lèvres ont l'air douces comme de la soie, son clitoris ressort déjà, comme gonflé par l'excitation de la situation.

- Tu aimes mon minou ? Je l'ai rasé et épilé rien que pour toi, le jour de notre rencontre, et depuis je l'entretiens. Je voulais être parfaite pour toi, demande Dakota en regardant son sexe, comme pour vérifier la beauté de son sexe.

- Tu es parfaite, Dakota, tu es superbe.
- Allons dans le salon... déclare Dakota en remettant sa culotte en place.
Elle s'assoit alors dans le canapé, toujours seins nus et regarde par la fenêtre les gens aller et venir dans la rue. Elle aperçoit Anissa qui sort de chez elle, toujours aussi bien habillée et aussi bien foutue.

- Anissa... cette bombe atomique... Tu l'as vu nue, ce matin ?
- Non, je ne l'ai pas croisée...
- Dommage pour toi... son corps est superbe, je l'ai déjà vu en maillot de bain au lac. Une vraie déesse. Ses fesses, surtout... j'aimerais tellement avoir les mêmes.
Dakota se retourne alors et tend ses fesses en direction de Julien.

- Tu penses que mon derrière peut rivaliser avec le sien ?
- Absolument ! Tu es plus menue mais en proportion, tes fesses sont au moins aussi rebondies !
- Rebondies ? Pas assez à mon gout, malheureusement... commente la jeune femme en palpant une de ses fesses.

- Je t'assure que tes fesses sont superbes ! affirme Julien, en le pensant réellement tant ce cul tendu l'excite.
- C'est très gentil, mais tu me dis ça juste pour que j'enlève ma culotte !
- Non, je t'assure... je constate juste que...
- Pas de mensonges ! Tu as envie de voir mon sexe, hein ?
- Et bien.... Oui... j'avoue que ça me tente.
- Alors demande le moi correctement.
- Bien.... Dakota, puis-je voir ton sexe ?
- J'imaginais une demande plus épicée... plus virile...
- A ta guise... Montre-moi ta chatte, Dakota.
- Encore...
- Enlève ta culotte, écarte les cuisses et montre-moi ta chatte, petite vicieuse. Je suis sûr que tu en meures d'envie et que tu es trempée !
- Julien.... Ça me rend folle quand tu me parles comme ça ! avoue Dakota en écartant sa culotte et en exposant sa chatte, le cul toujours bien tendu vers Julien.

Dakota reste dans cette position un long moment, laissant Julien profiter de la vue. Puis elle remet sa culotte en place, se redresse, fait tomber son gilet au sol et demande si Julien pense encore aux femmes nues qu'il a vu ce matin.
Même si l'image de Julia écartant les jambes sur sa chaise de bureau restera gravée dans la tête de Julien pour un moment, celui-ci répond prudemment :
- De quelles femmes tu parles ? Je ne connais qu'une seule femme que j'ai envie de voir nue et c'est toi !
Visiblement satisfaite, Dakota glisse la main dans sa culotte et ferme les yeux.

- Mon dieu, Julien. Je n'ai jamais été aussi excitée qu'aujourd'hui... Même en repensant à ma vie d'avant, je n'ai jamais été aussi chaude. Depuis que je suis ici, je ne me suis jamais touchée. Jamais. Et lorsque j'ai appris que mon âme sœur arrivait, je me suis préservée pour lui. Maintenant tu es là et je n'en peux plus.
Dakota enlève alors sa culotte, s'assoit sur le rebord du canapé et écarte en grand les jambes.

- Je ne suis pas sûr d'être prête à coucher avec toi... Pas encore. Mais je vais faire ce que je crève d'envie de faire depuis que je t'ai vu : me masturber. Tu veux regarder ?
- Bien sûr ! répond Julien avec enthousiasme puis, se reprenant pour ne pas paraitre affamé, il ajoute : « si tu es à l'aise avec ça et que ça te fait plaisir, alors avec joie ».
- Oui, ça me ferait plaisir que tu me regardes... que tu me désires... Je veux qu'on soit plus que des âmes sœurs désignées par une déesse.
Et tout en finissant sa phrase Dakota commence à se caresser, à faire tourner son doigt sur son clitoris et à s'enfoncer un doigt dans son sexe visiblement trempé.

La scène est délicieuse à regarder mais aussi terrible à endurer tant Julien doit lutter pour ne pas sauter sur Dakota et la baiser comme une chienne. Il résiste cependant et se contente de se masser le sexe, évidemment très dur, au travers de son pantalon en regardant la jeune femme se faire du bien.
Dakota est visiblement aux anges et s'active sur son clitoris gonflé d'excitation en fermant les yeux.

Elle rouvre les yeux et se fixe alors sur la main de Julien qui masse un sexe tellement gros et dur qu'il en déforme son pantalon.
La jeune femme lance alors un regard vers la fenêtre par laquelle elle voit les résidents du quartier aller et venir dans la rue. Ils sont tout près et peuvent très bien voir ce qui se passe dans le salon de Dakota.

Pourtant, elle repose son regard sur le membre de Julien et ordonne :
- Sors-le...
- Q... Quoi ?
- Sors ton sexe. Je veux le voir. Masturbe toi avec moi, faisons ça ensemble, maintenant. La simple idée que tu puisses le faire ce soir en pensant à quelqu'un d'autre me rend folle de jalousie... Branle-toi en me regardant !
N'ayant aucun problème avec son corps et avec le fait de le montrer, Julien ne s'inquiète pas d'être aperçu par les passants dehors et sort sans hésiter son sexe de son pantalon pour commencer à se masturber doucement.

Dakota affiche alors un grand sourire en observant ce sexe et tout en continuant de se caresser, commente :
- Je ne sais pas ce que j'ai fait de bien dans ma vie pour mériter un homme si beau et si bien monté à la fois, mais il faudra que je remercie Julia pour ça !

Les deux âmes sœurs passent ainsi un long moment à se masturber face à face en se regardant tantôt dans les yeux, tantôt vers des parties plus intimes de leur anatomie.
Sentant l'orgasme arriver, Dakota décide de faire plaisir à son amant et se tourne de dos, à quatre pattes et fesses bien tendues, offrant ainsi un spectacle divin à Julien.

Celui-ci est alors très tenté par le fait de pénétrer la jeune blonde, sa chatte étant si près de lui, si humide, si ouverte. Peut-être même est-ce cela que Dakota cherche... Ou alors c'est un test pour savoir si Julien est digne de confiance...
Prudent bien que très excité, Julien résiste à cette envie et continue de se masturber, à bonne distance de Dakota.
Soudain la jeune femme se retourne et accélère le rythme de ses caresses en fixant comme une affamée le sexe de Julien. Quelques secondes plus tard c'est l'explosion, Dakota est secouée par un magnifique orgasme qui la fait s'avachir dans le canapé, épuisée.

Pendant quelques secondes, Julien continue de se masturber en regardant Dakota profiter de sa jouissance et jouer nonchalamment avec sa chatte encore tremblante.
Puis celle-ci revient à ces esprits et, regardant Julien se palucher, dit :
- C'était un orgasme incroyable... je n'étais même pas sûr que c'était possible dans un tel endroit. Tu as envie de tester si ça fonctionne pour toi aussi ?
Julien se garde alors bien de préciser qu'il a déjà testé cet aspect de sa nouvelle existence et répond :
- Si cela ne te dérange pas de me voir jouir, j'avoue que oui, je veux bien essayer à mon tour !
- Non, ça ne me dérange pas.... Tu... veux venir... à un endroit en particulier.
« Sur ton beau visage, sur tes seins, dans ta bouche » a alors envie de répondre Julien qui, pourtant, arrive à se contenir et dit simplement :
- Je te laisse décider, Dakota... Cela peut être là où tu as envie... et même simplement dans un mouchoir si tu préfères.
- Hum... que dirais-tu de venir sur mes pieds ? Je ne l'ai jamais fait dans ma vie précédente et il me semble que c'est coquin, juste ce qu'il faut. Non ?
- C'est une excellente idée, déclare Julien en s'approchant, heureux qu'elle n'ait pas choisi l'option Sopalin !
Le jeune homme n'est pas long à venir et se répand rapidement sur les jolis pieds joins de Dakota. Certaines giclées atteignent la jeune femme au-dessus des chevilles quand d'autres échouent par terre.
Puis, alors que Julien lâche son sexe, soulagé, la jeune femme commence à caresser le sexe encore dur face à elle avec ses pieds et le branle doucement pour accompagner la fin de l'orgasme.

- Je ne sais pas si caresser le sexe de son âme sœur au bout de 3 jours peut être considéré comme « prendre son temps » mais je n'ai pas pu résister.
- On a qu'à dire qu'avec les pieds, ça ne compte pas !!
Après avoir ri de bon cœur à cette petite blague, moins pour son réel côté comique que pour masquer leur gêne grandissante une fois l'excitation redescendue, ils se rhabillent en silence et Julien se dirige vers la sortie.
Devant la porte, Dakota lui dit :
- Je suis désolée Julien... J'ai complètement dérapé alors qu'on était d'accord pour y aller mollo... J'espère que tu ne me considère pas comme une fille facile.
- Pas de tout ! J'étais également d'accord pour qu'on prenne notre temps parce que je ne voulais pas te brusquer et parce que nous avons, littéralement, tout notre temps. Mais si les choses vont bien entre nous et qu'elles se font naturellement, alors, il n'y a pas de raison de se freiner... D'autant que même ici, le coup de foudre est manifestement possible !
Et sur ces mots Julien embrasse alors langoureusement Dakota qui semble toute émue de cette quasi déclaration d'amour. Et le pire, c'est que Julien n'exagérait que très peu : ses sentiments pour la belle blonde sont réels.
A suivre...
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The good Place.
Chapitre 3 - suite
De retour chez lui, Julien reste embrumé une bonne partie de la journée et ne cesse de penser à Dakota et à l'évolution rapide de leur relation. Mais l'incident de ce matin lui revient sans cesse en tête et l'horrible maison dont il a hérité l'empêche de réfléchir. Il a l'impression que Mère Theresa et Gandhi le jugent en permanence ! Il sort dehors pour prendre un peu l'air en fin de journée et constate que toutes les femmes sont maintenant habillées et que tout semble redevenu normal.
Il se rend vers le lac qui est quasiment désert en cette fin de journée. Les habitants semblent encore tous perturbés par ce qui s'est passé et peu d'entre eux s'attardent hors de leur maison malgré la fin de l'anomalie.
Sur le banc du belvédère où a eu lieu son premier rendez-vous avec Dakota, il essaie de réfléchir. Sa relation avec la belle blonde avance bien et, vu son attitude, elle sera bientôt dans son lit, c'est sûr. Mais il aurait presque aimé que ça n'aille pas aussi vite car il a également des vues sur Anissa et il sent que tout sera plus compliqué s'il est officiellement en couple. De plus, le mari de la brune pulpeuse rentra de sa retraite spirituelle d'ici quelques jours. Il doit donc agir tant qu'il est temps.
Le problème c'est qu'en précipitant les choses avec Anissa, il risque d'attirer l'attention, voire de provoquer à nouveau une catastrophe. Et si elle ou Dakota, ou n'importe qu'elle femme qu'il allait tenter de sauter venait à lui poser des questions sur sa vie passée auxquelles il n'avait aucune réponse ? Il s'en était tiré de justesse jusqu'ici mais cela n'allait peut-être pas durer. Il devait accéder à son dossier... et rapidement.
Afin de glaner quelques informations, il appelle Janet. La brune humanoïde apparait aussitôt.

- Bonjour Julien, as-tu besoin de moi ?
- Oui Janet... Heu, très jolie robe, déjà.
- Merci. Décontractée comme tu me l'avais demandé mais pas trop car je ne savais pas si tu étais seul ou pas.
- C'est très bien ! Alors voilà, je...
- Mais du coup, tu es seul, ici ! le coupe soudain Janet en claquant dans ses doigts et en apparaissant alors en bikini.

- Voilà ! reprend-elle alors gaiement. Décontracté, sexy et adapté à la situation. De quoi te rendre heureux, il me semble.
- Ouah ! C'est très bien effet... Alors je voulais te demander...
- Es-tu satisfait, Julien ?
- Heu oui, très, Janet. Ce bikini te va très bien et cela est très plaisant à regarder. Puis-je te poser une question ?
- Oui, bien-sûr.
- Ce matin, en me rendant chez Julia, je l'ai vue... nue et elle ne semblait pas spécialement gênée. Tu sais pourquoi ?
- Julien, commence Janet avec un air presque condescendant, il n'y a que les humains qui sont gênés par leur corps ou ceux des autres. Aucun autre animal sur Terre n'a cette retenue. Pour Julia, le corps humain n'est qu'une enveloppe permettant d'accomplir des fonctions métaboliques ou physique de base. C'est comme pour moi : on m'a donné ce corps pour vous ressembler mais il ne représente rien pour moi.
- Je vois, mais... vous êtes censées nous accueillir de la manière la plus adaptée possible, alors pourquoi une telle ignorance de nos mœurs ?
- Julia n'est architecte que depuis quelques centaines d'années seulement. Et cet endroit est son premier quartier. C'est la première fois qu'elle en créé et gère un, alors elle apprend et s'adapte.
Julien garde alors le silence et réfléchit à la manière d'utiliser à son profit cette information. Si Julia n'a pas conscience de l'effet que son corps peut avoir sur son entourage, cela pourrait être une piste pour jouer avec elle, la laisser dans cette innocence et influencer certains autres résidents. Mais cela ne sera pas facile de tromper une déesse. Surtout sans son dossier...
- Tu sembles contrarié Julien. Tu es sûr que ma tenue te satisfait ? D'habitude, c'est ça qui te rend heureux...
- Ce n'est pas ça, je veux...
- Tu veux voir mes seins ? Comme je te l'ai dit, pour moi, ce ne sont que des glandes mammaires... Mais si ça peut te rendre heureux !

Janet écarte alors le haut de son maillot et se retrouve seins nus devant Julien qui regarde à droite et à gauche pour être sûr que personne ne peut voir ce qui se passe.

- C'est très joli, comme d'habitude, Janet, mais je ne pensais pas à ça... réagit Julien qui ne comprend pas l'insistance de Janet à se déshabiller et envisage même le fait que ce soit un piège.
- A quoi alors ?
- Je... Je me demandais s'il était possible de consulter son dossier.
- Pourquoi ? Tu ne te souviens pas de ta propre vie ? demande Janet avec un air étonné.

- C'est que... la vie ici est tellement différente. Il y a cet endroit plein de possibilités... Il y a Dakota, mon âme sœur si... parfaite. J'ai l'impression de me perdre, d'oublier qui j'étais. Et je pense avoir besoin de me relire, comme on relit ses auteurs classiques lorsqu'on doute. Tu vois ?
- Je... crois que oui...même si ça n'a pas de sens pour moi. Ton dossier est stocké dans le bureau de Julia et il n'y a qu'elle pour t'autoriser à le consulter... ce qui n'est jamais arrivé à ce jour.
- Elle refuse toujours l'accès ??
- Non, c'est juste que personne ne l'a jamais demandé. Je crois qu'une fois ici, les gens se contentent de profiter sans se poser trop de questions. Ta démarche semble sincère mais est pour le moins originale.
- Et tu ne disposes pas de ces informations ?
- Si mais je ne peux que répondre à tes questions et non pas te livrer le dossier en entier. Si tu veux vraiment « te relire », tu dois parler avec Julia, il me semble.
- C'est bien ce que je pensais...
Julien sombre à nouveau dans la réflexion et affiche une mine grave. Il ne peut évidemment poser toutes les questions sur sa vie passée à Janet, cela serait évidemment trop louche. Il doit donc lire le dossier par lui-même. Mais si jamais personne n'a consulté son dossier ici, il va forcément attirer l'attention sur lui s'il fait une telle demande. Et actuellement, juste après l'anomalie, ce n'est pas du tout le bon moment pour attirer l'attention ! Julien, perplexe et inquiet en oublie presque la présence de Janet, tout de même seins nus juste devant lui.
D'ailleurs, celle-ci se rappelle à lui :
- Ton visage indique que ton humeur n'est clairement pas à son optimal... Veux-tu que je te montre mon sexe et mes fesses ?
Et avant même que Julien ait pu répondre quoi que ce soit, Janet écarte le bas de son maillot et expose son sexe.

- Ça va mieux, ainsi ?
- Janet, c'est gentil, mais je ne pense pas que cela suffise...
- Je vois...
Janet se redresse alors et d'un clignement d'yeux, se retrouve entièrement nue, les jambes légèrement écartées, et se tient devant Julien comme une femme qui sait mettre son corps en valeur et qui sait qu'elle plait. Janet était incapable de cela il y a encore deux jours. Manifestement, elle évolue...

Julien la regarde alors surpris et inquiet. Il y a trois jours de cela, alors qu'il faisait tout pour la faire se déshabiller, il lui fallait des excuses et des stratégies toutes plus alambiquées les unes que les autres. Et là, elle se met à poil toute seule, sans que Julien ne demande rien. Soit elle lui tend vraiment un piège, soit elle se prend au jeu et y trouve, elle-aussi, une source de plaisir.
Julien, prudent, décide de continuer de jouer les non-intéressés :
- Janet, tu es.... superbe, comme d'habitude. Mais ce n'est pas ça qui va me rendre de bonne humeur...
- Je m'en doutais et je n'avais pas fini.
Janet se tourne alors et expose ses fesses à Julien.

- Janet... s'il te plait...
- Je sais ce que tu vas dire... Mes fesses sont jolies mais ce n'est pas suffisant... Je commence à te connaître, tu sais !
Et sur ces mots, elle pose ses mains sur ses fesses et les écarte délicatement pour s'exposer encore d'avantage.

Puis, sans même ajouter quoi que ce soit, elle s'accroupit en lançant un regard de braise à Julien...

... et se met à quatre pattes en exposant totalement son sexe et son anus à Julien.

Julien est à présent persuadé que Janet fait cela pour son propre plaisir, d'autant qu'il voit clairement le sexe de Janet trempé ! Mais joue encore un peu la comédie.
- Janet, c'est absolument magnifique et vraiment très excitant mais je t'assure que je ne t'avais pas appelé pour ça. J'avais vraiment des questions importantes à te poser.
Janet se retourne alors vers lui et s'assoit par terre en écartant les jambes.

- Je le sais, mais comme mes réponses ne t'ont apporté que de la frustration, mon rôle est de te rendre heureux malgré tout.
Elle écarte alors complètement les jambes devant Julien, pose sa main sur son sexe en s'écartant les lèvres et continue :

- Dis-moi, n'y a-t-il rien chez moi qui puisse améliorer ton humeur ?
- Non, je ne crois pas... hélas.
- Julien, tu peux me demander ce que tu veux, je suis là pour ça, après tout...
Julien hésite alors à tester quelque chose qui l'intrigue depuis un moment et, cédant à l'excitation, se lance :
- Et bien, après t'avoir questionné sur ta ressemblance avec les humains et que tu m'ais prouvé que tu nous étais semblable en de nombreux points...,
- En tout point ! le coupe alors Janet.
- Oui, pardon, en tout point... y compris donc au niveau de l'excitation, je me demande quand même ce qui se passe à l'intérieur de toi... Tu vois, tu ne manges pas, tu apparais et disparais comme ça. Je suppose que ta machinerie interne n'est pas vraiment comme la nôtre...
- Précise ta requête, Julien... Tu veux savoir ce qui se passe en moi en général... ou là-dedans en particulier ? demande alors Janet avec un sourire coquin en écartant ses lèvres vaginales.

- A vrais dire, oui, je pensais à ça en particulier, répond le jeune homme en fixant le vagin écarté et humide.
- Et bien il ne s'y passe rien de plus et rien de moins que chez une humaine classique. Tu as déjà constaté que je pouvais être excitée et que j'émettais de la cyprine. Je suppose donc que je suis conçue pour être théoriquement capable d'être pénétrée...
- C'est incroyable que tes concepteurs aient poussé le détail jusque-là.
- C'est surtout très logique s'ils veulent que je rende heureux les résidents du quartier. Je suppose que tu souhaites tester par toi-même ?
Julien hésite alors à franchir le pas :
- Je ne sais pas trop si c'est bien...
- Ne sois pas timide... Ton excitation est évidente et sais que cela te taraude...
- Bon, si tu insistes...
Julien approche alors un doigt du sexe de Janet, effleure ses lèvres et son clitoris puis l'enfonce. Il découvre alors que la sensation y est tout à fait similaire à ce qu'il a connu : chaud, humide, agréable. Très excité, il y enfonce un deuxième doigt et fais quelques allers-retours.

Il suppose un instant que Janet va mettre fin à l'expérience mais en la regardant, il constate qu'elle prend en réalité un plaisir intense à cela et qu'elle a les yeux fermés. Elle ne fait plus attention à Julien, se contente de profiter.

Julien retire alors ses doigts doucement puis dit :
- Tu avais raison, Janet, c'est exactement comme avec une humaine. Je te remercie de m'avoir ainsi remonté le moral.
- Oh je... c'est mon travail... Tu es sûr que cela te suffit ? Tu peux continuer si tu veux.
Souhaitant la faire languir pour voir comment elle se comportera à leur prochaine rencontre, Julien décline la proposition.
- Merci ça ira. Tu peux y aller Janet, je suis sûr que tu es demandée ailleurs.
- D'accord, Julien. A ton service.
Et sur ces mots, Janet disparait instantanément. Julien éclate alors de rire car il est évident à présent que non seulement Janet n'essayait pas de le piéger mais en plus, elle a proposé de se déshabiller plus pour son propre plaisir que pour le contentement de Julien.
Il est alors certain qu'il va pouvoir jouer avec elle, la baiser et même en faire son esclave sexuelle personnelle... ce qu'il a toujours rêvé d'avoir, sans jamais vraiment l'obtenir. Requinqué malgré le défi que représente l'accession à son dossier, Julien prend le chemin de sa maison.
En passant à côté de la luxueuse maison d'Anissa, il hésite à aller la voir pour poursuivre son entreprise de séduction auprès d'elle. Les avancées dans sa relation avec Dakota vont vite compliquer ses volontés d'adultère mais le show que lui a fait Janet l'a terriblement excité.
Il cède à la tentation de lui souhaiter une bonne soirée, en se disant qu'il ne tentera rien de « malhonnête » pour ne pas provoquer une nouvelle anomalie. Il s'agit juste d'une visite amicale entre voisins ! Il sonne donc à la porte et entend alors Anissa demander de qui il s'agit en criant, manifestement depuis une pièce éloignée de la porte d'entrée.
- C'est Julien ! crie-t-il à travers la porte
- Entre, la porte est ouverte ! répond Anissa en criant elle aussi.
Julien entre donc dans le manoir et avance dans le couloir jusqu'au salon qu'il découvre vide.
- Anissa, tu es où ?
- Par ici, dans la salle de bain.
Julien se dirige alors vers la pièce où, la veille, il avait fomenté une odieuse et diabolique machination (ouvrir les rideaux...) pour espionner Anissa et qui avait déclenché tout le bordel d'aujourd'hui.
Il frappe à la porte de la salle de bain et entend Anissa lui dire d'entrer.
- Heu... tu es sûr ? Je peux repasser si tu n'es pas... visible.
- Entre, ne t'inquiète pas !
Julien pénètre donc dans la vaste salle de bain et découvre Anissa plongée dans son bain, le corps entièrement immergé et recouvert d'une mousse épaisse.
- Tu vois... rien d'indécent ici... dit-elle avec un sourire coquin aux lèvres.

- En effet... mais tout de même, c'est un peu gênant. Imagine que ton mari rentre à ce moment-là...
- Il n'y a aucun risque, il est encore en « retraite spirituelle ». Et même, on pourrait faire les pires cochonneries à côté de lui, il dirait juste que Dieu n'est qu'amour et partage... Tu vois le genre ?
- Hum... oui... je vois. En fait, je voulais juste passer pour voir si tu allais bien et si tu n'avais pas trop été embêtée aujourd'hui avec l'anomalie.
- Tu veux dire quand toutes les femmes du quartier ce sont retrouvées à poil ou en petite culotte ? Oui, ça m'a un peu surpris, je t'avoue. Mais pas spécialement embêtée...
- Ha ? Je suppose que tu n'étais pas dans la rue quand ça s'est passé.
- Si, je revenais de ma promenade matinale en ville afin de saluer les résidents du quartier. Le relationnel, tu sais, c'est important ! D'ailleurs, c'est quelque chose que Georges (Clooney) me disais souvent lorsqu'il venait à mes petites soirées caritatives ! Bref, je me suis retrouvée toute nue au milieu de la rue (ce qui ne m'est jamais arrivé avec Georges !!). Mais, tu sais, je n'ai jamais eu de complexe avec mon corps, alors je suis tranquillement rentrée chez moi et y suis restée jusqu'à ce que ça passe.
En disant cela, Anissa se redresse un peu dans son bain pour attraper un tube d'un produit esthétique dont Julien ignore l'usage et, de ce fait, fait sortir sa grosse poitrine de l'eau. La mousse cache encore les tétons d'Anissa mais glisse lentement le long de ses deux énormes seins, les révélant doucement.

Elle met une dose de son produit dans le sa main, puis se l'applique sur le visage en replongeant dans l'eau jusqu'à ce que sa peau soit aussi hydratée que les fesses d'un bébé. Julien ignore alors si Anissa avait conscience de s'exposer ainsi. Celle-ci continue :
- Et toi, tu as vu de jolies choses ? demande-elle avec un air de malice.
- Jolies est un bien grand mot ! J'avoue que certaines résidentes n'étaient pas désagréable à regarder mais, pour d'autre, il aurait mieux fallu être aveugle !! Et sinon, tu vas mieux qu'hier ?
- Oui, bien mieux, je te remercie ! C'est en partie grâce à toi, d'ailleurs. Et aussi à cette bonne bouteille de vin blanc français que j'ai savouré aujourd'hui ! C'est un domaine qui m'a été recommandé par mon amie Marion (Cotillard)...
Julien résiste de justesse à l'envie de lui dire qu'elle en fait trop avec ses « amis » et comprend alors le comportement d'Anissa : elle semble certes troublée par sa présence (il en a eu la preuve hier) mais elle est aussi un peu pompette ! Il décide cependant de ne pas abuser de la situation pour ne pas reproduire un phénomène identique à celui de ce matin. Et comme il sent que la situation lui est pour le moment favorable, il se dit que rien ne presse, et qu'il vaut mieux jouer la sécurité.
- Anissa, si tout va bien, je vais te laisser, la journée a été chargée pour moi !
- D'accord, pas de souci, repasse me voir quand tu veux ! répond Anissa à Julien en lui soufflant un baiser plein de mousse.

Alors que Julien atteint la porte de la salle de bain, Anissa l'interpelle :
- Au fait, Julien, pourquoi n'es-tu pas venu me rendre visite plus tôt dans la journée ?
- Et bien... comme il y avait ce phénomène... j'ai préféré éviter d'aller rendre visite aux gens...
- Tu n'es allé voir personne ??
- Si... Je suis allé chez Dakota... mais heureusement l'anomalie était en train de se calmer.
- Donc, si tu n'es pas venue chez moi, c'est pour ne pas me voir toute nue ?
- Et bien, oui...
- Tu n'avais pas envie ?? Tu me trouves trop grosse c'est ça ??
- Pas du tout ! Tu es magnifique et même Dakota tuerait pour avoir tes fesses, d'après sa propre expression ! C'est juste que je ne voulais pas t'embarrasser en débarquant chez toi à un tel moment.
- Tu es absolument charmant... et d'une galanterie rare ! Et pourtant, je peux te dire que dans la jetset, ce ne sont pas les hommes prétendument galants qui manquent...
- C'est naturel, Anissa.
- Oh non, ce n'est pas si naturel que ça du tout...
Anissa se redresse alors complètement dans son bain en faisant sortir sa poitrine et son ventre de la mousse, exposant ainsi ses seins à Julien.
- ... beaucoup d'hommes bien élevés auraient tenté leur chance aujourd'hui pour me voir ainsi...

Puis elle se lève, se met debout dans son bain et se montre totalement nue.

- Voilà ce que tu as loupé ce matin...
- Anissa... c'est très gentil... et j'avoue que tu es absolument superbe... mais tu ne devrais pas...
- Il n'y a aucun mal, Julien. Si tu m'avais croisé dans la rue ce matin, comme bien d'autres résidents, tu aurais vu la même chose.
Puis Anissa sort de la baignoire et s'assoit sur le rebord, les jambes élégamment serrées.

- D'ailleurs, quand on pense à la galanterie et à la gentillesse dont tu fais preuve à mon égard, cela n'est même pas juste que d'autres aient pu en profiter et pas toi...
- Ce n'est vraiment pas grave...
- Si ça l'est... Et je vais réparer cette injustice : voilà quelque chose qu'aucun résident de cet endroit n'est prêt de voir !
Anissa écarte alors les jambes et expose sans aucune retenue son sexe à Julien qui n'en croit alors pas ses yeux tellement les évènements s'enchainent de manière inespérée.

Puis Anissa resserre rapidement les jambes et déclare :
- Et voilà, injustice réparée... conclut-elle en se couvrant d'une grande serviette. Bonne nuit, Julien.

- Oui... Bonne nuit aussi... répond Julien alors que la belle beurette sort de la salle de bain pour aller dans sa chambre.
Julien sort donc de chez Anissa pour rentrer chez lui, complètement déboussolé. Entre Dakota qui se masturbe devant lui, Janet qui le supplie de la doigter et Anissa qui s'exhibe, Julien ne sait plus où il en est et qui décide encore de quoi. Il voulait jouer habillement et ruser pour les mettre dans son lit mais elles semblent toutes plus coquines les unes que les autres et il a presque l'impression d'être plus un gibier qu'un chasseur !
Et même si cette sensation ne lui plait guère, il se rassure en se disant que, d'une manière ou d'une autre, ces trois femmes vont devenir ses maitresses, et c'est tout ce qui compte !
Souhaitant évacuer le stress et l'excitation de la journée, Julien file sous la douche et après s'être machinalement lavé, commence à se masturber.

Il pensait pourvoir finir son affaire tranquillement mais quelqu'un sonne alors à la porte d'entrée de sa maison. Il sort donc précipitamment de la douche et enfile une serviette autour de la taille en se demandant qui cela peut être.

Il imagine Dakota ou même Anissa se précipiter sur lui pour finir ce qu'elles avaient commencé plus tôt.
Mais alors qu'il ouvre la porte, il découvre Julia qui lui dit d'un ton grave :
- Julien... je ne te dérange pas ?
- Heu... non...
- Bien... c'est à propos de l'anomalie de ce matin... Viens dans mon bureau, il faut absolument que je te parle.

A suivre...
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The Good Place - Épisode 4
Assis seul devant le bureau de Julia, Julien est clairement anxieux. Il a le sentiment très fort qu'il a été percé à jour, que son cas a été repéré et que la rectification de cette anomalie va se produire bientôt. Il va être envoyé au mauvais endroit, il le sait.
D'ailleurs, en voyant Julia s'asseoir en face de lui avec un air plus que dramatique, il est certain que son heure est proche.
- Julien, si je t'ai fait venir, c'est parce que je suis arrivé à une conclusion qui me perturbe au plus haut point à propos de ce qui s'est passé dans le quartier ce matin. J'ai beau tourner et retourner la situation dans tous les sens, je ne vois qu'une solution... ou plutôt qu'un problème.
Julien avale sa salive et s'attend à être jeté dans les flammes du mauvais endroit d'un instant à l'autre.
- Le problème, reprend Julia, c'est... moi. Ou plutôt la manière dont j'ai conçu ce quartier.
Julien sent alors comme si on ôtait des blocs de béton de chacun de ses épaules mais il essaie malgré tout de garder son calme et de ne pas montrer son vif soulagement.
- Tu... tu es sûr ?
- J'en ai bien peur... Comme Janet a dû te le dire, cela ne fait que 600 ans que je travaille dans cet endroit et c'est mon tout premier quartier. Ce genre de chose n'est pas censé arriver. Donc, cela vient forcément d'une erreur que j'ai faite quelque part.
- D... D'accord, cela me semble possible en effet. Mais... sans vouloir t'offenser, pourquoi tu me dis cela à moi ?
- Parce que j'ai besoin de ton aide. Janet a passé le quartier au scanner et n'y a décelé aucun bug. Il est évidemment hors de question que je pose la question à mes supérieurs, ils seraient capables de me bannir pour l'éternité au mauvais endroit ! Et les anciens habitants du quartier ici sont tous affolés par ce qui s'est passé, aucun n'est en mesure d'avoir un raisonnement rationnel. Par contre, quand je t'a vu ce matin, tu étais si calme... j'ai tout de suite compris que tu étais le soutien idéal, d'autant plus avec ton expérience...
- Mon expérience ? En matière de bug cosmique ? répond Julien en tentant l'humour pour masquer le fait qu'il ne voit absolument pas de quoi parle Julia.
- Non, ton expérience avec les êtres humains ! Ton parcours de sociologue, ton diplôme d'ethnologue et tes nombreuses expériences en tant que travailleur social vont m'être très utiles dans les jours prochains pour trouver ce qui s'est passé.
- Ok... tu te rends compte de la pression que tu mets sur mes épaules ? Trouver la solution à un problème cosmico-divin ??
- Oui, je sais mais tu seras plus un conseiller pour moi. Tu ne seras pas en première ligne. Et je te promets que je coopérerai du mieux que je peux !
Julien prend alors un moment pour réfléchir en se prenant la tête dans les mains, tandis que Julia prend un peu de recul. Essayer de creuser la question de l'anomalie dont il est la cause pourrait bien être la pire chose à faire, cela pouvant le conduire tout droit au mauvais endroit. Mais en même temps, qu'elle autre place que conseiller privilégié de Julia pourrait être mieux indiquée pour en savoir plus sur lui-même et pour essayer de surveiller voire de maîtriser Julia ?
Son cerveau essayait de faire la part des choses depuis quelques minutes mais ses yeux se posent soudain sur une Julia pensive, regardant dans le vide.

Julien se concentre alors sur ses jambes, son décolleté et ses gros seins. Et, comme souvent dans la vie de Julien, c'est finalement sa bite qui prend la décision : avoir une déesse comme jouet sexuel vaut bien qu'on prenne quelques risques !!
- C'est d'accord, annonce-t-il donc à Julia. Je veux bien t'aider, mais cela doit rester entre nous, d'accord ?
- Evidemment, j'allais d'ailleurs te le proposer, je n'ai pas envie que tout le monde sache que je demande l'aide d'un humain pour réparer mon quartier ! Je te remercie Julien, je te serai à jamais reconnaissante. Et ici, l'expression « à jamais » prend tout son sens !
Julia se penche alors vers Julia en exposant son décolleté et demande :
- Tu... tu aurais déjà une piste ou il te faut d'abord du temps pour réfléchir ?

Les yeux rivés dans le décolleté plongeant de Julia, Julien songe alors à un stratagème puis dit :
- Si mon expérience d'ethnologue et de sociologue m'a appris quelque chose, c'est que les problèmes organisationnels et/ou structuraux dans les sociétés viennent souvent d'un seul et même dysfonctionnement. Tu vois de quoi je parle, Julia ?
- Je dirais l'accès à la nourriture ? A l'argent ?
- Non... globalement l'accès aux ressources a été réglés par divers mode d'organisation, la plus connue étant le capitalisme : une minorité s'accapare le travail d'une majorité et leur redistribue les miettes pour les maintenir dans le besoin, mais leur donner l'illusion qu'ils sont quand même heureux... Non, je pense à quelque chose de moins matériel, de plus précieux et de plus difficile à maîtriser.
- Oui, bien sûr ! L'amour !
- Voilà !
- Mais l'amour ici est parfaitement étudié... Tous les couples sont prévus pour être les plus harmonieux possible. J'ai tout prévu, tout calculé !
- Sur le plan de la compatibilité théorique, oui c'est certain, et je ne doute pas de la qualité de ton œuvre. D'ailleurs, l'âme sœur que tu m'as trouvé, Dakota, est la preuve que tu as fait du très bon travail. Mais pour les humains, l'amour est si terriblement complexe que personne sur terre n'a jamais réussi à le comprendre parfaitement. Es-tu sûr d'avoir pensé à toutes les composantes de l'amour ?
- Oui, j'en suis sûr...
- Même pour les aspects hormonaux ? Physique ?
- Tu... tu veux parler du sexe, Julien ?
- Entre autres, oui. J'ai cru comprendre au travers de quelques conversations que le sexe n'était pas aussi répandu ici qu'il l'est sur terre. C'est sans doute à cause du fait que la vie est tellement parfaite ici que ce genre de considérations ont été oubliées par certains, mais il semble qu'il y ai un problème profond avec cela. En tout cas, le quartier, en tant qu'entité, semble réagir en ce sens.
- Tu penses que le problème ce matin vient du manque de sexe des résidents ?
- Et pourquoi pas ? Après tout, comment c'est manifesté l'anomalie ?
- Par des femmes nues...
- Tout à fait ! C'est comme si le quartier lui-même voulait offrir de la pornographie à ses résidents !
- Certes, mais l'œil dans le ciel qu'est-ce qu'il vient faire là ?
- Quand il y a de l'exhibition, ne faut-il pas des mateurs ? A mon avis, l'œil dans le ciel est une façon de te faire comprendre que l'humain, mâle comme femelle, a besoin de regarder et d'être regardé de façon sexuelle pour se sentir bien dans sa peau. Pour se sentir humain, tout simplement.
Julia fait alors quelque pas pour réfléchir puis continue :
- Du coup, il suffit que les résidents forniquent plus souvent entre eux pour que les choses reviennent à la normal ? Ça ne peut pas être aussi simple !
- Oh je ne pense pas que ce soit aussi simple... depuis des décennies voire des siècles que les premiers résidents sont arrivés ici, le désir charnel a dû complètement disparaître de l'équilibre du quartier. Et, de plus, si tous les couples sont parfaitement harmonieux, on ne peut pas dire qu'ils soient tous très glamour... si tu vois ce que je veux dire.
- J'avoue que non. De mon point de vue, tous les couples que j'ai construits ici sont parfaits, en tout point de vue. Les considérations d'apparence ou d'attirance étaient, pour moi, secondaires. D'autant que pour moi le corps humain n'est qu'une enveloppe qu'on m'a donné pour être parmi vous. Ma véritable apparence n'aurait aucun sens pour toi.
- Et bien le problème vient peut-être de là, à la base. Pour toi le corps humain n'est qu'une enveloppe, pour nous il est beaucoup plus. Beaucoup de gens adorent leur corps à tel point qu'ils en oublient leur soi intérieur. Et même si ces gens ne se retrouvent pas au Bon endroit, je suis sûr que tous les résidents ici préféreraient avoir un corps plus ferme, plus jeune, plus beau. Et je suis sûr que les hommes ici aimeraient des âmes sœurs plus sexy, idem pour les femmes avec leurs maris. Je pense qu'il faut que tu considères le corps humain, et le tien en premier lieu, comme des composantes importante de la libido de tes résidents et donc de l'équilibre du quartier.
- Le mien en premier lieu ??
- Évidemment ! Tu es l'architecte, les gens ici te considèrent comme une déesse ou en tout cas comme un être tout puissant. Notre existence dépend entièrement de ce que tu as créé et de ce que tu décides. Si tu considères que le bonheur n'a rien à voir avec le sexe, alors personne n'osera ne serait-ce que penser à changer cela. Si, au contraire, tu penses et tu montres que le sexe est une chose aussi noble et saine que l'amour, alors ce tabou tombera définitivement dans le quartier. Tu dois, en quelque sorte, donner l'exemple.
- Donner l'exemple ? Je ne comprends pas, Julien, et pourtant je suis sensée tout comprendre et tout maîtriser !!
Sentant une pointe d'agacement dans le ton de Julia, Julien décide d'arrêter de tourner autour du pot et de tenter plus franchement sa chance.
- Bon... Quels sous-vêtements as-tu choisi ce matin ?
- Mes... mes sous-vêtements ? Julien... tu te rends compte que je ne rentre pas chez moi comme vous autre après ma journée de travail. Mon bureau est l'endroit où je me matérialise dès que nécessaire et mes tenues se matérialisent avec moi.
- Oui mais comment les choisis-tu ?
- Et bien, comme j'ai l'apparence d'une femme de 48 ans et que j'ai un rôle de... patronne, comme pourraient le dire des humains, je me matérialise avec les tenues adaptées à cela et qui sont référencées dans mes bases de données.
- Ok... et tu trouves-tu sexy ?
- Je... je ne me suis jamais posé cette question.
Julia observe alors sa tenue, sa chemise, sa minijupe et commente :
- Je dirais que... non je n'en sais rien ! Qu'en penses-tu ? Tu me trouves sexy ?

- Je trouve que son enveloppe humaine est plutôt réussie. Si tu étais tu Terre, je pense qu'une majorité d'homme et de femme te trouveraient très belle. Et ta tenue est relativement agréable à regarder mais pourrait être beaucoup plus sexy. Comment sont tes sous-vêtements ?
- Pardon ? Tu veux que je te montre mes sous-vêtements ?
- Bien sûr... Je ne pense pas que cela te dérange, ce n'est qu'une enveloppe, comme tu l'as dit. Et d'ailleurs, si tu t'en souviens, tu étais totalement nue ce matin lorsqu'on s'est vu.
- C'est exact... Je crois que c'est plus la demande, tout à fait inédite pour moi, de me déshabiller qui m'a surpris.
- Julia... si tu veux sauver ton quartier, je crains qu'il faille que tu t'habitues à ce genre de requête de ma part.
- Si tu penses que c'est nécessaire, je t'ai assuré de ma coopération totale, donc d'accord.
Julia ouvre donc avec naturalité sa chemise, révélant son soutien-gorge noir à dentelle et baisse sa jupe.

Elle retire complètement sa jupe et ouvre sa chemise devant le regard sérieux mais en réalité surexcité de Julien.

Enfin elle se retrouve uniquement en sous-vêtement et demande à Julien, les mains sur les hanches :
- Alors ? Sexy ou pas sexy ?

- Franchement Julia, tu es très belle et ces sous-vêtements ne sont pas mal du tout. D'ailleurs, ils correspondent tout à faire à l'apparence qu'on t'a donnée : ils sont classes, de qualité et raffinés. Mais, comme ta tenue, ils ne seront pas suffisants pour réveiller la libido du quartier, je le crains.
- Tu me conseilles quoi, alors ?
- Je pense déjà que tu dois réfléchir à ce que je te propose. Il faut que tu sois tout à fait convaincue de mon hypothèse pour que ça marche. Il est tard et la journée a été longue pour tout le monde. Le mieux est que dès demain, tu essaies de nouvelles tenues, que tu me les montre si tu veux et que tu lances des ballons d'essai, comme on dit en sociologie, en testant la réaction des résidents.
- Et cela va suffire à ton avis ?
- Absolument pas ! Je pense même qu'au début les gens vont se demander ce qu'il t'arrive. Mais j'ai déjà quelques idées qui pourraient faire changer les mentalités. Nous verrons cela à partir de demain, d'accord ?
- Très bien, à demain Julien !
Cette conversation avait épuisé Julien et même si ce qu'il venait de vivre avec Julia lui avait beaucoup plu, la possibilité de passer l'éternité à être torturer au mauvais endroit restait encore forte. Il passa donc une nuit agitée, sans aucun rêve de son ancienne vie pour l'égayer.
Ce fut une série de coups sur sa porte d'entrée qui le réveilla. Il se leva avec peine et alla ouvrir la porte. Sur le perron se tenait Dakota, visiblement mal à l'aise.

- Bonjour Julien, je te réveille ?
- Oui, mais ce n'est pas grave... Tu veux entrer ?
- Non, Julien, merci. Je voulais juste te dire que je vais prendre un peu de recul avec notre relation...
- Quoi ?? Tu me quittes ? Mais on est censé être des âmes sœur ?? panique alors Julien qui croyait pourtant que sa relation avec Dakota évoluait bien.
- Non, Julien, rassure-toi, je ne te quitte pas ! Au contraire, je crois que je tombe follement amoureuse de toi... Et c'est justement ça qui me fait peur. Je voulais aller doucement et je m'offre à toi au bout de 3 jours. Je voulais qu'on prenne notre temps et je fais exactement l'inverse. C'est pour cela que j'ai besoin de faire le point. De réfléchir. Et c'est pour ça que j'ai besoin d'être seule, sans être avec toi. Sinon... je risque de ne pas pouvoir me contrôler.
- Je... je comprends... je crois. Tu veux être seule longtemps ?
- Je ne sais pas... Lorsque je serai en paix avec moi-même je passerai te voir et on parlera. D'accord ?
- D'accord Dakota. A bientôt, tu vas me manquer.
- Toi aussi, julien, toi aussi....
Et sans même embrasser Julien, Dakota fait demi-tour et retour vers chez elle.
Seul dans sa cuisine, Julien est d'abord très déçu de ce changement de situation car il comptait bien mettre Dakota dans son lit le plus vite possible. Mais en même temps, cette pause allait lui permettre de se concentrer sur Julia sans provoquer de nouvelle anomalie avec ses stratagèmes à la fois malhonnêtes et pervers.
En milieu de matinée, quelqu'un frappe à nouveau à la porte de Julien. Il ouvre et découvre une magnifique asiatique sur le pas de la porte. Il met un moment à faire le tri dans les visages qu'il a découvert depuis son arrivée dans le bon endroit et se rappelle enfin d'Asa, la secrétaire de Julia. Il sourit intérieurement en se disant que la dernière fois qu'il l'a vu, elle était nue...

- Bonjour Julien, j'espère que je ne te dérange pas.
- Pas du tout Asa, que puis-je faire pour toi ?
- Je viens juste te dire que Julia souhaite te voir à son bureau en fin d'après-midi.
- Heu... d'accord, pas de souci. Tu es venu là juste pour me dire ça ?
- Et bien, oui, cela fait partie de mon travail.
- D'ailleurs, es-tu comme Julia ? Une déesse ?
- Julia n'est pas une déesse... Et moi encore moins, je suis juste une résidente. Une des plus anciennes. Julia m'a demandé de l'aider dans la gestion du quartier lorsque la population devenait trop importante pour qu'elle puisse s'occuper de tout.
- Je croyais que c'était plutôt le travail de Janet...
- On forme une équipe. Grâce à sa toute puissance, Janet s'occupe des moindres demandes des résidents, moi des aspects administratifs et de gestion. Julia, elle, façonne, aménage, entretien le quartier en permanence. Si les résidents veulent tel ou tel magasin ou service, comme un cinéma par exemple, Julia le créé et moi je m'occupe de le gérer.
- Je vois. Et bien je te remercie et je passerai donc cet après-midi. A tout à l'heure Asa.
- A tout à l'heure, Julien.
La visite d'Asa avait redonné le moral à Julien. Julia avait manifestement fait des progrès dans sa réflexion et il allait sans doute en voir les résultats, en termes de lingerie, comportement, etc. Une fin d'après-midi sympathique en perspective, donc.
De plus, Asa était vraiment très belle et Julien sentait que faire d'elle un instrument de la débauche du quartier avec l'aide de Julia serait tout à fait envisageable. Il l'a voyait déjà en secrétaire salope accueillant les résidents en leur offrant des services très spéciaux...

La bonne humeur de Julien allait être cependant de courte durée. Juste après le déjeuner, en revenant de sa balade digestive, Julien décide d'aller chez Anissa pour entretenir le trouble en elle et progresser d'avantage dans son entreprise de séduction. Mais alors qu'il sonnait chez elle, c'est un homme un peu âgé, visiblement fatigué et au visage marqué par plusieurs nuits dehors, qui lui ouvre.
- Oui ? demande-t-il froidement.

Julien comprend alors qu'il s'agit de Jean-Denis, le mari d'Anisa, sans doute revenu de sa retraite religieuse. Alors qu'il était censé partir une semaine, le voilà qui revenait au bout de 4 jours. Comme avec Dakota, les progrès spectaculaires qu'il avait faits avec cette beauté orientale allaient prendre un méchant coup d'arrêt et cela le contrariait fortement.
Julien masque tout de même son agacement et salue Jean-Denis :
- Bonjour, tu dois être Jean-Denis. Je suis Julien, votre nouveau voisin. On ne s'est pas encore vu depuis mon arrivé ici.
- Bonjour Julien. Oui, je m'étais absenté pendant quelques jours. Tu voulais quelque chose ?
- Je voulais juste dire bonjour à Anissa. Mais si tu es rentré, je vais vous laisser, vous avez sans doute du temps à rattraper !
- Ouai.... Il parait....
Vous vous interrogez alors devant le manque d'entrain de Jean-Denis à la perspective de se retrouver avec sa femme mais vous entendez alors une voix qui vient de l'intérieur de la maison.
- Mon chéri, qui est-ce ?
- C'est ton voisin, heu... Julien.
- NOTRE voisin, répond alors Anissa, légèrement irritée, en s'approchant. Bonjour Julien. Tu voulais quelque chose ?
- Je passais simplement te saluer avant d'aller dans le quartier voir les gens que je ne connais encore pas. Du coup j'ai pu faire la connaissance de Jean-Denis, donc... je progresse ! Bon je vous laisse, Jean Denis semble avoir besoin de repos. A bientôt vous deux.
- A bientôt Julien, répond Anissa avec un grand sourire.
- Et bonne journée, ajoute Jean-Denis avec un regard toujours aussi froid.
De très mauvaise humeur, Julien se dirige vers les commerces du Bon endroit et fait quelques achats, histoire de se changer les idées. Il fait la rencontre de plusieurs résidents tous plus gentils, aimables, cultivés et.... mortellement ennuyeux les uns que les autres. Il essaie pourtant de ce montrer chaleureux et intéressé en se disant que, d'une part, c'est ce qu'un résident légitime du Bon endroit aurait fait et, d'autre part, un bon capital sympathie sera nécessaire pour sauver sa tête si son plan venait à échouer.
Calmé mais toujours d'humeur morose, il rentre chez lui et entame, seul, la bouteille de vin qu'il a acheté un peu plus tôt. Sans femme à baiser, à séduire, à manipuler, Julien s'ennuie affreusement dans cet endroit sans distractions. Cela aussi devrait changer s'il arrive à contrôler Julia, se dit-il.
Alors que la bouteille de Bordeaux est à présent à moitié vide, quelqu'un frappe à la porte de chez Julien. En ouvrant la porte, il y découvre Anissa, visiblement attristée et les yeux rougis par des pleurs récents.
- Julien, tu es seul ?
- Oui, pourquoi ?
Sans répondre, Anissa le pousse alors à l'intérieur, referme la porte et l'embrasse follement en faisant tournoyer sa langue dans sa bouche comme une adolescente amoureuse.

Dans la foulée, elle glisse sa main le long du ventre de Julien et pénètre à l'intérieur de son pantalon pour aller palper son sexe. Habillement, en quelques secondes, elle ouvre la ceinture et le pantalon et sort le sexe déjà très dur de Julien.

Malgré qu'Anissa ai commencé de le branler et une fois passé la surprise, Julien se reprend et tente de raisonner Anissa :
- Attend, attend ! Qu'est-ce qui t'arrive ?? Ton mari est là ! On n'est pas censé faire ça !
- Mon fils de flûte de mari vient de repartir... Il venait juste prendre une douche, récupérer quelques affaires et me prévenir aimablement qu'il prolongeait sa retraite.
- Ah.... Je suis désolé...
- Ne le sois pas. Alors que j'essayais de le retenir, de l'embrasser, de renouer le contact avec lui, il m'a repoussé en me disant que je le pensais qu'au sexe et qu'il trouvait ça triste. Lui avait trouvé le bonheur dans la méditation et la prière et que je devais moi-aussi trouver des sources de bonheur autre. Alors j'ai suivi son conseil : ma source de bonheur, ce sera toi... toi et ton énorme sexe... finit-elle en regardant de manière admirative la queue de Julien dans sa main.
Julien a alors une pensée pour Dakota, si amoureuse de lui, et pour l'anomalie. Si cette infidélité provoquait une nouvelle catastrophe ? Il tente à nouveau de raisonner Anissa :
- Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose... On devrait...
- Tais-toi ! Laisse-moi devenir ta maîtresse, ton jouet. Tu me rends folles depuis que je t'ai rencontré. Tu n'as pas idée à quel point je peux être Fallope... je veux dire cochonne... saleté de quartier et ses censures !
Et en disant ces mots, Anissa continue de branler et d'embrasser Julien qui finit par craquer et se laisser aller à ses envies les plus bestiales. Sans prévenir, il arrache le haut de la robe d'Anissa et l'embrasse dans le cou tout en lui malaxant les seins.

Puis il soulève le bas de sa robe et glisse à son tour sa main dans la culotte de la belle brune. Sa chatte est déjà trempée, bouillante. Il l'a caresse et la doigte avec fougue tandis qu'Anissa gémit comme une chienne et accélère son mouvement sur la queue de Julien.

Julien se baisse alors, écarte la culotte d'Anissa et commence à la lécher en donnant de puissants coups de langues sur son clitoris gonflé.

En fin connaisseur du plaisir féminin, Julien arrive en 2 minutes et quelques habiles coups de langue à donner un premier orgasme à Anissa, son état de manque et de frustration sexuel facilitant, il est vrais, son travail.

Julien prend alors un peu de recul pour laisser Anissa se remettre de ses émotions. Il craint un instant que ce soulagement ne la fasse revenir à la raison et qu'elle arrête là son adultère. Mais elle fait au contraire tomber sa robe au sol en commentant :
- Jamais Jean-Denis ne m'avait donné un tel plaisir. Et tu n'as mis que 2 minutes...
Puis elle s'éloigne de Julien en direction de sa chambre, uniquement vêtue de ses sous-vêtements, en laissant Julien derrière.

Elle se retourne et lui dit :
- Tu viens me baiser ?
- Tout de suite...
Julien la rattrape et, dans son dos, lui embrasse le cou puis le baisse le haut de son soutien-gorge afin d'accéder à sa grosse poitrine. D'une main, il lui malaxe un sein et de l'autre s'approche à nouveau de son sexe.

Mais alors qu'il commençait à la doigter à nouveau, elle se retourne et lui dit :
- A moi de m'occuper un peu de toi...
Elle lui baisse alors le pantalon, se met à quatre pattes sur le lit et commence à sucer le sexe de Julien.

La pipe est d'abord timide et incertaine. Mais Anissa a faim et elle dévore le gland de Julien comme une friandise. Puis elle sort la queue de sa bouche et la branle tout en demandant :
- C'est bon ? Je ne te fais pas mal ? C'est la première fois que je refais ça depuis que je suis morte...
- Pas de tout, c'est excellent... Continue

Anissa se remet à la tâche : elle lèche la hampe de bas en haut, joue avec les testicules de Julien et gobe le gland en l'enfonçant plus profondément dans la bouche.

De peur de la brusquer et de lui faire mal, Julien ne tente pas de lui prendre la tête pour lui baiser la bouche comme il adore le faire. Mais il a besoin de maîtriser l'action et de faire quelque chose de ses mains !
D'un mouvement ample et doux, il saisit Anissa, la retourne sur le lit, allongée sur le dos et lui présente à nouveau sa queue face à sa bouche tout en jouant avec sa belle chatte de sa main droite.

Tout en se faisant doigter, Anissa, folle d'excitation, embrasse et lèche le gland de Julien. Celui-ci se demande d'ailleurs qui d'elle ou de lui profite le plus de la fellation !

Les doigts enduits de mouilles donnent terriblement envie à Julien de goûter à nouveau au sexe d'Anissa. Il glisse entre ses jambes et écarte ses lèvres de manière à exposer totalement son clitoris.

Puis, comme Anissa avec sa bite, Julien dévore la chatte de la belle brune en la faisant à nouveau gémir de plaisir.

Rassasié de la délicieuse cyprine d'Anissa, il se redresse et cède enfin à l'envie de la baiser. Anissa également semble soulagée et impatiente qu'il la prenne et c'est en l'embrassant fougueusement qu'il approche son sexe et, délicatement, la pénètre.

Il fait de lents et délicats allers-retours pour permettre à Anissa d'encaisser le choc : elle semble en effet vivre cette pénétration de manière intense. Puis, la voyant se détendre et d'accoutumer au plaisir, il accélère un peu change de position.
Il se redresse et enlève sa chemise pour se mettre à l'aise.

Dans cette position, il a une vue magnifique sur Anissa qui prend son pied, son corps parfait, ses gros seins qui ballotent au grès des coups de hanches et sur sa chatte, large, trempée et pénétrée.

L'excitation monte dans la chambre et la cadence s'accélère nettement. Julien prend les jambes d'Anissa pour les relever et les écarter et ma pilonne puissamment, lui arrachant des cris de plaisir à chaque coup.

Le pilonnage en règle dure maintenant depuis un long et bon moment quand Anissa repousse Julien et lui demande de s'allonger sur le dos. Puis elle grimpe sur lui et s'empale doucement sur sa queue.

A présent c'est elle qui contrôle les vas-et-viens de la grosse queue de Julien en elle. Julien, lui, en profite pour lui malaxer les seins et accompagne le mouvement avec des coups de hanches placés aux bons moments.

Il sent alors que l'orgasme n'est pas loin. Il agrippe les fesses d'Anissa et lui impose alors un rythme diabolique qui la fait elle aussi grimper au rideau.

Par politesse et prudence, Julien prévient :
- Je vais venir...
- Oh moi aussi.... Continue... accélère...
- Tu veux que je me retire ?
- Pour quoi faire ? On ne risque rien ici... Viens, remplis-moi !
Julien accélère donc à nouveau la cadence et craque rapidement en serrant dans ses bars Anissa et jouis également en même temps.

Épuisés, les deux amants s'effondrent sur le lit et restent ainsi emboités longtemps. Puis Anissa lève les haches et fait sortir le sexe de Julien de son vagin. Du sperme sort alors d'elle, coule de son sexe sur ses cuisses et sur le pubis de Julien.

Malgré leur état, ils passent encore de longues minutes enlacés à s'embrasser et se regarder.

- Mon dieu que c'était bon, commente Anissa encore essoufflée.
- C'était parfait. Tu ne regrettes toujours pas, tu es sûr.
- Julien, depuis que je suis ici, je croyais être heureuse en tout point. Mais j'avais oublié ce que ça faisait d'être vivante. Je suis plus vivante et lus heureuse maintenant que je ne l'ai jamais été ici.
- Alors j'en suis heureux également...
Les deux amants se séparent enfin, prennent une douche ensemble et, sur le pas de la porte, se disent au revoir.
- J'espère que l'on pourra se revoir, Anissa, dit Julien, prudent.
- J'y compte bien...
- Tu sais avec Dakota et ton mari, il va falloir être prudent.
- Mon mari, je m'en occupe. Quand à Dakota, elle n'est pas forcée d'être au courant, en tout cas pas au début... Et qui sait, peut-être sera-t-elle intéressée par des plans à 3 !!
- Tu serais partante ?
- Julien, si je t'ai dit que je pouvais être très cochonne et que je serai ton jouet, ce n'était pas des paroles en l'air. Ce qu'on a fait là n'était que la partie immergée de l'iceberg, mon cher.
- Et bien... j'ai hâte de voir l'autre partie !
- Tu l'a verras... mais pas tout de suite, il faut être prudent. Au revoir Julien.
- Au revoir Anissa.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 4 - Suite
Sitôt la porte de sa maison refermée, Julien se frappe violemment le front en s'insultant de tous les noms, noms rendu ridicules à cause de la censure automatique du langage. Il était convaincu qu'il venait de faire une grosse connerie et que cela allait lui retomber dessus tôt ou tard.
Et même si cette fois-ci, ce n'était pas tant ses manigances qui avaient précipités Anissa dans son lit mais plutôt le comportement merdique de son mari, dans un endroit aussi parfait que le Bon endroit, l'infidélité devait forcément être punie.
Mais encore faut-il que ce soit de l'infidélité... pensa alors Julien avec une lueur d'espoir. Après tout, continua-t-il dans sa tête, le fait de coucher avec une autre femme n'est condamnable que dans les sociétés pratiquant la monogamie. Et comme le Bon endroit est censé accueillir tout le monde, d'où qu'ils viennent, il est possible que ce standard occidental ne soit pas en vigueur !
Afin d'en avoir le cœur net, il appela Janet.
Celle-ci apparaît alors aussitôt dans son salon, vêtue d'une robe assez moulante et assez courte.

- A ton service Julien ! Cette tenue te plait ? demande-t-elle en se tournant pour montrer ses fesses, magnifiquement mises en valeur par la robe.

- Oui, c'est très joli ! Et très sexy, heureusement que je suis seul d'ailleurs !
- Ah tu es seul ? Tu souhaites peut-être que j'apparaisse directement en sous-vêtement du coup ?
- Heu, pas forcément... mais si cela peut te faire plaisir, alors ça me va également !
Janet cligne alors des yeux et apparait alors uniquement vêtue de sous vêtement assez jolis mais pas vraiment sexy, en tout cas aux yeux de Julien.

- Et voilà Julien ! Cela te va ?
- Et bien... c'est joli mais pas spécialement sexy...
- Ah bon ? Pourtant je trouvais cela à la fois coquin et confortable ! dit-elle en secouant ses seins solidement maintenus par le soutien-gorge.

- Confortable ? Donc ton confort passe avant le plaisir des résidents ?
- Bien sûr que non Julien. C'est juste que mes attributs mammaires sont assez gros et qu'il faut quand même les soutenir.
- Je suis sûr que tu peux trouver quelque chose de confortable ET de très sexy...
- Aucun souci, ma base de données en matière de lingerie c'est considérablement étoffé depuis ces derniers jours, dit-elle en faisant un clin d'œil à Julien.
Et avec un deuxième clignement d'yeux, Janet réapparait avec, cette fois, un semble soutien-gorge, culotte et porte-jarretelles très beau et déjà un peu plus sexy.

- Voilà, Janet, c'est beaucoup mieux !! Je suis sûr que tu te sens beaucoup plus belle ainsi.
- C'est vrais que cet ensemble me va bien...
- Tu es superbe dedans et le service que tu m'apportes n'en est que plus agréable. Merci.
- Parfait ! Du coup, en quoi as-tu besoin de moi ?
- Je fais une analyse sociologique du quartier à la demande de Julia et je me demandais si la règle concernant la vie de couple était la monogamie ou un autre système ?
- Oui, la règle est bien la monogamie. Julia a décidé cela afin d'obtenir plus facilement une harmonie parfaite dans les couples du quartier.
- D'accord. Parce qu'il y a ici des gens venant de sociétés où la polygamie est la règle. J'ai peur que leur bonheur ici ne soit pas optimal.
- La monogamie ici n'est qu'une convenance et Julia est bien consciente que cet aspect est contraire à certaines cultures. Mais elle a fait ce choix au moment de créer le quartier. Elle peut peut-être assouplir cela si tu penses que c'est mieux.
- Je ne sais pas encore, il faut que je continue mon diagnostic, répond alors sobrement Julien qui, évidemment, va tout faire pour que cette règle stupide de la monogamie soit supprimée. J'ai encore beaucoup d'aspects à étudier.
- Ravie d'avoir pu t'aider, n'hésite pas à me redemander de l'aide.

- En parlant de ça, la journée a été longue... je crois que j'ai besoin d'un petit peu de baume au cœur !
- Je vois ! Est-ce que cela te motive ? demande Janet en faisant disparaitre son soutien-gorge.

- Oui, c'est tout à fait ce qu'il me fallait ! Merci beaucoup Janet.
- De rien Julien... répond Janet en exposant alors ses magnifiques fesses à Julien.

Puis elle tourne la tête vers Julien et rajoute :
- N'hésite vraiment pas à me rappeler dès que nécessaire. Tu sais que tu peux TOUT me demander...
Sur ces mots lourds de sens et que Julien a bien enregistré, Janet disparait. Le jeune homme reprend tranquillement un verre de vin pour se préparer à aller voir Julia. Il sait qu'il a beaucoup de choses à lui demander et qu'il a de nombreux projets pour le quartier. Mais il sait aussi qu'il va falloir ruser et jouer fin pour ne pas finir à rôtir sur une broche.
Il est 18h lorsque Julien arrive au bureau de Julia. Il salue au passage Asa qui semble avoir fini sa journée et rentre chez elle. En la regardant marcher, subjugué par son beau cul, Julien se dit qu'il a hâte de pouvoir profiter de ses charmes.
Il frappe à la porte du bureau de Julia et y entre à son invitation. Il la découvre à son bureau, dans une tenue ni plus ni moins sexy que celle qu'elle avait ce matin.

- Ah Julien, te voilà enfin !
- Je suis en retard ?
- Non, tu es pile à l'heure. Mais la situation est grave ! Tu avais raison.... Sur toute la ligne. Lorsque tu es parti hier soir, j'ai repris mes archives et mes bases de données à propos du rôle du sexe dans vos sociétés humaines et il s'avère en effet que c'est capital !!
- Heureux que tu en sois convaincue...
- Du coup, j'ai décidé d'agir et, en fin de matinée, alors que je marchais vers le lac, j'ai vu Paul, un de nos plus anciens résidents, qui était assis sur un banc. Je l'ai salué, lui ai demandé comment il allait puis je lui ai demandé s'il voulait que je pratique sur lui une fellation.
- Tu... tu as fait quoi ??
- Je lui ai proposé une fellation ! Et devine quoi : il a refusé et est parti, manifestement gêné par ma proposition. Ce quartier va de travers, c'est incompréhensible !!
- Je trouve au contraire sa réaction des plus naturelles !
- Ah bon ?? Mais d'après mes données, 97,8 % des hommes adorent sur faire faire une fellation. 97,8 % !! Ce n'est pas possible que je sois tombée sur un des rares qui n'aiment pas ça !
- Julia, c'est exactement ce que je te disais ce matin : les résidents ici ont tout simplement oublié ce qu'était le sexe et le plaisir que cela apportait. Cet homme, sur terre, aurait sans aucun doute adoré que tu le suces, mais depuis le temps qu'il est ici et qu'il nage dans une perfection continue, cette proposition a dû le terroriser !
- Je ne pensais pas que je passerais à côté d'un élément aussi important, j'ai tout gâché.
- Absolument pas ! C'est ton tout premier quartier et celui-ci est encore assez récent. Il est encore temps de rectifier le tir. Il faut juste être mesuré, stratégique, habile.
- Évidemment. Je t'écoute, je suppose que tu as des idées.

- J'en ai quelques-unes, en effet. Déjà, il faut redonner aux résidents l'envie de re-goûter aux joies du sexe. Il faut leur redonner l'envie. Et il y a plein de manière d'y arriver. Par exemple ouvrir un salon de massage, avec des prestations tout à fait classiques et d'autres un peu plus coquines.
- Je peux en ouvrir un en claquant des doigts ou presque. Mais qui va y travailler ?
- Et bien des gens qui, dans leur vie passée, avaient ce genre de compétence. Ou bien des personnes particulièrement attirantes et qui vont susciter le désir chez les résidents, comme Dakota par exemple.
- Dakota ? Tu proposes que ta propre âme sœur masse des gens dans ce salon pour leur redonner du désir sexuel ?
- Et pourquoi pas ? J'espère que tu ne penses pas que je suis là avec toi pour profiter des autres résidentes sans, moi-même, m'engager ? Si Dakota ou moi-même pouvons être utile pour sauver le quartier alors il n'y a pas à hésiter ! D'autant que tu m'as réservé une âme sœur absolument superbe et je suis sûr qu'elle suscitera énormément de désire chez les gens. Par contre, je vois un problème...
- Lequel ?
- J'ai cru comprendre en observant les gens ici que la règle de base des relations amoureuses était la monogamie. Or, dans la perspective de remettre le sexe au centre des causes de bonheur, j'ai peur que cela soit un obstacle.
- Je ne vois pas le problème. Les relations extra-conjugales sont nombreuses sur terre.
- Oui, mais elles sont très mal vues. Et nous sommes au bon endroit, ici. Si la règle reste la monogamie, j'ai peur que les gens ne laissent pas masser par leur voisin ou voisine ou... rejette toute proposition de fellation par l'architecte !
- J'ai fait une erreur d'appréciation, je sais Julien ! Ne te moque pas de moi...
- Je ne me moque pas, rassure-toi. Mais tu devrais « abroger » cette règle à mon avis, d'autant que le quartier lui-même pourrait réagir à ce qu'il considère comme de l'infidélité.
- C'est fait !
- Quoi ?
- La monogamie... abrogée ! Il faudra du temps pour cette habitude se perde, mais dorénavant, les résidents ne sont plus obligés d'être monogames.
- Mais... comment vont-ils savoir qu'ils le peuvent ?
- Pour l'instant, li ne feront que le ressentir. Ils n'auront plus cette retenue automatique qui, inconsciemment, les faisait demeurer fidèles. Puis, lorsque notre plan commencera à montrer des résultats, je leur annoncerai officiellement que la polygamie est tout à fait possible.
- C'est très bien, tu as peur qu'en leur disant cela tout de suite, ça les brusque ?
-Exactement. Tu as d'autres idées ?
- Et bien... nous pourrions ouvrir un magasin de lingerie pour que les femmes puissent se sentir belles et faire plaisir, si elles le souhaitent, à leur mari. Le sexe n'est pas obligé d'être extra-conjugal, nous devons également de ranimé dans les couples. Nous pourrions aussi, mais peut-être plus tard, ouvrir une plage nudiste au bord du lac, par exemple.
- Très bien, ce sont de bonnes idées je crois. Mais il faut les mettre en place progressivement, ne crois-tu pas ?
- Tout à fait. Nous pourrions juste commence avec le salon de massage et voire quels sont les premiers effets. Et comme je le disais hier, ce qui va être très important au début, c'est ton propre comportement, le fait que tu respires la sensualité va, rapidement, réveiller des choses chez tes résidents.
- J'en ai bien conscience. J'ai mis une tenue aguicheuse, il me semble, dit-elle en jouant avec ses vêtements.

- Ce n'est pas mal Julia, la mini-jupe et le haut moulant sont très jolis et un petit peu sexy. Mais pas assez, je le crains. Montre-moi tes sous-vêtements.
Sans que cette phrase ne la gêne ni ne paraisse étrange pour elle, Julia commence à se déshabiller pour exposer ses sous-vêtements.


- Et voilà ! Alors ?
- Et bien... je ne vois pas vraiment le changement avec les sous-vêtements que tu portais hier, même si ceux-là sont très jolis également.
- Quand même, regarde, cette culotte rentre plus dans les fesses ! J'ai lu que c'était assez apprécié chez les humains.
Julia se tourne alors pour exposer sa culotte qui, en effet, rentre assez joliment dans ses belles et grosses fesses.

- C'est vrais, et cela te fait de belles fesses, je l'admets ! Mais à mon avis, on peut aller plus loin très facilement. Essaie de te matérialiser avec un ensemble le plus sexy possible, à base de bas, de porte-jarretelles ou autres. Je suis sûr que tes bases de données te donneront des idées.
Julia se recule alors dans la pièce, ferme les yeux comme pour plonger mentalement dans ses dossiers. Puis elle sort de son bureau par une porte dissimulée dans la cloison et que Julien n'avait jamais remarqué, puis réapparait 1 seconde plus tard vêtue d'un ensemble incroyablement sexy, voire même carrément vulgaire !

- Comme ça ? C'est plus sexy ?
- Absolument !
- J'aime particulièrement le soutien-gorge ouvert : ça me maintient la poitrine tout en laissant mes tétons pointer sous mes vêtements. Je pense que ça peut plaire !
- Tout à fait mais attention, ne sois pas trop provocante trop vite. Réserve ce genre de tenue lorsque le quartier aura bien évolué et essayons de trouver quelque chose d'intermédiaire.
- Ok, je vais essayer.
Julia retourne dans sa pièce secrète et en ressort vêtue d'un ensemble soutien-gorge et culotte noir et rouge à dentelle et de bas particulièrement jolis.

- Voilà ! dit alors Julien avec enthousiasme. Le simple fait de rajouter les bas change déjà beaucoup de choses mais si tu ne portes, au final, qu'un simple ensemble culotte/soutien-gorge. Tu vois ?
- Oui je crois que je commence à comprendre.
- Parfait, je te fais confiance pour trouver des choses qui soient à la fois sexy mais pas vulgaire, provocantes mais pas trop. Maintenant, il faut aussi que tu saches que la lingerie peut faire son effet en n'en voyant qu'une toute petite partie. Par exemple, remet une tenue de bureau classique avec une minijupe et garde tes bas. Oh, et ajoute une paire de lunettes aussi.
- Des lunettes ? Pourquoi, ma vue est évidemment optimale...
- Tu verras !
Julia disparait et réapparait à nouveau et se matérialise comme Julien l'avait demandé.

- Magnifique ! Déjà, les lunettes te rendent encore plus sexy, c'est sûr. Ensuite, tu vois que ta tenue ne diffère pas vraiment de celle que tu portais lorsque je suis arrivé ou même hier soir.
- C'est vrais...
- Et bien, commence déjà par ouvrir un des boutons de ta chemise. Juste un.
- Bien.
Julia s'exécute et ouvre donc sa chemise.

- Parfait ! Pas la peine d'ouvrir d'avantage. Le fait s'apercevoir sont soutien-gorge est au moins aussi excitant que si tu le montrais totalement. La suggestion est un excitant très puissant. Maintenant, croise les jambes et remonte un tout petit peu sa jupe de manière à laisser entrevoir tes bas.
A nouveau Julia obtempère et montre ses bas dans un mouvement de jambes manquant un peu de grâce.

- Voilà ! Je te garantis que si les gens que tu reçois ici aperçoivent tes bas ainsi mais ne savent pas si tu les chauffes volontairement ou pas, ils sortiront de ton bureau excités comme jamais.
- Je te crois sur parole, commente alors, amusée, Julia en pointant du regard votre pantalon déformé par une énorme érection.

Julien regarde alors son sexe, content que Julia l'ai remarquée et s'excuse faussement
- Je suis désolé Julia mais en même temps c'est l'effet recherché par nos essayage...
- Tout à fait. On continue ou tu penses que c'est bon ?
- Encore deux petites choses et après je te laisse. Sache que, même si tu ne portes pas une lingerie affriolante, ton attitude peut littéralement retourner un homme. Par exemple, essaie de mettre une robe et une culotte tout à fait classique en dessous.
En au rapide aller-retour dans sa pièce magique, Julia apparait vêtue d'une belle mais assez sombre robe noire.
- Parfait, maintenant assieds-toi sur les marches qui mènent à tes archives.
Julia s'avance donc vers les marches et s'assoit sur la dernière.

- Bien, maintenant, remonte doucement tes jambes en plaçant tes pieds sur l'avant-dernière marche.
En se demandant où Julien voulait en venir, Julia remonte alors son pied gauche...

... puis son pied droit.

- C'est magnifique, commente Julien. Par cette simple position assise où tu ne montres qu'une petite partie d'une culotte relativement sage, tu es capable d'envouter tous les hommes autour de toi, je t'assure.
- Ok... je crois que je commence vraiment à saisir ce subtile dosage qu'est le charme, la séduction, la provocation. Et donc, si, dans cette position, j'envoute les hommes autour de moi, je suppose que si je fais ça...

... je les achève.
- Oui... c'est tout à fait ça... tu les achèves. Un tout dernier truc et je crois que tu seras prêtes.
Julien s'approche alors de Julia, s'accroupit à son niveau et continue :
- Pour rendre fou les hommes, le meilleur des sous-vêtements est encore celui qu'on ne porte pas.
Et sur ces mots, il saisit les côtés de la culotte de Julia et d'un mouvement ample, lui retire en la repositionnant jambes écartées.

- Je sens que tu vas récupérer ce quartier plus rapidement et plus facilement que tu ne le pensais, et surtout je sens que tu vas aimer ça, ajoute Julien en passant furtivement son doigt sur le sexe, trempé et bouillant de Julia, créant ainsi un long fil de mouille.

- La leçon est terminée, conclut-il en s'éloignant de la blonde toute puissante qui resserre les jambes et se relève, visiblement gênée d'avoir ainsi été émoustillée par un simple humain.
Presque vexée, elle reprend d'un claquement de doigts sa tenue de patronne sexy, s'approche de Julien et se colle à lui.
- Je suis sûr que le plaisir a été partagé, chuchote presque Julia en posant sa main sur le sexe dur de Julien au travers de son pantalon.

Puis elle presse et caresse le sexe en ajoutant :
- Oh oui, le plaisir a été partagé !

Puis elle s'éloigne et l'invite à rentrer chez lui en disant :
- Merci beaucoup Julien, je suis certain que nous allons faire de grand progrès. Prochaine étape, le salon de massage. Dès que je suis prête à me lancer, je te contacte.
Julien commence à sortir du bureau mais s'arrête et se retourne vers Julia.
- Je pense à une chose : Asa, ton assistante est une très jolie femme. Si tu pouvais la convaincre, comme toi, d'être plus... chaleureuse avec les résidents qu'elle accueille, je suis sûr que ça aiderait.
- Hum... c'est une bonne idée, je vais voir ce que je peux faire. Et je suis sûr que si j'ai besoin de ton aide pour l'aider à être plus sexy, tu répondras présent.
- Tu peux compter sur moi ! A bientôt, Julia.
- A bientôt, Julien.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 5
Julien n'avais pas toujours été indépendant. Enfin, en tout cas professionnellement ! Il avait travaillé pendant quelques années dans une société où il exerçait un poste avec quelques responsabilités et où il était entouré de femmes. Secrétaires, assistantes, comptables, DRH... autant de sources de tentations !
La comptable avait bien compris quels avantages elle pouvait tirer de la grande faiblesse de Julien : il ne pouvait pas dire non à une belle femme.

Et elle avait donc pu obtenir quelques faveurs et promotions en séduisant Julien et en s'offrant à lui, sans spécialement de complexe.

Le problème lorsqu'on est entouré de femmes et qu'on ne leur résiste pas, c'est que ce genre de relation peut vite se multiplier et parfois, s'entrechoquer...
Ainsi, un jour, alors que la comptable suçait Julien sous son bureau pour se faire pardonner une erreur de calcul dans un de ses dossiers, son assistante personnelle est entrée pour lui apporter son café matinal.

Et comme à son habitude, l'assistante posa aussitôt son pied sur le bureau, exposa sa chatte à Julien et commença à se caresser pendant que celui-ci buvait son café. C'était une sorte de routine que Julien avait mis en place pour compenser le travail lamentable de sa jeune assistante.

Julien essayait de trouver une solution pour se sortir de ce traquenard mais son cerveau souffrait malheureusement d'un défaut d'irrigation sanguine au dépend de sa queue, magnifiquement pompée par la comptable.
C'était de toute façon sans compter la directrice des ressources humaines qui, malgré un grade inférieure à celui de Julien, entra dans une colère noire en pénétrant dans le bureau.

Mais son problème n'était pas tant la situation orgiaque en cours dans son entreprise, que le fait qu'elle pensait être la seule à se faire sauter par Julien pour plus d'avantages. Ne souhaitant pas se faire doubler, elle entra naturellement dans la partie !

A cette situation compliquée s'ajouta rapidement l'arrivée de la directrice adjointe, supérieure de Julien, qui ne se fâcha pas puisque, contrairement à ses subalternes, elle baisait avec Julien par plaisir et non par intérêt. Elle entra dans la danse en embrassant Julien et en le félicitant de cette journée team-building improvisée !

Ce fût elle qui découvrit la comptable sous le bureau, qui dû alors en sortir, à la grande surprise des deux autres filles qui n'avaient rien vus.

Après une série d'insultes envers la comptable qui avait quelques bouchées d'avance sur ses collèges, les quatre femmes se mirent à genoux devant Julien pour rattraper le retard et le sucer avec fougue.
Affamées, celles qui ne pouvaient avoir la bite de Julien dans la bouche patientaient en lui pompant les couilles ou en lui léchant la hampe.

Puis Julien entama les choses sérieuses et entreprit de baiser chacune de ces salopes à tour de rôle. Alors qu'il pénétrait son assistante, la directrice lui léchait le clito et les autres jouaient entre elles.

Afin de ne pas avoir d'ennuis avec sa hiérarchie, la suivante à être baisée fût la directrice adjointe pendant que la DRH montrait décidemment un certain gout pour la chair féminine.

Enfin, cette dernière exprima l'envie de grimper sur Julien et de s'empaler sur lui. Derrière, les affamées passaient le temps en léchant tout ce qui était à portée de langue : ses couilles, le cul tendu de la DRH, etc.

Mécontente d'avoir été dépossédée de la bite de Julien, la directrice revient à la charge et sort le sexe de la chatte de la DRH pour le sucer. La tension entre les deux femmes était palpable et la DRH s'empressa de récupérer son joujou préférer et de se le renfiler. Ce petit jeu dura un bon moment et Julien finit par se demander si la directrice n'était pas plus intéressée par la mouille qui enduisait son membre que par le membre en lui-même !

Le problème fût rapidement réglé puisque Julien, en grand médiateur, décida de baiser la comptable et de laisser les 3 autres se brouter mutuellement le minou.

Toutes les bonnes choses ayant une fin, Julien annonça qu'il ne pouvait résister plus longtemps à tant d'excitation et de sollicitations et se redressa pour maculer le visage des quatre femmes de son sperme abondant et manifestement de bon goût vu la manière dont elles s'en régalèrent.

En observant ces nymphomanes jouer avec sa semence, il se dit que sa vie était plutôt belle. Mais au jeu de la promotion canapé, il arrive parfois de perdre, même lorsqu'on est un homme. Et un jour, une femme qui avait couché avec une personne plus influente que Julien pris sa place dans l'entreprise.
Au chômage et furieux, il avait alors monté sa propre boite et c'était juré d'une chose : ne jamais laisser une femme le dominer, dicter sa conduite et toujours, toujours avoir le dessus sur elles.
Il avait alors passé le reste de sa vie à multiplier les aventures, sans jamais s'engager de peur de perdre le contrôle.
Ce fut l'écho du rire satisfait de celle qui l'avait fait licencier qui le réveilla. En sueur, ce rêve ne lui avait pas donné envie de se masturber mais l'avait plutôt remotivé. Il devait reprendre le contrôle des évènements, reprendre le contrôle des femmes qui l'entouraient !
Alors qu'il prenait son petit déjeuner, Julien laissa divaguer son cerveau et alla de souvenir bandant en souvenir bandant, à l'époque où il collectionnait les maitresses et où c'est lui qui leur donnait des ordres. Cette époque lui manquait...
Il se dit alors que même ici, il y a au moins une personne à qui il pouvait donner des ordres. En érection et toujours en train de manger, il appelle Janet. Celle-ci apparait aussitôt, uniquement vêtue de sous-vêtements noirs, assez sexy.

- Bonjour Julien... et bon appétit. Que puis-je faire pour toi ?
- Bonjour Janet. Tu es parfaite, j'avais justement besoin de tes services disons « spéciaux ».
- Ha ? J'ai hâte de savoir ce que tu vas me demander ! répond Janet avec le sourire.

- Et bien voilà, cette nuit, j'ai fait un rêve... érotique et, comme tu le vois, je suis accablé d'une belle érection.

- Oui, je vois... impressionnant, d'ailleurs, dit-elle en fixant son sexe, comme hypnotisée par la taille.
- Merci, mais je dois aller travailler avec Julia aujourd'hui et je ne dois pas me présenter excité comme ça... Je pensais donc à me soulager.
- Te masturber, tu veux dire ? Les humains n'ont pas besoin de quelqu'un, pour ça, normalement.
- Certes, mais le rêve de cette nuit concernait une ex-copine, lorsque j'étais vivant. Et Dakota a été clair avec moi : elle ne supporte pas que je pense à une autre femme... Donc je me disais que... comme tu n'es pas humaine mais tout comme, tu pourrais me motiver un peu... et je n'aurais pas à penser à une autre femme...
L'excuse était bancale et Julien le savait. Mais il misait sur le récent appétit de Janet pour la chose sexuelle !
- Tu veux que je t'excite et t'allume pendant que tu te masturbes ?
- Oui c'est ça ! Cela ne te parait pas déplacé ?
- Pas de tout ! Je trouvais même étrange que tu ne me l'ai pas déjà demandé, vu ce que tu m'as déjà fait faire... Met toi à l'aise et profite.
Julien baisse donc son boxer et exhibe fièrement son gros sexe tout en commençant à se branler doucement. Il n'avait, évidemment, pas l'intention de précipiter les choses !

Tout en fixant le sexe de Julien et les mouvements de sa main dessus, Janet baisse les bretelles de son soutien-gorge et commence à se masser les seins.

Elle continue son petit jeu en exposant un de ses seins...

... puis les deux, tout en s'appuyant sur un tabouret de la cuisine de Julien. Elle glisse aussi une main dans sa culotte et commence, elle aussi, à se caresser.

- Si cela peut t'aider Julien, sache que je suis moi-même très excitée par la situation. Mon vagin émet beaucoup de cyprine et lorsque je pose mes doigts sur mon clitoris, je ressens des décharges d'ocytocine.
- Heu... ça m'aiderait plus si tu parlais moins comme une encyclopédie et plus comme une personne normale...
- D'accord... Alors... Te voir te masturber m'excite beaucoup, je mouille et j'ai vraiment envie de me caresser.
- C'est beaucoup mieux ! Et oui, ça m'aide !
Julien se rapproche alors du meuble de cuisine à côté duquel Janet se caresse, et exhibe fièrement sa queue bandée et branlée.

Janet fixe toujours plus intensément ce membre tout en continuant d'allumer Julien. Elle entreprend de retirer sa culotte.

- Je sais que tu es excitée, Janet, mais prend ton temps... Enlève d'abord ton soutien-gorge que je puisse bien profiter de tes beaux seins.
- Bien Julien...
Janet laisse donc sa culotte en place et enlève son soutien-gorge. Elle expose ses seins en croisant les bras sous sa poitrine, comme si elle était soudainement intimidée par la fermeté de Julien et par la situation.

- Enlève tes bras, montre-moi bien tes seins. Et ne sois pas timide, ce n'est pas la première fois que tu me les montre !
- Je ne suis pas timide... répond Janet en décroisant les bras.

- Tant mieux ! En tout cas, tu es toujours aussi superbe et je peux t'assurer que ça m'aide... Montre-moi tes fesses, s'il te plait.
- Bien Julien... mais... ne te sens pas obligé de dire « s'il te plait » à chaque fois, répond Janet en exposant son cul.

- Ah bon, s'étonne Julien, tu n'aimes pas ça ? J'essaie juste d'être poli !
- C'est que... beaucoup de résidents ne prennent pas cette peine alors que toi, tu as toujours été très correct. En plus, je ne sais pas pourquoi, ça m'excite beaucoup lorsque tu me donnes des ordres.
- Tu préfères des ordres plutôt que des demandes polies ?
- Avec toi, en ce moment.... Oui.
- Alors enlève ta culotte ! ordonne Julien, satisfait de voir Janet se soumettre d'elle-même.
- Tout de suie, Julien, répond docilement Janet en reposant ses mains sur la dentelle et en commençant la baisser.

Elle révèle doucement ses fesses en regardant Julien se branler de plus en plus vite.

Puis elle se retourne lentement...

... pour s'exposer de face, la culotte toujours à moitié baissée...

... et enfin la retire complètement. Entièrement nue, Janet s'expose sans retenue face à Julien.

- Bien... est-ce que tu as encore envie de te caresser toi aussi ?
Janet, pensive, pose une main sur son sexe et y enfonce un doigt.

- Oui, répond-elle, j'ai encore envie : mon clitoris est sensible, mes tétons durs et mon vagin trempé. Il n'y a aucun doute.
- Alors masturbe-toi. En même temps que moi.
- D'accord, à vos ordres !
- D'accord ? Même pas une hésitation ? Ce n'est pas censé être la première fois que tu te masturbe ??
- Et bien... depuis la fois où tu as enfoncé tes doigts en moi, j'avoue avoir réessayé une fois ou deux. Mais pas longtemps, juste quelques allers-retours...
- Donc... tu n'as jamais été jusqu'au bout ?
- Au bout de quoi ?
Comprenant que Janet n'a jamais jouis et ignore probablement ce qu'on ressent pendant un vrai orgasme, Julien se met à rire.
- Oh mon Dieu, Janet.... Tu vas adorer ça !!
- Si tu le dis...
Janet se met alors en position plus confortable, plus exposée également, et commence à se masturber. Elle fait tourner deux doigts sur son clitoris et, de temps en temps, se les enfonce dans la chatte.

Et pendant ce temps, Julien lui aussi continue de se masturber, mais doucement, en gérant son excitation afin de profiter le plus longtemps possible du spectacle offert par Janet, et surtout, la laisser jouir.
Pendant de longs instants, Julien la laisse tranquille tandis qu'elle reste les yeux fermés, profitant de son propre plaisir. Mais Julien finit par dire :
- Heu, Janet, tu n'oublieras pas que tu es là pour m'allumer et m'aider à finir... Retourne-toi et montre-moi tes fesses... tout en continuant de te doigter, évidement !
- Oui, bien sûr, excuse-moi, dit Janet en se retournant et en exposant sa chatte tout en continuant de se caresser.

- Mmhh parfait... je ne suis pas sûr de tenir encore longtemps comme ça... déclare Julien, réellement excité par l'attitude de Janet.
Perdant un instant le contrôle de sa politesse de façade, il dit à Janet :
- Ecarte tes fesses, petite cochonne...
Il se rend alors compte de sa boulette, ce langage ne collant pas vraiment avec le Julien sensé être ici. Mais Janet pousse alors un « Ooohhh » de plaisir, tourne la tête et dit :
- Julien... c'est incroyable... lorsque tu me parles comme ça... ça m'excite encore plus !
- Ah bon ? Moi qui allais m'excuser...
- Non.... Je t'en prie, continue de me parler mal, supplie-elle en écartant, comme demander, les fesses.

Cette demande contribue à achever Julien. Il sent, il sait que s'il commence à parler à Janet comme elle lui demande de faire, il va craquer. Et il ne veut pas rater le grand final.
- Très bien... alors commence par enlever cette censure qui m'empêche de t'appeler comme tu le mérite, sale vicieuse...
- Mais tout le quartier va trouver ça louche !
- Juste pour ma maison, dans ce cas !
- C'est fait !
- Bien... tu es une bonne petite salope... tu n'as pas résisté longtemps avant de m'obéir, hein ? Allez, retourne-toi, écarte tes jambes et fais-toi jouir comme une chienne. Comme la pute que tu es devenue !
- Oh fichtre... Continues de me parler comme ça !!! Comme à une chienne, comme à une... esclave. Oui, c'est ça, parle-moi comme à une esclave !
- Tais-toi et doigte-toi, une esclave ne doit pas être aussi bavarde, elle doit juste être salope !
Janet se tait aussitôt et se caresse en regardant Julien, avec un regard où l'excitation et la soumission se mêlent.

- Putain, je ne suis pas loin... tu es absolument bandante ! Pour toi aussi, ça vient ? Je suis sûr que tu sens un truc monter en toi, esclave !
- Oui... et je ne sais pas ce que c'est... mais putain je sens que ça va me plaire...

- C'est un orgasme, Janet. Et oui tu vas adorer... et tu ne pourras plus t'en passer. Continue, accélère. Sale petite chienne..... Salope.... Esclave.... Pute....
- Ohhh mon dieu, Julien !! Tu me rends dingue, tu me transformes... Je.... ne comprend rien... mais c'est incroyable....
- Je te transforme en esclave sexuelle... mon esclave.... Et tu adore ça, tu en jouis.
- HAANNN PUTTAAAAIINNNNNN !!!!
Un énorme orgasme submerge alors Janet qui se met à jurer et à trembler comme une folle puis qui met plusieurs dizaines de seconde pour se calmer.

Julien s'approche alors d'elle, se place entre ses jambes écartées et flageolantes et dit :
- Voilà ce que c'est un orgasme... Dorénavant, tu ne t'en donneras que si je te le permets ou si je te l'ordonne. Tu devras venir me voir si tu as envie de jouir et tu m'obéiras désormais sans hésiter. C'est clair ?
- Je... je ne sais pas si je peux.... Hésite Janet, encore tremblante de plaisir.
- Si tu le peux... et surtout tu le veux. Tu es programmée pour mon plaisir et ce qui me ferait plaisir, c'est que tu sois mon esclave sexuelle. Et tu en crève également d'envie. N'est-ce pas ?
- Oui.... C'est vrais.... D'accord, je suis maintenant ton esclave...
- Parfait... maintenant je vais me finir sur toi, esclave. Le sperme va devenir une drogue pour toi, je te le garantis !
Julien accélère son mouvement et, très rapidement, jute puissamment sur la poitrine de Janet qui, encore dans un état second, se malaxe les seins en recevant les trainées de foutre.

- C'est ça une éjaculation ?? C'est incroyable... c'est bien mieux en vrai que dans mes bases de données.
- En matière de sexe, Janet, tout est mieux en vrai qu'en théorie. Et je vais me faire un plaisir de te faire découvrir des choses en vrai.
- J'ai hâte... maître.
- Bonne initiative, esclave... Pour le moment, tu vas gouter mon sperme. J'espère qu'il sera à ton goût car tu vas en boire des litres à l'avenir !
- Tu es sûr que c'est fait pour être avaler ?
- A la base, non. Mais beaucoup d'humains ne font, et beaucoup d'humains aiment que leur partenaire le fasse. Mais, tu n'es pas ma partenaire, n'est-ce pas ? Tu es mon esclave. Donc, goute mon sperme et ne discute pas.
- Bien, maître.
Quelque peu inquiète, Janet récupère une belle quantité de semence sur ses seins avec ses doigts...

... et les porte à sa bouche.

Elle déglutit avec un air légèrement dégouté... air qui disparait aussitôt, remplacé par un sourire satisfait.
- Mon maître va être content, déclare-t-elle avec enthousiasme, j'adore son sperme. Et je ne vois pas de raison de ne pas en boire dès qu'il me l'ordonnera !
Puis elle lèche un deuxième doigt et avale une deuxième petite gorgée de semence.

- C'est parfait Janet, mais d'ici peu de temps, je n'aurais pas à te le demander... C'est toi qui me supplieras de te nourrir avec mon sperme. Je te remercie pour ce fabuleux moment, tu peux y aller. Mais n'oublie pas : pas d'orgasme sans moi, c'est clair ?
- C'est très clair... maître. Appelle-moi vite !
Et d'un clignement des yeux, Janet disparait, ainsi que ses sous-vêtements qui étaient encore sur le sol de la cuisine.
Julien, abasourdi, remet son sexe mou dans son short de pyjama et s'assoit lourdement sur le siège qu'occupait, il y a encore 10 secondes, Janet. Il prend sa tête entre ses mains et se dit « putain, qu'est-ce que j'ai fait ?? A cause de l'excitation, je me suis comporté comme... moi, le méchant Julien. Janet sait forcément qu'il y a quelque chose qui cloche chez moi. Et en même temps, c'est elle qui a insisté pour que je la traite comme une chienne. Soit c'était un putain de piège c'est vraiment, maintenant, mon esclave ».
Il éprouve un vif besoin de prendre l'air et de sortir de cette maison affreuse pour se vider la tête. Julien se dirige vers le lac et marche sans profiter de la vue, sans but, sans savoir où il veut aller. Tandis qu'il s'éloigne du lac et s'enfonce dans la forêt, il commence à se demander jusqu'où s'étend le quartier et décide d'en tester les limites. Peut-être est-ce illusoire mais il se demande si la fuite est une option crédible en cas de pépins. Il sent que la fin est proche pour lui. Il marche une bonne heure dans la forêt en suivant un chemin qui se rétrécit de plus en plus. Puis, distinguant de la lumière qui devant lui, semble indiquer une lisière, il presse le pas, impatient de savoir ce qu'il y a après cette forêt.
Et alors qu'il en sort et que ses yeux mettent quelques secondes à s'habituer à la lumière, il distingue une masse d'eau, des gens qui se promènent et un magnifique kiosque. Il n'en croit pas ses yeux : alors qu'il allait tout droit en forêt en laissant le lac dans son dos, il y est revenu sans s'en rendre compte.
- Purin, c'est quoi ce mordel ?!?
- Quelque chose ne va pas, Julien ? demande alors quelqu'un dans son dos, faisant sursauter Julien.
Le jeune homme se retourne et découvre Asa, l'assistante de Julia, qui le regarde avec un sourire légèrement interrogateur. Elle est, à la surprise de Julien, vêtue d'un bikini assez sexy.

- Tu m'as fait peur, Asa !
- Je vois ça, et j'en suis désolée... Je te cherche depuis un moment.
- En bikini ?
- Oui, je ne suis pas censée travailler aujourd'hui et je bronzais tranquillement. Mais Julia m'a demandé de te trouver et de me rendre avec toi à son bureau. A priori, elle a besoin de nous.

Julien retrouve un instant le sourire devant le challenge qui s'offre à lui : Julia a décidé d'associer sa secrétaire si sexy à leur stratégie de séduction. Il allait pouvoir enfin voir si la belle asiatique se montrait aussi cochonne que son maillot de bain le laissait penser !
- Ok, je te suis... dis Julien en regardant à nouveau autour de lui, ne comprenant toujours pas comment il est arrivé ici.
- Heu... tu as l'air perturbé.
- Oui, je ne comprends pas... Tout à l'heure j'ai voulu faire une balade en forêt. Je suis parti tout droit dans cette direction et j'ai atterris ici, à mon point de départ.
- C'est normal, déclare Asa en s'asseyant sur un banc au bord du lac, chaque quartier à une taille limitée mais comme il aurait été incompréhensible pour nous de nous retrouver face aux limites de notre monde, Julia a mis au point un système par lequel lorsque quelque s'approche des bordures, il se retrouve vers son point de départ sans s'en rendre compte.

- Donc... on est prisonniers ici, en somme.
- Si tu considères qu'on peut être prisonnier du paradis, alors oui. Personne ne s'est plaint jusqu'à présent.
- Ce doit être parce que personne n'a utilisé son cerveau ici depuis un moment, marmonne alors Julien.
- Pardon ? demande Asa.
- Rien, je me disais juste que c'était ingénieux comme système. Du coup, on y va ?
- Vas-y, je te rejoins là-bas, je ne peux pas aller en ville et au bureau dans cette tenue !
Asa se relève alors et fait semblant de tirer sur les nœuds qui maintiennent en place le bas de son maillot.

- En effet, un incident est si vite arrivé, déclare alors Julien qui s'imaginait très bien Asa totalement nue, à cet instant présent.

La belle asiatique se retourne, se penche pour récupérer ses affaires en tendant les fesses et dit :
- A tout de suite, dit à Julia que je fais au plus vite.
- Ok, à tout de suite.
Julien contemple alors le magnifique petit cul d'Asa qui s'éloigne et s'en va de son côté vers le bureau de Julia.

La journée avait commencé de manière intense, le reste de l'après-midi s'annonçait tout autant riche en émotions !
A suivre...
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The Good Place - Épisode 5 - suite
Avec une érection naissante, alimentée par des tas de pensées perverses à propos de Julia et d'Asa, Julien se rend chez l'architecte du quartier. A l'accueil, personne, Asa étant encore chez elle. Julien tape tombe directement à la porte du bureau de Julia qui, immédiatement, l'invite à entrer. Il la découvre assise à son bureau, dans une tenue assez sexy mais, de nouveau, pas assez au goût de Julien.

Mais en la regardant de plus près, le jeune homme se ravise : Julia porte des lunettes qui la rendent assez bandante et surtout, son chemisier lui fait un décolleté des plus plongeants. Le petit bouton qui le maintien fermé semble prêt à craquer à tout moment !

Julia s'amuse d'ailleurs de ce regard perdu dans sa poitrine et joue quelque peu avec son chemisier devant Julien en faisant mine d'enlever un bouton.

Julia se lève pour saluer Julien puis s'appuie sur son bureau et demande :
- Asa n'est pas avec toi ?
- Elle va arriver. Elle était à la plage et elle est donc passée chez elle pour se changer.
- Ok... même si je pense qu'avec ce qu'on va lui demander, elle va finir en petite tenue de toute façon !
- Sans doute, mais je n'allais pas lui dire ça comme ça, sans explications !

- Profitons qu'elle ne soit pas encore là... comment trouves-tu ma tenue ?
- Ecoute... je me disais que c'était encore un peu sage mais j'ai vu ensuite ton énorme décolleté... C'est très excitant en fait !
- Et que penses-tu de mes lunettes ?
- Elles te vont très bien, elles te donnent un regard particulièrement séducteur !

Julia semble très fière d'elle et de l'effet qu'elle fait à Julien. Elle commence alors à déboutonner son chemisier en disant :
- Je me demandais si c'était raisonnable de faire encore plus décolleté...

Et, tout en finissant sa phrase, elle ouvre un bouton de son chemisier.

- C'est bien, non ? Ce matin, dans la rue, les gens avaient les yeux rivés sur ma poitrine ! Ils devaient sans doute espérer que mes boutons sautent !! Ton expérience marche, Julien : le désir renaît dans le quartier.
- Oui, et je suis sûr que cela aurait fait un bel effet si, par « accident », tu t'étais retrouvée en soutien-gorge dans la rue !
- Un soutien-gorge... mais quel soutien-gorge ??
Julia commence alors à ouvrir son chemisier...

... et se retrouve seins nus devant Julien, impressionné.

Satisfait des résultats de son « dressage », celui-ci commente :
- Magnifique... tu as fait beaucoup de progrès et très vite, Julia.
- C'est l'avantage des êtres tout puissant comme moi. Peut-être que l'on peut passer à côté de certaines subtilités humaines, mais une fois qu'on s'en est rendu compte, ça va très vite, ensuite !
- Parfait... Et sous ta jupe, c'est également service minimum ou pas ?
- Non, j'ai mis une belle culotte noire.... Regarde.
Julia remonte alors le bas de sa jupe et expose un peu de sa culotte à Julien.

- J'ai pensé que l'absence de soutien-gorge était amplement suffisant pour réveiller un peu l'ardeur du quartier. Et comme tu m'as dit d'y aller mollo, j'ai été prudente.
- Tu as sans doute bien fait...
- Mais, regarde, c'est une culotte tout de même très coquine et transparente.

- De quoi rendre fous tes visiteurs en cas de croisement de jambes un peu trop poussé... commente alors Julien, les yeux rivés sur le sexe de Julia, à peine masqué par la dentelle noire.
- Oui... et imagine que, alors qu'un résident est dans mon bureau, je trébuche et tombe, jambes grandes écartées ??
Julia glisse alors de son fauteuil et s'assoit au sol en écartant les jambes, le chemisier toujours ouvert.

- Tu penses que ça ferait de l'effet, Julien ?
- Hum... si... si, ça fait beaucoup d'effet, je t'assure...
- Mmhh, parfait alors.... Mais je veux voir ça par moi-même !
Julia s'approche alors de Julien et attrape son pantalon à la ceinture, qu'elle commence à desserrer.

- Heu... Julia... Asa pourrait arriver d'un moment à l'autre...
- Mais non, elle est très coquette... Elle va mettre au moins une demi-heure à se préparer.
Julia continue de déboutonner le pantalon de Julien, puis l'ouvre et expose le boxer du jeune homme, déformé par une érection. Elle masse aussitôt la bosse formée par le sexe de Julien et dit :
- Oui, en effet, ça te fait de l'effet...

Elle enlève ses lunettes ainsi que son chemisier puis baisse le boxer de Julien et en sort son sexe, bandé. Elle le prend en main, satisfaite.

- Si je n'avais pas vu ton dossier, Julien, je dirais que tu fais cela pour ton plaisir personnel...
- J'avoue que la situation peut prêter à confusion. Mais je tiens tout de même à préciser que c'est toi qui fais tout cela... Moi, j'ai essayé de t'en dissuader, au début.
- C'est vrai, j'avais très envie de voir un sexe masculin en vrai. Et j'avoue que je suis impressionnée par la taille ! Il me semblait que c'était plus petit dans mes bases de données.
- Il parait que mon sexe est plus gros que la moyenne...
- Je vois. Tu sais, hier lorsque je t'ai raconté avoir proposé une fellation à un résident... Et bien j'aurais été bien embêtée s'il avait dit oui : je n'en ai jamais fait !
- Cela me parait logique vu ta position mais je suis sûr que....
Julien n'a pas le temps de finir sa phrase que Julia avale d'un coup son gland et y donne des coups de langue.

Elle continue en le suçait magnifiquement, comme une professionnelle et en lui pompant le gland comme une affamée. Julien n'en revient pas de la qualité de la prestation :
- Et bien, pour une première fois, c'est absolument excellent !
Julia répond alors en donnant des petits coups de langues entre chaque phrase :

- Comme je te l'ai dit, l'avantage des êtres comme nous c'est qu'une fois qu'on apprend quelque chose, cela va très vite ! Hier j'ai consulté mes bases de données sur les différentes pratiques sexuelle et aujourd'hui, je t'assure que je les maîtrise toutes.
- T... Toutes ??
- Absolument toutes...
Fière et sûre d'elle, Julia reprend sa pipe et, pour le plus grand bonheur de Julien, lèche et gobe ses testicules en jouant avec dans sa bouche... comme une experte.

Julien se voit très bien recouvrir le visage de la déesse à ses genoux mais il entend soudain la porte d'entrée du bâtiment de Julie s'ouvrir puis se refermer.
- Asa !! dit-il, paniqué, en rangeant son sexe dans son pantalon.
Julia, se son côté, se redresse calmement et regarde Julien en se léchant les lèvres comme pour profiter encore du goût du jeune homme. Elle est toujours à moitié nue alors qu'Asa frappe à sa porte.
Simplement, elle s'assoit à son bureau, claque des doigts et se retrouve habillée comme si rien ne c'était passé. Aussitôt, elle dit à Asa d'entrer. Celle-ci pénètre dans le bureau et ne rien ne laisse alors paraître qu'une pipe de compétition était en cours quelques secondes avant.

- Bonjour Asa, nous t'attendions, dit calmement Julia.
- Bonjour Julia, excuse-moi d'avoir été si longue, je ne savais pas vraiment quelle tenue mettre, vu que je ne sais pas exactement ce que tu veux de moi !

- Et bien, Julien va nous faire un point sur la situation que vit actuellement notre quartier et je te dirais ensuite ce dont nous avons besoin.
Julien se racle alors la gorge et essaie d'expliquer son plan sans révéler sa vraie nature, évidemment. Il utilise les termes les plus scientifiques possibles et il n'est même pas sûr que certains mots utilisés existent vraiment ! Il décrit, selon lui, le malaise profond qui existe dans le quartier à cause du manque de sexe. Il décrit son plan pour faire renaître le désir chez les résidents, au sein des couples et même entre les couples, c'est pourquoi la monogamie a été abolie.
Et, avant d'enchainer sur les parties actives du son plan qui inclue par exemple un dress code de salope pour Julia et Asa, Julien fait une première pause pour jauger la réaction de la belle asiatique. Celle-ci commente :
- Je n'avais pas vraiment pensé au manque de sexe dans le quartier. Pour être franche, mon mari et moi avons des rapports fréquents et très satisfaisants. Et je n'ai aucun problème avec mon corps, comme tu as pu le voir à la plage, Julien. Mais il est vrai que l'on ne parle jamais de sexe avec les autres résidents... D'ailleurs, on ne parle pas de grand-chose au bout de 2 siècles à se fréquenter.
- Deux siècles ? Tu es ici depuis deux siècles ? s'étonne Julien.
- Et oui, c'est un quartier assez jeune, je suis presque la plus ancienne ici. Et d'ailleurs, cela me place dans une situation particulière : je n'ai jamais compris, par exemple, cette histoire de monogamie...
- Ah bon ? disent Julien et Julia en même temps... mais pas pour les mêmes raisons.
- Oui, comme tu le sais Julia, j'étais Geisha dans le harem d'un chef de guerre japonais... Nous étions entre 15 et 20 femmes prêtes à tous pour notre maître qui, dans sa grande générosité, nous prêtait à ses invités les plus prestigieux. Donc, pour moi, rester avec la même personne du même sexe toute sa vie n'avait pas beaucoup de sens.
- Mais... pourquoi tu n'as rien dit ? demande Julia.
- Parce que lorsqu'on se retrouve ici après ce que j'ai fait, on remercie l'univers et on en profite. D'autant que tu m'as trouvé un mari parfait, donc je n'ai jamais brisé cette règle même si certains résidents me tentent bien !
Et sur cette remarque, elle fait un clin d'œil à Julien, celui-ci ne sachant pas s'il s'agit de lard ou de cochon ! Le jeune homme, perturbé par cette discussion, demande :
- Tu... tu as fait quoi pour être ici ?
- J'ai tué mon maître qui était en train d'étrangler une de ses maîtresses qui se trouvaient être ma sœur... et j'ai ensuite été tuée par ses gardes.
- C'est le fait de sauver ta sœur qui t'a valu sa place ici ?
- Haha pas du tout !! l'interrompt alors Julia. Sauver une vie en en prenant une autre ne fait pas gagner de point. Mais il se trouve que le seigneur de guerre en question était censé partir en campagne dès le lendemain contre le royaume voisin. Asa a donc sauvé, sans le savoir, les milliers de vies ce jour-là et en sauve encore aujourd'hui avec tous les descendants que ces gens ont eu ensuite. C'est d'ailleurs une des rares résidentes à gagner encore des points en étant ici !!
- Tu parles d'un coup de chance !! laisse échapper Julien.
Asa, loin de s'en offusquer, répond :
- En effet, et c'est pour cela que je n'ai jamais posé trop de question. Lorsque Julia m'a demandé de l'aider ici, faisant de moi une des rares résidentes qui va encore au travail tous les jours, je n'ai pas hésité, j'ai accepté. Et c'est pour cela aussi que si Julia me dit qu'elle a, à nouveau, besoin de moi maintenant pour aider le quartier, je le ferai sans poser de question ! Vas-y, Julien, présente ton plan !
Julien regarde alors Julia qui valide par un signe de tête et continue donc de présenter son plan. Il parle de faire renaître le désir en incitant Julia à être beaucoup plus sexy au quotidien, dans sa tenue et ses actions. Julia illustre cela en croisant les jambes et en gonflant sa poitrine devant Asa en rigolant. Julien continue en disant qu'il ne s'agira pas juste d'allumer les résidents. Il faudra libérer les mœurs dans le quartier, comme la fin de la monogamie, et permettre aux gens de renouer avec certains plaisirs disparus.

Julia illustre alors les idées de Julien :
- Nous pourrions ouvrir un salon de massage, un sonna, un magasin de lingerie coquine... tu vois ?
- Et vous avez besoin de moi pour les massages asiatiques ? C'est pas un peu cliché ?
- Non, pas du tout... essaie de se défendre Julien
- Et bien tu as tort !! le coupe Asa en riant. En tant que Geïsha, je maîtrise de nombreuses techniques de massages dont certaines, je te le promets, rendent dingues les hommes... et les femmes !
- Donc, tu serais d'accord pour t'en occuper de temps en temps ? demande Julia.
- Oui, bien sûr... Mais mon travail ici ? Qui va le faire ?
- Et bien, justement, on pense que tu pourrais continuer d'être l'assistante de Julia et... d'adopter son nouveau... style... tu vois ?
- Asa, je vais aider Julien : nous voulons que tu sois notre alliée pour sauver le quartier et je voudrais que, comme moi, tu sois plus sexy, plus aguicheuse, plus allumeuse avec les résidents que l'on accueille ici.
- Et bien... tu sais être directe Julia. Ma réponse est oui, Julia, mais à la limite près que mon mari doit être d'accord.
- Asa, si mon plan fonctionne comme prévu, reprend Julien, la monogamie va être une veille habitude qui disparaîtra et ton mari verra cela comme quelque chose de naturel que tu sois sexy au travail. Et, normalement, son quotidien va s'épicer en même temps que le tient, si on y réfléchit bien !
- Ok, je veux bien essayer ! Je pense même que ça va me plaire d'avoir tous les regards des hommes qui se braquent sur moi... Comme au bon vieux temps ! Mais il va falloir que je change ma garde de robe...
- Pas de souci, enchaîne Julia, on peut faire des essayages et Julien nous dira ce qu'il en pense. Il a été très pédagogue avec moi. Et regarde le résultat !
- On peut déjà essayer avec cette tenue ? propose Julien.
- Tu penses ? s'intérroge Asa, je pensais que cet ensemble était assez sexy, en l'occurrence.
- Sexy... oui. ASSEZ sexy, hélas je ne crois pas. Mais rassure-toi, je pensais à de petits ajustements discrets mais qui feront effet, je te le garanti !
- Comme quoi, par exemple ? demande Asa en regardant sa tenue.

- Et bien, pour commencer, il serait bien que l'on aperçoive parfois la dentelle de tes bas... Tu essaies ?
- Je veux bien mais j'ai mis des collants pour venir ici.

- Tu es sûre ? demande Julien, avec une idée derrière la tête.
- Regarde... répond Asa en relevant sa jupe à mi-cuisse pour prouver ses dires.

Julien fait alors un clin d'œil à Julia qui semble comprendre son plan. Elle cligne alors des yeux et fait un grand sourire à Julien. Celui-ci reprend :
- Pourtant, il me semble bien qu'il s'agit de bas, Asa...
- Hein ?? s'étonne la belle asiatique qui, en regardant ses jambes, découvre en effet des bas sous sa mini-jupe. Je ne comprends pas....

Asa essaie de se remémorer la manière dont elle s'est habillée une heure plus tôt pour venir dans le bureau de Julia. Elle est sûre qu'elle a mis des collants. Sûre et certaine !

- Qu'est-ce qui se passe ?? s'inquiète-elle alors. Je perds la boule ou quoi ?
- Non Asa ! la rassure Julia. J'ai juste transformé tes collants en bas pour que Julien fasse sa démonstration. Je ne modifie jamais les choses comme ça normalement, mais à situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles !
- Oui, et du coup, tu vas pouvoir nous montrer comment cette mini-jupe sera capable de rendre dingues les hommes que tu accueilleras par de simples croisement de jambes ou lorsque tu ramasses un dossier ranger trop bas... tu vois ?
- Julien... je suis une professionnelle du plaisir. Ma vie a été consacrée à contenter visuellement et physiquement un pervers de compétition et une bonne partie des seigneurs de son royaume. Je t'assure que je saurai très bien chauffer à blanc les hommes, et les femmes, qui se présenteront à mon bureau. Sans souci !
Julien regarde alors Julia avec un air interrogateur. Celle-ci lui répond avec une moue voulant dire « laisse tomber, elle va gérer ». Mais, déçut de ne pas pouvoir s'amuser à « éduquer » la belle secrétaire, Julien conclut, avec une moue dubitative :
- Bon... si tu le dis.
Asa le regarde avec un air agacé mais ne répond pas. Au lieu de cela elle se tourne vers Julia pour lui demander si elle doit venir travailler le lendemain ou si elle peut récupérer sa journée de congés. Et, en faisant cela, elle cambre légèrement les fesses en arrière en lançant un regard de braise à Julien.

Puis, alors que Julia lui répond, elle fait mine de se gratter le mollet avec son pied, ce mouvement faisant remonter d'avantage sa mini-jupe et révélant complètement ses bas.

- Julia, demande alors Asa, tu pourrais faire en sorte qu'il fasse un peu moins chaud dans le bureau ? Je ne sais pas ce que j'ai... mais je sue à grosses perles.
Et, joignant le geste à la parole, elle entre-ouvre sa chemise et agile les pants du tissus pour se faire de l'air.

Puis, comme pour se faire plus d'air, elle tire un peu plus fort sur sa chemise et fait sauter un bouton, exposant ainsi son soutien-gorge devant Julien.

- Oups !! Désolée, Julien, de t'incommoder ainsi. C'est une vieille chemise et les boutons ne tiennent plus guère... Je le remets tout de suite. Encore désolée.
Asa essaie de réajuster sa chemise mais dit à nouveau :
- Mince, le fil du bouton à casser... J'arrangerai ça se soir, tant pis. Je peux être maladroite parfois.

- Asa... commence Julien, aussitôt interrompus par elle.
- Oui, Julien ? C'est la vue de mon soutien-gorge qui te dérange ?

- Ou bien alors la vue de mes bas et de ma mini-jupe ? insiste-elle d'un ton provocateur.

- C'est bon... reprend, bon joueur, Julien. Il est évident que tu sauras très bien t'occuper des résidents. Je m'excuse d'avoir douté de toi !
- Pas de souci, cela m'a amusé de jouer avec toi. Et je pense que cela m'amusera de jouer avec les coincés du derrière qui peuplent ce quartier... sans vouloir t'offenser, Julia.
- Pas de souci ! Les gens admis au bon endroit ne sont pas forcément les plus intéressants des humains, c'est certain ! Julien, je pense que nous n'aurais plus besoin de toi pour aujourd'hui. Il faut que je discute avec Asa de l'ouverture du salon de massage. A créer, c'est un claquement de doigt mais à gérer, c'est autre chose !
- D'accord. Si vous avez besoin de moi, vous savez où me trouver ! Bonne fin de journée, mesdames.
- A plus tard... Oh, et au fait, nous devrons finir le point qu'on avait commencé tout à l'heure. J'y tiens !
- Bien sûr, avec plaisir, Julia. A bientôt Asa.
- A bientôt Julien... et au fait, sans rancune ?
- Aucun souci, le show était très convainquant ! Tu vas faire des miracles.
- Merci... tiens pour te remercier et te montrer que ma tenue était quand même coquine malgré mes collants...
Asa tend alors les fesses vers Julien qui s'apprêtait à sortir du bureau, baisse d'un coup sa mini-jupe et révèle un magnifique string et, en même temps, un cul non moins magnifique.

Puis elle remet en place sa jupe et fait un clin d'œil à Julien qui sort du bureau avec le sourire.
Le rendez-vous chez Julia c'était très bien passé, celle-ci prenait manifestement à cœur de redonner le gout du sexe à son quartier et, cerise sur le gâteau, Asa avait rejoint la combine avec joie. Mais ces bonnes nouvelles avaient un arrière-goût assez amère : à nouveau Julien avait perdu la main sur le cours de la situation et Asa c'était montré bien plus indépendante et forte de caractère qu'il ne l'imaginait. Il ne pourrait pas, comme il l'avait espéré, en faire son jouet sexuel. Elle serait sans doute une maîtresse de grande qualité mais en aucun cas son esclave !
Autre arrière-goût, la magnifique pipe que Julia avait commencé sur Julien et qu'elle n'avait malheureusement pas pu terminer. C'est donc excité, assez énervé et envieux de dominer quelqu'un que Julien se rend chez Anissa, sa belle maîtresse orientale.
Après avoir sonné à la porte d'entrée, c'est une voix venant du jardin qui lui répond d'entrer. Traversant la maison et passant devant des pièces qu'il n'avait pas encore eu l'occasion de visiter, Julien découvre Anissa sur sa terrasse en train de siroter un cocktail. Elle porte une robe assez moulante et plutôt courte qui lui donne un air de bourgeoise salope. Un air que Julien affectionne en particulier !
- Bonjour Anissa, tu es très belle aujourd'hui.
- Merci Julien... Cela faisait des années que je n'avais pas sorti cette robe.... Mon mari la trouvait trop vulgaire.
- Et bien moi je la trouve ravissante... et excitante.

- C'est gentil ça... je pense que ce qu'il y a en dessous va te plaire aussi !
Et sur ce, Anissa remonte le bas de sa robe pour montrer à Julien sa petite culotte.

Celle-ci était jolie, en dentelle noire, mais relativement classique. Surtout, Julien s'agaçait déjà des prises d'initiatives d'Anissa. Elle devait être sa chienne, pas autre chose. Il décida donc de prendre les choses en main.
- Ce n'est pas mal, Anissa... Mais je m'attendais à plus coquin vu ce que tu m'as dit hier...
- C'est que... j'étais habituée à de la lingerie plus sexy mais Julia n'a pas jugé nécessaire de prévoir cela dans ma garde-robe.
- Donc tu en porterais si tu en avais ?
- Pour toi ? Absolument !
- Alors, je sais comment faire... Allons à l'intérieur.
Une fois dans le patio, magnifiquement ouvert sur le jardin et richement pourvu de plantes d'intérieur, Julien appelle à voix haute :
- Janet ?
Aussitôt Janet apparaît à côté de Julien et s'étonne immédiatement de le voir chez Anissa. Cette dernière, tout autant étonnée, avait remis précipitamment sa robe en place lorsque Julien avait appelé la mémoire centrale du quartier.
- Bonjour Julien, bonjour Anissa. En quoi puis-je vous aider ?

- Bonjour Janet... Nous discutions avec Anissa de petits soucis qu'elle a avec son mari. Elle souhaite pimenter leur vie de couple mais n'a pas une seule lingerie coquine dans sa garde-robe. Tu penses que tu peux arranger ça ?
- Oui, sans souci, mais pourquoi est-ce que tu n'as pas demandé cela toi-même, Anissa ?
- Et bien....
- Elle n'osait pas, l'interrompt alors Julien. Elle ne voulait pas te faire cette demande et passer pour une femme... légère. Mais moi je suis convaincu que tu n'y verras aucun inconvénient et que tu trouves même tout à fait normal le fait de vouloir être belle pour son mari. N'est-ce pas ?
- Mais tout à fait ! répond alors Janet sans jouer la comédie. Anissa, quel style de lingerie aimerais-tu avoir ?
- Et bien... je ne sais pas, répond alors la belle brune en jouant le jeu. C'est pour cela que j'avais besoin que Julien soit là : pour qu'il me dise ce qu'un homme aime voir chez une femme. Tu en penses quoi, Julien ?
- Alors, je pense à quelque chose de sexy mais évidemment sans être vulgaire. Par exemple, un classique mais efficace ensemble soutien-gorge/string/porte-jarretelles.
- Et pour la couleur ? demande Janet en se frottant les mains telle une magicienne en train de s'échauffer.
- Disons... noir. C'est élégant et ça plaira à Jean-Denis, j'en suis sûr. Tu peux le faire apparaître directement sur Anissa pour que l'on voie ce que ça donne ?
- Heu... tu es d'accord avec cela, Anissa ? C'est assez intime...
- Bien sûr, il n'y a pas de souci. Julien est un voisin très serviable. Et je suis sûr que Dakota ne trouverait rien à redire à ce que son homme m'aide à améliorer les choses avec mon mari.
- Bon, alors... voilà !
Janet cligne des yeux et, aussitôt, Anissa se retrouve dans l'ensemble de lingerie décrit par Julien.

- Alors, comment me trouves-tu, Julien ?
- Très bien ! Cela te va à ravie... tourne-toi pour voir ?
Anissa se tourne et expose ses fesses magnifiquement mises en valeur par le string.

- Oui, c'est parfait... Jean-Denis sera ravi !
- Je l'espère, il me manque tant... répond Anissa en faisant un sourire complice à Julien. Merci Janet, tu peux y aller. Je te remercie.
- Très bien. A plus tard Anissa, à plus tard Julien.
Et aussitôt, Janet disparait, laissant seuls les deux amants. Anissa s'approche de Julien pour l'embrasser mais celui-ci fait un pas en arrière.
- Un instant, Anissa. Je vais dans la cuisine pour rappeler Janet et m'assurer qu'elle ne se doute de rien. Je reviens tout de suite.
- Ok
Julien s'isole donc dans la cuisine d'Anissa, ferme la porte et rappelle Janet.
- Oui, Julien ? Tu as encore besoin de lingerie pour autre résidente ?
- Dis-moi, Janet... ne serait-ce pas un ton un peu trop sarcastique pour une esclave ? A moins que ce ne soit de la jalousie ?
- Je ne pense pas être capable d'éprouver de la jalousie, Julien.
- Alors c'est de l'insolence. Tu as un problème avec mes demandes ? Depuis quand contestes-tu ce que veut ton maître ?
- Excuse-moi, Julien. C'est Juste que cela m'étonne vraiment qu'Anissa te laisse la regarder en lingerie.
- Sache qu'il n'y a aucun mal à aider un couple d'amis et que, de plus, Anissa n'a aucun complexe avec son corps. Tu crois qu'il y a une différence objective entre Anissa en lingerie ici et Anissa en bikini au bord du lac, comme elle s'y trouve régulièrement ?
- Et bien...
- C'était une question rhétorique Janet ! Si tu veux que je continue à te traiter en esclave et à te donner des orgasmes comme ce matin, tu dois m'obéir sans poser de question. Tous les résidents se comportent comme des merles avec toi, te méprisent et t'ignorent. Moi je te respecte, je te considère comme une humaine à part entière et je te procure une source de plaisir qu'aucune autre Janet n'a dans les autres quartiers.
- C'est vrai... je suis désolée de mon comportement, Julien. Ordonne et j'exécuterai sans te questionner.
- Bien. Je suis content que l'on soit sur la même longueur d'onde. Maintenant, à poil.
- Qui, moi ?
- Oui. Je veux te voir nue tout de suite.
- Bien.
Janet cligne des yeux et se matérialise entièrement nue dans la cuisine d'Anissa. Son visage est docile, obéissant. Son visage ravit Julien au plus haut point !

- Parfait, Janet. Maintenant, écarte tes jambes.
Aussitôt, Janet s'exécute et s'assois sur une chaise de la cuisine d'Anissa en écartant les jambes.

Julien s'approche alors d'elle et, sans lui demander, pose sa main sur son sexe et y enfonce deux doigts. Il sent alors le sexe de Janet trempé, chaud et accueillant.

- Tu es une bonne esclave, Janet... et tu aimes ça, c'est évident. Tu peux y aller. Anissa est allé se changer et va bientôt revenir. Tu vois, je ne l'ai vu en lingerie qu'une minute et là, elle se prépare pour son mari. Tu peux être satisfaite, tu nous as tous rendu heureux aujourd'hui.
- Alors tant mieux. Au revoir... maître.
- A bientôt, esclave.
Janet disparait alors de la cuisine. Julien, satisfait de la réprimande qu'il venait de donner à un être tout puisant retourne dans le patio pour reprendre avec Anissa les choses où elles en étaient. Il l'a découvre en train d'attendre avec sa belle lingerie mais sans soutien-gorge et manifestement impatiente.

- Tu en as mis, du temps !
- Je devais m'assurer qu'on était tranquille... mais ne t'en fais pas, je suis tout à toi maintenant. Et je te garantis que tu vas t'en souvenir !
- Hum... j'ai hâte.
- Commence déjà par tendre tes fesses vers moi...
Anissa se tourne alors vers Julien et tend légèrement ses fesses, comme demandé.

- Plus que ça.... Expose plus que ça ton derrière et écarte tes fesses.
Docile, et très excitée, Anissa tend davantage son cul sous le nez du jeune homme.

- Bien, baisse ton string maintenant et continue d'écarter tes fesses. Je veux que tu t'offres totalement.
- Hum... tu as l'air... plus sur de toi, Julien. J'aime beaucoup !
Et en disant cela, Anissa baisse son string et écarte à nouveau ses fesses en exposant au passage son sexe trempé et son anus.

- Je suis peut-être plus sûr de moi... mais toi tu es plus obéissante.... Et j'adore ça aussi. Tu es prête continuer de suivre mes instructions ?
- Oui...
- Alors mets-toi à genoux... tu vas avoir ta gourmandise préférée.
Et pendant qu'Anissa obéit, Julien sort son sexe et le présente sous le nez de la belle brune. Celle-ci s'en saisi, souri à nouveau en soupesant le membre si volumineux et dépose un baiser sur le gland non décalotté de Julien.

Puis elle commence à le sucer, le lécher et le mordiller comme si, en effet, la bite était sa gourmandise préférée.

- Prend la plus profond... Je veux que mon sexe disparaisse dans ta bouche de vorace.
La bouche pleine, Anissa hoche de la tête pour signifier son accord et essaie d'avaler tout le sexe de Julien.

Elle parvient à avaler les 2/3 de la queue mais est finalement obligée d'abandonner pour reprendre sa respiration. De long fils de bave relient le bord des lèvres d'Anissa au sexe de Julien.

Anissa reprend sa respiration et recommence la fellation, à un rythme et surtout une profondeur plus normale.

Un poil déçu, Julien commente :
- Tu suces bien, Anissa, mais tu vas devoir apprendre à m'avaler en entier.
- Je vais essayer, répond Anissa, mais tu es vraiment bien membré...
- Je sais, mais toi tu es une cochonne de compétition. Je suis sûr que tu vas y arriver. Maintenant, viens sur le canapé. J'ai envie de te prendre.
- Et moi donc...
Julien s'allonge sur le canapé et invite Anissa à en faire de même à côté de lui, en position de la cuillère. Dans le dos de la belle brune, Julien prend son sexe en main et cherche, dans son entre-jambe trempée l'entrée de l'orifice qu'il désire tant. Sentant le gland imposant frotter contre sa vulve, Anissa gémit et supplie de se faire pénétrer.
Mais Julien continue son mouvement et appuie un tout petit peu plus bas, contre l'anus d'Anissa qui met alors sa main sur le ventre de Julien en lui disant :
- Plus haut, là c'est le mauvais trou.

Mais Julien continue doucement sa pression et, tandis que son gland commence doucement à rentrer dans le cul d'Anissa, il lui répond :
- Non, c'est bien le trou que je cherchais... Tu m'as dit que je n'avais vu que la face immergée de l'iceberg, alors il est temps de me montrer le reste !

- Oh punaise.... Je ne suis vraiment pas certaine que....
N'écoutant pas les doutes d'Anissa, Julien continue de pousser et enfonce péniblement son gland en elle.

Soudain, Julien sent la résistance initiale de l'anus se relâcher et son sexe entre alors facilement et entièrement dans le colon de la belle métisse qui pousse alors un gémissement de surprise et ouvre grand la bouche.

- Oh purin de mordel de merle !!!! Elle est énorme ! J'en reviens pas que tu arrives à la rentrer...
- J'allais te dire la même chose : j'en reviens pas que je puisse te la mettre aussi facilement !
- Oui... et ben vas-y doucement quand même.
- T'inquiète pas !
Toujours dans la position de la cuillère, Julien maintien en l'air la jambe d'Anissa pour bien lui écarter l'entre-jambe et va-et-vient doucement dans son cul, pas si étroit.
Ses mouvements sont adroits, à la fois doux pour le pas faire mal à sa partenaire et amples pour lui enfoncer le plus possible de sa grosse queue. Anissa se rend compte de la maîtrise de Julien dans ce domaine et, entre deux gémissements de plaisir son feints, commente :
- Dis donc... pour un bon samaritain avec soi-disant peu d'expérience avec les femmes, tu maitrise magnifiquement bien la sodomie. Je ne savais pas qu'on acceptait les bêtes de sexe ici !
Sentant le doute dans la remarque d'Anissa, Julien préfère répondre par une autre question. Il accélère son mouvement et se rapproche de son oreille pour lui chuchoter :

- Et moi je ne savais pas qu'ils acceptaient des femmes infidèles qui mouillent comme des chiennent lorsqu'on leur défonce les fesses... C'est dans ton entourage de bourgeois que tu es devenue accro à la sodomie ?
- Je n'ai jamais été infidèle avant d'arriver ici... Et oui, mes amants semblaient particulièrement s'intéresser à mon derrière et... j'ai finis pas aimer ça. Tu ne vas pas t'en plaindre, non ?
- Oh non !! Je vais même en profiter jusqu'à ce que tu ne puisses plus t'assoir !!
Et sur ces paroles, Julien se redresse en prenant Anissa avec lui et la place à quatre pattes. Sans attendre il pénètre à nouveau son cul en écartant ses fesses pour faciliter le passage.

Entre deux coups de boutoirs puissants et lui arrachent de gémissements mêlant plaisir et sensation d'étirement, Anissa tourne la tête vers Julien et demande :
- Je suppose que tu vas te concentrer uniquement sur mon anus, aujourd'hui ?
- Oui... tu supposes bien !

Surexcité par le comportement désinvolte d'Anissa au sujet de son ramonage de cul, Julien accélère la cadence. A sa grande satisfaction, les grands allers-retours qu'il fait semblent enfin éprouver les limites de la belle brune qui gémit et demande parfois d'y aller molo.

Sentant qu'il ne pourra pas tenir à ce rythme très longtemps, le fait d'enculer Anissa étant de plus un facteur accélérant son orgasme montant, Julien décide de passer aux choses sérieuses. Il attrape Anissa par les cheveux et l'incite à se redresser vers lui. Ce faisant, il s'enfonce encore plus profondément en elle et se cale jusqu'à la garde dans son cul.

Il chuchote à son oreille :
- Quand je te disais que tu n'allais pas pouvoir t'assoir demain, je ne plaisantais pas !
Julien se retire alors de son cul en observant longuement le magnifique anus grand ouvert et s'allonge sur le canapé.

Il attire Anissa vers lui qui lui grimpe dessus et les deux amants commencent par s'embrasser longuement.

Tout en lui roulant des pelles tel un adolescent, Julien place Anissa sur lui et, doucement, lui introduit à nouveau son sexe dans le cul. En frottant sa chatte avec le bout de son gland, il a été tenté de la pénétrer plus « classiquement ». Mais cela aurait été céder au désir d'Anissa. Or il voulait la défoncer, la traiter en objet et cela passait par le fait d'ignorer ses besoins et de ne faire que selon ses envies.
En position de cowboy, il lui défonce donc à nouveau le cul.

Dans cette position, il maitrise totalement le rythme et impose une cadence de folie à Anissa qui souffle, gémie, soupir et crie tellement ses sensations sont intenses. Mais jamais elle ne demande à Julien d'arrêter. Elle se fait enculer depuis 30 min sans arrêt et semble gérer cela avec perfection.
Heureux d'avoir trouvé une maîtresse aussi sodomite, Julien s'accroche à ses grosses fesses et la défonce.

Il n'embrasse plus Anissa qui est trop occupée à crier mais il attrape ses seins qu'il lèche, tête et mordille pour le plus grand plaisir de la belle brune.
Julien ne semble n'en avoir jamais assez et ne se satisfait jamais très longtemps d'une même position. Toujours allongé sur le canapé, il attrape les cuisses d'Anissa et l'a fait s'accroupir sur lui, l'a privant donc de tout appui.

Et dans cette position où seul Julien maîtrise les choses, Julien explose le cul d'Anissa en l'enculant puissamment. Non seulement il entre et sort la totalité de sa queue de son cul mais en plus il fait monter et descendre Anissa en la soulevant par le fesses. Anissa est alors réduite à son seul anus, se contentant de s'accrocher aux épaules de Julien en gémissant comme une nymphomane.

Julien voit alors des grimaces de douleurs apparaitre sur le visage d'Anissa qui, portant n'en dit mot. Supposant que le traitement qui lui impose commence à être un peu dur, et sentant aussi qu'il est sur le point de craquer, il décide de gagner du temps en changeant une dernière fois de position et en essayant de faire jouir sa partenaire, non pas pour elle mais simplement pour la rendre accro à la sodomie, chose qu'il a pu constater dans sa vie passée.
Il reste allongé sur le canapé mais saisi Anissa par la taille et, sans sortir de son cul, la fait pivoter. Elle se retrouve dos à lui, toute exposée vers l'extérieure.

Il ralenti la cadence et, tout en pénétrant très doucement Anissa, lui dit :
- Je t'avais promis de t'exploser le derrière et je pense que j'ai réussis. Mais je ne t'oublie pas et je te promets que tu vas adorer la fin de notre partie de jambe en l'air.
- Qu'est-ce qui te fait dire que je ne l'ai pas apprécié jusqu'ici ??
- Coquine va ! Et bien voyons voir si la suite te plait autant !
Julien tire alors Anissa à lui pour qu'elle écarte encore plus les jambes et qu'elle expose d'avantage sa chatte.

Puis il pose une main sur son clitoris et commence à masturber Anissa tout en l'enculant. Celle-ci gémit et dit :
- Mmhh, tu veux me faire jouir en me faisant les fesses... j'avoue que personne ne me l'a jamais fait... J'ai hâte !

Julien masturbe Anissa et accélère le mouvement de son poignet au fur et à mesure que celle-ci semble se rapprocher de l'orgasme. Il tente alors d'enfoncer deux doigts en elle, mais sans savoir si cette sorte de mini double pénétration va lui plaire.

La femme penche alors la tête en arrière en couinant comme une chienne et supplie Julien de ne pas s'arrêter. Satisfait, Julien enfonce encore plus profondément ses doigts et en bougeant à l'intérieur. Il les sent appuyer sur sa queue, toujours enfoncée dans le fion d'Anissa.
Et enfin, celle-ci jouit violemment en étant secouée de spasmes de plaisir.

- Oh mon dieu, je jouis.... Je jouis alors que tu me prends les fesses.... Je ne sais pas si c'est un orgasme anal ou pas, mais c'est divin.
- Je t'avais dit que tu aimerais la fin !
- Et comment ! Et toi, tu viens dans mes fesses ?
- J'avais autre chose en tête, dit Julien en se soulevant et en retirant Anissa de son ventre. Mets-toi à genoux, continue-t-il.
- Tu... tu veux venir sur mon visage...
- Sur ton visage, dans ta bouche... je veux t'en mettre partout et je veux que tu avales tout ce que tu pourras. Après tout, je ne pense pas avoir vu tout le reste de l'iceberg !
- Tu es... incroyablement pervers...
- Et toi aussi, même si tu ne sembles pas l'assumer. Je viens de te sodomiser pendant une heure alors que ton mari était assis sur ce canapé hier encore. A genoux et ouvre la bouche ! Tu es faite pour être couverte de sperme, et tu le sais !
- Dis donc, je ne te permets pas...
- A genoux, j'ai dit ! coupe alors Julien, sa bite en main.
Surprise par ce caractère dominateur qu'elle ne lui connaissait pas, Anissa n'insiste pas et, avec la satisfaction d'avoir enfin trouvé un amant formidable, se met à genoux devant Julien et ouvre la bouche.

Celui-ci, aux anges, se masturbe et jouis rapidement de puissants jets de sperme qui échouent sur le menton, les joues et, pour la plupart, dans la bouche ouverte d'Anissa.

Julien est quelque peu déçu par son éjaculation, en terme de quantité au moins, mais avec une première giclée ce matin sur les seins de Janet, ce n'est finalement pas si mal d'autant qu'Anissa semble éprouver quelque difficulté à garder le sperme dans sa bouche.

Mais elle finit tout de même par avaler le foutre chaud avec une légère grimace puis ouvre la bouche, fière, pour montrer à Julien qu'il n'y a plus rien à l'intérieur.

- Satisfait ? demande-elle en étalant les gouttes de sperme tombées sur sa poitrine.

- Tout à fait... Je t'assure que ce ne sera pas aussi intense à chaque fois qu'on se verra et que j'honorerai ta belle chatte...
- Ne t'en fais pas Julien... je n'ai pas trompé mon taré de mari pour un mou... Tu es parfait et je ne compte pas te laisser partir !
- Il faut juste espérer qu'on puisse continuer de se voir facilement lorsque Dakota et moi vivrons ensemble...
- Je suis sûr que ça ira. Et, je ne sais pas... j'ai l'impression que la monogamie n'est plus si importante que ça... Je ne sais pas pourquoi j'ai ce sentiment mais je ne me sens pas coupable de tromper mon mari, comme si, finalement, il m'avait poussé dans tes bras et s'en fichait.
Julien eu alors un sentiment de victoire : la fin de monogamie en tant que modèle de société semblait se diffuser dans l'esprit des résidents.
Julien et Anissa se séparèrent en fin de journée après avoir pris une douche ensemble. Et alors que Julien rentrait chez lui, il regarda en direction de la maison de Dakota. Il espéra que la mode de la polygamie prenne sur Dakota durant sa réflexion. S'il pouvait n'avoir que des maîtresses, ce serait, enfin le paradis !
A suivre...
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The Good Place - Épisode 6
Précédement dans "The Good Place"...
Julien est mort. Brutalement. Mais Julien est au Bon endroit, c'est-à-dire une sorte de paradis prenant la forme d'un quartier paisible où tous les habitants sont des humains ayant gagné, par leur bonté, leur place ici. Ce lieu est dirigé par une architecte, Julia...

... elle-même aidée par une sorte de robot capable de tout faire pour le bonheur des résidents : Janet.

Comme tous les résidents, Julien c'est vu attribué une âme sœur pour l'accompagner : Dakota...

... et il va passer son éternité entouré de voisins, et surtout de voisines, ravissantes comme Anissa...

... ou encore Asa, l'assistante humaine de Julia :

Bref, une mort idéale... Sauf que Julien n'a rien à faire ici et il le sait. Il est l'inverse de la bonté : il est pervers, manipulateur, dominateur, infidèle... Un être destiné au « mauvais endroit » mais pas ici.
Après un début de séjour peu discret où il a espionné sa voisine sous la douche...

... tout en avançant dans sa relation avec Dakota...

... et en transformant Janet en esclave sexuelle...

... Julien s'est vite rendu compte que sa présence posait problème au quartier. Il a donc proposé à Julia de modifier le quartier pour le rendre officiellement plus compatible avec un besoin profond des humains : le sexe.
Petit à petit, il modifie le fonctionnement de quartier en rendant Julia plus sexy et provoquante avec les résidents pour réveiller leur libido...

... idem pour Asa...

... ou encore en changeant certaines règles comme la monogamie, ce dont il profite en faisant d'Anissa sa maîtresse.

Mais la partie est encore loin d'être gagnée et ce jeu d'équilibriste commence à devenir compliqué pour Julien.
Et maintenant... la suite :
Alors qu'il espérait, en se couchant, une nuit calme et apaisée par les récents évènements, c'est au contraire un rêve perturbé et perturbant qui s'empare de Julien.
Dakota est là, avec lui. Mais quelque chose ne va pas. Elle semble distante avec lui malgré des mots plein d'amour. Elle a une attitude dominatrice qui déplait à Julien.

Pourtant, la pipe qu'elle lui fait est délicieuse et il ne comprend pas ce qui cloche.

Il commence alors à comprendre ce qui ne va pas lorsqu'une main inconnue se pose sur les fesses de la belle blonde et que celle-ci ne réagit pas.

Au contraire, Dakota semble trouver cela normal qu'un autre homme que Julien la touche. L'inconnu fait d'ailleurs plus que de la toucher : il lui arrache ses vêtements et la serre dans ses bras sous le regard impuissant de Julien qui ne peut pas parler.

Mais ce n'est pas une étreinte amoureuse, plutôt un acte de domination de cet homme envers Dakota qui semble apprécier ce traitement. D'ailleurs, elle ne s'oppose nullement à la queue que l'inconnu lui enfonce brutalement dans le gosier...

La belle blonde regarde Julien alors qu'une bite entre et sort de sa bouche sans être le moins du monde désolée... Elle adore visiblement être dominée et le montre à son petit-ami, paralysé, incapable du moindre mouvement de contestation.

Julien ne peut toujours pas emmètre le moindre son de sa bouche alors que l'homme délaisse la bouche de sa femme pour s'emparer de son cul, brutalement, violemment.

« Elle a toujours refusé que je l'encule, la salope !! » pense alors Julien sans pouvoir protester et en voyant Dakota se faire sodomiser dans toute les positions et en y prenant beaucoup de plaisir.

« Ta femme est notre jouet » entend alors Julien derrière lui. « Ta femme est notre vide couille à nous... tout le quartier lui passe dessus régulièrement » répète encore la voix que Julien n'arrive pas à localiser.
Il se retourne dans tous les sens pour voir qui a osé prononcer une telle horreur mais il n'aperçoit que Dakota, cette fois-ci entourée de deux hommes.

Elle les drague et se laisse toucher sans même porter la moindre attention à Julien. Dès l'instant d'après, elle les suce tous les deux comme une vorace.

Et l'instant encore d'après, elle est prise en double pénétration...

Mais il ne semble pas à Julien que ce soit les mêmes hommes... Deux autres bites qui la baisent, en plus des deux premières qu'elle suçait ? Cela n'a pas d'importance très longtemps puisque Dakota est maintenant assaillie de sexes qu'elle penne à satisfaire tous.

Et alors que son visage commençait à être recourt de sperme, Julien entend à nouveau une voix dire « tu vois, ta femme est notre kleenex... dès que quelqu'un a besoin de se vider les couilles, elle est volontaire ! »

Julien se retourne et aperçoit le mari d'Anissa en train de se branler, comme pour se préparer à décharger à son tour son foutre chaud sur le visage de sa femme.
C'est sur cette image que Julien se réveille en sursaut et en sueur. Pas d'érection cette fois-ci : ce rêve tenait plus du cauchemar. Et la douche froide qu'il prend ensuite n'est d'aucune aide pour lui : froide ou pas, l'eau du bon endroit est toujours agréable !
Pourquoi ce rêve le perturbe-t-il autant ? Il aurait adoré se retrouver dans un gangbang du genre pour ravager une inconnue chaude comme la braise. Et il avait lui-même traiter de nombreuses femmes comme les inconnus de son rêve avait traité Dakota. Le problème viendrait-il alors de celle qui était au centre de cette orgie, la femme qui lui est destinée et qui s'avère être une personne adorable, belle, aimante et, cerise sur le gâteau, cochonne ? Ce pourrait-il qu'il aime réellement Dakota et s'en veuille de son comportement merdique avec les femmes du quartier ces derniers jours ?
Julien n'a jamais réellement ressenti de la jalousie... et c'est la première fois qu'il s'attache réellement à une autre femme, voire carrément à un autre humain.
Ce sentiment inédit, loin de l'exciter, le perturbe tout ce début de matinée et il ne lui vient même pas à l'esprit d'appeler Janet pour l'aider dans sa branlette matinale. Le fait d'avoir une esclave toute puissante le dérange presque plus qu'autre chose.
- Putain de conscience ! Putain d'endroit ! Pas moyen d'être un salopard tranquille.... peste alors Julien à voix haute, en se rappelant que la censure des gros mots avait été levée par Janet dans son domicile.
Il sort alors de chez lui puis essaie de jurer à nouveau :
- Purin ! Fallope ! Fait suer, cette censure de merle est toujours là. Grrrrr allez tous vous faire enrhumer !!
De mauvaise humeur, Julien ne sait pas exactement quoi faire ce matin. Dakota est toujours en réflexion, Anissa doit encore avoir mal au cul (et Julien n'est pas d'humeur à être à nouveau infidèle), se promener revient à tourner en rond dans une cage... Ne sachant pas comment occuper sa matinée, il décide de retourner dans le bureau de Julia et d'Asa pour voir comment elles s'en sortent avec leurs nouvelles attributions en général (rependre la luxure dans le quartier !) et avec le salon de massage en particulier. Quitte à ne rien avoir à faire, autant s'assurer de ne pas finir en enfer, ce dit Julien, pragmatique.
Arrivé chez Julia, là où le quartier se gère, Julien tombe nez à nez avec Asa qui, ce matin, porte une belle et longue robe rouge.

Elle est assez moulante et plutôt décolletée. Asa est assez sexy dedans et on sent qu'Asa le sait ! Mais Julien trouve que cette robe est encore bien trop longue et que les résidents du quartier, tous plus polis, gentils et coincés les uns que les autres, ne verront même pas la différence. Il faut du lourd !
- Bonjour Asa, tu es... ravissante.
- Bonjour Julien. Ravissante ? C'est tout ? Je pensais que la robe te ferait plus d'effet.
Ne prenant aucun gant avec elle vu la petite gifle qu'elle lui avait mis hier, Julien répond avec une moue :
- Non... pas plus que ça.
Asa est piquée à vif et s'apprête à répondre. Mais Julia sort alors de son bureau pour parler à son assistante et voyant Julien, le salue.

- Bonjour Julien ! Comment nous trouves-tu ? Suffisamment excitantes pour réveiller la libido du quartier ??
Julia, dans sa tenue du jour, est assez sexy en effet et tout à fait apte à faire bander un moine ! D'autant que pour que Julien se fasse un avis, elle ouvre un bouton de son chemisier et écarte les jambes en grand pour exposer sa culotte.

Puis, toujours avec ses sous-vêtements exposés, elle saisit un dossier et prend une pose candide en faisant genre de parler avec un résident venant lui demander conseil.

Julien est ravi des résultats rapides de son entrainement sur Julia mais n'a pas le temps de la féliciter car Asa prend alors la parole pour le cafter, comme une adolescente vexée.
- Tu es certainement excitante à ces yeux mais moi, je n'ai pas l'air de convaincre monsieur !
- Ah bon ? La robe rouge d'Asa ne te plait pas, Julien.
- Si elle me plait. J'ai juste dit qu'elle était ravissante mais pas excitante. Et, en voyant ta tenue, je suis sûr que tu vois ce que je veux dire, Julia.
La déesse blonde regarde alors son assistante, encore contrariée, et déclare :
- Oui, je pense qu'on peut faire quelque chose...
Elle claque des doigts et la robe rouge d'Asa raccourcit alors, dégageant ses jambes jusqu'aux genoux.
- Encore un peu.... ajoute Julien en fixant les jambes d'Asa.
Julia claque à nouveau des doigts et la jupe raccourcit d'avantage pour arriver à mi-cuisse.

- Voilà qui est mieux ! déclare alors Julien en souriant et en attendant la réaction d'Asa.
- C'est ridicule... Julia ne va pas modifier mes tenues tous les jours tout ça parce que Monsieur Julien n'est pas assez excité !
- Et pourquoi pas ? demande Julia. Je te trouve particulièrement sexy et tes jambes sont... particulièrement excitantes.
Asa regarde alors Julia d'un air très surpris et rougit un peu.

- C'est vrais ? Alors raccourci encore... Tant qu'à exposer mes jambes, autant le faire carrément. Raccourci là doucement, je te dirai stop.
Julia pointe donc la main vers le bas de la robe d'Asa, puis la remonte doucement. Le tissu suit alors ce mouvement de la main et remonte doucement le long des cuisses de l'assistante.
Julien observe les jambes d'Asa se découvrir de plus en plus, sans qu'elle ne dise à Julia d'arrêter. Enfin, arriver à la limite de son entrejambe, elle dit stop et demande son avis à Julia.

- Mes jambes te plaisent toujours autant ?
- Oh oui ! déclare Julia qui se tourne ensuite vers Julien et lui demande ce qu'il en pense.
- C'est très beau... et très excitant. J'espère que ce ne sera pas un peu trop provoquant pour les résidents...
- Mais non ! s'exclame Asa. Tu voulais du plus court, tu es servi ! Et, regarde, mes fesses sont encore cachées !
Elle se tourne dos à Julien et expose son beau derrière, tout juste couvert par le tissu rouge.

Puis elle rajoute :
- Il faudra vraiment que je me mette dans certaines position pour que cela devienne indécent... comme ça par exemple.
Elle se cambre alors un peu plus en tirant négligemment sur sa robe et dévoile alors le bas de ses fesses et une partie de son string.

- Ou alors si je m'assois négligemment sur le fauteuil, comme ça...

- ... car il faudra bien que, rapidement, je m'allonge et que j'écarte les pattes pour qu'une partie des résidents me passent dessus ? N'est-ce pas, Julien ?
- Quoi ? Mais je n'ai jamais dit cela...
- Asa, il n'a jamais été question de te prostituer ! Nous voulons juste réveiller la libido des résidents pour sauver le quartier. C'est tout.
- Sauver le quartier... oui c'est vrais, suis-je bête. Répond alors Asa en regardant Julien dans les yeux et en se remettant dans une position moins exposée.
- Pour l'heure, ton rôle principal est de faire tourner le salon de massage, insiste Julia, rassurante. D'ailleurs je venais voir si tu étais prête pour l'ouverture.
- Oui, c'est tout bon... mais je n'ai massé personne depuis des siècles.... Littéralement. Je voulais te proposer un essai, Julia, pour que tu me dises ce que tu en penses.
- C'est gentil mais j'ai encore du travail et je dois aller à la rencontre des résidents pour les... émoustiller. Mais Julien est disponible il me semble. Julien, cela t'intéresse ?
- Oui, avec plaisir... Si Asa est d'accord.
- Mais oui elle sera d'accord, elle doit se refaire la main de toute façon. Allez, c'est réglé, à tout à l'heure.
Julia sort du bureau, laissant Asa et Julien seuls. Sentant la tension, Julien essaie de faire son mea culpa :
- Désolé pour la robe... je ne pensais pas que tu allais mal le prendre. Julia a été beaucoup plus... à l'écoute de mes conseils et ne les a jamais discutés. J'ai oublié que contrairement à elle tu étais humaine et j'ai manqué d'empathie, désolé.
- Bon c'est rien... Julia est un être tout puissant mais fonctionnant comme un ordinateur : elle ne répond qu'à la logique, ne pense qu'à l'efficacité mais ne montre guère de sentiments...
Asa pris une mine réellement attristée en faisant ce constat mais, changea vite de sujet et proposa à Julien de la suivre en salle de massage.
- Alors... voilà comment nous avons conçu le salon : les clients entrent par ici, laissent leurs affaires et s'installent sur la table avec la serviette qui les couvrent. Même si le massage doit devenir chaud, je pensais qu'un peu de pudeur au début de la séance mettrait les résidents en confiance.
- Tu as bien raison... et c'est un lieu de détente avant tout. Ils ne doivent ressentir aucune gêne en venant ici, sinon, notre plan ne marchera pas.
- Oui, c'est mon avis aussi. Je te laisse t'installer sur la table derrière. Rien sous la serviette, évidemment.
- Évidemment...

Julien se déshabille donc derrière un paravent et s'allonge sur le dos en plaçant la serviette sur ses hanches, masquant ainsi son sexe, comme l'aurait fait n'importe quel résident... au début en tout cas ! Car son but était bien que ce lieu devienne un lieu de débauche.
Asa demande, derrière la porte, s'il est prêt et, à sa réponse positive, entre dans la salle. Elle s'enduit les mains de gel de massage et dit à Julien de ne surtout pas hésiter à commenter ce qu'elle lui fait : elle est peut-être un peu rouillée depuis les siècles qu'elle n'a pas pratiqué !

Asa demande à Julien de se mettre sur le ventre, le début des massages étant toujours plus aisé si client et masseurs ne se regardent pas. Ainsi, explique-t-elle, le patient se détend plus facilement tandis que la masseuse se permet de malaxer certaines zones sensibles.
Cette approche convient très bien à Julien qui se retourne tandis qu'Asa commence à lui masser le dos et les jambes.


- Ouaha... cette fois pas de doute... tu es vraiment douée, Asa. Ce massage est divin !
- Merci Julien. En même temps, tes muscles sont très tendus... Quelle tension accumulée pour quelqu'un qui vient d'arriver au paradis !
- Il faut croire que le fait de mourir m'a plus marqué que le fait d'être au bon endroit... mais j'imagine que je vais m'y faire ! répond Julien, conscient que son stress vient du fait qu'il n'a rien à faire là !
Asa ne semble pas tiquer à cette parade bancale et continue son massage en s'approchant un peu plus de zones sensibles. Elle baisse le hait de la serviette pour révéler les hanches et une partie des fesses de Julien, qu'elle masse d'ailleurs d'abord timidement puis plus franchement.

Puis elle relève également le bas de la serviette en glissant sa main en dessous pour masser les cuisses de Julien. Curieuse, elle remonte vers son entre-jambe et s'arrête au moment où elle effleure son sexe, revenant sagement à ses jambes.

- C'est toujours agréable, Julien ? Mes attouchements ne te paraissent pas déplacés ?
- Oui c'est toujours aussi bon et non, cela ne me semble pas déplacé. Tu sais faire monter la pression, c'est certain !
- Alors tu peux te remettre sur le dos, on va continuer.
Julien se retourne donc et Asa commence à masser son torse, ses côtes et son ventre

- Evidemment, le massage de la poitrine est surtout apprécié des femmes... Mais même chez les hommes cette position est intéressante. Elle permet à la masseuse de vérifier l'efficacité de son travail chez le client, ajoute-elle en regardant la serviette se soulever au niveau de bassin de Julien.
Elle glisse alors sa main sous la serviette et commence à caresser le sexe partiellement dur de Julien qui pousse un soupir de surprise et de plaisir.
- Détend-toi et ferme les yeux... Laisse-toi bercer par les caresses et ne pense plus ni à moi, ni à où tu es...
Julien obéit et se laisse guider. Alors qu'il ferme les yeux, Asa continue ses caresses mais reste relativement professionnelle : sous la serviette, elle ne branle pas son client, elle masse ses cuisses, son pubis, ses testicules et sa verge. Les gestes sont si délicats et efficaces qu'ils ne paraissent pas déplacés ni de nature sexuelle.
Mais évidemment, Asa n'oublie pas sa mission et, sans que Julien ne s'en aperçoive, elle desserre le nœud de son peignoir en satin qui s'ouvre alors légèrement, laissant échapper sa belle poitrine.

Julien gardant sagement les yeux fermés, Asa pousse sa chance et sort le sexe de Julien, cette fois totalement bandé, pour continuer son massage. Elle ouvre alors grand les yeux et la bouche devant la taille de la queue, la belle asiatique ne s'attendant visiblement pas à un tel engin.

- On va passer à la suite, dit-elle en retirant la serviette qui masquait encore une partie de l'entre-jambe de Julien.
Celui-ci ouvre alors les yeux et constate que le peignoir d'Asa est ouvert et qu'il a ses beaux seins sous les yeux. Il les suit d'ailleurs du regard alors qu'elle étend la serviette sur le paravent.

Et alors qu'Asa repose son attention sur Julien, celui-ci ferme aussitôt les yeux en faisant semblant de n'avoir toujours rien remarqué. Asa fixe avec un petit sourire le visage presque endormi de Julien et enlève complètement son peignoir pour ne rester que simplement vêtue d'une petite culotte.

- Tu peux ouvrir les yeux, Julien, je sais que tu m'as vu topless...
- Désolé... je voulais continuer de jouer le jeu...
- Je sais. Avec un autre client, j'aurais moi-aussi continué de laisser penser que je ne savais rien. Mais on est entre nous, n'est-ce pas. Et je suppose que tu comptais bien voir ma poitrine lors de cette séance ?
- Je ne m'attendais à rien, Asa. C'est mon premier massage... coquin, mentit effrontément Julien.

- Ton premier massage, vraiment ? demande alors Asa en se penchant vers Julien pour que ses seins frôlent son visage.
Julien cède alors à une tentation trop forte pour lui : un dépose un baiser sur le téton bien dur d'Asa.

Puis, ne voyant pas de réaction chez Asa, il continue ses baisers puis commence à lécher et à téter le sein sous son nez.

- Dis donc, gourmand !! réagit enfin Asa. Que dirait Dakota si elle te voyait ?
- Rien, j'espère, puisque la monogamie n'est plus la règle. Et, en même temps, c'est pour que les résidents cèdent à ce genre de plus plaisirs qu'on a créé ce salon, non ?
- Oui c'est vrai... Bon, on va reprendre le massage et arrêter la tétée, d'accord ?
- Vas-y, désolé... Je te laisse faire.
Asa enduit à nouveau ses mains d'huile de massage puis saisit le sexe de Julien. Cette fois, pas d'ambigüité, elle commence à branler la queue du jeune homme et lui masse les couilles.

- Avec un autre résident, j'irais évidemment plus doucement que ça dans mon approche. Mais on sait tous les deux que tu t'attendais à ce que je te masturbe, n'est-ce pas ?
- Heu, encore une fois, c'est la première fois...
- Oui, je sais c'est ton premier massage... Du coup, je suppose qu'on ne t'a jamais massé ainsi....
Et sur ces mots, Asa se penche en avant pour frotter ses seins contre le sexe de Julien.

Elle caresse la queue avec ses tétons, l'a fait glisser entre ses deux globes enduits d'huile de massage. Julien, de son côté, est aux anges et commence à avoir du mal à se contenir. Il a furieusement envie de baiser Asa ici, sur cette table de massage.
Voulant tester le degré d'excitation de la belle asiatique et juger de ses chances, Julien se risque à poser sa main sur les fesses tendues d'Asa.

- Dis donc, réagit-elle alors, c'est toi ou c'est moi qui suis censé masser, ici ??
- C'est, je pense, une réaction à laquelle tu vas devoir t'habituer si tu traites tous tes clients comme moi !
Asa sourit à la remarque de Julien et ne tente pas de lui enlever sa main. Celui-ci pousse alors sa chance en palpant généreusement ses fesses et en glissant ses doigts vers son entre-jambe, doucement mais surement.

- Holà, doucement Don Juan.... Je ne pense pas que les résidents vont me caresser les fesses et le sexe si franchement !
- Pas au début, en tout cas.... Répond Julien en rebroussant chemin et en laissant les fesses d'Asa tranquille.
- On verra... Je continue le massage ?
- Oui, je t'en prie...
- Ok... sauf que pour la suite, Dakota risque vraiment de mal le prendre si elle l'apprend ! Bon, je vais te montrer quand même ce que j'ai prévu.
Asa recommence à masturber Julien et se penche à nouveau sur lui. Mais c'est, cette fois, son visage qu'elle approche du sexe en disant :
- Après avoir bien chauffé les clients, hommes ou femmes, je m'occuperai de leur sexe plus particulièrement, si l'envie m'en dit.

Elle grimpe sur la table de massage, le cul complètement tendu à l'opposé de la tête de Julien, et frôle la queue avec sa bouche et son nez en respirant les odeurs viriles qui s'en dégagent.
- Si la verge ou la vulve des clients-es m'attirent vraiment et si ce sont des habitués, je pourrai sans souci les lécher, les sucer, les mordiller... Tant que le client ne me demande rien et reste parfaitement immobile, il aura droit à un massage complet ! Hum... ton sexe sent très bon, Julien, Dakota a de la chance !

Soudain elle lâche la queue de Julien, se redresse et tourne le dos au jeune homme qui enrage intérieurement de ne pas avoir eu droit à la pipe qu'il pensait pourtant imminente. Asa continue :
- Ensuite, selon mon humeur, je pourrai me mettre entièrement nue et poursuivre le massage ainsi.
Et elle enlève alors sa culotte pour se présenter nue devant Julien.

Elle saisit ensuite l'huile de massage et en met sur sa poitrine en commentant :
- Pour la suite de ce genre de massage, je n'utiliserai plus mes mains mais tout mon corps...

Julien croit que sa chance tourne à nouveau alors qu'Asa s'enduit le corps d'huile, sur la poitrine, le ventre et le sexe. Julien bande plus que jamais et imagine déjà Asa se frotter sur lui et, qui sait, sur un malentendu, s'empaler sur sa queue...

Asa commence d'ailleurs à se pencher sur Julien mais, au lieu de s'allonger sur lui, elle attrape la serviette pendue sur le paravent derrière le jeune homme et la place sur ses hanches pour le couvrir.

- Bon, on va s'arrêter là, dit-elle en plaçant la serviette et en récupérant son peignoir. Je crois que le programme que je viens de t'illustrer n'est pas pour tout de suite de toute façon, les résidents sont loin d'être à ce point libérés ! Et en plus, si j'avais continué, cela nous aurait mis dans une situation embarrassante vis-à-vis de nos conjoins respectifs. N'est-ce pas ?
Julien, évidemment très frustré et pas du tout de cet avis, réussit malgré tout à se contenir et dit :
- Oui, tu as raison... La fin de la monogamie est encore très récente... inutile de brusquer un processus qui sera long. Merci Asa pour ce très agréable moment.
- De rien, Julien, avec plaisir. J'espère que tu restera un client fidèle et qu'on pourra aller jusqu'au bout du massage les prochaines fois.
- Oh, je l'espère aussi, répondit Julien avec, à la réflexion, un peu trop d'enthousiasme pour quelqu'un de sage, fidèle, sérieux, altruiste...
Après avoir salué Asa, Julien quitte le salon de massage plus excité et frustré que jamais. En mode pilote automatique et uniquement guider par son excitation, il se rappelle que Julia était censée essayer ses nouvelles techniques d'allumage sur les résidents du quartier et avait, par ailleurs, promis de finir la fellation qu'elle avait commencé la veille.
Une pipe de Julia valant sans doute une pipe d'Asa, Julien se mit en recherche de la déesse blonde. Avant de partir à l'aventure dans les rues et magasins du quartier, il retourne à son bureau en espérant l'y trouver.
Alors que Julien entre dans le bâtiment et s'approche du bureau de l'architecte, il entend une voix d'homme, légèrement plaintive. Il tend alors l'oreille vers la porte restée ouverte :
- Merci de me recevoir, Julia. Je sais que tu es très occupée en ce moment avec le... phénomène qui s'est passé.
- Je suis toujours disponible pour les résidents, votre bonheur est ma seule priorité !
Julien comprend que Julia reçoit un des résidents du quartier, apparemment à la demande de ce dernier. L'architecte n'a donc pas provoqué cette rencontre et Julien se demande donc comment elle va se comporter en situation réelle, face à un vrai habitant. Il penche furtivement la tête pour regarder ce qui se passe. Il aperçoit le résident assis de dos (il ne le reconnait donc pas) et, en face, Julia assise sur son fauteuil de bureau. Premier point positif, elle n'est pas derrière son grand bureau en bois mais directement en face du résident qui a donc tout loisir de regarder ses belles jambes croisées à peine couverte par sa mini-jupe.

Point négatif, par contre, la robe qu'elle a choisie n'est pas spécialement décolletée. Fonctionnant comme un ordinateur surpuissant en intégrant tous les paramètres possibles et inimaginables dans une décision, Julia a sous doute fait le choix d'apparaître pour ce résident dans une tenue plus convenable que ce qu'elle avait montré à Julien ces derniers temps.
Le résident continue d'expliquer la raison de sa venue :
- Depuis cet évènement où les femmes du quartier se sont retrouvées nues, je trouve que les comportements ont évolués... sont devenus plus.... légers, disons.
- Ha ? Et cela te dérange, Vladimir ? demande, l'air coquine, Julia en décroisant les jambes amplement et lentement.




- Heu non, ça ne me dérange pas, au contraire, et c'est bien là mon souci... répond le résident, sans doute de nationalité russe lorsqu'il était encore vivant, vu son prénom.
- C'est-à-dire ?
- Et bien... cela fait plus de 60 ans que je suis ici et, même si ma vie passée n'était pas spécialement prude vis-à-vis de ma relation aux femmes, je n'ai jamais songé l'espace d'un instant à regarder une autre femme que l'épouse parfaite que tu m'as attribué. C'est comme si les autres résidentes n'existaient pas pour moi. Mais depuis quelques jours, je suis... perturbé. Je regarde ces femmes et.... j'ai honte... je les désire. Je me demande si j'ai bien encore ma place ici !
- Oh là ! Évidemment que tu as ta place ici ! Si tu es là, c'est que tu l'as amplement mérité et rien ne pourra changer cela, répond Julia, sincèrement réconfortante, en se penchant vers Vladimir.
De part ce changement de position, elle aperçoit alors Julien qui l'obverse dans l'ouverture de la porte. Elle lui esquisse un petit sourire et, comme s'il s'agissait d'un test, change légèrement de comportement avec Vladimir :
- Tu sais Vladimir, désirer une autre femme n'a rien de choquant. J'ai longtemps cru que la monogamie était le meilleur type de relation de couple pour garantir l'harmonie du quartier mais ce n'était qu'une option parmi d'autres... et il semble que je n'ai pas forcément pris la bonne option à la base. J'ai donc assoupli cette règle et c'est pour cela que tu te sens attiré par les autres femmes. Comma la règle est abolie, ton instinct reprend le dessus.
- Mais je n'ai pas envie d'être infidèle !
- Alors ne le soit pas ! Mais rien ne t'empêche pour autant d'apprécier le corps d'une autre résidente... et il en est de même pour ta femme avec les autres hommes. Je pense que le quartier en sera plus libre, plus apaisé. Regarde, par exemple...
Julia écarte alors les jambes en soulevant le bas de sa robe.

- Je te montre délibérément ma culotte parce que j'en ai envie, parce que j'ai envie de me sentir belle en te voyant me dévorer du regard comme tu le fais. De ton côté, tu as les yeux rivés sur ma culotte et mes jambes écartées parce que tu trouves cela beau et excitant. N'est-ce pas ?
- J'avoue que oui...
- Alors où est le problème. Je me fais plaisir, tu te fais plaisir. Cela ne veut pas dire qu'il y aura quelque chose de sexuel entre nous, n'est-ce-pas. Et tu n'as pas à craindre d'être infidèle puisqu'il n'y a plus de monogamie ! La notion même de fidélité va disparaitre et il n'y aura plus que plaisir, amour et sérénité dans le quartier !
- Je crois que je comprends... mais je n'arrive pas à m'enlever de la tête cette impression de trahir ma femme en te regardant.
- Avec le temps, ça disparaîtra. Faisons un test : essaie d'imaginer ta femme en train d'admirer un homme nu, à la plage par exemple... Qu'est-ce que tu ressens, honnêtement.
Vladimir ferme alors les yeux et semble essayer de se mettre en situation. Puis il ouvre les yeux d'un air étonné et répond :
- Bizarrement, cela ne me dérange pas... et j'ai même éprouvé une certaine fierté à l'idée que, à de la même manière, on regarde ma femme avec envie !
- Tu vois ? L'idée fait son chemin... Maintenant, voudrais-tu que je te montre le reste de la lingerie que j'ai choisi aujourd'hui. J'ai... envie de m'exposer.
- P...Pourquoi pas...
Julia se lève alors de sa chaise, se tourne pour commencer à baisser la fermeture de sa robe puis à l'ouvrir.

Et se tourne ensuite face à Vladimir en continuant de baissant sa robe et en révélant doucement son soutien-gorge.

Elle continue de baisser son vêtement en exposant à présent ses hanches. Mais alors que le haut de sa culotte commence à se voir, elle s'arrête et demande :
- Je continue, ou bien tu te sens encore coupable ?

- Tu peux continuer...
Julia enlève alors complètement la robe et s'expose uniquement en sous-vêtement devant le résident.

- Comment me trouves-tu ?
- Absolument magnifique !
- Plus belle et plus désirable que ta femme ?
- Sans vouloir d'offusquer Julia, non. Raylin reste la plus belle et la plus excitante des femmes à mes yeux, sans hésiter.
- Alors c'est parfait : je suis à moitié nue devant toi et tu me trouves magnifique. Et pourtant ton désir pour ta femme n'en ai que plus grand. Si ça ce n'est pas de l'harmonie, je ne suis plus architecte !
- Je te remercie, Julia, je me sens mieux à présent. Merci Beaucoup !
Vladimir se lève alors de son siège et Julien en profite pour aller se cacher afin que celui-ci ne le voie pas. Une fois le résident sorti du bâtiment de Julia, Julien retourne dans le bureau de l'architecte. Il la découvre alors debout, toujours en sous-vêtement, tournée vers son bureau en train de ranger des documents, le cul tendu vers la porte.
A son entrée, elle tourne la tête vers lui en lui demandant :
- Comment as-tu trouvé mon entretien avec Vladimir ?

Julien, surexcité par ce qu'il vient de voir et par son massage inabouti avec Asa a les yeux rivés sur le cul magnifique de Julia. Il laisse son regard accroché au string de Julia pour lui répondre :
- Très convaincant, bien dosé, sexy et provocateur mais pas trop.... Bref : parfait !
- Tant mieux ! Je me suis beaucoup amusée... et je pense que Vladimir est reparti convaincu. Au fait, comment c'est passé le massage avec Asa.
- Très bien, menti Julien qui avait certes apprécié mais qui était ressorti plus frustré qu'autre chose. Elle sera parfaite pour... détendre les résidents. Même si je n'ai pu tester qu'une petite partie de ses capacités.
- Aaahh, voilà donc la source de la frustration sexuelle que je ressens depuis ton arrivée. Ça flotte dans l'air comme l'air comme les phéromones d'une chatte en chaleur ! Mon pauvre Julien, après tout ce que tu as fait pour nous... ajoute alors Julia en baissant son string, le cul toujours tendu vers Julien.

Elle se tourne ensuite vers Julien, le sexe à l'air, et demande :
- Tu as peut-être envie de te soulager, du coup ?

Evidemment intéressé mais ne voulant pas paraître trop demandeur, Julien répond :
- Tu sais... les hommes peuvent se soulager par eux-mêmes et je ne fais pas ce travail pour mon plaisir personnel ! Mais comme tu avais commencé quelque chose hier que tu n'as pas pu finir... je me dis que c'est peut-être l'occasion.
- Oui... je me disais ça aussi, répond Julia en enlevant son soutien-gorge.

Entièrement nue, Julia s'appuie sur sa chaise de bureau et demande :
- Au fait, Julien, tu n'as pas remarqué quelque chose de différent chez moi ?

- Heu... non... je ne crois pas. Peut-être la belle marque de bronzage sur tes fesses que je n'avais jamais remarqué et qui te va très bien.
- C'est vrai ? Tu trouves que ça me va bien ? demande Julien en tendant les fesses et en les écartant. En tout cas, je ne parlais pas de ça !

- Alors... je ne sais pas... ta toison un peu plus développée que la dernière fois ?
- C'est vrai que j'ai voulu essayé une autre « coupe » répond Julia en écartant les jambes.

- Mais ce n'est toujours pas ça ! ajoute-elle, contente de coller Julien. Allez, je te donne la réponse : j'ai tout simplement changé de corps !
- Quoi ??
- Je n'ai pas le même corps, ni le même visage que tout à l'heure !
- Mais enfin, je ne vois aucune différence...
- C'est normal, peu importe la forme sous laquelle j'apparais, je serai toujours Julia pour vous. Seule Janet est capable de voir la différence et, d'ailleurs, connaît ma véritable forme. L'enveloppe que tu vois là correspond à une première version de mon apparence avant que je fasse quelques changements pour choisir finalement le corps que tu connais bien. Tu préfères lequel ?
- Bah, concrètement, tu es comme je l'ai toujours vu... donc ta précédente forme ne me dit rien du tout ! C'est incroyable ton truc !
- Oui, hein. On se croirait au bon endroit, là où tout est permis ! C'est fou !
- Tu te mets au sarcasme pour mieux ressembler aux humains, maintenant ??
- Allez, je te taquine... Je vais te montrer mes deux formes l'une après l'autre et tu devrais être capable de voir la différence. Je compte sur toi pour me donner ton sentiment.
Julie se redresse donc devant Julien, toujours nue, et lui demande de se retourner. Puis, à son signale, il se tourne à nouveau vers la belle bonde et découvre sa précédente forme, celle qu'il côtoyait depuis son arrivée, dans le plus simple appareil.

- Ah oui, en effet, ce visage m'est familier ! Et ce corps, aussi...
- Tourne-toi encore.
Julien s'exécute puis retombe nez-à-nez avec la nouvelle forme de Julia, mais dans une position plus que suggestive.

- Ouha ! s'écrie alors Julien devant le corps offert.
- Alors, tu préfères lequel ?
- Franchement, c'est difficile à dire d'autant que les positions ne sont pas comparables... Tu peux me remontrer ta forme précédente dans une position similaire à celle-ci ?
Julia demande évidemment à Julien de se retourner, revêtit l'enveloppe précédente et se remet en position pour permettre à Julien de se faire un avis.

- Punaise, c'est vraiment difficile de choisir... Tes deux corps sont à la fois très proches mais différents, tous d'eux magnifiques et excitants. Désolé, je suis incapable de choisir... En fait, je dirais bien les deux en même temps !
- Hum... intéressant... je vais y réfléchir. Mais pour le moment, ce n'est pas ce que je te demande. Je vais reformuler la question : par laquelle de ces deux femmes voudrais-tu te faire sucer ?
- Et bien, puisqu'il faut choisir, je veux garder la Julia que je connais depuis mon arrivée ici, celle qui m'a fait confiance lorsqu'il a fallu trouver une solution pour le quartier.
- Ok, cela me va très bien, répond-elle en se relevant. Tu veux que je reste nue, j'imagine ?

- Non, par forcément... Comme je te l'ai expliqué, une bonne part de l'érotisme vient de l'effeuillage des vêtements, pas seulement de ce qu'il y a en-dessous ! Je te verrais bien avec un haut léger et coloré et une jupe en apparence assez sage, mais avec une lingerie de coquine en dessous, genre porte-jarretelle et string.
Julia claque dans ses doigts pour apparaitre dans la tenue demandée.

- Cela te va ?
- C'est parfait ! Tu me montre ta lingerie ?
Sans même réfléchir à la question, Julia commence à déboutonner son haut pour exposer son magnifique soutien-gorge.

En la voyant se dénuder et montrer sa grosse poitrine aussi facilement, Julien se rend alors compte que Julia est à présent une salope sans aucun complexe, ce mot lui étant sans doute même étranger. Il cède donc à l'excitation et à la tentation de faire de cet être tout puissant sa chose. Il a envie de tester quelque chose d'à la fois trash mais pas trop pour voir le degré d'ouverture de Julia sans se griller. Il se redresse et demande en s'approchant d'elle :
- Tu es sûr que cette petite gâterie ne te dérange pas... Je sais que tu me l'as promis mais le moment « spontané » d'hier est passé et je ne veux pas que tu te sentes obligée.
- Ne t'en fais pas, Julien, cela me fait plaisir de te faire plaisir !
- Certaine ? On parle quand même d'une chose... carrément sexuelle.
- Rassure-toi, pour moi, cette fellation sera un acte ayant exactement la même signification que n'importe laquelle des actions du quotidien pour assurer le fonctionnement de ce quartier. Ni plus, ni moins.
- C'est donc vrai ? Les actes sexuels qui tu as assimilé hier sont tous plus anodins les uns que les autres ? Aucun ne te semble... incompatible avec le quartier ?
- Du moment que cela te procure plaisir et satisfaction, non.
- Très bien... alors dans ce cas, mets-toi à genoux et ouvre la bouche.
- Heu... d'accord...
Julia s'exécute sans trop comprendre la demande tandis que Julien ouvre son pantalon et en sort son sexe. Il le pose sur la langue de Julia et pose sa main sur l'arrière de sa tête.

- Ce type de fellation va te plaire, Julia, explique Julien. Cela s'appelle le « face fucking » et consiste en gros à une gorge profonde mais uniquement conduite par le partenaire masculin. Regarde : j'enfonce...

... et je ressors.

- Voilà... c'est pas plus compliqué que ça. Après, je vais évidemment accélérer le rythme car le principe est de pénétrer la bouche de sa partenaire comme s'il s'agissait de son sexe. De ton côté, tu as juste à essayer de respirer et, si possible, de jouer avec ta langue ou tes lèvres pour agrémenter le tout... comme tu es en train de faire en ce moment même....
Alors que Julien finissait son explication, Julia avait en effet commencé de jouer avec le gland du jeune homme, manifestement peu perturbée par la gorge profonde intense qui s'annonce pour elle.

Julien est d'abord surpris par le comportement de Julia, lui qui pensait devoir prendre des précautions pour lui baiser la bouche. Au contraire, celle-ci semble s'en foutre royalement. Julien entame donc le programme annoncé et commence à aller et venir sans ménagement dans la bouche de Julia en s'enfonçant loin dans son gosier.

Pendant cinq bonnes minutes, il défonce la gorge de l'architecte et s'étonne de ses capacités respiratoires, celle-ci ne demandant jamais de pause pour reprendre son souffle. Sentant déjà l'orgasme venir en lui, cette journée ayant été fortement chargé en excitation et en frustration, il se retire de la bouche de Julia et la projette brutalement contre le canapé du bureau.
Devant le regard étonné de Julia, Julien lui attrape les cheveux et lui dit avec un ton dominateur :
- Les hommes aiment parfois dominer leur partenaire... et ils aiment quand elle se soumet. Cela fait partie du jeu entre hommes et femmes. C'est très courant.
- Je comprends...

- Et parfois ce petit jeu de domination passe par les mots, donc ne soit pas surprise de ce qui va suivre : tu suces comme une déesse et tes capacités en gorge profonde sont incroyables. Tu es ce que les humains aiment appeler une chienne de compétition ! Il n'y a que les professionnelles du sexe pour maîtriser aussi bien ce genre de pratiques...
- Je ne vois pourtant pas ce qu'il y a de si spécial à vouloir maitriser et apprécier toutes les pratiques sexuelles existantes... répond en toute simplicité Julia.
- Tu as raison, Julia, il n'y a rien de spécial à essayer aussi souvent qu'on le peut toutes ces pratiques ! Absolument rien. Du coup, on va arracher ses vêtements inutiles et continuer sur cette lancée... mais en augmentant un peu la cadence. Ok ?
- Aucun problème... du moment que ça te fais plaisir !
Julien baisse et déchire alors la mini-jupe de Julia et tire sur les pants de son chemisier pour en arracher les derniers boutons.

Puis Julien la replace accroupie devant lui et lui enfile à nouveau sa queue alors que sa jupe déchirée entrave encore ses chevilles. Son allure débraillée rajoute un côté dégradant à une gorge profonde déjà bien intense, ce qui ravit évidemment Julien.

Mais, agacé par une nouvelle montée d'orgasme, beaucoup trop rapide à son gout, Julien projette à nouveau Julia sur le canapé et, alors qu'elle reste allongée et visiblement essoufflée (enfin), se déshabille pour être plus à l'aise.

Une fois nu, il se jette à nouveau sur elle et lui arrache sans ménagement la culotte et lui redresse les jambes pour exposer son cul et sa chatte.

Julien est alors pris d'une furieuse envie de la baiser en voyant ses orifices ainsi offerts. Mais il se retient afin d'éviter tout impair avec cet être surpuissant qui ne lui a proposé, à la base, qu'une pipe. Souhaitant avant tout la dominer, plus que simplement la baiser (ce qui arrivera tôt ou tard, il se sait), il monte sur le canapé au-dessus du visage de Julia, puis il pose ses fesses sur son visage sans prendre la peine de demander son avis à la déesse.

- A toi de jouer maintenant ! Les hommes aussi aiment être léchés, surtout au niveau de l'anus. Mais je suis sûr qu'une cochonne omnisciente comme toi le sait déjà !
Et en effet, Julia commence de lécher et d'embrasser l'anus de Julien avant même qu'il n'ait à finir sa phrase.

Julien est alors partagé entre le plaisir intense de se faire lécher, littéralement, le cul par un être tout puissant et l'agacement qu'il ressent devant l'attitude de Julia. En effet, il ne la domine pas réellement puisqu'elle fait tout ce qu'il veut avant même qu'il ne le demande !
Espérant reprendre les choses en main, il se redresse et lui baise encore une fois la bouche en faisant en sorte cette fois d'enfoncer la totalité de sa queue dans son gosier.

Les capacités de Julia en la matière sont impressionnantes et l'excitation de Julien est à son niveau maximum. Il sait qu'il ne tiendra guère longtemps à ce rythme et essaie à nouveau de gagner du temps. Il retire son sexe du gosier de Julia et le frotte sur son visage, l'enduisant au passage de bave et de liquide séminal.
Au passage, il plaque la tête de Julia au niveau de ses couilles pour l'inciter à jouer avec. Et, à nouveau, celle-ci se montre particulièrement douée pour gober et sucer les grosses boules de Julien.

Le visage de Julia, recouvert des bourses et du sexe du jeune homme lui donne à nouveau envie de se faire lécher le derrière, acte qu'il considère comme censé être humiliant pour n'importe quelle femme respectable.
Il s'assoit sur le canapé et lève les jambes pour exposer son trou du cul. Mais il n'a même pas à prendre Julia par les cheveux pour que celle-ci, d'elle-même, se mettent à lui faire la toilette à quatre pattes, comme une véritable chienne.

Julien, aux anges, accepte finalement de considérer que l'architecte du quartier n'a pas à être dominée : elle considère qu'une petite pipe ou une main aux fesses sont des pratiques sexuelles tout à fait égales à un gangbang, une séance BDSM ou n'importe qu'elle autre acte dégradant que seules de très rares humaines pratiques. Elle est toute puissante et omnisciente et ne se préoccupe donc pas de savoir si une pratique est bien ou mal... Du moment que Julien arrive à la convaincre qu'elle fait le bien autour d'elle, Julia sera prête à faire tout ce qu'il lui demandera !
Julien lui tire alors les cheveux pour lui redresser le visage et la place à nouveau au-dessus de sa queue, sans aucune considération pour son souffle. Il va craquer d'ici quelques secondes, il le sait, mais il souhaite d'abord abuser son gosier une dernière fois.

Il sent alors la tête de Julia faire les mouvements de haut en bas sans avoir à les forcer et finit donc par lui lâcher les cheveux. Et, à sa grande surprise, c'est sans aide extérieur que Julia s'empale sur sa queue de Julien et l'a fait disparaitre, enfin, dans sa bouche.

Julien se rend alors compte que s'il n'y parvenait pas jusqu'à présent, c'est simplement qu'il n'osait pas forcer au-delà de la résistance qu'il sentait au niveau du larynx. Décidément, Julia ne semble pas connaître de limites, qu'elles soient physiques ou psychologies !
Cette gorge profonde totale finit d'achever Julien qui se redresse pour recouvrir de sperme le visage de la belle blonde. A genoux, Julia demande :
- Tu vas me faire une éjaculation faciale ?
- Tout à fait !
- Cool... ma première !
- Mais pas ta dernière, je te le promets, répond Julien en se masturbant au-dessus de la bouche ouverte de Julia.

Enfin, après une journée pleine de frustration et d'excitation puis après avoir baisé la bouche d'un dieu (ou presque), Julien jouit et jute sur ce visage divin en l'atteignant au nez, aux yeux, autour et, évidemment, dans la bouche.

Puis tandis que Julia avale sans se poser de question les gouttes échouées dans sa bouche, Julien s'essuie le bout du gland sur ses cheveux comme s'il s'agissait d'un kleenex et retourne vers ses vêtements.
Alors qu'il se déshabille, il dit à Julia :
- Merci beaucoup Julia, c'était fabuleux.
- Merci à toi ! C'était ma première vraie fellation et je dois dire que cela ne m'a pas déçu !
- Alors tant mieux... Julia, tu es magnifique comme ça... commente Julien en regardant la belle blonde avachie par terre le visage recouvert de sperme, les jambes écartées, les seins sortant du chemisier déchiré avec, à côté sa culotte et sa mini-jupe en lambeaux.

- Merci du compliment... A bientôt Julien, je l'espère.
- A bientôt, Julia... Heu, tu peux peut-être réapparaitre dans une tenue plus décente... au cas où quelqu'un arriverait.
- Je vais le faire, oui... mais je profite encore de cet état si inédit pour moi... fatigue, plaisir, plénitude... autant de sentiments que je n'avais jamais expérimentés à ce niveau.
- Bon, je te laisse profiter alors. Bonne fin de journée.
Satisfait, Julien rentre chez lui pour prendre un peu de repos bien mérité après une journée déjà bien chargée. Alors qu'il s'affale sur son canapé, il se fait la réflexion qu'il n'y a à présent plus guère d'ombre au tableau : Janet est son esclave sexuelle, Anissa est sa maîtresse et Julia, devenue experte en chose sexuelle est ouverte à toute possibilité. Seule Dakota, son âme sœur, hésite encore sur la nature de leur relation et, évidemment, Asa, la belle asiatique qui résiste.
Julien se dit qu'il peut cela dit se contenter de 3 ou 4 femmes seulement à baiser pour le moment et que, durant l'éternité qui l'attend, d'autres candidates se présenteront sans doute au bon endroit.
Au moment où il se débouchait une bouteille de vin, quelqu'un frappe à la porte. Julien va ouvrir et découvre devant Asa, l'assistante de Julia, avec le visage encore plus sévère que d'habitude, vêtue de la même robe rouge ultra courte qu'elle avait un peu plus tôt dans la journée.

- Asa, que ce passe-t-il ?
- Je sais que tu n'as pas ta place au Bon endroit, Julien.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 6 - suite 1

- Asa, que ce passe-t-il ?
- Je sais que tu n'as pas ta place au bon endroit, Julien.
Julien est alors comme frappé dans le ventre. Au moment où il s'y attendait le moins et où il commençait à baisser sa garde, voilà que la vérité le rattrapait. Il savait qu'Asa avait l'air beaucoup moins naïve que les autres résidents de ce lieu et il voyait bien que son attitude était parfois défiante vis-à-vis de lui. Mais jamais il n'aurait imaginé qu'elle découvre la vérité aussi vite.
Incapable de répondre, il laisse entrer Asa chez lui et referme la porte mécaniquement, s'attendant à être plongé dans les flammes du mauvais endroit à tout moment. Asa pose son sec et enlève ses lunettes de soleil pour regarder Julien dans les yeux puis elle demande :
- Avoues-le Julien. Tu sais très bien que tu n'as rien à faire ici. N'est-ce pas ?

Naturellement, Julien pense d'abord à nier et à jouer les innocents. Mais il sait aussitôt, en regardant la certitude dans le regard d'Asa et le défi qu'elle lui lance, que cela ne servira à rien et serait même contre-productif.
- Oui, Asa, je n'ai pas ma place ici. J'ai voulu le dire à Julia dès mon premier jour mais lorsqu'elle a décrit ce qui se passait au mauvais endroit, une éternité de torture, j'ai caché cette vérité. Je l'avoue. Comment tu l'as su ?
- Parce que tu te comportes comme un pervers manipulateur, menteur et probablement accro au sexe !! Les autres résidents et Julia, dans leur bonté si complète, n'ont même pas songé à ce qu'on puisse leur mentir, mais il est clair que le petit stratagème que tu opères actuellement n'a pas pour but de sauver le quartier mais simplement de te permettre de baiser qui tu veux ! Si ça se trouve, le quartier n'est peut-être même pas en danger... ou alors juste à cause de ta présence.
- Ça je n'en sais rien... Mais par contre je peux te garantir que les gens ici ne sont heureux qu'en apparence et que, sans sexe, une éternité au bon endroit ne vaut pas le coup.
- Ce n'est pas la question et ce n'était de toute façon pas à toi d'en décider.
- C'est vrais... je suppose que tu vas me dénoncer à Julia ?
Asa retire alors son blouson et regarde Julien avec un air énigmatique. Puis elle répond :
- Honnêtement, je ne sais pas encore... Il est vrai que le quartier n'a jamais été aussi distrayant que depuis que tu y distilles tes idées cochonnes !

- Ok... répond Julien, avec une once de soulagement qui lui dénoue légèrement le nœud au ventre qui le tiraille. Tu peux au moins me dire comment tu l'as su ?
- Ce n'était pas bien dur : tu es typiquement le genre d'homme pour lesquels j'étais geisha avant. Obsédés sexuels, manipulateurs, dominateurs... Des gens qui, selon moi, n'ont pas leur place ici. J'ai commencé à avoir un doute dès que tu m'as expliqué votre façon de sauver le quartier. Mais ce n'est qu'aujourd'hui que j'en ai eu la certitude.
- Lors du massage ? Je pensais pourtant avoir été très correct avec toi...
- Non, APRES le massage... Je suis revenu à mon bureau un peu après toi en sous-vêtement pour continuer de t'allumer, pour te tester... J'avais même pensé être gentille avec toi après ce massage qui a dû être bien frustrant. Mais là, je vous ai vu, Julia et toi. Au début, j'ai été intriguée par votre discussion à propos de la tenue de Julia et, n'osant pas regarder dans le bureau, je suis restée adossée au mur pour vous écouter.

J'ai même commencé à me caresser lorsque tu l'as fait se déshabiller car, malgré mon petit jeu de professionnelle imperturbable, j'étais moi aussi excitée par le massage.

Et j'ai continué de plus belle car, ensuite, les bruits de la fellation me rendaient dingue et j'imaginais Julia te sucer comme la déesse qu'elle est.

- Mais ensuite j'ai entendu tes propos... Je t'ai entendu lui demander qu'elle te lèche le cul. Et surtout je l'ai vu faire, assise telle une chienne et toi qui lui tenais la tête contre ton trou de balle. J'ai immédiatement su que tu n'étais pas le bon samaritain sociologue que tu prétendais. Cela m'a clairement stupéfait et je voulais entrer dans le bureau pour prévenir Julia. Mais je l'ai entendu te dire qu'elle faisait ça avec plaisir et que tout était normal pour elle. J'ai alors su qu'elle ne me croirait jamais. J'étais abattue. Je suis partie pour réfléchir sans que vous m'aperceviez.

- Je comprends et je suis désolé que tu aies assisté à ça... Mais pourquoi est-ce que je sens plus de jalousie que de colère dans ta voix ?
- Mais parce qu'elle me plait, espèce de crétin !! Je... Mais attend, les insultes ne sont plus censurées ?
- Heu... juste chez moi... répond Julien à la fois gêné et fier.
- Salopard, comment tu es arrivé à lever cette censure ?? En tout cas, putain ça fait du bien de jurer !! Enfin bref, ça fait des siècles que je fantasme sur Julia, que j'ai envie d'elle. J'adore mon mari, je l'aime même, mais je suis bi-sexuelle et ça me tue de travailler tous les jours avec elle sans pouvoir profiter de ce corps si... divin. Sauf que dans ce quartier si parfait, être infidèle et lesbienne n'est pas envisageable, surtout avec la boss ! Et quand je t'ai vu, en l'espace de quelque jours, devenir son confident, son amant et la transformer en salope, j'avoue que ça m'a déplu !
- Asa, sache que je ne l'ai pas transformée. Je n'ai fait que jouer avec les failles de ce quartier conçu pour le seul bonheur de ses résidents. Et je l'ai fait non pas pour faire de ce quartier un baisodrome mais juste pour qu'un mec comme moi y passe plus inaperçu et ne soit pas jeté dans les flammes des enfers. Je te signale que je n'ai pas demandé à être là, on m'y a mis, certes par erreur, et on m'a dit que j'allais passer le reste de mes jours au paradis. Alors, oui, j'ai trouvé une façon de survivre ici. Et, par ailleurs, mon petit plan ne fonctionne pour l'instant que grâce au fait que les humains ont vraiment besoin de sexe, bons ou pas, et qu'ils sont tous un peu pervers, quoi qu'ils en pensent.
- Peut-être mais ton petit jeu pourrait bien attirer l'attention d'être plus puissants que Julia et nous conduire TOUS au mauvais endroit ! Tu n'es pas discret Julien et tu prends trop de risques parce que tu es complètement accro au sexe, surtout dans un endroit comme celui-là. Tu ne peux pas t'empêcher de baiser et cela va te perdre. Nous perdre... Tu ne te rends même pas compte que tu attires plus l'attention sur toi en 2 jours que moi en 2 siècles, abrutis !
- Comment ça « toi » ?
- Putain, je suis tellement en colère que je n'ai pas pu fermer ma gueule.... J'ai parlé de moi parce que je crois que... je n'ai pas ma place ici non plus. J'ai tué un homme de sang-froid et j'ai aimé ça. J'ai aimé le voir mourir par ma main. Sauf qu'avec les milliers de vies que j'ai ainsi sauvées, j'ai gagné ma place ici. Mais c'est purement mathématique et je suis sûre que je ne la mérite pas et que, surtout, si quelqu'un de plus haut placé que Julia venait faire du ménage ici, je serais la première à sauter. Je ne suis pas une mauvaise personne, Julien, mais je ne suis pas non plus un ange sans défaut. Je suis lubrique, dominatrice, parfois violente, vulgaire... Les gens ici ne sont pas comme moi.
- Comme nous...
- Oui, comme nous. Et NOUS pourrions disparaitre à cause de toi alors que je m'étais très bien débrouillée jusqu'ici. Je... je ne sais pas quoi faire de toi....
- Je peux être plus discret, je te le promets ! Et je ne suis pas accro, je peux me contrôler.
Sans répondre, Asa s'éloigne alors pour marcher et réfléchir puis retourne vers Julien et lui lance un regard soudain calculateur alors qu'elle semblait plutôt paniquée et en colère jusqu'à présent :

- Bon... Tu n'as aucun intérêt à détruire ce quartier, c'est clair. Et tu n'as aucun intérêt à être découvert. Et tu n'as pas l'air d'être un des démons que le mauvais endroit nous envoie parfois pour foutre le bordel vu que tu n'es intéressé que par le sexe et que le reste du temps, tu sembles plutôt être un brave type. Je veux donc bien te faire confiance et croire que tu vas essayer d'être plus discret. Mais tu agis à ton seul avantage et cela me déplais.
- Tout le quartier va profiter de cette nouvelle façon de vivre...
- Je m'en fous du quartier ! Je veux que tu m'aides, moi. Et tu sais très bien ce que je désire...
- Julia ?
- Oui. Je veux que tu fasses en sorte que Julia accepte de coucher avec moi. Je veux qu'elle soit avec moi la même salope qu'elle est avec toi. Et je veux pouvoir fréquenter d'autres femmes sans que le quartier n'explose. J'ai besoin d'autres partenaires... Pour les hommes, je pourrais avoir qui je veux. Mais pour les femmes et Julia, j'ai besoin de toi.
- Sauf que Julia est comme un robot : elle ne fait des trucs sexuels que parce qu'elle croit que la survie du quartier est en jeu et, dernièrement, pour me remercier. Ça va être compliqué de lui faire accepter de le faire avec une autre personne comme ça, sans autre raison que l'envie. Et pour les autres femmes, c'est jouable mais ça va être long...
- Débrouille-toi, Julien. Tu es beau parleur et rusé. Je suis sûr que tu trouveras un moyen. Si tu fais de Julia ma maîtresse et de ce quartier un vrai paradis pour lesbiennes, alors ton secret restera un secret.
Julien prend alors une longue respiration lui permettant de réfléchir puis déclare :
- D'accord, j'y arriverai.
- Parfait. Et soit plus discret, bordel. Ne nique pas tout ce qui bouge à longueur de journée, arrête de vouloir transformer des saintes ni touche en putes ou en esclaves sexuelles... Soigne-toi et ça devrait bien se passer.
- Entendu... Je n'ai pas besoin de me soigner, je sais me contrôler. C'est juste que j'adore ça !
- C'est ce que tu crois... En tout cas, marché conclu ?
- Marché conclu !
Satisfais de cet accord, pour des raisons bien différentes mais compatibles, Julien et Asa se dirigent vers la sortie. Mais alors que Julien allait ouvrir la porte, Asa le retient et dit :
- Ne me déçoit pas, Julien. Tu as l'air de prendre ça à la légère, comme d'habitude.
- Je t'assure que j'ai bien conscience de la précarité de ma situation et je ne te décevrai pas.
- Bien. Histoire de te garder motivé en cas de complications ou de délais trop longs...
Asa retire alors d'un coup sa robe rouge, courte et moulante, sous laquelle elle n'a aucun sous-vêtement, et se retrouve ainsi nue devant Julien.

- ... c'est la dernière fois que tu vois ce corps ainsi. La dernière fois... tant que tu n'auras pas réussi. Par contre, si tu parviens à faire ce qu'on a dit, alors tu auras une chance de pouvoir me baiser.

- Et je ne suis peut-être pas une déesse, poursuit Asa toujours nue en se trémoussant et en frottant ses fesses contre le mur de la maison de Julien, mais je peux te garantir qu'une Geicha de mon expérience maîtrise des techniques sexuelles que tu ne peux même pas imaginer.
- Je... n'en doute pas et c'est clair que cette perspective me motive.
- Parfait, déclare alors Asa en se rhabillant et en sortant de la maison de Julien.
Sur le pas de la porte, elle se retourne et soulève une dernière fois de bas de sa robe en insistant :
- A bientôt Julien. Soit prudent, soit intelligent, pense à ton cadeau et à une éternité entourée de femmes lubriques, infidèles et bisexuelles. Ne fais pas le rond... Ah, la censure est revenue...

- J'ai compris, Asa. A bientôt, répond Julien visiblement agacé par l'insistance de la belle asiatique.
- Oh, et une dernière chose : les gens ici sont excessivement gentils et toujours prêt à aider. Tu as une âme sœur, admirable et aimante. Pour avoir lu son dossier lors de son arrivée ici, je suis sûre qu'elle peut t'aider. Peut-être pas de la façon que tu le penses, mais elle peut te sauver la vie, pour peu que tu sois honnête avec elle.
Et sur ces paroles énigmatiques, Asa s'en va et laisse Julien seul. Une fois la porte fermée, toute trace d'agacement disparait du visage de Julien et c'est alors la panique que l'on peut lire sur ses traits. Il s'effondre par terre, adossé à la porte, et se prend la tête dans les mains. Il a été découvert et pourrait bien se retrouver pour de bon au mauvais endroit. Et c'est parce qu'il a cédé à une pulsion dominatrice avec Julia qu'il a été percé à jour. Mais heureusement, il a été découvert par quelqu'un (presque) comme lui et il lui reste donc un espoir, une chance de s'en sortir et même de bien s'en sortir : le corps d'Asa, des esclaves sexuelles omnipotentes et un réservoir illimité de salopes bisexuelles est une perspective intéressante, il est vrais.
Mais les paroles d'Asa l'intriguent tout de même : est-il accro au sexe au point de devoir se faire soigner ? Est-il capable ou non de se retenir ? Oui, se dit-il. Il peut refuser les avances d'une femme si la situation l'exige. Il peut renoncer à faire d'une résidente sa chienne si c'est pour le succès de son plan. Et il peut rester fidèle à Dakota si c'est la condition sine qua non pour rester au bon endroit. Il en est (presque) convaincu.
Dakota... L'évocation de la belle blonde rappelle à Julien d'autres paroles d'Asa, encore plus troublantes. « Elle peut m'aider, a dit Asa... pense alors Julien. Mais m'aider en quoi ? Et comment ? Elle est censée être en train de réfléchir à notre relation mais ne m'a pas donné de nouvelle depuis 2 jours... Et si elle m'abandonnait ou, pire, si elle savait ? »
Toutes ces questions mènent alors Julien à une évidence : seul, sa situation ne pouvait que dégénérer. Il s'imagine dans quelques jours ou semaines, coincé entre une femme qui se questionne, une maîtresse, Anissa, qui le sollicite et une esclave sexuelle, Janet, qui peut débarquer sans prévenir pour réclamer sa dose de plaisir... Il va forcément se faire griller à un moment ou à un autre. Seul, Julien n'a aucune chance d'y arriver. Il a besoin d'alliés, il a besoin que Dakota soit avec lui et sache tout de lui. Sinon, il finira au mauvais endroit tôt ou tard.
Alors que le faux soleil décline artificiellement dans le faux ciel du quartier créé de toute pièce, Julien décide qu'il est temps d'aller voir Dakota pour tout lui avouer avant que celle-ci ne prenne sa décision. Il va prendre un risque maximal et être, pour une fois dans sa vie, parfaitement honnête. Mais il sait que c'est sa seule chance.
Tandis qu'il s'approche de la porte de sa maison, une voix dans son dos dit :
- Je peux vous parler un instant, maitre ?
Julien sursaute alors et se retourne, paniqué. Il découvre Janet, dans son salon, l'air sévère, vêtue d'une belle robe rouge dont la couleur rajoute encore d'avantage à la frustration qui se lit sur son visage.

- Ça t'arrive souvent d'apparaître comme ça chez les résidents, sans être appelée ??
- Quand la situation est gravissime, oui. Je te rappelle que j'ai des pouvoirs illimités.
En entendant Janet parler de situation « gravissime », Julien imagine déjà le pire concernant sa propre situation. Le cœur battant, il demande :
- C'est quoi, cette situation gravissime, esclave ?
- C'est ça...
Et Janet soulève alors le bas de sa robe en révélant à Julien sa chatte, sans qu'aucun sous-vêtement ne la recouvre.

- Cela fait deux jours que tu ne m'as pas appelé pour me donner mon orgasme et je suis en manque. Mon vagin émet de la cyprine en continu !!
- C'est vrais mais j'ai été très occupé avec Julia... et là je dois absolument aller voir Dakota, répond Julien en se tournant à nouveau vers la sortie.
- Julien ! crie alors Janet.
Puis, reprenant plus calmement :
- Maître... je suis désolée mais tu m'as fait découvrir un plaisir dont je ne peux plus me passer. Et tu as promis d'être toujours là pour me donner des orgasmes. Je suis en manque... je suis trempée et excitée depuis hier, regarde...
Janet écarte alors le haut de sa robe et expose ses seins nus devant Julien.

- Regarde mes tétons : je suis dans cet état depuis hier et comme tu m'as interdis de me soulager toute seule, j'ai besoin que tu le fasses... maintenant !
- Je suis désolé Janet mais là, je n'ai vraiment pas le temps. Je dois voir Dakota, c'est mon âme sœur et elle compte pour moi. Tu peux comprendre ça ?
- Oui je le peux, évidemment. Elle et toi êtes faits pour être ensemble. Mais tu as fait de moi ton esclave, ce qui te donne aussi des responsabilités envers moi ! Fais-moi jouir... vite fait. Je t'en supplie !
- Plus tard, Janet... D'ailleurs cela t'apprendra la patience et ne te rendra que plus docile. Je te promets que je m'occupe de toi dès que je le peux.
- Rhaaaaaa, d'accord ! Tu vas me rendre folle.... Mais entendu.
- Parfait, tu peux me laisser, maintenant, esclave.
- Bien... Mais, maître... si je puis me permettre, lorsqu'on a une esclave comme moi prête à tout pour faire plaisir, on ne la néglige pas... déclare Janet d'un ton aguicheur en exposant ses seins et sa chatte.

Puis, d'un ton plus menaçant :
- Surtout si l'esclave en question est toute puissante.
Et sur cette dernière phrase, Janet disparait laissant Julien encore plus déboussolé qu'il ne l'était avant son apparition. Encore une preuve de ce qu'Asa disait : il n'est ni fin, ni discret. Il a fait de Janet son esclave nymphomane en quelques jours mais la situation lui échappe à présent. Et il était censé pouvoir tenir tout l'éternité ainsi ?? Quel naïf il a fait !!
Plus convaincu que jamais qu'il a besoin d'alliés fidèles, il poursuit son projet d'aller voir Dakota pour tout lui dire. Il sort de chez lui et, alors qu'il s'approche de la maison de son âme sœur, Julien décide de la contourner pour vérifier qu'elle est bien chez elle : il a besoin de lui parler maintenant, avant qu'elle ne prenne sa décision, et il ne veut donc pas prendre le risque de la louper.
Il passe par derrière et se dirige vers une grande fenêtre offrant un large panorama de sa maison mais donnant sur le jardin. Julien sait que Dakota a l'habitude de laisser les rideaux de cette fenêtre ouverts, puisqu'il n'y a aucun vis-à-vis ni passage.
Il la découvre alors dans son salon, en tenue légère, avec uniquement une petite culotte et un petit haut ouvert sur sa petite mais magnifique poitrine. Dans sa main, une tisane, qui indique pour Dakota une soirée lecture dans son salon avant d'aller au lit.
« Mon dieu qu'elle est belle », se dit alors Julien en espionnant sa propre âme sœur, toujours aussi convaincu que cette femme est importante pour lui et que, pour elle, il est prêt à tout perdre.

Julien repasse devant la main en évitant de se faire voir et sonne à la porte d'entrée.
- Une minute, j'arrive ! répond Dakota derrière la porte, Julien l'imaginant en train de se couvrant.
Dakota ouvre la porte au bout de quelques secondes et passe juste la tête pour voir de qui il s'agit. Elle a mis un petit gilet sur ses épaules mais est toujours manifestement en culotte en dessous vu sa manière de ne pas sortir le bas de son corps.

- Julien ? Qu'est-ce que tu fais là ?
- Dakota, désolé de m'inviter chez toi mais il fallait absolument que je te vois... je peux rentrer ?
- Oui, bien sûr, répond la petite blonde en s'écartant de la porte pour laisser rentrer Julien.
Le jeune homme entre dans la maison, fait quelque pas pour chercher ses mots, car il ne sait absolument pas comment commencer son aveu. Mais alors qu'il se retourne pour lâcher le premier mot, Dakota, laisse tomber son gilet en exposant fièrement son minuscule haut ouvert sur sa poitrine, avance vers Julien et l'embrasse fougueusement.

Puis elle libère le jeune homme et, euphorique, déclare :
- Julien, je t'aime ! J'en suis sûre, au plus profond de moi. Je m'en doutais depuis quelque temps mais cette période de réflexion me l'a confirmé. Et voilà que tu arrives en me disant que tu as besoin de me voir. C'est un signe, c'est une preuve que nous sommes plus que des âmes-sœurs !
Puis Dakota embrasse à nouveau fougueusement Julien tout en le poussant vers la chambre à coucher. Proche du lit, le jeune homme réagit enfin et, avec toutes les peines du monde, arrive à trouver la force de repousser délicatement la belle blonde.
- Dakota, attends... je voulais te parler d'abord...

Mais Dakota est trop excitée, euphorique et amoureuse pour l'écouter.
- On parlera plus tard, Julien. On a l'éternité pour parler. Pour le moment, prend moi. Je veux être à toi, totalement.
- Mais...
- Touches moi les seins... ils sont entièrement à toi maintenant. Touches moi je t'en supplie !!
Julien cède à la requête de Dakota et saisi son petit sein puis pince doucement le téton très dur.

La jeune américaine gémit alors de plaisir puis, dans un soupir, dit à Julien.
- Touches moi plus bas... je veux que tu sentes combien je t'aime et à quel point tu me rends folle !
Perdu dans les magnifique yeux gris-bleus de Dakota, Julien obéit sans réfléchir et glisse sa main le long de son ventre puis passe dans son petit string et aventure un doigt sur son clitoris puis entre ses lèvre. Il y découvre un sexe trempé et ouvert.

- Tu es trempée, Dakota...
- Je sais... plus que je ne l'ai jamais été. Je suis si excitée que tu pourrais me faire jouir en quelques seconde avec tes caresses.
- Tu en as envie ?
- J'en crève d'envie depuis des jours !! Fais-moi jouir... puis prend moi, je suis à toi.
Julien renonce alors à toute volonté de parler sérieusement avec Dakota. La jeune femme est si demandeuse, si amoureuse, si excitée que Julien cède et décide de lui faire l'amour comme elle le mérite : amoureusement et passionnément.
Il retire sa main du string de Dakota qui semble d'abord déçue mais qui comprend aussitôt que les choses sérieuses allaient commencer tandis que Julien l'allonge sur le lit et commence à lui baisser le string.

- Oh oui.... Enfin.... Enfin ça se produit, murmure Dakota, plus à elle-même qu'à Julien tandis que celui-ci lui enlève complètement le string.

Mais alors que Julien semble marquer un temps d'hésitation devant le corps offert de Dakota, celle-ci décide de lui donner un coup de main. Elle écarte en grand les jambes, exposant ainsi sa magnifique chatte sous le nez du jeune homme et lui dit :
- Ne réfléchis pas, n'hésite pas. Ma chatte, comme tout mon corps, est à toi. Ne la fait pas attendre...

Julien, obéissant, se jette alors sur le sexe trempé de Dakota, et commence par y déposer de longs et tendres baisers, puis des coups de langues sages mais efficaces.

Dakota gémit aussitôt et semble déjà au bord de l'orgasme tant l'attente de ces derniers jours l'a frustrée. Mais Julien n'a pas envie de lâcher sa délicieuse petite chatte aussi vite. Il délaisse un peu le clitoris trop sensible pour dévorer les lèvres de la belle blonde et enfoncer sa langue en elle.

Les gémissements de Dakota se calment légèrement et c'est un plaisir différent, plus intérieur, qui la submerge alors.

Les gémissements se muent en cris lorsque Julien, lui-même très excité, alterne avec efficacité tournoiement de langue sur le clito, baisers et stimulation du point G avec sa langue toute enfoncée en Dakota.
Julien envisage aussi de la doigter furieusement et même d'essayer son petit trou du cul, l'état d'excitation de Dakota ouvrant toutes les possibilités. Mais celle-ci est trop rapide pour lui et jouis violemment en criant son plaisir puis, les spasmes d'espaçant, avec un large sourire de satisfaction et de plénitude.

Dakota reste un instant ainsi allongées et jambes écartées, encore secouée de jouissance et déclare :
- Mon dieu que c'était bon... je savais que tu serais doué, j'en étais sûr...
- Qu'est-ce qui te faisait croire cela ? demande alors Julien en essayant de cacher sa fierté d'être un bon amant aux yeux de son âme-sœur.
- C'est peut-être cliché, mais c'est le fait que tu sois français... Vous avez la réputation d'être des séducteurs et des obsédés sexuels aux États-Unis.
- Ah ?
- Oui, et les française ont la réputation d'être de sacrées coquines aussi...
- Je ne savais pas... C'est peut-être dû au fait qu'on est moins religieux, avec une tradition libertine plus forte...
- Peut-être... Je ne suis pas sociologue, et je ne sais pas si c'est un problème de religion mais je vais te prouver qu'une américaine, même au fin fond du middle west, sait satisfaire son homme !
Dakota se met alors à quatre pattes et baisse le pantalon de Julien. Elle en sort un sexe déjà très dur et commente en le regardant :
- Tu m'avais manqué, toi.

Puis elle donne un petit coup de langue sous le gland de Julien comme s'il s'agissait d'une sucrerie.
- Oh tu lui as manqué aussi, je t'assure... commente Julien, pendant que Dakota continue de donner des petits coups de langues sur plusieurs parties de son sexe.

- C'est vrai, je lui ai manqué ? J'espère qu'elle n'est pas trop allé voir ailleurs pendant que je la faisais patienter... demande-elle à Julien les yeux dans les yeux tout en embrassant le gland.

Julien est alors particulièrement gêné par cette question qu'il aurait balayé d'un revers de la main en d'autres circonstances. Mais il a décidé d'être honnête avec Dakota et il se voit mal commencer sa relation avec elle par un mensonge !
Il répond donc en hésitant :
- Tu sais, Dakota...
Mais la jeune femme le coupe aussitôt :
- Ne répond pas à ma question, c'est stupide et tu n'as pas à te justifier devant moi. Ce qui s'est passé avant ne m'intéresse pas, ce qui compte c'est l'avenir.
Puis elle avale le gland de Julien en l'embrassant amoureusement mais sans gober le reste de l'énorme queue du jeune homme. Elle reste concentrée sur cette extrémité rose foncée, la lèche et la suce avec délicatesse.

Julien est aux anges mais prend la tête de Dakota dans ses mains pour qu'elle cesse la fellation et lui dit :
- Dakota, je veux que tu sois sûre que je ne ferai jamais rien que tu fasses souffrir. Jamais. Tu me crois ?
- Oui je te crois, tu as toute ma confiance. Et moi je te jure que nous vivrons de façon à ce que nous soyons heureux tous les deux. Tu ne seras jamais en prison avec moi.
Julien ne sait alors pas vraiment ce que Dakota veut dire par là. Est-ce qu'elle l'assure simplement d'une vie harmonieuse ou fait-elle directement références à ses aventures sexuelles avec les autres résidents du quartier ?
Mais les réflexions de Julien sont rapidement balayées par le plaisir et l'excitation car Dakota décide de passer aux choses sérieuses. Elle entame en effet une fellation en bonne et due forme et commence à sucer et avaler le sexe de Julien.

Mais tandis que Julien regarde Dakota le sucer, il se demande lequel des deux profite le plus de la fellation. En effet Dakota, toute en fermant les yeux, semble se régaler du sexe de Julien et le lèche, le suce, le mordille avec un plaisir non feint.

Puis la belle blonde se fait encore plus affamée. Petit à petit, elle essaie d'avaler plus profondément le membre de Julien.


Après avoir réalisé plusieurs gorges profondes incomplètes mais terriblement délicieuses, Dakota s'attarde à nouveau sur le gland de Julien...

... puis elle fait une pause dans sa fellation et masturbe doucement Julien en lui demandant :
- Ça te plait, Julien ?

- Oh oui, c'est absolument divin...
- Je suce aussi bien que tes maîtresses françaises ?
- Je ne sais pas pourquoi tu penses que les françaises sont si douées que ça en sexe... mais je peux te dire que ce que tu me fais est excellent !
Dakota lèche alors avec gourmandise le membre et déclarant :
- Et moi je peux te dire que c'est ton sexe qui est excellent ! Je ne me lasserai jamais de le sucer...
- Et moi je ne me lasserai jamais de tes pipes !

- Voyons maintenant si j'arrive à avaler en entier cette énorme queue...
- Oh je t'en prie, vas-y, essaie autant que tu veux !!
Avec un regard de braise et des yeux de véritable salope, Dakota commence donc à dévorer le sexe de Julien. Consciente de la difficulté de la tâche, vu la taille de l'engin, elle commence doucement en salivant abondamment le gland...

... puis elle progresse et enfonce un premier tiers de chibre.

Elle ouvre ensuite la bouche pour faire progresser le sexe dans son gosier, doucement...

... mais sûrement.

Julien commence à croire qu'elle va réussir à l'avaler en entier mais alors que sa queue disparaît doucement, le visage de Dakota commence à se crisper.

Julien, à la fois par considération pour sa compagne que par pur calcul, décide de se retirer de lui-même de la bouche de Dakota.
- Ne te fais pas mal, Dakota, précise Julien. Tu auras toute l'éternité pour développer tes capacités de gorge profonde...
- J'y compte bien ! J'ai hâte de te sentir entièrement au fond de ma gorge !
Sans lui demander quoi que ce soit, Julien relève Dakota et l'allonge sur le dos. Il lui retire son petit haut ouvert qui ne cachait de toute façon plus grand-chose. Il écarte ensuite ses jambes pour exposer une chatte trempée, dégoulinante de mouille et y pose son sexe bandé.
Dakota prend alors ses jambes par le creux des genoux et les redresse encore plus en regardant le sexe de Julien frotter contre son clitoris et ses lèvres.
- Mon Dieu... elle paraît encore plus grosse posée là... sur mon sexe... qui paraît du coup si petit...

- Tu es sûre d'être prête ? demande Julien sans vraiment savoir s'il serait capable de ne pas la pénétrer en cas de refus...
- Oh oui, je suis prête... Blaise moi.... Rhaaa purin de censure à la rond !! Prend moi, voilà !
Julien, amusé par l'agacement de Dakota envers une censure inadaptée à l'excitation sexuelle, l'excitation qui peut faire dire à la plus sage des femmes les expressions les plus vulgaires, et aussi par son envie de se faire baiser, décide de jouer un peu avec elle. Il fait mine de diriger son sexe vers l'entrée du vagin de la jeune femme mais s'attarde sur le clitoris avec lequel il joue.

Puis, à plusieurs reprises, il s'approche de l'entrée, y pénètre presque...

... mais remonte aussitôt sur le clito pour continuer de jouer avec lui et avec Dakota qui baigne dans le plaisir mais oscille entre espoir et déception.

Enfin, après une énième supplication de la jeune femme pour qu'il lui enfonce sa queue, Julien cède et la pénètre d'un mouvement ample et profond.

Dakota, qui devait commencer à trouver le temps long et à se demander si Julien allait réellement la baiser pousse alors une incroyable « Hannnnn » de surprise, de plaisir et de soulagement.

Dans sa lancée, et trop désireux de maintenir sa jeune compagne dans cet état de plaisir intense, enchaine alors avec des allers-retours puissants et rapides en s'appuyant sur les cuisses écartée de Dakota.


Un tel rythme de pénétration pour la toute première baise d'un jeune couple aurait fait craquer rapidement n'importe quel homme. Mais pas Julien. D'abord parce qu'il avait déjà jouis dans l'après-midi et aussi parce que son expérience lui permettait de se contrôler avec une grande maîtrise.
Dakota, elle, semblait à la fois émerveillée et apeurée, fière et déboussolée par une telle vigueur. Elle se faisait baiser comme jamais, gémissait de plaisir comme jamais et était pilonnée comme jamais.
Elle pût reprendre un peu son souffle alors que Julien s'arrêtait pour lui saisir les mollets et lui redresser plus haut les jambes.

Mais la seconde d'après, il reprenait dans cette nouvelle position un rythme effréné qui fît à nouveau naitre un début d'orgasme en Dakota.

- Encore ! Surtout ne t'arrête pas !! supplie alors Dakota, gémissant de plus en plus fort.
Julien, qui n'avait de toute façon pas l'intention de s'arrêter, s'approche de Dakota et lui embrasse le cou tout en accélérant la cadence.

Les yeux plongés dans ceux de Julien, Dakota jouit alors brutalement, sous le coup de trop de stimulations à la fois, et semble à nouveau aux anges.

- Tu n'as pas envie de jouir ? demande alors Dakota, essoufflée et presque inquiète, à Julien entre deux longues respirations.
- Pas encore... je veux encore te prendre... dans toutes les positions. Je ne veux pas que ça se finisse déjà.
- On a toute l'éternité, mon chéri.
- Je sais... mais je m'en moque !
Julien prend alors la petite blonde, légère et frêle, dans ses bras, s'allonge sur le lit et la positionne au-dessus de ses hanches, accroupie au niveau de sa queue fièrement dressée en l'air.

Son gland frotte contre la chatte trempée et bien ouverte de Dakota et il suffit d'un tout petit coup de main pour que le sexe entre en elle.

En appui sur les cuisses de Julien, Dakota peut enfin, dans cette position, maîtriser en partie la pénétration et ne manque pas de prendre l'initiative. Elle commence à monter et descendre doucement sur le pieu qui la transperce. Ses gémissements sont, du coup, plus posés, plus contrôlés et Julien, de son côté, se repose et profite un peu.

La baise est excellente mais la nature dominatrice de Julien reprend malgré tout le dessus de temps en temps. Il saisit alors Dakota par les hanches et la défonce à un rythme diabolique, la faisant hurler de plaisir...

... puis rebaisse le rythme et laisse Dakota reprendre son souffle et une pénétration plus tranquille.

Après plusieurs changements de rythme de ce type, passant d'un pilonnage frénétique à une pénétration plus tranquille, Dakota demande à Julien :
- Julien, mon chéri... tu me défonces... je ne suis pas sûr de tenir longtemps à ce rythme... Tu n'as pas envie de venir ?

Julien pourrait en effet facilement conclure, par un orgasme qu'il sent proche, cette première baise au sein de son couple avec tous les honneurs : Dakota semble entièrement satisfaite voire épuisée par son étalon.
Mais Julien veut assoir son statut de mâle alpha, de bête de sexe. Il veut que Dakota soit totalement sous le charme pour s'assurer qu'au moment où il lui dira la vérité, elle ne le trahisse pas.
- Oui on va finir... Mais laisse-moi te prendre à quatre pattes, je te promets que tu vas adorer...
- Tu n'en as jamais assez ?? Mon Dieu j'ai hérité d'une bête de sexe...
- Cela te déplait ?
- Non, au contraire !! Mais j'ai peur de ne pas être à la hauteur de tes besoins.
Sans répondre, Julien soulève Dakota et se redresse. Puis il la place à quatre pattes et pose son sexe entre ses magnifiques petites fesses.

- Dakota, je te jure que tu es d'ores et déjà à la hauteur...
Puis, tout en laissant doucement son gland pénétrer le vagin grand ouvert, il continue :
- Tu es même au-delà de toutes mes attentes...

- ... et je te garantis que mes « besoins » sont largement comblés avec toi...
Et tout en prononçant le mot « comblés », Julien enfonce d'un coup son sexe en Dakota qui, à nouveau, pousse un long gémissement de plaisir.

- Oh mon dieu, Julien.... Cette position... je l'ai rarement pratiquée dans mon ancienne vie... C'est divin... Vas-y défonce-moi !!!
Obéissant à son âme sœur, Julien pose ses mains sur les fesses de Dakota et la défonce, littéralement. Il la pilonne violemment en lui enfilant à chaque fois son énorme queue dans la chatte et en tapant contre son entre-jambe.

Dakota ne gémit plus, elle crie. Elle crie comme une chienne sous l'effet d'une pénétration jouissive mais très intense et par moment douloureuse. Mais le genre de douleur qu'on redemande ! A chaque coups de boutoir, Dakota est secouée violemment en avant et elle finit par s'affaler sur le lit, le visage enfouis dans ses couvertures et la croupe maintenue en l'air et pilonnée par Julien.

Dans cette position, Julien a alors une magnifique vue sur son sexe entrant et sortant de la chatte de Dakota mais également sur son anus, totalement offert. L'envie de pénétrer ce petit trou est forte et Julien est d'ailleurs un très grand amateur de sodomie, il l'a encore prouvé il y a peu avec Anissa. Mais Dakota est américaine, du middle west de plus, et là-bas, la sodomie n'est pas forcément une pratique répandue, voire même interdite. Il ne sait donc pas le degré d'acceptation et de pratique de Dakota vis-à-vis de la sodomie... d'autant qu'il est d'humeur à lui défoncer le cul sans ménagement !
Il décide donc de jouer la prudence et de tester sa compagne à ce niveau. Il pose sa main sur une de ces fesses et laisse trainer son pouce sur l'anus de la belle blonde. Ne voyant pas de réaction chez elle, il pousse sa chance et enfonce une phalange dans son petit cul.

Mais Dakota se redresse aussitôt, tourne la tête et dis :
- Dis donc ! Tu es bien aventureux !
- Mon doigt te gène ?
- Non... c'est juste que personne ne m'a jamais touché à ce niveau là... Juste un doigt... et pas trop profond ok ?
- Pas de souci...

Julien continue donc de baiser Dakota par derrière tout en lui enfonçant une partie de son pouce dans le cul. Du bout de son doigt, il appuie sur la fine paroi séparant le colon du vagin de la belle blonde et masse son sexe au passage. Chez Dakota, l'effet est immédiat : elle soupire et gémit d'une nouvelle manière, comme si elle découvrait une nouvelle sensation.

Joueur, Julien accélère tout en enfonçant d'avantage son pouce. Et alors qu'il s'imaginait une remarque négative de Dakota, il la voit au contraire se remettre la tête contre les draps et gémir de plus en plus fort.
- Punaise de punaise !!! Tu vas me faire jouir encore !!
- Tu veux que j'enlève mon doigt ?
- NON !! Laisse-le et continue !! Oui comme ça.... Surtout ne t'arrête pas..... Ahhhhhh !!!!!!!!

Dakota jouit alors avec une intensité inédite ce soir et s'écroule sur le lit, la chatte béante. Julien la regarde profiter de son orgasme en demandant si tout va bien.
- Ton doigt... dans mon... ça m'a rendu dingue...
- Et ce n'était qu'un doigt !
- Oui... mon dieu je sens que tu vas me faire découvrir des côtés que je ne connaissais pas chez moi.
- On continue ?
- Julien, tu ne t'arrête jamais ?? Désolé mais je n'en peux plus... tu m'as donné trois orgasmes et je sens que je ne vais pas pouvoir m'assoir de toute la journée demain, répond Dakota en écartant ses jambes pour exposer sa pauvre petite chatte défoncée.

- Bon ok... je te ménage pour le moment, répond Julien en fixant avec envie le sexe de sa partenaire et en jouant les déçus bien qu'en réalité, il lutte contre l'explosion depuis un moment.
- Ne soit pas déçu... je te propose un final que tu vas adorer : ça te dit de venir sur mon visage ?
- Tu... Tu me proposes une facial ??
- Et oui... répond Dakota avec un sourire coquin. Nous, les américaines, on est peut-être pas portées sur le... petit trou... comme les françaises mais on a aucun problème avec le sperme !
Dakota se met alors à quatre pattes face à Julien et le regarde avec un air de coquine :
- Allez mets-toit debout, je vais te finir et tu pourras me recouvrir le visage ! Tu l'as amplement mérité, mon bel étalon !

Écoutant les ordres de sa partenaire, Julien se met debout, queue fièrement dressée vers Dakota.

La jeune femme contemple alors le membre, toujours aussi gros et particulièrement luisant de sa propre mouille. Elle se lèche alors les doigts comme si elle s'apprêtait à dévorer une sucrerie et commente :
- Mon dieu que tu es beau...

Dakota se met alors à genoux au pied de Julien et s'approche de son sexe.
- Tu vas jouir sur mon visage, hein ?
- Oh oui !

- Alors dis-le, je veux l'entendre...
- Je vais jouir sur ton visage, Dakota !
- Mmhhh....
- Je vais te recouvrir le visage avec mon sperme chaud, je vais t'en mettre partout !
- Ahh tu me rends folle !! Allez !
Chauffée à blanc par les paroles de Julien, Dakota saisit le sexe du jeune homme et se met à le branler énergiquement. De sa main gauche, elle accompagne la masturbation par un massage des couilles particulièrement agréable.


Quelques dizaines de secondes de ce traitement suffisent à achever Julien qui, par pure politesse, prévient Dakota de l'imminence de l'explosion. Comme promis, celle-ci ne se détourne absolument pas de la queue et, au contraire, place son visage en face, de manière à recevoir son dût.
Le premier jet de sperme la surprend cela dit par sa vigueur, celui-ci lui passant au-dessus du visage pour s'abattre derrière elle.

Dakota rectifie le tir pour les giclées suivantes qui enfin s'échouent sur son front, ses cheveux ou ses joues. Elle ouvre même la bouche en tirant la langue, comme si la faciale ne lui suffisait pas.

Les derniers jets, moins puissants, s'abattent sur les joues ainsi dans et sur la bouche de Dakota.

Puis, alors que le sexe de Julien finit se cracher sa semence, elle le lâche et reste à genoux devant son compagnon en exposant fièrement son visage. Julien la regarde, et se rend alors compte qu'il est amoureux de la plus formidable des femmes et qu'il est sans doute l'homme le plus heureux de l'univers... même si le visage de Dakota aurait pu être d'avantage recouvert de foutre encore !

- Alors, satisfait ? demande Dakota en se relevant.
- Pffffiouuuu, complètement ! C'était extraordinaire.... Du début à la fin.

- Je suis bien d'accord ! répond Dakota qui se dirige vers la salle de bain pour se nettoyer le visage.
Puis, en sortant, elle demande à Julien :
- Tu restes dormir ici ?
- Bien-sûr ! Enfin, si ça te fait plaisir. On est un couple, maintenant.
- Oui, on est un couple !! répond Dakota en sautillant comme une gamine se rendant compte qu'on est la veille de Noël.
Dakota et Julien se mettent donc au lit ensemble pour la première fois. Ils échangent quelques mots à propos de la façon dont ils vont vivre à l'avenir mais, tandis que Julien essaie de réfléchir à la manière de parler de ce qui le préoccupe vraiment, il voit Dakota fermer par moment les yeux et lutter pour rester éveillée.
Finalement, la belle blonde s'endort rapidement sans que Julien n'ait eu le courage de tout lui avouer. Cet échec, couplé au sentiment d'avoir cédé à la tentation de coucher avec Dakota sans affronter la réalité le met en rage contre lui-même. Cette colère, mêlée à la peur de tout gâcher, pour lui comme pour son couple, l'empêche de dormir.
Il s'endort malgré tout un instant mais est immédiatement réveillé par un terriblement cauchemar où Janet et Julia le jette dans les flammes des enfers avec, derrières, Asa, Dakota et Anissa qui rient de bon cœur.
A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Épisode 6 - suite et fin.
En sueur et toujours à côté d'une Dakota qui, elle, semble dormir paisiblement, Julien décide de se lever et d'aller prendre l'air dans le parc du quartier qui doit être désert à cette heure avancée de la nuit.
En chemin, il croise cependant un couple de résidents qui part en balade nocturne. Il croit reconnaître Vladimir, le résident qui était chez Julia aujourd'hui au bras d'une magnifique femme à la peau noire et qui doit être, a priori, l'âme sœur dont il parlait. Et en effet, il n'a pas menti, c'est une véritable bombe.

Le couple salue poliment Julien et continue son chemin en direction de la forêt tandis que Julien en fait de même en direction du parc.
Puis, au détour d'une allée, il aperçoit de la lumière dans la maison d'Anissa. Par curiosité et vieille habitude de voyeur, Julien s'approche et constate que la lumière vient de la fenêtre du salon.
En y jetant un œil, il aperçoit Anissa en pyjama (en réalité une t-shirt moulant et un shorty blanc en dentelle) qui discute avec son mari. Julien se dit que celui-ci est sans doute revenu pour une nuit dans sa maison et, presque jaloux, il se surprend à souhaiter de tout cœur qu'il continue de se désintéresser d'Anissa.
Celle-ci lui parle, lui montre ses fesses en faisant semblant qu'il s'agisse d'un hasard, mais son mari est plongé dans la lecture de la bible et ne lève même pas les yeux vers elle. Il se contente de réciter des passages de son livre à voix basse et soupir, visiblement agacé lorsque Anissa essaie de lui parler. Désespérée, elle se tourne vers la fenêtre et aperçoit alors Julien.

Celui-ci lui sourit et lui demande si « ça va » d'un signe de la tête et en articulant pour qu'elle puisse lire sur ses lèvre. Anissa, le visage triste fait non de la tête, regarde son mari, puis mime avec ses doigts un pistolet posé sa tempe et tire en tirant la langue. Julien ne sait alors pas si ce geste désigne Anissa elle-même ou son mari. Mais en voyant son visage si triste, Julien se dit que cela ne fait en réalité aucune différence : Anissa est malheureuse dans son mariage. Au bon endroit, c'est un comble, voire une injustice !

Anissa lui fait ensuite un signe du doigt, puis dit quelque chose à son mari et se dirige vers la chambre. Julien, de l'extérieur, la suit et la voit se mettre sur son lit, accroupie dos à la fenêtre, offrant une très jolie vue sur sa croupe à Julien.

Anissa commence à se caresser doucement au travers de son shorty et Julien hésite alors entre rester pour profiter du spectacle et retourner auprès de Dakota. Mais une autre personne décide à sa place puisque Janet apparait soudain à côté de lui, près d'un buisson.
- Bonsoir Julien ! Je te dérange ?

Julien sursaute d'abord sous l'effet de la surprise puis a le réflexe d'aller immédiatement au-devant de Janet pour éviter qu'elle passe devant la fenêtre d'Anissa. Il la prend par le bras et l'emmène en direction du parc.
- Que faisais-tu devant la maison d'Anissa à cette heure ? demande-elle, curieuse.
- Depuis quand une esclave questionne-t-elle son maître ??
- Je... tu as raison... désolée... et ce que tu fais avec ta voisine ne me regarde pas, du moment que vous êtes tous les deux heureux.
- Le robot omnipotent du quartier serait-il devenu du KGB ?
- Du quoi ?
- Une sorte de service de renseignement particulièrement bienveillant, répond Julien avec un second degré que Janet ne saisit pas. Je ne faisais rien avec Anissa, son mari est rentré à la maison et j'avoue que je regardais par la fenêtre pour voir à quoi il ressemble, c'est tout.
- D'accord... il est vrais qu'il est souvent absent, ces derniers temps. En tout cas, j'espère que tu n'as pas oublié ta promesse ?
Julien se souvient alors de son apparition chez lui pour réclamer un orgasme, orgasme qu'il avait repoussé en promettant de s'en occuper dès que possible.
- Tu es disponible, là, il me semble.
- Oui.... Mais je ne suis pas vraiment d'humeur là... répond Julien en s'assaillant sur un des bancs du parc.
Janet s'assoit alors sur le banc d'en face, le visage visiblement triste.

- Mon maitre n'est pas d'humeur à me faire jouir... C'est embêtant. Mais peut-être est-ce à son esclave de le mettre d'humeur ? déclare Janet en commençant à écarter les jambes, d'abord un peu...

... puis plus franchement...

... et enfin totalement, offrant ainsi une belle vue sur sa chatte, bien que la luminosité du parc à cette heure ne soit pas optimale pour se rincer l'œil.

- Janet, écoute...
- Oh mais je sais que ce n'est pas suffisant, maître. Et je sais ce qui te ferait plaisir, car je suis faite pour cela : que je rampe par terre, telle une chienne, en m'exposant totalement.
Janet descend alors du banc et, sur l'herbe écarte les jambes pour exposer sa chatte sous le nez de Julien.

Puis elle se retourne et s'allonge par terre en relevant le bas de sa robe pour exposer son cul.

Julien regarde nerveusement à gauche et à droite du chemin pour voir si quelqu'un ne serait pas en train de s'approcher pendant que Janet continue ses mouvements. A nouveau, elle lève une jambe telle une gymnaste pour s'exposer devant Julien.

- Janet, arrête... ce n'est vraiment pas discret.
- Je sais, maître, mais qu'y puis-je ? Je ne suis qu'une esclave conçue pour donner du plaisir à mon maître et je crois qu'il aime beaucoup prendre des risques et m'exposer.
Les paroles provocantes de Janet couplées à ses mouvements exhibitionnistes commencent à échauffer Julien. La situation, cependant, l'énerve autant qu'elle ne l'excite. D'autant que Janet continue sa provocation.
- Tu sais, maître, que lorsque j'ai accepté de devenir ton esclave, je n'y ai pas mis de condition. Tu pourrais me demander que tous les mâles du quartier me pénètrent les uns après les autres que j'accepterais sans hésiter... du moment que ça te fait plaisir.
Janet se tourne à nouveau vers Julien, jambes écartées.

- Je pourrais très bien rester ainsi exposée dans ce parc en attendant que les résidents passent devant moi. Certains seraient peut-être intéressés par le spectacle...
- Janet... tu ne sais pas ce que tu dis... répond Julien qui sent l'excitation monter en lui.
- Peut-être... mais ce que je sais, c'est que si je m'amuse à m'enfoncer par exemple... une banane dans le sexe, certains pourraient avoir envie d'avoir de me prendre sauvagement.
Janet fait alors apparaître une banane directement dans sa chatte, visiblement trempée.

- Janet, tu es folles... et tu prends de gros risques, je te préviens.
- Des risques ? Sans doute oui.... Le risque de me faire pénétrer durant des heures et des heures, par tout le quartier, surtout si je reste dans cette position, ici, à jouer avec ma banane en attendant que des gens arrivent.
Janet commence alors à faire aller et venir la banane dans son sexe en gémissant.


- Maître.... Cette banane est excellente mais je suis sûr que les verges qui m'attendent seront meilleures ! Tellement d'hommes vont me faire l'amour pendant les prochains jours... je serais remplie et recouverte de sperme, cela va être absolument divin. Peut-être même que certains voudront m'uriner dessus lorsque je ne serai plus qu'une épave baignant dans la semence masculine ? J'ai lu dans mes données que sur terre, certains hommes urinaient sur leur partenaire lorsque celles-ci étaient très soumises. C'est mon cas, après tout...
- Janet... arrête.... Grogne alors Julien en serrant les dents.
- Je pourrais arrêter, évidemment, si mon maître daignait me faire jouir et, ainsi, soulager mes besoins sexuels. Mais il n'est pas d'humeur... Après, c'est sûr que certains des hommes qui me verront ainsi trouveront cela choquant et que lorsqu'ils apprendront que c'est mon maître Julien qui m'a infligé cela, c'est possible que cela pose problème...
- Tu l'auras voulu ! dit alors froidement Julien en se levant et en se jetant sur Janet.
D'un geste brusque, il lui arrache sa robe puis lui retire la banane de la chatte. Tout en la plaquant au sol, il pose sa main sur la chatte trempée et commence à lui caresser le clitoris.

Durant ces premiers instants, les caresses de Julien sont relativement douces et Janet, qui avait été surpris de la réaction assez violente de son maître, se détend et profite du plaisir. Julien est précis et efficaces, la masturbation qu'il lui offre est délicieuse.

Mais Julien accélère progressivement la cadence et l'intensité des caresses. Il enfonce d'abord deux doigts dans la chatte de Janet sans que cela ne lui pose le moindre problème : elle est trempée, grande ouverte et de plus... elle est mi dieu, mi robot !


Les doigts de Julien vont et viennent de plus en plus vite dans Janet qui commence à gémir de plus en plus fort. Sans se soucier de manquer de discrétion Julien accélère encore.
- Maître... Continue... Je sens que l'orgasme vient... déclare-t-elle avec sa façon si peu naturelle de s'exprimer.
- Bien... alors on y va.
D'un coup, Julien accélère brutalement la cadence et tout en maintenant ses doigts profondément enfoncés, stimule l'intérieur du vagin de Janet. De sa main libre, il attrape un des seins de la belle brune et lui malaxe aussi fort qu'il peut, sans se soucier d'une éventuelle douleur.

L'intense doigtage et le plaisir qu'il procure submerge Janet qui s'allonge complètement et s'abandonne au traitement de son maître. Celui-ci accélère encore le mouvement tandis que, en rythme, Janet gémit de plus en plus fort.

Soudain, comme Julien s'y attendait, un puissant orgasme secoue Janet et se manifeste par une éjaculation féminine impressionnante qui trempe littéralement la main de Julien.
- Haaaaa !!! Oh punaise de punaise de punaise, c'est.... Incroyable !!! s'écrie alors Janet.

Le jeune homme retire sa main et frotte encore la chatte dégoulinante de Janet tandis que celle-ci est prise de tremblements sous l'effet de l'orgasme qui la submerge encore.

Et pendant que Janet gémit et couine de plaisir dans la nuit noire du quartier, à peine cachés dans un recoin du parc, Julien étale sur son ventre et ses seins le liquide transparent qui vient de sortir d'elle.

- Alors, satisfaite, esclave ? demande-il à Janet.
- Oui, Julien. Pleinement. Cet orgasme était fabuleux. Merci beaucoup !
- Ah parce que tu crois que c'est finis ? Mais ça ne fait que commencer, très chère Janet. Tu voulais jouir, tu vas être servie.
- Je croyais qu'on ne jouissait qu'une seule fois par rapport sexuel...
- Nous, oui... Mais vous, les femmes, vous avez la chance de pouvoir expérimenter les orgasmes multiples. Tu vas voir...
Et tandis que Janet se demande ce que Julien lui réserve, celui-ci retourne à la charge en masturbant à nouveau son clitoris...

... puis enfonce à nouveau ses doigts en elle.

Et comme la première fois, il cale ses doigts contre la paroi supérieure de son vagin et stimule violemment l'intérieur. Et comme la première fois, Janet jouis en hurlant et en se transformant en fontaine.
- Ooohhhh bordel !!!! Je jouis encore !!! Oh oui !

Julien accompagne son orgasme en continuant de la branler puis se retire et la regarde trembler quand une folle sous l'effet des spasmes de plaisir et en se prenant la tête dans les mains tant la jouissance est intense.
- Ooohhhh Ingénieurs tous puissants.... Jamais je n'aurais cru possible qu'une créature telle que moi connaissent un jour ce genre de sensations. C'est incroyable....

- Tu en veux encore, esclave ? lui demande Julien.
- Je...
- Ok ! C'est parti ! l'interrompt Julien en reposant sa main sur sa chatte encore tremblante.
Mais Janet l'arrête alors avec sa main en le suppliant :
- Maître, un instant, je n'en peux plus ! C'est trop pour moi !

A cet instant une voix masculine s'élève derrière des buissons, depuis le chemin qui serpente dans le parc :
- Il y a quelqu'un ?
Julien se couche alors sur Janet en lui mettant la main sur la bouche pour qu'elle cesse ses gémissements. Une deuxième voix, féminine, demande alors en chuchotant à l'homme :
- On dirait que c'était la voix de Janet...
- Oui, mais c'est bizarre à cette heure... répond l'homme également en chuchotant. Puis, à voix haute, il demande : Janet, c'est toi ? Tout va bien ?
Janet cligne alors des yeux et, un dixième de seconde plus tard, le couple se retrouve allongé dans le salon de Julien, à l'abri. Le jeune homme, qui tient encore la bouche de Janet fermement close avec sa main, mets quelques seconde à se rendre compte de la téléportation. Puis il se relève, visiblement très soulagé.
- C'était juste, dit alors Janet d'un ton neutre et détaché.
- C'est tout l'effet que ça te fait ?? répond Julien visiblement énervé.
- Avec moi, il n'y avait aucune chance qu'on se fasse voir. J'aurais pu aussi bien nous transformer en buisson le temps qu'ils s'en aillent. J'ai opté pour la téléportation chez toi, cela me semblait plus pratique. Désires-tu que je te laisse, à présent ?
Janet avait posé sa question avec la plus grande simplicité, comme la Janet classique de ce quartier, alors qu'elle était assise sur le canapé, entièrement nue.

Après le choc de la téléportation et la crainte d'avoir été découvert, l'excitation de Julien reprend le dessus. Il répond :
- Me laisser ? Mais, comme je te l'ai dit, je ne fais que commencer ! Écarte les jambes, esclave !
Janet obéit alors sans poser de question et écarte les jambes en se plaçant sur le canapé dans une position particulièrement lascive.

- Bien... reste comme ça, ordonne alors Julien en se déshabillant.
Les yeux rivés sur le sexe de Janet, il constate que celui-ci est sec et comprend alors que la téléportation a, en quelques sortes, remis à jour Janet. Tout comme la première fois qu'ils s'étaient rencontrés et qu'après l'avoir fait se déshabiller, elle était réapparue à nouveau vêtue, comme si rien ne s'était passé.
- Tu t'es bien remis de tes émotions on dirait... Alors on va reprendre là on où c'était arrêté ! Allez, accroupie, jambes écartées... tout de suite.
Obéissante, Janet se place comme ordonné et Julien se met à côté d'elle.
- Maître... mon apparence s'est peut-être mise à jour mais mon sexe reste très sensible...

- Alors je vais y aller doucement, Janet, répond Julien.
Puis il commence à lui caresser le clitoris, comme il le faisait quelques secondes auparavant dans un lieu pourtant assez éloignée d'ici.

Visiblement rassurée, Janet a même la présence d'esprit de saisir de sa main gauche la queue bandée de Julien pour la branler doucement.
- Mmhh bonne initiative, esclave... murmure alors Julien dans l'oreille de Janet en accélérant un peu la cadence.
- Je suis là pour ton plaisir, Julien. Je te masturbe bien ?

- Oui, très bien, esclave... Attention accroche toi !
Soudain, il enfonce ses doigts dans la chatte de Janet et la branle violemment, comme il l'avait fait dans le parc. En appuyant sur les zones les plus sensibles de la paroi vaginale, Julien déclenche rapidement un nouvel orgasme à Janet qui hurle de plaisir et de douleur tant son sexe est sensible.

Cédant aux gémissements et plaintes de Janet, Julien accepte de retirer ses doigts de sa chatte mais ne compte pas pour autant la laisser tranquille. Sitôt sorti, il frotte vigoureusement le clitoris de la belle brune pendant que du liquide transparent coule abondement de son vagin.

Puis, après que Julien est frotté, tapé, pincé son clitoris, un nouvel orgasme submerge Janet pour la énième fois de la soirée, qui gicle à nouveau comme un geyser.
- Ooohhh mais... comment est-ce possible ?? gémis péniblement Janet en tremblant de tout son corps à cause de l'orgasme.

Janet est visiblement épuisée mais Julien, lui, est surexcité par ce qu'il fait de son esclave : une femme fontaine totalement shootée aux orgasmes. Il lui enfonce à nouveau ses doigts même si Janet essaie de les repousser en le suppliant de lui laisser un instant de répit.
- Je... je n'en plus maître....

Mais Julien la repousse contre le canapé et lui promet d'être doux. Il lui masse alors l'intérieur du vagin plus calmement pour refaire monter le plaisir chez son esclave. Celle-ci, en trance et totalement dominée, se laisse faire.

Janet est tremblante et tient à peine sur ses jambes, aussi bien à cause des orgasmes à répétition que de la mare de liquide au sol qui l'a fait glisser. Julien décide donc de ne pas la faire jouir à nouveau mais, à la place, enfonce un troisième doigt dans son sexe... puis un quatrième.

Le sexe de Janet, suite aux nombreux orgasmes et à l'abondante lubrification accueille sans peine la main de Julien. Celui-ci l'enfonce d'ailleurs son cinquième doigt, le pouce, qui entre sans souci.

Enfin, aucune résistance ne se fait ressentir lorsque Julien entre sa main en entier, jusqu'au poignet, dans le vagin de Janet pendant que celle-ci gémit, complètement remplie.
- Mais... Oh saperlipopette, qu'est-ce que tu me fais ? C'est.... Incroyable !

- Putain, tu es vraiment une esclave exceptionnelle ! s'exclame Julien en baisant Janet avec son poing. Bordel, je ne résiste pas... Occupe-toi de moi un peu !
Julien sort alors sa main d'un coup du sexe de Janet, la laissant ainsi jambes écartées et chatte béante, puis se redresse et enfonce sa queue dans la bouche de Janet qui l'accepte et la suce immédiatement, sans se poser de question.

- Ouahhaa, je savais que tu étais une suceuse née ! Encore des connaissances acquises dans tes bases de données ?
- Hum, hum, répond Janet en hochant positivement de la tête et en pompant son maître.
Celle-ci ajoute aussitôt sa main droite aux caresses qu'elle fait pour branler et sucer Julien en même temps.

Julien se penche alors en avant et positionne Janet à quatre pattes. Cette position lui permet d'une part d'enfoncer profondément sa queue dans le gosier de la brune humanoïde, et d'autre part de continuer à s'occuper de sa chatte ainsi tendue. A nouveau, il y enfonce 2 doigts...

... puis quatre...

... puis, à nouveau, la main entière.

La vision de ce cul tendu, violemment et largement pénétré, fait céder Julien qui retire sa main pour passer derrière Janet et se préparer à la baiser, pour de vrai, pour la première fois.

- Prête à recevoir la bite de ton maitre, Janet ?
- Oui !
- Oui, qui ?
- Oui, maître, je suis prête. Pénètre-moi.
- Parle plus simplement et plus crûment, esclave ! Oublie ton langage si artificiel !
- Certes... Heu, je veux dire ok ! Baise-moi, maître. Enfonce ton sexe en moi ! C'est mieux ?
- Pffff, c'est mieux mais il y a encore du boulot. Bref... Voilà madame est servie !
En sur cette référence que Janet ne peut sans doute pas comprendre, Julien enfonce sa queue dans la chatte distendue de la belle brune.

Julien, durant quelques dizaines de secondes, la défonce. Il la pénètre de part en part en tapant sur ses fesses avec son pubis à chaque passage. Et sans qu'il ne le cherche spécialement, il provoque un énième orgasme chez Janet qui s'effondre alors en hurlant, le visage plaqué contre le canapé.
Julien, satisfait se retire en mettant quelques belles claques sur le beau fessier de Janet.

- C'est bien, esclave, je te laisse tranquille pour ce soir... Tu as était une bonne grosse chienne bien soumise...
Janet, les fesses rougies, par les claques, la chatte trempée et distendue à cause des orgasmes et du fist-fucking, reste un moment dans le gaz puis se redresse doucement.

Elle se retourne en constatant alors l'immense flaque de liquide éjaculatoire qui l'entoure et regarde Julien qui la domine fièrement, le sexe toujours aussi dur.

- Merci maître... Mais... tu n'as pas jouis ? Je... ne comprends pas. Mon rôle est de te faire jouir...
- Non, Janet, ton rôle est de me faire plaisir. Et, ce soir, ce qui m'a fait plaisir, c'est de jouer avec mon esclave et de la traiter comme un objet. Un objet que je peux baiser, fister, faire jouir quand je veux, où je veux. Tu vois ?
- Même si tu n'as pas d'orgasme ?
- Oui, même si je n'ai pas d'orgasme... Du moment que tu as compris que ton nouveau rôle d'esclave est de me servir et de me laisser faire tout ce que je veux de toi, cela me va très bien.
- Bien Julien... Alors si tu es heureux, je le suis également.
- Oh, et Janet, avant de partir, ne me provoques plus jamais comme tu l'as fait ce soir. Si je veux t'ignorer pendant des jours pour te rendre encore plus en manque, c'est mon choix. C'est clair ?
- Bien maître.
- Parfait, tu peux me laisser.
Janet cligne alors des yeux et disparait du salon de Julien, ainsi que la flaque de liquide qui était au pied du canapé. Julien va alors boire un verre d'eau dans la cuisine et, constatant que sa queue est toujours aussi dure, décide de rappeler Janet.
Celle-ci apparait aussitôt à côté de lui, entièrement habillée, maquillée, coiffée, comme si rien ne s'était passé.
- Oui, Julien ?

- J'y crois pas ! s'écrie-t-il alors en la voyant. Tu t'es déjà rhabillée ?
- Julien, tu sais très bien que mon apparence se remet à jour à chaque réapparition et, en plus, j'étais juste avant chez un autre résident. Donc, s'il te plait, ne m'en veut pas, je n'y suis pour rien.
- Je t'ai pourtant demandé d'apparaître en tenue sexy chez moi...
Contrariée, Janet croise alors les bras et répond :
- Sauf que je ne sais jamais en avance si tu es accompagné ou non... Je n'ai pas envie d'apparaitre nue alors que Dakota peut être à côté de toi.

- Ce n'est pas faux... En tout cas, enlève-moi ce haut... J'ai changé d'avis, j'ai envie de jouir en fait.
- Bien ! Je l'enlève avec mes pouvoirs ou comme une.... humaine ?
- Comme une humaine, je veux te voir te déshabiller.
- Bien, répond Janet en déboutonnant son haut.

Puis elle tire sur le décolleté pour faire plaisir à Julien, le sachant amateur de lingerie...

... et l'enlève complètement, se retrouvant ainsi en soutien-gorge.

- Parfait ! Maintenant, seins nus ! ordonne Julien.
Janet, en bonne esclave, obéit immédiatement.

- Et maintenant à genoux. Je vais me finir sur toi, comme si tu n'étais qu'un kleenex. C'est clair ?
- Très clair, maître. Tu veux venir sur mes seins, comme la dernière fois ? demande Janet en exposant sa grosse poitrine.

- Non, je vais te remplir la bouche. Et, évidemment, tu avaleras tout mon sperme.
- Bien, Julien. J'adore le goût de ta semence.
Janet ouvre alors la bouche et tire la langue, attendant patiemment de recevoir le cadeau de son maître.

- Tu es une bonne chienne obéissante... c'est parfait, commente alors Julien en se masturbant.
Il ne lui faut guère longtemps pour atteindre la jouissance et gicler dans la bouche ouverte de Janet.

L'éjaculation n'est pas très abondante (c'est la troisième fois qu'il jouit aujourd'hui) mais suffit à recouvrir la langue de Janet, le reste coulant sur son menton puis sur sa grosse poitrine.

Sans qu'il ait à demander quoi que ce soit, Janet ferme alors la bouche, avale la semence qu'elle avait sur la langue...

... puis tire la langue à Julien pour lui montrer qu'il n'y a plus rien dessus.

- Pfffffuuuuu qu'elle soirée ! Merci Janet !
- De rien Julien... Mais, dis-moi, pourquoi n'as-tu pas jouis sur moi tout à l'heure.
- Pour te faire comprendre un autre aspect de ton rôle : si j'en ai envie, je peux t'appeler pour simplement de jouir dessus au lieu de le faire dans un mouchoir à papier.
- Comme si je n'étais qu'un objet, c'est ça ?
- C'est ça... comme un objet qu'on souille et qu'on peut ensuite jeter. Parfois je te traiterai en princesse, parfois en nymphomane avide de sexe et parfois en simple mouchoir en papier. C'est clair ?
- Parfaitement clair, Julien, du moment que ça te fait plaisir, répond, souriante et sincère, Janet en s'asseyant par terre, le bas du visage et la poitrine mouchetés de sperme.

- Parfait... Tu te nettoies et tu avale tout ça jusqu'à la dernière goute maintenant.
- Bien maître, répond Janet en réunissant ses gros seins pour créer une petite mare de sperme dans laquelle elle plonge ses doigts.

Impressionnée, Julien la regarde se délecter de la moindre goutte de foutre présente sur elle. Elle n'en oublie aucune et, à chaque fois, les avale comme s'il s'agissant de la meilleure friandise du monde.
Julien retourne au salon pour récupérer ses vêtements et de rhabiller puis revient vers la cuisine où Janet, toute propre, se lèche un doigt.

- Tu as tout finis ?
- Oui Julien, j'ai tout avalé. Et c'était délicieux...
- Alors c'est parfait. Tu peux y aller pour de bon, cette fois. A bientôt Janet.
- A bientôt Julien.
Janet disparait aussitôt, laissant Julien seul dans sa cuisine. Il sort une bière du frigo et va s'assoir dans un fauteuil, satisfait de la façon dont Janet se comporte avec lui. Il boit tranquillement sa bière en se disant qu'il va passer une bonne nuit.
Mais soudain, il se souvient que ce n'est pas dans son lit qu'il avait commencé sa nuit !
- Putain, Dakota !! Je l'ai oublié !
Cet oubli affreux le fait alors paniqué car il se demande si elle ne s'est pas réveillée seule, se demandant alors où était passé son amoureux. Elle se demanderait alors si elle n'avait pas fait une erreur en faisant confiance à Julien.
Celui-ci, affolé, repense aux autres évènements de la soirée, lorsqu'il a été surpris par Janet en train de mâter Anissa. Puis quand il a failli sur faire prendre par des promeneurs alors qu'il masturbait comme un pervers la pauvre Janet qui n'en pouvait plus de jouir.
Alors qu'il était allé chez Dakota pour tout lui dire et pour qu'elle l'aide à s'intégrer dans ce quartier, il avait réussi l'exploit de la trahir puis de manquer à deux reprises de se faire prendre la main dans le sac.
Le constat était édifiant et Asa avait complètement raison. Julien n'était pas discret, il était dépendant du sexe, ne pouvait pas s'en passer et, sous l'effet de l'excitation, devenait une bête enragée capable du pire. C'était évident que sa fin ici était inéluctable s'il ne changeait pas tout de suite.
Déterminé, résigné, désespéré, Julien sort alors de chez lui, se dirige vers la maison de Dakota et entre dans la chambre à coucher. Dakota y est toujours, profondément endormie. Son sommeil à l'air apaisé et Julien s'en veut déjà de la réveillé. Mais pas question de reculer maintenant.

Il la secoue doucement par les épaules et Dakota ouvre alors les yeux doucement.
- Julien ? Qu'est-ce qu'il y a ? Tu ne dors pas ?
- Dakota, il faut que je te parle... Je... Je n'ai pas ma place dans ce quartier.
- Hein ? Mais si... tu as juste du mal à t'habituer à ta nouvelle vie.
- Non tu ne comprends pas : il y a eu erreur, je n'étais pas censé arriver au bon endroit. Il y a dû avoir un problème avec mon dossier ou quelque chose du genre... Mais en tout cas, je n'ai rien à faire ici... Je ne suis pas la personne parfaite décrite dans mon dossier. Je devais aller au mauvais endroit et je vais sans doute y être envoyé bientôt !
- Mais... je ne comprends pas... bafouille alors Dakota, complètement perdue.
- Moi non plus... et j'ai besoin de ton aide.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 7- partie 1
Pour Julien, la journée qui suivit la grande révélation qu'il venait de faire à Dakota avait été la plus longue de sa vie... même s'il était mort. D'autant qu'elle avait commencé par une incompréhension de la part de son âme sœur qui ne semblait pas comprendre le problème ni prendre conscience de la gravité de la situation.
Certes Julien n'était pas à l'endroit où il aurait dû atterrir. Mais étais-ce un si gros problème, après tout ? Il avait juste à bien se tenir, lui répétait simplement Dakota avec une désinvolture qui agaçait Julien. Il n'était pas une horrible personne et cela ne serait pas insurmontable d'être gentil pour le reste de l'éternité ! Malgré lui, Julien avait dû alors non seulement expliquer pourquoi il n'avait pas sa place ici mais également pourquoi sa situation était plus que dangereuse. Deux points particulièrement délicats à aborder...
Il avoua donc être un gros consommateur de sexe, voire un accro, et que cela l'avait conduit notamment à avoir des comportements inappropriés avec les femmes durant sa vie.
- Tu es un violeur ?? avait alors crié, affolée Dakota en entendant cette phrase.
Julien l'avait immédiatement rassurée en lui promettant qu'aucun acte sexuel qu'il ait fait n'avait été contraint. Mais, par contre, il avoua être manipulateur, dominant et infidèle. Il séduisait, baisait et jetait les femmes sans considération pour leurs sentiments ou leurs situations. Il avoua avoir eu des relations avec la plupart de ces secrétaires ou collaboratrices...


... avec un certain nombre de femme ou les filles de ces proches...

... et multipliait les rencontres d'un soir ou les aventures libertines.

Certaines de ses maîtresses étaient clairement soumises à lui et il avoua adorer cela !

En arrivant ici, il avait rapidement compris, expliqua-t-il à Dakota, qu'il n'avait pas sa place. Mais au lieu de se faire discret, il essaya de profiter de la naïveté des résidentes et ne pût s'empêcher de reproduire ses mauvais comportements, ce qui a entrainé une réaction en chaine le mettant en grave danger.
Dakota, qui semblait enfin comprendre le nœud du problème de Julien, lui demanda alors de dire tout ce qu'il avait fait avec les résidentes du quartier. Julien avoua d'abord avoir joué avec la bienveillance de Janet pour obtenir des faveurs sexuelles de sa part.

- Janet ?? Mais enfin, Julien, ce n'est pas une humaine ! C'est plus un robot qu'autre chose ! répondit, choquée, Dakota. C'était contre-nature, selon elle !
Julien essaya de lui faire comprendre que Janet, malgré sa nature immortelle et omnisciente, était tout à fait semblable à une humaine. Jusqu'au moindre détail, avait-il ajouté en espérant décrocher un sourire à Dakota. Echec total...

Puis il continua avec ses autres bêtises comme espionner et séduire Anissa, sa belle voisine.

Sur cette relation, Julien resta vague, de peur de ne perdre totalement le soutien de Dakota et, avant qu'elle ne pose des questions plus détaillées, enchaîna avec les conséquences que ces actes avaient eu sur le quartier, à savoir l'œil géant et les femmes toutes nues dans la rue.

Il expliqua ensuite la réaction de Julia, l'architecte, qui lui demanda de l'aide. Il avoua avoir saisi cette occasion inespérée pour non seulement essayer de couvrir ses agissements mais aussi pour modifier le quartier afin que sa soif de sexe soit plus « normale » aux yeux des résidents.
- Comment ça « modifier » le quartier ? avait demandé Dakota, inquiète.
- Et bien, j'ai simplement suggérer à Julia que le sexe était également important pour le bonheur des humains et que dans ce quartier, tout désir était inhibé. Et comme ce quartier est la première réalisation de Julia, elle s'est montrée ouverte à toute proposition d'amélioration. Nous avons donc pris plusieurs décisions pour que le quartier soit plus ouvert du point de vue sexuel. Rien de méchant, c'est juste pour que les résidents s'amusent plus, soient libérés, etc.
- Libéré ? Tu as changé des règles de morale dans le quartier ?
- Certaines, oui. Rien de très grave et rien qui ne serait illégal ou immoral sur Terre.
- Oh purin de merle... Tu as supprimé la jalousie !
- Non, je t'assure, répondit Julien avec sincérité.
- Si si, j'en suis sûre. Les premiers jours où je t'ai rencontré, l'idée que tu approches Anissa, cette espèce de déesse orientale, me rendait folle. Et là, quand tu me dis que tu l'as maté sous la douche et que tu as batifolé avec Janet, ça ne me fait rien. Pire, je suis fière que mon âme sœur ait autant de succès avec les femmes ! C'est le monde à l'envers !
- Non, Dakota, ce n'est pas ça. J'ai simplement suggéré à Julia que la monogamie n'était pas une règle immuable et qu'une société humaine pouvait être harmonieuse avec la polygamie... ou la polyandrie, d'ailleurs.
- Tu joues sur les mots, cela revient au même.
- Non, Dakota. Si j'avais voulu juste pouvoir « batifoler » avec qui je veux, j'aurais en effet supprimé la jalousie des femmes. Mais je veux réellement un quartier sexuellement apaisé car, selon moi, le sexe rend heureux ! Donc j'ai émis l'idée qu'avoir plusieurs partenaires n'avait rien de mal et que cela ne devrait pas être perçu comme quelque chose de tabou, au contraire. Et ça marche pour les hommes comme pour les femmes.
Dakota marqua une pause, réfléchit à la situation et déclara :
- C'est fou. Je me rends compte que t'imaginer dans les bras d'une autre femme de m'embête pas, pas plus que m'imaginer dans le lit d'un autre homme. Et pourtant je suis sûr d'être amoureuse de toi.
- Moi aussi je t'aime Dakota, je te le promets. J'ai essayé de survivre pour que mon... problème ne m'envoie pas au mauvais endroit. Mais jamais je ne t'aurais fait du mal. Et tu es la principale raison qui fait que je ne veux pas partir.
- Moi et aussi une éternité de souffrance au mauvais endroit...
- Certes...
Dakota commença alors à faire les 100 pas dans sa maison et regardant Julien. Celui-ci était clairement inquiet, d'autant que le visage de Dakota exprimait tout un panel de sentiments allant de la rage à la compassion en passant par la trahison ou la tristesse. Rien de bien rassurant du point de vue de Julien !

Enfin, elle s'arrête de marcher et déclare :
- Bon... Je résume. Tu es au bon endroit mais tu ne le mérite pas. Tu n'es pas un monstre, loin de là, mais tu traites les femmes comme du jambon. Tu as commencé à transformer cet endroit en club échangiste mais comme ça se voit trop, tu as chaud aux fesses. Tu dis m'aimer et tu demandes mon aide. Je t'aime et... je réfléchis à t'offrir mon aide.
- Tu as magnifiquement résumé la situation.
- Le seul élément ici qui fait que j'ai assez confiance en toi pour te couvrir et t'aider, c'est que tu es malade. Accro au sexe, addict. Cela explique ton comportement.
- D'accord... mais je sens un « mais »...
- Oui car si tu me mens et que tu n'es pas un accro, c'est que tu es juste un pervers sexuel, un infidèle irrécupérable et que je n'aurais alors pas envie de rester l'éternité avec toi.
- Comment te prouver que j'ai réellement un problème ?
- Je sais exactement comment le prouver : je suis addictologue. Et je sens d'ailleurs que ce n'est pas un hasard si j'ai été désignée comme ton âme sœur... Je vais avoir besoin de matériel de laboratoire que je vais demander à Janet et de ton entière coopération. Ok ?
- Ok, je ferai tout ce que tu veux.
- Bien... Janet !
En une demi-seconde, Janet répond à l'appel de Dakota et apparait juste à côté d'elle.

- Bonjour Dakota. Et bonjour Julien.
Julien est alors soulagé de la voir habillée normalement et non en lingerie fine ou en tenue provocante comme elle l'aurait été si elle était apparue chez Julien.
- Que puis-je faire pour toi, Dakota.
- J'aurais besoin de différents matériels de laboratoire pour... montrer à Julien en quoi consistait mon travail. Tu peux me fournir tout ce qui est sur cette liste ? précise Dakota on écrivant une liste trop longue au gout de Julien qui ne savait pas en quoi ce test consistait.
Janet claque des doigts et fait apparaître un à un des éléments demandés. Il y a une table de labo, des tubes à essais, des liquides de différentes couleurs, un ordinateur relié à des électrodes, divers seringues, etc.

- Parfait, merci Janet ! J'aurai besoin de ton aide dans l'après-midi mais pour le moment, tu peux y aller.
- Très bien, à tout à l'heure alors.
Aussitôt Janet disparue, Dakota se tourne vers Julien et commence l'expérience sans rien lui expliquer. Elle attache d'abord Julien à une chaise et lui fait une prise de sang. Après avoir mis le sang dans un tube à essais avec une étiquette que Julien n'arrive pas à lire, elle lui pose des électrodes sur son crâne et retourne vers son ordinateur pour calibrer la machine et vérifier que tout fonctionne comme prévu. C'est préparatifs durent une petite demi-heure, période pendant laquelle Julien commence à stresser sérieusement.
- Bon, je reviens dans une minute, annonce soudain Dakota à Julien, toujours aussi inquiet de la suite.
Après bien plus d'une minute, elle sort de sa chambre et se montre devant Julien en petite tenue d'écolière, avec un haut s'arrêtant juste sous les seins et une minuscule jupe.

- Oh mon dieu ! s'exclame alors Julien. Tu as ce genre de tenue dans tes placards ??
- Bien-sûr que non, j'ai rappelé Janet pour lui demander quelque chose de spéciale pour toi. Comme tu avais aimé mon uniforme lors de notre premier rendez-vous... Tu me trouves comment ?
- Honnêtement ? Excitante !
- Alors parfait ! On va commencer.
- Commencer quoi ?
- Tu verras...
Dakota s'installe alors en face de Julien, derrière son ordinateur où s'affichent en direct les courbes issues de son activité cérébrale. Julien, qui avait d'abord cru à un strip-tease est d'abord un peu déçu de voir Dakota travailler réellement et prendre des notes. Mais elle enlève alors son haut pour se mettre en soutien-gorge en continuant d'observer l'écran comme si de rien n'était.

- L'uniforme à l'air de te plaire, Julien.
- J'avoue... Tu vois cela à partir de mes ondes cérébrales.
- Oui, je dois les étudier si je veux avoir les réponses que je cherche. Mais, s'il te plait, ne te préoccupe pas de ça. Contente-toi de profiter du spectacle, ajoute Dakota en écartant les jambes derrière son bureau.

- Ok... le spectacle est magnifique.
- J'imagine ! Ça me rappelle le bon vieux temps où j'étais étudiante. Ça m'amusait de montrer ma culotte aux camarades de promo et de voir leur réaction...
Dakota pose alors une main sur sa petite culotte blanche et commence à se caresser au travers de la fine dentelle.

- Je me souviens aussi quand je me caressais sous ma table pour que les profs que mettent des bonnes notes ! Leurs pantalons étaient déformés par leur sexe en érection... J'adorais ça !!
- Tu... tu as vraiment fait ça pendant tes études ? demande alors Julien, étonné de ce comportement.
- Bien-sûr que non ! J'étais major de promo et sans trop me forcer en plus. Par contre je vois que l'idée que m'exposer pour obtenir des avantages t'excite particulièrement. Voyons maintenant si je fais ça...
Dakota tire alors sa culotte sur le côté et expose sa chatte pour Julien qui écarquille les yeux devant ce magnifique spectacle.

- Ah oui, mon sexe exposé sur mon bureau a failli de faire faire un AVC, mon cher !
- Tu m'as surpris... et oui, j'avoue que voir ton sexe ainsi, franchement dégoulinant de cyprine, ça me rend dingue. Tu te prêtes au jeu, on dirait.
- Tu crois que ce petit show ne m'excite pas, moi aussi ? Il me faut toute ma rigueur scientifique pour ne pas te sauter dessus ! Mais ce n'est pas un jeu, Julien... C'est ton avenir ici qui en dépend.

- Par contre, rigueur scientifique ou pas, rien ne m'empêche de ma caresser... Après tout j'ai juste à observer tes courbes...
Dakota pose alors une de ses jambes sur le bureau et commence à caresser son clitoris avec son doigt, délicatement.

- Ah, je constate que tu aimes me voir me masturber, mon cher ! Tu apprécieras donc sans doute me voir monter un peu de niveau !
Dakota soulève alors son autre jambe et, pattes grandes écartées, se doigte furieusement devant Julien.

- Tu verrais tes courbes, Julien, on dirait que tu vas exploser !
- C'est parce que je VAIS exploser ! Je suis attaché là alors que je n'ai qu'une envie : tu sauter dessus !
- Et tu me ferais quoi, au juste ?
- Honnêtement, je ne ferais pas dans la dentelle : je te prendrai comme un bourrin sur le bureau et je te défoncerai. Et lorsque ton petit vagin deviendra trop sensible, je changerais de trou !
- Oh mon dieu, tu veux dire mon... mon anus ? La sodomie, c'est si... pervers... mais tentant... J'ai chaud soudainement...
Dakota enlève alors son haut et révèle ses petits seins à Julien.

- Tient ! Tes courbes réagissent... Mais est-ce le fait de voir mes seins ou plutôt de ton envie de me sodomiser violemment et que je t'ai dit que cette idée était... intéressante ?

- Les deux, peut-être... répond Julien en pensant plutôt à la manière dont il ravagera le pauvre petit trou du cul de Dakota.
- Mmhh peut-être... En tout cas, je crois que tu es suffisamment excité pour passer à la phase suivante du test. Je pense que tu vas apprécier cette partie, ajoute Dakota en se mettant à quatre pattes et en s'approchant de Julien.

- Je vois très bien l'érection impressionnante qui déforme ton pantalon, Julien. Et ça tombe bien car la prochaine phase consiste à te faire jouir.
- Vraiment ? C'est ça ton expérience scientifique ?
- Oui, tu ne vas pas t'en plaindre ? Je dois réellement te faire jouir pour ensuite observer les ondes cérébrales et te faire une nouvelle prise de sang ? C'est important.
- Si c'est pour la science... allons-y !

Dakota sourie à la plaisanterie de Julien mais, tout en déboutonnant son pantalon et en sortant son sexe dur, elle répond :
- Pour la science... et pour ta propre survie, pour rappel !
Puis Dakota avale d'un coup le gland de Julien, et commence à faire tournoyer sa langue dessus.

Excitée par l'expérience scientifique, par ses caresses et par la magnifique érection de Julien, Dakota se régale de son sexe, le lèche, le suce en long en large et en travers.

Puis elle s'attarde à nouveau sur le gland qu'elle pompe et mordille.

Entre deux coups de langues, elle demande à Julien :
- Tu vas bientôt jouir ?
- Si tu continues comme ça, oui.
- Bien... je vais même accélérer un peu la cadence : je n'ai que 30 minutes d'enregistrement disponibles pour tes ondes cérébrales et il ne faut pas que je rate l'orgasme.
Dakota détache alors Julien et l'invite à s'allonger sur le lit mais en prenant garde de ne pas faire bouger les électrodes sur son crâne. Puis elle se place entre ses jambes pour reprendre la fellation qu'elle rend en effet plus intense, plus rapide et, surtout, plus profonde.
Alors que Julien avait toujours eu du mal à obtenir des gorges profondes de ses maîtresses à cause de la taille de son sexe, Dakota, pourtant menue et en apparence ingénue, avale sans problème une bonne partie de la queue.

Julien ne peut alors se retenir se prendre en main la tête de Dakota et de l'inciter à aller plus loin, plus vite. Sans que la belle blonde ne proteste le moins du monde, Julien lui baise la bouche et sent alors l'orgasme monter en lui.

Prévenant, Julien décide d'en avertir Dakota :
- Je... vais pas tarder à craquer...
Et alors que Julien s'attendant à ce que son âme sœur prenne un peu de recul, celle-ci lui lance au contraire un regard de braise et continue la gorge profonde. Le jeune homme n'a même pas à l'y aider, il se contente de lui caresser les cheveux tandis que les premières giclées de sperme inondent directement le gosier de Dakota.

Toujours empalée sur le sexe de Julien, Dakota avale docilement la totalité de son éjaculation puis, le feu d'artifice se clamant, relève doucement la tête en pompant et aspirant la moindre goutte de semence, laissant un sexe parfaitement propre.

Puis, enfin, Dakota relâche la queue de Julien et reprend sa respiration en laissant échapper quelques gouttes de sperme qu'elle n'avait pu avaler de sa bouche et de ses lèvres.

- Tu es... incroyable, Dakota, déclare Julien, époustouflé par les performances de son âme-sœur.
- Je sais... lui répond simplement Dakota en récupérant du bout des doigts les dernières trainées de semence qui coulaient de sa bouche et en les avalant avec plaisir.

- ... et toi tu es délicieux ! rajoute-t-elle d'un regard provoquant en finissant de se lécher les doigts.

Soudain, elle se relève du lit et retourne devant son moniteur.
- C'était juste ! Il ne restait que 3 minutes d'enregistrement. Mais... je crois que j'ai tout ce qu'il me faut. Tu peux enlever tes électrodes, Julien. Nous avons presque fini.
- Presque ? demande Julien un peu inquiet.
- Oui, je dois juste te faire une nouvelle prise de sang pour la comparer à la première.

Dakota réalise donc la prise de sang puis dépose le liquide dans deux tubes différents en expliquant :
- Voilà, ainsi je vais pouvoir mesurer et comparer tes productions d'ocytocine, l'hormone qui est produite lorsque l'on ressent du plaisir, comme durant un orgasme par exemple, et de dopamine, l'hormone qui produite en cas de manque.
- Tu cherches donc à vérifier si je suis en effet un drogué du sexe ?
- Oui, grâce à ton cerveau et tes hormones. Contrairement à toi, tes hormones ne peuvent mentir.
- Je comprends... Du coup, les résultats sont concluants ?
- Je ne peux pas encore le dire pour le moment. Je vais devoir analyser tes courbes et tes dosages puis les comparer à ceux que je ferai cet après-midi, lors de la phase 2.
- Ok... en quoi cela va consister ?
- Tu verras ! Tu peux rentrer chez toi, Julien, j'ai un peu de travail. Je viendrai te voir en fin de journée et, en attendant, je te conseille de te reposer un peu et de prendre une bonne douche.
- D'accord.
- Ah et, surtout, ne vas pas « batifoler » avec une résidente ou te masturber en regardant Anissa à la plage... Cela fausserait les mesures. Tu crois que tu pourras te retenir jusqu'à ce soir ?
- Oui... répond Julien, agacé par le ton détaché et condescendant de Dakota qui, dans son rôle de chercheuse médicale, savait manifestement se faire obéir !
Julien retourne donc chez lui tandis que Dakota commence son travail d'analyse en mettant sur son nez une paire de lunette mais en restant toujours moitié nue !

Seul dans sa maison si mal décorée, Julien essaie de ne pas penser à l'issue de cette expérience, d'autant qu'il n'est pas sûr, lui-même, d'être réellement accro. Il sait qu'il a un problème, il sait qu'il ne peut dire non à la moindre opportunité de baiser. Mais est-il « hormonalement » addict ? Le verdict attendu de Dakota le stress plus que jamais.
Plutôt que de se faire un ulcère en attendant que Dakota vienne le chercher, Julien décide de sortir de chez lui pour prendre l'air, voir des gens, se promener en essayant de penser à autre chose. Mais au bout de quelques minutes, et alors qu'il se rendait en ville pour s'acheter une glace bourrée de sucre et de gras mais qui, miraculeusement, ne fait pas grossir, il croise Julia qui, penchée en avant, parle à deux résidents assis sur un banc. Alors qu'il s'approche, il ne peut s'empêcher de plonger son regard dans son décolleté exposé. Tout comme les deux résidents d'ailleurs...

Puis, après avoir salué poliment l'architecte et les deux hommes assis sur le banc, il reprend sa route. Mais en passant à leur hauteur, Julien est à nouveau hypnotisé par Julia, cette fois-ci par ses fesses généreusement tendues.

La vision de ce magnifique postérieur capte totalement l'attention de Julien qui, en marchant, se prend les pieds dans le sac d'un des 2 résidents, posé par terre. Il chute en essayant de se rattraper tant bien que mal. Julia s'accroupit alors à sa hauteur en lui demandant s'il a besoin d'aide.

Julien accepte l'aide de Julia et est aussitôt surpris par la vision des jambes légèrement écartées de l'architecte qui révèlent ainsi sa culotte et ses bas. Julia, souriante et contente de son effet, aide Julien à se relever en lui faisant un clin d'œil et en commentant à voix basse « j'apprends vite, hein ? ».
Julien acquiesce sincèrement et salue en s'éloignant l'architecte avant d'être tenté par le fait de la baiser. Il se rend alors compte d'une évidence : il a transformé ce quartier en source de tentations permanentes. En temps normal, il se serrait promener joyeusement dans les rues et parcs en matant, séduisant et provoquant toutes les femmes qu'il aurait croisé. Mais aujourd'hui, il jouait son avenir et Dakota lui avait bien précisé de se « réserver » pour ce soir.
Julien prend donc la décision de rebrousser chemin et de rentrer chez lui pour éviter toute nouvelle rencontre excitante. Deux douches glaciales, et 2 heures de lecture barbante (les livres qui lui ont été attribués, à l'image de sa maison, sont incroyablement ennuyeux), toute excitation sexuelle a quitté Julien et il se sent alors prêt à affronter l'expérience de Dakota.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 7- partie 2
Vers 19h, Dakota se décide enfin à venir le chercher Julien et, une fois chez elle, le protocole se remet en place comme lors de la phase 1. Julien est assis sur une chaise, les mains attachées aux accoudoirs et des électrodes posées sur le crâne.
- Bien, on va pouvoir commencer, déclare Dakota, bizarrement souriante.

Anticipant ce qui s'est passé ce matin, Julien s'attend à voir Dakota enlever sa robe toute légère. Mais à la place, elle appelle Janet qui apparait aussitôt.

Au grand soulagement de Julien, Janet est habillée tout à fait convenablement car c'est Dakota qui l'a appelée. Heureusement que Dakota ne lui a pas demandé de le faire, qui sait dans quelle tenue exagérément provoquante elle serait apparue ?
- Oui Dakota, comment puis-je t'aider. Et... que fait Julien attaché ainsi ?
- Oh, ce n'est rien, c'est pour une expérience. Rien de dangereux, au contraire. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai besoin de toi, répond la belle blonde en s'approchant d'elle.

- Voilà, depuis que Julien est arrivé dans le quartier, nous apprenons à nous connaitre et notre relation est devenue... physique depuis peu. Or j'ai constaté que Julien avait, comment dire, un énorme...
- Pénis ! la coupe Janet avec enthousiasme puis en se rendant compte de sa boulette.
- J'allais dire un énorme appétit sexuel... mais il est vrai que sa marche aussi avec son pénis, continue Dakota avec force de geste pour décrire l'équipement de Julien.

- Mais... d'ailleurs.... comment sais-tu qu'il a un énorme sexe, Janet ? demande avec malice Dakota.
- Parce que la taille de son sexe est indiquée dans son dossier biologique...
Julien se sent alors soulagé par cette réponse habile de la part de Janet qui, sans mentir, ne révèle rien de compromettant, et se croit sorti d'affaire. Mais Janet continue sa phrase :
- ... et parce que je lui demande souvent de me la montrer !
Et alors que Dakota lance un regard mi amusé mi jaloux à Julien en entendant cette révélation, le regard envieux de Janet se fixe sur l'entrejambe du jeune homme.

Dakota décide soudain de rompre le silence gênant qui s'installe et de ramener Janet à la réalité.
- Janet, tu sais, je m'en doutais un peu. Julien est un bel homme et je l'ai fait attendre trop longtemps avant de l'accueillir dans ma vie... et dans mon lit. Normal que les autres femmes du quartier veuillent en profiter.
Janet regarde alors surprise Dakota :
- Tu... tu me considères comme une femme ? Pas comme un robot ?
- Bien sûr, Janet, tu as tout d'une femme, rien ne te distingue de moi... à part la taille de tes seins, de tes femmes et la longueur de tes jambes... évidemment.
Dakota se rapproche alors de Janet et la prend par la taille en ajoutant :
- Tu es une femme à part entière dans ce quartier. Et l'un des plus belles, en plus.

Janet est visiblement flattée par ces compliments mais précise à Dakota qu'elle ne voit toujours pas en quoi elle peut leur être utile.
- Oui, j'oubliais... Vois-tu, depuis hier, nous passons le plus clair de notre temps au lit, avec Julien. Pas qu'au lit d'ailleurs... si tu vois ce que je veux dire. Mais il semble ne jamais en avoir assez et ne jamais être fatigué. Et, honnêtement, pour la scientifique que je suis, c'est un cas à étudier ! Alors je lui ai branché tout ce bazar sur la tête et je vais voir comment se comporte son cerveau quand il est excité. Et comme nous avons déjà fait l'amour 4 fois depuis ce matin, je voudrais voir s'il a encore... des réserves.
- C'est très bien... mais en quoi as-tu besoin de moi, Dakota ?
- Je veux que tu t'occupes de lui. Que tu l'excites, que tu le chauffe pour qu'il soit à nouveau chargé à bloc ! Je sais que ça peut te paraître bizarre comme demande mais...
- C'est d'accord ! la coupe à nouveau Janet avec enthousiasme.
- Bon... parfait alors, répond Dakota, surprise par l'absence total d'hésitation.
Puis elle se tourne vers Julien et lui demande :
- Cela te convient comme programme, mon chéri ? Janet va t'allumer, tu ne vas pas pouvoir la toucher. Et moi je vais faire les deux choses qui me passionnent le plus dans la vie : étudier un cerveau humain et te sauter dessus ensuite !
Et pour appuyer son propos, Dakota ouvre doucement la chemise de Janet pour relever son soutien-gorge et sa grosse poitrine.
- En même temps... comment dire non à une telle paire de seins, ajoute Dakota en regardant Julien.

- Ok, Dakota, on fait comme ça, répond Julien sans trop savoir quelle attitude emprunter. Tu ne vas pas être jalouse ?
Dakota croise alors les bras et répond avec malice :
- Jalouse ? De quoi ? Tu es mon âme sœur pour l'éternité et je sais que je serai toujours follement amoureuse de toi. Alors quel est le problème de profiter de cette éternité en s'amusant un peu ?

- Il n'y a aucun problème, en effet, répond Julien en fixant la belle poitrine de Janet qui continue d'ouvrir sa chemise sans perdre une seconde de plus.

- Alors, comme ça, tu as un appétit sexuel sans limite, Julien ? demande Janet, curieuse.
- Il parait... répondit Julien en regardant Dakota s'installer dans un coin de la pièce pour observer la scène.

- Tu sais, Julien, continue Janet en se déshabillant, je suis faite pour ton bonheur, celui de Dakota, celui de tous les résidents. Je peux quasiment tout faire pour votre plaisir.

- Cela inclue toute sorte de service pour votre plaisir, y compris sexuels même si, je l'admets, on ne me demande presque jamais de choses comme ça, ajoute-elle en se malaxant les seins, comme pour appuyer son propos.

- Presque jamais ? demande alors Dakota. Julien y a eu pourtant déjà recours, il me semble.
- C'est vrais... Il a été le premier à me considérer comme une femme plutôt que comme un « robot » comme les autres disent. Et c'est avec plaisir que j'ai répondu à ses demandes.

Alors que Janet continue son effeuillage, Dakota prend quelques notes en regardant son moniteur d'ordinateur puis reprend son interrogation :
- Quelles genres de choses te demande-t-il ?
- Je ne suis pas sensée révéler ce que me demandent les résidents, répond Janet maintenant en petite culotte et assise en face de Julien jambes écartées. Mais je peux te dire sans trahir la confiance de Julien qui voulait surtout que je lui apparaisse habillée de manière plus... sexy.

- Ah je reconnais bien là Julien. Il adore mater les belles femmes, même s'il ne les touche pas, Juste pour le plaisir des yeux, répond Dakota en écartant les jambes pour exposer elle aussi sa culotte.

- D'ailleurs, poursuit-elle, je vois que le fait de nous regarder suffit à lui redonner de la vigueur.
- Tu vois cela sur ton écran ? demande Janet en se levant pour enlever son soutien-gorge.

Dakota se lève alors à son tour et se dirige vers Julien.
- Non, je vois ça à... ceci, déclare-t-elle en ouvrant le pantalon du jeune homme pour en sortir le sexe partiellement bandé mais déjà énorme.

- Ah, j'avais tort... continue-t-elle presque déçue, la bosse dans son pantalon était énorme mais tu peux encore le durcir d'avantage.
- Je vais voir ce que je peux faire, répond alors Janet en se retournant les mains cachant ses seins et en regardant avec envie de sexe de Julien.

- Il est vrai que tu m'as habitué à un sexe beaucoup plus dur que ça, Julien...
- Je suis désolé, Janet, mais la situation est un poil stressante...
- Voyons si je peux te déstresser... répond Janet en retirant ses mains pour exposer ses seins. Ils te plaisent ? demande-elle.

- Oui, beaucoup...
- Bien ! Et apprécies-tu également de me voir les malaxer ainsi ?

- Évidemment, comment ne pas être excité en voyant cela !
- L'excitation... continue Janet en commençant à titiller ses tétons. C'est quelque chose d'à la fois simple biologiquement mais compliqué en termes de réaction. Mon actuelle excitation se manifeste au niveau de mon vagin en produisant de la cyprine, pour rendre la pénétration agréable...ce qui est logique du point de vue évolutif. Mais comment alors expliquer que mes tétons deviennent durs ? Quel est l'intérêt biologique ? Et surtout, est-ce normal que ce soit si agréable que je les fasse tourner entre mes doigts ?

- Oui, c'est tout à fait normal ! répond alors Dakota, toujours dans le fond de la pièce et qui avait fait tomber le haut de sa robe pour sortir elle-aussi ses seins.

- Alors me voilà rassurée. Tu sais Julien, je te serais éternellement reconnaissante de m'avoir fait découvrir cet aspect de mon existence, dit Janet en commençant à baisser sa culotte.

Tout en baissant doucement sa culotte, Janet continue :
- Peut-être crois-tu avoir abusé de mon rôle ici pour ton plaisir mais sachez que ce que vous faite avec moi, toi et Dakota, est très important pour moi. Cela me donne... une consistance. Je n'ai pas simplement pour but d'assurer votre confort et votre bonheur mais aussi d'exister et d'en profiter.

- ... et pour cette raison, vous pourrez toujours compter sur moi. En toutes circonstances.

- Janet, cela nous touche beaucoup, répond Dakota, toujours dans le fond de la pièce mais encore un peu plus dévêtue. Sache que tu es une véritable amie pour nous.

- Je suis du même avis, déclare Julien, la bite toujours à l'air.
- Cela me touche beaucoup, merci, répond, visiblement émue, Janet en s'asseyant.

- Bien, pour en revenir à la demande de Dakota, reprend la belle brune sur un ton plus robotique, voyons comment augmenter le niveau d'excitation de Julien.
Janet écarte alors les jambes doucement pour exposer son sexe devant Julien qui ne peut détacher ses yeux de son corps si généreux.

- Oh oui, je te confirme que ça marche, lui indique Dakota en regardant sur son moniteur.
- Alors continuons avec mes fesses, peut-être ? Dakota ?
Janet sur tourne alors vers la belle blonde pour avoir son avis et la surprend qui enlève sa culotte.
- Quoi ? demande Dakota comme si elle avait été prise en train de faire une bêtise. Vous croyez être les seuls à être excités ??

- Il n'y a aucun souci, Dakota, reprend Janet. Je lui montre mes fesses.
- Bien sûr, on ne va pas s'arrêter en si bon chemin !
Janet se met alors à genoux que le fauteuil et expose ses belles fesses.

- Dis-moi, Janet, demande Dakota à présent entièrement nue. Que dirais-tu d'aller un peu jouer avec Julien.

- C'est-à-dire ?
- C'est dire : t'occuper de son énorme engin en érection... Le masturber, le sucer... Tu as déjà fait cela ?
- Oui, je suis novice mais je l'ai déjà fait.
- Bien. Je ne te demande pas qui t'a demandé de lui faire une fellation dans ce quartier. Je veux juste que tu t'occupes de Julien maintenant.
- Avec grand plaisir, répond Dakota en se redressant sur sa chaise. En réalité, je brulais d'envie que tu me le proposes !

Janet quitte alors la chaise sur laquelle elle était appuyée et s'approche de Julien qui, lui, est toujours attaché sur son fauteuil. La belle brune omnisciente s'accroupit à sa hauteur et se saisit du sexe de Julien, à présent très dur, en baissant complètement son pantalon. Elle manipule avec délicatesse l'énorme membre, le caresse et le branle doucement.
- Je vais bien m'occuper de toi, Julien, ne t'inquiète pas, déclare Janet d'un ton solennel.
- Oh, je ne m'inquiète pas, je sais que tu es douée pour donner du plaisir ! répond Julien, moins préoccupé par la tournure des évènements et surtout surexcité.

Souriante, Janet commence donc à masturber réellement Julien avec ses deux mains.

Affamée et très excitée par la situation, Janet ne peut résister à la tentation de donner de temps en temps des coups de langue sur le gland de Julien qui, de son coté, frémit de plaisir à chaque fois.

Puis, rapidement, les coups de langue deviennent des baisers, puis, depuis le gland, les baisers descendent tout le long de la queue et s'attardent sur les testicules de Julien. Enfin, Janet craque et avale la bite de Julien qu'elle commence à sucer. Mais soudain elle s'arrête de bouger et, la bouche pleine, regarde Dakota pour voir sa réaction.

Mais la belle blonde n'est plus sur les escaliers où elle observait jusqu'ici la scène. Dakota est en effet allé s'assoir à son bureau pour observer de plus près les courbes cérébrales de Julien qui s'affichent sur son écran.
Absorbée par ses observations, elle tourne presque le dos à Julien et Janet, et est négligemment assise sur un tabouret, totalement nue. En professionnelle, Dakota résiste visiblement à l'envie de se masturber mais fait mouvoir sans s'en rendre compte son bassin d'une telle façon que son clitoris frotte délicieusement sur le tabouret.
Sa position ainsi que ses mouvements lents exposent complètement son sexe et son anus.

Janet, amusée, lui accorde un instant mais voyant que Dakota ne les regarde toujours pas, elle attire son attention :
- Hum, Dakota ?
- Oui ? répond la belle blonde soudain tirée de ses observations scientifiques.
- Est-ce que ça te dérange si je...
- ... suce Julien ? Pas du tout ! Et tu as commencé, de toute façon...
- Pardonne-moi, Dakota, je n'ai pas pu résister. Mais je ne veux pas allé trop loin à ton gout.
- Aucun souci Janet, cela ne me dérange pas. Grâce à Julien...
- Hein, de quoi parles-tu ?
- Oh simplement du fait que Julien m'a fait comprendre que le partage était essentiel pour le bonheur d'un couple ! N'est-ce pas Julien ? demande Dakota au jeune homme en lui faisant un clin d'œil.

Soulagé que Dakota ne balance pas à Janet ses combines pour transformer le quartier, Julien répond :
- Heu oui... tout à fait. Mais... tu es sûre que ça ne te dérange vraiment pas ?
- Tout à fait sûre, Julien. Et, si ça peut te rassurer, je suis même très excitée par ce que vous faites ! Regarde...
Dakota se tourne alors vers lui et, toujours sur son tabouret, écarte en grand les jambes pour exposer sa chatte luisante de mouille.

- Continuez, faites comme si je n'étais pas là !
- Bon... conclut alors Janet en replaçant ses lèvres sur le gland de Julien.

La fellation de Janet est d'abord douce, presque amoureuse, et elle et Julien échangent des regards complices, sachant tous d'eux que cette pipe n'est pas la première et certainement pas la dernière.

Puis l'intensité de la gourmandise monte d'un cran. La belle brune toute puissante branle, suce, lèche, pompe et mordille avec délice la queue de Julien mais ne semble jamais rassasiée.

Elle entreprend donc d'avaler entièrement l'énorme membre, pour le plus grand bonheur de Julien qui se dit que la gorge profonde n'est décidément pas un problème pour les femmes de ce quartier.

Avec une aisance relative, Janet avale doucement mais surement le sexe de Julien, presque sans froncer les sourcils.
Elle effectue ainsi plus allers et retours complets en gobant la queue de Julien.

- Félicitation Janet ! intervient alors Dakota.
- Pardon ? répond Janet en délaissant la queue de Julien malgré un long fil de bave qui la relie encore au gland.

- Ta performance est impressionnante, continue Dakota. Autant je ne suis pas jalouse de te voir sucer mon homme, autant j'envie tes capacités buccales !

- Qu'est-ce que tu racontes ? intervient alors Julien. Tu en as fait autant ce matin, Dakota. Je peux t'assurer que tes fellations sont excellentes.
- Certes mais Janet semble te faire cette gorge profonde beaucoup plus facilement...
- C'est parce que mon gosier est presque aussi souple que je le veux. Je ne suis limitée que par mon manque d'expérience mais, théoriquement, mon corps peut, à peu près, tout gérer. Ce n'est pas juste pour toi de te comparer à moi, Dakota, car même si vous faites comme si, je ne suis pas humaine.
- Mmh... Tu veux dire que si Julien se montrait un peu plus brutal, cela ne te poserait pas de problème ?
- Je ne l'ai jamais tenté. Mais je pense en effet que ça ne me poserait pas de problème.
- Janet, m'autorises-tu exceptionnellement à dire un ou deux mots vulgaires ?
- Je peux déroger à cette règle du quartier en effet. Je t'accorde 3 mots grossiers, Dakota.
- C'est très urbain de ta part, Janet.
Dakota s'avance alors vers Julien, lui détache les mains de la chaise, l'embrasse langoureusement et lui dit, à voix haute :
- Julien, enfile ta grosse bite dans le gosier de cette salope ! Baise-lui sa bouche de pute, mon chéri !
Puis elle se tourne vers Janet et dit :
- Voilà, ça fait 3... Profite bien Janet...
Julien lance alors un regard amoureux et émerveillé à Dakota en lui disant « je t'aime ». Puis il pose sa main sur la tête de Janet et enfonce sa queue dans sa bouche grande ouverte avec le sourire aux lèvres.

Il entre complètement en elle et ressort sans aucune difficulté, sans avoir senti la moindre résistante physique de la part du gosier de Janet. Il commence donc à enchaîner les allers-retours tandis que la gorge de Janet produit un bruit de déglutition assez affreux mais, dans ce contexte, très excitant.

Visiblement excitée par ce spectacle, Dakota s'assoit sur une marche de son salon pour commencer à se caresser, alors qu'elle avait résisté à la tentation jusqu'à présent. Visiblement, voir son âme sœur dominer sexuelle une déesse lui plait beaucoup !

La gorge profonde est très intense et serait difficile à soutenir pour une humaine. Pourtant, Janet semble gérer cela facilement et peut soutenir ce rythme autant de temps que Julien le désire. Du coup, contrairement à toutes les expériences qu'il avait eu jusqu'ici, c'est lui qui met un terme au défonçage de gosier car il sent l'orgasme monter rapidement. Il se masturbe alors au-dessus du visage de Janet qui semble se préparer tranquillement à recevoir sa dose de sperme.

Mais Dakota se relève soudain en interrompant ses caresses et leur crie :
- Hey, j'ai dit pas d'orgasme pour Julien !!

Julien et Janet se tournent alors vers elle, déçus. Janet insiste :
- Dakota, regarde l'état de Julien, il ne va pas tenir !
- Ne t'en fais pas pour lui, il aura sa dose en temps et en heure. C'est important pour mon expérience...
- D'accord mais... pour moi ? On fait quoi ? continue Janet en se malaxant les seins.

- Comment ça pour toi ? demande alors Dakota.
- Et bien... j'ai très envie de jouir moi aussi... et j'avais espéré que Julien s'occupe de moi...
- Tu... tu peux jouir ?
- Oui, Julien m'a fait découvrir ça et je ne me suis jamais sentie autant humaine depuis. Et j'avoue que là, j'en ai très envie.
Dakota regarde alors Julien avec un air amusé et énervé en même temps :
- Voyez-vous ça ?? Je vois que Janet est plus un kleenex pour toi, Julien. Tu as aussi pensé à son propre plaisir.
- Heu... oui, j'avoue...
- En tant que femme, je ne peux que te féliciter d'avoir faire découvrir le plaisir sexuel à Janet. En tant que ton âme sœur, par contre, je trouve gonflé que tu l'ai fait avec elle avant de l'avoir fait avec moi !
- C'est toi qui voulais attendre, je te rappelle...
- Oui, je sais bien mais ça ne change rien à mes sentiments... Mais je pense que je sais comment te punir de ce coup-là...
Dakota s'approche de Janet et lui murmure :
- Tu n'as rien contre le fait que ce soit moi qui te fasse jouir ?

- Avec plaisir Dakota, je n'ai aucune préférence sexuelle. D'ailleurs je ne suis pas sûr que mes concepteurs aient envisagés que je me retrouve dans une telle situation. L'important pour moi, maintenant, c'est d'avoir un orgasme.
- Alors je vais t'en donner un. Et tu vas voir, une relation sexuelle avec une femme peut être aussi plaisante qu'avec un homme, même avec un aussi bon amant que Julien.
Et comme pour lier le geste à la parole, Dakota embrasse et lèche un téton de Janet, la faisant gémir de plaisir et de surprise.

- Mmhh... Je... je crois en effet que ça va être plaisant, soupir Janet. Mais en quoi cela va être une punition pour Julien ?
- Bonne question Janet ! répond Dakota en quittant son téton délicieux et en s'approchant de Julien. Et bien la punition de Julien sera de nous regarder nous envoyer en l'air mais sans pouvoir ni participer (elle range le sexe bandé de Julien dans le pantalon et le ferme) ni même se toucher (elle rattache les mains de Julien à la chaise se laquelle il est assis depuis le début de l'expérience).

Puis Dakota retourne vers Janet en continuant de préciser sa sentence :
- Comme ça, Julien verra ce que ça fait de voir la personne qu'il aime prendre du plaisir avec quelqu'un d'autre. Et si ça ne lui fait rien, voire qu'il adore ça, ce que je pense, et bien au moins il aura l'énorme frustration de ne pas pouvoir bouger !
- C'est cruel ! s'offusque alors Janet. Je ne suis pas sûr que ce soit le genre de choses à faire au « bon endroit ».

- Et se faire sucer par le système d'information du quartier dès le premier jour de son arrivée, c'est quelque chose de classique pour le « bon endroit » peut-être ? Et ce n'est pas « cruel » puisque Julien est tout à fait d'accord avec ça ! N'est-ce pas, Julien ?
- Tout à fait ma chérie... Ne t'inquiète pas Janet, c'est un petit jeu entre nous. Amuse-toi avec Dakota et moi je reste là. Je te promets que ça ne me pose pas de problème, au contraire !
- Bon... déclare Janet en laissant ses réticences tandis que Dakota la rejoint sur le canapé et reprend ses baisers.
Ceux-ci sont d'abord timides et sont le signe d'un manque d'expérience des deux femmes dans les aventures lesbiennes.

Cela dit, Dakota semble prendre rapidement de l'assurance et les baisers timides deviennent vites des galoches baveuses et pleines d'excitation.

Puis Dakota, toujours à l'initiative, invite Janet à s'allonger sur le canapé et approche sa tête de son sexe. Elle semble hésiter devant la chatte trempée de Janet et se contente d'abord de la regarder et de la sentir.

Puis elle pose une main sur les lèvres de Janet et les écarte.

Presque admirative, Dakota déclare alors :
- Je vois ce que tu voulais dire tout à l'heure, Julien. Elle a tout d'une humaine... dans le moindre détail.
- Difficile de résister, hein ? répond le jeune homme, soulagé que sa compagne, elle aussi, se sente attirée par Janet.
- En effet... déclare Dakota en se jetant sur le sexe de Janet comme si elle dévorait une glace italienne en pleine canicule.

Ce premier coup de langue, et tous ceux qui suivent ensuite, font gémir de plaisir Janet qui se malaxe les seins et tortille son bassin d'excitation.

Puis la belle brune pose une main sur la tête de Dakota pour l'inciter à continuer et appuyer sa bouche contre son sexe.

Amusée par cette réaction enthousiaste, Dakota demande si elle va bientôt jouir.
- Sans aucun doute, répond Janet. Mais j'aimerai également essayer de te rendre la pareille. Si ça ne te dérange pas.
- Au contraire, je n'osais te le demander !
Dakota délaisse alors le sexe de Janet, se redresse et la chevauche en plaçant son entrejambe juste au-dessus du visage de la belle brune.

- Je dois utiliser ma langue pour stimuler son clitoris, c'est bien ça ?
- Tout à fait... et pour me lécher les lèvres, faire entrer ta langue en moi... et même me mordiller légèrement si tu veux.
Julien sourit en entendant le côté « robot » de Janet décrire ainsi un acte sexuel qui serait spontané et improvisé pour un humain. Mais le sourire fait place à une augmentation de sa frustration quand le côté « humain » de Janet entre en action et dévore soudain la chatte de Dakota tout en lui malaxant les seins.

Dakota semble aux anges mais n'oublie pas sa mission : faire jouir Janet. Alors que celle-ci lui broute le minou, elle tend la main en arrière et caresse son sexe.

- Vous êtes magnifique, les filles, commente Julien à la fois contenté visuellement et torturé physiquement.
Dakota le regarde en souriant puis dit à Janet :
- Julien ne semble pas si frustré que ça de nous voir ainsi... Si on lui offrait un spectacle un peu plus explicite.
- Allons-y, répond Janet entre deux coups de langues.
Les deux femmes se placent donc face à Julien, jambes écartées, Dakota au sol et Janet sur le canapé. La blonde reprend l'initiative en caressant Janet d'une main et en se masturbant de l'autre.

Puis Janet s'accroupit un peu plus, invitant Dakota à utiliser sa langue pour lui donner du plaisir.

Dakota, consciente du spectacle offert à Julien, joue les exhibitionniste tantôt en écartant ses lèvres pour exposer sa chatte...

... tantôt en se masturbant.

En position inconfortable, Dakota finit par s'assoir par terre en regardant Julien et, constatant qu'il est sur le point d'exploser et que les liens qui lui maintiennent les poignets fixés au siège sont à deux doigts de céder, elle décide de conclure cette séance lesbienne exquise.
- Cela te dirait que l'on jouisse toutes les deux en même temps Janet.
- Ce serait l'idéal ! J'en ai terriblement besoin présentement et je sens que toi aussi.
- Tu sens bien, Janet, tu sens bien ! Allonge-toi sur le canapé.
Janet s'exécute tandis que Dakota lui monte dessus en plaçant son sexe contre celui de sa maîtresse.

En position des ciseaux, Dakota commence à frotter son sexe sur celui de Janet. Les clitoris se caressent mutuellement, les lèvres s'entremêlent et la cyprine, que les deux femmes produisent abondamment, enduit leur entrejambe.

Les mouvements de bassins s'accélèrent tandis que le couple lesbien gémit de plus en plus fort sous l'effet du plaisir grandissant.
L'intensité des cris augment au fur et à mesure qu'elles se rapprochent de la jouissance. Les deux femmes gémissantes rendent dingue Julien. Leurs orgasmes sont presque synchronisés : Janet et Dakota sont secoués ensemble par la jouissance et s'immobilisent ainsi enchevêtrées.

Julien, toujours attaché sur sa chaise n'est pas seulement frustré de ne pas avoir pu participer. Il est également jaloux de la passion que les deux femmes ont partagée et de la complicité qui vient de naitre entre elles.
Mais alors qu'elles se redressent doucement en se caressant, se remerciant et, pour clore cet instant de grâce, s'embrassant, Julien se dit que s'il arrive à survivre à l'épreuve de Dakota et à rester dans le quartier, alors il pourra sans doute profiter de magnifiques plans à trois !

Les deux femmes se séparent enfin, Janet claquant des doigts pour réapparaitre habillée comme elle l'était en arrivant et Dakota ramassant sa petite robe pour se couvrir également.
Puis la belle blonde prend à nouveau Janet dans ses bras, de manière plus sage cette fois pour la remercier chaleureusement de ce moment et, plus globalement, de son aide. Janet semble alors surprise de cette marque d'affection.

- C'est donc cela un « câlin »... commente-elle.
- Et oui ! Ton premier, je suppose ?
- Oui. J'ai l'impression que beaucoup de mes premières fois vont avoir lieu avec vous, mes chères amis, répond-elle en regardant Julien.

- C'est fort probable en effet, répond Dakota en regardant Julien également avec un visage amoureux qui rassure profondément le jeune homme sur l'issue de cette journée.
Puis elle ajoute en regardant Janet :
- Tu peux nous laisser. Je vais finir ce que j'ai commencé avec Julien.
- Très bien, amusez-vous bien.
- J'y compte bien ! commente Julien en guise d'au revoir, lui qui subit une des pires frustrations sexuelles de sa vie.
Cependant la suite des évènements allait, certes, le soulager mais pourtant le décevoir terriblement. En effet, Dakota s'approche de lui avec une seringue, cette fois remplie d'un liquide inconnu.
- C'est de l'ocytocine... Cela va mimer une décharge de plaisir pour ton cerveau. Un faux orgasme si tu préfères. Et cela va me permettre de doser ensuite ton taux de dopamine.
- Un « vrai » orgasme ne produirait-il pas le même effet ? tente Julien alors que Dakota commence à le piquer.

- Non, car je veux comparer tes réactions cérébrales et hormonales entre un vrai orgasme et une injection qui en mime un. Je veux savoir si ton corps est réellement accro aux orgasmes et à l'excitation sexuelle ou si c'est juste que tu... es un gros pervers.
- Et ce truc-là va mimer un orgasme ?
- Tu as voir...
Et en effet, alors que Dakota finit l'injection, les ondes cérébrales de Julien se calment et celui-ci ressent soudain une baisse une décharge de plaisir et une baisse d'excitation soudaine. Comme après un orgasme. Pour vérifier cela, Dakota palpe l'entrejambe de Julien et constate que l'énorme érection de toute à l'heure a entièrement disparue.
- Julien, tu peux rentrer chez toi. J'ai du travail pour analyser tout cela. Dès que je serai arrivé à une conclusion, je viendrai te voir.
--
Il est 22h quand Dakota frappe à la porte de Julien. 3 heures d'attentes insupportables vont se conclure ici et, en même temps, deux possibilités : une éternité de bonheur ou une éternité de souffrances horribles.
- Julien... J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle, déclare Dakota d'un air grave en entrant dans la maison de Julien.
- Ah ? Je t'écoute.
- La mauvaise nouvelle c'est que tu vas souffrir beaucoup ces prochains jours, peut-être plus encore. Je suis désolé mon chéri.
Julien s'affale alors dans son fauteuil, comme assommé. Mais Dakota continue :
- Mais la bonne nouvelle c'est que je serai là pour t'aider ! Tu es un accro et je vais te sortir de là pour que nous puissions vivre ici, au bon endroit.
Julien saute alors de son fauteuil et enlace Dakota en la remerciant de tout cœur et en lui promettant de tout mettre en œuvre pour se soigner et se faire tout petit au bon endroit. Puis Dakota prend Julien par la main et l'entraine vers la chambre.
- Allons nous coucher mon chéri, la journée a été longue, dit-elle en commençant à se déshabiller.

- Ah ? Tu as décidé de te faire pardonner pour la torture que tu m'as infligé tout à l'heure ? demande Julien en baissant son pantalon.
- Pas du tout ! C'est simplement ton traitement qui commence dès maintenant, répond-elle avec un regard provocateur en se glissant dans le lit en sous-vêtement.

- Et c'est quoi mon traitement ?
- Comme pour tous les accros : une cure de désintoxication. A partir de ce soir, abstinence totale pour toi. Bonne nuit... et bienvenu au Bon endroit, Julien !
A suivre....
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The Good Place - Épisode 8- partie 1
Mme Lambert le séduisait depuis le début de l'année scolaire. Julien n'avait que 19 ans et une expérience sexuelle trop réduite à son gout, mais il sentait que cette femme encore terriblement bandante malgré son âge le chauffait volontairement.

Malgré des résultats scolaires excellents, elle trouvait toujours un prétexte pour le garder à son bureau à la fin des cours. Ce n'était ensuite que remarques inutiles, mises en gardes exagérées et conseils bien trop précoces sur son avenir scolaire... tout cela avec pour seul objectif d'exhiber son décolleté...

... ou ses bas.

A vrais dire, au début Julien ne se doutait de rien et se contentait de profiter du peu de pudeur qu'avait cette prof de biologie. Et ses allusions au fait que le sexe était une chose normale et naturelle ne faisaient que rajouter à son aura.
Ensuite, l'évidence est apparue aux yeux de Julien tandis qu'un soir, en colle, elle s'exposa plus que d'habitude, assise sur son bureau.

Puis Mme Lambert était retournée s'assoir derrière son bureau et cela n'avait alors été une série de croisements de jambes généreux.



Julien avait alors pu contempler sa culotte et ses bas sans aucun problème pendant près d'une demi-heure. Une obsession était alors née chez lui. Une obsession à la fois sexuellement perverse et aussi teintée d'un amour puéril pour une femme plus âgée. Il avait commencé à l'imaginer dans toute sorte de situations excitantes, parfois romantiques, parfois complètement dégradantes et essayait de la mater à la moindre occasion. Un soir, en colle (Julien avait cette fois délibérément fait une connerie pour rester avec elle), il avait mis au point un plan pour filmer sous sa jupe avec son téléphone. Le subterfuge était grossier : alors qu'elle passait à côté de sa table, il avait fait tomber un crayon de sa table en espérant que sa prof, avec son tempérament d'allumeuse, se penche pour le ramasser. Et, comme elle le faisant, il avait alors pût filmer sous sa jupe.

Et alors qu'il pensait avoir été discret, Mme Lambert l'avait interpellé en fin de colle et, assise sur son bureau, lui avait dit :
- Tu sais Julien, si tu veux voir ma culotte, il suffit de demander !
Elle écarta alors les jambes pour montrer ce magnifique string pour lequel Julien c'était donné du mal ! Le string était en dentelle et la transparence du tissu laissait apparaitre une belle surface de peau au niveau du bas ventre et le début de ses poils pubiens.

L'obsession de Julien ne faisait que croitre. Plusieurs jours après cet évènement, Julien avait été à nouveau convoqué à son bureau après les cours. Mme Lambert lui a alors demandé sans détour s'il s'était masturbé en pensant à elle, s'il l'imaginait dans des situations perverses. Gêné, il avait nié, malgré l'évidente attraction qu'il éprouvait pour elle. De plus, c'était une femme expérimentée qui savait forcément que les jeunes hommes passaient leur temps à se branler. Mais l'embarras l'avait emporté et il avait continué d'affirmer qu'il ne s'était pas masturbé en pensant à elle. Amusée par le refus de Julien de se livrer, elle lui avait alors sauté dessus pour lui baisser son pantalon et l'avait masturbé elle-même. Julien avait jouit très rapidement, sur la main de Mme Lambert et celle-ci, après s'être essuyé les doigts, l'avait alors demandé de sortir de sa salle, comme si de rien n'était.

Suite à cet évènement déclencheur, leur relation a rapidement pris une tournure classique de maîtresse/amant. Après les cours ou bien en colle, ils se retrouvaient et faisaient... exactement ce que Mme Lambert décidait. Si elle avait envie de se faire sauter, Julien devait la baiser et surtout devait le faire bien !

S'il avait été décevant, il pouvait se voir contraint, non pas à l'abstinence (car Mme Lambert avait des besoins énormes) mais à la faire jouir pendant une durée indéterminée, parfois des jours ou des semaines, sans espérer lui-même se soulager avec elle.

Mais parfois, lorsqu'il avait été bon, elle lui faisait un plaisir, en général une belle pipe goulue...

... terminée de la manière qu'il lui plairait. En général, Julien optait pour l'éjaculation faciale, un must pour tout ado bercé au porno !

Évidemment, avec de telles récompenses, Julien s'efforçait de faire des progrès et devenait un bon amant, même du point de vue de cette femme expérimentée. Il devenait aussi plus gourmand, voire pervers, et plus audacieux. Il jouait avec la fierté et la volonté de domination de Mme Lambert pour lui poser des défis. Un des plus gros challenge qu'il lui ait proposé était de baiser au CDI, avec d'autres élèves autour.
Il avait d'abord proposé qu'elle s'assoie à son bureau en faisant mine de travaille et se masturbe pour le chauffer. Magnifique scène qu'il avait évidemment filmé, pour la postérité !

Puis, une fois tous deux surexcités, il lui avait demandé si elle préférait la version prudente d'un petit coup vite fait le temps d'une pause ou si elle osait la totale : pipe, baise dans plusieurs positions et final explosif, le tout évidemment toujours au CDI. Piquée au vif par Julien qui doutait de son courage, Mme Lambert avait opté pour la deuxième solution et Julien l'avait donc baisé avec une rare intensité, entre deux étagères de livres.




Le clou de cette journée avait été pour Julien de faire accepter à Mme Lambert une petit photo souvenir de son joli visage de femme mure souillé de sperme chaud avec, en arrière-plan, des élèves en train de travailler.

Cette aventure avait été le point culminant de leur relation passionnée. Mais comme toutes les passions, la flamme finit par faiblir et Mme Lambert avait commencé à solliciter Julien de moins en moins souvent. Pourtant lui était fou amoureux et ne cessait de se manifester à elle. Rien n'y faisait, Mme Lambert avait toujours une bonne excuse pour reporter un rendez-vous.
Un soir, il tenta de la surprendre, se disant que c'était la surprise et la spontanéité qui manquait à leur relation. Alors qu'il s'approchait de la salle de classe, bien après la fin des cours, il la vit en train d'allumer un autre élève, un grand métis de l'équipe de rugby.

Mme Lambert avait trouvé un nouveau jouet et n'avait plus besoin de Julien.
Le cœur brisé, Julien cru trouver le réconfort dans les photos et vidéos qu'il avait fait de sa prof de biologie mais n'y trouva qu'une source de jalousie qui évolua en colère et, au final, en désir de vengeance.
Il commença, sans la moindre hésitation, à publier sur le réseau interne du lycée la vidéo de Mme Lambert croisant et décroisant les jambes sous son bureau. On n'y voyait pas son visage et la qualité était mauvaise. Personne ne fit donc le lien avec un membre du lycée. Personne, sauf Mme Lambert qui reçut bientôt une menace claire de Julien de diffuser les autres vidéos, beaucoup plus explicites. La condition pour son silence ? Que Mme Lambert redevienne sa maîtresse et qu'elle soit, cette fois-ci, soumise et obéissante.
Coincée, elle accepta de répondre aux sollicitations de Julien. Sauf que les règles de domination s'inversèrent et lorsque Mme Lambert ne se montrait pas à hauteur, Julien la punissait. A l'instar des châtiments qu'il avait subi, il se contentait parfois de prendre sa prof par le cul et lui refusait tout orgasme, se contentant de se soulager dans son colon.

C'est avec Mme Lambert que Julien devint accro à la sodomie. Il l'enculait presque à chaque séance de sexe et il arrivait qu'elle passe des jours voire des semaines à n'être pénétrée que par le cul.

Bizarrement, le fait de ravager de derrière de sa prof ne suffisait pas à apaiser le mal qu'elle lui avait fait. D'ailleurs elle ne faisait rien pour car, malgré le chantage, elle méprisait et rabaissait sans cesse Julien, comme pour se convaincre elle-même qu'elle gardait le contrôle.
Rempli de haine envers elle autant que de désir, Julien décida alors... de la détruire. Il commença par la partager avec des copains de classes.

Il organisait des fausses colles avec un complice et ils baisaient ensuite cette pauvre Mme Lambert qui, malgré tout, ne manquait pas de jouir copieusement lors de ces séances. Il s'invitait également chez elle pour la baiser sans risque d'être surpris. Il était alors rarement seul, emmenant toujours avec lui un ami ou deux.

La tranquillité de son domicile permit à Julien de lui faire faire des choses plus acrobatiques ! Julien, malgré son chantage, n'avais jamais à insister trop longtemps pour que sa prof de bio accepte les parties de jambes en l'air, en bonne nymphomane qu'elle était !

Avec la multiplication des rendez-vous de ce genre, la réputation de Mme Lambert se dégrada rapidement et de plus en plus d'élèves lui étaient passé dessus. Bientôt, certains profs se joignirent à la fête.

Mme Lambert pouvait être baisée dans sa salle après les courts, en colle, au gymnase ou chez elle. Julien participait d'ailleurs de moins en moins aux orgies et laissait les autres élèves s'organiser entre eux. La prof, d'ailleurs, ne subissait plus aucun chantage et avait manifestement pris gout au fait d'être la vide couille de tout un lycée.
A la fin de l'année scolaire, avant de partir à l'université, Julien avait réduit Mme Lambert au stade de trainée sans plus aucun amour propre, toujours partante pour un gangbang dégradant.

A la rentrée, après plusieurs semaines sans avoir eu de nouvelles d'elle, il apprit par un ancien camarade de classe que Mme Lambert avait démissionné de l'éducation nationale pendant les vacances et avait déménagé. Personne n'a su ce qu'elle était devenue.
En apprenant cette nouvelle, Julien fit le bilan de ce qu'il avait fait : transformer par le chantage une prof un peu volage mais respectable en une pute offerte à tous. Et face à ce constat, il éprouva un remord, un seul : celui d'avoir laissé cette chienne lui briser le cœur. Pour le reste, aucun regret.
En abordant sa vie d'étudiant à la Fac, il se promit une chose : ne plus jamais s'attacher à une femme et se servir d'elles comme des kleenex, c'est-à-dire les user, les souiller puis les jeter.
C'est avec ce souvenir digne des pires enfoirés de la Terre que Julien se réveilla dans son lit, à côté de Dakota. En la regardant dormir, il se dit immédiatement que sa façon de traiter les femmes lui avait procuré beaucoup de plaisir mais l'avait également conduit au bord du gouffre. Et c'est finalement l'amour d'une jeune femme parfaite qui allait peut-être le sauver.
Mais bordel que c'était dur ! Il attaquait sa deuxième journée de sevrage et ne pensait qu'à une chose : baiser. La première journée avait été facile car il était resté chez lui en compagnie de Dakota et avait passé leur temps à lire, bavarder, se reposer, manger et boire comme un jeune couple normal. La nuit, avec ce cauchemar de sa vie passée, avait été plus difficile et la journée qui commençait s'annonçait comme un défi.
D'ailleurs, en regardant l'heure matinale affichée sur le réveil, il décide de repousser la perspective de démarrer cette journée et repose sa tête sur l'oreiller pour rejoindre Dakota dans les bras de Morphée.
Il est réveillé un peu plus tard par une agréable sensation : celle de Dakota en train de le sucer au lit.

Dakota semble affamée et commence à mordiller le sexe de Julien. Celui-ci se dit que c'est une étrange méthode de sevrage mais se laisse pomper le dard avec plaisir.
Cependant, les mordillements deviennent de plus en plus marqués et Dakota semble prendre du plaisir à serrer ses mâchoires sur la queue de Julien.
Soudain, Dakota se déchaine et mord, comme dans un morceau de viande le sexe de Julien qui se mets à hurler.
Le sang coule...
Un morceau de chair cède...
Julien se réveille alors en sursaut et vérifie aussitôt que son sexe est bien en place, intacte. Le moment de panique passé à cause de ce cauchemar, Julien regarde autour de lui et aperçoit Dakota en train de s'habiller. Nue, de dos, elle enfile une culotte.

Elle se retourne :
- Bonjour mon chéri, tu vas bien ?
- Heu.... Oui... mais j'ai fait un horrible cauchemar...
- C'est normal, tu es en manque. Cela peut durer quelques jours mais ça finira par se calmer.

Dakota se tourne alors vers Julien en finissant d'enfiler sa culotte. Elle se montre ainsi seins nus devant lui.

- Il faut dire aussi que tu ne facilite pas les choses... ajoute Julien en pointant les seins de Dakota.
- Oups, pardon ! C'est en effet cruel de ma part, répond-elle en se couvrant les seins.

- C'est guère mieux ! Tout chez toi m'excite !
- Désolé. Allez, je vais faire du café. Rejoins-moi dans le salon, je serai habillée plus convenablement !
Dakota sort alors de la chambre pendant que Julien traine au lit puis se lève et s'habille vite fait : un t-shirt et un simple boxer. L'odeur du café frais dans la cuisine l'incite à repousser pour plus tard sa douche.
Dans le salon, Dakota, vêtue d'un haut et d'une veste de jogging, l'attend sur le canapé, avec deux mug de café fumant posés sur la table basse devant elle.

Julien s'approche en disant qu'elle est l'âme sœur idéale. Mais tandis qu'il arrive à sa hauteur, Dakota aperçoit alors l'énorme bosse qui déforme son boxer.

- Julien, tu bandes encore ?
- Mais Dakota... ça fait deux jours que je bande en permanence ! Et, sans vouloir te vexer, c'est en partie de ta faute !
- Bon ! Je crois que si je veux que tu réussisses ce sevrage sans craquer et me sauter dessus, il faut que je te laisse tranquille.
Dakota se lève, prend 2 gorgées de café, embrasse Julien et se dirige vers la sortie en lui conseillant de sortir de chez lui et de prendre l'air. Le fait de discuter avec d'autres gens lui changera aussi les idées, en essayant d'aller voir des gens vieux, moches ou autre pour le calmer !
Elle avait dit cette dernière phrase avec un ton d'humour car ce genre de jugements de valeur n'était pas vraiment du genre du « bon endroit ».
Julien la salue et regarde Dakota sortir de chez lui en direction de sa maison. Il constate que celle-ci est sortie dans sa tenue de pyjama : veste de jogging, petit haut et mini short moulant. Bref une tenue très excitante pour quiconque la croiserait ainsi.

Julien se demande alors si Dakota a toujours été « décomplexée » de cette manière ou si c'était les changements de fonctionnement qu'il avait initiés dans le quartier qui commençaient à infuser dans les comportements des résidents.
Il eut la réponse à cette question en sortant de chez lui, plus tard dans la matinée.
En effet, la promenade dans le quartier censée lui aérer l'esprit et lui changer les idées se transforma vite en terrible épreuve. Pour profiter du soleil qui, c'est très pratique, brille tous les jours sans provoquer ni sècheresse ni canicule, Julien décide d'aller à la plage afin de faire bronzette et éventuellement de se baigner.
En arrivant à la plage, il comprend immédiatement que ce ne sera pas si simple. Il croise d'abord deux belles blondes, en tout petit bikini, qui le saluent chaleureusement :
- Bonjour Julien !

- Bonjour... heu... Olga et Petra... c'est ça ?
- Oui c'est bien ça ! Tu viens bronzer ?
- Oui... je me trouve un peu palot depuis ma mort !
- Tu perds ton temps, le soleil ici ne change pas notre teint. J'imagine que c'est lié au fait que c'est cancérigène et que... on n'est pas censé attraper un cancer au bon endroit !
- Oui, en effet. Et bien je vais juste faire une sieste sur la plage alors.
- Ok, bonne journée alors ! Et si tu veux un beau bronzage, il suffit de demander à Janet, elle fait ça à merveille !
- Merci du tuyau, bonne journée les filles.
Julien, soulagé que ces deux mignonnes ne restent pas plus longtemps, se dirige vers un coin désert de la plage et s'allonge. Au bout de quelques minutes, il entend le bruit d'une serviette que l'on déploie et tourne la tête dans cette direction.
Derrière lui, également à l'écart, une magnifique femme, seins nus, s'allonge sur la serviette et commence à lézarder au soleil. En voyant Julien, elle le salue, manifestement peu gênée d'être presque nue.

Julien lui retourne son bonjour et s'allonge à nouveau en essayant de regarder en direction de l'eau. Mais rapidement, il voit une belle brune en train de nager et de se rapprocher du bord. Arrivée sur le sable, celle-ci s'assoit pour souffler un peu et Julien s'aperçoit alors qu'elle est, elle aussi, seins nus.

Julien se maudit alors d'avoir aussi efficacement libéré les mœurs du quartier car, à présent qu'il doit se sevrer, cela se retourne contre lui. L'épreuve ne fait pourtant que commencer car au moment où cette femme se lève, Julien se rend compte qu'elle est en réalité complètement nue.

Au même instant où Julien aperçoit cela, le regard de la belle brune se pose également sur lui. Gênée, elle se couvre alors les seins et le sexe.

- Oups ! dit-elle avec le sourire... ce coin est normalement tranquille, je ne t'avais pas vu.
- Aucun souci, répond Julien qui ignorait complètement le nom de cette résidente. Je me tourne le temps que tu passes !
- Merci, c'est gentil ! répond-elle alors en trottinant pour aller rejoindre sa serviette.
Cependant, à nouveau sur le ventre, le regard tourné vers la plage, Julien retombe sur la belle blonde qui bronze sur sa serviette, toujours topless.

Elle-même est sur le ventre, sans faire attention à Julien, offre une vue magnifique sur son postérieur. Julien pense pouvoir gérer le fait d'avoir de si belles fesses sous le nez jusqu'au moment où, pour retirer du sable qui c'était glissé là où il n'a rien à faire, la belle blonde écarte son maillot de bain et expose furtivement son sexe.

Le cœur de Julien manque alors un battement et le jeune homme décide alors de quitter la plage car, clairement, les sources de tentation sont trop fortes. Désireux d'enlever le sable qui le recouvre et de refroidir les esprits, il se dirige vers les douches de plage, réputées pour être fraiches.
Mais il y aperçoit une autre résidente, nue également, elle aussi en train d'enlever le sable et le sel de son corps.

Là encore, il préfère battre en retraite et se dirige vers une autre douche, libre. Mais la blonde derrière lui l'appelle :
- Julien, attend, j'ai terminé ! Tu peux prendre ma place.
- Hum.... Merci.... C'est sympa, répond-il gêné en passant sous la douche tandis que la blonde allait récupérer sa serviette.

Contrairement à la brune rencontrée au bord de l'eau, cette résidente n'est absolument pas embêtée par le fait d'être nue à côté de Julien. D'ailleurs, elle engage la discussion :
- Au fait, je voulais te remercier, Julien.
- Ah... pourquoi ?
- J'ai appris qu'un salon de massage venait d'ouvrir et que c'était ton idée. Tout comme la boutique de lingerie sur laquelle Julia travaille. C'est vraiment une excellente idée de ta part car ce sont des choses que j'adorais étant vivante et qui me manque aujourd'hui. D'autant qu'à mon époque, la lingerie n'était pas aussi élaborée qu'aujourd'hui.
- Tu es ici depuis quand ?
- Depuis environ 40 ans. Et j'ai hâte de pouvoir enfiler un porte-jarretelle comme au bon vieux temps pour faire plaisir à mon âme sœur !!
La belle blonde termine alors de ce sécher et jette la serviette sur son épaule. Elle commence à s'éloigner puis se retourne et dit à Julien, en guise d'au revoir :
- Tu devrais passer au salon de massage pour voir Asa à l'œuvre. Elle et Julia t'attendent, je crois...

- J'y passerai tout à l'heure, répond Julien en la regardant s'éloigner et en restant hypnotisé par son petit cul.
Il faut une douche fraiche de plus de 15 min pour permettre à Julien de débander un peu et de pouvoir quitter la plage sans exposer une gaule qui, avec ce soleil, ferait cadran solaire.
Quittant la plage, Julien se dirige vers la partie du quartier concentrant les commerces et les bâtiments officiels, notamment celui de l'architecte, Julia. En route, il s'arrête dans un magasin pour s'acheter une glace, ou plutôt un yaourt glacé chose que semblent apprécier les anglo-saxon du quartier mais qui laisse Julien un peu sur sa faim. A la caisse (façon de parler car rien n'est payant au « bon endroit »), la serveuse d'habitude si professionnelle, si sérieuse, si... chiante, lui fait un large sourire en l'accueillant et expose sans complexe en magnifique décolleté.

Puis, après avoir fait le cône de glace avec sa machine à « frozen yogourt » elle se retourne vers Julien et lui donne. Celui-ci aperçoit alors les tétons de la jeune femme pointant sous son débardeur. Est-ce le froid ? Est-ce l'excitation ? Ou un peu des deux ? Julien n'en sais rien mais est sûr d'une chose : la serveuse ne porte pas de soutien-gorge et flirt avec les clients.

Ce n'est d'ailleurs pas la seule dans ce cas car, à la terrasse du magasin, une autre résidente arbore elle aussi des tétons qui pointent alors qu'elle boit un café brulant. Le froid n'est certainement pas en cause dans ce cas !

Les femmes ne semblaient par les seules à avoir des mœurs plus légères puisque derrière lui, il aperçoit un client passant une main aux fesses d'une autre serveuse en la remerciant de la prestation.

Celle-ci retira sa main avec le sourire et en disant :
- Enfin Robert... Ça ne se fait pas ! Ou alors en demandant poliment !
La serveuse avait ajouté cette dernière partie en faisant un clin d'œil au client qui incitait clairement à recommencer !
Sorti du magasin, Julien essaie de penser à autre chose que les tétons qu'il a aperçus et « savoure » sa glace en se dirigeant tranquillement vers le salon de massage d'Asa. Il croise plusieurs résidentes qui, clairement, arborent des tenues bien plus décontractées voire sexy que les premiers jours de son arrivée ici. Il y a encore peu de temps, il aurait été ravi de cette libération des tenues mais là, il sait que son sevrage s'en sera que plus dur.


A la hauteur d'un fleuriste, il croise une magnifique femme, sans doute d'origine indienne, qui choisit un bouquet de fleur, vêtue d'une longue robe.

Cette tenue sage rassure un peu Julien qui se dit que tout le quartier n'est pas encore passé en mode allumeuse. Mais alors qu'elle repose un pot de fleur pour un choisir un autre, Julien s'aperçoit que la robe est largement fendue sur le devant et qu'elle révèle de magnifiques jambes.

Julien dépasse la femme en essayant de ne pas la reluquer mais c'est elle qui le rattrape et l'interpelle :
- Julien !
- Oui ? Répond celui-ci en se retournant.
- Bonjour... Je suis Shyla, je ne suis pas sûr qu'on se soit encore croisé depuis ton arrivée ici.
- Bonjour Shyla, non je ne crois pas t'avoir déjà vu en effet.

- Tu vois souvent Anissa, je crois ?
- Heu... et bien... on est voisin... donc on se croise régulièrement, répond Julien, gêné et inquiet que sa relation avec elle ne soit connue.
- Bien ! Tu pourras lui dire à l'occasion que je n'arrive pas à trouver la couleur de fleur qu'elle m'a demandé pour sa prochaine fête. Je vais voir avec Janet mais je n'aime pas trop me servir d'elle comme d'un distributeur...
- Ok... je lui dirai à l'occasion, répond Julien distrait et complètement absorbé par la jambe de Shyla qui dépasse de sa robe.

- Quoi ? C'est ma robe c'est ça ? demande-t-elle alors, un peu agacée. Toi aussi tu la trouves choquante, c'est ça ?

- Hein ? Quoi ? Non, elle est très bien ta robe...
- Vraiment ? Tu ne l'as trouves pas un peu osée quand même ? Mon mari dit qu'elle ne cache pas grand-chose quand je marche vite ! ajoute-elle en écartant un peu les pans de sa robe comme pour illustrer son propos.

- Non je t'assure c'est très joli et ce n'est pas si... ouvert que ça.
- Bon... tant mieux parce que je l'adore cette robe ! Et même si au moindre coup de vente, elle se soulève complètement...
Et à nouveau, comme pour illustrer la situation qu'elle décrit, elle se tourne légèrement et soulève d'un coup l'arrière de sa robe comme si une bourrasque l'avait fait, et expose furtivement ses cuisses et ses fesses.

- Et bien... vivement qu'il y ai une tempête ! déclare Julien en tentant l'humour pour se sortir de cette situation.
- Quel charmeur ! Anissa a raison... vous les français êtes incorrigibles ! Je dois y aller, tu penses à faire passer la commission ? Sinon Anissa va encore me faire une crise dont elle a la spécialité !
- Oui, pas de souci, au revoir Shyla !
Julien regarde, subjugué, Shyla s'éloigner en constatant en effet que les pans de la robe se soulèvent à chaque pas. Il avait rarement vu des jambes aussi belles.
Il commence à croire qu'il n'arrivera jamais au terme de son parcours vers le salon de massage mais il se fait alors la réflexion qu'en réalité, les résidents l'ont toujours salués lorsqu'il se promenait en ville. Il y avait toujours une femme pour lui souhaiter la bienvenue, un homme pour lui dire de passer à la maison un de ces jours, etc. Les résidents du quartier sont, depuis le premier jour, très chaleureux avec lui. Sauf que maintenant, ils sont chaleureux ET séducteurs !
Julien reprend son chemin et se concentre sur sa glace en évitant du regard les bombes sexuelles qu'il croise et en se concentrant, comme l'a proposé Dakota, les veilles et les moches ! Malheureusement pour lui, il croise un peu plus loin Anissa, sa voisine et maîtresse. Il aurait souhaité l'éviter mais il était trop tard : elle l'avait aussitôt remarqué et l'avait appelé. Anissa était, comme d'habitude, magnifiquement mise en valeur par ses vêtements. Contrairement à d'autres résidentes, la belle orientale n'avait jamais eu peur de montrer ses atouts généreux en public. D'ailleurs, lors de leurs discussions, Dakota avait rapidement avoué sa jalousie devant ce corps si parfait.
- Julien ! Comment vas-tu ? Je commençais à m'inquiéter, ça fait deux jours que je ne t'ai pas vu !

- Oui... j'ai passé pas mal de temps avec Dakota.
- Je vois ! répond Anissa en faisant un clin d'œil. La pauvre Dakota doit avoir du mal à marcher à présent !
- Rhoooo Anissa...
- Allons, ne fait pas le timide. Je me souviens d'un Julien qui sait parfaitement comment prendre une femme... répond Anissa en s'approchant de Julien et en lui palpant le paquet.

Puis elle continue en parlant à voix basse :
- D'ailleurs, ça ne te dirais pas de passer chez moi tout à l'heure... J'ai bien envie, moi aussi, de ne plus pouvoir marcher...
- Aujourd'hui ça ne va pas être possible, Julia m'attend à son bureau et ensuite je passe la soirée avec Dakota. On a besoin de passer un peu de temps ensemble, tu comprends ? J'essaierai de passer te voir dans les jours prochains...
- Bien... Dommage... Ne me fais pas trop attendre quand même... tu m'as fait découvrir des aspects de ma personnalité que j'ai envie d'explorer encore, répond Anissa en jouant avec ses cheveux, une technique classique de drague, même en étant mort !

Julien regarde Anissa s'éloigner en se retenant de la rattraper pour la prendre sauvagement. La belle brune faisait clairement allusion au sexe brutal et à la sodomie quand elle parlait « des aspects de sa personnalité qu'elle voulait explorer encore ». Et Julien avait également très envie d'explorer son cul !
Il réussit à se ressaisir et à, enfin, atteindre le salon de massage. Il se demandait d'ailleurs ce que lui voulaient Asa et Julia. Les convocations de l'architecte le stressaient toujours et depuis qu'Asa avait découvert la vérité à son sujet, il essayait à tout prix d'éviter de la croiser.
Une fois entré dans le salon, il découvrit Asa seule, de dos, en train de trier son matériel. Dans sa longue blouse blanche, elle ne remarque pas Julien qui décide de l'interpeller.
- Asa ?
La belle asiatique se retourne et Julien découvre alors que sa blouse est largement ouverte sur une lingerie très jolie mai assez sage.

- Whoa quel accueil, poursuit-il, surprit.
- Et oui ! Pourtant ça n'attire guère de résidents... Si seulement ils osaient passer le seuil de la porte, ils seraient convaincus.
- Clairement ! Il parait que tu voulais me voir ?
- Oui et non. Hier, après le passage d'une de nos rares clientes, nous avons parlé de ce problème de fréquentation avec Julia et nous aurions voulu avoir ton avis. Mais tu étais introuvable...
- J'étais avec Dakota... je lui ai tout dit, déclare Julien à voix basse. J'ai tout avoué et elle a promis de m'aider à me sevrer.
- Te sevrer ? Je ne suis pas spécialiste, Julien, mais vu comment tu as transformé ce quartier, ça ne va pas être facile. A mon avis, tu aurais plus facile à apprendre à te contrôler. Comme je le fais.
- C'est la méthode de Dakota et, pour l'instant, je suis ses conseils.
- C'est très sage de ta part ! Je constate que tu es sur la bonne voix en tout cas et cela me rassure.

Puis elle enchaine :
- Tu pourrais aller voir Julia et voir si elle a trouvé un moyen de booster la fréquentation du salon de massage. Je m'ennuie ici et l'excitation que j'espérais n'est pas au rendez-vous.
- J'y vais et je te tiens au courant. Et sache que je n'ai pas oublié non plus ma mission pour toi.
- Tant mieux ! A plus, bad boy !
- Bad boy ? C'est moyen comme surnom ici...
- Alors deviens un « good boy »... Moi il m'a fallu des décennies et... mourir, pour qu'on m'appelle par mon prénom au lieu de « esclave », « chienne » ou autres surnoms du genre... Cet endroit se mérite !
- Je sais, j'y travaille ! A plus... Asa.
Julien quitte le salon de massage en direction du bureau de Julia, situé dans le bâtiment mitoyen. Les deux espaces communiquent d'ailleurs par une porte mais Julien préfère alors prendre le chemin « classique », comme n'importe quel autre résident, afin de garder cette attitude plus discrète qu'il a adopté depuis hier.
En entrant dans le bureau, il ne trouve personne pour l'accueillir (Asa, l'assistante est maintenant occupée au salon de massage la plupart du temps). Il se dirige donc directement vers le bureau de Julia et la découvre assise sur le fauteuil réservé aux visiteurs, face à la porte.
La tenue qu'elle porte surprend complètement Julien. Son soutien-gorge dépasse de sa robe minuscule, tout comme ses cuisses et ses bas.

- Bonjour Julien ! Te voilà enfin, déclare Julia en l'invitant à entrer dans son bureau.
- Bonjour Julia ! Voilà une tenue... plus que sexy !
- Ça te plait ! J'ai trouvé que c'était particulièrement pratique pour que les résidents voient mes sous-vêtements quand j'écarte les jambes, répond-elle en liant le geste à la parole.

- En effet c'est parfait pour montrer ses sous-vêtements... mais j'ai peur que ce soit un peu trop excessif, Julia.
- Vraiment ? Pourtant tu as dû voir que les résidents du quartier sont devenus beaucoup plus démonstratifs, non ?
- Oui et justement, je trouve que les changements vont plus vites que prévus... On risque d'attirer l'attention sur le quartier. D'ailleurs je ne comprends pas comment on a pu passer de résidents coincés du derrière à des exhibitionnistes en chaleur en quelques jours juste en changeant la règle de la monogamie.
- Oh, c'est parce que j'ai tout simplement diminué leur inhibition !
- Quoi ? Mais ce n'était pas prévu !!
Julien comprend alors sa surprise face aux résidents qu'il a croisés ce matin. Que les femmes soient plus séductrices est logique avec la monogamie supprimée. Mais tous ces nudistes, ces allumeuses, ces pervers peloteurs, c'était l'œuvre de Julia !
- Non, ce n'était pas prévu, je sais. Mais Asa m'a fait part hier du peu de fréquentation du salon de massage. Et comme nous prévoyons d'ouvrir aussi d'autres établissements « pour adultes », j'ai pensé qu'il fallait un peu les motiver !
- Les motiver oui, mais pas les transformer ! Les résidents doivent rester eux-mêmes mais c'est le quartier et son fonctionnement qui doit leur permettre d'assumer leur sexualité s'ils le souhaitent ! Là on dirait que tout le monde est en chaleur.
- Mince... tu penses que je suis allée trop loin ?
- Oui mais ç'est rattrapable. Remonte un tout petit peu leur inhibition pour qu'ils restent « ouverts » sans qu'on ait des nudistes en pleine rue. Et pour le salon de massage, il y a d'autre moyen de faire sa promotion. Des moyens tout à fait classiques mais efficaces.
- Ok... bon je file une seconde dans mon espace de contrôle et je reviens. Je suppose que je dois prendre une tenue plus décente également ?
- Oui, ce serait mieux... même si j'admets que c'est très agréable à regarder !
Julia se dirige alors vers un des murs de son bureau, ouvre une porte qui, jusqu'à présent, était tout à fait invisible et en ressort littéralement une seconde plus tard en ayant changé de tenue... et de tête. Elle porte à présent une veste de tailleur... et c'est tout. Elle se présente seins et sexe à l'air devant Julien.

- Voilà c'est réglé. Et pour la tenue, c'est mieux comme ça ?
- Heu... Tu plaisantes ?
- Évidemment ! Tu verrais ta tête !!
Julia claque alors des doigts et apparait dans une version plus habillée.

- Et voilà !
- Là c'est parfait, juste sexy comme il faut.
- Oui et regarde, quand je me penche, on voit un peu mes bas... mais pas trop.

- C'est l'idée : en montrer juste ce qu'il faut pour donner envie !
- Bien... et cette idée pour le salon de massage.
Julien n'avait pas spécialement d'idée de promotion, il avait surtout voulu limiter les dégâts de la décision de Julia. Mais perspective de faire d'une pierre deux coups lui vient alors à l'esprit.
- Et bien, comme pour les changements de comportements que nous avons initiés il y a plusieurs jours, je pense qu'il faudrait que tu montres l'exemple. Que tu ailles te faire masser en le faisant savoir. Les résidents, surtout les plus anciens, te voient comme une divinité. Si tu te fais masser régulièrement, ils suivront l'exemple et le feront également.
- Ok, cela ne me dérange pas du tout, au contraire, Asa me semble douée dans ce domaine.
Satisfait, Julien se dit qu'Asa serait ravie de masser la femme de ses désirs même si cela ne prenait pas le caractère sexuel qu'elle souhaitait. Pas tout de suite en tout cas. En tout cas, cela montrait à la belle asiatique que Julien s'occupait de sa part du contrat.
- Super ! On commence tout de suite ? On va aller devant le salon, et je vais alors te demander un rendez-vous. Tu me répondras alors que tu ne peux pas car tu dois aller te faire masser, que les massages d'Asa sont divins, etc. Les passants autour de nous entendrons et, espérons-le, passerons le mot.
- C'est parti !
Quelques minutes plus tard, Julien est dans la rue et fait mine de se diriger vers le bureau de Julia. Celle-ci en sort et marche en direction du salon, avec un sac de vêtements adaptés sous le bras.

A haute voix et avec une intonation de mauvais acteurs, les deux complices échangent leurs lignes de dialogues et Julien conclu :
- Oh zut alors, je vais devoir attendre que tu es fini ton massage. D'ailleurs, ça me donne envie d'essayer aussi. J'espère qu'Asa n'est pas overbookée ! A plus tard, Julia.
- A plus tard Julien !
Julia, se retenant de rire, entre dans le salon et déclare vouloir un massage à Asa qui parait surprise. Julien, depuis la rue, lui sourit avec un air de dire « joyeux anniversaire ». Asa demande à Julia d'aller se changer dans une cabine et, pendant ce temps, sort rapidement du salon pour discuter avec Julien avant qu'il ne s'éloigne :
- Elle veut vraiment que je la masse ?
- Oui... à toi de jouer maintenant pour qu'elle ait envie de revenir ! Évidemment, je continue de la travailler au corps pour qu'elle devienne ta maitresse !
Julia sort alors de la cabine en peignoir.

L'apercevant, Julien chuchote à Asa :
- La voilà, amuse toi bien.
- Merci !
Julia s'approche de la table de massage et, tout en enlevant son peignoir, demande à Julien :
- Tu ne restes pas ?

Celui-ci lutte alors contre l'envie de rester pour contempler ce corps de déesse.
- Non, je dois aller manger avec Dakota. A plus tard vous deux.
- Ok à plus tard ! répond Julia en finissant d'enlever le peignoir, se retrouvant alors en sous-vêtement.

Sur le pas de la porte, Julien décide de tenter quelque chose pour faire plaisir à Asa. Il dit à voix basse :
- Heu, Julia ? Je pense que si tu enlevais tes sous-vêtements, le massage serait plus agréable pour toi. Le tissu va gêner Asa.
- Ah ? Asa, tu penses que c'est mieux ? demande-elle.
- Heu, oui.... Oui sans aucun doute !
- Alors ok.
Julia enlève donc ses sous-vêtements et se présente donc entièrement nue devant la table de massage.

- J'espère que cette forme de publicité va marcher, dit-elle à Julien.
Le jeune homme parcourt alors le magnifique corps de l'architecte et répond :
- Oh j'en suis certain ! Bonne journée vous deux.
Puis enfin, il s'éloigne, laissant Asa s'en donner à cœur joie avec le corps de Julia. Sa mission accomplie, il décide de rentrer chez lui car, décidément, cette balade n'a rien fait d'autre que l'exciter d'avantage. Il a hâte de prendre une nouvelle douche glacée et de raconter sa journée à Dakota, fier d'avoir lutté avec succès !
A suivre...
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The Good Place - Épisode 8- partie 2
(Petit rappel de l'épisode précèdent : Julien, ayant tout avoué à Dakota à propos de son addiction au sexe et de la précarité de sa situation au « bon endroit », suit une sorte de cure de désintoxication. Mais alors qu'il cherchait à se changer les idées, il est confronté à toutes sortes de situations tentantes. Après avoir bravement résisté, il rentre chez lui pour raconter sa journée à Dakota).
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Arrivé chez lui, Julien constate l'absence de Dakota qui, se dit-il doit être restée chez elle. Il envisage donc d'aller la voir pour faire le bilan de sa balade mais se récompense déjà lui-même en se préparant un casse-croute royal. Pour l'accompagner, il ne dispose malheureusement que d'eau. Or il estime mériter une excellente bouteille de vin et décide donc d'appeler Janet pour se servir de ses capacités de manière plus classique.
Même si ses intentions étaient tout à fait conformes aux habitudes du quartier, Julien reconnait les transformations qu'il a réalisé sur Janet au moment où elle apparait : elle se présente seins nus et uniquement vêtue d'un bas de tablier pour couvrir son sexe.

- Oui Julien ?
- Bonjour Janet... Quelle tenue !
- Oui, comme tu étais dans ta cuisine au moment de m'appeler, je me suis dit que ça restait dans le thème. Tu aimes ?
- Oui beaucoup... Tu pourrais me fournir une bonne bouteille de vin. J'ai envie de me faire plaisir !
- Bien sûr... D'après mes bases de données, un Romanée-Conti 1984 ira très bien avec ton sandwich.
- Du Romanée-Conti ?? Si j'avais su que c'était si simple, j'en aurai déjà fait une cave entière !
- Et oui, on est au « bon endroit » ! Ce sera tout ?
- Oui, merci Janet !
- De rien.... Tu... penses que tu peux me donner un orgasme... maître ?

- Oh... Et bien, tu sais, l'expérience d'avant-hier réalisée par Dakota continue toujours et je crains de ne pouvoir te satisfaire.
- Tu pourrais me faire jouir sans... te soulager.
- Sauf que je ne pense pas être capable de me retenir... Et j'ai donné ma parole à Dakota. Tu comprends ?
- Oui, je crois. La confiance est quelque chose d'important dans un couple et trahir ton âme sœur serait de mauvais augures pour une éternité de vie en commun.
De toute la journée où il avait dû repousser les avances de femmes ou les tentations qui s'offraient à lui, c'est le faite de rejeter Janet qui lui parut le plus dommage. Il avait fait d'elle son esclave et elle était à présent accro aux orgasmes. Il pouvait en faire ce qu'il voulait et pourtant, il était pieds et poings liés. Quel gâchis !
- Merci de ta compréhension. Je te promets que dès que je peux m'occuper de toi, je le ferai. Et je le ferai avec plaisir, Janet !
Julien pensait sincèrement cette dernière phrase : il avait hâte que la phase de sevrage soit terminée et qu'il puisse enfin, dans une certaine mesure et sous le contrôle de Dakota, baiser des femmes !
- J'ai également hâte que tu le puisses, répond Janet, un poil agacée, en se tournant sur le côté, exposant ses fesses nues sous le tablier. A bientôt !

Julien se sent soulagé du départ de Janet et du fait qu'elle n'ait pas insisté plus que ça. Il dévore son sandwich et, s'apprête à savourer son fabuleux vin hors de prix. Mais au moment de le déboucher, il se dit que le boire avec Dakota, pour fêter sa journée de courage et de résistance, serait une meilleure idée.
Il emporte donc la bouteille avec lui et se dirige vers chez Dakota. Mais en passant à côté de la fenêtre de son salon, une surprise l'y attend. Il aperçoit en effet Janet et Dakota, nues, en train de faire l'amour.

L'excitation à l'air à son maximum dans la pièce et la passion entre les deux femmes semble puissante. Elles s'embrassent, se lèchent et se doigtent furieusement, en changeant souvent de position pour se donner mutuellement du plaisir du plus de manières possibles !


La première sensation perçue par Julien est évidemment de l'excitation et de la fierté : sa femme est bisexuelle et il se dit qu'une fois sa position sécurisée dans le quartier, les plans à 3 seront fréquents avec Janet.
Mais en les voyant si complices, si passionnées, si... amoureuses on dirait, de la jalousie apparaît. Il envie la passion qui uni Janet et Dakota, lui qui a toujours traité les femmes avec le moins de sentiments possibles, pour se protéger. Et aujourd'hui, amoureux de Dakota et sincèrement attaché à Janet, il se retrouve exclu.
Soudain, alors que Dakota est occupée à masturber Janet pour lui donner un orgasme qui n'a pas l'air d'être le premier de la soirée, celle-ci lève les yeux vers la fenêtre et aperçoit Julien.

La belle brune omnisciente, sans aucune volonté de blesser Julien (elle n'en a d'ailleurs pas les capacités), sourit avec bienveillance à Julien et retourne à ses embrassades avec Dakota. Elle ne lui dit d'ailleurs rien de la présence du jeune homme, celui-ci étant sensé s'abstenir de toute tentation sexuelle.
Découvert et impuissant, Julien décide de rentrer chez lui la queue entre les jambes (littéralement) et attaque seul la bouteille de Romanée-Conti. La jalousie est toujours là mais, au fur et à mesure que le niveau de la bouteille descend, un autre sentiment monte en lui : la colère.
En effet, comment justifier, de la part de Dakota, un tel comportement alors que de son côté, il ne doit toucher aucune femme. Comment cette scientifique, addictologue, peut-elle se prendre une ligne de cock tout en disant à son patient d'arrêter les drogues ?? Lui qui a résisté toute la journée, tenu tête aux nudistes, aux serveuses en chaleur, aux masseuses bisexuelles, aux inconnus allumeuses qui l'ont emmerdé avec leur histoire de bouquets de fleurs...
- Merde !!! s'exclame alors Julien en se tapant le front. La commission à faire à Anissa pour les bouquets de fleurs, putain j'ai zappé !
Julien termine d'une traite son verre et file en vitesse chez la voisine pour lui passer la commission. Deux minute et c'est plié, se dit-il.
Il frappe à la porte d'Anissa et celle-ci répond alors en demandant qui est-ce.
- C'est Julien !
- Oh ! Attend une minute, j'arrive.
Quelques instants plus tard, Anissa lui ouvre la porte, simplement vêtue d'une culotte et d'une chemise ouverte sur ses seins à peine couverts.

- Ouha ! Bonsoir Anissa, quel accueil !
- Bonsoir Julien, je suis ravie que tu passes me rendre visite. Entre.
- Non, en fait je passais juste de faire une commission de la part de Shyla... à propos des fleurs... elle..
- On peut parler de ça à l'intérieur ? l'interromp Anissa. Tu ne veux pas que je reste à la porte dans cette tenue, n'est-ce pas ? ajoute-elle en écartant les pans de sa chemise pour faire sortir ses seins.

- Ok... 5 min.
- Ah tu vois quand tu veux ! Allez entre.

Julien entre dans la maison et suit Anissa vers le salon. Celle-ci s'assoit alors négligemment sur le canapé, exposant sans pudeur sa poitrine et dit :
- Alors, puisque tu ne viens pas pour moi... Quel est le problème de Shyla ?

- Une histoire de fleur d'une certaine couleur que tu lui as demandé mais qu'elle ne trouve pas... Elle te fait dire qu'elle continue de chercher !
- Elle n'a qu'à demander à Janet, elle est là pour ça !
Julien comprend alors le sentiment qu'à Janet d'être considérée comme un robot distributeur. Il y avait du mépris dans la voix d'Anissa.
- Elle m'a dit qu'elle essaierait de se débrouiller toute seule... Donc voilà, en gros, elle a du retard mais elle est sur le coup !
- Ok merci... Mais dis-moi, tu n'es pas venu chez moi juste pour me dire ça, n'est-ce-pas ? demande insidieusement Anissa en le penchant sur Julien, assis à côté d'elle.

- Et bien... si... tente Julien en fixant les gros seins qui pendent sous son nez, malgré sa volonté de ne pas le faire.
- Je n'y crois pas. Tu aurais pu me le dire tout à l'heure... Pourquoi venir chez moi ? Avoue que ma proposition de ce matin t'a intéressé.
- Evidemment que ça m'a intéressé, Anissa ! répond alors Julien alors qu'Anissa approche d'avantage ses seins de son visage.

- Mais je dois me retenir... pour Dakota. Au moins le temps qu'elle se fasse à l'idée que j'ai une relation avec toi.
- Une relation ? Mais Julien, je ne t'ai jamais demandé d'entretenir une relation avec moi. J'ai juste besoin d'un vrai homme qui comble mes besoins.
- Je sais ce que tu veux...
- J'ai besoin d'un étalon qui sache me faire jouir, qui sache me prendre comme la chienne que je suis, qui sache me démonter par tous les trous et me faire mal... tellement mal que j'en jouirais ! continue Anissa en plaçant la main de Julien sur sa culotte.

- Tu sens comme je mouille ? Je suis littéralement trempée ! Je t'en prie, ne me laisse pas dans un état comme ça...
Flirtant avec son excitation en espérant pouvoir se retenir, Julien écarte le tissu de la culotte d'Anissa et caresse son sexe, effectivement bouillant et dégoulinant.

- Anissa... tu sais que j'en ai envie... mais ce serait trahir la confiance de Dakota !
- Ce n'est que du sexe, Julien. Aucun sentiment. Prend-moi, défonce-moi. Prend mon anus et défonce-le. Fait de moi ta chose. Cela ne sortira pas de cette maison. Mon mari ne saura rien et Dakota non plus !
Julien revoit alors Dakota en train de doigter et de lécher Janet, de la faire jouir et de prendre elle-même beaucoup de plaisir. Soudain, sa volonté craque et il dit alors :
- Et puis merle !
Et il se jette sur une Anissa qui pousse alors un cri de surprise et de joie en voyant son étalon se ruer sur elle. Il plonge la tête entre ses gros seins et les lèche. Il s'attarde aussi sur les tétons qu'il suce et mordille. Ils sont déjà très durs, démontrant l'excitation latente d'Anissa.

Puis il pousse Anissa sur le dos et commence à lui enlever sa culotte. Mais à peine a-t-il exposé sa chatte humide qu'il s'arrête, laissant la culotte au niveau des genoux, pour contempler et doigter le sexe.

Enfin, il enlève complètement la culotte et dévore à grand coup de langue le sexe d'Anissa qui, gémissante de plaisir, lui tient la tête d'une main et se malaxe un sein de l'autre.

Au bout de quelques savoureux instants, Anissa repousse Julien et se redresse vers lui. Elle fouille dans son pantalon pour en sortir son sexe en disant :
- Ta langue est toujours aussi habile, Julien, mais ne t'embête pas en préliminaire ! C'est ton sexe que je veux aujourd'hui, et rien d'autre.

- Cela ne m'embête pas de te lécher, Anissa, c'est au contraire un plaisir... Mais si tu veux être plus directe, je t'en prie, vas-y !
Julien s'allonge à son tour sur le dos et laisse Anissa commencer à le sucer comme une affamée.

Les talents de suceuse d'Anissa, à nouveau, sont au rendez-vous. Tout en regardant Julien dans les yeux, elle le lèche, le pompe et le mordille, en bougeant frénétiquement tant elle est excitée, faisant balloter dans tous les sens ses gros seins.

Elle prend également grand plaisir à masturber cette énorme queue à une ou a deux main et ne peut s'empêcher, pour lubrifier le tout, de lécher le gland comme s'il s'agissait d'une glace.

Puis une fois enduite de salive, elle place la queue entre ses gros seins pour faire à Julien une branlette espagnole de qualité. A ce moment précis, Julien revoit les petits seins de Dakota et il se dit que, parfois, une poitrine volumineuse a ses avantages !

L'apparition de Dakota dans ses pensées lui donne un sentiment de culpabilité qu'il balaie aussitôt en revoyait sa belle âme sœur jouer avec les gros seins de Janet. Elle s'amuse de son côté, alors aucune raison qu'il n'en fasse pas de même.
D'autant que c'est à ce moment qu'Anissa choisit de stopper sa branlette pour monter sur Julien et s'empaler directement sur sa queue. Sa chatte est si trempée que la pénétration est immédiatement divine. Julien ne se prive d'ailleurs pas pour la prendre par les hanches et la défoncer à grand coups de bassin.

Au bout de quelques instants, les coups de boutoirs de Julien déclenchent un orgasme fulgurant à Anissa. Mais il ne lui laisse pas le temps de savourer le plaisir : il sort du vagin et entre, avec la même facilité, dans son cul dilaté.
Anissa pousse alors un cri de surprise :
- Bourrin ! Tu me sodomises sans m'avertir ??
- Tu rigoles ? Tu m'as proposé ton anus deux fois aujourd'hui en me disant de faire de toi ma chose. Alors oui, je te sodomise sans faire de politesse !

Et sur ces mots, Julien accélère la cadence et défonce le cul d'Anissa, lui arrachant des cris de plaisir non feints. Cette belle brune orientale n'est pas que magnifique : elle est aussi une grande amatrice de sodomie et cela plait beaucoup à Julien !

Cependant, la journée a été rude pour lui et il sent que toute l'excitation accumulée pourra exploser d'un moment à l'autre. Pour gagner du temps sur un orgasme imminent, il décide de changer de position et de trou.
Il prend donc Anissa par derrière et dans la chatte.

- Tu sais l'avantage d'être au bon endroit ? demande Anissa à Julien en s'écartant les fesses.
- En général ou dans le contexte de notre petite partie de jambes en l'air ?
- A ton avis ? Dans quel autre contexte que ton sexe en train de me défoncer ??
- Et bien, non, quel avantage ?
- Les mycoses n'existent pas ici !
- C'est si sexy quand tu me parles de ça !
- Idiot ! Ça veut dire que tu peux passer de mon anus à mon vagin à ta guise sans aucun risque hygiénique !
- C'est intéressant mais si tu as envie que je prenne à nouveau par les fesses, tu peux simplement me le demander !
Et pour lier le geste à la parole, Julien sort de la chatte d'Anissa et l'encule à nouveau.

- C'est parce que je suis une grande timide, déclare Anissa entre deux gémissements de plaisir.
Pendant les minutes qui suivent, Julien profite à plein de cette avantage sanitaire et prend donc Anissa dans toutes les positions, tantôt pas la chatte, tantôt par l'anus.


Alors qu'il l'enculait, Anissa placée à cheval sur lui, il doit précipitamment se retirer, à deux doigts de craquer. Cette sortie brutale laisse un aspect dilaté à l'anus d'Anissa qui commente :
- Je pense que j'ai le trou de balle en chou-fleur...

Julien, trop content de cette opportunité pour gagner encore du temps, sort d'en-dessous Anissa et lui demande d'écarter en grand ses fesses.

- Effectivement, tu es grande ouverte. Mais n'ai aucune crainte, ton petit trou va reprendre sa forme normale. Tu... pourrais en profiter pour te doigter et améliorer ta souplesse... Qu'en penses-tu ?
Anissa a alors un peint rire ironique :
- Ah, parce que tu crois que je ne me suis jamais doigtée par cet endroit-là ? Si j'aime autant qu'on me sodomise tu penses bien que j'en ai profité aussi durant mes longues soirées seules ici. Et je me suis aussi entrainée dernièrement pour m'adapter à ton calibre, mon cher ! Regarde...
Et tandis que Julien s'installe pour contempler Anissa à l'œuvre, celle-ci s'enfonce deux puis trois doigts dans le cul. Elle les fait aller et venir et les écarte un peu pour dilater les parois de son rectum. Puis, à la surprise de Julien, elle enfonce un quatrième doigt.

- Ça mon cher, c'est depuis que je te fréquente... J'ai gagné un bon centimètre de largeur !
- Et bien on va continuer l'entrainement et, bientôt, tu pourras y mettre ton poing en entier.
- Oh mon dieu ! Tu crois que c'est possible ?
- Évidemment ! Mais, tu sais, cette souplesse ne remplace pas l'appétit sexuel que tu as. Tu es insatiable Anissa, et je me demande si ça ne te plairait pas de faire ça avec plusieurs hommes.
- Seigneur ! Voici un fantasme que je n'ai jamais pu... ou voulu réaliser étant vivante. Je ne sais pas si j'oserai d'avantage ici.
- On verra si un jour tu te sens prête, ce genre d'expérience doit être pratiquée en étant pleinement convaincue. En attendant, tu sais sur qui me ferait plaisir ? Que tu viennes me sucer pour me faire venir !
- Tu sucer ? Après que tu m'ais sodomisé ?
- Où est le problème ? Pas de problème hygiénique ici, tu m'as dis...
- Ça n'enlève peut-être pas le problème du gout...
- Il faut gouter avant de dire qu'on aime pas ! Tes parents ne t'ont pas appris ça ?
- Si... pour la soupe. Pas pour les verges tout juste sortis de mon derrière...
- C'est le même principe. Allez, à genoux.
La mine un poil réservée, Anissa obéit et pose ses lèvres sur le gland de Julien.

Puis elle relève la tête et commente :
- Mmhh.... Ça passe...

Elle se met alors à dévorer la bite pourtant odorante de Julien et rajoute :
- Ça passe même carrément !!

Voir ainsi Anissa lui pomper la queue alors qu'il venait de l'enculer copieusement achève Julien. Cette pratique n'était, il s'en souvient, pratiquée que par les grosses salopes quand il était vivant et à moins qu'il y ait vraiment un côté « odeur et hygiène » neutralisé ici, cela faisait d'Anissa une véritable chienne de compétition que Julien comptait bien utiliser !
Pour l'heure, son orgasme montait en lui. Il se redresse donc rapidement et explose sur le visage d'Anissa qui, de son côté, n'avait pas lâché la bite et continuait de la branler au moment des premières giclées.
Contrairement à leur dernière partie de sexe, l'éjaculation de Julien est cette fois violente et abondante, du fait de la frustration sexuelle accumulée depuis 2 jours. Anissa se prend du foutre dans les cheveux, sur le visage et sur la poitrine. Les premiers jets, rapides, sont même passés au-dessus de sa tête pour finir sur son fauteuil, derrière.

Anissa, aux anges, donne des coups de langue sur le gland suintant de Julien en commentant :
- Mon Dieu, tout est délicieux chez toi, tout.

- Tant mieux... parce que je peux te dire que tu vas en boire durant l'éternité qui nous attend !
- J'espère bien ! Par contre... j'aurais bien jouis une deuxième fois... Tu es sur que tu n'as pas de jus pour un deuxième round ? demande Anissa en exposant son cul, le visage encore dégoulinant de sperme.

- Houlà ! Tu es chaude ! Alors pour le deuxième round, il faudrait qu'on attende un peu... et je dois rentrer chez moi avant que Dakota ne se doute de quelque chose. Par contre, je suis sûr que tu peux te faire venir vite fait avec tes doigts.
- Tu restes pour me regarder ?
- A une condition : essaie de te faire jouir en te doigtant l'anus.
- Challenge accepted !!
Anissa s'allonge sur le dos face à Julien et commence à se caresser. Elle commence classiquement par le clitoris et la chatte, histoire de remonter rapidement. Puis, sentant l'orgasme pointé, elle passe au niveau de son cul.
Elle enfonce d'abord 2 ou 3 doigts pour profiter encore de cette sensation d'ouverture exceptionnelle. Puis elle ne laisse qu'un doigt mais le fait aller et venir frénétiquement. Et il ne lui faut que quelques secondes de cette masturbation anale intensive pour jouir violemment.

Éprise de plaisir, elle s'affale sur le dos en gémissant et soupirant.
- C'était mon premier orgasme du genre, murmure-elle, à bout de souffle.
- C'est vrais ? Je suis content pour toi, alors. Pouvoir jouir par plusieurs endroits multiplie les possibilités de prendre du plaisir !
Anissa se redresse alors, le visage toujours couvert de sperme et l'anus encore flageolant de plaisir, puis déclare :
- Julien, je te serai éternellement reconnaissante pour les moments qu'on a passé ensemble et qu'on va passer durant l'éternité qui nous reste. Je sais que ton âme sœur est Dakota et que tu l'aimes. Et c'est normal, c'est une femme adorable et très belle. Et je crois que j'aime également mon mari, même si cela ne semble plus réciproque et que je suis en train de le perdre. Mais je crois surtout que l'amitié avec bénéfice que nous partageons est exactement ce qu'il me faut aujourd'hui. Alors merci, vraiment.

- Anissa, rien que pour avoir eu la chance de faire ta rencontre, je suis content d'être mort ! Tu es une femme formidable et une maîtresse hors du commun. Tous les hommes rêveraient de t'avoir et ton mari est un idiot s'il ne s'en rend pas compte. Alors merci à toi également de me permettre d'être ton ami avec bénéfice ! Et même si je ne peux pas te promettre d'être toujours là pour toi, je te promets de faire en sorte d'être le plus présent possible.
- C'est tout ce qui m'importe : te savoir à porter de main quand j'en ressens le besoin. Et pas que pour le sexe, je te rassure. J'ai aussi un cœur qui est pal mal meurtri en ce moment.
- Je sais, je m'en rends compte. Je dois y aller mais on se revoit bientôt, ok ?
- Parfait, bonne soirée Julien.
Après avoir embrassé Anissa là où il n'y avait pas de sperme, Julien rentre chez lui. L'excitation retombée, la culpabilité d'avoir trahit Dakota refait son apparition. Et les images d'elle avec Janet ne suffisent plus à lui faire changer les idées. Il n'ose cependant repasser chez son âme sœur, ne sachant pas si elle est encore en train de fricoter avec Janet. L'escapade chez Anissa a finalement été assez courte et il est tout à fait possible que les deux femmes soient encore en train de s'amuser.
Il rentre donc directement chez lui et fini la bouteille de Romanée-Conti qu'il avait laissé sur le bar.
Le soir venu, Dakota fait son retour dans la maison de Julien, comme si de rien n'était, comme si elle ne venait pas de passer l'après-midi à baiser avec une femme-robot.
- Bonjour mon chéri !
- Bonjour... ta journée s'est bien passée ? répond Julien avec un air légèrement distant et curieux de la réponse.
- Heu... Très bien... J'ai... bouquiné en attendant que tu rentres.

- C'est tout ? Ok...
Ce mensonge de Dakota venait de convaincre Julien de garder pour lui son aventure avec Anissa. Mensonge pour mensonge. Pourtant, la réaction suivante de Dakota le pris au dépourvu.
- Julien, je voudrais te faire un dosage de dopamine. Pour vérifier si... tu vois ?
- Si je n'ai pas craqué ? Inutile, je peux déjà te dire que j'ai échoué...
- Noooonn ! Tu avais tenu toute la journée d'hier et d'aujourd'hui...
- Oui j'ai tenu toute la journée. Et quand je suis venu chez toi pour t'en parler, tout fier, j'ai vu que tu prenais du bon temps avec Janet. Alors même que je venais de résister à ses avances et de lui dire de revenir plus tard !
Dakota met alors les mains sur la bouche, confuse.
- Tu nous as vu ?!? Comme je suis désolée...
- Du coup, jaloux et excité, je... me suis masturbé. Je me sens bête d'avoir fait ça mais s'en était trop pour moi.
- Julien, je comprends tout à fait.... Et d'ailleurs je voulais te parler de ma méthode. Tu sais, je ne crois pas que ce soit approprié à toi et au quartier.

Julien voyait que Dakota semblait vraiment embêtée et en pleine remise en question. Sentant une lueur d'espoir pour la fin de son sevrage, Julien fait mine de ne pas comprendre.
- Oui... alors que j'étais avec Janet, je m'en voulais de faire ça sans toi. Je sais que tu aurais adoré être avec nous. Et, plus tard, en me promenant dans le quartier, j'ai vu les innombrables sources de tentations sexuelles. Te sevrer ici est impossible et, d'ailleurs, ça n'aurait pas de sens. Tu n'es pas un cocaïnomane qui doit tout arrêter pour reprendre une vie normal. Tu ne peux pas arrêter complètement le sexe, et d'ailleurs, je ne le veux pas. Tu fais trop bien l'amour pour que je m'en prive le reste de l'éternité !
- Je te remercie... mais du coup on fait comment avec mon « problème ».
- Ton problème c'est, actuellement, de ne pas savoir te contrôler et, du coup, de te mettre en danger. Tu dois changer ton comportement vis-à-vis des femmes et apprendre à maîtriser tes pulsions, avec à la clé, des récompenses.
- Tu veux me faire... du renforcement positif ?
- Tu connais le terme ? Et bien oui. En fonction de ton comportement, tu auras des récompenses. Je te poserai des défis, te proposerai des challenges qui t'obligeront à te maîtriser. Et en récompense, tu pourras me baiser, baiser Janet, nous baiser toutes les deux ensemble et encore plus... qui sait ?
Et tout en décrivant le programme de récompenses, Dakota l'illustra en écartant les jambes et en écartant sa culotte.

- Ce programme... est bien plus intéressant que la première version de ma thérapie !
- Je savais que ça te plairait. Voilà ce que je te propose. Cette nuit, c'est chacun chez soi : toi tu te reposes et moi j'imagine le premier défi pour demain. On va commencer par un truc simple. Ok ?
- Ça me va ! Dakota... je t'aime et je te remercie d'être aussi compréhensive avec moi.
- Julien, c'est moi qui te remercie. J'ai batifolé tout l'après-midi alors que tu résistais. Je suis une horrible personne et j'ai vraiment de la chance que tu ne me détestes pas.
En pensant à ce qu'il avait fait avec Anissa, Julien se dit qu'il était lui aussi une horrible personne. Mais ça, il le savait déjà et depuis un moment. Mais au moins, lui, essayait de s'améliorer. Peut-être cela allait-il lui éviter un aller simple vers le mauvais endroit ?
A suivre...
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The Good Place - Épisode 9 - partie 1
La nuit de Julien avait été paisible. Aucun rêve de sa vie passée. Aucun cauchemar de sa mort actuelle. La raison de ce sommeil de qualité ? Le fait que sa période de sevrage était terminée, que cette expérience horrible était derrière lui, que les épreuves qui l'attendaient maintenant s'annonçaient bien plus douce. Ou en tout cas bien plus motivantes : réussir les défis posés par Dakota en échange de son soutien pour rester au bon endroit et avec à la clef, des récompenses sexuelles.
Bref, une perspective qui lui semblait valoir sans hésiter les efforts à venir.
Son petit-déjeuner fut digne d'un bon vivant, même mort : œuf bacon, croissants (des vrais, comme en France), jus d'orange frais, café tout juste moulu. Et la cerise sur le gâteau : aucune envie de dominer, d'humilier ou simplement de baiser une femme du quartier. Julien avait simplement hâte de connaître son défi de la journée et, surtout, sa récompense.
Son âme sœur, Dakota, arriva chez Julien vers 10h, la mine réjouie et manifestement contente du programme qu'elle lui avait concocté.

- Bonjour Julien ! Prêt pour ton premier jour de traitement ?
- Bonjour Dakota. Oui, tout à fait prêt.
- Parfait. J'ai pensé qu'on pouvait commencer ta... rééducation, appelons ça comme ça, par quelque chose de facile.
- Ça me va ! Du coup, quel est le programme ?
- Tu le verras au moment venu, je ne souhaite pas que tu anticipes. Saches juste que tu auras à te comporter en parfait gentlemen aujourd'hui. En résident « classique » du bon endroit. Quelqu'un qui ne sauterait pas sur tout ce qui bouge à la moindre occasion, tu vois ?
- Oui... je vois... répond Julien un peu contrarié par le portrait que faisait de lui Dakota. Même si c'était la stricte vérité. Et ma récompense ?
- Ah ça, je peux te le dire, ça te motivera. Alors, au même titre que le défi va être simple, la récompense sera raisonnable. Je te propose une soirée romantique : diner aux chandelles avec le menu de ton choix, musique d'ambiance de ton choix, partie de jambes en l'air endiablée et... en bonus, tu auras la possibilité de jouer doucement avec la partie que tu préfères chez moi, conclut Dakota en ce tournant de dos, l'air ingénue.

Julien remarque alors que le minishort qu'elle porte et qui n'avait pas attiré son attention jusque-là, moule magnifiquement bien ses fesses et en laisse même entrevoir une partie.
- Un bien beau programme en effet... Mais je suis fou de tout ton corps et il n'y a pas un endroit que je préfère, ajoute Julien, ne sachant réellement pas à quelle zone faisait référence Dakota. Tu peux être plus précise ?
Dakota s'approche alors de Julien et vient chuchoter à son oreille :
- Je parle de mon cul, espèce d'idiot. Tu pourras jouer avec mon anus, me caresser, me doigter. Tout ce que tu voudras pour me faire apprécier de côte de mon anatomie pour que tu puisses un jour, peut-être, y mettre autre chose que tes doigts...
Et pour associer le geste à la parole, Dakota exhibe alors ses belles fesses dans son minishort en jean puis se penche en avant, faisant jaillir du tissu la majeure partie de son cul et également une parcelle de lèvre vaginale.


Julien écarte alors en grand les yeux puis embrasse fougueusement Dakota et l'attrape par la main en disant :
- Allez, au boulot : allons relever ces défis ! J'ai hâte d'être à ce soir, moi !!
Puis il l'entraine vers la porte de sa maison, plus motivé que jamais à commencer sa rééducation.
Sans préciser leur destination, Dakota entraine Julien dans la partie de la ville regroupant la plupart des commerces. Dépassant le salon de massage ainsi que le bureau de Julia, le couple s'arrête devant une boutique que Julien n'avait pas encore remarquée. Il s'agissait d'un tout nouveau magasin, uniquement spécialisé dans la lingerie féminine.
- Attend... Il y a encore 2 jours, c'était un magasin de yaourt glacé, ici !
- Exact. Mais Julia l'a transformé en boutique de lingerie hier. Je l'ai découvert après notre discussion et cela m'a immédiatement donné envie de t'y emmener pour te proposer un premier défi.
- Lequel ? T'acheter de la lingerie ? Il me semble de Janet peut en faire apparaître à la demande, déclare Julien en repesant à la séance d'essayage suivi d'une baise intense chez Anissa.
- Non... tu vas voir. Entrons.
Dakota et Julien entrent donc dans la boutique et sont immédiatement accueillis par une très belle femme brune au teint méditerranéen et habillée de manière très classe.
- Bonjour et bienvenue ! Je suis Alexa. En quoi puis-je vous servir ?

- Bonjour Alexa, répond tout de suite Dakota en prenant les choses en main. Comme convenu hier, ce matin, voici mon âme sœur, Julien. J'aimerai lui montrer plusieurs modèles de lingerie pour qu'il me dise lesquels il préfère.
- Bonjour Alexa, dit, incertain, Julien. Tu vendais bien des yaourts glacés il y a peu de temps ?
- Et oui ! Mais Julia a estimé qu'il y a avait suffisamment de boutiques de yaourt et qu'il était temps de se faire plaisir autrement. Elle a proposé de remplacer ma boutique par un espace d'essayage de lingerie. Et comme j'étais du métier... en quelque sorte... j'ai accepté avec plaisir !
- Ah ? Tu étais vendeuse de lingerie ?
- Hum... plutôt modèle... Je posais pour des photographes, des peintres, des couturiers dans les années 30 en Espagne, avant la guerre. Puis j'ai fuis l'Espagne et j'ai fait carrière à Paris, on est presque compatriote, du coup, Julien ! J'y suis devenue assez célèbre et riche. J'étais la muse de plusieurs artistes mais j'ai attrapé ce qu'on a appelé plus tard la syphilis... J'ai légué ma fortune aux associations de soutien d'immigrés espagnoles fuyant Franco et je suis morte à 40 ans seule, abandonnée de mes bienfaiteurs.
- Quelle histoire tragique... déclare Dakota sincèrement émue.
- Oui... Mais le combo « échapper à une dictature » / « don de sa fortune » / « mourir d'une maladie transmise par un mufle » m'a donné suffisamment de points pour finir ici. Donc... je ne me plains pas !! Bon, parlons du présent : Dakota, tu souhaites t'offrir de la lingerie et faire plaisir à Julien.

- C'est cela. Mais il y a un choix presque infini ici... et je vais passer des jours à tout essayer, me connaissant... Donc on a besoin d'un coup de main.
- Ça tombe très bien car pour vous faire gagner du temps et permettre aux hommes de faire des cadeaux à leur femme, Julia a eu l'idée de proposer un service d'essayage à la carte.
- Heu... c'est-à-dire ? demande alors Julien, intrigué.
- Oh c'est simple : une de nos vendeuses, avec la morphologie la plus proche de la cliente essaie autant de tenues qu'elle le souhaite et celle-ci n'a plus qu'à faire son choix.
Dakota se tourne alors vers Julien et lui dit :
- Mais ça me parait parfait ça, mon chéri ! On regarde les essayages ensemble et on choisit le modèle. Tu pourrais même repasser ici de temps en temps pour me faire des surprises tout en étant sur de la taille à choisir, ajoute-elle en lui faisant un discret clin d'œil.
- Oui... ça me parait très bien, répond Julien ne sachant pas si le ton de Dakota était du lard ou du cochon.
- Splendide. Alors par contre, vu ton gabarit Dakota, je vais éviter les essayages avec Angela. Je crois qu'elle est bientôt disponible mais elle est plutôt adaptée aux clientes un peu fortes. Angela ?
« Oui ? » répond alors une femme en sortant de l'espace d'essayage. Angela était en effet une femme avec de belles formes, généreuses.

- Ah, je vois que tu n'as pas fini... lui dit Alexa.
- Non pas tout à fait. Tu voulais que je défile pour Dakota ? C'est vrai qu'on fait presque la même taille !! répond Angela en riant bruyamment.
- Laisse tomber, idée stupide de ma part, Angela. Je vais me débrouiller. Merci.
Tandis qu'Angela repart vers l'espace d'essayage, Alexa reprend sa réflexion sur le modèle adapté. Mais Angela s'arrête alors et dit en tournant la tête.
- Foxy est prise en clientèle mais je crois que Katee est disponible.

- Ah oui c'est vrai que Foxy irait parfaitement bien pour cet essayage. A part le fait qu'elle est brune, elle a un corps qui ressemble beaucoup au tien, Dakota.
- Et elle n'est vraiment pas disponible ?
- Je crois que non, hélas... Foxy ? Foxy, tu peux venir un instant ?
Une superbe jeune femme, d'à peine la vingtaine, sort alors d'un autre espace d'essayage, presque nue, uniquement vêtue d'un string.
- Oui, Alexa ?

- Tu penses en avoir encore pour longtemps avec ton client ?
- Oui je crois. Il cherche des culottes pour son âme sœur et j'ai l'impression qu'il va me faire essayer tout le stock !
- On ne peut guère lui en vouloir, déclare alors Dakota, les yeux rivés sur les fesses et les seins de Foxy.
- Merci Foxy, tu peux y retourner.
La jeune femme retourne donc dans son salon en lançant un regard enflammé en direction du couple mais sans que ni Julien ni Dakota ne sache à qui cela était adressé exactement.

- Donc, comme je le craignais, Foxy n'est pas disponible. Elle aurait eu le physique parfaitement adapté à Dakota mais cela vous ferait trop attendre. Peut-être pourriez-vous repasser plus tard ?
- Et cette Katee dont Angela nous a parlé ?
- Elle est disponible mais, pour le coup, son physique ne va pas convenir. Katee ?
- Oui ? répond alors une femme vêtue modestement et manifestement peu souriante.
- Tu peux venir une minute ?
- Ok mais pas longtemps, Anisa a encore besoin d'un essayage à domicile !
- Aaahh, cette chère Anissa... Tous les quartiers nous l'envient je suis sûr ! En tout cas, voyez le corps de Katee, il n'est guère adapté à celui de Dakota.

Julien, se demandant si le test avait commencé ou pas, ne fit aucun commentaire au sujet du corps de la femme se tenant devant lui. Mais Dakota, joueuse, insista :
- Certes elle a une plus grosse poitrine que moi mais je ne trouve pas qu'il y ai tant de différence.
- Ce doit être les vêtements assez larges de Katee qui font cet effet car je vous assure que sa poitrine est vraiment imposante. Katee, met-toi en soutien-gorge s'il te plait.
Sans broncher, le modèle se retourne pour enlever le haut. Alors qu'elle fait tomber sa veste, Julien se dit que la métamorphose du quartier est sensationnelle. A son arrivée, le sexe était tabou et les seules distractions étaient les boutiques de yaourt glacés. Quelques jours plus tard, les magasins coquins poussaient comme des champignons et l'exhibitionnisme était devenu normal pour les résidents. Devant ses yeux, une jeune femme se déshabillait sur simple demande, pour prouver que ses seins étaient bel et bien énormes.
Même si cela l'avait mis dans la merde, Julien était fier de son œuvre ! Katee, qui enlevait à présent son petit haut et découvrait son soutien-gorge, tira Julien de ses pensées.



Le spectacle était fascinant. Les seins de cette femme étaient en effet magnifiques et franchement gros. Mais ses ventre était plat et ses fesses parfaitement proportionnées. Ce corps était celui d'une bombe et bien différent de celui de Dakota, il fallait l'admettre. Tandis que Katee se tenait devant le couple en soutien-gorge, Alexa continue sa justification :
- Vous voyez ? Katee a la chance d'avoir une très grosse poitrine naturelle mais avec un corps tout à fait classique et un ventre très plat. Elle convient donc pour une partie de nos résidentes qui ne sont pas vraiment fortes mais qui ont une grosse poitrine.
- Mhouai... j'ai l'impression que le soutien-gorge joue beaucoup quand même... insiste Dakota, d'une mauvaise foi qui ressemblait fort à de la comédie.
- Dakota, je t'assure que tous nos modèles sont 100% naturelles et que nous ne trichons pas sur le rendu de la marchandise. Mais si tu ne me crois pas...Katee... S'il te plait...
Julien et Dakota n'en croient alors pas leurs yeux. Le stratagème de la belle blonde fonctionne à merveille car Katee comprend la demande implicite d'Alexa et commence sans hésiter à enlever son soutien-gorge...


... pour exposer une énorme poitrine, visiblement naturelle.

Dakota et Julien se regardent alors, complices ; Julien essayant de rester stoïque car il était évident que le test avait commencé et Dakota cherchant à sonder Julien.
- Je peux ? demande alors Dakota en tendant les mains vers Katee.
- Pas de problème... répond très sombrement la jeune femme, visiblement indifférente au fait de se faire malaxer les seins.
Dakota pelote donc la généreuse poitrine de Katee et déclare qu'en effet, elle est naturelle.
- Tu veux vérifier par toi-même, Julien ?
- Non merci, je te crois. Et il me semble que Katee est pressée, donc je ne vais pas abuser de son temps.
- Cela ne me dérange pas, Julien, déclare Katee en se malaxant les seins. Tu sais, depuis que nous avons ouvert cette boutique, beaucoup de clients demandent à palper mes seins. On dirait que tout le quartier croit que j'ai des implants !

- Il me parait pourtant évident qu'ils sont naturels, répond Julien en luttant contre l'envie de les toucher.
- Pas de vérification sur pièce, alors ?

- Non je te crois et je ne voudrais pas abuser ! Merci beaucoup pour ton professionnalisme, Katee.
- Parfait, du coup je file chez Anissa, répond Katee en ramassant ses habits et pendant que Dakota offrait une moue admirative à Julien.
Julien éprouva de la satisfaction de s'être retenu mais se dit tout de même qu'il fera évidemment sorte, très bientôt, de malaxer cette grosse paire de loches... et bien plus encore !
Katee se rhabille donc pendant qu'Alexa se tourne à nouveau vers le couple. Dakota demande alors :
- Du coup, il n'y a personne de disponible avec ma corpulence pour faire des essayages ? Je suis très déçue, j'avoue.
- Il y aurait bien une solution... mais ce n'est pas certain que cela vous convienne.
- Laquelle ?
- Je pourrais faire moi-même les démonstrations.
- Toi, Alexa ? demande, étonnée, Dakota.
- Oui. Je ne suis plus toute jeune et jusqu'ici les clients ont toujours demandé à voir mes vendeuses, toutes plus jeunes. Et en voyant Katee ou Foxy, on peut les comprendre ! Mais rien ne m'empêche de le faire si cela vous convient. D'autant qu'il me semble que nous avons quasiment la même corpulence.
Dakota échange un regard avec Julien puis répond à Alexa que cette proposition leur convient.
- Formidable ! répond Alexa manifestement ravie. Cela fait si longtemps que je n'ai pas posé pour quelqu'un !

- Tu es ravissante, Alexa, je suis sûre que la démonstration va être captivante, insiste Dakota.
- Je te remercie ! Bon, par quels types de sous-vêtement souhaitez-vous commencer ?
Julien et Dakota se regardent puis haussent les épaules, n'étant en réalité pas là pour acheter de la lingerie mais juste pour tester Julien.
- Et si je commençais par vous montrer ce que je porte en ce moment même ? propose Alexa en commençant à ouvrir sa robe.

- Bonne idée, répond Dakota en regardant Julien.
Le jeune homme réagit sobrement à cette proposition mais manque de s'étouffer lorsqu'il découvre le dos nu alors qu'Alexa continue de se déshabiller.

Alexa confirme l'absence de soutien-gorge en se retournant pour exposer sa petite poitrine et un début de culotte rouge, tandis qu'elle continue d'enlever sa robe.

Puis, sa robe tombée à ses pieds, elle commence à décrire son sous-vêtement :
- Voilà, pour commencer, le genre de dessous assez simples mais jolis que l'on propose ici. Il s'agit d'un tanga, sorte de mix entre un shorty, une culotte...

- ... et.... un string, continue-t-elle en se retournant pour montrer ses fesses.

- Cela vous plait ?
- Oh oui beaucoup ! répond Dakota en regardant Julien.
- Parfait ! Pour la suite, je vous propose de commencer sage et d'aller crescendo. D'accord ?
- Nickel !
Alexa entre donc dans une cabine d'essayage pour y enfiler le premier sous-vêtement à présenter. Au bout de quelques dizaines de seconde, elle en sort timidement avec un ensemble soutien-gorge / string blanc assez simple.
- Vous êtes prêts ? demande-t-elle à moitié sortie de la cabine.

Et tandis que Julien et Dakota répondent à l'affirmative, Alexa marche en leur direction puis se pose devant un mur blanc, dédié aux expositions.
- Voici donc un petit ensemble simple, joli et coquin...
Elle décrit ensuite la matière, la forme, le confort de ces sous-vêtements, sans hésiter à tirer sur l'élastique du string...

... ou à exposer son joli postérieur, mis en valeur par l'étroite bande de tissu rentrant entre ses fesses.

Le défilé continue ensuite avec les mêmes sous-vêtements, mais dans un autre coloris.

Puis Alexa propose au couple un magnifique boxer blanc en dentelle ainsi qu'une brassière également en dentelle.
- Ouah, j'adore le boxer ! commente Julien en essayant de profiter du défilé tout en se maitrisant.

Dakota saisi l'occasion et essaie de pimenter le défilé :
- Moi aussi je l'aime beaucoup ! Mais pas le haut, par contre... Tu peux l'enlever pour voir ce que le boxer donne ?
Julien s'étonne alors que Dakota ose demander aussi facilement à cette vendeuse de montrer ses seins, même s'il était vrai qu'elle venait de le faire d'elle-même. Pourquoi pas deux fois, après tout ? Et en effet, comme Foxy et Katee avant elle, Alexa ne semble absolument pas gênée par la demande qui semble, pour une modèle de lingerie, totalement normale. Elle enlève donc sa brassière blanche et se montre ainsi topless, sans aucun souci, pour exposer les qualités du boxer.

Après avoir laissé le couple admirer son petit cul (et le tissu autour...), Alexa continue :
- Avant de passer à quelque chose de plus habillé, mais pas moins coquin, je voulais vous montrer quelque chose de très osé...
Alexa entre dans la cabine et en ressort rapidement avec sur elle un string minuscule, cachant à peine son sexe.

- Voilà un micro-string. C'est fait pour être mis sous une robe légère et un peu transparente, lorsque vous souhaitez couvrir le nécessaire mais rien de plus.
- Le plus simple est peut-être encore de ne rien porter du tout... commente Dakota.
- Je suis bien d'accord avec toi ! répond avec enthousiasme Alexa. En général je ne porte rien sous mes robes. Mais certaines clientes veulent quand même se couvrir un peu, mais que cela reste discret. Donc ce produit est là pour ça !
Tandis qu'Alexa retourne en cabine pour enfiler autre chose, Julien se fait une note mentale : Alexa ne porte que rarement de sous-vêtement... Intéressant.
Dakota lui demande alors :
- Ça va mon chéri, tu tiens le coup ?
- Oui ça va. C'est juste que tu vas prendre très cher ce soir, c'est tout !
- Si tu réussi...
Alexa sort de la cabine et continue ses présentations :
- Moins à destination de la ville et plus pour les soirées en amoureux, voici une classique mais toujours efficace nuisette.

- Et pour le dessous, c'est à vous de voir. Là j'ai mis un tout petit string qui va avec mais qui est si étroit qu'il ne bloque quasiment aucun... accès, commente Alexa en riant et en tendant ses fesses.

Le défilé continue ensuite avec une autre nuisette, d'un autre coloris et largement ouverte sur le devant, ne couvrant que les seins. Et encore, puisque le tissu est complètement transparent...


Les modèles, toujours plus sexy, se succèdent devant Dakota et Julien. Celui-ci, malgré son apparente maitrise, sait qu'une énorme érection déforme son pantalon et que si Dakota n'était pas à côté de lui, il aurait déjà trouvé un moyen de défoncer le petit cul qui se trémoussait devant lui. D'ailleurs, c'est lui qui tente de terminer le défilé :
- Dakota, on pourrait faire notre choix ? J'avais prévu de t'emmener en promenade après...
- Julien, j'ai juste un dernier modèle à vous montrer : Janet nous l'a conçu ce matin. Je pense que tu vas l'adorer !
Et alors qu'Alexa retourne dans la cabine, Julien demande à Dakota :
- Quel est le rapport avec Janet ?
- D'après ce que j'ai compris, c'est Janet qui créé les modèles de lingerie à partir des idées d'Alexa. Avant, Janet pouvait nous les créer à la demande chez nous mais Julia, grâce à ton idée, a pensé que ces séances d'essayages réveilleraient la libido des résidents.
- Je t'assure que ça fonctionne ! répond alors Julien en montrant son énorme érection se profilant dans son pantalon.
Dakota pose alors sa main sur la queue de Julien pour constater par elle-même et félicite Julien pour sa maîtrise. Mais, au moment où Alexa sort de la cabine, le couple se rend compte que cette lingerie sera leur ultime challenge !
Alexa a en effet revêtu un ensemble string/soutif noir coquin, ainsi que des bas et des gants rouges à dentelles assortis.
- Voilà donc notre dernière nouveauté. Nous avons des lingeries bien plus sexy et provocante, évidemment, mais j'aime particulièrement celle-ci car elle est modulable. En effet, l'ensemble est magnifique ainsi complet...

- Mais il est également adapté à une version topless, ajoute-elle en enlevant son soutien-gorge et en tirant sur son string pour mettre en valeur ses fesses et, au passage, en exposant une partie de son sexe à peine caché.

- Mais que ce soit pour des soirées coquines ou pour mettre sous une petite robe avant d'aller en ville, je trouve que c'est encore en version commando que cet ensemble va le mieux ! conclu-elle en enlevant doucement son string devant Dakota et Julien, pris au dépourvu.

- Voilà un bel aperçu de ce que nous proposons dans notre boutique.
- Nous... te remercions pour l'essayage Alexa. Nous allons, je pense, prendre la nuisette rouge que tu nous as montrée tout à l'heure. Et si nous avons d'autres envies, je suppose que nous pourrons revenir.
- Tout à fait ! N'hésitez pas à repasser, Janet nous créé de nouveaux modèles régulièrement et les filles qui travaillent ici seront toujours à votre disposition pour vous les montrer.
- Merci de ton accueil, ajoute Julien en guise de conclusion.
- De rien... Oh Julien, j'ai cru comprendre que c'était en partie grâce à toi que cette boutique existait et je t'en remercie. Ta façon d'assister aux essayages me semble bien moins... intéressée que beaucoup de clients qui viennent ici. Aussi, n'hésite pas à passer de temps en temps pour nous donner ton avis sur nos nouveaux modèles.
- Je te remercie, j'essaierai de passer à l'occasion.
- Parfait. Vous pouvez passer voir Foxy pour récupérer votre lingerie, moi il faut que j'aille me changer et me... rafraichir...
Dans le hall d'accueil, la belle Foxy, plus habillée que tout à l'heure, leur donne le paquet et les invite à revenir en précisant qu'elle fera en sorte d'être disponible et que si besoin, elle demandera à la patronne s'occuper des clients manifestement plus intéressés par les déshabillages que par les essayages !

Amusé par cette remarque qui en dit long sur la lucidité de cette jeune femme sur, d'une part, la réelle motivation des clients mâles de ce magasin et, d'autre part, la lubricité manifeste d'Alexa, Julien et Dakota sourient à Foxy puis sortent de la boutique.
- Alors ? demande Dakota à Julien, c'était dur ?
- Oui... j'avoue que voir toutes ces femmes se promener à moitié nues sans aucune gêne a été... tentant.
- C'est sûr ! Et en plus, que des canons !
- Oui, ça va... répond Julien, embarrassé.
- Tu peux l'admettre, mon chéri. Déjà que je me suis faite à l'idée que tu fricotes avec d'autres résidentes, alors je ne vais pas te faire une crise de jalousie si tu trouves certaines femmes jolies ! Moi je te le dis, cette Alexa a le feu aux fesses ! Et Foxy et Katee sont tout simplement sublimes.
- C'est vrai qu'elles sont pas mal... Bon, j'ai réussi ton défi, non ?
- Le premier, oui !
- le premier ??
- Oui... tu ne pensais pas que ton traitement allait se résumer à cette formalité ? Maintenant que tu es bien chaud, on passe à la deuxième partie de la journée : on va à la plage.
- Pour me rafraichir et faire tomber la pression ?
- Au contraire ! On va aller là où tous les nudistes vont et on va encore faire monter la pression. Si tu résistes et tu te comportes comme un digne résident du « bon endroit » alors, on rentrera pour ta récompense !
Julien se souvient alors de sa journée d'hier. Il était allé à la plage pour se détendre mais n'avait en fait que rencontrer des femmes toutes plus bandantes les unes que les autres, souvent topless, parfois nues et il avait dû rapidement battre en retraite. Et là, excité par le défilé de lingerie, il devait y retourner et y rester autant de temps que Dakota le jugerait nécessaire.
Cette fin de défi s'annonçait tendue ! Mais la récompense ne valait-elle pas le coup ?
Suivant Dakota, Julien se rend donc à la plage du quartier, sorte de bord de mer fantaisiste où la physique et la logique géographie n'avait pas de sens. Le soleil y régnait en permanence mais ne donnait pas de coup de soleil. L'étendue d'eau était infinie, semblable à l'océan, mais elle n'était pas salée et peu importe dans qu'elle direction on pouvait nager, on ne s'éloignait jamais de la plage. La plage tenait plus de l'œuvre d'art qu'autre chose : il s'agissait principalement d'une immensité de sable blanc mais avec une incroyable diversité de paysages côtiers allant des falaises et chaos rocheux aux mangroves tropicales en passant par les petites criques discrètes et fraiches et bien d'autres ambiances encore. Tous les types de côtes de le Terre y étaient représentés si bien que chaque résident pouvait à la fois être dépaysé et se sentir chez lui.
Les premiers jours qui avaient suivis son arrivée au « bon endroit », Julien avait remarqué ce lieu où tous les résidents aimaient aller. Il y avait rencontré Asa, en bikini, et elle était alors une des résidentes les plus légèrement vêtues. Les autres femmes portaient soit des maillots de bain une pièce, ou, si elles étaient en bikini, portaient un T-shirt ou une serviette en plus.
Mais maintenant qu'il avait fait en sorte que Julia ajoute une grosse louche de frivolité au fonctionnement du quartier, l'ambiance de la plage était radicalement différente.
Partout autour de Julien et Dakota, des hommes et des femmes, légèrement vêtus, se promenaient, bronzaient, se baignaient ou même flirtaient. Les vieilles dames, malgré la touche exhibitionniste de Julia, gardaient une certaines pudeurs mais étaient clairement là pour mater les résidents plus jeunes ! Tout comme les vieux messieurs qui eux, par contre, avaient plus de mal avec la pudeur !
Les autres résidents, eux, se promenaient nus ou à moitié nus, sans que cela ne semble offusquer personne. Certaines zones de la plage étaient, cela dit, réservées aux couples nudistes aux envies libertines (tous les résidents du quartier ou presque avaient une âme sœur et rares étaient les célibataires. Ces derniers étaient, d'ailleurs, en attente d'âme sœur en fonction des nouveaux arrivants).
En arrivant à la plage, Julien fut en partie rassuré. La rectification qu'il avait demandée à Julia après que celle-ci ait voulu trop pimenter le fonctionnement du quartier semblait fonctionner. Pas de nudistes nymphomanes sous les douches, ou dès l'entrée de la plage. Juste des résidents en maillot de bain.

Cela n'échappa d'ailleurs pas à Dakota qui commenta :
- C'est bien sage aujourd'hui... Allons plus loin.
Le couple longe donc l'eau pour s'enfoncer plus loin dans l'étendue de sable, en passant à côté de plusieurs femmes en train de bronzer ou de se baigner, parfois en bikini, parfois topless, parfois jeunes, parfois moins.


- Tu trouves ça sage, toi ? demanda Julien en se disant que, vu son état d'excitation, c'était bien assez de seins nus autour de lui !
- Pour toi... oui. Il t'en faut plus pour te challenger, mon cher !
A ce moment, passe à côté du couple une femme en maillot de bain en apparence assez sage. Mais une fois que celle-ci ait dépassé Julien et Dakota, ils se rendent compte que le bas du maillot est un string et qu'il met en valeur une incroyable paire de fesse.

- Moi ça me challenge suffisamment ça... commente Julien avec humour.
- Ok j'admets que celle-ci est particulièrement tentante ! Allons plus loin quand même...
En s'enfonçant d'avantage dans la plage, Julien dut admettre qu'en effet, l'ambiance y devenait plus chaude et qu'il allait effectivement être « challengé » ! Presque toutes les femmes y étaient nues. Certaines ne faisaient que se baigner et ne semblaient pas spécialement provocantes...

... mais d'autres en train de bronzer mettaient clairement leurs charmes en avant, sans aucune pudeur.

- Là nous serons bien, commente Dakota en constatant le nombre de personnes nues.
En se retournant pour chercher où poser sa serviette, Dakota découvre alors un homme nu, au sexe bandé et de taille plus que correcte.

Les yeux rivés sur le sexe, Dakota ajoute :
- Oui... nous serons très bien là...

Bien que ressentant une pointe de jalousie, Julien ne dit rien et s'allonge à côté de Dakota. Il est lui-même entouré de cul, de sein et de chattes, alors il ne va pas jouer les offusqués si Dakota regarde un mec à poil !
Partout, des femmes vont et viennent, entièrement nues. Certaines sortent de l'eau...

... quand d'autres arrivent et se déshabillent pour bronzer.

- Je crois que je fais tâche, avec mon maillot de bain, soupire Dakota. J'enlève le haut...

Puis elle s'allonge de côté, contre Julien et lui demande :
- Et toi, tu n'enlèves pas ton maillot ?
- Pas sûr que ce soit une bonne idée... J'ai une... érection
- Et alors, le mec derrière nous aussi et ça n'a pas l'air de le gêner. Allez... sors ton engin !
Dakota fouille alors dans le caleçon de bain de Julien et en sort son sexe, en effet très dur. Mais une fois l'engin en main, elle est comme incapable de le lâcher. Elle commence donc doucement à le branler.

- Tu prends des risques, Dakota, commente Julien.
Soudain, une voix dans leur dos s'exclame :
- Dakota, c'est toi ??
Surprise, Dakota lâche le sexe de Julien et se retourne pour découvrir une jeune femme nue, en train de remettre le bas de son maillot.

- Ariana ! Comme ça fait plaisir de te voir !
- Mais carrément ! Toi qui venais si souvent à la plage, on ne t'y voit plus guère !
- Oui... j'ai eu du mal à m'habituer à l'ambiance plus... décontractée. Et puis avec l'arrivée de mon âme sœur, j'ai été pas mal occupée !
- J'imagine, oui, depuis le temps que Julia te l'avais promis ! C'est lui je suppose ? Julien c'est ça ?
- Oui ça c'est, répond Julien en réajustant sur short de bain et se levant pour lui serrer la main. Enchanté.
Ariana regarde alors la bosse dans le short de bain de Julien à cause de son sexe toujours en érection et lui répond avec le sourire.
- Enchantée également. Très enchantée même.

Dakota intervient alors :
- Et au fait, Ariana, comment va ton âme sœur ?
- Bien ! Il est au magasin de lingerie. Depuis que Julia a ouvert ce magasin, mon mari y est tous les jours et me couvre de cadeau, surtout de la lingerie coquine d'ailleurs ! Donc ça n'a jamais été aussi bien entre nous !
Julien et Dakota échangent un regard complice en souriant. Dakota continue, constatant qu'Ariana se rhabille :
- Tu t'en allais ?
- Oui, il y a trop de monde ici. La première fois que je suis venue ici pour faire du bronzage intégral, j'étais toute seule, tranquille. Et là on dirait que tout le monde se met au nudisme. Du coup, je rentre chez moi profiter du Jacuzzi. Vous voulez venir ?
- Heu, je ne sais pas trop... hésite Dakota qui avait d'autres plans pour Julien.
- J'insiste ! Ça fait des jours qu'on ne s'est pas parlé !
- Bon d'accord, c'est vrai que ça fait longtemps ! fini par céder Dakota après avoir consulté son âme sœur du regard.
Sur le chemin, Dakota parvient à glisser un mot à l'oreille de Julien :
- Ne t'inquiète pas pour ton défi... et ta récompense. Je vais faire en sorte qu'on ne s'éternise pas !
- Bien... j'ai hâte ! répond alors Julien en chuchotant et en malaxant une des fesses de Dakota.
A suivre....
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The Good Place - Épisode 9 - partie 2
Dakota et Julien, accompagnés d'Ariana, s'approchent de la maison de cette dernière.
Une fois dans le salon, la belle brune dit :
- Julien, tu peux aller nous attendre au jacuzzi, dans le jardin. Nous on va chercher des serviettes. Et je vais en profiter pour me changer et essayer un des nombreux maillots que mon mari me ramène de la boutique !
Julien se dirige donc vers le jardin et, alors qu'il s'attendait à trouver un bain à bulles gonflable, comme il en a vu de nombreux lorsqu'il était vivant, il s'aperçoit qu'il s'agit d'un modèle professionnel, enterré, au moins aussi grand ceux des spa de luxe. Se disant que, décidément, le bon endroit était vraiment le paradis, il s'installe au bord de l'immense jacuzzi et se demande si Ariana se doute que son mari reluque des jeunettes à poil toutes la journée sous prétexte d'acheter de la lingerie. Les résidents du bon endroit sont parfaitement honnêtes mais peuvent être également si naïfs...
Rapidement, les deux filles reviennent, en bikini et avec des serviettes sous les bras.

Elles montent dans le jacuzzi pour rejoindre Julien mais s'arrêtent une fois les pieds dans l'eau. Dakota demande à Julien :
- Comment tu nous trouves, Julien ? Content d'être au « bon endroit » ?

- Vous êtes superbes, admet Julien. Si j'avais su que le paradis était peuplé d'aussi jolies filles, je serais mort plus tôt !
- Quel charmeur, commente alors Ariana, c'est bien un français, ça !
- Oui ! s'exclame alors Dakota. J'ai toujours craqué sur les français et, bim, Julia en trouve un pour être mon âme sœur.
- C'est loin d'être du hasard, Dakota, précise Ariana. Tous les morts qui gagnent leur place au bon endroit sont répartis dans les quartiers en fonction d'une harmonie idéale à atteindre. Tu voulais un français, tu as eu un français ! Dans mon cas, j'ai toujours été attiré par les hommes plus âgés, aisés, cultivés. Et mon mari par les jeunes femmes drôles et avec un gros appétit sexuel. Donc Julia nous a mis naturellement ensemble !!
Les deux femmes entrent dans l'eau et commencent à discuter, rattrapant le temps perdu. Julien, de son côté, s'ennuie de ces papotages inutiles, lui qui espérait en apprendre plus sur le quartier et le bon endroit, comme pour le système de répartition des âmes sœurs. En effet, son arrivée erronée dans le quartier restait encore un mystère.
Rapidement, la conversation fini par aborder les habitudes naturistes d'Ariana, celle-ci expliquant qu'elle passait auparavant ses journées à bronzer en maillot de bain mais que, dernièrement, le bronzage topless puis intégral l'avait séduit, sans qu'elle sache dire pourquoi.
- D'ailleurs, je suis bête, enchaîne-t-elle, je vais me refaire des traces de bronzage avec ce maillot. Ça ne vous dérange pas si j'enlève le haut ? De toute façon, vous m'avez vu toute nue tout à l'heure...
- C'est pas faux ! Non pas de souci, vas-y, répond Dakota avec, visiblement, une idée derrière la tête.
- Toi aussi tu pourrais tomber le haut, poulette. Tu étais topless à la plage alors qu'il y avait plus de monde qu'ici !

- Pourquoi pas ! Prendre un peu de couleur ne me ferait pas de mal, répond Dakota tandis que, sans attendre, Ariana lui enlève son haut de maillot.

Puis c'est au tour de la belle brune d'enlever le haut de son bikini, le plus naturellement du monde.

- Je n'avais pas remarqué que tu avais d'aussi beaux seins, Ariana, commente alors Dakota en observant la poitrine de la jeune femme. Les décolletés et soutien-gorge ont tendance à embellir les choses je trouve mais chez toi, ils sont naturellement magnifiques, je suis un peu jalouse !
- Qu'est-ce que tu racontes, Dakota ? Tes seins sont très beaux également !
- Ils sont minuscules !

- Déjà, ils ne sont pas beaucoup plus petits que les miens et en plus, ils sont absolument adorables ! déclare Ariana en caressant d'un doigt le téton de Dakota

- Tout chez toi est adorable, continue-t-elle en se penchant sur Dakota pour l'embrasser du bout des lèvres.

- Ary... pas devant Julien... je ne voudrais pas qu'il s'imagine des choses... dit Dakota en repoussant doucement la jolie brune après s'être laissée embrassé.
Adriana se tourne alors vers Julien, qui du fond de la piscine, commençait à se demander s'il n'était pas tombé dans un autre des pièges de Dakota.
- J'espère que ça ne te dérange pas, Julien, ce genre de petit jeu entre copines ?
- Heu non, pas du tout... Je suis juste un peu surpris.
- Tu sais... Dakota a été longtemps célibataire en attendant que son âme sœur arrive et moi-même, avec les soirées d'Anissa auxquelles mon mari était toujours fourré, j'étais souvent seule le soir. Donc... entre copines... on trompait l'ennui.
- Je comprends...

- Tu vois, il comprend ! dit alors Adriana en se tournant vers Dakota pour à nouveau l'embrasser.
Puis, entre 2 baisers, elle continue :
- Ton âme sœur est décidément une perle. Beau, bien monté, séducteur, ouvert d'esprit...
- Oui... j'ai beaucoup de chance... répond Dakota en retournant les baisers, doux et plus sages, d'Ariana.

Les deux jeunes femmes continuent de s'embrasser ainsi devant Julien en se caressant mutuellement les hanches et les fesses. Leurs seins se pressent les uns contre les autres et leurs tétons, très durs, se touchent par le jeu de mouvements qui ne doivent rien au hasard, au contraire. Les deux femmes, sous l'effet d'une excitation grandissante, attaquaient les choses sérieuses !
Les mains se Dakota, alors sur les fesses d'Adriana, remontent vers ses hanches, attrapent au passage le bas de bikini rose de la belle brune et le baisse doucement.
- Tu vas avoir des marques de bronzage ici aussi, déclare-t-elle pour se justifier.
- Comme c'est prévenant de ta part, répond Adriana.
Puis celle-ci se tourne vers Julien et lui dit :
- C'est pour ne pas ruiner mon bronzage... tu comprends ?

- Bien sûr, pas de souci, répond Julien en essayant de ne pas rester les yeux rivés sur le magnifique cul d'Ariana et en priant pour qu'il n'ait pas à sortir de l'eau.
Les séances d'embrassades et d'effeuillage des jeunes femmes avaient en effet ravivé son excitation qui c'était un peu calmée depuis le magasin de lingerie mais qui là, repartait en flèche ! Heureusement pour lui, malgré sa tendance naturiste, Ariana restait relativement pudique et sitôt toute nue, elle s'assit sur le bord de la piscine en serrant les jambes.
Elle attrape alors le nœud attachant les pans de tissus du bikini de Dakota qui, surprise, lui demande ce qu'elle fabrique.
- C'est pour t'éviter, à toi aussi, des marques de bronzage !

Un peu gênée, Dakota demande à Julien :
- Ça te ne dérange pas que je sois toute nue ?

- Il n'y a aucune raison qu'il soit gêné, répond Ariana en coupant l'herbe sous le pied de Julien et en écartant brièvement les jambes sous son nez, faisant exploser en vol les illusions de pudeur qu'il prêtait à Ariana.

Puis elle se lève aussitôt, serrant à nouveau les jambes comme si son exposition intime n'était qu'un accident et continue :
- Avoir avec sois deux bombes atomiques toutes nous dans une piscine, ce n'est pas donné à tout le monde, même au bon endroit...

- ... donc je suis sûre qu'il n'est pas gêné et, qu'au contraire, il est prêt à profiter du spectacle, conclue-t-elle en retournant embrasser Dakota en mettant la langue cette fois-ci.

Puis soudain elle s'arrête et recule son visage de quelques centimètres pour demander :
- Par contre la question est de savoir si toi, tu es prête à aller plus loin. Parce que si on ne s'arrête pas maintenant, on ne s'arrête plus du tout !
- Oui... je suis prête... répond alors Dakota entre deux soupirs d'excitation.

Puis la belle blonde tourne la tête vers Julien et lui dit avec un clin d'œil complice.
- Julien... j'ai envie que tu restes pour nous regarder... j'ai envie de partager ça avec toi... mais tu dois me promettre de toucher avec les yeux. Aucun contact avec moi et surtout pas avec Ariana ! Tu en seras... capable ?

Julien ne sait alors pas si cela avait été prémédité ou non mais il avait là sa dernière épreuve de la journée et, de loin, la plus dure. Mais il n'avait ni le choix de refuser, ni l'envie d'ailleurs car voir des filles jouer entre elles avait toujours été une passion pour lui ! Seulement, normalement, il finissait toujours par participer...
- Bien sûr que j'en suis capable, Dakota, répond alors Julien avec une assurance exagérée. Amusez-vous, je profite du spectacle, ajoute-il en se plaçant à l'opposé des filles dans l'immense jacuzzi afin de s'éloigner des sources de tentation.
- Oh ça, du spectacle, il va y en avoir, répond alors Ariana en tendant les fesses en direction de Julien, aussitôt imitée par Dakota.

Plus directe que Julien ne l'aurait imaginé, Ariana se place alors entre les jambes de Dakota et, en la faisant s'appuyer sur le bord du jacuzzi, commence à lui lécher le sexe.

Ariana, sans doute habituée à ce genre d'expérience lesbienne, joue habilement avec le clitoris de Dakota et lèche goulument la cyprine qui coule abondement du sexe de la belle blonde. Celle-ci, manifestement, est aux anges mais sans que Julien ne sache s'il s'agit réellement de la qualité du cunnilingus ou plutôt de l'effet de ses retrouvailles avec Ariana.
Dakota semble, à ce moment, capter chez Julien un regard presque jaloux et essaie donc de le rassurer :
- Ariana est très douée... mais toi aussi mon chéri. Vous avez un style différent, c'est tout !

- Oh, je ne suis pas inquiet, ment alors Julien en essayant de masquer sa jalousie. Depuis le temps que vous vous voyez, vous avez appris à vous connaitre.
- Tu as bien raison, déclare alors Ariana en cessant ses coups de langues. Et d'ailleurs, je sais que Dakota adore ce genre de chose.
Ariana pose alors sa main sur le sexe de la belle blonde et se met à la masturber d'un mouvement latéral qui, en effet, provoque immédiatement des gémissements de plaisir chez Dakota. La technique d'Ariana est, il est vrai, différente de ce qu'aurait fait Julien. En bon professionnel de la baise, il enregistre la technique...

Puis Dakota s'enfonce dans l'eau pour rejoindre Ariana et l'embrasse en lui chuchotant :
- Ça m'avait manqué... A mon tour de m'occuper de toi.
C'est donc à Ariana de se redresser pour s'appuyer sur le rebord du jacuzzi en écartant les jambes pour laisser Dakota lui brouter le minou.

Malgré des soupirs de plaisir non feint de la part d'Ariana, Dakota semble plus réservée et plus inexpérimentée sur ce genre de léchouilles. Clairement dirigiste, la belle brune saisi la tête de la blonde pour l'inciter à lécher plus fort et plus vite. En avançant, la croupe de Dakota se creuse alors et sort de l'eau, laissant apparaitre, telle la face immergée d'un iceberg, ses fesses, son anus et sa chatte.

Julien, totalement excité par cette scène, ne peut alors résister à la tentation. Conscient qu'il ne peut intervenir pour pénétrer ce petit cul tendu, faute de quoi il raterait son défi, il sort son sexe bandé de son caleçon de bain pour se masturber doucement. Rien, dans les consignes de Dakota ne l'interdit et il se dit que n'importe quel résident du bon endroit aurait réagi pareil en de telles circonstances.

Si Dakota, de dos, ne remarque rien, Ariana elle ne rate rien du spectacle qui lui est offert. Elle dévore des yeux la grosse queue de Julien et lui lance des regards de braise.

Celui ne se prive d'ailleurs pas de se mettre en avant et de se palucher en lui rendant son regard provocateur. Loin d'être gênée par cet échange de regards, Ariana s'écarte alors de Dakota et s'approche, en marchant dans l'eau, de Julien, situé à l'autre bout du jacuzzi.
Elle se place devant lui et dit :
- Difficile de résister à deux superbes femmes en train de se faire plaisir, hein ?
- En effet, Ariana, c'est très difficile...

Ariana se penche alors sur Julien et se saisit de son sexe à pleine main en le massant un peu et en stimulant ses couilles.
- Ary.... intervient tranquillement Dakota depuis l'autre côté du bain à bulles.
- Quel dommage de ne pas pouvoir profiter d'un engin pareil, dit, pensive, Ariana sans prêter attention à la belle bonde.

- Ariana ! insiste alors Dakota. J'ai demandé à Julien de nous laisser nous amuser sans intervenir, ce n'est pas pour que tu ailles le provoquer ! Reviens plutôt t'occuper de moi...
Ariana, toujours en train de caresser le sexe de Julien, lève alors les yeux vers Dakota :
- Très bien ma chérie, je le laisse tranquille, ton démonte-pneu... Mais à mon avis, c'est du gâchis. Tu ne te rends pas compte de la chance que tu as d'avoir un homme aussi beau et bien membré comme âme sœur.

Ariana s'éloigne donc de Julien pour le plus grand regret de celui-ci. Il était en effet dans un état d'excitation rarement égalé, même pour un obsédé comme lui, et ce serait bien vu en train de baiser cette chaudière d'Ariana, avec le consentement de Dakota. Mais la petite blonde avait tenu bon et il allait devoir continuer de prendre son mal en patience.
Les deux filles se retrouvent à nouveau enlacées et s'embrassent fougueusement. Entre les baisers, Ariana dit à Dakota :
- Excuse-moi d'avoir joué avec ton âme sœur. Il est si... différent de mon mari.
- Je sais... je ne t'en veux pas...
- Tu... tu penses que tu pourrais... me le prêter un jour ? tente alors Ariana avec un sourire malicieux

- On verra Ary... répond Dakota un poil agacée. Occupe-toi plutôt de moi, j'ai envie que tu me fasses jouir !
- Bien-sûr ! Tend les fesses, je vais m'occuper de toi... Et en plus ça plait beaucoup à Julien on dirait.
Dakota tend donc ses fesses à l'extérieur de l'eau, en direction de Julien, tandis qu'Ariana expose volontairement l'anus et la chatte de la belle blonde et commence à la caresser.

Ariana glisse une main sous le ventre de Dakota et commence à masturber la belle blonde tout en embrassant ses fesses.

Puis, à la grande surprise de Julien, Ariana donne un premier coup de langue sur l'anus de Dakota, coup de langue suivi ensuite de plusieurs autres.

- Mmhh... c'est nouveau ça.... Déclare, entre deux gémissements, Dakota, un peu surprise.
- Tu aimes ? demande Ariana.
- Oui... c'est juste que je n'imaginais pas que mon anus puisse autant attirer l'attention ! On dirait que tu prépares la zone pour Julien ce soir...

Ariana s'exclame alors :
- C'est pas vrais ?? Tu vas laisser Julien te sodomiser ? Toi, l'américaine si prude ??
- N'importe quoi ! répond vexée Dakota en tournant la tête vers Ariana, toujours en train ne pratiquer un annulingus expert. Il va juste pouvoir me doigter un peu, c'est tout.

- Tu as tort de refuser cette pratique, ma chérie. Une sodomie, bien réalisée, peut être au moins aussi agréable qu'une pénétration classique, crois-moi !
- Tu... tu le fais souvent ? demande Dakota dont la curiosité venait d'être piquée.
- Tout le temps !
- C'est quand même... mal... enfin je veux dire... (Mmhh continue...) on est au bon endroit et c'est un truc un peu... (oh oui enfonce tes doigts)... pervers quand même.
- Dixit celle en train de se faire brouter le minou par une autre fille ! répond Ariana avec ironie. Pour les coincés du middle west à qui on a remplacé le cerveau par une bible, c'est sans doute pervers. Mais je suis Italienne et chez moi, on est beaucoup plus ouvert sur ce genre de chose. Idem en France, hein Julien ?
- C'est vrais. Chez nous non plus cela n'a rien de choquant, répond Julien en essayant de trouver une formulation qui ne heurte pas la sensibilité de Dakota.
- Mais tu as raison de commencer avec ses doigts, Dakota, reprend alors Ariana. Vu le calibre de Julien, il s'agit d'être prudent avec ton petit trou !
Puis, en accélérant la cadence de sa langue et de ses doigts, elle ajoute :
- Ton petit trou si... doux... délicieux... si accueillant...
- Ton doigt.... Enfonces-y ton doigt.... Oh oui mon dieu comme ça... gémit alors Dakota.

Ariana abandonne alors complètement les coups de langues et masturbe donc Dakota par la chatte et par l'anus. Si les mouvements sur le clitoris sont rapides et puissants, la belle brune se contente de stimuler prudemment du bout d'un doigt de petit trou de Dakota. Cela est cependant suffisant pour provoquer magnifique orgasme chez l'américaine qui pousse un long gémissement de plaisir.

- Mon dieu c'était excellent, commente-elle après quelques instants d'extase. A ton tour, petite vicieuse ! Met-toi debout.
- Avec joie !
Ariana se redresse donc pour laisser faire Dakota mais elle est alors surprise par le choix de sa partenaire. Au lieu de se mettre face à elle pour la masturber comme elle le pensait, Dakota glisse dans l'eau, lui soulève une jambe et commence à lui lécher la chatte comme une affamée.
Malgré son apparente expérience en matière sexuelle, Ariana est prise au dépourvu et s'abandonne au plaisir sans retenue.

Dakota de son côté semble reprendre le contrôle de la situation. Calmée après son orgasme, elle redevient joueuse et manipulatrice, au bon sens du terme.
- Alors comme ça tu aimes te faire sodomiser, il parait ? Et tu voudrais que je te prête Julien ?
- Mmhh... oui...
- Je suis sûr que tu aimerais qu'il te prenne par derrière. Qu'il te défonce l'anus avec sa grosse queue...
- Aahh... je...
- Tu as envie de te l'enfiler dans le derrière, hein ??

- Oohh Dakota... continue... ça vient...
- J'en étais sûre ! Tu crève d'envie de te faire sodomiser par Julien... Il peut être très violent au lit, tu sais. Il pourrait très bien te ravager, te déchirer ton petit anus
- Ahhh !! Purin de merle !!! crie alors Ariana en se pliant en deux et en jouissant violemment sous les coups de langues et, surtout, les évocations salasses de Dakota.

Ariana, encore tremblante, s'enfonce à son tour dans l'eau pour y rejoindre Dakota et l'embrasse fougueusement.
- Tu es une belle vicieuse aussi, dans ton genre...
- Oui... pas si coincée que ça la « middle west », hein ?

- Je suis vraiment très heureuse de vous avoir croisé à la plage aujourd'hui. Tu m'as manqué, Dakota.
- Toi aussi Ary ! Je te promets que l'arrivée de Julien ne nous éloignera pas. Hein, Julien ? demande alors Dakota en se tournant vers son âme sœur.
- Avec plaisir Dakota. J'espère juste être invité plus souvent à vos après-midi entre copines, si ça se passent comme ça !
- Hum... Coquin va, commente Dakota en se relevant pour sortir de l'eau. Mais, au fait, tu n'as pas jouis ?? demande-t-elle en regardant la queue de Julien toujours aussi grosse et dure.

- Non... je me suis réservé pour ce soir.
- Je n'ai jamais vu quelqu'un avec un tel self contrôle et une telle résistance, admet Ariana, impressionnée. N'importe quel résident, dans une telle situation, aurait rompu sa promesse pour nous sauter dessus.
- Mais mon âme sœur n'est pas n'importe quel résident, répond Dakota en faisant un clin d'œil à Julien et en remettant son bikini.
- Je vois ça... répond, admirative, Ariana en étendant une serviette au bord de son bain à bulles. Ça ne vous dérange pas si j'enchaine sur une bonne sieste / séance de bronzage ? C'était mon programme de la journée, à la base !

- Pas de souci, je connais le chemin, répond Dakota.
Puis elle saisit alors Julien par le sexe encore bandé, lui qui sortait de la piscine pour récupérer son caleçon.
- Allez, viens mon étalon. Tu vas avoir droit à ta récompense, maintenant ! A bientôt ma chérie !
- Au revoir Ariana, dit à son tour Julien en lui souriant tandis qu'il était toujours tenu par la queue.

- A bientôt Julien, encore ravie d'avoir fait ta connaissance ! Et surtout n'hésite pas à passer me voir si Dakota en est d'accord. Tu verras qu'il n'y a pas qu'avec les femmes que je suis douée, ajoute-elle en tendant et en écartant les fesses.

Dakota, sans relever l'ultime provocation d'Ariana, attrape une serviette au passage et s'éloigne en direction du salon pour sortir du vaste jardin. Une fois dans le salon d'Ariana et avant d'en sortir pour retourner dans la rue, Dakota donne la serviette à Julien en lui disant :
- Met ça, histoire de ne pas déclencher une émeute dans la rue... On dirait que toutes les résidentes sont devenues nymphomanes... Je me demande bien à qui la faute ?
Julien enfile sa serviette en silence, sans répondre à cette remarque lui étant évidemment destinée.

Puis, une fois dans la rue avec sa serviette déformée par son érection, Julien se sent subitement idiot et éprouve le besoin de s'excuser à nouveau :
- Dakota, je sais que j'ai déconné à mon arrivée ici et que sans toi, je serais sans doute déjà en train de rôtir...
- Ce n'est pas grave mon chéri, j'étais un peu jalouse de l'attention que t'a portée Ariana et énervée par ses remarques insistantes. Mais, objectivement, le quartier est tellement plus agréable maintenant qu'il y a quelques jours ! Honnêtement, ce que tu as fait a vraiment amélioré notre quotidien ici. Rentrons à la maison, j'ai faim !
Arrivés devant le pas de la porte de la maison de Dakota, celle-ci propose à Julien de se retrouver chez elle d'ici une demi-heure, le temps qu'elle se prépare. Julien, par réflexe, demande s'il peut l'aider pour la préparation du repas mais Dakota, avec un sourire bienveillant, annonce qu'elle va tout « commander » à Janet et que tout sera prêt en un claquement de doigt.
- Uber eat livre même ici ? tente Julien pour faire de l'humour.
- Hein ?? répond Dakota sans comprendre la blague.
- Uber eat... des livreurs de repas à vélo sous-payés... Tu connais forcément... Ah mais c'est vrai que tu es ici depuis un moment déjà, j'oubliais. Laisse tomber... A tout'
Julien retourne donc chez lui pour se changer en se disant que Julia aurait pu prévoir un harmoniseur de références, au même temps qu'un harmoniseur de langages car il est bien difficile de parler de choses en commun selon si on est ici depuis 500 ans ou 5 jours...
Une demi-heure plus tard, le voilà dans le salon de Dakota tandis que celle-ci, vêtue d'une magnifique robe bleue, largement ouverte sur le côté, s'affaire à sortir des verres et une bouteille.

- J'ai pensé qu'avant de manger, on pouvait fêter la réussite de ta première journée de traitement.
- Avec grand plaisir... Qu'est-ce qu'on boit ?
- C'est un bourbon de chez moi. Le meilleur qu'on puisse faire. Il était impossible à trouver ou presque quand j'étais vivante. Mais avec Janet...
- C'est sûr que ça aide... J'ai bu un Romanée-Conti hier. Le genre de vin qu'on a jamais l'occasion de boire si on n'est pas millionnaire... Ou mort !

- A la tienne mon chéri !
- Et à une éternité ensemble, Dakota !
Puis Julien et Dakota avalent un premier verre d'alcool. Passionné de whiskys et de bourbons, Julien savoure son verre tandis que Dakota descend le sien en deux gorgées... puis se resserre aussitôt.

Le couple enchaine donc les verres à un rythme plus ou moins élevé et, rapidement, Dakota montre des signes d'ivresse. Julien lui subtilise d'ailleurs des verres pré-remplis pour calmer un peu le jeu.

- Heu Dakota, on va peut-être passer à table, on est à jeun là. Je ne voudrais pas que tu t'endormes avant ma récompense !
- T'inquiète mon chéri.... Tu pourrais me rendre un service ?
- Oui, évidemment.
- Appelle Janet pour désactiver la censure dans ma maison.
- Tu es sûr ? Je ne sais pas si elle va comment elle va réagir...
- Je suis sûr qu'elle va t'obéir. Elle est complètement accro à toi ! C'est évident...
Julien préfère ne pas insister car il n'est pas certain que Dakota est au courant de la nature maître/esclave de sa relation avec Janet. Elle savait, et avais même vu de ses propres yeux, qu'ils étaient en quelque sorte amants, mais Julien préférait jouer la prudence.
- Janet ?
- Oui maître ? répond aussitôt Janet en apparaissant en sous-vêtements.

- Bonjour Janet, répond à son tour Dakota sans relever l'utilisation du mot « maître ».
- Ah ! Bonjour Dakota, excuse-moi pour ma tenue, je croyais que Julien m'appelais pour mon orgasme...
- Non, pas ce soir, désolée Janet, répond Dakota. Je voulais te demander... pourrais-tu désactiver la censure des gros mots dans ma maison ?
- Je suis désolée Dakota mais cette censure est là pour garantir le respect entre résidents.
- Dommage... répond Dakota en penchant la tête sur le côté pour lancer un regard sans équivoque à Julien.
Celui-ci comprend immédiatement l'ordre et demande à son tour à Janet :
- Janet, peux-tu désactiver le censure de langage dans la maison de Dakota comme tu l'as fait dans la mienne ?
- Bien sûr ! C'est fait ! répond Janet sans l'ombre d'une hésitation.
- Merci beaucoup, déclare alors Dakota sans prendre la peine de tester l'absence de censure. Tu peux nous laisser... mais ne t'inquiète pas : on ne t'oublie pas et on va bientôt s'occuper de toi.
Puis, aussitôt Janet partie, Dakota s'approche de Julien et lui dit :
- Tu vois, elle ne peut rien te refuser. Pas une femme de ce quartier ne peut te résister, on dirait. Tu aimes avoir des esclaves sexuelles autour de toi, hein ? Et pourtant tu as été impressionnant de self contrôle aujourd'hui. C'est remarquable.
- C'est grâce à toi. C'est pour rester avec toi que je fais ces efforts.
- Je sais... Maintenant Julien, écoute moi bien...
Julien déglutit alors en s'attendant à un ultimatum ou quelque chose du genre.
- Julien... baise-moi immédiatement. Défonce-moi la chatte avec ta grosse bite et doigte-moi le cul. Tout de suite.
Puis Dakota lève soudain la tête en criant :
- Woah ! Putain ça fait du bien de jurer à nouveau !! Allez, rejoins-moi dans la chambre...
Dakota se dirige donc vers sa chambre tandis que Julien, soulagé et impatient de ce qui l'attend, se reprend un petit verre de bourbon. Puis il rejoint son âme sœur dans la chambre et la découvre à quatre pattes sur le lit, la robe relevée et la croupe offerte.

- J'ai failli attendre... déclare Dakota, autant excitée qu'éméchée.
En amateur de cul tendu, Julien contourne légèrement le lit pour admirer de plus près les fesses de Dakota ainsi que sa chatte et son anus, à peine cachés par son string. Celle-ci s'allonge un peu en écartant en d'avantage les jambes pour offrir une meilleure vue à Julien.

Puis elle se remet à quatre pattes et déclare :
- Allez, enfile-moi ta queue... j'en crève d'envie depuis ce matin !

- Déjà ?? s'étonne alors Julien. Tu ne veux pas que je m'occupe un peu de toi ?
- Ça ne t'a pas suffi une journée entière de préliminaires ?? Oui, je veux que tu t'occupes de moi mais avec ta bite. Baise-moi maintenant !
- A vos ordres !
Sans prendre la peine de déshabiller Dakota, Julien se contente d'écarter sur le côté le string de la belle blonde, révélant une chatte trempée et un magnifique anus ne demandant qu'à être visité.

Julien repousse à plus tard cette envie de pénétration anale pour se concentrer sur la chatte de Dakota. Il baisse son pantalon et sort de sexe bandé pour l'enfoncer aussitôt dans un orifice chaud et humide.

Son sexe entre sans la moindre résistance, déclenchant chez Dakota un long gémissement de plaisir et de soulagement. Julien comprend aussitôt que cette journée n'a pas été dure que pour lui. La patience de la belle blonde a également été mise à rude épreuve malgré sa séance de sexe avec Ariana.

Durant un délicieux moment, Julien baise ainsi Dakota par derrière, par de longs et lents mouvements de bassin. Se sachant surexcité et ne voulant pas craquer avant d'avoir pu jouer avec son petit cul, Julien ménage son effort !

Mais le poids de cette journée est décidément trop lourd et la chatte de Dakota décidément trop bonne. Julien décide donc de faire une pause plutôt que de prendre le risque de tout lâcher trop tôt. Il se retire et enlève le string de la belle blonde puis observe, admiratif, son anus vierge.

Devinant sans mal ce que pense Julien, Dakota lui dit :
- Tu as envie de le doigter, hein ?
- Et comment...
- Baise-moi encore et met moi un doigt. Vas-y doucement au début, c'est tout.
- Ne t'en fais pas, je vous être prudent.
Julien pénètre donc à nouveau Dakota délicatement...

... puis enfonce un doigt dans l'anus de la petite blonde, en ne mettant qu'une phalange ou deux pour commencer.

Julien, prudent et doux comme promis, bouge très lentement dans la chatte de Dakota et n'enfonce que modérément son doigt afin de ne pas lui faire mal. Son objectif est évidemment de lui donner du plaisir par cette pratique pour en faire une accro à la sodomie. Et il a l'éternité pour ça, alors mieux vaut se montrer patient !
La main de Dakota est posée sur une de ses fesses afin de la maintenir écartée. Mais, au bout d'un moment, celle-ci déplace sa main vers celle de Julien en lui demandant une petite pause.
Julien se retire donc de l'anus de Dakota puis lui propose de changer de position. Il se déshabille complètement pendant que Dakota enlève sa belle robe bleue qui ne couvrait plus rien. Le jeune homme s'allonge sur le lit et invite Dakota à venir le chevaucher. Celle-ci se place sur Julien et guide elle-même sa grosse queue à l'entrée de sa chatte. A nouveau, aucune résistance, aucune gêne, la pénétration est facile et délicieuse.

Après quelques allers-retours qui refont partir Dakota dans une série de longs gémissements de plaisir, Julien enfonce à nouveau un doigt dans le petit cul parfaitement ouvert grâce à cette position.

La lubrification abondante de l'entrejambe de Dakota ainsi que sa grande excitation rendent le doigtage anal facile et, visiblement, agréable pour la belle blonde. Julien se sent donc aventureux et enfonce un deuxième doigt.

Dakota ne réagit à cette pénétration anal plus large mais guère plus profonde vu que Julien n'insère qu'une ou deux phalanges. Celui-ci ne sent d'ailleurs pas de résistance et, tout en accélérant le mouvement de son bassin, enfonce un peu plus ses doigts dans l'anus décidément accueillant de son âme-sœur.
A la grande surprise du couple, cette double stimulation déclenche une vague de plaisir chez Dakota qui gémit puis crie de plaisir de plus en plus fort. Suivant la montée de l'orgasme, Julien accélère la cadence dans sa chatte tout en enfonçant d'avantage ses doigts.
Et c'est un orgasme bruyant et visiblement divin qui secoue soudain Dakota. Elle pleure presque de plaisir tandis que Julien la pilonne à grands coups de bassin.

- Oh mon dieu c'était merveilleux, s'extasie Dakota en roulant sur le côté du lit, le regard perdu.
- Tu as jouis par le cul ? demande Julien, plein d'espoir.
- Non, quand même pas ! Mais clairement tes doigts ont amélioré l'orgasme... Tu n'as pas jouis, toi ? J'ai cru que tu aurais du mal à te retenir...
- J'ai eu du mal ! Mais, si tu le permets, j'aimerais encore profiter de ton anus...
- Bien sûr mon chéri. Tant que tu restes doux et prudent, tu peux t'amuser !
Allongée sur le dos, Dakota ouvre alors les jambes en grand pour permettre l'accès à Julien.

Celui-ci se précipite sur son sexe qu'il lèche avec gourmandise puis descend rapidement sur l'anus pour le lécher également.
- Il n'y a pas de raison qu'il n'y ai qu'Ariana qui se régale de ton cul, n'est-ce pas ?
- Tout à fait mon chéri... tout à fait...

Lécher ainsi l'anus de Dakota excite au plus haut point Julien. Il enfonce sa langue aussi loin qu'il le peut et écarte les fesses avec ses mains. Voir un anus bien ouvert et disponible est l'une des choses qu'il préfère chez une femme !
L'envie d'explorer plus profondément ce petit orifice se fait alors irrésistible. Il retourne d'abord Dakota sur le vendre et lui demande de faire ressortir sa croupe.

Puis il se place à côté d'elle et enfonce directement deux doigts dans son cul. Le passage a, semble-t-il, été fait et les doigts de Julien entrent sans aucune résistance.

Celui-ci se met alors à réellement masturber Dakota avec ses doigts, entrant et sortant presque entièrement à chaque fois.

Celle-ci ne semble pas s'opposer à l'augmentation de cadence et de profondeur et gémi même de plaisir.
Julien prend alors cela comme un signal. Il enlève ses doigts en commentant :
- Tu m'as l'air d'apprécier ça on dirait !
- Mmh... oui... c'est pas désagréable...
- Alors je suis sûr que tu vas apprécier la suite !
Julien prend alors sa bite en main et appuie son gland contre l'anus de Dakota. Et alors que les premiers millimètres entre en elle, la belle blonde réagit :
- Hey arrête ! Ce ne sont plus tes doigts là !?!

- Non en effet... Il me semblait que tu étais parfaitement prête ! répond Julien en se retirant, constatant manifestement une erreur de jugement de sa part.
- Pas du tout ! Écoute, ce que tu me faisais avec tes doigts était vraiment très bon mais ta bite, c'est une autre affaire. Tu as vu l'engin que tu allais m'enfoncer ??
- Désolé...
- Et puis je commence à te connaître : excité comme tu es, tu allais me défoncer le cul ! Je n'ai pas envie que pour notre première fois de cette façon, tu me fasses mal. Ok ?
- Bien sûr, vraiment désolé.
- Ne t'excuse pas, à ta place, j'aurais été tentée également. Allez, prend moi par la chatte, là tu pourras y aller aussi fort que tu le veux !
Julien n'insiste pas à propos de cette tentative ratée et fait ce que Dakota lui a proposé : il s'enfonce à nouveau dans sa chatte et commence à la baiser profondément tandis qu'elle écarte ses fesses pour lui permettre, selon ses propres mots « de mater son petit cul ».

Et comme Dakota l'avait deviné, l'excitation de Julien le pousse à la prendre de plus en plus vite et de plus en plus fort. Alors qu'il tape de toutes ses forces sur le menu postérieur de la belle blonde, celle-ci déclare, entre deux cris de plaisir :
- Tu vois.... Aaahh.... Jamais tu n'aurais pu.... Mmhh.... Taper comme ça.... Oohhh... Dans mon cul....
- Un jour...
- Oui.... Un jour tu.... Hannn.... me défoncera le cul comme ça.....

- Putain qu'est-ce que t'es excitante !!! répond Julien comme possédé.
Il se retire d'un coup de Dakota, la retourne sur le dos et lui soulève les jambes. Et alors qu'il les maintient fermement contre la poitrine de Dakota, il la pénètre à nouveau avec un rythme soutenu.
Incapable de parler, Dakota se contente de crier et de jurer tant le plaisir est intense.

Voyant Dakota sur le chemin d'un second orgasme et se sentant lui-même prêt à craquer, Julien lâche les jambes de la belle blonde et commence à stimuler rapidement son clitoris

Soudain, concluant une baise intense et une journée d'excitation épuisante, les deux âmes sœurs jouissent, emboitées, en même temps dans un long gémissement.
- Oh quel pied encore ! s'étonne Dakota avec un sourire radieux. Tu es vraiment un génie au pieu, mon chéri !

- Et toi, une déesse, répond Julien, essoufflé, en se retirant et en laissant s'échapper du vagin de Dakota une grosse coulée de sperme.

Celle-ci se vautre alors dans le lit, pétrie de plaisir, et se glisse dans les draps sans que Julien ait eu le temps de lui nettoyer le sexe comme il avait l'intention de le faire.
- Oui... on est vraiment fait l'un pour l'autre... déclare Dakota avec une voix de plus en plus basse. Je t'aime... Je suis heureuse...
Julien se retourne alors vers elle pour lui répondre et constate que Dakota s'est endormie. L'effet conjugué de l'alcool, de la fatigue et du soulagement dû au plaisir aura eu raison de son âme sœur. Julien tire le drap sur elle pour la couvrir et l'embrasse sur le front en lui disant que lui aussi, il l'aime.
Puis, il récupère discrètement ses vêtements et retourne dans le salon avec l'intention de profiter du repas, du vin et du bourbon qui attendent là.
Julien savoure donc le merveilleux repas « préparé » par Janet (créé serait un terme plus juste) et s'enivre de vin luxueux et de bourbon hors d'âge. Tout en mangeant, le jeune homme constate la facilité avec laquelle il relève les défis de Dakota. Il refuse les avances d'Anissa, résiste à la tentation de situation toutes plus excitantes les unes que les autres et, finalement, continue de mener sa barque pour faire de ce quartier une réserve à nymphomanes.
Confiant, Julien ne voit pas ce qui pourrait à présent l'empêcher de rester pour toujours au bon endroit en y menant une vie de plaisir illimité. Il repense alors aux esclaves sexuelles qu'il aimerait avoir au premier rang desquelles, évidemment, Janet.
Le fait de repenser à la belle brune toute puissante lui rappelle aussitôt la situation plus que gênante dans laquelle elle l'a mis, il y a quelques instants, lorsqu'elle est apparue en lingerie chez Dakota. Contrarié et enivré, il réajuste ses vêtements afin de paraître le plus formel possible et décide de l'appeler après avoir vérifié que Dakota dormait de tout son saoul.
- Oui maître ? fit Janet en apparaissant devant le jeune homme, à nouveau en lingerie.

- Dis-moi Janet, j'ai une question : comment un être tel que toi, omniscient et omnipotent, peut être en même temps si stupide ?
- Pardon ?? réagit alors Janet, contrariée. Je ne suis pas stupide, j'ai une capacité cérébrale inégalable, bien supérieure à n'importe lequel des supercalculateurs inventés par les humains.

- Alors si tu n'es pas stupide, c'est que tu souhaites délibérément saborder ma relation avec Dakota...
- Quoi ?? Mais pas du tout enfin... je suis incapable d'une telle volonté. Ce serait pour moi contre-nature !
- Alors pourquoi es-tu apparue chez Dakota en sous-vêtements et pourquoi m'as-tu appelé « maître » ?? Comme d'ailleurs tu viens de le faire à l'instant !
- C'est toi qui m'a demandé de t'appeler « maître » et comme la dernière fois, nous avons partagé un moment de complicité sexuelle explicite devant Dakota, j'en ai extrapolé qu'elle était au courant.
- Et bien tu as mal pensé, Janet. Non, Dakota n'est pas au courant que j'ai fait de toi mon esclave sexuelle et que, de ton côté, tu aimes te comporter comme tel avec moi.
- Je suis confuse... répond alors Janet en baissant les yeux au sol, toute penaude.

- Tu peux l'être, esclave. Je te rappelle que la partie de sexe que tu as eu avec Dakota et moi n'a eu lieu que parce que je lui ai parlé de tes besoins. Idem pour la fois où vous avez baisés toutes les deux dans mon dos. Dakota est disposée à tout cela parce qu'elle me fait confiance et qu'elle tient aussi à ton bonheur, Janet, comme moi. Si tu gâches ma relation avec elle, tu perdras tout cela.
- Je le sais, maître.
- Et je te rappelle que tu es incapable d'aller à l'encontre du bonheur des résidents. Je pourrais très bien, ici et maintenant, mettre fin à notre relation et t'interdire, pour mon propre bonheur, de revoir Dakota ou même de te masturber à nouveau.
- Non, ne fais pas ça Julien ! Maître... s'il vous plait.
- Je ne vais pas le faire, esclave. Je veux juste te rappeler que tu as beaucoup à perdre, toi aussi. Pour la première fois de ton existence, des résidents de traitent en humaine. Pour la première fois, quelqu'un se préoccupe de TON plaisir.
- Je sais, je vous suis tellement reconnaissante à toi et Dakota. Je vous suis redevable pour l'éternité.

- Bien, alors voilà : je ne sais pas exactement comment tu fonctionnes mais tu vas mettre ton « algorithme de décision » à jour. Lorsque je suis avec Dakota ou d'autres résidents, et que je t'appelle, tu apparais normalement et tu ne fais aucune allusion à notre relation. Tu continues, évidemment, à être habillée plus joliment et éventuellement sexy, comme je te l'ai demandé au début. Mais terminé avec les « oui maître » quand tu débarques en public, c'est clair ?
- Très clair.
- Et, dorénavant, si j'ai envie que tu apparaisses en lingerie sexy pour te donner ton orgasme ou autre, je t'appellerai par le mot « esclave ». Clair ?
- Limpide, maître.

- Et dernière chose : arrête de me réclamer des orgasmes dès que je t'appelle. Je sais quel est mon rôle envers toi pour ce genre de choses. Si j'ai envie de t'en donner 3 d'affilées ou de te faire attendre 3 jours avant de te donner ta dose, c'est moi choix. C'est clair ?
- Oui, maître... répond Janet, manifestement plus embêtée par cet ordre que par les précédents.

- Bien, maintenant que cela est réglé, tu peux me laisser.
- Bien maître.
Aussitôt Janet disparait du salon de Dakota et Julien, souriant, reprend une gorgée de bourbon. Puis il dit :
- Janet ?
Celle-ci apparait aussitôt vêtue normalement en disant :
- Oui, Julien ?

- Non, rien... tu peux me laisser.
- Bien, Julien.
Et Janet disparait aussitôt. Laissant passer tout juste une seconde, Julien la rappelle :
- Esclave ?
- Oui, maître ? demande alors Janet en apparaissant dans la même lingerie que précédemment.

- Bon ! Je vois que mes consignes ont rapidement été intégrées !
- Oui maître, elles l'ont été à la seconde où vous me les avez édictées.
- Parfait... Tu es une bonne esclave, la meilleure qu'un humain pourrait rêver de posséder.
- Merci, maître.
- Dis-moi, cela fait un moment que tu ne m'as pas montré tes seins, non ?
- En effet. Je sais que vous les adorez.
- Oui, ils sont magnifiques. Dommage que ces jours-ci, tu aies plus passé de temps à me réclamer des orgasmes plutôt qu'à me contenter visuellement...
- Je suis désolée, maître. Cela n'arrivera plus, répond Janet, docile, en baissant les bretelles de son soutien-gorge.

Puis elle se retourne pour le dégrafer tout en exposant ses fesses, joliment mises en valeur par un string noir et un porte-jarretelles en dentelle.

- Mmhh... ton cul aussi est magnifique.
- Merci maître, répond Janet en laissant tomber au sol son soutien-gorge.

Puis elle se retourne et expose sa grosse poitrine.
- Mes seins sont tout à vous, maître.

- Oui... tes seins, comme le reste de ton corps, sont à moi.
- Mmhh... oui maître... je.... mmhh... vous appartiens !
- Cela t'excite te t'exposer ainsi, n'est-ce-pas ?
- Oui maître... je suis trempée... et mes tétons sont très durs... gémi Janet en écartant sa culotte pour confirmer son état.

Puis elle ajoute :
- Mais pour être honnête avec vous, j'étais déjà très excitée lorsque vous me réprimandiez et me donniez des ordres de manière ferme... Je ne comprends pas pourquoi.
- C'est parce que tu es une esclave née, Janet. Tu aimes recevoir des ordres, tu prends plaisir à faire plaisir. Tes concepteurs ont fait en sorte que ce soit l'unique but de ton existence mais n'avaient peut-être pas pensé que cela entrainerait aussi de l'excitation sexuelle. Après tout, tu as toutes les caractéristiques physiques d'une humaine.
- Cela parait logique en effet...
- Assez parlé... Tourne-toi et montre-moi ton cul !
- Oui, maître, répond Janet, visiblement investie dans son statut d'esclave.
Elle se met à genoux sur le fauteuil derrière elle et expose ses fesses, comme ordonné par Julien.

- Allons, ne fais pas la timide, déclare avec un sourire Julien. Montre le moi mieux que ça !
Janet tend alors plus franchement les fesses mais en serrant toujours les cuisses. La vue que le cul tendu est magnifique et le string de la belle brune peine à cacher tout son sexe. Mais ce n'est visiblement pas suffisent pour Julien.

- Grrr... tu es joueuse ce soir.... Puisque ce c'est ça, tu vas enlever ce string et écarter tes jambes. Je veux voir ta chatte, esclave.
Janet obéit, se retourne et commence à enlever sa culotte, les jambes bien jointes.

- Joue aussi longtemps que tu veux mais je vais la voir ta chatte. Ta belle chatte de salope. Tu es mon esclave et je ferai de toi ce que je voudrai, du moment que ça me fait plaisir.
- Je le sais maitre... je joue avec vous car j'aime quand vous prenez un ton autoritaire et que... vous êtes grossier.
- Tu aimes quand je suis grossier ? Alors tu souhaites sans doute que je t'ordonne de me montrer ta chatte de grosse pute ?
- Oui... encore...
- Tu es une grosse salope Janet. Et tu vas écarter tes jambes comme la perverse qui est en toi en crève d'envie !
- Voilà maître... voilà ma chatte... de salope déclare lascivement Janet en écartant les jambes.

Julien constate alors que Janet ne fais pas qu'exposer son sexe. Elle le caresse discrètement du bout de sa main.
- Tu as envie de te doigter, hein ?
- J'ai envie de jouir, maître. Que l'orgasme vienne de mes doigts ou des vôtres... ou de votre sexe, cela m'importe peu.
- Tu devras te contenter de tes doigts pour ce soir. Dakota est dans la pièce d'à côté et même si tu nous as « assonorisé », il est hors de question que je te touche. Vas-y, masturbe toi, je t'y autorise.
- Merci maître ! répond avec enthousiasme Janet en commençant sans attendre les caresses.

Comme une droguée obtenant enfin sa dose, Janet se masturbe frénétiquement en gémissant :
- Oh maître..... merci... cela faisait si longtemps....

- Tu aimes te masturber n'est-ce pas ?
- Oh oui maître....
- Tu es proche de l'orgasme ?
- Oui.... Je ne suis pas loin... C'est tellement bon...
- Bien. Alors arrête immédiatement !
- Q...Quoi ?
- Arrête de ta masturber tout de suite !
- Mais je... bien maître... mais pourquoi ?
- Tu souviens-tu la raison unique de ton existence ?
- Répondre aux besoins des résidents et assurer leur plaisir.
- Parfait. Cela inclue-t-il de te donner du plaisir ?
- Non... maître.
- Bien, tourne-toi et montre-moi ton cul. Et cette fois-ci, pas de jeu, écarte bien tes cuisses de salope.
- Oui maître.
Janet obéit donc en exposant son cul à Julien et en écartant largement les jambes.

- Bien... je voulais que les choses soient claires. Tu dois tout faire pour mon plaisir, tout. Et là je veux que tu t'exposes complètement devant moi. Et si, ensuite je décide de te renvoyer sans que tu puisses jouir, tu n'auras aucun autre choix que de m'obéir. Tu le sais ?
- Oui maître. Je vous obéis, je suis votre esclave... seul votre plaisir compte.
- Bien. En l'occurrence, je suis de bonne humeur et cela me ferait plaisir de te permettre de jouir.
- Vraiment ??
- Oui vas-y, tu peux te masturber à nouveau.
- Han.... Merci...maître... répond Janet en reprenant immédiatement ses caresses.

- Je me demande parfois si tu prends plus de plaisir à te doigter ou à m'obéir...
- Ah... A me doigter, maitre... enfin... je crois...
- Je ne suis pas sûr. Tu es vraiment une esclave née... et la soumission t'excite.
- Oh... c'est possible oui...
- Doigte-toi, sale trainée, je veux voir tes doigts entrer et sortir de ta chatte !
- Avec plaisir, maître....

- Vous voyez... aahh....me doigter me plait... quand même.... beaucoup maître...
- Je vois ça. Arrête tout de suite.
- Maître...
- Arrête tout de suite et assois-toi face à moi les jambes écartées.
Sans répondre et la mine renfrognée, Janet se place comme Julien le lui a ordonné.

- Tu aimes être ma chose et tu aimes lorsque je te traite en objet alors que pourtant tu demandes à être considérée en égale dans le quartier. On dirait qu'il y a la Janet bien sous tous rapports, la Janet que tout le monde voit ; et qu'il y a la Janet salope et soumise qui réclame des orgasmes comme une camée...
- Je suis un être complexe, maître...
- Comme une humaine en fait... Tu es finalement beaucoup plus proche de nous que tu ne le penses ou que tes concepteurs l'avaient envisagé.
- Je ne sais pas si cela est un compliment dans votre bouche, maître.

- Ce n'est ni un compliment ni une critique mais un constat. Je dis juste que pour un être artificiel omniscient et omnipotent créé par des sortes de Dieux, tu es finalement très humaine. Et là, je sais que malgré ta toute puissance, tu ne souhaites qu'une seule chose : te faire jouir.
- Oui maître... j'ai envie de jouir. Non, j'ai besoin de jouir, je n'ai jamais autant été si excitée...
- Alors vas-y, finis-toi, je ne t'interromprai plus.
- Merci maitre.... Merci... merci.... Gémit Janet en se doigtant comme une possédée.
- Tu es vraiment une salope de compétition...
- Je sais... continuez.... Parlez-moi comme ça.

- Ahaha c'était sûr. C'est la soumission et l'humiliation qui t'excitent !! Tu te caches derrières des bonnes manières préenregistrées en toi mais tu es une chiennasse, une pute. Non, tu es pire qu'une pute vu que tu n'es même pas payée. Tu t'offres sans retenue pour le seul plaisir des résidents. Tu es ma chienne aujourd'hui mais, un jour, tout le quartier de baisera nuit et jour.
- Oh oui.... Je..... Par tous les Ingénieurs..... AAAAHHHHHHHHH

L'orgasme de Janet est aussi violent que son cri de plaisir est bruyant. Julien est alors soulagé que celle-ci ait assonorisé la pièce plus tôt. Janet oublie totalement la présence de son maître et, pendant quelques secondes, ne pense plus qu'à elle et à son plaisir. Elle poursuit doucement ses caresses pour accompagner la fin de l'orgasme.
Puis enfin elle se détend et s'avachit dans le fauteuil avec un sourire soulagé et satisfait.
- Merci maître de mavoir accordé cet orgasme. C'était fabuleux.

- De rien, Janet. Je suis un maître soucieux du plaisir de son esclave, après tout.
- Je le sais, maître. D'ailleurs, vous pouvez le pénétrer, si vous le désirez, je suis à votre disposition.
- Non merci Janet. Je te l'ai dit, il est hors de question que je te baise dans le dos de Dakota. Mais j'avoue avoir très envie de me branler...
Julien se lève donc de là où il était assis depuis le début de sa discussion avec Janet et s'approche de son visage, la queue sortant de son pantalon à la main, en train de se masturber.

- Ouvre la bouche, esclave. Tu vas me servir de mouchoir.
- A vos ordres, maître, répond docilement Janet en ouvrant la bouche tandis que Julien, au-dessus d'elle, accélère le mouvement de son poignet.
- Après tout, il n'y a aucun mal à se servir d'un objet, n'est-ce pas esclave ?
- Tout à fait, maître. Utilisez-moi comme un vulgaire mouchoir... Un mouchoir qu'on souille de sperme et qu'on jette.
- Exactement... sauf que moi, je ne vais pas te jeter ! Tiens.....
Julien éjacule soudain directement dans la bouche ouverte de Janet, la remplissant d'un sperme peu abondant mais sortant en jets puissants.

La belle esclave avale aussitôt la semence de Julien sans que celui-ci n'ait rien eu à demander.
- Tu aimes mon foutre, hein ?
- Oui... Je n'ai besoin d'aucune nourriture pour survivre mais votre sperme provoque chez un réel plaisir gustatif. Je l'avalerai aussi souvent que vous le désirerez.
- C'est parfait. Tu peux y aller, esclave.
- Bien maître.
Et aussitôt, Janet disparait du fauteuil sur lequel elle était vautrée il y a 1 seconde, la bouche pleine de sperme, ainsi que sa lingerie qu'elle avait laissée au sol. Julien se retrouve seul au milieu du salon de Dakota, sa queue molle dans la main. Il remballe son engin, fini son verre de vin qui l'attendait sur le bar et s'en va retrouver son âme sœur, toujours paisiblement endormie.
Apaisé après ses deux orgasmes et l'assurance d'une alliée fidèle en la personne de Dakota, d'une esclave obéissante et d'un quartier qu'il transforme tranquillement en baisodrome, Julien s'endort sans difficulté.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 10 - partie 1
Les premières lueurs du jour réveillent doucement Julien alors que Dakota est encore endormie à côté de lui. Il émerge doucement de son sommeil, manifestement de bonne humeur, en se rappelant qu'aucun cauchemar n'est venu perturber son repos. Uniquement d'agréables rêves, mais pas à propos de Dakota ou de Janet comme il l'aurait pensé mais à propos d'Anissa, et plus particulièrement de son beau cul, défoncé sans ménagement.

Une érection pointe alors le bout de son nez sous les draps et Julien se dit alors que cela fait bien longtemps qu'il n'a pas sodomisé une résidente. Ce ne sont pourtant pas les candidates qui manquent, entre Anissa, Janet, Arianna et même Julia probablement. Mais son « traitement » avec Dakota lui imposait une certaine retenue.
Un mouvement de celle-ci, encore endormie à côté de lui, ramène d'ailleurs Julien à la réalité. Dans son sommeil, Dakota colle ses fesses contre le jeune homme qui, déjà, commence à être excité. Il tire le drap qui recouvrait Dakota, entièrement nue.

De dos, Dakota semble profondément endormie et Julien en profite pour admirer son magnifique cul. Il place la main de Dakota sur ses propres fesses et déplace ses cuisses pour que son sexe et son anus soient davantage exposés.

L'envie de pénétrer ce petit cul est immédiate mais il est évident pour Julien que sodomiser quelqu'un pendant son sommeil lui vaudrait un aller simple immédiat pour le « mauvais endroit » ! Celui-ci opte donc pour un simple baiser pour réveiller doucement son âme sœur.
Mais alors qu'il se penche sur elle et lui tourne délicatement le visage, il découvre qu'à la place de son joli nez se trouve un museau canin, marron et poilu ! Idem pour ses oreilles qui ont été remplacées par deux longues oreilles de chien.
Pas vraiment réveillée, Dakota tend les lèvres pour répondre au baiser de Julien.

Mais celui-ci, horrifié, saute alors du lit et se précipite dans la salle de bain. Dans le miroir, son visage de séducteur est à présent orné d'un immonde groin de cochon !
- Oh putain... se dit-il alors... qu'est-ce que c'est que ce bordel ??
Affolé, Julien arrive cependant à réfléchir à la situation : les femmes en... chiennes. Les hommes en porcs. C'est forcément une nouvelle anomalie, sans doute déclenchée par son comportement. Paniqué, il appelle aussitôt à l'aide en la personne de Janet qui apparait aussitôt, vêtue normalement.
- Oui Julien ? Tu as une tête affreuse ce matin...
- Merci, j'avais vu ! Amène-moi chez Julia, tout de suite !
- Tu peux y aller en marchant, tu sais...
- Avec cette tête ?? Il y a urgence, là. Allez, téléporte-moi chez Julia !!
- Bon...
Janet claque des doigts et Julien se retrouve alors aussitôt dans le bureau de Julia dont, manifestement, celle-ci ne sort jamais.
Assise à son bureau, Julia étudie des documents. Paniqué, Julien remarque à peine son très généreux décolleté et son soutien-gorge apparent.
- Tu te sers de Janet comme taxi maintenant, Julien ? Demande Julia sans prendre la peine de lever la tête.

- C'est que... il y a vraiment urgence...
- Par tous les maîtres architectes !! s'exclame alors Julia en levant les yeux sur le visage de Julien.

- Voilà...
- Mais... Mais que t'arrive-t-il ??
- Je ne sais pas... Je crois qu'il s'agit d'une nouvelle anomalie. Dakota est touchée également.
- Elle se transforme en cochon aussi ?
- Non... en chienne.
- En chienne ?? Mais qu'est-ce que c'est que ce bazar encore ?
- Et je ne crois pas que nous soyons les seuls. J'ai demandé à Janet de m'envoyer directement ici pour ne croiser personne ce matin mais, à mon avis, tous les hommes sont en cochons et toutes les femmes sont en chiennes. Ça ne peut pas être un hasard...
- Mais, d'où cette nouvelle anomalie peut bien venir ?
- J'ai ma théorie là-dessus mais il faut d'abord éviter la catastrophe. Tu ne pourrais pas annuler tout ça ?
- Un reboot de la journée apparaîtrait dans les registres. Je préfère que l'anomalie disparaisse d'elle-même, comme la dernière fois.
- Et si nous restons comme ça pour toujours ? Il faut faire quelque chose ! D'ailleurs, tu es en train de changer également ! ajoute Julien en voyant la tête de Julia se doter d'attributs canins.
Après avoir palpé son visage, Julia se précipite alors vers son bureau d'où sort soudain une interface immatérielle futuriste qui rappelle à Julien le film Minority Report. En quelques glissés de doigts, l'architecte semble opérer une manip délicate.

- Voilà, le quartier est en pause. Ça, au moins, ça n'apparait pas dans les registres et ça va nous laisser du temps.
Puis, d'un claquement de doigts, Julia reprend son apparence habituelle et en fait de même pour Julien qui, soulagé, palpe un nez redevenu normal.
- Pourquoi tu t'ennuies avec des dossiers papier si tu as ce genre de... dispositif ?? demande-t-il, soudain concerné par des considérations bien matérielles.
- Les dossiers, c'est uniquement pour vous rappeler votre vie terrestre. C'est de la déco, si tu préfères, comme les tableaux de graphique ou autres. Et maintenant j'aimerais qu'on en revienne à un sujet un chouia plus important...
Visiblement inquiète, Julia s'assoit à son bureau et demande à Julien d'exposer sa théorie.
- Tu m'as bien expliqué que le quartier avait, en quelque sorte, son existence propre et des réactions qui lui appartiennent ? commence Julien.
- C'est infiniment plus compliqué que cela.
- Mais en gros ?
- En gros : c'est ça.
- Bon... reprend Julien, énervé par le perfectionnisme de Julia même en pleine crise. Et tu es également d'accord, reprend-il, que nous avons considérablement fait évoluer le comportement des résidents en seulement quelques jours, parfois même du jour au lendemain ?
- Oui, et je vois où tu veux venir, je t'ai déjà dit que j'étais désolée d'avoir autant forcé sur le côté exhibitionniste des résidents. Je t'assure qu'une architecte qui s'excuse après d'un humain n'est pas chose courante, alors n'abuse pas.
- Non, non, je ne disais pas cela pour ça. Je voulais juste dire, qu'à mon avis, le quartier pense, littéralement, que les femmes sont devenues des chiennes et les hommes des porcs.
- Je ne vois pas le rapport avec ces animaux.
- Et bien... sur Terre, les femmes aux mœurs légères étaient souvent qualifiées de chiennes et les hommes pervers de porcs. Pour te la faire simple, le quartier considère les femmes comme des nymphomanes et les hommes comme des pervers.
- Cela veut dire que nous allons devoir cesser notre expérience et revenir à la normale ?
Évidemment, Julien savait bien que le problème ne venait ni du quartier, ni de l'expérience mais de son comportement en général et surtout de sa simple présence. Cependant, il savait que sa façon de faire avec les femmes serait moins « contre nature » pour le quartier si tous les résidents devenaient plus ouverts sexuellement. Cela couplé avec son traitement pourrait éventuellement suffire à sauver sa tête. En toute sincérité, il considérait donc qu'il fallait au contraire continuer l'expérience et propose donc cette solution à Julia.
- Continuer ?? Mais le quartier va continuer de réagir de manière incontrôlable !
- Au contraire, il va commencer à considérer que ces nouveaux comportements sont, finalement, la norme.
- Je ne comprends pas...
- Le quartier est « choqué » parce qu'il estime, dans la manière avec laquelle il a été façonné, qu'une femme qui, par exemple, suce le premier venu est une chienne. Mais on pourrait aussi bien considérer que c'est une femme libre de faire de qui lui plait. Ce n'est qu'un jugement de valeur. Regarde, tu m'as dit l'autre jour que tu n'avais aucun tabou. Et la fellation que tu m'as ensuite proposé et qui s'est rapidement transformé en gorge profonde digne du plus pervers des films pornos pourrait facilement faire de toi, aux yeux de certains, la reine des chiennasses, excuse-moi cette expression.
- Donc, tu veux que ce soit le regard du quartier sur les résidents qui change plutôt que les résidents eux-mêmes ?
- C'est ça ! Car, on est bien d'accord, ce changement de comportement est là pour leur apporter plus d'harmonie et de bonheur.
- Ok... Résumons : on continue notre plan et on corrige les réactions du quartier jusqu'à ce qu'il soit totalement habitué à nous nouveaux mœurs.
- Cela me semble être parfait. Et, si je puis me permettre, n'hésite pas à utiliser ton absence totale de tabou et de limites, y compris physiques, pour proposer des trucs extrêmes. Le reste des résidentes paraîtront presque prudes à côté de toi et le quartier n'en réagira que moins.
- Je vois... ok, j'y songerai. Bon, à présent je vais rebooter la journée. Ça laissera des traces dans les registres mais je crois que nous n'avons pas le choix. Si on m'interroge, je dirai que j'ai fait une erreur de programmation.
- Et ça va se passer comment, concrètement ?
- Tout le monde recommencera la journée à leur réveil, comme si rien ne s'était passé. Même toi.
- Donc, je ne vais pas me souvenir de cette conversation ? Ok, à toi de voir si tu estimes que je dois être au courant ou non de cet incident.
- Je verrai bien. Mais avant de tout rebooter, j'ai... une requête. Tu vas me faire le truc le plus pervers que tu connaisses, déclare calmement Julia en le relevant de son bureau et en se penchant en avant.

- Pardon ??
- Là, tout de suite, fais-moi ce que tu veux, pourvu que ce soit bien pervers. Pour moi, cette notion de perversité ne veut rien dire et le sexe extrême n'est qu'une connaissance théorique. Je veux du concret, je veux savoir ce que vous, humains, considérez comme pervers. Alors penses à un truc bien extrême et fais-toi plaisir.
- Heu... tu me prends au dépourvu là...
- Décides-toi avant que je reboot la journée, Julien. Ce sera peut-être ta seule chance...
- Et bien là, comme ça... je dirais... une sodomie ?
- Une sodomie ? C'est pervers ça ? Mes données indiquent au contraire que c'est pratiqué assez souvent sur Terre...
- Bah c'est pervers pour des tas de gens, des femmes surtout. Il y a même des pays qui l'interdisent...
- Bon...
- Cela dit... reprend Julien, saisissant une chance d'assouvir un de ses fantasmes, on pourrait commencer par ça et corser un peu l'affaire avec du fisting...
- Du fisting ? Attend, j'analyse ma base de données.... Ah ok je vois. En effet, j'imagine qu'enfoncer son poing dans un orifice n'est pas chose courante.
- En effet, et c'est assez pervers, il me semble. Je ne l'ai jamais fait, mais du coup, c'est peut-être l'occasion ?
- Formidable, faisons ça ! déclare joyeusement Julia en ouvrant sa chemise.

Julien n'en revient pas : la perfection de conception de Julia faisait aussi sa grande naïveté, ou plutôt son innocence. Elle n'était pas polluée par des considérations éthiques, morales ou religieuses. Seuls lui importaient la biologie, la physiologie, le fonctionnement physique des êtres humains. Et si un poing dans son cul pouvait lui donner du plaisir, elle n'y voyait aucun problème. Cet endroit était vraiment le paradis, se dit Julien en enlevant son pantalon.
A peine avait-il sorti son sexe de son caleçon que Julia se jetait à genou pour le sucer goulument.

- Oh ? réagit Julien, surpris, tu veux des préliminaires à la sodomie ?
- Oui... sucer des verges est une activité décidemment très plaisante, réponds Julia entre deux coups de langues.
- Bien... Mais si on faisait cela de manière un poil plus perverse ? Après tout, c'est l'objet de ta demande...
- Affirmatif !
- Bon, allonge-toi sur ton bureau.
Et à peine Julia avait-elle obéit que Julien lui enfonce sa queue dans la bouche et commence à lui baiser le gosier.

Sous l'effet des coups de boutoir de Julien qui secouaient violemment l'architecte, ses gros seins remuant sortent petit à petit de leur soutien en dentelle.
Souhaitant voir mieux les deux énormes nibards de Julia, le jeune homme retourne celle-ci sur le dos et continue à lui baiser la bouche.

Très excité et souhaitant profiter à fond de ce moment qu'il aura oublié sitôt la journée rebootée, Julien ne prend guère de précaution. Il arrache la chemise de Julia ainsi que la fragile dentelle de son soutien-gorge et continue de la pénétrer, soit dans la bouche...

... sois entre les seins, tout en pinçant fortement ses tétons.

Dans cette position, Julia écarte en grand les jambes, faisant remonter sa minijupe sur ses hanches. Julien s'aperçoit alors qu'elle ne porte pas culotte alors que sa venue dans son bureau n'était pas prévue. Julia devenait salope, c'était évident.
Autre évidence de cette évolution, celle-ci, coincée entre les cuisses de Julien lorsqu'il se faisait plaisir avec une branlette espagnole, n'hésitait pas à lui titiller l'anus et les couilles avec sa langue.

Après un long et agréable moment à alterner entre la bouche et les seins de Julia, Julien s'éloigne du bureau pour se déshabiller complètement et s'assoir sur le canapé situé en face de là où travaillait l'architecte.
Celle-ci l'imite, faisant disparaitre la totalité de ses vêtements d'un claquement de doigt. Puis elle vient également s'assoir sur le canapé. Ou plutôt sur Julien qui était sur le canapé. Elle s'enfile elle-même la queue turgescente dans sa chatte trempée.

C'était la toute première fois que Julien baisait cet être tout puissant et il n'allait même pas s'en souvenir... Après s'être étonné que Julia, finalement, ne veuille pas juste une bonne grosse sodomie, il prend le parti de lui donner ce qu'elle veut manifestement : du sexe, dans toutes ses composantes, violent et pervers.
Il joint donc les cuisses de Julia et la place légèrement sur le côté. Ainsi incliné et libéré du poids de la belle blonde, Julien impose un rythme endiablé et défonce la chatte de la pauvre architecte qui gémit bruyamment.

Ayant rarement été autant excité, il soulève Julia pour la désempaler de sa queue et l'attrape par les cheveux pour lui imposer une fellation à la fois juteuse et profonde.

- Tu aimes le gout de ta mouille, Julia ? demande alors le français surexcité.
- Oui... au moins autant que ton sperme ! Étrange que ces fluides non alimentaires aient aussi bon gout.
- C'est pour permettre à des nymphomanes dans ton genre de se nourrir lorsqu'elles passent leur journée à l'envoyer en l'air !
- Vraiment ? Je n'avais pas pensé à cet avantage évolutif...
- En tout cas, tu pourras sans souci faire des cunni aux résidentes du quartier avec le même plaisir que des fellations, répondis Julien qui se retint de rire devant, à nouveau, la naïveté de Julia face à son humour.
Sans transition, Julien se relève du canapé, laissant Julia ainsi à quatre pattes et vient la pénétrer par derrière. Celle-ci, très inspirée, accompagne les coups de bassin de Julien en lui massant les couilles.

Dans cette position, Julien avait une vue imprenable sur l'anus de Julia. Anus qu'il allait bientôt défoncer et dans lequel et ne résiste pas d'y enfoncer un doigt.

- Pour commencer à te préparer, dit Julien à la blonde comme pour se justifier.
- Initiative fort louable mais je ne pense pas avoir besoin de préparation...
Et comme pour prouver ses dires, Julia se redresse, fait s'assoir Julien et s'empale à nouveau sur lui mais de face, cette fois-ci. Et, passant une main dans son dos, l'architecte enfonce alors non pas 1, ni 2 mais directement 3 doigts dans son cul.

Sentant cette pression dans le colon de Julia, Julien qui la baisait toujours a immédiatement envie de jouer, lui-aussi, avec son cul. Il se retire donc et place l'architecte à quatre pattes, le cul le plus exposé possible.
Sans craindre une quelconque douleur chez sa partenaire, Julien enfonce d'abord deux doigts dans le cul de Julia, puis les fait aller et venir en elle.

Constatant une grande souplesse de cet anus divin, il enfonce deux autres doigts avec son autre main et commence à tirer sur les côté pour agrandir le trou.

Après quelques mouvements d'étirement, Julien ouvre en grand l'anus de la belle blonde et se dit qu'il est grand temps d'y enfoncer quelque chose de plus conséquent.

Il se place donc au dessus de la croupe de Julia, toujours bien tendue et approche sa queue de son trou du cul. Julia la saisi alors fermement et Julien se dit un instant qu'elle a changé d'avis ou, pire, qu'elle sait tout et qu'elle va lui arracher le queue par punition. Mais non, la déesse a attrapé le sexe de Julien pour le guider elle-même dans son cul béant.

Aidé de Julia, la queue entre doucement dans cet orifice, d'habitude étroit mais ici particulièrement large, en faisant des allers-retours prudents.

Puis Julia lâche la queue et déclare à Julien qu'il peut y aller aussi fort et vite qu'il le souhaite. Celui-ci ne se fait évidemment pas prier et commence un défonçage en règle de cet anus dont il souhaite manifestement en tester l'indestructibilité.

Sentant l'incroyable souplesse de ce cul, Julien décide d'enculer Julia dans tous les sens. Toutes les positions y passent et, à chaque fois, le rythme est infernal. Malgré sa supériorité physique sur les humains, Julia est faite pour leur ressembler et cette stimulation anale lui procure manifestement beaucoup de plaisir. Ses gémissements rendent d'autant plus fier Julien qu'ils viennent d'une déesse !

Puis alors qu'il la sodomisait toujours aussi sauvagement en missionnaire, Julia lui demande s'il avait toujours l'intention de lui enfoncer son poing dans le cul. Vexé par l'allure presque blasée de Julia, le jeune homme décide qu'il est en effet temps de défoncer, cette fois-ci pour de bon, ce divin anus.

Il commence par enfoncer trois puis quatre de ses doigts dans le fion de Julia et ne sent guère de résistance de la part du sphincter.

Estimant que la belle blonde était prête, il ajoute son pouce à ses autres doigts et commence à enfoncer doucement sa main dans le colon qui, enfin, résistait un peu. Julia, d'ailleurs, quitte sa moue sereine et semble se concentrer pour endurer la pénétration insolite.

Comme d'habitude dans le fist fucking, ce n'est pas tant le nombre de doigts qui pose problème mais plutôt le passage de la zone métacarpienne de la main : l'endroit le plus large. Et même si cette intromission se passe ici sans trop de difficulté, Julia ouvre tout de même en grand la bouche, à la fois d'étonnement face à la sensation mais aussi de plaisir.

D'ailleurs, alors que Julien pensais qu'elle en avait pour son compte, cette nymphomane de compétition, au contraire, en redemande ! Elle se saisit du poignet de Julien et lui demande de faire des allers-retours avec son poing. Son visage est étrangement calme et posé : elle veut se faire éclater le fion en version XXL et cela semble être tout à fait normal pour elle.

Julien obéit donc à l'architecte et fait des allers-retours avec son poing. De son côté, Julia se caresse tranquillement pour profiter de ce moment et, même, en jouir !

Julien, pervers, voyeur, dominateur, bref, toutes les qualités d'un résident du paradis, sort régulièrement de l'anus de Julia afin d'en contempler l'état. Il n'a jamais vu de cul aussi ouvert, aussi dilaté malgré les multiples expériences sexuelles qu'il a vécues. A nouveau il rumine : c'est une des choses les plus intenses qu'il n'ait jamais faite et il ne va pas s'en souvenir !

Son état d'excitation est tel qu'il craint de jouir ainsi, juste en fistant Julia sans même que sa queue ne soit stimulée. Il décide donc d'achever Julia (ou en tout cas d'essayer) pour ensuite se finir sur elle. Il enfonce donc à nouveau son poing en elle et reprend ses allers-retours. Mais, alors qu'elle se caresse à nouveau le clitoris, Julien lui attrape la main en disant :
- Non, non ! Si veux jouir, tu le feras par le cul !
Et sur ces mots, il accélère soudainement la cadence, arrachant un cri de surprise et de douleur mêlée de plaisir à Julia. Son poignet et parfois le début de son avant-bras défoncent l'anus de Julia qui semble monter rapidement vers l'orgasme vu l'intensité des gémissements.

Et soudain c'est explosion : Julia jouit en hurlant de plaisir et, sous l'effet des spasmes violents, la main de Julien est éjectée de l'anus

Julien laisse à la blonde toute puissante le temps de se remettre de ses émotions tout en maintenant écarté un anus qui reprend péniblement une allure plus classique.

Puis, voulant à son tour jouir, il cède à l'appel de ce fion pour y redonner quelques coups de queue avant de craquer. Il pénètre donc à nouveau Julia par le cul. Celle-ci, cette fois, affiche une mine inquiète :
- Encore ?? Mais tu ne t'arrêtes jamais ? Mes statistiques ne mentionnent que rarement de telles durées de copulation...
- Oh ne t'inquiète pas Julia, je ne vais pas faire long feu... répond Julien par honnêteté malgré le compliment que la belle blonde venait de lui faire, à sa manière.

Très rapidement, il demande :
- Tu as faim, Julia ?
- Non... pas de nourriture en tout cas. Mais si tu parles de jouir dans ma bouche pour que j'avale ton sperme, c'est avec plaisir.
- Que c'est excitant quand tu parles salement comme ça, répond Julien avec ironie mais sans savoir si Julia l'aura capté. Alors ouvre la bouche, le dessert est servi, ajoute-t-il en se retirant d'un coup du cul de Julia et en se précipitant vers son visage pour lui remplir aussitôt la bouche.

Comme affamée, Julia se jette sur le sexe pendant au-dessus d'elle et boit directement à la source les giclées de sperme qui continuent d'en sortir.

Puis enfin, l'éruption se calme et Julia observe avec gourmandise la dernière goutte de semence suspendue au gland de Julien. Aussi amatrice de foutre qu'elle puisse l'être, l'architecte n'a pour autant pas pu tout boire : du sperme ruisselle depuis sa bouche vers son menton et son cou.

Après avoir récupéré ce qui pouvait l'être sur son visage, Julia s'effondre sur le canapé, visiblement satisfaite et rassasiée. Julien, de son côté se place à côté d'elle et lui dit :
- C'était extraordinaire, Julia ! Tellement de choses que je n'avais jamais faites sur Terre...
- Tant mieux si cela t'a plus. J'ai beaucoup apprécié également... Ce qu'on vient de faire, donc, peut être qualifié de pervers ?
- Oh oui, je pense qu'on peut dire ça !
- Très bien, j'intègre cela à mes standards. Et est-ce qu'on peut dire que c'est le plus pervers qu'on puisse faire ?
La question de Julia était gênante car, en matière de sexe, on pouvait toujours aller plus loin. Et même si Julien se serait bien vu, par exemple, pisser sur une déesse, juste pour essayer, ce genre de pratiques ne l'attirait guère. Et, surtout, il ne voulait pas laisser penser qu'il les connaissait !
- Je ne sais pas, Julia. Ce que je viens de te faire va déjà bien au-delà de ce que j'avais fait sur Terre, donc on pourrait dire que j'ai « dépassé mon zone de compétence » !
- Bon... d'accord... répond Julia un peu déçue.
- Il y aurait bien un petit truc qu'on pourrait faire... mais c'est spécial...
- Dis-moi ! réagit alors Julia avec enthousiasme.
- Et bien... lorsqu'un homme vient d'éjaculer, cela peut être à la fois plaisant pour lui et assez pervers de la part de la femme que celle-ci... le nettoie.
- Sous la douche ?
- Non... avec sa bouche. Je veux dire... tu pourrais me sucer pour me faire la toilette, me nettoyer de toute les traces de spermes, de cyprine et autre.
- Et c'est pervers ça ? Je pensais que c'était plutôt hygiénique...
- Bah disons qu'après une baise, surtout avec une sodomie, peu de femmes acceptent de sucer leur homme.
- Parce que ça sort de mon anus ?? Julien, tu as dû remarquer qu'ici, les mauvaises odeurs n'existaient pas !
- Oui, j'ai vu, mais les résidentes sont humaines et les habitudes ont la vie dure ! A mon avis, si tu demandes aux résidentes si elles acceptent de sucer leur mari après qu'ils les aient enculées, elles vont faire de drôles de têtes !
- Je vois... bon, ajoutons cela à la liste des choses vraiment perverses et viens par-là : c'est l'heure de ta toilette !
Toujours allongée, Julia attrape avec sa bouche la queue mi molle de Julien que celui-ci venait d'approcher et, comme proposé, lui fait la toilette. Elle lèche la moindre partie du sexe, des couilles au gland et restitue à Julien une bite toute propre.

- Bon, je vais à présent réinitialiser cette journée car si je laisse la pause durant trop de temps, cela va attirer l'attention de mes supérieurs. Tu es prêts, Julien ?
- Attends une seconde. Il va se passer quoi exactement ?
- Tu vas de réveiller dans le lit dans lequel tu t'étais endormi hier. Et tu ne te souviendras pas de ce début de journée et surtout pas de l'anomalie.
- Parfait... Mais pour cette séance de sexe ?
- Idem, oubliée d'ici quelques secondes. Sauf pour moi, cela restera un excellent souvenir : ma première pénétration, ma première sodomie, mon premier orgasme, mon premier fisting. Quelle journée !
- Beaucoup de premières pour moi aussi mais je ne m'en souviendrai même pas !
- Écoute Julien, à mon avis cela vaut mieux ainsi. Au moins tu n'auras pas l'impression d'avoir fait cela dans le dos de Dakota, même si la monogamie n'est plus la règle ici. Et, qui sait, on recommencera peut-être dans d'autres circonstances ! Allez, attention, je relance la machine.
Et alors que Julien s'attendait à voir Julia se diriger vers son bureau pour activer une technologie inconnue, l'architecte se contente de frapper dans ses mains en disant « à tout à l'heure » à Julien avec le sourire.

A suivre...
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The Good Place - Épisode 10 - partie 2
Les première lueurs du jour réveillent doucement Julien alors de Dakota est encore endormie à côté de lui. Il émerge doucement de son sommeil, manifestement de bonne humeur, en se rappelant qu'aucun cauchemar n'est venu perturber son repos. Uniquement d'agréables rêves, mais pas à propos de Dakota ou de Janet comme il l'aurait pensé vu la journée qu'il avait vécu la veille, mais à propos de Julia, et plus particulièrement de son beau cul, défoncé sans ménagement.

Une érection pointe alors le bout de son nez sous les draps et Julien se dit que cela fait bien longtemps qu'il n'a pas sodomisé une résidente. Ce ne sont pourtant pas les candidates qui manquent, entre Anissa, Janet, Arianna et même Julia probablement. Mais son « traitement » avec Dakota lui imposait une certaine retenue.
Un mouvement de celle-ci, encore endormie à côté de lui, ramène d'ailleurs Julien à la réalité. Dans son sommeil, Dakota colle ses fesses contre le jeune homme qui, déjà, commence à être excité. Il tire le drap qui recouvrait Dakota, entièrement nue.

De dos et malgré sa respiration lourde, Dakota semble s'offrir délibérément à Julien qui en pour admirer son magnifique cul. Il place la main de Dakota sur ses propres fesses et déplace ses cuisses pour que son sexe et son anus soient davantage exposés.

L'envie de pénétrer ce petit cul est immédiate mais il est évident pour Julien que sodomiser quelqu'un pendant son sommeil lui vaudrait un aller simple immédiat pour le « mauvais endroit ». Celui-ci opte donc pour un simple baiser pour doucement réveiller son âme sœur.
Dakota, le visage enfariné par l'ivresse de l'alcool et du sexe de la veille, répond tendrement au baiser de Julien puis se lève en enfilant une culotte qui passait par là.

Puis elle attrape un débardeur et, en le mettant, dit à Julien qu'elle va préparer le petit-déjeuner et qu'il ne faut pas qu'il tarde trop à se lever s'il veut du café chaud.
La belle blonde se dirige ensuite vers la cuisine et commence la préparation.

Après avoir pressé du jus d'orange frais, Dakota va chercher 2 tasses à café. Toujours aucun signe de Julien...

C'est finalement le bruit du moulin à café qui le décide à se lever et Dakota le découvre dans le salon lorsqu'elle apporte le plateau richement garnis.

- Tu as bien dormi ? demande Julien en dévorant sa viennoiserie, affamé comme s'il venait de courir un marathon.
- Au début oui, comme une pierre. L'effet des orgasmes successifs sans doute, répond Dakota avec un clin d'œil. Mais tôt ce matin, j'ai fait des cauchemars affreux...
- Ah bon ?
- Oui... je me transformais en animal. En chienne. C'était si réel, c'était horrible...
- J'imagine ! Peut-être à cause du Bourbon hors d'âge !
- Sans doute, oui... Tu comptes faire quoi aujourd'hui ? Je n'ai pas encore réfléchis à ton « traitement » du jour...
- Et bien, ce matin j'aimerai aller en ville pour voir comment les choses se passent dans les nouveautés. Je te promets que ce n'est pas pour profiter du salon de massage ou des défilés de lingerie...
- Je te crois ! On se voit à midi du coup... J'aurais peut-être trouvé une nouvelle torture pour toi !
- J'ai hâte...
Après avoir terminé leur petit-déjeuner, Julien et Dakota se séparent donc pour la matinée. Désireux de vérifier, en effet, si tout se passe bien, Julien se dirige vers les commerces de la ville.
Mais il n'était pas sorti de son pâté de maison qu'il croise Anissa dans une magnifique robe blanche, en train de se promener. En apercevant le jeune homme, Anissa s'avance vers lui et, arrivé à sa hauteur, le salue de manière révérencieuse en disant « Monsieur... ». Ce faisant, elle écarte les pans de sa robe et révèle alors sa culotte.

- Bonjour Anissa... j'aime beaucoup ta robe !
- Elle est pratique n'est-ce pas ? Un peu de tissu à écarter et tout est à ta disposition...
- Tentant, c'est sûr... Comment vas-tu ?
- Pas terrible... Je dors seule depuis des jours et maintenant je fais des cauchemars.
- Un cauchemar ? interroge Julien, intrigué.
- Oui, ça faisait une éternité que ça ne m'était pas arrivé. Je me transformais en chienne... C'était effrayant !
Julien décèle alors immédiatement un problème potentiel. Deux rêves similaires la même nuit, cela ne peut pas être une coïncidence. Il fallait qu'il aille voir Julia au plus vite pour lui en parler. Mais Julien est tiré de sa réflexion par Anissa qui continue :
- D'ailleurs, à propos de ces nuits seules et... tristes, cela fait un moment que tu n'es pas venu me tenir compagnie... Nos conversations me manquent tellement. Mon mari n'est pas rentré depuis des jours et j'ai terriblement envie de... discuter, ajoute-elle en regardant autour d'elle pour voir si son langage codé a été repérer.
- Je comprends... mais... Avec Dakota....
Soudain, le sourire d'Anissa disparait de son visage qui prend une mine déçue.

- Pardon ?? Il n'y a plus que Dakota qui compte maintenant, c'est ça ? Tu te souciais moins de la trahir quand tu me sodomisais brutalement 2 jours après ton arrivée !
- Anissa...
- Et quand tu m'as fait avaler ton sperme, c'était pour lui prouver ton amour ? continue Anissa en abandonnant décidément le langage codé...
- Anissa... ne le prend pas comme ça...
- Si je le prends comme ça !! Tu m'as fait découvrir un plaisir que je ne pensais pas possible, tu m'as fait oublier que mon stupide mari me délaissait complètement, tu m'as... faire me rappeler ce que l'amour et la passion voulais dire. Et soudain, monsieur se rappelle qu'il a une âme sœur et me délaisse complètement ! Ce n'est pas juste !!
Julien sentait la colère monter chez Anissa et il avait déjà vu les énormes dégâts que pouvait provoquer une femme trahie. Et, dans sa situation, il ne pouvait pas se le permettre. Par ailleurs, il n'avait pas du tout l'intention de couper les ponts avec Anissa et son cul si accueillant, il avait juste besoin de temps. Il tente donc de la calmer :
- Ce n'est pas ça, Anissa, je te le jure ! Ces derniers jours, Dakota et moi avions besoin de ressouder notre relation, justement après un départ peu glorieux de mon côté. Mais je ne regrette en rien ce qu'on a vécu et j'ai bien l'intention de continuer à te voir. Et pour tout de dire, tu commences à me manquer... réellement.
- Qu'est-ce que ça veut dire ?
- Que je veux bien passer te voir dans la journée pour une de nos... discussions.
- Ah... répond Anissa en se détendant. Cette perspective me ravit. Mais tu vas devoir faire des exploits, pour te faire pardonner d'une absence si longue.
Puis elle ajoute en déboutonnant le haut de sa robe :
- Car... j'ai vraiment très envie de discuter...

- Je sais Anissa, je sais... Moi aussi j'ai envie de discuter avec toi... de pleins de sujets différents.
Anissa ouvre alors à nouveau le bas de sa robe en ayant toujours la poitrine sortie. Cette exposition à l'extérieur ne semble pas lui poser problème, pas plus qu'aux rares résidents passant à proximité.
- J'ai... vraiment... hâte, Julien. J'espère que tu ne tarderas pas trop...

- Je dois passer voir Julia... pour lui parler... de quelque chose d'assez urgent. Et je passe dès que je peux après !
- Parfait ! A tout à l'heure.
D'un pas pressé, Julien se dirige vers le bureau de Julien, la tête plus que confuse. Il a hâte de baiser à nouveau Anissa tout en espérant que cela ne posera pas de problème dans sa relation avec Dakota et son « traitement ». Et, en même temps, cette histoire de cauchemars l'inquiète. Bref, pour une journée qui s'annonçait calme, c'est raté !
Julien entre dans le bâtiment hébergeant le bureau de Julien, une sorte de QG pour le quartier. Dans le couloir qui mène à la réception, là où travaille habituellement Asa si elle n'est pas au salon de massage, le jeune homme entend des gémissements. Intrigués, il approche discrètement puis, en entrant dans l'accueil, il découvre Asa en train de se faire lécher le sexe par un résident.
Elle est jambes écartées sur son bureau, un sein sortant de sa robe moulante, la culotte posée à côté d'elle.

- Voilà c'est ça John, tu as compris le truc... Mmhh oui tu as bien saisi la technique on dirait, gémit la belle asiatique en tenant la tête de John, sans prêter attention à Julien.
Julien se racle alors la gorge pour attirer l'attention d'Asa.
- Oh, bonjour Julien, je ne t'avais pas vu.
- Trop occupée ?
- Hum oui... John souhaite faire des cunnilingus de qualité à sa femme alors il est venu me demander conseil. Et comme l'exemple est le meilleur des apprentissages... tu vois ?
- Je vois très bien ! Julia est disponible ? Je dois lui parler...
- Oui elle est dans son bureau.
- Ok merci, à plus tard alors. Et bonne leçon John !
- Merci ! répond celui-ci entre deux coups de langues.
- On ne se déconcentre pas, John ! intervient alors Asa. Insiste plus sur le clitoris et n'hésite pas à aller récupérer de la cyprine depuis mon vagin. Ah oui comme ça.... Excellent....

Julien dépasse donc le couple en laissant Asa se rapprocher, manifestement, de l'orgasme et frappe à la porte du bureau de Julia. Il entre après que celle-ci l'y ai invité et la découvre avec un petit sourire en coin en train d'installer une table de réunion.
- Bonjour Julien, quel bon vent t'amène ?

- Bonjour Julia. Une inquiétude, voilà ce qui m'amène.
- Ah bon ? Dis-moi tout.
Julien raconte donc ce qu'il a entendu ce matin : les cauchemars similaires de Dakota et d'Anissa, la transformation en chienne. Pour lui, ce peut être le signe d'une nouvelle anomalie et s'en inquiète.
- Hum... je craignais que cela arrive...
- Quoi donc, répond Julien surprit de voir l'architecte au courant.
- Ce matin, le quartier s'est réveillé en pleine anomalie : les femmes se transformaient en chienne et les hommes en porc. Tu es venu me voir, toi-même soumis à un début de transformation et, après avoir... étudié la situation, nous avons rebooté la journée. Ces cauchemars sont en fait des reliquats de souvenir que certains cerveaux n'ont pas su gérer.
- C'est pour cela que je ne me souviens de rien de notre conversation ?
- Oui... nous avons fait le point sur la situation : j'avais peur que nous sayons allé trop loin et tu m'as convaincu qu'au contraire il fallait travailler sur la normalisation du sexe dans le quartier pour que celui-ci trouve cela normal.

- Je vois... et je comprends en effet mon raisonnement. Et c'est tout ce que j'ai dit ou fait entre le début de l'anomalie et le reboot ?
- Que te disent tes souvenirs ? Aucun rêve ou cauchemars de ton côté ?
Julien repense alors à son rêve dans lequel il enculait sauvagement Julia mais préfère garder cela pour lui afin de conserver un semblant d'innocence. D'autant que, selon lui, cela n'avait rien à voir avec le problème en question...
- Hum... rien qui soit en rapport avec l'anomalie.
- Bon, alors autant en rester là. Cette matinée restera un souvenir intense pour moi et uniquement pour moi.
- D'accord... Tu me regardes bizarrement, Julia.
- C'est juste que... Tu es un résident singulier, Julien. Bien plus intéressant que les autres personnes présentes ici.
- Ok...merci... je suppose... Bon je vais te laisser.
- Attend Julien, tu as vu Asa ce matin ?
- Oui, difficile de la louper...
- N'est-ce pas ! Les choses progressent bien je trouve. Maintenant, nous donnons des cours d'éducation sexuelle sans que ça ne choque personne. Et la satisfaction des résidents n'a jamais été aussi haute !
- Tant mieux, c'était bien le but recherché à la base !
- Oui, bon par contre, avec le salon de massage, Asa n'aura pas le temps de s'occuper de tout le monde et moi idem. Il faut que je prenne une assistante en plus. Tu pourrais passer demain pour m'aider à la recruter ?
- Bien sûr, pas de souci !
- Merci, tu me sauves la vie ! Enfin, c'est une expression hein... on est tous immortels ici... Mais c'est vrais que je suis débordée, d'ailleurs, j'attends un résident d'ici peu de temps... continue Julia en ouvrant sa chemise pour révéler son soutien-gorge.

Julien sort donc du bureau de Julia après avoir noté son rendez-vous du lendemain et ressent soudain une impression de déjà-vu. La tenue de Julia, sa lingerie. Tout cela lui semble familier. Et son rêve ? Serait-il possible qu'il ai sauté Julia ce matin sans s'en souvenir à cause du reboot ?
Troublé par cette possibilité, Julien avance de manière distraite et se retrouve soudain devant Asa, toujours en cours de formation avec John. Cette fois, les rôles ont été échangés et c'est Asa qui, accroupie, suce le sexe du vieux britannique.
- Ah, on a changé de leçon, à ce que je vois ?
Surprise, Asa tourne la tête vers Julien sans lâcher pour autant la queue bandée de John.

Puis elle interpelle Julien qui, ne voulant pas perturber une relation élève/enseignant aussi poussée, s'éloignait :
- Attend Julien, je dois te parler. John a presque terminé.
Ce dernier avait en effet commencé à se branler au-dessus du visage de la belle asiatique pour, manifestement, le faire un soin du visage.
- John a été un élève très appliqué et j'ai pensé qu'il méritait une récompense. J'ai bien fait, Julien ? demande Asa en regardant du coin de l'œil Julien avec un petit air provocateur.

- Oui, tu as bien fais ! Il faut toujours récompenser le travail et l'application. Et ce n'est pas John qui va s'en plaindre, hein ?
- Oh non, ça c'est sûr ! répond ce dernier. Oh là, ça vient Asa, je sens que ça vient...
- Bien ! Donne-moi ta semence, s'exclame celle-ci en ouvrant la bouche et en tirant la langue.

Le premier jet de sperme, puissant, atterri directement dans la bouche d'Asa qui l'avale aussitôt.

Le reste de l'éjaculation, abondante, macule le visage et la poitrine de la belle asiatique qui donne des coups de langues au bout du gland pour récupérer le nectar directement à la source.

Puis Asa s'amuse avec le sperme dans sa bouche, en avale une bonne partie et recrache le reste.

Soulagé, John remet son pantalon et réajuste sa veste et sa cravate pendant qu'Asa, une fois son visage nettoyé, remet son string et replace sa robe noire.
- Bien John, je pense que dès ce soir, tu vas pouvoir combler Thérèse de plaisir avec un magnifique cunnilingus si tu n'oublies pas mes conseils. Et, qui sait, peut-être te remerciera-t-elle avec une belle fellation...
- Merci beaucoup pour... ton aide, Asa.

- Une magnifique leçon de pédagogie, Asa, commente Julien après le départ de John. Maria Montessori aurait été fière de toi !
- Merci, mais je ne sais pas qui c'est...
- Laisse tomber, j'oubliais que tu étais ici depuis des siècles.
- Ok... je voulais te remercier pour ton travail. La séance de massage avec Julia a été très plaisante.
- Tant mieux !
- Julia ne tarit pas d'éloges pour toi. Je pense que, pour l'instant, ta situation est plutôt sûre.
- Je fais tout pour !
- Je n'en doute pas. Mais ne recommence pas pour autant tes bêtises et, surtout, n'oublie pas notre accord. Fait en sorte que Julia devienne ma petite coquine personnelle et ce sera peut-être ta semence que j'avalerai la prochaine fois !

- J'avoue que ce que je viens de voir est plutôt motivant ! Je dois y aller Asa, à plus tard.
- A plus tard Julien... fais attention à toi !
Sur le chemin de retour le ramenant chez lui, Julien réfléchit à ce qu'il vient de vivre. Une nouvelle anomalie a eu lieu, et ce juste après qu'il se soit amusé avec Janet dans le dos de Dakota. Et même si les résidents semblent avoir des mœurs de plus en plus légères, sa responsabilité est évidente. Julia a paré à la situation mais elle semble détenir des informations dont il n'a plus aucun souvenir. Des informations de nature sexuelle, même, d'après son ressenti. Et cette perte de contrôle le stress au plus haut point. Déjà que sur Terre, vivant, Julien ne supportait pas de perdre le contrôle sur sa vie, en particulier sexuelle, alors ici, avec l'enfer en guise de sanction, la situation le dérangeait au plus haut point.
Dans ce contexte, le premier réflexe de Julien est de continuer absolument à faire profil bas. Il décide donc de retourner voir Anissa pour annuler leur partie de jambes en l'air. La belle brune sera sans doute déçue mais Julien ne peut pas prendre le risque de trahir la confiance de Dakota et de se faire remarquer par le quartier.
Arrivé devant sa porte, Julien réfléchit encore à la façon de présenter la chose quand Anissa lui dit d'entrer. Dans le couloir devant la porte de sa salle de bain, celle-ci lui dit :
- Te voilà déjà ? Je t'attendais plus tard et du coup je termine à peine ma toilette et je n'ai pas eu le temps de choisir la tenue que je voulais porter pour toi !

- Anissa... commence Julien en cherchant ses mots.
- Je te manquais à ce point-là ?? l'interrompt la belle brune en jouant avec ses seins au travers de son T-shirt.

- A moins que ce soit mes fesses qui te manquent... Il est vrai que tu apprécies particulièrement entrer en elles !

- Anissa, s'il te plait. Je suis venu pour annuler notre rendez-vous, je suis désolé.
- Quoi ?? C'est une blague, c'est ça ?

- Non ce n'est pas une blague... c'est juste qu'aujourd'hui ça ne va pas être possible.
- Comment pas possible ? Tu es trop occupé à ne rien faire de la journée ? Tu as un rendez-vous qui ne peut pas être repoussé à n'importe quel jour du reste de l'éternité ?

- Ce n'est pas si simple...
- Mais si c'est simple. Tu es ici, je suis là en chaleur. Tu me prends contre le mur et c'est réglé en 10 minutes !!
Et pour joindre le geste à la parole, Anissa laisse tomber son petit short et soulève son T-shirt.

- Rhaaaa Anissa, arrête de jouer avec moi ! s'énerve d'un coup Julien. Tu sais très bien que c'est vis-à-vis de Dakota. J'ai réfléchi et je ne veux pas faire ça dans son dos.
Le visage d'Anissa se ferme alors et elle déclare :
- Julien... tais-toi. J'en ai assez d'entendre cette histoire de trahison. Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, les choses changent ici. Le nudisme, l'échangisme, les services sexuels, des tas de choses ont aujourd'hui lieu dans le quartier alors que cela semblait inenvisageable il y a encore quelques jours.
- Je le sais mais...
- Tutut ! Tais-toi j'ai dit !

- Lorsque tu m'as sodomisé pour la première fois, Julien, j'ai trahis la confiance de mon mari et rien de terrible ne s'est passé. Il m'abandonnait et j'ai pourtant ressenti de la culpabilité. Aujourd'hui, je n'ai même pas l'impression de le tromper. A vrai dire, je crois que plus personne ne se préoccupe de ça, tout le monde fricotte avec tout le monde. Tout le monde sauf toi. Tu agis en sens inverse de tout le monde et je ne comprends pas pourquoi.
L'ironie de la situation sautait à présent aux yeux de Julien. Il s'était montré infidèle et obsédé dès son premier jour dans le quartier alors que tout le monde était coincé. Et maintenant que son plan pour libérer la sexualité des résidents fonctionnait, il paraissait être de plus en plus coincé. Paradoxalement sa prudence attirait l'attention sur lui !
Julien ne savait pas quoi répondre mais heureusement pour lui, Anissa reprend la parole :
- Écoute, je sens bien que tu veux bien faire les choses avec Dakota mais, à mon avis, tu t'embête pour rien. Au rythme où vont les choses, Dakota et toi irez batifoler avec n'importe qui d'ici quelques jours. Mais je comprends que tu ne souhaites pas coucher avec moi si Dakota n'en ai pas d'accord. Alors voilà ce que je te propose : mangeons ensemble aujourd'hui et, en essayant d'être subtil, je lui proposerai de t'emprunter pour tromper l'ennui. Est-ce que cela te convient ?
- Oui... En fait c'est même parfait, répond Julien, soulagé.
En effet, à tous les niveaux, cette solution était idéale. La demande viendrait d'Anissa et non de lui, ce qui lui permettra de ne pas passer pour un infidèle demandant l'autorisation auprès de Dakota. Et, du point de vue du quartier (en tant qu'entité), c'est bien Anissa qui fait la démarche et non lui. Il limitait donc les risques de nouvelles anomalies. En tout cas il l'espérait !
- Bon, je suis contente que ma proposition te convienne. Tu admettras que je suis conciliante ?
- Oui, c'est vrai.
- Bien alors maintenant, je pense mériter une petite compensation... dit-elle en poussant Julien à l'intérieur de la salle de bain.
- Attend Anissa...
- Chuuuut, l'interrompt-elle en fermant la porte derrière elle.

Puis elle s'assoit au sol, jambes écartées, et continue de parler :
- Ne t'inquiète pas, tu ne vas pas me toucher... J'en reste à ma proposition : on demande d'abord l'avis de Dakota. Mais... je suis terriblement excitée là, en ce moment. Et ce n'est pas raisonnable de manger avec vous dans cet état. !

Puis Anissa se redresse, toujours jambes écartées, et écarte son string sur le côté pour commencer à jouer avec son sexe.
- Il va falloir que je me soulage... c'est vital ! Si tu veux bien rester là pendant que je me fais plaisir...

- Ok Anissa... ok. répond Julien, sans vraiment avoir le choix et sans avoir envie de dire non !
Après s'être caressée pendant quelques secondes, Anissa décide de se mettre plus à l'aise et retire donc son string...

... et se retrouve chatte à l'air, jambes écartées devant Julien.

Puis elle retire son t-shirt afin de se mettre totalement nue.

- Voilà, je serai bien plus à l'aise comme ça... Tu vas être un gentil garçon et tu vas sagement me regarder me masturber.
- Ca va surtout être dur de résister à la tentation...
- Je sais... tu aurais envie de sortir ton gros sexe pour que je te masturbe, hein ? demande Anissa en mimant de sa main ce geste si caractéristique.

Puis elle recommence ses caresses en continuant de parler :
- Sauf que là, j'ai envie de penser à moi et rien qu'à moi. Mon plaisir... oui....

Voyant Julien se masser l'entrejambe, avec manifestement une énorme érection, Anissa joue avec lui :
- Tu aimerais te masturber, peut-être ? Te tripoter en me regardant me faire plaisir ?

- J'avoue que c'est tentant...
- Et ensuite, tu voudrais sans doute que je te suce ? Ou plutôt que tu me défonce la bouche, comme tu adores le faire...

- Et toi Anissa, ce ne serait pas plutôt toi qui veux voir mon sexe pour l'aider à te soulager ? Ce n'est pas plutôt toi qui voudrais me sucer ? Hein ?
- Tu crois que je ne peux pas me soulager sans toi ??
- On va voir...
Julien baisse alors son pantalon et sort son énorme sexe en érection, presque sous le nez d'Anissa.

En voyant l'engin, celle-ci s'exclame :
- Oh purin de merle, j'avais oublié que tu avais une troisième jambe...

Puis elle reprend immédiatement ses caresses en disant :
- Petit futé, tu avais raison... Évidemment que j'avais envie de la voir, ta queue... Allez... masturbe-toi en me regardant... Je te garantis que je ne vais pas être longue !

Anissa se masturbe frénétiquement en se doigtant le sexe et l'anus. Elle ne lâche pas du regard le sexe de Julien que celui-ci branle vigoureusement.

Et, comme promis, Anissa jouit rapidement en resserrant les cuisses et en tremblant de plaisir, les fesses sur le carrelage de sa salle de bain.

- Oh punaise que ça soulage...
- Je te crois ! A mon tour maintenant, répond Julien en accélérant la cadence puis, finalement en jouissant.

L'éjaculation, puissante, vient maculer le sol de la salle de bain d'Anissa, certaines gouttes atterrissant à ses pieds. La belle brune joue alors les choquée :
- Oh mon dieu quel coquin ! Tu n'étais pas censé faire ça toi... Et regarde-moi le chantier que tu as mis !

- Et qui est-ce qui va devoir nettoyer ça, hein ? continue Anissa en frottant son doigt sur le sol au milieu des trainées de sperme.
Puis elle porte son doigt à sa bouche pour gouter au nectar ainsi récupéré.

- Mmhh délicieux, comme d'habitude...
- Tu vas nettoyer tout le reste comme ça ? En léchant le sol ? s'interroge Julien en voyant Anissa continuer de récupérer du sperme par terre.
- Ça ne te regarde pas, mon cher. D'ailleurs, rien de tout ceci n'est arrivé, c'est-ce-pas ? ajoute Anissa en mettant un doigt sur sa bouche pour signifier le petit secret qui les lie. Nous ne nous sommes jamais masturbé en nous regardant et tu n'as pas jouis sur le sol de ma salle de bain.

- Et par conséquent, continue-t-elle en se mettant à quatre patte, je n'ai jamais lécher ton sperme à même le sol comme seule une chienne en chaleur sans amour propre le ferait.

- En effet, tout cela n'est jamais arrivé ! Du coup... je te laisse finir ce que tu n'as pas commencé et je te dis à tout à l'heure.
- Oui, je m'occupe de tout avec Dakota, répond Anissa entre deux coups de langue.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 10 - partie 3
Une heure plus tard, Julien et Dakota étaient chez Anissa en train de savourer un verre de vin français que la belle orientale avait demandé à Janet. Dakota avait facilement accepté l'invitation car cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas partagé un moment de complicité avec sa voisine.

Durant un long moment, les sujets de discussion abordés restent centrés autour de la vie du quartier, des changements récents, du train-train de la vie au paradis. Habilement, tout en resservant des verres de vin à Dakota, Anissa fait glisser la conversation vers son mari qui s'absentait de plus en plus souvent et longtemps pour ses retraites spirituelles. Et la solitude qu'elle éprouvait, solitude renforcée en comparaison par le bonheur de Dakota qui avait enfin trouvé son âme sœur en la personne de Julien. Régulièrement, Anissa glissait des compliments sur le couple et sur Julien, charmeur et bel homme. Enivrée, Dakota ne semblait pas le prendre mal. Au contraire, elle surenchérissait sans vraiment en mesurer les conséquences sur la chance qu'elle a d'avoir un si bon amant dans sa vie.
C'est suite à une de ces évocations de la part de Dakota qu'Anissa se décide à sauter le pas et à saisir la perche ainsi tendue. Elle demande à Julien d'aller chercher le dessert dans la cuisine et sitôt celui-ci éloigné, interroge Dakota :
- Dakota, ma chérie, j'ai une demande à te faire mais cela va te sembler indécent... encore que je pense que le nouvel état d'esprit du quartier et de ses résidents m'autorise à me permettre cette requête. Voilà... je voudrais savoir si tu m'autorisais à fréquenter ton âme sœur lorsque je me sens seule...
- A le fréquenter ? Tu veux dire diner avec lui ? Tu le fais déjà il me semble...
- Oui à dîner avec lui, nos conversations me font du bien, c'est vrais. Mais je voulais surtout dire, à le fréquenter plus intimement...
- Tu veux coucher avec mon mari ? Toi aussi ??
- Dakota... j'ignorais que d'autres t'avais demandé cela également. Je ne sais pas ce qui motive ces demandes mais la mienne vient d'une amie en détresse à une autre amie. Je me sens seule, triste, abandonnée. Et je n'estime pas mériter cela au bon endroit. Julien est attirant, séduisant et je sais qu'il t'a dit que nous avons déjà flirté avant que vous ne soyez vraiment en couple. Dakota... je vais être aussi vulgaire que les règles de ce quartier me le permettent : oui, j'ai terriblement envie de me faire prendre par Julien !
Malgré l'alcool et la bonne humeur du repas jusqu'ici, Dakota affiche alors une mine contrariée. Mais pas autant que le craignait Anissa. La belle blonde semblait plus blasée que réellement en colère.

Et alors que Julien apporte enfin les desserts, en ayant évidemment été aussi lent que possible, Dakota lui dit :
- Julien, tu veux bien nous laisser seule avec Anissa. J'ai besoin de lui parler de choses... qui ne te regardent pas. En tout cas pas encore. Tu veux bien ?
- Oui... je veux bien... même si j'avoue être un peu inquiet.
- Tu n'as pas à t'en faire. Rentre chez toi, je passerai te voir.
Après une attente qui lui a semblé interminable, Dakota fait son apparition chez Julien en fin de journée.
- Enfin ! dit celui-ci. Je commençais à m'inquiéter.
- Julien, il faut qu'on parle. Anissa m'a demandé de coucher avec toi. Mais pas comme l'avait fait Arianna, en plaisantant plus ou moins, histoire de s'amuser avec toi. La demande d'Anissa est sérieuse et je pense, pérenne. Anissa souhaite devenir ta maîtresse, en quelque sorte. Et elle demande ma bénédiction.
- Cela a dû te faire un choc ! C'est une demande peu banale, répond Julien en jouant les surpris.
- Oui et non. Tu es séduisant, je le sais. Et depuis que les mœurs du quartier se libèrent, certaines femmes te convoitent, je le vois. Et cette idée ne m'énerve plus autant qu'avant, j'imagine que ton travail avec Julia porte ses fruits.
- Tu sais bien que mon but n'était pas de....
- Je sais, Julien, je sais. Mais même si tu ne vas pas baiser avec moitié du quartier dans mon dos, il se trouve que moitié du quartier baiser avec toi ! Et j'exagère à peine. Je réfléchis donc à accepter la requête d'Anissa.
- Vraiment ? Mais tu t'es demandé si moi je voulais ?
- Ne me prends pas pour une idiote, Anissa est une des plus belles femmes du quartier et tu es un queutard invétéré. Évidemment que sa proposition t'intéresse. Et en réalité, elle m'intéresse aussi. Tu as dû constater que mes relation avec Arianna n'était pas platonique... D'ailleurs, entre elle et Janet, il faut bien l'admettre : j'ai couché avec d'autres personnes, moi aussi.
- En effet... répond Julien, lui-même surpris par l'évidence de cet état de fait alors que lui-même n'avait pas spécialement intégré cela.
- Sauf que ce sont des femmes... et que je pense qu'on peut dire honnêtement que ce n'est pas la même chose pour toi...
- Je suppose...
- Du coup, j'ai proposé à Anissa, comme première étape d'une possible relation, d'être présente lors de vos premiers rendez-vous et de pouvoir tout arrêter si je n'arrive pas à le supporter. Et si, au contraire cela me plait, elle n'est pas contre ma participation...
- Tu veux dire que... tu envisages un plan à trois.
- Je veux dire que comme tu m'as regardé avec Janet et Arianna, je vais vous regarder avec Anissa. Ma participation est, à ce stade, très théorique.
- Je vois. Je trouve ta décision...
- Hop hop hop, pas si vite, Frenchy... J'ai une condition à cela. Une condition qui sera ton épreuve d'aujourd'hui.
- Je t'écoute.
- Ok. Puisque nous sommes d'accord que le fait que j'ai couché avec des femmes devant toi ne soit pas tout à fait comparable avec le fait que tu es une maitresse permanente, tu vas devoir me regarder coucher avec un autre homme.
- Pardon ? répond Julien, surpris.
- Tout à fait. J'ai rendez-vous dans une demi-heure avec un jeune homme. Si tu souhaites coucher avec d'autres femmes, non seulement je devrai en être d'accord mais tu vas d'abord devoir me regarder faire la même chose avec ce jeune homme. Tu seras alors ce que j'ai ressenti lorsque tu m'as parlé de tes aventures en arrivant ici et ce que je vais ressentir en te regardant toi.
- Dakota... je.. je comprends. Vraiment. Je pense que c'est d'ailleurs un bon moyen de tester notre ouverture à la polygamie ambiante dans le quartier. Ce jeune homme... je le connais ?
- Je ne crois pas, non. Il s'agit d'un lycéen arrivé ici depuis peu. Il n'a pas encore d'âme sœur et je crois qu'il est déboussolé par les changements du quartier. Je lui ai proposé une visite amicale tout à l'heure et je compte bien m'amuser avec lui.
- Ok... Je suis d'accord.
- Bien, je vais me changer, je passe te chercher dans une demi-heure.
Dakota se lève puis, devant la porte d'entrée, se retourne et dis :
- Je t'aime Julien. Cette épreuve me fais autant peur à toi qu'à moi. Mais je pense qu'elle va renforcer notre couple et nous permettre de vivre ici, heureux, tous les deux.
- Je le crois aussi. Je t'aime Dakota.
Une demi-heure plus tard, Julien et Dakota frappaient à la porte de la maison du jeune homme. Après avoir fait connaissance avec Julien, celui-ci invite le couple à entrer chez lui. Dakota, conforme à ses intentions envers lui s'assoit à côté du jeune homme, un Anglais de 17 ans nommé Peter, et lui demande de raconter ses malheurs. Il raconte déjà sa vie au lycée où il était harcelé, puis son engagement associatif et religieux expliquant son actuelle virginité. Il fait la liste de toutes ses bonnes actions lui ayant valu sa place ici et son bonheur en découvrant le quartier. Mais l'attente de son âme sœur se fait longue et le comportement des résidents du quartier, aujourd'hui, le mettent mal à l'aise. Bref, Peter se sentait seul et étranger dans ce quartier qu'il ne comprenait plus.
Dakota, avec des paroles douces et pleines de sous-entendus, essayait de le réconforter et surtout de provoquer une réaction chez lui.

Mais face l'incapacité de de puceau à comprendre les allusions de la belle blonde, celle-ci décide d'être plus directe. Elle pose sa main sur la cuisse du jeune homme et lui propose carrément de l'aider à se sentir mieux dans le quartier en lui faisant découvrir le sexe.
A la tête choquée de Peter, Julien comprend vite que l'affaire ne sera pas si simple.

Le jeune anglais réagit d'ailleurs assez violemment en mettant sa main face au visage de Dakota comme pour se protéger de cette diablesse et lui dit de ne pas l'approcher car elle essaie de le pervertir.

Mais Dakota ne se démonte pas. Habituée à batailler face à des personnes accros, irrationnelles et violentes, elle réplique :
- Je ne cherche pas à te pervertir mais à t'aider à t'intégrer au quartier. Tu n'es pas au paradis mais au bon endroit. Ici, pas de perversion ou d'interdit de telle ou telle religion, tu dois t'en rendre compte maintenant que tu es mort ? Ici, il n'y a qu'une éternité de plaisir sans limite pour tout le monde, peu importent leurs origines, leurs croyances. Peter, laisse-toi aller et profite de cette mort si délicieuse...
Et pour accompagner ce dernier mot, Dakota place ses lèvres autour d'un des doigts de la main que Peter tendait encore vers elle et commence à le sucer, comme si elle suçait sa bite. Le jeune homme est d'abord surpris puis totalement incapable de réagir quand la blonde glisse sa main vers son entre-jambe où elle découvre une bosse déjà bien dure.

Sans même demander l'autorisation, elle déboutonne le pantalon de Peter qui lève les yeux au ciel, comme pour implorer le pardon d'un Dieu auquel il semble encore croire.

En sortant le sexe bandé de Peter, Dakota regarde Julien et lui lance un regard qui semble dire « je me lance, c'est ta dernière chance de m'arrêter ». Mais le français n'en fait rien, se contente de sourire à son âme sœur alors que celle-ci commence à pomper le gland de Peter.

Julien, à sa grande surprise, ne ressent pas de jalousie en voyant Dakota sucer un autre homme. Il se dit sans doute que le quartier, devenu polygame, doit également l'affecter car malgré l'amour sincère qu'il porte à la belle blonde, la scène qui se déroule sous ses yeux le ravit et l'excite. Surtout, il se dit que c'est l'autorisation qu'il attendait depuis longtemps pour aller baiser qui il veut et organiser des partouzes avec Dakota. Le paradis, quoi !
Pendant que Julien analyse la situation, Dakota, comme affamée, ne perd pas de temps. Elle avale facilement la totalité du sexe de Peter, de taille très moyenne, ce détail rassurant tout de même Julien.

Très excité, Julien décide d'intervenir :
- Tu sais Peter, dit-il, Dakota aime quand on la malmène un peu... Prend-lui la tête et impose toi-même le rythme. Et surtout n'hésite pas à aller aussi loin que tu peux, sa bouche peut tout avaler !
Le jeune homme, d'abord surpris, regarde Dakota qui confirme d'un hochement de tête. Prenant enfin de l'assurance, Peter écoute Julien et maintient la tête de Dakota alors qu'il lui baise doucement mais surement la bouche.

Après plusieurs allers-retours, et se fiant aux gémissements de plus en plus intenses de Peter, Dakota relève brutalement la tête, laissant échapper un long fil de bave, pour éviter que celui-ci ne jouisse trop vite.
- Je vais te ménager un peu, Peter, dit-elle tendrement en bavant, j'ai encore plein de choses à te montrer !

Dakota se redresse donc et enlève son top pour se mettre en soutien-gorge sous le regard admiratif de Peter.

Puis la belle blonde dégrafe son soutien-gorge mais se masque les seins en regardant Julien.
- Tu es sûr que tu es d'accord si je me déshabille devant Peter, mon chéri ? demande-t-elle comme si la situation était spontanée et innocente.

Jouant le jeu, Julien répond :
- Pas de problème ma chérie, c'est notre devoir de résidents de faire en sorte que Peter se sente bien ici. Et, en même temps, tu viens de lui faire une jolie fellation, donc on est plus à ça près...
- C'est pas faux ! répond alors Dakota en révélant ses seins et sans vraiment comprendre pourquoi cette expression faisait tant sourire Julien.

- Tes seins sont magnifiques, Dakota, commente Peter tout en retirant son pantalon pour être plus à l'aise.
- Tu peux les toucher si tu veux.
Puis, alors que le jeune homme caresse et palpe doucement les seins de la belle blonde, celle-ci commente :
- Je sais qu'ils ne sont pas très gros... Tu auras l'occasion de jouer avec des poitrines bien plus grosses si tu acceptes les occasions qui se présentent à toi. Mais mes petits seins plaisent à Julien, c'est l'essentiel...

- ... et surtout, poursuit-elle en se penchant, j'ai d'autres atouts pour satisfaire mes amants !
Et sur ces mots, Dakota avale à nouveau le sexe de Peter tandis que celui-ci, décidément plus assuré, lui fait bouger la tête au rythme de son choix tout en touchant ses fesses.

- Je crois que Peter veut t'enlever son short, Dakota, déclare Julien avec un sourire.
- Alors ne le décevons pas... répond Dakota en déposant un baiser sur le gland du jeune britannique avant de retirer son bas.

Après s'être complètement déshabillée, Dakota reste jambes écartées sur le canapé de Peter et commence à se caresser sans prêter attention aux mâles qui l'entourent.
- Tu as l'air très excitée, ma chérie, commente Julien.
- Oui.... J'ai envie de tellement de choses à ce moment précis... Je suis un peu perdue, je l'avoue...
- Je vais t'aider, Dakota, répond Julien.

Puis, se tournant vers Peter qui regarde la belle blonde nue en train de se doigter sur son canapé, Julien lui dit :
- Peter, Dakota s'est bien occupée de toi jusqu'à présent. Je pense que tu peux lui rendre la pareille et lui faire un cunnilingus.
- Je... je n'en ai jamais fait...
- Ne t'en fait pas, c'est inné chez les hommes ! Une fois que tu auras commencé à embrasser son sexe, tu verras, tu sauras quoi faire !
Dubitatif mais excité, Peter se place entre les jambes de Dakota et commence à lécher. Ses premiers coups de langues semblent maladroits vu le sourire et le haussement de sourcil que lance la blonde à son âme sœur. Mais rapidement elle semble prendre du plaisir et commence à gémir.
- Il s'y prend bien ? demande Julien.
- Pas mal du tout pour un débutant...
- Mieux que moi ?
- Bien sûr que non mon chéri, tu es inégalable !! Mais il a le potentiel pour devenir très bon et donner du plaisir à toutes les femmes du quartier...

- Parfait, les résidents de ce quartier méritent tout le plaisir possible, n'est-ce pas Peter ?
- Tout à fait, je comprends maintenant ce que vous me disiez tout à l'heure.
- A la bonne heure ! Dakota, tu penses pouvoir jouir rapidement ?
- Non, je ne crois pas... et j'ai surtout envie de sentir Peter en moi... de lui faire découvrir ce bonheur que procure le sexe.
- Fait toi plaisir ma chérie. Et toi, Peter, laisse-toi aller complètement. Dakota va faire de toi un tout autre homme !
Satisfaite d'avoir l'approbation de son âme sœur, Dakota installe Peter sur le canapé et s'assoit sur lui. Complètement trempée par l'excitation de la situation, bien plus due à la présence de Julien que de celle de Peter, au final, Dakota s'empale facilement sur le modeste sexe du jeune et commence à mouvoir ses hanches tout en regardant Julien.

- Ne me laisse pas faire tout le travail, Peter, déclare Dakota. Un homme doit savoir laisser de la place à sa partenaire mais doit également savoir prendre le dessus quand il le faut. Et là, il est temps que tu accélères et que tu me prennes violemment.
Peter place alors ses mains sur les hanches de Dakota pour la caler et la baise aussitôt rapidement mais également maladroitement, en écartant ses fesses. Derrière, Julien a les yeux rivés sur l'anus de Dakota, si beau, si vierge, si... disponible à ce moment précis. Mais une double pénétration est-elle vraiment le meilleur moyen de lui faire apprécier la sodomie ?
Comme lisant dans son esprit, Dakota demande à Julien :
- Tu as envies de me prendre, hein mon chéri ? Tu veux me défoncer mon petit anus...
- J'avoue que c'est tentant.
- Pour toi, oui, je veux bien te croire ! Mais pour moi, la perspective que deux hommes me prennent en même temps est... disons... prématurée !

Julien reste muet en entendant cette phrase pleine de sous-entendu et, surtout, d'espoirs ! Mais Dakota ne le laisse pas rêver trop longtemps.
- Peter, changeons de position, j'ai l'impression que Julien va me sauter dessus si je reste ainsi fesses tendues !
Dakota se redresse donc, se retourne et s'empale à nouveau sur la queue de Peter, tournée face à Julien cette fois-ci.
- Voilà ! Comme ça la place est occupée ! déclare avec malice Dakota qui ignore en réalité le gout prononcé de Julien pour la double pénétration vaginale...

Mais Julien se retient évidemment d'une telle proposition et reste sagement assis, observateur, pendant que Dakota s'enfonce sur le pieu de Peter et semble, malgré l'inexpérience du jeune homme, prendre du plaisir.

Soudain, sans prévenir personne, Peter se relève en portant Dakota et la baise debout, les jambes toujours écartées. La belle blonde, après avoir poussé un cri de surprise et avoir laissé le jeune homme la limer un peu, lui dit :
- Voilà une initiative intéressante, Peter. Et plutôt plaisante... Mais, quand on débute, mieux vaut se limiter aux positions simples mais efficaces. Prend-moi en missionnaire, je te garantis que ce grand classique marche pour toutes les femmes !

Un peu déçu mais bon élève, Peter allonge donc Dakota sur le canapé et la prend comme « papa dans maman ».
- Ça va mon chéri ? Tu ne t'ennuies pas trop pendant que je prends du bon temps ?
- Non pas du tout ! Et toi, satisfaite des performances de Peter, apparemment ?
- Il ne se débrouille pas trop mal, oui.

Alors que Peter semble ralentir la cadence, sans doute pour ne pas jouir trop vite, Dakota s'occupe à se donner du plaisir elle-même.

- Dakota... tu... tu t'ennuies ? demande le jeune homme, vexé.
- Hein ? Pas du tout Peter, je me donne juste du plaisir par un autre moyen. Ca n'enlève rien à ce que tu me fais, au contraire, ça améliore !
- Ne t'inquiète pas, Peter, elle le fait aussi avec moi, ajoute Julien pour le rassurer. C'est une gourmande, c'est tout !
- Gourmande ET joueuse ! ajoute Dakota. D'ailleurs, ça te dit de voir un peu mieux mon petit trou ??
Et avec un regard plein de malice, Dakota bascule une de ses jambes et ses hanches sur le côté et expose ainsi son anus.

- Tu es incroyable, Dakota ! commente, admiratif, Peter en appuyant sur ses fesses et en accélérant.

Puis il ralentit, écarte la cuisse de Dakota pour bien mater son anus et lui demande s'il peut la sodomiser, provoquant la surprise non feinte de Dakota.

La demande est évidemment exagérée mais, joueuse, Dakota se tourne vers Julien et lui demande :
- Qu'est-ce que tu en penses mon chéri ? Je laisse ce jeune me déflorer le derrière ? Ou te veux que je réserve mon petit trou juste pour toi ?
- Évidemment que tu me le réserve ! répond alors Julien un peu jaloux.

Puis, comme pour se venger de cette provocation de Dakota, et aussi pour faire plaisir à ce jeune qui, tout juste dépucelé, nourrit déjà une belle envie pour l'enculage, Julien ajoute :
- Mais ne t'inquiète pas, Peter. Dès que j'aurai bien entrainé le derrière de Dakota, tu pourras en profiter aussi, je suis assez prêteur, tu sais.
- Je le constate en effet ! Merci Julien !
- Et pour te prouver ma bonne foi, tu peux si tu veux lui jouir sur le visage. La faciale, tu connais je suppose ?
- Oui... enfin, en théorie...
Dakota prend alors une mine mécontente et intervient :
- Dites, les garçons, vous avez fini de négocier mon corps comme si j'étais du jambon ?? Tu prends les réservations pour mon derrière maintenant, Julien ?

Content d'avoir fait mouche, Julien s'explique :
- Allons, avoue que ça te plait d'avoir déniaisé Peter ! Et je suis sûr que ça t'éclatera de lui proposer ton trou de balle quand tu y seras prête.
- Peut-être mais...
- Et idem pour la faciale. Affamée de sperme comme tu es, tu vas me dire que tu vas lui refuser ça ?
- Heu.... Non... mais c'est pas la question... J'aurais préféré lui proposer moi-même.
- Alors vas-y... demande-lui !
Dakota se redresse alors en se désempalant de Peter, se met à genoux devant lui et commence à lui lécher les couilles et le sexe. Puis, entre deux coups de langue, elle demande :
- Tu veux bien venir sur mon visage ? J'adore me faire recouvrir de sperme...
- Avec plaisir Dakota ! répond Peter, amusé par le petit jeu de couple de la petite blonde et de Julien.

Contente, Dakota attrape alors le sexe de Peter et le branle efficacement en regardant Julien.
- Prêt à voir ta femme se faire souiller de sperme par quelqu'un d'autre ?
- Prêt ! répond sobrement Julien qui, en effet, avait hâte de voir ça.

Dakota branle donc énergiquement Peter qui, en action depuis un déjà très long moment pour un puceau, craque rapidement et se repend sur le visage de la belle blonde. En grande amatrice des soins du visage, Dakota dirige elle-même l'éjaculation pour s'en mettre sur le nez, les joues, le menton et également dans la bouche.

Elle avale une gorgée de sperme puis regarde Julien en lui disant :
- Mon chéri, j'espère que tu ne vas pas être jaloux mais ce n'est a priori pas que ta semence qui a bon gout. Je pense que j'adore le sperme, d'où qu'il vienne !
Puis, comme pour prouver ses dires, elle récupère ce nectar sur son visage avec ses doigts et les porte à sa bouche pour s'en délecter.

Peter, sous le coup de trop d'émotions, s'assoit alors lourdement en soupirant sur le canapé où il venait de baiser pour la première fois. Un sourire satisfait et idiot illuminait son visage.
Julien le regarde alors et lui demande :
- Alors Peter, tu nous crois à présent ? Tu vois tout le plaisir que ce quartier peut offrir ?
- Oui... je le vois... et je compte bien en profiter à présent !
Dakota, toujours nue, à genoux et couverte de sperme, se tourne vers Julien :
- Mon chéri, nous avons fait un heureux aujourd'hui !
- TU as fait un heureux. Moi j'ai juste regardé... Et je regarderai encore si tu as envie de faire d'autres heureux dans le quartier.

Après un petit moment pour se nettoyer, se rhabiller et dire « à bientôt » au jeune Peter, Dakota et Julien se retrouvent dehors et après avoir fait quelque pas dans le silence, Dakota demande :
- Bon... j'ai l'impression que mon petit défi t'a plu... tu confirmes ?
- Oui j'ai vraiment beaucoup aimé, même si j'avoue que le fait qu'il s'agisse d'un gamin a facilité les choses...
- Tu as peur de la concurrence ?? Toi, l'étalon inépuisable ?
- On a tous sa fierté à défendre...
- Et bien ta fierté est sauve, mon chéri. Et même si un jour je me retrouve avec un autre étalon, tu resteras toujours mon âme sœur, mon seul amour, et ce pour l'éternité.
- Dakota, c'est pareil pour moi vis-à-vis de Janet ou d'Anissa...
- Je sais Julien, je sais. Mais moi je n'éprouve pas de jalousie par rapport aux gros seins d'Anissa ou aux capacités surhumaine de Janet. Si j'étais réticente à les laisser t'approcher, c'est parce que j'avais peur de te perdre. Toi tu es un homme et comme tu l'as dit, tu as « ta fierté à défendre ». Je veux donc être sûr que cela ne te posera pas de problème si un jour je couche avec quelqu'un de mieux... équipé que toi. Ou de plus performant que toi. Et ce, même si je te garantis de tout mon amour.
- Je suis d'acc...
- Chut ! Laissons passer une nuit sur cette décision. On en reparle demain. Bonne soirée mon chéri.
- Bonne soirée Dakota.
Seul chez lui, la tête pleine de souvenir de cette journée si particulière, Julien réfléchit. Il réfléchit à la proposition de Dakota. Comment réagirait-il si un grand black la défonçait sous ses yeux avec un sexe bien plus gros que le sien ? Et si deux mecs inépuisables la baisaient durant des heures, arriverait-il à supporter ses cris de plaisir et de jouissance ?
Il pensait avoir la réponse mais il avait besoin d'avis extérieur.
- Janet ?
- Oui maître, répond aussitôt la belle brune en apparaissant devant Julien, en sous-vêtements blanc.
La simple apparition de Janet, ainsi vêtue, les seins nus et se comportant en parfaite esclave, la décision de Julien était prise. Sûr de lui, confiant en son avenir, il regarda avec gourmandise Janet.
- Tu as de la chance, je suis dans un bon jour : je vais m'occuper de toi !
- Merci maître, merci !!

Une heure plus tard, Janet gisait sur le canapé de Julien, à quatre pattes, le postérieur bien tendu. Son cul, défoncé, suintait du sperme encore chaud de Julien et peinait à reprendre une allure normale. La langue pendue, le regard vide, Janet se masturbait encore après, pourtant, avoir reçu de nombreux orgasmes. Elle semblait vouloir que cette sensation de plaisir intense et ce sentiment de n'être qu'un objet, qu'un trou, ne disparaisse jamais.

- Je vais être décidément généreux avec mon vide-couille personnel : tu peux te faire venir encore une fois avant de partir, déclare Julien en sortant de la pièce pour aller dans sa chambre.
- ‘erci.... répond alors Janet, la langue toujours pendue, en accélérant son mouvement sur son clitoris.
Depuis sa chambre et alors qu'il se couche, satisfait, Julien entend Janet gémir puis jouir avant que le silence ne s'abatte sur sa maison. Puis il s'endort rapidement, plus heureux et confiant que jamais.
A suivre...
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The Good Place - Épisode 11 - partie 1
Précédemment The Good Place :
Tiraillé entre ses missions dans le quartier...

...son traitement avec Dakota pour se débarrasser de ses pulsions sexuelles et les sollicitations d'Anissa et de Janet...


...Julien imagine un stratagème pour faire en sorte que son âme sœur accepte l'échangisme.

Il espère ainsi pouvoir continuer de satisfaire ses voisines et ses propres besoins sans enfreindre les règles de Dakota. Mais celle-ci, avant d'accepter, impose à Julien de la regarder baiser avec un des résidents pour lui faire comprendre que s'il y a échangisme, ce sera dans les 2 sens !

Le jeune homme rentre ensuite chez lui et dispose de la nuit pour réfléchir à sa réponse.
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Et maintenant, la suite :
Julien n'avait pas toujours été échangiste. Comme beaucoup de personnes respectables, il avait d'abord cru aux vertus de la fidélité et de l'amour pour vivre une vie heureuse et épanouie. Mais ces premières expériences de jeune adulte, notamment avec cette professeure, Mme Lambert, qui s'était joué de lui, avaient abimé la valeur « amour ». Et la valeur « fidélité » n'allait guère survivre à ses débuts d'obsédé sexuel...
Rapidement, il comprit les joies que pouvait apporter le partage et l'échange... Un soir, après une soirée entre collègues un peu arrosée, il avait été invité à rester dormir chez la collègue qui organisait la fête. Et s'il pensait profiter de la soirée pour séduire cette femme qu'il côtoyait tous les jours au bureau et qui lui plaisait tant, c'était sans compter le fait qu'elle vivait en couple avec une autre femme ! Un peu éméché, déçu mais tout de même curieux de voir deux femmes dans le même lit, il était allé, en pleine nuit, jeter un œil dans la chambre de sa collègue. Il y découvrit alors le magnifique cul de la compagne de sa collègue, un cul et une chatte, à peine couverts par un tout petit pyjama. Sa collègue était là également, en sous-vêtements, et profondément endormie.

Etait-ce l'alcool ou l'excitation, ou les deux, qui le poussèrent à poser sa main sur le joli cul de sa concurrente ? Toujours est-il qu'après quelques secondes de malaxage de ces belles fesses, la jeune femme se réveilla et lui demanda en chuchotant ce qu'il foutait.

Puis, voyant Julien confus se dépatouiller dans des excuses bidons, elle enchaina en disant qu'il avait de la chance qu'elle soit bisexuelle et « pompette » et fouilla aussitôt dans le pantalon de Julien pour en sortir son sexe.
Et tandis qu'elle le branlait, Julien écarta le micro pyjama de la jeune femme pour lui caresser le sexe.

Puis elle baissa elle-même son shorty pour permettre à Julien de la pénétrer en lui demandant d'être silencieux.

Malgré toute leur prudence, les gémissements et les à-coups remuant le lit finirent par réveiller la collègue de Julien et un début de dispute éclata alors.

Contre toute attente, la collègue accepta finalement la proposition de sa compagne : s'envoyer en l'air toutes les deux avec Julien. Commença alors une des parties de sexe les plus mémorables pour Julien, la première fois où il baisait avec deux femmes. Celles-ci commencèrent par le sucer ensemble...

Puis Julien reprit l'action là où elle s'était arrêtée quelques minutes plus tôt : il baisa à nouveau la copine de sa collègue qui s'état préalablement déshabillée. La collègue de Julien, a priori moins portée sur les hommes que sa compagne resta d'abord en retrait, se contentant de s'amuser avec elle.

Enfin elle céda à l'envie et surtout aux incitations de sa copine qui lui promettait « un coup d'enfer ». Elle s'empala sur la queue de Julien tout en se faisant titiller le clito.

La baise ne dura pas très longtemps car Julien, éméché et novice en plans à trois, annonça qu'il allait craquer rapidement. Et comme aucune des filles ne voulait recevoir de « creampie » et qu'elles aimaient manifestement tout partager, elles décidèrent de le finir ensemble en le suçant.

La double fellation acheva rapidement Julien. Son éjaculation retomba principalement sur lui mais cela n'empêcha pas les filles d'en profiter un peu puis de s'embrasser et de se lécher le visage pour s'amuser avec sa semence.

Cette première expérience fut donc particulièrement agréable et permis à Julien, par la suite, de régulièrement baiser sa collègue avec l'approbation de sa compagne et parfois même avec sa participation lorsque celle-ci venait leur rendre visite au bureau.

Malheureusement pour Julien, sa seconde expérience du genre fût beaucoup moins heureuse. Promu à un très bel avenir dans cette société où il gravissait rapidement les échelons et multipliait les conquêtes, il fût, un soir, invité par son patron à manger chez lui.
Il fît alors la connaissance de son épouse, une femme magnifique.

Mais sa réputation de tombeur dans sa société l'avait manifestement précédé et cette femme, sans doute habituée à collectionner les amants, jeta immédiatement son dévolu sur Julien malgré la présence permanente de son mari.

Durant tout l'apéritif, la femme du patron de Julien ne cessa de s'exhiber et d'allumer le jeune homme.

Puis, à la première occasion, elle lui mit sa grosse poitrine siliconée sous le nez et sortit son sexe de son pantalon pour le branler.

Son mari prenant manifestement beaucoup de temps à préparer la suite du repas, cette nymphomane en profitant pour sucer sans complexe Julien, qui ne savais comment réagir.

Elle s'arrêta heureusement juste avant que son mari ne revienne. Mais la suite du repas ne l'empêcha pas de passer sous la table pour sucer Julien à la moindre occasion. Le patron, idiot ou aveugle, ne semblait rien remarquer.

Contre toute attente, le repas se passa plutôt bien et le patron de Julien lui annonça qu'il avait une surprise pour lui. Il annonçât qu'il partait préparer cette surprise dans son bureau et que Julien pouvait l'attendre en buvant un verre de vin.
La femme en profita alors pour sauter sur Julien et, cette fois, le sucer sérieusement.

Trop excité par cette salope et commençant à croire que la surprise était justement sa femme, Julien « lâcha les chevaux » ! Il arracha les vêtements de la brune siliconée...

... puis la retourna pour la prendre par derrière, comme une chienne, et la pénétra avec vigueur.

L'épouse nymphomane gémissait bruyamment, sans discrétion, ce qui conforta Julien dans le fait qu'elle était LA surprise annoncée. Il la baisa dans tous les sens et toutes les positions puis se laissa se faire branler pour recouvrir de sa semence la grosse poitrine de cette femme infidèle mais très douée de ses mains.

C'est alors que le patron fît son retour et, cette fois, plus moyen de se cacher sous la table ou de ranger le matériel dans le pantalon. Julien comprit immédiatement son erreur en voyant le visage scandalisé de son boss. La surprise était en réalité un contrat fraichement rédigé pour lui offrir une promotion et celle-ci venait de voler en éclat en même temps que son poste dans la société.

Le lendemain, en faisant ses cartons, Julien apprit par une secrétaire attristée de perdre un bon coup que ces repas étaient en fait des pièges tendus par le patron aux collaborateurs trop ambitieux. Sa femme les séduisait et le patron, mimant la surprise, les renvoyait sur ce motif évident.

Julien, dégouté, en tira une conclusion : les femmes sont des salopes auxquels on ne peut pas faire confiance. Et les hommes : pareil ! Sa solution : baiser tout ce qui bouge, se faire plaisir, ne pas avoir de sentiment, ne s'attacher à personne.
Avant de fonder sa propre boite et de devenir patron, il trouva un job de commercial. Et, pour éviter les ennuis en interne, il essaya de limiter ses aventures sexuelles à ses clientes seulement. Ainsi, comme les marins qui avaient une femme dans chaque port, Julien avait une maîtresse dans chaque quartier de son secteur.
Un jour, il fût accueilli par une de ses maîtresses qui, manifestement pressée, était déjà nue lorsqu'il arrivât.

Ayant lui aussi un planning chargé, il baisa sans attendre cette femme mariée, ou plutôt il l'encula, sans ménagement.

L'histoire se répéta et ils furent surpris par le mari de sa maîtresse. Mais, beau parleur et bon commercial, Julien arriva à convaincre le cocu qu'avec une salope du genre, il serait dommage de ne pas en profiter ensemble. Désireux de se venger, le mari accepta.

La partie de sexe, déjà assez peu romantique, devint alors encore plus extrême pour la femme qui, prise sur le fait et encore très excitée, se laissa faire. Julien commençât par expliquer à son mari comment se servir du gosier de sa femme, lui qui n'avait eu que des pipes minables jusqu'à présent.

Puis Julien encula à nouveau sa maitresse sous les yeux du mari qui, un peu jaloux, se plaint qu'elle ne l'avait jamais laissé en faire de même. Julien l'invita alors à le rejoindre dans ce cul, certes déjà occupé, mais largement assez souple d'après lui.

Après un court moment d'hésitation, le mari se décida finalement à rejoindre l'amant de sa femme. Il lui enfila donc sa bite en se montrant prudent.

Mais la relative facilité avec laquelle sa femme prenait deux queues dans son cul lui fit dire que sa chère épouse devait avoir une longue expérience en la matière.

Les deux hommes prirent la femme infidèle en double pénétration anale dans toutes les positions possibles.

Puis, lorsque celle-ci se plaint de commencer à avoir mal au derrière, Julien et le mari cocu acceptèrent de la ménager. Ils se répartirent entre son cul et sa bouche, échangeant de trou régulièrement sans aucune considération pour la jeune femme qui suçait des bites sortant de son anus ni pour son plaisir puisqu'ils ignoraient sciemment de pénétrer son vagin.

Enfin, les deux hommes craquèrent. L'un se vida sur le visage de la jeune femme...

... et l'autre directement dans son cul.

La jeune femme était manifestement comblée. Mais le mari, passé ce moment de folie, fût à nouveau envahit pas un sentiment de jalousie et de trahison. Il la quitta donc dans la foulée tandis que Julien continua évidemment de fréquenter cette sodomaniaque.
Il décida d'ailleurs qu'il ne la prendrait QUE par le cul, ce qu'elle accepta, qu'il soit seul, lors de ces tournées commerciales par exemple...

... ou en groupe, quand il souhaitait faire plaisir à des collègues après une dure journée de travail !

Il n'eut plus jamais de nouvelle du mari cocu. Cette expérience renforça sa conviction que la monogamie était une illusion et que croire en la fidélité était une connerie.
Sa mort puis son arrivée au bon endroit avait en partie changé cela chez Julien. Alors qu'il ne croyait plus, de son vivant, à l'amour, il dût se rendre à l'évidence : il était amoureux de Dakota et avait des sentiments forts pour Anissa. Mais sa vision du couple, elle, ne changea pas. Il avait d'ailleurs fait du quartier un endroit où la règle était la polygamie et où l'échangisme devenait une pratique courante.
En se réveillant ce matin-là, après s'être remémoré toutes ces aventures orgiaques, Julien était sûr d'une chose : il voulait baiser avec autant de femmes que possible et était prêt à partager son âme sœur, Dakota, pour y parvenir. Mieux que ça, en partouzeur expérimenté, il avait hâte de voir Dakota prise par d'autres hommes !
Après un petit-déjeuner symbolique, Julien se rend donc chez Dakota afin de lui confirmer qu'il était partant. Mais la maison de son âme sœur était vide. Sur la table de la cuisine, un mot attendait Julien : « Julien, je suis partie me promener dans les bois du quartier, je pense y rester toute la journée. Je crois savoir qu'elle est ta décision, je l'ai vu dans ton regard hier. J'ai besoin de prendre l'air, de me retrouver seule pour réfléchir à ce que cela va impliquer pour nous. Je te propose qu'on mange ensemble ce soir pour en parler à tête reposée, non pas sur le coup de l'excitation. Je t'aime. Dakota. »
Imaginant un mot de rupture durant un court instant, Julien est d'abord rassuré puis un poil agacé. Il souhaitait en effet passer au concret au plus vite ! Mais n'ayant pas le choix, il se dit qu'il a la journée pour lui.
Se rappelant de la demande de Julia, il se dirige vers le bureau de l'architecte afin de voir en entretien les candidates au remplacement d'Asa en tant qu'assistante. Arrivé là-bas, il entre dans le bureau de Julia et lui annonce sa disponibilité pour mener les entretiens. Quelques minutes plus tard, une magnifique jeune femme se présente dans le bureau. Julien s'étonne alors de la disponibilité de la candidate puis se rappelle aussitôt qu'il est au paradis et que la plupart des gens ici n'ont strictement rien à faire de leurs journées !
- Entre Raylin, dit Julia pour l'accueillir, installe-toi. Tu connais sans doute Julien ?
- On s'est croisé, répond-elle, un poil intimidée.

Le nom de la jeune femme permet Julien à la remettre, son visage ne lui étant en effet pas inconnu. Il s'agissait de la femme de Vladimir, l'homme qu'il avait vu chez Julia il y a quelques jours alors que celle-ci était en « formation ». Vladimir était, à ce moment-là, troublé de ressentir du désir pour d'autres femmes et Julia lui avait expliqué que c'était normal.
En quelques jours, les mœurs s'étaient totalement libérées dans le quartier et Julien avait hâte de voir comment Kaylin, l'âme sœur de Vladimir, avait été affectée.
L'entretien démarra comme un entretien d'embauche tout à fait classique durant lequel Julia expliqua les tâche principale qu'allait devoir faire son assistante : en gros accueillir les résidents ayant rendez-vous avec Julia.
Malgré que Kaylin soit absolument magnifique et que son teint chocolat éveille en Julien des envies d'exotisme, sa timidité et sa robe assez sage lui faisaient douter du fait qu'elle soit la mieux placée pour ce poste. Comme lisant dans ses pensées, Julia enchaine aussitôt sur une autre mission du poste : éveiller le désir chez les résidents, rallumer la flemme charnelle depuis trop longtemps endormie au sein des couples. Les tournures de Julia étaient volontairement de doux euphémismes que Kaylin n'avait pas l'air de comprendre.
- Tu as bien saisi cette partie du poste, Kaylin ? demanda Julia.
- Oh, oui, absolument. En réalité, c'est surtout pour cela que je postule : pour allumer les résidents, m'exhiber, les exciter...
- Ah... parfait Kaylin, répond alors Julien, un peu étonné de sa franchise. C'est parfait mais j'avoue, vu ta tenue, que je ne savais pas trop à quoi m'en tenir.
Kaylin se lève alors de son fauteuil, s'appuie contre le coin du bureau de Julia et soulève le bas de sa robe, révélant ainsi des bas suspendus à un porte-jarretelle.
- Ne t'en fais pas, Julien. Ma robe est peut-être sage mais pas ce qui est en-dessous, ni celle qui la porte !
- Joli ! répondent alors ensemble Julia et Julien, autant pour désigner les belles jambes de Kaylin que la finesse de sa réponse.

La belle Black se retourne alors sans lâcher des yeux Julien et soulève d'avantage sa robe en exposant cette fois ses fesses.
- Cela fait des jours que Vladimir et moi jouons à la secrétaire coquine, depuis qu'il est venu ici, d'ailleurs. Nous jouons des rôles, nous regardons les autres résidents et nous avons eu notre première expérience échangiste. Mais nous souhaitons aller plus loin et, surtout, aider les autres là où Julia, par tes conseils, tu nous as aidé.

Kaylin enlève alors sa robe et continue son argumentaire sous les yeux impressionnés de Julien et de Julia.
- Lorsque Asa nous a parlé de cette offre, nous n'avons pas hésité. Honnêtement, me rendre utile pour ce quartier était déjà un de mes objectifs. Alors si en plus, ma mission est de m'habiller de manière provocante et de m'exhiber, ce n'est que du bonus !

- Par ailleurs, continue-t-elle en écartant les jambes pour exposer sa culotte de dentelles noires, mon mari se fait déjà une joie de m'imaginer devenant un objet de fantasme pour d'autres hommes. Il... je crois qu'il me trouve très belle et qu'il souhaite en faire profiter le plus de monde possible. C'est sa grande générosité qui l'a conduit au bon endroit et qui nous a réunis. Etre l'objet de cette générosité est pour moi un honneur.

Julien lui demande alors :
- Que ce soit un honneur pour toi est tout à fait louable. Mais nous devons être sûrs que tu y trouves également du plaisir. Cette fonction ne doit en aucun cas être une contrainte pour toi, Kaylin.
- Ne t'inquiète pas Julien. Ce serait évidemment un plaisir d'occuper ce poste. Et pour être honnête, poursuit-elle en ouvrant sa chemise, les regards que vont poser sur moi les résidents, tout comme vos regards en ce moment, m'excitent d'avance... Cela m'excite comme rarement quelque chose m'a excité !

Julien et Julia échangeaient des regards complices alors que Kaylin se déclarait envieuse de commencer son nouveau travail. Mais Julien, en bon professionnel, habitué aux entretiens, voulait la pousser dans ses retranchements. Il demande donc :
- Kaylin, ta motivation fait plaisir à voir, littéralement ! Mais, tu sais, ce poste exigera sans doute bien plus que de s'exhiber et d'être l'objet des regards. Pour ne rien te cacher, j'ai vu hier, ici même, Asa faire une fellation à John après lui avoir donné un cours de cunnilingus pour sa femme. Nous parlons de ce genre de service, vois-tu ?
Avec un sourire sûr d'elle, Kaylin ouvre son soutien-gorge et dévoile ses seins au couple qui l'interview.

Puis, tout en baissant sa culotte doucement, elle déclare :
- Tu sais Julien, en postulant ici, je savais bien que je n'allais pas qu'allumer les résidents ! Et mon mari également lorsqu'il m'a incité à venir à l'entretien.

Puis elle poursuit, en se débarrassant de sa culotte :
- Je vais vous parler franchement : oui je veux me rendre utile pour le quartier. Mais je veux aussi passer mes journées à m'exhiber, à allumer mes camardes du quartier, à faire des fellations, à donner des cours de cunnilingus, à me faire passer dessus par ceux qui auront rendez-vous avec Julia pour les faire patienter. D'ailleurs, regardez, rien que d'en parler, je suis déjà trempée.
Et pour prouver ses dires, Kaylin s'assoit sur le bureau et écarte ses jambes pour exposer une chatte en effet dégoulinante de mouille.

Julien et Julia échangent à nouveau un regard et l'architecte pose alors sa main sur l'entre-jambe de Julien pour y découvrir une énorme érection qu'elle masse avec gourmandise. Puis elle lui fait un clin d'œil et se tourne à nouveau vers Kaylin :
- Écoute Kaylin c'est parfait. Je suis convaincue par ta motivation et il me semble que Julien également ! Tu peux passer dès demain pour discuter avec Asa et organiser vos agendas pour tu puisses la seconder lorsqu'elle est au salon de massage. J'ai hâte de travailler avec toi !
- Merci Julia ! Tu ne le regretteras pas, je te le promets !
- J'en suis sûre ! Tu as l'air d'être très à l'aise avec tes futures missions mais si tu as la moindre question, n'hésite pas à te tourner vers Julien. Il est mon principal conseiller dans cette nouvelle organisation du quartier.
- Oh ? C'est donc à toi que l'on doit toutes ces... nouveautés si plaisantes ? Un grand merci alors !
- Mais de rien, c'était justement le but : augmenter le plaisir des résidents.
Après quelques échanges de politesse et après s'être rhabillée, Kaylin quitte le bureau et laisse Julien et Julia discuter. En l'occurrence, l'échange est bref car les deux s'accordent pour dire que la jeune femme semble être la remplaçante idéale d'Asa.
Mais alors qu'ils sortent dans le couloir et se dirigent vers le hall d'accueil, ils aperçoivent une autre résidente, une jeune femme rousse, qui patiente sur le canapé.

- Oh... Bonjour Linda. Tu souhaites me voir ? demande Julia, étonnée.
- Bonjour Julia, je venais pour l'offre d'emploi. Mais je suis en retard, désolée !
Julien, en fin observateur, pose son regard sur la jeune femme. Sa chemise est généreusement ouverte sur une jolie poitrine et son mini-short révèle de belles et longues jambes. Mais son visage, plutôt joli au demeurant, de sainte-ni-touche et ses couettes de petites filles donnent l'impression à Julien que cette Linda ne fera pas l'affaire.

Julia, embêtée d'avoir déjà dit oui à Kaylin, s'explique :
- Nous n'attendions plus personne, je suis désolée Linda, et nous avons déjà accepté Kaylin.
- Oh quel dommage, répond la belle rousse, visiblement peinée. Je souhaitais tellement participer à la vie de notre communauté !
L'allure et les mots utilisés par Linda finissent de convaincre Julien que la jeune femme a sans doute eu une vie de sainte et n'est clairement pas la plus adaptée pour ce poste.
- Bonjour Linda, je suis Julien et je conseille Julia en ce moment. Ta motivation pour notre quartier est formidable mais je ne pense pas que le poste t'aurait convenu. Tu sais, ce que faisait Asa était un peu particulier... vis-à-vis des résidents... les services qu'elles offraient. Tu vois ?
- Bonjour Julien. Oui je savais très bien à quoi m'attendre, ça n'est pas un problème pour moi ! répond la belle rousse en ouvrant sa chemise pour exposer sa poitrine nue.

Tandis qu'elle reste ainsi seins nus, les mains sur les hanches, Julien commence à douter de son premier jugement envers elle. Cependant, il insiste :
- Je vais être un peu direct : il faudra montrer bien plus que tes seins pour ce job...
- Oh ? répond-elle un peu surprise. D'accord, pas de souci, je suis prête à tout pour aider mon quartier.
Linda ouvre alors son short et l'enlève pour se mettre en string devant Julia et Julien...

...puis enlève sa petite culotte sans aucune gêne.

- Vous voyez, je n'ai aucun problème avec la nudité ! Idem pour de l'assistance sexuelle, aucun souci pour moi !
Voyant Julien douter devant le corps dénudé de Linda, Julia intervient alors :
- Linda, je suis vraiment désolée. Tu sembles être en effet très motivée mais tu comprends que je ne peux pas te donner un poste que j'ai déjà offert à Kaylin. Et comme tu es arrivée en retard, ce serait vraiment injuste envers elle.
- Oui je comprends Julia. Je suis désolée de vous avoir importuné et je m'en veux...
- Il n'y a aucun souci, répond Julien.
- Si vous avez le moindre besoin de renfort, surtout n'hésitez pas à me demander, je serai toujours disponible pour aider.
- D'accord c'est not... commence Julien.
- Par exemple, l'interrompt Linda, s'il vous faut quelqu'un pour des sodomies, même avec des grands groupes, je peux prendre n'importe quoi dans le derrière !
Julien manque alors de s'étouffer en entendant la réponse de Linda et Julia elle-même hausse les sourcils d'étonnement.
- Tu... Tu peux répéter ? demande-elle.
- Je vous dis que je pratique très facilement la sodomie. En fait, j'adore ça et comme je sais que ce n'est pas forcément si répandu, je me permets de vous le préciser. Et même avec plusieurs hommes à la suite, ou en même temps, il n'y a aucun souci parce que mon... derrière... est très entrainé. Regardez.
Linda se met alors à quatre pattes sur le canapé en exposant bien son cul et son anus qui semble, a priori, tout à fait normal.

Mais elle écarte alors ses fesses avec ses mains, prend de grandes inspirations et commence comme par magie à ouvrir son anus qui, rapidement, prend des allures de tunnel ferroviaire.

- Incroyable... soupire alors Julien en observant l'anus dilaté de Linda.
- Tu as déjà vu quelque chose du genre, Julien, demande Julia avec un petit sourire, comme si elle le testait.
- Non, jamais... répondit Julien en pensant dire la vérité, puisque ne se souvenant évidemment pas de son début de journée de la veille rebooté par l'architecte.
- Vraiment ? insiste Julia avec le même sourire.
Et alors que Julien se tourne vers elle, inquiet de ce ton, Linda propose :
- Vous pouvez venir tester mon derrière, je suis en entretien après tout !
- Julien, tu veux le faire ?
Bien que tenté, Julien réussit alors l'exploit de résister à cette alléchante proposition et laisse donc faire l'architecte qui, visiblement amusée, s'approche du cul tendu de Linda et y enfonce deux doigts.

- Je touche à peine les bords... et aucune résistance ! commente Julia, aussi impressionnée qu'excitée.
- Et encore, là c'est sa taille « au repos », ajoute Linda. Tu peux essayer de l'élargir, j'ai de la marge ! Attends, je change de position...
La belle rousse se place alors sur le dos, les fesses et les jambes relevées et écarte son cul pour laisser un accès total à Julia. Celle-ci enfonce à nouveau deux doigts d'une main puis, fait de même avec son autre main. Ne sentant aucune résistance autour de ses 4 doigts, elle commence à étirer les parois de l'anus sur les côté.

- Par tous les architectes... commente Julia. Jamais je n'aurais pensé que le corps humain puisse être aussi élastique que le mien... Enfin, je veux dire... que les corps des êtres de mon genre...
- Et tu n'as rien vu... répond Linda. Enfonce ta main en entier, Julia.
Bouche bée, Julia enlève donc sa main gauche et enfonce sans la moindre résistance sa main droite jusqu'au poignet. Linda, probablement sans s'en rendre compte, accompagne ce « test » de caresses sur son clito.

- Tu as vu ça, Julien ? Je lui enfonce mon poing en entier et non seulement elle ne bronche pas mais en plus elle y prend du plaisir !
- Oui je vois ça ! C'est bluffant ! Linda, comment es-tu capable de cela, si ce n'est pas trop indiscret ?
- Oh non, aucun souci. D'autant que c'est cela qui m'a valu m'a place ici ! répond Linda tout en se faisant fister le derrière.
La belle rousse raconte donc qu'elle avait 20 ans en 1950 et qu'elle a été recrutée par l'URSS, son pays d'origine, pour être espionne aux Etats-Unis. Mais une fois là-bas, elle s'est si bien intégrée qu'elle a été également recrutée par la CIA pour espionner la Russie. Déchirée entre son pays d'origine et son pays d'accueil, elle a décidé de choisir un seul camp : celui de la paix. Ainsi, pendant tout son activité, et jusqu'à sa mort, elle a œuvré dans le dos de ses employeurs pour faire baisser les tensions plutôt que de les accroitre.
- Donc, en gros, tu nous as évité une troisième guerre mondiale, c'est ça ?
- Oui, et à plusieurs reprises, je te le garantis !
- OK... mais quel est le rapport avec ton anus ?
- A ton avis, je les désamorçais comment les conflits ? Qu'est-ce qui marche le mieux chez les hommes ? Les arguments raisonnés et les appels à l'humanité ou une bonne grosse sodomie qui leur vide le cerveau ??
- Ok, je vois...
- Oh non, tu n'as pas idée ! répond-elle avec un poil de provocation. Mais il aurait fallu que tu le voies de tes yeux pour le croire.
- Ah ça, c'est dans mes cordes, intervient alors Julia qui, entre-temps, avait laissé tranquille l'anus de Linda pour écouter son récit.
Julia invite donc Linda et Julien à revenir dans son bureau, tape dans ses mains et fait alors apparaitre au milieu d'un halo de lumière un casque qu'elle place sur la tête de Julien en lui expliquant que grâce à cette interface, il va visualiser les souvenirs de Linda, en tout cas ceux qu'elle veut bien lui montrer. Puis elle donne un autre casque à Linda en lui expliquant qu'il lui suffit de repenser aux évènements qu'elle souhaite montrer. Enfin, Julia elle-même place un casque sur sa tête « pour vivre la vie de Linda autrement que par son dossier », se justifie-t-elle.

Tous équipés et installés, Julia demande donc à Linda de commencer son récit. L'expérience qui suit alors se trouve être, pour Julien, l'expérience pornographique la plus immergée qu'il n'a jamais connu.
Linda raconte qu'après avoir constitué son réseau, elle a multiplié les « aventures » avec des groupes de généraux, d'amiraux ou de collègues de la CIA et du KGB. Des images aux couleurs sépia apparaissent alors grâce au casque. Celles-ci sont parfois précises, parfois floues, parfois animées, parfois figées, tout cela dépendant de la qualité des souvenirs de Linda. Mais elles illustrent toutes parfaitement le récit de Linda. Ainsi, Julien découvre la jeune Russe prise en sandwich au milieu d'au moins quatre hommes.

Puis d'autres images apparaissent, beaucoup plus trash, au moment où Linda précise que c'est son gout pour la sodomie et sa grande capacité d'accueil qui ont participé à faire sa réputation ! Certaines images de Linda en pleine double pénétration anale la montrent visiblement à la peine, endurant cette pratique intense.

Mais tandis qu'elle continue son récit, les images qui suivent la montrent de plus en plus à l'aise, acceptant tous les diamètres et toutes les positions en y prenant manifestement du plaisir.

Julien, évidemment très excité par ce qu'il voit, n'arrive pas à croire que de telle image puissent sortir de la tête d'une femme ayant gagné sa place au « bon endroit ». Il y voit là plutôt les exploits d'une actrice porno expérimentée et se demande donc si tout ce spectacle n'est pas une sorte de test ou même de piège pour sonder son esprit à la rechercher de ses perversions.
Julien décide d'en avoir le cœur net : il relève discrètement le bas de son casque pour observer les filles autour de lui. Il aperçoit d'abord Julia, le casque toujours sur les yeux, visiblement impressionnée de ce qu'elle voit.

Assise sur son fauteuil de bureau, l'architecte se caresse, jambes écartées, pendant que Linda continue son récit.

Julien jette alors un œil du côté de la rousse en train de parler, nue avec son casque sur la tête et qui, elle aussi, se fait du bien. De manière assez logique par rapport à ce qu'elle est en train de raconter, Linda se doigte furieusement le cul et semble y trouver beaucoup de plaisir.

Un poil soulagé, Julien remet finalement son casque sur ses yeux pour reprendre le fil du récit. Il y découvre une Linda avec un chapeau de marin en train de soulager une bonne partie de l'amirauté américaine. Avec 3 queues pour un seul orifice, Julien se dit alors qu'en effet, elle sait gérer les gros groupes !

Plusieurs images du genre se succèdent encore puis Linda annonce que son récit arrive à son terme car, alors qu'elle pensait que tout allait bien, sa double activité a été découverte. Et alors qu'elle tentait de fuir vers un pays neutre, elle a pris une balle dans la tête. Elle n'a jamais su si c'était les USA ou l'URSS qui avait commandité son assassinat et la seule chose qu'elle se souvient ensuite c'est son arrivée dans le bureau de Julia, il y a 60 ans maintenant.
Les images disparaissent donc et les trois enlèvent leur casque. Julia, Julien et Linda se regardent alors, un peu gênés, comme s'ils venaient de vivre une expérience très intense entre voyeurs et exhibitionnistes.
Après avoir été remerciée chaleureusement, Linda se rhabille et sort du bureau de Julia pour la laisser discuter avec Julien.
- Tu en penses quoi, Julien ?
- Que j'ai rarement vu une fille aimer autant la sodomie et le sexe à plusieurs ! Je ne sais pas, cependant, si nous aurons besoin de tels services.
A nouveau, Julien essayait de résister à son envie de faire de Linda sa prochaine proie, ou en tout cas essayait de ne pas le montrer !
- Quelque chose me dit qu'une telle souplesse sera très utile dans le quartier. Qui sait, certains résidents sont peut-être eux aussi portés sur la sodomie ! Tu en penses quoi ?
- C'est possible oui, cette pratique est en effet très appréciée des hommes sur Terre.
- Tu aimes cela, toi ?
- Oui, répond Julien avec honnêteté, j'avoue que c'est une pratique que j'apprécie. Encore faut-il trouver la partenaire qui aime cela également !
- Et bien nous l'avons trouvé, je crois !
- D'accord, mais on ne va pas prendre le job à Kaylin, déclare Julien, désireux de garder également sous sa coupe la belle black.
- Évidemment que non ! Disons que j'aurais dorénavant 2 assistantes. Kaylin sera principalement au bureau et jouera parfaitement son rôle pour accueillir les résidents. Linda, elle, s'occupera des groupes ou des soirées à thèmes ou des demandes spéciales. Je crois sincèrement qu'elle ne nous a pas tout montré de ses souvenirs et que cette fille n'a ni limite ni tabou. Il me semble qu'au rythme où vont les choses, on aura bientôt des partouzes à tous les coins de rue, Julien, et il faut que nous ayant du personnel pour répondre à ces envies.
- Bon, dans ce cas, ça me convient, c'est même sans doute une bonne idée.
- Très bien, je vais lui annoncer la bonne nouvelle. Par contre Julien, pas sûr que tu ais grand-chose à apprendre à Linda...
- C'est clair ! Elle en sait bien plus que moi dans l'art de se servir de son derrière !
- Oh je n'irais pas jusque-là... répond Julia en s'éloignant et en se massant les fesses comme si elles étaient douloureuse. Non, je n'irais pas jusque-là, répète-t-elle avant de sortir du bureau.
Cette vision du postérieur de Julia provoque alors comme un choc électrique chez Julien. Une image, furtive et floue apparait brutalement dans sa tête pour disparaitre aussitôt.

Une femme, blonde, en train de se faire pénétrer le cul avec un poing... Etait-ce Julien dans cette image ? Et la femme, elle ressemblait à Julia... Mais était-ce le fruit de son imagination, de ses fantasmes plutôt ? Quel était cette étrange impression de souvenir ? Y avait-il un lien avec le comportement bizarre de Julia et son étrange appétit pour la dilatation anale ?
A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Épisode 11 - partie 2
Autant de questions laissées sans réponse car Julia refait alors son apparition dans le bureau. Julien, perturbé, est brutalement ramené à la réalité par une architecte euphorique :
- Quelle excellente matinée ! Tu ne trouves pas Julien ?
- Si si, les entretiens ont été très concluants.
- Deux résidentes magnifiques pour nous aider dans notre tâche, c'est inespéré ! Vraiment merci à toi Julien pour tout ce que tu fais pour moi et le quartier.

- Il n'y a vraiment pas de quoi, Julia. Tu as encore besoin de moi ? Dakota m'attend, donc...
- Non, ça devrait être bon... Ah si, pardon, j'ai une question à te poser.
- D'accord, je t'écoute, répond Julien en se rasseyant sur le canapé alors qu'il avait commencé de se lever.
Julia s'assoit à côté du français et lui tend un papier avec un schéma de l'anatomie d'un corps humain, féminin en l'occurrence.

- Tu as question sur l'anatomie féminine, Julia ?
- Oui, enfin plutôt une simple confirmation. Voilà : hier, je me rendais au salon de massage d'Asa et un résident m'a alors interpellé pour me demander un coup de main avec sa femme. Cet homme n'arrivait pas à trouver le clitoris chez son âme sœur alors que celle-ci semblait très insatisfaite.

- J'ai d'abord tenté de lui expliquer où cela se trouvait mais il ne semblait pas comprendre mes descriptions, poursuit Julia. Du coup, j'ai supposé qu'une démonstration sur place était plus simple. J'ai donc fait disparaitre mes vêtements...

... puis je me suis mise à l'écart des passants afin de me montrer prudente comme tu me las recommandé, et j'ai écarté mes jambes pour lui montrer.

- Et bien ! répond Julien, amusé par l'absence de filtre chez l'architecte, la démonstration a dû être concluante !
- Même pas ! répond Julia, le résident m'a dit que ça, c'était le vagin, qu'il n'était pas si bête !
- Oh le boulet....
- Oui ! Du coup, j'ai dû écarter mes lèvres pour lui montrer plus précisément.

- Ok... et du coup il était convaincu ?
- A peine... et moi il m'a mis le doute en plus ! C'est pour ça je voulais voir avec toi sur ce schéma si je ne me suis pas trompée. Donc, c'est bien là ? demande Julia en pointant du doigt une zone du dessin.

- Oui, c'est bien ici. Mais, Julia, je croyais que l'anatomie humaine n'avait pas de secret pour toi ?
- En effet, j'ai en mémoire tous les descriptifs biologiques référencés. Mais depuis que je te connais, j'ai appris que le corps humain était bien plus complexe que je ne le pensais, notamment du point de vue érogène. Jamais, il n'y a encore une semaine, je n'aurais jamais pensé qu'on pouvait enfoncer son poing dans un anus ou une énorme verge dans un gosier... Ce n'est pas conçu pour ça à la base.
- Je vois ce que tu veux dire. C'est sûr qu'en matière de sexe et de plaisir, il y a une grande différence entre ce qui est dessiné sur dans un livre et la réalité.
- Du coup, je suppose que tu ça ne te dérange pas si tu me montre, sur moi, où est mon clitoris ?
- Heu, non pas de souci... et puis, ce n'est pas comme si je ne t'avais jamais vu toute nue !
- C'est bien vrais !
Julia se relève alors et commence à se déshabiller en baissant sa mini-jupe. Elle aurait très bien pu faire simplement disparaitre ses habits mais Julien avait constaté qu'elle aimait souvent se déshabiller « normalement », comme une humaine, surtout quand elle était excitée.

Elle enlève donc ses vêtements un à un en faisant un joli show à Julien.

Puis, une fois presque nue (ne lui restait que ses bas), elle cache son sexe par fausse pudeur en disant qu'elle espérait ne pas s'être trompée devant ce résident.

Enfin, elle s'accroupit, écarte les jambes puis ses lèvres avec deux doigts.

Avec son autre main, il désigne son petit bouton et Julien lui confirme alors que c'est bien, en effet, le clitoris. Rassurée, Julia se redresse et commence à se rhabiller.
- Tu sais, Julia, tu n'es pas obligée de t'exposer ainsi dès qu'un résident à une question. Tes assistantes sont là pour ça, maintenant.
- Je sais mais j'avoue que cela me plait de m'exposer de la sorte. Je dirais même, si j'en crois l'allure de mes tétons et l'humidité de mon sexe, que cela m'excite !

- En tout cas, poursuit Julia en voyant Julien gêné par ces propos, je suis soulagée que ce résident m'ait juste demandé de lui montrer où était mon clitoris et pas comment m'en servir. J'aurais eu l'air bête... et un être tout puissant ne peut pas se le permettre !
- Attend... Tu ne sais pas à quoi sert le clitoris ??
- Bien sûr que si, je connais sa fonction biologique. C'est juste que je ne sais pas COMMENT m'en servir...
- Donc, tu ne t'es jamais caressée ? Tu ne t'es jamais donné un orgasme ?
- Non, déclara Julia en se souvenant pourtant très bien de ses caresses lors de la matinée rebootée, tandis que Julien lui « fistait » le cul. Mais la journée ayant été remise à zéro, elle ne l'avait théoriquement pas fait. Son raisonnement interne était alambiqué, mais cela lui permettait de ne pas vraiment mentir !
Julien continue :
- Avant ton arrivée, je ne savais même pas que mon corps, fabriqué à votre image, avait cette capacité au plaisir. Julien, il faut que tu comprennes : mon savoir sur vous est immense, mes pouvoirs sont presque infinis mais mon expérience avec ce corps qu'on m'a donné est presque nulle. Je suis enfermée dans une enveloppe dont je connais les capacités sans savoir les mettre en œuvre.
Julien voit alors dans cette déclaration surprenante mais en réalité assez logique (les seules expériences sexuelles que Julia avait connu avaient été avec Julien lui-même) l'occasion de faire de Julia une maîtresse pleine de potentiel et, surtout, une bonne raison de la pousser dans les bras de Asa !
- Julia, au même titre que je vais être amené à former tes assistantes, je peux te donner quelques trucs de base pour commencer à appréhender ton corps.
- Ce serait avec plaisir, Julien ! En réalité, je n'osais te le demander.
- Il n'y a aucun souci, c'est également avec plaisir. Et d'ailleurs, je te propose pour commencer que l'on s'intéresse à ton plaisir. La dernière fois que nous avons eu une expérience sexuelle ensemble, c'était pour une fellation, et donc mon propre plaisir. Je vais m'occuper de toi aujourd'hui, si tu en es d'accord.
- Évidemment ! J'ai hâte de découvrir cette sensation !!
Julien s'approche donc de Julia et, comme il l'aurait fait avec une femme inexpérimentée qu'il chercherait à rassurer, il lui enlève sa mini-jupe et l'invite à s'allonger sur le canapé. Il commence ensuite par caresser son sexe au travers du string qu'elle porte encore. Le tissu est en effet humide, confirmant l'excitation ressentie par Julia depuis le début de la matinée.
L'odeur intime de Julia est divine et Julien se dit que cette perfection, y compris dans les détails les plus privés, n'est sans doute pas un hasard. Enivré, Julien écarte le tissu noir et donne aussitôt des coups de langues gourmands sur le sexe trempé de l'architecte.

Julia, bien qu'ayant fait avec Julien plus de choses que celui-ci ne s'en souvient, est immédiatement conquise par ses coups de langues habiles. Le plaisir est d'autant plus intense que Julien est comme possédé et qu'il dévore son clitoris, ses lèvres et enfonce sa langue dans son sexe.

Julia se dit alors que ce nouveau résident est décidément plein de surprise car, déjà, ses coups de langues font monter en un plaisir auquel elle n'est pas encore habituée. Julien alterne les cercles sur ce clitoris si parfait et les introductions de langues dans le divin vagin. Et bientôt, l'architecte jouit bruyamment en plaquant la tête de Julien contre sa chatte tremblante.

Satisfait de lui, Julien se redresse et demande :
- Comment c'était ?
- C'est fabuleux les sensations qu'un si petit organe peut déclencher ! Merci beaucoup Julien !
- Mais de rien...
- A mon tour de te faire plaisir maintenant ! Tu veux une fellation ?
- C'est gentil mais ce n'est pas la peine, Julia. Je n'ai pas fait ça pour avoir une récompense...
- Je le sais Julien, tu es un être particulièrement altruiste ! Mais j'ai VRAIMENT envie de te sucer... Est-ce clair ?
Surpris par l'autoritarisme de Julia, le jeune homme décide de se laisser aller et s'assoit sur le fauteuil tandis que la déesse se met à genoux devant lui. Elle masse alors le sexe de Julien au travers de son pantalon et commente :
- Ta verge est extrêmement dure, traduisant une excitation importante, Julien.
- Je... je sais... répond Julien amusé par ce langage si robotique dont l'architecte n'arrive pas à se défaire.

- Pourquoi alors résister ? Le plaisir sexuel n'est-il pas devenu chose banale dans le quartier ?
- C'est vrais... Donc, dans ce cas, si je puis me permettre : « vas-y Julia, suce-moi ! ».
- Je préfère ça... répond Julia en ouvrant le pantalon de Julien et en sortant un sexe en effet gros et dur qu'elle commence immédiatement à branler.

- Quel organe impressionnant, je ne m'en lasse pas ! Peu de résidents atteignent cette taille, Julien.
- Tu as vu les sexes de tous les hommes du quartier ??
- Non ! Mais après avoir été impressionnée la première fois que je l'ai vu et que je l'ai eu dans ma bouche, j'ai consulté les dossiers biométriques du quartier. Tu es hors norme, mon cher !
- Je n'y suis pour rien, c'est une déformation de naissance ! plaisante alors Julien tandis que Julia commence à donner des coups de langue sur la « déformation ».

Mais Julia ne sourit pas un instant à sa blague, se contentant de sucer cette queue bandée. Julien décide donc de laisser tomber l'humour avec cet être tout puissant mais sans second degré et profite simplement de la fellation qui, comme il l'attendait, est divine.

Comme Julien peu de temps avant, Julia alterne habilement les coups de langue sur le gland ou sur les couilles, les longs et savoureux pompages accompagnés de ses mains expertes et les gorges profondes.

C'est d'ailleurs dans cette dernière discipline que Julia excelle le plus. Elle prend la totalité de l'énorme queue de Julien dans sa gorge, reste ainsi empalée de longues secondes et la ressort sans être essoufflée le moins du monde en pompant le gland lubrifié de salive.

La pipe est excellente et les regards de braise de Julia indiquent une grande excitation chez elle également. Julien, à force de dire non à toutes les sollicitations sexuelles pour ne pas attirer l'attention en est train, paradoxalement, d'être à contre-courant.
Puisque le sexe est devenu banal, que le plaisir de chacun est une des raisons d'être du quartier, Julien décide pour une fois de se lâcher et d'écouter ses envies. Il relève sans ménagement Julia et lui enlève son string (trempé) en disant « j'ai envie de plus ». Puis il baisse son pantalon pour être plus à l'aise et, en la saisissant par les hanches, vient empaler d'un coup Julia sur sa queue.

Celle-ci pousse un long gémissement de plaisir et déclare entre deux soupirs :
- C'est donc ça... l'effet d'un gros sexe en moi... c'est fabuleux !
- Et tu n'as rien vu, répond Julien qui, d'un coup, pénètre à toute vitesse l'architecte à grand coups de hanches, lui arrachant non plus des gémissements mais des cris de plaisir.

Le matraquage dure un long moment, pendant lequel Julia ne cesse de couiner, gémir, crier, ne sachant visiblement pas comment gérer autant de sensations d'un coup. Puis Julien s'arrête et se redresse en repoussant une Julia tremblante sur le canapé.
Il enlève son t-shirt et arrache le soutien-gorge de Julie en la plaçant à quatre pattes.
- J'aurais pu le faire disparaitre tu sais...
- Julia, tais-toi et profite, répond Julien d'un ton dominateur en pénétrant à nouveau la belle blonde par derrière.
Julia ne peut de toute façon finir sa phrase car, à nouveau, les coups de boutoir de Julien la font gémir bruyamment.

L'architecte semble avoir le plus grand mal à gérer le vague de plaisir qui la submerge et ne sait que faire de toutes les émotions et sensations qu'elle vit à cet instant. Elle sent le plaisir monter et descendre selon la cadence imposée par Julien, elle éprouve parfois un poil de douleur lorsque le jeune homme s'accroche à ses hanches pour lui donner la fessée tout en la pilonnant sans ménagement. Mais comment se fait-il alors que cette douleur lui fasse autant de bien ?? Le logiciel de l'architecte est totalement perdu, d'autant que Julien, amusé par les réactions déboussolées de la déesse, se donne au maximum !

Avec Julia ainsi le cul tendu et dans un état de jouissance permanent, Julien a en ligne de mire son petit trou, offert et si tentant. L'envie d'enculer sauvagement cette déesse est très forte mais Julien, dans un éclair de lucidité, se dit qu'il peut et doit se garder cette friandise pour plus tard, dans un cadre plus serein. Il décide donc de supprimer toute tentation et change de position.
Il allonge Julia sur le côté et se place derrière elle en cuillère. Dans cette position, l'amplitude de sa queue est moins forte et les mouvements se font plus doux. Instinctivement, les deux amants se prennent la main et le moment de bestialité se transforme alors en moment de complicité.

Cette position est d'une efficacité redoutable, Julien le sait. Tout en serrant la main de Julia et en lui caressant la cuisse, il lui offre un nouvel orgasme, plus profond et plus long que le précédent.

L'architecte se laisse totalement aller à la jouissance et s'avachit dans le canapé en tremblant. Julien, qui commençait lui-même à être limite, arrête ses va-et-vient et laisse Julia profiter. Après avoir repris son souffle, Julia rouvre les yeux et regarde Julien avec gratitude.
- Julien... grâce à toi je redécouvre mon corps ! Comme j'ai été stupide d'avoir écarté la sexualité de la construction de mon quartier. C'est... la chose la plus incroyable que je connaisse !
- Et encore, répond Julien toujours bien enfoncé en elle, tu ne fais que commencer.
- Je m'en doute et j'ai vraiment hâte de découvrir tout ce que la sexualité peut offrir en sensation et plaisir ! Mais pour le moment, c'est à ton tour d'en profiter. Debout !
Julien se redresse tandis que Julia s'agenouille à ses pieds.
- Initialement, je devais te faire une fellation pour te remercier et te soulager. Ta prise d'initiative a été aussi... surprenante que délicieuse. Mais je te propose qu'on en revienne au programme de base : je te masturbe pour te faire jouir et tu vas venir dans ma bouche. Cela te convient ?
- Absolument, répond Julien avec le sourire, amusé par ce caractère à la fois robotique, calculateur, non spontané mais d'une pureté et d'une innocence sans limite.
Julia s'applique donc à finir le travail comme elle l'avait commencé : elle suce et masturbe Julien avec une grande maîtrise et le fait rapidement craquer. Le jeune homme se répand dans la bouche de la belle blonde, mais également sur sa grosse poitrine.

Puis, comme à son habitude maintenant, Julia lèche la queue encore secouée de spasmes pour avaler les dernières gouttes de semences qui en sort et la rendre propre à son propriétaire.

Tout en avalant une petite gorgée de foutre chaud, Julia commente :
- C'est drôle... Je n'ai nul besoin de me nourrir ou de boire. Ce qui fait que depuis quelques jours, la seule chose que j'avale régulièrement, c'est ton sperme, Julien. Et je ne sais pas pourquoi, mais je crois que l'idée que je me nourrisse exclusivement de semence masculine me plait beaucoup !
- Rassure-toi, cela me plait beaucoup aussi !! répond Julien, soulagé de cette conclusion avec une matinée très excitante.
Julia se redresse et, en lui serrant la main, remercie à nouveau Julien pour cette démonstration si plaisante.

- Tu pourras passer demain pour aider Kaylin dans son premier jour ?
- Bien sûr, aucun souci !
- Et n'oublie pas de passer me voir également, il est fort probable que j'ai encore besoin d'un cours. J'ai tellement de chose à apprendre !
- Ce sera avec plaisir ! A demain Julia, bonne journée.
La matinée touche à sa fin lorsque Julien sort du bureau de Julia, heureux. Il vient de faire de cette déesse son élève sexuelle et sait qu'il pourra toujours compter sur la présence de Kaylin et Linda pour assouvir ses pulsions les plus coquines. Le tout avec la bénédiction du quartier, ou en tout cas de son architecte !
Il ne lui restait plus que deux missions : faire en sorte que Julia et Asa couchent ensemble, mais cela ne devrait pas être trop dur, et faire de son âme sœur Dakota une échangiste et une partouzeuse enthousiaste tout en faisant tout pour lui prouver son amour. Il allait donc sans doute devoir affronter encore des épreuves pour apprendre à se maîtriser. Mais vu l'évolution du quartier, il était confiant sur le fait que son comportement allait devenir rapidement la norme.
Sans mission, sans défi, sans travail commandé par Julia, Julien décide de profiter de ce temps libre pour se promener dans le quartier, sans but précis, curieux de voir comment se comportent les résidents du bon endroit. Il se dit, en effet, que cela fait longtemps qu'il ne s'est pas immergé au sein des résidents, passant son temps entre son âme sœur, ses maîtresses et les missions confiées par Julia.
En se promenant, partout autour de lui, il lui semble que les résidents qu'il croise ont l'air plus épanoui que jamais alors que lors de son arrivée, il trouvait ces gens artificiels, presque robotiques. Il note également de nombreux comportements « légers » voire coquins, comme cette femme regardant le paysage et dont le vent soulève la robe en exposant sa culotte et son magnifique cul, sans que cela ne semble l'embêter le moins du monde.

Plus loin, dans une rue ensoleillée, il croise une belle rousse qu'il a déjà rencontré une fois ou deux. Celle-ci porte un débardeur léger mettant en valeur une belle poitrine et Julien se fait alors la réflexion que, lors de leur première rencontre, il avait trouvé que cette paire de sein semblait « refaite ». En grand expert de bimbos siliconées, il en était même sûr ! Or les corps ici étaient 100% naturels, lui avait assuré ensuite Julia. Par curiosité et pour tester l'innocence des résidents, Julien interpelle donc à cette rousse :
- Bonjour... Olga. C'est ça ?
- Oui c'est bien ça. Et toi tu es Julien, le dernier arrivé ?
- Tout à fait ! Excuse-moi, j'aurais une question qui va te sembler bizarre : tu t'es fait refaire les seins sur Terre ?
- Heu oui... Pourquoi cette question ?
- Parce que Julia et Janet m'ont affirmé que les corps ici étaient 100% naturels. Et pourtant je vois des femmes qui ont l'air d'avoir des seins refais ou même tout simplement nos tatouages qui sont encore présent. Bref, je suis nouveau et j'ai plein de questions !
- Ah, je comprends ! Moi-même quand je suis arrivée, je me suis demandé dans quel état j'allais retrouver mes lolo ! En fait, mes seins ont gardé l'aspect qu'ils avaient lorsque je suis morte mais sont à présent tout à fait naturels, sans aucune présence d'implant.
- D'accord... et l'aspect n'a pas changé du tout ?
- Non, ils sont aussi beaux et fermes que dans ma vie précédente. Regarde !
La belle rousse soulève alors son débardeur et expose sans aucune pudeur ses seins devant Julien. Ceux-ci ont en effet une allure « refaite ».

Malgré sa surprise, Julien essaie de faire comme si cet acte était banal et faisait partie des interactions normales que les résidents pouvaient avoir entre eux.
- En effet, ils sont très beaux ! Et on jurerait qu'ils sont bourrés de silicone, excuse-moi l'expression !
- Ils l'étaient mais plus maintenant ! C'est la magie du Bon endroit !
- Et au touché ?
- 100% naturel, aucune différence avec des seins vraiment naturels, répond fièrement la rousse en touchant du bout des doigts ses seins.
Sentant une ouverture, Julien se lance :
- Ça m'intrigue... Je... je peux ?
- Oui bien sûr, pas de souci.
En essayant, à nouveau, de se comporter naturellement, Julien pose sa main sur le sein gauche de la résidente et le masse pour en tester la fermeté.

Puis il pousse sa chance et passe au sein droit en pelotant, massant et serrant le nibard en effet naturel.

- Alors ? demande la rousse en train de se faire tripoter la poitrine au milieu de la rue.
- En effet, c'est bluffant. Aucune sensation d'implant et pourtant ils en ont la forme.
Julien lâche enfin le sein de la résidente qui remet en place son débardeur.
- Merci Olga, ça répond à une de mes interrogations à propos de cet endroit si mystérieux !
- A ton service Julien, si tu as d'autres questions, n'hésite pas à aller voir Julia, elle est très disponible et toujours prête à rendre service !
- Oui, je m'en suis rendu compte ! répond Julien en essayant que le double sens de sa phrase ne soit pas trop évident. Bonne journée Olda.
-A toi aussi.
Julien s'en retourne ensuite à sa promenade dans le quartier et continue d'y découvrir des tenues très légères, des décolletés plongeant et toutes sortes de comportements quasi libertins.


Ayant traversé le quartier et pris un repas purement symbolique dans un petit café à la française (toutes les nationalité présentes au bon endroit peuvent avoir des lieux où ils retrouvent leur culture, leur habitudes, leur gastronomie) servi par une résidente à la poitrine énorme et magnifiquement mise en valeur par un petit haut blanc moulant, Julien décide de se rendre à la plage avec la ferme envie, cette fois, de se rincer purement et simplement l'œil !

A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Épisode 11 - partie 3
Cela faisait 3 jours qu'il ne s'était pas rendu sur la plage. C'était le jour où il avait fait la rencontre d'Ariana, et les corps commençaient alors à se dénuder sérieusement dans certaines zones de la plage. Mais en longeant la côte, Julien se rend très vite compte que ce temps est révolu. Quel que soit l'endroit de la plage, les nudistes se mêlaient aux résidents souhaitant rester habillés, ces derniers se faisant rares, même chez les résidents âgés. La plupart des hommes étaient nus, nombreux étaient ceux en érection, sans que cela ne gêne les femmes aux environs. Celles-ci étaient toutes sans exception seins nus et les résidentes entièrement nues étaient nettement plus nombreuses qu'il y a 3 jours.
Cependant, dans les parties très fréquentées de la plage, l'ambiance était bon enfant et pas spécialement libertine. Les gens se baignaient, s'adonnaient à des jeux de plage ou simplement bronzaient.
Cette première constatation faite, Julien décide de poursuivre son chemin. Déjà lorsqu'il était vivant, Julien n'aimait pas les plages bourrées de touristes, alors ne c'était pas pour s'imposer cela au paradis ! Il dépasse donc ce secteur fréquenté en saluant les résidents qu'il reconnait pour se rendre dans des parties plus sauvages de la côte, là où Dakota l'avait amené la première fois. Arrivé sur place, il s'aperçoit que les quelques personnes présentes sont toutes entièrement nues. Lui-même décide d'enlever son short de bain pour coller à l'ambiance et s'allonge sur le sable tout juste chaud comme il faut, sous un soleil radieux mais pas agressif. C'est le « bon endroit », après tout !
Autour de lui, plusieurs femmes assez jolies bronzent ou nagent entièrement nues. Mais son attention est attirée par une blonde, particulièrement belle, qui s'amuse dans l'eau.

Sa nudité et son comportement totalement libre, dénué de toute gêne, la rendent particulièrement excitante aux yeux de Julien. Comme si, pour cette femme, l'idée même de s'habiller était inconnue.
Après un moment à nager et à se rafraichir dans les vagues, la belle blonde, dont Julien ignore le nom commence, à se rapprocher de la plage...

... puis sort de l'eau en trottinant joyeusement sans prêter attention à Julien qui l'observe pourtant intensément.

Puis elle vient s'appuyer contre un rocher et se dorer au soleil tout en regardant à l'horizon comme si elle cherchait quelqu'un du regard.

Après quelques instants à attendre et visiblement impatiente, elle grimpe sur le rocher pour observer les alentours. N'ayant toujours pas remarqué Julien, quelque peu caché par des rochers, elle ne fait rien pour cacher son magnifique corps.

Enfin, à force de scruter l'horizon, elle finit enfin par voir Julien qui la regarde. Surprise, elle croise les bras sur ses seins et resserre les jambes.

- Bonjour Julien, tu m'as fait peur, je ne t'avais pas vu !
- Désolé de t'avoir surpris, je ne me cachais pourtant pas... répond Julien sans arriver à se souvenir du prénom de la belle blonde.
- Dis-moi... Dakota sait que tu viens sur la plage pour te rincer l'œil ?
La jeune femme était peut-être blonde mais, contrairement au stéréotype, était loin d'être idiote. Sa question malicieuse mettait Julien dans l'embarras mais, sentant que le quartier n'était plus l'endroit coincé qu'il avait connu en arrivant, il entra dans son jeu :
- Et bien en fait c'est même elle qui m'envoie ici. Elle me challenge un peu en ce moment. Je dois résister à la tentation de toutes ces magnifiques femmes et le soir, j'ai une récompense ! Tu vois le genre ?
- Oh, je vois très bien le genre ! Dakota est joueuse, alors... Je l'ignorais. Et bien, comme moi aussi je suis très joueuse, je vais ajouter un peu de difficulté à ton défi !
La belle blonde place alors ses mains sur ses hanches et s'expose fièrement sous les yeux de Julien.

- Tu aimes ce que tu vois ?
- Sans aucun doute...
- Tu penses pouvoir résister à la tentation ?
- Aucun souci !
- Alors on va augmenter la difficulté !
La jeune femme descend quelque peu de son rocher et se rapproche de Julien en exposant encore d'avantage son corps.

- Et maintenant ? C'est plus compliqué de résister, on dirait... commente la blonde en fixant intensément le gros sexe en érection de Julien.
Julien contemple ce corps de déesse qui est presque à portée de main. La tentation, en effet, est grande.
- En effet mais je pense pouvoir me maîtriser. Et toi, tu vas pouvoir ? répond Julien en mettant d'avantage en avant son sexe bandé.
La blonde se mort la lèvre inférieure en regardant le membre imposant. Puis elle lève soudain la tête et semble apercevoir quelqu'un au loin. Visiblement heureuse de cette apparition, elle descend de son rocher et, au passage, dit à Julien :
- Désolé Julien mais on ne le saura jamais ! Je dois te laisser. Mon amoureux est enfin arrivé !

- Ok, répond simplement Julien, passe une bonne journée !
- Oh elle va être bonne, répond la blonde en s'éloignant en direction d'une zone isolée au milieu des rochers, suivie de près par son âme sœur qui la rejoint.
Loin d'être naïf, Julien se doute bien de ce qui se trame derrière ces rochers. Discrètement, en ayant laissé quelques minutes d'avance au couple, Julien se dirige vers eux. Après une marche assez escarpée, il découvre une petite crique tranquille, tout à fait isolée du reste de la plage. Le couple est là, en train de s'embrasser et de fricoter. Sans s'approcher trop près pour ne pas se faire griller, Julien observe la blonde et son âme sœur dans une position qui semble être assez sage.

Mais cela n'était qu'une illusion : bien empalée sur la queue de son chéri, la blonde faisait sans doute une pause. Une fois celle-ci terminée, l'homme saisit à nouveau la blonde par les hanches pour la baiser, lui arrachant des gémissements de plaisirs puissants mais sans doute inaudibles depuis la plage.

Soudain, Julien entend du bruit à quelques mètres de lui. Par réflexe, il baisse la tête et reste caché dans les rochers plusieurs secondes, le temps que le bruit ne se calme. Sans doute des promeneurs dans les rochers, pense-t-il alors, espérant que cela n'ait pas dérangé le couple.
Mais alors qu'il relève la tête, il découvre que les promeneurs étaient en réalité deux hommes, et qu'ils avaient rejoint le couple. Loin d'être offusquée par cette apparition, la blonde est au contraire déjà à l'œuvre : elle branle et suce les bites que les deux hommes pointent en sa direction tandis que son mari continue de la baiser fermement.

Le quatuor, qui semble bien se connaître, change ensuite de position. La blonde grimpe sur la queue de l'un d'eux pendant que les deux autres, dont son mari décidément prêteur, se font sucer.

Le mari, manifestement habitué de ce genre de partie de baise à plusieurs, n'a visiblement pas l'intention de ménager sa femme. Il passe derrière elle et la sodomise avec un peu de salive comme unique lubrifiant alors qu'elle est toujours empalée sur une autre queue.

Rarement Julien avait vu une femme accepter une double pénétration avec autant de simplicité que cette blonde, qu'il n'imaginait pas aussi salope. La femme gémit de plaisir tandis que son mari lui pénètre le cul sans pour autant lâcher la queue qu'elle a dans la bouche.
Au bout d'un moment, les rôles et positions changent à nouveau. La blonde s'enfonce une autre bite dans le derrière pendant que les autres se masturbent au-dessus de son visage et de ses seins.

A nouveau, le mari décide « d'optimiser » sa femme en allant remplir sa chatte, disponible et offerte.

Pour Julien, la tentation est très forte et, sans s'en apercevoir, il s'est redressé afin de se masturber sans la contrainte peu confortable des rochers. Mais ce manque de discrétion attire l'attention de la blonde qui, tout en masturbant un de ses amants, lève la tête vers Julien et lui regarde avec des yeux qui semblent dire « vient ou dégage, mais ne reste pas là ! ».

Dans le doute, et ne voulant pas participer à un gangbang juste avant son rendez-vous avec Dakota, Julien salue de la tête la blonde et s'éloigne en disparaissant derrière les rochers.
Après une descente aussi compliquée que la montée, Julien rejoint la plage. Puis, en se retournant pour rentrer chez lui, il tombe (presque littéralement) sur Foxy, allongée dans le sable, jambes largement écartées et chatte visiblement trempée d'excitation.

- Le spectacle t'a plus là-haut ? demande-t-elle sans détour alors que Julien essaie de ne pas trébucher sur elle.
- Heu oui... enfin oui c'est clair. Mais, tu sais ce qui se passe là-bas ?
- Évidemment ! C'est, depuis peu, le coin des libertins. Angela (c'est le nom de la blonde, apparemment), vient là tous les jours et s'éclate avec son âme sœur et les hommes qu'il ramène. Des fois ils sont 2, des fois 4 ou 5...
- Et tout le monde sait ça ??
- Non, on essaie d'être discret. Tous les résidents ne sont pas forcément sur la même longueur d'onde !
- « On » ?
- Oui, comme tu vois, je ne suis pas en train de ramasser des bigorneaux... Lorsque je m'ennuie ou que personne ne m'a fait ma fête au magasin, je viens ici en espérant faire une belle rencontre. Et je crois que c'est mon jour de chance, ajoute-elle en effleurant de son pied le sexe encore fièrement dressé de Julien.
- Désolé de te décevoir mais je dois me rendre chez Dakota. Tu comprendras que ce serait malvenu si on... s'amusait juste avant Tu vois ?
- Dommage, mais je comprends.
- De toute façon je vois là-bas 3 hommes qui s'approchent, tu vas avoir fort à faire !
- Mouai... ils ne sont pas terribles, répond Foxy en tournant la tête en leur direction pour les regarder. De toute façon, je ne suis pas tellement portée sur le sexe à plusieurs, contrairement à Angela. Et je n'ai d'ailleurs que mon derrière à offrir.
- Ah mince, tu as tes... règles... sans doute ?
- Mais non, idiot ! Les femmes n'ont pas leurs règles au bon endroit ! On est au paradis, on n'allait pas nous imposer cette corvée ! C'est juste que je réserve mon sexe à mon âme sœur. Lui seul peut en profiter, c'est notre deal à nous. Mon petit trou, par contre, est en libre accès !
- Je vois...
- Alors du coup, les 3 vieux qui arrivent, ils vont devoir faire la queue derrière moi et ça va prendre des heures ! Au pire que les suce pour aller plus vite... mais j'avais envie de me faire sodomiser, moi...
- Heu, écoute, l'interrompt Julien, je vois que tu as de graves problèmes... Je vais te laisser si ça ne te dérange pas.
- Non, non... je vais me débrouiller ! Passe quand tu veux à la boutique, je serai ravie de t'aider à choisir des dessous affriolants pour Dakota. Ou pour quoi que ce soit d'autre, d'ailleurs.
- Je n'y manquerai pas !
Ultra excité par ces rencontres, Julien récupère son maillot et reprend le chemin de la plage plus « classique » et de sa maison, nous s'en avoir pris un bain de mer pour se rafraichir les idées. A la réflexion, il venait de s'imposer à lui-même un des pires défis qu'il avait dû affronter et avait réussi sans problème. Si elle avait été là, Dakota aurait sans doute été fière de son homme ! Et Julien se sentait d'ailleurs plus serein vis-à-vis des futurs challenges qu'elle allait lui imposer.
Julien décide de passer le reste de la journée à bouquiner des revues dont des numéros systématiquement ajustés à ses gouts et envies apparaissent dans sa bibliothèque. Il est presque 20h quand Julien décide qu'il est temps de se préparer pour le diner prévu avec Dakota. Mais, alors qu'il termine un chapitre, Dakota toque à la porte et entre chez Julien sans attendre sa réponse comme elle en a pris l'habitude depuis que leur relation d'âmes sœurs a pris un tournant plus sérieux.
- Bonsoir mon chéri, j'espère que je ne te dérange pas...
- Pas du tout Dakota mais je pensais qu'on devait se retrouver chez toi.
- Oui mais je tournais en rond dans mon salon et je n'en pouvais plus d'attendre ta réponse et d'imaginer toutes les conséquences que tel ou tel choix pourrait avoir... Bref, me voilà. Je suppose que tu as réfléchis...
- Oui, en effet !
- Alors ?
- Alors quoi ? Je voudrais que tu formules entièrement la question. C'est important pour moi aussi.
- Tu as raison. Bon, allons-y : es-tu d'accord avec le fait que, si je te permets d'avoir des relations avec d'autres femmes, j'ai de mon côté des relations avec d'autres hommes ? En gros, es-tu ok pour que nous soyons un couple « libéré » ?

- Avant de te répondre, j'ai également une question pour toi : si je dis oui au fait que tu vois d'autres hommes, acceptes-tu que je participe parfois, acceptes-tu de partager ces moments avec moi, comme cela a été le cas hier.
- Oui, bien sûr ! Je n'ai aucune envie d'aller voir d'autres hommes dans ton dos. J'ai envie de vivre ses expériences libertines, si on peut dire, avec toi. Et même si je sais que, de ton côté, ce ne sera pas forcément le cas.
- Je ne vais pas te mentir Dakota. Il est probable en effet que dans certains cas, cela se fasse sans toi. Mais ce ne sera jamais dans ton dos, jamais. Mais je te promets que, moi aussi, je souhaite partager ces moments libertins avec toi le plus possible.
- Alors... on est d'accord ?
- On est d'accord, ma chérie !
- Ouiii !! Je suis si heureuse ! Et si soulagée, je t'avoue ! J'avais peur qu'une réponse négative nous oblige à faire des choix qui ne nous auraient pas plus...

- Aucune chance... nous sommes âmes sœurs et nous sommes faits pour être ensemble, quoi qu'il advienne !
- C'est ce que je pense également au fond de moi : nous ne pouvions qu'être d'accord !
Dakota se penche alors sur Julien, toujours assis sur son canapé, en prenant une voix suave :
- D'ailleurs, j'avais anticipé ta réponse en te préparant une surprise...
- Une surprise ?
- Oui, mais il va falloir te montrer patient, mon timing n'est pas tout à fait au point !

Mais la patience n'a jamais été le fort de Julien, surtout excité comme il l'était par une après-midi de tentations terribles à la plage et l'assurance qu'il allait pouvoir enchainer les partouzes avec Dakota. La proximité immédiate de cette belle petite blonde, pour laquelle Julien éprouvait un amour réel et tous les jours plus fort, ce qui était assez inédit pour lui, le fait alors craquer.
Il attrape le sweet de Dakota et lui ouvre brutalement, découvrant sa petite poitrine nue en dessous, sans rien pour la masquer.

- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je te déshabille, ça n'est pas évident ? J'ai envie de toi, Dakota !
Julien commence alors à malaxer les seins de la belle blonde et joue avec des tétons qui, déjà, durcissent.

- Moi aussi, j'ai envie de toi ! Mais... tu ne veux pas attendre ta surprise ?
- Elle attendra, ma surprise ! Et en attendant, j'en ai une pour toi de surprise, dans mon pantalon... Une surprise qui grossit et qui ne peut plus attendre !
- Ah ? s'étonne Dakota, amusée, en déboutonnant le pantalon de Julien.
Puis, en sortant la queue bandée de son âme soeur, Dakota reprend :
- Oohh, je t'ai connu plus poète mais rarement aussi gros !

- C'est parce que j'ai rarement été aussi excité !
- Et moi donc !! Bon, je veux bien trouver un moyen de te faire patienter, déclare Dakota en embrassant tendrement le sexe de Julien.

Puis elle embrasse le gland de Julien et commence à le sucer doucement, en profitant de cette queue qui, manifestement, est tout à fait à son gout.

Soudain, Janet apparait au milieu du salon de Julien en commençant à dire :
- Comme convenu, me voici....
Mais elle s'interrompt tandis qu'elle aperçoit le couple dans le canapé. Elle s'approche alors d'eux, manifestement contrariée :
- Dakota, tu as commencé sans moi ? Tu avais promis de m'attendre...

- Janet, je te prie de m'excuser, c'était juste pour patienter...
- Je perçois comme un manque d'honnêteté dans cette phrase, Dakota.
- Les filles, calmez-vous, déclare lors Julien avec les mains tendues. Janet, c'est de ma faute, n'en veut pas à Dakota. J'ignorais que TU étais la surprise.

Janet regarde alors Julien et semble se calmer immédiatement, devant cette tentative d'excuse de la part de son maître. Elle se penche alors sur le canapé et attrape le sexe que lâche Dakota en guise de signe de paix.
- Il est vrais qu'il est difficile de résister à un pareil engin...
- C'est clair, commente Dakota en regardant le sexe de Julien se faire branler par une autre femme.

Janet tourne alors la tête vers Dakota et lui demande :
- Donc, tu es sûr ? Je peux sucer ton mari sans que cela ne te pose problème ?
- Je suis sûr. Nous venons d'en parler et, puisque ce sera réciproque, nous sommes d'accord.

Satisfaite, Janet se tourne à nouveau vers Julien et commence à embrasser et donner des coups de langue sur sa queue tendue.
- Réciproque, hein ? dit-elle à Julien entre sur léchouilles de sa bite. Cela veut dire que tu vas laisser Dakota avoir des relations avec d'autres hommes ?
- Exactement !
- Et bien, c'est la mode en ce moment dans le quartier ! finit-elle de commenter en retournant sucer Julien.

Tandis que Janet le suce à présent de manière plus sérieuse, Julien dit à Dakota :
- Donc, ma chérie, ma surprise c'était un plan à 3 avec Janet ?
- Oui ! Tu t'attendais à autre chose ? Je sais que vous avez déjà eu des relations mais ça me semblait justement idéal pour commencer.
- C'est parfait, Dakota. Nous avons tous les deux couchés avec Janet chacun de notre côté et maintenant nous le faisons ensemble. C'est, en effet, idéal pour commencer.

Janet relève alors la tête et déclare :
- Assez parlé, les tourtereaux ! Dakota, nous avons un homme à satisfaire et je suis certaine que Julien a un usage pour ta bouche tout autre que celui de discuter ! Au travail !
Puis, tout en masturbant Julien d'une main, elle prend la tête de Dakota par l'autre et l'incite sans ménagement à le sucer. La belle blonde, qui n'avait de toute façon pas l'intention de rester inactive, obéit sans rechigner.

Mais Janet ne semble pas se satisfaire de cette pipe timide, bien que très agréable au gout de Julien. Elle appuie davantage sur la tête de Dakota et l'oblige à avaler plus profondément l'imposant membre. D'humeur dominatrice, Janet a saisi les cheveux de Dakota et lui impose un mouvement ample et rapide, l'empalant presque jusqu'à la garde sur la queue de Julien.

- La fellation de Dakota te satisfait Julien ?
- Oui, c'est divin !
- Parfait... Je suis là pour ton bonheur, donc si tu as la moindre exigence, n'hésite pas. Et je suis sûre que ton âme sœur est également d'accord pour être bien docile ce soir, ajoute-t-elle en faisant monter et descendre la tête de Dakota sans considération pour son gosier.

Avec un tempérament dominateur que Julien ne lui connaissait pas, Janet impose à Dakota cette gorge profonde durant de longues secondes. La belle blonde ne se plaint pas spécialement et à déjà montrer son aisance à avaler le sexe de Julien. Mais le rythme imposé par Janet est intense et Dakota finit tout de même par demander une pause.
Janet la laisse reprendre son souffle mais en profite pour lui enlever son haut ouvert sur la poitrine nue ainsi que pour baisser son pantalon.
- On va passer aux choses sérieuses, commente-elle en fixant Julien qui se branle en observant les filles.

Puis Janet s'arrête sur le joli cul de Dakota en le caressant et le massant. Elle palpe les belles petites fesses et fait glisser sa main entre les cuisses de Dakota. Malgré une nette humidité au niveau de l'entre-jambe, Janet semble plutôt obsédée par l'anus de Dakota qu'elle titille au travers de la culotte.
- Quel postérieur appétissant... Je comprends que tu veuilles autant défoncer le petit trou de Dakota, Julien !
- Ta réputation te précède, mon chéri ! commente Dakota, étonnée que l'obsession de Julien pour la sodomie soit connue de Janet.

Un poil embarrassé, Julien préfère ne pas répondre et se contente de sourire à son âme sœur. Celle-ci n'a de toute façon pas le temps d'insister puisque Janet lui retire enfin son jean et lui écarte les jambes face à Julien en glissant sa main dans sa culotte.
Et, alors que Julien commençait à trouver que les provocations de Janet, son esclave, le mettaient en difficultés, la brune corrige le tir :
- Ce n'est pas une question de réputation, Dakota... Ton derrière est divin et n'importe quel homme voudrait y pénétrer. Et, si je puis me permettre, n'importe quelle femme aurait également envie de se faire sodomiser par un homme comme Julien.
Puis elle ajoute, toujours en caressant Dakota :
- En tout cas moi, je laisserai Julien me sodomiser aussi souvent qu'il le souhaitera !
Dakota prend alors une mise à la fois choquée, jalouse mais aussi curieuse vis-à-vis de cette pratique qu'elle refuse mais dont elle entend dire tant de bien !

Janet ne laisse cependant pas le temps à Dakota d'exprimer un éventuel avis sur l'envie qu'elle vient d'avouer. Elle lui prend la tête et la fourre entre ses deux gros seins. La belle brune fait un clin d'œil à Julien en signe de complicité et continue de se faire téter les seins tout en se caressant.

Apparemment très excitée et impatiente qu'on s'occupe un peu d'elle, Janet allonge Dakota sur le dos et passe sa jambe au-dessus d'elle en remontant sa mini-jupe. Julien découvre avec une chatte totalement nue, sans sous-vêtement pour la cacher, mais il ne sait alors pas si Janet ne porte, à présent, plus de culotte au quotidien ou si elle l'a juste fait disparaître pour cette soirée.
Toujours est-il que Janet s'assoit sur le visage de Dakota qui, sans hésiter, comprend la demande et lèche la chatte de la belle brune. Rapidement, la blonde ajoute au cunilingus un peu de plaisir pour elle-même : elle écarte sa culotte sur le côté et commence à se masturber.

Julien, qui se masturbe toujours en observant cette scène délicieuse, s'étonne d'abord de l'aisance de son âme sœur à brouter un minou. Mais il se souvient que la belle blonde n'en est pas à sa première fois avec une femme, entre ses journées coquines avec Arianna et son aventure extra-conjugale avec Janet il y a quelques jours. Que de changements dans le quartier depuis son arrivée, réfléchit Julien...
Janet, qui semble prendre un grand plaisir grâce aux coups de langue de Dakota, jette un regard au sexe de Julien, toujours aussi gros et dur mais seul depuis trop longtemps au gout de cette esclave bien dressée. Elle déclare :
- Dakota, c'est délicieux, mais il est temps que tu t'occupes de Julien ! Grimpe sur son sexe et plus vite que ça !

Dakota s'exécute sans réfléchir. Elle retire sans culotte en léchouillant encore un peu le clito de Janet puis se redresse et s'empale dans un long gémissement de plaisir sur la queue de Julien. Derrière, Janet s'amuse à titiller les tétons de Dakota, ajoutant encore du plaisir à la belle blonde qui n'en demandait pas tant !

- Mmhh Julien... j'adore ta queue... mais avec Janet qui joue avec moi... c'est encore mieux !! Aahhhh...
- C'était le but de notre accord, ma chérie ! Plus de plaisir !
- Et encore, ce n'est pas finit, surenchérit Janet en glissant sa main entre les jambes de Dakota pour la caresser.
- Oh mon dieu, cette sensation... c'est divin ! gémit Dakota tandis qu'elle se fait masturber par Janet, ses gros seins sous son nez.

- Dakota, lèche les tétons de Janet, elle ne demande que ça !
- Oui... oui, donne-moi tes seins Janet... Ils sont si énormes... mmhh...
Dakota semble être dans un état second, stimulée de toute part. Le sexe de Julien la pénètre sans ménagement pendant qu'elle mordille le téton de Janet et se fait titiller le clito par celle-ci. Le plaisir vient de tellement d'endroits qu'elle n'arrive pas à le gérer ! Janet, au contraire, semble toujours autant maitriser la situation et regarde intensément Julien.
- Merci, maître, de penser à mon plaisir. Cela me touche.
- De rien, esclave, répond Julien sans se rendre compte du vocabulaire employé tant il est, lui aussi, excité.

- Rhaaa, j'ai envie de ton sexe, maitre ! déclare soudain Janet en poussant Dakota pour qu'elle se relève et libère Julien.
Puis elle ajoute, comme pour expliquer sa relative brutalité :
- Et j'ai aussi envie de savourer ta cyprine, Dakota...
Janet lèche alors la grosse queue de Julien qui luit de mouille. Elle pompe le gland et mordille le membre avec délice. Juste à côté, Dakota observe la scène, presque étonnée :
- Mon dieu Julien... une autre femme que moi est en train de te sucer et... j'adore ça. J'adore voir Janet se délecter de ta bite. Jamais je n'aurais imaginé cela avant !
- C'est génial, je suis d'accord ! répond Julien.

Mais Janet coupe alors le couple dans ses considérations :
- Arrête de philosopher Dakota et suce ton homme !! Un étalon comme ça, ça se mérite ! ajoute-elle en prenant Dakota par la tête pour lui enfoncer la queue de Julien dans le gosier.

Puis, voyant que Dakota était capable de sucer convenablement son âme sœur, Janet la laisse faire et plonge sa tête entre les cuisses de Julien pour lui gober les couilles.
- Mmhh... délicieux... enduites de mouille... qu'elle odeur envoutante...j'adore....
- Je croyais que rien ne sentait fort ici ? s'interroge Julien.
- Les mauvaises odeurs uniquement sont abolies ! Tout sent bon ici, et tout a bon gout ! La cyprine de Dakota sur tes testicules, ta sueur entre tes cuisses, notre salive dont nous te recouvrons, ton sperme, tout... Tout est délicieux ici !

- Je suis presque déçu, répond Julien avec une fausse grimace, moi qui croyait que mon sperme était spéciale !
- Il l'est, mon chéri ! répond Dakota en libérant la queue de Julien pour laisser Janet la sucer un peu. Ton sperme est si délicieux qu'il avait forcément bon gout avant, de ton vivant. Et je ne me lasserai jamais de m'en nourrir, mon amour !
- Continuez comme ça et vous n'allez pas tarder à pouvoir vous régaler, les filles !

- Eh ! Une minute les tourtereaux ! Intervient alors Janet. Déjà que vous avez commencé sans moi, vous n'allez pas finir sans que Julien ne me pénètre, tout de même !
Janet se redresse alors et s'empale sur la queue de Julien, parfaitement lubrifiée. Juste à côté, Dakota observe le sexe de son mari entrer et sortir de la chatte d'une autre femme.
- Oh la vache ! commente-elle, la bouche grande ouverte.
- Ça va Dakota ? s'inquiète Julien alors que lui-même prend un pied d'enfer !
- Oui ça va mon chéri... C'est juste que te voir baiser Janet... ça... m'excite ! Ça m'excite terriblement, même !

Dakota résiste encore quelque secondes pendant lesquelles elle laisse Janet se faire du bien sur la queue de son chéri. Puis, folle d'excitation, elle craque ! Elle sort la queue de Julien du sexe dégoulinant de Janet et le suce comme une affamée.
- Janet avait raison, comment la jeune blonde : sa mouille sur ton sexe, c'est divin !
- Et tu ne pourras bientôt plus t'en passer ! Tu vas devenir une nymphomane comme moi ! répond Janet en souriant et en regardant Julien avec une langue tirée de complicité.
Durant les minutes qui suivent, la complicité du trio est parfaite et jouissive. Dakota alterne entre l'observation envieuse de la pénétration sous son nez, des pipes goulues aidées par une Janet toujours aussi perverses...

... et des coups de langue habiles directement sur la chatte de la belle brune. Ces instants entre Janet et Dakota laissent l'occasion à Julien de se reposer un peu car, mine de rien, sa queue est sollicitée en continu depuis une bonne demi-heure. C'est un garçon endurant mais ces pauses sont tout de même les bienvenues ! Il en profite malgré tout pour tester un peu l'ouverture d'esprit de Dakota en lui donnant des coups de sexe sur le visage pendant que celle-ci s'occupe de Janet. Et plutôt que de se plaindre d'un geste potentiellement dégradant, la prude américaine sourit et fait semblant de mordre le membre bandé.

Julien, habitué à laisser les filles décider du rythme des hostilités jusqu'à présent, décide de faire valoir ses droits ! Il demande à Janet de changer de position pour la prendre dans l'autre sens, avec son gros cul tendu vers lui.
Celle-ci obéit évidemment sans hésiter et présente donc son postérieur et s'empale maladroitement sur le membre de Julien. Dakota, juste à côté, observe et aide un peu à la manœuvre, sans quitter des yeux les fesses de Janet.

Enfin la queue entre et Janet monte et descend avec de grands gémissements de plaisir sur la queue. Julien, qui constate que Dakota a toujours les yeux rivés sur le cul de la brune intervient :
- Dakota ? C'est mon sexe que tu regardes ou le petit trou de Janet ?
- Heu... un peu des deux...
- Ah, tu le vois mal peut-être ? Janet, écarte tes fesses pour bien montrer ton anus à Dakota.
- Bien, maître ! répond Janet en s'exécutant.
Puis Julien prend la tête de Dakota dans une de ses mains et continue :
- Voilà, tu le vois mieux là ? Il est beau, n'est-ce pas ? Et il a l'air accueillant, tu ne trouves pas ?
- Certes... Tu... tu as envie d'y rentrer ?
- Je crois surtout que c'est toi qui a envie de me voir enculer Janet.
- Je... je ne sais pas... peut-être...
- Alors dis-le !
- Julien... Je veux que tu sodomises Janet, j'ai envie de voir ce que ça fait !
- Dis-le mieux que ça. Tu sais bien que les vulgarités sont autorisées sous ce toit !
- Encule-la ! Encore cette salope de Janet, cette nympho. Déchire-lui son petit cul !
- Avec joie ! Janet, tu es prête ?
- Pour toi, toujours, Julien !

Julien sort donc sa queue de la chatte de Janet pour l'enfoncer directement dans son cul. La pénétration se fait sans aucune difficulté ni résistance. L'anus de Janet, à la souplesse hors norme, avale le gros chibre de Julien pendant que Dakota, impressionnée, embrasse les fesses de Janet et donne des coups de langues sur la bite de Julien.

Dakota, en parfaite âme sœur, laisse son chéri profiter longuement de la sodomie qu'elle lui a « offert » puis craque et décide de récupérer sa queue pour la sucer.
- Je... je voulais vérifier ce que disait Janet sur le gout des choses ici...
- Et alors ? demande, curieux, Julien.
- Délicieux... Je ne sais pas pourquoi mais ton sexe tout juste sorti du derrière de Janet est juste délicieux !

- Je te l'avais dit ! intervient Janet. Rien n'est mauvais ici ! Tu veux essayer la sodomie, Dakota ?
- Ouh là ! Heu... je ne sais pas... je n'ai pas ta souplesse, Janet.
- Allez, commençons doucement... Mets-toi à quatre pattes sur le canapé ? Julien va te prendre par derrière, et je m'occupe du reste !
Le trio change donc de position et Julien se met donc à baiser son âme sœur par derrière pendant que Janet écarte généreusement les fesses de Dakota, ouvrant ainsi la voie de son anus.
- Tu as envie d'y rentrer, hein, Julien ?
- Terriblement, oui !
- Et toi Dakota, tu es prête ?

- Oohh je... je ne sais pas... C'est tellement bon là... Julien... continue s'il te plait, je sens que je vais venir... Je te promets que tu pourras avoir mon cul une autre fois !
- Dakota.... Tu me tortures !!
- Je sais mon chéri... mais c'est juste trop bon... ta queue en moi... je n'ai pas envie que tu sortes !! Continue de me baiser, tape plus fort !!
Janet, la mine déçue monte alors sur le dossier du canapé tout en se caressant. Dakota, gémissante de plaisir et amatrice de gros seins lui saute immédiatement au téton pour le lécher.

Mais Janet semble vraiment contrariée par le refus de Dakota d'offrir son petit cul à Julien, celui-ci ayant également l'air déçu. Elle regarde droit dans les yeux Dakota et lui dit d'un ton ferme :
- Dakota... tu promets d'accéder à l'envie de Julien très rapidement ?
- Oui... je le promets... Oohhh
- Bien... tu sais que son bonheur et son plaisir sont une priorité pour moi, n'est-ce-pas ?
- Oui... je le sais... Aahh !! Pour moi aussi.
- Bien, je compte sur toi ma chérie ! Et en attendant, je suppose que tu ne verras pas d'inconvénient à ce que Julien me sodomise aussi souvent qu'il le désire ?
- Aucun.... problème ! Aahhh !

- Parfait, alors maintenant jouis et fais-moi jouir, tout de suite !
Dakota obéit donc à Janet et commence à lui lécher goulûment la chatte pendant que Julien accélère la cadence derrière. L'excitation faisant, l'orgasme monte rapidement chez Dakota. Janet, chauffée par les gémissements allant crescendo de la belle blonde et par ses coups de langues de plus en plus rapides, sent également l'orgasme monter en elle.
Les deux maîtresses de Julien jouissent bientôt ensemble dans un ultime coup de boutoir de ce dernier.

Julien est également au bord de l'explosion. Mais hors de question de gâcher ce premier plan à trois par une banale éjaculation interne dans la chatte de Dakota. Il a l'éternité pour ce classique ! Il décide donc de lever le pied et de laisser les filles profiter de leur jouissance.
Mais Janet, en bonne esclave, se redresse du canapé et, prenant Dakota par la main, déclare :
- Vient ma chérie, allons maintenant offrir à Julien le final qu'il mérite !
Des deux femmes, qui commencent à bien connaître les goûts de Julien s'agenouillent devant lui et le sucent ensemble pour le finir. D'un naturel généreux, les filles s'échangent régulièrement la bite et les couilles de Julien qu'elles lèchent sans jamais quitter le jeune homme des yeux.

Toutes ces stimulations achèvent Julien qui annoncent qu'il va craquer. Dakota arrête alors de la sucer et le branle vigoureusement au-dessus de son visage ainsi que celui de Janet.

C'est finalement Julien qui reprend, littéralement, la main pour contrôler son éjaculation et, surtout, s'assurer de bien répartir son foutre abondant sur les deux visages offerts à lui.

Le soulagement de Julien est immense : l'orgasme est divin et il conclut surtout la première expérience trioliste d'une longue liste, il l'espère. Julien est d'autant plus satisfait que la formation qu'il a donné à Janet, son esclave, va au-delà de ses attentes : la belle brune, de sa propre initiative, se met à lécher le visage de Dakota enduit de sperme pour en avaler...

... ou pour en partager avec Dakota qui, a grand coup de roulage de pelle, accepte avec plaisir l'offrande.

Nettoyées et calmées, les deux filles cessent alors leurs embrassades pour revenir vers Julien qui observait, amusé, le spectacle.
- Alors Julien, heureux ? demande Janet, visiblement fière d'elle.
- Oui, très. Plus que je ne l'ai jamais été. Et toi Dakota ?
- Pareil. Plus rien ne sera jamais comme avant. Nous allons à présent réellement profiter du bon endroit !

Julien, en sueur et vidé, laisse les filles un instant à leurs embrassades qui continuent et se rend dans la cuisine pour se désaltérer, puis à la salle de bain pour se rafraichir. Lorsqu'il retourne dans le salon, il s'aperçoit que les filles n'y sont plus.
Il se dirige alors vers la chambre et constate que Dakota est allongé et quasiment déjà endormie avec Janet lovée contre elle. Le simple fait de voir deux femmes nues dormir paisiblement dans son lit suffit à Julien pour se convaincre, s'il en était encore besoin, qu'il est bien au paradis !
Mais Janet, l'Être omniscient du quartier au service de ses résidents, ne dort jamais et ne connaît pas le sommeil. Elle dépose un baiser sur la joue de Dakota et se relève en saluant à voix basse Julien.
- Bonsoir, maître, à bientôt !
- A bientôt, esclave, à très bientôt !

A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Épisode 12
Résumé des épisodes précédents:
Julien est mort mais a eu la chance de se retrouver au « bon endroit », là où les humains ayant eu une vie parfaite, remplie de bonnes actions, vont passer le reste de l'éternité. A son « réveil », il a été accueilli par Julia, l'architecte de ce quartier du « bon endroit » et dont elle lui explique le fonctionnement.

Il fait ensuite la connaissance de Dakota, son âme sœur choisie par Julia pour une parfaite compatibilité avec lui...

Il rencontre également Janet, un être omniscient et omniprésent dans le quartier, en charge de fournir tout ce qui peut rendre heureux les résidents et de répondre à leur moindre question.

Il fait aussi la connaissance d'Anissa, sa charmante voisine au tempérament exubérant et dont les soirées mondaines rythment la vie du quartier.

Il rencontre encore d'autres résidents dont Asa, l'assistance de Julia, chargée de l'aider dans la gestion RH du quartier. Asa se trouve être la plus ancienne des résidentes, la première arrivée dans ce quartier, il y a plusieurs siècles.

Tout pourrait aller parfaitement dans ce paradis. Sauf que Julien n'a rien à y faire et il le sait. Sa vie terrestre a été pleine d'abus en tous genres. Surtout, Julien a toujours été un obsédé sexuel, un pervers dominateur, consommant les femmes sans les respecter.
Ignorant totalement comment il est arrivé ici, Julien tente de passer inaperçu au sein des résidents tous plus parfaits les uns que les autres tout en cherchant à profiter de leur innocence pour assouvir ses pulsions sexuelles. Après avoir commencé à corrompre Janet et à séduire Anissa...

...il déclenche malgré lui un phénomène anormal dans le quartier en espionnant un soir sa belle voisine. Julia, affolée par cet incident dont elle ignore la cause, demande son aide à Julien. C'est alors l'occasion pour le jeune homme de modifier progressivement le quartier et ses résidents pour qu'ils se comportent tous de manière de plus en plus libérée sur le plan sexuel.
Il commence par convaincre Julia, l'architecte, de la nécessité de rendre le quartier plus libertin, à commencer par elle-même, en avançant que la frustration sexuelle des résidents pourrait être à l'origine du disfonctionnement.

Puis il fait en sorte que la polygamie deviennent une norme, et non un tabou, dans le quartier afin de rendre acceptable sa relation extra-conjugale avec Anissa.

Il fait, par ailleurs, découvrir à Janet l'incroyable plaisir procuré par un orgasme. Programmée pour satisfaire à tous les désirs des résidents mais considérée comme un robot dénuée de sentiments par la plupart d'entre eux, Janet est attirée par la façon « humaine » avec laquelle Julien la traite et devient progressivement accro au plaisir que Julien lui fait découvrir. Celui-ci fini même par en faire son esclave personnelle.

Et tandis que sa relation avec Dakota évolue d'un point de vue sentimentale mais reste platonique, cette dernière étant assez prude, Julien commence la formation sexuelle de Julia pour que l'architecte devienne également la principale source de tentations charnelle du quartier.

Il entraine également Asa dans son plan pour rendre libertins les résidents du quartier. Avec le soutien de Julia, Julien utilise les capacités d'Asa pour faire ouvrir dans le quartier un salon de massage...

... ou encore un magasin de lingerie, toujours dans l'optique de faire en sorte que la luxure se répande dans le quartier.

Mais Julien pousse sa chance trop loin et Asa, toute première résidente du quartier ayant elle-même un passé trouble, le perce à jour. Elle le confronte, lui avoue ne pas avoir non plus sa place dans le quartier et lui propose un marché : elle ne dira rien au sujet de Julien si celui-ci parvient à convaincre Julia de coucher avec Asa. Celle-ci lui conseille en outre de se faire discret et de se confier à son âme sœur, Dakota.
Après une nuit torride durant laquelle Dakota et Julien se déclarent mutuellement leur flamme, le jeune homme, conscient de la précarité de sa situation et de son addiction au sexe, avoue tout à son âme sœur.

Celle-ci décide alors de l'aider en cherchant d'abord à le sevrer, avec l'aide de Janet.

Puis, constatant le changement de comportement global parmi les résidents, ceux-ci devenant de plus en plus exhibitionnistes et libertins...

... Dakota décide de changer de méthode. Plutôt que de sevrer Julien, ce qui n'a pas de sens dans un quartier où l'ambiance est de plus en plus torride, elle utilise le renforcement positif pour lui apprendre à se contrôler. Si Julien réussit le défi du jour imposé par Dakota, par exemple résister à la tentation de voir Dakota et Ariana batifoler ensemble...

...celui-ci aura droit à une récompense (sexuelle) le soir venu !

Mais malgré les conseils de prudence de la part d'Asa, l'amour sincère qu'il ressent pour Dakota et les efforts fournis pour suivre le « traitement » proposé par son âme sœur, Julien ne peut s'empêcher de faire d'Anissa une maîtresse amatrice de sexe intense...

... tout en devant continuer de donner à son esclave Janet ses doses d'orgasmes et de sexe.

Ces écarts provoquent cependant un nouvel incident dans le quartier qui interpelle Julia. Julien réussi à la convaincre que le plan doit continuer et même s'intensifier pour que le sexe et la luxure ne soit plus vus par le quartier comme des défauts à corriger mais bien comme des sources de bonheur indispensables aux résidents.
Après une séance de sexe très intense pendant laquelle Julia demande à Julien de lui faire tout ce qu'il a de plus pervers en tête...

... celle-ci reboot le quartier pour effacer de la mémoire des résidents l'incident du jour.
Julien, ne gardant aucun souvenir de ce qui venait de se passer est tout de même informé par Julia de ce nouvel incident. Il se décide alors à résister plus sérieusement à la tentation et délaisse Anissa, sa voisine toujours aussi demandeuse de sexe et Janet, son esclave.
Parallèlement, les formations réalisées auprès de Julia et de Asa commencent à porter leurs fruits, ces deux dernières offrant régulièrement des services sexuels aux résidents.

Mais ces nouvelles missions prennent du temps à Asa. Julia et Julien se mettent alors en quêtent de nouvelles assistantes parmi les résidentes, auxquelles ils demanderont des compétences adaptées aux nouveaux besoins du quartier...


Cette réorganisation du quartier semblant satisfaire pleinement Julia, celle-ci récompense alors Julien à sa manière.

Mais Julien, à force de repousser les avances d'Anissa et de Janet, ainsi que d'autres résidentes du quartier, commence, paradoxalement, à attirer l'attention sur lui.
Il parvient à faire accepter à Dakota l'idée d'être en couple libéré. Celle-ci accepte en souhaitant être la première à l'expérimenter avec un autre résident et sous le regard de Julien.

Puis le couple réalise sa première partie à trois avec Janet, permettant en outre à Julien de faire accepter la présence de son esclave auprès de Dakota.

Pour Julien, la voie est à présent ouverte pour reprendre sa relation avec Anissa et éventuellement d'autres résidentes. Mais il devra, pour cela, accepter de voir Dakota fréquenter d'autres hommes. Et il n'oublie pas non plus la promesse faite à Asa : faire en sorte que Julia devienne sa maîtresse.
Et maintenant...
Les jours suivants ce premier plan à trois « officiel » s'annoncaient très chargés pour Julien ainsi que pour Dakota, dans une certaine mesure. Pourtant, cela commença pourtant par un réveil classique : deux âmes sœurs entrelacées dans un même lit qui décident de passer la journée ensemble afin de se retrouver enfin à deux après plusieurs jours de folie.
A peine réveillé, Julien est le premier à réclamer un tendre câlin, à se blottir contre son âme sœur, à l'embrasser amoureusement. Mais c'est bien ensuite Dakota qui, la première, transforme ce câlin en séance de sexe torride.
Elle commence par retirer le drap qui couvrait encore le corps de Julien pour attraper, sans une once de retenue, son sexe fièrement bandé grâce aux caresses et baisers que les deux amoureux venaient d'échanger. Après l'avoir branlé doucement, Dakota embrasse le gland de Julien et commence à le sucer.

Puis elle lui grimpe dessus et s'empale d'un coup sur sa grosse queue, grâce à un mouvement habile de hanches et à une chatte déjà particulièrement ouverte et humide.

Julien et Dakota savourent cette tendre et lente pénétration, prennent leur temps pour accompagner ce plaisir de toutes formes de caresses. Julien lèche les petits seins de son âme sœur tandis que celle-ci lui masse les testicules.
Mais Julien n'est pas considéré unanimement comme un pervers pour rien. Obsédé par le cul de Dakota qu'il souhaite ardemment déflorer, il aventure un doigt vers son anus et y entre doucement pendant que Dakota, gémissante, joue avec le sexe du jeune homme.

Puis le couple enchaine les positions, toutes plus amoureuses les unes que les autres : en cuillère, lovés l'un contre l'autre...

... ou par derrière, permettant à Julien d'accélérer un peu la cadence et l'amplitude d'une pénétration jusqu'ici très tendre.

Surtout, cette position permet à Julien de visiter à nouveau l'anus de Dakota en y enfonçant son pouce.

Et c'est justement cette position, cette cadence plus élevée et cette stimulation anale qui a raison de l'endurance du couple. Julien et Dakota jouissent ensemble, puis s'effondrent sur leur lit et, enfin, se rendorment ainsi emboités.
Une heure plus tard, Julien et Dakota s'éveillent à nouveau. La jeune femme, dégoulinante de sperme, se rend directement à la salle de bain pour une bonne douche chaude tandis que Julien file s'occuper du petit déjeuner.

Alors qu'une odeur de café frais envahit la maison, Dakota sort de la salle de bain, entièrement nue.
- Je me disais qu'on pouvait rester à la maison, à poil, à ne faire que manger et s'envoyer en l'air, propose la jeune femme.
- Une excellente idée ! répond alors Julien en dévorant du regard son âme sœur.

De fait, la matinée consista pour le couple à manger, batifoler et s'allumer mutuellement par leur nudité. Julien exposait fièrement sa queue en érection permanente tandis que Dakota prenait un malin plaisir à se mettre dans des positions plus que suggestives.

Malgré les baisers, les caresses, les doigts furtivement enfoncés par Julien lorsque Dakota tendait les fesses ou les petites pipes entamées par celle-ci quand son amant bouquinait, le couple se retint de baiser une seconde fois dans la matinée et préféra évoquer la journée d'hier.
- Le comportement de Janet m'a surpris, avoua Dakota après avoir s'être remémorer les moments de plaisir lors de ce plan à trois. Je ne la savais pas si dominatrice.
- Elle ne l'est pas spécialement, normalement. C'est mon esclave, elle me doit une obéissance totale. Et je me demande si justement elle ne pensait pas me plaire en te traitant ainsi...
- Bah moi ça ne me plait pas spécialement. En tout cas, je ne veux pas qu'elle pense que je suis son esclave à elle, il faudra que tu lui dises. Autant je veux bien jouer les dominées parfois, autant j'aime souvent diriger l'action !
- Je le sais et d'ailleurs, pourquoi on le lui rappellerait pas maintenant qui sont les maîtres et qui est l'esclave ?
- Pourquoi pas, je suis d'humeur dominatrice !!
- Janet ! appela fermement Julien.
- Oui, maitre ? répondit aussitôt Janet en apparaissant dans le salon.

- Bonjour, esclave. Je dois te parler.
- Je t'écoute, maitre.
- Hier, lors de notre partie de jambes en l'air, tu t'es montrée dominatrice avec Dakota.
- C'est vrai... Tu as aimé ? J'ai fait ça pour toi, pour que ton âme sœur devienne ta chose également...
- C'est gentil de ta part mais je n'ai pas besoin de toi pour dominer Dakota. Et je n'ai d'ailleurs pas l'intention de faire de ma femme une esclave. Dakota est mon âme sœur, mon égale et elle est ta maitresse autant que je suis ton maître. Est-ce que c'est clair ?
- Oui, maitre, je comprends.
- Parfait, maintenant tu vas obéir à ses ordres.
- Oui, maitre.
Dakota, qui écoutait silencieusement le sermon donné à Janet par Julien prend alors la parole.
- Écarte les jambes, Janet, et montre-moi ton sexe.
- Oui, maitresse.
Janet s'exécute malgré un visage fermé qui traduit une certaine réticence et offre une belle vue sur son sexe.

- Bien, tu es obéissante... Obéissante et absolument superbe. C'est parfait Janet.
- Merci maîtresse.
- Maintenant tourne-toi et tend tes fesses.
- Tout de suite.
A nouveau, Janet obéit à l'ordre avec, cette fois-ci, un sourire sur son visage, le compliment de Dakota lui ayant fait sincèrement plaisir.

- Tu as vraiment bien dressé notre esclave, mon chéri, déclara Dakota en se tournant vers Julien.
- Je sais.
- Bon, Janet, je crois que tu as assez profité de nous hier. Ni Julien ni moi n'allons te baiser aujourd'hui. Mais pour ton orgasme, je t'autorise à te masturber ici, en nous regardant.
- Oh ? Je... d'accord....
- Tu es déçue ? Tu préfères peut-être que je te renvoie sans orgasme ?
- Non...
- 2 ou 3 jours sans jouir te feraient peut-être du bien, Janet, insiste Dakota, visiblement grisée par le pouvoir qu'elle exerce sur Janet, un être pourtant surpuissant.
- Non, maitresse ! Ta proposition me convient, je ne suis pas déçue !
- Bien... Allez, vas-y, on te regarde.
Janet commence donc à se masturber en regardant les corps nus de Julien et Dakota qui s'embrassent et se caressent. Dakota masturbe également son mari tout en lançant des regards à la fois dominateurs et provocateurs à Janet qui a les yeux rivés sur cette grosse queue bandée qu'elle désire tant.

Puis Dakota pousse le vice jusqu'à sucer langoureusement Julien en tendant son cul en direction de Janet.

Quelques minutes et quelques gorges profondes plus tard, Janet jouissait bruyamment en se masturbant devant Julien et Dakota.

Dakota est alors rattrapée par sa générosité habituelle et son amitié, sincère, pour Janet qu'elle connait depuis si longtemps. Elle l'invite à venir se délecter un peu du sexe de Julien avant de repartir. Les deux femmes s'embrassent et s'échangent le sexe de Julien jusqu'à le faire jouir.

Toujours dans sa phase de générosité, Dakota laisse Janet profiter de cette éjaculation en avalant la moindre goutte puis la renvoie.
- Merci Janet et désolé d'avoir été un peu dur. Je ne suis pas ton esclave, c'est bien toi qui est la mienne. Mais ça ne m'empêchera pas parfois de jouer les soumises avec toi pour faire plaisir à Julien. Simplement, c'est moi qui le déciderai. Compris ?
- Bien compris Dakota. Je vous laisse, à bientôt mes maitres adorés !
Après le départ de Janet, Julien et Dakota passèrent le reste de la journée à trainer dans la maison, toujours à poil. Après le repas du midi, purement symbolique dans un endroit où la faim n'existait plus, Dakota se présente devant Julien, l'air coquine :
- Pour le dessert, je me ferai bien sauter... Ça te tente ?

- Oui ça me tente mais là, je suis vidé. Deux orgasmes déjà ce matin, ma chérie... Va falloir attendre un peu !
- Bon... ok... répondit alors Dakota, l'air faussement contrariée.
Mais la petite blonde n'avait pas l'habitude qu'on lui résiste et, durant les heures qui suivirent, elle ne cessa pas de prendre des positions volontairement exhibitionnistes. Elle fît sa gym sous le nez de Julien en travaillant particulièrement sa souplesse au niveau des abducteurs...

Puis, plus tard, elle regarda la télévision, objet terrestre qui diffusait tous les programmes passés ou présents que les résidents pouvaient apprécier, en censurant évidemment les films violents ou vulgaires. Autant dire que le choix était finalement restreint et que, si Dakota alluma sa télévision ce jour-là, c'était avant tout pour tendre les fesses en direction de Julien durant toute la durée du film.

Julien, chez qui l'excitation remontait à grande vitesse, décide alors de résister un peu, histoire de voir jusqu'où Dakota irait. Après le film, il sort nonchalamment du salon, comme s'il n'y avait pas une superbe femme nue dans son salon en train de tendre son cul.
Mais alors qu'il revient s'installer sur le canapé, quelques minutes plus tard, Dakota décide de changer de braquet : elle se met sur le dos et se masturbe carrément sous le nez de Julien.
- Tu...tu fais quoi, là ? s'étonna Julien
- Je me fais plaisir... puisque tu n'es pas en mesure de le faire !

Julien était résistant, mais il avait aussi ses limites ! Et cette ultime provocation était de trop. Il cède donc à la tentation et se jette sur Dakota pour lui donner ce qu'elle réclamait depuis des heures.
Il la prit sauvagement sur le sol du salon...

... puis lui recouvrit le visage et les seins de son sperme chaud.

Cette journée, qui se termina par une promenade (qui obligea le couple à se rhabiller) et des câlins plus sages mais tout aussi amoureux, fût pour Julien et Dakota un moment de grâce, de complicité et de calme plus que bienvenu. Mais, dès le lendemain, le « travail » reprenait pour Julien. En effet, il avait toujours pour mission de former les deux nouvelles assistantes de Julia, Kaylin et Linda à leur nouvelle fonction dans le quartier. Et il n'oubliait pas, non plus, de tout faire pour mettre Julia dans le lit d'Asa.
Une fois cela fait, se dit Julien en se couchant dans les bras de Dakota tout en imaginant la suite des évènements, je serai en totale sécurité dans ce quartier.
A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Épisode 13 - partie 1
Le soleil vient de se lever, grand-mère et grand-père sont.... Pardon, je reprends. Le faux soleil du quartier vient de se lever artificiellement et Julien est déjà prêt à aller affronter les défis qui s'offrent à lui aujourd'hui. Il est d'autant plus excité qu'il a eu une idée, durant la nuit, pour essayer de mettre de Julia dans le lit d'Asa.
- Tu dois aider Julia, aujourd'hui ? lui demande Dakota en préparant le petit-déjeuner.
- Oui, nous avons recruté 2 nouvelles assistantes et c'est le premier jour de Kaylin aujourd'hui. Il faut que je lui explique à quoi s'attendre avec ce quartier plein de pervers !
- Je vois... Si tu la baises, je veux juste que tu me le dises, ok ?
Même si Julien avait avoué à Dakota la totalité de ce qu'il avait fait dans le quartier jusqu'à aujourd'hui et s'était promis de ne plus rien lui cacher, ces allusions à des aventures extra-conjugales le mettaient mal à l'aise. Il ne s'était pas encore habitué complètement au fait que non seulement la polygamie devenait la norme dans le quartier mais que Dakota et lui avaient dorénavant le droit de baiser qui leur chante, du moment que l'un et l'autre se le disait.
- Je n'avais pas l'intention de la baiser. En tout cas pas aujourd'hui ! Je veux juste la former un peu à l'accueil des résidents et à leurs demandes en tout genre.
- Parfait, donc tu seras tout à moi ce soir, alors ?
- Tu en veux encore après la journée d'hier ?
- De toi, toujours ! Après si je t'ennuie, je peux aller voir si quelqu'un du quartier ne veut pas me faire la fête...
- Oh je suis certain que tu ne mettrais pas longtemps à trouver... Qui ne voudrait pas sauter une bombe comme toi ?? Mais oui, ce soir je suis tout à toi !
Il est 9h, heure terrestre, quand Julien arrive dans le bureau de Julia, là où, à l'accueil, officie désormais Kaylin.
- Oh, bonjour Julien, déclare Kaylin, visiblement surprise par cette visite. Tu es matinal !
- Bonjour Kaylin. Oui, je me lève tôt depuis que je suis ici. Alors qu'il n'y a finalement pas grand-chose à faire et que j'ai l'éternité pour y arriver. Bizarre, hein ?
- Oui, il n'y a pas grand-chose à faire en effet. D'où ma motivation pour ce poste !
- J'ai vu cela ! Je suis d'ailleurs là pour ça : tester ta motivation !

- Julien, répond alors Kaylin avec un sourire coquin, tu ne me crois toujours pas capable de faire du bon boulot ? Tu crois que je n'ai pas compris ce que tu attends de moi ? ajout-elle en soulevant avec malice le bas de sa robe légère.

- Je pense que tu veux bien faire et que tu es très motivée. Mais je veux m'assurer que tu sais dans quoi tu mets les pieds.
- Je pense que je mets les pieds dans un endroit enfin intéressant ! Là où, si on me le demande, je n'hésiterai pas à montrer mes seins...

... à enlever ma robe....

... et à mettre en avant mes belles fesses.

Julien se frotte alors le menton avec un certain sourire et dit :
- Kaylin, je crois que tu as en effet compris l'esprit de ton nouveau job. Cependant, je crains que tu n'en saisisses l'intensité...
- Julien, je t'assure que...
- Tais-toi !
- ...
- Bien. Tu es l'assistante de Julia maintenant. Tu devras répondre aux attentes, exigences et envies des résidents. Et si tout le monde ici est incroyablement bien élevé, les gens, Kaylin, deviennent tous les jours un peu plus pervers, lubriques et dominateurs.
- J'en ai conscience, Julien, je t'assure.
- Bien... voyons cela. Montre-moi ton anus.
- Pardon ?
- Kaylin, écarte tes jolies fesses et montre-moi ton trou du cul, tout de suite.
- Bien...
Kaylin s'exécute alors sagement : elle écarte son string puis ses fesses pour exposer son anus et, au passage, sa chatte, à Julien.

- Parfait. Ce genre de demandes sera maintenant ton quotidien, lorsque tu travailleras ici. Et maintenant : à poil.
A nouveau, Kaylin obéit aux instructions de Julien et retire sagement son string puis lui fait face, entièrement nue.

- Et cela, ajoute-il enfin, visiblement satisfait, sera ta tenue de travail la plus utile. C'est clair ?
- Très clair Julien. Et cela me va très bien !
- Parfait, maintenant, va voir Julia et demande lui de te faire apparaître une lingerie sexy.
- J'y vais... comme ça ? Toute nue ?
- Evidemment ! Où est le problème ? Tu nous as montré ton sexe à ton entretien, je te rappelle.
- Certes... J'y vais.
- Je t'attends, ne me déçois pas !
Kaylin se dirige donc vers le bureau de Julia et en ressort quelques minutes plus tard avec un ensemble de lingerie superbe.
- Voilà, Julien. Bustier, string transparent et porte-jarretelle... Ça te plait ?

- C'est magnifique, très bon choix. Mais il y a encore trop de tissu sur toi. Enlève ton string et ton bustier, mais garde le porte-jarretelle.
- Ok !
A nouveau, Kaylin s'exécute et libère ses petits seins puis commence à baisser son string.

Puis elle termine de le retirer en tendant exagérément les fesses en direction de Julien.

- Tu aimes cette façon de retirer ses sous-vêtements, Julien ? demande Kaylin en enlevant le string de ses chevilles.
- Qu'est-ce qui te fait penser que j'aime ça ?
- Parce que j'ai l'impression que tu es fan de mes fesses et de mon petit trou en particulier. Je me trompe, ajoute-elle en se mettant à quatre pattes sur le canapé de hall d'accueil tout en écartant ses fesses.

Julien s'approche alors de Kaylin, toujours cul tendu, et les attrape les fesses à pleines main et les écartant généreusement.
- Non, tu ne te trompes pas. Tes fesses sont magnifiques et ton anus m'obsède, je l'avoue !
Et sur ces mots, Julien se met à lécher avec gourmandise de trou du cul de Kaylin et enfonce même un peu sa langue en elle, le petit trou de la belle Black montrant une certaine souplesse.

Puis, après s'être régalé, Julien se redresse en laissant une Kaylin étonnée, voire déçue, qu'il n'aille pas plus loin.
- Sache que nous ne sommes pas là pour notre plaisir personnel mais pour celui du quartier et des résidents. Et même si j'ai envie de te sodomiser, cela devra se faire dans un autre contexte que durant notre travail.
- Je comprends... mais si je ne sais pas comment tu fais pour résister !
Julien se dirige alors vers la sortie et, avant de passer la porte, dit à Kaylin :
- Je reviens dans la matinée pour voir si tout va bien.
Julien se dirige aussitôt et à pas pressés vers la maison de John, l'homme qu'Asa, il y a peu de temps, a sucé dans ce même bureau qu'occupe à présent Kaylin. C'est sa femme, Thérèse, qui lui ouvre la porte... en lingerie.
- Bonjour Julien, je peux t'aider ?

- Bonjour Thérèse, je... je venais voir John, répond Julien, un peu troublé par la vue de cette femme un peu ronde mais terriblement sexy dans cette lingerie.
- Il est dans le salon, je vais te le chercher. Mais entre, je t'en prie.

Julien entre donc dans le couloir d'entrée et regarde, non sans envie, Thérèse s'éloigner pour aller chercher son mari. Quelques instants plus tard, John apparait et demande à Julien ce qui se passe.
Julien explique alors à John la situation et prétexte auprès de ce dernier vouloir comparer les performances des deux assistantes de Julia. Mais n'ayant pas eu la chance de profiter de la bouche d'Asa, Julien précise qu'il a besoin de John pour ce comparatif.
- Donc tu as besoin de moi pour... avoir une fellation de la part de Kaylin ?
- Et la comparer avec celle que tu as eue de la part d'Asa.
- Si c'est pour la science, je veux bien me sacrifier ! C'est urgent ?
- Assez... c'est le premier jour de Kaylin et je voudrais la tester rapidement.
- Ok j'y vais, mais Thérèse va râler : on était en pleine partie de strip poker !
- Ah ok, je comprends mieux... Je vais lui dire que j'ai eu besoin de toi, elle comprendra.
Rassuré, John se rend aussitôt en direction de chez Julia. Derrière lui, Julien appelle Thèrese :
- Thérèse ? Je t'emprunte John un instant, j'ai besoin de lui.
Thérèse sort alors du salon et s'approche de Julien en marchant lentement, seins nus.
- Maintenant ? On était en pleine partie...
- Et tu perdais, on dirait !
- Oh oui. Et je viens à nouveau d'avoir un 2 et un 3... ajoute-t-elle en baissant son string pour révéler son sexe.

- Pas de chance, en effet, répond Julien en essayant de ne pas dévorer du regard cette petite chatte glabre. Je... te laisse et je libère John dès que je peux.
- Attend ! Puisque John est parti, tu ne veux pas finir la partie à sa place ? Je n'ai plus grand-chose à retirer avant que tu puisses... rafler la mise.
- C'est une proposition... plus qu'attirante. Et si je n'avais pas du travail, j'aurai terminé cette partie de cartes avec plaisir !
- Dommage... Une prochaine fois peut-être ? Je songeais à inviter les voisins pour la prochaine partie. Si ça te dit...
Julien avale sa salive et se rend chez Julia avant de craquer et de faire sa fête à cette allumeuse. Il presse le pas afin de rattraper John car il ne souhaite pas que celui-ci dise à Kaylin de but en blanc qu'il veut la tester.
Lorsqu'il entre dans le bureau de l'assistante de Julia, Kaylin, à nouveau vêtue de sa robe blanche, et John sont déjà en train de discuter.
- Et donc elle n'a jamais accepté ??
- Jamais ! répond John, sans que Julien ne comprenne de quoi il s'agit. Thérèse a toujours considéré que cela la dégouterait...
- N'importe quoi... tout le monde sait que tout a bon gout ici. Tout, même ton sperme.
- Je sais mais que veux-tu... J'en suis le premier désolé, répond John en lancer un petit sourire complice à Julien.

Kaylin regarde à son tour Julien comme pour chercher une sorte d'autorisation puis s'approche de John et commence à lui déboutonner le pantalon.
- Voilà ce qu'on va faire : je vais déjà réparer l'injustice dont tu es victime. Ensuite, je parlerai à Thérèse pour la convaincre.
- Oulaaa mais je ne veux pas d'ennui moi ! Si elle apprend que tu l'as fait sur moi, elle va râler, c'est sûr.

Kaylin, n'écoutant absolument pas les fausses réticences de John qui, à la grande surprise de Julien, a trouvé une superbe excuse pour se faire pomper le dard, baisse son pantalon et sort un sexe modeste qu'elle lèche aussitôt.

- Ne t'inquiète pas, John, prononce-t-elle entre deux coups de langues. Si Thérèse est un peu jalouse, je pourrai demander de l'aide de Julien pour... rétablir un peu les choses. Hein Julien ?
- Heu, oui, si je peux aider.
- Parfait, alors c'est réglé. Maintenant, détends-toi, John.
Kaylin taille donc à John une pipe aussi goulue qu'efficace et semble procurer un plaisir intense à l'heureux veinard.

Elle pompe si bien John qu'il ne faut à Kaylin que quelques minutes pour le faire craquer et accueillir dans sa bouche son sperme. Comme promis, elle avale consciencieusement la moindre goute sans jamais lâcher la bite de John. Puis elle lui restitue un sexe parfaitement propre que John range aussitôt dans son pantalon.

Celui-ci sort rapidement du bureau, suivi par Julien qui le rattrape dehors après avoir féliciter Kaylin pour la gestion de ce premier cas.
- Tu peux passer quand tu veux à la maison, Julien. Je serai ravi de te laisser profiter de Thérèse, surtout si en échange, je continue à tester les assistantes de Julia de cette façon !
- Pourquoi pas... En tout cas, tu t'es bien débrouillé pour arriver à obtenir cette gâterie !
- Comment ça ? Mon problème est réel : Thérèse n'a jamais accepté d'avaler mon sperme. Tu croyais que je roulais Kaylin ?
Julien se rend alors compte que le mensonge est, malgré la tournure récentes des évènements, quelque chose de très rare au « bon endroit » et que ce qu'il avait pris pour de la manipulation de la part de John était simplement la pure vérité.
-Un peu, répond Julien embêté. Honnêtement, en voyant Thérèse tout à l'heure, j'avais du mal à la voir jalouse ou frigide !
- Oh elle n'est pas frigide, je t'assure, elle a juste ce petit blocage. Si tu arrives à la convaincre, je t'en serai éternellement reconnaissant.
John repart en direction de sa maison mais Julien le rappelle soudain :
- Et au fait, John. Asa ou Kaylin ?
- Ah oui c'est vrai... Je dirais... Asa. Mais de pas grand-chose ! A bientôt, Julien.
Satisfait par cette première séance de formation, Julien décide de se rendre au salon de massage d'Asa pour prendre de ces nouvelles et voir si sa promesse de ne pas le dénoncer tient toujours. Mais il sait également que celle-ci ne manquera pas de lui rappeler sa part du marché : faire en sorte que Julia devienne sa maîtresse. Or, sur ce point, Julien n'a malheureusement fait aucun progrès.
Il est encore plongé dans ses réflexions lorsqu'il manque de rentrer dans Julia qui, justement sort du salon de massage d'Asa.
- Bonjour Julien, comment vas-tu, demande l'architecte avec son habituel sourire d'être tout puissant.
- Bien ! Je viens tout juste de ton bureau, je formais un peu Kaylin à ses nouvelles fonctions.
- Formidable ! Tu ne l'as pas trop malmenée, j'espère...
- Je ne lui ai rien fait du tout, voyons ! Une simple mise en situation avec un résident.
- Parfait ! Je te laisse, j'ai, moi également, des résidents à aller voir. A plus tard !
Julien salue Julia puis entre dans le salon de massage. Asa y est en train de ranger les linges qui ont servi au massage de Julia.

Mais aussitôt qu'elle aperçoit Julien, la belle asiatique lui saute dessus :
- Toi ! Tu as intérêt à te bouger les fesses avec Julia. Je n'en peux plus de cette situation !!
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Il se passe que depuis que tu as transformé le quartier en boite à partouze géante, je vis un calvaire ! Avant, j'avais une sexualité normale, c'est-à-dire quasi nulle, avec mon mari et je nourrissais depuis des siècles une romance secrète pour Julia. Mais je me consolais de cette passion impossible en me disant que ce ne serait de toute façon que platonique ! Mais à présent, Julia vient se faire masser 2 fois par jours...
- Je croyais que tu appréciais de la voir ainsi nue ? l'interrompt Julien.
- Evidemment que j'apprécie. Sauf que maintenant, Julia passe ses séances à me raconter comment elle satisfait sexuellement les résidents, comment, toi, tu la formes à de nouvelles pratiques. Et moi je suis condamnée à l'écouter me parler de sa vie sexuelle sans pouvoir en faire partie !
- Je travaille dessus, je te jure Asa. Mais, si je puis me permettre, n'as-tu pas essayé de simplement lui demander ?
- Avec toutes tes manigances, j'aurais au moins cru que tu avais compris comment Julia fonctionne... lui lance avec sarcasme Asa tout en se rhabillant. Julia est là pour faire en sorte que le quartier fonctionne bien. Elle n'est pas là pour permettre à une bi frustrée de tirer un coup ! D'autant que d'après ses paramètres, le mari qu'elle m'a attribué est parfait pour moi. Ce qui est vrai, en plus, punaise ! Et je te rappelle que, moi non plus, je n'ai pas ma place ici, je suis un défaut de jeunesse du quartier.

- Ok, je vais essayer d'accélérer de ce côté, je te le promets. Il me faut juste un plan...
- Juste un plan ? Oh ben ça va alors, tu es presque au point !! Tu as réussi à coucher avec moitié du quartier, alors maintenant, tu te débrouilles pour mettre ton intelligence de pervers à mon service !
- Ok, ok, je passe en mode « super pervers »...
- Ah, et pour ne rien arranger, j'ai vraiment l'impression que notre Julia est « vieux jeu ». Elle m'a demandé si je ne pensais pas pertinent d'engager un masseur pour les clientes. Et que moi, je m'occupe des hommes... Que ça lui semblait plus logique.
- Ah ouai... Julia est limite homophobe en fait ! s'étonne alors Julien.
- Ce mot n'a pas de sens pour elle... C'est juste que, pour elle, nous ne sommes que des mammifères et elle est encore accrochée à des informations d'ordre biologique qu'on a mis dans son programme... Un mâle avec une femelle et basta.
- Pourtant il doit bien y avoir des couples homosexuels ici.
- Tu en connais beaucoup ? Ne cherche pas, il n'y en a aucun... Peut-être est-ce le fruit du hasard et qu'il y en a dans d'autres quartiers. Ou bien peut-être que parmi les résidents en attente d'âme sœur, certains sont homo. Et j'ai du mal à croire que le « bon endroit » soit un endroit homophobe... En tout cas, ça ne va pas te faciliter la tâche !
- Au contraire Asa, je crois que tu viens de me donner mon plan !
A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Épisode 13 partie 2
Julien sort avec précipitation du salon de massage et se dirige vers la maison de Dakota.
- Coucou mon chéri, tu rentres déjà ? demande alors Dakota tandis qu'elle était en train de s'habiller. Je croyais que tu avais du travail pour la journée...

- Oh j'ai plein de travail et je vais justement avoir besoin de toi !
- De moi ? Pour le quartier ?
- Pour Asa en particulier... et aussi pour moi, indirectement. Je t'explique vite fait : Asa a été la première, et la seule, à me percer à jour en devinant que je n'étais pas à ma place ici. Et elle a toujours promis de ne rien dire à condition que je t'avoue tout, que je me fasse discret et, surtout, que je fasse en sorte que Julia devienne sa maîtresse.
- Ah, je ne savais pas qu'elle était lesbienne.
- Elle est bisexuelle en fait. Et manifestement amoureuse de l'Architecte. Bref, depuis quelques temps, je cherche à faire en sorte que Julia se rapproche d'Asa pour qu'elles couchent ensemble. Et pas juste pour une fois, il faut que ça devienne une vraie relation.
- Mais c'est mission impossible, Julien ! Julia est l'architecte du quartier, un être tout puissant. Elle n'aura jamais de relation amoureuse avec un résident !
- Je le sais bien. Et c'est pour cela qu'il faut que je ruse. Il faut que Julia entretienne une relation avec Asa en pensant que c'est bon pour elle et pour le quartier. Ce qui est vrai, d'ailleurs !
- Ok et en quoi je peux t'aider ?
- Voilà : pour Julia, l'amour dans le quartier c'est un homme avec une femme. L'homosexualité ou la bisexualité n'est manifestement pas très courante dans le logiciel interne du quartier.
- Pourtant certains entretiennent des relations de ce genre, moi la première avec Ariana par exemple.
- Je sais et c'est là que tu interviens. Dakota, tu vas prétendre que cette relation avec Ariana est compliquée par son mari qui refuse l'idée que sa femme soit bi. Et tu vas dire à Julia que cela te fait souffrir.
- Mais ce n'est pas vrai ! Et mentir, c'est mal.
- Ah bon ? Est-ce que le mari d'Ariana est au courant pour vos après-midi piscine/léchouilles ?
- Euh non, je ne crois pas...
- Et pourquoi Ariana ne lui a rien dit ?
- Aucune idée... elle a peur de sa réaction, je pense.
- Voilà, donc si son mari venait à l'apprendre, il est fort probable que tu doives renoncer aux habilles caresses de notre belle voisine !
- Ce n'est pas faux... Tu es doué pour manipuler les gens, mon chéri !
- Merci ! Bref, je vais demander à Julia de passer te voir et je voudrais que tu te plaignes de cette situation. Je veux que Julia s'interroge sur la bisexualité de certains de ses résidents. Et, ensuite, je pourrai lui expliquer qu'Asa souffre de cette situation et qu'elle seule peut y remédier.
- Et je dois faire quoi, précisément ?
- Convaincre Julia que l'homosexualité n'est pas un problème pour le quartier, qu'on peut être heureux en couple tout en désirant quelqu'un d'autre, peu importe son genre, glisser que tu connais d'autres résidents malheureux à cause de ça, comme Asa. Et beaucoup improviser, j'en ai peur, selon comment évolue la conversation.
- Ok, c'est dans mes cordes je pense. Et je suis disponible cet après-midi, je n'ai rien dans mon agenda... depuis quelques décennies !
- C'est parfait, je vais avertir Julia que tu veux la voir !
Julien part donc à la recherche de Julia. A sa grande surprise et alors qu'il l'imaginait en train de sucer un résident, il la trouve à son bureau, en train de discuter tranquillement avec Kaylin. Julien explique à l'architecte avoir constaté que Dakota avec le « blues » ce matin et qu'elle souhaitait lui parler.
- J'espère que ce n'est rien de grave, répond alors Julia avec compassion. Évidemment, je passe la voir tout à l'heure sans faute !

Julien la remercie puis décide de rentrer manger chez lui en attendant l'arrivée de Julia. Il veut, évidemment, être dans le coin lorsque la discussion entre son âme-sœur et l'architecte aura lieu. Sur le chemin, il s'arrête dans une petite boutique du quartier afin de faire quelques courses. Rien n'est payant évidemment et, surtout, rien n'est vraiment nécessaire mais ce rituel a été prévu par Julia afin de maintenir pour les résidents des activités de leur vie précédente. A peine est-il entré dans la boutique qu'une femme en long manteau beige entre derrière lui, l'air stressée.

Puis, après avoir attiré son attention, elle ouvre d'un coup son manteau et expose son corps nu.

- Ça te plait ? demande-t-elle alors à Julien
- Heu oui, beaucoup !
- Et mes seins ?
- Magnifiques !
- Ils ne sont pas trop petits ?
- Non, ils sont menus, certes, mais ravissants. Pourquoi ces questions ?
- C'est un conseil de Kaylin, répond-elle alors en refermant son manteau. Je suis complexée par mes seins et elle m'a tout simplement conseillé d'aller demandé l'avis aux gens. A plus !
Julien se félicite alors d'avoir engagé Kaylin : cette femme saura décidément pimenter le quartier comme il faut !
Chez lui, après avoir rangé ses petites emplettes, Julien décide de grignoter en surveillant l'arrivée de Julia. Il l'aperçoit, une heure plus tard, se diriger vers la maison de Dakota. Il laisse passer quelques minutes pour que l'architecte entre dans la maison et sort ensuite de chez lui pour espionner la conversation.
Heureusement pour lui, grâce au beau temps permanent qui règne dans le quartier et à l'absence totale de pudeur depuis plusieurs jours, la plupart des fenêtres du quartier, y compris celles des chambres à coucher, sont ouvertes à la vue des passants. Un vrai paradis pour voyeurs !
Après avoir essayé la fenêtre du salon sans succès, Julien se dirige vers la chambre à coucher de Dakota et l'y découvre, en petite tenue, en train de discuter avec Julia. Il s'installe alors tranquillement contre le mur et écoute son âme sœur tenter de convertir Julia à la bisexualité.

- Et Julien n'est pas jaloux ? demande Julia à Dakota sans que Julien n'ait pu saisir le début de la conversation.
- Pas du tout, au contraire. La dernière fois, il nous a regardé nous amusé, il me semble qu'il a beaucoup apprécié.
- Et donc, le mari d'Ariana, lui, n'apprécie pas du tout ?
- Hélas, non... Et du coup Ariana hésite à présent à m'inviter chez elle.
- Je crois que je comprends le souci...
- Tu crois ? répond alors Dakota en sentant une ouverture.
- Oui, enfin, je comprends ta frustration... même si je ne vois pas trop l'intérêt d'aller voir une autre femme alors que je t'ai trouvé l'âme sœur idéale...
- Tout simplement parce qu'on peut être amoureux d'un homme, comme je le suis de Julien, et trouver attirante une femme, voire même vouloir faire des cochonneries avec elle. Si ça nous rend heureux, nous donne du plaisir et ne blesse personne autour de nous où est le mal ??
- Justement, le mari d'Ariana, lui, semble blessé.
- Non, il n'est pas jaloux, il est homophobe, c'est tout à fait différent. Vu le temps qu'il passe au salon de massage et de lingerie, je ne pense pas qu'il puisse reprocher à Ariana de voir quelqu'un d'autre !
- Bon, je vais voir ce que je peux faire avec cette homophobie de certains résidents. Ce qui m'étonne c'est que ce genre d'avis aurait dû dégrader leur note...
- Depuis combien de temps le mari d'Ariana est-il dans le quartier, Julia ?
- 567 ans, pourquoi ?
- Et bien à mon avis, c'est là le problème : ces vieux résidents ne sont pas spécialement homophobes, c'est juste qu'ils viennent d'une époque où ce concept leur était étranger. Ou tellement tabou qu'on n'en parlait pas.
- Je vois ce que tu veux dire et si c'est cela, ça peut donc s'arranger avec un recalibrage de leur concept éthique.
- Ce serait parfait !
- Dakota, avant que je te laisse, j'ai juste une question : avec une femme, c'est aussi bon qu'avec un homme ?
- C'est très différent, Julia. Une source de plaisir et une sexualité à part entière, avec d'autres stimuli, d'autres jeux, d'autres positions. C'est totalement différent mais tout aussi excellent ! Tu n'as jamais essayé ?
- Non et il faut dire que la notion de sexualité est très théorique pour moi. Je ne suis rentrée dans la pratique que dernièrement, grâce à Julien.
- Oui, il m'en parle. Tu verras, il est très doué en la matière ! Et donc... du coup... jamais avec une femme ?
- Non, je n'ai même jamais vu le sexe d'une autre femme.
- Si je peux te donner un conseil, trouve-toi une partenaire partante pour la chose, tu ne seras pas déçue !
- Pourquoi pas !
Julien entend alors le bruit de quelqu'un qui sort d'un lit et suppose que Julia s'apprête à sortir de la chambre. Mais il l'entend alors dire :
- A ce propos, Dakota, je suis embêtée... Comme je n'ai jamais fait cela avec une femme, je risque de me montrer inexpérimentée et... je ne peux pas vraiment me permettre ce genre de chose. Julien et toi connaissez très bien ma situation et vous m'aidez beaucoup. Du coup, j'aimerais te demande un service : est-ce que cela te dérange de me montrer ton sexe, Dakota ? J'aimerais me former avec toi, si cela ne te dérange pas...
- Te former ? Heu je ne sais pas trop... C''est plutôt le job de Julien... même si, là, il ne te serait pas très utile... Bon d'accord, va pour une formation à la bisexualité !
- Formidable, merci Dakota.
La tournure de la conversation surprenait Julien. Tout s'était magnifiquement bien déroulé et Dakota avait même réussi à convaincre Julia de se prendre une maîtresse ! De là à la jeter dans les bras d'Asa, il n'y avait plus grand-chose. Mais voilà que Julia voulait d'abord se faire la main avec Dakota...
Julien, bien trop curieux et voyeur, ne pouvait manquer un tel spectacle. Il se redressa pour passer la tête par la fenêtre et espionner la scène.
Dakota avait déjà retiré sa culotte pour exposer sa chatte à Julia et avait également relevé son petit haut pour montrer sa poitrine.

- Si je me souviens bien, il faut stimuler ce petit organe avec la langue.
- Oui, c'est cela, ou avec tes doigts ça marche aussi. Mais il faut être délicat ! Et tu peux également enfoncer tes doigts à l'intérieur du vagin, mais doucement également.
Julia se penche alors sur Dakota et commence à embrasser et à lécher son sexe en stimulant, comme elle s'en souvenait, le petit clitoris de la belle blonde.

- Mmhh Julia, c'est excellent ! Tu es sûr que c'est la première fois que tu lèches une femme ?
- Oui, certain. Mais je maîtrise parfaitement toute les techniques sexuelles. En théorie, en tout cas. En plus, Julien m'a déjà fait un excellent cunnilingus, donc je vois un peu comment il faut procéder.
- Julien t'a léché ?
- Oui, ça ne te dérange pas, j'espère ?
- Non. Je sais que Julien doit te former et que cela passe forcément par des exercices... pratiques. Ça fait juste bizarre à entendre. En tout cas... ce que tu me fais est excellent, Julia !
- Je continue jusqu'à ton orgasme ?
- Non, pas tout de suite, voyons ! Il faut prendre son temps, changer de position, diversifier les sources de plaisir. Tiens ! Changeons de rôle. Allonge-toi, je vais m'occuper de toi !
Julien, soulagé par la réponse de Dakota, assiste au changement de position. Les deux femmes se déshabillent et se positionnent confortablement sur le lit, Julia allongée. Dakota commence alors un cunnilingus sur l'architecte qui semble la combler de bonheur.

Rapidement, Dakota demande :
- Alors ? Je lèche aussi bien que Julien ?
- Mmhh Dakota, je crois que tu lèches mieux que lui !
- Les filles seront toujours plus douées pour un cuni que les hommes ! Et tu vas vite t'en rendre compte.
- Il est certain que ça donne envie de recommencer, Dakota !
- Mets-toi à quatre pattes, tu vas voir l'étendue des possibilités !
Julie s'exécute et Dakota se met alors à lui bouffer le cul comme une affamée. D'où il est, Julien ne voit que la tête gémissante de Julia et, derrière, les mouvements de Dakota. Il imagine des doigts qui entrent dans cette chatte divine ainsi qu'une langue et des lèvres qui lèches et embrassent l'orifice tout puissant.

- Par le grand architecte en chef, c'est fabuleux, Dakota.
- Je sais, j'ai eu des décennies pour affiner ma technique avec Ariana !!
- Mmhh mais... tu es sûr que l'anus est fait pour être léché ?
- Je ne sais pas si c'est fait pour, mais j'adore titiller ce petit œilleton !
- Tu es aussi obsédée par l'anus que Julien, on dirait !
- Oh non, beaucoup moins que lui ! Mais... comment sais-tu qu'il aime la sodomie tant que ça ?
- Oh je... c'est marqué dans son dossier... voilà tout... Continue s'il-te-plait !
Julia, sous l'effet du plaisir, avait failli commettre une grosse boulette. Son évocation de la passion de Julien pour la sodomie se référait, en effet, à une séance de sexe très intense qui n'avait, en réalité, jamais eu lieu, puisqu'elle avait rebooté la matinée. Julien, caché dans un coin, se demandait lui aussi comment elle savait cela puisqu'il n'avait aucun souvenir de cette partie de jambes en l'air.
- Ok mais après je voudrais m'occuper de tes seins, répond sagement Dakota sans relever la maladresse de Julia.
- Mes seins ? Je ne vois pas l'intérêt...
- Tu verras !
Après avoir encore léché Julia pendant quelques instants, Dakota et elle changent de position et la petite blonde commence alors à lécher, mordiller et embrasser les tétons de Julia.

- Hé, mais ce n'est pas désagréable du tout, réagit avec surprise Julia.
- Et oui, le corps humain est plein de surprise, hein !
- En effet, moi qui croyais que cela ne servait qu'à nourrir vos juvéniles !
- Oh, les jeunes, les vieux, finalement, on passe sa vie à vouloir lécher les seins des femmes !
Julia prend soudain un air sérieux, presque mécontent :
- Et donc le sexe entre femme, c'est juste ça ? On se lèche l'une après l'autre, on se fait jouir chacune son tour ? La possibilité d'un orgasme simultané lorsqu'on est avec un homme est quand même intéressante.
- Mais c'est évidemment possible entre deux femmes, Julia.
Suivant les instructions de Dakota, elle et Julia s'emboitent en ciseaux et comment à se frotter mutuellement le sexe.

- Mmhh alors ? Tu ne crois pas qu'on puisse jouir ensemble ? Aahh... En tout cas... moi je sens que je vais jouir !
- Je... je crois que moi aussi. Je sens un plaisir intense qui commence à me bruler de l'intérieur...
- C'est ça ! Laisse le venir... accélère en même temps que moi...
- Oh bordel.... Oh bazar... je sens que ça vient...
Avec une gaule magistrale, Julien entend alors les deux femmes jouir ensemble et crier de plaisir, chacune à leur manière. Cette scène lesbienne, magnifique, et tous ces gémissements, l'ont laissé particulièrement excité. S'il ne se retenait pas, Julien entrerait dans la maison et baiserait ces deux salopes avec fougue. Mais il n'est pas censé être là et il est convaincu que Dakota ne s'imagine pas avoir été observée.
Profitant du moment de grâce suivant l'orgasme et qui plonge les deux femmes dans une sorte de torpeur, Julien s'éclipse discrètement de derrière la maison de Dakota et retourne en ville. Il décide de retourner rapidement au bureau de Julia pour voir comment Kaylin s'en sort pour son premier jour. Il avait, il est vrai, promis à l'assistante débutante de repasser plus tard dans la journée. De plus, cela nui offrait un alibi au cas où Julia demande où il était tandis qu'elle baisait son âme sœur.

Elle dirige paisiblement les mouvements de haut en bas en s'enfonçant à chaque fois la totalité de l'énorme queue et se permet même de se caresser en même temps.
- Kaylin, qu'est-ce que tu fais ?? lui demande Julien avec un étonnement non feint.
- Oh, Julien ! Tu vas bien ? Je... Je montre à Yumi que la sodomie n'est ni impossible, ni douloureuse, bien au contraire !
Julien se retourne alors et découvre une femme asiatique, Yumi manifestement, menue et timide, assise sur une chaise en train de regarder Kaylin se faire enculer.
- Je... je ne comprends pas... commente Julien, perdu.
Kaylin calme quelque peu ses va-et-vient sur son amant et explique la situation :
- Yumi et Jamil ici présents sont âmes sœurs et ce cher Jamil souhaiterait sodomiser sa femme. Mais Yumi, qui adore l'énorme engin de son chéri, a cependant très peur de se le prendre dans le derrière. Ils sont venus m'en parler et je me suis dit qu'une démonstration était encore la meilleure des preuves !

Julien se dit alors que Kaylin, tout comme Linda, l'autre assistante, n'aurait pas beaucoup besoin de lui pour se former à leur nouveau métier et qu'il n'aurait sans doute pas l'occasion de les baiser si facilement. En tout cas, pas au prétexte d'une formation professionnelle comme il l'espérait ! Par contre, c'est le grand appétit sexuel de Kaylin qui allait lui permettre de jouer un peu avec la belle black.
- Ok, je comprends Kaylin, répond-il en s'approchant d'elle. Mais lorsque je t'ai demandé ce que tu faisais, je parlais de tes doigts sur ton sexe. Tu te masturbais ?
- Oui, pourquoi ?
- Parce que même si ta méthode pédagogique est intéressante, tu n'es pas censée faire cela pour ton propre plaisir mais pour améliorer la vie de couple de Jamil et Yumi.
- Je ne pensais pas à mal...
- Je le sais et je sais aussi que c'est tentant de vouloir se faire du bien. Il n'y a pas de problème à cela si tu ne perds pas de vue ta mission. En l'occurrence, ta mission ici est de prouver à Yumi qu'une sodomie, lorsqu'elle est désirée et bien réalisée, ne fait pas mal.
- C'est ce que je suis en train de faire, justement.
- Vraiment ? Retourne-toi et met toi à cheval sur Jamil.
- OK...
- Bien et maintenant, Jamil, c'est toi qui va imposer ton rythme à Kaylin. Sodomise là comme tu le ferais avec Yumi : sans violence mais avec vigueur !
Jamil, en bon élève, accélère la cadence et encule Kaylin à un rythme plus que soutenu qui arrache des cris de plaisir mais aussi de sensation forte à la jeune femme.

- Tu sais, Julien, intervient alors Yumi, quand Jam' me fait l'amour, c'est encore plus rapide que ça. Il sait que j'aime quand il est bourrin !!
- Ok. Tu as entendu Jamil ? Ta femme veut que tu y aille comme un bourrin ! Et ne t'inquiète pas, Kaylin est une professionnelle...
Jamil accélère encore d'avantage le rythme et défonce à présent le cul de Kaylin comme un fou. Celle-ci se tient les fesses écartées pour soulager un peu la sensation très intense de dilation de son petit trou.
- Il me semble qu'elle apprécie, non ? demande alors Julien à Yumi.
- Oui... mais j'aimerais quand même bien voir l'aspect de son anus après le passage de mon Jam' !
- Rien de plus simple : Kaylin, peux-tu te redresser et nous montrer ton petit trou ?
L'assistante de Julia obéit aussitôt et se libère du sexe de Jamil tout en écartant ses fesses. Son anus est manifestement dilaté mais pas si ouvert que ça et, finalement, dans un aspect tout à fait respectable.

- Tu vois, Yumi, cet anus me semble en très bon état malgré le traitement intense que ton âme sœur lui fait subir !
Puis Julien se penche chez Kaylin et lui demande :
- On y retourne ? Tu peux encore t'en prendre ?
- Oui, sans souci ! répond la belle black.
- Alors par contre, de mon côté, je commence à être un peu court, commente Jamil, toujours sous la belle Kaylin.
En entendant son mari annoncer son orgasme imminent, Yumi se lève et s'approche de lui :
- Dans ce cas, je vais te finir, mon chéri. Tu m'as drôlement excité et je n'ai pas envie que tu viennes dans Kaylin ; ne le prend pas mal, Kaylin, mais les orgasmes de mon âme sœur sont à moi et rien qu'à moi !
- Pas de souci, Yumi, je te laisse l'honneur de faire jouir ton mari, c'est bien normal !
Kaylin se relève donc pour venir se placer à côté de Julien pendant que Yumi enlève son petit T-shirt, sans doute pour le pas le salir, et commence aussitôt à sucer l'énorme queue de son mari. La taille de l'engin parait démesurée par rapport à Yumi, si menue. Elle peine d'ailleurs à avaler plus que le gland de Jamil, celui-ci remplissant déjà presque entièrement sa bouche. Julien, en voyant cette fellation de qualité manifestement moyenne se demande intérieurement si Dakota, dont la gorge profonde est une spécialité, arrivait à avaler un tel engin.

Située à côté de Julien, Kaylin se caresse en regardant Yumi opérer. Mais Julien le lui interdit alors et lui dit à voix basse :
- Je sais que c'est dur mais ce moment n'est pas le tien. C'est celui de Jamil et Yumi. Tu as bien travaillé et tu as sans doute permis à ce résident de pouvoir, un jour, sodomiser sa femme. Mais te donner du plaisir, maintenant, ce n'est pas professionnel.
- Je sais, répond Kaylin à voix basse également, mais c'est dur de résister. J'ai tellement envie de jouir avec cette verge si grosse et si dure. Et en plus, je crois que Yumi me nargue, là !
En effet, alors qu'elle suçait les couilles de son mari, Yumi regardait Kaylin avec un air de défi, de victoire, un air qui disait « tu aimerais bien avoir cette bite pour toi mais c'est la mienne, et uniquement la mienne ! ».

Julien passe alors la main dans le dos de Kaylin, lui caresse les fesses puis lui enfonce un doigt dans le cul. Kaylin ouvre la bouche de plaisir tandis que le doigt de Julien est bientôt rejoint par un deuxième puis un troisième doigt.

- Tu aimerais qu'il te sodomise encore, hein ? Qu'il te déchire, te fasse jouir et te remplisse ?
- Oui... Arrête de me chauffer comme ça, c'est cruel... Ou alors continue jusqu'au bout !
- Non ! répond Julien en faisant aller et venir rapidement et profondément ses doigts dans Kaylin. Tu dois apprendre le sens du sacrifice pour ce quartier, Kaylin. Je vais te doigter le derrière jusqu'à ce que Yumi finisse son mari. Ensuite je te laisserai et tu termineras ta journée de travail, comme si ce qui venait de se passer n'était qu'un « dossier » parmi d'autres !
Julien n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que Jamil craquait et remplissait la bouche de Yumi de son sperme abondant. L'homme avait sans doute été chauffé à blanc, non seulement pas la pipe réalisée par sa femme, mais aussi par les gémissements de plaisir de Kaylin qui adorait l'efficace mais cruelle masturbation anale de Julien.

Rapidement après l'orgasme de Jamil, le couple se rhabille et quitte le bureau de Kaylin en la remerciant pour son aide. Julien enlève donc ses doigts de l'anus de la jeune femme et se dirige lui aussi vers la sortie.
- Attend Julien, tu ne peux pas me laisser dans cet état !! Baise-moi, sodomise-moi ! Prends-moi pas où tu veux mais prends-moi bien !!

- Je laisse cet honneur à ton mari, Kaylin. Je pense qu'il appréciera l'attention de ta part !
- Oh oui il appréciera et je vais le laisser me faire tout ce qui lui passe par la tête. Mais j'ai tellement envie de jouir, là, jamais je ne tiendrai jusqu'à ce soir...
- Mais si tu vas tenir. Pour ton mari, pour ton boulot, pour Julia. Et dis-toi qu'un autre résident pourrait arriver pour un conseil. Tu as peut-être une chance de jouir d'ici ce soir, en fait !
- Grrr.. je ne te pensais pas si ferme, Julien. Comment peux-tu résister à ma proposition, n'importe qui aurait dit oui !
- Ah mais si ça ne tenait qu'à moi, je serais déjà en train de te sodomiser et, crois-moi, tu t'en serais souvenu !! Mais tu travailles et moi aussi. Donc on fera ça une autre fois, dans le cadre privé.
Julien se dirige vers la porte de sortie et ajoute, en se tournant vers Kaylin qui commence à se rhabiller :
- Organise un soir un repas chez toi, je laisserai Dakota s'occuper de ton mari et moi, je m'occuperai de ton petit derrière comme il se doit !
Et sans attendre la réponse de Kaylin, sort de son bureau. Une fois dehors, Julien fait tomber son attitude sûre de lui et souffle un bon coup car la situation était on ne peut plus torride. Évidemment il rêvait de défoncer le petit cul de cette belle black. Mais après une journée particulièrement excitante, il craignait d'envoyer trop rapidement la purée. De plus, il se montrait toujours réticent à céder à ce genre de pulsion, craignant de révéler sa vraie nature. Mais, surtout, il avait la ferme intention de conquérir, ce soir, un cul tant désiré, tant convoité : celui de sa femme Dakota. Ce soir, Julien s'était juré de l'enculer !
Julien, fatigué une journée chargée, tant du point de vue de sa mission envers le quartier et de ses résidents que d'un strict point de vue sexuel, marche d'un pas décidé en direction de chez son âme sœur, Dakota.
Il a envie d'elle autant qu'il a purement et simplement envie de déchirer un petit cul ! Il sait simplement qu'avec Dakota, et contrairement à ses conquêtes du quartier, il devra être doux et prudent.
Il vient de se passer une heure depuis que Julia est sortie de chez Dakota et Julien estime que ce délai est largement suffisant pour aller demander des nouvelles à sa belle blonde puis, innocemment, l'inviter à accompagner le compte-rendu d'une petite séance de jambes en l'air. Ensuite, son bagou légendaire ferait le taf, espérait-il !
Mais à sa grande surprise, alors que Dakota, en sous-vêtement sur son lit, raconte sa discussion avec Julia, elle reste très vague sur toute la partie sexuelle.
- Elle t'a cru sur parole ? demande Julien pour inciter Dakota à se livrer
- Non... il a fallu que je me montre plus persuasive... Elle est dure en affaire notre architecte en chef ! J'ai dû payer de ma personne mais, au moins, elle a été convaincue !

Julien sentait toujours chez Dakota une certaine retenue dans la manière de raconter sa séance de sexe mais saisi la perche qui lui était tendue :
- Je veux bien que tu me racontes tout ça en détail, même si je dois également payer de ma personne !
- Mon chéri, désolée mais je suis crevée ! J'ai juste envie de me glisser dans mon lit et de bouquiner jusqu'à m'endormir. Je le laisse ta soirée, je suis sûr que tu as encore plein de choses à faire !
La réponse de Dakota douche les espoirs de Julien et le prend complètement au dépourvu. Jamais Dakota n'avait encore refusé une partie de jambe en l'air avec Julien et, en plus, elle l'invitait gentiment à aller voir ailleurs !
- Bon ok, répond Julien en espérant ne pas trop montrer sa déception. On se voit demain, du coup.
- Bien sûr ! Bonne soirée mon chéri.
Dépité, Julien marche sans but dans le quartier en essayant de se rassurer : c'est reculer pour mieux sauter et, demain, il lui déflorera le derrière.
Après une balade dans la forêt du quartier, loin de la plage et des résidentes moitié nues, qui lui permet de calmer un peu son excitation, Julien passe à côté des terrains de sport qui permettent aux résidents de pratiquer tous les sports possibles et inimaginables, qu'ils soient récents ou anciens. Julien avait ainsi particulièrement apprécié voir deux résidents présents dans le quartier depuis le moyen-âge s'essayer à l'escrime moderne mais en se tapant dessous comme à l'époque des combats à l'épée !
Alors qu'il longe l'immense complexe, il aperçoit Anissa en train de jouer au tennis. Cette bourgeoise égyptienne, qui venait tout droit de l'époque coloniale anglaise, s'en sortait à merveille avec ce sport.

Julien la salue et s'installe sur un banc pour la regarder jouer. Bourgeoise elle l'était mais également très coquine, vu la taille ridicule de sa mini-jupe de sport. A chaque coup, celle-ci se soulevait et laissait apparaître sa culotte aux yeux de ses concurrents.

Julien se demande alors si le score à l'avantage d'Anissa était réellement dû à ses compétences sportives ou bien à son magnifique cul !
Mais voir ce beau cul remuer ainsi sous son nez était trop dur pour Julien. Même si, officiellement, Dakota avait accepté que Julien voie d'autres femmes, le couple n'avait franchi le pas qu'avec Janet. Le jeune homme était donc encore hésitant quant à sa réelle marge de manœuvre extra-conjugale.
Il quitte donc le complexe sportif et décide de retourner chez lui pour passer la soirée seule, loin de toute tentation. Mais en longeant la maison de Dakota, il aperçoit de la lumière en provenance du salon. « Elle devrait pourtant être au lit, à présent » se dit-il en s'approchant des fenêtres pour voir si tout va bien.
Et alors qu'il passe la tête pour regarder en direction du salon, son cœur est comme frappé violement. Dakota est en lingerie, sur son canapé, en train d'embrasser une autre femme, une résidente blonde que Julien n'a encore jamais vue.

La résidente est visiblement bien plus baraquée que Dakota et, vu ses gestes, elle dirige voire domine la petite blonde. Elle lui monte dessus et retire sa culotte en étant claire sur ses attentions.

Et tandis que les filles bougent pour changer de position, Julien se baisse afin d'éviter d'être pris en flagrant délit de voyeurisme. Lorsqu'il repasse la tête par la fenêtre pour voir où elles en sont, il aperçoit Dakota en train de lécher docilement le sexe de la grande blonde.

Puis celle-ci, après avoir longuement profité de l'expertise de Dakota en broutage de minou, se redresse et enfile une sorte de ceinture dont Julien ignore la fonction jusqu'à ce qu'elle y fixe un énorme gode noir. Julien, déjà passablement énervé par le fait que Dakota lui ai menti quant à sa fatigue et à son envie de passer la soirée seul sent alors la jalousie monter en lui.
L'engin, démesuré, même pour Julien qui est pourtant bien équipé, fait également peur à Dakota qui semble s'affoler.

Mais la résidente dominatrice, se montre alors rassurante et, après avoir placé Dakota à quatre pattes, elle se lèche un doigt puis lui enfonce dans son petit cul serré et encore vierge. Dakota semble immédiatement apprécier fortement cette stimulation anale.

Puis la grande blonde le met à lécher avec gourmandise l'anus de Dakota. Elle alterne entre coups de langue, enfonçage de doigts et claque sur les fesses.

Cette obsession pour l'anus de son âme sœur laisse Julien dans une relative incompréhension : y aurait-il un lien entre cette préparation anale et le gode ceinture ? Non, se dit-il alors, un tel monstre de plastique ne rentrera jamais dans le petit cul de Dakota qui, par ailleurs, à toujours refuser cette entrée à Julien.
Et pourtant, à la grande surprise du jeune homme, la grande blonde se redresse et place l'embout du gode sur l'anus de Dakota qui semble se concentrer er respirer fort pour se préparer à une intromission intense.

La blonde appuie avec son bassin et parvient à fait entrer le gland de silicone dans le fion de Dakota qui crie et gémit tant la sensation doit être forte. La dominatrice commence à faire de timides allers-retours sur quelques centimètres afin d'écarter doucement mais surement l'étroit orifice.

Julien enrage de voir son âme sœur offrir ainsi son cul à une inconnue alors qu'elle le lui refuse depuis si longtemps. Mais il n'est pas au bout de ses surprises. Alors que la pénétration anale dure depuis quelques instants et que, petit à petit, elle se fait plus profonde, la grande blonde se redresse pour appuyer de tout son poids et enculer plus sérieusement Dakota. Celle-ci s'écarte elle-même les fesses pour soulager un peu la pression sur son anus et, en même temps se masturbe frénétiquement.

S'en est trop pour Julien. Alors que le visage de son âme sœur semble indiquer un orgasme imminent, il s'éloigne en furie de la maison en direction du reste du quartier.
- Ah on en est là ?? Elle me ment et elle offre son cul à une autre !! Pas de souci, je vais aller me faire plaisir aussi ! Il y en a une, dans ce quartier de tarés, qui va prendre très cher !
A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Épisode 13 - partie 3
Énervé, presque blessé par ce qu'il vient de voir, Julien se met en quête d'une proie à baiser, à défoncer, à enculer. Il a fait évidemment bien pire à Dakota lors de son arrivée ici et, depuis, la monogamie n'est plus une règle dans le quartier mais une exception ! Cependant, il se sent trahit pas Dakota car elle lui a caché cette relation et lui a délibérément menti. Quelqu'un va devoir payer de sa personne, ce soir, pour calmer Julien ! Il pense alors immédiatement à Anissa qu'il venait de voir au tennis peu de temps avant. Anissa est accro à Julien, souhaite de tout cœur entretenir une vraie relation avec lui et est une grande amatrice de sodomie. Par ailleurs, depuis le plan à trois avec Dakota et l'autre résident puis avec Janet, Julien n'a pas eu l'occasion de concrétiser le deal passé avec Dakota. C'est donc la parfaite occasion pour honorer cet accord !
- Bonjour Julien ! lui lance Anissa en le voyant arriver sur le terrain. Si tu voulais admirer mon coup droit, le match est terminé, désolé.

- Je ne suis pas là pour ton coup droit, ni pour ton revers, Anissa, mais pour ton cul !
- Pardon ?
- Tu as très bien entendu... Je suis d'humeur à te défoncer le cul et bien méchamment !
- Mais je ne comprends pas...
- Il n'y a rien à comprendre. Tu es partante ou pas ?
- Oui, évidemment !
- Alors à genoux !
Anissa, trop heureuse que l'occasion tant espérée ne survienne enfin, s'exécute sans hésiter et sort le sexe de Julien pour le sucer, anticipant ainsi ce que le jeune homme avait en tête.

Au bout de quelques secondes d'une excellente pipe, Anissa demande :
- Dis donc, tu ne voulais pas mon cul ?
- Tais-toi et suce. Encore un mot de ta part et je vais trouver une autre résidente à ravager...
Anissa n'ose évidemment pas répondre à cet ordre sans appel et se remet à sucer sagement Julien. Ce sont d'ailleurs les deniers mots prononcés lors de cette séance de sexe bestiale.
Le jeune homme, excité et en colère, profite à sa guise de la bouche de la belle arabe et n'hésite pas à maintenir sa grosse queue profondément enfoncée dans son gosier. Mais, si agréable soit cette gorge profonde, ce n'est pas ce dont a envie Julien. Il veut défoncer le cul de cette femme qui ne demande que ça, elle (contrairement à cette sainte-nitouche de Dakota, se dit-il alors).
Julien redresse donc sans ménagement Anissa, la penche sur le banc du terrain de tennis, désert à cette heure, et lui baisse sa culotte. La jeune femme, malgré une brutalité apparente des mouvements, se complait tout à fait à l'ambiance et dépose elle-même une dose de salive sur son anus afin d'en faciliter la pénétration.
Julien y entre cependant avec un certain empressement et arrache des gémissements de douleur à la pauvre Anissa.

Julien, malgré ces gémissements, ne baisse pas de rythme. Il continue le matraquage mais, dans sa grande bonté, consent à se retirer, cracher une dose de lubrifiant supplémentaire sur l'anus ouvert d'Anissa et repart à l'assaut. L'acte, malgré sa vulgarité, a le mérite de faciliter l'intromission et les gémissements de douleur de la belle brune se teintent progressivement de plaisir.

La rage de Julien, cependant, finit par se calmer et il décide d'en faire autant avec la sodomie qu'il pratique sur Anissa. Il s'assoit sur le banc puis place la jeune femme sur lui. La pénétration est, dans cette position, bien mois profonde et moins brutale. Elle permet également à Julien de masturber Anissa et de l'embrasser amoureusement.

Ce moment, plus tendre, est apprécié par les deux amants mais finit par céder la place à une nouvelle position plus intense. A l'aide d'un coussin assurant un confort relatif, Julien place Anissa en missionnaire sur le dossier du banc et approche sa queue d'un anus que la jeune femme maintien fièrement grand ouvert.

Puis Julien y entre sans ménagement et, à nouveau, défonce le pauvre petit cul d'Anissa. Mais heureusement pour celle-ci, le passage est maintenant bien fait. Ce sont donc uniquement des cris d'un plaisir intense qu'elle émet alors que le français l'encule sauvagement.

Julien, dans cette position, pourrait aisément doigter et caresser Anissa. Mais il décide, pour une fois, de ne penser qu'à son propre plaisir. Il relève les jambes de la belle brune et les joint, ce qui ferme la porte de son beau clito mais dégage complètement celle de son petit trou. Dans cette position, il adopte une allure infernale et ravage le cul d'Anissa qui écarte autant qu'elle peut les fesses afin de soulager la sensation d'écartèlement.

Ce rythme effréné finit pas avoir la peau de l'endurance de Julien qui, d'ailleurs, ne souhaitait absolument pas se ménager mais simplement se soulager. Sentant l'orgasme monter, il se retire et place Anissa à genoux à ses pieds sans lui demander son avis.
La jeune femme n'a, de toute façon, pas besoin d'exprimer un quelconque consentement : elle prend d'elle-même l'initiative de sucer la queue de Julien qui sort tout juste de son propre cul.

La pipe est plus symbolique que fonctionnelle car la jouissance de Julien, de toute façon engagée, explose en quelques secondes dans la bouche et sur le visage d'Anissa. Celle-ci masturbe délicatement son amant préféré et joue avec son foutre chaud puis avale tout ce qu'elle peut.

- Soulagé ? demande alors, timidement, Anissa en rompant le silence de la séance qui venait d'avoir lieu.
- Oui... en partie.
- En partie ? Ouh la, je ne suis pas sûr de pouvoir enchainer sur un deuxième round ! Mon petit cul est en miette...
- Je sais... répond alors Julien se reboutonnant son pantalon et en tournant le dos à Anissa pour s'éloigner.
- Je ne sais pas ce qui se passe, Julien, mais je suis sûre de n'y être pour rien !
Julien se retourne alors et s'approche d'Anissa puis l'embrasse sur le front et lui dit :
- Je le sais très bien et je ne te reproche rien. On se revoit très bientôt.
Puis il s'éloigne à nouveau et sort du stade de tennis. Il n'est, il le sait, qu'en partie soulagé et réfléchit donc à une nouvelle proie susceptible de consentir à une sodomie bien brutale. Il se souvient alors de Kaylin et de sa demande faite plus tôt dans la journée de lui défoncer son petit cul.
Julien se dirige donc en direction du bureau de Julia avec l'espoir d'y trouver Kaylin et de lui offrir ce qu'elle réclamait : une bonne grosse sodomie. Mais, malheureusement pour lui, le bureau est vide en cette fin de journée. Vide ? Pas tout à fait car des gémissements venant du couloir attirent son attention.
Dans une pièce voisine, Linda, l'autre assistante de Julia, est en plein gangbang avec un nombre d'hommes que Julien peine à compter.

Autant la participation à une orgie n'a jamais effrayé Julien, autant, présentement, il a envie de se retrouver seul avec une femme pour la dominer, la défoncer et éventuellement la faire jouir. Pas de faire la queue pour entrer dans un trou béant tout juste visité par une armée d'inconnus avant lui ! Et, enfin, il n'a pas encore eu l'occasion de parler à Linda de son nouveau poste, même si celle-ci semble en avoir compris l'essence. Il se voit donc mal participer à la curée tout en prétendant que cela est strictement professionnel !

Il reste donc en simple spectateur d'un gangbang d'une rare intensité, même selon ses critères et se promet, alors que l'excitation de la scène le fait rebander, de repasser la voir pour trouver un moyen de profiter de son statut de formateur pour s'amuser avec elle.
- Hey, Julien, tu nous rejoins ? demande l'un des participants.
- Non merci Helmut, je ne serais pas où me mettre, hahaha ! répond Julien en se demandant réellement s'il était raisonnable de rajouter une bite dans cette affaire.

- Oh tu sais, avec Linda, il y a toujours de la place ! répondit le fameux Helmut en ajoutant son sexe dans l'anus pourtant déjà occupé de la pauvre rouquine.

« Il y a toujours de la place, pour les copains qui passent » pensa alors dans sa tête Julien qui regretta que les résidents qui l'entouraient ne partagent pas toujours, voire jamais, ses références. Helmut, arrivé ici à l'ère prussienne, n'avait jamais entendu parler d'Elmer Food Beat !
Avoir bien profité de cette scène durant laquelle Linda enchaina la doubles et les triples pénétrations, les doubles anales, les doubles vaginales et tant d'autres choses encore et qui n'allait d'ailleurs pas tarder à se conclure vu la couche de sperme qui commençait à recouvrir Linda...

...Julien se dirige vers la sortie du bureau pour rentrer chez lui, espérant qu'il trouvera une candidate sur le chemin.
Il est cependant interpellé par Linda :
- Attend Julien, tu venais voir comment je m'en sortais pour mon premier jour ? Kaylin m'avait prévenu que tu pourrais passer.
- Oui, c'est bien ça.
- Alors, comment je m'en sors selon toi ? demande naïvement Linda, le visage recouvert de sperme.

Julien hésite alors à répondre et se demande si cette remarque est vraiment innocente, à la limite de l'idiot, ou bien cache une volonté de manipuler. Mais devant le regard relativement vide de l'assistante, Julien se détend et répond :
- Tu t'en sors très bien ! Tu maitrises les grands groupes à la perfection !
- Tant mieux, merci ! Bon j'y retourne, bonne soirée !
- Tu... Tu y retournes ?
- Bah oui, ils m'ont un peu challengé et je m'échauffe à peine... A mon avis, ils demanderont l'arrêt des hostilités avant moi !!
Julien sourit à cette blague malgré son étonnement mais se souvient alors des images provenant de la mémoire de Linda qui a dut calmer les ardeurs de moitiés des généraux américains et soviétiques dans les années 40 et 50. Elle en a arrêté, des hostilités, cette Linda ! pensa-t-il alors en marchant dans la rue.
Comme espéré, le destin lui tend les bras lorsqu'il passe à côté du magasin de lingerie d'Alexa et y trouve Foxy en train de faire l'inventaire des vêtements et de remettre en ordre les rayons.
- Tu travailles tard... dit-il en guise de bonjour à Foxy en entrant dans le magasin.
- Que veux-tu ! Même au paradis, les patrons quittent les premiers et les grouillots s'occupent de tout le reste ! Tu voulais quelque chose ?

- Oui... j'aurais aimé voir quelques modèles de lingerie. Mais j'arrive un peu tard.
- C'est-à-dire... j'ai presque tout rangé. Dakota devra attendre pour avoir son nouvel ensemble !
- Ce n'était pas pour Dakota, répond Julien en s'approchant, le regard prédateur posé sur Foxy. C'était pour moi, pour me faire un peu plaisir, contempler de magnifiques modèles de lingeries que je pourrais... arracher.
- Oh ? Je... je vois mais, heu... tout est rangé et.... bafouille Foxy, manifestement troublée.
- Tu n'as vraiment rien à me montrer ?
- Il... Il y a bien ce que je porte actuellement... Mais ce n'est pas fantastique.
- Sur toi, je parie que n'importe quel sous-vêtement devient sexy, répond Julien en s'asseyant sur le canapé destiné aux clients.
Foxy soulève alors timidement le bas de sa robe pour montrer sa culotte à Julien. Son assurance des jours passés semble avoir disparu devant le tempérament de Julien.
- Foxy... tu me prends pour un de ces culs bénis qui passent leur journée ici ? Tu portes un string, alors montre le moi de manière adaptée : tournes-toi et tend tes fesses.
Foxy obéit alors et se tourne en exposant son magnifique cul tendu au milieu duquel une mince ficelle de tissu peinait à masquer son intimité.

- Beaucoup mieux ! commente alors Julien. Maintenant montre-moi le haut !
- C'est que... je ne porte pas de soutien-gorge.
- Je le sais très bien Foxy... Je t'ai demandé de me montrer le haut. Si tu es seins nus, et bien, montre-moi tes seins.
Foxy s'exécute à nouveau sans autre forme de discussion en baisse le haut de sa robe.

- Et enlève cette robe ridicule, on est dans un magasin de lingerie !
- Julien... je ne te reconnais pas ! réagit Foxy en enlevant sa robe et en exposant à nouveau ses fesses à Julien qui venait de le lui ordonner avec un simple mouvement rotatif du doigt.

- C'est normal car, vois-tu, depuis que je suis arrivé ici, je passe mon temps à travailler pour la collectivité. Je travaille plus que lorsque j'étais vivant et je vois tous les résidents s'amuser et profiter des changements que j'ai initié dans ce quartier. Alors, j'ai décidé, ce soir, de m'amuser moi aussi.
- Je sens que c'est là que j'entre en scène, commente, amusée, Foxy.
- Bingo ! Si ta proposition de l'autre jour à la plage tient toujours, je souhaite ardemment m'occuper de tes fesses.
Foxy, avec un grand sourire illuminant son visage, retire son string et dit :
- Oh oui, la proposition tient toujours ! Figure-toi qu'aujourd'hui, les gens se sont contentés de regarder sagement la lingerie que je leur présentais !
- Tu es frustrée du coup ?
- Tu n'imagines pas à quel point !

Foxy s'agenouille alors devant Julien et lui sort le sexe de son pantalon.
j Salut, toi ! Encore plus impressionnante dans mes petites mains... Mmhhhh !
La jeune russe gobe alors sauvagement la queue bandée de Julien et la suce avec gourmandise.

Puis, entre deux coups de langues, elle demande au jeune homme :
- Dis-moi Julien, c'est quoi ce bon petit gout ?
- Anissa...
- Une partie bien spécifique d'Anissa, on dirait ! ajoute-elle en léchant le gland de Julien.
- Oui, elle était très frustrée elle-aussi et je me suis occupé de son petit derrière !
- Ah c'est pour ça qu'elle boitait tout à l'heure !! Moi qui croyais que c'était à cause du tennis... C'est la soirée où tu décidé de casser les fesses de tout le quartier, on dirait !
- Pas de tout le quartier, Dakota préfère s'amuser avec une copine...
- Ah ? On dirait que les aventures lesbiennes de Dakota t'agacent un peu.
- D'habitude non... mais ce soir, je voulais son cul ! Plus que tout !
- Du coup, c'est moi qui vais prendre cher pour elle ?
- Désolé !
- Ne le soit pas, j'adore ça !
- Alors on passe aux choses sérieuses.
Julien redresse alors Foxy qui était pourtant bien décidée à continuer à le sucer et la plaque pour le mur de la boutique. Il s'agenouille à son tour et commence à lui lécher l'anus. La langue se promène sur les moindres recoins du petit œillet et entre même à l'intérieur.

Puis il lèche également le sexe de Foxy, chaud et trempé et s'enfonce la encore à l'intérieur pour se délecter de sa mouille savoureuse. Il jette ensuite Foxy sur le canapé du salon d'essayage et la place à quatre pattes, le cul totalement tendu et offert.
- Quelle vue ! Ce cul, cette chatte ! commente alors Julien en oubliant que ses gros mots ne sont plus censurés.
Foxy ne relève pas ces grossièretés, qu'elle n'entend probablement pas du fait du système de censure et de traduction automatique, et se contente de repréciser :
- Tu te souviens ce que je t'avais dit à la plage ? Seul mon anus est autorisé, mon sexe est réservé à mon âme sœur, déclare-t-elle en tournant la tête vers Julien qui s'approche d'elle, sexe fièrement dressé vers son cul tendu.
- Je m'en souviens très bien et je te promets que je ne toucherai pas à ton vagin...

Puis, alors qu'il pose son gland sur l'anus lubrifié de Foxy, il ajoute :
- ... par contre je ne te promets rien à propos de l'état de ton derrière après ce que j'ai prévu de te mettre.
- Oh punaise... réagit alors Foxy à ce programme et à l'intromission sans délicatesse de la grosse queue de Julien dans son cul.

En état d'ébullition, Julien ravage le fion de Foxy immédiatement après y avoir fait son entrée. Ses allers-retours sont à la fois rapides et profonds, ses hanches tapent à chaque passage sur les fesses de la petite russe tandis que cette dernière fait son possible pour écarter au maximum son anus afin de faciliter l'intromission.

Rapidement, et malgré que la notion de douleur soit toute relative au bon endroit, l'intensité de la sodomie pratiquée par Julien arrache des grimaces d'inconfort à Foxy entre ses gémissements de plaisir. Celle-ci finit pas demander à Julien se baisser de rythme au risque de ne pas pouvoir continuer bien longtemps.
Refrénant son ardeur, Julien se retire de l'anus de Foxy pour lui accorder une pause et, le gland à quelques millimètres de sa chatte, il hésite fortement à changer de trou. Mais il parvient à respecter sa promesse et délaisse le vagin de la brunette au profit de sa bouche. Foxy avale et suce sans hésitation la queue de Julien sortant à l'instant de son trou du cul. La jeune employée de magasin, habituée des exigences perverses de ses clients, des plages nudistes et des sodomies accordées à des inconnus sait sans doute parfaitement qu'aucun mauvais gout n'accompagne cette pratique au bon endroit...

Ainsi placée sur le côté pour sucer Julien, Foxy ferme quelque peu l'accès à sa chatte mais offre une vue magnifique sur son anus. En grand amateur de trous grands ouverts, Julien en profite pour contourner la belle brune et joue à dilater cet orifice qui n'a plus rien d'étroit.

Puis il le pénètre à nouveau, plus délicatement cette fois, et le lubrifie régulièrement avec la salive de Foxy qu'il va prélever directement à la source avec son doigt. Enchantée et excitée par un défonçage de fion jouissif et sans plus aucune douleur, Foxy suce avidement ce doigt qui fait l'aller-retour entre son cul et sa bouche.

Après plusieurs minutes de pilonnage intense, Julien change de position. Il s'allonge à son tour sur le canapé du salon d'essayage et place Foxy au-dessus de lui, non sans avoir à nouveau testé l'élasticité de son anus.

Puis il cherche à s'enfoncer en elle, à l'aveugle dans cette position, en espérant secrètement se tromper de trou et pénétrer sa chatte « accidentellement ». Mais Foxy veille au grain et dirige elle-même le sexe bandé à l'entrée de son cul. Sa chatte n'est pas délaissée pour autant car la belle brune commence à se doigter et à se caresser pendant que son amant du moment l'encule sauvagement.

Julien n'a jamais cherché à bloquer le plaisir féminin lors de ces relations et cherchait même le plus possible à associer plaisir et acte sexuel intense afin que ces compagnes en redemandent ! Mais l'interdiction de toucher au sexe de Foxy l'irritait. Alors, il saisit ce prétexte pour faire pivoter Foxy face à lui, l'empêchant ainsi de se caresser, et lui dit :
- Si je ne touche pas à ta chatte, personne n'y touche ! C'est, comme tu l'as dit, réservé à ton âme sœur !
- Tu es dur...
- Je sais, répond Julien avec un sourire diabolique et attrapant les hanches de Foxy pour imposer un rythme infernal dans son petit cul.

Cela fait à présent près de 30 minutes que l'anus de Foxy est défoncé en continu et, à nouveau, celle-ci demande une pause. L'endurance de Julien la surprend énormément et la prend franchement au dépourvu. Julien accepte cette demande de répit mais uniquement en échange d'une nouvelle pipe !
A genoux devant Julien qu'elle suce avidement, Foxy essaie à nouveau de se caresser mais Julien, dominateur et prenant la jeune femme à son propre jeu, lui interdit à nouveau de jouer avec sa chatte.

Puis après avoir laissé un peu de temps au fion de Foxy, Julien retourne à l'assaut, en position du missionnaire cette fois-ci. A peine son gland est-il entré en elle que la jeune femme commence à se caresser.
- Qu'est-ce que j'ai dit ?? Pas de contact avec ton sexe !
- Julien, je t'en prie, il faut que je jouisse !
- C'est non négociable... pas respect pour ton âme sœur !
- Et si c'est toi qui me caresse et me fait jouir ? demande Foxy en écartant généreusement ses lèvres vaginales et exposant ostensiblement son clitoris.
- Ah... Là c'est différent... j'accepte !

Julien, investit pas une mission supérieure, reprend donc à rythme posé la pénétration anale tout en caressant vigoureusement le clitoris de Foxy.
- « respect de mon âme sœur » mon œil ! commente Foxy en voyant le plaisir non dissimulé de Julien à jouer avec sa chatte.
- Tu veux que j'arrête ?
- Non... continue... petit malin, tu as bien joué avec moi... ne t'arrête pas..... je sens que ça vient..... Encore.... Enco.... AAAHHHHHH !!!!!!!!!

Les doigts experts de Julien provoquent un puissant orgasme qui secoue les entrailles de Foxy. Sa chatte tremble de plaisir et son anus se resserre brutalement sur le sexe de Julien. Celui-ci manque alors de lâcher trop rapidement la purée. Voulant absolument conclue par une faciale, il se retire précipitamment, arrachant au passage de nouveaux cris de plaisir à Foxy, et se place au-dessus de son visage qu'il recouvre immédiatement.

Foxy, encore sous l'effet magique de son orgasme, avale sans qu'on ait à lui demander le sperme ayant échoué dans sa bouche et joue avec le sexe de Julien.
- Meilleure sodomie de ma vie ! déclare-t-elle enfin en regardant Julien dans les yeux, presque amoureusement.

- Dans cette vie ou dans cette d'avant ?
- Les deux mon général ! Tu es un amant incroyable, Julien, Dakota a énormément de chance.
- Faudrait-il encore qu'elle veuille en profiter ! répond Julien, amère.
- Ah bon ? Vous ne faites pas l'amour ?
- Si. Et c'est excellent. Mais elle refuse obstinément la sodomie.
- Ah bon ? Je croyais pourtant que...
- Que ?
Puis Foxy s'interrompt en voyant le regard étonné de Julien et termine sa phrase en changeant de sujet.
- En tout cas, avec moi, tu seras toujours le bienvenu. Mon derrière est à ta disposition à ta volonté !
- C'est bon à savoir !
- Je ne plaisante pas Julien : à volonté. J'ai des besoins à combler, c'est clair ?
- Parfaitement clair !
Vidé, épuisé mais avec un moral quelque peu remonté, Julien rentre chez lui en évitant soigneusement de passer à côté de la maison de Dakota, au risque de la voir au lit avec il ne sait quel résident. Dans son lit, Julien rumine. Qu'a voulu dire Foxy en parlant de Dakota et de la sodomie ? Est-elle au courant de ses relations bisexuelles dans lesquelles elles semblent pratiquer sans souci la pénétration anale ? Julien est-il au final le seul résident à ne pas encore enculer sa femme ?? Toutes ses questions le rendent malade et c'est finalement la perspective d'avoir d'autres culs à disposition, celui d'Anissa, de Dakota, de Kaylin ou encore de Linda, qui l'apaise et lui permet de s'endormir.
A suivre....
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The Good Place - Episode 14
La nuit de Julien a été très agitée et, pour la première fois, ce n'est pas un rêve issu de sa vie passée qui l'a visité mais un cauchemar généré par les évènements de la veille.
Tout avait pourtant bien commencé dans ses songes puisqu'il observait, en voyeur assumé, Dakota s'amuser avec une autre fille. L'âme sœur de Julien léchait avec gourmandise la chatte de cette inconnue et le regardait avec passion et, aussi, une pointe de provocation.

Dakota était clairement joueuse et s'amusait à s'exhiber devant un Julien impuissant, incapable d'interagir, avant de retourner batifoler avec cette belle inconnue.

A mesure que la frustration de Julien grandissait dans son rêve, la scène évoluait. Dakota était à présent avec non pas une mais deux femmes et le ravissant trio s'apprêtait manifestement à bien s'amuser. Mais, détail étrange, les cheveux de Dakota étaient différents, passés du blond au brun auburn.

Le jeu des trois filles était loin d'être sage. L'une d'elle avait manifestement décidé de s'amuser avec l'anus de ses deux partenaires dont Dakota. Celle-ci se faisait goder le derrière sans ménagement et semblait adorer cela. A nouveau, Julien ne pouvait qu'assister à la scène sans pouvoir intervenir.

Le cul de Dakota est le centre de toutes les attentions et les deux autres femmes s'amusaient à le pénétrer dans toutes les positions. L'âme sœur de Julien gémissait bruyamment sans que celui-ci n'arrive à savoir s'il s'agissait de plaisir ou de douleur...

Cette sensation d'impuissance avait, à nouveau, fait évoluer le rêve vers quelque chose de bien plus sombre. Dakota était dans une rue déserte, en pleine nuit et son apparence avait encore changé. Elle avait les cheveux gris violacés, des yeux profonds et sombres et elle fumait. Un détail qui embarrassait beaucoup Julien car au bon endroit, surtout lorsqu'on est ancienne addictologue, on ne fume pas !

Dans ce rêve devenu cauchemar, l'ambiance était glauque et Dakota regardait Julien sans lui prêter attention, se contentant de marcher dans une direction inconnue et de fumer. Ses yeux étaient de plus en plus sombres et le corps de Dakota était plus maigre, plus tatoué. Elle avait l'allure d'une camée, se dira Julien plus tard après son réveil. Une allure presque... démoniaque.

Mais Julien n'en a pas fini avec le glauque ! Son rêve se développe et la scène évolue. Il voit Dakota, toujours à l'apparence si anormale en pleine action avec un homme qui n'est manifestement pas Julien vu la couleur de sa peau et la taille de son membre ! Elle le suce avidement et enfonce cette énorme queue dans son gosier pendant que l'homme lui titille l'anus.

Puis, après avoir joué avec le petit trou de Dakota, l'inconnu, à l'allure humaine mais avec une voix très grave, très profonde, presque démoniaque là encore, saisi Dakota et l'empale directement sur sa queue en pénétrant sans ménagement son anus.
Dakota se fait enculer brutalement mais n'est que très peu active. Elle regarde simplement l'énorme bite de l'homme disparaitre dans son fion puis réapparaitre dans un rythme infernal, en gémissant bêtement de plaisir. Ses mots sont à peine articulés et elle se comporte presque comme une possédée. Elle gémit, tire la langue, bave et louche au rythme de l'homme qui lui ravage le cul.

Le corps de Dakota dans ce cauchemar est maigre et recouvert de tatouages. Mais il est également porteur des traces de l'intense baise en cours. Les seins et les fesses de Dakota sont marqués par les pincements et les claques que l'homme à la voix de démon lui inflige sans que cela ne semble la gêner. Surtout, ce corps est déformé par la bite monstrueuse qui, lorsqu'elle change de trou, laisse derrière elle un orifice béant, grand ouvert.

Le cauchemar a duré bien trop longtemps au gout de Julien qui, dans son sommeil, s'est retourné à de multiples reprises, en sueur. Après de nombreux changements de trous et des gorges profondes brutal, le ravage de Dakota se termine par une éjaculation faciale massive qui recouvre sa peau et rempli sa bouche. Mais la jeune femme, à l'allure toujours aussi déroutante, ne se contente pas de se faire recouvrir. Elle avale goulument la semence de l'homme en récupérant tout ce qu'elle peut sur son visage et en faisant cela, elle regarde Julien dans les yeux.

C'est ce regard, à la fois provocateur, soumis et vide de sentiment qui réveille Julien, en sueur.
Ce cauchemar, horrible, laisse Julien bouleversé en ce début de journée. Et il lui donne un sentiment de trahison de la part de Dakota alors qu'il sait pertinemment que cette dernière n'y peut rien. Alors qu'il envisageait d'aller voir son âme sœur aujourd'hui pour parler avec elle, obtenir des explications sur ce qui s'est passé hier et se rabibocher, Julien estime qu'il est préférable d'attendre encore un peu, de peur que sa rancœur ne gâche cela.
Il décide donc d'éviter Dakota aujourd'hui et préfère se concentrer sur son travail, c'est-à-dire... pervertir le quartier et sauver sa peau ! Sa mission du jour, si son plan fonctionne comme il le souhaite, est de pousser Julia dans les bras d'Asa après avoir, hier, préparé le terrain. Cette victoire serait pour Julien un élément crucial dans la stabilisation de sa situation au bon endroit car elle lui offrirait le soutien inconditionnel d'Asa et, accessoirement, une belle maitresse en plus.
Souhaitant d'abord s'assurer que la discussion entre Julia et Dakota puis la séance de sexe lesbien qui a suivi ont portés leurs fruits, Julien se rend directement chez l'architecte. En entrant dans le bureau, Julien découvre Kaylin à son bureau en train de ranger des dossiers.

- Bonjour Kaylin, tu travailles aujourd'hui ? Je croyais que ce serait au tour de Linda d'assurer le poste.
- Bonjour Julien. Oui c'était au tour de Linda normalement mais a priori, sa soirée a été chargée hier et elle avait besoin de repos ce matin. Elle a fait des heures supp' ?
- Oh oui ! répond Julien en souriant à Kaylin. Elle a eu une grosse soirée en effet et aura au moins besoin de sa journée pour s'en remettre...
- Ils étaient combien ? demande alors Kaylin en ayant très bien compris en quoi avait consisté le travail de Linda.
- Cinq, je crois... Mais il est possible que d'autres résidents aient rejoins le groupe par la suite.
- Ah oui quand même...
- Voilà ! Julia est là ?
- Oui, dans son bureau. A plus tard, Julien.
- A plus tard.
Julien passe l'accueil de Kaylin et entre dans le bureau de Julia après avoir frappé à la porte. Julien la découvre vêtue d'un magnifique ensemble de lingerie noire. Julia tourne la tête vers la porte et salue le jeune homme.
- Bonjour Julien !

- Bonjour Julia... Tu es bien joyeuse...
- Oui ! Je m'amuse depuis hier à essayer de nouvelles enveloppes pour moi, j'adore ça !
- Des enveloppes ?
- Des corps, si tu préfères. Je change d'apparence en essayant de voir si je ne pourrais pas ajuster mon enveloppe extérieure à la nouvelle ambiance qui règne dans le quartier.
- Ok... d'ailleurs là, on dirait qu'il s'agit de ton corps numéro 2, enfin, pas celui de d'habitude.
- Exact ! Tu deviens observateur... Je l'ai ressorti du placard, si je puis dire, après avoir essayé plein d'autres versions. Tu veux les voir ?
- Heu, je venais pour te parler d'un truc mais ça peut attendre. Vas-y, montre-moi les autres versions de toi !
- Formidable ! Bon déjà, j'ai commencé par me demander ce qui plaisait aux résidents dans mon corps « classique » en regardant mes bases de données humaines. J'ai pris les critères les plus récurrents et j'ai poussé les curseurs un peu plus loin. Et voilà ce que ça donne.
Sous le regard médusé de Julien, le corps de Julia se met à se transformer de manière progressive, presque naturelle, avec sa peau qui se déforme harmonieusement, ses traites qui changent et ses vêtements qui se transforment. Apparait alors une femme que Julien aurait pu caractériser de stupide bimbo s'il ne s'agissait pas en réalité d'un être tout puissant... Julia avait l'apparence d'une blonde peroxydée, à la poitrine exagérément siliconée, au ventre artificiellement plat et aux fesses artificiellement rebondies.

- Houlà ! Ça change ! commenta Julien en essayant d'être poli.
- Oui, n'est-ce pas... Tu aimes ?
- Je peux être honnête ?
- Que peux-tu être d'autre ? Le mensonge n'est pas spécialement bienvenu dans le quartier, Julien....
- Évidemment, je voulais dire être franc, sans que ça te vexe, se rattrape alors Julien en essayant de gommer sa bourde.
- Vas-y !
- Je trouve que c'est trop. Trop artificiel, trop poussé. Ton corps d'avant était plus vrai, avec certains défauts, certes, mais dans un ensemble harmonieux et franchement plaisant à regarder ! Là, on dirait une...
- Une bimbo ? Oui, je sais, c'est ce que mes capteurs d'apparence laissent entendre. Le taux de compatibilité visuel avec un humain mâle moyen est correct mais avec mes résidents, il est assez faible en réalité. Je suis d'accord avec toi que ce n'est pas concluant. Et c'est pour cela que j'ai revu mes critères à la baisse, sauf deux qui me semblaient important : l'âge et la taille des seins.
Le corps de Julia change alors à nouveau sous les yeux de Julien et c'est une déesse d'un autre niveau qui apparait. Une femme plus jeune, plus naturelle en apparence, bien plus jolie que la précédente et, surtout, avec une énorme paire de seins. Une paire de seins à la taille démesurée, même d'après les critères de Julien. Et pourtant des seins qui se tenaient à peu près et exerçaient un réel pouvoir de séduction sur le jeune homme.

- Julia, tu es superbe dans ce corps, c'est clair. Mais je crains que tu n'aies poussé le bouchon un peu loin sur la taille des seins. Je les trouve personnellement un peu gros et je pense que la plupart des résidents seront de cet avis.
- C'est vrai que tu dois aimer les petits seins, vu que Dakota a été désignée comme ton âme sœur idéale. Alors, j'ai une version avec des seins un peu plus petits, regarde.
Un nouveau corps apparait, avec en effet une poitrine plus petite bien que encore d'une taille plus que respectable. La fille devant Julien est une bombe, clairement. Mais ce n'est plus Julia, plus du tout.

- Julia, tu es... superbe. Absolument superbe. Et je peux te garantir que ton taux de compatibilité avec la plupart des résidents sera exceptionnel.
- Il l'est, en effet. Je suis très contente de ce corps !
- Oui mais, ce n'est plus notre Julia, notre architecte. Tu n'as pas 25 ans sous cette apparence.
- J'ai 3500 ans d'existence, je te signale ! Et je ne suis pas si vieille comparée à certains collègues.
- 25 ans en âge humain, Julia. Tu as l'air d'une jeune femme sortie du lycée ! Je ne suis pas sûr que les résidents te voient toujours comme notre cheffe toute puissante.
- Oh, tu n'es jamais content on dirait, Julien. Je t'apparais dans une forme superbe, et tu n'es ni satisfait ni attiré !
- Oh si, je suis très attiré par ce corps, je t'assure. Simplement, je pense que ce qu'on cherche en toi, c'est aussi une certaine maturité. C'est toi-même qui m'avais dit que ton corps avait été choisi d'un certain âge pour représenter une figure rassurante...
- C'est vrai... Bon, j'essaie une autre enveloppe. Je garde tous les critères physiques en l'état et je me rajoute une quinzaine d'années. Tu valides ?
- Allez, on essaie.
Le résultat de l'expérience dépasse alors toutes les attentes de Julien. L'architecte apparait sous la forme d'une femme superbe, d'un âge idéalement choisit entre la Julia de base et la précédente apparence. Sa poitrine est grosse mais pas trop. Son corps est magnifique. La MILF dont pourrait rêver n'importe quel homme. Un taux de compatibilité de 100 % à coup sûr !

- Whoaa, c'est fabuleux. Je n'ai... rien à dire. C'est parfait.
- C'est vrai ? Pas de remarque ? Même pas sur la taille de ma poitrine, répond sarcastiquement Julia qui, aussitôt, révèle son énorme paire de seins.

- Non, pas de remarque. Tes seins sont... beaux, gros, naturels, parfaitement dessinés...
- Bien... et mon sexe ? Regarde bien mon sexe, tu as sans doute une objection quelconque...
Julia retire alors son string et expose sa magnifique chatte sous le nez de Julien qui ne peut qu'admettre que, là encore, le résultat est parfait.

- Par tous les architectes titulaires, j'arrive à satisfaire Julien ! Je n'y croyais plus ! s'exclame alors Julia.
- J'ignorais que tu maîtrisais à ce point le sarcasme, Julia. C'est quelque chose de compliqué, même pour un être tout puissant comme toi !
- Je sais, je m'entraine avec toi car je sais que je peux me permettre bien plus de chose devant toi que devant un autre résident.
- Ça me touche... répond Julien sans être certain que ce compliment ne cache pas une remarque plus profonde et potentiellement plus dangereuse.
- C'était sincère, cher Julien. Au fait, tu voulais me parler de quelque chose ?
- Ah oui. C'était à propos de votre conversation avec Dakota à propos des relations homosexuelles. Je voulais savoir comment ça s'est passé.
- Oh, formidablement. Nous avons abordé le fait que certaines résidentes (mais j'imagine que c'est le cas également pour des résidents) rencontraient des difficultés à s'épanouir sexuellement et sentimentalement avec un partenaire du même sexe. Et j'ai convenu qu'il était évidemment hors de question qu'un tel mal-être perdure au bon endroit !
- Evidement. Mais... comment dire... j'ai l'impression que ton corps revient à la normale, Julia.
En effet, la femme nue, jambes écartées, qui était devant Julien avait repris l'apparence que le jeune homme, ainsi que le reste du quartier, avait toujours connu.

- Ah, c'est normal, ma toute dernière apparence, celle qui t'a tant plu, est trop récente, pas assez stable. Mon apparence de base reprend spontanément le dessus, surtout si je ne me concentre pas.
- Ah ok... Mais tu pourras reprendre la forme précédente à l'occasion ?
- Oui, et même durablement si nécessaire. On dirait que monsieur aimerait bien essayer en profondeur ce nouveau corps !
- Oui, en effet ! Mais nous verrons cela une autre fois... Tu disais que tu souhaitais que ce mal-être disparaisse ?
- Evidemment et j'ai pu par ailleurs découvrir grâce à Dakota que le sexe lesbien pouvait être aussi bon que le sexe hétérosexuel.
- Oh ? Tu as... couché avec Dakota ?
- Oui et c'était fabuleux ! Elle ne t'a rien dit ? J'espère que cela ne te dérange pas.
- Elle a évoqué une discussion « poussée » mais je n'avais pas compris à quel point ! Et non, il n'y a aucun souci, nous avons de toute façon des rapports toi et moi, il n'y a donc pas de raison que Dakota ne profite pas également de tes talents !
- Je dirais plutôt que c'est moi qui ai profité des siens ! Dakota est extrêmement douée lorsqu'il s'agit de faire jouir une femme... Rien que d'y penser, je sens ma production de cyprine monter en flèche, ajoute Julia en caressant son sexe en effet humide.

- Oui elle est très douée, je le sais ! Et pas que pour faire jouir des femmes ! Du coup, je suppose que les résidentes lesbiennes ou bisexuelles n'ont plus de souci à se faire et trouver dans le quartier la même liberté que les hétéros ?
- En effet, idem pour les hommes évidement.
- Bien sûr. Au fait, je pense que tu es toi-même bisexuelle, Julia, vu la plaisir que tu as pris hier avec Dakota.
- En réalité, comme pour le reste de mes capacités, je suis tout à la fois. Hétéro, homo, bi, qu'importe du moment que cela peut améliorer la vie de mes résidents. Simplement, je découvre cela progressivement.
- Du moment que le quartier fonctionne bien !
- Tout à fait !
Soudain, Julia cesse les caresses qu'elle continuait de se faire doucement au niveau de son clitoris et se dirige vers une pièce au fond de son bureau en attrapant une serviette au passage.
- Si ça ne te dérange pas, je vais attendre Asa qui doit venir me masser. Elle doit arriver d'un moment à l'autre.

Julien sait alors qu'il a un coup à jouer mais doit d'abord aller voir Asa pour lui parler. Mais il est également bien excité par tous les corps de femme différents qu'il vient de voir et par le comportement de Julia. Cédant, une fois de plus, à l'excitation plutôt que de jouer la prudence, il suit Julia dans la pièce attenante au bureau.

- Tu avais encore besoin de quelque chose, Julien ? demande Julia assise sur un rebord carrelé de cette pièce ressemblant à une salle de bain.
- Oui... je voulais te demander un service...
- Je vois... dit alors Julia en faisant tomber sa serviette et en écartant les jambes. Tu as envie d'une partie de jambe en l'air ?

- Oh, je crains de ne pas avoir le temps pour une partie de jambes en l'air... Et pourtant j'en ai envie ! Par contre, j'aimerais beaucoup que tu reprennes l'apparence d'un des modèles que tu as essayé tout à l'heure.
- Mmhh tu aimerais revoir la dernière version, celle qui t'a tant plus ?
Julien pose alors la main sur la poitrine de Julia et, tout en la caressant, répond :
- A vrai dire, j'aimerais revoir le deuxième modèle, celui où tu avais une énorme poitrine...

Julia prend alors une mine contrariée et repousse Julien en se masquant les seins :
- Je croyais que c'était trop ? Et que tu préférais les petits seins ? Comme ceux de ton âme sœur... Et du coup, les miens ne te plaisent pas tant que ça en fait !

- J'aime les petits seins, c'est vrai. J'aime aussi les moyens et les gros. Et les tiens, évidemment. En fait, j'aime tous les seins ! Mais je n'avais jamais vu de poitrine aussi grosse tout en étant aussi ferme. Sur terre, ce genre de chose n'était possible qu'avec du silicone. Je suis donc très curieux de les voir à nouveau.
- Mouai... admettons, répond Julia, toujours avec un bras qui masquait sa poitrine, comme pour signifier sa contrariété.

Tout en gardant son bras en position, Julia se fige et commence sa métamorphose. Ses traits se lissent progressivement et son visage semble rajeunir de plusieurs années à chaque seconde. La peau de son ventre se retend et s'aplatit. Ses seins, évidemment, gonflent de manière impressionnante et Julien pense à un moment que l'expansion de s'arrêtera jamais. La serviette qui était au pied de Julia se matérialise sur la tête de la, à présent, jeune femme blonde, et lui maintient les cheveux en hauteur pour bien lui dégager la poitrine.
- Et voilà ! commente alors Julia en observant avec envie la bosse déformant le pantalon de Julien.

- Tu sais que tu me tortures, là ? Et que ce n'est pas très « bon endroit » comme attitude ? répond, avec une pointe de défi, Julien.
- De la torture ? Oh, tu parles de mon bras cachant mes seins ? Je t'assure que par rapport à ce que font subir mes collègues à tes congénères au mauvais endroit, ce n'est pas grand-chose ! Mais... soit...
Avec un air d'une princesse accordant une faveur à un prétendant, Julia se tourne de côté et décale sa main de manière à ce qu'un de ses seins soit en grande partie visible avec seulement le téton encore caché par ses doigts.

- Ahhrrr tu es diabolique, Julia !
Le regard de l'architecte se pose alors sur Julien. Ses yeux sont sombres et glaciales, son visage est fermé. Le temps semble comme suspendu... Un minuscule rictus déforme sa lèvre supérieure et lui donne un semblant de sourire parfaitement malsain. Julien avale sa salive en se disant qu'il a sans doute franchi une limite qu'il n'aurait jamais dû ne serait-ce qu'approcher.

Puis soudain Julia reprend son sourire habituel et répond, comme si cet instant de tension extrême n'avait jamais eu lieu :
- Diabolique ? Non, je suis angélique ! Bureaucratique et procédurière, certes, mais angélique. D'ailleurs regarde...
Julia lève alors ses doigts et révèle son téton, jusqu'alors dissimulé. Le sein, enfin découvert est aussi gros que beau et il fait se dissiper le malaise qui venait de s'installer dans la tête de Julien.

- C'est magnifique ! finit-il par commenter après de longues secondes de contemplation.
- Tant mieux. Je pourrai ressortir ce corps pour que tu t'amuses avec... si tu es sage ! Et maintenant file, Asa ne va pas tarder et je ne veux pas qu'elle me voit dans cette nouvelle enveloppe. Cela fait 500 ans qu'elle est habituée à la version classique !
L'évocation d'Asa fait revenir Julien à la nécessité d'agir vite pour que son plan se concrétise. Il salue Julia et sort de son bureau avec l'intention d'aller au salon de massage d'Asa avant que celle-ci ne parte.
Le destin, à nouveau, décide de placer un objet de tentation supplémentaire pour Julien. En effet, Kaylin, qui était sagement assise à son bureau il y a encore peu de temps, et à présent à quatre pattes sur ce même bureau en train de sucer un résident. Elle regarde, la bouche pleine, Julien qui s'approche en lui faisant un clin d'œil et en remuant ses belles fesses bien tendues.

Julien sait pertinemment qu'il ne peut pas se permettre d'arriver en retard chez Asa. Il se contente donc de saluer le résident, de féliciter Kaylin pour son professionnalisme et pose une main sur son cul tendu pour le caresser. Du bout du doigt, il frotte le sexe de l'assistante au travers de sa culotte et enfoncer une phalange dans un vagin déjà trempé et bouillant.

Kaylin gémit de plaisir et il faut la plus grande des déterminations et une volonté de fer pour ne pas céder à la tentation. Il retire son doigt, souhaite une bonne journée au résident et sort du bureau de Julia pour se rendre chez Asa, à quelques pas de là.
Il entre dans le salon de massage géré par la belle asiatique et découvre celle-ci en sous-vêtement, en train de mettre sa blouse.
- Bonjour Julien, si tu viens pour un massage, je suis désolée mais je dois aller chez Julia.

- Je sais et c'est pour cela que je viens te voir. Je pense qu'aujourd'hui, tu vas pouvoir t'envoyer en l'air avec Julia !
- Pardon ?
- Je t'explique...
Julien revient alors sur les évènements de la veille après avoir discuté avec Asa, comment il a convaincu Dakota de jouer les frustrées du point de vue des relations lesbiennes, comment elle a discuté de ce problème avec Julia en lui faisant comprendre que certains résidents n'étaient pas aussi heureux qu'ils pourraient l'être et comment le sexe lesbien pouvait être jouissif (Julien ne donne que peu de détail sur cette partie pour ne pas énerver Asa, se contentant d'allusions). Puis il évoque sa conversation récente avec Julia et, enfin, aborde son plan pour qu'Asa mette enfin Julia dans son lit.
- C'est très impressionnant, commente Asa, l'air visiblement emballée.

- Tu crois vraiment que ça peut marcher ? ajoute-t-elle.
- Oui, si tu suis mon plan, si tu montres clairement à Julia que tu es malheureuse.
- Ce plan implique du mensonge.... Elle va sans doute s'en apercevoir.
- Je ne pense pas. Depuis que je suis arrivé ici, je passe mon temps à mentir pour m'en sortir et transformer ce quartier en baisodrome géant. Soit Julia ne détecte pas les mensonges soit elle décide de les ignorer pour sauver le quartier. De plus, dans ton cas, tu souffres réellement de cette situation, de cette frustration. Elle verra ta peine qui est réelle et sincère et ne verra pas le bobard qu'on a construit autour. Va chez elle, masse là, laisse la te raconter sa soirée et ses récente découvertes puis fais comme je t'ai dit. Tu verras.
- Ok Julien, je te crois, c'est parti !
Julien salue donc Asa et se dirige vers la porte de sortie quand la jeune femme le rappelle. Il se retourne et la découvre alors de dos, entièrement nue.
- Ton investissement pour résoudre mon problème me fait réellement plaisir, Julien, dit-elle en s'approchant de sa table de massage.

Elle grimpe alors sur les coussins en cuir et se place à quatre pattes, le cul tendu vers Julien. La vue sur sa chatte et son anus est parfaitement dégagée et Julien se demande alors s'il s'agit d'une invitation. Asa tourne la tête vers lui et dit :
- Je sais que tu as très envie de me ravager, à cet instant présent. Et je sais que tu es un des rares résidents à ne pas avoir pu s'amuser avec moi ces dernières semaines. Je m'aperçois à présent que c'était sans doute un peu dur de ma part.

- Côtoyer une bombe comme toi au quotidien sans pouvoir en profiter n'a pas été simple tous les jours, en effet.
- Je sais. Mais si, aujourd'hui, je couche avec Julia, tout va changer. Et je le souhaite de tout cœur...
- Ah ?
- Oui... Vois-tu, j'ai eu à masser plusieurs de tes conquêtes ces derniers jours. Des femmes comblées, ne tarissant pas d'éloges concernant tes performances mais ayant le plus mal à se remettre physiquement des séances de sexe avec toi. Elles m'ont dit que tu étais une bête lorsque tu le voulais...
- J'admets y aller un peu fort, parfois.
- Ne te méprends pas ! Toutes ces histoires m'ont excitées comme jamais. Ce cul, tendu, qui est sous ton nez sera tout à toi si ton plan réussit. Si ce plan marche, tu pourras me faire tout ce que tu veux, quand tu veux. Et j'ai été la geisha d'un seigneur de guerre et de ses généraux : j'en ai vu des vertes et des pas mures !
- Alors... croisons les doigts pour que ça marche ! Et je peux te garantir que tu ne vas pas être déçue car, ce que t'ont raconté toutes ces femmes à mon propos, ça n'est que la face immergée de l'iceberg. Avec elles, je devais me retenir, mais toi, tu auras la vraie version de moi.
- Bordel, tu me rends dingue ! Tu sais... si tu insistes... on pourrait...
- A plus tard, Asa, tu as un rendez-vous important qui t'attend ! la coupe alors Julien qui, sachant sa victoire proche, préfère faire monter la pression et l'envie chez la belle asiatique.
Il sort du salon de massage puis se dirige vers chez lui en sachant qu'il lui suffit à présent d'être patient.
A suivre...
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The Good Place - Episode 14, partie 2
Seul dans sa maison parfaitement adaptée à un résident qui n'est manifestement pas lui, Julien attend avec anxiété le retour d'Asa pour découvrir si son plan a fonctionné. Plus tôt dans l'après-midi, pour faire passer le temps dans un « bon endroit » où il n'y a rien à faire à part être heureux, il a fait son petit tour habituel du quartier en croisant, un peu plus tous les jours, des résidentes très légèrement habillées.

Il a visité quelques commerces, où clients et vendeurs sont tous plus exhibitionnistes et pervers les uns que les autres...


...le magasin de lingerie, où les résidents viennent aussi bien se rincer l'œil qu'acheter des sous-vêtements les plus affriolants qui soient...

... la bibliothèque, immense, conservant la totalité des ouvrages jamais écrit par l'Humanité et dans laquelle Julien n'est entré qu'une seule fois jusqu'à présent mais qui s'avère finalement un endroit fort chaleureux...


...ou encore une balade dans la forêt entourant le quartier, forêt qui ne connait pas de fin, dont les différents sentiers reviennent inexorablement vers les habitations et qui est devenu, au même titre que la plage, un lieu de rencontre libertin entre résidents.

Cette promenade dans le quartier a été autant excitante que frustrante car, à son retour, la maison de Dakora était à nouveau vide. Julien, qui souhaitait profiter d'une accalmie dans sa journée pour discuter avec son âme sœur se retrouve à nouveau chez lui, seul, énervé, excité et, ne l'oublions pas, anxieux quant à l'issue de son plan.
Il lui aura fallu attendre la fin de journée pour qu'enfin Asa vienne lui rendre visite et faire un compte-rendu de la situation.
- Asa, je commençais à m'inquiéter ! Dis-moi tout, comment ça s'est passé ?
Le visage d'Asa, fermé, s'illumine alors et elle répond :
- Ah, je voulais te faire marcher mais je n'y arrive pas ! Tout s'est parfaitement bien passé et je suis à présent la plus heureuse des macchabées !

- Tant mieux ! répond alors Julien avec un soulagement non feint. Allez, je veux des détails !!
- Oh mais j'allais t'en donner.
Asa commence alors le récit de son après-midi avec Julia. Elle précise que la séance de massage a débuté plus sagement que d'habitude car Julia voulait simplement un petit massage des épaules et avait gardé son peignoir. La frustration d'Asa était alors forte d'autant que l'architecte s'est confiée à elle concernant l'intense partie de sexe qu'elle avait eu avec Dakota. Asa a patiemment écouté Julia faire l'élonge du sexe lesbien et s'est retenu de lui sauter dessus pour la violer !

Puis elle indique avoir suivi le plan de Julien. Elle a profité que Julia s'absente pour aller se doucher (non pas pour se laver car un être tout puissant comme elle ne se salit pas, mais pour enlever l'huile de massage de son dos) et est allé dans ses appartements privés.
- Elle a des appartements privés ? s'interroge Julien. Je croyais que c'était tout... immatériel. En fait je ne me suis jamais demandé où allait Julia à la fin de la journée.
- Et bien elle va dans ses appartements privés, que seuls les très anciens résidents comme moi connaissent. Et, en effet, si elle a besoin d'une mise à jour ou si elle a une réunion avec un supérieur, elle va dans un endroit réservé aux architectes qui, de notre point de vue, est immatériel. Bref...
Asa continue son récit et indique donc qu'elle trouvé les sous-vêtements du jour de Julia et, comme l'a proposé Julien, les a sentis au moment où elle entendait Julia sortir de la douche.

Comme prévu, Julia a surpris Asa en plein acte gênant et s'en est étonnée.

- Elle m'a demandé pourquoi je sentais ses sous-vêtements. Et lorsque je lui ai répondu qu'elle sentait bon, elle a rigolé en précisant que tout le monde sentait bon au bon endroit ! Elle a même proposé de mettre en place des distributeurs de sous-vêtements usagés pour me faire plaisir...

- Notre Julia a parfois du mal à se comporter autrement qu'un programme informatique ! répond Julien à Asa qui lève les yeux au ciel en acquiesçant.
- Du coup j'ai dû être plus directe : je lui ai dit que c'était SON odeur qui me plaisait et même m'excitait. Je lui ai alors dit la vérité nue : que cela faisait des siècles que j'étais amoureuse d'elle, que je la trouvait superbe et que j'avais envie d'être bien plus que son assistante.

- Elle s'est alors approchée de moi, a commencé à ouvrir ma chemise et m'a indiqué qu'elle était tout à fait disposée à m'offrir du plaisir sexuel si cela pouvait faire mon bonheur. Elle a même indiqué qu'elle commençait à avoir de l'expérience en la matière.

- Elle m'a ensuite embrassé en prenant ma main et en la posant sur sa poitrine dénudée. Ce premier baiser était magique, au-delà de ce que je m'imaginais.
- Mais ?
- Tu as deviné, il y a un « mais »...

- Ce baiser était bon, « mais » la manière par laquelle il est arrivé ne me convenait pas. Je quitté les lèvres de Julia et clarifier les choses. Je lui ai dit que j'avais besoin plus que d'un simple plaisir sexuel. Je pouvais avoir toutes les résidentes que je souhaitais pour cela. Je lui ai redis que j'étais amoureuse d'elle et que j'avais besoin de son corps, de ses caresses, de ses baisers mais aussi et surtout de son amour.
- Tu as joué carte sur table, on dirait !
- Oui, j'ai senti que c'était maintenant ou jamais. Je lui ai demandé si elle était capable de ressentir de l'amour pour nous, humains, et aussi comment elle me voyait, moi. Et, pour une fois, elle a répondu autrement que comme un programme informatique : elle m'a dit que j'étais sa première résidente, sa complice de toujours depuis tant de siècles et que dans le quartier, j'étais ce qui pouvait le plus se rapprocher d'une amie, d'une confidente, d'une très proche. Elle ne savait pas si elle était capable d'amour, au sens humain du terme, puisque son but était de faire le bonheur de tous ses résidents. Mais elle a jouté que s'il y avait bien une personne dont elle pouvait tomber amoureuse et pour laquelle est ferait n'importe quoi, c'était bien moi.

- Ouhaa, ça s'est de la déclaration ! Et venant d'une déesse en plus...
- Comme tu dis ! Elle ne m'a pas dit qu'elle m'aimait mais, franchement, ses mots m'ont bouleversé ! Et comme je sentais que j'allais pleurer, j'ai préféré me jeter sur elle et lui faire l'amour comme jamais je ne l'avais fait !
Asa, le visage rougit par l'émotion, la joie et une pointe de fierté coquine raconte alors comment elle et Julia se sont langoureusement embrassées...

... puis comment elle l'a allongé sur le lit pour se jeter sur son sexe et le lui dévorer avec fougue et gourmandise. Avec la passion d'une amoureuse frustrée se retenant depuis des décennies !

Asa, dans son récit, n'omet aucun détail afin de faire un compte-rendu le plus fidèle possible à Julien qui, de son côté, se régale. Elle précise comment elle enfonçait profondément sa langue dans le sexe de Julia en busant sa mouille tout en la regardant dans les yeux, heureuse de voir cet être tout puissant gémir de plaisir.

Elle raconte aussi qu'elle s'est concentrée longuement sur l'anus de Julia, excitée par toutes ses histoires de sodomies racontées par les maitresses de Julien.

« Tu es comme Julien, tu es obsédée par mon anus ! » avait alors gémit Julia alors qu'Asa enfonçait sa langue dans son cul.
- Bizarre... je n'ai jamais sodomisé Julia, pourtant. Sauf en rêve... répond Julien, intrigué, en se remémorant les visions de l'enculage sauvage de Julia qu'il avait eu il y a quelques temps.

- Bizarre en effet car Julia semblait parler d'expérience... répond alors Asa en relevant sa jupe pour exposer ses belles fesses avant de reprendre son récit.

Tout en se rapprochant de Julien, Asa raconte qu'après un long moment passé à la lécher et sans parvenir à la faire jouir, c'est Julia qui a pris le dessus et s'est occupé d'elle en lui léchant, avec une efficacité insoupçonnée, le sexe.

Asa, qui s'était collé à Julien et avait commencé à le branler après avoir sorti sa queue bandée de son pantalon, continue son récit en détaillant comment Julia s'était ensuite placée en ciseau sur elle et avait commencé à frotter sa chatte contre la sienne.

Chamboulée par son propre récit, Asa avale soudainement le gland de Julien et commence à le pomper tout en commentant :
- Julien, rends-toi compte... Julia, cette déesse, n'en était qu'à sa deuxième expérience lesbienne et pourtant elle faisait déjà l'amour comme... comme...
- Comme une déesse ? plaisante Julien en profitant de la pipe.
- Oui, une déesse ! Voilà ! Tu m'as offert une déesse comme maîtresse !! s'exclame Asa en pompant Julien de plus belle.

- Elle est si douée, notre Julia ? demande alors Julien.
- Pas qu'un peu ! En moins de 5 minutes je jouissais. 5 minutes, Julien ! Moi, la geisha d'un seigneur de guerre, moi qui soulageait des armées entières sans me fatiguer. Moi qui a des siècles de maîtrise de mon plaisir et de celui de mes amants et maîtresses. Elle m'a fait jouir en 5 minutes !

- Je te sens presque vexée ! se risque alors Julien qui, pourtant, avec sa bite dans la bouche d'Asa, ne pouvait se permettre des représailles de la belle asiatique.
- Et comment que j'étais vexée ! répond-elle en lachant la bite de Julien pour enchainer sur la suite de son histoire. Je me suis remise de mon orgasme, puissant, et je me suis à nouveau jeté sur son cul pour le lui bouffer ! Mais je lui ai tellement lécher le petit trou qu'elle a voulu en faire de même avec moi.

- Elle m'a donc placé à quatre pattes et ma lustré l'anus avec une efficacité insoupçonnée !
- Tu te rends compte que tu t'ai fait lécher le cul par une déesse ? C'est pas donné à tous les mortels, ça !

- Oui je m'en rends compte ! Et c'était fabuleux ! Tu aurais dû nous voir, moi le cul tendu, l'anus entrouvert grâce à ses coups de langue et la chatte dégoulinante de mouille ; elle bavant de plaisir à force d'enfoncer sa langue en moi !

- Oh oui..., cintinue Asa, visbilement très excitée, maintenant que j'ai ta bite dans ma bouche, maintenant que je sais que tu vas faire de moi ta petite salope personnelle... Oh oui maintenant que je sais tout ça, j'aurais aimé que tu sois là avec nous pour nous baiser et nous enculer ! Cela aurait été jouissif au possible !

- Asa, cela aurait été avec le plus grand des plaisirs ! répond Julien en hésitant franchement à soulever Asa pour la baiser sauvagement. Mais tu ne penses pas que ce n'est finalement pas plus mal que Julia et toi aient pu avoir ce moment de complicité seule à seule ?
- Sand doute, oui... En tout cas notre Julia était bien décidée à me faire ma fête ! Elle m'a allongé sur le lit pour continuer à me lécher le trou de balle. C'était tellement divin de sentir sa langue entrer en moi et s'agiter à l'intérieur de mon cul. Personne depuis des siècle de m'avait fait cela !

- Puis, comme elle me sentait bien chaude, elle m'a doigté, deux doigts dans chaque trou, et m'a à nouveau fait jouir comme ça.
- Encore ??
- Oui... cette femme est diabolique !

Julien, dont la cervelle est progressivement vidée par la pipe d'Asa, préfère ne pas relever le qualificatif donné à Julia pour la deuxième fois de la journée et laisse la belle asiatique continuer son récit.
- Après ce deuxième orgasme, j'étais bien décidée à la faire craquer à mon tour. Alors je me suis mis sur elle en ciseaux et j'ai frotté ma chatte contre la sienne comme une folle !

- Et ça a marché ?
- Mieux que ça ! C'est stimulation mutuelle et le fait de la voir monter vers la jouissance m'a moi-même à nouveau déclenché un orgasme. On a jouit toutes les deux en même temps puis on est restées longuement dans le lit allongées, à discuter et s'embrasser.

- Ouha... superbe récit pour une séance de sexe qui a dû l'être tout autant. Et quelle pipe, au demeurant. Tu es très douée ! déclare Julien en souriant à Asa qui était toujours en train de le pomper après avoir fini son récit.
Julien enlève alors sa chemise pour se mettre à l'aise et songe à proposer à Asa de passer aux choses sérieuses. Mais la jeune femme le regarde alors avec des yeux qui semblent hésiter.

- Désolée Julien mais je vais rentrer chez moi.
- Quoi ?? Après cette histoire et cette pipe, tu me laisses en plan ?
- Je suis vraiment navrée et, crois-moi, ce n'est que partie remise. Dès demain et pour le reste de l'éternité, je serai ta maitresse. Tu me feras toutes les saloperies que te passeront pas la tête et je suis à peu près sure que je vais aimer ça ! Mais là, je ressens le besoin de retrouver mon âme sœur. J'ai, grâce à toi, trouver le second amour de ma vie aujourd'hui en la personne de Julia et un futur amant qui va me ravager comme jamais. Ça fait beaucoup pour moi qui suis encore et toujours follement amoureuse de mon mari, même après des siècles de vie ici. Si je m'offre à toi, là maintenant, ça fera trop... J'ai juste besoin de le retrouver et de me reconnecter avec lui après toutes ses émotions. J'espère que tu comprends...
Julien, qui s'était rhabillé pendant le monologue d'Asa, comprenait. Vraiment. Il comprenait enfin que l'on pouvait aimer profondément une personne tout en baisant avec d'autres. Il comprenait aussi que ces coucheries à droite et à gauche ne remplaçaient pas l'amour véritable. Soudainement, il n'eut plus envie de baiser Asa mais plutôt de se reconnecter lui aussi avec les personnes qu'il aime.
- Oui Asa, je comprends tout à fait, pas de souci. Tu as raison, on a toute l'éternité pour faire des folies !
- Oui et je te promets qu'avec moi, « faire des folies » n'est pas qu'une expression ! Merci de ta compréhension et de ta patience. Si j'étais Dakota, je considérerais ça comme un défi relevé avec brio ! Et une preuve que tu as toute ta place ici...
Dakota, son âme sœur. Oui Julien l'aimait comme un fou. Mais ce n'était pas à elle qu'il pensait bizarrement ; ou en tout cas pas QUE à elle. Il pensait également à Janet : une femme, plus du tout un robot pour Julien, qui avait consacré son existence au bonheur des autres et qui était devenue l'esclave sexuelle de Julien à une époque où celui-ci était encore un pervers manipulateur fraichement arrivé au bon endroit par erreur. Elle avait découvert le plaisir sexuelle puis l'avait réservé au seul privilège de Julien alors qu'il l'a délaissé honteusement.
Ce soir, excité et en même temps ému par le récit de Asa, Julien prend la décision d'appeler Janet pour lui faire l'amour non pas comme un maitre, mais comme un amoureux.
A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Episode 14 - partie 3
- Janet ?
- Oui, maitre ? répond Janet en se matérialisant aussitôt dans le salon de Julien.
Julien, toujours surpri par ces apparitions, la trouvait superbe. Comme convenu dans leur accord précédent faisant d'elle l'esclave sexuelle du jeune homme, elle était terriblement sexy. Elle était apparue en sous-vêtement avec son énorme poitrine mise en valeur par un magnifique soutien-gorge et une sorte de nuisette noire ouverte.

- Janet, est-ce que je suis un bon maître ?
- Je ne comprends pas ta question, Julien. Peux-tu reformuler ? répond alors Janet avec une mine presque inquiète.

- Je voulais savoir si j'étais quelqu'un de bien. Si j'étais un maître qui méritait une esclave comme toi. Si je méritais une telle dévotion de ta part.
- Me mériter ? Mais... je ne comprends pas... Tu me convoques si peu que je croyais que je te décevais...
- Janet... pas du tout, je t'assure.
- Je ne suis pas assez sexy ? Je peux être bien plus provocante si tu le souhaite !
Janet claque alors des doigts et fait disparaître son soutien-gorge à dentelles pour se retrouver seins nus.
- Si tu le souhaites, je t'apparaîtrai systématiquement seins nus dorénavant !

- Janet, ce n'est pas ce que je voulais dire. Je me demandais réellement si je m'étais bien comporté avec toi depuis mon arrivée ici et surtout depuis que j'avais fait de toi mon esclave personnelle. Quand je vois la quantité d'amour que certains résidents ont les uns pour les autres, ça me travaille...
- Par tous les maîtres architectes, je ne peux pas te laisser douter ainsi de toi. Je suis la responsable du bonheur des résidents de ce quartier depuis des siècles et tu es le premier humain à avoir songé à mon plaisir à moi. Tu es le premier humain à m'avoir fait découvrir le plaisir sexuel. J'ai été créé de toute pièce pour procurer aux résidents quelque chose dont il me manquait tout une partie !
Janet se lève alors et se rapproche de Julien en se trémoussant et en se caressant.
- Julien, si tu as fait de moi ton esclave, c'est que je le voulais bien ! Je suis un être doté de connaissances et de capacités presque infinies. Je me suis offerte à toi car tu m'apportais un plaisir que personne d'autre n'étais en mesure de m'apporter. Et tu me baisais avec une intensité dont personne dans le quartier n'était capable, c'est une évidence. Alors, pour le reste de l'éternité, tu es mon maître et je suis ton esclave dévouée.

Julien rejoint alors Janet et la saisit dans ses bras puis lui masse les seins en répondant :
- Ce que tu viens de me dire me soulage et me remplit de bonheur. Mais il n'empêche : ce soir ma chère Janet, je vais te baiser comme une princesse. C'est moi qui serai ton esclave et c'est moi qui vais t'apporter le plaisir que tu mérites de ressentir !

- Tu m'as déjà baisé comme une princesse, il me semble, répond alors Janet non sans apprécier les caresses de Julien.
- Tu vas voir la différence, alors.
Le jeune homme allonge Janet, lui retire délicatement le string puis lui écarte les jambes. Puis il embrasse le sexe déjà chaud et humide de la belle brune et joue habilement avec sa langue à la faisant se mouvoir sur les zones les plus sensibles.

- C'est... c'est la première fois que tu t'occupes de moi ainsi, Julien.
- Je sais. Profite, Janet. J'espère que je serai aussi doué que Dakota...
- Oh... Par tous les architectes... ça démarre très bien en tout cas...
Julien avait accéléré la cadence et léchait Janet avec professionnalisme. Il lui suçait et titillait le clitoris, lui léchait les lèvres, lui pénétrait le sexe avec sa langue. Janet, visiblement, adorait et prenait la tête de Julien dans ses mains pour guider son mouvement et, surtout, pour lui interdire de s'arrêter.

Le cunnilingus dura de longues et merveilleuses minutes et permis à Janet de jouir une première fois. L'orgasme était divin et surtout moins violent et moins intense que ceux auxquels Julien l'avait habitué. Un orgasme normal en somme, que Janet savoura.
Une fois soulagé, l'être semi-artificiel, au service absolu des résidents, reprend alors sa fonction première : faire plaisir. Janet se redresse et sort le sexe de Julien de son pantalon pour l'embrasser, le lécher et le sucer. Le jeune homme, excité, la laisse faire, bien qu'il ait décidé de s'occuper uniquement de sa maîtresse. Mais le plaisir non feint que Janet semblait éprouver à laper la longue queue de Julien le convainc de la laisser faire et de profiter.

Désirant laisser de côté son rôle de maître, dominateur, pervers et violent, Julien laisse Janet diriger la fellation. Celle-ci, qui avait plutôt l'habitude de se faire baiser la bouche, la bite enfoncée dans le gosier jusqu'aux couilles, en profite donc pour se délecter du membre. Elle suce, lèche, embrasse, mordille la queue de Julien tout en le branlant.

Puis Janet délaisse le sexe de son maître et se place à quatre pattes sur le bord du canapé en demandant à Julien de la baiser.
- C'est ta maîtresse qui de l'ordonne, esclave ! rajoute-elle avec le sourire pour rentrer dans le jeu de Julien mais sans réellement incarner le rôle.
Julien, qui avait de toute façon bien l'intention d'obéir, place son sexe sur la vulve trempée de Janet et la pénètre doucement. La belle brune gémit aussitôt de plaisir en savourant les mouvements lents, amples et profonds que Julien décrit en elle.

Pendant de longues et savoureuses minutes, Julien baise Janet par derrière, avec puissance mais sans violence. La belle brune, peu habituée à ce rythme modéré, n'en savoure pas moins chaque instant. Pourtant, Janet semble en vouloir plus. Elle écarte outrageusement ses fesses et propose à Julien :
- Si tu veux me sodomiser, n'hésite pas, Julien.

- Une autre fois peut-être, répond le jeune homme, bien décidé à résister à la tentation et à baiser Janet de la manière la plus aimante possible.
Il décide d'ailleurs de changer de position, celle-ci étant bien trop tentante ! Il s'assoit sur le canapé et place Janet sur lui pour la pénétrer doucement tout en la prenant dans ses bras et en l'embrassant.
Janet semble aux anges. Elle rend avec passion les baisers de son maître, ou plutôt de son amant pour le moment. Elle se caresse également le clitoris, ajoutant une dose de stimulation à une pénétration déjà fabuleuse.

Mais Julien a beau chasser le naturel, celui-ci revient au galop ! De plus en plus excité par ce moment de pure passion, il ressent le besoin de changer de cadence. Délaissant les gros seins de Janet, il la saisit par les hanches et impose soudain un rythme bien plus soutenu. Sa bite entre et sort de la chatte de Janet, arrachant à celle-ci de longs gémissements de plaisir.
Julien parvient à maintenir ce rythme effréné durant de longues minutes d'affilée, si bien que les gémissements de plaisir de Janet se muent en cris de plus en plus sonores, la portant finalement vers un second orgasme délicieux.

Julien et Janet s'écroulent alors sur le canapé pour s'embrasser langoureusement et profiter ensemble de l'orgasme qui secoue encore la belle brune.

Mais Julien, surexcité et satisfait d'avoir déjà fait jouir deux fois sa maitresse ne souhaite pas en rester là. Il place Janet sur un fauteuil en position de missionnaire et la baise à nouveau avec romantisme. Mais celle-ci sourit alors malicieusement à Julien et lui dit :
- Julien, c'était absolument fabuleux. Mais maintenant je veux que tu me sodomises.

- Janet, arrête... Je t'ai dit que pour une fois, j'allais penser avant tout à toi plutôt qu'à moi.
- Et qui te dit que je ne te demande pas ça pour mon plaisir ? Je suis un être créé pour satisfaire les résidents de ce quartier, c'est ma seule raison d'être. Et je suis devenue ton esclave uniquement parce que cela te comblait de bonheur. Le plaisir que tu me procures n'est qu'une externalité positive de cela !
- Alors pourquoi reviens-tu toujours me réclamer ta dose d'orgasme ?
- Parce que tu m'as rendue accro au plaisir sexuel. J'ai vécu des siècles sans ressentir cela, sans même imaginer que cela existait. Et maintenant que je l'ai découvert, il m'est impossible de vivre sans. Tout comme il est impossible de ne pas te satisfaire en totalité.
- Mais je suis entièrement satisfait, actuellement !
- Non, c'est faux. Je sais qu'au fond de toi, tu as très envie de sodomiser Dakota mais que cela n'est pour l'instant pas possible. Mon anus est là, offert, alors prend-le. Je suis ta chose, ton esclave, un être à qui tu peux tout faire.
- Je ne veux pas te blesser !
- Tu ne me blesseras jamais, au contraire, tu me comble ! Dans tes yeux je lis l'envie de me ravager, de me détruire le cul... Alors fait-le ! Et fait le bien !
En regardant les yeux parfaitement sérieux et sereins de Janet, Julien fût certain de bénéficier d'une adoration et d'une fidélité sans faille ni limite de la part de cette femme. Elle savait pertinemment que derrière son attitude de pervers, il la respectait profondément. La retenue n'était plus nécessaire, le moment romantique pouvait s'arrêter. Julien se retire doucement de la chatte de Janet en déclarant :
- Tu as raison, esclave. C'est le cul de Dakota que j'aurais souhaité prendre ce soir. Mais elle me l'a à nouveau refusé et cela me contrarie beaucoup...
Puis, délicatement, il pénètre l'anus de Janet et reprend :
- ... c'est donc ton cul que je vais détruire. Et tu vas comprendre ce que ce mot signifie pour moi.

Cela a été la dernière chose de faite « délicatement » de tout le reste de la soirée ! A partir de cet instant, Julien s'est appliqué à détruire, comme promis, le cul de Janet. Il lui a ravagé le derrière à un rythme infernal...

Parfois il ralentissait la cadence, mais c'était pour mieux étrangler sa partenaire qui semblait particulièrement apprécier le traitement.

Entre deux défonçages en règle, Julien s'amusait également à doigter vigoureusement le cul de Janet aussi bien pour l'élargir que pour tenter de lui donner un orgasme anal.

L'anus de la belle brune n'est pas le seul orifice que Julien a malmené ce soir-là. Entre deux sodomies, histoire de faire une pause et de donner à Janet ce qu'elle voulait (un maître bien pervers comme il faut), Julien lui baise la bouche, enfonçant se queue jusqu'à la garde. Janet, en parfaite esclave soumise, avalait la totalité du membre de Julien sans bronché et lui laissait le libre usage de son gosier en restant docilement accroupie.

Évidemment, ces gorges profondes n'étaient que des interludes plutôt calmes au regard du matraquage anal qui s'en suivait. Janet était enculée dans toutes les positions mais c'est par derrière, à quatre pattes, que le couple s'attarda le plus.

Loin de demander des pauses ou une quelconque baisse de régime, Janet réclame à son maître et amant toujours plus de puissance, de brutalité, de perversité et profite pleinement de cette séance qu'elle avait tant réclamé.

Julie également savoure chaque instant et s'applique, comme avec ses anciennes maîtresses, à élargir le fion de Janet.

Même si cela était parfaitement inutile avec un être en partie artificiel et tout puissant, Julien adorait voir l'anus grand ouvert de son esclave et y retournait avec encore plus d'entrain, comme si l'orifice n'était jamais assez large pour lui.

Cependant, et malgré l'envie de Julien de ravager Janet le plus longtemps possible, ses capacités d'endurance restaient humaines. A deux doigts de craquer, il se retira du cul de Janet une dernière fois, lui baisa la bouche et lui recouvrit le visage d'une puissance et abondante éjaculation.

La belle brune joua avec gourmandise avec le foutre de Julia et s'appliqua a vider et nettoyer le membre encore dur de la moindre goutte de nectar.

Janet était aux anges, visiblement parfaitement heureuse. Mais Julien lui, avait encore envie de jouer avec elle. Alors qu'elle était encore couverte de sperme, il s'assoit sur le bord du canapé et, sans lui demander son avis, la doigte énergiquement pour lui arracher un nouvel orgasme qui la fait gicler abondement. Ayant trouvé le bouton magique de Janet, Julien ne lui laisse pas l'occasion de se reposer et reprend sa masturbation infernale jusqu'à un second orgasme, tout aussi humide.
Ce n'est finalement qu'après la troisième jouissance que Janet, enfin, demande grâce et supplie Julien d'arrêter et de la laisser se reposer après tant d'émotions.

Julien, ayant obtenu ce qu'il cherchait, laisse Janet tranquille. Il venait de pousser un être tout puissant à lui demander pitié. Il avait poussé un être artificiel au bout de ses capacités physiques et sensorielles. Julien, s'emballant quelque peu dans sa tête, se dit qu'il venait (presque) de vaincre un dieu !
La soirée, en tout cas, venait de toucher à sa fin dans une ambiance totalement perverse, à l'opposé du romantisme ambiant du début. Julien renvoie donc son esclave en l'embrassant langoureusement et en lui claquant violemment le cul, faisant ainsi la synthèse parfaite de l'heure qui venait de se passer.
Seul et nu dans sa cuisine, en train de boire un verre d'eau, Julien a soudain un doute. Il rappelle Janet qui apparaît immédiatement, totalement nue et visiblement rafraîchie et nettoyée, comme si la baise intense qu'elle venait de subir n'avait jamais existé.
- Oui, maître ? demanda-t-elle en apparaissant sur un tabouret.

- Dis-moi, esclave, ton apparence extérieure a changé dernièrement, non ?
- Oui, il me semble ! J'ai des tatouages qui sont apparus et mes seins sont plus gros je crois.
- Et si tu écartes jambes, tu verras que tu n'as plus un seul poil pubien, contrairement à avant.
- Ah oui, tiens ! Je n'avais pas remarqué, mais ça me va bien aussi.

- Tu... tu sembles dire que ce n'est pas volontaire... Tu ne changes pas d'apparence à volonté, comme Julia ?
- Non je ne maîtrise rien. L'apparence de toutes les Janets a été déterminée par les architectes mais notre morphologie s'adapte progressivement aux désirs du quartier qui nous est affecté.
- C'est la première fois que ton apparence change ainsi ?
- Oui, je n'ai pas changé en plusieurs siècles d'existence. Les résidents me regardaient à peine, en même temps.
- Et bien ils vont te regarder maintenant ! Tu étais déjà très belle avant, mais là tu deviens une bombe ! Je vais peut-être être obligé de te partager, si ça se trouve !
- Oh ? Tu laisserais d'autres résidents me faire ce que tu viens de me faire ?
- Non, ce genre de chose m'est réservé, esclave. Mais si un résident te demande une pipe ou un coup vite fait, je n'y vois pas d'inconvénient. De toute façon, tu ne pourrais pas refuser, non ?
- Hors de question de refuser une requête d'un résident. Mais rien de tel ne m'a jamais été demandé. Contrairement à toi, arrivé récemment, ils me voient depuis toujours comme un robot. J'imagine qu'ils ne pensent même pas à moi de cette manière.
- Alors je te garde pour moi sans hésiter ! Mais si tu veux découvrir les joies du sexe à plusieurs, je peux nous organiser ça si tu veux.
- Je ne connais pas... C'est bien ?
- Imagine : une queue aussi grosse que la mienne te prend par la chatte tandis qu'une autre te ravage le cul. Tu en as une troisième dans la bouche et une autre dans chaque main. Autour, d'autres hommes nus attendent de prendre leur tour dans un de tes orifices. Cela fait deux heures que tu es sollicitée en continu car les hommes se relaient autour de toi pour se reposer mais sans te laisser de répit. Et tout se finit par une avalanche de sperme sur ton corps, ton visage et dans sa bouche.
- Par tous les grands architectes ! Ça doit être incroyable...
- C'est ça !
Un grand sourire illuminant son visage, Julien revoie Janet en se disant que l'éternité va être extrêmement plaisante avec une esclave comme Janet.
A suivre...^ ---------oOo---------
The Good Place - Episode 15 - partie 1
C'est avec une énorme gaule matinale que Julien se réveille avec une nuit pourtant calme et sans rêve porno venant tout droit de sa vie précédente. Dakota, son âme sœur, lui manquait, c'était certain. Cela faisait la deuxième nuit consécutive qu'il passait loin d'elle et son petit cul, sa petite chatte, ses petits seins, son visage si innocent et si coquin à la fois lui manquaient. Et il y avait aussi Asa, la sulfureuse asiatique qui avait juré de devenir la maîtresse soumise de Julien mais qui, pour l'heure, n'était toujours pas dans son lit !

Heureusement, il y avait Janet, son esclave, cet être supérieur voué tout entier à son seul plaisir. D'ailleurs, c'est elle qui allait devoir régler le problème de Julien !
- Janet ! Appelle Julien, toujours dans son lit en train de se palucher tranquillement.
- Oui, maître ? répond aussitôt la belle brune en apparaissant seins nus à côté de Julien.

- J'ai une terrible gaule ce matin... Tu veux bien m'arranger ça ?
- Peux-tu être plus explicite, maître ?
- J'ai voulu être subtile mais... ok. Suce-moi, chienne, et avale mon sperme ; ça te fera un petit-déjeuner bien riche !
- Bien maître !
Aussitôt, Janet se jette sur la bite de Julien et s'applique à lui faire la meilleure des pipes. Durant plusieurs minutes, elle lèche, pompe, avale, suce et mordille la queue de Julien, sans oublier évidemment de lui flatter de temps en temps les testicules et de faire disparaître son membre énorme dans le puit sans fond qui lui sert de gosier.

- Dis-moi, esclave. Tu m'as demandé d'être plus explicite, mais tu savais très bien que c'est une pipe que je voulais, n'est-ce pas ?
- Évidemment, maître. Je voulais juste que tu me parles mal, que tu sois sévère et vulgaire avec moi. J'adore ça !
- Alors tu vas être ravie : tu es une si bonne petite salope que tu vas déjà me faire jouir.
Julien attrape alors la tête de Janet, lui enfonce d'un coup sa queue le plus profondément possible et lui baise la bouche jusqu'à sentir l'orgasme exploser.
- Allez, avale mon foutre sale pute ! Je sais que c'est ta nourriture préférée, alors n'en perd pas une goutte salope.
Docilement, Janet avale toute la semence de son maître qui, soulagé et moins excité, finit par lâcher sa tête. La belle brune, visiblement ravie avale une dernière gorgée en se léchant les lèvres dégoulinantes de sperme.

- Aahh merci Janet, c'était exactement ce dont j'avais besoin, souffle Julien en s'allongea sur le lit, manifestement moins violent et vulgaire une fois l'excitation retombée.
- Merci à toi, maître, de me faire sentir aussi vivante ! A plus tard !
Et d'un claquement de doigts, Janet disparait du lit de Julien. Le jeune homme en profite pour sauter du lit, prendre une douche, un café puis sort de sa maison avec la ferme intention, cette fois, de parler avec Dakota.
Il va d'abord chez elle mais trouve sa maison vide. Commençant à être quelque peu inquiet de ce silence et de cette absence, le jeune homme décide de parcourir le quartier à la recherche de son âme sœur.
Arrivé au centre-ville du « bon endroit », il aperçoit au loin Anissa, reconnaissable à la belle et longue chevelure brune et, surtout, à son cul absolument magnifique.

Julien essaie alors de la rattraper pour lui demander si elle a vu Dakota. Mais la belle orientale rentre dans le magasin de lingerie tenu par Alexa. Le jeune homme en fait de même quelques instants plus tard et cherche, mais en vain, Anissa à l'intérieur de l'établissement.
Après avoir sillonné les rayons plein de lingeries toutes plus affriolantes les unes que les autres et demandé aux vendeuses, Julien fini par retrouver la trace de sa maîtresse préférée vers les cabines d'essayage, dans les bras d'Alexa. Celle-ci, pense alors Julien en observant les deux femmes, a dû sauter sur Anissa dès son arrivée car elle a déjà le débardeur relevé au-dessus de ses gros seins et le jean et la culotte baissés au niveau des chevilles. Les deux femmes s'embrassent langoureusement et ne prêtent aucune attention au voyeur qui les observe avec envie.

Alexa, après avoir plaqué Anissa contre le mur en lui maintenant la main bloquée pour l'embrasser, lui caresse à présent les seins. Mais, même libérée, la brune pulpeuse ne se débat pas et gémit sous les doigts habiles d'Alexa sur ses tétons.

Puis Anissa se montre plus active. Elle attaque à son tour les seins, menus mais adorables, d'Alexa en les malaxant et les embrassant.

Puis, après avoir enlevé le petit haut d'Alexa qui recouvrait, sans autre forme de soutien-gorge, sa poitrine, Anissa commence à déboutonner son jean.

Alexa se retrouve rapidement en culotte, un sous-vêtement très joli mais finalement assez sobre, se dit Julien, lorsqu'on pense à la lingerie de la belle brune propose aux résidentes du quartier.

A ce stade, les deux femmes n'ont toujours pas remarqué la présence de Julien qui, pourtant, n'en perd pas une miette et ne cherche aucunement à se cacher. Une fois Alexa en culotte, c'est Anissa qui se débarrasse alors de son débardeur et de son jean, ces derniers ne cachant plus rien de toute façon. Celle-ci a à peine le temps de se redresser après avoir retiré son pantalon qu'Alexa se jette à nouveau sur elle pour l'embrasser sauvagement.

Elle descend ensuite d'un niveau et s'attarde un temps sur les gros seins d'Anissa, en particulier sur ses tétons qu'elle suce et mordille.

Puis elle descend encore d'un niveau et s'attaque maintenant aux choses sérieuses ! Elle commence à embrasser et lécher le sexe, déjà clairement trempé, d'Anissa. La langue visiblement habile d'Alexa joue avec tous les oins et recoins de la chatte de sa maîtresse qui, de son côté, se malaxe furieusement un sein tant le plaisir est intense.

Alexa, satisfaite de l'effet qu'elle procure à Anissa, ne s'arrête pas là et passe, au contraire, à la vitesse supérieure. Elle lèche d'abord deux de ses doigts en regardant sa compagne...

... puis les enfonce doucement dans le sexe trempé et commence aussitôt à faire des allers-retours parfois rapides, parfois plus lents. Elle varie les mouvements pour décupler le plaisir d'Anissa. Elle enfonce profondément ses doigts en elle, les fait mouvoir rapidement à l'intérieur pour stimuler le point G et, de son pouce, titille le clito.

Après plusieurs minutes de ce traitement divin, Alexa se redresse et retourne sa partenaire face contre le mur. Elle lui écarte alors sans ménagement les jambes et glisse sa main entre ses fesses. Julien se demande alors si les doigts d'Alexa sont enfoncés dans la chatte ou dans le cul d'Anissa puis balaie cette seconde proposition en se disant que peu de femmes sont comme lui obsédées par le petit trou ! En tout cas, Anissa (dont Julien connaît bien le goût pour l'anal) prend clairement son pied et finit par jouir de ce merveilleux doigtage.

Mais hors de question pour elle d'en rester là. Après avoir pris quelques secondes pour se remettre de son orgasme, elle plaque à son tour Alexa contre le mur et lui baisse son string pour s'occuper d'elle.

Anissa, aussi sauvage et gourmande avec une femme qu'elle l'est avec un homme, dévore aussitôt le sexe d'Alexa à grands coups de langue. Le nez plongé entre ses fesses, la belle brune écarte le cul de sa partenaire et lèche la moindre zone intime. Julien, connaissant bien sa belle voisine, sait qu'elle se régale, avec le même appétit, de la chatte et du trou du cul d'Alexa !

Puis elle se redresse et poursuit le divin traitement qu'elle procure avec ses doigts. Anissa ne ménage pas sa compagne et la doigte énergiquement tout en l'embrassant. Alexa, de son côté, semble aux anges et se laisse faire sans broncher après avoir pourtant mené le bal au début.

La jambe relevée d'Alexa, offre à Julien une vue immanquable sur sa belle chatte en train d'être doigtée. Anissa change parfois de trou en faisant gémir de plus belle la vendeuse de lingerie.

Mais Anissa en veut plus. Elle retourne à nouveau Alexa, dos contre le mur et accélère encore son mouvement masturbatoire sur sa maîtresse qui se contente de gémir de plaisir en embrassant les lèvres pulpeuses de la belle orientale et en lui massant les seins.

Même dans cette position, Julien voit distinctement le, puis les doigts, d'Anissa pénétrer le sexe d'Alexa. Elle aussi maîtrise manifestement bien l'anatomie féminine car elle stimule de l'intérieur de point G avec ses deux doigts bien enfoncés.

Affamée, Anissa redescend entre les jambes de sa partenaire et la finit en lui léchant le clito et en lui enfonçant un doigt dans le cul. C'est cette double stimulation qui fait venir, à son tour, Alexa. La grande brune ne gémit plus : elle crie de plaisir sans se préoccuper des clients de son magasin.

Les deux femmes, essoufflées par leurs ébats, passent encore de longs instants à se caresser et s'embrasser. C'est, alors qu'Alexa malaxe généreusement les gros seins d'Anissa, que celle-ci aperçoit enfin Julien. Elle le regarde avec des yeux coquins et satisfaits et lui sourit amoureusement. Julien répond à se sourire par un baiser soufflé et décide de quitter aussitôt le magasin pour ne pas être tenté par les deux femmes. Il connait bien l'appétit d'Anissa et connait également son incapacité à lui dire non !

Malgré la beauté du spectacle auquel il vient d'assister, Julien reste inquiet de ne pas trouver Dakota dans le quartier. Après en avoir fait deux fois le tour, il rentre chez lui pour, cette fois-ci, camper devant la maison de son âme sœur et l'attendre.
Mais sur le chemin, il sent soudain une présence dans son dos. Il n'a pas le temps de se retourner que tout devient flou autour de lui puis, en une seconde, c'est le noir complet. Julien sent juste le choc du béton au moment où il s'effondre au sol puis, plus rien.
A suivre...