L'autre cousin - épisode 1 : Le déménagement (publié par Boris le 01-06-2020)
L'autre cousin - épisode 2 : La plage (publié par Boris le 16-06-2020)
L'autre cousin - épisode 3 : La soirée (publié par Boris le 01-07-2020)
L'autre cousin - épisode 4 : Dans les chambres (publié par Boris le 15-07-2020)
L'autre cousin - épisode 5 : La piscine (publié par Boris le 01-08-2020)
L'autre cousin - épisode 6 : Les voyeurs (publié par Boris le 16-08-2020)
L'autre cousin - épisode 7 : Sur l'autoroute (publié par Boris le 01-09-2020)
^ ---------oOo---------
L'autre cousin - épisode 1 : Le déménagement
Le téléphone de Camille sonne, indiquant l'arrivée d'un SMS. Camille le consulte et s'adresse à Boris :
- Antoine demande si on pourrait venir lui donner un coup de main ce weekend.
- Il veut un coup de main ou c'est surtout sa cousine qui lui manque ?
Boris se souvient bien du récent passage chez eux d'Antoine, le cousin de Camille, accompagné de son frère Raphaël. Ces retrouvailles après plusieurs années ont été l'occasion de faire ressurgir quelques souvenirs d'enfance mais surtout d'opérer un rapprochement sexuel qui a satisfait tout le monde, y compris Boris. Voyant bien ce que son mari suggère dans sa réponse, Camille précise :
- Il a promis à ses parents de vider tout le garage de leur maison de vacances, sur la côte. Il a loué un camion et il a besoin de bras. Pour le coup, je pense que c'est plus de tes bras que de mon cul dont il a besoin.
- Haha. Ton cul, ce sera la cerise sur le gâteau, alors. Par contre le weekend prochain, je te rappelle que je fais du rafting avec mes collègues le dimanche et il faut que je parte le samedi soir.
- Ok. Je lui dis qu'on ne peut être là que le samedi.

Samedi matin
Comme Camille et Boris ont beaucoup de route, ils se lèvent tôt pour espérer arriver vers 10h dans la maison de vacances des parents d'Antoine et Raphaël. C'est le printemps, la météo à la radio annonce une belle journée. Durant le trajet, Boris ne peut s'empêcher de demander à Camille de lui raconter à nouveau son récent passage chez le plus jeune de ses deux cousins, Raphaël. Camille se plie à cet exercice de mémoire avec d'autant plus de plaisir que les quelques jours passés chez Raphaël ont été particulièrement excitants. Après presque une heure à évoquer chaque détail du temps passé avec Raphy, interrompue régulièrement par Boris qui voulait toujours en savoir un peu plus, Camille achève son récit et regarde l'entrejambe de son mari :
- Tu bandes sérieusement...
- Depuis le début où je t'écoute !
- Et tu ne veux pas que je te soulage ?

Boris lui caresse la cuisse et lui sourit :
- Tu l'as rappelé plusieurs fois dans ton récit : la clé du plaisir tient essentiellement à l'excitation et à la patience. Je vais être patient... D'ailleurs, ça semble être aussi ton idée puisque tu n'as pas dégainé toutes tes armes.
Tendant le bras vers elle, il saisit le décolleté et le tire pour dévoiler le sage soutien-gorge que Camille a pris soin d'enfiler.

- A la base, on vient faire un déménagement, pas une partouze. J'ai pris une tenue adéquate.
- Je ne sais pas encore comment ça va se passer, mais en tout cas, je sais qu'on ne va pas se contenter de bouger des cartons toute la journée. Je te fais confiance...
Finalement, la circulation étant plutôt fluide, ils arrivent même un peu avant 10h. Quand ils se garent devant l'imposante villa, ils remarquent qu'elle semble vide :
- Tony doit être allé chercher le camion.
- Sans doute. Il ne devrait pas tarder....
Ils remarquent un pack de bières posé devant la porte. Boris en saisit deux et en décapsule une pour la tendre à Camille :
- Au moins, il est prévoyant. Avec cette chaleur, un petit rafraichissement est le bienvenu.

Ils n'avaient pas menti à la météo, il fait très beau et chaud. Alors que Camille s'installe sur les marches du porche pour commencer à boire, un camion de location entre dans la cour et s'y gare. Antoine en sort aussitôt pour les accueillir chaleureusement :
- Ha ! Je suis content de vous voir. Surtout toi, cousine !
Antoine ne se prive pas d'admirer sa cousine vêtue d'un débardeur assez décolleté et d'un mini-short.

Camille se lève et montre sa bière :
- On s'est permis.
- C'était fait pour, vous avez bien fait.
Après avoir serré rapidement la main de Boris, Antoine vient enlacer sa cousine
- C'est super que vous soyez venus.
Boris sent une petite excitation le gagner quand il les voit s'enlacer comme s'il s'agissait d'un couple très amoureux. Antoine est lui aussi si excité qu'il n'hésite pas à caresser la poitrine de sa cousine tandis qu'il l'embrasse sur la joue. Malgré le débardeur et le soutien-gorge, Camille frémit en sentant la main de son cousin coiffer doucement son sein.

Quand ils se détachent, Camille et Boris remarquent quelqu'un qui descend du camion. Un garçon grand et assez costaud, plutôt mignon.
- Salut !
Antoine fait les présentations :
- Je vous présente Julien, mon pote. Julien, je te présente ma cousine Camille dont je t'ai parlée et son mari, Boris.
Julien vient saluer Camille et celle-ci sent bien son regard insistant dans son décolleté tandis qu'il se penche sur elle pour lui faire la bise. Quand il se redresse, avec un petit sourire en coin, elle se demande ce qu'Antoine a pu lui raconter à son sujet.

Elle regarde Antoine qui a aussi un petit sourire de satisfaction. Il continue :
- J'ai un peu organisé à la dernière minute et tous mes potes sont partis ce weekend. Il n'y a que Julien qui a répondu à l'appel. Et vous.
- On sera assez ?
- Bah, ça nous prendra un peu plus de temps, mais on a jusqu'à 18h pour rendre le camion.
- Ok, alors on s'y met sans tarder.
- Il y a quelques cartons dans le bureau à l'étage. C'est pas trop lourd. Julien tu veux bien t'en charger ?
Camille saute dans l'escalier juste devant Julien en disant :
- Si c'est pas trop lourd, je lui file un coup de main, ça m'échauffera.
Boris se penche vers Antoine et lui chuchote :
- J'en connais un autre que ça va échauffer...
Effectivement, Julien trouve particulièrement intéressant de voir les jolies jambes et surtout la magnifique croupe de Camille moulée dans le mini-short juste sous ses yeux. Celle-ci n'est pas dupe quand elle tourne la tête pour lui demander où se trouve le bureau, Julien se sent un peu gêné :
- Le bureau, c'est à droite ?

- Heu oui... la première porte. Tu n'es jamais venue ici ?
- Une seule fois quand j'étais petite. La piscine n'était pas encore construite. J'avoue en avoir assez peu de souvenir. Et toi tu viens régulièrement ?
- De temps en temps. Profiter de la piscine avec Tony.
Ils entrent dans la pièce et voient trois cartons en plein milieu. Camille en attrape un :
- Je prends le plus gros. Tu prends les deux autres.

Julien ne répond pas, tellement il est en admiration de la dentelle du soutien-gorge dans le décolleté de Camille. Camille sourit :
- Et bien ? Tu ne vas pas te contenter de regarder quand même ?
Julien a quelques secondes d'hésitation, se demandant un instant s'il elle l'invite à profiter d'un peu plus que la vue. Mais il se ressaisit en comprenant qu'elle parle des cartons :
- Heu, oui, désolé... J'étais ailleurs...
- Dans mon décolleté ?

Julien n'ose pas dire non car elle a forcément vu son regard se noyer entre ses seins mais il devient rouge comme une tomate et saisit le carton qu'elle s'apprêtait à descendre. Camille s'amuse de le voir ainsi perturbé et lui demande :
- Tu préfères prendre celui-là ?
- Heu, je ne sais pas. Tu... tu voulais prendre celui-là ?
- Ok, vas-y. Je vais prendre les deux petits, ça ira.

Une fois redescendus, Boris vient lui prendre ses deux cartons et les emmène au camion, suivi de Julien. Antoine arrive alors derrière Camille et la fait sursauter :
- Ha ?!
- Détends-toi, Camille, tu sembles stressée...
- Tony, je ne m'attendais pas, c'est tout...
- Un petit massage ?
Antoine commence à masser la nuque et les épaules de sa cousine.

Elle pousse un profond soupir et dit :
- C'est à Julien que tu devrais dire de se détendre. Je crois qu'il a été choqué par mon soutien-gorge.
- Ah mais je suis complètement d'accord avec lui. Surtout que je t'ai connue sans et que c'était bien mieux !
Les mains d'Antoine font glisser les bretelles du débardeur et du soutien-gorge sur l'épaule gauche, puis suffisamment bas sur le bras pour dégager une bonne partie de son sein. Voyant qu'elle se laisse faire, il repasse devant elle pour admirer son travail, satisfait.

- Pffff, tu es toujours aussi obsédé...
- Ah parce que tu vas me faire croire que je suis le seul à m'intéresser à tes nibards ? Boris s'en moque, peut-être ?
Camille se rajuste et se dirige vers le garage :
- Si, lui aussi est un obsédé.
- Et tu ne crois pas plutôt que le problème vient de toi. C'est toi qui nous obsède ? Et je pense que tu obsèderais n'importe quel homme...
- Et bien ton copain s'est montré plus raisonnable que toi en tout cas...

- Quel copain ? Demande Julien qui arrive au garage en même temps qu'eux, les empêchant de poursuivre leur conversation.
Antoine répond :
- Oh, un ami d'enfance avec lequel on a gardé le contact.
Camille saisit un carton et va le porter au camion, suivie par Julien, puis Antoine. Boris étant encore dans le camion, il fait la réception des cartons et attrape celui tendu par Camille. C'est alors qu'il voit les regards de Julien et Antoine sur la croupe de Camille.

Par jeu, il leur dit :
- Hey ! C'est la bière qui vous fait briller les yeux comme ça, les gars ?
Julien et Antoine sourient, rassurés semble-t-il que Boris le prenne comme ça et ne montre pas de jalousie à leur encontre. Quand Boris a installé les cartons, Julien propose de le remplacer dans le camion pour réceptionner et ranger les cartons. Antoine les laisse alors :
- Attendez, je crois que mes parents m'ont dit qu'il y avait aussi deux ou trois cartons à la cave. Je descends voir...
Dès qu'Antoine disparait dans l'escalier, Camille pousse Boris sur un vieux canapé et s'assoit à côté de lui en lui caressant le torse :
- Alors ? Est-ce que la manière dont Tony et Julien me regardent te convient ?

- Mmmm, oui. C'est pas mal. Je vois leurs yeux qui brillent. Mais je ne les vois pas encore bander...
- Tu exagères ! Laisse-moi un peu de temps... Toi non plus, tu... oh si !
Camille vient de poser la main sur l'entrejambe de son mari et se rend compte de son érection. Elle commence à le masser en murmurant :
- Tu crois qu'il faut que je les masse comme ça, Julien et Tony ?

- Mmm, ça aiderait mais c'est un peu direct. Enlève déjà ton soutif.
- Toi aussi !? Pffff, Tony aussi m'a demandé tout à l'heure.
- Un type bien, ton cousin.
- Idiot. Obsédé, comme toi, c'est tout.

Comme elle commence à retirer les bretelles en les glissant le long de ses bras, de toute évidence pour retirer le soutien-gorge sans retirer le débardeur, Boris râle :
- Ha non, pitié ! Pas cette méthode de vieille fille pudique. Tu as des beaux nichons, je devrais survivre à les voir pendant que tu retires ton soutif.
Camille soupire :
- Toi, tu veux le beurre et l'argent du beurre.
- Non, seulement les seins de la fille de la crémière.
Un peu par défi, elle retire le débardeur pour enlever son soutien-gorge, s'exhibant seins nus devant son copain :
- Et si Antoine remonte de la cave ?

- Je crois qu'il les a déjà rencontrés...
- Tu aimes m'exhiber, hein, espèce de pervers ?
- Autant que tu aimes t'exhiber, ma chérie.
Entendant justement les bruits de pas de son cousin qui remonte l'escalier, Camille reprend son débardeur et se dépêche de le renfiler.

Au moment où il émerge, il découvre Camille et Boris hilares :
- Quoi ? J'ai manqué un truc ?
Antoine désigne le soutien-gorge de Camille par terre au pied du canapé :
- Ma chérie avait un peu trop chaud...
- Yes, les choses commencent à devenir intéressantes.
- Okay les gars. On regarde mais on ne touche pas. Compris ?

Camille retourne au garage chercher un carton.
- Quelle paire elle a ! C'est une vraie bombe cette fille. T'es un sacré veinard !
- Je sais. En attendant, Julien est tout seul au camion et je suis curieux de voir sa tête quand il va la voir arriver.
Les deux garçons emboîtent le pas de la jeune fille pour découvrir qu'elle a renversé le carton qu'elle transportait et qu'elle est penchée pour ramasser les divers flacons en plastique que contenait le carton. Antoine rigole alors :
- Camille, tu n'es pas tournée du bon côté !
Effectivement, Boris et Antoine peuvent se délecter de la vue des deux seins libres dans le décolleté mais elle tourne le dos à Julien.

Boris murmure à Antoine :
- Pauvre Julien... Il doit se contenter du spectacle de son cul, ignorant totalement quel autre trésor elle expose.
Comme Camille a terminé de remettre les flacons dans le carton, elle se redresse et voit les deux garçons qui rigolent bêtement.
- Vous êtes incorrigibles, les gars...

Se calmant un peu, les gars attrapent des cartons et viennent les apporter à Julien au camion. Une fois Camille retournée au garage, Julien demande à Antoine :
- J'ai pas bien compris. Vous vous foutiez de sa gueule parce qu'elle a renversé le carton ?
- Ah non. Pas du tout. On rigolait parce que... Tu verras bien.
Ils retournent alors au garage où Camille vient de s'emparer de deux cartons.

Boris arrive derrière elle et demande :
- Un coup de main, ma chérie ?
- Sers-toi, il y a ce qu'il faut !
- C'est proposé si gentiment !
Boris passe alors ses deux mains sous le débardeur et remonte pour peloter sa copine. Camille en laisse tomber ses cartons qui, heureusement, ne semblaient rien contenir de fragile.
- Hey, qu'est-ce que tu fous ?

- Tu m'as dit de me servir, je t'ai prise au mot.
- Je parlais des cartons, imbécile !
- Oh, je suis désolé ma chérie.
Tout en continuant à la peloter, il l'embrasse sur l'épaule. Rien de cette scène n'échappe à Antoine qui, en silence, observe.

Boris finit par laisser Camille et saisit un gros carton pour l'apporter au camion. Camille rajuste en faisant mine de se rendre seulement compte de la présence d'Antoine :
- Oh Tony, tu étais là...
- Bah ouais, vous êtes chauds bouillants tous les deux.
- Oui toujours excités... Et toi ? Est-ce que par hasard tout ça te ferait bander ?
- Un peu oui...
Camille s'approche de lui :
- Montre moi.
Il n'a pas le temps de dire qu'il ne préfère pas, vu que Boris peut revenir, Camille a déjà ouvert son jeans et extrait son érection :
- Pas mal, dis donc ! Juste pour une paire de seins, je suis impressionnée.

- Ce n'est pas que ça. C'est un tout, Camille.
- Allons aider les autres avant que tu ne commences à déballer de viles flatteries.
Elle prend un carton et lui laisse le soin de se rajuster alors que Boris revient vers le garage. Alors qu'elle tend son carton à Julien dans le camion, elle voit au regard de celui-ci vers son décolleté qu'il a enfin repéré qu'elle n'avait plus son soutien-gorge.

De retour vers le garage, en croisant Antoine, elle lui dit tout bas :
- Ton copain a enfin repéré...
En la voyant arriver au garage, Boris lui dit :
- A voir son sourire radieux, je dirais que Julien vient de se rendre compte que tu avais abandonné ton soutif.
- Tu es très perspicace. C'est exactement ça.

- J'imagine que ça t'excite bien de t'exhiber comme ça.
- Ce n'est pas vraiment de l'exhibition pour le moment.
- Tu as raison, allons-y progressivement.
Boris fait alors glisser une bretelle du débardeur de l'épaule de Camille.

Quand Camille se penche pour saisir le carton, elle se rend compte que la bretelle a glissé encore davantage et que son décolleté doit révéler une bonne partie de sa poitrine. Tenant le carton contre sa poitrine, elle se dit qu'elle va pouvoir croiser Boris et Antoine sans qu'ils ne se rendent compte de sa tenue. Effectivement, les deux hommes lui sourient béatement mais sans se douter de ce qu'ils ratent. Une fois au camion, elle tend le carton à Julien guettant son regard. Bien sûr, grâce à sa position surélevée, il n'allait pas se priver de se rincer l'œil dans le décolleté, mais en lui prenant le carton des mains, il ne s'attendait pas à voir un tel spectacle, si bien qu'il reste en arrêt quelques secondes, les yeux écarquillés. Camille joue l'innocente :
- Julien ? Tout va bien ?

Celui-ci se ressaisit alors :
- Heu, je... oui. Très bien. Tu... tu as ta bretelle qui a un peu glissé, là...
- Quoi ? Je... Oh merde !
Sa surprise n'est pas feinte car, si elle espérait bien révéler un large décolleté, elle n'imaginait pas que ses deux mamelons aient pu se retrouver exposés ainsi. Un peu gênée d'en avoir montré autant, elle se rajuste et s'excuse auprès de Julien :
- Désolée, ça doit être en prenant le carton. J'ai pas vu...

Le pire c'est qu'elle est réellement embarrassée et qu'elle est véritablement sincère. Boris et Antoine arrivent alors. Boris demande :
- Alors ? Le carton, ça allait ? Pas trop lourd ?
- Si, beaucoup, beaucoup plus lourd que je ne le pensais mais je m'en suis sortie !
Elle fait un clin d'œil à Boris qui comprend qu'elle vient de lui laisser un message codé. Quand Boris et Antoine reviennent au garage, Camille est penchée en avant et Boris applaudit :
- Bravo, ma chérie, double spectacle pour nous quand tu te tiens ainsi !

Camille se redresse :
- Quoi ?
- On voyait tes seins sous ton débardeur et une bonne partie de tes fesses dans le mini-short.
- Et même ta culotte ! ajoute Antoine.
Camille rigole :
- Oh, je vous vois venir. J'ai déjà lâché le soutif. Pour la culotte, je ne me sens pas le courage de faire cet effort.

Antoine s'approche alors d'elle et dit :
- Je comprends que cela soit difficile alors que tu te donnes à fond depuis presque une heure... Alors je vais faire cet effort pour toi.
D'un geste vif et précis, il saisit le bas du mini-short et le tire d'un coup sec vers le bas, libérant les jolies fesses de sa cousine et une culotte noire en dentelle. Camille ne s'attendait pas à ça de la part de son cousin.
-Hey !

Les garçons rigolent tandis que Camille remonte son short :
- Vous exagérez. Il vous en faut toujours plus. Je trouve que vous en profitez déjà pas mal, non ?
Antoine hoche la tête :
- C'est vrai que tu nous offres déjà du rêve...
Boris fait un clin d'œil à sa femme :
- Toujours plus ?
- On verra...

Les deux garçons repartent avec des cartons et Boris dit :
- Je vais remplacer Julien dans le camion.
Sitôt seule, Camille décide de faire plaisir aux gars et commence à faire glisser son short en emmenant sa culotte.

Antoine revient alors et la surprend :
- Ah ! Tu as réussi à te motiver ?
Camille remonte son short :
- Non... je... je regardais juste l'état de mes fringues. Je commence à puer la sueur et je me dis que ça va être long d'attendre jusqu'à ce soir pour prendre une douche.
Elle prend son débardeur et le soulève pour le sentir, révélant (involontairement ?) à son cousin le bas de la courbe de ses seins.

- Tu pourras en prendre une ici, si tu veux.
Julien arrive alors :
- Petite pause technique. Je vais aux toilettes et je m'y remets.
Une fois Julien passé, Antoine se confie à sa cousine :
- Je suis frustré, j'ai vraiment cru que tu étais en train de retirer ta culotte.
- De toute façon, même si je la retire, je garde mon short. Je ne vais pas me balader à moitié à poil devant Julien.
- Mince ! Tu veux dire que si Julien n'était pas là, tu le ferais ?
- Tu aimerais, hein, Tony ?

- Carrément !
Antoine fait mine de repartir au camion :
- Attends, Camille, je vais dire à Julien de se barrer. On peut finir sans lui.
- Idiot...
Camille rigole mais tout cela commence à la troubler sérieusement. Quand son cousin s'approche d'elle avec un air enjôleur, elle se demande si elle ne va pas craquer et lui demander de lui faire l'amour. Il lui dit :
- Allons, Camille. Puisque tu auras ton short et que tu es persuadée que ça ne changera rien, fais nous plaisir : retire cette culotte.
- Pourquoi ne te contentes-tu pas déjà de ce que tu as ?
Ce disant elle soulève son débardeur et exhibe ses seins à son cousin.

Antoine sourit :
- Tu essayes d'acheter Tony, là !
- Non, je t'offre une compensation.
- Généreuse...
Il pose sa main sur son ventre mais au lieu de la faire remonter pour caresser les seins, comme Camille s'y attendait, il la fait descendre et la glisse dans le short :
- Mais j'ai vraiment très envie de ces trésors cachés.

Camille lui retire la main :
- Dis donc, Tony, il prend une tournure curieuse ce déménagement...
Comme elle a toujours les seins à l'air, Antoine lui empoigne les seins et les embrasse :
- C'est vrai que habituellement on attend que le déménagement soit terminé pour déballer...

La cousine rigole mais commence à vouloir se dégager de son étreinte et essaye de remettre son débardeur :
- Tu as raison. Hop ! Je remballe.
- Non attend, c'est toi qui m'emballe.
- T'es con...
Camille rigole et laisse son cousin lui retirer son débardeur et reprendre ses caresses buccales sur ses mamelons tendus.

Comme il s'écarte, Camille se dit qu'il a obtenu ce qu'il voulait. Mais comme il retire son tee-shirt, elle s'inquiète :
- Tu fais quoi, là ?
- Je me mets torse nu, comme toi.
- Mais on ne va pas faire l'amour ici dans ton garage alors qu'il y a Boris et Julien qui sont juste à côté.
- Pfff, Ok, je te fous la paix si tu retires ta culotte.
- Tu as de la suite dans les idées toi...
Le repoussant gentiment, elle l'embrasse.

Camille cherche son débardeur mais se rend compte que son cousin le cache derrière son dos :
- Rends-moi mon débardeur.
- Je te l'échange contre ta culotte. Dépêche-toi, Julien va revenir des toilettes et Boris va s'impatienter dans le camion.
- Gros malin...
Sans autre choix, Camille retire son short.

Une fois en culotte, elle semble hésiter. Antoine se penche pour vérifier que Boris patiente toujours dans le camion :
- C'est bon. Boris attend encore. Julien n'a pas encore tiré la chasse. Tu as le temps.
Lui tournant le dos, Camille retire la culotte.

Elle la tend à Antoine mais celui-ci semble ne pas vouloir l'attraper :
- Prends-la et rends-moi le débardeur.
- Ou bien tu restes comme ça. Boris sera ravi et je pense que Julien aussi.
Camille lui lance sa culotte au visage :
- Arrête de déconner.

Antoine lui lance le débardeur à ses pieds et met la culotte dans la poche de son jeans :
- Voilà un bien beau trophée !
Camille commence par renfiler son short alors qu'ils entendent la chasse d'eau dans la maison, signe que Julien va bientôt repasser par là.

Elle achève tout juste de remettre son débardeur quand Julien arrive :
- Et bien ? Vous discutez mais je vois toujours autant de cartons ici moi.
- On faisait une pause...
Boris arrive alors à l'entrée du garage :
- Qu'est-ce que vous foutez ? Vous faites une pause sans me le dire ?
- Non, on négociait l'organisation de la fin de matinée avec Camille. J'ai obtenu gain de cause.
Camille sourit en voyant que Boris se doute de quelque chose. Elle attrape un carton et motive les gars :
- Allez, les garçons, on y retourne.

Quand ils arrivent au camion, tous chargés de leur carton, Boris pose le sien sur le bord et se hisse dans le camion pour réceptionner les autres :
- Allez, on essaye de terminer avant midi.
Antoine modère son enthousiasme :
- Non, ça va être trop chaud. Les meubles, on les fera dans un second tour cet après-midi.
Camille tend son carton en premier à Boris qui se rince l'œil dans le décolleté, se rendant compte de la vue dont Julien a pu profiter à chaque fois que Camille lui apportait un carton.

Camille remarque la bosse qui déforme l'entrejambe du jeans de Boris. Elle sourit en le regardant :
- C'est dommage de réfréner une si belle motivation...
Boris croit comprendre qu'il s'agit encore d'un message codé. Quand Camille se redresse, il remarque à quel point elle aussi est excitée en voyant ses mamelons pointer fièrement à travers le fin tissu du débardeur :
- Le tout est de rester motiver jusqu'à ce soir !

Arrivée dans le garage, Camille se penche sur le canapé pour regarder derrière :
- Tony ? Les cartons, là derrière, il faut aussi les charger ?
- Heu, il y en a combien ?
En réalité, Antoine se fiche de savoir combien il y a de cartons mais la position de sa cousine est particulièrement sexy : son mini-short, très étroit à l'entrejambe, révèle une partie de son sexe. Antoine cherche juste à gagner du temps pour que Julien puisse aussi se rincer l'œil.

- Il y en a une douzaine. Pas très gros. On déplace le canapé pour les récupérer ?
Julien, les yeux écarquillés, sort de son silence ahuri et dit :
- Oh, tu peux peut-être les attraper pour nous les passer, non ?
Camille n'est pas dupe, mais décide de jouer le jeu :
- Ok, alors approchez-vous pour les récupérer que je n'aie pas à me retourner à chaque fois.
Faisant ainsi, les deux hommes, les yeux exorbités, profitent du spectacle incroyable de la moule de Camille à peine dissimulée par l'entrejambe du mini-short.

Quand Camille se redresse, les deux garçons reprennent leur respiration et poussent un profond soupir. Camille sourit faisant mine de ne pas connaître la raison de leur trouble. Alors que Julien s'apprête à partir avec le premier carton, Antoine l'arrête en tendant un marqueur noir :
- Attends, j'ai oublié de marquer ceux-ci.
- Marquer quoi ?
- Que ce sont des livres. Quand on va déposer tout ça à Emmaüs, ça leur fera gagner du temps. Je l'ai fait pour tous les autres...
Camille attrape le marqueur :
- Alors je m'en charge, Tony. C'est à ma portée.
Camille se penche alors au-dessus du premier carton. Devant elle, Antoine profite de ses seins nus dans le décolleté. Derrière elle, elle sent le regard de Julien sur sa croupe et ses cuisses.

Alors que les deux garçons ne bougent pas, Camille redresse la tête et dit :
- Je viens d'en faire deux, vous pouvez peut-être déjà les emmener plutôt que d'attendre que je les fasse tous... A moins que vous ayez besoin de faire une pause.
- Une pause contemplative, oui.
- Allez, espèce de vicieux, décroche de mes nibards et emporte ce carton à Boris.
- Tu es injuste avec moi. Julien aussi en profitait...
- D'où il est, il ne pouvait certainement pas voir mon décolleté.
- Non, mais il voit ça !
Alors qu'il passe derrière elle, d'un coup sec, Antoine lui abaisse son short comme il l'avait fait précédemment, sauf que maintenant Camille n'a plus de culotte.

- Tony, t'es qu'un salopard !
Antoine rigole et fait comme s'il était surpris :
- Camille !? Tu ne portes pas de culotte sous ton short ?
- Gros malin, dit-elle en remontant le mini-short, elle est dans ta poche !

Julien, complètement subjugué par ce qu'il vient de voir et d'entendre, prend le second carton marqué par Camille et se dirige vers le camion. Quand Boris le voit arriver, il se met à rire :
- Et bien, Julien ? Tu as vu un fantôme ?
- Ah non, ça n'avait rien d'un fantôme. C'était du très concret...
- Camille s'amuse avec vous, c'est ça ?
- Je ne sais pas qui s'amuse avec qui, mais elle n'est pas farouche.
- Elle aime qu'on s'occupe d'elle... Ce n'est pas désagréable, n'est-ce pas ?
Camille arrive alors et tend son carton à Boris :
- Qu'est-ce qui n'est pas désagréable ?
Mais avant que Boris ne lui réponde, Antoine arrive derrière et pose son carton par terre. Il saisit sa cousine à la taille et dit :
- Pousse-toi, on ne peut pas passer !
Quand Camille tente de se dégager de son étreinte, Antoine en profite pour corriger sa prise et lui empoigner un sein.

Camille se calme et lui lance :
- Attention, tu t'égares...
Antoine retire sa main accrochant au passage la bretelle du débardeur, ce qui a pour effet de découvrir un sein.

- Oh pardon ! s'excuse-t-il avec un grand sourire.
Se rajustant, Camille rigole et lui dit :
- Tu ferais mieux d'aller chercher les derniers cartons au lieu de me peloter.
- Tu as raison, il faut qu'on aille décharger tout ça à Emmaüs avant 12h30. Julien, viens m'aider pour les derniers cartons. Boris et Camille, terminez de bien caler tout ça pour que ça ne bouge pas pendant le voyage.
Camille tente de se hisser dans le camion mais reste coincée :
- Merde, c'est super haut !
Antoine et Julien, se retournant, regrettent d'être partis si tôt car ils auraient mieux profité du spectacle de la petite cousine avec les cuisses écartées.

Quand ils reviennent, Julien est le premier à tendre ses cartons. Boris est le plus près mais fait comme s'il était occupé avec son téléphone portable. Camille s'approche donc pour faire la réception :
- Attends Julien, je vais te les prendre.
Bien sûr, Camille n'hésite pas à se pencher et évidemment Julien ne perd pas une miette du charmant spectacle des seins qui s'agitent librement sous le débardeur.

Tenant les cartons, elle se tourne vers Boris :
- Je les mets où chef ?
- Faut pas que ça bouge. Essaye de les caler derrière le gros sur le côté.
- A vos ordres.
Est-ce le plus approprié pour les cartons où bien Boris vient-il encore de créer une opportunité pour exhiber sa copine ? Quoi qu'il en soit, Camille doit à nouveau se pencher et se cambrer pour atteindre l'espace désigné par Boris. A nouveau, les garçons peuvent se régaler de la vue sur sa moule à peine dissimulée par le mini-short.

Boris réceptionne et range les derniers cartons apportés par Antoine :
- Allez, chérie, tu descends pour que je ferme.
- Oh, je peux essayer ?
- Oui, si tu veux. Il faut commencer à tirer la porte en étant en haut, puis descendre pour refermer d'un coup sec.
Camille commence à tirer la porte coulissante jusqu'à mi-hauteur puis saute du camion. Bien campée sur ses cuisses écartées, elle attrape la poignée et tire fermement la porte vers le bas en poussant un petit cri aigu. Les garçons ne regrettent pas de l'avoir laissé faire car, encore une fois, ils ont pu admirer ses jolies fesses musclées en pleine action.

Fière d'elle, Camille se recule mais bouscule Antoine qui se retrouve par terre :
- Oh mince, désolée Tony. Tu vas bien ?
- Mmmm, je crois que je me suis foulé la cheville... Pas méchant.
Il se relève mais Boris lui pose la main sur l'épaule :
- Je ne pense pas que ce soit prudent que tu conduises si tu t'es fait mal... Julien sait où se trouve Emmaüs ?
- Oui.
- Alors, reste à te reposer ici, moi je conduis le camion avec Julien.
Camille se dirige vers la voiture :
- Je vous suis pour vous aider au déchargement ?

- Pas la peine, il y aura du monde là-bas. Reste avec Antoine pour lui faire un massage. C'est de ta faute après tout....
Boris n'ose pas imaginer l'effet qu'aurait la tenue de Camille sur les Compagnons d'Emmaüs... Une minute plus tard, le camion sort de la cour. Camille demande à Tony :
- Tu peux marcher ?
- Bah ouais. En fait ça m'a fait super mal sur le coup, mais j'ai l'impression que c'est passé.
- Pfff... Boris aurait dû se douter que tu avais une idée derrière la tête. Tout ce cinéma pour profiter de moi...

- Maintenant qu'on n'est plus que tous les deux j'avoue que, des idées, j'en ai pas mal qui me traversent l'esprit. Tu nous as pas mal chauffés à bosser sans sous-vêtement.
Camille s'assoit dans un fauteuil du salon :
- Hé, Tony ! Tu ne vas pas me le reprocher, c'est toi qui m'a suppliée !

Antoine s'installe dans le canapé face à elle :
- Je ne te reproche rien. C'est juste un plaisir de faire un déménagement en ayant quelques surprises sympathiques, des visions volées.
- Tu as bandé ?
- Bien sûr ! Depuis que tu m'as fait la bise en arrivant et je ne faiblis pas !
- Moi aussi... j'ai mon short qui commence à être trempé...
Comme s'il s'agissait de deux anciens soldats se montrant leurs cicatrices de guerre, Camille écarte les cuisses et tire sur le short pour dévoiler à son cousin sa moule toute humide de cyprine.

- Oh que tu dois avoir envie de jouir, ma pauvre cousine...
- Et bien en fait, juste faire monter l'excitation, je trouve ça bien.
- Ah oui. Raphaël m'a beaucoup parlé de ton passage chez lui avec ta copine.
- Il a appris des choses. Et je pense que Pauline ne regrette pas.

Antoine se masse l'entrejambe pour repositionner son érection un peu congestionnée dans son jeans. Puis il demande à sa cousine :
- Tu m'apprendrais aussi ?
- Je peux. Reste assis et observe.
Camille écarte lentement les cuisses.

- Si je dois juste jouer les voyeurs, ça devrait aller. J'ai fait ça toute la matinée.
Camille fait glisser son short sur ses cuisses.
- Ce n'est pas seulement ça. Tu es voyeur mais je suis officiellement consentante à ce que tu regardes. Tu as aperçu mes seins, mes fesses, ma moule ce matin et ça t'a d'autant plus excité que tu te plaisais à penser que c'était à mon insu. Tu l'as dit "des visions volées". Là, tu n'as pas besoin de voler, je t'offre le spectacle.

- Et tu penses que ça m'excite moins ?
- Non, je pense que ce sera plus difficile pour toi. Car tu vas me voir me donner du plaisir devant toi et que je ne vais pas t'autoriser à en prendre. Mais ce sera cette frustration qui va augmenter ton excitation.
Antoine a du mal à se concentrer sur ce que lui dit sa cousine, surtout quand elle commence à mettre en application le supplice qu'elle vient de lui exposer : lentement, elle fait pénétrer deux doigts dans sa moule et commence à se masturber.

Camille ferme les yeux et se met à gémir sans retenu. Après deux minutes, elle s'interrompt et ouvre les yeux :
- Tu as prévu quoi pour le repas de ce midi ?
Antoine se demande pourquoi elle pose cette question :
- J'ai préparé des salades et une quiche, pourquoi ?
- Mmmm, moi, je te propose de déguster un bel abricot bien mûr et bien juteux.
De manière parfaitement explicite, elle écarte les lèvres de sa moule.

Lentement, Antoine se lève. Camille commente :
- C'est bien, malgré l'excitation, tu te retiens.
- Tu m'as ouvert l'appétit...
Il s'agenouille entre ses cuisses et commence par admirer pendant quelques secondes le magnifique fruit qui lui est offert.

- Allez, vas-y goutte-moi.
Antoine se penche entre les cuisses de sa cousine. Lentement. Il dépose un baiser sur l'intérieur de la cuisse, d'abord à droite, puis à gauche. Enfin, il pose sa langue à la base de la vulve et, toujours avec beaucoup de retenues, la pointe de sa langue remonte jusqu'à atteindre le clitoris. Camille a un frisson à ce contact.

- Mmmmm, oui... Tu es presque aussi doué que ton frère...
Ayant trouvé le point sensible de sa cousine, Antoine insiste sur le clitoris, faisant tournoyer sa langue sur l'organe érigé. Camille a le souffle court et gémit de plus en plus :
- Oh putain Tony, c'est bon !

Mais soudain, elle pose ses mains sur son front et le repousse gentiment, avant de se relever. Antoine ne comprend pas et reste à genoux :
- Tu... tu n'as pas joui !
- Non, mais ce n'est pas une fin en soi. Si tu as écouté ma leçon, tu auras compris que l'excitation est parfois plus importante.
- Tu ne veux pas d'orgasme ?
Camille attrape son short et l'enfile :
- Si, mais je pense que je peux avoir un orgasme d'autant plus puissant que mon excitation sera grande. Il en sera de même pour toi.

Camille ramasse son débardeur et a presque de la pitié en voyant la mine déconfite de son cousin :
- Ne sois pas déçu. Je compte vous exciter encore... Et que vous m'excitiez aussi.
- "Vous" ?
- Il me semble qu'il y a aussi Julien et Boris.

Antoine se lève et vient la rejoindre :
- J'avoue que j'avais espéré qu'on profiterait d'être juste tous les deux pour...
- Se faire jouir, l'un l'autre ? Comme un vieux couple ? On peut faire mieux que ça, Tony.
- Tu nous mènes vraiment par le bout du nez, ma belle.

- Mais c'est pour votre plus grand plaisir.
- Et le tien...
Se plaquant dans son dos, il l'embrasse dans le cou. Il passe une main entre ses cuisses pour lui masser l'entrejambe encore brûlante et lui caresse un sein de son autre main.

Antoine murmure à son oreille :
- Tu as changé. Tu n'avais pas ces exigences quand on est venu te voir avec Raphy.
- Non, on était au stade de la découverte, des souvenirs. Là on peut estimer qu'on peut passer à quelque chose de plus intime, dans une relation de confiance.
Elle se retourne et l'embrasse.

Quand ils achèvent leur baiser, Antoine demande :
- Camille, comment vas-tu gérer pour Julien ? La découverte ou la confiance ?
- On improvisera...
Se détachant de son cousin, elle va à la cuisine et lui demande :
- Elles sont où tes salades ? Boris et Julien ne vont plus tarder à revenir. On peut installer la table pour leur arrivée.

Cet épisode est librement inspiré de la première partie de l'histoire de Free (2008)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb130/reve13010.html]^ ---------oOo---------
L'autre cousin - épisode 2 : La plage
Samedi après-midi
Le repas marque une pause assez détendue. Camille reste en retrait, assise à côté de Boris, et les garçons échangent sur les séries télévisées qu'ils regardent en ce moment. Bien sûr, Julien et Antoine, assis en face, lancent quelques regards discrets en direction du décolleté ou des cuisses de Camille, mais cela ne va pas plus loin. Une fois la table débarrassée et la vaisselle mise au lave-vaisselle, ils rejoignent tous le garage pour s'occuper des gros meubles, à emporter également à Emmaüs. Comme cela demande plus d'efforts et de concentrations, les garçons s'intéressent beaucoup moins à Camille et celle-ci ne cherche pas non plus à les déconcentrer. Quand tous les meubles sont chargés dans le camion, Boris propose à nouveau de conduire jusqu'au dépôt Emmaüs :
- Je vais y aller encore avec Julien, si tu veux Antoine.
- Non, je te remercie mais ma cheville va beaucoup mieux. Camille m'a fait boire une potion magique qui m'a remis d'aplomb.
Il fait un clin d'œil à sa cousine qui croit comprendre à quoi il fait allusion. Antoine précise sa décision :
- Et il faut que je rende le camion et que je récupère ma voiture. Donc tu peux rester là avec Camille.
- Ok, mais, on peut se rendre utiles à quelque chose en vous attendant ?
- Profitez de la piscine ou mieux, de la plage. La saison n'a pas encore commencé donc il n'y a presque que les résidents.
- Excellente idée !
- Vous avez des maillots ?
- Oui merci !

La plage est accessible directement depuis la maison. Après la piscine, au fond du jardin, il y a accès à un petit sentier qui longe la maison sur la droite et qui, après avoir traversé quelques dunes, descend jusqu'à la plage. Un quart d'heure après le départ du camion, Camille et Boris sont sur la plage. La plage n'est pas très longue, quelques centaines de mètres. Barrées de part et d'autre par quelques rochers, elle n'est utilisée presque que par les estivants qui habitent la vingtaine de maisons qui donnent directement dessus, même si la plage est officiellement publique. Un rapide coup d'œil permet à Boris de se rendre compte qu'ils y sont presque seuls : quelques hommes isolés et un couple de retraités beaucoup plus loin :
- C'est génial ! C'est presque une plage privée.
- Presque pas assez de monde pour faire de l'exhibition...
Camille regarde autour d'elle :
- Tu as remarqué que les deux vieux là-bas sont à poil ?
- Hein ? Ah oui, j'avais même pas remarqué.
- D'ailleurs, un des gars là-bas aussi, j'ai l'impression.
- Oui, c'est vrai... C'est une plage nudiste ?
- Tu aimerais, hein ?
- C'est vrai que vu que c'est super tranquille, on n'aurait tort de garder les maillots et d'avoir des traces de bronzage.
- Comme si les traces de bronzage te préoccupaient...
Camille se lève et retire son débardeur.

Boris écarquille les yeux :
- Sérieux, tu vas faire du nudisme ?
- Non.
Boris semble déçu :
- Juste du topless, c'est déjà pas mal.
- Non. Je ne vais pas faire du nudisme, NOUS allons faire du nudisme.
Camille fait glisser son short.

- Allez, Boris. Toi aussi. A poil.
Pas très à l'aise, Boris s'exécute. Il note au passage quelques regards des hommes à proximité, particulièrement attentifs lorsque Camille prend le temps d'étaler sa serviette et leur expose ses ravissantes fesses rondes et son joli petit abricot lisse et épilé.

Une fois la serviette installée, Camille s'allonge sur le dos, jambes serrées, légèrement fléchies. Boris fait de même à ses côtés, et ils prennent le temps d'observer discrètement leur entourage. Hormis deux regards masculins, assez éloignés, personne ne semble se préoccuper d'eux. Ils savourent alors la caresse du soleil sur leurs corps, particulièrement sur les parties de leurs anatomies généralement privées de ce bienfait. Boris contemple avec tendresse sa copine, ses superbes seins, ronds, pleins, légèrement affaissés sur son torse, son ventre plat, le haut de sa motte légèrement bombée que ne voile aucune pilosité, le départ du sillon qui fend son abricot et disparaît entre ses cuisses, ses jolies jambes fines et bronzées.

Boris note que les pointes de ses seins sont un peu tendues, très peu, et les mamelons roses, plantés sur des aréoles brunes et grumeleuses, contrastent avec la peau claire. Furtivement, il dépose un baiser sur le téton à sa portée, et Camille accepte cette rapide et discrète caresse d'un rire clair. A ce simple contact, le téton s'érige un peu plus et Boris sent une douce chaleur envahir son bas ventre. Se retournant sur le ventre, Boris distingue mieux les gens qui les entourent, et note les regards des deux hommes remarqués auparavant. En observant les dunes qui surplombent et isolent cette plage, il constate une discrète activité. Il lui semble que des silhouettes allongées dans la dune, camouflées par la végétation rase, les observent. Il distingue même le bref reflet de ce qui lui paraît être une paire de jumelles. Le fait de savoir Camille ainsi reluquée provoque en lui un début d'érection que sa position sur le ventre tient cachée. Camille semble ne s'apercevoir de rien, et, les yeux fermés, bras le long du corps, les jambes à plat, cuisses très légèrement ouvertes, lézarde.

Boris risque à nouveau un baiser sur le sein à sa portée, et reprends son observation. Toujours aussi peu de mouvement, mais les présences sont indiscutables. Des dunes, arrive un homme seul, en maillot blanc, serviette sur l'épaule, sac de plage à la main. Il semble avoir une quarantaine d'années, plutôt sportif, bien bronzé. Il descend dans la direction de Camille et Boris, mais les contourne. Boris feint de ne pas m'intéresser à lui, mais il note ses rapides coups d'œil en direction de Camille. L'homme sort de son champ de vision. Tournant la tête vers Camille sous prétexte de lui demander comment elle se sent, Boris constate qu'il a posé son sac et qu'il observe Camille.

Boris fait alors mine de regarder alentours partout sur la plage, pour ne pas montrer qu'il s'inquiète de la présence si proche de ce nouveau venu. Camille sent sa tension :
- Tu es stressé d'être à poil ?
- Non non. J'admire la plage. C'est tout.
Du coin de l'œil, il voit alors le gars de profile. Il remarque une bosse importante dans son maillot et se demande s'il n'est pas en érection. Boris se dit qu'après tout, lui aussi est dans cet état et que ça n'aurait rien de surprenant. Mais il voit soudain le gars commencer à retirer son maillot.

Boris est stupéfait. Ce gars vient de se mettre à poil à seulement quelques mètres d'eux ! Boris tourne la tête vers Camille mais voit qu'elle a toujours les yeux fermés. Elle ne semble pas avoir remarqué la présence du nouveau venu. Regardant du coin de l'œil, Boris l'observe à la dérobée. L'homme ne semble pas avoir du tout de problème avec le nudisme. D'ailleurs, Boris remarque qu'il n'a aucune marque de maillot. Vraisemblablement un adepte du naturisme. Son sexe est bien gonflé même s'il n'est pas réellement en érection.

Boris est encore plus étonné quand il voit que l'homme s'est allongé à quelque distance, entre la mer et eux, et qu'il a choisi son emplacement juste dans l'axe de l'entrejambe de Camille. Etendu sur le ventre sur sa serviette, il les regarde sans fébrilité ni ostentation. Il est pourtant assez proche d'eux pour apercevoir entre les cuisses légèrement écartées de Camille, le sillon de sa fente du haut de son pubis épilé jusqu'au bas de ses jolies fesses potelées.

Ce que Boris devine de la vue que l'homme doit avoir achève de rigidifier son érection naissante. Il est condamné à rester pour l'instant sur le ventre. Boris reprend son observation des dunes, sentant comme une flèche de chaleur le regard de leur admirateur sur les fesses de Camille qui semble ne s'être aperçue de rien, les yeux fermés. A nouveau, il dépose un baiser sur son sein. Elle sourit sans ouvrir les yeux. Boris aperçoit le garçon, devinant et sentant son regard, mais prenant soin de ne pas le croiser. La situation est douce et excitante. Puis Camille se redresse :
- On va se baigner ?
- Oh, elle doit être froide, non ?
En vérité, c'est un prétexte car l'état de Boris lui interdit pour le moment de se redresser.

Elle ne montre aucune déception et ne semble même pas avoir remarqué la présence du gars à nos pieds. Camille se retourne alors sur le ventre et enfouit sa tête dans ses bras et reprend sa sieste, le visage tourné vers Boris. Se redressant, Boris constate que ses jambes sont toujours légèrement ouvertes, et que le regard du garçon est lui aussi toujours fixé sur le même paysage qu'il contemple maintenant sous l'aspect opposé : Les jolies fesses rondes, fendues du sillon qui découpe les lèvres de son coquillage.

Camille ouvre les yeux et sourit à Boris :
- Elles sont jolies mes fesses... ? Lui demande-t-elle doucement.
- Tellement jolies qu'elles me font beaucoup d'effet...
- Mon pauvre chéri... C'est pour ça que tu ne peux pas te retourner... ?
- Eh oui ! Lui avoue-t-il en riant. Je vais bientôt devoir creuser un trou sous mon ventre pour cacher ma turpitude...
- Moi j'aime bien ta turpitude... ! Lui dit-elle en lui tendant ses lèvres.
Ils restent allongés sur le ventre, leurs visages à quelques centimètres l'un de l'autre, les yeux dans les yeux, s'exprimant toute la tendresse et l'amour du monde. Un éclair traverse les yeux de Camille quand elle avoue à Boris :
- J'ai envie de toi, moi aussi...

- J'ai envie de caresser tes fesses... Lui dit-il.
- Et pourquoi ne le fais-tu pas... ?
- Pas très discret... Lui répond-il en souriant.
- Je t'ai connu plus audacieux... Moque-t-elle d'un air coquin.
Boris tente de cacher son trouble :
- C'est vrai que je me sens un peu intimidé sur cette plage...
- Dommage... Murmure-t-elle.
- Tous ces gens nus ne te gênent pas ?
- Non. Je ne m'occupe pas d'eux... Je suis bien comme ça... Ils regardent s'ils en ont envie...
- Tu as raison...
Boris glisse une main sur son dos, descend sur ses fesses, le plus discrètement possible.

Il découvre du bout des doigts le haut de la raie qui sépare ses globes, suis cette vallée qui plonge entre ses cuisses. Il sent ses jambes s'ouvrir presque imperceptiblement, et les tempes bourdonnantes, les yeux rivés dans les siens, encouragé par son geste, il glisse un doigt le long de sa fente, la main posée bien à plat sur l'intérieur de sa cuisse. Son coquillage palpite sous son index, ses lèvres renflées s'ouvrent du même mouvement que ses jambes, et son doigt glisse dans un gouffre chaud et humide, s'attarde à l'entrée de sa grotte qui suinte de plaisir. Sa position ne lui permet pas de descendre jusqu'au clitoris, mais il se délecte de sentir la mouille, l'entrée de la caverne intime.

Boris risque un œil, et constate que l'ouverture des jambes de Camille offre au voyeur un panorama sans équivoque. Il s'est légèrement relevé sur ses coudes et son regard est rivé à l'intimité de la jolie brune. Cette révélation provoque en Boris une telle onde de plaisir qu'elle le désinhibe. Pour faciliter sa caresse, il se tourne sur le côté, contre Camille, et ce faisant, révèle au voyeur son sexe gonflé et tendu qui pointe sur la hanche de Camille.

La nouvelle position de Boris lui permet de pousser plus loin ses caresses, et de débusquer plus bas le bouton d'amour de Camille. Elle se cambre sous ce toucher, creuse plus les reins, levant encore un peu la croupe, et lui offre son bouton saillant.
- Je vois que tu ne m'as pas menti... Lui murmurait-il à l'oreille.
- Je ne te mens jamais... M'assure-t-elle.
- C'est vrai... Tu es trempée...

- Continue ! C'est doux et c'est très bon... Lui ordonne-t-elle en fermant les yeux, posant la main sur sa queue raide de désir et la serrant entre ses doigts.
Boris sent que si elle continue ainsi, il ne va pas tenir longtemps, d'autant qu'il croise le regard de leur admirateur, et ce bref échange leur apprend à tous les deux que chacun est bien conscient de la situation. Boris lit sur son visage un bref sourire d'appréciation et d'encouragement.
Presque immobiles, Boris prolonge cette douce et discrète caresse, et il se concentre autant sur la maîtrise de ses émotions que sur les palpitations que lui révèle l'intimité de Camille et les moindres contractions de sa vulve et de ses fesses.

Cette douce masturbation réciproque, sous les yeux de cet homme qui entre de fait dans leur intimité, propulse Boris sur les sommets du plaisir. Camille semble elle aussi profiter pleinement de la situation, et c'est d'une voix haletante et étouffée qu'elle lui dit :
- Tu vois que tu deviens moins timide...
- Tu aimes... ?
- J'adore... Avoue-t-elle. Et je vois que tous ces gens ne te gênent plus...
- C'est vrai...
- Même celui qui est derrière moi ? Demande-t-elle espiègle.

Boris sursaute malgré lui :
- Tu l'avais remarqué ? Lui demande-t-il, surpris.
- Je l'ai vu arriver, et je sens son regard qui ne m'a pas lâché... Lui dit-elle, contente de son effet, les yeux luisants.
- Il est vrai qu'il a une vue exceptionnelle sur tes trésors...
- Eh bien tant mieux pour lui... Et ça n'est pas fait pour te déplaire ?
- Non ! Tu le sais, j'aime que les hommes te regardent...
- Caresse-moi encore... C'est bon... Je crois que je vais pouvoir jouir comme ça...
- Si tu me serres la queue comme ça, je vais te décharger dans la main !
- J'espère bien, mais fais-moi jouir d'abord ! Demande-t-elle en relâchant son étreinte sur son membre. Je te ferai jouir après...
Se relevant légèrement sur le coude, il glisse une main sous son ventre et atteins son bouton d'amour du bout des doigts. Tout en le masturbant délicatement, de l'autre main toujours glissée entre ses fesses, il introduit son index à l'entrée de sa grotte trempée pour la branler, tout en massant sa rondelle secrète du bout du pouce.

Boris sent la plus infime de ses réactions, le frémissement qui court dans son dos, les crispations de ses fesses et de son vagin, le léger roulement de son bassin, et son clitoris qui palpite. Ses jambes largement ouvertes et son cul légèrement relevé ne doivent laisser aucun doute aux voyeurs cachés dans les dunes ou aux autres plagistes, mais leur voyeurisme supposé n'est qu'un piment à l'instant que vit Boris, les yeux fixés à ceux de leur admirateur qui l'encourage d'un regard hagard. Le garçon a glissé la main sous lui, et se mettant de côté, montre son geste à Boris.

Il se branle en accompagnant Camille dont le plaisir monte comme une vague. Elle confirme :
- C'est bon... Tu fais ça bien... Je vais jouir...
- Oh oui, jouis... Décharges-moi ton foutre sur les doigts ! L'encourage Boris, lui-même au bord du plaisir, écrasant sa queue sur sa hanche.
- Je viens... Je viens... Continue... Je viens...
Boris la sent se raidir, bloquer son souffle et accueillir en tremblant un orgasme qui semble aussi puissant qu'elle met de discrétion à l'accueillir.

Les yeux fixés dans ceux de leur admirateur, les tempes bourdonnantes, Boris articule silencieusement à son attention : « Elle jouit... » et il lit en retour sa réponse « Je vois... ». Camille reste immobile, reprend son souffle, referme ses jambes, se tourne légèrement vers son mari, les yeux humides et brillants.
- Tu m'as divinement fais jouir... À moi maintenant.
Ils sont face à face, s'abritant mutuellement des regards des plagistes, mais pas de celui du voyeur, ni de ceux des éventuels embusqués dans les dunes qui les surplombent. Les yeux dans les siens, Camille enserre son sexe tendu à en être douloureux, et lentement, le masturbe.

- J'aimerai te sucer... Murmure-t-elle.
- Moi j'aimerai te baiser...
- Oh oui... Moi aussi, j'aimerai que tu me baises maintenant... ! Lui avoue-t-elle.
Il lui caresse son coquillage, tout trempé de cyprine. Il sent son plaisir monter, un peu honteux de se laisser branler devant des inconnus. Il jette un coup d'œil au voyeur. Il lui sourit.
- Il m'a vu jouir... Il te verra jouir aussi... ! Murmure-t-elle, le surprenant encore une fois.
- Tu as aimé qu'il te voie ? Lui demande-t-il, tentant de contrôler mon plaisir.
- J'ai adoré... Ça m'a beaucoup excitée... Et te branler devant lui m'excite autant...

- C'est vrai ?
- Oui... Je suis encore trempée et mon clito est tendu... J'ai vraiment envie que tu me baises... Là... Maintenant !
- Tu veux que je t'emmène dans les dunes ?
- Où tu veux... N'importe où... Mais maintenant... fais-moi l'amour, prends-moi...Baises-moi !
- OK, mais arrête de me branler... Tu vas me faire jouir !
A regret, elle le lâche. Son regard brille comme jamais et ses tétons sont turgescents. Boris imagine l'état de son clito et le suintement de sa mouille. Elle est dans une phase d'excitation similaire à la sienne, mais il n'ose encore se lever. Il n'a pas l'habitude de marcher nu, le sexe en érection. Encore un avantage qu'ont les femmes sur les hommes, savoir dissimuler leurs émois physiques bien que les tétons... C'est ce que Boris lui fait remarquer :
- Chérie, si je me lève maintenant, toute la plage saura que tu me fais bander...

Leur admirateur marque d'un air triste et d'une grimace de regret leur inaction, et Boris lui répond d'un clin d'œil. Camille, qui à l'œil à tout, le gronde gentiment :
- Il va nous suivre si tu l'encourages...
- Et alors... Il a eu un joli spectacle et a su rester discret... Il a l'air très bien cet homme...
- Oui... Juste un peu âgé... Répond-elle avec une pointe de regret amusé.
- Tu es incroyable... ! Ne me dis pas que tu espérais un étalon qui te prenne énergiquement sur place... ?
- Tant qu'à faire, pourquoi pas... ? Plaisante-t-elle. Je te sais assez cochon et lubrique pour aimer ça... !

Boris aperçoit de loin un homme seul, en haut des dunes, qui ne les quitte pas des yeux. Il lui semble que leurs jeux érotiques ne sont pas passés inaperçus de ce côté de la plage, et il ne tient pas à se retrouver avec une meute à leurs trousses. Il distingue même que le voyeur a extrait de son slip de bain une queue tendue et qu'il se masturbe... Mais son attitude n'est en rien ni excitante ni encourageante, et il se désintéresse de lui. Il ne tient pas à donner de leurs ébats une représentation publique. Un minimum d'intimité leur est quand même nécessaire... Pourtant, Boris sait qu'ils ne pourront pas aller faire l'amour dans les dunes. Il sait aussi que le temps de remonter jusqu'à la maison, ils auront perdu toute cette magnifique excitation. Frustré, il présente quand même cette option à Camille :
- On va devoir remonter chez Antoine...
- Attends...
Camille ne le regarde pas. Elle a les yeux rivés à un spectacle qui se joue à quelques pas devant elle. Leur voyeur est désormais à genoux en train de se masturber lentement, le regard alternant entre l'entrejambe de Camille et sa poitrine aux mamelons tendus.

- Il se branle pour toi, ma chérie.
- Oui... Regarde comme je mouille, ça m'excite ! dit-elle tout haut.
Boris glisse alors à nouveau sa main entre les cuisses de sa femme et recommence à lui caresser le coquillage, lui mettant deux doigts dans son bénitier. Il enfonce et ressort ses doigts avec vigueur à tel point qu'un clapotis sonore s'échappe de cette grotte à chacune de ses allées et venues.

Camille, toute à son plaisir, ferme les yeux. Tout en continuant de la fouiller, Boris regarde l'homme droit dans les yeux et d'un petit signe de la tête, lui fait comprendre qu'il a l'autorisation de s'approcher encore plus. Surpris, il n'ose pas aussitôt. Boris réitère son signe en lui souriant. Là, sans hésitation, il répond à son invitation, s'avançant à seulement un mètre des pieds de Camille. Elle se tortille sur le dos, yeux fermés et les lèvres pincées, s'y passant quelques furtifs coups de langue. L'homme profite pleinement de la jouissance de la jeune femme, pouvant même sentir le parfum des effluves s'échappant de cette si belle chatte. Boris continue à la pénétrer d'une main et, de l'autre, il branle son clitoris.

Camille feule :
- Ooooh, prends-moi s'il te plaît. Je veux ta bite !
Se redressant, Camille rouvre les yeux et prend alors conscience que le voyeur est là, juste à ses pieds.
- Oh ! Je... Désolée... Je ne pensais pas que vous étiez si proche.
Gêné, l'invité arrête sa masturbation, se demandant quelle contenance prendre.

Mais, voyant le magnifique membre turgescent, Camille l'encourage :
- Non, continuez, c'est agréable, pour une femme, de voir un homme se masturber. C'est, en quelque sorte un hommage. Votre présence redouble mon plaisir. Et vous avez une très belle queue !
Il se remet à l'œuvre faisant coulisser sa main de haut en bas, pas trop vite, tirant sur son prépuce, décalottant son gland violacé. Remontant le long de sa tige, il le fait disparaître puis réapparaître. Camille le regarde se branler, là, à portée de main. Obnubilée, le regard sur cette bite et ces bourses qu'il se masse en même temps. Pendant ce temps, Boris continue à la fouiller. Boris lit dans le regard du mâle qu'il n'a qu'une seule envie maintenant, celle de toucher cet abricot juteux et pouvoir goûter à cette cyprine jouissive.
- Je peux toucher ? ne tarde-t-il pas à dire en regardant Boris.
Celui-ci ne répond pas mais se retourne vers Camille, lui faisant comprendre que la décision lui appartient.
- Juste un peu, alors... un petit peu, c'est tout !
Boris retire sa main, laissant le champ libre.

L'homme allonge son bras jusqu'aux seins de Camille, pose sa main délicatement, les caressant, les soupesant, de son autre main, il continue de se masturber doucement, voulant faire durer le moment indéfiniment et retarder son explosion le plus longtemps possible. Laissant les choses se dérouler, Boris porte son regard vers les dunes. Sur la droite, un jeune homme se masturbe en assistant à cette scène. Il s'astique le morceau virilement. Lui souriant, Boris se réintéresse aux protagonistes principaux. « L'invité » embrasse les mamelons de Camille.

Puis il délaisse les seins, il caresse l'intérieur d'une cuisse, du genou jusqu'en haut et redescend. Camille aussi, la main sur le pubis, se masturbe de deux doigts en rythme avec son peloteur. Elle vibre, se cambre, soupire. Boris devine son envie de sentir la main se poser sur son sexe, son besoin immatériel de se sentir « visitée ». Boris se trouve dans un état d'excitation incroyable. Voir sa femme offerte, se faire caresser par un inconnu. La voir mouiller d'excitation, d'envie et de plaisir. La voir dans l'attente de se faire fouiller en regardant l'autre voyeur se branler depuis les dunes, car elle l'a vu.

Boris prend sa queue raide en main et se caresse, lui aussi. Quand il relève les yeux, l'homme le regarde :
- Je peux ?
Boris comprend qu'il lui demande la permission de glisser ses doigts dans cette chatte baveuse à l'excès. Sachant que c'est l'attente de Camille, d'un battement de cils, Boris lui donne son blanc-seing. Délicatement, il se penche au-dessus de Camille, passe sa main à plat sur les grandes lèvres écartées, charge ses doigts de cyprine lubrifiante. Sur ce toucher, elle écarte encore plus sa fourche, lui livrant tout son passage. Tortillant son poignet de droite à gauche, en douceur, il introduit en une seule fois quatre de ses doigts. Les enfonçant avec précaution jusqu'à ce que son pouce lui serve de garde.

Camille a la bouche ouverte. Le temps semble suspendu tandis que les doigts s'insinuent dans son intimité. Ce n'est pas tout à fait un fist mais c'en n'est pas loin et c'est une expérience nouvelle pour elle. L'homme tourne sa main, sur les côtés puis sur le haut, à la recherche du point « G ». Il est pourtant inutile de le chercher tant Camille prend déjà son pied. Elle est ailleurs... son ventre se projette en avant par saccades. Sa bouche grande ouverte cherche de l'oxygène. Ses yeux mi-clos sont à moitié révulsés. Subitement, un tremblement, que Boris ne lui connait pas, s'empare d'elle pendant plusieurs secondes. L'homme retire sa main et, alors, une explosion de cyprine sort de sa chatte, maculant ses cuisses et inondant la main du bonhomme qui, n'en pouvant plus, toujours penché sur elle, décharge de longs traits de sperme partout sur elle.

Le visage, les seins, le ventre, le pubis, les cuisses, aucune parcelle n'est épargnée. À croire qu'il n'avait pas joui depuis une décennie... Après un temps de repos, Camille se redresse et passe gentiment un doigt sur son sexe béant, essuyant une goutte de sperme de cet inconnu. En haut dans les dunes, le voyeur jouit à son tour, avec un peu de retard, expulsant son sperme dans le sable. Repu de son plaisir, l'inconnu leur dit :
- Merci... Merci, pour ce moment merveilleux... Ce n'est pas la première fois que je regarde ni que je touche une exhibitionniste mais jamais autant de plaisir ne m'a été offert. Encore merci... Au revoir.
Remettant son short, il reprend son sac et se retourne vers eux, leur adressant un signe amical de la main. Puis, il disparaît dans les dunes.
Boris regarde le corps de sa femme, couvert de la semence de cet inconnu :
- Tu as eu le droit à une éjaculation impressionnante.
- Ooooh, mon chéri, j'ai vraiment pris un super pied. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me mette tout ça !
- Tu parles des doigts dans ta moule ou de son sperme partout sur toi ?

Camille rigole. Puis regardant l'érection de Boris, elle dit :
- Mon pauvre, toi tu es resté en plan. On va faire l'amour dans l'océan ?
Boris regarde le soleil et fait la grimace :
- J'aurais adoré, mais là, Antoine et Julien sont certainement rentrés et il va aussi falloir qu'on rentre...
- Ok, je fais une baignade rapide pour m'enlever tout ça...

Camille court nue sur la plage jusqu'à l'eau. Les quelques hommes encore présents à proximité ne peuvent manquer de la voir. Certains ont sans doute raté le spectacle principal. Boris se dit qu'ils se rinceront au moins un peu l'œil avant de reparti. Camille s'agenouille, de l'eau à mi-cuisse et se penche pour s'éclabousser le cou, la poitrine et le ventre, se frottant rapidement jusqu'à faire disparaître toute trace du forfait de l'inconnu.

Une fois nettoyée, elle revient, toujours aussi impudique malgré les regards alentours qu'elle ne peut ignorer. Boris, qui a déjà remis ses vêtements, lui sourit :
- Tu restes nue pour rentrer ?
- Je pense que ça ferait plaisir à Tony.

- C'est certain et à Julien aussi.
En prononçant son nom, Boris a une drôle d'impression. Il se demande si le garçon qu'il a aperçu de loin dans les dunes n'aurait pas pu être Julien... Il n'en dit rien à Camille et la laisse remettre son débardeur et son mini-short. Ils rangent toutes leurs affaires et ils remontent à la maison d'Antoine. Quand ils arrivent, ils tombent sur Antoine qui fronce les sourcils en voyant sa cousine :
- Alors ? Vous étiez où ?
- Juste en bas, sur la plage... On a traîné un peu...

- Ah oui ? C'est curieux, Julien est descendu mais il ne vous a pas trouvé.
Boris sourit en comprenant que son intuition était probablement juste. Il dit :
- La plage est grande. Il nous aura manqué...
Cet épisode est très librement inspiré d'une partie de l'histoire de L'homme de M (2012)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb148/reve14853.html]
et du début de l'histoire de Pierre Favric (2006)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb104/reve10454.html]^ ---------oOo---------
L'autre cousin - épisode 3 : La soirée
Samedi soir
Avec un grand sourire, Antoine serre la main de Boris :
- Un grand merci pour votre aide ! C'était précieux.
Regardant sa montre, Boris se rend compte qu'il est temps de rentrer :
- Mince, il est plus tard que je ne le pensais... Il va falloir qu'on parte.
- Vous voulez prendre une douche avant ? Julien y est mais il ne devrait pas tarder à libérer la salle de bain.
- Pas de refus pour ma part ! dit Boris.
- Et c'est quoi le programme pour dimanche ?
Camille soupire :
- Monsieur va faire du rafting avec ses copains, sans nana.

Antoine a un sourire en coin :
- Attends, tu veux dire que toi, tu rentres mais tu n'as rien de prévu demain ?
- Bah si, j'attends gentiment mon homme à la maison comme une bonne petite épouse docile.
- Mais pourquoi tu ne resterais pas, toi ? Je peux te redéposer demain en soirée. Je dois remonter et ça ne me fera pas un gros détour de te déposer chez toi. Et comme ça tu pourras profiter un peu de la piscine et de la plage...
Tous les arguments étant avancés, ni Boris ni Camille ne voient de raisons pour s'opposer à cette excellente idée. Boris entrevoit cependant les perspectives qui s'ouvrent à Camille s'il la laisse seule avec Antoine et Julien. Cela l'émoustille et il fait un clin d'œil entendu à Camille :
- OK. Je vais quand même prendre une douche avant de partir si ça ne te dérange pas.
Pendant qu'il retourne chercher du change à la voiture, Antoine confie une serviette de bain à Camille. Julien sort juste de la salle de bain quand Boris revient.
Camille le suit dans la salle de bain pour lui donner sa serviette et referme la porte :
- Tiens, Tony te prête une serviette.
Boris sourit en voyant Camille qui semble un peu excitée.
- Stressée à rester seule avec ton cousin et son copain ?
- Oui, plutôt excitée en fait...

- Tu me raconteras ?
- En détails.
Camille pose sa main sur son entrejambe :
- Oh, mais tu bandes ! C'est de m'abandonner aux mains de ces deux beaux garçons qui t'excite ?
- Oui et aussi du souvenir de ce qu'on vient de faire sur la plage...
- Oh mon pauvre, c'est vrai que tu n'as même pas joui... On a sûrement le temps de résoudre ça.
Camille retire son débardeur et commence à baisser son short.

Boris sourit :
- Tu vas me mettre en retard...
- Tu préfères que je sorte ?
- Bien sûr que non. Tu es adorable...
Camille, nue, lui retire ses vêtements et dégage sa formidable érection. Ils s'embrassent.

Alors que Camille saisit le membre turgescent, Boris lui saisit le poignet :
- Attends ! C'est prêt à partir...
- Tu déconnes ?
- Bah, non, tu m'as chauffé toute la journée, comment veux-tu que je que résiste ?!
Camille s'appuie au meuble du lavabo et bombe sa croupe. Elle ne peut pas être plus explicite pour son homme.

- Tu hésites ?
- Non... Je me dis juste, quand je vois dans l'état où je suis, je sais que je ne vais pas tenir longtemps...
- Moi j'ai eu mon quota d'orgasmes sur la plage donc occupe-toi seulement de ton plaisir.
Boris s'approche et engage sa verge tendue dans le sexe chaud et accueillant de sa copine, en repensant aux doigts de cet inconnu qui ont investi le lieu il y a moins d'une heure.

Lentement il s'enfonce en elle. Puis s'arrête. Camille tourne la tête :
- Tu veux que je gère ?
- Non, je veux faire à mon rythme. Ne pas bâcler ça...
Camille se redresse et il lui empoigne les seins, commençant à la limer lentement.

Camille se met à feuler :
- Ooooh, Boris... Tu es si gros...
Il faut reconnaître qu'il est dans un tel état d'excitation qu'il lui semble tout à fait possible que sa queue soit plus conséquente que d'habitude. Après seulement une minute de va-et-vient, il sent soudain sa partenaire se tendre et se cambrer pour aller au-devant de sa pénétration. Elle se mord les lèvres, s'immobilise et tout son corps se met à vibrer. Boris ne s'attendait pas à ce qu'elle jouisse et cela lui met à bas toute résistance. Après avoir pris une profonde inspiration, il pousse un profond râle. Tout son corps se bloque, à l'exception de sa verge qui se met à déverser une incroyable quantité de sperme dans le sexe de sa chérie. Ils restent ainsi, tous les deux immobiles, Camille accoudée au lavabo, Boris agrippé à ses seins, avec seulement les tressautements du sexe de Boris et les dernières convulsions du bassin de Camille.
Ayant repris son souffle, elle se redresse et tourne la tête pour l'embrasser.

- C'était délicieux, même si c'est en dehors de mes principes. Celui de faire durer le plaisir le plus longtemps possible...
- Tu déconnes ?! J'ai attendu toute la journée !
- Je te taquinais...
Camille, avec un sourire, remet son short et son débardeur :
- Dépêche-toi de te doucher. Tu vas être en retard.

Boris expédie sa douche en seulement quelques minutes. Après avoir dit au revoir à Julien et Antoine, il va avec Camille jusqu'au coffre de la voiture pour sortir du sac ses affaires et laisser à Camille les siennes. Après un dernier baiser d'adieu, Boris lui susurre à l'oreille :
- Ne t'étonnes pas si Julien se montre moins timide, je lui ai dit qu'on était un couple très libre et qu'il nous arrivait de pratiquer l'échangisme...
C'est un mensonge mais il espère que cela incitera Camille à aller de l'avant avec Julien. Camille rigole :
- T'es con de lui avoir dit ça !

- Et il m'a avoué que tu lui plaisais beaucoup.
Boris lui fait un clin d'œil avant de monter en voiture. Il repart seul. A peine la voiture partie, sur le pas de la porte, Antoine appelle sa cousine :
- Camille, tu viens prendre l'apéro ?
- Je vais d'abord prendre une douche, si ça ne te dérange pas.
- Tu n'en as pas pris une avec Boris ?
- Lui oui, pas moi. On a discuté un peu.

- J'imagine bien, oui...
Antoine lui fait un clin d'œil et laisse sa cousine passer pour qu'elle aille à la salle de bain. Camille, comme elle en a souvent l'habitude, laisse la porte de la salle de bain entrouverte, invitation explicite pour que les garçons viennent se rincer l'œil. De la salle de bain, elle entend le bruit de la conversation de Julien et Antoine. Alors qu'elle se lave l'entrejambe, le contact de ses doigts sur ses lèvres lui rappelle le souvenir encore vif de ces doigts étrangers qui s'immisçaient si délicieusement en elle. Puis de la queue si grosse de son amant et de toute la semence qu'elle sent encore elle.

La conversation dure toujours dans le salon. Les garçons ont respecté son intimité. Camille est étonnée. Julien n'a sans doute pas osé, mais Antoine ? Sans doute qu'il n'ose pas laisser son ami. Un peu frustrée, Camille sort et se sèche. Elle raccroche la serviette au radiateur et cherche ses affaires du regard. Elle se rend compte qu'elle a oublié le sac avec ses affaires dans le salon. Elle doit aller chercher ses vêtements et ne voit que deux options : remettre son short et son débardeur qui empestent la sueur ou se contenter d'une serviette enroulée autour d'elle. Le choix est rapide.

Quand elle arrive dans le salon, les garçons sont en train de discuter dans le canapé. Camille arrive dans leur dos et constate que la table de basse est désespérément vide :
- Après une telle journée, vous n'êtes même pas en train de boire ?
- On t'attendait. On voulait...
Antoine reste sans voix en la voyant.

- Désolée pour la tenue, j'ai oublié de prendre mes fringues propres. Tony, t'as pas vu mes affaires ?
Camille cherche son sac des yeux. Antoine met quelques secondes à comprendre qu'elle lui pose une question.
- Oh, heu, je les ai montées dans la chambre d'amis... Je pensais que tu avais ce qu'il fallait.
- Oh merde... Tant pis, trop la flemme de remonter.
Camille s'affale dans le fauteuil face aux garçons.

Les garçons sont en attente. Comment cette petite serviette peut-elle bien tenir ? Combien de temps va-t-elle tenir ? Et si Camille écarte les cuisses, la serviette, ultra courte, ne dissimulera rien du tout. Camille les voit tous les deux subjugués. Elle sourit et demande :
- Vous avez l'air sacrément fatigué par le déménagement les gars. Si vous voulez, je m'occupe d'aller chercher les boissons.
Elle se met debout, sautant presque. Sa vivacité contraste avec l'inertie des deux gars. Mais surtout la serviette glisse un peu et les garçons aperçoivent les mamelons de la belle.

- Tony, où planques-tu tes alcools ?
- Heu... Dans le placard à portes coulissantes juste derrière toi. Les bouteilles en bas et les verres en haut.
Rien qu'en entendant ça, Camille sent des fourmis dans son bas-ventre. Voilà un exercice qui devrait être suivi avec insistance par les spectateurs vu les risques qu'elle encourt. Et cela fonctionne à merveille, comme elle se hisse pour attraper les verres en haut du placard, la serviette glisse et manque de tomber par terre. Elle la retient in extremis alors qu'elle est sur ses cuisses. Certes, elle est de dos et les garçons n'ont pu apercevoir qu'une partie de ses fesses, mais elle sait qu'ils ne vont plus la quitter des yeux.

- Oups...
Retenant la serviette d'une main, elle attrape les trois verres de l'autre pour les poser sur le rebord du meuble avant de rajuster sa serviette. Puis elle vient rapporter les verres sur la table basse. Quand elle se penche pour les déposer, elle sent que sa serviette glisse un peu mais elle est trop heureuse de voir les regards brillants des garçons, perdus dans son décolleté.

- Et qu'est-ce qu'on met là-dedans ?
Camille se redresse et retourne au placard.
- Heu, je dois avoir pas mal de chose. Un Jet 27, ça vous va ?
- Mmm oui. Besoin de te rafraichir, Tony ?
Camille se penche alors pour inspecter le bas du placard où une bonne vingtaine de bouteilles se disputent la place. Elle sait parfaitement que, dans cette position, sa serviette trop courte dévoile ses fesses et même probablement un peu davantage.

Espiègle, Camille garde la pose :
- Toi aussi, Julien, un Jet 27 ?
- Heu oui, oui très bien, merci.
Camille sort la bouteille et se relève pour refermer la porte.

Quand elle ramène la bouteille, elle reste face aux garçons et les regarde alternativement, amusée. Gênés par son regard, ni Julien ni Antoine n'osent profiter de son décolleté pendant qu'elle sert les verres. Tony voit bien qu'elle joue avec eux :
- Tu ferais mieux de regarder ce que tu fais, tu vas en mettre à côté.
- Je fais attention, ne t'inquiète pas.

Camile se rassoit, face aux garçons. Elle sent leur regard sur elle et fait attention à bien garder les cuisses serrées. Julien tente de trouver un sujet de conversation :
- Moi j'ai des cousins, mais je ne les vois plus depuis un bout de temps.
Camille lui répond :
- Des fois, il ne faut pas chercher. On n'est pas forcément fait pour s'entendre avec la famille...

Mais Antoine sourit à Camille et dit :
- Nous aussi, on s'était perdu de vue pendant longtemps. Entre nous, ça collait plutôt bien quand on était môme et, quand on s'est retrouvé récemment, la magie était toujours là...
Camille approuve et repense à la visite surprise d'Antoine et Raphaël. Presque instinctivement, elle écarte les cuisses, ne se rendant pas compte que la serviette trop courte ne dissimule pas aux regards des garçons son entrejambe nu. Elle murmure :
- Oui... la magie était toujours là.

Julien, le regard plutôt attiré par la poitrine partiellement couverte par la serviette, n'a pas remarqué la discrète exhibition de la jeune fille :
- De la magie ? Rien que ça ? Vous avez été cul et chemise pendant l'enfance ?
Antoine repense à leurs étés naturistes :
- Pas chemise, non...
Camille rigole en comprenant l'allusion. Antoine lui fait un clin d'œil puis porte un regard insistant à son entrejambe. Camille prend conscience de ce qu'elle offre aux regards des garçons mais, plutôt que de serrer les cuisses, elle tire sur la serviette.

Julien reste béat. La serviette, tirée vers le bas, dévoile désormais presque toute la poitrine de la jolie cousine. Antoine garde son sang-froid et pose aussitôt à Camille une question dans l'espoir que la réflexion l'empêche de se rendre compte de sa nouvelle exhibition :
- Combien de temps, on est resté sans se voir ?
Et la méthode fonctionne ! Camille se met à compter mentalement. Elle resserre les cuisses mais ne semble pas avoir conscience de ses seins exposés. Après une dizaine de seconde, elle annonce fièrement le résultat de son calcul :
- Dix neuf ans !

Ayant pu faire aboutir sa réflexion, Camille reprenant place dans la conversation et observe les deux garçons : Antoine sourit bêtement et Julien est béat, les yeux exorbités et la mâchoire décrochée. Elle baisse les yeux et comprend le trouble qu'elle a jetée. Elle fusille son cousin du regard :
- Tony ! Tu aurais pu me dire !
- Ah ? Désolé, je ne m'étais même pas rendu-compte...
- Menteur.
Camille rajuste sa serviette.

Pour ne pas rester sur ce froid, Camille attrape la bouteille sur la table basse et se lève :
- Je vous ressers les garçons ?
Avant qu'ils ne répondent, elle fait le tour de la table basse et vient entre les deux garçons :
- Allez hop, je suis debout, je sers tout le monde.
Pour la seconde fois, elle se penche en avant, sauf que cette fois-ci les garçons ont les yeux à seulement quelques dizaines de centimètre de ses fesses et de son appétissant abricot.

Pendant qu'elle sert, malgré son trouble, Julien tente de meubler la conversation :
- Et c'était quoi les jeux entre un cousin et une cousine de cette âge : dinette ou catch ?
Antoine est surpris par cette question :
- Catch ? Jamais mais c'est une bonne idée !
Camille a tout juste le temps de poser la bouteille quand Antoine la saisie par la taille et la fait basculer entre eux deux sur le canapé. Camille et Antoine sont hilares et commencent à chahuter comme des gamins. Dans l'action, Camille tenant fermement la serviette sur sa poitrine, le bas de la serviette s'est largement ouvert et laisse apparaître une toison bien taillée juste sous les yeux de Julien.

Camille se dégage de son éteinte.
- T'es con, Tony, merde ! J'ai failli renverser la bouteille ! s'écrie Camille en lui donnant un coup de coude, avant d'ajouter :
- De toute façon, tu n'as aucune chance contre moi, gros balourd.
Antoine lui saisit alors les deux poignets et la plaque sur le dossier du canapé.
- Ah, tu veux jouer à ça ? On va voir si je suis balourd !
Dans l'action la serviette s'ouvre complètement, les deux pans sont maintenant libres et Camille apparaît complètement nue aux yeux des garçons.

- À l'aide ! lance-t-elle à Julien en rigolant.
Elle se débat pour se libérer. Ce qui bien entendu a pour effet de balancer ses seins libérés. Camille s'avoue vaincue :
- C'est bon, Tony, tu as gagné. Lâche-moi maintenant !
C'est alors que l'interphone sonne. Antoine libère sa cousine
- Les pizzas !
Camille se redresse en cachant ses parties intimes.

Antoine attrape son portefeuille et tend un billet à Camille :
- Comme j'ai gagné, c'est toi qui va aller les réceptionner.
Camille rajuste sa serviette :
- T'es con, je vais pas ouvrir au livreur comme ça ?

- Mais si. Tu as perdu contre le balourd, tu n'as pas le choix.
Elle se lève et rajuste au mieux sa serviette :
- Il faut que je lui laisse un pourboire sur la monnaie ?

- T'inquiète, il n'aura pas besoin de pourboire.
Quelques secondes plus tard elle lui ouvre la porte et le jeune homme entre, portant devant lui 3 cartons à pizzas.
- Je vous mets ça où, mademoiselle ?
Camille lui indique la table basse mais, voyant qu'elle est encombrée des verres et de la bouteille, elle se précipite devant le livreur et se penche pour faire de la place et écarter les verres. Le jeune livreur passe au rouge écarlate, non pas sous l'effort, mais par la vue que lui offre Camille.

Camille, armée de son billet, le tend au livreur et, alors qu'elle s'apprête à l'accompagner pour lui ouvrir la porte Tony se penche en avant et tend le bras pour attraper du bout des doigts le bas de la petite serviette. Avec l'élan de Camille, qui n'a pas remarqué la manœuvre de son cousin, la serviette se détache totalement et tombe par terre. Le livreur a à peine le temps de profiter du spectacle que la jeune fille attrape sa serviette et tente de la remettre :
- Tu vas me payer ça, Tony...

Hilare, Antoine répond :
- Excuse-moi, Camille, c'était juste pour que tu lui dises de garder la monnaie.
Camille l'ignore et va rouvrir la porte pour le livreur. Tournant la tête pour lancer un regard noir à son cousin, elle dit au livreur :
- Désolé, mon cousin est un peu puéril.

- Oh, ce n'est pas bien méchant. Merci mademoiselle. Au revoir mademoiselle.
Camille revient dans le salon, et Antoine la complimente sur son attitude envers le livreur :
- À voir sa tronche, faut croire que ce petit livreur n'est pas souvent accueilli de la sorte, hein Camille ?
- T'es vraiment qu'un très gros con, Tony, réplique pour la énième fois Camille, mais toujours avec le sourire.

- N'empêche qu'il a pu voir ta minette.
- Non, j'avais les cuisses serrées et j'ai remis la serviette aussitôt.
Antoine se lève et vient derrière sa cousine, soulevant le bas de la serviette pour dévoiler ses fesses :
- Non, pas quand la serviette est tombée. Quand tu t'es penchée pour ranger la table basse...

Camille soupire :
- Ah, vous ne pensez qu'à ça vous les garçons...
Elle s'installe en face d'eux, dans le fauteuil et attrape une part de pizza. Tout en mangeant lui aussi, Julien relance la conversation :
- Et donc, pour en revenir aux souvenirs, vous vous voyiez souvent quand vous étiez enfants ?
Camille répond :
- Pendant quelques années, tous les étés. Les grandes vacances. Oui, on a passé pas mal de temps ensemble avec Tony et son frère Raphy. De bons souvenirs.
Alors qu'elle parle, la serviette glisse encore, laissant maintenant les mamelons apparaître.

Julien a bien vu le détail intéressant mais garde son calme et poursuit la conversation pour ne pas éveiller les soupçons de la jeune fille :
- Et du coup, vous faisiez quoi ? Vélo ? Jeux de société ?
- Ah oui c'est vrai ! On avait fait un strip-poker une fois ! Tony nous avait expliqué les règles.
Comme elle se tourne vers son cousin pour voir sa réaction au rappel de ce souvenir, elle se rend compte qu'il a les yeux rivés à ses seins. Baissant les yeux, elle en comprend la raison :
- Tony ! Espèce de vicieux. Arrête de me mater les seins. Tout ça, c'est réservé à Boris.

Elle se lève alors pour rajuster la serviette correctement. À ce moment-là, Antoine, qui vient de terminer un part de pizza, se redresse un peu et la saisit par le poignet :
- Oui, mais Boris n'est pas là ! Et tu mérites des chatouilles pour m'avoir traité de vicieux !
Il la tire alors vers lui et, de nouveau, elle se retrouve couchée dans le canapé, serviette ouverte, cuisses écartées, seins libérés.

Julien est abasourdi, tant pas le culot d'Antoine que par la beauté et la désinvolture de Camille. De nouveau, ils recommencent leur simulacre de lutte mais cette fois Julien y prend part sous prétexte de secourir Camille. Dans cette lutte improvisée, les mains des garçons parcourent son corps, elle est hilare, essaie de refermer sa serviette. Antoine la plaque dans les coussins, Julien tente de les séparer, les bras croisés autour de sa taille. Une de ses mains lui prend un sein. Antoine tente de la maintenir plaquée, il a passé un bras dans son dos en opposition, et l'autre a saisi le second sein.

L'étreinte de Julien se desserre et sa seconde main va maintenant vers le ventre de Camille. Antoine a empoigné son postérieur. Camille se débat et libère l'emprise de sa poitrine. Elle parvient à se dégager et se relève :
- T'es chiant, Tony ! Je me retrouve encore à poil devant ton copain !
- Allons, ne sois pas pudique. On a fait du nudisme ensemble quand on était petits.
- Quand on était petits, oui. Maintenant on est adulte et ces petits jeux ne sont plus aussi innocents.

- Allons, c'est pour jouer !
- Arrête. Je suis certaine que tu bandes...
- Et moi que tu mouilles !
- Pas du tout.
- On peut vérifier ?
- Salaud... Pas toi alors. Julien.
Julien n'en croit pas ses oreilles. Camille vient se mettre devant lui et lui prend le poignet pour amener sa main à son entrejambe.

Aussitôt, les doigts de Julien se mettent en action contre les lèvres trempées, se glissant entre pour aller en quête du clitoris. Camille feule. Antoine sourit :
- Alors, j'avais raison ?
Julien répond :
- Carrément...
Voyant que sa cousine se laisse aller aux caresses de Julien, il en profite pour ouvrir la serviette. Julien se penche alors sur elle pour l'embrasser.

Antoine est surpris qu'elle se laisse faire et, un peu jaloux, demande :
- Ses lèvres sont douces ?
Camille se détache alors de Julien. Elle appuie sur les épaules de son cousin pour le faire mettre à genoux et pose un pied sur le canapé pour lui exposer sa moule devant le visage :
- Tu peux goûter à celles-là si tu veux...
Antoine se met à lécher la moule de sa cousine tandis que Julien en profite pour lui caresser les seins.

Alors que la langue d'Antoine fouille son intimité avec délicatesse, Camille se sent partir. A deux doigts de l'orgasme, elle se dégage des deux hommes :
- Non, mais arrêtez ! Je... je suis désolée... Je n'aurais pas dû... c'est ma faute...
Elle reprend sa serviette :
- Désolée les gars... Je me suis laissée aller.

Antoine sourit :
- Il n'y a pas de mal à se laisser aller, surtout dans les bras de deux amants.
Un peu honteux de cette situation, Julien murmure :
- Son copain ne partagerait sans doute pas ton point de vue...
- Boris ? Tu rigoles ? Si tu savais...
Il attrape alors Camille par les épaules :
- On va finir cette partie de catch.
Il la pousse alors sur le canapé où elle s'affale à plat ventre, serviette retroussée sur les fesses.

Les deux garçons viennent s'asseoir de part et d'autre et Camille a juste le temps de se retournée, nue, offerte. Elle se recroqueville :
- Tony, on n'y jouait déjà pas quand on était petit et là on a franchement plus l'âge...
- Ne fait pas l'innocente, tu sais que c'est un prétexte.
Julien rigole :
- Et puis vous avez joué au strip-poker... Là, je crois que tu as déjà perdu.
Les garçons commencent à lui caresses les cuisses et les épaules.

Antoine lui saisit une cuisse et la force à écarter la jambe pour exhiber sa moule dégoulinante de cyprine :
- Vas-y Julien, caresse-la.
Julien n'a pas à se faire prier, surtout que la jeune fille ne semble même pas essayer de refermer ses cuisses. Antoine se penche sur elle pour l'embrasser.

Le souffle court, Camille dit à son cousin :
- Tony, je ne veux pas tromper Boris...
- Qui te parle de le tromper ? Je veux montrer à Julien à quel point tu es belle quand tu jouis.

Camille se laisse aller, comme si ce simple argument de son cousin avait suffi à la convaincre.
- D'accord... murmure-t-elle.
Julien s'agenouille alors entre ses cuisses écartées. Il plonge alors la tête entre ses jambes et commence à laper goulûment son sexe. Antoine s'est attaqué à ses seins. Camille ne se débat plus, sa tête repose sur un coussin qu'a mis Antoine avant de se lever pour se mettre à ses côtés pour continuer son jeu avec sa poitrine. Il lui tire un téton tout en aspirant le second. Elle pose une jambe sur le dossier, ouvrant encore davantage son sexe, et supplie Julien de ne pas s'arrêter.

Julien lui lèche le sexe, puis introduit un doigt dans son vagin. Il la masturbe, elle gémit. Puis, il retire son doigt et adjoint doucement un second. Il continue son va-et-vient, et recommence à lui lécher le clitoris, elle ondule de plus en plus du bassin. Elle gémit de plus en plus fort :
- Oh putain ! Ouiiii...
Julien n'en revient pas. Excité, il retire ses deux doigts et les lui tends à lécher, ce qu'elle fait comme s'il s'agissait d'un sexe.

Julien lui présente alors un troisième doigt à sucer, elle les prend tous en bouche. Il les retire puis, inspiré par ce qu'il a pu observer sur la plage quelques heures plus tôt, doucement il commence à les rentrer dans son vagin, qui petit à petit s'ouvre. Il continue à aller et venir en elle. Elle mouille énormément, ce qui mélangé à sa salive lubrifie son vagin. C'est la première fois que Julien fait cela, mais rien qu'à la regarder, il constate qu'elle adore ce traitement. Ses trois doigts vont et viennent maintenant sans aucune résistance, elle est complètement relâchée, complètement ouverte. Il fait pivoter sa main dans tous les sens, la pistonne.

Une nouvelle fois, il sort ses doigts et les lui tend à lécher. Doigt par doigt, elle récupère toute sa mouille. Il en ajoute un quatrième. À sa surprise, elle le lèche lui aussi, l'enduit de salive. Julien bande à tout rompre et est très excité. Sans ménagement cette fois, il introduit l'index, le majeur et l'annulaire en une seule fois. Elle est extrêmement mouillée et dilatée, il ne rencontre plus aucune résistance. Il retire ses doigts et les replonge, mais cette fois en y ajoutant mon petit doigt. Il la sent pousser, comme si elle voulait s'empaler sur sa main qui petit à petit, phalange après phalange, la pénètre. Elle ondule encore et encore du bassin. La dernière phalange est entrée et Julien bute contre ses parois, son pouce lui masse le clitoris.

Elle a les yeux clos, les dents serrées, mais appuie de tout son corps sur sa main. Antoine la regarde, stupéfait. Il a abandonné sa poitrine et se caresse au travers de son jean. Julien caresse le ventre de Camille, son autre main est ancrée dans son vagin. À ce moment, il retire sa main et retourne Camille sur le canapé. Elle ondule du postérieur. D'une seule fois, Julien remet trois doigts dans son vagin et la pistonne sans ménagement. Elle crie son plaisir, sa mouille coule le long de ses cuisses.

Puis, terrassée par son orgasme, elle s'écroule dans le canapé. Julien retire doucement ses doigts et se redresse. Antoine et lui restent à contempler la scène. Antoine est abasourdi :
- Putain, Julien, j'aurais jamais cru...
- C'est la première fois que je fais un truc pareil !
- Sans déconner ?
- Je te jure, c'est juste... un truc que j'ai vu sur la plage cet après-midi.
- Tu déconnes ! Tu a vu une fille se faire fister sur la plage ?!
- Camille...
- Par Boris ??
- Non. Un autre type. Un inconnu... Boris regardait.
En entendant ces mots, Camille reprend conscience et a un frisson. Elle comprend que Julien a été spectateur du fisting par l'inconnu plus tôt sur la plage.
- En tout cas, dit Antoine, tu n'y es pas allé de main morte !
Echevelée, Camille tourne la tête vers eux et sourit :
- Non, Tony. Je peux t'assurer que sa main était bien vivante ! Délicieusement vivante...

Les garçons rient aux éclats. Camille se lève et attrape sa serviette :
- Je vous laisse, je vais aller me coucher...
- Tu nous laisses dans cet état ?
Antoine écarte les cuisses de manière obscène, révélant à sa cousine son membre tendu à l'extrême qui déforme son jeans. Tout en ajustant sa serviette, Camille ouvre de grands yeux gourmands :
- Intéressant...

Puis elle ajoute :
- ... mais vous m'avez épuisée tous les deux. Et puis le déménagement a sûrement dû vous fatiguer beaucoup. Je pense qu'il est plus sage qu'on aille tous dormir...
- J'ai pas sommeil du tout ! dit Antoine.
- Moi non plus ! ajoute Julien du tac au tac.
Camille sourit :
- Vous êtes mignons, mais moi je suis vraiment claquée. Mes deux premiers fists le même jour, ce n'est pas rien. Et puis nous avons encore toute la journée de demain pour... discuter, non ?

Cet épisode est librement inspiré de la seconde partie de l'histoire de Free (2008)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb130/reve13010.html]
^ ---------oOo---------
L'autre cousin - épisode 4 : Dans les chambres
Nuit de samedi à dimanche
Camille referme la porte de sa chambre et pousse un profond soupir. Quelle expérience incroyable. Dommage que Boris soit reparti. Mais est-ce que tout ça aurait pu avoir lieu s'il était resté ?

Après ce que Camille a vécu pendant cette journée de samedi, il n'est pas étonnant qu'elle se soit endormie aussitôt allongée sur le lit, sans même éteindre la lumière. Il faut dire que se faire fister était une expérience nouvelle pour elle. Le fait que cela ait eu lieu en public, sur la plage, et par un inconnu avec l'accord de son mari, Boris, avait rendu cette expérience encore plus intense. Elle ignore alors qu'il y a un témoin à cette scène : Julien, un ami de son cousin Antoine, que Boris et elle sont venus aider pour déménager quelques meubles dans la matinée. Julien, garçon timide, se montre pourtant téméraire dès le départ de Boris et profite des charmes que Camille veut bien exposer à lui et à son cousin. Antoine profite de la situation et fait perdre à Camille ses moyens. Elle se laisse donc caresser par les deux garçons et Julien, stimulé par ce qu'il a vu dans l'après-midi sur la plage, offre à Camille son second fist de la journée. Camille dort donc profondément, allongée nue sur le grand lit.

Pourtant, elle est réveillée par un bruit qui ne lui est pas étranger. Peu à peu, elle reprend conscience, quittant le doux rêve érotique qu'elle faisait où, allongée nue sur la plage, elle s'offrait avec plaisir à une dizaine de mains inconnues qui cernaient tout son corps. Lentement elle rouvre les yeux. Elle se rend compte qu'elle s'est endormie sans éteindre la lumière. Elle reconnait le bruit. Celui très caractéristique d'une masturbation masculine. Parfois, Boris et elle se masturbent l'un en face de l'autre en se racontant leurs fantasmes. Parfois Boris se masturbe seul en la regardant s'occuper de la maison, du repas, ce qui, bien souvent la met finalement en retard sur le planning prévu... Mais là, Boris n'est pas là. Un frisson la parcourt : est-ce dans sa chambre ? Antoine ou Julien auraient-ils osé ? Non. Cela semble venir de la chambre d'à-côté. Elle se redresse.

Qui dort à côté ? Antoine ou Julien ? Elle ne se souvient plus trop de la configuration des pièces. Lequel aurait le plus de raisons de se soulager ? Elle a laissé Antoine lui faire un cunnilingus mais ne l'a pas fait jouir. Julien l'a vu se faire fister sur la plage et s'est sans doute soulagé à ce moment-là. Les deux garçons l'ont copieusement caressée dans la soirée et Julien lui a donné un bel orgasme en la fistant à nouveau. Les pauvres devaient être dans un état d'excitation incroyable. Et elle les a laissés en plan tous les deux pour aller dormir. Avec du recul, elle n'aurait pas trouvé injuste qu'ils soient tous les deux, Antoine et Julien, entrés dans sa chambre et qu'ils se soient masturber en la regardant, pour se soulager. Mais ce n'est pas le cas et Camille est très curieuse de savoir qui des deux garçons est en train de se branler à côté.

Ecartant le drap, elle regarde son entrejambe et repense à ces deux mains qui se sont engagées entre ses cuisses. Quelle expérience incroyable ! Et ce n'est même pas Boris qui lui a fait découvrir ce nouvel horizon. Mais il a cautionné le premier fist. C'est presque lui qui en est l'inventeur. Mais s'il avait été celui par qui elle avait découvert cela, Camille se dit que l'expérience n'aurait pas été aussi intense. Le fait que cela se fasse par un inconnu avait certainement considérablement augmenté son excitation. Et l'excitation, elle la ressent à nouveau. Elle ne saurait dire si ce sont les souvenirs des fists ou le bruit régulier de la masturbation qui la font mouiller. Mais il va bien falloir qu'elle aille voir. Aussi discrètement que possible, elle se glisse sur le bord du lit pour ne pas faire craquer le sommier.

Se levant, elle se dit qu'elle ne va pas sortir dans le couloir toute nue. Elle regarde son sac. Dedans : deux bikinis, un vert et un rouge ; une petite robe foncée ; un débardeur et une jupe. Rien de très adapté. Il y a aussi son mini-short poussiéreux et son débardeur qui sent la sueur. Hors de question. La petite serviette de bain ? Froide et un peu humide, elle est écartée des options. Camille voit alors une chemise accrochée à un cintre au dos de la porte de la chambre. Sans doute une chemise de son oncle puisque Antoine lui a donné la chambre de ses parents. A pas de loup elle va décrocher la chemise et l'enfile.

Un peu excitée, Camille abaisse la poignée de la porte de la chambre avec une infinie lenteur pour qu'un éventuel grincement n'attire pas l'attention. Puis elle tire la porte. Le couloir est resté allumé. Elle écoute pour identifier de quelle chambre vient le bruit régulier de la masturbation. Elle regarde à gauche vers la porte de la chambre d'Antoine mais se rend compte que le bruit vient de l'autre chambre, celle de Julien. Un coup d'œil sous la porte lui permet de voir qu'il n'a pas éteint non plus. A travers la porte, elle entend le bruit régulier de la main qui astique le sexe tendu mais aussi le souffle court de Julien ainsi qu'un prénom murmuré à intervalle régulier :
- Camille...

Très fière, elle veut voir ça de ses yeux et ouvre très discrètement la porte. Celle-ci se trouvant au chevet du lit, Julien ne se rend pas compte que quelqu'un la pousse. Camille ne voit pas le visage de Julien, mais elle l'entend murmurer encore et encore son nom :
- Camille...
Et surtout, sans être vue, elle peut admirer le sexe tendu du garçon que sa main gauche masturbe avec une rigueur métronomique.

Camille ne s'était pas posée la question de savoir si elle plaisait ou non à Julien. Elle a joué l'exhibitionniste mais juste pour s'amuser à exciter les garçons. Là, de le voir se masturber en sachant qu'il pense à elle, cela lui provoque une montée de chaleur et des picotements agréables. Il faut dire qu'après avoir bien profité de la vue dans son décolleté et sur sa croupe pendant le déménagement, il a pu assister à une scène de fisting sur la plage dans laquelle elle tenait le rôle principal et il a même pu s'essayer à cette pratique le soir-même. Egoïstement, elle est allée se coucher parce qu'elle avait largement assez joui aujourd'hui sans se dire qu'Antoine et Julien étaient sûrement restés sur leur faim. Aussi, elle ressent de la culpabilité à l'observer se branler en pensant à elle. Mais cette culpabilité n'entrave en rien son excitation : elle sent la cyprine commencer à couler entre ses cuisses.

La queue de Julien est magnifique : longue, large, bien dressée. La main continue tranquillement sa besogne. Et Julien égraine en murmures le nom de la responsable de son état :
- Camille... Camille... Camille...
Camille irait bien le sucer ou se l'enfiler mais elle trouve aussi très excitant d'être simple voyeuse, à l'insu du jeune homme.

Ecartant un peu les jambes, elle se glisse une main entre les cuisses et ses doigts effleurent sa fente, lui faisant échapper un souffle de plaisir. Elle s'immobilise, vérifiant que Julien n'a rien entendu. Mais la situation sur le lit n'a pas changé. Julien se masturbe toujours en murmurant son prénom. Camille se dit :
- Il faut que je sois prudente. De quoi j'aurais l'air si je me fais pincer... ?
Retenant son souffle, elle se concentre et commence à caresser les lèvres de sa vulve humide.

Dans la chambre, la situation semble progresser. Julien a augmenter la cadence de sa veuve poignée et semble avoir le souffle court, tout en continuant à murmurer le nom de son fantasme :
- Ooooh Camille... je viens...
Camille écarquille les yeux et se masse frénétiquement le clitoris alors qu'elle voit le sexe de Julien se tendre soudain. Le sperme en jaillit, sans grande pression, s'écoulant lentement et venant former une flaque épaisse sur le ventre du garçon au niveau de son nombril.

Camille est bien décidée à se donner un orgasme en espérant que celui-ci ne trahira pas sa présence. Elle hésite pourtant, ralentissant l'allure. Elle a eu ce qu'elle voulait, voir Julien éjaculer, et en pensant à elle en plus ! Mais jouir, ici dans le couloir, en observant Julien, juste après sa jouissance, cela l'excite encore plus. Elle reprend le ballet endiablé de ses doigts sur son clitoris. Mais un bruit derrière l'arrête soudain. Elle tourne la tête. Etait-ce le bruit de la porte d'Antoine qui se referme ?
- M'aurait-il vue me donner du plaisir ?

Elle était si occupée à ne pas se faire repérer par Julien qu'elle en a oublié que le danger pouvais aussi venir d'Antoine, derrière elle. Un frisson la parcourt. Non de la peur mais de l'excitation. Elle n'a pourtant plus le désir impérieux de se faire jouir, le cerveau en ébullition. Sa raison est bousculée par de nombreuses questions qui lui font avoir ce monologue :
- Si Tony m'a vue, pourquoi ne pas être venu me rejoindre ?
- Joue-t-il le même jeu que moi ?
- Après tout pourquoi je ne suis moi-même pas allée rejoindre Julien ?
Un ronflement la fait arrêter cette avalanche de questions. Julien, rassasié, s'est endormi. Son sexe a dégonflé et se main, pleine de sperme, repose sur le bord du lit.

Camille se dit que le spectacle est terminé pour elle et qu'elle en a déjà bien profiter. Elle retourne dans sa chambre, en essayant de rester aussi discrète que possible... En s'asseyant sur le bord du lit, elle se repose la question :
- Pourquoi Tony n'est pas venu me rejoindre ?
Puis la réponse devient une évidence :
- Comme pour moi, c'est sans doute être voyeur qui excitait Tony... Et je me retrouve dans le rôle de la voyeuse matée, quelle ironie !

S'allongeant sur son lit, elle écarte les cuisses et regarde sa moule trempée de mouille :
- Il faut que je me masturbe ou je ne trouverai jamais le sommeil...
Mais alors qu'elle s'apprête à reprendre ses attouchements intimes, elle voit la poignée de la porte de sa chambre s'abaisser lentement.

Elle en est certaine, il s'agit d'Antoine. Elle hésite entre l'inviter à entrer pour qu'il la prenne (elle le veut vraiment intensément) ou bien feindre d'ignorer sa présence et le laisser l'observer pendant qu'elle se donne du plaisir. Sa décision est prise. Elle fait lentement glisse sa main entre ses cuisses et commence à se caresser la moule. Son autre main parcourt sa poitrine, faisant rouler ses seins et se tendre les mamelons. La bouche entrouverte, elle feule et garde volontairement les yeux fermés pour mettre en confiance son voyeur.

Une idée amusante lui vient alors à l'esprit :
- Et si je n'étais pas plus maligne que Julien ? Pourquoi celui-ci n'aurait-il pas eu conscience de ma présence et se serait fait jouir en sachant que je le regardais ?
Impossible de le savoir mais Camille se dit que si Julien lui a offert ce spectacle en la laissant croire qu'elle était voyeuse à son insu, elle peut, elle aussi, faire profiter à Antoine du spectacle d'un orgasme. Après s'être généreusement caressée, Camille laisse son majeur se glisser dans sa fente et trouver le chemin du vagin.

Elle feule. Elle se retient. Autant pour que cela n'alarme pas Antoine que pour ne pas réveiller Julien qui, s'il venait rejoindre Antoine, ruinerait peut-être la position de voyeur de son copain. Son majeur ressort, couvert de cyprine. Elle le porte devant son visage. Elle sourit en se disant qu'un seul doigt suffit à son plaisir... mais que ce serait dommage de se contenter de si peu. Glissant à nouveau sa main entre ses cuisses, elle enfonce, cette fois-ci, l'annulaire en plus du majeur dans sa fente brûlante.

Elle feule, la bouche grande ouverte, mais retenant ses gémissements de plaisir. Elle repense aux orgasmes de la journée. Surtout celui de la plage. Le fisting. Son premier fisting. Elle sent son ventre la brûler à ce souvenir :
- Pourquoi pas ? Ce sera un spectacle qu'appréciera certainement Tony...
Ecartant aussi largement que possible les cuisses, elle rassemble tous ses doigts et les engage lentement dans son sexe.

Lentement, les doigts progressent, s'enfoncent, disparaissent, phalanges par phalanges. Contrairement à la plage ou au fisting fait par Julien, elle contrôle parfaitement celui-ci, mais trouve cela presque plus difficile et moins excitant. Quand toutes les phalanges ont pénétré, elle commence alors à bouger son poignet d'avant en arrière et ses doigts en elle. Le plaisir est intense et l'orgasme est là. Elle ne peut réprimer ses gémissements de plaisir :
- Oooooh... Ooooooooooooooooooh !

- Putain...
C'est un murmure mais, bien qu'elle soit sous le coup de l'orgasme, le cerveau complètement déconnecté, Camille est persuadée qu'il s'agit d'Antoine qui n'en revient de ce à quoi qu'il vient d'assister. Lentement, elle retire sa main et laisse sa fente se refermer peu à peu. Retrouvant son souffle, elle ouvre lentement les yeux. La porte est refermée et la poignée termine lentement de se relever. Antoine regagne ses quartiers, satisfait d'avoir pu voir sa cousine se masturber.

Camille referme les yeux et s'apprête à se laisser tomber dans les bras de Morphée, prête à laisser des rêves érotiques venir peupler sa nuit. Mais quelques minutes à peine après avoir succombé, elle est réveillée par un bruit. Cette fois, ça ne fait aucun doute : c'est au tour d'Antoine de se masturber. Après ce qu'Antoine vient de voir, cela n'étonne pas du tout Camille. Elle se redresse dans le lit et écoute plus attentivement :
- Décidément... C'est le soir des masturbations solitaires...

Camille se lève poussée par une irrépressible curiosité. Elle s'étonne d'être encore excitée alors qu'elle vient de se donner un magnifique orgasme :
- Il faut que je vois ça...
Sans prendre la peine d'enfiler la chemise de son oncle, elle se dirige nue vers la porte.

Lentement, elle abaisse sa poignée de porte et ouvre celle-ci. Elle se tourne vers l'autre côté du couloir, vers la chambre de son cousin. A pas de loup, elle s'approche de sa porte. La porte est seulement repoussée, sans être fermée. Camille se dit qu'Antoine lui a sans doute volontairement facilité la tâche. Poussant lentement la porte, elle découvre Antoine en train de dormir (ou de faire semblant) et surtout le spectacle fascinant du drap de lit tendu comme un chapiteau au niveau du bassin. Et quel mât !

Camille entre et repousse discrètement la porte. Elle s'approche du lit et murmure :
- Tony, c'est pas la peine de faire semblant de dormir...
- Tu... tu as deviné ?
- Bah oui, j'ai entendu les bruits de ta masturbation juste avant de venir.

- Ouais... je ne pensais pas que tu arriverais si vite...
- Ah ? Tu avais donc un plan ?
- Oui, en gros, t'attirer ici par quelques bruits significatifs...
- Ça a très bien fonctionné pour cette partie-là.
- Puis que tu entres en me pensant endormi et que tu succombes à cette magnifique érection.

Camille s'agenouille au bord du lit :
- C'est là que ton plan bat de l'aile. C'est pas crédible que tu dormes puisque je t'entendais te branler juste avant.
- Pas faux... Mais je comptais sur ton excitation pour que tu ne t'en rendes pas compte.
- Ok, imaginons que je sois tombée dans le panneau. Tu me racontes la suite, Tony ?

En entendant cette proposition, Antoine se souvient soudain de la soirée passée avec elle et Raphaël à se raconter des histoires. Son sexe a un petit soubresaut qui amuse Camille. Antoine commence à dérouler son scénario en espérant que sa cousine lui joue la scène exacte de son fantasme :
- Tu serais montée discrètement sur le lit... à quatre pattes pour ne pas me réveiller...
- A quatre pattes ? Ok.
Camille s'exécute, exactement comme l'espérait son cousin.

- Tu t'approcherais doucement de moi et tu tirerais le drap...
- Pour voir ta grosse bite ?
- Oui, pour admirer cette érection que tu sais t'être destinée.
- Elle est pour moi ?
- Oui, je rêve de toi...

- Oh alors, elle mérite que j'en prenne soin.
Camille saisit le membre turgescent et le masturbe lentement. Antoine continue son fantasme :
- Tu... tu me caresserais les couilles de ton autre main. Ah ouiii.
La jeune fille fait aussitôt ce qu'il veut, se demandant si elle ne va pas le faire jouir, rien qu'à lui caresser les testicules.

Camille sourit et interrompt les caresses sur ses bourses :
- Peut-être que je t'aurais aussi léché un peu, non ?
Camille donne un large coup de langue au-dessous du gland.

Antoine, la tête redressée, la regarde faire :
- Oh oui. C'est bien ça. Tu me sucerais doucement.
Le regardant droit dans les yeux, Camille intensifie sa caresse buccale.

Mais elle sent soudain le sexe se tendre et relève la tête :
- Déjà ?
- Qu'est-ce que tu crois, tu... Hannnnnn!
Antoine n'a pas le temps de terminer sa phrase qu'une puissante giclée de sperme jaillit et vient s'écraser sur l'épaule gauche de Camille.

Elle se penche alors le long du membre en pleine explosion et continue à le masturber lentement :
- Oh, mais tu avais une grosse envie, toi aussi ?!
Antoine a les yeux révulsés, la tête rejetée en arrière, tandis que son sperme continue d'exploser, maculant la jolie poitrine de sa cousine.

Camille relève la tête et sourit :
- Voilà un fantasme bien simple à réaliser.
- Mais c'est encore meilleur quand il se réalise pendant qu'on le raconte...
Un peu de sperme s'écoule de la verge tendue. Camille se penche dessus pour prendre en bouche la fin de cette semence.

Puis, Camille entreprend de lui lécher méticuleusement tout le sperme qu'il a sur la verge, les cuisses et le ventre. En la regardant faire, Antoine dit :
- Quand je pense qu'on a passé des étés à poil ensemble quand on était plus jeunes... Si j'avais su que ma cousine suçait aussi bien...
Camille se redresse en souriant, bouche fermée. Soudain, elle ouvre la bouche et Antoine découvre qu'elle n'a pas avalé la moindre goutte de sperme, celui-ci s'écoulant majestueusement sur son menton puis entre ses seins.

- Tu dis des conneries, Tony. Quand on était petit on ne pensait pas à ça !
- TU ne pensais pas à ça. Moi, je t'avoue que je me suis branlé plus d'une fois en pensant à toi.
- Arrête, je ne veux pas savoir. On était môme, c'était différent.
S'allongeant à côté de lui, les seins couverts de sperme, elle saisit son membre encore bien bandé et le masturbe lentement comme pour le forcer à maintenir sa raideur.

Après quelques minutes ainsi, Antoine la repousse gentiment pour la faire s'allonger sur le dos. Camille pense que son cousin la repousse :
- Quoi ?
Se glissant au pied du lit, il lui sourit :
- C'est à ton tour d'en profiter...
Camille le laisse écarter ses cuisses et se pencher sur son abricot bien mûr. Elle a un petit sursaut et tressaille au moment où la langue d'Antoine glisse sur les lèvres de sa moule.

Après quelques coups de langues qui remontent peu à peu jusqu'au clitoris, Antoine relève la tête pour observer sa cousine qui, les yeux fermés, semble s'abandonner totalement au plaisir de ce cunnilingus :
- J'ai passé un temps considérable au téléphone avec Raphy et il a été...
Voyant qu'elle tend le bassin vers lui, il s'interrompt et reprend ses caresses buccales.

Comme elle gémit, Antoine marque à nouveau une pause. Il semble vouloir lui expliquer d'où lui vient son expérience en la matière :
- Il m'a expliqué en détail comment tu l'avais formé à ce rituel...
Sans rouvrir les yeux, Camille attrape les cheveux de son cousin et le force à continuer son jeu de langue :
- Tu as donc été à bonne école... Oooooh...

A nouveau, Antoine se redresse et sourit en la voyant en attente de plaisir :
- Tu es si belle quand tu attends ma langue, chère cousine.
- Tony... fais-moi jouir...
S'agenouillant à côté d'elle, il lui répond doucement :
- Tu ne m'auras pas. Raphy a été très explicite : faire durer le plaisir...
Il remplace donc sa langue par son majeur qu'il se contente de faire glisser entre les lèvres, frottant au passage avec l'intérieur de son doigt le clitoris dardé de sa cousine.

Camille gémit de plus belle :
- Ahhhh... C'est une torture...
- Une délicieuse torture, chère cousine !
- Ooooh ouiiii... Continue...
Les doigts d'Antoine se concentrent sur le clitoris quelques secondes.

Camille a un soubresaut et Antoine craint d'être allé trop loin et d'avoir déclenché l'orgasme de sa cousine. Il s'arrête aussitôt. Camille entrouvre les yeux :
- Salaud... tu vas me tuer...
- De plaisir, peut-être ?
Il abandonne le clitoris et fait lentement pénétrer son majeur dans la fente trempée de cyprine.

Camille profite de ce changement de stratégie pour reprendre son souffle, même si son cousin vient d'engager un second doigt dans sa moule :
- Ton frère est un excellent pédagogue...
- Je sais aussi aller au-delà des leçons et faire preuve d'initiatives.
Camille pousse un petit cri de surprise quand elle sent le pouce de la seconde main de son cousin caresser son clitoris.

- Oooh ouiiii....
Antoine sent qu'il ne lui en faudrait pas beaucoup plus pour jouir. Il retire donc son pouce du clitoris mais continue à la masturber lentement de ses deux doigts :
- J'ai une idée très précise de comment te faire jouir...

Camille reprend son souffle :
- Mon clito reste une valeur sûre.
- Trop facile, même si j'avoue que c'est tentant car il est vraiment appétissant...
Antoine se penche pour remettre un coup de langue sur le bouton qui semble mettre en route toute une machinerie complexe de plaisir chez sa cousine.

Antoine se redresse alors et retire même ses deux doigts. Son majeur se met à caresser doucement l'anus de la jeune fille. La tête tournée vers la porte de la chambre, Camille se concentre sur son plaisir. Elle rouvre pourtant un peu les yeux et se rend compte d'une présence à la porte de la chambre. Elle referme alors les yeux et tourne la tête de l'autre côté, vers l'armoire qui fait face à la porte de l'autre côté du grand lit. Dans le miroir de cette armoire, elle croit distinguer une silhouette. Elle imagine facilement qu'il s'agit de Julien, nu comme un ver, en train de se masturber dans le couloir.

Camille se redresse alors pour essayer de faire comprendre à son cousin que Julien les observe sans doute :
- Tony...
Mais au même moment, Antoine prend l'initiative d'enfoncer son majeur dans l'anus de sa cousine, lui arrachant un gémissement de plaisir. Au bord de l'orgasme, elle lui dit :
- Tu vas m'avoir... Continue...
- Si tu me supplies, c'est qu'il faut que je change de stratégie.

Alors qu'il retire son doigt, Camille fronce les sourcils :
- Si c'est comme ça que tu as prévu de me faire jouir, pourquoi ne continues-tu pas ?
- Parce que ce n'est pas comme ça que ça va finir.
Antoine enfonce le bout de son majeur et de son index dans la moule dégoulinante de mouille. Avant que Camille ne comprenne ce qu'il fait, l'annulaire et le petit doigt sont venus au rendez-vous, suivis assez rapidement par le pouce.
- Aaaaah oui !

Antoine sourit :
- Depuis que Julien t'a fistée tout à l'heure, j'avais trop envie de te faire jouir comme ça moi aussi.
Camille croit percevoir un soupir étouffé dans le couloir. Regardant dans le miroir de l'armoire, elle devine que Julien est en train d'éjaculer et que son sperme jaillit puissamment contre le mur juste à côté de la porte de sa chambre.

Antoine ne semble plus vouloir faire durer le plaisir. Il pense que sa cousine a suffisamment attendu et, même si elle ne le supplie pas, il sait qu'elle n'attend plus que ça et que tout son corps réclame cette sublime délivrance. Il commence alors à aller et venir dans le vagin de sa cousine, bougeant ses doigts comme il peut pour lui prodiguer des caresses sur ses parois intimes. Camille ne tient plus :
- Ooooooh, Tony ! Aaaah
Fichée sur cette divine main, elle a beau subir de bien terribles soubresauts de plaisir, Camille laisse l'orgasme envahir chaque parcelle de son être.

L'orgasme est encore une fois particulièrement intense et long. Perdant tout contrôle, elle crie, jusqu'à s'effondrer d'épuisement. Antoine se penche sur elle :
- Merci chère cousine, c'était presque mieux de te voir jouir ainsi que d'éjaculer moi-même...
Puis il se redresse et admire sa cousine, étendue nue, la beauté comme sublimée par l'incroyable plaisir qui vient d'irradier tout son corps. Antoine tire la couverture sur son ventre, mais laisse la poitrine dégagée "pour le plaisir des yeux", pense-t-il.

Le lendemain, quand elle ouvre les yeux, Antoine est allongé à côté d'elle et l'admire toujours, comme s'il n'avait pas fermé l'œil de la nuit. Elle lui sourit :
- Tu as dormi ?
- Aussi bien que toi, je crois...
Camille se lève et regarde la porte ouverte de la chambre :
- La porte était ouverte hier, pendant qu'on...
- Oui. Tu crois que Julien... ?
Camille va jusqu'à la porte :
- Il m'a semblé, oui.

Se plaçant dans l'embrasure de la porte, Camille se penche lentement pour regarder par terre. Elle aurait pu s'accroupir, mais la coquine a décidé d'exciter son cousin et se penche en avant pour faire saillir sa croupe nue. L'effet est immédiat. Antoine sent son sexe se mettre au garde-à-vous en seulement quelques secondes. Camille commente ce qu'elle observe avec un ton parfaitement naturel qui tranche à la fois avec sa position et le propos tenu :
- Je jurerais qu'il y a du sperme par terre et contre le chambranle...

Antoine rigole :
- C'est toi l'experte en la matière.
Elle s'accroupit alors et passe le doigt sur le carrelage. Puis elle porte le doigt à sa bouche et le lèche en regardant Antoine :
- En tout cas, ce n'est pas le tien...

Antoine sent son sexe faire un bond :
- Camille... tu es insatiable ! Tu en veux encore ?
Elle revient dans la chambre :
- Non, pas nécessairement, mais je veux profiter d'être ici. Je prends un petit déjeuner rapide et je file sur la plage. Ça doit être tranquille à cette heure-là.

Elle attrape son petit bikini rouge et sort de la chambre, laissant son cousin seul, encore sidéré par ce réveil inhabituel.
^ ---------oOo---------
L'autre cousin - épisode 5 : La piscine
Dimanche matin
Quand Camille arrive dans le salon, elle croise Julien qui sort des toilettes, encore endormi. Il écarquille les yeux en découvrant la jeune fille avec un petit bikini rouge mettant bien en valeur ses courbes magnifiques.
- Salut Camille... Tu vas profiter de la piscine ?
- Non, de la plage.
Elle attrape une grande serviette et ajoute :
- A cette heure, il n'y a personne, je vais être tranquille. Je reviens prendre le petit déj' dans une demi-heure.

Julien la regarde sortir, se demandant s'il doit lui proposer de l'accompagner. Mais manquant de réactivité, le temps qu'il se décide, Julien se rend compte qu'elle descend déjà vers la plage et qu'elle n'est même plus à portée de voix. Un peu frustré, il se demande s'il retourne se coucher ou s'il prépare le petit déjeuner en attendant son retour. Alors qu'il se dirige vers la cuisine, il passe devant la bibliothèque du salon et aperçoit un petit objet qui suscite son intérêt : une paire de jumelles ! Ouvrant la porte vitrée du meuble, il saisit les jumelles et les manipule pour se familiariser avec. Il sort du côté de la piscine et pointe les jumelles vers la plage. Camille vient d'y arriver et dépose sa serviette. Julien la suit alors qu'elle va se baigner.

En entendant la baie vitrée s'ouvrir, il tourne la tête et voit Antoine qui vient le rejoindre :
- Ah, enfoiré. Tu ne perds pas de temps. Tu te rinces l'œil ?
- Ouais, ta cousine se baigne.
- Fais voir ?
Julien lui tend les jumelles. La plage étant presque déserte, il n'a pas besoin d'indiquer à son copain dans quelle direction pointer les jumelles pour trouver sa cousine.

- Elle a encore son bikini...
- Oui, ça semble une séance de baignade chaste ce matin.
- Attends un peu. Peut-être que ça va changer.
Il rend les jumelles à Julien. Effectivement, deux garçons d'une vingtaine d'années viennent de la rejoindre et Camille semble discuter avec eux.

Antoine demande :
- Tu me dis ce que tu vois ou tu me donnes les jumelles ?
- Je te dis. Elle s'amuse à arroser les gars. Et ils l'arrosent aussi. Elle essaye de fuir les éclaboussures. Ils ont l'air de bien rigoler. Comme s'ils se connaissaient depuis longtemps...

- Je crois que je connais ces deux gars. Ils sont d'ici. Aucune chance qu'elle les connaisse.
- Pourtant, l'un d'eux est en train de la chatouiller.
- Elle le laisse faire ?
- Elle se tortille. Elle essaie de le chatouiller mais il semble résister. L'autre arrive aussi. Il la chatouille aussi. Ah non. Il lui caresse le ventre.
- Elle... elle les laisse faire ?
- Oui... Les chatouilles ont arrêté. Un des gars lui caresse carrément les seins.
- Et l'autre ?
- Putain, il vient de lui mettre la main dans la culotte !

- Merde, file-moi les jumelles.
Quand il reprend les jumelles, il découvre sa cousine prise en sandwich entre les deux garçons qui la tripotent sans la moindre gêne. Il ne sait pas vraiment si Camille se débat ou si elle en profite aussi pour masser leur entrejambe. Julien râle :
- Alors ? Raconte !
- Elle vient de se dégager. Elle a les nichons sortis du bikini.

- Elle semble les engueuler mais eux se marrent. Oh putain !
- Quoi ?!
- Une vague énorme, juste derrière elle... Elle ne l'a pas vu mais les garçons si... Oh ! Elle se fait rouler...

- Elle... Elle va bien ?
- Oui oui... Wahou... Par contre je ne sais pas où se trouve son soutif... La vague lui a emporté !
- Elle est topless ?
- Ouais, et ça la fait marrer autant que les garçons.

- Elle ne cherche pas son soutif ?
- Si, mais un des gars vient de le ramasser. Ah, et l'autre tente de lui prendre. Ils se battent pour le soutif.
- Pour lui rendre ?
- Apparemment pas, mais ça la fait rire.

Antoine tend les jumelles à Julien :
- Tu me diras qui va gagner le soutif.
Julien ajuste les jumelles :
- Elle les rejoint. Ils vont se battre à trois pour le soutif. Ah non, l'un des gars abandonne et... il s'attaque à la culotte de Camille !
- Putain, le salaud !
- Elle résiste mais elle est déjà cul nu...

- Alors ? Alors ?
- Non... Elle n'a rien pu faire... Il lui a piqué sa culotte...
- Elle est à poil ?
- Complètement. Et elle gueule sur les deux mecs.

- Putain, refile-moi les jumelles !
- Attends, j'en profite quand même un peu...
Antoine lui arrache les jumelles des mains et les ajuste.

- Merde, trop tard... Elle se cache les nichons et la moule. Les gars se foutent de sa gueule. Y'en a un qui tend le soutif devant lui pour la narguer.
- Et l'autre.
- Ce connard vient de mettre la culotte en boule et l'a glissé dans son caleçon. Contre sa bite... Elle ne semble pas trouver ça amusant...

- Pourquoi elle ne retourne pas à sa serviette ?
- Je pense qu'elle espère récupérer son bikini. Elle ne se cache plus... Elle avance vers eux.
- Elle est folle, ils vont la tripoter ou même...
- Non, ils s'éloignent au fur et à mesure. Elle leur court après et se marre.

- Redonne les jumelles.
Julien rend les jumelles à Antoine. Camille semble abandonner la poursuite et retourne sur la plage en direction de sa serviette.
- Ah, celui qui avait la culotte vient de lui lancer. Elle se penche pour l'enfiler. Pfff, quel cul elle a !

- Comment tu parles de ta cousine... Espèce de pervers !
- J'en suis pas particulièrement fier... Mais ! Oh l'enculé !
- Quoi !?
- Il a profité qu'elle s'était penchée pour enfiler sa culotte et l'a poussée en avant. Elle s'est vautrée dans le sable... Et il lui a piqué à nouveau sa culotte...

- Qu'est-ce qu'elle fait ?
- Elle se redresse mais reste à quatre pattes. Les deux gars se marrent et semblent ravi de la voir dans cette position.
- Ils mâtent son cul ?
- Putain, ouais... Ils auraient tort de ne pas en profiter.

Julien pose la main sur les jumelles :
- A mon tour !
A regret, Antoine lui laisse les précieuses jumelles :
- Putain, qu'est-ce qu'elle est bandante...
Julien regarde le caleçon de son copain et constate que, comme lui, il a une belle érection. Quand il porte les jumelles à ses yeux pour voir où en est Camille, il voit qu'elle s'est relevée et ne semble pas très contente.

- Elle ne semble plus trouver ça drôle.
- Les mecs ne lui rendent pas son bikini ?
- Non... Elle prend sa serviette et elle part...
- Ils la laissent partir ?
- Oui... sans lui rendre son bikini. Elle est tombée sur des relous de première.

- Elle rentre ?
- Oui mais elle vient de s'arrêter...
Antoine reprend les jumelles. Camille semble parler à quelqu'un.

Antoine déplace un peu son champ de vision et découvre un type totalement nu en train de se masturber en regardant sa cousine :
- Merde, Julien, il y a un type qui se branle en la regardant.
- Elle ne dit rien ?
- Si mais elle semble discuter. Et le gars continue à s'astiquer...

- Elle approuve ?
- Apparemment... Elle s'approche du gars et... elle le laisse lui caresser les seins.
- Putain, elle a le feu au cul ta cousine...

- Elle aime qu'on s'occupe d'elle... Elle se retourne contre lui. Il en profite pour la peloter à deux mains.
- Au moins il ne se branle plus.
- Non. C'est elle qui a pris le relais...

- Quoi ? Fais voir.
Julien reprend les jumelles et les dirige vers le couple. Camille s'est de nouveau tourné vers l'homme et le masturbe effectivement. En voyant le visage du gars, Julien comprend :
- Ah la vache. C'est le type d'hier !
- Quoi ?
- C'est le gars qui a fisté Camille sur la plage hier après-midi.
- Merde. C'est dingue cette histoire. Un type passe et hop ! Il fiste ma cousine ?
- Elle était à poil avec Boris et ce type s'est installé près d'eux. Pui il s'est approché et est venu tripoter Camille. Je pense que ça a un peu dérapé ensuite...
Antoine n'est pas tant abasourdi par cette description que par le fait que son pote ait assisté à cette scène. Les jumelles devant les yeux, Julien est fasciné de la voir masturber ainsi cet inconnu qui, la veille, l'a fistée jusqu'à lui donner un orgasme.

Antoine demande :
- Et Boris était juste à côté ?
- Oui. Je pense qu'il a autorisé le gars à la fister.
- La fister !!! C'est dingue. Et elle y a pris goût...
Julien sourit en repensant à ce qu'il a vu cette nuit. Il reprend la description de ce qu'il voit :
- Là, elle le branle encore et lui caresse les couilles en même temps.

- Il résiste ?
- Oui, d'ailleurs, il se penche sur elle et lui caresse la moule en retour.
- Il va la faire jouir ?
- Je ne pense pas... Il... oui je crois qu'il est en train d'éjaculer sur la main de ta cousine.

- Elle l'a fait jouir ?
- Ah oui, là ça ne laisse aucun doute... Elle se lèche même la main...
- La salope...
- Elle s'écarte. Il se passe un truc. Elle parle mais pas au type.

- Donne !
Antoine, fébrile, lui arrache les jumelles et observe la scène :
- Les deux autres gars sont revenus.
- Les enfoirés qui lui ont piqué son bikini ?
- Oui, ils devaient la mâter pendant qu'elle branlait l'autre. D'ailleurs, j'ai l'impression qu'ils sont à poil et qu'ils se... Oh merde !

- Quoi ?
- Il y en a un qui éjacule. Tu verrais la puissance des jets ! C'est impressionnant...
- Il faut dire qu'elle les a bien chauffés...
- Ouais... A leur place, je n'aurais pas tenu non plus... Voilà. Le second éjacule aussi d'ailleurs.

- Elle ne dit rien ?
- Apparemment pas. Elle observe... Les gars repartent. Les trois. Tiens, elle ramasse un truc. Ah. C'est son bikini. Les deux gars lui ont laissé son bikini.
- J'espère qu'elle ne va pas le remettre...
- Désolé, mais si. Elle le remet... et elle revient.

Antoine donne les jumelles à Julien qui se met à scruter la plage et les dunes à la recherche de Camille :
- Elle est passée où ?
- Elle rentre. Elle doit être entre les dunes sur le sentier...
Antoine retourne à la cuisine préparer le petit déjeuner laissant son ami continuer à regarder dans les jumelles.
- c'est quand même une sacrée nana !

Quand Camille arrive au bout du jardin, elle rigole en voyant Julien armé de ses jumelles :
- Dis donc, toi ! Tu ne serais pas en train de mâter les filles sur la plage ?
- Les filles ? Il n'y en avait qu'une seule et elle n'avait pas l'air de s'ennuyer...
- Ok, donc tu as tout vu... Tu t'es bien rincé l'œil ?

Antoine arrive à ce moment-là, armé d'un plateau avec croissants et café :
- Et voilà le petit déj'.
- Quelle synchronisation ! ironise Camille. On dirait presque que vous avez guettez mon retour...
Antoine pose le plateau sur une petite table basse positionnée entre deux chaises longues et sourit à Camille :
- On a attentivement suivi tes petits jeux sur la plage.

Camille vient prendre un croissant et dit aux gars :
- Moi, je vais le manger en me mettant les pieds dans la piscine.
- Bonne idée.
Antoine prend un croissant pour le tendre à Julien et se sert à son tour. Les deux garçons vont s'asseoir sur le bord de la piscine, les pieds dans l'eau. Ils regardent Camille qui fait le tour de la piscine sans s'installer.

Antoine demande :
- Finalement, tu préfères manger en marchant ?
- Non, je regarde le côté qui sera le mieux orienté par rapport au soleil.
Camille s'installe proche des garçons mais pas du même côté.

Antoine et Julien ont déjà fini leurs croissants et ils regardent la jeune fille manger le sien en observant les arbres du jardin. Antoine intervient :
- Fais attention que le croissant est très gras. Ne tâche pas ton joli maillot...
Camille regarde son cousin et lui sourit :
- Oh oui, tu as raison, merci.
Elle pose alors délicatement son croissant à côté d'elle et se lève en se frottant les mains pour faire tomber les miettes. Elle fait un clin d'œil à Antoine en commençant à retirer sa culotte.

Les deux garçons se seraient étouffés avec leur croissant s'ils ne les avaient pas déjà avalés. Lentement, Camille baisse sa culotte, sans la moindre pudeur :
- Dites donc les garçons, ne faites pas cette tête. Je crois que vous m'avez vue courir après mon bikini sur la plage, donc ça ne doit pas vous choquer de me voir à poil.
Antoine avale sa salive péniblement :
- Certes, mais c'est toujours un spectacle stupéfiant de te voir nue.
- Tant mieux, si cela vous plaît.
Camille dénoue aussi son soutien-gorge.

Se rasseyant au bord de la piscine, elle reprend son croissant et le termine. Elle s'amuse du silence des garçons :
- Alors, vous êtes bien silencieux...
- Comme toi, on profite du soleil.
Une fois son croissant avalé, Camille se penche pour prendre de l'eau dans ses mains jointes. Julien trouve particulièrement sexy ses beaux seins qui se balancent durant ce mouvement pour s'appuyer contre les cuisses musclées. Quand elle se redresse, elle s'asperge le buste de l'eau du bassin. Ses mamelons se dressent aussitôt sous l'effet de l'eau un peu fraîche, détails qui n'échappe pas aux garçons.

Camille s'étire :
- Mmmm, elle n'est pas si froide que ça. Une petite baignade pour enchaîner.
Elle sait parfaitement que les garçons sont complètements subjugués et qu'elle peut dire ou faire ce qu'elle veut sans qu'ils réagissent, se contentant de la regarder. Pourtant Antoine lui pose une question :
- Heu, tu ne crains pas l'hydrocution ?
- Tony, l'hydrocution se produit en cas de choc thermique. L'eau de ta piscine n'est pas si froide que ça donc je ne risque rien. Et je vais y aller doucement.
Lentement, Camille se laisse glisser dans l'eau.

Une fois dans l'eau, elle se tourne vers les garçons :
- Au pire, l'un de vous deux viendra bien me sauver ?
Antoine et Julien doivent reprendre leur respiration pour pouvoir répondre :
- Evidemment !
- Bien sûr...
- Me voilà donc rassurée...
Camille se laisse aller sur le dos et nage lentement dans le bassin, juste devant les garçons.

Ceux-ci bandent franchement et ne peuvent détacher leurs regards du corps magnifique qui s'expose sous leurs yeux. Au gré de ses mouvements, ses seins roulent lentement dépassant de l'eau, comme si les mamelons constituent des îles qu'il importe de laisser hors de l'eau quoi qu'il arrive. Et qu'a-t-elle besoin de nager avec les jambes aussi écarter si ce n'est pour exposer son coquillage aux deux voyeurs ? Julien ne tient plus. Son sexe positionné de travers dans son caleçon commence à lui faire mal. Il se lève donc et le repositionne. Cependant, tel qu'il est placé désormais, Camille ne pourra pas manquer de voir l'énorme bosse qui déforme le maillot.

Après quelques minutes, Camille regagne le bord de la piscine et observe les garçons, sans se formaliser des maillots pourtant outrageusement déformés par les érections :
- Et vous les gars ? Pas envie de vous baigner ? Pourtant vous transpirez et vous avez l'air tout tendu. Une petite baignade vous ferait du bien, non ?
- Heu, non là, ça va...
Julien se demande si le simple fait de bouger ne suffirait pas à le faire éjaculer. Il retient son souffle en voyant Camille sortir du bassin, la poitrine ballottant alors qu'elle se hisse sur le rebord.

Une fois debout sur le bord de la piscine, Camille prend un temps infini à s'essorer les cheveux. Les bras levés pour saisir ses longs cheveux noirs, elle sait qu'elle fait saillir sa magnifique poitrine aux tétons tendus :
- Vous avez tort, c'est délicieux de se baigner à cette heure.
- C'est aussi délicieux de t'admirer pendant que tu te baignes, chère cousine.
- Je te crois, Tony...
Elle jette un regard rapide aux caleçons des deux garçons avant de faire un clin d'œil à Antoine.

Retournant aux chaises longues, Camille en tire une vers le bord de la piscine. Julien propose son aide :
- Un coup de main, Camille ?
- Merci Julien, ce n'est pas si lourd que ça, juste encombrant...
Antoine admire sa cousine se pencher pour tirer la chaise longue, ses seins qui se balancent alors qu'elle tire la chaise, sa croupe ronde qu'elle offre à leurs regards. En voyant ce formidable spectacle, il ne résiste pas à glisser une main dans son caleçon pour caresser sa verge tendue.

Julien le voit faire et fronce les sourcils. Il chuchote :
- Qu'est-ce que tu fous ?
- Je ne tiens plus... Elle est trop excitante... Mais ne te gêne pas si tu veux toi aussi...
- Arrête, non...
Antoine ne comprend pas pourquoi Julien est si prude alors que sa cousine ne semble vraiment pas se formaliser de la situation. Elle sait parfaitement ce qu'elle fait en exposant ainsi sa nudité aux deux garçons. Surtout qu'elle a déplacé la chaise longue de telle sorte qu'une fois allongée, elle offre aux deux garçons une vue parfaitement dégagée sur ses superbes courbes.

Allongée sur le ventre, Camille expose sa jolie croupe. Elle ferme les yeux et dit aux garçons :
- Tony, tu pourras me dire quand ça fera cinq minutes...
- Heu oui, mais tu ne veux pas mettre de la crème solaire ?
- Non, dans cinq minutes, je change de côté.
Antoine se lève et va s'asseoir sur une chaise juste derrière sa cousine, à seulement quelques mètres. Sachant qu'elle devra se tourner complètement pour le voir, il ose abaisser son caleçon et extrait son membre tendu pour le caresser doucement.

Julien ouvre de grands yeux en le voyant faire. Lui, face à Camille, a le caleçon complètement déformé par son sexe en érection. S'il adorerait imiter Antoine, il se sentirait trop gêné si la jeune fille le surprenait à avoir un geste aussi déplacé. Pour Antoine, grâce à sa position, la situation est bien différente. Même si Camille ne peut pas le voir, il se demande si elle ne se doute pas de ce qu'il fait. En effet, bien qu'elle garde les cuisses plutôt serrées, elle s'amuse à balancer sa croupe de gauche à droite, révélant parfois une partie de sa moule.

Antoine continue de se masturber lentement. D'où il est, il aperçoit l'horloge du salon qu'il contrôle de temps en temps. Une fois les cinq minutes écoulées, il décide de prévenir Camille, mais sans s'arrêter de se masturber :
- Camille, ça fait cinq minutes.
- Mmmm? Ok. Merci Tony.
Mais, quand elle rouvre les yeux, le soleil l'éblouit tellement qu'elle garde les yeux à moitié fermés pour se retourner, ne se rendant pas compte que son cousin est en train de se masturber.

Julien a les yeux exorbités. Il n'en revient pas de ce que son copain ose faire. Antoine rigole en silence en voyant la tête de son copain. Il lui fait signe de faire comme lui, mais Julien ne semble pas suffisamment à l'aise pour oser imiter Antoine. Antoine ne regrette pas d'avoir choisi cette place. Une fois sa cousine sur le dos, il peut voir les magnifiques seins s'offrir aux rayons du soleil et aux regards. Son regard se pose sur les cheville de sa cousine et, telle une imperceptible caresse, remonte lentement aux genoux, à l'intérieur des cuisses jusqu'à atteindre la délicieuse fente de sa moule.

Lentement, il se masturbe, prenant garde à ne surtout pas se faire éjaculer. Mais alors qu'il continue à explorer tranquillement du regard le corps de sa cousine, celle-ci se réveille et redresse la tête vers lui :
- Putain, Tony. Qu'est-ce que tu fous ?
- Ecoute, je suis désolé Camille, je ne peux pas résister... Tu es trop bandante. Alors je me branle.
Antoine ne montre aucune pudeur et continue sa masturbation malgré le regard de sa cousine sur son sexe tendu.

Camile se tourne sur le côté pour mieux l'observer. Elle se mord la lèvre :
- Mmmm, c'est vrai que je ne vous facilite pas la vie à me mettre à poil...
- Tu te mets à l'aise, on se met à l'aise, rien de bien méchant.
- Mais j'ai l'impression que tout ça t'excite un peu, non ?

- Un peu ? Tu déconnes ? regarde comment tu nous fais bander !
Camille a sous les yeux le sexe tendu de son cousin et son excitation est bien sûr indiscutable. Elle se tourne alors vers Julien et découvre son maillot déformé par une érection phénoménale :
- Wahou ! Mais il bande aussi ton copain ! Et il bande même vachement !
Julien est très gêné de sentir le regard de la jeune fille sur son entrejambe.

Julien bégaye :
- Désolé, je ne contrôle pas vraiment. Tony a raison, tu es vraiment hyper sexy.
- Et tu ne veux pas te masturber toi ?
- Si, carrément, mais ça me gêne un peu...
- Tu crois que Tony se gêne, lui ?!
Elle se retourne vers son cousin et s'amuse de le voir se masturber en la regardant, assise sur sa chaise longue.

- Mmmm, cousin, tu te branlerais jusqu'à éjaculer pour moi ?
- Il ne m'en faudra pas beaucoup...
Antoine se lève et vient sur le bord de la piscine, impudique, son sexe dressé se balançant de droite à gauche. Puis, il s'assoit sur le bord de la piscine, juste à côté de Camille et reprend sa masturbation :
- Comme ça, tu verras bien quand ça va gicler.

Camille se retourne alors vers Julien :
- Allez Julien, ne soit pas timide. Je suis à poil, Antoine aussi. Il n'y a plus que toi...
- Je sais... je me sens con.
- Allez. Vas-y. J'ai vraiment envie de voir ta grosse queue.
Se redressant sur sa chaise longue, elle ajoute :
- Tiens, regarde, je te montre ma chatte, moi !

Elle voit que Julien est très mal à l'aise. Son sexe a pris des proportions incroyables et se retrouve congestionné par le maillot de bain trop étroit. Elle lui sourit :
- Ton maillot doit te faire souffrir, non ?
- Oui...

- Alors, retire-le ! Ta queue sera bien plus à l'aise à l'air libre. Et puis, comme ça, on sera tous à poil.
- Je ne sais pas...
- Allez, je suis certaine que tu aimerais pouvoir te masturber.
- Oui mais habituellement c'est seul, dans un autre contexte.
- La nouveauté ne doit pas t'effrayer. Tu n'as pas de honte à avoir. C'est naturel de se donner du plaisir.... Et moi j'ai très envie de te voir astiquer ce manche qui semble vraiment impressionnant.

- Ok, je vous la montre mais ça s'arrête là...
Lentement, il abaisse son maillot, libérant un sexe aux proportions inhabituelles. Camille sent la cyprine couler de sa moule rien qu'en voyant le magnifique sexe bander. Julien sourit, assez fier de l'effet qu'il fait sur la jeune fille :
- Tu sembles la voir pour la première fois... ?

- Mais c'est le cas, Julien !
- Ah oui ? Je me suis laissé dire que tu étais venu m'observé hier soir...
Camille est un peu décontenancée mais elle avait envisagé l'éventualité qu'elle se soit effectivement faite manipulée. Elle lui rétorque :
- C'est vrai. Et d'ailleurs, cette nuit, tu faisais moins d'histoire pendant que tu te branlais en murmurant mon nom !

- J'avoue que tu marques un point... Mais admets que le contexte est quand même très différent. Là, dehors, ce n'est pas tout à fait comme tout seul dans un lit.
- Non, répond Camille, mais là je te le demande, pour moi. Masturbe-toi et éjacule. Tu en as envie et moi je rêve de te voir le faire... S'il te plaît !
- Ok, rien que pour toi alors...
Julien commence à se caresser les testicules alors que son sexe est déjà magnifiquement bandé.

Camille s'agenouille sur la chaise longue et se caresse en prenant une pose cambrée particulièrement sexy :
- Ooooh Julien ! Elle est si belle ta queue quand tu la caresses ainsi.
- Je te préviens que quand ça vient, ça peut être conséquent.
- Je prends le risque. Vas-y ! Branle-toi !

Soudain, un râle se fait entendre sur la gauche. Camille tourne la tête et voit son cousin avec la tête rejetée en arrière, les yeux révulsés et la bouche ouverte. Antoine, qui n'a rien manqué de tout ça, semble être sur le point de jouir :
- Tony ? Tu... Tu vas jouir ?
Mais le pauvre garçon n'a pas le temps de répondre à sa cousine. Le sperme se met à jaillir, épais et puissant. Camille jubile. C'est exactement le spectacle qu'elle voulait.

- Hey Cousin ! Tu aurais pu te retenir, j'ai failli rater le spectacle.
Antoine la regarde, un peu hagard alors que sa semence continue de s'écouler lentement de sa verge tendue. Quand ça semble s'être calmé, il répond :
- Camille... Comment tu fais pour avoir un tel contrôle sur nous ?
- Hihi, je ne sais pas... C'est sans doute naturel... Je suis peut-être l'incarnation de vos fantasmes ?

Le sexe encore dressé, Antoine soupire :
- Mais ton cœur est à Boris...
- Alors profitez de ce weekend où je ne suis qu'à vous deux !
- Il n'est même pas midi... je crois qu'on va encore en profiter...

Camille se retourne alors vers Julien :
- Et toi ? Tu me préviendras avant d'éjaculer, n'est-ce pas ?
- Oui...
- Approche quand même juste à côté de moi que je ne rate pas ça.
Cuisses écartées, Camille se fourre un doigt dans la moule pour se masturber tandis que Julien vient la rejoindre.

Quand il est juste à côté d'elle, elle lui dit :
- J'adore voir ça. C'est flatteur pour une fille de voir qu'on la trouve désirable et qu'on se donne du plaisir en la regardant.
- Je... je ne suis plus trop loin...
Camille sait au ton de sa voix qu'il ne fait pas référence à une distance qui les sépare mais bien au temps qu'il lui reste avant d'éjaculer. Elle l'encourage donc :
- Oh oui, Julien, vas-y !
Le garçon ferme les yeux.

Camille lui dit :
- Vite, fais encore un pas.
Julien a un soubresaut et a tout juste le temps de faire un pas vers Camille avant de se mettre à éjaculer. Camille ouvre grand la bouche et une grande partie de la semence gagne sa cavité buccale. Quand l'éjaculation semble se clamer, elle termine d'avaler le sperme qu'elle a dans la bouche et se lèche les lèvres puisqu'une importante partie du sperme a giclé à côté de sa bouche. Plutôt fière d'elle, elle regarde Antoine.

Camille se lève alors :
- Les garçons, vous avez été impressionnants.
Antoine sourit :
- Tu parles, tu fais ce que tu veux de nous. On ferait n'importe quoi pour toi.
- Heureusement, je ne vous demande pas n'importe quoi mais des choses très simples. Il me semble que ce déménagement aura été des plus plaisants.

En entendant le mot "déménagement", Antoine semble revenir à la réalité :
- Merde ! La tapisserie !
Julien se redresse, hilare. Camille demande aux garçons :
- Quoi ? Que se passe-t-il ?

Antoine se lève :
- J'ai promis à mes parents de m'occuper de décoller le vieux papier-peint d'au moins un mur de la chambre, là-haut.
Julien se lève :
- Et j'avais promis de l'aider. Il ne faut pas qu'on tarde trop si on ne veut pas repartir trop tard.
Un peu à regret, Camille regarde les deux garçons s'éloigner et disparaître dans la maison. Elle les entend s'installer dans la chambre qui donne sur la piscine.

^ ---------oOo---------
L'autre cousin - épisode 6 : Les voyeurs
Dimanche après-midi
Antoine et Julien commencent à décaper le papier-peint dans la chambre en face de celle de Camille. Elle entre dans la pièce, vêtue de son minishort et de son débardeur :
- Besoin d'aide les garçons ?

Antoine la jauge et dit :
- Qu'est-ce que tu fous sapée avec tes fringues d'hier ?
- Et quoi ? Tu n'aimes pas, Tony ?

- Si, mais c'est une tenue de travail ça.
- Bah oui, je veux vous filer un coup de main...
- Si tu restes ici, on ne va pas réussir à terminer ce mur avant de repartir... Et de toute façon, il n'y a pas assez de matériel pour trois. Va profiter de la plage ou de la piscine pendant qu'on fait ça. On se dépêche.
- Ok, si vous préférez rester entre mecs...
Camille, un peu vexée ressort de la pièce et rejoint sa chambre pour se changer... sans fermer les portes ! Julien et Antoine ont tous les deux noté ce détail intéressant et préparent le matériel en ayant constamment un œil sur la chambre voisine. Quand Camille se tourne, ils détournent aussitôt la tête comme s'ils n'avaient rien remarqué du tout.

Camille, comme pour s'assurer qu'ils remarquent son manège, s'adresse à eux depuis la pièce en face :
- Et vous n'avez que ce mur-là à faire ?
- Oui... Les autres, ce sont mes parents qui s'en occuperont. Je leur ai promis juste celui-ci parce que c'est le plus grand.
- Et toi Julien ? Tu n'as pas l'impression de te faire exploiter ?
- Bah non, c'est mon pote et il y a... des compensations...
Bien sûr, pour répondre aux questions, les garçons se tournent vers Camille et la voient retirer aussi son short et enfiler le string de son bikini vert. Antoine sait qu'elle le fait délibérément pour les exciter et sans doute pour se venger de l'avoir éconduit aussi rapidement.

- Quelles compensations ? demande innocemment Camille.
- De la bière à volonté et, surtout, sa reconnaissance éternelle !
- C'est beau l'amitié. Et bien pendant qu'il t'exploite ici, moi je retourne à la piscine pour prendre un bain de soleil.
Les garçons retiennent leur souffle en voyant Camille dans le couloir, vêtue d'un petit bikini cachant bien peu ses courbes affolantes.

Camille descend pour profiter de la piscine, pas pour se baigner, mais pour prendre le soleil. Alors qu'elle est en bas, Antoine crie dans le couloir qu'elle entende :
- Camille, penses à te mettre de la crème si tu restes au soleil !
Elle l'a entendu et décide de tirer un transat du côté du jardin pour l'installer sur la pelouse juste à côté de la piscine, en profitant de l'ombre diffuse que procure le feuillage des grands arbres.

La jeune fille s'y allonge en bikini. Pendant ce temps, Antoine et Julien sont dans la maison et retirent le papier peint. Ils mettent la décolleuse à vapeur en route et commencent le travail. Dehors, Camille est au soleil, elle se préoccupe surtout de ses futures marques de bronzage.
- C'est quand même dommage de profiter d'un si grand jardin et de ne pas bronzer intégralement, comme sur la plage.
Camille jette un coup d'œil aux alentours.
- Après tout, les garçons sont occupés dans la maison et personne ne peut me voir.
Camille décide donc de retirer son maillot.

Tout d'abord le haut, ce qui dévoile une poitrine appétissante, d'un volume supérieur à la moyenne, ses seins sont bien fermes et ne tombent pas. Elle en est plutôt fière et apprécie de plus en plus le regard des autres dirigés sur eux, que ce soit quand elle fait du topless sur la plage, quand elle se douche à la piscine municipale ou, plus souvent, quand elle porte des vêtements légers sans aucun sous-vêtement. Elle adore sentir ses tétons pointer sous l'excitation et attirer ainsi encore plus les regards masculins. Une fois les seins à l'air, elle enlève ensuite le bas, laissant apparaître son sexe épilé, sauf le mont de vénus, où demeure un petit triangle de poils foncés.

Dans la chambre, Antoine et Julien ont commencé le décollage, mais la machine à vapeur rend vite l'atmosphère étouffante. Ils ont d'abord retiré leurs chemises, mais ça ne suffit pas. Antoine dit :
- On se croirait au sauna.
- Attends, je vais faire de l'air.
Julien va à la porte-fenêtre et saisit la poignée pour l'ouvrir, mais il s'arrête brusquement.
- Qu'est-ce qu'il y a ? demande Antoine.
- Viens voir !
Antoine le rejoint à la fenêtre et peut voir ce que voit aussi Julien : Camille est allongée, nue, en train de bronzer.

Julien n'hésite pas à dire le fond de sa pensée.
- La salooope...
- Elle est bonne.
- Ouais, super bonne.
- Si on ouvre la fenêtre, elle va l'entendre et se rhabiller.
- T'as raison, on va laisser la fenêtre fermée. Comme ça on pourra continuer à la mater.
Antoine et Julien se remettent au travail, mais il fait vraiment très humide dans la pièce.
- Putain, ça me colle de partout. Allez, je retire tout.
Antoine se déshabille pour ne garder que son caleçon, même s'il sait que Julien se rendra compte de l'érection qui tend le caleçon.

Quelques instants plus tard Julien en fait autant. Et lui aussi affiche une érection bien marquée :
- Désolé, ta cousine est trop excitante...
- Pas de soucis, je pense qu'on subit le même sortilège de sa part...
- Pffff, finalement, je ne sais pas si on aurait pas été plus efficace si elle était restée pour nous aider...

Julien se remet au travail et Antoine reste encore quelques instants à la fenêtre, mais il ne se rince pas l'oeil sur les courbes de sa cousine. Il croit avoir vu bouger derrière les arbres. Dans la partie haute du jardin, au-dessus de la piscine, masqué par un gros chêne et un bouleau à triple tige, Antoine semble voir comme un mouvement, une ombre, une présence. Quelque chose d'insolite, là-bas entre le tas de compost et le pin de Weymouth qui a tant de mal à se développer à l'ombre de ses grands voisins. Patientant quelques minutes, immobile derrière la vitre, Antoine finit par distinguer une silhouette qui se déplace très lentement le long de la haie de thuyas, vers les petits buissons en hauteur, à une vingtaine de mètres de la piscine. La zone est ombragée avec une vue imprenable sur la piscine et ses abords. L'inconnu a nécessairement vu Camille. Antoine est tout émoustillé à l'idée qu'un voyeur ait réussi son coup et vienne se rincer l'œil incognito sur sa cousine qui se prélasse au soleil.
- Julien, viens voir.
- Elle est toujours à bronzer ?
- Oui, mais elle n'est pas seule. Tu vois derrière les buissons, là ?
- Putain, c'est qui ce type ?
- Je ne sais pas...
- Il faut descendre le faire dégager !
- Non, attends de voir...
La silhouette rejoint progressivement le deuxième buisson et se dissimule encore dans l'ombre et les feuillages, à moins de dix mètres de la piscine, mais toujours hors de vue de Camille. L'homme, semble-t-il assez jeune, reste maintenant immobile, à l'affût. Alors qu'une petite brise fait se déplacer quelques branches, un rayon de soleil éclaire le visage de l'inconnu et Antoine le reconnait soudain :
- Merde, c'est Lucien !
- Tu le connais ?
- C'est un neuneu du village qui s'occupe des jardins...
Lucien est effectivement un garçon simple d'esprit mais particulièrement robuste à qui tous les gens du quartier confient l'entretien des jardins en leur absence. Antoine se souvient d'ailleurs que ses parents lui avaient dit qu'il croiserait peut-être le jardinier. Lucien est donc en position de voyeur, comme Antoine et Julien, et reluque Camille étendue sur son transat, à moins de dix mètres du jeune jardinier. Sous les yeux de Julien et Antoine, sans que Camille ou Lucien ne se doute de leur présence. Leur position surplombant la piscine et le bosquet de Lucien leur permet de voir les deux à la fois.
Antoine reprend le travail tandis que Julien reste à la porte-fenêtre. Il constate soudain que Lucien a un comportement étrange. Le garçon ne semble plus se contrôler très bien et, d'où il est, il le voit agrippé aux branches basses du bouleau, la bouche entrouverte et les jambes légèrement fléchies. Il lui semble même observer une légère ondulation des hanches. Comme les prémices d'une longue et lancinante agitation qui voudrait s'emparer du jeune homme pour un très long moment et qui va le conduire peut-être à des attitudes et des comportements qu'il ne maîtrisera pas. Baissant les yeux sur la terrasse au bord de la piscine, Julien comprend : Camille vient de se retourner, exposant ses fesses magnifiques aux rayons du soleil et aux yeux chanceux dont elle ignore la présence.

Julien appelle Antoine :
- Tony, viens voir. Ta cousine vient de se mettre sur le ventre et ça semble mettre le jardinier dans un état étrange...
L'intuition de Julien ne l'a pas trompé. Lucien, les yeux fixes, regard bloqué en direction de la croupe de Camille, tel un automate, dégrafe lentement les boutons de sa chemise. Plus exactement les arrache en force, un par un comme avec une lente violence quasi programmée. Celui du col pour commencer. Les suivants sautent facilement. Aucun ne résiste aux doigts puissants rompus aux tâches les plus rudes. Il jette sa chemise de toile épaisse, laissant à nu un torse sec et musclé, puis il se débarrasse avec la même tranquille obstination du reste de ses vêtements.

- Merde, il est à poil, là, non ? Il faut prévenir Camille !
- Attends. Je ne pense pas qu'il puisse lui faire du mal et ce qui peut suivre intéressera sans doute Camille.
Comme en état d'hypnose et, désormais totalement nu, Lucien reprend sa position, agrippé aux branches basses du bouleau, les jambes légèrement fléchies. Antoine et Julien voient maintenant son sexe raide, vertical et parallèle au ventre, venir tutoyer son nombril.

Les ondulations du bassin reprennent. Esquissées puis plus marquées, elles donnent le branle à ce sexe aux proportions maintenant phénoménales. Les deux garçons sont fascinés de voir cette verge colossale qui gonfle encore et encore, gourdin gorgé de sang, lourd et sauvage.
Puis, reportant le regard sur sa cousine, Antoine constate qu'elle écarte les cuisses pour se vaporiser un peu de crème solaire sur les fesses.

- Oh putain ! Elle va se faire violer si elle continue comme ça...
- Mince, quel corps de rêve elle a !
- Moi, je fais comme elle.
- T'as raison, comme ça, on est vraiment comme au sauna.
Impudiques, les deux amis se retrouvent nus devant la porte-fenêtre.

Si le corps splendide de Camille attire leurs regards, tous les deux ont les yeux inexorablement attirés par le jardinier à l'érection phénoménale. Ahuris, ils voient la monstrueuse matraque, raide, qui se balance, plantée bien à la verticale au carrefour des cuisses, et qui brille soudain à son extrémité, comme si le gland qui la couronne se nappait d'un vernis transparent. Subjugués, Antoine et Julien doivent se rendre à l'évidence. La bite plantée droit, enracinée au bas du ventre de Lucien dégorge doucement une liqueur translucide, par petites vagues successives, régulières et qui, comme la lave d'un volcan qui se réveille, débordent le méat, roulent sur le gland enflé et ruissellent le long de la tige bandée aux veines bleues bien apparentes maintenant.

Le jardinier libère inconsciemment les prémices de sa semence, sans même se caresser, à la seule vue d'une femme nue qui bronze. Mais pas encore d'éjaculation pour le moment, seulement une émission sourde et régulière d'un liquide cristallin annonciateur de giclées plus consistantes et plus vigoureuses. Alors, Lucien s'agrippe plus fort à ses branches et, la bouche mi-ouverte, le rouge lui monte brusquement à la face. Le voilà cramoisi comme en proie à une violente émotion qu'il ne contrôle plus. Abaissant leurs regards sur Camille, les garçons comprennent tout. Camille s'est remise sur le dos et a entrepris de se caresser.

Elle se laisse aller et se caresse le corps, les seins, le sexe. Pour Antoine et Julien, l'effet est immédiat, leurs sexes se redressent. Malgré eux, ils commencent à se caresser le sexe. C'est quand Camille a commencé à gémir sous l'excellence de ses caresses que la première salve de Lucien est partie. Le jardinier se lâche à la vue de ce corps vibrant de plaisir, presque à portée de ses mains. Ce sont maintenant de beaux et longs jets qui fusent de sa lance, amples, à la fois lourds et aériens. Les copieuses giclées de sperme montent et culbutent dans l'espace en loopings généreux. La matière est abondante. D'une blancheur irréprochable. Le produit de ses glandes débordantes inonde l'herbe. Une bonne dizaine de traînées claires zèbrent la pelouse tondue récemment. Lucien avait les couilles chargées à bloc. Il se trouve délesté d'une cargaison conséquente de semence.

Julien rigole :
- Plus à s'inquiéter pour Camille. Les cales sont vides maintenant. Le petit jardinier va devoir attendre un bon moment avant de recharger.
Antoine ne répond pas. Lucien ne bouge pas, torse musculeux, jambes mi-fléchies et contractées dans une position provocante. Il exhibe et pousse devant lui une verge tendue qu'un fil d'araignée translucide relie au sol. Le jardinier a le regard fixe et garde la bouche ouverte. Antoine observe et dit à Julien :
- Il n'a pas l'air de débander...
Le formidable gourdin ne donne effectivement aucun signe de relâchement et se tient toujours bien droit, raide et arrogant le long de ses abdominaux.
Dans le même temps, Camille expose son petit corps de rêve aux spectateurs privilégiés et commence à se fourrer un doigt dans la fente, ignorant tout de ce qui vient de se passer.

Le jeune mâle, précédé de son phénoménal étendard, sort de l'ombre et descend vers le bassin sans plus prendre garde à ne pas se faire surprendre. Il progresse, nu sur le bord de la piscine, et vient se planter devant elle alors que Camille, sans doute avec l'idée de réitérer l'expérience du fist en est à son troisième doigt. Mais la jeune fille sent soudain la présence de l'intrus et, rouvrant les yeux, découvre Lucien qui se tient juste devant elle.

Elle se redresse :
- Qui... qui êtes-vous ?
Bien qu'ayant interrompu sa masturbation, Camille ne se montre pas particulièrement pudique. Sans doute plus surprise par les mensurations hors normes du nouveau venu.

L'homme bafouille :
- Je suis Lucien. Je m'occupe des jardins.
- Et vous travaillez toujours dans cette tenue ?
- Il fait trop chaud...
- Et vous me regardez depuis longtemps ?
- Je vous trouve très très belle...
Cela, Camille le sait déjà en voyant l'énorme verge dressée devant elle. Elle est à la fois surprise par cette soudaine apparition alors qu'elle était sur le point de se donner un orgasme, mais également subjuguée par ce sexe gigantesque offert à son regard.

Camille ne s'attend alors pas du tout à que ce membre turgescent, excité par la proximité d'une femme nue allongée, se remette en branle. Lorsque, sans que rien ni personne n'y touche, le monstre explose à nouveau, lâchant quelques salves de semences épaisses. Certaines atterrissant dans l'eau, d'autres allant s'écraser sur le carrelage du bord de la piscine, plusieurs toutes proches de Camille que ce spectacle semble sidérer et amuser à la fois. Le jardinier semble inépuisable.

Du haut de leur poste d'observation, Julien et Antoine sont estomaqués et continuent de se masturber tous les deux, presque machinalement.
- La vache !
- Putain, c'est dingue !

Sur sa chaise, Camille est au spectacle. Cette volumineuse verge gonflée, tendue et dressée la ravit. La dernière salve lâchée, Camille se ressaisit et s'accroupit par terre pour faire face à la bête. Elle agrippe à pleine paume la queue du jardinier sans que celui-ci ne fasse quoi que ce soit pour échapper à sa prise. Les doigts n'en font évidemment pas le tour. Comme pour affirmer leur présence face à ce tube de chair frémissant qui les défie, les phalanges se crispent et tentent désespérément d'étrangler le pieu vivant.
Mais ce geste a alors pour effet de relancer la tige dans son inlassable et prodigieuse activité. La bite de Lucien se réactive au moment-même où Camille se penche pour tenter de la prendre en bouche, bien convaincue de ce que l'éjaculation précédente ne lui fait courir aucun risque.

Ni Camille, ni Antoine, ni Julien n'ont encore réalisé en présence de quel phénomène ils sont. Lucien n'est comme aucun des mâles communs. Pas un ne présente ni les mesures ni les réserves du jardinier. Aucun ne peut décharger coup sur coup de telles quantités de sperme, puiser dans des réservoirs sans fond et se répandre à répétition sans même qu'on ne le suce ni ne le touche. Camille est penchée sur la bête, lèvres prêtes à s'en saisir. Elle reçoit alors en pleine face le premier jet d'une nouvelle série de giclées. Le liquide s'écrase sur son front, rebondit et éclate en auréole dans la lumière autour d'elle.

Par réflexe Camille ferme les yeux tout en saisissant la lance à deux mains pour la diriger plus bas. Les vagues suivantes s'acharnent sur la base du cou et les seins. Ces paquets de foutre se ruent tout en violence à l'assaut du buste qui brille et ruisselle désormais. Pour la troisième fois en moins d'un quart d'heure, le jardinier monté comme un âne balance la sauce, sans mesure, sans compter. La douche se calme enfin. Lucien reste immobile, les bras le long du corps, nu, raide et dégouttant d'une liqueur blanchâtre. Il fixe Camille de son regard vide et contemple la poitrine vernie de la semence dont il vient de l'asperger.

Camille le regarde aussi :
- Lucien, vous êtes un garçon surprenant... Mais vous êtes payé pour vous occuper du jardin, pas pour asperger de foutre les jeunes filles !
Camille prend un ton mi-amusé, mi-autoritaire, mais le garçon n'en perçoit pas la subtilité et, penaud se dirige vers ses vêtements. Camille l'arrête aussitôt :
- Non non ! Rappelez-vous : il fait trop chaud.
Camille se lève et s'essuie le visage et le buste avec sa serviette. Elle observe le jardinier reprendre son activité en tenue d'Adam. À dix mètres de là, arcbouté sur sa bêche, Lucien reprend le boulot, à poil et déjà luisant de sueur. D'où elle est, Camille admire les superbes fesses musclées du garçon et se caresse la poitrine en se rinçant l'œil.

Mais elle ne peut pas voir ce que Antoine et Julien voient. La verge du jardinier se réveille.
Antoine et Julien n'auraient jamais cru être témoin d'un tel spectacle. Comme la situation semble se calmer, Antoine tape sur l'épaule de son copain :
- On ferait peut-être mieux de retourner au boulot.
- Oui, c'est plus sûr. Il faut qu'on termine ça avant de partir.
Ils retournent au boulot, leurs sexes encore en érection. Pendant ce temps-là, Camille, encore sous le choc de ce qu'elle vient de vivre, remet son bikini.

Pourtant, elle ressent une certaine frustration à ne pas avoir eu d'orgasme. Abandonnant le spectacle du jardinier travaillant nu, elle monte à l'étage :
- Je me demande où en sont Tony et Julien.
Au moment où elle arrive à la porte de la chambre où ils travaillent, les deux garçons, trop excités pour travailler, retournent à la fenêtre, le sexe dans la main, se masturbant déjà. Julien voit le transat vide.
- Elle est où ?
- Ben, elle bronze plus ?
La porte s'ouvre en silence pendant que les garçons scrutent le jardin pour trouver la jeune fille. Camille entre dans la chambre et referme la porte derrière elle en la claquant.
- Non, je ne bronze plus, je suis là. Et vous ? Qu'est-ce que vous foutez, à poil dans la chambre ?

Antoine essaye de s'expliquer, aidé de Julien.
- C'est à dire, il faisait trop humide avec la machine à vapeur.
- Ouais, un vrai sauna.
- Alors on s'est déshabillés pour être plus confortables.
Camille ne l'entend pas ainsi.
- Vous-vous foutez de moi ou quoi? Vous étiez en train de vous branler en me matant.

Antoine regarde son sexe en érection et celui de Julien.
- Oui... Bon... C'est vrai qu'on aurait du mal à dire le contraire. En même temps, tu n'as pas été très discrète. Tu te mets à poil, tu te masturbes. On comprend presque pourquoi Lucien à éjaculer trois fois.
- Trois fois ?
- Oui... Il y a eu une première fois pendant que tu te caressais...
- Merde, donc vous avez tout vu...
- Tout. Mais si on s'est déshabillés, c'était d'abord à cause de l'humidité.
Julien essaye maladroitement de trouver un prétexte raisonnable :
- Et puis, le sauna, c'est très bon pour la santé.
- Vous n'y connaissez pas grand-chose, les gars, là ce serait plutôt un hammam, vu la température.
Camille passe les mains dans son dos pour défaire le nœud de son haut de bikini.

Antoine sourit en voyant sa magnifique poitrine encore un peu luisante de la semence du jardinier :
- Qu'est-ce que tu fous, cousine ? Tu veux nous donner un coup de main ?
- Non. Mais continuez à travailler, je vais profiter du hammam.
Sous les yeux stupéfaits de Julien, elle retire aussi son petit string sans montrer la moindre pudeur.

Comme les gars semblent rester statufiés par sa nudité, Camille se dirige vers l'unique meuble de la pièce : le canapé trop volumineux pour avoir été déplacé dans la pièce à côté. Camille s'installe et les rappelle à l'ordre :
- Au boulot maintenant, sinon on va repartir à pas d'heure ce soir.

Les deux garçons s'exécutent, ne voulant surtout pas contrarier la superbe cousine nue. Avec beaucoup de difficulté pour se concentrer, ils reprennent le travail, chacun le sexe tendu et dressé. Camille les observe à l'œuvre. Rapidement son corps, tout comme ceux de Antoine et Julien, ruisselle sous l'effet de la condensation de la vapeur. Antoine et Julien n'arrêtent pas de mater furtivement Camille, les sexes gonflés, mais ils n'osent se masturber.
- Vous m'avez regardée tout à l'heure, alors que j'étais en train de me caresser ?

Sans trop de gêne, Antoine se retourne et répond :
- Oui...
Camille se rejette en arrière dans le canapé et écarte largement les cuisses.
- Et vous vous êtes contentés de mater ?

- Non, on s'est masturbé aussi.
- Alors, qu'est-ce que vous attendez ?
Antoine et Julien n'attendent pas qu'on leur dise deux fois. Ils prennent leur sexe en main et entament un mouvement de va et vient.

Tous les trois se masturbent ainsi pendant plusieurs minutes dans la moiteur de la pièce. Camille est vautrée dans le canapé, les cuisses écartées, Julien et Antoine debout face à elle, à moins de trois mètres. Camille est si excitée qu'elle a une soudaine envie. Elle regarde les garçons et leur dit :
- Est-ce que ça vous dérange si je me fiste devant vous ?

Julien n'en revient pas qu'elle demande cela. Il est si excité qu'il sent qu'il est sur le point de jouir. Il enserre la base de son sexe pour retenir autant que possible l'éjaculation. Camille se moque de lui :
- Julien, il ne faut pas te retenir ! Lâche tout !
Le pauvre garçon n'a pas la force de résister davantage. Relâchant la pression, son sperme jaillit avec fougue et puissance.

En voyant les longs jets de sperme venir s'écraser au sol juste devant elle, Camille encourage Julien :
- Oh Julien ! C'est magnifique... vas-y, vide bien tes couilles...
Et en disant cela, elle enfonce lentement ses doigts dans sa fente, allant jusqu'à presque y mettre toute la main.

Antoine a les yeux exorbités à voir cette main qui entre et sort entre les cuisses de sa cousine. Celle-ci lui sourit et lui dit :
- J'ai une faveur à te demander, Tony...
- Laquelle ?
- J'ai été impressionnée de voir le jardinier éjaculer sans se masturber. Je voudrais que tu lâches ta queue et que tu me regardes, jusqu'à éjaculer.
- D'accord.

Antoine, ravi de participer à l'expérience de sa cousine, abandonne sa masturbation et se concentre sur le spectacle qu'elle lui offre. Sentant l'orgasme arriver, elle retire sa main de sa fente, la laissant béante et dégoulinante de cyprine, et elle commence à faire tourner les doigts de son autre main à toute vitesse sur son clitoris. Antoine est figé par ce qu'il voit. Soudain, sa cousine se redresse et elle se cambre. L'orgasme est là et l'envahit toute entière, sans demi-mesure.

Camille se force, malgré le plaisir, à garder les yeux ouverts, pour rester concentrée sur le sexe d'Antoine. Ce sexe magnifiquement dressé, gonflé à souhait, qui n'attend que d'exploser et d'offrir sa semence au regard avide de la jeune fille. Camille, entre deux gémissements de plaisirs, murmure à l'intention de son cousin :
- Oh... Tony, vas-y maintenant... Ooooooh...
Et Antoine obéit, docilement. Son sexe a un premier soubresaut qui lance le premier jet de semence au pied du garçon. Puis, le reste de son jus épais s'écoule lentement au sol, en continue, tel un robinet laissé ouvert.

Quand elle reprend ses esprits, elle observe la semence par terre sur le sol de la chambre. Elle sourit et dit aux garçons :
- C'est tout ?
- Quoi ???
- J'espérais que vous seriez aussi généreux que Lucien...

Les gars rient jaunes, manifestement un peu vexés de devoir souffrir cette comparaison, même s'ils savent qu'il s'agit d'une plaisanterie. Ils savent très bien qu'ils ont lâché à eux deux moins qu'une seule des trois éjaculations de Lucien. Rigolarde, Camille se lève et se dirige vers la porte. Au moment de quitter la pièce, elle s'adresse aux deux garçons.
- Merci pour le hammam. Je vous laisse finir de travailler. Je vais rassembler les affaires et commencer à charger la voiture. Travaillez bien !

Cet épisode est très librement inspiré de l'histoire de Zwico (2001)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb030/reve03082.html]
et de l'histoire de Ralph-Henri (2009)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb132/reve13233.html]
^ ---------oOo---------
L'autre cousin - épisode 7 : Sur l'autoroute
Dimanche soir
La fin d'après-midi est encore caniculaire et Camille se trouve presque trop couverte avec sa petite robe grise.

Au moment de monter en voiture, Camille ouvre la portière arrière mais est arrêtée par son cousin :
- Camille, monte devant avec moi. Julien montera derrière.
Camille accepte volontiers la proposition mais y met des conditions :
- Ok, mais vous n'en profitez pas pour me tripoter !
- Mince, dit Antoine, moi qui voulait te faire faire des trucs pendant le trajet...
- Des trucs ?

- Ah, je vois que ça te titille de savoir ce que j'imaginais... Si on promet de ne pas abuser de toi, tu acceptes de te soumettre à nos requêtes ?
- Je ne sais pas... c'est pas des trucs trop tordus, Tony ?
- Non... ce sera des trucs excitants.
Camille se mordille la lèvre inférieure. Antoine sait qu'elle est déjà convaincue et ne tente pas d'argumenter davantage. Il se contente d'attendre et compte sur l'impatience de sa cousine. Après seulement quelques secondes, il obtient gain de cause.
- Ok, je marche, dit Camille.

- Alors commence donc par me relever cette robe.
- Mais les conducteurs autour vont voir !
- Tu abandonnes déjà ? En plus, non, personne ne verra avec la portière. Relève ta robe.
Camille remonte donc le bas de sa robe jusque sur son ventre, découvrant ainsi son intimité.

Enfin, ça semble simple et facile comme ça à décrire, mais en réalité elle le fait tout de même avec un peu de fébrilité. Après quelques minutes, elle s'aperçoit qu'Antoine avait raison, les conducteurs des voitures se trouvant du côté de Camille ne semblent pas voir sa nudité. Aussi, elle prend confiance en elle et finit par se décontracter totalement. Elle se libère tellement de ses appréhensions qu'elle ne réagit même pas lorsqu'un gros bus touristique stoppe juste à sa hauteur. Ce n'est qu'une fois qu'il redémarre et les dépasse qu'elle réalise que de là où il se trouvait, le chauffeur devait avoir une vue merveilleuse sur son entrejambe.

- Mince... je crois que le chauffeur du bus a vu ma minette...
- Très bien, et écarte-moi bien ces jambes s'il te plaît, que l'on puisse bien voir ta fente.
Camille est sidérée par cette remarque de son cousin et sa nouvelle attitude consistant à la mettre ainsi en vitrine. Sidérée, mais agréablement surprise de voir qu'Antoine peut aussi facilement se prêter au jeu qui, comme elle l'imaginait, commence à devenir excitant. Bientôt à côté d'elle se place un véhicule utilitaire. En prenant son courage à deux mains, Camille ose regarder le chauffeur. Celui-ci plonge déjà ses yeux sur ses cuisses et sur son sexe totalement visible.

Lorsque son regard rencontre le sien, elle lui fait un petit sourire à la fois coquin et complice. Il baisse sa vitre et se penche légèrement.
- Je peux voir le haut aussi ?
Camille a à peine entendu la requête à travers la vitre mais est certaine que c'était cela. Malheureusement, Elle n'a pas le temps de réfléchir à la demande du conducteur qu'Antoine redémarre.
- Ah, le pauvre, je n'ai même pas eu le temps de lui répondre quoi que ce soit.
- Que t'a-t-il demandé ? demande Julien.
- S'il pouvait voir aussi le haut...

- Eh, ce n'est pas une mauvaise idée.
- Ah non !
- Ah si ! C'est mon tour de te demander quelque chose. Alors déboutonne le haut de ta robe et montre-lui tes seins. Et Tony, fais en sorte qu'il nous rejoigne.
Une fois de plus Camille obéit et défait tous les boutons de sa robe jusqu'à mon nombril et ouvre largement les deux pans du tissu qui recouvre sa poitrine. Ses seins sont maintenant à l'air libre, visibles de tous.

Ses tétons pointent largement en avant et elle sent son sexe s'enflammer. Les efforts d'Antoine pour rattraper par la camionnette finissent par payer. Cette fois le chauffeur gratifie Camille de quelques sifflets d'admiration. Elle le regarde et lui sourit à nouveau. Il lève son pouce, poing serré. Elle lui mime alors un merci de sa bouche muette.
Poursuivant leur route, Antoine s'amuse à dépasser le plus lentement possible tous les camions qu'ils rencontrent. La position de Camille n'a pas changé, son sexe est toujours exposé au grand jour tout comme ses seins.

Pourtant, aucune réaction semble se produire, pas un coup de klaxon, pas un appel de phare, rien. Arrivant en vue du péage, elle commence à reboutonner le bas de sa robe.
- Qu'est-ce que tu fais ? demande Julien.
- Ben, on arrive au péage, je ne vais tout de même pas le passer comme ça, la minette à l'air.
- Tu avais promis de suivre nos indications et on ne t'a pas dit de reboutonner ta robe ! Bon, c'est trop tard, mais garde tes seins à l'air.

Camille laisse sa robe grande ouverte sur sa poitrine nue et fait mine de dormir en tournant ma tête à droite, car elle ne veut pas croiser le regard du péagiste. La voiture s'immobilise devant la barrière. Camille entend la vitre électrique se baisser et l'échange de bonjours entre Antoine et le péagiste. Elle imagine que l'homme a remarqué sa présence et surtout sa tenue, mais aucune remarque ne se fait entendre.

Ce n'est qu'au redémarrage de la voiture qu'elle ose enfin ouvrir les yeux et là c'est l'horreur, un car de voyage se trouve dans au péage juste à leur droite et tous les passagers ont le regard sur elle, ses joues deviennent rouges. Heureusement cet instant ne dure que peu de temps et le car redémarre beaucoup plus lentement qu'eux.
Antoine lui jette un coup d'œil avant de se concentrer sur sa conduite :
- Bon, maintenant rouvre complètement la robe et quoi qu'il se passe, sans nouvelles instructions de notre part, tu restes comme ça.
Ils dépassent beaucoup de camions, bus, camionnettes mais aucune réaction ne se produit. Malgré tous les efforts d'Antoine qui se fait klaxonner parce qu'il roule comme une tortue sur la voie du milieu, la tenue inconvenante de Camille ne parait pas faire recette. Camille commence à s'agacer de passer ainsi inaperçue. Julien intervient :
- Bon, Camille, il faut réagir. Écarte bien les cuisses et caresse-toi. Ou plutôt non, masturbe-toi carrément.
Sa réflexion stupéfait la jeune fille, mais au point où elle en est, elle peut bien faire cela. Elle replie donc sa jambe droite afin de poser son genou contre la vitre de la portière et écarte son autre jambe presque jusqu'à toucher le volant avec mon tibia. Son sexe est grand ouvert et, l'excitation montant, ses lèvres intimes se gonflent et s'ouvrent légèrement. Camille sent de la cyprine humidifier son entrejambe. Elle est en position. Elle pose sa main sur son sexe et commence à se caresser.

Rapidement, elle enfonce un doigt et trouve son bouton d'amour pour le faire vibrer. Elle s'excite de plus en plus, un deuxième doigt vient soutenir le premier et des frissons traversent à présent son bas-ventre à chaque pression de ses doigts sur son clitoris. Le plaisir l'envahit, doucement. Elle enfonce ses doigts dans son vagin, encore et encore jusqu'à ce que sa main vienne se poser contre ses lèvres. Elle sent son jus couler sur l'intérieur de ses cuisses, c'est bon, cela l'excite davantage et elle commence un va-et-vient régulier en faisant ressortir totalement ses doigts avant chaque nouvelle pénétration.

À l'extérieur toujours rien, aucune manifestation. Elle est pourtant certaine qu'elle se fait remarquer, alors pourquoi ce silence, cette absence de tout signe qui lui ferait comprendre qu'elle est observée ? L'action de ses doigts dans son sexe et le plaisir qu'ils lui procurent la portent jusqu'à l'extase finale. Elle a très envie d'avoir quelque chose de plus gros en elle, même l'arrivée en renfort d'un troisième doigt ne l'apaise pas. Elle se masturbe de plus en plus vite, enfonçant ses doigts tout au fond de sa caverne. Antoine et Julien se rendent compte de l'état dans lequel elle est à cet instant, ils l'encouragent.
- Oui, c'est ça, Camille, vas-y, continue, enfonce-toi bien les doigts tout au fond. Fais-toi un fist.
- Ah... j'aimerais tant avoir quelque chose de plus gros en moi, cela me ferait jouir plus fort.

- Attends, je crois que j'ai une petite bouteille d'eau dans le vide-poche. Ah non, désolé Camille, j'ai dû la jeter.
Camille est déçue, déçue par ce faux espoir, déçue parce que personne ne semble la remarquer. Son plaisir est grandissant, mais sa jouissance ne vient pas. Elle sent bien qu'elle est toute proche, mais un rien la retient. Soudain, elle croise brièvement le regard d'un chauffeur routier qui écarquille ses yeux à les faire sortir de leur orbite.
- Tony ! Tony ! Ralentis, j'ai enfin en admirateur !
Lentement, ils se laissent rejoindre par le camion. Camille voit le pare-chocs dépasser sa vitre. Elle lève les yeux. La cabine arrive enfin à sa hauteur. Le chauffeur la gratifie immédiatement d'un grand sourire auquel elle répond tout de suite. Le conducteur perd de son attention, il surveille la route, mais ne manque rien du spectacle qu'elle lui offre. Son regard sur son intimité et son indécente attitude la rendent folle.

Ses doigts s'agitent de plus belle, l'homme fait comprendre en passant sa main sur son torse qu'il souhaite la voir se caresser les seins. Sans hésiter une seconde, son autre main se pose sur sa poitrine, elle se caresse, se pince un téton puis l'autre. Son regard ne le quitte plus, elle ne peut pas le dévier. L'homme fait sortir sa langue de sa bouche et la fait trembler comme pour simuler un léchage qu'elle imagine chaud et savoureux. Tout son corps se soulève soudainement, elle se raidit, ses jambes se crispent, son ventre se gonfle :
- Ah, ça y est, oui, oui, oui...!
Sa main se colle contre sa fente emprisonnant ses doigts bien au fond de son sexe qui semble vouloir exploser. Le plaisir qu'elle ressent à cet instant est merveilleux, ses yeux se ferment, Elle reste ainsi, le corps tendu, avec aux premières loges son sexe envahi de ses doigts.

Quelques secondes se passent. Camille ouvre les yeux. Le chauffeur est toujours là. Il comprend ce qui vient de se passer et lui fait un clin d'œil accompagné d'un large sourire. Camille retire ses doigts de sa chatte, ils sont trempés, elle les porte à sa bouche et les suce l'un après l'autre tout en regardant son voyeur. Celui-ci lui fait signe du pouce levé que le spectacle lui a plu. Elle lui sourit une nouvelle fois. Antoine comprend lui aussi qu'elle a pris son pied et que la représentation est terminée.
- Allez ! Dis au revoir au monsieur.
La voiture accélère, Camille plaque sa main contre sa vitre et fait un petit signe d'adieu au camionneur qui, enfin, la salue de deux coups de klaxon. Camille se remet de ses émotions.
En voyant un panneau annonçant une aire de repos, Julien passe la tête entre les deux sièges avant :
- Je crois qu'on a mérité une petite pose, non ?
- OK.
Le dossier du siège légèrement incliné, les jambes nonchalamment ouvertes, Camille profite des deux kilomètres qui les séparent de l'aire de repos pour se laisser bercer par le ronronnement du moteur.

L'aire est déserte. Antoine et Julien semblent déçus. Rajustant sa robe, Camille rigole :
- Haha, je crois que vous n'allez pas pouvoir me livrer aux regards de voyeur ici...
Elle sort de la voiture pour se diriger vers la zone des toilettes. La démarche très sensuelle que prend la jeune fille attire aussitôt l'attention des deux garçons. Ils matent ! Ils matent ces jambes offertes, cette petite robe très prometteuse et cette allumeuse qui ondule du cul en digne représentante de la gent féminine. Pour le plaisir, Camille se penche, fait semblant de rajuster un lacet, histoire d'exhiber son petit cul et sa belle chatte dénudée aux deux garçons.

Au retour des toilettes, les yeux pétillants d'un regard coquin, Camille décide de combler le désert de cette aire de repos par un effeuillage total de sa petite robe. Camille se retrouve alors entièrement à poil, chaloupant vers la voiture, et s'exhibe aux seuls yeux de ses accompagnateurs qui regrettent tous les deux de ne pas avoir le réflexe de prendre des photos avec leur téléphone.

Avant de reprendre place dans la voiture elle enfile sa robe, adressant un sourire coquin aux garçons :
- Le spectacle est fini, on repart.
- C'était trop rapide, se plaint Julien.
- Vous avez eu le privilège de cet intégral, vous n'allez pas vous plaindre !
Ce petit arrêt l'ayant quelque peu allumée, Camille s'étend sur le siège, très chatte et chaude. Dès qu'il est monté, Julien de plaque contre le siège de Camille et passe une main de chaque côté pour saisir le décolleté. Il écarte largement celui-ci pour dégager les seins et les empoigne.

- Hey Julien ! Tu ne t'emmerdes pas !
- Désolé, mais de te voir comme ça, je en résiste pas...
Camille le laisse quand même faire appréciant pouvoir subir ces caresses après tous ces jeux de regards :
- Pourtant, Tony se contrôle bien lui...
- Il a une volonté plus forte que la mienne.

Antoine se remet au volant et voit Camille se faire peloter par Julien :
- Allons allons. Contrôlez-vous les jeunes ! Nous avons encore de la route.
Julien laisse Camille qui rajuste son décolleté.

Du fond de son siège, il peste :
- Dommage, je trouve bien ces petites pauses...
Antoine dit à Julien, derrière :
- Ce qu'il y a de bien sur l'autoroute, c'est que les aires de repos sont fréquentes.
Et effectivement, quinze kilomètres plus loin, une nouvelle pause s'impose. Camille sourit en voyant Antoine mettre son clignotant :
- Tony, on ne va jamais y arriver à ce rythme.

Antoine réagit quand même :
- Arrêts fréquents, ce sont les conseils de la sécurité routière.
Cette aire n'est pas aussi déserte que la précédente. Un poids-lourd et une seule voiture avec un petit monsieur tout seul et son chien. Antoine se gare à quelques places de lui, descends et va ouvrir la portière à Camille - galant, certes, mais surtout voyeur. Il a droit à une vue superbe sur deux cuisses qui s'ouvrent grand pour sortir, exhibant une chatte magnifique et surtout fière de l'intérêt qu'elle lui procure. Une poitrine à peine dissimulée par le décolleté déboutonné de la robe qui, visiblement, est un fervent militant de l'attentat à la pudeur.

Évidemment, Camille remarque le regard très marqué, même s'il se veut discret, de son complice.
- Tu va aller te faire mater, chère cousine ! Et pas que par Julien et moi...
Sorti de la voiture, le trio fait quelques pas, histoire de se dégourdir les jambes et, l'air de rien, ils se dirigent dans la direction de cet homme et son chien. Camille sait ce que les gars attendent d'elle. Évidemment, arrive ce qu'ils souhaitent : le labrador se dirige sur eux et les renifle pour, finalement, venir sentir avec insistance entre les cuisses de Camille.
- Philou! Viens ici tout d'suite ! Excusez-le, m'sieurs-dame... Philou ! Ça suffit ! Viens là !
Certes, il parle à son chien, mais c'est Camille qu'il regarde... qu'il regarde... qu'il mate, surtout ! Son chien est à la fois son complice mais aussi le nôtre.

Loin de se débarrasser de Philou, les garçons font en sorte de le garder près d'eux, et d'engager un semblant de conversation. Le petit monsieur est maintenant à deux mètres du groupe et ne sait plus trop où regarder, un peu gêné certes, mais extrêmement intéressé par cette apparition. L'air de rien, Camille se penche pour caresser l'animal et offre au monsieur une vue plongeante sur ce gouffre gigantesque où trône une poitrine chaude et accueillante.

Puis, toujours sous prétexte de caresser le labrador, elle s'accroupit, offrant aux spectateurs le panoramique d'une magnifique paire de cuisses tout autant sympathique.
Bien sûr, ils discutent tous de ce chien, avec des banalités lamentables, mais ils sont tous les quatre très occupés. Le petit monsieur et les garçons sont occuper à mater le plus avidement, le plus goulûment les deux nichons qui ballottent, s'exhibent, montrent leurs pointes tendues, jouent à cache-cache avec le décolleté de la robe qui, lui, s'évertue à vouloir les faire jaillir coûte que coûte vers ces voyeurs qui ne demandent que ça. Sans oublier ces deux cuisses glabres bien blanches qui s'entrouvrent, se ferment et jouent aussi à leur faire deviner une chatte qu'ils espèrent découvrir.

Camille, elle, prend un infini plaisir à changer de position, se penche un peu plus, un peu moins, tente de montrer plus un sein que l'autre, en espérant pouvoir exhiber les deux en même temps comme si de rien n'était, comme une ingénue... Elle n'oublie pas que ses cuisses passionnent aussi ses voyeurs, ses cuisses mais aussi sa chatte et son cul, alors elle les bascule à droite, à gauche, les écarte doucement, les referme pour les rouvrir. Elle joue à "Tu as vu ma chatte ?" avec une aisance fabuleuse. Le temps semble s'être arrêté pour le plaisir de tous. Après quelques minutes trop courtes, constatant que le soleil va bientôt se coucher, Camille se redresse et dit :
- Bon... C'est pas tout ça mais y'a encore de la route à faire !

Le charme semble être rompu, surtout dans le regard du petit monsieur. Camille fait un clin d'œil aux garçons et fait deux pas en direction de la voiture. Antoine et Julien sont comme deux spectateurs aux premières loges à la fin de la pièce. Camille, majestueuse, leur fait le bouquet final. Leur tournant le dos, elle s'arrête alors que Philou passe une dernière fois devant elle comme pour lui dire au revoir. Elle se penche alors pour une dernière caresse au chien, les jambes bien droites, légèrement écartées, pour exploser aux voyeurs, de dessous sa minirobe, sa chatte nue, chaude et luisante.

Puis elle se redresse, se tourne vers l'homme avec, dans les yeux une étincelle adorable :
- Au revoir et bonne route...
De retour dans la voiture, Camille est radieuse sur son siège :
- Alors, les gars ? J'ai été assez cochonne pour vous ? Vous en voulez encore, je suppose ?
Le ton de sa question semble exprimer très clairement : « Vous avez largement intérêt à dire OUI ! »
C'est alors que Julien remarque que deux autres poids lourds sont venus stationner près du premier. Les camionneurs sont installés à discuter et à fumer sur une table de pique-nique non loin derrière. Julien les désigne à Antoine qui comprend aussitôt son idée. Il démarre la voiture et dit à Camille :
- Fais semblant de dormir... mais n'en perd pas une miette : je pense que ça peut marcher.

Antoine va se stationner à seulement quelques mètres des trois camionneurs, sous un lampadaire, en prenant bien soin qu'il éclaire au mieux Camille. L'attente est très courte. Un des hommes se lève et s'approche de la voiture, se disant sans doute que les jeunes gens avaient besoin d'une information. Quand il se penche à la fenêtre de la portière de Camille, Antoine lui fait signe de ne pas faire de bruit. Le gars semble comprendre ses intentions et fait signe à ses deux collègues de s'approcher sans faire de bruit. Une fois les trois devant la portière de Camille, Julien ouvre sa fenêtre derrière et leur dit :
- Hors de question de toucher. Vous pouvez mater, vous branler, mais c'est tout, et surtout restez discrets, sinon on s'en va.
Les trois hommes hochent la tête pour montrer qu'ils ont parfaitement compris. Ils ont l'air respectueux. Antoine se penche délicatement sur Camille, comme si elle dormait vraiment.
- Tu as trois admirateurs... Tu vas te faire mater, régale-toi !
Puis, avec d'infinies précautions, il commence à lui déboutonner le haut de la robe, bouton après bouton, pour en écarter les pans avec la plus grande indécence, sur des seins aux mamelons tendus, offerts et qui réclament crûment ce viol visuel.

Les trois mateurs sortent alors leurs queues tendues et commencent à se branler avec gourmandise. Antoine murmure doucement au creux de son oreille :
- Tu les fais bander, cousine... T'as vu comment ils te matent les nichons ! Maintenant, on va leur montrer ta chatte et ils vont se vider leurs couilles rien que pour toi.
Par le petit entrebâillement de la vitre, Camille entend leur respiration, presque leur main sur leur queue violacée et durcie. Les mains d'Antoine descendent sur le bas de la robe, termine de retirer les boutons, pour finalement soulever un pan, faire apparaître une cuisse indécente et la dénuder complètement. L'autre pan de la robe se soulève, glisse tout doucement, dévoilant petit à petit une petite toison tondue et taillée, une chatte qu'ils espèrent chaude et humide.

Un des trois hommes ne tient pas davantage et jouit, le visage rouge, les yeux exorbités.
- T'es trop bandante, tu vois... Murmure Antoine à l'oreille de sa cousine.
Il voit que le compliment va droit au cœur de Camille, sa respiration devenant rauque. Il faut noter qu'elle fait d'énormes efforts pour ne pas bouger. L'autre cuisse s'expose, comme à la parade, cette femme leur fait admirer son intimité, violentée par ces regards lubriques. Le rythme de leurs mains accélère, leur souffle se fait plus profond. Quelques mots en sourdine transparaissent :
- ... salope... chatte... putain...
Doucement, Antoine leur montre deux doigts tendus de sa main gauche, les dirige sur cette moule offerte, et les fait pénétrer dans ce trou de convoitise. Un « Oooh... » contenu ponctue l'éjaculation du deuxième.

Se penchant sur sa cousine, il murmure :
- Et de deux... Tu es très efficace, chère cousine.
Antoine masturbe lentement Camille qui a beaucoup de mal à faire semblant de rester endormie.

Puis il sort ses deux doigts trempés de cyprine, les dirige sur la bouche de Camille et le lui enfonce entre les lèvres. Toujours en faisant mine de dormir, Camille suce le doigt couvert de sa mouille. Ce qui fait se contracter le troisième.
- Regarde...Murmure Antoine, il va se vider les couilles pour toi...

Le sperme gicle sur la vitre dans un soubresaut expiatoire. Quelques secondes de calme après cette tempête, et le voyeur lubrique passe un mouchoir sur ces traces blanchâtres dégoulinantes, pour faire disparaître ce viol consenti, puis retourne vers son camion, imité par ses deux collègues. Des phares indiquent l'arrivée d'un nouveau véhicule sur l'aire. Julien se retourne et dit :
- Merde, une patrouille de police...
Camille rajuste sa robe jusqu'au dernier bouton. Soudain, ils entendent la sirène qui se met en marche. Les trois voyageurs ont des frissons en s'imaginant emmenés au poste de police. Mais la voiture passe en trombe à leur hauteur et regagne l'autoroute. Camille pousse un profond soupir de soulagement :
- Je suis trop conne, j'ai cru que c'était pour nous !

Julien se remet au fond de son siège :
- Non, moi aussi j'ai cru que c'était pour nous...
- Il y a peut-être eu un accident sur la route.
- On y va ? demande Antoine.
- J'aimerai bien être rentrée chez moi avant 23h, si c'est possible.
- On est large. Mais tu as raison, il faut avancer.
Antoine redémarre et ils quittent l'aire d'autoroute pour poursuivre leur route. Après toutes ces émotions, Camille somnole. Au bout de dix minutes, ils voient un ralentissement. Antoine soupire :
- Et voilà l'accident qui a mobilisé les flics.
Un panneau lumineux signale effectivement un accrochage à cinq kilomètres. La circulation ralentit progressivement. La voiture est maintenant immobilisée. Un moment plus tard, Camille, toujours à moitié endormie, ouvre les yeux à demi et tourne la tête vers la droite. Un camion est arrêté à leur hauteur. Instinctivement, elle lève légèrement la tête et peut à présent voir le visage du chauffeur. Le chauffeur doit avoir une quarantaine d'années. Son visage, en lame de couteau, est animé par deux petits yeux enfoncés. Ses cheveux, châtains clairs et gominés, sont coiffés en arrière. Ses joues sont barrées par deux pattes grossièrement taillées. Ses lèvres sont minces et maintiennent par le mégot une cigarette. Camille remarque un tatouage sur l'avant-bras qui pend le long de la portière à la vitre baissée. Son regard, immobile, fixe Camille.
Camille sent l'excitation remonter. Tout en esquissant un léger sourire au chauffeur, elle croise et décroise les jambes de manière à les dégager au maximum du tissu de sa robe et les écarte légèrement.

L'homme reste impassible. De sa fenêtre, Julien observe le routier et voit bien que Camille cherche à attirer son attention :
- Camille, je crois que tu vas devoir lui en donner un peu plus si tu veux avoir une réaction.
La jeune fille déboutonne doucement sa robe de façon à ce que le chauffeur puisse admirer ses seins. Le visage de l'individu rougit progressivement et devient écarlate lorsque la jeune fille passe le bout de la langue sur ses dents. Voulant l'exciter encore plus, elle bombe légèrement le torse en faisant semblant de vouloir s'étirer et le gratifie d'un clin d'œil.

Antoine sourit :
- Tu reprends du service ?
- J'ai un client...
- Dommage, on va pouvoir avancer un peu mais pas lui...
La voiture repart lentement. Ayant toujours un regard provocateur vers le chauffeur qui reste en arrière, Camille remarque que ce dernier tient un micro de CB et semble parler. Camille se contente de rabattre les pans de sa robe sur ses seins. Malheureusement, ils ralentissent à nouveau. Comme ils se retrouvent à passer lentement au niveau d'une succession de quatre camions, Antoine dit à Camille :
- Ouvre complètement ta robe, tu vas avoir des clients. C'est le moment où jamais.
Camille enlève les derniers boutons et ouvre sa robe en écartant largement les jambes.

Lorsque la voiture arrive à hauteur de chaque cabine de camion, Antoine ralentit un peu et Camille s'applique à tourner son visage vers le chauffeur pour le fixer et voir sa réaction. Les conducteurs ont quelques secondes pour admirer le spectacle. Quelques-uns lui adressent un sourire, d'autres des gestes un peu plus osés. Un autre, un gros blond, manque même de s'étouffer à la vue du spectacle. Une fois les camions passés, Camille rabat les pans de sa robe sur sa nudité au moment de passer au niveau de l'accident où interviennent les policiers.

Dès que la zone de l'accident est passée, la circulation reprend et la voiture gagne rapidement de la vitesse. Camille pose sa tête contre la vitre et se remet à somnoler. Après une demi-heure de route, elle se réveille brusquement. Il fait pratiquement nuit et elle s'aperçoit que la voiture est sur une voie de décélération menant vers une aire de repos.
- Vous voulez remettre ça ?
- Non, je dois prendre de l'essence. En revanche, si ça te dit de faire un peu d'exhibition, on ne sera pas contre...
Camille entreprend de reboutonner sa robe :
- Je vais surtout aller me prendre un café pendant que tu vas à la station.
- Je t'accompagne. Un café me réveillera aussi, dit Julien.
Dans la lueur des phares, elle distingue les masses sombres des poids lourds alignés les uns à côté des autres. Ils sont imposants et reflètent la puissance. Antoine dépasse le parking réservé aux camions et se gare sur celui réservé aux voitures. Julien accompagne Camille et ils se dirigent vers la station-service. Camille a laissé quelques boutons ouverts au bas de sa robe, laissant les pans s'ouvrir à chaque pas ce qui découvre ses jambes et ses cuisses. Sa démarche assurée fait trembler sa poitrine au rythme de sa marche, ce qui n'a pas échappé à Julien.

A cette heure, la cafétéria est loin d'être déserte. Les camionneurs ont investi les lieux pour manger, prendre un café, regarder la chaîne sportive à la télé ou lire des journaux. Étonnamment, la vaste salle est silencieuse et n'est animée par aucune discussion. Seule la musique de fond de la station de radio de l'autoroute donne un peu de vie à ce lieu un peu surréaliste éclairé par des néons blafards. Camille y entre pourtant et va commander un café au bar. Presque tous les regards la suivent depuis son entrée, une douzaine de paires d'yeux fatigués mais dont l'intérêt est soudainement éveillé par la créature extra-terrestre qui vient d'apparaître. Julien et Antoine restent à l'extérieur et observent les réactions. La plupart de clients sont béats. Camille est accoudée au comptoir, attendant le retour du serveur momentanément absent. Sa robe déboutonnée en bas révèle ses cuisses très haut, à la limite de l'indécence et son décolleté n'est pas suffisamment sage pour ne pas révéler l'absence de soutien-gorge.

Le serveur revient et marque un temps d'arrêt en découvrant le magnifique décolleté de sa nouvelle cliente. Avec un large sourire, il l'accueille :
- Bonsoir Mademoiselle. Vous désirez ?
- Bonsoir, je vais prendre un café s'il vous plaît.
De l'extérieur, Antoine et Julien ont seulement deviné les mots du serveur mais ont parfaitement entendu ceux prononcés par Camille, sur un ton enjoué et chantant. La coquine veut se faire remarquer, comme si sa seule présence n'était pas suffisante. Camille jette un œil vers la porte et distingue Julien et Antoine qui restent derrière à la porte, cachés par l'obscurité de la nuit tombant. Elle leur fait un sourire, sans pouvoir voir elle-même si eux lui répondent.

Une fois le café servi, elle s'assied à une table libre, dos au mur. Elle s'assoit de façon à ce que sa robe découvre ses cuisses à la limite de la décence. À la table en face, un jeune homme de 25 ans environ l'observe à la dérobée. Elle croise ses jambes sensuellement. Le jeune homme n'en revient pas et dévore Camille des yeux. Il n'est d'ailleurs pas le seul. Beaucoup de sexes commencent à se dresser dans les pantalons. Antoine s'amuse de voir que quelques hommes se trémoussent sur leur siège, de toute évidence mal à l'aise avec leur érection. Camille a bien conscience du vif intérêt qu'elle suscite.

Camille change de position. Elle met ses deux pieds sur la barre transversale de la table, les genoux écartés. Cela donne une vue imprenable sur sa chatte légèrement entrouverte. Le jeune homme face à elle prend des couleurs et commence à danser sur son siège. Camille écarte ses cuisses un petit peu plus. Le jeune homme n'en peut plus. Il se lève et fonce aux toilettes. À sa tête, il est fort probable qu'il y va pour se masturber. Le serveur semble se douter de quelque chose. Il en profite pour venir faire un peu de nettoyage de la table fraîchement libérée. Il veut sans doute voir ce qui a pu donner une telle émotion à son client. Camille s'en rend compte mais ne resserre pas ses cuisses, bien au contraire.

Le serveur passe un temps infini à poser la vaisselle sur son plateau et à essuyer la table. Pour sa défense, il parvient malgré tout à le faire sans regarder ce qu'il fait une seule. Son regard est totalement aimanté par le spectacle que lui offre la jeune fille. Soulevant une jambe pour poser le talon sur la chaise, Camille offre une vue encore meilleure sur sa moule humide. Quand en plus, elle se glisse une main sous la cuisse pour se masturber lentement, le serveur n'en revient pas.

Le jeune client revient alors des toilettes, tout rouge, et ressort de la cafétéria sans regarder vers Camille. Quand le serveur regagne, à regret, son comptoir, Camille termine rapidement son café et se lève. Elle ne fait aucun effort pour rajuster sa robe qui, pourtant, retroussée assez haut à cause de ses manœuvres d'exhibition, révèle son sexe dénudé. S'il y avait pu avoir plus de silence dans la salle, cela aurait révélé le changement de situation. Mais ce n'est pas le cas et Julien et Antoine se fient surtout aux yeux écarquillés des clients pour voir que Camille vient de gagner leur attention.

Camille se rend alors compte qu'un des camionneurs a osé sortir son sexe et se masturbe maladroitement sous la table. Elle trouve cela un peu dégoûtant mais aussi amusant. Elle s'approche alors de lui et le gars interrompt sa masturbation. Arrivée à sa table, elle désigne le journal du jour :
- Excusez-moi, je peux regarder ce qu'ils annoncent comme météo pour demain ?
Mais le gars ne répond rien car Camille est déjà penchée pour consulter la dernière page du journal et offre à l'homme une magnifique vue dans son décolleté où ses seins pendent librement, avec une vue dégagée jusqu'à l'entrejambe.

Camille prend volontairement son temps. En observant les bras du gars, elle voit qu'il ne reprend pas sa masturbation. Pourtant, derrière elle, elle entend ce bruit si caractéristique de la main qui monte et descend en cadence sur une colonne de chaire. Elle comprend qu'un autre client se fait plaisir en admirant sa croupe. Sans doute que la robe est restée un peu retroussée sur ses hanches et révèle sa moule ?

L'homme derrière elle pousse rapidement un petit râle étouffé et Camille comprend qu'il est en train de jouir. Sous la table, le sperme se met à jaillir. Tétanisé par le plaisir, l'homme se cramponne de son autre main à la table en la faisant vibrer au point de faire tomber la petite cuillère de son café. Camille saisit cette occasion pour voir ce qui se passe. Elle se retourne et se penche pour ramasser la cuillère, elle en profite alors pour voir le sexe en train de finir de libérer l'épaisse semence qui s'écrase en flaque sous la table. Mais ce dont elle n'a pas vraiment conscience, c'est qu'elle offre à la vue de l'homme au journal sa croupe splendide.

C'est quand un liquide chaud et collant tombe sur sa cheville qu'elle comprend que l'homme au journal est en train d'éjaculer. Elle ramasse la cuillère et la repose sur la table en rigolant. Puis, elle ressort de la cafétéria et retrouve Antoine et Julien :
- Alors ça vous a plu ?
- Tu as de la chance de ne pas t'être faite violer !
- Non, ils sont civilisés. Seulement deux ont osé se branler et les dix autres le feront dès qu'ils auront regagné leur camion, en pensant à moi.
- Et tout de ton initiative, en plus, sans ordre de notre part.
- Oui, d'ailleurs les gars, j'en peux plus ! Vous avez intérêt à me sauter sinon je retourne là-dedans pour me faire prendre par tous les camionneurs !
Camille avance vers la voiture en déboutonnant sa robe.

Julien et Antoine la suive à la trace. Debout contre la voiture, surexcitée et avec la robe complètement ouverte, Camille veut donner libre cours à toute cette envie contenue, à tout ce stupre, voire même à toute cette bestialité sexuelle que Boris apprécie tant chez elle. Se cambrant pour présenter sa croupe aux garçons, elle leur sourit :
- Allez, qui se dévoue ?

Julien avance aussitôt en déboutonnant son pantalon :
- Moi !
Son sexe est déjà parfaitement bandé et cela fait sourire Camille de le voir :
- Mmmm, elle a l'air bien grosse...
- Faut dire que tu nous as bien chauffés.
- Aaaaaah Oui !
Julien pénètre Camille en levrette sans préliminaire.

Bien sûr, toutes les exhibitions de la jeune fille durant le voyage constituent d'excellents préliminaires. Dès qu'il commence à coulisser en elle, Camille ne peut réprimer ses gémissements de plaisir. Elle est si excitée qu'elle sait qu'elle va avoir un orgasme très rapidement. A côté, Antoine se masturbe. Camille est fascinée de voir sa main monter et descendre sur le membre tendu :
- Ooooh Tony ! Il me baise bien ton copain...

Julien, déjà beaucoup trop excité par tout ce qu'il avait vu dans la soirée, ne tient plus. Il aimerait que cela dure encore mais il est trop tard. Il sent son sexe se tendre et ses couilles se contracter. Il pousse un profond râle et se met à éjaculer. Camille sent les puissants jets de sperme en elle :
- Ooooh putain, Tony ! Ton copain me remplit de son foutre !
Julien s'immobilise et profite de ce délicieux moment. Soudain, il sent des contractions autour de son sexe. Camille est en train de jouir. Elle se met à crier :
- Oooh ouiiiii ! C'est si booooon...
Quand il sent qu'il a terminé, Julien se retire lentement et s'assoit derrière la jeune fille, épuisé. Il voit alors sa semence qui s'échappe de la fente béante de Camille.

Camille se retourne vers Antoine et rajuste sa robe :
- La vache ! C'était rapide mais quelle intensité !!!
Antoine s'approche alors, le sexe tendu à la main. Camille lui sourit :
- Mmm, ça t'a plu apparemment de voir ton copain fourrer ta cousine, non ?
- Carrément.
- Et comment tu veux jouir toi ?
- Si j'ai le choix, j'aimerai beaucoup sur tes seins...
Faisant glisser les bretelles de sa robe pour dégager sa poitrine, elle s'agenouille devant et le prend en bouche pour le sucer.

Quand elle sent qu'il est parfaitement tendu, elle interrompt sa fellation et continue à le masturber lentement, tout en se caressant les seins :
- Tu les aimes mes nichons ?
- Carrément.
- Dis donc, tu perds des neurones quand tu bandes ?
- Cerveau au ralenti...
Camille comprend qu'il est effectivement plus concentré sur son plaisir que sur la formulation de ses réponses.

Quand elle le voit fermer les yeux, elle sait qu'il est sur le point de jouir. Elle porte alors sa seconde main entre les cuisses de son cousin et se met à lui masser les testicules :
- Je crois qu'on y est mon cher cousin !
Antoine pour un râle profond et libérateur, comme s'il s'était retenu depuis plusieurs jours. Camille laisse alors le sexe libre se tendre et observe le sperme qui se met à jaillir éclaboussant généreusement son sein droit.

Antoine reprend alors son sexe en main et enserre la base. Camille le regarde, interloquée :
- Qu'est-ce que tu fous, Tony ? C'est déjà fini ?
- Non...
Souriant à sa cousine, il relâche alors la pression et un puissant jet de semence épaisse vient s'écraser entre les yeux de la jeune fille.

Camille est surprise :
- Oumpf ! La vache, je ne m'attendais pas à ça !
- Ah, c'était bon de jouir comme ça après toute cette soirée à être excité.
- Oui et tu as été généreux !
Camille regarde tout le sperme qu'elle a entre les seins

Camille se relève et se rend alors compte qu'il y a un troisième homme qui les observe. Aussitôt elle rajuste sa robe, remettant ses seins dans son décolleté malgré le sperme. Elle reconnait alors le premier jeune homme qu'elle a excité dans la cafétéria :
- Oh, c'est vous...
- Oui.
- Vous êtes là depuis longtemps ?
- Assez pour vous avoir vu jouir quand votre ami vous a prise en levrette.
- Vous avez aimé ?

- Oui, vous êtes une fille incroyable. Superbe et avec un sacré tempérament.
Pendant qu'elle discute avec le jeune homme, Antoine prend des mouchoirs en papier et essuie les traces de son forfait sur le buste et le visage de sa cousine. Observant le jeune camionneur, Camille se mord les lèvres et dit :
- J'ai une question que j'aimerai vous poser concernant ce qui s'est passé dans la cafétéria...
- Allez-y.
- Je me demandais si vous étiez parti dans les toilettes pour vous soulager ?
- Non... Je me suis passé de l'eau fraîche sur le visage pour me calmer. J'étais encore à me calmer dans mon camion quand je vous ai vu sortir...
Camille est surprise qu'il puisse faire preuve d'une telle volonté. S'approchant de lui, elle lui passe la main sur la bosse qui déforme son entrejambe et lui souffle à l'oreille :
- Mmmm, moi je ne vois qu'une seule solution pour vous calmer...
Elle s'agenouille alors à ses pieds et libère son érection. Relevant la tête pour regarder le jeune homme dans les yeux, elle engouffre lentement l'érection entre ses lèvres pour la sucer.

Le gars la laisse faire, trop heureux. Antoine et Julien, appuyés à la voiture, se moque de Camille :
- Et allez hop ! Encore un à son tableau de chasse !
- Tu parles, on y est carrément nous aussi dans ses trophées...
- Camille, tu nous dis quand tu sens qu'il va éjaculer, j'irai t'en chercher un autre à l'intérieur.
Camille rigole mais continue la fellation qu'elle dispense au garçon. Celui retient soudain son souffle. Camille le sent se tendre entre ses lèvres. Elle ouvre la bouche et laisse le membre turgescent en sortir. Une première giclée vient lui fouetter le menton.

Le sperme continue à sortir doucement et tombe sur le haut de la robe de Camille et un peu dans le décolleté. Ce ne sont pas des jets puissants, mais l'éjaculation dure plusieurs dizaines de secondes. Quand enfin cela s'arrête, Camille regarde le jeune homme étonnée :
- Tu ne te branles pas souvent, toi !
- Non, j'évite... Mais là, c'était trop bon. Vous êtes vraiment douée !
- J'imagine que c'est un compliment.
- C'était super en tout cas. Merci messieurs dame. Au revoir.
Le jeune camionneur se rajuste et regagne son camion et sifflant joyeusement. Du sperme plein la robe, Camille se relève.

Camille regarde Antoine et Julien qui la regardent en souriant bêtement :
- Je crois que je suis bonne pour retourner aux toilettes de la cafétéria pour me nettoyer tout ça...
- Comme tu veux, dit Antoine, mais si tu rentres comme ça là-bas, je te garantis qu'une bonne demi-douzaine de gars vont te suivre aux toilettes et qu'au lieu de te débarrasse de ce sperme tu vas en récolter des litres et des litres... C'est ce que tu veux ?
- Non peut-être pas...
Antoine fronce les sourcils :
- En tout cas, tu ne montes pas dans la voiture avec ta robe pleine de sperme.
- Oui, tu as raison, je vais me changer.
- Ah non, on est en retard, on n'a plus le temps. Tu la retire et ça ira bien.
- Pffff, tu n'es qu'un pervers Tony !
Camille déboutonne rapidement la robe sur toute la hauteur.

Une fois nue, elle s'installe sur le siège passager pendant que Julien monte derrière et Antoine au volant. Camille se rend compte qu'elle a encore un peu du sperme de Julien qui s'écoule de sa chatte. Elle hésite à le dire à Antoine mais finit par l'avouer, un peu gênée m:
- Antoine, je crois qu'il y a encore un peu du sperme de Julien qui coule...
- C'est celui d'Antoine, c'est différent. Je te conseille même d'écarter un peu les cuisses pour que ça sorte pendant la fin du voyage. Pas la peine que Boris te récupère encore fourrée de la semence d'autres mecs...
- J'aime ta délicatesse, Tony... Mais tu as raison.

Nue sur son siège, les cuisses écartées avec le sperme de Julien qui s'écoule doucement de son sexe, Camille finit par s'endormir, épuisée. Antoine s'amuse à allumer le plafonnier de manière à ce que les automobilistes qu'ils doublent où qui les doublent puissent apercevoir sa charmante cousine. Dans une demi-conscience, elle entend la conversation de Julien et Antoine :
- Alors, Julien ? Pas trop fatiguant ce weekend de déménagement ?
- Tu rigoles ? Je crois que j'ai jamais autant bandé, ni autant éjaculé.
Antoine regarde sa cousine qui dort nue à côté de lui :
- Tu m'étonnes...

Après une dernière heure de route, ils arrivent enfin dans la rue de Camille. Julien se penche entre les sièges :
- Bon, il faut peut-être la réveiller ?
- Oui. Et lui dire au revoir. C'est fini...
- Je vais faire les deux en même temps.
Julien tend un bras et malaxe doucement le sein gauche de Camille en faisant tourner le mamelon tendu dans la paume de sa main. Camille gémit en se réveillant doucement.

- Mmmm ? Ah, on est arrivé ?
Julien arrête de la peloter :
- Oui, à l'instant.
Camille s'étire :
- Bon, je peux remettre ma robe ?
Julien sort de la voiture et va chercher les sacs de Camille dans le coffre. Antoine dit :
- Ta robe empeste le sperme. La porte est juste là, on va t'accompagner mais je suis certain que Boris sera heureux de te retrouver dans le plus simple appareil...
Camille est trop crevée pour négocier. La rue étant absolument déserte, elle sort nue de la voiture et va jusqu'à la porte, suivie d'Antoine qui tient sa robe et de Julien qui porte son sac. Une fois la porte poussée, elle voit que la lumière du salon est allumée et elle aperçoit les pieds de Boris dépasser du canapé. Antoine fait signe de ne pas faire de bruit. Antoine dépose la robe par terre à côté du sac. Camille leur fait la bise et les laisses repartir, discrètement, et referme la porte. Puis elle s'avance vers le canapé pour découvrir son mari endormi profondément, probablement épuisé par sa journée de rafting.
- Coucou chéri. Je suis rentrée.

Cet épisode est très librement inspiré d'une partie de l'histoire de Alex (2007)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb121/reve12108.html],
d'une partie du récit de Oeilsoft (2007)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb116/reve11638.html]
du début de l'histoire de BCBG (2004)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb071/reve07151.html]
d'un paragraphe de l'histoire de Kiss31 (2005)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb090/reve09039.html]