Basket-Ball

Basket-Ball 1 - L'entraînement (publié par Lisa le 15-12-2020)
Basket-Ball 2 - Le match (publié par Lisa le 02-01-2021)


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Pauline n'a jamais trop de mal à convaincre Cédric de l'accompagner faire des achats de vêtements. Le jeune homme trouve à chaque fois très excitant de voir sa fiancée essayer des robes sexy ou des dessous coquins. Cette fois-ci, grâce à la canicule, Cédric a trouvé un argument de premier choix pour convaincre Pauline de ne pas mettre de sous-vêtements :
- Allons, tu seras bien plus à l'aise.
- N'insiste pas. Pour faire des emplettes, je mets toujours une culotte et un soutif et la météo ne me fera pas changer mes habitudes.



Cédric n'insiste pas davantage pour l'heure et il suit Pauline jusqu'à la galerie commerçante. Une fois dans le magasin de vêtements, Pauline choisit une petite robe très légère, boutonnée devant, permettant un décolleté variable selon l'humeur, ce qui plaît beaucoup à Cédric. Alors que Cédric s'apprête à la suivre dans la cabine comme il en a l'habitude, Pauline l'arrête :
- Non, pas cette fois-ci...
- Mais pourquoi ? Il y a la place.
- Ce n'est pas une question de place. Cette fois, je veux que ce soit une surprise.
- Une surprise ?
Pauline tire le rideau, ne voulant pas négocier davantage. Très frustré, Cédric reste devant à patienter. Alors qu'un couple attend qu'une cabine se libère, juste à côté, s'impatientant, Cédric rouvre le rideau d'un coup sec pour demander à Pauline où elle en est :
- T'as fini ?
- Hey !



Mais Pauline est en sous-vêtements et exposée aux autres personnes qui attendent. Elle tire alors Cédric à l'intérieur et referme le rideau. En chuchotant, elle le gronde :
- Dis donc, tu pouvais attendre !
- Tu voulais une surprise. Non ?
- Te faire une surprise. Mais je ne sais pas pourquoi je te le dis puisque tu le savais parfaitement. Du coup, le gars et sa femme m'ont vue en soutif.
- Pas de quoi fouetter un chat. Tu es jolie et cet ensemble te va très bien. Même si moi je préfère sans...
Cédric profite que Pauline est occupée à enfiler la nouvelle robe pour lui dégrafer le soutien-gorge et lui libérer la poitrine.
- Ne fais pas l'idiot. Tu m'as exhibée volontairement.



- Oui, c'était un peu l'idée.
Pauline soupire, reconnaissant bien là la perversion de son fiancé :
- Dans un magasin, c'est pas des plus glamour...
- Moi, je trouve ça excitant.
Pauline pose la paume de sa main sur son entrejambe et découvre qu'il est effectivement déjà bien en érection :
- Mmmm, mais ça m'intéresse moi !



Elle s'agenouille et commence à lui ouvrir sa braguette. Cédric n'en revient pas et, toujours en chuchotant, il lui demande :
- Mais... Qu'est-ce que tu fais ?
Pauline redresse la tête et lui fait un clin d'œil :
- Chut, profite donc.
- Mais sous le rideau... les gens vont savoir !
- Et alors ? C'est pas toi que ça excite l'exhibition ?
Cédric ne trouve rien à répondre à cela. Il laisse sa fiancée extraire son sexe gonflé et se pencher pour le prendre en bouche. Il ferme les yeux et se laisse aller au plaisir de cette magnifique première fellation presque en public. La langue de Pauline s'enroule autour de son gland.



Ses lèvres montent et descendent lentement autour de la hampe de chair en l'enserrant légèrement. En moins de deux minutes, elle amène son fiancé au bord de la jouissance. Cédric pose ses deux mains dans les fins cheveux de la jeune fille et se mord les lèvres pour ne pas laisser exprimer son plaisir par le moindre son. Il sent sa sève monter dans sa verge et s'écouler lentement dans la bouche de Pauline. Cette éjaculation lui donne un sentiment de plénitude incomparable.



Il est encore sous le coup de son immense plaisir quand il se rend compte que Pauline est debout devant lui et lui referme son pantalon. Il sourit, abasourdi :
- Tu... tu as tout avalé ?
- Bah oui, on ne va quand même pas laisser de traces.
Sous le regard incrédule de Cédric, elle retire son soutien-gorge et passe la petite robe.



Se regardant dans le miroir :
- Qu'est-ce que tu en penses ?
- Heu... pas sûr d'être en mesure d'avoir un jugement objectif après ce que tu viens de faire... Mais j'ai l'impression qu'elle te va super bien.
- Super, je la prends.



Pauline retire la robe et renfile celle qu'elle portait en entrant. Elle glisse son soutien-gorge dans son sac et fait signe à Cédric de sortir. À l'extérieur de la cabine, ce ne sont pas les mêmes personnes qui attendaient quand Cédric avait ouvert le rideau, mais une jeune femme qui fait un clin d'œil à Pauline quand celle-ci passe devant elle.
Une fois dans la rue, Cédric dit :
- Elle est chouette cette petite robe. Tu ne veux pas la passer tout de suite ?
- Là, en public ? Tu rêves.
- Attends, regarde par là. Je crois que j'ai une idée.
Cédric guide sa fiancée vers une petite pièce en retrait dans la galerie commerçante où se trouve deux cabines de photomaton.
- Voici l'endroit idéal pour te changer. En plus, le rideau va jusqu'en bas.
Cédric commence à faire glisser les bretelles de la petite robe mais Pauline le repousse.



- Ok. Mais là on ne tient pas à deux et hors de question que tu t'amuses à tirer le rideau quand il y a du monde.
- Promis.
Cédric la laisse entrer dans la première cabine et attend dans la galerie. Quand il voit une petite fille passer devant lui en courant et se cacher dans le second photomaton en tirant le rideau, une idée lui vient. Comme il s'y attend, le papa apparaît juste après. Il lui fait signe :
- Je crois que votre fille s'est cachée dans le photomaton.
- Ah merci. Quelle petite peste !
Sans attendre, le papa tire d'un coup sec le rideau de la première cabine mais au lieu de se trouver face à sa fille, il se trouve nez à nez avec une jeune fille à la magnifique poitrine nue en train de changer de robe.
- Hey !



- Ho ! Excusez-moi mademoiselle... Je... je cherche ma fille qui...
Le second rideau s'entrouvre alors et laisse apparaître un jeune visage espiègle.
- Ha ! Te voilà, fripouille ! À cause de toi, j'ai dérangé la dame.
Rouge comme une tomate, le papa attrape sa fille par la main et l'entraîne dans la galerie. Il porte à Cédric un regard déconcerté, se demandant quand même s'il n'a pas été l'instrument d'un jeu entre ce jeune homme et la jeune fille de la cabine. Quand Pauline ressort, superbe dans sa nouvelle petite robe, elle dit :
- Tu as entendu ça ? La dame ? J'ai l'air d'avoir son âge à ce type ?



- Oh non, ma chérie. Mais je crois que c'était surtout pour faire comprendre à sa fille qu'elle avait fait une bêtise.
- Tu parles. Je te vois bien complice dans cette histoire. Je me trompe ?
- Pas totalement...
- Je m'en doutais. Espèce de pervers. Pour ta peine, tu vas m'offrir une glace au salon de thé.



- Bonne idée. On ira en haut, en terrasse. Il y fera plus frais.

Quand ils arrivent au salon de thé,
Pauline et Cédric pensent déjà à la glace qu'ils vont chacun commander. En ce temps de canicule, le choix d'une glace a été une évidence. Malheureusement, il n'y a plus de place là où ils désiraient s'installer : la terrasse ombragée sur le toit. Le serveur les invite donc à patienter dans la salle climatisée du bas, le temps qu'une place se libère en haut.
- Vous voulez commander de suite pour patienter ?
Pauline sourit au serveur et répond :
- Non merci, on va attendre d'être installés en terrasse pour en profiter.



- Très bien. Je viendrai vous prévenir dès qu'une table se libèrera. Je vous apporte une carafe d'eau en attendant.
Le serveur revient quelques instants plus tard déposer deux verres et la carafe d'eau fraîche, puis repart. Pauline soupire :
- Ouf. Même avec la clim', on serait mort de déshydratation sans cette carafe d'eau providentielle.



Cédric pose la main sur la cuisse de Pauline et le remonte lentement jusqu'à atteindre du bout des doigts le tissu de la culotte :
- Ma chérie, je t'ai déjà dit tout à l'heure que tu étais habillée avec trop d'épaisseurs.
- N'exagère pas. J'ai déjà accepté de ne pas mettre de soutif sous la robe mais la culotte en public, faut pas abuser. C'est un privilège seulement pour notre voisin Pierre.



- Alors ne te plains pas de la chaleur...
- Pffff. Tu es impossible...
Cédric semble avoir convaincu Pauline et, discrètement, elle opère le retrait de sa petite culotte.



C'est en la mettant dans son sac à main qu'elle se rend compte qu'un jeune homme noir, installé avec quelques amis, l'observe attentivement.
- Mince, je crois que le gars là-bas m'a vue... il me dévisage avec insistance.
Cédric se retourne discrètement pour observer :
- Mmmm.... Un noir s'intéresse à toi. Ça doit t'exciter, sachant ce qu'on dit d'eux...
- Et que dit-on d'eux ?



- Voyons ne fais pas l'innocente. Les noirs sont réputés pour en avoir une plus grosse et plus longue que la moyenne.
- C'est une légende.
- Tu as pratiqué pour affirmer cela ?
- Non. Mais ça reste à prouver...
- L'occasion se trouve peut-être sous tes yeux, ma chérie.
- Idiot.



Pauline jette malgré tout un œil au garçon à la peau d'ébène, plutôt bel homme, qui la dévisage encore, tout en continuant à discuter avec ses amis. Le serveur vient alors les inviter à monter à la terrasse :
- Je prends vos commandes et je vous invite à regagner la terrasse où votre table vous attend.
- Parfait, une Belle Hélène pour moi et une Iceberg pour mon mari.
Cédric lui fait un clin d'œil et, se levant, l'attire contre lui et lui murmure à l'oreille :
- Je ne savais pas que nous étions déjà unis par les liens du mariage...



- Idiot.
Après avoir pris en note les glaces désirées par le jeune couple, le serveur les invite à le suivre dans l'escalier. Cédric laisse passer Pauline devant lui et en profite pour soulever le bas de sa petite robe et lui caresser les fesses nues. Pauline essaye d'écarter sa main :
- Arrête, on va nous voir...



- Et qui s'en plaindra ?
Cédric ne s'arrête pas pour autant et tente même d'effleurer son abricot. Pauline se tortille pour échapper aux mains baladeuses mais ne se rend pas compte que, en se dandinant ainsi, elle rend le spectacle encore plus excitant pour le voyeur. Pauline prend un peu d'avance pour lui échapper :
- Certainement pas toi, en tout cas !



Cédric se délecte de cette petite migration et ne s'arrête que lorsqu'ils arrivent à la terrasse. Une fois qu'ils sont installés à leur table, Cédric l'interroge :
- Alors ? Excitant d'être sans culotte ?
- Pas si fort, idiot. Oui... C'est excitant.
- Montre-moi.
Cédric se penche sous la table et regarde sa fiancée qui écarte les cuisses pour lui révéler pendant deux secondes son trésor humide.



- Et que je te caresse les fesses dans les escaliers ?
- Oui... mais tu ne m'as pas caressé que les fesses.
- Et que le gars qui montait derrière moi ait pu tout voir lui aussi ?
- Non !? Tu déconnes ?
Par réflexe de pudeur, elle serre les cuisses et tire sur sa robe pour couvrir pudiquement ses cuisses. Par ce geste, un mamelon se retrouve à la lisière du décolleté, prêt à s'échapper. Cédric se garde bien de prévenir sa fiancée et continue la conversation en évitant de trop regarder le sein qui tente une sortie.



- Oui, rassure-toi. Mais quand bien même, l'exhibition ne t'effrayait pas pendant le Tour de France...
- C'était pas exactement pareil.
- Je ne trouve pas... Mais, dis-moi, ça t'aurait excité qu'un inconnu puisse finalement profiter aussi de ses fesses nue dans l'escalier, non ?
- Oui, mais pour regarder, pas pour toucher comme tu l'as fait.
- Évidemment. Et est-ce que ça t'excite aussi de savoir qu'un noir t'a peut-être vue retirer ta culotte ?
- Oui...
- Ça te fait mouiller qu'on parle de ça ici ?
- Oui... je dégouline...
- Je vais venir m'asseoir à côté de toi pour...
Ils sont interrompus par le serveur qui apporte les glaces :
- Et voici votre commande. Je... je vous souhaite bon appétit.
Cédric note le trouble du serveur. Sans doute celui-ci a-t-il remarqué le mamelon qui s'échappe peu à peu du décolleté de la petite robe.



Pauline ne remarque rien et se contente de sourire poliment au serveur :
- Merci.
Alors que le serveur s'éloigne, elle se penche vers Cédric :
- Je crois que je lui ai tapé dans l'œil à lui aussi, non ? C'est ma petite robe ?
- Surtout ton décolleté... tu as un sein qui se fait la malle...
- Oh merde...
Pauline rajuste son décolleté.



Cédric voit le noir de la salle du bas qui s'approche de leur table et s'adresse à sa fiancée.
- Pauline ?
- Oui ?
Après un instant de surprise à observer le jeune homme athlétique, Pauline semble le reconnaître soudain :
- Edgar !



- Ah ! Ça fait plaisir que tu me reconnaisses. Ça fait un bail.
Pauline semble émue et se lève pour tendre la main au jeune noir.
- Cédric, je te présente Edgar.
Cédric voit que la petite robe est relevée assez haut. Assez haut pour que lui, assis, puisse voir les lèvres de la moule de sa fiancée, mais sans doute pas assez pour que Edgar, debout, puisse voir quoique ce soit.



Voyant la mine amusée de Cédric, Pauline pense qu'il attend d'en savoir davantage. Elle continue donc les présentations :
- C'était un bon camarade de classe au lycée. Il m'a beaucoup soutenue quand Karl m'a larguée... Et qu'est-ce que tu deviens, Edgar ?
- J'ai fait sport-étude après le bac et je suis maintenant capitaine de l'équipe de basket semi-pro.
- Ah oui, c'est vrai que tu étais super doué pour le basket. Je me rappelle que je disais pour rire que tu étais doué pour mettre la main au panier.



Cédric rigole et demande :
- Ah, vous êtes sortis ensemble tous les deux ?
Edgar se met sur la défensive :
- Non, pas du tout. Juste bons amis. J'étais surtout son confident, en fait.
Pauline se rassoit et complète :
- Oui, c'était précieux pour moi à cette période-là car, sans lui, j'aurais sûrement foiré mon bac.



Cédric hoche la tête, l'air convaincu :
- Ok. Juste bons amis.
Il intercepte pourtant plusieurs regards très marqués du jeune noir vers le charmant décolleté de Pauline où les seins sont indéniablement libres de tout soutien-gorge.



Edgar, un peu mal à l'aise, ramène le sujet vers le basket :
- On joue demain soir. Venez nous voir si ça vous dit.
Cédric répond aussitôt :
- On n'était habituellement pas très sport, mais on commence à s'y intéresser, donc ce sera avec plaisir.
- C'est au grand stade à 20h, je vous ferai rentrer gratis. Tiens, voici mon numéro de portable. Vous m'appelez vers 19h45 et je vous ferai rentrer. Je ne vais pas vous déranger davantage.
Cédric voit le trouble de Pauline face à son ancien confident au charisme indéniable.



Il propose à Edgar de s'asseoir avec eux :
- Oh mais tu ne nous déranges pas du tout. Je suis certain que Pauline est ravie de te revoir et d'évoquer les souvenirs du lycée.
- Oui... ça fait plaisir de te revoir, Edgar. Mais tu étais avec des amis en bas, non ?
- Oui, mais ils sont partis, c'est pourquoi je me suis dit qu'il fallait que je sache si c'était bien toi ou non...
- C'est pour ça que tu me dévisageais tout ce temps ?
Edgar s'assoit finalement à côté de Pauline.
- Oui. J'ai repensé à toi, la fille fragile et timide et je me suis senti con car tu m'avais écrit après le bac et je n'ai jamais pris le temps de te répondre.
Cédric sourit :
- Fragile et timide ? Elle a bien changé...
Edgar semble hésiter puis dit :
- Oui, j'avoue avoir vu Pauline se mettre à l'aise dans la salle du bas tout à l'heure...
Pauline devient alors rouge de honte et Cédric vole à son secours :
- Oui, c'est ma faute. Je lui impose mes petits fantasmes pervers...



- Je ne pense pas que tu sois si pervers que ça... Ça reste un fantasme assez commun chez les mecs, finalement.
Pauline semble ne pas être très à l'aise sur le terrain où les entraîne cette conversation, surtout que la dernière remarque d'Edgar laisse entendre qu'il partage le fantasme de Cédric. Elle tente de rebondir sur les souvenirs de lycée :
- Et sinon, en Terminal, tu sortais avec Nadia, non ? Tu es toujours avec elle ?
- Heu... non, elle m'a quitté. Je l'ai trompée avec Cynthia...
- Quoi !? Mais... cette salope était avec Karl, non !?



Cédric écarquille les yeux en entendant prononcer le nom de l'ex de Pauline. Edgar poursuit :
- Oui... mais elle n'a jamais été très fidèle... Tout ça, c'était du sexe, rien de plus...
Avec un petit sourire, Cédric intervient et fait un clin d'œil au noir :
- Heureusement, ton soutien à Pauline était sincère, toi Edgar, n'est-ce pas ?
Le silence qui s'ensuit devient vite gênant, au point que Pauline ouvre de grands yeux et interroge Edgar :
- Edgar ! Réponds. Ton réconfort était désintéressé. Dis-lui.



Edgar semble vraiment gêné :
- Écoute, Pauline, je ne suis pas vraiment fier de moi. Tu étais déjà une fille superbe à l'époque et Karl m'avait mis au défi de sortir avec toi... Et j'avoue que ça ne m'aurait pas déplu. Mais ton chagrin d'amour était trop fort pour que tu ressentes mon désir.
- Quelle conne. Moi qui croyait que tu étais devenu mon meilleur ami, mon confident, alors que tu ne voulais que me sauter !



- Je te le dis, je n'en suis pas fier...
Cédric intervient à nouveau :
- Peut-être qu'une aventure sans lendemain aurait été une bonne chose pour oublier Karl ? En plus, Pauline, tu m'as parlé de ce fantasme que tu avais de faire l'amour avec un homme de couleur...
Puis, laissant Pauline abasourdie par son intervention, il se lève et ajoute :
- Excuse-moi, je dois aller aux toilettes.
- Putain ! C'est un fantasme et je ne te l'ai pas confié pour que tu le déballes à n'importe qui !



Mais Cédric est déjà loin. Le silence était devenu encore plus gênant. Pauline tente de détourner la conversation :
- Bon, en tout cas, on viendra te voir jouer demain soir avec plaisir, Edgar.
Pauline se demande pourquoi Cédric lui a fait un coup pareil. Ce n'est pas dans ses habitudes. Elle se dit qu'il a une idée derrière la tête et commence à entrevoir son plan. Edgar l'interrompt dans ses réflexions :
- Ok. Merci Pauline, on se voit demain soir alors.
Au moment où Edgar se lève, elle lui pose la main sur l'avant-bras et l'arrête :
- Attends Edgar. Je ne veux pas que tu partes en pensant que je suis fâchée. J'étais bien contente que tu sois là pour m'épauler après ma rupture. Alors, même si c'était avec des arrières pensées, je ne t'en veux pas. D'abord parce que tu n'es pas pire que n'importe quel mec. Pas un, même Cédric, n'est esclave de sa bite et tu ne fais pas exception. Et puis, je ne vais pas te jeter la pierre puisque moi aussi j'ai fantasmé sur toi...



Edgar se rassoit un peu troublé par cet aveu. Pauline pose sa main sur sa cuisse, effleurant du bout des doigts son entrejambe. Se penchant vers lui, elle murmure :
- Qu'est ce tu as pensé de moi quand tu m'as vue retirer ma culotte tout à l'heure ?
- Que tu étais toujours aussi désirable, voire même plus.
- Ça t'a excité ?



- Oui...
- C'est vrai ce qu'on dit sur les noirs ?
- Ça me semble un peu délicat de te montrer ça ici...
- Moi ça m'excite...



Pauline prend sa main et la pose sur sa cuisse nue, juste avant la lisière de la petite robe. Elle le regarde dans les yeux et, comme il remonte lentement sa main sous la robe, elle écarte lentement les cuisses. Un frémissement la parcourt quand les doigts d'Edgar atteignent les lèvres de sa moule. La respiration de la jeune fille se fait plus courte et sa poitrine se soulève. Edgar voit avec plaisir les mamelons se dresser et tendre le fin tissu de la robe à chaque inspiration de Pauline. Son majeur s'immisce dans la fente déjà humide et son index remonte jusqu'au clitoris.



La jeune fille se sent partir. La salle et tous les autres clients n'existent plus à ses yeux. Les doigts de son amant explorent son intimité avec douceur. Elle feule :
- Oh Edgar... Continue !
Encouragé, le jeune athlète noir ose lui enfourner un second doigt, profitant de la cyprine abondante.



L'orgasme pourrait survenir rapidement. Mais Edgar retire sa main, laissant la jeune fille dans un état d'excitation avancé. Pauline comprend que ce qui a arrêté Edgar n'est autre que le retour de Cédric. Edgar se lève et s'adresse à Cédric, un peu gêné, laissant la pauvre Pauline dans un état second. Cédric la découvre haletante, avec une bretelle de la robe qui a glissé de son épaule, dévoilant presqu'un sein.



- On se voit demain soir, ok ? Vous m'appelez un peu avant 20h et je viendrai vous faire entrer. À demain.
Une fois Edgar parti, Cédric s'assoit et demande à Pauline :
- Alors ?
- Tu es revenu trop tôt. Il avait ses doigts dans ma moule et il n'était pas loin de me donner un orgasme.



- Mince, désolé... La prochaine fois ?
- Parce que tu crois qu'un match de basket sera aussi propice que les conditions que nous avions ici ?
- Sait-on jamais...

Une fois dans la voiture, Pauline semble réfléchir :
- En fait, je vois à peu près comment se joue un match de basket mais j'avoue ne pas connaître du tout les règles...
- Attends, j'ai une idée. On va passer acheter un ballon et un panier à fixer. Comme ça je pourrais t'expliquer.
- Bonne idée.
Quand ils arrivent au magasin de sport, Pauline note que Cédric se gare sur une des huit places libres réservées aux handicapés :
- Non mais attends, tu ne vas pas te garer là !?
- D'abord, tu noteras qu'il reste sept places. De plus, je vais aller acheter ça seul et tu vas rester dans la voiture. Avec un peu de chance, cela te donnera l'occasion de tester différentes configurations du décolleté de cette nouvelle petite robe. Selon la personne qui vient te faire remarquer le mauvais stationnement, tu boutonnes ou tu déboutonnes selon ton humeur...
Cédric lui fait un clin d'œil et ouvre la vitre côté passager depuis la commande au tableau de bord. Pauline rigole :
- Je suis sidérée de voir l'imagination dont tu peux faire preuve quand il s'agit d'exhibition.
- Tu es ma muse. À tout de suite.
Cédric laisse sa fiancée et entre dans le magasin. Pauline regarde son décolleté et s'amuse à faire sauter deux boutons, faisant sans peine apparaître le sillon de sa jolie poitrine. Deux boutons de plus et elle voit qu'elle est au-delà de la décence : le décolleté s'ouvre jusqu'au bas des seins et montre ostensiblement qu'aucun soutien-gorge ne vient entraver les mouvements des globes mammaires.



En voyant s'approcher une dame d'âge mûr, elle referme trois boutons du décolleté.
- Mademoiselle, juste pour vous prévenir que les gendarmes passent régulièrement ici et qu'ils verbalisent les contrevenants qui stationnent illégitimement sur ces places. Ça ne me regarde pas, mais si j'étais vous, je mettrai le macaron handicap bien en évidence sur le pare-brise.
- B... bien, merci beaucoup pour ce conseil...
Pauline n'en revient pas. Elle n'a même pas pu en placer une. Alors qu'elle regarde la dame se diriger vers le magasin, elle aperçoit effectivement une voiture de gendarmerie s'approcher et venir se stationner juste derrière elle. Elle n'en mène pas large mais tente sa chance : elle ouvre trois boutons à son décolleté et retire aussi trois boutons au bas de la petite robe.



Le gendarme qui ne conduit pas sort de la voiture et vient à sa fenêtre.
- Excusez-moi mademoiselle, vous savez que vous...
Le gendarme, un homme d'une quarantaine d'années, marque un temps d'arrêt. Pauline sait que ses yeux viennent de découvrir son décolleté, qu'il voit une bonne partie des seins et qu'il sait qu'elle ne porte pas de soutien-gorge.



- ... que vous stationnez actuellement sur...
Nouvelle interruption. Pauline note que son ton est moins direct. Les yeux de l'homme sont tombés plus bas, sur les cuisses nues que la robe déboutonnée révèle à la limite de la décence. Pauline attend la suite :
- Oui ?



- Ce sont des places normalement réservées aux handicapés comme l'indique explicitement la signalisation et le marquage au sol.
- Je sais monsieur l'agent. Je suis désolée. On s'est fâchés, mon copain et moi, et il était tellement furieux que je pense qu'il ne s'est pas rendu compte... Il ne devrait pas être long.
- Il faut déplacer le véhicule immédiatement ou je vais devoir verbaliser.
Pauline prend une profonde inspiration pour faire gonfler sa poitrine dans le décolleté et écarte assez les jambes pour que l'agent puisse apercevoir son entrecuisse :
- C'est que je ne peux pas. C'est mon copain qui a les clés... S'il vous plaît, monsieur l'agent, ma situation est déjà tellement compliquée...



Dans le rétroviseur, Pauline voit le gendarme resté au volant de la voiture qui semble s'impatienter et vient se garer à côté.
Le gendarme avec lequel elle discute se penche un peu plus pour mieux voir le spectacle qu'elle lui offre et, sur le ton de la confidence, lui dit :
- Vous l'avez trompé, c'est ça ?
Pauline sent que c'est ce qu'il veut entendre :
- Oui... Avec son frère... Je n'en suis pas vraiment fière...
- C'est parfois difficile de résister...
Son collègue sort de la voiture :
- Besoin d'aide ?
Le gendarme se redresse et va le rejoindre de l'autre côté de la voiture. Pauline tend l'oreille et écoute leurs échanges.
- La demoiselle est charmante et ingénue. Sa petite robe dévoile ses charmes assez généreusement et la demoiselle semble avoir oublié de mettre des sous-vêtements ce matin... Va te rincer l'œil avant que son copain ne revienne. On se rince l'œil et on les laissera s'en tirer vu qu'elle n'est pas trop farouche.
Le second gendarme vient se présenter à la fenêtre et en profite pour la détailler des pieds à la tête, en s'attardant plus particulièrement sur le haut des cuisses et sur le décolleté :
- Bonjour mademoiselle. Je n'ai pas l'impression que vous soyez handicapée.
- Non, j'ai expliqué ma situation à votre collègue et...
- Peu importe. Je note aussi un défaut de macaron vous autorisant à stationner ici. D'ailleurs, je dois prendre une photo de votre tableau de bord montrant l'absence du macaron... pour le dossier.
- Ah ? Et vous voulez que je sorte ?
- Non, ça ira. Vous pouvez rester.
Le gendarme utilise son téléphone portable personnel et Pauline note qu'il cadre bien plus large que le tableau de bord, sans doute jusqu'à son décolleté et ses cuisses.



En prenant un air innocent, elle demande :
- Mais, pour votre dossier, vous n'allez pas me demander de sortir afin de me photographier pour prouver que je n'ai pas de handicap ?
- Hein ? Ah bah si. Vous avez raison.
Le gendarme lui ouvre la portière pour la laisser sortir. Pauline fait exprès d'écarter largement les cuisses pour qu'il puisse largement se rincer l'œil sur sa moule dénudée.



Lentement, elle se penche pour sortir et offre une vue plongeant complète sur ses seins libres dans son décolleté. Pauline prend son temps pour se relever et s'appuyer à la voiture prenant une pose particulièrement sensuelle :
- Je ne sais pas comment il faut que je me mette exactement. Comme ça ? Est-ce que ça va ?
Le gendarme en a la bouche sèche et met quelques secondes à pointer son téléphone pendant que la jeune fille garde la pose.



- Oui, c'est parfait. Merci de votre coopération mademoiselle. Puisque vous n'avez pas fait entrave à la justice, nous allons vous laisser vous en tirer avec un simple avertissement.
- Oh, merci monsieur l'agent. Promis, dès que mon copain revient, on libère la place.
Les deux gendarmes remontent dans leur voiture et Pauline distingue leur conversation.
- Elle a accepté que tu la prennes en photo ?
- Bah oui. Je suis convaincant. Je lui ai dit que c'était pour le dossier. Elle n'y a vu que du feu.
- T'as vraiment du bol. On n'a pas assez souvent des clientes comme celle-là...
La voiture redémarre et Pauline n'entend plus la suite de la conversation. Quelques minutes après, Cédric arrive en brandissant fièrement un ballon de basket et un panier.
- Admire un peu ! Tu vas devenir une pro du basketball avec ça. Et toi, ça s'est passé comment ?
En posant la question, Cédric regarde Pauline et découvre les nombreux boutons défaits au haut et au bas de la petite robe.
- Oh ! Mais je vois que tu es délicieusement indécente. Raconte-moi.



- Eh bien, d'abord une vieille dame plutôt courtoise qui m'a mise en garde du passage régulier de gendarmes. Puis les gendarmes effectivement.
Cédric est abasourdi.
- Non !? Oh ma chérie, je suis désolé !
- Ne t'inquiète pas. J'ai géré comme une grande. Il m'a fallu m'exhiber un peu, me pencher et écarter un peu les cuisses mais j'ai évité l'amende.



- Bravo ! Ils ont eu la totale ?
- Le premier a bien reluqué dans mon décolleté et a sans doute aperçu l'ombre de ma minette. Le second a sans doute tout vu quand il m'a demandé de sortir pour me prendre en photo.
- Il t'a demandé ça ?
- Oui, sous prétexte d'ajouter dans le dossier la preuve que je ne suis pas handicapée.
- Ah le salaud. Il a encore plus d'imagination que moi !
- Et oui. Je m'en suis sortie justement parce que tu n'es pas le seul pervers de cette planète. Bon, tu vas installer ce panier et tu m'apprends les règles du basket ?
- Yes ! On rentre.

Une fois arrivés chez eux, Cédric récupère quelques outils dans l'atelier et va pour installer son panier contre le mur.
- Merde...
- Qu'y a-t-il ?
- Je n'ai pas de mèches à béton et je ne pense pas que ma visseuse soit suffisamment puissante de toute façon.
- Va demander à Pierre. Il est super bien équipé.
- Tu parles bien de son matériel de bricolage, là ?
- Pffff... Idiot.
Quelques minutes plus tard, c'est Pierre lui-même, leur voisin, qui vient avec sa perceuse pour s'occuper des percements.
- Bonjour Pauline.
- Bonjour Pierre, c'est gentil de nous donner un coup de main.
- Ça me fait plaisir de voir que vous vous mettez de plus en plus au sport. Après le cyclisme, le basket : où vous arrêterez-vous ?
Pierre tient à installer lui-même le panier et monte sur l'escabeau. Pauline reste à côté, toujours dans sa jolie petite robe, toujours avec plusieurs boutons ouverts à son décolleté.



Pierre ne se prive pas de quelques regards vers ce charmant spectacle. Une fois le support du panier solidement fixé, le voisin redescend.
- Voilà, il n'y a plus qu'à clipser le panier et ce sera opérationnel.
Cédric, toujours plein d'idées, tend le panier à sa fiancée :
- À toi l'honneur, ma chérie.
Pauline sait très bien qu'en la faisant monter à l'escabeau, Cédric compte exposer son cul nu à Pierre qui est resté au pied. Elle attrape le panier et fait un petit sourire entendu à son fiancé. Elle fait comme si elle n'était pas trop rassurée de monter ainsi. Pierre saisit alors l'escabeau et dit :
- Ne t'inquiète pas, je le tiens fermement.
Pauline monte donc et, une fois en haut, prend tout son temps pour terminer l'installation, laissant bien aux deux garçons le temps de se rincer l'œil sur sa croupe nue dévoilée par la trop courte robe.



Cédric sent l'érection le gagner. Il adore partager ces petits plaisirs de voyeurisme et d'exhibitionnisme avec son voisin. Pierre a cette délicatesse de savoir profiter sans faire de commentaire et de se contenter de ce qu'on lui offre sans chercher à en avoir plus. Quand Pauline redescend, elle fait un grand sourire à Pierre :
- Et voilà ! Merci beaucoup pour ton aide, Pierre.
- De rien. C'est toujours un plaisir de vous rendre service, les jeunes.
Cédric le remercie aussi chaleureusement et Pierre les laisse. Cédric admire sa fiancée :
- Ta tenue était parfaite pour stimuler Pierre, mais elle le sera moins pour une partie de basket. Va donc passer une jupe et débardeur.
- Oui, chef !
Quand Pauline revient habillée d'un débardeur et d'une petite jupette, Cédric note qu'elle n'a pas remis de soutien-gorge sous son débardeur. Il se garde bien de tout commentaire, se contentant d'apprécier la tenue.



Après avoir expliqué à Pauline les principales règles du basket, Cédric lui montre comment dribbler et comment tirer au panier. Après quelques essais, Pauline se montre plutôt douée et Cédric est positivement surpris :
- En fait, tu te moques de moi, tu sais déjà jouer.
- Même pas ! On se fait une épreuve de tir au panier ? En cinq tirs chacun.
- Ok. Mais je suis désavantagé.
- Ah oui ? Pourquoi ?
- Ta tenue... Je trouvais déjà très excitant de voir tes seins bouger quand tu dribblais mais tu as achevé de me mettre en érection quand tu sautais pour tirer car j'ai pu voir que tu n'avais pas de culotte non plus.
- Oh, tu as remarqué ça ?
Par jeu, Pauline pivote sur elle-même, faisant voler sa jupette.



- Ok, Cédric. Alors, le gagnant pourra exiger ce qu'il veut de l'autre et, pour corser le jeu, si tu manques un tir, j'aurais le droit de te masturber dix secondes.
- Mmmm, tu veux rajouter des difficultés. Pour toi, j'ai une autre idée, plus progressive. Ton petit jouet télécommandé avec 3 niveaux de vibrations. À chaque tir raté, je monte d'un niveau.
- Super. Je vais le chercher.
Moins d'une minute après, Pauline revient et tend la petite télécommande à Cédric.
- Il est en place. On peut commencer.
- On est d'accord que toute jouissance entraîne une disqualification ?
- Ok.



Pauline se met derrière l'arc de cercle tracé au sol par Cédric et fait le premier tir. Cédric s'attend à ce qu'elle fasse exprès de manquer son tir juste pour profiter du premier niveau de vibration de son petit gadget qu'elle sent déjà dans sa fente à chaque mouvement. Pourtant, concentrée, Pauline réussit parfaitement son premier tir.
- Joli tir ! Je pensais que tu aurais manqué exprès...
- Je veux gagner !
Cédric hésite. Il a très envie de tirer à côté juste pour le plaisir de se faire masturber. Pauline sent son hésitation :
- Attends, je te vois venir, toi. On va tout de suite se dire ce qu'on prévoit en cas de victoire. Ça te donnera sans doute plus envie de gagner. Moi, si je gagne, je veux que tu me laisses faire l'amour avec deux autres hommes. Ça te donne envie de gagner non ?
- Bonne idée. Moi, si je gagne, je veux que tu fasses l'amour avec deux autres hommes mais je veux être présent.
- Mince, je ne m'attendais pas à cela... Espèce de vicieux !
Après avoir énoncés chacun le prix de leur victoire, Cédric se dit qu'il doit gagner et se concentre. Un peu trop tendu par le challenge, il manque son tir. Pauline se moque de lui :
- Oh, je vois que tu préfères que je te masturbe mais tu ne seras pas présent quand deux magnifiques étalons me feront jouir jusqu'au bout de la nuit...
Elle s'approche de lui et glisse une main dans son short. Elle saisit le membre déjà en érection et commence à le masturber tout en comptant à haute voix, plus lentement que des secondes réelles.



Arrivée à dix, elle retire sa main :
- Allez, à moi de tirer.
Elle prend le ballon, mais, peut-être trop confiante, elle rate le panier.
- Merde !
- Héhé... ça commence...
Pauline a bien conscience que son gage à elle va compliquer de plus en plus ses autres tirs. Cédric la regarde alors qu'il tourne la petite molette de la télécommande sur 1. Pauline pousse une profond soupire en sentant l'appareil se mettre à vibrer entre ses cuisses.



Cédric sourit et ramasse le ballon pour son deuxième tir. Il ajuste son lancer et marque le panier. Le souffle court, Pauline prend le ballon pour son troisième tir et, se concentrant énormément, elle aussi marque le panier.
- Deux à un. Je mène.
- Rien n'est joué.
Pauline sait que Cédric a raison. Il ajuste à nouveau son tir et le ballon tombe dans le filet sans même toucher l'arceau.
- Deux partout, ma belle.
Pauline commence à mouiller franchement à cause du gadget qui vibre en elle. Elle se concentre mais son troisième tir manque de précision et le ballon roule le long de l'arceau avant de retomber à côté. Cédric est ravi.
- Aïe aïe aïe... je suis contraint de passer ton joujou au niveau deux.
- Aaaaah !



Cédric sait que le gémissement de plaisir qu'elle vient de pousser n'est pas simulé. Il sait qu'elle a déjà eu un orgasme avec le niveau deux du gadget. Confiant, il prend le ballon et tir. Mais les gémissements de plaisir de sa fiancée le déconcentrent tant que son tir manque de force : le ballon rebondit sur le dessous de l'arceau. Pauline n'exprime pas sa joie, craignant que cela la conduise à l'orgasme. Lentement, elle vient le rejoindre et déboutonne son short pour extraire l'érection mais, cette fois-ci, elle le masturbe d'une main et lui caresse les testicules de l'autre.



Cédric n'avait pas prévu cela et il doit se maîtriser pendant tout le décompte pour ne pas éjaculer. Il soupire de soulagement quand elle le laisse enfin. Elle ramasse le ballon et le félicite :
- Bravo, je note ton parfait contrôle.
- Tu sembles bien résister aussi.
- C'est de plus en plus dur... Je dois absolument réussir mon dernier tir.
Pauline se mord les lèvres, vise et tire. Le ballon décrit une courbe parfaite et tombe parfaitement au centre du panier. Cédric peste :
- Quelle chance tu as ! Tu es à deux doigts de jouir...
- Tu n'en mènes pas large non plus. Tu as intérêt à égaliser sur ton dernier tir.



- J'en ai conscience...
La pression sur les épaules de Cédric est trop forte et, à nouveau, il rate son lancer, faisant rebondir le ballon sur l'arceau. Pauline contient sa joie :
- J'ai gagné, mais tu peux te consoler en te disant que je dois encore te masturber dix secondes...
Cédric pense surtout au fait qu'il ne la verra pas faire l'amour avec deux autres hommes. Pour l'aider à accepter la défaite, Pauline retire son débardeur et, seins nus, s'agenouille devant son fiancé pour lui administrer la même punition à deux mains que précédemment.



Pour Cédric, c'en est trop. À peine est-elle arrivée à 5 qu'il sent ses couilles se contracter et sa semence monter dans sa verge. La jeune fille arrête alors de compter et laisse le sperme venir éclabousser ses seins. Cédric lâche un profond soupir de contentement, de libération.
Peu à peu, il reprend son souffle. Pauline ramasse son débardeur et lui montre sa poitrine couverte de sa semence :
- Il y a des perdants plus malheureux, non ?



- Carrément. Puis-je te demander une faveur ?
- Bien sûr.
- Quand tu recevras ton prix...
Espiègle, elle précise la pensée de son fiancé :
- Quand je me ferai prendre par deux hommes ?
- Oui... Tu me raconteras tout après ?
- Ne t'inquiète pas. Tu sauras tout jusque dans les moindres détails et je te promets même de te faire une fabuleuse masturbation en te racontant.
- J'ai hâte...
- En attendant, je vais prendre une douche et réfléchir à qui pourraient être les deux élus de ce prix.



Cédric a du mal à faire la part dans ses sentiments : jalousie, désir, mais surtout, avant tout, excitation. Alors qu'il se rajuste il prend conscience d'un mouvement du côté du jardin de Pierre, le voisin. Celui-ci, se sachant découvert, salue Cédric :
- C'était une bien belle partie.
- Ah... Tu as donc tout vu ?
- Et tout entendu. Vous avez le sang chaud, les jeunes. C'est une vraie bouffée d'oxygène pour un homme de mon âge pour lequel ces plaisirs sont maintenant bien loin. Profitez ! Bonne nuit, Cédric.
- Bonne nuit, Pierre.
Cédric rentre et entend Pauline dans la salle de bain qui lui demande :
- À qui tu parlais ?



- À Pierre... il nous a vus...
Il entend Pauline rigoler sous la douche et se demande si elle ne l'avait pas remarqué depuis le début.

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Basket-Ball 2 - Le match


Maintenant que Pauline connaît les principales règles du basket, elle se sent prête à profiter du match que son ancien camarade de lycée, Edgar, l'a invité à venir voir. En fin d'après-midi, elle lui a envoyé un SMS alors qu'ils étaient arrivés à la salle où se déroulaient la rencontre. Edgar, en tant que capitaine de l'équipe, était venu aussitôt les accueillir, les faisant entrer sans passer par les caisses et leur indiquant des places VIP dans les gradins.
Le match a maintenant commencé et, du rang le plus haut de la tribune, Cédric et Pauline suivent la première mi-temps avec intérêt, encourageant l'équipe d'Edgar même si ni l'un ni l'autre n'est grimé aux couleurs de l'équipe comme de nombreux supporters du club. Il n'y a pas un monde fou pour un match de ce niveau, mais il y a une bonne ambiance. Il semble y avoir là de nombreux amis d'Edgar, et quelques-unes de leurs copines. Cédric et Pauline s'impliquent vraiment dans le match et crient beaucoup. N'ayant pas subi le contrôle de l'entrée officielle, Cédric s'est permis d'apporter discrètement quelques canettes de bière. Aussi, lui et Pauline boivent pas mal, ce qui les aide à être bien dans l'ambiance. Pendant le match, Cédric note qu'Edgar regarde régulièrement dans leur direction.

À la mi-temps, Cédric propose :
- Tu viens avec moi, on va au vestiaire encourager Edgar ?
- Ça va pas, tu as vu dans quelle tenue je suis, je vais me faire violer !
Pauline désigne à son fiancé son débardeur un peu décolleté sous lequel il est évident qu'elle n'a pas mis de soutien-gorge et sa petite jupette très courte.



- Tu n'as pas mis de culotte ?
- Bah si. Faut pas déconner...
- Alors ça ira, tu sais, les basketteurs, c'est pas des brutes. Et puis Edgar est leur capitaine, il ne les laissera pas faire. Allez viens.
- Bon, bon, si tu y tiens.

Pauline ne sait pas si Cédric est réellement enthousiaste par ce match où s'il a une idée derrière la tête la concernant. Elle ne le lui dit pas mais elle est aussi un peu piquée de curiosité. Un club de basket professionnel, ce n'est pas les dieux du stade, mais enfin, dans les vestiaires, ça doit quand même dégager pas mal de testostérone. Alors qu'ils arrivent au couloir conduisant aux vestiaires, une voix interpelle Cédric :
- Cédric ?!
Le couple se retourne aussitôt. Cédric reconnaît alors un ancien camarade de lycée :
- Mickael ! Qu'est-ce que tu fous là ?
- Comme toi, mon vieux, je viens soutenir l'équipe locale. Mon frangin joue dedans. C'est Kévin, le grand balaise.
- Ah oui, je vois lequel. C'est vrai que vous vous ressemblez un peu. Tu vas aussi aux vestiaires pour les encourager ?
- Oui. Et toi, tu connais quelqu'un en particulier dans l'équipe ?
- Moi non, mais on a été invité par Edgar, le capitaine, qui était au lycée avec ma copine. Je te présente Pauline. Pauline, voici Mickael, un pote de lycée que je n'ai pas revu depuis le bac, comme toi avec Edgar. Amusant non ?
Pauline sourit poliment puis suit les deux garçons dans les vestiaires. En entrant, elle remarque aussitôt qu'elle est la seule fille et que tous les regards se braquent sur elle. Aussitôt, sans qu'elle puisse le contrôler, ses mamelons se durcissent et tendent le tissu.



Edgar vient à son secours :
- Je vous présente Pauline, une bonne copine de lycée, et son copain Cédric qui sont venus nous encourager ce soir.
Les exclamations d'admiration fusent alors pour Pauline, ignorant totalement la présence de Cédric :
- Ouah, putain, t'es canon, Pauline !
- T'as de sacrées jolies jambes.
Cédric identifie Kévin, le frère de Mickael, celui qui vient de poser sa main sur la cuisse de sa fiancée pour la caresser.



Pauline lui donne une tape amicale :
- Bas les pattes, je ne suis pas votre mascotte.
Kévin soulève alors la jupette :
- Merde, Edgar, elle a raison. Sa culotte n'est même pas aux couleurs de l'équipe.



Pauline lui tape sur la main et rajuste sa jupe :
- Et dis donc, faut pas t'emmerder.
Mais Kévin y revient :
- Eh, Cédric, tu nous la laisses après le match, ta copine ?



Pauline répond :
- Perdez pas votre concentration, les gars. Mais si vous gagnez, je reviens vous faire un petit bisou en fin de match.
La proposition est saluée d'un concert d'applaudissements et de cris. L'entraîneur arrive alors et prie tous les supporters de sortir. De retour dans les gradins, Pauline se demande ce qui l'a poussée à réagir comme ça dans les vestiaires. Elle aurait dû rembarrer plus fermement ce Kévin. Elle se demande pourquoi Cédric a laissé ce type se montrer aussi familier avec elle. Ses réflexions sont interrompues par Cédric, tout souriant, qui pose la main sur sa cuisse et remonte sous la jupe pour mettre ses doigts au contact de sa culotte.



- Kévin, a raison. Si ta culotte n'est pas aux couleurs de l'équipe, mieux vaut la retirer...
Un peu dans un état second, à cause de l'alcool mais aussi de sa promesse, Pauline cède à son fiancé :
- Ok. Mais pas ici. Je reviens.
Elle se lève et se dirige vers les toilettes. Une fois à l'intérieur, elle passe les mains sous sa jupe et fait glisser sa culotte à ses chevilles.



Elle entend alors une voix derrière elle :
- Excellente idée. Ça va sûrement encourager les joueurs.
Pauline se retourne, rajustant sa jupe, et découvre Mickael, le copain de Cédric. Il était dans le recoin des toilettes au niveau des lavabos à se sécher les mains, ce qui explique qu'elle ne l'ait pas vu en entrant. Gênée, elle tente de se justifier :
- C'est surtout que j'ai hyper chaud.



Sans attendre davantage, elle met sa culotte en boule dans sa main et va rejoindre Cédric en haut de la tribune, gardant une main sur ses fesses pendant son ascension pour éviter qu'un coup de vent ne dévoile sa tenue. Cédric affiche un ravissement certain et la regarde amoureusement mettre la petite boule de tissu dans son sac à main.
- Merci ma chérie.



- Pas de quoi. Dans les toilettes, je suis tombée sur ton copain.
- Il t'a vue retirer ta culotte ?
- Oui...
Cédric le voit qui s'installe au bas des gradins.
- Il est installé là, en bas. D'où il est, il n'en profitera pas...
Pauline ne sent pas très à l'aise malgré tout. D'autant qu'elle voit Kévin venir s'asseoir à côté de son frère à l'occasion d'un remplacement. Les deux garçons échangent quelques mots et Kévin se retourne vers elle en souriant. Pauline est persuadée que Mickael lui a raconté ce qu'il a vu.



Elle repense aussi à sa promesse faite dans les vestiaires et ne sait pas vraiment ce qui l'a poussée à faire une proposition pareille. Pendant la deuxième mi-temps, elle n'est plus la même : elle sent des tas de trucs qui se nouent et se dénouent dans son ventre, des fourmillements dans les jambes, la vue qui se trouble, et ces bouffées de chaleur qui par moments l'envahissent. Elle n'en a qu'à peine conscience, mais elle ne cesse de se projeter sur son retour tout à l'heure dans les vestiaires.



Cédric sent son trouble mais pense qu'il vient du fait qu'elle se retrouve sans culotte en public. Sa main repart à l'assaut de son entrejambe sous la jupe et découvre qu'elle est déjà sérieusement mouillée.
- Oh ! Mais ils te font un sacré effet les basketteurs.
- Oui...



- Peut-être que tu pourrais écarter un peu les cuisses pour remercier Edgar quand il regardera par ici ?
- Non mais tu déconnes ! Ça va le déconcentrer.
- Pffff, ils mènent largement, aucun risque qu'ils perdent maintenant.
Cédric la main sur le genou l'oblige à écarter de plus en plus les cuisses. Elle se laisse faire et, pour le coup, trouve très excitant de voir qu'Edgar regarde de plus en plus souvent dans sa direction. Et il n'est pas le seul, Kévin aussi a repéré qu'il y avait du spectacle.



Cédric est ravi de l'effet produit :
- Mmmm, finalement, tu pourrais bien devenir leur mascotte.
Cédric n'a plus besoin de l'aider à écarter les cuisses. Pauline trouve très excitant de voir tous les regards dérobés qui cherchent à se glisser entre ses cuisses.



Il suit le match avec la même ardeur qu'à la première mi-temps et, quand retentit le coup de sifflet final, il exulte et se démène comme un fauve à l'annonce de la victoire de l'équipe d'Edgar. Lorsque les joueurs quittent le terrain, il prend Pauline par la main et l'entraîne avec lui une nouvelle fois vers les vestiaires.
- Viens ! Il faut les féliciter et tu dois leur faire la bise à tous.
- Tu as conscience que je n'ai plus de culotte et que Kévin pourrait soulever ma jupette devant tout le monde.



- Justement, comme il le sait, il n'en fera rien, trop heureux de garder ce secret pour lui.
- Tu es sûr ?
- Certain.
- Je vais la remettre, attends une seconde.



Mais Cédric attrape le sac à main de sa fiancée pour l'empêcher de reprendre sa culotte.
- T'inquiète, ça ira.
Seulement à moitié confiante, Pauline le suit jusqu'aux vestiaires. Dans la pièce principale, c'est un brouhaha indescriptible : des joueurs en train de se déshabiller sur les bancs, une foule de supporters envahissants. Pauline et Cédric sont rapidement séparés. Pauline se sent un peu perdue. Elle aperçoit Cédric qui ressort à l'autre bout de la pièce, en grande conversation avec Mickael. Alors qu'elle s'apprête à fendre la foule pour rejoindre son fiancé, elle sent la puissante main d'Edgar saisir la sienne.



- C'est la première fois que tu entres ici ? Ça te dirait de faire une petite visite ?
Pauline ne sait pas trop si elle doit refuser au risque de paraître coincée, alors, se sentant quand même en confiance avec le grand noir, elle se laisse guider. La jeune fille prend conscience que le capitaine de l'équipe est un sacré balaise, elle lui arrive tout juste à l'épaule.



Il n'a conservé que son short, et elle considère avec surprise son corps musclé. Elle voit la transpiration qui sillonne son torse et surtout cette forte odeur de transpiration qui la trouble profondément. Et puis... et puis il la regarde avec un sourire irrésistible.
- Ici, ce sont les douches.
Il la fait entrer dans la pièce, sans personne pour le moment, au sol carrelé où les douches s'alignent sans aucune espèce de cloison, sauf au fond une cabine avec une porte. Pauline commence à s'imaginer sous la douche avec Edgar.



- Dans quelques minutes, on sera tous à poil ici, c'est pas trop un endroit pour les filles... à moins que tu n'aies envie de nous savonner.
Puis une voix se fait entendre derrière eux :
- T'as pas oublié quelque chose, Edgar ?
Kévin vient d'entrer et tend à Edgar un gel douche et une serviette, et lui jette un clin d'œil complice, puis il ressort en fermant la porte derrière lui.
- Ça te ferait envie de frictionner un corps d'athlète ?
Pauline ne répond pas. Oui elle le veut, mais elle ne veut pas passer pour une salope aux yeux de son confident. Ne sachant que faire, elle regarde les murs, désespérée, ce qu'Edgar interprète à sa façon.
- C'est pour Cédric ou c'est pour moi que tu as retiré ta culotte ?



La question ne surprend pas Pauline : elle-même se l'était posée.
- Sans doute un peu des deux. Ça excite beaucoup Cédric de m'exhiber et moi ça m'excitait que puisse voir...
C'est la réponse qu'attendait Edgar.
- Viens !
Il lui prend la main et l'entraîne dans l'angle où se trouve la seule cabine de douche disposant d'une porte. Il l'ouvre et elle ne proteste pas.



Pauline entre derrière lui. À peine entrée, il referme la porte et plaque la jeune fille contre elle. Elle se sent si petite, elle se demande s'il ne va pas l'écraser mais non, il penche sa tête vers elle, cherchant ses lèvres. Elle n'est pas sûre de vouloir l'en empêcher, elle essaye de balbutier quelques protestations, et puis ses lèvres sans attendre son avis répondent au baiser. La langue d'Edgar vient à la recherche de la sienne, fouille sa bouche, et sa langue elle aussi participe maintenant au ballet. Une des mains de la jeune fille agrippe la nuque du noir et s'accroche dans ses cheveux bouclés. Ses mains à lui sont partout sur Pauline, sur ses cheveux, ses joues, ses épaules.



Elles descendent rapidement le long de son dos et s'emparent de ses fesses à travers la jupette. Il la plaque désormais contre son bassin, et elle peut sentir contre son ventre le sexe de son amant qui palpite.
- Oh, Pauline, si tu savais combien de fois j'ai rêvé de cet instant...
La main du noir passe sous la jupette, et le contact des doigts sur sa peau électrise la jeune fille. Edgar s'écarte maintenant d'elle, plonge ses yeux dans les siens, et les yeux de Pauline lui répondent : « Fais de moi ce que tu veux ». Alors, il fait passer le débardeur par-dessus la tête de Pauline, faisant apparaître la superbe poitrine aux tétons tendus. Il se met à genoux pour gober les seins en poussant un profond soupir comme s'il avait attendu cet instant depuis une éternité.



Cette bouche sombre sur sa peau claire fascine la jeune fille. Edgar caresse les seins, en pince les tétons qui se sont tendus, les reprend dans sa bouche et les vrille de délicieux coups de langue. Pauline a l'impression que ça lui descend dans le ventre, qu'elle se sent inondée de chaleur, que ça descend aussi jusqu'à sa chatte qui est en train de se liquéfier. Et puis la bouche sombre descend, glisse avec une lenteur atroce, s'arrête un instant au nombril et titille le piercing. Ses mains ont dégrafé la jupe qui tombe au sol, découvrant la fente nue de la jeune fille. Après l'avoir admirée quelques secondes, Edgar fait se retourner Pauline et l'appuie contre la porte. Ses mains reviennent à ses fesses, descendent à l'intérieur des cuisses et les invitent à s'écarter.



Alors, il se glisse accroupi derrière Pauline et vient poser sa langue sur son minou, pendant qu'une main par-devant vient à la rencontre de son clitoris. Il aime la sentir inondée de plaisir, il le lui dit :
- J'étais sûr que tu adorerais que je te fasse minette... Cette jolie moule que tu m'as fait miroiter pendant la seconde mi-temps.
Il lui lèche la vulve avec application, et quand sa langue, écartant les lèvres, s'introduit dans le vagin, Pauline laisse aller un gémissement de plaisir.



Bientôt, la deuxième main d'Edgar vient en renfort de la langue, un doigt, puis deux, puis trois s'introduisent dans la chatte et lui prodiguent des sensations délicieuses. Sa langue s'est simplement un peu déplacée et s'occupe maintenant du petit trou de Pauline. Il commence par tourner autour, et puis s'attarde de plus en plus à l'entrée. Pauline sent la tension de l'orgasme bientôt à son paroxysme, et quand la langue du noir, un peu plus insistante, pénètre finalement dans l'orifice, la jeune fille explose de plaisir et couine sans aucune retenue. Pauline a désormais abandonné toute réserve, elle se retourne, le fait se relever et lui enlève le short et le boxer qu'il porte en dessous, libérant son membre, un véritable pieu déjà formidablement dressé.



Edgar s'amuse de sa surprise :
- Alors ? Est-ce à la hauteur de la légende ?
- Putain. Oui...
Elle le prend dans ses deux mains, le caresses et s'agenouille, posant pour commencer ses lèvres sur le gland gorgé de sang, y déposant de petits bisous avant de commencer à y promener sa langue.



Elle aime son odeur, son goût, aussi c'est sans aucune hésitation qu'elle finit par l'introduire dans sa bouche, à le faire coulisser entre ses lèvres. Sa main a saisi ses bourses qu'elle malaxe nerveusement. Elle sent l'excitation qui monte en lui aux spasmes qui agitent son sexe.



Lui, sans doute, ne veut pas venir tout de suite, il se retire et entraîne Pauline sous la douche. Ils font une courte pause, tout à la curiosité de se procurer l'un à l'autre ces caresses si fluides que permet le gel douche. Pauline aime sentir ses mains glisser sur le torse puissant du noir, sur ses fesses, et elle ne s'en prive pas. Edgar joue avec ses tétons, ses seins. La jeune fille empoigne la queue impressionnante et elle s'amuse à la faire coulisser entre ses doigts, à deux mains.



Et puis, Edgar la soulève en l'attrapant sous les fesses et amène sa bite au contact de sa chatte. Pauline scelle son accord en écrasant ses lèvres sur celles du noir, en croisant ses jambes dans son dos, pendant que l'imposante queue s'introduit progressivement dans sa fente et que son ventre rayonne de chaleur pour l'accueillir.



Dans le même temps, Pauline n'a rien remarqué, mais la porte de la douche s'est un instant ouverte puis refermée et quand elle s'attend à sentir dans son dos le contact du carrelage, c'est sur une autre poitrine que son dos vient s'appuyer. Elle le réalise surtout parce que, forcément, les mains qui la soutiennent sous les fesses ne sont pas celles qui viennent d'empaumer ses seins. La jeune fille ouvre de grands yeux surpris, elle n'est pas loin de céder à la panique, mais ce qu'elle lit dans les yeux de son amant est d'une telle douceur, elle sait que, là encore, elle ne va rien lui refuser.



Elle reconnaît la voix du nouveau venu :
- Chut, tu ne vas pas refuser un petit extra ?
Il s'agit de Kévin. Le ballet des mains savonneuses reprend alors. Edgar qui la porte la fait monter et descendre doucement sur son mandrin, la tenant un peu écartée de lui pour que Kévin ait tout le loisir de promener ses mains, titillant les tétons, et puis glissant sur le ventre pour venir fouiller à la recherche du bouton d'amour. À peine a-t-il commencé de le caresser que Pauline jouit d'un second orgasme tout aussi fort que le premier, ponctué de gémissements tout aussi sonores.



L'autre main profite traîtreusement des spasmes qui la secouent pour investir son anus. Un doigt savonné y pénètre comme dans du beurre, et lui prodigue de savantes caresses circulaires qui ont tôt fait de le détendre, autorisant la pénétration d'un deuxième, puis d'un troisième doigt. Pauline n'a encore jamais été prise de cette façon, mais elle est tellement dans la recherche du plaisir qu'elle accepte sans broncher, plutôt même avec une secrète satisfaction. Elle repense également au prix qu'elle a gagné contre Cédric, l'autorisant à coucher avec deux hommes. Elle y est. Quand les doigts de Kévin abandonnent son œillet et qu'elle sent le gland venir s'y appuyer, elle le saisit d'une main pour lui indiquer qu'elle veut de la délicatesse et elle lui souffle :
- Ne me fais pas mal.
- Mais tu n'auras pas mal, bien au contraire.
Le gland s'attarde le temps qu'il faut dans le passage, les doigts s'affairent tout autour à la caresser et la détendre, et le sphincter de Pauline soudain laisse pénétrer la queue.



Kévin est effectivement délicat, et l'appréhension de la jeune fille s'envole. Elle est toute entière à la perception de cette sensation qu'elle connaît déjà : deux bites qui la pénètrent en même temps. Kévin s'engage avec une lenteur qui se transforme bientôt pour elle en un supplice d'attente du plaisir. Elle veut les sentir à fond, elle veut soudain être défoncée, elle veut que toute la puissance des athlètes la laboure, la maltraite et la fasse gueuler. Elle commence à bouger, elle cherche à se faire coulisser mais la posture n'est pas aisée, alors elle leur dit :
- Allez-y les gars, dérouillez-moi.



Il ne faut pas tant leur en demander. Elle ne saurait dire combien de temps a duré un orgasme qui semblait ne jamais devoir s'arrêter, et quand les deux basketteurs déchargent en même temps en elle. Pauline ne réalise pas vraiment ce qui lui arrive, tellement la vague de plaisir l'a emmenée loin. Alors que l'orgasme s'atténue et que ses cris de plaisirs diminuent, Pauline prend conscience qu'il y a du monde dans les douches à côté.



Si le brouhaha des vestiaires a peut-être dissimulé ses cris de plaisir, elle est persuadée que le bruit des douches n'en a rien fait. Quand les deux types la déposent à terre, ils lui font chacun un bisou sur une joue et Edgar, l'a voyant inquiète en regardant la porte, lui dit :
- T'en fais pas, on va te ménager ta sortie.
Séchée et rhabillée, elle sort de la douche entre les deux basketteurs qui la dissimulent partiellement derrière leurs serviettes, et qui imposent aux quelques-uns qui sont sous les douches le silence. La voici de nouveau dans le vestiaire, toujours aussi bruyant et bondé et elle cherche la sortie.



Elle finit par tomber sur Cédric qui la regarde avec un air amusé :
- Je crois que tu vas avoir des choses à me raconter, non ?
- Tu... tu sais ?
- Oui, je t'ai aperçu partir avec Edgar et j'ai vu peu après le frère de Mickael venir vous rejoindre. Je crois que tu as reçu le prix de ta victoire de notre petit match, non ?
Pauline est soulagée. Elle se sentait presque coupable de ce qu'elle avait fait mais elle est maintenant rassurée puisque son fiancé valide son aventure avec les basketteurs comme étant le prix du match qu'elle a gagné contre lui.



Elle l'embrasse amoureusement puis dit :
- C'était un super beau match, non ?
- Oui.
Cédric lui prend la main et la conduit hors des vestiaires :
- Donc, tu l'as fait ?
- Quoi donc ?
- Le prix de ta victoire.
- Oui... Edgar et Kévin... Les deux...



Cédric sourit et lui passe un bras autour de la taille pour la diriger vers la sortie :
- Allez viens. On rentre. J'ai hâte d'entendre ton histoire en détail.


Cette deuxième partie a été très largement inspirée de l'histoire "Rugbymen" publiée par Mitchoum le 28/11/09 sur Revebebe :
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb135/reve13575.html]