Weekend sportif - 1 : Arrivée au camping (publié par Lisa le 15-01-2021)
Weekend sportif - 2 : Échauffements (publié par Lisa le 01-02-2021)
Weekend sportif - 3 : Premier match (publié par Lisa le 15-02-2021)
Weekend sportif - 4 : Détente à la piscine (publié par Lisa le 01-03-2021)
Weekend sportif - 5 : Les caresses du soleil (publié par Lisa le 15-03-2021)
Weekend sportif - 6 : La crampe (publié par Lisa le 01-04-2021)
Weekend sportif - 7 : L'apéro (publié par Lisa le 15-04-2021)
Weekend sportif - 8 : Le réveil (publié par Lisa le 01-05-2021)
Weekend sportif - 9 : Petit déjeuner (publié par Lisa le 16-05-2021)
Weekend sportif - 10 : Troisième partie de tennis (publié par Lisa le 01-06-2021)
Weekend sportif - 11 : Compétition à la piscine (publié par Lisa le 15-06-2021)
Weekend sportif - 12 : Quatrième match de tennis (publié par Lisa le 01-07-2021)
Weekend sportif - 13 : Dernier passage à la piscine (publié par Lisa le 15-07-2021)
Weekend sportif - 14 : Douche italienne (publié par Lisa le 07-08-2021)
Weekend sportif - 15 : Au revoir Rodolphe (publié par Lisa le 15-08-2021)
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Weekend sportif - 1 : Arrivée au camping
Samedi, 9h53
Pauline et Cédric arrivent au camping après quelques heures de route. Afin de ne pas faire toute la route d'une traite, ils ont réservé un hôtel bon marché à mi-chemin afin d'y passer la nuit. Tous les bagages étaient prêts dès le jeudi soir pour le permettre de prendre la route sitôt rentrés du travail. Pauline avait proposé à Cédric de conduire mais il avait insisté pour garder le volant en se contentant de faire une pause de 10 minutes toutes les heures. L'hôtel avait été calme, mais les matelas étaient mauvais et ils avaient eu la mauvaise surprise d'avoir deux lits séparés au lieu d'un grand lit. Le choix avait été fait de manière à faire des économies, mais ils ne s'étaient pas attendus à ce que ce soit à ce point au détriment de leur confort. La nuit ayant été plutôt mauvaise, ils ont été réveillés avant les première lueurs de l'aube et ont aussitôt quitté l'hôtel, se contentant d'emporter quelques croissants pour les manger dans la voiture. C'est donc avec une profonde satisfaction qu'ils se sont garés à l'entrée du camping, lieu ultime de leur pèlerinage pour ce weekend spécial dédié aux activités sportives. A peine le moteur coupé, Pauline ouvre sa portière et sort ses longues jambes pour s'extraire. Une fois debout, elle profite de ce déconfinement pour s'étirer.
- Pas fâchée d'être arrivée !

Pauline tire sur le bas de sa robe pour la rajustée après ce long trajet en voiture. Cédric admire les jolies fesses de sa fiancée et sort à son tour de la voiture :
- Oui, ça fait du bien de sortir de la bagnole !
Pauline regarde vers l'entrée du camping et désigne un petit chalet en bois :
- Regarde, je crois qu'on nous attend...
Effectivement, un jeune homme à peine plus de vingt ans semble attendre devant le chalet. Refermant leurs portières, le couple se dirige vers ce qui est désigné en grosses lettres rouges comme étant l'accueil du camping.
- Bonjour.
- Bonjour. Moi c'est Rodolphe. Vous êtes Pauline et Cédric, j'imagine ?
Pauline est surprise qu'il les appelle par leurs prénoms :
- Exactement. On vous avait fourni des photos ?

A la question de Pauline, Rodolphe lève un peu les yeux pour les détailler, ne comprenant pas immédiatement la question de la jeune fille.
- Non, mais j'ai rarement des réservations aussi tôt le matin. C'est très très calme cette semaine. Il n'y avait que vous à arriver aujourd'hui et...
Il semble se perdre dans sa phrase. Venant de découvrir la jolie petite robe rouge de Pauline sous le tissu de laquelle les seins de la jeune fille semblent libres.

Après quelques secondes de troubles, Rodolphe se reprend et termine sa phrase :
- ... et les gens visent davantage les camping plus proches de la plage.
- Nous, ça nous va. On recherchait justement plutôt la tranquillité.
- Vous allez être servis. J'ai ici un couple de retraités Belge et il y a deux jeunes Italiens qui sont installés dans un bungalow plus loin, du côté de la piscine. Et c'est tout.
- Effectivement, c'est très calme... Du coup, les infrastructures sont quand même ouvertes ?
Comme Pauline se tourne face à lui en lui posant la question, la lumière du soleil fait jouer la transparence du tissu et laisse deviner furtivement la jolie poitrine de la jeune fille.

Encore une fois, il reste muet quelques secondes. Puis il prend une profonde inspiration et répond :
- Heu...Oui oui. Le cours de tennis, juste ici. Les vestiaires sont toujours ouverts et il y a des douches communes si besoin. Tout au fond, il y a la piscine municipale, en libre accès pour le camping. On mutualise les sanitaires, douches et toilettes. Plus économiques. C'est pas de première fraîcheur mais c'est fonctionnel et tout est nettoyer chaque matin.
- D'accord. C'est parfait.
Alors qu'ils avancent, Rodolphe marchant devant eux, Cédric s'amuse à faire glisser une bretelle de la robe de sa fiancée et se penche pour lui murmurer à l'oreille :
- Je crois que ta petite robe lui a tapé dans l'œil...
- Tu crois ?

Rodolphe s'arrête devant un bungalow :
- Et voici votre bungalow. Je vous laisse les clés. Vous pouvez approcher la voiture jusqu'ici pour décharger mais par contre je vous demanderais de bien vouloir laisser la voiture sur le parking à l'entrée.
- Entendu. Merci beaucoup.
- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à l'accueil la plupart du temps, sinon, il y a mon numéro de portable sur la porte. Bonne installation.
Déjà le gérant s'éloigne pour regagner le chalet de l'accueil. Pauline gravit les deux marches qui permettent d'accéder à la pièce principale :
- On visite ?

- Oui.
Cédric suit Pauline dans le bungalow et découvre la pièce principale. Pas très spacieuse mais bien agencée, la pièce propose un petit coin cuisine juste à côté de la porte d'entrée, un canapé faisant face à la télé et un coin repas avec une table et quatre chaises. En dix secondes, la visite est terminée et Cédric imagine que les trois autres portes donnant sur la pièce sont celles de la chambre, de la salle de bain et des toilettes. Cédric semble un peu déçu, trop petit à son goût, mais il se garde de tout commentaire en voyant que Pauline semble ravie. Il se contente de commenter le départ précipité de Rodolphe :
- Curieux que Rodolphe ne nous fasse pas la visite, ça ne lui aurait pas pris dix minutes... Mais je crois que tu as troublé ce pauvre garçon.
- Oui, j'ai vu qu'il était très ému par mes seins qu'il devait deviner sous la robe.
- Et encore, il n'a pas eu l'occasion de voir tes fesses et peut être même ma minette...
Pauline remonte sa petite robe pour dévoiler une partie de son postérieur :
- S'il nous avait fait la visite, il aurait eu le droit.

Cédric retire son tee-shirt pour se mettre torse nu.
- Le droit de quoi ? De voir ou de toucher ?
Pauline s'assoit et écarte les cuisses, exhibant sa moule de manière parfaitement indécente.
- Au moins de voir. C'est le minimum...

- Ah oui ? Et tu l'aurais laissé toucher ?
- Oui, je suis trop en manque... Rouler toute la soirée, dormir dans cet hôtel pourri et repartir avant l'aube, ça ne t'a même pas laissé le temps de t'occuper de moi...
- Je vais me rattraper. Mais je te rappelle qu'on est là surtout pour profiter du tennis et de la piscine.
Pauline soupire :
- Pfff oui... Weekend sportif... En attendant, si Rodolphe revient, je lui demanderais de me caresser la moule.
- Dis donc, tu t'es quand même masturbé pendant plus d'une demi-heure ce matin pendant qu'on était sur l'autoroute.
- Oui mais je n'ai pas joui. Et là j'ai trop envie...
Se caressant la fente, Pauline finit par s'insérer un doigt entre les lèvres pour se masturber lentement.

- Tu ne préfèrerais pas qu'il te la suce ?
- Oh oui. Excellente idée ! Va me le chercher !
Cédric rigole :
- Dans tes rêves. C'est mon rôle de fiancé que de te contenter.
Le jeune homme s'accroupit devant elle et commence à lui lécher la moule, laissant la pointe de sa langue s'attarder sur le clitoris tendu.

Pauline rejette la tête en arrière et laisse échapper un profond soupir de soulagement :
- Oh putain ! C'est divin. Ne t'arrête pas... Va au bout...
Cédric continue de lui sucer le clitoris mais fait pénétrer son index dans la fente humide pour la masturber doucement en même temps. Pauline est tellement en manque qu'elle sent l'orgasme monté moins d'une minute après que Cédric ait lancé cette combinaison cunnilingus-masturbation.

Cédric est surpris quand il la voit se tordre en retenant ses gémissements :
- Oh ouiiiii. Ouiiiiiiiii.
Cédric attend les derniers soubresauts pour retirer son doigt et sa langue. Pauline a le souffle court. Il la regarde avec amusement :
- Te voilà aussi essoufflée que si tu avais couru un 400m.
- Attends un peu, toi !
Pauline se lève et baisse le short de Cédric, libérant une belle érection. Elle reste derrière lui et saisit son érection.

Cédric sent son souffle chaud sur son épaule et il sait à quel point cela excite sa fiancée de sentir son sexe se tendre sous ses caresses :
- Tu veux me faire jouir ?
- Oui, tu vas commencer cette journée sportive en ayant les couilles vides. Comme ça on pourra se concentrer sur le sport.
Pauline s'interrompt et retire sa petite robe.

Cédric sourit :
- Franchement, tu es bien naïve si tu crois que ça ne va pas m'exciter de te voir te trémousser sur le cours de tennis.
- Non. Tu vas rester sérieux. Je ne vais pas me trémousser mais te mettre une branlée.
- Une branlée ? Rien que ça ? A propos de branler...
Pauline se met contre lui et saisit son membre tendu pour commencer à le masturber. Cédric passe une main sous son menton et, avec tendresse, guide la bouche de sa fiancée vers la sienne.

Quand ils interrompent leur baiser, Pauline sourit :
- Ne fais pas ton macho. Ce n'est pas parce que tu as une bite que ça te rend meilleur que moi au tennis.
Elle arrête de le masturber et se contente de lui masser les testicules.

Cédric met quelques secondes avant de répondre :
- La bite non, mais l'entraînement, ça peut jouer, non ? J'ai été classé quand j'étais plus jeune.
- Et alors, j'ai fait aussi plusieurs années de tennis moi aussi.
- Tu as été classée ?
- Non, mais c'est parce que je ne voulais pas faire de compétitions. On règlera ça sur le cours tout à l'heure. En attendant...
Pauline tend à nouveau se bouche vers celle de Cédric pour échanger un profond baiser.

Pauline reprend possession de la verge dressée. Elle s'amuse à effleurer de la paume de sa main la base du gland, partie qu'elle sait être particulièrement sensible chez Cédric. Elle lui sourit :
- Essaye d'éjaculer vite, sinon on ne va pas avoir le temps de jouer au tennis.
- Mon sort est entre tes mains...
- Caresse-moi, ça te stimulera.
Le jeune homme caresse un sein d'une main et de l'autre il explore les fesses légèrement cambrées de sa fiancée.

Pauline murmure :
- Mmmm, j'ai l'impression qu'effectivement ça fait son effet.
- Toujours ma chérie. Ton corps me rend dingue.
- Mes surtout mes nichons quand même ?
- Bien sûr.
Cédric empoigne les deux seins pour les malaxer et les caresser :
- J'adore sentir les pointes de tes seins se dresser d'excitation sous l'effet de mes caresses.

Pauline s'agenouille soudain :
- Et moi j'adore sentir ta queue grossir dans ma bouche quand je te masse les couilles.
Avant qu'il ne puisse répondre, son gland est déjà dans la bouche de Pauline et elle lui malaxe les testicules de ses doigts experts.

- Aaaah coquine ! Tu vas pouvoir aller jouer au tennis rapidement avec traitement pareil !
La jeune fille abandonne sa fellation :
- Oui... j'espère que tu seras plus endurant au tennis !
- Dis-donc, toi non plus tu ne t'es pas montrée très endurante quand je t'ai sucé la moule.
Pauline ne répond pas se baisse pour lui lécher les testicules.

La langue de sa fiancée sur ces partie sensibles, ses doigts de fée, ses cheveux soyeux qui effleurent son gland. Tout cela est trop pour le pauvre Cédric. Une ultime contraction alerte sa fiancée. L'éjaculation est déclenchée. Le sperme jaillit. Un premier jet survole la jeune fille s'écrasant au sol derrière elle, ne laissant que quelques vestiges dans sa chevelure sombre. Le sperme continue de jaillir, éclaboussant le doux visage et le buste de Pauline. Cédric reprend peu à peu ses esprits. Il remarque que Pauline regarde vers la petite fenêtre :
- Qu'y a-t-il ?
- J'ai cru voir quelqu'un...
- Rodolphe ?
- Je ne sais pas...

Pauline se redresse :
- Prêt pour passer au vrai sport ?
- Oui. Va te nettoyer un peu, je vais chercher la voiture et si je croise Rodolphe je lui demande l'accès au terrain de tennis.
Pauline se dirige vers la petite salle de bain.
- Ok, tu lui demanderas aussi si c'est lui qui nous mâtait.

- Je ne crois pas qu'il l'avouerait aussi facilement...
Cédric sort en refermant la porte du bungalow. Pauline en profite pour se passer un coup de gant sur la poitrine. Quand elle a terminé sa toilette, elle entend la porte du bungalow s'ouvrir. Elle sort alors pour demander à Cédric :
- Tout est OK ?
Mais elle tombe nez à nez avec Rodolphe qui est en train de déposer une clé sur la table. Celui-ci est éberlué de voir apparaitre Pauline toute nue.

- Oh ! Je... désolé... je pensais qu'il n'y avait personne !
- Il n'y a pas de mal...
Pauline s'apprête à retourner dans la salle de bain mais elle se rend compte que sa robe est sur le canapé du salon et que ses autres vêtements sont dans la chambre, ce qui l'oblige à passer devant Rodolphe. Elle se contente donc de dissimuler sa nudité autant que possible.

Le gérant du camping tente d'expliquer les raisons de sa présence :
- Ce sont les clés des vestiaires du cours de tennis. J'ai reçu le SMS de votre mari mais j'étais de l'autre côté donc je me suis dit que je vous déposerai les clés en revenant. Je pensais que vous étiez avec lui.
Pauline ramasse sa robe et la met devant elle pour essayer de cacher un peu ses seins et son ventre.
- Ce n'est pas grave. Autre chose à nous dire ?

- Ah ? Euh, non... Vous pouvez y aller quand vous voulez...
IL est interrompu par l'arrivée de Cédric armé d'un gros sac de vêtements :
- Ah Rodolphe, je vous cherchais. Je viens de vous envoyer un SMS pour... Pauline ? Tu ne veux pas enfiler ta robe ?
- J'allais le faire juste quand Rodolphe est arrivé...

Le gérant se confond aussitôt en excuses, craignant finalement presque plus Cédric que Pauline :
- Je suis désolé. J'ai reçu votre message et j'ai voulu vous déposer les clés du vestiaire. J'étais persuadé que votre femme était avec vous. Si j'avais su qu'elle... enfin bon, je ne me serais pas permis d'entrer. Je suis vraiment désolé... Je vous laisse.
Dès que Rodolphe a quitté le bungalow, Pauline en profite pour enfiler sa robe. Cédric rigole :
- Héhé, je crois qu'il était encore plus rouge que ta robe !
- Il faut dire que je n'ai cru que c'était toi qui arrivais.
- Et donc tu as failli lui tailler une pipe en croyant que c'était moi ?
- N'exagère pas...

- Tu penses que c'était lui qui nous mâtait ce matin ?
- Aucune idée, mais je ne pense pas car il semblait vraiment gêné de la situation. Pas le genre à se planquer pour jouer les voyeurs...
- Ce qui en revanche est tout à fait ton genre.

- On ne me changera pas sur ce point... Dis-donc, tu comptes jouer au tennis en robe ?
- Non mais j'attendais que tu apportes les fringues.
- Les voilà.
Cédric lui pose le sac de vêtements sur le lit et la laisse se changer pendant qu'il sort le reste des bagages du coffre de la voiture.
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Weekend sportif - 2 : Échauffements
Samedi, 10h27
Quand Pauline sort de la chambre, en tenue pour le tennis, elle constate que Cédric est dehors en train de boire un café, l'attendant assis à la petite table en plastique blanc. Elle vient s'asseoir en face de lui :
- Voilà, je suis prête.

En relevant les yeux, Cédric prend conscience des vêtements qu'elle a choisis :
- Ah non ! C'est pas du jeu. Comment tu veux que je me concentre si tu mets ce débardeur presque transparent.
- Mais il n'est pas transparent !
- Bien sûr que si. Je distingue très bien tes seins et même les mamelons. Je ne vais pas pouvoir jouer si tu portes ça. Alors soit tu passes un soutif, soit tu trouves un haut un peu plus opaque.
Pauline fait mine d'être agacée mais elle n'est pas surprise. Elle avait choisi ce débardeur en sachant parfaitement quel effet cela aurait sur son fiancé. Elle retourne donc dans le bungalow et, ayant passé une brassière et un débardeur moins transparent, elle ressort quelques secondes après :
- Et là ? Ma tenue te convient ? Le débardeur est assez épais ? Les chaussettes sont assez longues ?

Cédric soupire :
- De toute façon, je crois que ce sera difficile pour moi. Quoi que tu portes, tu resteras sexy...
- Oh, ça ressemble à un joli compliment, ça.
- Ouais, mais n'oublie pas qu'on est là pour faire du sport ce weekend. C'est la priorité.
- Priorité par rapport à quoi, mon chéri ? Tu veux dire que tu ne veux pas baiser du weekend ?

- Bien sûr que non ! J'en serais bien incapable et d'ailleurs je sais que toi non plus. Ce que je veux dire, c'est qu'il faut quand même qu'on se réserve des créneaux sportifs conséquents et libre à nous ensuite de nous détendre en dehors de ces créneaux.
- Il y a la piscine, déjà... Rien que de penser à ce qu'on pourrait y faire, je sens que je mouille... Je vais finalement devoir retirer cette culotte...
- Ah non ! Déjà que la jupe n'est clairement pas réglementaire.
- C'est quoi la taille réglementaire ?

- J'en sais rien, mais ça doit être au moins de la taille du tamis de la raquette, non ?
- Tu crois ?
Pauline saisit une raquette et en observe le tamis :
- La longueur ou la largeur ?
- Bah non, quand même pas la longueur, sinon ce serait galère pour courir.
- Bon ben si c'est la largeur, je suis à peu près dans la norme, alors.

- Oui mais tu gardes une culotte.
- T'es gentil toi, tu crois que c'est agréable quand elle est toute humide ?
- Tu exagères...
- J'exagère ?
Pauline lui prend la main et la glisse sous sa jupe pour que ses doigts entre en contact avec le tissu effectivement humide. Cédric ne tient plus. Il lui soulève le débardeur avec la brassière et lui dégage les seins. Pauline est excité, elle a envie de ces caresses. Elle presque surprise que Cédric cède aussi facilement. Il se penche sur elle pour lui lécher un mamelon tendu.

Les doigts de Cédric, sous la jupe, commencent à masser la moule humide à travers la culotte. Pauline le laisserait bien lui donner un orgasme mais elle veut aussi faire monter davantage l'excitation, la sienne et celle de son fiancé. Reprenant le contrôle, elle le repousse gentiment :
- Allez, si on commence comme ça, on ne va pas faire de tennis du weekend...
Pauline rajuste son débardeur.

Cédric se ressaisit :
- Tu... tu as raison. Le sport avant tout.
- A cause de toi, ma culotte est vraiment trempée maintenant. Tu m'autorises à la retirer ?
- Tu ne peux pas en mettre une propre ?
- Si, mais on ne va pas commencer à faire des lessives. Bon ok. Je la garde mais j'espère que ça va sécher un peu. Il ne faudra pas me faire trop courir, hein !

En se dirigeant vers le cours de tennis, Pauline, marchant un peu devant, sent bien le regard de Cédric sur elle. Tournant un peu la tête, elle dit :
- Je vois que tu es déjà troublé...
- Hum... juste qu'en voyant tes cuisses musclées, je me disais que tu allais avoir une bonne endurance et que j'allais en chier.
- Tu vas surtout en chier si tu passes ton temps à me mâter...
Pauline s'amuse à relever sa jupette pour dévoiler ses fesses et sa culotte.

S'étant changé avant, ils traversent les vestiaires pour gagner directement le cours, laissant leur sac avec le change et les affaires de douche sur le bord du terrain. Le vestiaire ferme le terrain sur une longueur, tandis que les trois autres côtés sont clôturés par un haut grillage de prêt de quatre mètres. Outre la porte donnant sur les vestiaires, il y a une seconde porte grillagée donnant directement sur le camping. Pauline observe le terrain :
- Pas de première jeunesse, mais c'est très fonctionnel : le filet est tendu, le sol en bon état et le marquage au sol a l'air d'avoir été refait récemment.
- Ils prennent soins des campeurs même si ça ne semble pas être le succès attendu.
- Bon on s'y met ?
Pauline sort sa raquette du sac et quelques balles dont une s'échappe vers le filet. Cédric reste sans voix en la voyant ramasser la balle. Comme elle lui tourne le dos, sa petite jupette révèle ses cuisses très haut et Cédric sent poindre un début d'érection.

Tandis que Pauline prend position, Cédric sort lui aussi sa raquette :
- On fait un petit échauffement pour commencer ?
- C'est parti !
Pauline lance la balle en l'air pour faite son premier service mais manque la balle. Cédric se moque d'elle :
- Oulala ! Tu as besoin d'une remise à niveau ?
- Pfffff, c'est le temps de me remettre en jambe.
Pauline se penche à nouveau pour ramasser la balle fautive.

Cédric n'y tient pas. Il contourne le filet pour la rejoindre :
- Attends, je vais t'aider.
- De manière totalement désintéressée, j'imagine...
- Je ferais ce que je peux.
Venant contre elle, il lui prend le poignet pour guider l'orientation de la raquette tandis qu'il observe la position de ses jambes :
- Voilà, le bras avec la balle tendue devant, la raquette centrée sur la balle et un peu cambrée.

Pauline rigole :
- Oui, surtout cambrée, hein ? Espèce de petit pervers...
Cédric lui glisse sa main entre les cuisses et remonte lentement aux fesses, effleurant des doigts son intimité à travers la culotte. Ce léger contact fait feuler Pauline de plaisir :
- Hooo...
Elle s'écarte de lui et ajoute :
- Je crois que je suis bien échauffée monsieur le professeur. Retourne de ton côté maintenant.

Presque à regret, Cédric doit refaire le tour. Quand il est en position, Pauline lance le premier service. Les échanges commencent. C'est la première fois qu'ils jouent ensemble et chacun apprécie de voir que l'autre se débrouille très bien, rendant les échanges très intéressant. Pourtant, Pauline est un peu gênée quand elle se rend compte que deux jeunes traversent le camping et viennent dans la direction du cours de tennis. Cédric remarque ses regards inquiets et observent les deux individus qui arrivent :
- Je crois qu'il s'agit des deux italiens dont a parlé Rodolphe. Ne t'inquiète pas ma chérie, tu as une culotte. Ta tenue est presque décente.
- Idiot.
Cédric sait bien que la courte jupe est quand même très sexy et il s'amuse à la faire courir pour faire en sorte que la jupette s'envole au gré des mouvements de sa fiancée.

Les deux garçons, sans doute un peu plus jeunes que Cédric et Pauline, entrent sur le cours et viennent s'asseoir sur le banc au niveau du filet.
- Bonjour.
- Bonjour. On peut regarder ? Juste un peu ?
Cédric reconnaît bien l'accent Italien si caractéristique et se souvient avec plaisir de leur aventure avec Lorenzo. Malheureusement, il ne parle pas un traitre mot d'Italien. Heureusement, les deux garçons semblent à l'aise avec le Français.
- Oui. Ce n'est pas du grand spectacle mais ça ne nous dérange pas.
Les échanges reprennent. Cédric voit que Pauline bouge beaucoup et se demande si c'est pour essayer de gagner le plus de jeux possibles pour impressionner les deux spectateurs ou si c'est juste pour leur faire profiter de son charmant corps en action.

Cédric remarque que les deux garçons murmurent souvent et regardent surtout Pauline, même quand c'est Cédric qui réceptionne. En bref, il ne fait aucun doute à Cédric que les deux spectateurs se rincent l'œil. Entre deux échanges, Cédric s'interrompt avant de servir et leur demande :
- Vous appréciez le tennis ?
- Appréciez ? Ah oui ! Beaucoup. On aime beaucoup le tennis.
- Vous jouez ?
- Ah ? Parfois... Mais on apprécie surtout regarder le tennis.
Pauline murmure à l'attention de Cédric :
- Tu m'étonnes...
Cédric reprend donc les échanges, s'amusant à faire des lobes pour obliger Pauline à sauter.

Cela semble ravir les deux italiens et l'un d'eux dit assez fort :
- Peccato che portasse le mutandine...
L'autre rigole aussitôt. Pauline s'arrête et demande :
- Qu'est-ce qui vous fait rire comme ça ?
- Oui rien. Il me dit que tu sautes comme une basketteuse.
Pauline se demande s'il lui dit bien la vérité, surtout qu'elle sent les regards des garçons sur ses fesses. Elle soulève un peu sa jupette pour s'assurer que sa culotte est bien en place.

Les italiens se lèvent et repartent :
- Merci. Vous jouez bien. Beau spec-ta-cle.
Cédric note la difficulté qu'il a à prononcer le dernier mot. il les remercie :
- Merci, bonne journée.
Sitôt les deux italiens partis, ils reprennent le jeu. Pauline demande :
- Tu crois qu'ils se rinçaient l'œil ?
- Evidemment ! Ils n'ont pas arrêté de te reluquer le cul pendant les vingt minutes où ils étaient là. Ça t'a gênée ?
- Non. Toi, en tout cas, ça semble t'avoir plu. J'ai vu que tu bandais un peu...

Vers 11h30, après presque une heure de jeu, Pauline baisse les bras :
- Ouf ! J'ai mon compte. C'est vrai que tu te défends bien.
- Tu rigoles ? Je pense que si on avait compté les points, tu aurais remporté le match haut la main.
- On verra ça cet après-midi. Une petite douche ?
Pauline et Cédric regagne les vestiaires et, au milieu du couloir, voient la porte de droite avec l'écriteau "Hommes" et la porte de gauche avec l'écriteau "Femmes" :
- On se douche ensemble quand même ?
- Oui, côté Hommes ?
- Je ne sais pas... Si les Italiens venaient jouer eux aussi, ils passeront par là...

- Oh, ça te déplairait tant que ça qu'ils nous surprennent ?
- Un peu oui... On ne les connait pas du tout...
- Ok, allons-y pour le côté Femmes, alors.
Dès que Cédric a refermé la porte du vestiaire, Pauline retire en même temps son débardeur et sa brassière sous le regard admiratif de son fiancée.

Cédric soupire :
- J'étais tellement obnubilé par ta courte jupe que j'en ai oublié que tu n'avais pas de soutif et que ses jolis seins étaient libres sous ce petit débardeur...
- Héhé ! Tant pis pour toi.
- Et je pense que nos amis italiens ne l'ont pas remarqué non plus.
Pauline s'installe sous la douche et appuie sur le bouton pour envoyer l'eau tiède.
- Je n'en suis pas aussi sûre que toi...

Cédric se débarrasse de ses vêtements. Pauline est fascinée de voir qu'il a une parfaite érection :
- Mmmm, tu as bandé comme ça pendant toute la partie ?
- Non, heureusement, sinon, j'aurais vraiment joué comme une merde ! C'est de te voir et d'imaginer les deux italiens qui t'ont dévorée des yeux pendant vingt bonnes minutes.
- Hihi, tu crois qu'ils bandaient ?
Cédric vient s'installer sous la douche juste à côté de sa fiancée :
- Tu leur demanderas si on les recroise aujourd'hui !

- Idiot !
- Ou bien je leur demande si tu n'oses pas...
- Pfff, tu n'auras pas le courage. Mais, et si moi j'osais, comment tu réagirais ?
Pauline se colle à Cédric et commence à lui savonner le torse.

Cédric réfléchit :
- C'est sûr que je serais surpris. Déjà, comprendrait-ils la question ?
- Oh, je ne me fais pas de soucis pour ça. Ils parlent plutôt bien notre langue et je suis persuadée que ce vocabulaire, bien que non académique, fait partie de celui dont l'apprentissage est fait rapidement.
- Ok, on part du principe qu'ils comprennent. Vont-ils oser répondre positivement ?
- Ma question étant direct, connaissant le tempérament italien, je pense qu'ils répondront positivement, voire même en exagérant.
- Mmm, oui sans doute. Et ils te demanderont si toi aussi cela t'a excitée.
Cédric glisse alors sa main entre les cuisses de sa fiancée pour lui caresser la moule et titiller son clitoris dardé.

Pauline gémit de plaisir mais tente de continuer la réflexion :
- Oui, ils voudront savoir, mais je ne les laisserais pas s'en rendre compte par eux-mêmes...
- Mmm... dommage... En échange, ils t'auraient sûrement laissé caresser leurs tiges raides...
- Et qu'est-ce qui te fait croire que j'accepterai aussi facilement.
- Je te connais, tu ne résisteras pas.
- Tu me connais trop bien...
Pauline saisit le sexe tendu de son fiancé et commence à le masturber.

Cédric baisse les yeux sur la magnifique poitrine de sa copine et dit :
- Et si ces Italiens sont comme tous les autres hommes, ils ne résisteront pas à l'envie de te caresser les seins.
- Si je vois ces garçons regarder mes nichons comme toi tu les regardes, je pense que je ne les empêcherai pas de le faire...
Cédric empoigne aussitôt les deux seins à pleines mains pour les caresser avec gourmandise.

Mais Pauline lui échappe et, sans s'arrêter de le masturber, elle se glisse derrière lui :
- Mais jusqu'où cela peut-il aller ? Que m'autoriserais-tu ?
- La question est de savoir jusqu'où tu as envie d'aller.
Pauline semble réfléchir quelques instants, tout en laissant sa main continuer à monter et descendre le long de la hampe dressée.
- Juste les faire éjaculer, ce sera déjà pas mal, non ?

- Mais ils seront deux.
- Et j'ai deux mains.
- Effectivement... tu es efficace avec une seule donc je te crois sans problème capable de satisfaire deux hommes en même temps.
- Tu ne serais pas jaloux ?
- Si bien sûr, un peu... Mais je suis prêt à prendre sur moi, car je sais que ça peut t'exciter énormément.
- Crois-tu vraiment que ça m'exciterait ?
- Certain !
Cédric glisse sa main entre les cuisses de sa compagne. Ses doigts sentent que l'humidité moite entre les cuisses de sa fiancée n'est pas seulement l'eau de la douche mais bien une cyprine abondante.

Pauline repousse sa main :
- Bas les pattes !
- Et pourquoi ne pourrais-je pas moi aussi t'offrir quelques douces caresses ?
- Parce que je ne veux pas jouir et me maintenir dans état d'excitation pour en profiter plus tard avec toi.
Ce disant, la jeune fille s'accroupit et continue à masturber Cédric d'une main, tout en lui massant doucement les testicules de l'autre.

Cédric semble hésiter :
- Je... et moi ? Je vais... Tu veux que je me retienne aussi ?
- Tu penses en être capable ?
- Pas si tu continues de la sorte...
- C'est à toi de me montrer ta volonté. As-tu la force de me repousser ou même seulement de me demander d'arrêter.

- Rahhhh ! Tu es diabolique ! J'ai envie que tu me fasses jouir... et je n'en suis plus très loin... mais je veux t'accompagner sur cette voix d'abstinence temporaire pour jouir puissamment avec toi.
- Alors demande-moi d'arrêter si tu en as le courage...
- Je... s'il te plaît... Pauline... Je vais...
- Attention, je crois que tu es prêt à envoyer la purée !

D'un mouvement gauche, Cédric parvient à échapper aux fatales caresses de sa fiancée et se tourne vers elle :
- Stop !
- Et bien ? Je ne t'imaginais pas avoir une telle volonté. Tu m'impressionnes.
- Je veux en profiter plus tard avec toi...
- Bravo !
Alors qu'il se penche vers elle pour l'embrasser, Pauline s'amuse à lui masser à nouveau les testicules.

Cédric rigole et se dégageant :
- Oh, mais tu n'es pas très obéissante, toi !
- Moi aussi, j'ai mes faiblesses, mon chéri.
- Je crois qu'il faut vraiment que je m'inquiète si je te laisse avec ces deux Italiens...
Pauline attrape une serviette et commence à se sécher :
- Ces petits jeux ne remettront jamais l'amour que je te porte.

- Je le sais. Et ces petits jeux m'excitent moi aussi.
- Oui, tu n'es pas prêt de débander. Bon courage pour remettre ton short.
- Ce n'est pas juste, toi tu as moins de problème pour te rhabiller même si tu es autant excitée que moi.
Pendant qu'elle s'amuse à regarder son fiancé qui se débat pour remettre son short, Pauline réfléchit quelques secondes puis, affichant un sourire coquin, elle s'enroule dans sa serviette et dit: :
- Qu'à cela ne tienne. Je te propose de rentrer au bungalow uniquement vêtue de cette simple serviette.

Cédric acquiesce :
- Excellente idée. Tu espères croiser les italiens ?
- Ou Rodolphe...
Le jeune homme la regarde passer devant lui et passe la main sous le bas de la robe, effleurant ses fesses :
- Mmmm, c'est très court...
- Trop court ?
- Non, c'est parfait.

Cédric se charge du sac de sports avec toutes leurs affaires et suit la jeune fille. Ils sortent des vestiaires et se dirigent vers leur bungalow. L'un comme l'autre sont presque déçus de ne croiser personne. Quand Pauline entre dans le bungalow, elle pousse un cri de surprise :
- Ah !
- Pardon, je ne voulais pas vous faire peur...
Il s'agit de Rodolphe que tient un melon en main et le tend à Pauline :
- Tenez, j'étais juste passer vous donner un melon, pour vous souhaiter la bienvenue.
Pauline observe le melon mais ne le saisit pas :
- Désolée, si je prends votre melon, je devrais lâcher ma serviette et celle-ci tombera...

Cédric, qui a entendu les échanges, entre à son tour et vient saisir le melon en rigolant :
- Je vais le prendre. Merci beaucoup Rodolphe, c'est très sympa de votre part.
- Oh, on peut se tutoyer, si vous voulez.
- On peut. Nous te remercions. Ce sera parfait pour ce midi, on n'avait emmené que peu de choses car on comptait faire des courses cet après-midi. D'ailleurs, il y a un supermarché ou quelque chose du genre dans le coin ?
Rodolphe a du mal à se concentrer sur la question car Pauline vient de rentrer dans la salle de bain et laisse glisser sa petite serviette.

Détournant le regarde pour ne pas passer pour un voyeur, il répond à Cédric :
- Heu oui... Il faut remonter la nationale après le bourg pendant une vingtaine de minutes. Vous ne pourrez pas le manquer.
- Merci.
Rodolphe ressort du bungalow, non sans s'être autorisé un regard fugace vers la salle de bain dans laquelle Pauline semble se préparer :
- Bon appétit !
Pauline tourne la tête pour lui répondre :
- Merci, à toi aussi Rodolphe !

Dès que Rodolphe est dehors, Cédric regarde sa fiancée en souriant :
- Quelle petite... allumeuse !
- Oh ! Tu allais dire "salope" !?
- J'ai failli, mais dans ma bouche, cela n'aurait rien eu d'insultant.
- Je le sais. Je suis ta petite salope chérie.

- Tu sais que c'est la deuxième fois que Rodolphe s'introduit dans notre bungalow.
- Oui, mais toujours avec une bonne raison. Ce matin pour la clé des vestiaires du cours de tennis, là pour un melon.
- Venir te mâter serait aussi une excellente raison...
Cédric vient se coller à elle et l'embrasse dans le cou.

Le jeune homme est aux anges. Il bande comme un fou mais se demande bien comment il va parvenir à renvoyer des balles s'il doit se mesurer à un tel adversaire cet après-midi.
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Weekend sportif - 3 : Premier match
Samedi, 13h59
Après le repas, Cédric et Pauline reprenne le chemin du cours de tennis. Cédric garde une demi érection permanente, dans un état second et sait qu'il ne va pas en mener large durant cette partie de tennis. Pauline rigole en voyant son short déformé :
- Tout va bien, mon chéri ?
- Oui... mais je me dis que j'aurais dû te laisser m'achever tout à l'heure dans les douches. Là, je suis tellement fébrile que tu vas pouvoir marquer tous les points que tu veux.
- Je sais... En plus, tu vas être confronté à mon arme secrète...
Cédric fronce les sourcils alors qu'ils entrent pas le petit bâtiment des vestiaires. Il s'apprête à lui demander la nature de cette arme secrète mais la jeune fille s'enferme à ce moment là dans les toilettes :
- Je te rejoins tout de suite.
Cédric laisse donc le sac de change dans les vestiaires et emmène les raquettes et les balles. Quand il la voit arriver, il comprend quelle arme secrète elle parlait en voyant balloter sa poitrine sous le débardeur, de toute évidence désormais libérée de la brassière. Elle se met en position, attendant le service de son fiancé, suffisamment penchée pour qu'il n'ait aucun doute en observant les seins libres dans le décolleté.

Cédric soupire mais se demande bien comment il va bien pouvoir se concentrer. Il sert. Bien sûr la balle atterrit dans le filet. Pauline rigole :
- Eh bien ? Mon arme secrète te trouble à ce point ?
Elle s'approche du filet et se penche à nouveau dessus pour atteindre la balle. Cédric se plaint :
- Tu ne me laisses aucune chance...
- Et encore, tu n'as pas tout vu !
Pauline, ne parvenant pas à atteindre la balle, appuie sur le filet pour enjamber celui-ci. Dans ce mouvement, la jupette remonte sur sa taille, découvrant ses magnifiques fesses.

Cédric proteste :
- Ah non ! La culotte aussi ?
Ayant attrapée la balle, Pauline se redresse et lui sourit :
- Oui, je n'ai pas mis de culotte, mais j'ai quand même mis un string.
Elle soulève la jupette pour que son fiancé se rende compte de son erreur.

Pauline reprend position pour servir :
- Ok. On commence un match et on compte les points.
- Je n'ai aucune chance.
- Mais si, tu es meilleur que moi. Il te suffit de te concentrer.
- Pffff... aucune chance.
- Attention, j'y vais.

Le service est tiré et le match commence. Selon ses mouvements, Pauline sent que ses fesses, à peine cachées par la ficelle du string, se donnent en spectacle. Pas très à l'aise, elle se dit que heureusement son petit abricot est bien recouvert du triangle en coton. Cédric, attentif, le devine malgré tout fort bien. Pauline sent, quand elle court, l'air lui caresser entre les jambes, ce qu'elle trouve très agréable. Malgré cela. elle parvient à rester concentrée sur le match. Pour son fiancé, le match est une succession presque systématique de balles dans le filet ou en dehors du cours. Il ne parvient pas à se concentrer sur le match mais ne semble pas affecté par cette défaite annoncée. Cédric profite du spectacle merveilleux que lui offre sa fiancée. Il est content : il éructe un "Yes !" les rares fois où il marque un point mais surtout aussi à chaque fois que les mouvements de Pauline lui permettent de voir sous sa jupe.

Après plus d'une demi-heure de jeu, ils voient que les deux italiens sont de retour pour les regarder jouer. Cédric voit que Pauline ne s'attendait pas à cela et qu'elle est gênée de cette arrivée imprévue. Assez vite, les deux spectateurs s'aperçoivent de la tenue de Pauline, plus sexy que le matin. Ils ne perdent pas un de ses gestes. Pauline est d'abord un peu gênée par cette présence et les regards qui scrutent ses cuisses et ses fesses en permanence mais elle finit par s'en moquer, même si elle laisse passer quelques points par déconcentration. Puis, quand elle mène largement au score avec une sérieuse avance, elle en rajoute un peu en allant chercher des balles au fond du court et en se penchant au mieux pour offrir ses fesses au regard de Cédric mais aussi à celui des deux spectateurs.

La jeune fille les entend soupirer et chuchoter entre eux. Elle se sent en confiance puisqu'elle gagne, et qu'en plus on l'admire. Pauline finit par les regarder de plus en plus souvent, leur faisant de beaux sourires et même un clin d'œil à la fin du match. Sans venir l'embêter quand ils la voient rejoindre Cédric, ils décident de repartir, sans doute assez satisfait d'avoir pu profiter de mater les jolies jambes et les jolies fesses de la jeune fille qui n'a manifestement rien fait pour les en empêcher, au contraire. Quand les deux gars sont partis, elle interpelle Cédric :
- Je m'occupe des balles.
A chaque balle qu'elle ramasse, Pauline s'arrange pour tourner le dos à son fiancé et se penche bien plus que de raison.

Elle le voit même se passer la langue sur les lèvres d'un air gourmand, signe qu'il a apprécié le match et sa petite exhibition. Elle lui retourne un beau sourire pour lui faire comprendre que c'est en fait un plaisir partagé. Elle s'approche de lui :
- Je vois que tu apprécies mieux le string que la culotte.
- Evidemment. C'est plus agréable.
- Mais ça te déconcentre...
- C'était déloyal... Et absolument magnifique. Nos amis italiens semblent avoir profité eux aussi...
- Oui et ils étaient si concentrés sur mes fesses que je me demande s'ils ont remarqué que je n'avais pas de soutif.

Cédric sourit :
- Moi je l'ai remarqué et ça m'a valu une défaite cuisante.
Pauline se hausse sur la pointe des pieds pour lui chuchoter à l'oreille :
- Je serais capable de jouer sans rien sous ma jupe, tu sais...
Son regard s'illumine aussitôt :
- Chiche !
La jeune fille lui sourit et lui fait un clin d'œil.
- On verra au prochain match, demain demain matin... En attendant, passe-moi la bouteille, tout ça m'a donnée hyper chaud.
Elle prend la bouteille et, sous le regard ahuri de Cédric, se verse directement l'eau sur le visage et dans le cou.

Cédric, qui avait gardé son sexe gentiment gonflé dans son short, sent soudain celui-ci s'éveiller et se tendre comme un arc. Trempé par l'eau, le débardeur de Pauline devient rapidement transparent, épousant avec précision les courbes de ses seins et révélant avec précision ses mamelons tendus.
- Tu es folle... mais tu es magnifique !
- Folle ? Pourquoi donc ?

- Parce qu'on pourrait te voir !
- Et alors ? Les italiens sont partis et ils déjà bien aperçu mes fesses. Je suis presque vexée qu'ils n'aient pas remarqué que je n'avais pas de soutif.
- Tu sais, ça c'est mon fantasme. Beaucoup d'hommes trouvent qu'une fille en sous-vêtements est beaucoup plus sexy.
- Oui, le goût du mystère... Toi, tu veux que je sois accessible à tes caresses.
- Surtout à mes yeux.
- Et à ceux des autres, non ?
Après s'être aussi un peu aspergé les cheveux et le visage, Pauline repose la bouteille. Son débardeur est devenu positivement indécent.

Alors qu'ils ramassent leurs affaires pour regagner les vestiaires, ils tombent nez à nez avec Rodolphe. Celui-ci, le soleil dans le visage, ne voit pas encore Pauline et s'adresse à Cédric :
- Alors ce terrain ? Il n'est pas trop mauvais ?
- Non, il est parfait.
Cédric s'amuse de voir qu'il vient de passer devant Pauline sans remarquer sa tenue. Celle-ci s'adresse au jeune gérant :
- C'est une chance de pourvoir bénéficier de ces infrastructures dans le camping.
Rodolphe se tourne alors vers elle et en perd la voix.

- Heu, je oui... je... c'est chouette.
Cédric et Pauline ne peuvent réprimer leurs sourires devant la gêne du jeune homme. Cédric note même que les mamelons de sa fiancée se tendent encore plus en sentant les regards sur ses seins. Car Rodolphe, bien que gêné, laisse son regard revenir régulièrement sur la splendide poitrine que l'eau dévoile avec tant d'audace. Pauline reprend son sérieux et ajoute :
- Par contre, ça manque d'ombre. Il fait une chaleur à crever. Je suis obligée de me mouiller pour me rafraîchir.

- Je oui...
Rodolphe se tourne vers Cédric avec un air résolu. Il prend une profonde inspiration et dit :
- Il y avait des grands peupliers avant mais le précédent gérant trouvait trop compliquer à entretenir et il a préféré les faire couper par la Mairie. Trop tard pour rattraper le coup, maintenant. Vous n'êtes pas les premier à vous plaindre...
- Oh, on ne se plaint pas, c'est déjà super de pouvoir jouer. On fait attention à beaucoup boire et à se rafraîchir. Mais regardez, je me suis aspergée il y a quelques minutes et c'est déjà en train de sécher.
Pauline bombe le torse faisant gonfler sa poitrine.

Cédric constate effectivement que le débardeur est déjà nettement moins transparent. Il se demande même si sa remarque n'était pas innocente. Mais en voyant le regard pétillant qu'elle porte au jeune homme, il sait qu'elle joue juste de ses charmes. Il s'adresse à elle :
- Ma chérie, tu vas pouvoir prendre une douche pour te rafraîchir.
Rodolphe intervient :
- L'eau n'est pas très chaude dans les vestiaires, je vous conseille de la prendre dans votre bungalow.
Pauline et se dirige vers le vestiaire, passant devant Rodolphe :
- Si elle est plus fraîche, ça m'ira. Mon corps est brûlant et réclame d'être apaisé.

Rodolphe admire fugitivement une dernière fois la jolie poitrine que le débardeur qui sèche peu à peu révèle de moins en moins. Cédric tape sur l'épaule de Rodolphe en passant derrière lui :
- Vous aussi, il ne faut pas oublier de vous rafraîchir !
Le jeune gérant repart en prenant la porte sur le côté du cours :
- Je referme à clé cette porte. Vous fermerez en sortant par le vestiaire.
- Ok.
Cédric rejoint sa fiancé qui l'attend en souriant :
- Tu crois qu'on en a fait un peu trop ?
- Non, toi et tes seins vous avez été parfaits !
Cédric admire tranquillement la jolie poitrine encore moulée par le débardeur.

Ils décident d'aller tous les deux dans le vestiaire côté femme. Alors qu'ils commencent à se déshabiller, Pauline demande :
- Tu crois qu'il bandait ?
- Je n'ai pas pu voir, mais il n'est pas de bois. Je suis presque sûr que oui. C'est important ?
- Non mais ça m'excite...

Cédric baisse son short, libérant une splendide érection qu'il exhibe à sa fiancée avec fierté. Celle-ci se mord les lèvres en la voyant :
- Mmmm, appétissant.
- Elle aussi, t'excite ?

- Oui, mais cette bite j'y ai le droit, donc elle m'excite un peu moins que celles de Rodolphe ou des italiens.
- Je comprends. Mais tu ne les as pas encore vues, les leurs.
- Non, je les imagine. Rodolphe est retourné dans sa cabane et je l'imagine en train de se branler en pensant à moi...
- Ou bien, il t'a parfaitement entendu quand tu as dit que tu allais prendre une douche et il va pousser cette porte pour se rincer l'œil encore.
Pauline se met sous la douche :
- Tu crois ?

- Si tu lui plait autant que je pense, il a interprété ta phrase comme une invitation...
- Tu plaisantes ? Je n'ai pas fait ça.
Cédric s'amuse à imiter Pauline avec une petite voix féminines :
- "Mon corps est brûlant et réclame d'être apaisé." Moi, rien qu'à t'entendre prononcer ces mots, ça ma donne la gaule !

- Pfffff... t'es con. Viens ici qu'on se douche ensemble.
- Juste se doucher ?
- Non... j'ai envie de toi...
Pauline se plaque contre Cédric, appuyant son ventre contre son sexe dressé, ses seins contre sa poitrine musclée. Leurs lèvres se trouvent.

Leurs langues s'enroulent. A la tournure que prend le baiser, Cédric sait que sa fiancée ne compte pas rester sage. Elle ondule contre lui, se frottant à son sexe, faisant prendre aussi conscience à Cédric à quel point les pointes de ses seins sont dures. Puis, elle s'écarte un peu saisit la prodigieuse érection pour commencer à faire coulisser sa main dessus. Cédric profite de ce petit écart entre leur deux corps pour empoigner les seins arrogants et pour les caresser avec passion.

Quand Cédric abandonne sa poitrine pour faire glisser sa main conte son ventre et effleurer son bouton d'amour, Pauline pousse un petit gémissement de plaisir et lui murmure à l'oreille :
- Prends-moi... Je n'en peux plus...
Alors qu'elle passe les bras autour du coup de son fiancé, celui-ci la saisit sous les fesses et la hisse haut contre lui jusqu'à ce que son sexe tendu se retrouve au contact de la fente trempée de cyprine. Alors, lentement, il la fait redescendre, la faisant s'empaler doucement sur son mandrin palpitant. Pauline soupire :
- Ooooooh... Je n'en pouvais plus...
- Tu ne voulais pas attendre jusqu'en fin de journée ?
- Non... trop envie... Sinon j'aurais sauté sur Rodolphe ou sur un Italien.

- Heureusement que je suis là alors...
- Ouiiiii.... Je t'aime.
- Moi aussi ma puce.
Cédric la fait coulisser doucement sur son pieux, la hissant, la rabaissant, la faisant surtout gémir de plus en plus.

Après seulement quelques minutes, Cédric sent sa fiancée se tendre entre ses bras. Il sait ce que cela signifie. Elle se contracte pour tenter de retarder l'orgasme mais, comme toujours, c'est déjà trop tard. Le sort en est jeté. Il sent Pauline se mettre à vibrer. Ses gémissements deviennent des cris de plaisir. Elle contracte ses cuisses autour de ses hanches. Son ventre est submergé de délicieuses petites convulsions qui manquent de peu de déclencher l'éjaculation de Cédric. Mais le jeune homme tient bon. Pauline se love contre lui quelques minutes, sans bouger, juste sous l'eau tiède. Quand elle a repris ses esprits, Cédric la soulève pour la dégager :
- Tu as eu un bel orgasme ma chérie ?
- Oui, c'était délicieux... merci.

- Peut-être que ça aurait pu être plus intense encore si tu étais parvenue à attendre un peu plus ?
- Non, je n'en pouvais plus. Si tu ne m'avais pas prise, je me serais masturbée... Mais toi, tu n'as pas joui ?
- Pas encore.
- Tu veux attendre ?
- Pas sûr que j'y parvienne. Je crains que la moindre de tes caresses ne déclenche le déluge...
- Mmmmh, je veux voir ça.
Pauline s'agenouille devant lui et commence à lécher la queue dressée.

- Doucement, ça peut venir à tout moment !
- Tant mieux !
Ne prenant pas en compte l'avertissement de son fiancé, Pauline engouffre le sexe turgescent et le suce doucement, faisant tourner sa langue autour du gland énorme.

Cédric se met à râler :
- Rhaaaa ! Tu m'as eu...
Pauline sans les testicules se tendre et tout les muscles du corps de son homme qui sont comme en suspend. Puis l'explosion arrive. Dès qu'elle sent la sève monter dans la colonne de chair, Pauline s'écarte et ouvre la bouche. Elle l'avait dit : elle veut le voir gicler. Le sperme jaillit, abondant et vient éclabousser tout le visage de Pauline. La coquine ne cherche pas à tout recevoir dans la bouche. Seul un peu de la liqueur passe entre ses lèvres. Le reste coule sur ses joues, dans son cou.

Quand Cédric rouvre les yeux, Pauline lui sourit et lui dit doucement :
- Effectivement, tu n'aurais pas tenu longtemps. Tu étais au bord de l'explosion et on a frôlé l'accident.
- Ma chérie, tu es sublime.
Pauline replonge sur le sexe encore tendu et le pompe pour lui arracher les dernières gouttes de la précieuse liqueur.

Après une bonne minute, Cédric la repousse gentiment :
- Merci ma douce, mais je ne vais pas débander si tu me suces comme ça...
- Mmmm. J'adore sucer ta queue, mon chéri.
Pauline se relève et Cédric l'embrasse à pleine bouche même si ce baiser a des relents du parfum acre du sperme. Chacun se douche ensuite, en admirant l'autre. Cédric, plus rapide, quitte a douche et se rhabille :
- Je vais préparer les affaires pour la piscine. Tu es d'accord ?
- Evidemment ! On l'a bien mérité.
Pauline reste seule sous la douche tiède et termine de faire disparaître les traces de sperme qu'elle a dans le cou et sur la poitrine.

Alors que le jet d'eau s'arrête et qu'elle s'apprête à sortir, elle se rend compte que la porte des douches est restée ouverte et que Rodolphe se trouve dans l'encadrure à l'observer, subjugué. Pauline cache aussitôt ses parties intimes :
- Hey ! Rodolphe, ça ne se fait pas de jouer au voyeur dans les douches des filles !

Rodolphe semble moins gêné que les précédentes fois, sans doute encouragé par l'absence de Cédric. S'avançant dans les douches, il dit :
- J'étais venu voir si vous aviez bien fermé et comme j'ai croisé Cédric, il m'a dit que vous vous apprêtiez à sortir que vous étiez déjà rhabillée. Mais il s'est trompé de toute évidence...
- Oui. Ou bien il voulait que vous me surpreniez...
- Pardon.
- Peu importe. Passez-moi la serviette.
Rodolphe prend la serviette et la tend à la jeune fille qui, s'avançant vers lui, ne dissimule plus sa nudité.

- Merci.
Rodolphe s'apprête à ressortir quand Pauline lui demande :
- C'est cher d'entretenir toutes ces infrastructures pour un camping avec si peu de vacanciers ?
Le jeune homme se retourne, souriant. Il est indéniable que cette jeune fille ne montre que peu de pudeur puisque, par sa question, elle l'invite à rester pendant qu'elle se sèche. Rodolphe fait volte-face et répond à Pauline sans se priver de l'admirer :
- Je ne sais pas. Je suis juste le gérant pour l'accueil mais c'est la mairie qui tient les comptes. S'ils maintiennent le camping, c'est que ce n'est pas un problème financièrement.
- Tant mieux pour nous.
Pauline se sèche sans se préoccuper des yeux de Rodolphe qui accompagnent la serviette sur sa peau nue.

S'étant séchée, elle s'enroule dans la serviette et lève les yeux vers le jeune gérant :
- Vous comptez m'aider à m'habiller ?
- Heu, non. Excusez-moi, je vous laisse.
- Merci. A plus tard, Rodolphe.

Pauline sourit en le regardant partir. Elle est heureuse. Rodolphe est un gentil garçon qui accepte de jouer les voyeurs mais qui ne demande rien, ni un baiser, ni même une caresse, se contentant de ce qu'on lui offre. Satisfaite, Pauline se rhabille et va rejoindre Cédric au bungalow.
Avec un passage librement inspiré du texte de Julia Bleau "Mes découvertes" (18 mars 2010) :
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb137/reve13763.html]^ ---------oOo---------
Weekend sportif - 4 : Détente à la piscine
Samedi, 15h33
A peine entrée dans le bungalow, Pauline commence à retirer son short alors que la porte est encore ouverte :
- Tu sais qui j'ai croisé dans les vestiaires.

Cédric rigole :
- Te voilà bien pressée de te mettre à poil, ma chérie !
- Je vais enfiler mon maillot ici pour gagner du temps.
- Bonne idée.
- Tu n'as pas répondu à ma question. Sais-tu qui est venu se rincer l'œil pendant que je terminais de me doucher ?
Pauline retire aussi son débardeur.

Le jeune homme prend une profonde inspiration :
- Je t'avoue que je te l'ai envoyé dans l'espoir qu'il profite effectivement du spectacle.
Enfilant son maillot, Pauline répond :
- Et tu n'as pas eu peur qu'il essaye d'aller plus loin que de mater ?
- Je pense avoir bien cerné Rodolphe. Un gentil voyeur qui ne fera pas plus que ce qu'on l'invite à faire.
- J'aurais pu l'inviter à venir m'aider à me savonner ou me sécher...

- J'aurais regretté de manquer ça...
- Quoi ?! Tu n'aurais même pas été jaloux que je me fasse tripoter par un autre.
- ...
Pauline soupire en comprenant la signification du sourire silencieux de son fiancé :
- Pfff... Je suis conne... J'oublie à quel point tu peux être pervers....
Cédric vient la rejoindre et commence à lui caresser un sein, en le faisant sortir du soutien-gorge :
- Je crois que ça m'excite presque autant de te voir te faire tripoter que de te tripoter moi-même.

Pauline s'offusque :
- Et ça t'exciterait aussi autant de me voir me faire baiser par un autre ?
Re-silence, re-sourire de Cédric. Re-soupire de Pauline qui s'écarte vivement et se rajuste.
- Bah les pattes, vieux satyre !
Puis elle attrape une serviette et dit :
- Allez hop ! Tu bande déjà presque trop dans ton maillot pour pouvoir sortir, mais tant pis pour toi. On va à la piscine. C'est toi qui prend le sac.

Une fois dehors, Cédric interroge sa fiancée :
- Rodolphe en a bien profité ?
- Oui, je me suis montrée pudique sur le coup. Mais dès que la surprise a été passée, plus du tout... Il a dû se régaler.
- Il bandait ?
- Je n'ai pas pu voir. Mais j'imagine qu'il est retourné se masturber dans sa cabane de l'accueil. Ah tiens non, il fait de l'élagage...
Profitant des nombreux emplacements vides dans le camping, Rodolphe est effectivement en train de tailler les branches basses d'un groupe d'arbre. Pauline bombe le torse et lui dit :
- Encore au boulot ? C'est de l'entretient, un camping.

Rodolphe lève les yeux et arbore un large sourire en découvrant la jeune fille dans son bikini rouge très sexy :
- Hé oui. Ebranchage, taille, ramasser les feuilles... ça ne se fait pas tout seul.
- Bon courage.
- Merci !
Rodolphe les suit des yeux alors qu'ils se dirigent vers la piscine et il entend Cédric dire doucement à Pauline :
- Tu pourrais l'aider en faisant un peu d'effeuillage...
Le jeune homme accompagne sa proposition par des gestes rapides : il abaisse le string de Pauline sur ses cuisses et défait le nœud du soutien-gorge.

Pauline se tortille et peste contre lui :
- T'es con ! Il nous regarde...
Cédric se garde bien de lui répondre qu'il le sait parfaitement. Pauline le connait. D'ailleurs, elle fait preuve d'une pudeur particulière puisqu'elle commence par renouer son soutien-gorge plutôt que de remonter son string. Cédric voit que Rodolphe ne la quitte pas des yeux. Il demande à sa fiancée :
- Mais ça n'aurait pas été plus décent que tu commences par remonter ton string.
- Ce qui aurait été plus décent, c'est que tu ne me mettes pas à poil, abruti.

- Oh, tu exagères toujours. Tu es dénudée, mais pas nue. Ton string peut être remonter en cinq secondes alors qu'il te faut vingt à trente secondes pour renouer ton soutien-gorge.
- Et bien sûr, tu ne m'aiderais pas ?
- Laissons Rodolphe profiter au maximum du spectacle.
- Il a déjà vu tout ce qu'il voulait tout à l'heure dans la douche.
Pauline termine par remonter son string :
- Me voilà décente.

Ils repartent vers la piscine. Une fois arrivée, elle demande à Cédric :
- Bon alors. C'est weekend sport et on enchaîne les longueurs pendant une demi-heure ou bien tu penses avoir été assez humilié pendant notre match de tennis et on a bien mérité de se reposer.
- Je n'ai pas été humilié. Juste déconcentré. Délicieusement déconcentré. N'hésite pas à me déconcentrer de la sorte à chaque occasion, ce sera un plaisir de perdre contre toi.
- Je n'en doute pas.
- Et pour répondre à ta question, oui, je crois qu'on a bien mérité un peu de détente.
- Je ne attendais pas moins de toi...

Une fois au bord du bassin, Pauline se dirige vers un transat et s'y assoit. Cédric s'étonne de la voir s'installer déjà :
- Tu ne te baignes pas avant ?
- Non... peut-être plus tard. Oh ! Je vois à ta mine déçue que tu comptais faire quelques galipettes dans l'eau avec moi. C'est cela ?
- J'avoue que ça m'a traversé l'esprit...
- Et bien moi je veux me prélasser au soleil pour le moment.

Un peu déçu, Cédric la regarde s'allonger sur le transat et offrir son corps sublime à la caresse des rayons du soleil.
- Quelle chance il a...
Pauline relève la tête :
- Qui ça ?
- Le soleil.
Pauline sourit et se rallonge.

Même si Pauline ne semble pas porter beaucoup d'intérêt à ce qu'il vient de dire, Cédric poursuit son idée :
- Lui peu caresser ta peau sans avoir à le demander alors que moi je dois t'implorer...
- Sois pas con. Tiens, si tu veux, tu peux me passer de la crème solaire.
- Super ! Retire ton maillot.
Cédric a déjà saisi l'ambre solaire dans le sac et commence à s'en mettre sur les mains. Pauline calme son ardeur :
- Ne t'emballe pas. Je ne fais ni intégral, ni topless. Les italiens pourraient débouler.
- Dommage...
Cédric se contente de ce qu'il a et commence à oindre le ventre de sa fiancée.

Ses mains s'attaquent ensuite au décolleté. Profitant que Pauline a les yeux fermés, il écarte, l'air de rien, millimètre par millimètre, le soutient gorge pour dégager un mamelon qu'il se garde bien de toucher pour qu'elle ne se rende pas compte de l'évasion. Elle lui dit :
- Je crois que ça suffit pour le buste. Tu peux m'en mettre sur les jambes.
Bien sûr, elle n'est pas surprise qu'il commence par les cuisses et qu'il s'attarde plus particulièrement sur l'intérieur, effleurant sa vulve au travers du bikini. Pauline le laisse faire. Sa respiration s'accélère. Elle lâche quelques petits gémissements quand les doigts de son fiancé repoussent un peu le tissu du maillot et glissent le long des lèvres de sa moule. Les gémissements se font de moins en moins retenus. Pauline semble soumise à ses caresses. Soudain, elle rouvre les yeux et se redresse, se rendant compte de sa tenue : un sein à moitié dégagé et le tissu du string rentré dans sa fente.

- Que... ? Qu'est-ce que tu me fais faire ?
- Ne t'inquiète pas chérie. Il n'y a personne, si quelqu'un approche, je te couvrirais avec la serviette.
Rassurée, elle referme les yeux. Cédric en profite pour relever le soutien-gorge pour bien dégager les seins.

Pauline gémit dès que sa main reprend possession de ses mamelons. L'autre main glisse entre ses cuisses et caresse sa vulve brûlante au travers du tissu du maillot. Cédric lui murmure à l'oreille :
- On dirait que tu t'es déjà baignée tant ton string est trempé...
- Salaud, tu vas me faire jouir ici, mais je ne veux pas...
- On va voir ça.
Cédric vient se mettre à ses pieds et attrape le string pour le faire glisser, d'un mouvement souple et ferme. Pauline proteste, pour la forme :
- Cédric... non, tu es fou.

- Oui, fou de toi ma chérie. Tu es sublime, ainsi dénudée. Tu es exposée totalement au soleil, offerte intégralement à ses rayons et à mes regards.
Indécente, Pauline écarte les cuisses largement, dévoilant sa moule humide.
- Tu vas devoir me baiser...

Cédric sourit. Pauline perçoit un soupçon de sadisme dans son regard :
- Non ? Tu ne veux pas me prendre ? Qu'est-ce que tu veux ?
- Te faire jouir. Mais pas jouir.
- Pourquoi, tu en as très envie, je le vois.
Effectivement, le sexe de Cédric a bien du mal à trouver sa place dans l'étroit maillot, devenu passablement indécent.

Pauline se moque :
- Tu ne tiendras pas, je te connais.
Cédric ne relève pas. Il sait qu'il en est capable et soupçonne que la remarque de sa fiancée a pour seul but de le mettre au défi. Il vient la rejoindre en se positionnant à sa tête et se remet de la crème dans les paumes des mains. Il insiste sur les seins, sur les mamelons.
- N'est-ce pas délicieux de pouvoir s'offrir ainsi totalement à l'astre du jour ?
- Si... Je suis bien protégée du soleil... Mais qui me protège de toi, petit vicieux ?

- Tu n'as pas besoin de protection contre moi. Je ne te ferai aucun mal... que du bien.
- Mmmm oui, c'est ce que je vois.
Pauline se frotte les cuisses l'une contre l'autre, signe de son excitation. Cédric l'a remarqué et il sait qu'elle aimerait qu'il s'occupe de son entrejambe mais il continue encore à s'occuper de sa poitrine.

Pauline gémit de plus en plus :
- Tu n'arriveras pas à me donner un orgasme seulement en me pelotant.
- Chaque chose en son temps, ma puce...
Lentement, une main descend vers le ventre. Lentement, Pauline écarte les cuisses, prête à accueillir ses caresses intimes. Quand enfin les doigts viennent au contact de son mont de Vénus, Pauline pousse un gémissement de soulagement. Curieuse, elle tire sur le maillot de Cédric, laissant au sexe turgescent la possibilité de s'échapper.

Lentement, Cédric fait tourner l'extrémité de son majeur contre le clitoris palpitant. Pauline gémit de plus en plus. Soudain, il s'arrête. Pauline se redresse et regarde de tout côté :
- Quoi ? Quelqu'un vient ?
- Non, ma belle. Je ne veux pas te faire jouir comme ça.
La jeune fille écarte alors les cuisses et semble satisfaite de cette annonce :
- Ah, tu te décides enfin à me prendre ?

- Tu te méprends. Je ne vais pas te faire l'amour. Mais tu vas jouir, je te l'assure. Sauf si tu veux que j'arrête là.
Pauline le regarde, interloquée. Elle ne sait pas ce qu'il lui réserve mais sait qu'il ne lui dira pas :
- Ok, vas-y. Mais garde un œil aux alentours si jamais quelqu'un approche....
Cédric hoche la tête mais il n'a d'yeux que pour l'adorable petite fente de sa fiancée.

Dès qu'elle sent le souffle de Cédric entre ses cuisses, Pauline se met à gémir aussitôt :
- Mmmmmh oui... vas-y. Bouffe-moi. Bouffe-moi !
Cédric fait durer le plaisir, l'obligeant à attendre. Il pousse un peu sur ses cuisses pour qu'elle s'ouvre encore plus. Les lèvres de la moule s'écartent et exhalent le suave parfum de la cyprine.

Son visage entre en contact avec la vulve. Pauline pousse un petit cri :
- Ah ! Salaud, tu vas me rendre folle. Qu'est-ce que tu attends ?
Cédric recule son visage. D'une main, entre le pouce et l'index, il écarte les lèvres trempées de cyprine. Puis, lentement, de son autre main, il engage son majeur et le fait glisser doucement dans l'orifice.

Pauline redresse la tête et Cédric découvre un visage suppliant, ravagé par le plaisir :
- Pitié Cédric... Ne me fais pas jouir juste avec un doigt...
- Ok ma puce.
Le jeune homme retire son doigt et, collant son majeur à son index, il insère les deux doigts dans la fente. Lentement, il remonte jusqu'à atteindre la zone granuleuse qu'il sait particulièrement sensible. En même temps, de son autre main, il pose son pouce sur le clitoris et tourne autour tranquillement.

Pauline rejette la tête en arrière :
- Oh putain ! Que c'est bon ! Continue, ne t'arrête pas.
- Mais j'y compte bien, ma chérie.
Cédric se penche sur le délicieux fruit ouvert et juteux que ses doigts continuent à investir. Sa langue se tend et vient agacer le clitoris tendu à l'extrême, faisant pousser un petit cri de plaisir à Pauline.

- Aaaah ! Ouiiiiii... Cédric...
Elle prononce son prénom dans un souffle. Cédric abandonne le clitoris : il ne veut pas la faire jouir trop vite. Effectivement cela semble apaiser légèrement son excitation mais elle s'en plaint :
- Oh, pourquoi ? C'est bon le cuni aussi...
- Je veux te voir jouir par mes doigts seuls.
Le jeune homme ressort ses deux doigts et les replonge lentement dans la fente en y adjoignant son annulaire.

Pauline rejette la tête en arrière et profite de cette sensation formidable des doigts qui la pénètrent lentement. Une fois bien engagé, les doigts se mettent en activité en elle. Elle se tortille en gémissant :
- Oooooh ! Ooooh ! Aaaaah ouiiiii !
Cédric sait que, sans la sollicitation du clitoris, l'orgasme est plus long à venir mais qu'il peut malgré tout être très intense. Enivré de la voir ainsi, en plein extase, il ajoute son petit doigt à l'incursion suivante. Pauline ne sent ses doigts qui s'agitent en elle comme autant de tentacules diaboliques.

L'orgasme la saisit soudain. Violent. Pauline crie. Elle se tord sous l'effet du plaisir. Cédric peine à maintenir ses doigts en elle tant les saccades de son bassin sont brutales. Les doigts de Cédric continuent leur terrible danse dans les profondeurs intimes de sa fiancée jusqu'à ce qu'elle soit prise de convulsions. Pauline a l'impression que son cœur explose. Enfin, Cédric arrête de bouger ses doigts pour la laisser reprendre sa respiration. Les contractions du vagin autour de ses doigts commencent à s'atténuer. La jeune fille reprend peu à peu son souffle. Cédric retire ses doigts lentement. La fente béante laisse échapper un filet de cyprine.

Quand Pauline a repris ses esprits, elle se redresse et regarde son fiancé :
- T'es dingue !
- Quoi ?
- Tu me fais jouir ici, alors qu'on aurait pu nous surprendre...
- Je pense qu'on t'a entendue...
- J'ai crié fort ?
- C'était assez peu discret.
- Et en plus tu n'en as même pas profité pour me prendre.
Pauline écarte les cuisses largement pour montrer à Cédric qu'elle ne comprend pas pourquoi il ne l'a pas pénétrée avec son membre.

Cédric admire la moule encore dégoulinante de cyprine :
- Ma chérie, d'abord je veux garder mon excitation au maximum. C'était extrêmement tentant mais, tu vois, j'ai réussi à tenir.
- Je ne t'aurais pas cru capable...
- Et d'autre part, j'étais ainsi parfaitement lucide pour pouvoir t'admirer avoir un orgasme.
- S'il n'y a que ça, tu n'as qu'à me regarder baiser avec un autre mec.
Cédric sourit :
- Héhé, fais attention à ce que tu dis.
Pauline, toujours assise, baisse le maillot de Cédric et saisit son érection pour la sucer. Cédric la laisse faire mais lui dit :
- Je ne me suis pas retenu pendant tout ce temps pour finir dans ta bouche.
Il tente de reculer mais Pauline tient fermement son sexe pour l'empêcher de quitter sa bouche. C'est à ce moment qu'un mouvement sur le côté attire le regard de Pauline.

Ils ne sont pas seuls : les deux italiens viennent d'arriver sur le bord de la piscine :
- Désolé de vous déranger...
Mais il ne semble pas désolé du tout. Cédric les soupçonne même d'être présents depuis un certain temps. Comme Cédric remonte son maillot et Pauline attrape sa serviette, le second ajoute avec son magnifique accent italien :
- Si vous avez fini avec lui, mademoiselle, vous pouvez vous occuper de nous. Deux pour le prix d'un.

Cédric rigole et répond :
- Désolé messieurs. On ne devrait pas faire ça ici. On aurait dû aller à notre bungalow.
- Oh. Cela ne nous dérange pas. C'était un très beau spectacle. Moi c'est Nino et mon grand frère Matteo. Vous avez raison de vous reposer après le match de tennis.
Pauline a couvert sa nudité avec la serviette. Elle sent les regards des deux garçons en permanence sur elle, même quand ils semblent s'adresser à Cédric.

Pauline se lève, enroulée dans la serviette :
- Tu me passes mon maillot, Cédric ?
Le jeune homme ramasse les vêtements et tend à sa fiancée le string dans la main gauche et le soutien-gorge dans la main droite. Cela était-il prémédité de la part de Pauline ? Lâchant sa serviette pour attraper son bikini, la serviette tombe au sol. Aussitôt, elle cache sa poitrine maladroitement.

Matteo siffle. Nino sourit :
- Ne cachez pas un si joli corps. Vous vous donnez du mal pour être belle, il ne faut pas en avoir honte.
- Je n'ai pas honte, je suis pudique.
Cédric rigole :
- Pudique mais excitée. Tes mamelons semblent bien tendus, Pauline.
Pauline se rend compte qu'elle cache fort mal ses seins et décide donc de leur tourner le dos.

Mais les sifflements fusent alors de nouveau. Nino dit :
- L'envers vaut l'endroit.
Pauline le défie :
- Tu parles bien le français. Tu dois avoir l'habitude de draguer les françaises, non ?
- Oui. J'ai étudié le français à l'école.
- Et ton frère, il a perdu sa langue ?
- Non, il parle qu'un petit peu, alors il me laisse faire. Et il est plus timide que moi. Et quand je vois une si belle paire de fesses, j'aimerai arrêter de parler et passer à autre chose.
Pauline tente de cacher aussi ses fesses, en sachant que c'est parfaitement inutile.

Alors que Cédric se décide enfin à tendre son string à Pauline, Matteo la désigne du doigt :
- Pauline, si ?
- Oui. Et mon fiancé c'est...
- Cédric. J'ai entendu avant.
Pauline se moque un peu de lui en enfilant son string :
- Donc vous n'avez pas perdu votre langue.

Matteo dit :
- Je comprends mieux que je parle. J'écoute. Je laisse Nino parler. Plus facile.
- C'est dommage, vous avez aussi un accent très sexy.
Cédric note qu'elle a utilisé ce mot en jetant un œil très appuyé à la bosse du maillot de l'aîné des deux frères italiens. Elle semble d'ailleurs prendre tout son temps pour nouer son string.

Cédric intervient :
- Nino, Matteo, est-ce que ça vous dit de venir prendre l'apéro à notre bungalow en fin d'après-midi ?
- Oh oui, volontiers. Vers quelle heure ?
- Il faut qu'on aille faire quelques courses et qu'on se douche. Disons vers 18h30, ça vous irait ?
- Parfait, dit Nino. Il faut aussi qu'on fasse des courses. Je peux vous accompagner ?
- Volontiers, je ne sais même pas où se trouve le supermarché.
- Alors je vous guide. Je connais.
- Matteo reste là ?
- Oui on fait les courses chacun son tour. Et c'est mon tour.
- Ok. Dans ce cas Pauline, tu peux peut-être rester ici et profiter de la piscine. Si je suis avec Ninon, on sera assez de deux.
N'ayant pas encore remis son soutien-gorge mais cachant sa poitrine avec ses mains, Pauline écarquille les yeux, n'en croyant pas ses oreilles :
- Tu... tu veux vraiment ?

- Oui, ce sera mieux. Profite de la piscine toi aussi. Essayez de faire connaissance. Je repasse au bungalow pour m'habiller et prendre mes papiers. On revient d'ici une bonne demi-heure.
- Ok. C'est toi qui vois.
Cédric sait ce qu'il fait. Il sait que Pauline plait à Matteo et que c'est réciproque. Pauline se dit que cela doit l'exciter d'imaginer ce qu'ils vont pouvoir faire en leur absence. Quand Cédric s'éloigne avec Nino, il se retourne et fait un clin d'œil à sa fiancée. Au moins, elle a terminé de remettre son bikini. Elle est décente.

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Weekend sportif - 5 : Les caresses du soleil
Samedi, 16h31
Après avoir croisé plusieurs fois Pauline et Cédric, les deux jeunes italiens les ont surpris au bord de la piscine du camping alors que Pauline, nue, offrait sa bouche à son fiancé. Malgré la gêne de la situation, les présentations ont été faites et Cédric a invités les deux frères à venir prendre l'apéritif dans leur bungalow. Nino, le plus jeune, est parti accompagner Cédric faire quelques courses, laissant à la piscine son frère aîné Matteo, avec Pauline.
N'ayant que quelques rudiments de Français, Matteo ne se montre pas très bavard, pourtant il ne manifeste aucune gêne à admirer la jeune fille. Si Pauline sent au début un peu d'embarras à se sentir observer aussi directement par un inconnu, l'excitation qu'elle ressent de plus en plus fait peu à peu disparaître ce trouble. Elle finit par lui demander :
- Vous venez souvent en France, toi et ton frère ?

Matteo semble réfléchir, cherchant ses mots.
- Uh... Nino vient chaque année. Moi, je suis venu enfant... il y a dix ans. Maintenant, c'est la première fois depuis.
- La France vous plaît ?
- Oui. Très jolies paysages et très jolies femme.
- Les italiennes ont pourtant bonne réputation et elles sont plus bronzées que nous...
Pauline s'allonge sur le transat et commence à se passer de la crème solaire.

Matteo la regarde faire. Elle s'attend à ce qu'il lui propose son aide mais il semble se satisfaire de se contenter de regarder. Se tournant vers lui, Pauline demande :
- Je trouve ça moche les marques de bronzage à cause des maillots. Est-ce que ça vous gêne si je ne retire ?
- Vous voulez que je regarde ailleurs ou que je parte ?
- Non, je vous demande juste si cela vous embarras ? Moi ça ne me gêne pas que vous me regardiez puisque vous m'avez déjà aperçue nue tout à l'heure.
- Oh. Alors oui, vous pouvez, ça ne me dérange pas du tout.
Pauline commence alors à faire glisser son string sur ses cuisses. Puis, voyant la mine béate de l'italien, elle s'interrompt et passe une main dans son dos pour dénouer le soutien-gorge, libérant ses seins.
- Si vous voulez bronzer, ça ne me dérange pas que vous vous mettiez nu aussi.

Pauline pose un regard appuyé à l'entrejambe du garçon qui ne semble pas préoccupé de la monstrueuse déformation de son maillot. Matteo se contente de faire une grimace pour signifier qu'il n'est pas tenté. Pauline se demande si c'est de la pudeur ou bien si Matteo a compris que cela l'excitera davantage s'il lui cache son érection. Par défi, elle se dit qu'elle va essayer de le faire bander tellement fort qu'il finira par être obligé de retirer son maillot. S'allongeant sur son transat, elle écarte largement ses cuisses et elle se met de la crème sur l'entrejambe et sur les seins.

Après avoir pris le temps de bien en étaler à l'intérieur de ses cuisses et sur toute la surface de ses seins, elle jette un coup d'œil à son italien. Le maillot est atrocement déformé. Elle sourit. Il répond à son sourire, pas dupe que la jeune fille fait tout pour l'exciter et l'exhibition délicieuse de sa moule qu'elle vient de faire lui confirme son hypothèse. Il pensait qu'elle était allée au maximum de l'indécence. Pourtant, il reste bouche bée quand elle se retourne et commence à se mettre de la crème sur les fesses, cuisses légèrement écartées.

Pauline se tortille, se contorsionne pour se mettre de la crème dans le dos. Elle finit par râler :
- Merde ! On a les bras mal foutu et y'a pas moyen de se mettre de la crème dans le dos soi-même... Vous me donneriez un coup de main, Matteo ?
- Oh oui.
Pauline pose la crème solaire sur le bord du transat et se rallonge en écartant les cuisses. Elle ferme les yeux et écoute. Matteo s'est saisi du flacon et s'en met sur les mains. Les mains se posent sur le bas de son dos. Peu à peu, elles descendent sur les fesses. Quand elles s'immiscent à l'intérieur des cuisses, Pauline, comme par réflexe, pousse un petit grognement de plaisir et écarte les cuisses un peu plus, révélant parfaitement sa moule.

Elle murmure :
- Surtout le dos, Matteo...
Celui-ci effleure la moule, qui lui semble déjà bien humide. Pauline insiste :
- J'ai dit plutôt le dos...
Les doigts du jeune homme sont maintenant au contact de la fente et il commence à les glisser entre les lèvres. Pauline soupire d'aise :
- Mmmmm... le dos, Matteo, j'ai dit le dos...

- Désolé Pauline, je ne comprends pas tous les mots de français.
- Pas grave... mmmmm...
Pauline n'insiste pas. Elle aurait finalement été très frustrée s'il avait effectivement remonté ses mains dans son dos. A force de caresse, elle sent qu'elle dégouline de cyprine. Matteo se fait plus hardis et commence à glisser un doigt dans la fente pour la masturber.

- Mmmm... je ne suis pas certaine que cela protège des coups de soleil...
- L'important c'est que ce n'est pas désagréable.
- Mmmmm, ça ne l'est pas du tout. Pas du tout...
Encouragé, Matteo ose lui mettre deux doigts pour continuer à la masturber.

Pauline gémit de plus en plus. Matteo dit :
- Je sais qu'on peut en mettre plus. On a pu voir ça avec Nino tout à l'heure...
Elle se redresse et lui saisit le poignet pour le faire arrêter et l'écarter :
- Vous... Vous nous avez vu faire... ça ?

- Oui, c'était... fascinant !
Pauline regarde le maillot de bain atrocement déformé par une érection galopante :
- Mmmmm, je vois ça. Vous n'êtes pas trop à l'étroit dans votre maillot ?
- Si... un peu...

Pauline est elle aussi fascinée par ce membre tendu moulé délicieusement par le tissu du maillot. Elle distingue presque parfaitement les contours du gland. Elle sent bien que Matteo est un peu pudique même s'il ne semble pas dérangé par le regard de la jeune fille sur son entrejambe. Elle tente malgré tout sa chance :
- Vous seriez peut-être plus à l'aise si vous le retiriez, non ?
- C'est un peu gênant...
- Je suis bien nue, moi. Vous serez plus à l'aise pour continuer.

- Continuer ?
- Oui, vous ne m'avez pas encore mis de crème sur le ventre...
Matteo semble hésiter et finit par abaisser son maillot, exhibant une érection prodigieuse, finalement assez fier de lui :
- J'espère que vous n'êtes pas choquée.
- La vache, si ! Vous êtes sacrément membrés.
- Je suis content que ça plaise à vous.

- Beaucoup...
Pauline se passe la langue sur les lèvres montrant explicitement que ce sexe est tout à fait à son goût. Elle s'allonge alors sur le dos sur son transat et tend le flacon de crème solaire à Matteo :
- Vous continuez ?
- Vous ne préférez pas le faire vous-même ?
- Non, je trouve que vous le faites très bien.
Matteo saisit le flacon et commence à en étaler partout sur le corps de Pauline. Ses mains parcourent chaque millimètre de peau de la jeune fille, s'attardant plus particulièrement sur les seins, s'amusant apparemment de voir les mamelons se tendre de plus en plus.

Comme Matteo s'arrête, semblant avoir terminer la tâche assignée. Pauline lui sourit :
- Vous en avez bien mis sur les seins. De ce côté-là, c'est bien, je suis protégée. Mais vous pouvez insister un peu plus sur les intérieurs de cuisses sur lesquels je trouve que vous êtes passé un peu vite...
Matteo sourit. Il prend conscience que la jeune fille est loin d'être innocente et qu'elle l'invite très explicitement à la tripoter. Pourquoi se priver ? Il reprend donc sa mission entre les cuisses légèrement ouvertes de la jeune fille. Il fait glisser ses doigts sur les lèvres gonflées, laissant parfois un doigt s'immiscer dans la fente pour effleurer le clitoris tendu.

Pauline a les yeux fermés. Son souffle est de plus en plus court. A chaque fois qu'un doigt du jeune homme effleure son clitoris, une petite décharge électrique lui remonte dans l'échine, provoquant un petit gémissement incontrôlé. Elle se laisse aller. Matteo s'attarde alors, laissant son majeur posé sur l'excroissance ultra-sensible. Pauline l'encourage à continuer :
- Mmmm, c'est si sensible... Il faut bien mettre de la crème ici...
- Vous décidez.

A force de caresses précises, les gémissements de Pauline sont de plus en plus sonores et de petites convulsions secouent parfois son corps, la positionnant parfois juste au bord du transat.
- Mmmm, vous êtes doué...
- Attention à ne pas tomber du transat.
Pauline rouvre les yeux et voit le formidable membre tendu juste à portée de main. Souriante, elle sourit et empoigne l'érection :
- Me voilà bien accrochée.

La main de la jeune fille sur son membre tendu trouble vivement le garçon. Surtout quand elle commence à monter et descendre lentement sur la turgescence. Lui-même s'enhardit. Il abandonne alors le clitoris et fait pénétrer son majeur dans le jeune déjà trempée de cyprine. Pauline s'arque aussitôt pour aller à la rencontre du doigt investigateur :
- Oh oui. Matteo... C'est bon...
Satisfait de la réaction de la jeune fille, il décide de la masturber avec deux doigts en ajoutant son annulaire. Pauline masturbe alors la tige de son bienfaiteur au même rythme que celui-ci assigne avec ses doigts.

Très vite, Pauline sent que l'orgasme la gagne. Une vive décharge s'empare d'elle et tout son corps est pris de spasmes alors que les doigts de Matteo s'agitent toujours dans son intimité :
- Oooooh ouiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiii...
Sa main, comme tout le reste de son corps, devient hors de contrôle et s'agite frénétiquement sur la tige du jeune homme, tandis que l'orgasme l'envahit toute entière. Quand elle entend les râles de Matteo, elle prend conscience qu'il va lui aussi jouir. Remontant ses genoux à ses épaules, elle oblige Matteo à retirer ses doigts et affiche de manière indécente sa moule béante dégoulinante de cyprine. Elle abandonne alors le sexe prêt à exploser. Matteo, comme en transe, saisit son sexe au moment où l'éjaculation débute. Les jets fusent et viennent s'écraser sur le ventre de la jeune fille puis, perdant en puissance, s'écoulent sur le bas du ventre et sur la délicieuse fente.

Quand elle reprend ses esprits, Pauline se redresse et observe tout le sperme entre ses cuisses :
- Matteo, vous êtes un sacré coquin. Vous m'avez mis du sperme partout.
- Je suis désolé...
- Il ne faut pas. Vous pensez que le sperme protège du soleil aussi ?
Pauline s'assoit sur le transat et passe ses mains entre ses cuisses et sur son ventre pour étaler le sperme partout sur son corps :
- Me voilà prête pour bronzer sans risque de coups de soleil.

Pauline se rallonge sur le transat, cuisses largement écartées :
- Cédric va être content si je suis bien bronzée sans marque de maillot.
Matteo s'installe sur un second transat et dit :
- Il sera moins content s'il sait ce qu'on a fait.
- Ne vous inquiétez pas de ça. Je lui dirai et il ne se fâchera pas. Au contraire, il adore que je lui raconte mes petits écarts.

- Alors on peut encore le faire ?
Pauline tourne la tête vers lui et voit que son érection commence à se redresser. Elle se rassoit :
- Mmmmm... oui, on pourrait. J'adore jouir. Et je vois que vous êtes déjà en état de remettre ça.

Puis se levant, elle se tient devant Matteo. Le sexe de celui-ci est à nouveau parfaitement tendu. Pauline lui sourit :
- Mais là j'ai aussi envie de me baigner.
- Maintenant ?
- Oui, après un orgasme, j'adore me baigner. Vous m'accompagnez ?

- Heu, non. L'eau n'est pas assez chaude.
- Oh, vous craignez que cela vous gâche l'érection ?
- Ehm, non non.
- Profitez du soleil, je profite de l'eau.
Pauline gagne le bassin et se laisse glisser dans l'eau.

Une fois dans l'eau, Pauline reste accrochée les mains au bord du bassin, laissant ses seins flotter à la surface de l'eau. Elle retente sa chance, davantage pour s'assurer que Matteo regarde dans sa direction que pour réellement obtenir une réponse positive. Mais est-ce vraiment utile ? Aucune chance que le jeune italien puisse regarder dans une autre direction :
- Vous devriez essayer, c'est vraiment agréable.

Matteo se contente de sourire. Pauline répond à son sourire :
- Okay. Je n'insiste pas...
Elle se retourne et entame une nage sur le dos. Du coin de l'œil, elle voit qu'il l'observe, ses seins ballottant à la surface de l'eau, son ventre ondulant et ses cuisses alternant, révélant parfois ainsi sa fente nue.

Après une longueur, quand elle se redresse, elle découvre avec plaisir que Matteo s'est levé. Il s'approche du bord du bassin et s'y assoit. Son sexe est fièrement dressé à nouveau et il semble l'assumer parfaitement, probablement certain de l'effet qu'il peut produire sur les filles. Quand il voit les yeux de Pauline se poser sur son érection, il la saisit et commence à se masturber lentement :
- Je suis encore dur à cause de vous.

Pauline fait mine d'être désolée :
- Oh, je m'excuse de vous mettre dans cet état.
- Non. J'aime beaucoup être dur quand je regarde une jolie femme.
- Et moi je suis fascinée par votre grosse tige.

- Vous voyez ? Elle est prête à servir encore.
- Faites-moi voir ça d'un peu plus près...
Pauline s'approche lentement. Matteo arrête de se masturber quand elle est à côté de lui. La jeune fille en profite pour saisir le membre dressé et commence à le masturber.

Le regardant dans les yeux, elle lui dit :
- Dommage que vous veniez d'éjaculer il y a peu, j'aurai aimé vous faire gicler à nouveau.
Mais à peine a-t-elle terminé sa phrase qu'elle voit dans les yeux de Matteo qu'il est déjà trop tard. Sa bouche est ouverte comme s'il venait de voir un martien. Mais Pauline a compris ce que cela annonce en sentant sous ses doigts la colonne de chair se mettre à vibrer. L'explosion la surprend par son intensité, un énorme jet de sperme vient lui fouetter tout le bas du visage, investissant même sa bouche. Puis seulement quelques gouttes s'échappent, s'égouttant dans l'eau de la piscine. Pauline fait un pas en arrière en se léchant les lèvres :
- Apparemment, vous avez oublié de mettre la sécurité et il était encore chargé.

Matteo pense avoir compris la blague. Il sourit mais demande :
- Comme un fusil ?
- Oui, c'est cela.
Pauline recule encore et s'asperge d'eau pour faire partir le sperme. Puis elle lui tourne le dos pour traverser le bassin. Quand elle sort de l'eau, elle met un temps infini à se hisser sur le bord, en posant un genou sur le côté. Cette position lui fait exposer parfaitement ses fesses et surtout sa moule. Cédric ne peut s'empêcher de se dire qu'elle le fait exprès, d'autant qu'elle semble observer sa réaction pendant cette longue extraction du bassin.

Matteo tente de rester impassible et retourne sur son transat. Il observe la jeune fille brune s'approcher de lui avec un regard de braise, Ses seins arrogants ont les tétons tendus. Cambrée, elle se passe les mains dans les cheveux pour en chasser l'eau :
- Tu as tort de te priver de baignade, ça fait un bien fou.
Il lui sourit :
- Je regarde. Tu es jolie, c'est déjà bien.
- Merci.

Retournant à sa chaise longue, Pauline attrape sa serviette. La voyant faire, de son accent chantant, Matteo lui demande :
- Pourquoi sécher si c'est e soleil qui fait ?
- Je préfère.
Pauline se sèche alors tranquillement, permettant à Matteo de bien se rincer l'œil sur sa poitrine et son ventre puis, quand elle se sèche les jambes, elle tourne le dos à l'italien et se penche en avant pour atteindre ses pieds. Matteo en aurait avalé son chapeau s'il en avait eu un, car la jeune fille lui offre une vue incroyable sur sa croupe et plus particulièrement sur son magnifique abricot.

Matteo n'a qu'à tendre la main pour l'atteindre. Il ne résiste pas à faire glisser un doigt le long de la délicieuse fente. Pauline se redresse et se retourne :
- Tu aimes mon abricot ?
- Abricot ?
- Oui, pour les Romains, tes ancêtres, ça voulait dire "fruit précoce" et je trouve que ça me va bien car c'est une partie très sensible de mon corps.
Matteo lui fait un grand sourire :
- Oui, j'aime ton abricot.
Pauline s'agenouille alors devant lui et saisit son membre en érection pour le masturber :
- Et moi j'aime ta queue qui semble ne jamais vouloir perdre de sa raideur.

Matteo ne semble pas surpris de cette familiarité. Il a observé à quel point son érection fascine la jeune fille. Alors il la laisse faire, encore une fois. Même s'il a déjà éjaculé deux fois, il sait qu'elle peut lui arracher encore un peu de sperme. Et c'est clairement ce qu'elle lui dit :
- Voyons voir s'il te reste encore un peu de semence...
Sa main gauche coulisse sur la colonne de chair tandis que la gauche entreprend de masser les testicules.

Matteo ferme les yeux et ne pense même plus à parler en français :
- Oh sì, vai avanti! Mi farai venire ancora...
Même si Pauline ne comprend pas un mot de ce qu'il a dit, elle a bien compris à son intonation qu'il est sur le point de jouir. Et effectivement, le sperme jaillit, sans effusion, et s'écoule lentement du gland tandis que Matteo, yeux clos et bouche ouverte, râle son plaisir.

Pauline sourit en admirant le sperme qui dégouline du membre dressé et macule une partie de sa main :
- Non seulement tu ne débandes pas, mais tu arrives encore à éjaculer abondamment même à la troisième fois.
- Grazie, sei bellissima. Je te trouve très belle.

Mais un bruit attire l'attention de Pauline, des pas dans les graviers du chemin.
- Mince, du monde arrive, rhabille-toi.
Matteo s'essuie rapidement avec sa serviette de bain et renfile son maillot. Pauline attrape le premier morceau de bikini qu'elle trouve, en l'occurrence le soutien-gorge, et l'enfile.

- Hého ? C'est nous.
Pauline reconnaît la voix de Cédric et attrape en urgence son string pour l'enfiler avant qu'ils n'arrivent.
- C'est Cédric et ton frangin... vite.

Nino et Cédric arrive sur le bord de la piscine alors que Pauline n'a pas terminé de remettre son string. A côté, Matteo est étendu sur le transat, les yeux fermés. Il pourrait paraître bien innocent si son maillot n'était pas atrocement déformé par cette érection dont il ne semble pas vouloir se défaire. Et pour Pauline, c'est encore pire car, dans sa précipitation, son string s'est mis en bouchon à mi-cuisses et elle peine à le remonter davantage en l'état. Nino la regarde avec étonnement et admiration. Cédric sourit :
- Dis donc, il a l'air peu pratique ce bikini pour glisser ainsi. Tu en serais presque indécente, ma chérie...

Pauline répond à son sourire. Elle est rassurée de voir qu'elle ne s'est pas trompée. Cédric devine nécessairement ce qu'il s'est passé avec Matteo et, par sa réaction amusée, il évite de mettre mal à l'aise les italiens, même s'ils ne sont sans doute pas dupes. Pauline répond :
- Oui, c'est un peu pénible. Heureusement que Matteo dort sans s'occuper de moi. Et sinon, vous ? Vous avez trouvé ce que vous vouliez ?

- Oui et, tu vois, on a même pris le temps de repasser aux bungalows pour mettre nos maillots avant de vous rejoindre.
Pauline se dit qu'il lui a sans doute ainsi offert quelques précieuses minutes supplémentaires.
- Je vous conseille une baignade, l'eau est délicieuse. Matteo n'a pas osé s'y risquer...
- C'est une bonne idée. Tu te baignes avec nous ?
- Non, je t'avoue que j'en ai déjà bien profité et là j'aspire plutôt à une douche.

Cédric se tourne vers Nino :
- Je te laisse te baigner ou bronzer avec ton frère ? Moi je vais donner un coup de main à ma fiancée pour sa douche.
Nino hoche la tête et lui fait un clin d'œil.
Le couple prend la direction du vestiaire pour s'arrêter aux douches.
^ ---------oOo---------
Weekend sportif - 6 : La crampe
Samedi, 17h36
Alors que Pauline et Cédric se dirigent vers les vestiaires, Cédric demande à Pauline :
- Alors ? Tu en as profité ?
Pauline baisse la tête et essaye de rester discrète :
- Un peu oui...

Cédric a les yeux qui pétillent, il veut en savoir plus :
- Alors ? Raconte ?
- Attend, pas si fort. On s'est mis à poil. Il m'a passé de la crème... il m'a fait jouir avec ses doigts.
Le jeune homme sourit :
- Super ! Et tu l'as remercié ?
Pauline sourit et répond fièrement :
- Oui, je l'ai masturbé trois fois.

Le couple entre dans les vestiaires et atteint les douches. Cédric n'a pas terminé son inquisition. Pauline pourrait tout lui raconter mais elle sait que cela l'excite d'imaginer progressivement et de questionner au fur et à mesure. Le jeune homme interroge donc :
- Et il a éjaculé ?
- Oui, les trois fois.
Cédric fait une moue d'admiration :
- Et rien de plus ?
- Non, je ne l'ai pas sucé et il ne m'a pas pénétrée si c'est ce que tu veux savoir, espèce de pervers.
Cédric l'embrasse dans le cou et lui caresse l'entrejambe à travers le tissu du string :
- Mmmm, tu n'as pas été trop frustrée ?

Pauline ferme les yeux, appréciant les attentions de son fiancé :
- Non, je sais que tu vas t'occuper de moi...
- Oui, mais la nouveauté... Et puis il a l'air bien monté.
Pauline appuie sur le bouton et enclenche le jet de la douche.
- Il l'est ! Mais le weekend n'est pas terminé...

Cédric rigole :
- N'oublie pas que notre weekend est dédié au sport et pas au sexe.
- Pfff. De mon point de vue, le sexe est du sport. De plus, avec l'entrainement du poignet que j'ai pu suivre avec Matteo, je suis certaine que j'aurai une excellente tenue du manche de raquette.
Portant ses yeux au maillot de son fiancé, outrageusement déformé par une splendide érection, Pauline ajoute :
- Je me sens d'ailleurs d'attaque pour prendre en main n'importe quel manche !

Cédric lui sourit :
- Je sais ce que tu veux, petite coquine. Mais moi je pense pouvoir tenir encore un peu.
Pauline semble déçue. Tout en retirant le haut de son bikini, elle lui répond :
- Vu comment tu bandes, c'est bien dommage...

La jeune fille semble troublée. Son regard de braise semble faire de l'effet à Cédric :
- Arrête de me regarder comme ça ! Tu vas finir par me faire éjaculer rien qu'à me regarder...
- Si seulement... Tu te douches ?
- Oui...
Cédric retire son maillot et s'installe sous une douche en face de celle de Pauline, affichant toujours une magnifique érection.

Pauline soupire :
- Espèce de salaud ! Comment peux-tu t'exhiber ainsi alors que tu sais j'ai une furieuse envie que tu me prennes ?
- Maîtrise-toi, ma chérie. Tu verras comme ton orgasme sera puissant quand il arrivera.
- Je n'en reviens pas que tu puisses te maîtriser ainsi.
Elle se débarrasse alors de son bas de bikini.

Cédric rétorque :
- Je ne maîtrise pas tout. Comme tu le vois, je ne parviens pas à débander.
- Moi, je sais bien comment t'y aider... Tu viens me savonner ?
Pauline tourne le dos à son fiancé et se cambre.

Le jeune homme râle :
- Rhaaa, traitresse. Si tu savais comme c'est dur...
Pauline sourit et rigole en voyant le sexe parfaitement dressé :
- Je vois ça, et c'est bien de cette raideur extrême que je propose de te soulager.
Cédric essaye de l'ignorer et se savonne mais ça n'apaise pas son érection.

Pauline se douche alors aussi mais elle n'hésite pas à se caresser en même temps :
- Mmmm, ça fait quand même du bien de se doucher...
Bien qu'il tente de résister, Cédric ne peut s'empêcher de la regarder de temps en temps. Sa fiancée se caresse sensuellement les seins et glisse même une main entre ses cuisses, tout en gémissant langoureusement.

Cédric finit carrément par lui tourner le dos pour ne pas succomber à la tentation pendant qu'elle finit de se doucher. Malgré cela, les gémissements de sa fiancée suffisent à le maintenir dans un état avancé d'excitation. Pourtant, à ce qu'il entend, il sait qu'elle ne va pas jusqu'à se donner un orgasme. Quand le bruit de sa douche s'arrête, Cédric se rend compte qu'elle ne gémit plus. Quand il se retourne, Pauline vient d'attraper sa serviette et lui demande :
- Tu as terminé aussi ? Tu t'habilles ?

- Oui. Tu me passeras la serviette quand tu auras fini ?
Pauline prend tout son temps pour se sécher, sentant le regard de braise de son fiancé tandis qu'il attend la serviette. Elle se moque même de lui :
- Mon pauvre, je vois que ton problème d'érection ne s'améliore pas...
- Je gère. Je gère.

Cédric essaie de montrer à sa fiancée qu'il se contrôle mais il meurt d'envie de la rejoindre et de lui faire l'amour. Pauline lui tend la serviette :
- Quand même, j'ai peur que ta stratégie ne paye pas...
- Que veux-tu dire ?
- Tu es si excité qu'il suffirait que je te touche pour que tu éjacules.
- N'exagère pas.
Le jeune homme se dépêche de prendre son jeans pour l'enfiler mais il se rend compte qu'il ne va pas pouvoir le refermer dans l'état où il se trouve.

Il s'attend à ce que Pauline se moque de lui mais celle-ci pousse un cri à ce moment-là :
- Aaah !
- Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
- Je fais ma maligne mais je viens de me faire une crampe à la cuisse... Tu peux me la masser, s'il te plaît ?
A aucun moment, Cédric n'imagine que sa fiancée est en train de lui jouer un tour à sa façon. Aussi, après avoir réussi à remonter son jeans, il vient la rejoindre et il pose ses mains sur ses cuisses :
- Laquelle ?
- Vers l'intérieur de celle de gauche, en haut...
Cédric remonte ses mains pour la masser et ne comprend le piège que quand ses doigts effleurent le sexe humide de sa fiancée, lui faisant pousser un profond soupir de soulagement, comme si elle attendait cela depuis longtemps.

- Ahhhhh...
Mais il est trop tard pour Cédric. Pauline relève une cuisse, ouvrant largement l'accès à sa moule. Le pauvre garçon ne résiste pas et engage son index dans la fente humide :
- Tu... tu t'es bien foutue de moi...
- Oh oui !

Pauline se redresse :
- Tu n'es pas obligé d'éjaculer mais fais-moi jouir s'il te plaît.
- Tu abuses ! Mais je ne résiste pas à tes trésors.
Cédric retire son index et glisse sa main vers le ventre de sa fiancée, laissant son pouce pénétrer entre les lèvres ouvertes quand sa main remonte.

Le souffle court, la jeune fille gémit :
- Mmmm, Matteo m'a fait jouir avec ses doigts lui aussi...
- Il ne t'a pas fait de cunnilingus ?
- Non...
- Spécialité française sans doute.
Cédric se penche en avant et pose sa bouche sur les lèvres du sexe offert, laissant sa langue s'immiscer dans la fente humide.

Pauline sent sa liqueur couler de son sexe, comme aspirée par les coups de langue de Cédric :
- Mmmm, en tout cas, c'est clair que toi tu sais y faire...
Posant la main sur sa tête, elle s'assure qu'il ne se dérobe pas à sa tâche.

Alors qu'il pense qu'il va la mener ainsi à l'orgasme, Cédric s'étonne d'être repoussé :
- Quoi ? Tu ne veux plus ?
- Oh, je veux jouir. Mais pas avec ta langue.
- Je t'ai dit que je voulais tenir encore.
- Et je ne vais pas t'imposer d'éjaculer mais je veux que me baise.
Sans lui laisser le choix, elle rabaisse son jeans et empoigne le membre turgescent.

- Tu es diabolique ! Comment crois-tu que ce soit possible ?
- Et bien, tu sembles avoir un contrôle incroyable sur ta queue donc je te fais confiance.
- Moi, je ne me fais pas confiance et ça s'appelle du viol.
Commençant à le masturber et à lui masser les testicules, elle le met au défi :
- Tu préfères éjaculer dans mes mains.

Cédric sait que sa fiancée en est tout à fait capable. Un peu honteux de ne pas trouver le courage de s'opposer à sa volonté, et répond :
- Non...
- Alors, prends-moi !
Elle lui tourne le dos et, appuyée au mur, se cambre, jambes écartées, en position d'attente.

Cédric redresse la tête et voit la formidable croupe offerte. Qui pourrait résister ? Il se dit qu'elle doit quand même beaucoup l'aimer pour ne pas avoir proposé cela à Matteo et qu'il serait bien stupide de ne pas en profiter. Il lui fait part de sa réflexion :
- J'imagine que si je résiste et que je te laisse dans cet état, tu vas retourner au bassin, sans même prendre la peine de d'habiller, pour te faire tringler par les italiens ?
- Je ne suis pas fan du terme "tringler" et je préfère plutôt "prise en sandwich" mais dans l'idée, oui, c'est ça.
- C'est donc sous la contrainte que je m'exécute.
Le jeune homme fait dans le théâtral mais ne compte bien sûr pas l'abandonner et passer à côté de ce succulent séant. Aussi, il s'accroupit derrière elle et lui écarte les fesses pour lui lécher l'anus.

Pauline pousse un profond soupir de contentement en sentant la langue tenter de s'immiscer dans sa voie étroite, puis redescendre dans sa fente jusqu'à son bouton d'amour. Bien sûr, ce n'est comme cela qu'elle veut jouir, mais elle connait bien son fiancé et sait qu'à ce stade, il ne va pas se contenter d'utiliser sa langue. Après quelques secondes de jeux de langue, il se redresse effectivement et, relevant la cuisse de la jeune fille, il plonge son sexe turgescent dans la fente béante, chaude et trempée.

Pauline soupire d'aise. Quel bonheur ! Le regard trouble, elle tourne la tête :
- Combien de temps... ?
- Que... quoi ?
- Tu es si excité... tu vas tenir... assez longtemps pour... me donner un orgasme ?
- Je m'y engage.
Se redressant, il s'enfonce en elle jusqu'à la garde et commence à la pilonner lentement. Pauline ferme les yeux et gémit de plaisir.

- Oh, c'est si bon. Tu es si gros en moi...
- Tu m'as dit que Matteo était bien monté. Tu ne regrettes pas que ce ne soit pas lui ?
- T'es con ! Je vais finir par croire que tu préfères mater que de me baiser toi-même...
Cédric ne répond pas. Il se pose la question lui-même... Là, pour l'heure, il doit bien avouer que c'est extrêmement plaisant d'être l'acteur plutôt que le spectateur. Mais il se dit aussi qu'il aimerait tenir encore un peu. Aussi, il glisse sa main sous le ventre de sa dulcinée pour lui caresser le clitoris, espérant ainsi déclencher son orgasme avant son éjaculation.

Quelques secondes suffisent à lui faire atteindre son objectif. Dès qu'il la sent partir, il interrompt ses caresses et se contente de faire glisser lentement son membre palpitant entre les cuisses écartées. Pauline crie.
- Oh ouiiiii ! Ouiiiiiiiiiiii ! Aaaaaaaaaaaaah...
Aucun doute, les italiens ont forcément entendu cela.

Quand elle reprend ses esprits et son souffle, Cédric est fier de lui, à la fois de lui avoir donné un si bel orgasme et à la fois d'avoir réussi à ne pas jouir. Alors qu'il commence à se retirer, Pauline se redresse pour l'empêcher :
- Attends...
- Quoi ?
- Mon arme secrète...
Cédric fronce les sourcils sans comprendre de quoi elle parle. Puis soudain, il prend conscience qu'elle est en train de contracter les muscles de son vagin autour de son membre tendu à l'extrême. Elle semble devoir se concentrer beaucoup mais le résultat est incroyable : Cédric sent son sexe, immobile, massé par des muscles puissants.

Il comprend enfin la manœuvre de sa fiancée. Il tente de s'extraire et oblige Pauline à se pencher en avant, mais il est déjà trop tard. Une puissante giclée de semence fuse dans le ventre de la jeune fille. Parvenant à s'échapper, les autres jets viennent quand même lui fouetter la moule et les cuisses. Tandis que Cédric râle de plaisir mais aussi un peu de frustration de n'avoir pas su tenir plus longtemps, le sexe béant de Pauline laisse échapper une incroyable quantité de semence qui ne correspond pourtant qu'au premier jet.

Cédric se recule, un peu hagard. Pauline tourne la tête :
- Tu m'en veux ?
- Comment t'en vouloir ? Non. Je m'en veux. D'être aussi faible. De manquer de volonté.
- Moi je ne regrette pas. Je ne sais pas si je t'avais déjà vu éjaculer autant...

Cédric et Pauline se remettent sous la douche pour se débarrasser de tout ce sperme. Puis voyant la cadrant de l'horloge des vestiaires Cédric sort et se sèche rapidement, :
- Il est bientôt six heure et demi. Je file préparer l'apéro.
Pauline, terminant de se nettoyer l'entrejambe lui dit :
- Rien ne presse, les italiens sont toujours à la piscine. Heureusement d'ailleurs, sinon ils n'auraient pas été déçu en venant se changer.

Cédric se rhabille mais hésite à partir :
- Heu, dépêche-toi, justement. Vu l'heure, ils peuvent surgir d'un instant à l'autre...
- Et ça t'embêterait qu'ils me voient nue ?
- Heu, non. Tu as raison. Je retourne au bungalow.
Cédric laisse donc sa fiancée terminer de se doucher. Une fois Cédric parti, Pauline attend que le jet s'arrête pour quitter la douche. Alors qu'elle se dirige vers le porte manteau pour attraper sa serviette, elle reste en arrêt en découvrant la porte qui s'entrebâille lentement. Aussitôt, elle cache ses parties intimes tandis que les têtes réjouis de Matteo et de Nino apparaissent.

- Ciao, principessa !
- Je termine de m'habiller et je vous laisse la place. Vous pouvez attendre dehors ?
- Mmmm, non. On vient de vous voir faire l'amour tous les deux, donc ça ne va pas nous choquer de te voir t'habiller.
- Vous... ? Oh mince.
Voyant qu'ils semblent décidés à rester, Pauline attrape la serviette et s'enroule dedans.

Au lieu d'aller aux douches, Nino se dirige vers les casiers et ouvre le sac de la jeune fille. Il en sort la sexy petite robe rouge et regarde au fond du sac pour constater qu'il n'y reste que le string :
- Pas de soutien-gorge ?
- Non, il fait trop chaud.
- Alors pas de culotte non plus.
Pauline ne répond pas car le ton de l'Italien semble ne pas souffrir de négociation. Elle attrape donc la robe qu'il lui tend et commence à l'enfiler. Comme elle voit que Matteo se douche mais pas Nino, elle lui demande :
- Tu ne te douches pas ?

Nino répond :
- Je me doucherai après.
Pauline va jusqu'à son sac et prend le string. Nino lui saisit le poignet pour l'arrêter :
- Inutile. Il fait trop chaud.
- Oui, mais je veux être décente pour vous accueillir à l'apéro tout à l'heure.
Fermement, Pauline échappe à son emprise et enfile le string.

Matteo se sèche et ajoute :
- Dommage...
Alors qu'elle est penchée devant le miroir pour mettre un peu d'ordre à ses cheveux, elle lui répond en s'adressant à lui à travers le reflet :
- Dis donc ! Il semble que tu en as déjà bien profité, toi.
Souriant, il répond :
- J'en profite encore.
Pauline note le regard de l'italien sur sa croupe dont le bas des fesses est dévoilé par la courte robe.

Répondant à son sourire, Pauline prend son sac. Puis, sans les regarder, elle sort des vestiaires de la piscine :
- Messieurs, on vous attend pour l'apéro dans environ un quart d'heure ?
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Weekend sportif - 7 : L'apéro
Samedi, 18h28
En arrivant au bungalow, Pauline tombe sur Cédric qui, en plein préparatif, sort un sac poubelle. Comme il la regarde, amusé, elle lui demande :
- Quoi ?
- Je pensais que tu reviendrais plus tard...
- Bah non, tu vois, je n'ai même pas profité des deux beaux italiens.

- Par contre tu as oublié la serviette.
- Merde.
- Bouge pas, j'y vais.
- Non, c'est bon, j'y retourne.
Ne laissant pas le temps à Cédric de réagir, elle fait demi-tour et retourne vers les vestiaires de la piscine d'un pas décidé. Elle aperçoit Matteo qui en sort et rejoint son bungalow. En s'approchant, elle entend le bruit de l'eau qui coule. Nino est donc encore sous la douche. Pauline se dit que ce serait dommage de ne pas en profiter pour se rincer l'œil. Discrètement, elle entre dans les vestiaires et se met à l'écart pour observer le bel italien sous la douche.

Se croyant seul, celui-ci a retiré son maillot et affiche un sexe légèrement gonflé qui fait immédiatement de l'effet à Pauline. La jeune fille a un peu honte de jouer ainsi les voyeuses mais elle se dit que ce n'est qu'un juste retour des choses puisque lui et son frère l'ont observée à la dérobée pendant qu'elle faisait l'amour avec Cédric. Pauline décide donc d'assumer son voyeurisme et profite du spectacle son retenue.

Elle apprécie de le voir ainsi se doucher, ayant presque le sentiment de violer son intimité. Elle l'a déjà vu nu à la piscine mais elle trouve fascinant de le voir ainsi, ne se sachant pas observé et donc n'essayant pas de plaire par des poses, des gestuels. Elle a le sentiment de le découvrir tel qu'il est en réalité. D'ailleurs, alors que Nino se sèche, la jeune fille constate avec amusement que son érection perd peu à peu de sa superbe.

Pauline se rend compte que, même s'il ne bande pas, que son sexe est recroquevillé, elle éprouve du désir pour le jeune homme. Ce n'est donc pas d'imaginer le potentiel plaisir que le sexe de Nino pourrait lui donner mais bien le fait de s'introduire dans l'intimité du jeune italien qui l'excite. Elle ne perd pas une miette de ce spectacle. Elle hésite même à relever sa robe pour se caresser l'entrejambe mais elle s'attend à ce qu'il regarde dans sa direction à tout moment et s'abstient donc.

Pourtant, elle sent la cyprine commencer à humidifier son entrejambe. Sa moule devient moite, son ventre semble s'électriser. Elle voit la serviette sur le porte manteau à quelques mètres d'elle. Mais elle se dit que si elle s'avance trop, Nino va prendre conscience de sa présence, surtout avec la robe rouge vif qu'elle porte. Elle guète le moment où le garçon se tournera pour atteindre la serviette. Et justement, il se tourne pour terminer d'enfiler son jeans.

Mais la vision de ces jolies fesses musclées paralyse complètement la jeune fille. Elle se rend compte qu'elle n'a pas pris le temps d'observer l'envers à la piscine, trop concentrée sur la manifestation éloquente du désir que Nino éprouvait pour elle. Elle ne pense plus à sa serviette. Elle veut aller caresser cette paire de fesses, aller les embrasser. Elle sent son ventre se nouer. Son sexe couler. Elle passe une main sous sa robe, ne résistant pas à l'envie de se caresser la moule.

Mais alors que Nino semble terminer de boutonner son jeans, Pauline a un sursaut de raison et, avant qu'il ne se retourne, fait un pas pour atteindre sa serviette et filer discrètement. En sortant des vestiaires, elle se demande si Cédric lui reprochera le temps qu'elle a mis pour récupérer la serviette. D'ailleurs, combien de temps a-t-elle passé ? Elle se dit que ça n'a sans doute duré qu'une ou deux minutes, rien d'affolant. Elle en est à ses réflexion alors qu'elle longe le bungalow des italiens où elle a vu Matteo entrer en revenant peu avant. Par curiosité, elle s'approche du bungalow et se penche à la fenêtre. La première chose qu'elle voit la laisse bouche bée : sur l'écran lumineux d'un téléphone portable, elle se reconnait. Matteo a, semble-t-il, pris plusieurs photos de ses ébats avec Cédric sous la douche. Pauline est sidérée.

Le jeune homme semble s'arrêter sur une vue où Cédric lui avait relevé la jambe et où on distingue parfaitement la tige de son fiancé pénétrer sa fente. Pauline pose sa serviette par terre et, se redressant un peu à la fenêtre, elle découvre alors l'occupation de Matteo. Celui-ci ne se contente pas de regarder les photos volées à l'insu du couple. Il est allongé sur le canapé et se masturbe tranquillement. Pauline est fascinée de voir la main monter sur le sexe tendu.

Encore une fois, elle apprécie cette position confortable de la voyeuse qui profite de l'intimité d'un homme. Mais cette fois-ci, elle n'a pas de scrupule à se donner du plaisir en profitant du spectacle car la fenêtre est en retrait du chemin et il y a peu de chance que Rodolphe ou d'autres vacanciers la surprenne. Relevant sa petite robe, elle écarte son string pour accéder à sa fente dégoulinante de mouille et commence à s'enfoncer le majeur pour se masturber.

Elle entend même l'italien murmurer son nom et d'autres choses qu'elle ne comprend pas vraiment.
- Pauline, stronzetta. Mi stai facendo eccitare!
Pauline observe la main qui s'active de plus en plus vite sur le membre dressé et impulse le même rythme à sa masturbation.

Pauline sent qu'il est sans doute proche de jouir et elle aimerait avoir un orgasme en même temps que lui. Mais si elle continue à ce rythme, elle va jouir avant lui. Elle doit quand même entretenir le feu qu'elle a entre les cuisses mais sans atteindre l'explosion. Aussi, elle n'hésite pas abaisser les bretelles de sa petite robe et à dégager ses seins pour les caresser, abandonnant temporairement son entre jambe.

Mauvais calcul. Elle entend Matteo avoir un râle et répéter un mot qu'elle ne comprend pas :
- Stronzetta !
Et avant qu'elle n'ait le temps de reprendre sa propre masturbation, elle voit le sperme jaillir et s'écouler lentement du gland cramoisi.

Elle hésite. Se termine-t-elle ou bien va-t-elle rejoindre Cédric dans cet état ? Cela ne pourra qu'être profitable à son fiancé mais pour l'instant, elle trouve cela plutôt frustrant. Alors qu'elle en est à ces réflexions, une voix derrière elle la fait sursauter :
- Tu espionnes mon frère ?
Aussitôt, elle rajuste sa culotte et remonte le devant de sa robe pour cacher sa poitrine nue.

- Nino. Tu m'as fait peur...
- Eh, j'ai l'impression que tu te caressais, non ?
- Heu oui...
Pauline rajuste sa robe. Nino jette un œil à la fenêtre mais en voit rien, son frère est parti à la salle de bain.
- Tu espionnes Matteo ?
Pauline prend une grande inspiration :
- Il était en train de se branler en regardant des photos sur son portable, de moi sous la douche avec Cédric...

- Oui, vous nous avez donné un magnifico spettacolo.
- Ah ça, je comprends.
Pauline réfléchit et demande :
- Qu'est-ce que ça veut dire "stronzetta" ?
- Héhé, ça veut que tu ne mets rien sous ta robe et que ça excite les garçons.
Nino empoigne un sein et le caresse à travers le tissu, faisant immédiatement saillir les mamelons.

Pauline semble étonnée par cette traduction et, du coup, le laisse la peloter :
- Vraiment ?
- Oui, exactement, ça veut dire que tu es une petite salope.
Pauline se plaque alors à lui et lui masse l'entrejambe.
- On dirait bien que la petite salope t'excite, toi aussi ?

- Tu es tellement... desiderabile ?
- Désirable.
Nino semble vouloir montrer à Pauline à quel point il la désire. Une main remonte la petite robe et caresses les jolies fesses tandis que l'autre fait glisser une bretelle pour s'emparer d'un sein et le malaxer.

Le jeune italien glisse sa main entre les fesses de Pauline et caresse du bout des doigts la moule à travers le tissu. Rapidement, le petit morceau de tissu devient moite et les doigts du garçon tentent de l'écarter pour s'immiscer dessous et explorer plus avant la fente de Pauline. Mais comme il ne parvient pas à écarter suffisamment le string, il tire un peu plus franchement dessus. La ficelle rentre dans la peau de la jeune fille et la fait réagir :
- Eh, doucement ! Tu me fais mal...
- Excuse-moi. Ce serait peut-être plus simple de le retirer.
Pauline se dégage et rajuste les bretelles de sa robe :
- Ok, mais je m'en occupe.

La jeune fille passe les mains sous sa robe et attrape le string pour le faire glisser. Nino sourit :
- Cédric sera content.
- Pffff, tu veux me faire croire que c'est pour lui que tu me demandes ça ?
Pauline fait glisser le string sur ses cuisses.

Nino s'approche alors d'elle et fait glisser les deux bretelles sur les épaules de Pauline. Elle interrompt le retrait du string :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je profite.
Une fois les bretelles dégagées, il n'a plus qu'à tirer un peu sur le décolleté pour dénuder la poitrine de la jeune fille. Pauline sourit :
- Pervers !

Dès que le string quitte les chevilles de la jeune fille, Nino la saisit à la taille et la fait pivoter pour la placer contre lui :
- Mi ecciti, stronzetta!
- Ah ? Je crois que je commence à comprendre l'italien...
Elle se cambre pour appuyer ses fesses contre le bassin de Nino. Celui-ci en profite pour glisser une main entre ses cuisses.

Malgré le pantalon, Pauline sent la protubérance devenir bien dure entre ses fesses. Craignant que cela ne dérape, elle se dégage de l'étreinte de Nino et rajuste sa robe :
- Hey, je crois que tu vas éjaculer si je continue, non ?
- Oui...
- Alors il vaudrait mieux qu'on s'arrête là... Et puis, c'est bien pour Cédric que tu m'as demandé de retirer mon string, non ?

Nino est contrarié mais n'en montre rien :
- Oui. Pour Cédric. Je trouve que tu es cruelle de profiter de ton corps quand vous jouez au tennis. Il n'a aucune chance contre toi.
- Oh ? De la solidarité masculine ? C'est mignon. Et donc tu crois qu'il sera sensible à ce que je ne porte pas de culotte pendant l'apéro ?
- Evidemment, n'importe quel homme y est sensible.
- Toi aussi alors ?
Pauline relève sa robe pour exhiber sa moule.

Nino sourit et s'exclame :
- Oh ! Toi aussi tu y es senseible, stronzetta. Je vois que c'est humide par là...
- Oui, tes caresses de tout à l'heure ont eu de l'effet. Et j'avoue que ça ne m'excite beaucoup d'être sans culotte.
- D'être accessible aux regards.
- Ou a des doigts...
Le garçon s'agenouille devant elle et ajoute :
- Ou a une langue.
Aussitôt, il plonge son visage entre ses cuisses et sa langue parcourt la fente humide, arrachant à Pauline un gémissement mêlant surprise et plaisir.

La jeune fille se sent partir. Elle ne veut pas jouir ainsi, cachée derrière un bungalow, surtout qu'elle ne se sent pas en mesure de réprimer ses gémissements et que cela attirera nécessairement Matteo. Mobilisant ce qui lui reste de volonté, elle s'échappe à regret à cette délicieuse caresse buccale. Elle l'arrête :
- Doucement... Je te rappelle que j'ai retiré mon string pour Cédric.
- Tu crois qu'il n'aura pas envie de te faire l'amour aussitôt qui va voir que tu n'as plus ton string.
Elle se penche en avant et repousse l'italien, sans violence :
- Qui sait ? Peut-être que je m'occuperai de lui pendant l'apéro...

Nino se relève.
- Il est bien chanceux Cédric.
- Moi aussi, je suis chanceuse. Mon homme me comble.
Nino vient se coller à elle. Elle sent contre son ventre la bosse de son entrejambe. Elle le laisse poser ses mains sur sa poitrine et lui caresser les seins à travers le tissu de la robe. Nino murmure :
- Tu pourrais aussi être comblée par plus d'un homme. Tu le mérites, Stronzetta.

Pauline s'écarte et ramasse sa serviette et son string par terre :
- C'est marrant ce mot italien, dans ta bouche, ça ressemble à un diminutif affectueux.
- C'est un peu vrai.
La jeune fille commence à repartir vers son bungalow pour retrouver Cédric :
- Il est l'heure. Vous nous rejoignez ?
- Bene. Tu promets de rester comme ça ?
- ???
- Sans le string.
Elle le met en boule dans sa main et lui lance. Malgré la surprise, Nino attrape le string. Pauline lui tourne alors le dos et relève l'arrière de sa robe pour dévoiler ses fesses :
- Tu me le ramèneras tout à l'heure.

De retour au bungalow, Pauline retrouve un Cédric souriant :
- Je vois que tu as pris un peu plus de temps. Tu as fait un petit tour en Italie ?
- C'est surtout un italien qui a fait un petit tour de la France.
- Matteo ?
La jeune fille s'assoit :
- Non, Nino cette fois.

- Matteo n'était pas là ?
- Il était dans son bungalow. Il a pris des photos de nous sous la douche tout à l'heure et je l'ai aperçu en train de se masturber en les regardant.
- Tu déchaînes les passions. Ce doit être très agréable d'avoir une cour de garçons épris de toi, non ?
- Oui... très agréable.

Des bruits de pas se font entendre et bientôt les têtes réjouis de Nino et Matteo apparaissent à la porte :
- Salut la France !
- Entrez les gars. Je viens de finir de préparer.
Cédric pose sur la table un plateau avec quatre verres, une bouteille de Muscat, une bouteille de Pastis et un bol de cacahuètes. Les garçons entrent et s'installent autour de la table. Cédric s'assoit à son tour. Nino engage la conversation :
- Vous aimez pouvoir faire du tennis ?
- Oui, répond Cédric. C'est chouette ici. Et il y a peu de monde. On profite bien.
- Comme ça vous progressez beaucoup ?
Pauline jette un regard de braise à Cédric et répond :
- Moi oui. Cédric, je ne sais pas. Je trouve qu'il n'est pas très concentré...

Cédric sourit. Il s'apprête à répondre mais Nino prend la parole avant lui :
- C'et parce que ça ne doit pas être facile de jouer avec une fille aussi jolie en face...
Cédric acquiesce :
- C'est exactement ça ? Qu'est-ce que vous voulez boire ? Muscat ou Pastis ?
Pauline se lève alors :
- Laisse, je vais faire le service.
Nino et Matteo désignent tous les deux le Pastis. Elle saisit la bouteille et se penche au-dessus de la table pour les servir, leur offrant à cette occasion tout le loisir de se délecter du spectacle splendide de ses seins nus dans le décolleté.

Matteo dit en rigolant :
- C'est aussi difficile de se concentrer sur un apéritif français...
- Désolée les garçons, je suis une fille et je ne peux pas faire disparaître mes seins.
Cédric sourit et sert du Muscat dans les deux derniers verres :
- Ce serait dommage. Disons que ce sont surtout tes tenues qui nous troublent.
- Mes tenues ?
Pauline repose la bouteille sur la table, faisant tomber le bouchon par terre, un peu plus loin. Alors qu'elle se penche pour le ramasser, Cédric note enfin qu'elle n'a plus de culotte.

Jetant un œil aux Italiens, il voit qu'ils n'ont rien manqués non plus : ils sont bouche bée devant la magnifique croupe dénudée par la petite robe trop courte. Cédric écarquille les yeux :
- Tu...
Pauline se redresse :
- Je quoi ? Hé ! Tout va bien les garçons ? On dirait que vous venez de voir une apparition de la Vierge ?
- Vierge, certainement pas... murmure Cédric.
Nino ajoute :
- Pauline, c'est ça que voulait dire Cédric à propos de ta tenue. Tu es trop sexy et comme tes tenues sont très légères, très courtes, ça le déconcentre pendant le match.
- Et pas que pendant le match !
Pauline désigne en rigolant l'énorme bosse qui déforme le tissu à l'entrejambe de son fiancé. Elle ajoute :
- Cache-moi cette vilaine réaction, vieux satyre.
Et comme pour l'aider, elle s'assoit sur ses genoux :
- Hop ! On n'en parle plus.
- Pauline, je ne sais pas si...
- Oh la vache !
La jeune fille semble surprise.

Matteo s'interroge :
- Che succede?
Nino sourrit :
- Je crois que le problème de Cédric est de plus en plus important.
Cédric tente difficilement de reprendre une profonde inspiration :
- Je... je vais gérer. A la vôtre les gars !
Pauline attrape leurs verres sur la table et lui tend le sien, en faisant, semble-t-il, exprès de se trémousser plus que de raison.

Lentement Pauline ondule sur les cuisses de Cédric. Celui-ci semble ne plus être du tout capable d'aligner un mot pour meubler la conversation. Nino et Matteo, troublés, sirotent leur Pastis comme s'il s'agissait d'un jus de fruit. Pauline tente quand même de lancer une discussion :
- Et vous les gars ? Vous faites un peu de sport ?
Nino répond :
- Tennis, on regarde surtout. On joue un peu. Natation, rarement. On va à la piscine pour s'amuser.
- L'important c'est de garder une activité pour rester en forme.
En disant cela, Pauline s'autorise de longs mouvement du bassin d'avant en arrière, arrachant à Cédric un soupir de satisfaction.

Matteo repose son verre, vide, sur la table. Nino l'imite et se lève :
- On ne va pas vous embêter plus longtemps. On vous laisse.
- Déjà ? demande Pauline.
- Oui, le Pastis était très bon. On a un peu de rangement à faire dans notre bungalow.
Matteo réagit :
- Non ce ne andremo ora che sta cominciando a diventare interessante.
Nino se penche vers lui et murmure :
- Non vedi che stanno per fare sesso? Lasciamoli in pace.
Semble-t-il à regret, Matteo se lève et suit son frère. Sitôt les Italiens sortis, Pauline se lève et commence à retirer sa petite robe :
- Ils sont bien élevés ! Ils ont senti que ça dégénérait et que je t'aurais baisé même devant eux s'ils étaient restés quelques minutes de plus...

Cédric se lève et pousse un profond soupir de soulagement :
- Et moi, tu étais à deux doigts de me faire éjaculer dans mon short...
- Ah oui ? Retire-moi donc toutes ces fringues que je vois mieux ça.
Dès qu'il est déshabillé, la jeune fille l'entraine dans la chambre et le fait asseoir au bord du lit. Elle s'installe à côté de lui et saisit son érection pour la masturber doucement :
- Mmmm, on dirait que ça t'excite quand on parle de tennis ?

- Pffff, c'est toi qui m'excite ! J'ai déjà eu le souffle coupé quand j'ai vu leurs yeux plonger dans ton décolleté quand tu t'es penchée pour les servir...
- Le souffle coupé ? C'est surtout que tu bandais déjà comme un âne !
- Et ça n'a rien arrangé quand tu as ramassé le bouchon.
- Ah oui ? Est-ce que ça t'a plu ?
- Carrément ! Tu as un cul hyper appétissant.
Cédric caresse les seins de sa fiancée tandis qu'elle continue à le masturber lentement.

- Mais ta queue aussi est très appétissante mon chéri. Je crois que ça complètera bien le muscat pour l'apéro.
Elle se met à lécher la tige raide sur toute sa longueur. Cédric soupire d'aise :
- S'ils étaient restés, tu m'aurais sucé devant eux ?
- Non, j'aurais déboutonné ton short et j'aurais discrètement extrait ta queue pour me l'enfiler discrètement...
Elle lui lèche le gland avec insistance, comme une boule de glace.

Puis elle se redresse et le toise d'un air coquin :
- Ou peut-être que je vous aurai sucé tous les trois.
- Tu es si affamée que ça ?
- Pour t'avouer, en fait, malgré mon excitation, je crois que j'ai eu ma dose d'orgasme aujourd'hui et que je vais me contenter de t'achever. Après j'irai dormir, la journée a été particulièrement intense.
- C'est un programme qui me convient parfaitement. J'ai moi aussi besoin de recharger.
- Mais avant, tu vas décharger !
En souriant, elle replonge sur le membre palpitant de son fiancé et le pompe avec ce qu'il lui reste d'énergie.

Cédric se tend soudain. Interrompant sa fellation pour le regarder, Pauline se contente de le masturber tranquillement tout en lui souriant :
- Je ne pensais pas que ça irait si vite...
- Si... tu es douée...
Le sperme, épais, jaillit et vient s'écraser sur le ventre du jeune homme. Pauline pousse un petit gémissement de contentement. Cédric se demande même si elle n'a pas eu un petit orgasme.

Quand le sperme cesse de sortir. Elle l'abandonne et le regarde amoureusement :
- J'adore te voir éjaculer.
- Mmmm ? Moi en particulier ? Ou bien n'importe quel mec.
- Tu as raison. N'importe quelle éjaculation est fascinante. C'est la concrétisation de tout le plaisir de l'homme et c'est une satisfaction inouïe de pouvoir le faire sortir ainsi.
Pauline se penche alors à nouveau sur lui et lui lèche méticuleusement le ventre et le sexe, aspirant systématiquement chaque la moindre goutte de sperme sous le regard admiratif de son fiancé.

Une fois cette toilette de chat terminée, elle se redresse :
- Et voilà mon amour. Te voilà tout propre.
- Je t'aime, Pauline. Tu m'as offert une journée inoubliable. Finalement, on a réussi à concilier sport et sexe, non ?
- Oui. Moi aussi j'ai vraiment pris mon pied aujourd'hui. J'espère que ce sera aussi bien demain.
- Aucune raison que ça ne soit pas aussi bien.
Elle vient se lover contre lui et ils s'endorment, nus, sur le lit.

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Weekend sportif - 8 : Le réveil
Dimanche, 9h00
Cédric sort du sommeil. La petite musique familière de son téléphone portable annonce l'heure de se réveiller. Il tend la main et coupe l'alarme. Le soleil est déjà levé et éclaire la petite chambre à travers les rideaux trop peu épais. Où est-il ? Il ne reconnait pas immédiatement les lieux.
- Ah si, se dit-il. Le camping. Le bungalow.
Les draps sont tirés au pied du lit. Il a fait chaud cette nuit. Pauline dort encore. Le réveil semble ne l'avoir pas tiré du sommeil. Sans tourner la tête, Cédric laisse sa main partir en exploration, à la recherche de sa fiancée, dont il entend la respiration légère. La main atteint une fesse et s'y pose délicatement.

La magie opère presque aussitôt. Un flux d'énergie semble se dégager de cette fesse sublime et, par la main du jeune homme, venir directement alimenter son sexe.
- Quel doux réveil, se dit-il.
Il se remémore les exhibitions de Pauline la veille, avec Rodolphe et avec les Italiens. Ces souvenirs excitants et le contact de la fesse de Pauline conjugués rendent son sexe parfaitement dur en moins d'une minute.

Cédric se tourne et se penche sur l'oreille de sa fiancée pour murmurer :
- Il est l'heure, ma chérie. Il fait beau et je bande déjà...
Pauline ne répond pas. Peut-être fait-elle semblant de dormir ? En tout cas, une réaction est obtenue : elle écarte un peu les cuisses. Cédric sourit. Il ne résiste pas à l'envie de voir ce que révèle les cuisses écartées. Il se redresse et ne peut qu'apprécier le fabuleux spectacle.

- Mmmm, tu fais semblant de dormir... tu veux un réveil en douceur.
Pas de réponse. Ceci dit, ce n'était pas une question. Cédric connaît bien Pauline. Il pourrait même dire qu'il la connaît de mieux de mieux. Mais son plus grand plaisir, c'est la découverte depuis quelques semaines d'une facette qui se dévoile peu à peu davantage. Sa fiancée aime le sexe. Elle aime jouir et elle aime faire jouir.
Cédric repousse les cuisses de sa fiancée, le resserrant l'une contre l'autre. Puis il s'installe à genoux par-dessus ses jambes et écarte ses fesses pour observer sa moule humide. Il chuchote :
- Délicieux... Cela me semble étroit à souhaite pour venir y fourrer ma queue.
Encore aucune réaction de Pauline. Dormirait-elle vraiment ? Elle sent pourtant forcément le sexe tendu de son fiancé, appuyé contre ses cuisses à seulement quelques centimètres de son intimité. Elle sait sûrement qu'il lui suffit d'un coup de reins pour l'embrocher. Mais aucune réaction. Dormirait-elle vraiment ?

Cédric passe son index sur la fente humide. Pauline a un léger tressaillement.
- Mmmmm...
- Dors ma chérie. Dors encore...
Impossible qu'elle dorme. Le doigt de Cédric refait un passage, mais cette fois-ci avec une légère pression qui lui permet de s'immiscer entre les lèvres humides. Le doigt pénètre de quelques centimètres seulement mais cela suffit à faire pousser à Pauline un profond soupir de plaisir :
- Ooooooh...

Soudain, elle bouge. Elle redresse son cul. Elle se cambre pour s'offrir davantage. Cédric retire son doigt pendant qu'elle remonte son bassin approcher ses genoux et se mettre à quatre pattes. Cédric sourit :
- Je t'ai réveillée... Pardon.
- Oui... j'espère que tu vas trouver un moyen de te faire pardonner...
- Je peux imaginer ça...
Il se penche sur elle. Une main entoure sa cuisse et remonte pour effleurer sa moule. Dans le même temps, Cédric joue de la langue qu'il darde à l'assaut de l'anus de sa fiancée.

Pauline gémit :
- Oh oui, continue à te faire pardonner...
La langue de Cédric descend et s'enfonce entre les lèvres trempées de cyprine. Il tente d'aller le plus loin possible. Pauline gémit de plus en plus. Il s'attarde sur le bas de la fente, au niveau du clitoris.

Les gémissements se transforment alors en cris de plaisir et Pauline ne semble pas se soucier de réveiller tout le camping. Cédric adore la sentir venir ainsi. Il se sent puissant. Il l'a en son pouvoir. Le pouvoir de la faire jouir. Il la tient fermement à la taille pour pouvoir continuer à lui lécher la moule alors qu'il sent les prémices de l'orgasme arriver, la faisant vibrer du bassin jusqu'aux épaules. Elle crie et Cédric profite d'un afflux de cyprine dans sa bouche. Cédric ne voit pas le visage de sa dulcinée mais l'état de la prodigieuse fente en dit long sur le plaisir qu'elle a.

Après son orgasme, Pauline reste quelques minutes allongée sur le ventre, les yeux fermés. Cédric se rallonge à côté d'elle et retire la fine couverture sur lui. Elle se redresse et se tourne vers lui :
- Voilà un réveil parfait. Je me sens en pleine forme pour attaquer ce dimanche sportif.
- Tant mieux !
- Même si j'aurais peut-être préféré que tu me pénètres vraiment...
- La journée ne fait que commencer. Il faut y aller progressivement.
- Progressivement ? Tu m'as déjà donné un magnifique orgasme.

Cédric lui sourit, les yeux pétillants :
- Et tu auras d'autres, je te le promets.
La jeune fille se redresse à quatre pattes laissant Cédric admirer ses seins nus dans le décolleté de son débardeur.
- Ah ? Tu as déjà planifié tous mes orgasmes de la journée ?

Cédric rigole :
- Certainement pas ! Ce serait triste, non ?
- Pas si ça reste une surprise pour moi.
- Non, j'ai planifié nos activités et ces activités seront nécessairement des opportunités.
- Ah ? Et quel est le programme ?

- Oh, rien de mystérieux : tennis et piscine.
- Dis comme ça, ce n'est pas très excitant.
- Il suffit d'ajouter des éléments pour que ça devienne une équation intéressante à résoudre.
- Mmmm, ne me dit rien. Les Italiens ? Rodolphe ?
- Oui, je pense effectivement à Nino et Mattéo. Pour Rodolphe, j'avoue que je n'ai pas pensé à lui d'emblée, mais peut-être à tort. Il intégrera l'équation de lui-même, sans effort de notre part, car il semble savoir être au bon endroit au bon moment.
- Si je retire mon débardeur, je pense qu'on va l'entendre frapper à la porte dans deux minutes...
Cédric rigole de la plaisanterie, mais écarquille les yeux quand il la voit retirer effectivement son débardeur.

- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je pense qu'on a un peu de temps.
- Il faut prendre le petit déjeuner, se doucher et s'habiller...
- On prendra une douche ce soir avant de repartir... Pour l'heure, j'aimerai que toi aussi tu te détendes...
- Qu'est-ce qui te fait croire que je suis tendu ?
- Oh, pas de partout...
Pauline tire sur la couverture et dévoile le membre toujours en érection.

- Tu veux qu'on fasse l'amour ?
- Mmmm, bien sûr que je veux mais...
- Mais ?
- Tu as dit qu'on doit y aller progressivement. Tant pis pour ma petite chatte qui aurait bien voulu rencontrer le loup.

Cédric sait qu'elle envisage de s'occuper de lui mais il s'amuse à faire comme si sa dernière remarque signifiait qu'elle l'abandonnait à son état priapique :
- Je suis presque déçu que tu appliques aussi rigoureusement mes préceptes. Mais c'est d'accord. Il fait déjà jour depuis longtemps.
Il se redresse pour tirer le rideau et ajoute :
- Prenons le petit déjeuner et ce loup affamé va bien finir par se calmer.
Cependant, loin d'être innocent, Cédric se rallonge et écarte largement les cuisses pour exhiber sa fière érection.

Pauline se redresse et pose la main sur sa cuisse en admirant le membre fantastique :
- Idiot ! Tu ne crois tout de même pas que je vais prendre à ton baratin. Je vais m'occuper de ce loup. Il a l'air vorace, mais je sais comme m'y prendre pour le rendre docile comme un agneau. Tout d'abord le saisir fermement.
Tout en le disant, la jeune fille empoigne le membre tendu.

Puis, elle se penche lentement, approchant son visage du gland palpitant :
- Et puis, il faut le couvrir de baiser. C'est le secret de la domestication...
La bouche de Pauline se referme autour du gland. Cédric pousse un profond gémissement de plaisir alors qu'il sent la langue de sa fiancée commencer à autour de son gland.

- Aaaah Pauline ! Tu sais dresser ce loup, c'est indéniable.
Pauline relève la tête et le regarde tout en continuant à le sucer. Cédric sourit et lui dit :
- Oh, reste comme ça, à me regarder. Le visage ainsi relevé m'offre une vue splendide : ton doux visage, tes grands yeux pleins de malice, ta bouche superbe autour de mon dard et surtout tes seins, tes seins magnifiques.

Même si la bouche de Pauline est étroitement vissée autour de sa queue, Cédric voit à ses yeux que cela l'amuse beaucoup. Pourtant, l'attention de la jeune fille est soudain attirée ailleurs. Cédric est trop pris par le plaisir que lui procure cette délicieuse fellation pour s'en rendre compte. Ce qui a interpelé Pauline, c'est un mouvement au niveau de la fenêtre dont Cédric a tiré le rideau peu avant. Un visage en contrejour. Même si elle ne le voit pas vraiment, Pauline sait qu'il s'agit de Rodolphe. Cela ne perturbe pas Pauline outre mesure, elle poursuit sa fellation, s'amusant même à se cambrer autant que possible pour faire saillir sa croupe, voulant offrir le meilleur spectacle au voyeur.

Cédric, lui, ne voit rien. Les yeux fermés, il profite des délicates caresses de sa fiancée :
- Aaaaah mon Dieu, tu es divine...
Pauline, se sachant observée, peut-être évaluée, décide de se donner au maximum. Les lèvres étroitement vissées autour du gland, la langue virevoltante, les doigts caressant les bourses frémissantes, elle offre à Cédric la plus belle pipe de sa vie.

Mais Cédric se sent défaillir et ne veut pas jouir trop vite. D'un suprême effort, il se redresse et dit :
- Pauline... doucement... tu... tu vas m'avoir...
- C'est bien le but non ?
- Pas trop vite, s'il te plaît. Je veux profiter encore un peu.
- OK... Dis-moi quand tu penses qu'il faut que je freine.
Pauline replonge alors sur le gland et observe son fiancé pour s'assurer qu'elle ne va pas le faire éjaculer trop vite.

Pauline alterne alors, entre plusieurs caresses. Tantôt elle le masturbe doucement, sans le sucer. Tantôt elle lui caresse doucement les couilles. Tantôt elle reprend sa fellation mais en limitant l'usage de sa langue. Cédric semble se calmer :
- Mmmmm, c'est bon. Bien mieux le rythme. Tu pourrais presque me sucer toute la journée comme ça...
- Mais on n'a pas toute la journée, mon chéri. On a un match à jouer.
La jeune fille replonge alors sur le membre tendu.

Cédric tend la main pour caresser le dos de sa fiancée et cherche à atteindre ses fesses. Toujours à quatre pattes, la jeune fille opère une rotation autour de l'axe que constitue la tige tendue qu'elle suce. Elle rapproche ainsi ses fesses des mains aventureuses de son homme :
- Mmmm merci. Je vais moi aussi pouvoir te faire du bien.

Finalement, Cédric change de stratégie passe sous le ventre de Pauline pour atteindre sa moule. Pauline relève la tête et observe le visage réjoui de Cédric qui semble profiter pleinement du moment présent :
- On dirait que tu aimes te faire sucer en me fourrant deux doigts dans la fente...
- Oui... j'adore...
- Il va quand même falloir penser à conclure car l'heure tourne et les gens du camping pourrait entendre nos échauffements.
- Si on se fait surprendre, ce sera sûrement par Rodolphe.
Regardant vers la fenêtre, Pauline constate que Rodolphe lui sourit : il a entendu la remarque de Cédric.

Peu à peu, presque sans s'en rendre compte, la jeune fille continue à approcher son postérieur vers Cédric. Celui-ci commence à agir avec ses deux mains. Les doigts d'une main se sont glissés dans la fente trempée de mouille tandis que les doigts de l'autre se concentre sur le clitoris érigé. Pauline gémit et peine à se concentrer sur sa fellation :
- Aaaaah, salaud... tu vas me faire jouir avant toi...

- Tu as raison, soyons à armes égales.
La saisissant par hanche avec ses deux mains, Cédric lui soulève le bassin et la place de part et d'autre de son torse. Pauline adore quand Cédric use ainsi de sa force, surtout quand c'est pour lui donner du plaisir. Les voilà donc en soixante-neuf et Cédric, les mains posées sur les hanches de Pauline, n'a qu'à redresser un peu la tête pour que sa langue vienne visiter l'intimité ruisselante de sa compagne.

Il la sent frémir même si sa bouche ne semble pas vouloir se dévisser de son sexe. Il sent la cyprine s'écouler de plus en plus. Sa langue glisse de haut en bas dans la fente ouverte, se délectant du suave nectar. Pauline semble vouloir s'activer de plus en plus sur son sexe et Cédric sent qu'il ne va pas tenir longtemps à ce rythme. Il marque une pause, tentant de calmer un peu le jeu :
- Hé ! C'est à qui fera jouir l'autre en premier ?
Mais Pauline ne répond pas.

Elle continue à le pomper indéfectiblement.
- Pauline... aaaah.... doucement... tu... tu vas m'avoir...
Aucune réponse, mais il sent qu'elle se concentre pour lui faire une pipe magistrale. Alors Cédric se dit qu'il faut qu'il essaye de synchroniser l'orgasme de sa fiancée avec son éjaculation imminente et il replonge entre ses fesses pour lui bouffer la moule.

Soudaine, il la sent se tendre. Son corps vibre. Ses lèvres se resserre autour de la hampe prête à exploser. Il se retient alors qu'elle est en train de subir un formidable orgasme. Ses grognements de plaisir sont étouffés par la queue qu'elle a en bouche. Cédric n'en peut plus. Tout en gémissant de plaisir, Pauline se laisse tomber sur le pieu qu'elle a en bouche, portant le gland au fond de sa gorge. Cédric est surpris. C'est la première fois qu'elle fait cela. Est-ce un accident, une perte de contrôle due à l'orgasme ? Quoiqu'il en soit, l'incroyable sensation le fait défaillir et il se laisse éjaculer sans retenu au fond de la bouche de sa fiancée.

Après avoir reçu une giclée au fond de la gorge, Pauline manque de s'étouffer et se redresse, laissant alors les jets suivant exploser dans sa bouche. Cédric râle de plaisir et se cabre tandis que la jeune fille continue à faire tourner sa langue sur son gland dont les effusions de sperme semblent ne jamais vouloir se tarir. A part le tout premier jet de sperme, Pauline n'a rien avalé et, quand elle rouvre la bouche, un flot de sperme s'en échappe alors et coule le long de la hampe encore prise par les légers soubresauts de plaisir.

La bouche pleine du sperme de son fiancé, Pauline redresse la tête et regarde en direction de la fenêtre. Rodolphe est toujours présent et l'observe avec un sourire radieux. Cédric gémit :
- Oh ma chérie, c'était génial !
- Oui... j'ai adoré aussi.
- Je suis d'accord pour que tu me réveilles ainsi tous les matins.
- Il faut un contexte...
Encore essoufflée, elle regarde à nouveau Rodolphe qui les observe toujours et ne semble pas embarrassé par les regards fréquents que lui lance la jeune fille.

Pauline se redresse et se retourne.
- Alors, tu as aimé ?
- C'est la première fois que tu me fais une gorge profonde...
- Heu, j'avoue que c'était un peu un accident.
Elle s'amuse de voir que la sexe de Cédric reprend de la vigueur :
- Hé ! Mais ça te redonne de la vigueur de penser à ma gorge. Tu es un gros pervers !

Le jeune homme se rallonge et soupire :
- Évidemment que je suis pervers ! Tu es tellement...
- Salope ?
Pauline s'allonge contre lui et le reprend en bouche mais cette fois-ci seulement pour le nettoyer.

Cédric redresse la tête et la regarde faire :
- Ce n'est pas le mot que je cherchais mais dit avec ce regard, je pense que ça convient assez bien.
Pauline se redresse et sa bouche vient trouver la sienne. La main de la jeune fille reprend à masturber la hampe encore raide comme si elle voulait l'empêcher de débander.

Quand le baiser s'arrête, Cédric l'implore :
- Laisse-moi souffler, s'il te plaît. On a encore toute la journée tu sais.
Pauline commence à imaginer le reste de la journée. Rêveuse, elle s'allonge le long de Cédric :
- Tu sais que Nino m'a trouvé un surnom....
- Ah oui ? C'est quoi ?
- Stronzetta.
- Je trouve que ça sonne assez mignon, non ? Et qu'est-ce que ça veut dire ?

- Il m'a avoué que ça voulait dire Salope, justement.
- Héhé. Je trouve amusant que Stronzetta prononcé en italien, ça sonne beaucoup moins vulgaire que Salope en français. Ça ressemblerait presque à un diminutif affectueux.
- Oh toi ! A ton regard malicieux, je me doute de ce que tu me prépares.
- Et quoi donc ?
Pauline se met à genou sur le lit, à côté de son fiancé :
- Tu veux m'affubler de ce mot italien en guise de surnom.

- Et pourquoi pas ? Cela sonne bien et personne parmi nos amis ne parle italien.
- Ah parce qu'en plus tu comptes l'utiliser aussi devant nos amis ???
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Weekend sportif - 9 : Petit déjeuner
Dimanche, 9h29
Se levant, Pauline attrape un débardeur et commence à l'enfiler :
- On va prendre le petit déj' ?
Cédric se redresse et sourit :
- Ah oui ? Vraiment ? Tu t'habilles pour manger ?
- Si on veut manger en terrasse devant le bungalow, ça me semble mieux, non ?

- A cette heure, il fait encore frais. Je propose qu'on reste à l'intérieur et qu'on reste à poil.
- Et si je ne garde que mon débardeur. Pas de culotte, tu accepterais qu'on mange en terrasse ?
- Et si moi je ne mets qu'un tee-shirt et que je laisse Popol à l'aire, tu dirais quoi ?
- Mmmm, ce serait délicieusement choquant et terriblement excitant car bien moins discret que l'exhibition de ma foufounette. Et ça m'ouvrirait certainement l'appétit !

Pauline voit l'ombre de Rodolphe, toujours à la fenêtre à les observer discrètement et se ravise :
- Mais tu as raison, il fait sans doute un peu frais. Restons à l'intérieur.
- Chouette. Du coup tu peux virer ton débardeur.
- Si je le retire, tu ne vas pas arrêter de loucher sur mes nichons et tu ne vas pas manger.
- Je louche déjà sur tes fesses...
- C'est pas faux. Mais je serai assise.

Cédric se résigne :
- Bon, d'accord. De toute façon, nue ou avec ce petit débardeur sexy, ça ne m'empêchera pas d'être excité...
Pauline se retourne et voit que Cédric est effectivement totalement nu et son sexe est bien gonflé même s'il n'est pas vraiment dressé.

Même s'il n'est pas toujours très pudique, elle sait que s'il avait conscience de la présence de Rodolphe, il n'oserait pas s'exhiber ainsi. Il n'en priverait toutefois pas s'il se savait observé par une fille. Pauline s'occupe à faire couler le café et à préparer la table du petit déjeuner.
- Finalement, c'est très bien avec ce petit débardeur.
Pauline, appuyée à la table, tourne la tête :
- Ah oui ?

- Oui, tu sembles habillée mais on voit bien tes jolies fesses et ton adorable minette.
- Hihi, je vois bien que ça te plaît.
Pauline désigne le sexe de son fiancé qui commence à se dresser lentement.

Se retournant, la jeune fille demande :
- Et l'endroit vaut-il l'envers ?
- Tout est magnifique chez toi, ma chérie. Ton débardeur est juste assez court.
- Juste assez court ?
- Oui, pour révéler ce fruit juteux et appétissant.
- Mais pas assez long pour sortir comme ça en public.

- Tout dépend de l'effet désiré. Si tu veux passer inaperçue, oui ce serait foutu d'avance. Mais si c'est pour te faire croquer par une meute de loups, je crois que tu serais sur la meilleure des voies.
- Il me suffirait de tirer un peu de dessus, non ?
Pauline tire sur le débardeur, tendant le tissu sur ses mamelons durcis et approfondissant l'encolure du décolleté.

- Miam ! Si tu sors comme ça, je te dévore les seins même s'il y a du monde.
Pauline s'assoit sur la table :
- Mouais... de toute façon, c'est une tenue d'intérieur, rien que pour toi.

- Je crois que c'est effectivement l'heure du petit déjeuner...
- Que veux-tu dire ?
- Qu'ainsi positionnée sur la table, tu constitues sans nul doute mon menu préféré.
Cédric s'approche d'elle et tire sur le décolleté pour admirer les magnifiques seins de sa fiancée.

Il fait glisser les bretelles du débardeur sur les épaules et l'oblige même à retirer complètement ces bretelles. Pauline le laisse lui dégager la poitrine. Aussitôt, il se penche dessus et se met à sucer les mamelons. Pauline ferme les yeux et sent ses mamelons se tendre sous les caresses et les coups de langue de son fiancé. Elle sursaute en sentant la main de Cédric se poser sur sa cuisse et glisser lentement vers son sexe. Elle écarte alors largement les cuisses pour lui faciliter l'accès. Les doigts de Cédric se glisse dans la fente tiède et y découvre une fontaine.

Cédric se redresse :
- Mmmmm, voilà une boisson qui me donnerait bien plus d'énergie qu'un café ou un jus d'orange.
- Et moi ? Tu as quoi pour moi ?
Pauline tend la main et masse la base du sexe bandé de son fiancé, tout en faisant jouer le bout de ses doigts sur les bourses gonflées.

Comme elle commence à le masturber, Cédric lui écarte le poignet :
- Attends. Je m'occupe d'abord de toi...
- Mais on pourrait s'occuper l'un de l'autre, en même temps, non ?
- J'ai besoin de me concentrer.
Il la fait alors se lever et, accroupi à côté d'elle, il lui fourre son majeur dans la moule et la masturbe tandis que son pouce s'amuse à agacer le clitoris tendu.

Pauline feule de plaisir :
- Oh Cédric ! Je dégouline, tu vas m'achever...
- Oui, tu dégoulines. Non, je ne vais pas t'achever, ou du moins pas comme ça.
Il la repousse et la fait s'allonger le dos sur la table. D'elle-même Pauline écarte les cuisses. Cédric tend la langue et la dirige aussitôt sur le clitoris.
Les gémissements de Pauline deviennent des petits cris. L'orgasme arrive, inéluctablement. Cédric s'écarte et admire les convulsions du ventre de sa fiancée :
- Chut... Doucement, tu vas attirer Rodolphe !
- Aaaaah... trop... trop tard... Oooooooh...
Cédric comprend qu'il est trop tard pour l'empêcher d'avoir son orgasme et ne se doute pas que sa remarque concerne Rodolphe. Il est fasciné par les lèvres du sexe de Pauline qui laisse s'écouler un flot de cyprine.

Quand elle se remet de ses émotions, elle se lève et rajuste son débardeur :
- J'ai été faible... J'aurai dû me retenir pour garder cette excitation intacte et en profiter pendant le match.
- Héhé, pour une fois que ce n'est pas moi.
- Ah oui ? Parce que tu crois que tu vas rester dans cet état-là ?
Pauline relève son débardeur et dévoile un sein.

- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je veux voir si tu résistes. Tu voulais que je prenne mon petit déj' à poil. Tu vas être servi.
Pauline retire carrément son débardeur.

- Héhé, merci ma belle. C'est sûr que ça m'excite carrément.
- Je vois ça...
- Mais ça ne veut pas dire que je vais jouir juste parce que je prends mon petit déjeuner en face d'une magnifique fille nue. Juste que je vais bander à mort.

- On verra.
- En tout cas, toi ça continue à t'exciter, non ?
- Non, je crois que c'est encore la jute de mon orgasme de tout à l'heure...
Pauline porte la main à son entrejambe pour constater qu'elle mouille encore beaucoup.

Cédric sourit. Il n'est pas dupe. Cela semble agacer un peu Pauline. Un coup d'œil vers la fenêtre lui permet de contrôler que Rodolphe est toujours là.
- Bon, le café est prêt.
Cédric sert deux tasses et en tend une à Pauline qui commence à la boire doucement.

Cédric boit également et regarde sa fiancée :
- Je crois que c'est la première fois que tu te montres aussi impudique. Je veux dire la première fois que tu acceptes de rester nue pour une action du quotidien.
- C'est avec un objectif derrière la tête : je faire éjaculer.
- Tu m'as déjà bien vidé les couilles tout à l'heure...

- Ah, tu me crois aussi crédule ? Je sais très bien que tu peux enchaîner plusieurs éjaculations. Pour peu qu'on t'excite suffisamment...
- Et je dois dire que ça m'excite à mort de te voir prendre ton café en tenue d'Eve.
- Tu vas me dire que c'est le meilleur café que tu n'as jamais bu ?
Pauline reprend une gorgé de café chaud.

Au moment où elle repose sa tasse sur la table, elle est surprise par l'exclamation de Cédric :
- Hey ! Rodolphe ! Approchez.
Pauline n'en revient pas. Cédric a dû le voir par la fenêtre. Mais pourquoi lui demande-t-il de venir alors qu'ils sont tous les deux totalement nus ? Pauline cache pudiquement sa poitrine et, alors que Cédric va pour ouvrir la porte au gérant du camping, elle chuchote :
- Cédric ! A quoi tu joues ?

Mais Cédric ne répond pas et ouvre la porte. Rodolphe reste à la porte, affichant un sourire radieux mais aussi une certaine gêne. Cédric le rassure :
- Il faut que vous soyez témoin de ça, Rodolphe. C'est la première fois que ma femme...
- Fiancée !
- Pardon, ma fiancée. C'est la première fois que ma fiancée prend le petit déjeuné toute nue. C'est pas dingue, ça ?
- Ce qui est dingue, c'est que tu invites Rodolphe...

- Allons ma chérie, Rodolphe passait par là par hasard. Je voulais partager avec lui mon enthousiasme.
- Ton enthousiasme ?
- Oui tu es tellement belle...
- Cela s'appelle une érection, Cédric.
- Et c'est parce que tu es particulièrement désirable.
Cédric lui attrape les bras pour l'obliger à dévoiler sa poitrine.

Pauline commence à comprendre que Cédric souhaite seulement faire un peu d'exhibitionnisme. Peut-être savait-il depuis un moment que Rodolphe espionnait mais qu'un spectateur l'excite davantage qu'un voyeur. Pauline reprend donc confiance et, sans montrer la moindre pudeur, elle saisit le membre tendu de Cédric et demande à Rodolphe :
- Vous bandez, vous aussi ?
- Heu, oui, un peu, je l'admets...
- Ah oui ? Vous nous montrez ça ?

Cédric a un frisson. C'est lui qui a invité Rodolphe a entrer et, là, le comportement de Pauline laisse penser qu'on est à deux doigts du dérapage non contrôlé. Heureusement, comme il s'y attendait, Rodolphe se montre très gêné et bégaye :
- Heu, je... non... je... ne préfère pas...
- Pourtant, nous ça ne nous gêne pas d'être à poil...
La jeune fille se tourne contre son fiancé.

Bien que son plaisir de voyeur soit plus grand que sa gêne d'être spectateur, Rodolphe répond :
- Oui, mais moi... je ne peux pas... désolé...
- C'est pas grave. Mais tant que vous êtes là, je veux que vous soyez témoin.
- Témoin de quoi ?
- Cédric a promis qu'il arriverait à se contrôler pour ne pas éjaculer.
Pauline se met alors à masturber lentement le membre turgescent de Cédric, lui-même ne se privant pas de lui caresser les seins et les fesses.

Cédric tente malgré cela de s'insurger :
- Je me rappelle qu'on a évoqué que tu restes nue pour le petit déj', pas que tu me branles...
- Il me semble que tu ne t'es pas contenter de la regarder ma minette pour me faire jouir.
Cédric admet qu'elle marque un point. Tandis qu'elle continue à le masturber lentement, il glisse une main entre ses cuisses pour évaluer son excitation :
- Pffff... Rodolphe, si vous pouviez voir à quel point elle mouille...

- Heu... je... je vois un peu...
- Mais vous voudriez peut-être vous approcher un peu plus ?
- Heu... non, je vois là...
Pauline rigole en voyant à quel point Rodolphe est gêné par les tentatives de Cédric pour le faire participer.
- Rodolphe voit très bien d'où il est. Rappelle-toi qu'il est notre témoin. Concentre-toi surtout pour ne pas éjaculer.
Tout en continuant à le masturber d'une main, elle lui caresse les testicules de l'autre main.

Cédric rejette la tête en arrière et râle de plaisir :
- Aaaah coquine ! Tu vas m'avoir !
Puis tournant un regard trouble vers Rodolphe, il ajoute :
- Elle est si douce... si habile... pas une bite ne lui résisterait... Rhaaaaa !
Une longue gerbe de sperme jaillit et éclabousse le ventre de Pauline jusque sous les seins. Elle abandonne alors le membre en irruption et le laisse continuer de s'épancher, sans son aide. Cédric le saisit alors pour glisser son gland contre la peau douce de sa fiancée tandis que le sperme continue de sortir peu à peu.

Pauline regarde son ventre et admire tout le sperme qui s'écoule lentement.
- Bon, je crois que tu as perdu ton pari.
- Ce... ce n'était pas un pari. On a rien parié.
- Non, mais tu t'étais vanté pouvoir te retenir et je crois que tu peux constater ton échec.
Pauline relève la tête vers Rodolphe, toujours fasciné à regarder ce couple infernal :
- Rodolphe, vous êtes témoin ?

Le gérant bafouille :
- Je... je suis témoin oui. Témoin qu'il est un homme tout à fait normal et que n'importe quel autre homme aurait aussi succombé s'il avait subit un tel traitement par une fille aussi désirable que vous.
- Oh. Merci du compliment Rodolphe. Je... vous me désirez donc ?
- Et comment ne pas vous désirer... ? Vous êtes terriblement belle.
- Oh. Merci. Vous bandez autant que mon fiancé ?

- Plus encore, madame...
- Mademoiselle. Nous ne sommes que fiancés.
- Pardon...
- Il n'y a pas de mal.
Cédric attrape son short et commence à l'enfiler :
- Rodolphe, on peut aller faire un tennis ce matin ?

- Heu oui. Bien sûr. Tenez, je vous laisse les clés.
Rodolphe dépose la clé des vestiaires sur la table et retourne vers la porte. Il jette un dernier regard à Pauline qui se cache à nouveau pudiquement les seins.
- Heu merci.
- Merci à vous, Rodolphe. C'était important qu'il y ait un témoin car cet arrogant n'aurait jamais reconnu sa faiblesse sinon.
- Il n'est pas plus faible que d'autres...
Pauline, amusée, regarde Rodolphe sortir, sans doute un peu dépité qu'elle n'ait pas profiter de sa faiblesse à lui aussi.

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Weekend sportif - 10 : Troisième partie de tennis
Dimanche, 10h03
Quand Pauline sort de la chambre vêtue d'un débardeur et d'une jupe, elle constate que Cédric est prêt et qu'il a aussi préparé le sac avec les raquettes et les balles :
- Bien. On peut y aller.
- Je vois que tu as décidé de te passer de soutien-gorge...
- Ne me dis pas que ça t'embête ?

Cédric sourit :
- Oh non ! Au contraire. Mais je sais que ce n'est pas forcément très agréable d'avoir les seins libres pour courir.
- Je survivrai. J'ai la chance d'avoir les seins assez fermes.
- En tout cas, c'est sûr que ça ne va pas favoriser ma concentration.
- Et j'ai d'autres armes pour cette troisième partie....
Pauline soulève sa jupe et dévoile à son fiancé qu'elle a aussi décidé de se passer de culotte.

- Waouh ! Si nos amis italiens viennent regarder le match, nul doute que ça leur plaira aussi.
Le couple ne perd pas de temps à rejoindre le cours en passant par les vestiaires. Ils sont presque déçus de constater que les Italiens ne sont pas là. Mais Pauline est rassurée car elle a conscience que sa petite jupe révèle une bonne partie de ses fesses.

Après s'être mis en condition, chacun prend position de son côté du filet. Pauline se prépare à servir :
- Tu es prêt ?
- Autant que possible...
A juste titre, Pauline pense que, à cause de sa tenue, Cédric va avoir du mal à se concentrer. Lorsqu'elle sert, les deux bras en l'air, Pauline à l'impression que sa jupe remonte jusqu'au niveau de son intimité.

Cédric parvient à renvoyer la balle, mais la jeune fille voit qu'il a du mal à se placer. Est-ce à cause des seins qui s'agitent librement dans le débardeur, déformant celui-ci de leurs sublimes courbes ? Est-ce à cause de la jupe trop courte qui, en l'absence de culotte, révèle par moment à son adversaire le spectacle de sa moule dont les lèvres s'ouvrent et se referment au gré de ses mouvements ? En scrutant ses regards, Pauline est certaine qu'il guette les mouvements de sa petite jupe. Rapidement, elle mène et elle est certaine que le spectacle qu'elle offre à son adversaire à chaque fois qu'elle se penche pour ramasser une balle y est pour quelque chose.

Soudain le vent fait son apparition, rafraîchissant leurs corps couverts de sueur. Un souffle léger passe sous la jupe et s'infiltre dans son sillon, balayant sa toison d'une vague de fraîcheur que la sueur rend encore plus vive. Une émotion particulière la submerge. Cédric semble percevoir son trouble :
- Tout va bien ?
- Oui oui...

Pauline a très envie de se caresser, mais elle ne le peut pas car elle veut continuer le match et rester concentrée. Mais le vent n'a que faire de la partie de tennis et il continue à la harceler, courant sur la peau sensible de ses fesses et passant toujours plus haut à la jointure de ses cuisses. Elle se surprend même à écarter légèrement les jambes pour mieux faciliter l'intrusion de ce vent malicieux qui va finir par lui faire perdre mon match. Pauline ne cherche plus à gagner désormais. Elle est de plus en plus soumise aux caprices espiègles de ce souffle frais et bienfaisant. La vue du torse nu de son adversaire ne risque pas d'apaiser son trouble, bien au contraire.

Cédric remarque qu'elle manque de plus en plus de balles :
- Tu es sûre que ça va ? On dirait que tu es finalement moins concentrée que moi.
- Oui... c'est juste le vent... ça me... ça me déconcentre.
- Pourtant, c'est moi qui devrait être déconcentré.
- De quoi parles-tu ?
Par jeu, Pauline se penche en serrant les bras pour faire saillir le galbe de ses seins dans le décolleté du débardeur.

Cédric sourit :
- Ce n'est pas considéré comme de la triche, ça ?
- Tu veux qu'on trouve un arbitre pour qu'il nous donne son avis ?
- Mmmm, ne me tente pas.
Restant penchée, Pauline lui tourne le dos :
- Et ça aussi, c'est de la triche ?

- Indéniablement !
- En attendant que l'arbitre arrive, on peut continuer ?
- Je t'attends.
Ils reprennent le jeu, mais le vent poursuit son œuvre perverse. Tout semble s'allier contre Pauline et la victoire va lui échapper. Pour remonter le score, elle doit user de plusieurs ramassages de balles très osés.

Elle en a même ramassée une en s'accroupissant, les pans de la jupe se sont alors relevés très haut sur ses cuisses largement écartées. Elle a senti ses petites lèvres s'écarter et laisser le vent entrer jusqu'à l'orée de son vagin. La sensation a été délicieuse et une crampe de plaisir lui a annoncé qu'un flot de cyprine allait bientôt couler le long de ses cuisses en se mêlant à la sueur qui y perle déjà. C'est à ce moment qu'elle voit les deux Italiens arriver sur le cours.
- Bonjour Matteo, bonjour Nino.
- Bonjour les sportifs. On peut vous regarder jouer ?
- Bien sûr.
Pauline est un peu troublée car elle sent les regards des deux nouveaux venus sur elle. Et pour ne rien arranger, cette fois-ci, au lieu de s'installer sur les bancs disposés de part et d'autre du terrain, ils vont s'asseoir le long du grillage, derrière Pauline.

Cédric sourit et leur demande :
- Vous ne seriez pas mieux installés sur un banc ?
- Meilleure vue, d'ici. Ce sera plus impressionnant de voir arriver les balles de face.
Pauline voit très bien l'intérêt qu'ils ont à se trouver derrière elle, de surcroit en contrebas :
- C'est quand même dangereux si je manque une balle de Cédric, non ?

- On a confiance en toi.
Pauline essaye de ne plus penser à leur présence, à leurs yeux sur ses fesses. Elle garde les cuisses serrées mais elle sait qu'elle va bien devoir se déplacer et que, alors, ils se rendront aussitôt compte qu'elle ne porte rien sous sa jupe. Cédric s'amuse de voir à quel point la présence de ces deux voyeurs la trouble :
- Je crois que tu vas devoir redoubler d'effort pour garder l'avantage...
- Je... je vais y arriver.

Le match reprend. Pauline tente de faire abstraction de yeux qui scrutent ses cuisses en permanence. Elle doit faire attention à ne pas trop se cambrer en jouant, ce qu'elle oublie souvent. Les Italiens sont pourtant discrets : pas un commentaire, pas un ricanement. Quand elle les regarde, elle constate juste leur excitation par les bosses magistrales qui déforment leurs entrejambes :
- Dites, les garçons, vous avez l'air d'avoir chaud, juste à nous regarder. Vous feriez mieux de vous mettre à l'ombre derrière Cédric.
- Merci. Nous autres italiens ne faisons qu'un avec le soleil.
- Pfff, vous allez surtout attraper une insolation en plus de votre érection...

Cédric aussi a bien du mal à rester concentrer. Il a bien vu le manège de Matteo et Nino et il imagine très bien de quel spectacle ils profitent. Lui non plus n'a pas pu s'empêcher de remarquer les chapiteaux qui tendent les shorts des deux garçons. Peu à peu, comme par contagion, il sent son propre sexe se gonfler et peu à peu se dresser. Pauline, sans la moindre discrétion, lui fait remarquer :
- Dis donc, il semblerait que tu subisses le même trouble que nos amis italiens. Fais attention à ne pas te mettre un coup de raquette dedans !

Derrière elle, Pauline entend Nino lui dire doucement :
- Ne te moque pas de nous. C'est de ta faute si on est comme ça.
- C'est à cause de mes vêtements ?
- A cause de ceux que tu n'as pas, précise Cédric.
- Alors, mettez-vous à l'aise comme moi.
Cédric secoue la tête, amusé par la proposition insensée de sa fiancée. Il sert. Pauline se concentre pour renvoyer la balle.

Pauline voit que Cédric se déconcentre, encore plus qu'elle ! Quand il renvoie la balle dans le filet, elle en profite pour jeter un coup d'œil aux Italiens. Elle constate qu'ils se sont mis tous les deux torses nus. Elle détourne le regard car elle sait que l'excitation va la gagner et qu'elle perdra toute concentration. Elle sent pourtant la cyprine couler le long de ses cuisses. Le petit vent qui ne faiblit pas n'arrange rien. Quand Cédric et Pauline arrivent au tie-break, l'affrontement est de plus en plus serré. Pauline est épuisée. Le vent ne parvient plus à la rafraîchir. Il ne fait qu'irradier son sexe en quête de la moindre volupté. Tout son ventre s'affole. Sa concentration vacille. A l'occasion d'une balle manquée, elle constate que Matteo est en train de se débarrasser de son short.

Elle détourne alors les yeux et se remet face à Cédric. Lui ne joue à poil, même s'il est en érection. Cédric rigole de la voir se débattre avec sa gêne :
- Un problème ma chérie ? Tu ne sembles plus être dans le match...
- Je... Je vais me ressaisir.
- Tu as conscience que c'est la balle de match ?
Pauline a perdu le fil du compte des points. Elle est si troublée par ce qu'elle imagine derrière elle que Cédric pourrait lui annoncer avoir déjà gagné qu'elle ne trouverait rien à redire. Avant de recevoir cette dernière balle, elle tourne la tête vers ses fidèles spectateurs et constate ce qu'elle imaginait déjà : les deux Italiens sont totalement nus et se masturbent en la regardant. Nino lui dit :
- Match magnifique, Pauline. Très beaux échanges !

Cédric lance l'ultime service. La balle fuse au ras du filet, parfaitement ajustée. Pauline s'élance aussitôt et parvient de justesse à la renvoyer mais sa balle prend de la hauteur et facilite une nouvelle attaque à Cédric. Le retour, puissant et précis, ne laisse aucune chance à Pauline. La balle claque le sol juste devant le trait blanc et va finir sa course dans le grillage, non loin des italiens. Pauline a perdu. Cédric explose de joie en criant sa victoire. Sautant par-dessus le filet il va la rejoindre :
- J'ai gagné, mais c'était un beau match et j'avoue que j'ai été largement aidé par non amis.
Pauline se penche pour rajuster son lacet, tournant la tête vers les deux obsédés.

Dans cette position, elle leur offre une vue splendide sur sa croupe. Les deux garçons ne s'y trompent pas : leurs mains s'activent sur leurs érections de manière presque fébrile tandis qu'elle expose ses jolies fesses et son coquillage humide. Cédric se demande si elle met volontairement du temps à refaire son lacet ou si c'est le spectacle de cette masturbation en public qui la déconcentre tant qu'elle en perd la méthode du nouage de ses chaussures.

Alors qu'elle se redresse, Cédric appuie sur ses épaules pour qu'elle se penche en avant à nouveau en se cambrant :
- Attends, reste comme ça. Je crois que Matteo n'en a plus pour très longtemps.
- Tu crois qu'il va oser... ici ?
- C'est en bonne voie...
Amusée, Pauline bombe sa croupe, exposant ses trésors.

Un léger râle se fait entendre derrière elle :
- Raaaaaaaaah !
Elle n'a pas besoin de regarder pour savoir que Matteo est en train d'éjaculer. Elle ne résiste pourtant pas à tourner la tête pour voir la semence de l'Italien s'écouler lentement de sa queue turgescente et tomber à grosses gouttes par terre.

Elle se retourne alors et montre sa surprise :
- Waouh ! C'est un honneur de vous voir éjaculer ainsi.
Nino observe les mamelons qui pointent à travers le débardeur et répond :
- C'est parce que tu as gagné. On fête ça de cette manière.
- C'est sympa les gars, merci.

- De rien. C'est avec plaisir. On n'avait jamais vu un si beau match.
- Oh, je sais bien que c'est surtout mon cul que vous avez reluqué...
- Oui... c'est très beau et très bandant.
Pauline admire la queue bien tendue de Nino et voit du liquide pré-séminal s'écouler au fur et à mesure de la masturbation.

Elle s'approche des Italiens :
- Peut-être voudrais-tu un peu d'aide ?
- Oh, c'est très gentil, Stronzetta, mais tu dois être épuisée par ton match, non ?
- Oui, mais je peu encore donner un coup de main...
Elle repousse la main de Nino pour prendre sa place autour du membre raide.

Nino la laisse faire. Cédric s'approche et rigole :
- Quand Pauline tient fermement un manche, tu peux être sûr que la victoire est assurée.
Nino n'a pas le temps de comprendre ce que vient de dire le Français. Il sent ses testicules se contracter et sa semence se libérer. Il éjacule abondamment, les jets de spermes éclaboussent son propre ventre, l'avant-bras de sa bienfaitrice, son poignet et ses doigts.

Pauline l'abandonne alors que l'éjaculation n'est apparemment pas terminée. Se relevant, elle admire la semence épaisse continuer à s'écouler du gland :
- Impressionnant ! Ces matchs de tennis sont décidément de plus en plus excitants.
- Merci Stronzetta.
Pauline sourit en l'entendant l'appeler comme ça :
- La stronzetta trouve qu'une petite toilette serait indispensable avant que vous ne repartiez.
Avant que Nino ne puisse répondre, elle s'est remise à genoux entre ses cuisses et lui lèche méticuleusement tout le sperme qu'il a sur le ventre, sur les couilles et surtout sur la hampe et le gland.

Nino frémit :
- Mmmmm, c'est très bon, Stronzetta. C'est bien plus efficace qu'une douche.
Quand elle se relève, elle tourne la tête vers Matteo qui la regarde avec un regard implorant :
- Quoi ? Toi aussi ? Tu veux une petite toilette ?
Quand elle voit la queue encore en érection et couverte de semence épaisse, elle comprend que c'est certainement ce que l'Italien attend.

- Bon, OK. Il n'y a pas de raison que ton frère en profite et pas toi. Par contre, je préfèrerai que tu te mettes debout, ce sera moins fatiguant pour moi.
Matteo n'a pas tout saisi ce que vient de lui dire Pauline. Il lance à son frère un regard interrogatif. Nino rigole :
- Questa stronzetta vuole succhiartelo ma tu devi alzarti.
Matteo se met alors aussitôt debout. Pauline s'agenouille devant lui et commence par lui lécher les doigts. Puis elle lui pompe le gland et lèche consciencieusement toute la hauteur du sexe toujours parfaitement tendu. Ceci fait, elle entreprend de lécher aussi les couilles de l'Italien.

Matteo se met soudain à gémir :
- Ahhhh! Oh, cazzo! Mi sta facendo venire di nuovo!
Cédric regarde Nino, interrogatif :
- Qu'est-ce qu'il vient de dire ?
- Que ta fiancée est très douée.
Pauline a bien senti ce qu'il se passait. Elle se recule juste au moment où il éjacule et la première salve de sperme tombe juste à ses pieds. Elle sourit en voyant le sperme s'écouler ensuite lentement de la verge qui marque des soubresauts annonciateurs de chaque nouvelle arrivée de semence.

- Oups, je crois que cette toilette a été un peu trop appuyée...
- Ne t'en fais pas Stronzetta, mon frère est un grand sensible. Il éjacule facilement. !
- Je m'en étais déjà rendu compte. Quoiqu'il en soit, je suis comblée. Jamais je n'avais eu de supporteurs qui me montre autant d'attention.

Cédric hoche la tête pour acquiescer :
- Et si on faisait tous un saut à la piscine pour se détendre un peu ?
- Bonne idée, mais j'ai laissé mon maillot au bungalow.
- Pas de souci, je passe te le récupérer et je vous rejoins là-bas.
- Merci, tu es un amour.

Avec un passage librement inspiré du texte de Ugluk "Partie de tennis" (11 juillet 2007) :
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb115/reve11543.html]
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Weekend sportif - 11 : Compétition à la piscine
Dimanche, 11h08
Quand Cédric rejoint les autres à la piscine, il est presque surpris de les trouver plutôt sages. Matteo et Nino sont assis au bord de la piscine à discuter et Pauline vient le rejoindre dès qu'il arrive pour récupérer son maillot. Il s'attend presque à ce qu'elle se change sur le bord de la piscine, impudique, mais elle va malgré tout au vestiaire, ce qui déçoit presque un peu Cédric. Il a profité d'être au bungalow pour passer son maillot de bain et le regrette presque puisque ça aurait pu être l'occasion de se changer avec sa fiancée dans le vestiaire et de profiter de ses charmes. Les Italiens le tirent de ses réflexions :
- Pauline est une fille exceptionnelle.
- Oui, ça je ne sais. Elle n'a pas froid aux yeux.
- Je dirais même qu'elle n'a froid nulle part.

Cédric rigole. Il repense au match. C'est vrai que sa copine montre de plus en plus de goût pour l'exhibition et ce n'est pas pour lui déplaire. Et puis ce qui a suivi le match était également très excitant : de savoir à quel point elle peut exciter les autres hommes, cela le rend très fier. Matteo demande, cherchant ses mots :
- Elle... elle est toujours... comme ça ?
- Héhé, non. Mais de plus en plus. Et j'avoue que je donne volontiers un coup de pouce pour qu'elle se donne en spectacle.
Il fait un clin d'œil à Matteo qui semble pourtant ne pas avoir compris. C'est à ce moment que Pauline arrive derrière lui, superbe dans son bikini rouge :
- Alors les garçons, ça papote ?

Cédric l'admire souriant :
- Te voilà en tenue pour nous faire quelques longueurs ?
- Tu ne t'es pas assez rincé l'œil pendant le match pour en vouloir encore ?
- Tu sais que je ne me lasse pas de t'admirer.
- Oui, ton maillot commence d'ailleurs déjà à le montrer...
Tout en contrôlant les nœuds de sa culotte, Pauline désigne l'érection de Cédric qui commence à pointer.

- Désolé, ma chérie. C'est incontrôlable, tu le sais...
- Si, moi. Je peux en prendre le contrôle.
- Avec plaisir !
- Non, pour le moment, je vais quand même me baigner.
Pauline descend dans le bassin sous le regard fasciné des garçons.

Après avoir évolué un peu dans l'eau, elle se retourne vers les garçons :
- Dites donc, vous ne voulez pas vous baigner aussi au lieu de rester à jouer les voyeurs ?
Nino répond :
- Mmmm, non. J'avoue que j'adore te regarde. Je ne m'en épuise pas.
- On dit "je ne m'en lasse pas"...
Nino sourit :
- Je ne maîtrise pas parfaitement la langue.
Pauline lui répond avec bienveillance :
- Tu es là pour apprendre.

Nino hoche la tête :
- Avec toi, je veux bien tout faire : apprendre le français et apprendre le tennis. Tu es forte en tout. Tu serais un bon professeur.
Cédric intervient :
- C'est aussi une nageuse hors pair. Tu nous montres ça, Pauline ?
- Je me débrouille. Mais je n'ai pas envie de nager comme ça toute seule.
- Dans ce cas on fait une course. Nino, Matteo, vous nous accompagnez ?
Nino se demande ce que Cédric prépare car il a l'impression qu'il a une idée derrière la tête en voyant son sourire. Il reste hésitant :
- Heu, non. On va observer. Il faut un arbitre pour départager.

Pauline lève les yeux au ciel :
- Pfff, vous avez surtout peur de vous ridiculiser, non ?
- Mais non. On nage très bien Matteo et moi. Juste que là on veut juger. Cédric dit que tu nages bien. On veut voir si tu nages comme un dauphin.
- Un dauphin ? Tu sais parler aux femmes, toi...

Cédric rigole :
- Une sirène. Elle nage comme une sirène. Bon ! On la fait cette course ?
Cédric va se mettre en position au bord du bassin et attend sa fiancée. Nino et Matteo se lèvent et vont tous les deux s'installer confortablement dans des transats côte à côte juste au bord du bassin. Une fois que Pauline a rejoint Cédric, elle lui fait un signe et ils plongent tous les deux. Les Italiens sont surpris de voir l'élégance du plongeon de la jeune fille et surtout avec quelle facilité elle se meut dans l'eau.

Malgré une nage moins souple et élégante, la puissance de la nage de Cédric fait que Pauline ne le distance pas si facilement et il talonne sa fiancée de peu. Toutefois, Nino remarque quelque chose d'anormal :
- Matteo , guarda!
Il désigne un petit morceau de tissu rouge qui flotte à la surface de l'eau derrière Pauline. Il identifie cela comme étant le string de la jeune fille. Regardant attentivement, il constate qu'elle nage effectivement cul-nu. Il croit même voir que le haut du maillot s'est lui aussi dénoué.

Pauline arrive au bout du bassin et touche le rebord de ses doigts avant de se redresser fièrement :
- J'ai gagné !
Les deux italiens sont stupéfaits car le bikini n'est effectivement plus présent pour couvrir les parties intimes du corps somptueux de la Française.

Quand Cédric arrive, juste après elle, il ne cache pas son ravissement. Pauline ne semble pas s'être encore rendu compte de sa tenue et le charrie :
- Alors ? Tu as vu ça ? Même Nino et Matteo ne semblent pas en revenir.
Cédric regarde les mines ébahies de deux Italiens :
- Pauline, je crois que tu les impressionnes effectivement.
- Yes ! J'ai gagné !

- Heu, ma chérie. Je t'invite quand même à jeter un œil derrière toi et à identifier ce qui flotte juste là...
Pauline se retourne et voit le string. Son enthousiasme retombe aussitôt.
- Merde. Mon string... J'ai nagé si vite que ça ?
Cédric rigole mais prend un air un peu gêné :
- Oui, tu as été rapide, mais j'ai peut-être un peu trafiqué ton équipement...
- Oh, salaud ! Je comprends. Tu as savonné les liens de mon maillot ! Je trouvais effectivement que les nœuds ne tenaient pas terriblement bien.

Pauline constate que Cédric a récupéré son string et son soutien-gorge :
- Merci. Tu me les passes ?
Mais au lieu de lui ramener, Cédric les lance en dehors de la piscine derrière les transats où sont installés les deux Italiens.
- Qu'est-ce que tu fous ?

- Comme tu vois, j'ai décidé que tu allais rester nue.
- Mais c'est moi qui ai gagné. C'est à moi de décider d'un prix pour ma victoire.
Nino intervient :
- Pauline ! Cela n'enlève rien à ta victoire. Tu as nagé comme une sirène. Te voilà dans la tenue d'une sirène. Et nous sommes sous le charme de ton chant...
- Mmmm, quel beau parleur tu fais, Nino. Tout ça pour me dire que tu profites encore une fois de te rincer l'œil.

Cédric vient la rejoindre et murmure :
- Il a raison. Nous sommes sous ton enchantement. Regarde ! Telle une Gorgone, il te suffira d'un regard sur son sexe pour le pétrifier...
Pauline rigole et baisse les yeux pour découvrir le maillot de Cédric, tendu par une érection majestueuse. Elle ne peut s'empêcher d'extraire le sexe, effectivement parfaitement raide, pour le masturber lentement. Cédric glisse alors sa main sur son ventre et atteint son clitoris.

- Cédric, tu... j'ai envie...
- Peut-être pas devant nos amis quand même ?
- Ils en ont vu d'autres...
Pauline lui échappe alors et se penche sur le bord du bassin, laissant sa croupe juste au-dessus de l'eau.

Quand elle s'est libérée de son étreinte, Cédric a d'abord cru qu'elle se moquait de lui. En voyant la sublime croupe offerte juste sous ses yeux, il comprend qu'elle a choisi cette position pour se donner à lui. Une levrette dans la piscine est une expérience qui convient parfaitement au jeune homme. Il vient alors la rejoindre :
- Ma belle... Tu as vraiment un cul incroyable.
Se laissant descendre un peu dans l'eau, il se positionne pour enfouir son visage entre ses fesses et lui déguster la moule à grands coups de langue.

Pendant qu'il lui déguste le coquillage, il en profite pour se débarrasser de son maillot devenu beaucoup trop étroit. Pauline ne se prive pas d'exprimer son plaisir :
- Oh Cédric, c'est bon... tu vas me faire jouir...
Mais celui-ci ne tient pas à lui donner un orgasme avec un cunnilingus. Il arrêt donc ses jeux de langue et, se relevant un peu, enfonce son majeur dans la vulve trempée. Il se met alors à aller et venir pour la masturber et lui arracher quelques gémissements de plaisir.

Pauline finit par le supplier :
- Cédric, mets-la-moi, s'il te plaît !
Penchée en avant, Pauline passe une main sous son ventre pour atteindre son entrejambe et se caresser le clitoris. Cédric n'hésite pas. Sous les regards ahuris des deux Italiens, il se lève et guide son membre turgescent dans la moule offerte de sa fiancée.

Tout en la prenant en levrette, Cédric laisse ses mains courir sur la poitrine, puis peu à peu, les mains descendent sur le ventre et atteignent l'entrejambe. Il n'a aucune peine à trouver le clitoris dardé. Pauline se redresse alors et laisse l'orgasme l'envahir. Cédric se demande un instant si elle ne s'est pas redressée dans le seul but d'exhiber ses superbes seins aux deux spectateurs. Son orgasme provoque des spasmes dans tout son corps et plus particulièrement dans son bassin. Les contractions répétées de son vagin autour du sexe de Cédric ont raison de sa résistance et il se met à éjaculer dans le délicieux fourreau de Pauline.

Le couple met quelques minutes à se remettre de ses émotions. Pauline chuchote à l'oreille de Cédric :
- J'ai adoré que tu me baises devant eux...
- J'ai aussi adoré et je ne crois pas me tromper en disant qu'ils ont aussi adoré...
Pauline sort de l'eau et demande aux Italiens :
- J'espère qu'on ne vous a pas choqués ?

Nino, étendu sur son transat, la regarde en souriant, le maillot déformé par une magnifique érection :
- Choqués ? Non. On aurait voulu participer, c'est certain...
La jeune fille attrape une serviette et commence à se sécher :
- Vous pouvez au moins vous mettre à l'aise. Je suis bien à poil, moi.
Tirant sur le bas de son maillot, Nino extrait son sexe bandé et se masturbe en regardant Pauline.

Matteo semble ne pas oser. Pauline se demande s'il a compris sa demande :
- Nino, tu peux dire à ton frère de se mettre à poil lui aussi ?
Nino tourne la tête et dit :
- Quella stronzetta vuole anche vederti masturbare davanti a lei.
- Dille che preferirei scoparla.
Se retournant vers Pauline, Nino rigole :
- Pour le moment, il préfère se reposer...
- Je pourrais exiger cela de vous pour prix de ma victoire, comme pour Cédric.

Cédric reste dans la piscine à nager, gardant un œil sur sa jolie fiancée impudique. Pauline, un peu frustrée que les Italiens ne jouent pas plus le jeu, décide de s'installer dans un transat.
- Cédric ?
- Oui ma chérie ?
- Quand tu sortiras, tu pourras venir me mettre de la crème, s'il te plaît ?
- Bien sûr ma chérie.
Il admire les jolies fesses de sa fiancée et visualise déjà quel genre de crème il aimerait y étaler.

Pauline s'allonge sur un transat au bord du bassin et s'étend sur le dos pour y bronzer, offrant aux rayons du soleil ce qu'elle offre déjà aux regards avides des trois garçons. Les yeux fermés, elle se laisse aller à la douce caresse des rayons qui chauffent lentement sa peau. Cédric fait alors signe à Matteo, sans prononcer un mot. Il lui désigne Pauline et lui indique, mains ouvertes à plat, qu'il lui propose de venir étaler de la crème sur le corps de Pauline à sa place. Matteo semble avoir compris. Discrètement, il se lève et vient la rejoindre, admirant le magnifique corps qu'elle expose.

Se mettant de l'ambre solaire dans les mains, il pose une main sur la cuisse de la jeune fille et l'autre sur sa poitrine. Pauline sourit et ouvre les yeux. Elle ne semble pas fâchée de voir qu'il ne s'agit pas de Cédric :
- Mmmm... Cédric n'a pas été assez rapide ?
Matteo sourit et hoche la tête. Sa main glisse sous la cuisse pour la faire se relever et ses doigts remontent doucement jusqu'à la fente humide de la belle naïade.

Pauline tend son bassin à la rencontre de ses doigts plein de promesses. Matteo comprend son attente. Il vient se positionner entre les cuisses de la jeune fille et se penche pour lui lécher la moule. Sa langue se glisse entre les lèvres et recueille au passage le nectar dont Pauline n'est pas avare. La langue remonte ainsi jusqu'au clitoris et s'y attarde. Pauline gémit de plaisir !
- Mmmm, tu sais te servir de ta langue même si tu ne parles pas très bien la nôtre...
Elle tourne la tête vers Cédric qui se trouve non loin dans l'eau, souriant. Elle ne le voit pas mais elle sait que, sous l'eau, il se masturbe en la regardant se faire brouter la chatte. Matteo continue de lui sucer le clitoris et engage son index dans la fente pour entamer une lente masturbation.

Pauline gémit de plus en plus. Matteo entend la voix de Cédric derrière lui :
- Pas sûr que les doigts suffiront.
Ses connaissances en français sont lacunaires, mais il a bien compris ce que suggérait Cédric. Il se redresse donc. Frustrée par l'interruption du cunnilingus, Pauline redresse la tête et découvre avec plaisir que le garçon s'est déjà débarrassé de son maillot, exhibant une belle queue dressée, prête à servir. Un battement de paupière de Pauline suffit à exprimer son accord. Le gland vient s'appuyer contre les lèvres et un léger coup de reins suffit à faire pénétrer la colonne de chair dans le temple de la jeune fille.

Cédric admire le visage de sa fiancée, modelé par le désir, déformé par le plaisir, concentré sur ses sensations, sur cette lame qui transperce et lui fait tellement de bien. Soudain, un frisson. Cédric la connaît. Ces prémices annoncent une suite agréable. Le corps se tend. Le bassin se cambre pour aller au-devant de la lame. Les contractions surviennent, accompagnées de gémissements. Elle jouit. Elle est si belle quand elle jouit et Cédric ne peut profiter de ce spectacle autant que quand c'est dans les bras d'un autre homme. Il connaît moins Matteo mais il sait comment fonctionne une bite. Et le râle qu'il pousse est lui aussi annonciateur d'un plaisir ultime. Il est sur le point de se répandre dans le ventre de Pauline mais au dernier moment, il se ravise et sort son membre turgescent. Le sperme jaillit et de longs jets épais viennent s'écraser haut sur le corps de la jeune fille. Elle en a jusque dans le cou, entre les seins, sur le ventre et un peu sur sa moule.

Cédric ne peut s'empêcher de commenter :
- Voilà ta crème ma chérie. J'espère que tu excuseras Matteo s'il s'est montré un peu trop généreux sur la quantité.
Reprenant son souffle, Pauline tourne la tête vers lui et sourit :
- On ne peut pas blâmer la générosité.
Matteo a le sexe qui commence déjà à se recroqueviller. Un peu dans un état second, il retourne s'allonger sur son transat. Sous le regard fasciné des garçons, Pauline passe ses mains sur son ventre et sa poitrine et étale la semence encore chaude sur sa peau comme s'il s'agissait d'ambre solaire. Ceci fait, elle se lève et admire Nino qui se masturbe lentement :
- Oh, mais tu n'as pas l'air d'avoir débandé, toi ?

Nino sent que c'est son tour :
- Pas une seule seconde. Tu es divine, Stronzetta.
- Et tu es parvenu à ne pas éjaculer depuis tout ce temps ?
- Je ne veux pas gâcher. J'attends que tu me dises ce que je dois faire....

Pauline semble ravie de cette proposition :
- Oh, je peux disposer de ton sperme comme je l'entends ? Voilà qui est bien généreux de ta part, à toi aussi.
- Les Italiens sont comme ça. Ils feront n'importe quoi pour leur piccola donna.
- Mmmm, alors si j'ai le choix, est-ce que je te laisse éjaculer sur mes seins ?
La jeune fille se cambre et se penche en avant pour tendre sa poitrine vers Nino.

L'idée semble plaire à celui-ci puisqu'il accélère sa masturbation. Mais Pauline se retourne :
- Mais peut-être que ça pourrait être pas mal aussi que tu éjacules sur mes fesses ?
- Je viendrais volontiers honorer cette croupe.
- N'oublie pas que c'est moi qui te dicte ce que tu dois faire...

Nino se lève, le sexe semblant prêt à exploser tant il est excité par la jeune fille qui joue avec lui :
- Alors dis-moi quoi faire. Mais ne tarde pas trop. Je vais exploser bientôt.
Pauline s'appuie à un muret. Il vient la rejoindre. Cédric se demande si elle dirige vraiment toujours les opérations et si elle fait ce que Nino attend d'elle. Pauline sent le sexe de l'Italien palpiter contre son ventre. Elle le prend dans sa main et sent la colonne de chair prête à exploser. Elle se garde donc de la masturber, espérant que le seul contact de ses doigts ne va déclencher la mise à feu.

Nino semble s'impatienter :
- Que décides-tu, bella donna ?
- Tu vas jouir. Tu vas tout me donner. Rassure-toi.
Elle appuie sa tête contre son épaule et commence à le masturber lentement d'une main tandis que l'autre lui caresse doucement les couilles.

Nino n'en peut plus. Il prévient Pauline :
- J'y suis ! Je viens ! Je viens... Aaaah...
Mais Pauline, la coquine, l'abandonne soudain alors que le sexe semble pris de convulsions. Nino ne comprend pas. Il saisit son membre turgescent et s'avance vers la jeune fille pour qu'elle le reprenne en main.

Mais il est trop tard. La semence monte déjà à la vitesse de l'éclaire et se déverse en pluie devant l'Italien.
- Rahaaaaaaa ! Stronzetta !!!
Pauline se laisse alors tomber à genoux devant lui tandis que le sperme continue à jaillir en véritable douche.

Quand Nino reprend ses esprits, il constate que la jeune fille a les seins couverts de semence et qu'elle en a même reçu au visage. Elle lui sourit :
- Bravo ! Je ne pensais pas que tu serais aussi généreux que ton frère.
- Tu es vraiment une fille incroyable, Stronzetta.
- J'avoue ne pas trouver désagréable d'être la merci de trois beaux garçons.

Cédric sort de l'eau, le sexe encore parfaitement bandé :
- Ma chérie, je crois que tu te moques de nous. C'est nous qui sommes à ta merci.
Pauline rigole et se lève :
- Bon, un petit bain pour se rafraichir et se débarrasser de tout ça et on va déjeuner ?
- Heu oui, pourquoi pas...
Cédric observe sa fiancée redescendre dans le bassin, se demandant où elle peut puiser autant d'énergie.

Quand elle ressort de l'eau, elle se tourne vers les gars et dit :
- Je suis prête. Dites, les gars, ça vous tente qu'on joue ensemble cet après-midi ?
Nino et Matteo la regarde, interloqués :
- Nous... nous aussi ?
- Bah oui. Je me disais qu'on pourrait faire un double puisqu'on est quatre. Qu'est-ce que vous en dites ?

Nino et Matteo semblent ravis. Cédric et Pauline prennent congé et rentrent à leur bungalow pour manger.
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Weekend sportif - 12 : Quatrième match de tennis
Dimanche, 13h57
Quand tout le monde est sur le cours, la répartition des équipes se fait par nationalité. Les Italiens notent bien que Pauline n'a toujours pas mis de soutien-gorge mais ils ne savent pas encore si elle porte quelque chose sous sa jupette. Se tournant vers Nino, Pauline lui sourit et demande :
- On intéresse la partie ?
- Que veux-tu dire ?
- Qu'il y ait un challenge plus important que seulement des points.
- D'accord ! A chaque jeu, l'équipe perdante devra un vêtement à l'équipe gagnante.
Pauline imaginait des gages coquins qui auraient pu déraper mais elle ne s'attendait pas ce que les vêtements soient mis en jeu. Finalement, elle trouve l'idée très excitante :
- Ah oui, Carrément ?

- Oui, ça te pose un problème, Pauline ?
- Pas du tout. Mais vous pensez être à la hauteur ?
- Tu penses qu'on va se retrouver à poil tous les deux ?
Pauline a un doute. Elle ne s'est pas posé la question mais il est possible que les Italiens jouent très bien au tennis.
Pauline accepte l'enjeu en défiant Nino du regard comme s'ils allaient disputer la finale du tournoi de Roland Garros.

Courtois, les Italiens les laisse servir en premier. Elle retourne voir Cédric et murmure :
- J'espère que je n'ai pas fait une bêtise en proposant cela...
- Peu importe. On va bien s'amuser. Que l'on gagne ou que l'on perde !
Pauline se place en avant pendant que Cédric s'échauffe et elle s'adresse aux Italiens avec un ton de défi :
- Nino, on va vous dépouiller.

Malgré l'absence d'échauffement, les premiers échanges sont assez soutenus, voire même musclés. Les Français opposent à la motivation des Italiens une organisation efficace pour couvrir l'ensemble du terrain. Pauline et Cédric gagnent le premier jeu. Arrive alors la phase de négociation pour le vêtement perdu. Ils se retrouvent au filet. Nino demande :
- Qui décide du vêtement à enlever ? Les gagnants ou les perdants ?
- Je pense que ce serait logique que ce soit les gagnants non ? Mais je vais être fair-play, je vais réclamer le tee-shirt de Matteo.
- Ok, répond Nino avant de se tourner vers son frère : La stronzetta vuole la tua camicia.
Ayant récupéré son trophée, Pauline admire la poitrine musclée de Matteo et ses abdominaux.

Matteo est au service et chaque fois qu'il lance la balle en l'air pour la frapper, Pauline ne peut s'empêcher d'admirer les muscles de son torse qui se tendent et saillent sous la peau, luisants de sueur. Les abdominaux se contractent lorsque la balle claque dans le filet de la raquette. Elle a du mal à se concentrer, car ce spectacle la fascine. Cédric s'amuse de la fascination de sa fiancée :
- Pas sûr que l'on gagne ce match si tu te déconcentres aussi facilement.
Pauline tourne la tête :
- C'est pour ça que je compte sur toi !
- Tu plaisantes ? Ils n'ont peut-être pas encore eu l'occasion de voir sous ta jupe mais moi j'ai tes jolies fesses en permanence sous les yeux.
- Zut, c'est vrai que je ne te facilite pas la tâche...

Le match reprend. Pauline fait un effort pour éviter de sauter ou de trop bouger afin de ne pas faire trop voler sa jupette et que Cédric ne soit pas trop perturbé par le spectacle de ses fesses nues. Après quelques échanges tendus, Pauline et Cédric parviennent à gagner le second jeu. Cette fois-ci, les négociations n'ont pas lieu. Nino retire son tee-shirt sans demande leur avis à ses adversaires. Pauline ne proteste pas. La vue du torse nu et musclé de l'Italien semble lui convenir parfaitement. Un nouveau jeu reprend et Cédric note que Pauline en perd en concentration. A l'occasion d'une balle maladroitement renvoyée dans le filet, Cédric s'approche d'elle et murmure :
- MA chérie, il faut qu'on se reconcentre sur le match. Je vais tenter de rester moi aussi concentré, malgré tes jolies fesses.
- Désolée, je vais me reprendre.

Cédric rigole :
- Tu sais, Pauline, s'ils gagnent le jeu, je doute que ce soit une de mes fringues qu'ils réclament...
Pauline se reconcentre mais elle a l'impression que son fiancé ne fait pas beaucoup d'efforts. Elle se demande même s'il ne s'amuse pas à manquer volontairement ses balles dans le seul but de laisser les Italiens gagner le troisième jeu. Effectivement, les Français perdent le jeu. Nino s'avance vers le filet, souriant et observe Pauline. Il semble hésiter :
- On a donc gagné un de tes vêtements, Pauline.

Pauline se défend :
- D'ailleurs, pourquoi moi ? Ce pourrait être aussi Cédric, non ?
- Je ne sais pas. Peut-être que c'est plus excitant de te voir nue, toi, plutôt que Cédric ? Qu'en penses-tu ?

- Je crois que je vais me résigner et que je vais perdre tous mes vêtements avant que Cédric en perde un seul...
- Oui, je crois ce sera comme ça... précise Nino.
Pauline attend la décision des Italiens :
- Alors ? Le haut ou le bas ?

Les Italiens se concertent :
- Que préfères-tu Matteo ? Qual è la tua scelta? Alto o basso?
- Voglio davvero vedere i suoi seni.
- Ok, Stronzetta. Ce sera ton haut.

Pauline sourit :
- Je pense que ça va vous déconcentrer les garçons...
- On prend le risque.
Lentement, elle remonte le débardeur et le fait passer par-dessus sa tête, libérant sa jolie poitrine.

Les garçons sont subjugués. Pauline leur sourit en faisant saillir sa poitrine :
- Vu comment vous bavez, je crois que vous n'allez pas gagner le prochain jeu.
Cédric rigole :
- Même si je te vois surtout de dos, je t'avoue que ça me trouble autant qu'eux ma chérie. Donc pas sûr que moi je te sois d'un grand secours.
- Tant pis, je vais me débrouiller. Vas-y, sers.

Avant même le premier échange, Pauline sautille pour se positionner, faisant bouger sa poitrine au gré de ses mouvements. Matteo semble complètement subjugué et manque la balle que Nino renvoie de justesse en pestant contre son frère en italien :
- Cretino! Guarda la palla, non le tette!
La balle renvoyée monte haut au-dessus du filet. Pauline n'a qu'à se reculer d'un pas pour la recevoir et la renvoyer en smash. Elle frappe et la balle fuse à grande vitesse sur Matteo qui, sachant qu'il ne pourra pas la renvoyer, se met de côté pour essayer de l'éviter. Malheureusement pas assez rapide, il prend la balle de plein fouet dans le haut de la cuisse et crie de douleur. Pauline est confuse :
- Oh, excuse-moi !

Nino rigole et se moque de son frère :
- Sei fortunato a non averlo preso nelle palle.
Pauline s'inquiète :
- Est-ce que ça va, Matteo ?
- Oui oui, ça fait mal au moment. Là, ça va.
Le match reprend et les échanges se font plus vifs et sérieux, comme si l'incident avait permis à tout le monde de se recentrer sur le jeu. Malheureusement pour les Italiens, à l'issue d'âpres échanges, c'est encore Pauline et Cédric qui gagnent le jeu. Pauline lève les bras en l'air et exulte :
- Je crois qu'il va y avoir un mec à poil...

Pauline sourit à Nino :
- Puisque Matteo vient de se prendre une balle dans la cuisse, je propose que ce soit toi qui t'y colle.
- Tu sais que... on ne porte rien sous nos shorts ?
- Oui, j'avais pu remarquer qu'il y avait de l'activité là-dessous. Allez hop ! Déballe.
Nino baisse lentement son short, commençant à exhiber un sexe déjà bien gonflé qui tente de cacher pudiquement derrière sa raquette.

Quand le short est enfin retiré, Pauline a bien du mal à ne pas montrer son intérêt pour le membre gonflé :
- Mmmm, voilà un appendice bien encombrant pour un match de tennis.
- Pas moins que tes seins, je pense, répond Nino.
- C'est ce qu'on va voir. En piste. A vous d'engager.
Pauline se remet en position, espérant ne pas être trop déconcentrée par la nudité de son adversaire.

Les échanges reprennent. Nino, totalement nu, met du temps à s'habituer à jouer ainsi et ce n'est qu'après avoir perdu 3 points, alors que le jeu est presque acquis pour le couple français, qu'il se ressaisit et parvient à se reconcentrer. Cédric, toujours très troublé par la quasi-nudité de sa fiancée, n'est pas d'un grand secours à Pauline et celle-ci, sentant que Nino reprend l'initiative, peine à l'empêcher de remonter au score. Nino montre une motivation impressionnante, soit pour épargner à son frère de se retrouver lui aussi à poil, soit (plus probablement) pour faire retirer à Pauline sa jupette agaçante.

Les italiens parviennent à égaliser. Craignant de perdre l'avantage, Pauline encourage Cédric :
- Allez ! Merde, réveille-toi. On peut gagner !
- Gagner quoi ?
- Je veux voir la queue de Matteo aussi.
- Je ne suis même pas surpris...
Amusé, Cédric fait un effort et c'est lui leur permet de gagner le jeu à nouveau. Pauline s'appuie au filet et regarde Cédric :
- Bravo mon chéri. Du coup, cette fois-ci, c'est toi qui va choisir le vêtement qu'ils vont devoir retirer...

Cédric rigole :
- Quel choix !
Il s'adresse à Matteo :
- Matteo, je crois que tu sais ce qui t'attend ?
Matteo ne semble pas beaucoup plus à l'aise que son frère au moment de se mettre ainsi nu en public, mais il s'exécute, non sans faire quand même preuve de pudeur, ce que Pauline trouve très attendrissant.

- Mmmm, voilà un match fort intéressant. Maintenant, je vais en profiter pleinement. Voir deux beaux italiens à poil courir devant moi, cela va être très agréable.
Nino sourit :
- Tu mouilles ?
Pauline tire sur sa jupette :
- Mmmm, ça tu ne le sauras pas.

Nino la défie :
- Tu sais que nous on n'a plus rien à perdre.
- Et alors ?
- Quoiqu'il arrive, le prochain vêtement à tomber ce sera ta jupe... Alors on verra bien si tu mouilles.
Pauline sait bien qu'il a raison mais elle note aussi que cette perspectif excite son adversaire puisque son sexe se met à se dresser lentement.

Cédric récupère la balle pour servir et dit à Pauline :
- Putain, ça fait drôle de vous voir tous à poil et moi d'être encore habillé !
- Hey, je ne suis pas encore à poil. Alors pour sauver ma jupe, il va falloir leur en mettre plein la vue jusqu'à la fin.
- C'est à moi que tu en mets plein la vue dans cette position.
Pauline sourit car elle sait que, ainsi penchée en avant, elle lui expose sa délicieuse croupe.

Elle se redresse pour qu'il se concentre sur son service :
- Allez, fais-moi un beau service.
Cédric lance la balle en l'air et avec une détente impressionnante, il frappe la balle qui rase le filet avant d'atteindre le sol non loin devant Matteo. Celui-ci parvient à réagir et renvoie la balle. Les échanges se succèdent de manière assez intense. Pauline parvient à couvrir les trois quarts du terrain à elle seule. Cédric se demande pourquoi elle se bat avec une telle frénésie pour une jupette alors que tous les garçons présents ont déjà eu l'opportunité d'admirer son cul et sa moule. Pourtant, les Italiens se battent avec encore plus de rage. La jupe ou la nudité de Pauline ne semblent pas être le seul enjeu. Les Italiens semblent mettre un point d'honneur à ne pas perdre ce jeu. D'un revers, Nino parvient à placer sa balle dans un angle inaccessible pour le couple français qui perd le point.

Pauline sent qu'ils n'ont plus l'avantage. La résolution des Italiens semble sans faille et ils déploient une énergie qu'elle ne soupçonnait pas. Perdant courage, elle baisse sa garde et laisse les Italiens remporter chacun des points du jeu. Une fois le dernier point acquis, Nino s'approche du filet en souriant :
- J'hésite entre ta jupe et le tee-shirt de Cédric.
- Ne me prends pas pour une conne...
Pauline ouvre la fermeture de sa jupe et commence à la faire glisser.

Une fois nue, sous le regard attentif et lubrique des trois garçons, Pauline annonce :
- Vous avez gagné le sixième jeu mais, si je compte bien, on en a gagné quatre, donc on remporte le match.
Cédric la corrige :
- On remporte le set. Il faut remporter 2 sets pour remporter le match.
Pauline observe les deux Italiens dont les sexes sont passablement gonflés et tendus, puis son fiancé dont l'entrejambe déforme outrageusement le caleçon :
- Vous croyez vraiment être en condition pour faire six jeux de plus ?

- On est en pleine forme, fanfaronne Nino en exhibant fièrement son sexe tendu.
- Moi, j'avoue être un peu crevée... On fait juste un jeu de plus, d'accord ?
- Maintenant que tu es nue, on aurait bien fait un set complet pour te voir bouger...
- Allez, pitié. On ira à la piscine ensuite. Tu me verras bouger dans l'eau.
- OK. Dit Nino en se mettant en position pour servir. Mais si on gagne, tu nous devras quelque chose.

- Quoi ? Qu'est-ce que je vous devrais ? Vous vous rincez l'œil déjà, non ?
- Je ne sais pas... A toi de faire une proposition...
Cédric intervient alors :
- Une pénétration ?
Pauline se tourne vers lui en ouvrant grand les yeux :
- Tu déconnes ? Tu me négocies comme ça ? Comme un trophée ?
- Ah non. Je suggère, c'est tout. Et je propose une pénétration, pas deux ou trois. Et ce sera à toi de choisir.
Pauline réfléchit quelques instants avant de répondre :
- D'accord, je valide. Mais si c'est nous qui gagnons, Nino, je veux te voir tailler une pipe à ton frère.

Matteo demande à son frère :
- Cosa disse?
- Che è meglio vincere...
Pauline se met en position, attendant le service de Nino. La balle fuse et ni elle, ni Cédric ne parvienne à l'intercepter. Le point va aux Italiens et Nino se sent pousser des ailes. Il se démène comme un beau diable, ne semblant plus du tout gêné de jouer dans le plus simple appareil.

En moins de cinq minutes, le jeu est gagné par les Italiens, Cédric et Pauline n'ayant marqué aucun point. Nino dit :
- Ouf ! Je ne voulais pas sucer Matteo. Maintenant Pauline, il faut choisir qui va te faire l'amour.
- J'imagine que je ne peux pas choisir Cédric ?
Cédric répond lui-même :
- Ce ne serait pas très fair-play.
Matteo se retourne alors et dit :
- Pauline, si tu cherches les plus jolies fesses, ce sont les miennes.

- Mmmm, vous êtes mignon les garçons. Le choix est difficile mais je pense avoir trouvé...
- Ah oui ? Demande Nino, les yeux pétillants.
- Oui, pour ne pas faire de jaloux, j'ai choisi que je serai pénétrée par...
- ???
Pauline glisse le manche de sa raquette entre ses cuisses.
- ... mon manche de raquette !

C'est Cédric qui s'insurge en premier :
- Bah non, c'est de la triche, ça !
- Quel gâchis, renchérit Nino.
Pourtant, Pauline note que cela excite notablement l'Italien car son sexe se gonfle et se tend de manière plus que significative.

Pauline sourit et dit :
- Dites donc les gars, vous m'avez laissé le choix et j'ai choisi.
Sans plus attendre, la jeune fille commence à faire glisser le manche de la raquette contre sa fente. Quand le manche ressort d'entre ses cuisses, les garçons notent à quel point celui-ci est gluant de mouille. Pauline ferme les yeux.

Puis elle se retourne vers Cédric et se penche en avant. Cuisses écartées, lentement, elle fait tourner le manche de la raquette en l'introduisant peu à peu dans sa moule. Les garçons sont subjugués de voir le manche de la raquette de tennis disparaître millimètre après millimètre entre les cuisses de Pauline. Enfin, tout aussi lentement, elle ressort le manche et annonce fièrement :
- Voilà !
Cédric s'insurge à nouveau :
- Quoi ? C'est tout ?
- Il ne me semble pas qu'il était précisé davantage qu'une pénétration. Je pense que vous avez pu tous la constater, non ?
Gardant les cuisses écartées, elle se penche en avant pour saisir une balle au sol :
- Messieur, on range ?

Cédric réagit :
- Déjà ? Il n'y a pas une récompense pour les gagnants ?
Nino intervient :
- Je suis d'accord. Vous avez gagné. Cela vous donne le droit de nous demander quelque chose.

Pauline observe les sexes tendus des deux Italiens et se mord la lèvre inférieure en souriant :
- Mmmm, ç ce que j'ai compris, je ne peux pas vous demander de faire un truc tous les deux ?
- Des trucs homos avec mon frère ? Non, ce ne sera pas possible.
- Dommage, j'aurais trouvé ça terriblement excitant... Dans ce cas, j'ai très envie que vous vous masturbiez tous les deux devant moi.

Nino sourit :
- Oui, ça on peut, c'est facile !
Matteo demande :
- Cosa disse?
- La stronzetta vuole vederci masturbare.
- È facile!
Matteo empoigne son membre déjà raide et commence à l'astiquer tranquillement.

Cédric demande :
- Et moi ?
- Ah non. Toi tu as gagné, tu n'es donc pas obligé de t'humilier comme nos deux amis.
- Pourtant...
- Ne t'inquiète pas, ton plaisir viendra aussi.

Cédric n'insiste pas. Pauline s'appuie au filet. Les Italiens l'admirent et continuent de se masturber. Matteo demande :
- Combien encore ? Jusqu'à la fin ?
Pauline tourne à peine la tête pour lui répondre :
- Bien sûr. Je veux voir les perdants éjaculer sur le terrain.

Cédric demande :
- Et s'ils avaient gagné ?
- S'ils avaient gagné ? C'est eux qui auraient choisi leur prix. Je pense que tu n'aurais pas fait partie de l'équation, mon chéri, et que je me serais retrouvée prise en sandwich entre deux magnifiques étalons Italiens...
Nino n'est pas insensible à ce scénario et sa simple évocation par Pauline suffit à déclencher son éjaculation.

La jeune fille tourne la tête et admire la semence gicler puissamment et s'écraser en petites flaques blanchâtres devant Nino. Quand celui-ci a terminé, Pauline lui demande :
- C'est d'imaginer ce que tu as manqué si tu avais gagné qui t'a fait jouir ?
- Oui... répond Nino un peu penaud.
- Amusant. Et Matteo ? Cela ne le stimule pas ?

Nino se tourne alors vers son frère :
- La stronzetta dice che se avessimo vinto, avremmo potuto scoparla entrambi insieme.
L'effet est presque immédiat. Pauline admire le sexe du second Italien se tendre et voit avec ravissement la semence jaillir du membre turgescent.

Elle attend qu'il ait terminé pour contourner le filet et les remercier :
- Bravo les gars, c'était un très beau match. Certainement le plus excitant que j'ai jamais joué.
- Pour nous aussi...
- On va faire un dernier passage à la piscine, ça vous dit de nous y accompagner ?

- Ce sera avec plaisir.
Cédric ajoute :
- Après un match aussi intense, un peu de détente nous fera le plus grand bien.
Nino prend une serviette dans son sac et commence à s'essuyer le sexe :
- On prend une douche et on vous rejoint.

Avec l'idée de la mise en jeu de vêtement tirée du texte de Ugluk "Partie de tennis" (11 juillet 2007) :
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb115/reve11543.html]
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Weekend sportif - 13 : Dernier passage à la piscine
Dimanche, 15h02
Quand les frères Italiens, Nino et Matteo, arrivent à la piscine, Cédric et Pauline sont déjà étendus sur des transats pour bronzer. Avec son charmant accès Italien, Nino prend un ton plaintif :
- Nous arrivons trop tard. Vous dormez déjà...
Mais Pauline ouvre les yeux et se lève :
- Nous vous attendions...
Les deux garçons admirent le petit bikini rouge qui exhibe joliment ses délicieuses courbes.

Matteo rigole :
- È un sacco di stoffa
- Mon frère dit que ça fait bizarre de se retrouver en maillot ici alors qu'on était presque tous à poil sur le cours de tennis...

Cédric, assis sur son transat, semble abonder dans leur sens. Tendant le bras, il saisit le nœud du soutien-gorge et tire dessus :
- Je suis assez d'accord...
- Hey ! Mais si quelqu'un arrive ?
- On dira que c'est un horaire réservé aux naturistes.
Pauline laisse Cédric lui retirer son soutien-gorge.
- Pffff, tu es toujours inventif pour ce genre de chose...

- Eh oui ma chérie ! D'ailleurs, naturiste, ça signifie sans vêtement, pas même une culotte...
- Te voilà bien à cheval sur le vocabulaire.
Sous le regard attentif des trois garçons, Pauline tire sur les nœuds de chaque côté de son maillot.

Une fois nue, elle s'approche de Cédric :
- Debout !
Souriant, le jeune homme s'exécute, sans se formaliser d'une imposante déformation à son maillot de bain. Pauline attrape le maillot et le tire vers le bas :
- Si c'est un horaire réservé aux naturistes, je crois que ceci est prohibé...
Elle abaisse le maillot, exhibant le sexe déjà tendu de son fiancé. Elle le saisit et commence à le masturber. Cédric se penche sur elle pour l'embrasser :
- Ma chérie... je vois que tu sais te faire respecter...

- Tu vas m'obéir au doigt et à l'œil.
- Et à tout le reste de ton corps...
La bouche de Cédric trouve la sienne et ils échangent un profond baiser.

Pendant ce temps, Matteo et Nino ne perdent pas une miette du spectacle. Rapidement, ils se débarrassent eux aussi de leurs encombrants maillots. Quand les amoureux interrompent leur baiser, Pauline murmure à l'oreille de Cédric :
- Si tu savais comme j'ai envie.
- Moi aussi ma chérie... Mais tu vas aller dans l'eau et ça va te calmer.
Pauline est surprise :
- Quoi ? Tu ne veux pas que... ?
Cédric lui fait un clin d'œil et se penche à nouveau à son oreille :
- Non, va te rafraîchir. Et je suis sûr que Matteo ou Nino viendront te tenir compagnie.

Relevant les yeux, Pauline tombe en arrêt sur Nino qui est totalement nu et, surtout, qui affiche une belle érection très appétissante. Elle se passe la langue sur les lèvres et sourit :
- Nino, je vois que tu as le même problème que moi...
- Ah, sì? Qual è il problema?
- Tu es excité.
- Comment ne pas être excité... ?

- La solution sera un bon bain d'eau fraîche. Tu m'accompagnes ?
- Je ne veux pas refuser une invitation comme celle-là...
Les garçons admirent Pauline plonger dans le bassin et ressurgir, les pointes des seins fièrement dressées.

Nino jette un œil à Cédric, semblant attendre son approbation :
- Elle m'a demandé de...
- Oui oui, vas-y. L'eau fraîche va certainement calmer tes ardeurs.
- Ardeurs ?
- Ton excitation...
Nino n'est pas sûr d'avoir compris ce que Cédric lui a dit mais il a parfaitement compris que Cédric l'invite à rejoindre Pauline. Il descend donc dans le bassin.

Cédric demande :
- Alors, ça marche ?
Pauline se tourne vers lui :
- Quoi donc ?
- Est-ce que l'eau calme vos ardeurs ?
- Bah non, j'ai l'impression que mes mamelons sont encore tout tendus....
- Nino, tu peux vérifier, s'il te plaît ?
Nino a bien compris ce qui lui a été demandé. Il pourrait se contenter de toucher les tétons du bout du doigt, voire coiffer le sein de sa main, mais il décide de se pencher et de contrôler la raideur du mamelon du bout de sa langue.

Quand il se redresse, il sourit à Cédric :
- Je crois qu'elle est encore excitée...
- Ah mince. Ceci dit, les mamelons, ça réagit au froid... Est-ce que les lèvres de sa moule sont gonflées ?
- Tu veux que je... ?
- Bah oui, il faut toucher pour savoir.
Nino se tourne vers Pauline et la regarde. Elle lui sourit et écarte ses jambes, voulant manifestement lui faciliter la tâche.

Pauline vient contre lui. Elle sent le sexe dur qui palpite contre sa hanche. Les doigts de l'Italien commencent à s'immiscer dans sa fente et elle feule. Cédric est tenté de les laisser continuer mais il veut pousser son petit jeu un peu plus loin :
- Hola ! Doucement ! J'ai l'impression que ça s'emballe et que ça pourrait déraper. Gardez vos mains hors de l'eau, ça me rassurera.
Pauline tourne alors le dos à Nino et se colle à lui en faisant onduler ses fesses contre sa turgescence. Contraint d'abandonner la moule de la jeune fille, Nino remonte ses mains et lui empoigne les seins pour les caresser.

Cédric voit bien le bassin de sa fiancée qui ondule et il devine facilement qu'elle a le sexe bandé de Nino calé entre les fesses :
- Attention que l'eau est quand même fraîche. Avant de vous immerger, pensez à vous mouiller un peu pour éviter le choc thermique.
Nino a parfaitement compris que cette proposition visait à permettre quelques attouchements sous couvert de précaution de santé. Il se penche un peu et prend de l'eau dans ses mains, l'une pour asperger la poitrine, l'autre s'orientant vers l'entrejambe de Pauline. La jeune fille se décale alors et, dégageant l'érection de Nino, elle la saisit pour la plonger dans l'eau et commencer à la masturber.

Cédric rigole :
- Ma chérie, tu pourras y mettre toute l'eau que tu voudras, je pense que notre ami est trop excité pour que sa queue refroidisse juste avec de l'eau. D'ailleurs, j'imagine qu'il va falloir aussi beaucoup d'eau pour calmer le feu entre tes cuisses, non ?
- ... Oui...
Pauline laisse Nino amener de l'eau fraiche entre ses cuisses puis, à chaque fois, s'attarder quelques secondes dans des attouchements de plus en plus précis et intrusifs.

Les doigts effleurent le clitoris, glissent sur la fente, écartent les lèvres et finissent par pénétrer le sexe brûlant. La jeune fille garde la bouche ouverte, les yeux fermés. Cédric sait ce que cela signifie. Elle se contrôle mais elle est en train d'avoir un orgasme. Quand elle semble se calmer, elle redresse la tête et sourit à Nino. Celui-ci se tourne vers Cédric :
- Je crois que je l'ai bien rafraîchie...
- Ah oui ? J'avais justement eu l'impression inverse...
Cédric regarde Pauline qui pousse alors Nino dans la partie plus profonde du bassin et l'amène jusqu'au bord. N'ayant plus que les bustes hors de l'eau, Cédric ne peut pas voir ce qui se passe exactement mais il devine aux mouvements de la main de sa fiancée qu'elle est en train de masturber l'Italien.

Cédric joue son rôle de mari jaloux :
- Qu'est-ce que vous faites, là-bas ? Pas de bêtise, hein ?
Pauline ne le regarde pas mais répond :
- Je le rafraîchis à mon tour, je pousse l'eau fraîche contre sa colonne embrasée.

Cédric s'approche, excité, car il espère voir l'Italien éjaculer entre les mains de sa fiancée. Pauline lui sourit :
- Tu ne vois pas bien de là-bas ?
- Je verrai mieux en m'approchant. Je suis curieux de voir ta méthode pour rafraîchir un homme.
- Et bien, comme tu vois, j'agite son sexe dans l'eau fraîche.

Cédric voit que Nino caresse les fesses de sa fiancée pendant ce temps. Il lui demande :
- Pauline a les fesses froides ?
- Oui, froides et douces...
- Alors, tu sais ce que tu devrais faire ma chérie ? C'est d'utiliser plutôt tes fesses pour agiter son sexe dans l'eau fraîche.
Pauline se tourne alors mais Cédric l'arrête :
- Ah non, ça vous avez déjà essayer, je pense qu'il faut essayer dans l'autre sens.
- Dans l'autre sens ?
- Oui. Tu lui fais face et il te soulève par les cuisses pour caler l'objet incandescent entre tes fesses... par en-dessous.
Nino semble ne pas avoir compris mais quand Pauline se colle à lui et se hisse à son cou, il saisit aussitôt ses cuisses pour la lever.

Cédric n'est pas dupe, il sait très bien que la bite de Nino n'est pas entre les fesses de sa fiancée. Quand Nino laisse Pauline retomber légèrement, il voit au visage de la jeune fille qu'elle se concentre tandis que la tige de l'Italien est en train de la pénétrer lentement. Quand ils commencent à bouger, Cédric aperçoit même directement la pénétration :
- Dites-donc, c'est curieux ! J'ai l'impression que ça fonctionnerait mieux avec un mouvement horizontal plutôt que vertical... Mais je me trompe sans doute...
Pauline, gémissante, parvient à répondre :
- C'est... c'est pas si facile...

Cédric remarque alors Matteo qui, debout au bord de la piscine, observe la scène avec intérêt. Il affiche une érection impressionnante et Cédric est stupéfait qu'il ne rejoigne pas son frère dans le bassin :
- Matteo ? Tu sembles avoir très chaud, toi aussi. Pourquoi ne vas-tu pas te rafraîchir dans l'eau ? Peut-être que la méthode de Pauline fonctionnera mieux pour toi...
Matteo fronce les sourcils et regarde son frère :
- Non capisco. Cosa vuole che faccia?
- Credo che tu abbia il permesso di venire a sodomizzare lei.
Cédric n'a pas compris ce qu'ils ont échangé mais il a saisi le mot "sodomie" et l'interprétation de ses paroles par Nino lui plait beaucoup. Il suit avec intérêt la descente de Matteo dans la piscine.

Alors qu'il s'approche lentement du couple toujours en plein ébat et surtout de plus en plus gémissant, Matteo s'astique la gouge comme s'il était indispensable qu'il soit au maximum de son érection. Mais, alors qu'il est à deux mètres du couple, il entend son frère se contracter et Pauline gémir :
- Aaaaah ! Cédric... Nino est en train de me rafraîchir au plus profond de moi... Oooooh...

Cédric rigole en voyant le visage incrédule de Matteo :
- Matteo, je crois que tu vas arriver trop tard pour profiter du rafraîchissement...
Celui-ci demande à son frère :
- Che succede?
- Ho appena messo tutto il mio succo...
La prise de conscience de ce qui vient de se passer déclenche alors l'éjaculation de Matteo.

Son sexe, pris de soubresauts, se met à cracher plusieurs salves de sperme épais qui viennent s'écraser à la surface de l'eau entre lui et le couple toujours enlacé. Nino rigole en voyant les filets de sperme flotter à la surface de l'eau. Pauline se dégage alors de son amant et regagne le bord du bassin. Elle sourit à Cédric :
- Ton idée de se rafraîchir était un peu douteuse mais elle était excellente. Par contre, je crois que ça a déclenché une... marée blanche !

Les Italiens sortent de la piscine. Nino semble ravi et va s'allonger sur une chaise longue. Faisant un point sur la situation, il interpelle Cédric :
- Hey ! Tu as vu mon frère ? Il a joui mais il est encore bien dur...
Cédric et Pauline tournent leur regard vers Matteo et découvre que Nino dit vrai. Matteo affiche une vigoureuse érection et se masse les testicules, sans doute pour aider à maintenir cette belle rigidité.

Pauline semble très intéressée :
- Dis donc Matteo, tu as encore de la ressource ?
- Che cosa è?
- Est-ce que tu viendrais m'aider ?

- Oui... Aider comment ?
Pauline va s'appuyer sur le rebord du bassin et écarte ses cuisses pour exhiber sa croupe :
- Tout a l'heure, il m'a semblé que Nino te disait de venir me sodomiser... Mais j'ai peur que ta queue soit trop grosse pour mon petit tour... Tu en penses quoi ?

Matteo est subjugué par cette question :
- Io... non lo so... Je ne sais pas...
- Approche-toi pour voir.
L'Italien descend dans le bassin pour venir la rejoindre. Pauline se hisse alors sur le bord en regardant Cédric et Nino :
- Je vais me mettre à sa hauteur. Ce sera plus facile pour l'examen.

Matteo s'arrête, pensant qu'elle sort de la piscine. Nino rigole et dit à son frère :
- Vai avanti, stupido! Ora vuole che le guardi il culo.
Pauline n'a pas compris ce qu'a dit Nino mais elle pense en avoir compris le contenu. Elle écarte donc les cuisses pour bien exposer sa croupe sur le bord du bassin.

Quand Matteo arrive à son niveau, Pauline resserre les cuisses et lui dit lentement pour qu'il comprenne bien :
- Je veux que tu regardes mon petit trou et que tu me dises si ta queue n'est pas trop grosse pour y rentrer.
Nino ajoute en rigolant :
- Vuole che la esamini.
Pauline sent alors les mains de l'Italien se poser sur ses fesses et les écarter doucement pour révéler son anus.

Cédric intervient :
- Il est peut-être petit, mais il peut s'élargir avec un peu de stimulation.
Nino traduit pour son frère :
- Penso che tu debba baciargli il culo
Matteo se penche alors entre les deux globes fessiers et commence à faire tourner sa langue à l'entrée de l'étroit passage.

Pauline feule de plaisir :
- Ohhh oui... c'est bon ça... continue Matteo.
- Continua, fratello, lei lo adora!
Matteo relève la tête, semble-t-il un peu agacé :
- L'ho preso, cretino!
Puis il replonge s'occuper de l'anus de Pauline avec concentration.

La jeune fille gémit de plus en plus. Elle se cambre pour lui faciliter l'accès. La langue tourne autour de sa rondelle lentement, parfois plonge aussi loin que possible dans l'orifice, parfois descend plus bas, au niveau de la fente qui ruisselle de cyprine tant l'excitation est grande. Pauline est prête à le supplier de la prendre, de la sodomiser ou de la baiser, mais elle a déjà perdu tout moyen d'expression rationnel et, le corps pris des spasmes du plaisir, elle succombe à un bel orgasme.

Quand elle s'apaise, Matteo se redresse. Pauline ouvre les yeux et se met à quatre pattes :
- Merci. Tu es doué.
- Tu le savais déjà.
- Oui, mais je confirme.

Matteo affiche toujours une érection colossale. Pauline le regarde sortir du bassin. Cédric intervient :
- C'était un bien bel orgasme ma chérie, mais je trouve que tu pourrais te montrer un peu plus reconnaissante avec ton bienfaiteur, non ?
Pauline acquiesce et se tourne vers Matteo :
- Tu es toujours excité ?
Matteo saisit son sexe :
- Oui, je suis très dur.

Toujours à quatre pattes, la jeune fille se cambre et lui dit :
- Alors tu peux venir me prendre ?
Matteo n'a pas vraiment compris ce qu'elle a dit mais sa position et son regard son suffisamment explicite.

Comme il vient s'agenouiller derrière elle, elle préfère préciser :
- Dans ma chatte, pas dans mon cul. Tu es trop gros pour mon petit trou.
Matteo a compris. Il guide son sexe turgescent dans la fente trempée de mouille et saisit la jeune fille à la taille pour la pénétrer.

Il se met à aller et venir en elle tranquillement. Pauline se met aussitôt à gémir :
- Oh la vache ! Ooooh... qu'est-ce que c'est bon !
En moins de temps qu'elle ne l'aurait cru, un nouvel orgasme la gagne.

Cédric pense que son orgasme va déclencher l'éjaculation de l'Italien mais celui-ci semble tenir bon. Il continue même ses assauts tandis qu'elle parvient difficilement à calmer son orgasme. Quand elle reprend ses esprits, elle a une idée. Elle se dégage et s'avance de deux pas devant Matteo et lui dit :
- Tu es bien lubrifié et je pense que je suis prête si tu veux essayer de me sodomiser...

Elle a volontairement utilisé "sodomiser" plutôt que "enculer", même si c'est le terme qui lui était naturellement venu à l'esprit initialement, car elle a noté que le mot français est très proche du mot italien. Le pauvre Matteo se retrouve le sexe prêt à exploser juste au-dessus de la magnifique croupe de la jeune fille et, le simple fait qu'elle lui propose de visiter son cul suffit à déclencher sa jouissance. Comme plus tôt dans le bassin, Matteo se met à éjaculer, sans même tenir son sexe et son sperme s'écoule lentement sur les mollets de Pauline.

Pauline rigole et se relève :
- Oups, excuse-moi...
- Ce... ce n'est pas grave.
Pauline regarde les trois garçons qui ont tous les yeux rivés sur elle :
- Les gars, je crois qu'on s'est bien détendu après ce magnifique match, non ?

Cédric se racle alors la gorge en souriant :
- Rheu... rheu...
Pauline rigole :
- Oui, c'est vrai que toi tu n'as peut-être pas eu ce que tu voulais.
- Je suis resté spectateur.
- Oh, tu as fait plus que cela, tu as été le metteur en scène de cette sympathique pause. Mais maintenant tu veux peut-être devenir acteur ?
Pauline tourne le dos aux garçons et se cambre pour leur présenter sa croupe.

Cédric se lève et s'approche :
- Est-ce une invitation ?
- À me sodomiser ? Oui... j'en ai très envie.
- Tu étais pourtant prête à laisser Matteo le faire alors que tu le jugeais trop gros.
- Oui...
- Mais il a éjaculé un peu précocement...
- Arrête de discuter et fais-le !
Cédric s'agenouille derrière sa fiancée et commence par lui lécher l'anus.

Pauline se met à gémir et, le faisant se relever, l'implore :
- Oh pitié, Cédric, encule-moi !
- Oui ma chérie, je vais le faire, mais je veux me rendre compte à quel point cela t'excite avant de commencer.
Positionné derrière elle, il passe la main entre ses cuisses et découvre la fontaine qu'il s'attendait à trouver.

Pauline gémit :
- Cédric... Vas-y...
Il la fait se cambrer en avant et appuie son gland contre le petit anneau. Pauline, vicieuse, donne alors elle-même un coup de reins en arrière pour le faire s'emmancher dans l'étroit passage.

Il se met à bouger lentement. Pauline l'accompagne pour aller au-devant de ses assauts, le faisant à chaque fois s'engager en elle un peu plus profondément. Pauline se met à crier :
- Ooooh ouiiiiiii !
Cédric n'en revient pas qu'elle puisse jouir par le cul aussi rapidement. Il est si surpris de la violence des soubresauts de l'orgasme de sa fiancée qu'il se retrouve éjecté, la queue calée entre ses fesses frémissantes juste au moment de son éjaculation. Tout contre elle, il l'embrasse dans le cou tandis qu'il sent sa semence s'écouler lentement dans le dos de sa fiancée et entre ses fesses. Quand il s'écarte, elle tourne la tête vers lui, souriante :
- J'ai l'impression que tu as sauté du train en marche...
- Un peu forcé. Ton orgasme était assez violent.

- Oui, j'avoue que c'était particulière bon que tu me prennes comme ça.
- Et parce qu'on a des spectateurs ?
- Oui, c'est vrai que c'est encore meilleur...
Elle se retourne contre lui et ils s'enlacent.

Les deux Italiens applaudissent :
- Bravo ! Bravissimo !
- Oui ? Ça vous a plu, les gars ?
- Bien sûr ! Regarde Stronzetta, on est encore tout dur.

- Je vois ça, mais là, il va bientôt falloir qu'on songe à rentrer et on a des bagages à préparer.
Cédric intervient :
- Je prends ma douche rapidement et je file m'occuper de ranger et faire les bagages. Prends ton temps.
- C'est gentil mais je crois qu'on va aussi passer aux douches.

Cédric ne semble pas l'écouter et est déjà parti rejoindre les vestiaires. Pauline se tourne vers les Italiens :
- Vous avez le temps, vous. Vous pouvez rester plus longtemps.
- Oui, mais je crois qu'on va aussi passer aux douches.
- Ok. Alors on rassemble nos affaires et on va rejoindre Cédric.

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Weekend sportif - 14 : Douche italienne
Dimanche, 15h56
Pauline et les deux Italiens, Nino et Matteo, rassemblent leurs affaires, vêtements et serviettes, et rejoignent le bâtiment des vestiaires. Quand ils arrivent aux douches, la jeune fille s'enquiert de son fiancé :
- Cédric ?
Cédric semble être déjà reparti. Nino commente :
- Je crois qu'il était très pressé d'aller préparer les bagages.
La voyant un peu déçue, Nino passe une main sur un mamelon tendu et ajoute en souriant :
- Mais nous on peut t'aider à te doucher même s'il n'est pas là...
Pauline rigole et cache ses seins :
- Je m'en doute ! Mais là, je vais me débrouiller seule si ça ne vous dérange pas.

- On peut regarder ?
Pauline se place sous une douche et, découvrant sa poitrine, répond à Nino :
- Comme je ne compte ni remettre mon bikini, ni m'isoler, vous pouvez vous rincer l'œil.

Les deux garçons s'installent sous les douches à côté de la sienne et commencent à se doucher également. Pauline essaye de ne pas trop regarder dans leur direction mais elle aperçoit malgré tout que leurs sexes restent bien gonflés, même s'ils ne sont pas vraiment en érection. Elle voit même du coin de l'œil Matteo s'accroupir pour se laver l'intérieur des cuisses et garder la position plus longtemps que nécessaire pour, apparemment, profiter d'une vue dégagée sur sa croupe.

A sa grande surprise, elle voit Matteo sortir de la douche et aller aux vestiaires pour se sécher. Pauline demande à Nino :
- Il fait quoi ton frère ? Il est pressé ?
- Bah non mais il s'est sans doute assez rincé l'œil.
- Ah... et si je me donne un peu plus en spectacle, il restera ?
- Il faut lui demander...
- Matteo ?

Matteo apparaît à l'appel de la jeune fille. Il a déjà remis son short, ce qui amuse Pauline car son sexe tendu déforme outrageusement le tissu.
- Tu pars déjà ?
- Je... J'ai fini la douche.
- Moi quand je me douche, j'aime bien me caresser. Pas toi ?
- Heu, si.
- Vas-y. J'aimerai bien te voir te caresser.
Matteo est un peu gêné mais il passe une main dans son short pour saisir son sexe.

Même s'il fait ça dans son short et que Pauline ne peut voir l'état du membre de Matteo, elle devine aisément sous le tissu tendu l'imposante érection. Relevant une cuisse pour poser son pied sur une attache au mur, elle montre aux garçons sa moule. Les yeux embués rien qu'à imaginer la colonne de chair qui grossit lentement, Pauline laisse sa main glisser peu à peu jusqu'à son entrejambe et commence à se caresser.

Nino commente :
- On dirait que la bite de mon frère te fait très envie, non ?
- Non, je... je me caresse juste. Je me rince l'œil... chacun son tour.
Mais Matteo a bien noté le trouble de Pauline. Lentement, il abaisse son short pour révéler son membre tendu.

Matteo dit :
- Ce n'est pas mieux si tu la vois ?
- Oh si...
Pauline ne peut détacher son regard du sexe dressé et commence à se masturber avec son majeur.

Comme Matteo s'approche dans sa direction, elle se passe la langue sur les lèvres :
- Elle te met en appétit ?
- Oui...
- Tu veux la goûter ?
- Non, j'ai dit qu'on se rinçait juste l'œil...
- Moi, j'ai bien envie de goûter à ton minou.
Pauline devrait répondre non tout de suite mais elle aimerait aussi beaucoup sentir la langue de l'Italien sur son coquillage. Son hésitation est aussitôt interprétée par Matteo qui s'accroupit devant elle pour lui lécher l'abricot.

La cuisse relevée pour lui faciliter l'accès, Pauline sent la langue de l'Italien s'immiscer dans sa fente, fouiller entre ses lèvres, se glisser jusqu'à son clitoris pour au final lui arracher un délicieux orgasme. Pauline s'appuie au mur et reprend son souffle en rigolant. Matteo sourit, la tête relevée vers elle, visiblement satisfait d'avoir pu la faire jouir ainsi. Nino hoche la tête :
- Faible femme...
Pauline lui sourit :
- Que veux-tu... j'ai du mal à refuser un plaisir si généreusement donné. Mais maintenant, il faut que je me douche.
Matteo, toujours gentleman, commence à la savonner, en commençant par les seins.

- Voilà qui est très serviable de ta part, Matteo.
- Je peux te savonner complètement.
- J'en suis certaine. Mais continue à me savonner les seins, j'ai l'impression qu'ils étaient particulièrement sales...
Elle se met alors dos à l'Italien pour qu'il puisse lui empoigner les deux seins.

Elle sent le sexe de celui-ci contre ses fesses. S'écartant un peu, elle saisit le membre tendu et le caresse :
- Veux-tu que je te savonne aussi ?
- Oui...

Après avoir bien savonné le membre de l'Italien, elle le maintient vers le bas et se positionne à nouveau les fesses contre son bassin. Elle sent alors le sexe glisser entre ses cuisses et remonter contre sa fente. Lentement, le garçon fait glisser son sexe tendu. Pauline adore cette délicieuse caresse. Elle sait qu'il suffirait qu'elle se penche un peu en avant pour la tige trouve le passage et la pénètre. Pourtant, elle ne bouge pas, se contentant pour le moment de ce doux contact de la longue queue de Matteo qui glisse contre les lèvres de sa moule, le gland venant émouvoir son clitoris...

Nino admire le spectacle de son frère avec cette petite Française si coquine, se demandant jusqu'où vont les mener les jeux de la demoiselle. Alors, que Matteo plie les genoux pour tenter de trouver le chemin, Pauline se dégage :
- Attention, tu as failli me pénétrer ! N'oublie pas qu'on se rince juste l'œil.
Matteo ne montre pas sa frustration et joue le jeu de Pauline :
- Oui... et on se savonne.
Pauline se recale contre lui, positionnant ses fesses contre les testicules de l'Italien.

Nino est stupéfait du manège de la jeune fille avec frère :
- Je crois qu'il t'a bien savonné les seins. Vous pouvez passer à la suite.
Pauline se retourne :
- La suite ?
En voyant le sexe parfaitement tendu de Matteo, elle semble un peu troublée. Pourtant, elle entreprend de lui savonner le torse.

Toujours à l'écart, Nino demande :
- Tu vas remercier mon frère ?
Pauline sait bien ce qu'il entend par là mais elle veut reprendre son petit jeu où elle fait mine de dominer la situation :
- Bien sûr !
Se collant alors à Matteo, elle lève le visage vers lui et lui donne sa bouche pour un tendre baiser.

La jeune fille ne peut ignorer le membre palpitant contre son ventre. Quand elle cesse de l'embrasser, Nino exprime plus clairement son attente :
- J'imaginais autre chose. Que tu lui donnes ce qu'il t'a donné.
Pauline feint de comprendre seulement :
- Oh... D'accord... Je comprends.
Elle saisit alors le sexe de Matteo pour commencer à le masturber :
- Je crois que ton frère veut que je te fasse éjaculer...

Comme Nino voit son frère caresser les fesses de Pauline et tenter d'atteindre son entrejambe en passant par derrière, il vient proposer son aide :
- Aspetta, fratello. Ti aiuto io.
Il vient les rejoindre et se place derrière la jeune fille. Il s'agenouille alors et plonge son visage entre ses fesses pour que sa langue atteigne la moule de la jeune fille.

Mais même si Pauline semble apprécier cette caresse buccale, Nino peine un peu dans cette position. IL se relève donc et, comme auparavant son frère, il cale son sexe tendu entre les fesses de la jeune fille et glisse sa main sur son ventre pour descendre jusqu'au pubis puis à la fente. Pauline perd alors le contrôle et ne parvient pas à poursuivre sa masturbation, trop concentrée à son propre plaisir. Elle accompagne la main de Nino entre ses cuisses pour s'assurer qu'il n'abandonne pas ce qu'il a commencé. Cambrée en avant, elle répond machinalement au baiser de Matteo.

Leurs langues s'emmêlent, leurs bouches fusionnent. Matteo se masturbe pendant ce baiser si sensuel. Les doigts de Nino font merveille sur le clitoris de Pauline et un nouvel orgasme se profile. La jeune fille ferme les yeux. Son corps se met à vibrer. Un nouvel orgasme la gagne. Matteo semble perdre le contrôle à son tour. Il lâche son sexe, espérant que l'éjaculation n'ait pas été déclenchée mais il est trop tard : le membre secoué de spasmes réguliers se met à cracher plusieurs salves successives de sperme qui viennent s'écraser sur le ventre de Pauline.

Pauline baisse les yeux et rigole :
- Oh, petit coquin ! On avait dit juste se rincer l'œil et se savonner...
Matteo semble confus et entreprend de lui savonner le ventre pour effacer les traces de son forfait. Pauline le regarde faire en souriant. Dès qu'il a terminé, rinçage compris, Elle s'échappe de la douche et attrape une serviette :
- Merci messieurs !

Nino semble déçu :
- Et moi ?
Pauline s'enroule dans la serviette :
- Quoi, toi ?

Nino sait bien qu'elle a compris ce qu'il voulait, mais il sait qu'elle s'amuse avec eux et ce petit jeu lui plaît beaucoup à lui aussi :
- Tu n'as pas envie de me savonner un peu ?
- Tu peux te débrouiller seul.
Pauline jette quand même un œil au membre dressé de Nino. Celui-ci repère le regard intéressé de la jeune fille et renouvelle son offre :
- Ou alors, veux-tu goûter ?
Pauline ne répond pas à sa question. Tournant le dos à Nino, face au miroir, elle soulève un peu sa serviette pour découvrir sa magnifique croupe :
- Et toi, veux-tu goûter à ça ?

Nino ne rate pas l'occasion :
- Bien sûr !
Il s'agenouille aussitôt derrière la sublime croupe. Aussitôt, Pauline se penche en avant et écarte les cuisses pour lui faciliter la dégustation de son abricot bien mûr. Aussitôt, la langue agile de l'Italien lui lèche la moule avec gourmandise, arrachant à la jeune fille quelques gémissements de plaisir intense.

Et Nino parvient alors à ce qu'il attendait. Avec une certaine fierté, il entend la jeune fille l'implorer entre deux gémissements :
- Oh Nino... Prends-moi, je t'en supplie !
Sans se poser de question, l'Italien se redresse et répond aux attentes de la jeune fille, plongeant son membre tendu comme un arc dans sa fente trempée de mouille. Pauline crie de plaisir en sentant le sexe la pénétrer lentement.

Il y a quelque chose d'intense dans cette pénétration. Pauline et Nino sentent tous les deux qu'il s'agit probablement de leur dernière étreinte. Cela les excite encore davantage. Son sexe glissant avec facilité, Nino sent que Pauline mouille abondamment. Pauline sent que Nino est de plus en plus excité car elle sent parfaitement que son sexe prend peu à peu plus de volume. Tout en la pénétrant lentement, l'Italien passe une main sous le ventre de la jeune fille et lui caresse le clitoris. Pauline gémit et regarde Matteo qui se masturbe en les observant.

Elle entend Matteo murmurer :
- Stronzetta...
- Oui, je...
Mais elle ne peut pas répondre davantage car, bien qu'ayant abandonné ses caresses intimes, le frère est en train d'accélérer la cadence et fait se transformer les gémissements de la demoiselle en des cris de plaisir.

Quand il s'immobilise, Pauline se demande s'il n'est pas sur le point d'éjaculer. Mais, cela ne semble pas être le cas. Il se retire lentement. Quand Pauline s'apprête à lui demander pourquoi :
- Nino, tu ne... ?
Celui-ci pose son gland sur l'anus et, d'un coup de reins, il engage son membre tendu dans l'étroit canal, arrachant un cri de délice à la jeune fille.

À nouveau, Nino s'immobilise. Pauline pense qu'il va se retirer pour s'engager à nouveau dans sa moule. Mais au lieu de cela, il se penche sur elle et positionne ses mains sous ses cuisses pour la relever. Pauline n'a pas le temps de comprendre ce qui se passe que ses pieds quittent le sol et qu'elle sent qu'elle s'embroche un peu plus profondément sur la tige qui la sodomise.

- Sta a te, fratello!
Pauline n'a pas vraiment saisi ce qu'a dit Nino à Matteo, mais elle en comprend la teneur en voyant le second Italien s'approcher d'elle en ne quittant pas des yeux la moule offerte. Sans difficulté, Matteo guide son membre tendu dans la moule ruisselante de mouille. Pauline croit défaillir en sentant cette deuxième queue qui vient combler ses voies basses.

Pauline n'a pas conscience du temps où elle aura été prise en sandwich par les deux hommes, mais il lui semble que son orgasme survient seulement une ou deux minutes après l'intervention de Matteo. Prise en sandwich, Pauline subit un orgasme particulièrement puissant, dont les spasmes déclenchent l'éjaculation des deux hommes. Tout en éjaculant, tous deux lui susurrent à l'oreille leur reconnaissance :
- Oh stronzetta !
- Si, stronzetta...

Lentement, les corps emmêlés, luisants de sueur, s'apaisent. Les souffles se ralentissent et les consciences reprennent leurs places. Pauline regarde Matteo et lui sourit :
- C'était génial, les gars ! Vous pouvez me déposer maintenant ?
Les garçons la soulèvent alors pour se dégager et la reposent au sol. Aussitôt, la jeune fille sent des flots de sperme s'échapper de ses deux orifices.

- Je crois qu'il va me falloir passer encore une fois sous la douche.
- On t'accompagne.
Comme elle se cambre en écartant les cuisses pour se laver plus particulièrement l'entrejambe, Nino rigole :
- Arrête de nous tenter, Stronzetta !
Pauline tourne la tête et prend conscience que les deux garçons sont à nouveau en érection.

Pauline se redresse :
- Doucement les gars. Vous voyez, c'est déjà terminé. Je vois bien que vous êtes toujours opérationnels mais il est déjà assez tard et je dois rejoindre Cédric.
Elle sort de la douche et attrape sa serviette pour se sécher :
- En tout cas, c'était vraiment une rencontre super sympa.

- Pour nous aussi Pauline.
- Ah "Pauline" ? Pas "Stronzetta" ?
- Tu aimes "Stronzetta" ?
- Oui, je trouve ça amusant.
Pauline sort de son sac sa petite robe rouge et l'enfile. Elle ajoute :
- De toute façon, je crois que ça amuse beaucoup Cédric, donc ce sera probablement un surnom qu'il m'attribuera assez souvent.

Toujours nu, Matteo s'approche d'elle et l'embrasse sur la joue :
- On a passé d'excellents moments nous aussi. Tu vas nous manquer.
- Je vous laisse mon numéro, des fois où vous auriez l'occasion de passer près de chez nous, ce sera un plaisir de vous accueillir.
Après que Nino lui fait aussi la bise, Pauline les laisse et sort des vestiaires pour rejoindre Cédric.
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Weekend sportif - 15 : Au revoir Rodolphe
Dimanche, 16h17
Quand Pauline arrive au bungalow, Cédric est en train de boucler les valises :
- Ah ! Pauline, donne-moi ton sac, je vais ranger les serviettes et les maillots.
Pauline lui tend le sac, un peu surprise qu'il ne prenne pas de nouvelles de comment elle a pu faire ses adieux aux Italiens.
- Heu... Oui. Voilà...
Elle le regarde s'affairer devant les sacs de voyage.

Après avoir fermé le dernier sac, Cédric se retourne et pousse un profond soupir de soulagement :
- Et voilà ! On est prêt.
Il prend conscience de l'attente de sa fiancée :
- Pauline ? Tout va bien ?
- Oui, je suis étonnée que tu ne me demandes pas comment ça s'est passé...

Cédric s'apprête à lui demander mais ils sont interrompus par quelqu'un frappant à la porte. Pauline va ouvrir et voit Rodolphe, apparemment ravi que ce soit Pauline qui lui ouvre la porte.
- C'est moi. Comme vous partez, je me demandais si vous aviez besoin de quelque chose...
Se trouvant quelques marches en surplomb par rapport au gérant, Pauline se penche en avant pour lui répondre, lui offrant ainsi une belle vue dans son décolleté :
- Oh, je voulais savoir s'il fallait qu'on fasse le ménage ou si c'était compris dans le forfait.

Le jeune homme est troublé :
- Je... je crois que c'est inclus. C'est bon.
Pauline insiste :
- Vous êtes certain ? Il ne faut pas que ce soit une faveur...

Comme elle a un peu pivoté pour faire un clin d'œil à Cédric, Rodolphe a une vue encore plus dégager sur les seins nus dans le décolleté. Il met quelques secondes à mettre de l'ordre dans ses pensées avec de parvenir à articuler une réponse.
- Je... oui... Enfin, non. Ce n'est pas une faveur. C'est compris... je crois...
Pauline rigole :
- Oh la la, ça ne me semble pas très rigoureux comme gestion si vous ne savez plus ce que notre forfait inclut.

Cédric intervient :
- Entrez Rodolphe, ne restez pas sur le palier, ça oblige Pauline à se pencher et elle va finir par se faire mal au dos.
- Oh... d'accord.
Rodolphe entre. Pauline en profite pour s'asseoir :
- Vous avez un autre client après nous ?

Rodolphe semble se calmer un peu :
- Non, pas avant le week-end prochain. D'ailleurs, j'espère que vous avez bien regardé sous les meubles et derrière le canapé car il y a souvent des bricoles qui y tombent et je me retrouve avec une belle collection de babioles à la fin de la saison.
La jeune fille saute sur l'occasion et se met à quatre pattes sur le canapé pour regarder derrière.

Rodolphe ouvre de grands yeux car la robe ne dissimule que très mal sa croupe et il peut même distinguer la moule de la jeune fille. Comme elle se trémousse pour regarder à droite puis à gauche, la petite robe finit par être franchement retroussée sur ses fesses nues. Quand elle se retourne, elle découvre le visage ahuri du gérant et ses yeux exorbités :
- Tout va bien Rodolphe ?

- Heu... oui, oui. Juste qu'il fait un peu chaud, ici...
- Ah ça, je vous comprends. Je ne supporte qu'un minimum de vêtement.
Rodolphe acquiesce en souriant :
- Oui, il faudrait que j'installe des climatiseurs.
- Oh, non, ce ne serait pas écologique du tout. Mieux vaut s'habiller plus léger, vous ne trouvez pas ?

- Si. C'est un argument convaincant.
Voyant Cédric lui faire un sourire et un clin d'œil, il se rend compte que sa réponse a pu être mal interprétée et il s'empresse d'ajouter :
- L'écologie ! L'argument écologique est convaincant.
Cédric s'amuse de la gêne du gérant. Il décide d'en rajouter une couche :
- Pauline, regarde aussi entre les coussins, on ne sait jamais. Je vais déjà porter les sacs à la voiture.
Sans discuter. Pauline tourne à nouveau le dos au gérant et se penche en avant pour ausculter les interstices entre les coussins.

Cette position laisse au gérant une vue parfaitement dégagée et détaillée de la croupe de la jeune fille. Alors qu'elle glisse ses mains entre les derniers coussins, elle dit :
- Bon, je crois que je n'ai rien oublié.
Cédric étant sorti, Rodolphe se sent moins gêné et ose dire :
- À part votre culotte ?
Pauline se redresse aussitôt et rajuste le bas de sa robe en rigolant :
- Oups ! J'oublie toujours ce détail...

- Il n'y a pas de mal. J'avoue que c'est très plaisant à regarder.
- Vous devez me prendre pour une salope...
- Pas du tout. Vous l'avez dit vous-même. Il fait chaud. C'est normal de s'habiller en conséquence...
- Merci. J'apprécie votre tolérance.

Rodolphe n'ose pas lui répondre que ça n'a absolument rien à voir avec la tolérance mais il se contente de sourire. Il admire la jeune fille alors qu'elle se passe les mains dans les cheveux pour les arranger. Il entend un petit bruit de métal qui tombe au sol :
- Oh, vous avez perdu quelque chose ?
- Ah ?
Pauline met les mains à ses oreilles :
- Mince, oui. Ma boucle d'oreille !
Elle se met alors accroupie et observe le sol.

Rodolphe aperçoit alors la boucle d'oreille entre les pieds de la jeune fille. Il vient s'agenouiller devant elle :
- Elle est là... Entre vos pieds...
Pauline écarte alors les cuisses pour regarder, ne s'inquiétant pas de l'indécence de présenter ainsi sa moule nue à Rodolphe. Innocemment, elle demande :
- Où ça ?

Le jeune homme tend alors la main :
- Juste là.
Au moment où sa main est tendue pour saisir la boucle d'oreille, Pauline resserre les cuisses, emprisonnant alors la main du gérant à seulement quelques centimètres de sa moule :
- Hey ! Que faites-vous Rodolphe ?!

- Je... je... désolé ! Je voulais juste ramasser votre... J'avais trouvé...
Pauline le regarde dans les yeux. Rodolphe comprend alors qu'elle se joue de lui. Son regard de braise en dit long sur ce qu'elle veut. Lentement, elle écarte les cuisses. Même si la main de Rodolphe est libérée, celui-ci la laisse contre l'intérieur de la cuisse de la jeune fille. Quand les cuisses sont écartées largement, il fait lentement glisser ses doigts jusqu'à la fente humide.

Pauline feule de plaisir :
- Qu'avez-vous trouvé ?
Troublé à l'extrême le gérant baragouine :
- Un trésor...
Pour le mettre en confiance, Pauline pose ses mains autour de son cou et penche la tête vers lui pour l'embrasser. Les doigts de Rodolphe commencent alors à s'activer sur la moule de plus en plus humide.

Quand ils interrompent leur baiser, Rodolphe, désinhibé, lui demande :
- Je voudrais vous sucer.
- Mais c'est une excellente idée, ça !
Amusée de voir qu'il ose ainsi exprimer sans détour son désir, Pauline se relève en gardant les cuisses écartées pour qu'il puisse lui dévorer le coquillage.

La langue du gérant se glisse entre les lèvres humides. Elle tente parfois de pénétrer au plus loin dans l'orifice mais se concentre le plus souvent sur le petit bouton tendu. Pauline gémit de plaisir :
- Oooooh Rodolphe... Quel dommage que je ne découvre que maintenant vos talents.
Elle relève une cuisse pour pouvoir lui faciliter l'accès à sa moule.

Le jeune homme semble insatiable : l'agilité de sa langue semble faire merveille. Pauline se demande comment un garçon si timide a pu développer un tel talent. Lui qui semblait si gauche et introverti semble finalement un fin connaisseur du corps féminin. Le plaisir monte et, rapidement, elle sent l'orgasme la gagner :
- Rodolphe... Aaaaaaaah ouiiiii...
Bien que discrète, la jouissance est forte et Pauline sent qu'elle dégouline de cyprine sur la langue du gérant du camping.

Les mains appuyées à la tête de Rodolphe, Pauline attend que les convulsions de son orgasme se calment pour repousser gentiment le jeune homme et rajuster sa petite robe :
- Ouf ! C'était... inattendu !
Rodolphe semble surpris par cette remarque. Pauline le rassure :
- Délicieux et inattendu. Vous cachez bien votre jeu.

- Je... c'est pourtant la première fois...
- Vous vous moquez de moi ?
- Je vous assure. Je ne sais pas... c'était... instinctif.
- Ah oui ? Montrez-moi si vous bandez que je puisse juger de votre côté instinctif.
Un peu troublé, Rodolphe n'ose cependant pas refuser cela à la jeune fille. Baissant son short, il libère une érection impressionnante qui fait s'ouvrir grands les yeux de Pauline.

La jeune fille le repousse alors sur le canapé pour le forcer à s'asseoir. Faisant glisser les bretelles de sa petite robe, elle se dépoitraille et s'agenouille entre les cuisses du jeune homme :
- L'excitation que je vous inspire est instinctive ?
- Heu... oui, sans doute.
- Mon instinct à moi me dicte de ne pas laisser passer une aussi belle occasion...
Elle se penche et positionne le sexe bandé entre ses seins nus.

- Vous bandez bien...
- Vous êtes très excitante...
Pauline se redresse pour l'embrasser. Il lui saisit alors les hanches et la fait se redresser un peu plus pour lui sucer un mamelon. Pauline sent ses mains qui caressent ses fesses, les écartant et libérant ainsi sa fente humide.

La jeune fille gémit sous ses caresses. Elle sent les doigts descendre vers son intimité, effleurer les lèvres de sa moule, s'y poser, les écarter, se glisser dans la fente pour prolonger encore les caresses. Le regard embué par le désir et le plaisir, elle saisit le sexe en érection et dit à Rodolphe :
- Je crois qu'il faut que je l'essaye...
Elle enjambe alors les cuisses du gérant et guide son membre tendu dans sa fente. Il s'y enfonce lentement, délicatement, laissant la jeune fille descendre lentement sur son mât palpitant.

Pauline commence à bouger. Elle monte et descend lentement sur la colonne de chair. Rodolphe a le souffle court. Il ne bouge pas. Il laisse la jeune fille mener la danse à son rythme. IL penche la tête et se courbe pour tenter d'atteindre un mamelon tendu pour la sucer. Pauline s'amuse de cette difficile tentative :
- Attends un peu...
Elle se redresse et se cambre portant son sein droit à portée de langue de Rodolphe.

Un bruit de porte se fait alors entendre. Pauline tourne la tête et découvre Cédric qui sourit en les regardant :
- Oh mon chéri, tu as tout chargé ?
- Oui... et j'ai une furieuse envie de décharger...
Rodolphe n'ose rien dire, rien faire. Comme Pauline et Rodolphe se sont totalement immobilisés, surpris par l'arrivée de Cédric, Pauline reprend ses mouvements sur le dard qui la pénètre :
- Il va falloir patienter. La place est prise...

Rodolphe n'en revient pas. Pauline ne semble pas avoir la moindre gêne à tromper son fiancé alors même qu'il est présent. Cédric se semble pas du tout fâché ou jaloux de voir sa fiancée en train de baiser avec un autre homme. D'ailleurs, il n'est tellement pas fâché qu'il est en train de se dévêtir, exhibant une fière érection. Rodolphe se demande s'il ne va pas lui arracher Pauline de force pour la prendre à son tour, sans attendre qu'ils aient terminé. Mais au lieu de ça, il vient se positionner entre les cuisses écartées du couple et appuie son sexe déjà bien bandé contre l'anus frémissant de sa fiancée.

Pauline réagit aussitôt :
- Hey, qu'est-ce que tu fais ?
- Je crois que c'est assez clair, non ? Et puis ça semblait te plaire d'être prise en sandwich par les Italiens dans les vestiaires, non ?
- Tu... tu nous as vus ?
- Je t'ai entendue. Et je sais qu'un orgasme exceptionnel comme celui que j'ai entendu ne pouvait venir que d'une situation exceptionnelle.
D'un coup de reins, il engage son sexe dans l'anus de sa fiancée.

La jeune fille gémit aussitôt. C'est maintenant Cédric qui mène la danse : ses assauts la font monter et descendre sur la queue de Rodolphe. Elle gémit de plus en plus. Elle trouve incroyable de sentir ces deux tiges tendues coulisser en elle, sans se toucher l'une l'autre et pourtant si proches. Puis les gémissements se transforment en cris. Tout le camping en profite probablement. L'orgasme est atteint. Tout le corps de la jeune fille est pris de convulsions. De sentir les contractions spasmodiques autour de leur sexe, les garçons n'y tiennent plus et se mettent à éjaculer sans retenue en elle.

Ils restent enlacés ainsi tous les trois, reprenant peu à peu pied avec la réalité et retrouvant leur souffle. Rodolphe a doucement débandé en elle tandis que Cédric semble garder une rigidité complète. Quand il se retire, Pauline laisse échapper un long gémissement de plaisir en sentant le membre s'extraire lentement. Pauline se lève alors et, cuisses un peu écartées, elle sent la semence de ses deux amants qui s'échappe de ses orifices et coule le long de ses cuisses :
- Et bien les garçons, vous avez été généreux.

Rodolphe se relève, toujours surpris que Cédric ait pu le laisser baisser sa fiancée. Cédric enfile son short sur son sexe encore bandé et sourit au gérant :
- Bravo ! Je crois qu'elle se souviendra de cet orgasme.
- Je... merci. Elle... elle est incroyable.
- N'est-ce pas ?
Cédric se tourne vers Pauline et lui sourit tandis qu'elle saisit sa petite robe et la serre contre elle.

Rodolphe se rhabille à son tour. Cédric lui tend alors un chèque. Il le saisit sans comprendre de quoi il s'agit. Il se demande sur l'instant si le jeune homme ne le paie pas pour sa prestation sexuelle. Mais Cédric rigole en voyant son incompréhension :
- C'est le règlement pour notre séjour.
- Ah... désolé... Oui. Merci. C'est parfait.
Pauline et Cédric sortent pour rejoindre leur voiture, accompagnés de Rodolphe. Une fois arrivée, Pauline s'appuie au capot et dit à Rodolphe :
- Il est sympa votre camping. On reviendra.

Le gérant ne répond pas tout de suite car il est fasciné par la petite robe qui, trop courte, révèle l'entrejambe nue et encore suintante de sperme. Se reprenant, il dit :
- Avec plaisir. Je vous ferai un prix.
Cédric rigole :
- Vous avez une carte de fidélité ?
Pauline rigole à son tour et surenchérit à la blague de son fiancé :
- En ce qui me concerne, plutôt une carte d'infidélité...

Les deux garçons rigolent. Cédric serre la main du gérant :
- Encore merci. On y va. On a pas mal de route...
- Merci à vous. Bon retour.
Pauline s'installe alors au volant :
- Je conduis, ces orgasmes m'ont donné une pêche incroyable.

Rodolphe sourit, se demandant si le trajet de retour de ce jeune couple sera aussi extravagant que leur week-end au camping.