La villa

La villa. 06a : Espionnage (publié par Simon le 07-08-2021)
La villa. 06b : Le marché (publié par Simon le 01-09-2021)
La villa. 06c : Jeux d'imitation (publié par Simon le 01-10-2021)
La villa. 06d : Respect des règles (publié par Simon le 02-11-2021)
La villa. 06e : Partage (publié par Simon le 01-11-2022)
La villa. 07a : Descente de police (publié par Simon le 01-12-2022)
La villa. 07b : Massage (publié par Simon le 02-01-2023)
La villa. 07c : Fugitifs (publié par Simon le 01-02-2023)
La villa. 07d : Prisonniers (publié par Simon le 05-03-2023)
La villa. 07e : Réconfort (publié par Simon le 01-04-2023)
La villa. 08 : Retour (publié par Simon le 03-05-2023)


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La villa. 06a : Espionnage


Le lendemain, Christine et Willem lèvent le camp et retournent au mur de clôture qui fait le tour de la villa aperçue la veille. Ils se rendent compte que la propriété est encore plus grande que ce qu'ils avaient aperçu de nuit. Alors qu'ils se penchent au-dessus du mur pour regarder un peu la propriété, Christine se rend soudain compte que le propriétaire est sorti :
- Merde ! Planque-toi !
Willem se baisse et voit sa copine s'accroupir :
- Quoi ?
- Il est à côté de sa piscine. Complètement à poil...



Très discrètement, Willem risque un œil par-dessus le mur :
- Mince... Il nous a vus, tu penses ?
Christine regarde aussi et voit que l'homme a le visage tourné vers eux mais il semble somnoler.



Willem se cache et s'éloigne du mur :
- On ferait mieux de faire le tour et sonner si on veut lui demander de l'aide.
Christine, s'accroupissant, lui répond :
- Tu déconnes ! Il est à poil. Je veux me rincer l'œil quelques minutes, avant !



Comme Christine recommence à jouer les voyeuses, Willem la met en garde :
- Chris, s'il te voit en train de mâter, ce sera mort pour lui demander de l'aide.
Christine se retourne et lui dit
- Et comment il saurait que je le mâte ?



Willem lève les yeux au ciel :
- Tu es incorrigible, Chris...
Ne tenant pas compte des conseils de son copain, elle reprend sa séance de voyeurisme. L'homme est maintenant allongé sur une grande bouée au milieu de sa piscine et son sexe semble en érection.



- Will, il est dans sa piscine et il bande plutôt bien, viens voir.
- Pour le coup, ça m'intéresse assez peu.
- Ouais, c'est vrai que tu serais sûrement moins pressé d'y aller s'il était accompagné d'une jolie jeune fille...
- Dans ce cas, va le rejoindre. Comme ça, le spectacle m'intéressera davantage.
- Tu déconnes ?
Christine s'assoit pour le regarder afin de savoir s'il plaisante ou non.



- Non, l'idée me plairait de te voir à poil dans cette piscine...
- Avec ce type ?
- Peu importe avec qui. Te voir à poil surtout.
Comme elle regarde à nouveau vers la piscine. Willem vient la rejoindre et commence à lui retirer son débardeur. La jeune fille tourne la tête :
- Hey, qu'est-ce que tu fais ?



- Tu m'excites et je ne vais pas avoir la patience d'attendre que tu ailles rejoindre à poil le mec dans sa piscine.
Il lui caresse les seins. Christine rigole :
- Attention à ce qu'il ne nous entende pas si on jouit !



Willem s'interrompt et murmure à l'oreille de Christine :
- Merde, regarde un peu...
À la piscine, le gars affiche une érection terrible et est même en train de se masturber.



Willem regarde Christine qui semble fascinée par le spectacle :
- Toi, je suis certain que tu es en train de mouiller ton short...
- Ah oui, mince... T'as raison...
Christine commence à déboutonner son short, comme si c'était l'objet de la remarque de Willem.



Willem est surpris :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Oh, ne fais pas l'innocent. Tu m'as retiré mon débardeur. Tu me fais remarquer que je vais mouiller mon short. Tu crois que je n'ai pas compris ?
- Mais c'était une remarque innocente !
- En attente, moi j'ai envie de sexe...
Tournée vers Willem, elle commence à faire glisser son short.



- Tu es insatiable, Chris...
- Tu t'en plains ?
- Heu non...
Avec un air de défi, la jeune fille abaisse son short, dégageant ses fesses.



Tandis qu'elle retire son short, Willem admire sa copine : la croupe généreuse toute en courbes, sa moule encadrée par les fesses musclées. Il sourit en voyant la cyprine qui perle entre les lèvres de sa chatte :
- Apparemment, il t'excite, ce gars !
- Il est bien monté, tu ne trouves pas ?
Willem préfère se concentrer sur le séant de Christine.



- Je t'avoue que je suis à même de juger de la beauté féminine que de celle d'autres mecs...
- Je m'en doute. Mais objectivement, tu peux reconnaître qu'il a une belle bite, non ?
- Oui. Mais ça ne m'émeut pas. Toi en revanche, ça te fait drôlement mouiller.
Christine rigole et cache son entrejambe par fausse pudeur.



Christine regarde le sexe de son copain :
- Bon, j'avoue qu'il n'est pas nécessairement mieux gaulé que toi.
- C'est que tu peux profiter de moi quand tu veux alors que cet homme est derrière un mur, inaccessible. En bonne chasseuse de sexes, tu es attirée par le challenge.
- Chasseuse de sexes ? Regarde-toi, espèce de satyre avec ton érection.
- Là, il s'agit d'un réflexe incontrôlable dû à ta beauté...



- Oh, tu ne contrôles pas ta machinerie ?
- Non, Chris. C'est une réaction... naturelle.
- C'est une réaction en chaîne car je sens que je mouille encore plus, à te voir bander.



- Et où cela va-t-il finir ? Plus tu mouilles et plus je bande...
- Et plus tu bandes, plus je mouille. Il n'y a qu'une seule issue possible, Will.
Christine s'appuie au mur et présente sa croupe, invitation explicite à une levrette.



Alors que Willem s'approche d'elle, Christine ne résiste pas à jeter un œil par-dessus le mur en direction de la piscine. L'homme est toujours sur sa bouée à flotter sur le matelas pneumatique :
- Bon sang ! Regarde comme il se branle !
- Tu n'avais pas un autre projet, là ?
- Si mais je trouve ça si excitant de voir un mec se branler...



Willem s'arrête :
- Je m'apprête à venir te faire l'amour et toi tu préfères jouer les voyeuses ?
- Ce n'est pas une question de préférence. C'est juste que ça m'excite de le mater sans qu'il le sache et tu vas en profiter puisque je dégouline.
Christine se fourre un doigt dans la fente pour lui montre à quel point elle mouille.



Willem rigole :
- De mieux en mieux. Tu préfères te masturber, Chris ? Tu n'as donc pas besoin de moi ?
Christine ne répond pas. Par défi, elle commence effectivement à se masturber alors que ce n'était pas ce qu'elle avait prévu :
- Si tu me fais trop attendre, je vais effectivement me débrouiller seule.



Willem s'approche :
- Alors laisse-moi la place.
- Mais c'était pour me préparer pour que tu en profites mieux.
Elle arrête sa masturbation et écarte les cuisses :
- Je suis prête.



Willem vient la rejoindre :
- Mmmm, enfin !
- Aaaaah... comme si tu étais en manque...
- Chris, je suis en manque dès lors que ma queue n'est pas en toi.
- Idiot.
Il la pénètre et, la saisissant à la taille, il commence à aller et venir dans le délicieux fourreau.



- Tu... tu le regardes encore ?
- Oui. Enfin, non. J'en ai raté un bout...
- Il se masturbe encore ?
- Dis-donc, tu t'intéresses plus à ce gars qu'à mon cul ?



Un peu vexé de cette remarque, Willem ne pose plus de question. Il tente de voir par-dessus son épaule, tout en continuant à la prendre en levrette. Se redressant pour se rendre compte par lui-même ce que fait le type de la villa, il s'enfonce alors un peu plus loin en Christine. Celle-ci feule de plaisir à le sentir allez aussi loin.
- Oh Will, oui...
Willem se rend compte que le gars s'est endormi au milieu de sa piscine.



- Il dort ?
- Oui... On ne voit pas bien d'ici, mais... ooooh... je crois que... aaaaaah... il s'est fait éjaculer...
Willem se redresse encore un peu pour essayer de voir, s'enfonçant encore plus loin en Christine.
- Ooooh Will... doucement... c'est bon... mais.... oooooh... tu vas me faire crier et... aaaaaah... on risque de le réveiller...



Mais Willem est surexcité et accélère le rythme de ses assauts :
- Tant pis... Tu m'excites trop !
- Aaaaaah... Will... Ouiiiiii... je viennnns...
Le corps de Christine est soudain pris de spasmes et elle ne retient plus ses gémissements.



Ses convulsions déclenchent l'éjaculation de Willem. Il râle en sentant ses couilles se contracter. Après avoir libéré une puissante giclée en elle, le garçon s'extrait et laisse le reste de sa semence jaillir et éclabousser généreusement le dos et les fesses de la jeune fille. Un peu sonné, il regarde tout le sperme qu'il vient de mettre sur sa copine :
- Mince, c'était fort...
- Oui... moi aussi. Et... je ne vois pas ce que tu m'as mis mais j'ai eu l'impression que c'était conséquent...



Willem prend un mouchoir en papier pour essuyer le dos de sa copine. Alors qu'ils se redressent pour regarder par-dessus le mur, ils se rendent compte que l'homme est sorti de sa piscine. Nu et le sexe bandé, il semble scruter le mur derrière lequel ils sont cachés en écoutant attentivement. Nul doute qu'il a entendu les gémissements d'orgasme de Christine et peut-être même les râles de Willem.
- Mince, je crois qu'on a un peu attiré son attention.



Restant cachés derrière le mur, Christine et Willem se rhabillent. Christine demande :
- On fait quoi, du coup ? On va lui demander de l'aide ?
- De toute façon, il sait qu'on est là, maintenant. Il a peut-être un téléphone ou bien il pourra nous emmener en voiture pour regagner un coin plus civilisé.
- Oui tu as raison. Autant essayer maintenant qu'on est là.

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La villa. 06b : Le marché


Après avoir rassemblé leurs affaires et rangé leurs sacs à dos, Christine et Willem longent le mur pour se diriger vers l'endroit où ils pensent que l'entrée se trouve. Arrivés à l'angle du mur d'enceinte, ils découvrent effectivement un haut portail métallique noir, ouvrant sur l'avant de la villa. Aucune voiture n'est présente dans la cour gravillonnée, mais une porte de garage se trouve en face du portail d'accès. Un petit chemin constitué de larges dalles de pierres blanches sillonne entre les buissons pour accéder à la porte d'entrée. Dès qu'ils sonnent, la porte s'ouvre. Le gars devait s'attendre à leur arrivée. L'homme est nu, avec un début d'érection qu'il ne semble pas vouloir dissimuler :
- Bonjour.



Christine en reste bouche bée. Willem vient donc à son secours :
- Bonjour Monsieur. Je suis Willem. Christine, ma copine, et moi faisons de la randonnée mais nous nous sommes un peu perdus... On est désolé de vous déranger mais on aurait besoin d'aide.
- Vous ne me dérangez pas. C'est rare d'avoir de la visite ici. Surtout aussi charmante...
En disant cela, il pose un regard appuyé à la poitrine de Christine dont les mamelons pointent significativement à travers le fin tissu du débardeur.



Voyant la gêne de la jeune fille, il tend la main à Willem :
- Moi c'est Pascal. Mais ne restez pas là. Entrez et mettez-vous à l'aise.
En entrant, Willem commente :
- Heu, pour ce qui est de se mettre à l'aise...
- Oh, oui. Excusez-moi. Je profite de vivre isolé ici pour pratiquer le naturisme. J'espère ne pas vous choquer.
- Heu, non... vous êtes chez vous.
Il tend la main à Christine pour la faire entrer.



- En quoi puis-je vous aider ?
- Et bien si vous pouviez nous ramener vers une grande ville où on pourrait trouver une gare ou un bus.
- Désolé, mais ma voiture est en panne et je n'y connais rien en mécanique. Mais peut-être que vous... ?
- Ah non. C'est pas du tout mon rayon et je ne crois pas que Chris ait jamais ouvert un capot de voiture.
- Malheureusement, aucun garagiste n'accepte de se déplacer si loin. Mais mon cousin, David, va venir bientôt pour me dépanner. Après-demain, normalement.
- Et on pourrait appeler un taxi ?
Pascal soupire, un peu gêné :
- Vous allez me prendre pour un ours, mais je n'ai pas de téléphone fixe et les portables ne passent pas dans le coin.



Willem hoche la tête :
- Oui, on a vu que c'était une zone blanche... Mais comment vous faites pour vous ravitailler ?
- J'ai un grand potager sur le côté. Et plusieurs congélateurs. Je fais beaucoup de stock. Avec l'habitude, j'arrive à m'organiser plutôt bien.
- Impressionnant. En attendant, on va devoir reprendre notre route.
- Je suis franchement désolé de ne pas pouvoir vous aider. En revanche, si vous être prêts à patienter deux jours, jusqu'à l'arrivée de mon cousin, ça ne me pose aucun problème de vous héberger. Et au pire, s'il n'arrive pas à me réparer la voiture, c'est lui qui vous ramènera vers la civilisation.
Christine tourne la tête vers son copain :
- Oh Will, j'en ai marre de marcher. On accepte et on se pose ici quelques jours ?



Willem jette un œil à Pascal. Il se demande si Christine ne fait pas cette demande en espérant pouvoir profiter de ce bel homme. Il pose un regard amoureux sur sa copine et acquiesce :
- Si tu veux, Chris. Par contre, je pense qu'il serait sage qu'on s'adapte aux coutumes de notre hôte si on accepte son invitation.
Tout en faisant cette proposition, Willem commence à faire glisser une bretelle du débardeur et dégage un sein.



Christine semble un peu gênée :
- Je ne sais pas... tu crois ?
Pascal vient à son secours :
- Oh mais ne vous sentez pas obligés. Vous pouvez rester habiller si vous le souhaitez. Si ça peut vous mettre plus à l'aise, je peux aussi m'habiller.



Christine réagit aussitôt :
- Oh non ! On ne veut pas perturber vos habitudes ! Restez comme ça, ça ne me dérange pas.
- Vous êtes certaine, Christine ?
- Oui, Pascal. Vous avez un corps superbe, c'est un régal pour les yeux.



Willem dit :
- Dans ce cas, ma chérie, je pense qu'il serait plus juste que toi aussi tu fasses du naturisme pour que lui aussi puisse se régaler. Toi aussi, tu as un corps superbe.
- Mais ça ne te gêne pas qu'il me voie à poil ?
- Non, ça me semble juste puisqu'il a la gentillesse de nous accueillir.
Le garçon se penche sur sa copine et l'embrasse tendrement. Christine ne se formalise pas qu'il en profite pour lui caresser l'entrejambe à travers le petit short.



Pascal semble un peu gêné par la scène :
- Écoutez les jeunes, faites comme vous voulez.
En entendant cette remarque faisant référence à leur âge, Christine prend conscience que Pascal a sans doute une dizaine d'années de plus d'eux. Elle n'a pas le temps de se poser davantage de questions car Willem lui a déjà retiré son débardeur et il commence à déboutonner le short.



L'embrassant dans le cou, il glisse une main dans le short et lui caresse la moule, sans se préoccuper de Pascal qui écarquille les yeux en voyant cela. Christine doit terminer de retirer elle-même son short et force Willem à retirer sa main de son entrejambe. Celui-ci compense en empoignant les seins de sa copine pour les malaxer. Christine se trouve un peu gênée de se retrouver ainsi exhibée devant leur hôte :
- Will, tu peux m'aider à me déshabiller, mais je ne suis pas sûr qu'il soit très décent que tu me tripotes devant Pascal...



Pascal rigole et répond :
- Oh, ça ne me gêne pas vraiment. Je trouve naturel que votre copain puisse avoir envie de vous caresser. Il a raison : c'est vrai que vous avez un corps superbe. Moi-même si vous étiez ma copine, je ne m'en priverais pas.
- Vous aimeriez me caresser aussi ?
- Bien sûr, mais je n'ai aucun droit sur vous et pouvoir vous contempler est déjà très agréable.
Christine écarte les mains de Willem :
- Will arrête. Je trouve ça injuste pour Pascal.



Willem sourit et s'écarte :
- Dans ce cas, je propose un marché. Quoique je te fasse, si Pascal me surprend, il aura le droit de te le faire à son tour.
Christine reste songeuse quelques instants et demande :
- Et quoi que je te fasse, si Pascal nous voit, je devrais lui faire la même chose ?
- Tu as tout compris, Chris.
Les mains sur sa poitrine pour cacher ses seins, Christine réfléchit aux conséquences de la mise en place d'une telle règle.



Pascal hoche la tête :
- Si vous pensez que cela peut vous inciter à rester discrets et à ne pas batifoler devant moi, ça me va. Pour commencer, est-ce que vous voudriez profiter de la piscine ?
Willem sourit :
- Moi je n'y tiens pas mais Chris est déjà en tenue et sera ravie de se rafraîchir après les jours de marche que nous avons subis.
Le jeune couple suit alors Pascal de l'autre côté de la maison. Christine en profite pour se rincer l'œil aux jolies fesses de leur hôte. Ils passent par une grande baie vitrée et parviennent à la piscine. Christine est enchantée :
- Waouh ! Génial !



Pascal s'installe sur une chaise longue et regarde Christine. Willem note qu'il a le sexe gonflé mais n'est pas vraiment en érection. Christine se retourne pour lui demander :
- Vous ne vous baignez pas ?
- Non, j'avoue que j'ai surtout envie de vous regarder...



Willem sourit :
- J'avoue que c'est aussi un passe-temps que j'affectionne particulièrement...
Christine rigole et descend dans l'eau sous les regards admiratifs des deux garçons.



Elle fait d'abord quelques longueurs en crawl. Willem fait un commentaire à l'intention de Pascal :
- Joli cul n'est-ce pas ?
- Exquis.
Quand elle se retourne pour faire quelques brasses sur le dos, ses seins semblent rouler sur son buste au gré de ses mouvements. Willem commente encore :
- L'endroit vaut l'envers, vous ne trouvez pas ?
- Tout est magnifique. Vous avez une chance incroyable. S'il vous venait à l'idée de transgresser quelques règles, j'en serai ravi.
Christine finit par s'extraire du bassin :
- Vous parlez de quoi ?



Willem répond :
- On parlait des règles mises en place tout à l'heure. Si je te tripote, Pascal a le droit de te tripoter. Mais ça peut aller plus loin...
- Ah oui ?
- Oui, s'il te surprend à me faire une fellation...
- Je comprends : je devrais aussi le sucer.
- Et s'il me trouve à te sodomiser...
- J'ai compris l'idée. Et je crois que Pascal aussi.
Avec amusement, elle désigne le sexe magistralement dressé de leur hôte.



Willem demande :
- Tu avais envisagé ces scénarios, Chris ?
Ne pouvant cacher l'excitation qu'elle a dans la voix, elle répond.
- Je t'avoue que oui...



Pascal se lève alors, lui aussi troublé :
- Bon, je vais aller chercher de quoi nous rafraîchir. Je crois qu'on en aura besoin. Bière ? Jus de fruits ?
- De l'eau bien fraîche pour moi, répond Willem.
- De l'eau glacée pour moi, répond Christine.
- Parfait, je vous ramène ça.



Sitôt Pascal disparu dans la maison, Christine vient rejoindre Willem et se penche sur lui :
- Il est super sympa, non ?
- Oui. Mais j'ai dans l'idée que tu as envie d'enfreindre quelques règles pour pouvoir profiter de lui. Je me trompe, Chris ?
- Tu me connais si bien...
Christine se penche pour l'embrasser et le laisse constater par lui-même à quel point tout ceci l'excite quand il glisse ses doigts sur sa moule.



Quand elle se détache de Willem, elle se met à quatre pattes entre ses jambes :
- Dis donc, s'il te surprend à me doigter la moule, il y aura aussi droit.
- Et je suis certain que tu aimerais ça.
Christine glisse sa main sous le short de son copain et remonte jusqu'à ses testicules :
- Et s'il arrive maintenant, je devrais aussi lui masser les couilles...



Willem se lève et murmure :
- Alors espérons qu'il ne tarde pas trop...
Christine se lève et ils s'embrassent. Christine empoigne le sexe tendu et le masturbe lentement tandis que Willem glisse son majeur dans la fente humide.



Quand leurs bouches se séparent, Willem retire sa main d'entre les cuisses de sa copine et la regarde le masturber :
- Doucement, ou tu vas me faire jouir...
- Ah ? Et tu ne veux pas que je le fasse éjaculer lui aussi ?
- Je ne sais pas...



Une voix retentit depuis la maison :
- Ah, mais vous le faites exprès !
Christine s'écarte de Willem :
- Oups ! On ne pensait pas que vous reviendriez si vite...



Pascal pose son plateau avec les boissons et répond :
- Bah si. Vous avez pris des risques...
Willem pousse alors Christine vers Pascal :
- Mince, Chris... Te voilà obligée de le masturber lui aussi...
La jeune fille pose ses mains sur le torse musclé de Pascal et prend un faux air contrarié :
- Oui... je n'ai pas le choix.



Pascal la laisse faire, presque tétanisé par la jeune fille. Il murmure :
- C'est... c'est la règle...
Elle saisit son sexe et elle commence à le masturber. Elle se tourne alors vers Willem et prend un ton de reproche :
- Toi et tes jeux débiles...



Christine tourne la tête vers Pascal pour qu'il soit seul à entendre :
- Heureusement que je ne l'ai pas laissé me prendre en levrette...
- Il... il voulait vous prendre en levrette ?
- Ah non. C'est moi qui aurais bien voulu...
À cette seule perspective, Pascal atteint la jouissance. Willem lit sur son visage qu'il ne se contrôle plus, qu'il a atteint le point de non-retour et qu'il regrette que cela arrive si vite. L'instant d'après son sexe est pris de convulsions. Christine descend sa main à la base de la hampe pour masser les testicules alors que la semence du jeune homme jaillit par saccades sur la fesse et la hanche de la jeune fille.



Christine rigole et prend un air gêné :
- Oups ! Je crois que je suis allée un peu trop loin... Je n'avais pas fait éjaculer Will, je n'aurais donc pas dû vous faire éjaculer.
Le souffle court, Pascal bégaye :
- Ce... ce n'est pas grave. Je ne vous en veux pas.
- Merci.
Puis considérant sa hanche couverte de sperme, elle demande :
- Ce serait possible de prendre une douche ?

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La villa. 06c : Jeux d'imitation


Quand Willem ouvre la porte de la salle de bain, il sourit en voyant Christine en train de se doucher :
- Mon dieu, que ça doit être difficile pour Pascal.
- Bah, je l'ai quand même masturbé. Il n'a pas à se plaindre.
- Tu ne te rends donc pas compte du tout ?
- Me rendre compte de quoi ?



Willem repousse la porte derrière lui sans la refermer totalement :
- Tu es divine, Chris. Désirable. Bandante. Tu acceptes de te balader à poil devant lui. Peux-tu imaginer à quel point tu l'excites ?
- Il ne bandait pas tout le temps non plus.
- Il n'était pas en parfaite érection mais son sexe était toujours très gonflé, ne le nie pas.
Willem retire ses vêtements et montre son état :
- Regarde. Pour moi, c'est pareil. La queue gonflée mais pas dressée. Et Dieu sait que tu m'excites !
- Oui... Et j'ai noté qu'il portait le même intérêt que toi à mes seins.



Une fois dans la douche, Christine commence à lui savonner le torse :
- Heu... Will, tu as conscience que tu viens prendre ta douche avec moi, il aura aussi le droit de venir la prendre avec moi ensuite ?
- Parfaitement conscience.
- Il faut donc éviter que ça dérape...



Willem passe la main à sa taille et glisse doucement vers ses fesses :
- Moi, ça ne me gêne pas si ça dérape...
- Reste à voir jusqu'où... Tu accepterais que je le suce ?
- Évidemment. Et bien plus. Tu sais qu'il n'y a pas de limite.



Christine se plaque contre Willem :
- Oui, je m'en doutais...
- Mais il serait sage d'y aller progressivement. Puisqu'on a deux jours devant nous, autant lui faire découvrir petit à petit tous tes trésors.
Christine lève la tête et, lançant un regard amoureux à Willem, l'embrasse tendrement.



En ouvrant les yeux à la fin de leur baiser, Willem se rend compte que la porte est beaucoup plus ouverte qu'il ne l'avait laissée. Il hésite à prévenir Christine mais se dit qu'il peut préparer le terrain, innocemment, et voir si elle le laisse faire, en sachant que Pascal aura alors les mêmes droits. Empaumant un sein de sa copine, il lui dit :
- Il faut que je te tripote un peu pour que Pascal puisse aussi te rendre la politesse.
- Coquin...



Puis, la main de Willem glisse sur le ventre de la jeune fille et se glisse entre ses cuisses. Sa vulve est déjà entrouverte et ses doigts n'ont aucune peine à se glisser dans la fente et à remonter pour trouver le clitoris :
- S'il pouvait nous surprendre ainsi, ce serait top pour toi !
- Dans ce cas, il faut aussi que je rende la politesse...
Sans retirer les doigts qui fouillent son intimité, Christine vient se placer derrière Willem pour le masturber.



La voix de Pascal fait sursauter Christine :
- Je vous vois et je vous entends. Vous jouez à mes dépens mais je n'ai pas le sentiment d'être perdant dans cette histoire.
Christine admire le sexe déjà parfaitement bandé :
- Il n'y a pas de perdant. Que des gagnants. Le plaisir vient des règles établies. Vous vous rappelez les règles ?
- Oui, je viens de vous surprendre à vous caresser mutuellement.



Willem sort de la douche et fait signe à Pascal de venir prendre sa place.
- Moi, je vais faire une petite sieste. Vous, vous allez devoir lui caresser la moule...
- Parfait.
L'hôte entre dans la douche et semble hésiter. Christine lui prend la main et vient la placer entre ses cuisses :
- Il ne faut pas hésiter. C'est de plein droit.
Aussitôt ses doigts s'activent sur les lèvres de la moule.



Christine feule de plaisir. Pascal fait ça avec beaucoup de douceur. Elle lui murmure :
- J'ai masturbé Will pendant qu'il me faisait ça.
- Ok.
Pascal ne semble pas difficile. Il ne réclame pas mais il accepte ce qu'elle lui propose. Elle glisse donc sa main entre et saisit le membre dressé pour le masturber doucement. Surpris mais appréciant la caresse, Pascal retire sa main d'entre les cuisses de la jeune fille pour lui caresser les fesses. Christine demande :
- Vous êtes sûr que Will m'a caressé les fesses ?
- S'il ne l'a pas fait, il aurait dû.



Christine lui tourne le dos et continue à le masturber :
- Ce que vous avez peut-être manqué, c'est qu'il m'a caressé les seins avant...
- Je vous remercie pour ces aveux intéressants.
Il empoigne alors les deux seins et les caresses avec fougue, arrachant quelques gémissements de plaisir à la jeune fille.



Christine abandonne le sexe de Pascal. Rapidement, celui-ci se retrouve calé entre ses fesses. Elle ondule doucement dessus et lui dit :
- Will n'a pas eu le droit à ça. C'est du bonus.
- Transgressons-nous les règles établies, Christine ?
- Mmmm oui....



La jeune fille sent qu'il est particulièrement excité et qu'il se masturbe de plus en plus vite entre ses fesses :
- Doucement... Will n'a pas éjaculé...
- Je suis arrivé trop tôt ?
- Oui...
- Je le regrette amèrement.
Mais il semble qu'il soit trop tard pour respecter les règles. Pascal fait redescendre une main entre les cuisses de Christine et une autre sur sa poitrine savonnée.



La jeune fille adore sentir ses doigts explorer son intimité, jouer avec ses mamelons tendus. Elle est presque sur le point de céder et de le laisser faire jusqu'à atteindre l'orgasme. Mais elle se remémore les règles et sait que si elle n'interrompt pas tout de suite Pascal, celui-ci risque d'éjaculer tant il est excité.
- Doucement, Pascal, vous allez jouir.
- Je transgresse... Rhaaaa !
S'écartant, il saisit son membre turgescent juste au moment où l'éjaculation débute, couvrant les fesses de la jeune fille de sa semence épaisse.



Christine se retourne vers lui :
- Bon, on a un peu triché...
- Ne dites rien à Willem. S'il n'en sait rien, ça ne le rendra pas malheureux.
- Malheureux ? C'est si je ne lui en parle pas qu'il va l'être. Il attend mon récit. Il adore ce moment.
- Vous faites l'amour en même temps ?
- Vous aimeriez bien, n'est-ce-pas ? Cela vous permettrait de me faire l'amour ?
- L'idée m'a effectivement traversé l'esprit.
- Petit coquin, vous venez d'éjaculer. J'imagine que vos bourses ont besoin de repos.
- Faut pas croire, c'est très vite opérationnel.
- Je vous laisse vous doucher. Je retourne voir mon homme.



Willem est dans la cuisine, habillé, et explore le réfrigérateur :
- Quand tu es allée te doucher, il m'a montré notre chambre et m'a expliqué qu'il prépare plusieurs repas d'avance le week-end et que tout est dans le frigo. Il n'y a plus qu'à réchauffer !
- Impressionnant.
Pascal arrive alors, toujours nu :
- Christine et Willem, vous mettez la table. Je réchauffe quelques petits plats et on piochera chacun dans ce qui nous fait plaisir.
Christine voit le sexe encore gonflé de leur hôte et sait bien ce qui lui ferait plaisir.



Autour de la table, la conversation se porte essentiellement sur le récit de la semaine de randonnées que le couple vient d'effectuer. Willem n'hésite pas à raconter les détails salaces de leurs aventures, ce qui semble beaucoup intéresser Pascal. Une fois le repas terminé, Pascal se propose pour débarrasser et les invite à aller faire une petite sieste.

Quand ils arrivent dans la chambre d'amis que Pascal avait indiquée à Willem, celui-ci ne garde que son caleçon et s'allonge sur le lit :
- Ah, quel bien ça fait de s'étendre sur un vrai lit, Chris !
- J'imagine. Et ça fait aussi un bien fou de prendre un vrai repas autour d'une table et de prendre une vraie douche.
- C'est vrai. D'ailleurs... tu me racontes la douche ?
Christine s'assoit sur le bord du lit à côté de lui :
- Et bien, comme tu t'en doutes, il m'a caressé la moule.
- Il t'a fait jouir ?
- Non, Will, tu ne m'avais pas fait jouir. Toutefois, il est très doux et attentif. Ensuite, je l'ai masturbé. Il m'a caressé les seins. Et enfin, ne se contrôlant plus, il a éjaculé sur mes fesses...
- Le pauvre ne résiste pas aussi bien que moi.
- Ne te vante pas trop vite. Je vois que tu bandes déjà...
Elle passe la main sur le membre turgescent qui déforme déjà le caleçon.



- Et quoi ? Tu me dois une éjaculation, c'est ça ?
- Disons que ça me semble plus juste, non ?
Christine, à quatre pattes entre les cuisses de son copain, abaisse le caleçon de celui-ci pour libérer son érection.



Alors qu'elle s'en saisit pour commencer une savante masturbation, Willem demande :
- Tu l'as masturbé jusqu'au sperme ?
- En fait, pas tout à fait. Il avait calé sa bite entre mes fesses et se masturbait.
- Et tu ne m'infliges pas le même traitement ?
- On n'est plus sous la douche, Will... et j'ai envie de te branler avec les mains.



- Je ne vais pas m'en plaindre...
Alors que Christine se remet à quatre pattes pour continuer à le masturber, elle approche lentement son visage du membre qu'elle flatte. Willem s'interroge :
- Est-ce que tu lui as offert ta bouche ?
- Bien sûr que non puisque je ne t'ai pas sucé avant... Je m'approche juste pour mieux te voir gicler. C'était frustrant que Pascal ait éjaculé sur mes fesses.



Willem sent le souffle de sa copine sur son gland et cela l'émoustille particulièrement. Elle achève de l'exciter :
- Tu te rends compte, j'ai frôlé l'accident avec Pascal. Quand il se branlait entre mes fesses, sa queue glissait contre ma moule et son gland contre mon anus. Il serait descendu de seulement quelques centimètres et ça aurait été la catastrophe...
- Douce catastrophe... Aaaaaaah !
Le râle guttural du jeune homme est accompagné d'un puissant jet de sperme qui éclabousse l'épaule de la jeune fille et termine sa course dans son dos.



Christine abandonne alors la hampe et laisse la semence d'échapper librement, s'écoulant lentement le long de la tige et formant une flaque importante à la base du sexe de Willem. Elle se redresse et vient s'asseoir sur ses cuisses :
- Et voilà ! Justice est faite.
- Justice ? Il s'est branlé entre tes fesses alors que tu m'as offert tes mains douces et tes doigts habiles.
- Tu te plains ?



Willem se redresse et attrape une serviette dans son sac pour essuyer le dos et les épaules de sa copine :
- Jamais je n'irai me plaindre de ce que tu me fais. Mais puisque tu parles de justice, celle-ci se rend en fonction des lois qui s'appliquent.
- Ohlala, ça me semble bien compliquée ton explication... Où veux-tu en venir ?
- C'est simple. La loi établie est la suivante : ce que tu me fais, tu dois lui faire aussi.
- S'il nous surprend...



Une voix se fait alors entendre :
- Je ne vois pas, mais je fais la sieste dans la chambre à côté, et j'ai des oreilles...
Willem sourit et penche la tête sur le côté :
- Je crois que c'est valide, Chris...
Christine lève les yeux au plafond :
- Pourquoi ne suis-je pas surprise ?



Elle sort dans le couloir et découvre la porte de la chambre de Pascal grande ouverte :
- Désolée d'avoir perturbé votre sieste mais ce ne serait pas arrivé si vous aviez fermé votre porte...
- C'était volontaire et je ne regrette pas du tout que ma sieste ait été perturbée.
Pascal est allongé nu sur son lit. Il ne semble pas à Christine qu'il était en train de faire la sieste puisqu'il se masturbe tranquillement.



Christine vient s'allonger le long de Pascal :
- J'ai l'impression que je vais être bien occupée durant ces quelques jours.
- La nudité ouvre des possibilités infinies et j'avoue que c'est très plaisant de découvrir tout cela avec vous.
- En attendant, c'est moi qui suis sollicitée.
- J'avoue avoir une préférence pour vous plutôt que Willem.
- L'hôte a effectivement le privilège de ce choix.
La jeune fille saisit le membre tendu et poursuit la masturbation commencée en solitaire.



Sa main monte et descend tranquillement sur la hampe turgescente. Elle sent aux soubresauts du ventre de Pascal qu'il doit se masturber depuis un moment car il semble déjà passablement excité et probablement sur le point d'éjaculer :
- J'ai l'impression que vous auriez pu vous débrouiller seul...
- Oui, mais là... Votre main, c'est... Aaaaaaah :
Son râle est immédiatement suivi par une succession de plusieurs giclées de sperme qui viennent s'écraser sur son ventre.



Christine se redresse et admire tout le sperme qui macule le ventre du jeune homme :
- Justice a été faite !
- Qu... quoi ?
- J'ai respecté les règles établies. Ce que j'ai fait à Will, je vous l'ai fait aussi. Je ne vous dois plus rien.
La main pleine de semence poisseuse, elle finit de masturber le membre pour en extraire les dernières gouttes.



Pascal se redresse sur les coudes et admire la magnifique jeune fille qui vient de le faire éjaculer :
- Jusqu'à la prochaine fois.
- Oh, je vais rester sage.
- Vous, peut-être. Mais j'ai totalement confiance en Willem pour qu'il y ait un dérapage en ma faveur.
- Vous le connaissez déjà si bien...
Christine porte la main à sa bouche et se met à lécher méticuleusement tout le sperme.



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La villa. 06d : Respect des règles


Plus tard dans l'après-midi, Pascal propose à Christine et Willem de découvrir par eux-mêmes le parc et la maison. Christine et Willem se doutent qu'il ne restera pas trop éloigné pour avoir l'opportunité de les surprendre s'ils commencent à se tripoter. Willem propose à Christine de se rhabiller pour cette visite :
- Pour moi, la tentation serait moins grande...
- Je m'en doute, Will, mais ce serait peu respectueux de Pascal puisque lui reste nu en permanence.
- Il ne fait pas la visite avec nous.
- Mais il ne sera pas loin, j'en suis certaine.
- Alors tant pis pour toi, Chris. il te faudra assumer si je succombe à la tentation...



Après avoir fait le tour de l'étage, Willem désigne une dernière porte :
- Et là, Chris ?
- C'est sa chambre. On ne l'a pas vu. Il doit y être.
- Tu es certaine ? Il me semblait qu'il était descendu.
Christine se risque à ouvrir doucement la porte et jette un œil à l'intérieur. Avec un air coquin, elle se tourne vers son copain :
- Personne. Je te fais visiter ?



Willem se doute un peu de ce qu'elle envisage de faire et n'est pas surpris de la voir s'allonger sur le lit de leur hôte et d'écarter les cuisses. Il sourit :
- Chris, tu me tentes, là...
- C'est un peu l'objectif et je suis prête à en subir les conséquences. Les tiennent et celles de Pascal, s'il nous surprend...
- Bon... Je ne crains pas grand-chose à te faire un petit bisou.
Mais tandis qu'il se penche sur elle pour l'embrasser dans le cou, il voit qu'elle commence à se masturber et qu'elle gémit doucement.



Willem se redresse :
- Tu exagères, Chris.
- Aaah... désolée, Will... J'ai trop envie. Si tu savais à quel point ça m'excite d'être allongée sur le lit où je l'ai masturbé tout à l'heure.



- C'est vrai que tu ne m'as pas raconté...
- Viens me lécher pendant que je te raconte.
Willem jette un coup d'œil vers la porte qu'il a volontairement laissée entrebâillée dans l'espoir que Pascal le surprenne en plein cunnilingus et qu'il doive lui aussi déguster la moule de Christine. Mais il n'y a personne. Cela ne l'empêche pas de s'installer entre les cuisses de Christine et de s'atteler à la tâche.



Christine tente de raconter, mais se rend compte que ce n'est pas si facile quand une langue fougueuse explore son intimité :
- Il... il bandait déjà à fond quand je suis arrivée... Je... ooooh... je me suis allongée contre lui et j'ai commencé à... aaaaaaah... à le masturber. Il ne... oooh... lui a pas fallu longtemps pour venir. Il en avait plein le ventre et oooooooh... j'en avais plein la main. Aaaah... Il a bien aimé me... oooh... me voir me lécher les doigts. Aaaaaaaah !
Le récit de Christine excite Willem et, au fur et à mesure, ses jeux de langues se font plus aventureux et précis, au point d'arracher un gémissement particulièrement peu discret.



Willem n'a pas besoin de tourner la tête vers la porte. Il a senti du mouvement derrière lui, dans le couloir. Il relève la tête et regarde Christine, espérant voir dans son regard la confirmation de la présence de Pascal. Mais la demoiselle a les yeux fermés. Willem recherche alors un miroir, un reflet dans une vitre qui pourrait lui confirmer son impression, mais rien ne lui vient en aide dans l'environnement de la chambre. Il se décide à interrompre son cunnilingus pour se retourner. Il a la confirmation : Pascal est dans le couloir en train de se masturber en les regardant et ne semble pas gêné que Willem le voie.



Willem lui fait alors un clin d'œil pour marquer leur complicité. Il replonge entre les cuisses de sa copine qui n'a toujours pas rouvert les yeux. Rapidement, sa respiration haletante indique qu'elle semble être sur le point de jouir. Et elle l'exprime :
- Ooooh Will.... Oooooh Ouiiiiii... Aaaaaaah.
Tout en continuant à torturer le clitoris du bout de sa langue, Willem empoigne un sein pour le malaxer. Christine est alors prise de convulsions et Willem essaie de la maintenir sous ses jeux de bouche pour faire durer le plus possible son orgasme. C'est dans une demi-conscience qu'elle ouvre les yeux et aperçoit Pascal dans le couloir.



Pascal s'avance alors dans la chambre. Willem se redresse et lui sourit :
- Je crois que vous allez pouvoir lui faire minette...
- C'est effectivement mon intention.
Christine, reprenant son souffle, se redresse alors et saisit le sexe tendu de son copain pour commencer à le masturber lentement :
- Est-ce que vous pensez pouvoir attendre quelques instants ? Je n'ai pas tout à fait terminé...



Pascal sourit :
- Bien sûr. Je peux rester en tant que spectateur ?
- Évidemment. Cela vous mettra en condition pour quand ce sera votre tour.
Christine se penche alors sur le pieu de Willem et l'engloutit en bouche pour le lui dévorer.



Willem rejette la tête en arrière et s'adresse à Pascal :
- Ooooh, si vous saviez comme Chris est habile avec sa langue...
- Je vais bientôt le savoir.
Christine s'allonge entre les cuisses de Willem et fait glisser sa langue sur la hampe, depuis les testicules jusqu'au gland.



La respiration de Willem se fait de plus en plus haletante :
- Ooooh, Chris... Tu vas bientôt m'avoir...
Christine se concentre alors sur le gland, se contentant de masser des deux mains la base de la queue et surtout les testicules.



Elle colle sa bouche à l'extrémité du gland au moment où Willem contracte tout son bassin. Une première giclée généreuse vient inonder sa bouche. Puis, elle ressort la tige frémissante et en pose le gland contre ses lèvres tandis que le sperme continue de jaillir, lui maculant la joue et le bas du visage. Le bas du visage plein de sperme, elle observe Pascal tandis que Willem est encore secoué par quelques soubresauts de plaisir.



Quand elle se redresse, une partie du sperme de Willem coule sur sa poitrine. Pascal s'approche du lit, le sexe terriblement bandé. Christine demande :
- Est-ce que le spectacle était plaisant ?
- Terriblement.
- J'ai le temps de prendre une douche rapide ?



- Le sperme de Willem vous dérange ?
- Moi non. C'est pour vous que je demande.
- Je ne pense pas être en mesure de patienter. Tant pis pour le sperme.



Willem est aux anges : il adore voir sa copine avec de la semence sur elle, en l'occurrence la sienne, et cela l'excite terriblement de savoir qu'elle va s'occuper de leur hôte dans cet état. Voyant Christine s'approcher de Pascal et se mettre à genoux et saisir le membre tendu, il l'arrête :
- Oh, je crois que tu oublies une chose importante ma chérie.
- Ah oui ? Quoi donc ?



Willem sourit, satisfait d'être le meneur du jeu :
- Je t'ai d'abord fait un cunnilingus, Chris. Jusqu'à l'orgasme.
Sans attendre, Pascal fait se relever Christine et se met aussitôt à genoux devant elle :
- Willem a raison.
Il profite de sa position pour lui caresser les fesses et les cuisses en même temps, mais se concentre surtout à lécher avec attention la fente humide de la jeune fille, s'attardant évidemment sur le bouton d'amour tendu à l'extrême.



Christine pose alors ses mains sur la tête de son bienfaiteur et glisse ses doigts dans la chevelure brune. Pascal ne peut plus fuir. Pascal ne veut pas fuir. Sa langue semble aussi habile que celle de Willem et en moins de deux minutes, Christine se tord de plaisir alors qu'un nouvel orgasme la gagne. Quand Pascal se relève, il se tourne vers Willem, lui reconnaissant apparemment le rôle de maître du jeu :
- Était-ce bien cela ?
- Moi, je lui ai fait alors qu'elle était allongée, mais je pense que nos règles s'attachent plus à l'acte et au résultat qu'à la position. Et c'est bien aussi pour Chris que cela ne soit pas une copie conforme.
Le souffle court, Christine s'agenouille alors devant Pascal :
- Nous pouvons donc passer à la suite...
Elle engouffre alors le gland de Pascal entre ses lèvres et commence à le sucer.



Rapidement, Pascal prend conscience qu'il est sur le point de jouir. Avec précipitation, il demande à Willem :
- Je... je peux dans sa bouche ?
- Ah ça, il faut voir avec elle. Moi, elle a reçu la première giclée en bouche, puis le reste au visage. Mais comme elle mène le jeu à ce stade, je crois que c'est elle qui va décider.
Christine garde effectivement les lèvres vissées autour de la hampe turgescente. Willem voit les palpitations du membre et devine même les giclées successives qui montent des couilles pour se vider entre les lèvres de sa copine.



Quand Christine sort le sexe de Pascal de sa bouche, Willem pense que c'est terminé, mais une ultime salve de semence épaisse vient s'écraser le long du nez de la jeune fille, accompagnée d'un ultime râle de la part du jeune homme. Alors que le sexe de Pascal vibre encore de plaisir, Christine se tourne vers Willem :
- Bien, je crois que nous avons rétabli le statu quo.
Willem lui fait un clin d'œil :
- Oui, Chris. Il va falloir être plus prudent la prochaine fois.
- Ou pas...



Pascal sort de la chambre et se dirige vers la salle de bain :
- Je vais prendre une douche. Je peux vous laisser aller préparer le repas pour ce soir ?
- Bien sûr !
Christine essuie quand même le sperme qu'elle a au visage et sur la poitrine avec un mouchoir en papier avant d'accompagner Willem à la cuisine :
- Tu ne te rhabilles pas, Will ?
- Non, je vais respecter la coutume locale...
- Fais attention, je risque de me laisser tenter... Je ne suis pas indifférente à te voir ainsi avec la quéquette à l'air.



- Si tu veux que je te fasse l'amour, je suis partant.
- Mais Pascal est sous la douche, il risque de manquer ça...
- Coquine ! Ne t'inquiète pas. Il sait de quoi on est capable et je suis certain qu'il ne perd pas de temps pour se laver. Dans moins de cinq minutes, il sera descendu pour nous épier.
- Cinq minutes, c'est presque trop long, non ?
- On verra. Tu veux comment ?
- Mmmm, en levrette, sil-te-plaît...



S'appuyant au plan de travail, Christine relève une jambe pour poser son pied sur un tabouret de bar, donnant ainsi à Willem un accès dégagé à sa moule luisante de cyprine :
- Prend ton temps...
- Je vois que tu tiens à ce que Pascal ne rate pas ça.
- Je veux en avoir deux pour le prix d'un puisque c'est la règle que tu as édictée...
D'un ample mouvement du bassin, Willem engage son membre dressé entre les cuisses de sa copine.



Une fois bien engagé en elle, Willem la saisit à la taille et commence à la limer tranquillement. Mais Christine trouve déjà le rythme trop soutenu :
- Aaaaah... Will... Doucement... Oooooh... on va jouir... trop vite...
- Han ! Tes gémissements vont le faire se dépêcher...



Moins d'une minute après, Pascal est effectivement à l'entrée de la cuisine, le sexe dressé et les bras croisés :
- Vous exagérez, j'ai à peine eu le temps de me doucher...
Willem s'interrompt et se dégage de Christine, sans avoir éjaculé :
- Il fallait prendre votre temps...
- Les gémissements de Christine me donnaient plutôt envie de le presser...



Christine se retourne et saisit le sexe encore tendu de son copain :
- Bien, je crois que vous allez devoir me prendre en levrette ?
Pascal semble hésiter :
- Je... Il me semble que vous n'avez pas terminé...
- Oh non. Effectivement. Will n'a pas éjaculé, mais il m'a donné un orgasme.
Ce n'était pas vrai, mais Willem s'est bien gardé de signaler le mensonge. Christine ajoute :
- Ce sera à vous de vous contrôler pour ne pas éjaculer.



Pascal ne répond pas, il sait que cela représente un vrai challenge pour lui. Surtout s'il doit donner un orgasme à son invitée. Il s'approche :
- Il y a eu un cunnilingus ou des attouchements préalables ?
Christine prend position contre le plan de travail :
- Les préliminaires, vous y étiez dans la chambre. Will est passé directement à l'action. À votre tour.



Un peu anxieux d'éjaculer avant de parvenir à la faire jouir, Pascal n'en est pas moins terriblement excité par la magnifique croupe de la jeune fille. Il l'a observé avec envie depuis son arrivée et, dès l'énoncé des règles du jeu mis en place par Willem, il attendait avec impatience de surprendre le couple à faire l'amour pour pouvoir lui aussi investir ce fabuleux trésor. Le sexe tendu, il se place sur la fente humide et encore ouverte. Le passage semble encore chaud du membre de Willem. Quand son gland entre en contact avec la vulve, Christine donne un petit coup de reins pour le faire s'emmancher. Une fois le gland engagé dans l'antre béni, le reste de son membre semble suivre sans difficulté, comme happé dans le délicieux fourreau. Il commence à aller et venir en elle, lentement. Christine sent au souffle de l'homme qu'il ne va pas résister longtemps. Pour l'aider dans sa tâche, elle se glisse une main entre les cuisses et stimule son clitoris, faisant plus rapidement monter son orgasme.



Elle aurait voulu le prévenir. Elle aurait dû le prévenir. Mais c'est trop tard. Son corps est pris des convulsions du plaisir. Elle ne peut retenir les multiples contractions de son sexe qui agissent divinement sur le membre turgescent. Trop tard. Les palpitations du sexe tendu et le profond râle de Pascal ne laissent aucun doute. Il n'en avait pas le droit, mais il n'a pas pu se retenir. Il éjacule. Dans un sursaut de lucidité, Christine se dégage de son étreinte en se projetant en avant, malgré l'orgasme qu'elle subit, juste au moment où le premier jet de sperme jaillit et vient s'écraser dans son dos. Pascal est comme tétanisé. Il empoigne son sexe et celui-ci continue à propulser plusieurs giclées de semence sur les fesses de la jeune fille.



Christine reprend son souffle :
- Je crois que c'est un peu ma faute...
- Oui... Désolé... Impossible de me retenir. C'était si bon.
Willem rigole :
- Je ne vais pas vous en tenir rigueur. Je sais à quel point c'est difficile de résister à une fille aussi parfaite.
Christine sourit au compliment et se retourne. Comme si la situation était tout à fait normale, elle demande :
- Et si nous passions à table, Messieurs ?



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La villa. 06e : Partage


Pendant le repas du soir, Christine évoque le stage de restauration effectué quelques semaines plus tôt. Pascal se montre vivement intéressé quand Willem évoque les découvertes qu'ils ont pu faire en matière d'exhibitionnisme, de voyeurisme et d'échangisme. Christine évoque les grandes lignes des deux semaines de stage et Willem se charge de raconter de manière très détaillée les passages les plus croustillant. Durant tout le repas, l'atmosphère est électrique. Willem et Pascal ne débandent pas une seconde et Christine sent que sa cyprine coule peu à peu sur le plastique blanc de la chaise. Une fois le repas terminé, Pascal les invite à monter se préparer pour la nuit tandis qu'il range la cuisine.
Aussitôt arrivés dans la chambre, Le couple s'enlace :
- Oh Chris, si tu savais comme j'ai envie de toi !
- Oh, mais je le sais Will ! Tu bandes comme un taureau !
Tout en se caressant mutuellement, ils échangent un long baiser.



Quand ils se décollent, Willem lui désigne le lit :
- Installe-toi. J'entrouvre la baie vitrée pour faire un peu d'air.
Rapidement, Willem fait glisser la porte-fenêtre de quelques centimètres pour laisser entrer l'air frais. Cette porte-fenêtre s'ouvre sur une vaste terrasse surélevée dominant le jardin et la piscine. Il retourne aussitôt rejoindre Christine. Elle se met debout sur le lit :
- Assieds-toi, Will.
Il s'exécute et est à peine surpris quand il se rend compte qu'elle engage son érection dans son anus :
- Ah oui ? Carrément ?
- Aaaaaah.... Oui. J'en ai trop envie...



Lentement, elle se laisse tomber sur la tige dressée. Christine adore cette sensation de se sentir ainsi remplie complètement. Willem ne se plaint pas :
- Tu es incroyable, ma belle... Mais tu as conscience que si Pascal nous surprend cette fois-ci...
- Mais j'espère bien qu'il va nous surprendre !
Une voix se fait alors entendre depuis la terrasse :
- Vous êtes diaboliques tous les deux !
Pascal fait alors glisser la porte-fenêtre et entre dans la chambre, exhibant une fière érection.



Willem se trouvant derrière Christine ne peut pas voir Pascal, mais il s'adresse à lui :
- Vous voulez ma place tout de suite ?
- Non, je veux d'abord vous observer et que vous finissiez.
Christine aime autant car cela l'aurait frustrée de devoir arrêter alors qu'ils venaient tout juste de commencer.



Pascal admire le visage de Christine qui semble se contracter sous la douleur de la pénétration et l'instant d'après se déformer sous l'effet du plaisir. Il trouve néanmoins cette sodomie presque trop mécanique et interroge Willem :
- Willem, vous me semblez comme intimidé par ma présence. N'hésitez pas à faire à votre copine la même chose que vous lui feriez dans la plus totale intimité.
Willem se rend compte effectivement qu'il se concentrait uniquement sur la sodomie. Cette prise de conscience lui fait reconsidérer ses priorités : le plaisir de Christine. Aussitôt, ses mains abandonnent les fesses (Chris peut bien gérer elle-même les pénétrations) et viennent investir pour l'une un sein, pour l'autre la moule dégoulinante de mouille.



Le visage de Christine n'est alors plus que plaisir. Ses gémissements deviennent des cris :
- Oooh Will... C'est boooon...
Pascal n'en perd pas une miette. Tranquillement, il se masturbe.



Christine, en sueur, implore son copain de s'interrompre :
- Attends, Will ! Attends ! Je... Je veux jouir en même temps que toi et, là, j'étais à deux doigts d'y être...
- Ok, petite pause, alors...
Immobile, le couple s'échange un baiser gourmand.



Après leur baiser, Willem s'amuse à écarter les jambes de Christine, exposant la moule dont la cyprine s'échappe abondamment :
- Tu ne veux pas que Pascal se joigne à nous ?
- Ce serait faire une entorse au règlement...
Pourtant Christine en aurait bien envie et elle regrette déjà cette réponse.



Willem n'insiste pas :
- Dommage pour toi...
Tout en continuant à se masturber lentement, Pascal réagit :
- Christine a raison, Willem. Laissons les choses suivre leur cours. Mon tour viendra de toute façon.



Alors que Willem reprend les assauts, une idée semble germer dans le cerveau embrumé de Christine :
- Will, arrête... Aaaaaaah... Arrête ! Sors et pénètre ma chatte.
- Non...
Willem a bien compris que, par cette invitation, elle voulait offrir à Pascal un argument pour la pénétrer, mais, comme Pascal, il préfère que les choses suivent leur cours.



Willem dit à Christine :
- Arrête d'exhiber ta moule à Pascal, tu l'excites alors qu'il ne fera pas entorse aux règles établies.
- Je... Je ne n'exhibe pas ma moule... Je lui montre juste à quel point tout ceci me fait mouiller...
- Ah d'accord.
Willem lui repousse alors la main et, de deux doigts, lui écarte les lèvres de la moule pour laisser la mouille ruisseler librement hors de la fente.



Dans un état second, Christine tente de parler malgré les assauts de Willem de plus en plus intenses dans son cul :
- Je... Will ? Je... Je t'ai sucé... tout à l'heure... hein ?!
Willem, lui-même dans un état second ne sait plus trop et ne comprend pas où elle veut en venir :
- Quoi... oui... sans doute...
Aussitôt, sans un mot, elle fait signe à Pascal de s'approcher. Celui-ci comprend ce qu'elle veut et ne voit pas d'argument à y opposer. Il vient donc la rejoindre et dirige son membre en érection vers sa bouche pour qu'elle le suce. Un terrible orgasme la submerge alors et elle se met à crier, sans pouvoir commencer la moindre fellation.



Après quelques minutes, Christine reprend son souffle tandis que Willem se dégage. Un peu hébété, il demande :
- Qu'est-ce qui s'est passé ?
- J'ai joui très fort... Pas toi ?
- Non, mais j'ai failli. C'est au tour de Pascal, maintenant.
Christine embouche le membre de leur hôte qui patientait toujours à quelques centimètres de son visage. Willem caresse sa copine, son ventre trempé de sueur et de cyprine, ses seins aux pointes dressées par l'excitation. Christine saisit son sexe en érection, regrettant qu'il n'ait pas joui en même temps qu'elle.



Après quelques minutes d'échanges de ces douces caresses, Willem invite Pascal à passer à la suite :
- Pascal, prenez ma place et laissez Christine faire.
Pascal ne discute pas. Il s'allonge et la jeune fille vient se positionner pour s'empaler lentement sur l'imposante érection.



Christine semble apprécier. Elle ferme les yeux, profitant de l'incroyable sensation de cette queue qui s'enfonce peu à peu dans son anus. Willem s'approche et admire la moule qui suinte de cyprine alors que Pascal commence à donner des coups de reins pour aller et venir en elle. Willem approche un doigt et caresse la fente trempée. Christine rouvre les yeux et lui dit avec un regard trouble :
- Viens... J'ai... Ooooooh... J'ai sucé Pascal, il faut que je... Aaaaaah... toi aussi...
Willem a compris. Il vient rejoindre sa copine et lui donne son sexe à sucer. Christine le suce goulûment. Willem adore cette situation. Il remet la main entre les cuisses de sa copine et plonge deux doigts dans sa fente pour la masturber.



Pascal ne voit pas exactement tout ce qui se passe mais, juste de la voir sucer Willem, cela l'excite et il augmente la cadence. Christine ne parvient plus à poursuivre sa fellation et Willem, se sentant abandonné, s'écarte pour observer la scène de plus loin. Mais Christine lui jette un regard de feu :
- Non ! Continue ! Aaaaaah...
Elle lui désigne sa moule et il comprend qu'elle aurait voulu qu'il continue de la branler, comme si elle était prise en sandwich.



Willem lui demande :
- Tu veux être prise en sandwich, Chris ?
- Oooooh ouiiii...
- Tu sais que ça aura des conséquences...
- Aaaaaaah, fais pas chier, Will !
Willem comprend qu'ils n'en sont plus à ces considérations et qu'elle ne pense plus qu'à son plaisir. Sans tergiverser davantage, il engage son membre tendu dans la fente offerte.



Comme il fait pénétrer son gland, Christine gémit de plus belle. Malgré la cloison de chair qui sépare les deux passages, Willem sent le membre palpitant de Pascal comme s'il était tout contre le sien... Surexcité par cette situation, Willem se déchaîne. Christine crie de plaisir et psalmodie des mots sans queue ni tête. L'orgasme est puissant, violent et sans fin. Willem se demande même si elle a déjà eu un orgasme aussi puissant. Tous les spasmes de plaisir de sa copine déclenchent son éjaculation et il libère en elle un flot de sperme.



Quand ils s'apaisent enfin tous, Willem prend conscience que Pascal continue encore à la sodomiser doucement. Lentement, il se retire de Christine. Il la soulève par la taille et la libère aussi du membre de Pascal pourtant encore palpitant. Quand il la repose à côté sur le canapé, il se rend compte que du sperme coule abondamment de sa moule béante mais pas de son anus. Il regarde Pascal, interrogatif :
- Vous n'avez pas joui ?
- Curieusement, non...
Willem admire à nouveau le sexe plein de sperme de sa copine.



Puis une idée semble lui venir :
- Chris, j'ai éjaculé en toi... Est-ce que cela donne le droit à Pascal d'en faire autant ?
Encore à bout de souffle, Christine répond :
- Ooh... Oui... Oui... je crois.
Semblant encore plein d'énergie, Pascal vient présenter son membre tendu et l'insère dans la fente pleine de sperme.



Pascal ne semble pas dégoûté de faire ainsi aller et venir son membre dans une moule déjà pleine du sperme d'un autre. Cela semble même l'exciter au plus haut point car, après seulement une douzaine d'allers-retours, il se plante tout au fond du sexe de la jeune fille et semble se vider les couilles, avec un puissant râle d'extase. Willem note les multiples contractions des testicules qui indiquent qu'il expulse lui aussi une généreuse quantité de sperme dans la fente de Christine. Sitôt terminé, il se retire et Christine porte la main à son sexe pour vérifier l'impression qu'elle avait eu d'avoir reçu une incroyable quantité de semence :
- Mince, les gars ! Vous m'avez mis tout votre sperme !?



Willem s'avance alors, le sexe encore bandé au maximum :
- Tout ? Tu plaisantes ? Je suis sûr de pouvoir t'en remettre encore un peu...
Voyant le sourire ravi de sa copine, Willem plonge son sexe dans la fente béante, déjà saturée de semence. Quand son sexe s'insère, du sperme gicle par les côtés sous la pression.



Christine ne compte pas combien de fois il la pistonne, mais elle a l'impression qu'il ne tient pas beaucoup plus longtemps que Pascal. Elle sent qu'il se déverse à nouveau en elle. Quand il se retire, elle pose sa main sur sa fente pour empêcher la semence de s'en échapper et elle s'adresse à Pascal :
- Pascal... Vous savez quelles sont les règles ?
Pascal la regarde, hébété, sans comprendre vraiment ce qu'elle lui demande, alors qu'elle fait glisser son index dans sa fente saturée de sperme.



C'est Willem qui le repousse entre les cuisses de sa copine :
- Allez ! Toi aussi tu as le droit à un deuxième tour.
Dès qu'il est en position, Christine, le voyant hésitant, saisit son membre encore parfaitement tendu pour le guider à nouveau en elle. Mais juste avant qu'elle ne l'insère, un flot de sperme s'échappe de la moule laissée ouverte.



Elle guide pourtant le membre turgescent de Pascal dans son antre brûlant. Le trop plein de sperme s'échappe des bords de son membre au fur et à mesure qu'il pénètre la jeune fille. Christine l'encourage :
- Allez, Pascal ! Allez-y ! Donnez tout !
Pascal n'a pas besoin d'être stimulé beaucoup plus et commence à se déverser à nouveau.



Willem demande à Christine :
- C'est bon, Chris ? Il éjacule encore ?
- Oui... Il... Il m'en met encore plein...
Pascal se retire d'un coup et un flot de sperme s'échappe à nouveau de la fente béante de la jeune fille :
- Oh regarde, Will ! Regarde !



- Je vois, ma belle. Tu es magnifique. Tout notre plaisir, en toi.
Pascal se dirige vers la porte :
- Je vais vous chercher une serviette.
Mais Christine l'arrête :
- Je ne pense pas que ce soit nécessaire. Willem sera ravi de pouvoir m'étaler tout cela sur le corps. N'est-ce pas mon chéri ?
Willem ne s'attendait pas à cette proposition et son sexe semble se remettre au garde à vous alors tandis qu'il commence à étaler à deux mains toute l'épaisse semence sur le corps de sa copine, qui garde les cuisses écartées pour lui faciliter la tâche.



Une fois l'onction achevée, Christine fait un sourire à Pascal et lui dit :
- Merci, Pascal ! Cela a été un vrai plaisir.
- Plaisir partagé, Christine.
Pascal les laisse dormir et part rejoindre sa chambre. Malgré tout le sperme qui macule encore la couverture, Christine se met en chien de fusil et Willem vient se lover contre elle. Ils s'endorment ainsi, les sens apaisés.



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La villa. 07a : Descente de police


Quand Christine ouvre les yeux, le soleil est déjà levé. Il fait chaud dans la maison alors que la matinée commence à peine. Ce sont des voix qui l'ont tirée du sommeil. Discrètement, elle sort de la chambre sans réveiller Willem. Elle s'approche du salon et écoute la conversation entre Pascal et un autre homme :
- Putain, Richard, c'est un vieux dossier.
- Écoute-moi bien. Si tu ne paies pas, on ressort ton putain de dossier et tu te retrouveras avec un procès au cul avec sûrement de la tôle à la clé.
- Merde, Richard. J'ai plus un rond moi. Je n'ai même pas de quoi faire venir un dépanneur pour faire réparer la caisse.
- C'est parce que tu habites dans le trou du cul du monde. On a mis plus d'une heure pour venir te voir, alors tu ne crois pas qu'on va repartir les mains vides.
Comprenant que l'inconnu dispose d'un véhicule, Christine se dit qu'il s'agit peut-être d'une solution pour rentrer chez eux. Oubliant qu'elle est nue, elle surgit dans le salon :
- Vous avez...
Mais elle s'arrête net en découvrant que l'inconnu est accompagné de trois autres personnes.



Le gars nommé Richard se tourne immédiatement vers elle avec un grand sourire :
- Hey, mais voilà une charmante demoiselle. C'est ta nouvelle poule Pascal ? En plus elle arrive déjà en tenue pour se faire tringler...
Pascal s'interpose :
- Laissez-là en dehors de ça.
Christine se rend enfin compte de la situation :
- Qui sont ces gars, Pascal ?



Après avoir écarté violemment Pascal, Richard répond :
- On est flic et on vient vérifier que ton petit copain ne fait pas de connerie. On est ses anges gardiens en quelque sorte.
Pascal murmure :
- Tu parles, c'est du racket...
Christine semble se détendre en apprenant qu'il s'agit de représentant des forces de l'ordre. Malgré la situation, elle demande :
- Vous avez une voiture ? Vous retournez en ville ?
Richard s'avance en déboutant son pantalon et en exhibant une érection impressionnante :
- Pourquoi, Pascal ne te suffit plus ? J'avoue que ça ne m'étonne pas. Approche un peu, on devrait pouvoir s'arranger.



Christine ne comprend pas ce qui se passe. Le gars lui propose-t-il de la ramener en ville en échange de faveurs sexuelles ?
- Je... Vous...
- Oui ma belle ? Qu'est-ce que tu veux nous propose ?
- Si... si je vous laisse me tripoter, vous...



- Oui ! C'est ça, on va s'amuser un peu avant de rentrer. Pascal, regarde ce que c'est que des vrais mecs.
Pascal s'interpose à nouveau :
- Vous ne pouvez pas faire ça... Je vais vous trouver de l'argent.
- Rien à foutre de ton fric. On va se rembourser notre trajet avec ta poule.
Un autre gars défait la ceinture de son pantalon et sort son sexe gonflé.



Richard repousse à nouveau Pascal :
- Allez, regarde et branle-toi si tu veux.
- Richard, arrête. Ce n'est qu'une gamine ?
- Une gamine ? Avec un corps aussi développé ? Quel âge as-tu, petite ?
- J'ai vingt ans.
- Tu es majeure, c'est le principal. Tu as déjà eu autant de mecs rien que pour toi ?
Christine a la tête qui tourne en voyant les érections s'exhiber l'une après l'autre.
- Non...



Les policiers viennent l'encadrer :
- Comment tu t'appelles ?
- Christine...
C'est en sentant les mains commencer à se poser sur ses fesses, ses cuisses, son ventre, ses seins qu'elle prend conscience qu'elle a fait une bêtise en déboulant ainsi au milieu des loups.



En voyant son regard paniqué, Richard, qui semble le chef, la rassure :
- Hey, ne t'en fais pas, Christine. Moi et mes gars, on ne te fera pas mal. Tu vas adorer.
Mais en disant cela il lui saisit un téton et le pince violemment.
- Aïe !



- Haha , désolé. J'aime trop quand les mamelons sont bien tendus.
Comme elle tente de le repousser, il lui saisit le poignet :
- Si tu veux que ça se passe gentiment, il serait mieux que tu y mettes un peu du tien.
Christine prend conscience que ces gars n'ont effectivement pas l'air de rigoler. Elle prend le parti effectivement de jouer le jeu en espérant que ça ne durera pas trop longtemps. Elle saisit deux tiges tendues à portée de mains et commence à les masturber. Avec un sourire carnassier, Richard murmure :
- C'est parti....
S'accroupissant devant elle, il lui caresse la moule.



- Ah les gars, la petite Christine mouille bien. On va se régaler.
Tétanisé, Pascal a l'idée d'aller réveiller Willem, mais il s'abstient, craignant que la réaction de ce dernier n'envenime encore plus la situation. Il se contente d'observer et, avec un regard de chien battu, il dit à Christine :
- Je... je suis désolé...
Christine comprend sa détresse et lui répond courageusement :
- Ne t'inquiète pas. Je gère...
Richard s'allonge sur le divan et répond :
- Parfait, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.



Christine croit comprendre qu'il souhaite qu'elle le chevauche :
- Heu, non. Moi, j'étais d'accord pour que vous me pelotiez, éventuellement pour vous masturber, mais il n'a pas été convenu que l'on aille au-delà.
Richard prend un ton moralisateur :
- Allez, Christine. Tu en as envie, je le vois bien. Ce serait dommage que tu tardes et que je débande, tu ne trouves pas. Et maintenant, tu ne peux plus reculer.
- Mais je n'avais pas l'intention de faire ça, moi !



- Ahah ! C'est pas une question d'intention. Vu comment tu mouilles, c'est que tu veux qu'on t'en glisse une entre les cuisses. Au moins une...
Deux gars costauds saisissent alors Christine sous les bras et la soulèvent pour la porter au-dessus du mât de Richard. Quand il la relâche, elle sent la virilité du chef s'enfoncer lentement en elle. Elle prend conscience qu'elle ne pourra pas s'opposer à eux ou leur refuser quoi que ce soit.



Elle décide donc de faire contre mauvaise fortune bon cœur, ou plutôt bon cul. Autant en profiter et faire en sorte que ça se termine rapidement puisqu'elle n'a pas le choix. La jeune fille doit bien reconnaître que cette énorme queue qu'elle chevauche commence à lui donner beaucoup de plaisir. Elle monte et descend elle-même sur le pieu, laissant Richard lui sucer les seins quand les mamelons passent à porter de sa bouche.



Un des gars se fait entendre :
- Et nous chef ?
Christine tourne la tête et découvre les quatre autres flics qui se paluchent en observant le couple.



- Et quoi ? demande Richard, agacé.
- On peut participer ? Si tu lui as vendu cinq mecs, c'est pas pour qu'on passe à la queue leuleu...
- Oui, mais il faut y aller mollo quand même.
Celui qui est intervenu s'approche, considérant qu'il est prioritaire puisqu'il a mené la négociation. Se positionnant devant Christine, il lui fourre son sexe dans la bouche.



Après quelques secondes, il dit à ses copains :
- Merde, les gars, c'est divin. Elle suce hyper bien pour une gamine de vingt ans.
- Oui mais elle n'a qu'une bouche et on ne le saura que quand tu nous laisseras ta place.
Richard intervient :
- La petite n'a pas l'air de peiner. Je suis sûr qu'elle adorera se faire prendre en sandwich.
Aussitôt, les gars se rapprochent, mais celui qui se faisait sucer change rapidement de place et vient présenter son membre tendu entre les fesses de la jeune fille.



- Non, s'il vous plaît... gémit Christine.
Mais c'est trop tard, le membre turgescent s'enfonce déjà dans l'étroite cheminée et commence à la ramoner. En l'absence de préparation, les premières intromissions sont un peu douloureuses, mais rapidement la douleur disparaît et fait place au plaisir incommensurable de se sentir complètement remplie par les deux hommes. La jeune fille commence à gémir de plaisir et Pascal voit bien qu'elle prend beaucoup de plaisir.



Un des gars râle :
- Dis donc, Raphaël, tu étais en train de te faire sucer, tu aurais pu laisser la place aux collègues...
- Faut être réactif et surtout bien dur pour bien sodomiser la petite Christine. Toi, tu es trop mou Eddy.
- Connard !
Eddy s'approche alors et vient présenter son sexe bandé devant la bouche de Christine, haletante. Dès qu'elle commence à le sucer, un deuxième gars vient les rejoindre, attendant son tour.



- Allez, ma belle, essaye celle-là, ça va te plaire.
Eddy l'engueule :
- Attends ton tour, Ray. Et de toute façon, c'est à elle de décider.
Christine ne tient pas à ce que les gars s'engueulent à cause d'elle. Elle interrompt sa fellation de Eddy pour la remplacer par une masturbation et gobe le sexe de Ray, espérant contenter tout le monde.



Ray ferme les yeux et gémit :
- Oh putain ! C'est vrai qu'elle suce hyper bien. Jamais ma femme ne m'a sucé comme ça.
- Jamais ta femme ne t'a sucé. Sinon tu saurais qu'elle suce aussi bien que cette fille. Je te le garantis !
Ray, vexé, se contente de lever les yeux au ciel tandis que tous ces collègues rigolent de cette blague douteuse. Soudain, Raphaël se retire du cul de Christine et vient pousser ses collègues pour se mettre entre eux et forcer la jeune fille à le prendre en bouche.
- Désolé les gars, mais ça m'a donné trop envie que vous en parliez...
- Enfoiré...
Christine, la bouche pleine du sexe qui vient de sortir de son fondement, saisit les deux autres sexes pour les masturber.



Raphaël ferme les yeux et rejette la tête en arrière. Le voyant faire, tout le monde sait qu'il va éjaculer d'une seconde à l'autre. Richard, le chef, l'interpelle :
- Si tu éjacules dans sa bouche, il ne faut surtout pas qu'elle avale. Tu entends, Christine ? Garde tout dans ta bouche autant que possible !
Raphaël se met alors à râler, éjaculant généreusement dans la bouche de la jeune fille.



Le sperme épais déborde pourtant un peu et coule dans le cou de Christine. Dès que Raphaël semble avoir terminé, Eddy, qui continuait à se faire masturber, le pousse et vient présenter son sexe turgescent devant la bouche déjà pleine de semence.
- Tiens, ma belle. Et tu n'avales pas. Le patron l'a interdit. Hannnn...
Là aussi, l'éjaculation est généreuse et Christine est obligée de redresser la tête pour ne pas en perdre trop. Avant qu'Eddy ait terminé, Ray vient prendre sa place et libère toute sa semence dans la bouche béante de la jeune fille.



Quand les gars s'écartent de Christine, Richard interpelle Pascal :
- Approche un peu, Pascal.
Celui-ci pense qu'il va lui être demandé d'éjaculer lui aussi dans la bouche de son invitée et commence à déboutonner son pantalon. Mais Richard précise son intention.
- Non, pas la peine de te foutre à poil. Tu vas embrasser ta copine et avaler tout ce qu'elle a dans la bouche.
- Quoi ? Mais c'est dégueulasse !
- Allons, Christine ne se plaint pas, elle. C'est que ça ne doit pas être si mauvais que ça.
Richard soulève la jeune fille pour la faire se lever. Surmontant son dégoût, Pascal vient l'embrasser à pleine bouche.



Christine lui masse l'entrejambe pendant ce long échange de baiser. Richard observe attentivement. Quand ils séparent leurs bouches, le chef du groupe remarque qu'il ne semble rester aucune goutte de sperme. Pascal fait une grimace et crache par terre :
- Pouha ! Dégueulasse !
Richard se lève. Il fronce les sourcils et observe Christine :
- Dis donc toi ! Tu n'aurais pas avalé la plus grande partie du sperme avant que Pascal ne vienne t'embrasser ?
Christine prise en défaut, se sent un peu honteuse :
- Si... un peu...



Richard la soupçonne d'avoir tout avalé avant qu'ils ne s'embrassent. Toujours magistralement en érection, il la fait pivoter et l'appuie contre la porte :
- Ok, tu m'as privé de cette petite torture sur notre ami Pascal, je vais donc m'offrir une petite compensation.
Il la saisit à la taille et l'oblige à se cambrer. Sans préavis, il la pénètre.



Comme Richard se met à la ramoner avec beaucoup d'ardeur, certains de ses assauts font cogner le front de Christine contre la porte. Ne souhaitant pas l'amocher, il la libère de son étreinte et l'amène jusqu'au canapé pour la faire se mettre à quatre pattes.
- Allez, ce sera plus confortable pour tous les deux...
Sans aucun ménagement, il la prend en levrette sous le regard incrédule de Pascal.



Christine, enfin gagnée par l'orgasme, se met à crier. Elle sent alors Richard se contracter et s'immobiliser au fond d'elle. Il va éjaculer.
Les gars ricanent. L'un d'eux en avoue la raison :
- Tu ne sais pas ce que tu vas prendre : notre chef est surnommé "bull-balls".
Effectivement, quand il éjacule, il remplit Chris d'une quantité incroyable de semence qui fouette ses entrailles. Quand il se retire, le sexe encore palpitant, il soulève la jambe de la jeune fille pour donner en spectacle le sexe béant d'où s'échappe un flot de sperme.



- Ah putain ! Elle est bien bonne cette petite. Tu vois, Pascal, on a pris un tel pied tous les quatre que je crois qu'on va laisser tomber le pognon que tu nous dois pour cette fois-là.
- Quel grand cœur...
- Ne le prends pas sur ce ton. J'efface cette ardoise uniquement si tu viens lécher la moule de ta copine et que tu avales tout mon foutre.
- Espèce de détraqué...
Sachant qu'il n'est pas en position de négocier, Pascal s'exécute et vient s'asseoir derrière Christine, toujours à quatre pattes. Il lèche d'abord les coulures sur les cuisses et remonte lentement jusqu'à la moule, effectuant ses obligations avec application comme si sa vie en dépendait.



Il réussit même à donner à Christine un nouvel orgasme. Quand il se relève sous les ricanements des policiers, il lance un regard noir à Richard.
- Maintenant, foutez-nous la paix.
- Allons, tu devrais nous remercier : on est venu nous assurer que tu ne cachais pas deux prisonniers évadés. Deux fugitifs très violents qui ont été aperçus dans le coin.
- C'était surtout l'occasion de me racketter encore une fois.
- Allons, allons, Pascal. Si ta copine se montre aussi gentille à chaque fois qu'on passe te dire bonjour, on pourra à nouveau oublier cette histoire d'argent. Allez, Ciao.
Les policiers s'en vont. Christine prend conscience qu'après ce qui venait de se passer, il n'était plus question de leur demander de les ramener en ville. Pascal s'excuse :
- Je suis désolé de ce qui vient de se passer Christine...
- Ne t'inquiète pas, ils ne m'ont pas fait mal, même si c'était un peu brutal. C'est surtout pour toi que ça a dû être humiliant...
Surgit alors Willem, nu et ébouriffé :
- Salut ! J'ai été réveillé par un bruit de moteur, mais j'ai dû rêver...
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La villa. 07b : Massage


Après avoir pris une douche, Christine passe devant la chambre et constate que Willem s'est recouché et qu'il semble dormir. En arrivant dans la cuisine, elle découvre Pascal en train de préparer du café.
- Bonjour Christine, bien dormi ?
- Oui, très bien merci.
- Un café ?
- Non, pas pour le moment, merci... Pascal, je me demandais. Qu'est-ce que les flics voulaient exactement ? Et c'est quoi cette histoire de massage ?
Pascal semble gêné, mais il se résigne à se confier à la jeune fille :
- J'ai été masseur à domicile pour arrondir mes fins de mois. Et je dois avouer que j'ai souvent eu l'occasion de profiter de la situation pour prodiguer des caresses plus intimes à certaines de mes clientes et que j'ai parfois laissé la situation déraper quand la cliente me montrait en vouloir davantage.
- Elles vous demandaient à être baisées ?
- Oui, mes caresses faisaient en sorte qu'elles le demandaient parce que j'étais parvenu à susciter ce désir irrépressible.
- Incroyable ! ... Vous... Vous me montrez ?



- Heu, oui. Bien volontiers !
Pascal passe dans la buanderie et revient avec une énorme valise. Quand il ouvre celle-ci, Christine découvre avec stupeur qu'il s'agit d'une table de massage pliante. Du matériel de professionnel ! Une fois la table installée au milieu du salon, Pascal y étend une serviette.
- Installez-vous.
Christine s'y allonge sur le dos, un peu fébrile à l'idée que Pascal commence à la masser. Pascal retire alors son tee-shirt et verse de l'huile sur le ventre de la jeune fille.



Quand les mains commencent à courir sur son ventre et ses seins, Christine se laisse aller aux plaisirs de ses caresses, comprenant aussitôt qu'avec une telle dextérité, la plupart des filles devait succomber et en demandait davantage.
- C'est bon... Je ne comprends pas qu'une de vos clientes ait pu porter plainte...



- Oh, mais aucune n'a porté plainte...
- Alors quel rapport avec les flics ?
Une main sur un sein, l'autre effleurant le sexe imberbe, Pascal ne répond pas tout de suite.
- Un mari jaloux vous a surpris ?
- Oui... Pire qu'un mari jaloux : le chef de la police !



- Aïe... pas de bol !
- Non, d'autant que sa femme exprimait généreusement son plaisir et qu'il ne devait pas la faire grimper au rideau aussi bien.
- Du coup, ils vous font du chantage.
- Oui. Ils passent régulièrement me prendre de l'argent. Cette fois, ils s'en sont pris à vous.
- Cela n'a pas été un si grand sacrifice...
Pascal commence à faire glisser son majeur contre la fente de la jeune fille et s'attarde sur le clitoris.



- Ils ne vous ont pas fait mal ?
Christine écarte les cuisses, permettant au majeur de Pascal de s'enfoncer dans son intimité pour la masturber.
- Mmmm... délicieux...
Pascal ne sait pas si elle répond à sa question ou si elle parle de son expérience avec les policiers.



Il commence à faire aller et venir son doigt en elle. Christine gémit mais s'amuse à se moquer de lui :
- Mmmmm... pas mal. Mais Will fait ça aussi bien que vous...
N'appréciant pas de se faire comparer à un autre, Pascal plonge un second doigt dans la moule de la jeune fille.



Christine apprécie cette progression, mais continue de le mettre au défi souhaitant qu'il aille plus loin :
- Mmmmm... Will aussi il me fait ça...
Pascal se penche à son oreille :
- Mais là ce ne sont que des préliminaires.



- J'adore les préliminaires.
- Moi aussi...
- Ah oui ? Faites-moi voir ça ?
Pascal est surpris par la demande mais quand elle passe sa main sur la bosse de son short, il comprend qu'elle lui demande à voir son érection. Tout en continuant à la masturber d'une main, il tente, de l'autre, d'ouvrir son short.



La jeune fille est surexcitée à l'idée qu'il se mette nu et exhibe son membre bandé.
- Oh ouiii... C'est ce que vous demandaient vos clientes : voir votre grosse queue tendue ?
- Rarement. Elles se contentaient de me débarrasser elles-mêmes de mes vêtements.
- Ok, je m'en occupe alors.
Se tournant sur le côté, Christine termine de lui déboutonner son short pour le laisser glisser à ses pieds, libérant une érection conséquente. Sitôt mis à nu, Pascal reprend son massage, qui tient alors davantage de caresses érotiques.



Quand il retire ses doigts de son entrecuisse, Christine se dit qu'il doit la trouver assez mûre pour la pénétrer et lui faire l'amour. Mais au lieu de cela, il s'installe entre ses cuisses pour lui lécher goulument la moule. Haletante, Christine le supplie :
- Oh ouiii. Je comprends... Moi aussi, j'ai envie... Je veux que vous me baisiez...



Pascal se redresse en souriant :
- J'avoue avoir un doute... Est-ce que vous me faites marcher sur votre désir pour mieux vous moquer ensuite de mon stratagème ?
- Oh non... Je vous veux... Je veux votre bite en moi.
Une voix se fait entendre de l'autre côté du salon :
- Bonjour. Je vois que la matinée commence très fort !
Willem arrive juste au moment où Pascal pénètre sa copine.



Christine sourit en voyant qu'il est nu et déjà en érection. Elle tente de lui expliquer la situation :
- Oh Will... c'est si bon... Notre hôte me montre ses talents de masseur...
- Là, j'ai plutôt l'impression qu'il te baise, non ?
- Oh ouiiii ! Il me baise ! C'est si bon...
La jeune fille semble terrassée par un violent orgasme.



Pascal jette un œil à Willem, car il hésite à tout décharger dans le ventre de son invitée. Le sourire entendu de Willem aurait dû le rassurer, mais il décide pourtant d'interrompre sa pénétration : il sort juste au moment où sa semence commence à jaillir et éclabousse généreusement le ventre et le sexe de la demoiselle, alors que son corps entier semble encore sous l'emprise de l'orgasme.



Rapidement, Pascal se remet à côté d'elle et reprend son massage, étalant sa semence sur la peau de la jeune fille, n'oubliant bien sûr pas la poitrine et l'entre-jambe.
- Vous voyez Willem, on a un peu dérapé, mais je lui faisais vraiment un massage.
Christine retrouve son souffle, mais semble subir une décharge électrique à chaque fois que les doigts du masseur effleurent son petit bouton.



Pascal abandonne alors Christine et se dirige vers la cuisine :
- Un café, Willem ?
- Volontiers, merci !
Sophie, toujours avec l'envie de défier, se met sur le ventre et, cuises écartées, elle interroge Pascal :
- C'est déjà fini ?



Pascal sert le café de Willem en souriant :
- Ce doit être un vrai bonheur une fille aussi chaude !
- C'est épuisant. Vous voyez, même à deux, on se demande si cela lui suffit ?
- Hé ho, les gars ! Je ne suis pas un sujet de dissertation.
Pascal vient la rejoindre stupéfait qu'elle en demande encore :
- Je ne devrais pourtant pas être surpris avec tout ce que j'ai vu hier...
Il lui soulève le bassin pour lui caresser l'entrejambe.



La jeune fille écarte encore les cuisses pour lui faciliter l'accès à sa moule.
- Mmmmmh... enfin.
- Bon sang, mais vous avez avalé un tube d'aphrodisiaque ?
- Mmmmmh... c'est vous, les garçons, mon aphrodisiaque.



- Coquine !
Willem secoue la tête :
- Je pense que "salope" est plus approprié...
- Oh oui, Will, je suis votre salope.
Pascal passe une main sous son ventre et la fait se mettre à quatre pattes. Se penchant entre ses fesses, il lui lèche l'abricot avec gourmandise.



La jeune fille a alors un nouvel orgasme. Dès le premier soubresaut, Pascal s'interrompt et s'écarte :
- Ah Christine, vous êtes insatiable.
Christine reprend son souffle et commence à redescendre de la table :
- Mmmm, c'est déjà fini ? C'est presque frustrant...



- Ah oui ? Willem, ça vous tente ?
- Évidemment !
Willem s'approche et guide son sexe dans la moule luisante de cyprine pour prendre sa compagne en levrette.



- Oh Will ! C'est bon...
- Oui Chris... J'adore quand tu es salope comme ça...
- Ouiiii... Ta petite salope ! Ouiiiiii !
Christine a un nouvel orgasme, particulièrement puissant.



Le garçon, trop excité pour se contenir, sent qu'il va éjaculer. Pascal semble le lire sur son visage :
- Pas en elle, Willem !
Sans trop comprendre sur l'instant, Willem s'exécute et sort pour éjaculer sur ses fesses.



Quand il reprend ses esprits, Willem regarde Pascal :
- Si j'ai bien compris il faut étaler ?
- Exactement. Que notre semence se mélange à l'huile.
- C'est aphrodisiaque ?
- Aucune idée... En tout cas, c'est beau de la voir ainsi luisante de notre plaisir.
- Mais je n'en ai malheureusement pas assez pour finir l'intérieur des cuisses...
Willem s'écarte désignant à Pascal la croupe de sa copine.



Pascal n'en revient pas :
- Mince ! Je n'avais jamais vu un couple aussi pervers !
Christine se redresse et lui sourit :
- Ce n'est pas de la perversion. Nous aimons le sexe, le plaisir. Venez vous agenouiller derrière moi, Pascal.
Il vient s'installer derrière elle, la queue dressée.



Willem voit que Christine le guide dans son anus. Pascal pense à une erreur :
- Oh, je crois que...
Mais son sexe commence déjà à s'empaler lentement dans l'étroit fourreau et il semble maintenant impossible que cela soit une erreur de la part de la jeune fille.



Une fois engagé jusqu'à la garde, ses testicules en contact avec la matrice de la jeune fille, Pascal se met à la ramoner :
- C'est là que vous la vouliez ?
- Oui !
- Dans votre cul de salope ?
Willem sourit en constatant que, même en lui disant des mots aussi crus, il continue à la vouvoyer.



- Oui ! Dans mon cul de salope ! Ouiiiiii...
Christine a un nouvel orgasme et Pascal semble aussi être en train de jouir. Willem voit les testicules se contracter régulièrement, à chaque salve de sperme expulsé dans le séant de sa dulcinée. Quand Pascal se retire, Willem observe une effusion de semence s'échapper du petit trou, dégoulinant sur la cuisse.



Christine s'affale sur la table de massage et retrouvant ses esprits, s'adresse à Pascal :
- Je comprends la femme du chef de la police. Vous êtes un excellent masseur !

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La villa. 07c : Fugitifs


Pendant le repas de midi, alors qu'ils sont tous les trois nus autour de la table, Christine exprime son malaise :
- Je suis confuse, Will. Pascal a établi des règles, mais ce matin nous ne les avons pas vraiment respectées.
- Allons, Chris, tu sais bien que ce n'est pas aussi rigide que ça.
Christine, en bout de table, se penche de chaque côté pour regarder les sexes des deux hommes et constate qu'ils sont tous les deux en érections. Elle rigole :
- Oh si, c'est indéniablement rigide !
Pascal rigole et fait le bilan à Willem :
- C'est vrai que j'ai profité de la démonstration de massage pour la pénétrer et la sodomiser alors que vous ne l'avez prise qu'en levrette.
- Oh, mais je ne me plains pas !
Chris se lève et prend la main de Willem :
- Allez, le repas est terminé et tu me dois une sodomie.
Sans discuter, les garçons la suivent dans la chambre où elle prend position, à quatre pattes sur le lit :
- Allez, Will.
Il vient se placer derrière elle et la prend en levrette, faisant glisser son membre tendu dans la fente déjà humide :
- Si ça ne vous dérange pas, je vais me contenter d'une levrette.
Christine tourne la tête vers Pascal pour savoir s'il approuve.



- Pascal, vous êtes d'accord ?
Mais avant que Pascal ne réponde, deux hommes costauds à la peau d'ébène font irruption dans la chambre, ouvrant la baie vitrée qui était restée entrouverte. Pascal, malgré sa nudité, s'insurge :
- Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous faites chez moi ?
Les deux hommes ne semblent pas impressionnés :
- Toi tu te calmes et tu écoutes mon pote.



Le deuxième gars se lèche les lèvres en regardant Christine, immobile :
- Continuez, continuez, les amoureux. On ne veut pas vous déranger.
Christine a fait le lien avec ce qu'avait dit les policiers quand ils avaient évoqué être dans le coin à la recherche de deux fugitifs. Inquiète, elle leur demande :
- Qu'est-ce que vous nous voulez ?



- On court depuis plusieurs jours. On a faim et on voudrait se rafraîchir. Si on peut s'amuser un peu en prime, on va en profiter.
Sans avoir pris la mesure de la situation, Pascal s'avance vers lui :
- Allez vous faire foutre ! Sortez de chez moi !
Mais le black sort un pistolet et le pointe sur le visage de Pascal :
- Toi, tu n'as pas l'air d'avoir compris qui commande ici.



Pascal recule, les mains en l'air. Il a perdu toute son érection. Christine sent que Willem est lui aussi en train de débander. Il se penche à l'oreille de Christine :
- Qu'est-ce qu'on fait Chris ?
- Il nous a dit de continuer, alors baise-moi...
Willem obéit et recommence à bouger lentement pour redonner un peu de vigueur à son érection.



Le black qui tient l'arme la tourne vers Willem :
- Dis donc, c'est bien mollasson tout ça...
Christine lui tient tête :
- Si tu arrêtes de pointer ton flingue sur tout le monde, ça ira déjà mieux.
- Toi, la poule, tu ne me parles pas comme ça, si tu veux rester jolie et désirable.
Mais il abaisse son arme en signe de détente. Willem reprend donc confiance et besogne Christine de plus en plus vite, lui arrachant peu à peu de plus en plus de gémissements.



Finalement, malgré la présence des importuns, Willem donne un orgasme à sa copine. Les contractions fébriles du vagin sur sa queue déclenchent son éjaculation que Willem exprime le plus discrètement possible. Pourtant, le premier homme intervient en voyant les rictus sur son visage :
- Si tu jouis, sors ta queue. On veut voir si tu avais les couilles bien pleines.
Bien qu'il ait déjà commencer à gicler, Willem s'extrait du délicieux fourreau et termine de se répandre sur les fesses de Christine alors qu'elle gémit encore de plaisir.



Après avoir repris ses esprits, Christine se redresse. Elle se doute que les deux fugitifs ne vont probablement pas en rester là. Elle tente malgré tout sa chance et, cachant sa poitrine, elle les invectives :
- Vous vous êtes bien rincé l'œil, maintenant laissez-nous.



Mais le noir qui ne porte pas d'arme ne semble pas prêter attention à son injonction :
- C'était pas mal. Mais ton partenaire n'a pas semblé te faire jouir plus que ça. Moi, je veux bien voir si ça te fait triper si ton autre copain t'encule.
- Quoi ? Mais c'est hors de question. On n'est pas des bêtes qui forniquons sur commande.
- Ah ouais ? Bah moi et mon pote, on veut voir ça. Alors, tu vas obéir comme une bonne petite chienne et on n'aura pas à utiliser notre arme pour vous convaincre.



Christine prend position, elle se met à quatre pattes et interpelle Pascal :
- Pascal, tu aurais une serviette pour que je m'essuie les fesses ?
Mais le noir armé pointe son arme sur Pascal :
- Tu ne bouges pas. Si ça te dégoûte le sperme de ton pote, ta copine n'a qu'à l'étaler pour que ça ne se voit pas.
Christine s'exécute, préfèrent ne pas polémiquer.



Pascal s'approche de Christine. Il semble confus, mais affiche cependant une érection tout à fait honorable :
- Désolé, Christine.
- Ne le soyez pas. Vous m'avez déjà sodomisée tout à l'heure et j'ai eu l'impression que cela vous plaisait bien.
- Oh oui !
Doucement, il appuie son gland sur la rosette étroite et fait lentement pénétrer son membre.



Les deux blacks sourient en voyant le visage comblé de Christine :
- Bah voilà ! La petite préfère en avoir une dans le cul que dans la moule. Mec, décale-toi. On veut voir ta petite queue pendant que tu la ramones.
Pascal se décale, un peu vexé, car il trouve que son sexe n'est pas si petit que ça.



- Super. Continue. Fais-la crier, si tu peux.
Déchainé, Pascal accélère la cadence de ses assauts et finit par faire jouir Christine.
- C'est du couinement tout gentil ça. On t'a dit de la faire gueuler.
Mais Pascal n'est plus en état car il sent qu'il commence à éjaculer.



Le premier noir se rend compte qu'il est en train de jouir :
- Merde ! Vous êtes pas résistants les mecs. Sors, qu'on te voit gicler !
Pascal extrait son sexe après avoir déjà généreusement garnit le côlon de la jeune fille, une dernière salve de sperme encore sous pression gicle entre les fesses encore tremblantes de Christine.



Pascal se laisse tomber sur le canapé alors que les deux noirs se moquent de lui :
- Mince, tu es éjaculateur précoce ? Ton pote aussi d'ailleurs ? Elle doit être vachement frustrée la petite que vous ne lui donniez qu'un seul orgasme à chaque fois.
Christine se lève et défend les garçons :
- Ils sont beaucoup moins endurant sous la menace d'une arme. Je n'ai pas à me plaindre de ce qu'ils me font.
- Du calme ma mignonne. De toute façon, c'est pas terminé.
- Je peux prendre une douche avant la suite ?



Le noir au pistolet regarde Willem et voit qu'il a retrouvé une belle érection :
- Tant que tes deux copains bandent, ils continueront à te baiser.
Christine soupire, mais elle a bien compris qu'aucune négociation n'est possible. Elle s'allonge sur le dos et attend. Willem vient la rejoindre et lui écarte les cuisses pour engager son sexe dans sa fente humide et chaude.



Christine gémit dès qu'il commence à aller et venir en elle. Il s'inquiète :
- Ça va, Chris ? Je... ne te fais pas mal ?
- Oh non, Will. C'est bon... continue... aaaaaanh



Après quelques minutes, elle dit tout bas à son partenaire :
- Pascal bande à nouveau. Ne tarde pas trop à jouir, sinon ils vont lui demander de te remplacer...
- Tu crois ?
Willem accélère la cadence et l'ampleur de ses pénétrations. Presque à la seconde près, ils jouissent tous les deux.



- Bravo, bien synchrones, les enfants. Pousse-toi, mec, que je regarde s'il te restait un peu de sperme.
Willem se retire et le noir s'approche pour admirer tout le sperme qui suinte de la fente de Christine.
- Bien, même si tu es éjaculateur précoce, tes petites couilles sont apparemment bien remplies. Il t'en reste ?



Willem ne répond pas. Christine se relève et sentant le sperme couler le long de ses cuisses, elle demande :
- Est-ce qu'une douche est maintenant envisageable ?
- Pourquoi ? Ce n'est que du sperme, ce n'est pas sale.
- Tout de même...
- Non, tu peux le garder et puis ça va aider à bien glisser.
Christine soupire :
- Encore ?



- Bah, oui regarde. Ton autre copain bande à nouveau.
Le noir s'adresse à Pascal :
- Allez, au boulot. Prends-la en levrette, debout.
Christine s'appuie au mur. Pascal la rejoint et lui soulève une jambe pour pouvoir la pénétrer :
- Désolé, Christine...
- Il doit y avoir des séquestrations moins agréables...



Commençant à bouger, Pascal donne d'amples coups de reins pour s'introduire chaque fois un peu plus loin en elle. Rapidement, Christine se met à gémir.
Le noir armé intervient soudain :
- Merde, on s'est gourré ?
- Quoi ?
- Bah, regarde, il la prend par la chatte, mais lui, c'est dans le cul qu'il doit lui mettre.
- Ah t'as raison. J'avais pas fait gaffe que chacun avait une entrée différente...



La jeune fille est proche de l'orgasme quand un des deux noirs demande à Pascal de changer :
- Mec, t'es pas dans le bon trou. C'est celui de ton pote. Sors et encule-la.
Sans discuter, Pascal sort lentement son sexe, puis, posant son gland sur l'anus de Christine, il lui suffit d'une petite poussée pour s'emmancher dans le canal étroit.



Christine se met à gémir de plus belle. Les noirs commentent :
- Elle aime l'avoir dans le cul, la petite !
- Je suis sûr qu'elle jute à mort. Tiens, porte-la et tourne-la vers nous qu'on voit sa moule.
Soulevant Christine, Pascal la porte, toujours engagée sur son membre tendu, et la tourne face aux deux fugitifs, exposant sa moule béante et dégoulinante de mouille.



Le noir regarde Willem et rigole :
- Ahah ! Le spectacle te fait bander à nouveau, pas vrai ? Allez hop, au boulot ! Il y a une place qui t'attend. Ta place.
Un peu ahuri, Willem se lève et vient planter son membre tendu dans sa moule alors que Pascal la maintient immobile plantée sur sa tige dressée. Willem sent la colonne de chair de Pascal qui commence à bouger non loin de la sienne. Il repose Christine au sol, ne lui maintenant qu'une jambe en l'air.



Les deux garçons commencent à bouger faisant coulisser leur membre en alternance dans les deux orifices. Willem s'inquiète pour sa copine qui gémit très fort :
- Est-ce que ça va, Chris ?
- Ooooh Will ! C'est divin ! Aaaaaah, j'adore...
Ainsi prise en sandwich, la jeune fille se met à crier, secouée par un terrible orgasme qui semble chaque seconde monter en intensité. Les deux garçons ne tiennent pas davantage et éjaculent tous les deux en elle, dans un concert de râles et de cris.



Après une minute où, inertes, appuyés les uns aux autres, ils se détachent, Christine sent aussitôt une grande quantité de sperme couler sur ses cuisses. Elle s'effondre sur le lit, épuisée, l'entrejambe et l'anus dégoulinants de sperme. Un noir s'approche et observe, satisfait :
- Bien, je crois que tes deux partenaires sont arrivés au bout. Ils ont bien débandé tous les deux et je crois qu'ils ont les couilles complètement vides, vu tout ce qu'ils t'ont mis.



Il se tourne vers Pascal et lui fait signe d'approcher :
- Viens lui étaler le sperme sur tout le corps pour qu'elle sente bien le mâle.
Pascal s'exécute et étale le sperme sur les cuisses et les fesses de la jeune fille. Puis, le black ajoute :
- Merci messieurs. Je pense qu'elle est prête, maintenant.



Christine craint de comprendre ce qu'il l'attend ensuite...


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La villa. 07d : Prisonniers


Le black qui tient l'arme la brandit à nouveau.
- Maintenant, à notre tour.
Son acolyte se déshabille. Christine se lève et reste stupéfaite de la plastique impeccable de l'homme. Elle savait que les prisonniers profitaient souvent de leur incarcération pour faire de la musculation, mais elle ne s'attendait pas à découvrir au corps aussi magnifique. Et le sexe ! Même au repos, celui-ci affiche des proportions déjà impressionnantes. Christine sent un appel entre ses cuisses en imaginant le membre quand il sera dressé.



Christine sent encore beaucoup de sperme qui coule le long de ses cuisses :
- Je... ça coule encore...
- Oui, tes copains ont été généreux.
- Je peux prendre une douche avant... la suite ?
- Non, étale-le sur ton corps. Je trouve ça beau, une fille luisante de sperme, même si ce n'est pas le mien.
Sachant qu'elle n'a pas vraiment le choix, Christine renonce donc définitivement à la douche et se résigne à étaler le sperme sur son ventre et sa poitrine.



Un peu inquiet de ce qui pourrait suivre, Willem s'interpose entre Christine et le noir :
- Dites, messieurs. On a fait tout ce que vous demandiez. Je crois que ça suffit, maintenant.
- Tu as éjaculé plusieurs fois, non ? De quoi te plains-tu ? Assieds-toi et ferme-là.
Willem, toujours nu, s'assoit. Le noir armé ouvre alors les tiroirs de la commode à la recherche de quelque chose. Il brandit victorieusement une des cravates de Pascal. S'agenouillant derrière Willem, il lui attache les mains dans le dos, derrière le dossier, s'assurant ainsi de le maintenir tranquille. Puis, il prend une seconde cravate et lui bande les yeux avec :
- Tu ne vas pas voir, mais tu vas entendre...



L'autre noir rigole :
- C'est certain, il va entendre.
Christine a pitié de Willem :
- Pourquoi ne pas le laisser regarder ?
- Parce qu'il prendrait conscience à quel point il est mal équipé pour vraiment donner du plaisir à une fille.
- Vous êtes cruels...



Pascal voit bien que le même sort l'attend sans doute :
- J'imagine que je dois aller chercher une autre chaise et préparer deux cravates ?
- Non, toi tu vas sortir dans le jardin et on va fermer la porte. Toi tu verras, mais tu n'entendras pas.
- Et vous ne pensez pas que je vais en profiter pour aller appeler la police ?



- Tu ne le feras pas car tu vas rester derrière la vitre à te branler. Si on ne te voit plus, on fait du mal à ta copine et à ton pote.
Un peu dépité, Pascal sort et laisse le noir armé refermer la baie vitrée. Le seconde affiche désormais une érection colossale. Tranquillement, il s'assoit sur le bord du lit :
- Comment tu t'appelles, poulette ?
- Est-ce que ça change quelque chose ?
- J'aime bien connaître le nom de la fille que je vais faire gueuler de plaisir.



- ... Christine...
- Bien, moi c'est Marcus et mon pote c'est Ibrahim. Christine, tu vas venir goûter à mon gourdin. Il va falloir ouvrir très grand la bouche, mais je suis sûr que tu peux le faire.
Il prend curieusement un ton bienveillant, mais la jeune fille se doute que cela cache sans doute la brutalité qu'elle va subir ensuite. Résignée, elle se met à quatre pattes sur le lit à côté de lui et commence à le sucer, tandis qu'Ibrahim et Pascal admirent la splendide croupe.



- Mmm, tu suces hyper bien. Tu n'es pas une débutante.
Puis s'adressant à Willem :
- Eh mec, ta gonzesse taille super bien les pipes. Une petite bite comme toi ne doit pas résister longtemps à ses douces lèvres qui coulissent sur le mandrin et sa langue qui caresse le gland.
Christine se dit que si elle le fait jouir rapidement dans sa bouche, elle s'épargnera peut-être une suite moins douce. Elle se met à lui caresser les testicules.
- Eh mec, elle te caresse aussi les couilles comme ça, quand elle te suce ?



Christine sent soudain des mains lui saisir la taille. Elle se redresse et comprend qu'Ibrahim s'est déshabillé lui aussi et souhaite participer. Il a posé son arme sur le bord du lit, à portée de main.
- Aller, ma jolie, on va commencer.
Tout doucement, il la pénètre sans brusquer les choses. Marcus commente à l'intention de Willem :
- Eh mec, mon pote est train de faire rentrer son énorme queue dans la chatte de ta copine. Là, elle retient sa respiration, mais tu vas bientôt entendre ce que ça lui fait...
- ... HAAAaaaaaaaaaaan !



Willem reconnait bien ce gémissement de plaisir et il imagine sans difficulté le membre turgescent qui commence à labourer sa copine. Comme Christine est incapable de poursuivre sa fellation pour le moment, Marcus se relève et s'amuse à décrire à Willem ce qu'il ne peut pas voir.
- Oh, elle aime ça ! Tu verrais son visage. Ibrahim la baise lentement. Il ressort presque complètement, puis il la pénètre tout au fond. Elle se cambre bien et ses jolis nichons ballotent au rythme de cette danse embrasée.



Puis il se tourne vers Christine :
- Et toi petite pute, dis-lui à ton mec comme tu aimes ça. Dis-lui !
- Oooooh Will ! Il est si gros... si long... Aaaaaaah ! C'est tellement boooon...
Willem sent dans sa voix qu'elle est proche de l'orgasme.



- Haaaaan !!!
Willem comprend. Ce râle rauque n'est pas celui de Christine, mais il se mélange à ses cris de jouissance. L'orgasme de Christine a probablement déclenché l'éjaculation d'Ibrahim. Willem connaît cela très bien. Marcus semble bien s'amuser à commenter la scène :
- Ah merde ! Je crois que mon pote a tout lâché en elle... Ah non, pas tout... Il vient de ressortir et il continue à gicler encore sur son joli petit cul...



Ibrahim sourit :
- Putain, je ne m'attendais pas à ce qu'elle jouisse avec une telle intensité... je me suis laissé surprendre.
- T'inquiète, je vais prendre le relais. Et regarde dehors, l'autre gars dans le jardin n'en perd pas une miette !
Derrière la baie vitrée, Pascal se masturbe effectivement et ne semble pas regretter le spectacle.



Ibrahim se tourne alors vers Willem :
- Et toi, alors ? Apparemment tu as aimé l'entendre jouir. Tu arrives à la faire gueuler autant, toi ?
Willem ne répond pas. Il a honte : à imaginer sa copine prise par un noir et à l'avoir entendue jouir, il a une formidable érection.



Christine se relève :
- Laissez-le tranquille. Will, je suis désolée...
- Ne t'inquiète par pour moi, ma chérie. Le principal c'est qu'il ne te fasse pas mal. Et à ce que j'ai pu entendre, ce n'était pas le cas...
- Je... je suis désolée, Will...



Marcus, allongé sur le lit, se masturbe lentement :
- Arrête de pleurnicher. Il te dit que ça va. Et regarde, ça lui donne la gaule de t'entendre gueuler pendant que deux blacks te déboîtent.
- J'imagine que c'est votre tour ?...
- Tu vas faire plus qu'imaginer : tu vas bien la sentir.
Résignée, Christine rejoint Marcus et s'installe au-dessus de la colonne de chair, l'engageant dans son entrecuisse dégoulinant d'un mélange de cyprine et de sperme.



Marcus regarde son membre disparaître peu à peu dans le ventre de la jeune fille, tandis qu'elle retient sa respiration.
- Alors, tu la sens bien, non ? C'est autre chose que la petite quéquette de ton mec.
Christine ne répond pas, mais la grimace sur son visage laisse transparaître tout le plaisir qu'elle éprouve à s'empaler sur une telle queue. Marcus commente donc pour elle :
- Oui, tu aimes ça. Et dès que tu vas reprendre ton souffle, tu vas te mettre à couiner.



Effectivement, quand elle a emmanché l'imposante barre jusqu'à la garde, elle se détend. Marcus se met alors à la faire monter et descendre et elle se met aussi à crier de plaisir.
- Aaaaaah ! Ouiiiii ! Aaaaaah ! Ooooooh...
Ibrahim rigole et s'adresse à Willem :
- Ahahah, tu entends ça, mec ? Après ça, quand tu la baiseras, elle repensera avec nostalgie aux deux blacks qui l'ont fait grimper au rideau. Mais si le bruit te dérange, je peux arranger ça...
Willem entend effectivement que les gémissements de Christine sont désormais étouffés et il comprend qu'Ibrahim lui a fourré son membre dans la bouche pour qu'elle le suce.



Willem entend effectivement juste après les commentaires d'Ibrahim :
- Whouuu ! Tu avais raison Marcus, c'est une suceuse de première. Après quatre ans en prison, je ne me souvenais plus que c'était aussi bon...
Marcus ajoute :
- Et si ça t'a manqué aussi de déboîter le cul d'une gonzesse, je crois que tu vas pouvoir te faire plaisir.
- Yes, excellente idée !
Les bruits de sussions cessent. Ibrahim se déplace et vient probablement prendre position derrière Christine.



Ibrahim admire la croupe splendide de la jeune fille qui monte et descend lentement sur l'énorme dard de son copain. Quand il positionne son gland sur l'anus et commence à pousser, les gémissements de Christine prennent une autre dimension. D'abord, elle semble les contenir, sans doute se contractant, effrayée par l'ampleur de la pénétration. Puis ses cris montent dans les aigus et Willem devine sans peine que le noir est en train de faire entrer peu à peu son pieu dans l'étroit canal, ce qu'Ibrahim confirme :
- Oh putain, mec ! C'est le pied ! Haaaaan... Arrête de bouger un peu que je puisse aller tout au fond...



Quelques secondes de silence suivent. Willem imagine la lente et profonde intromission de la colonne d'ébène entre les fesses de sa copine. Puis Christine se met à crier de plaisir :
- Aaaaaah ! Ouiiii... Ooooooh !
Et Ibrahim exprime lui aussi son extase :
- Oh putain ! Hannn... Doucement ! Pas trop vite ma belle...



Les râles d'extase des deux hommes se mêlent aux cris de jouissance de la jeune fille. Willem n'a aucun doute sur le plaisir inouï qu'elle prend. Jamais il ne l'avait entendu crier autant et aussi longtemps. Puis un râle déchirant, celui de Marcus semble-t-il.
- Haaaaaannnnnnnnn !
Ibrahim semble tenir encore :
- Oh mec ! Je te sens te vider en elle... c'est dingue !
Tout semble alors se calmer. Ibrahim se retire et laisse Christine se dégager, s'effondrant sur le lit à côté de Marcus. Ibrahim rigole :
- Yeah ! Elle a pris son pied et toi aussi, Marcus. Ton foutre dégouline...



- Comment t'as fait pour tenir ? Elle vibrait de partout tellement elle prenait son pied. J'ai pas pu me retenir...
- C'était chaud effectivement. Je ne m'attendais pas à ce que son orgasme soit si puissant. Mais je ne vais pas en rester là.
Ibrahim écarte les cuisses de Christine et guide son énorme pieu dans la fente béante, déjà saturée de sperme. Aussitôt, la jeune fille se remet à gémir de plaisir.



- Retiens ton orgasme ma belle, sinon je vais moi aussi tout te balancer...
- Ooooh... Je... Je... Je vais venir encore...
Ibrahim essaye de ralentir la cadence, mais l'orgasme de Christine commence déjà.



Elle se tord de plaisir et Ibrahim répond à cela en la labourant frénétiquement, faisant gicler des jets de sperme sous pression à chaque intromission, avant d'éjaculer lui-même en longues saccades :
- Haaan ! Haaan ! Haaan ! Haaan ! Haaan ! Haaan ! Haaaaaan...
Willem compte sept râles qui lui laissent penser que le black a propulsé au moins autant de jets dans le ventre de la jeune fille. De l'imaginer ainsi, remplie de semence et le corps vibrant de plaisir, Willem se rend compte qu'il est lui-même en train d'éjaculer.



Marcus le voit et se marre :
- Ah mec ! Si tu voyais ça, son mec est en train d'éjaculer à l'avoir entendue se faire défoncer et d'avoir joui comme jamais.
Un coup d'œil vers la baie vitrée permet à Ibrahim de constater que Pascal a lui aussi atteint le point de rupture. En voyant le flot de sperme s'échapper d'entre les cuisses de la jeune fille, il amène à son terme sa masturbation frénétique et le sperme jaillit en plusieurs salves épaisses contre la vitre.



Ibrahim vient alors s'agenouiller au niveau de la tête de Christine. Sans qu'il ait besoin de demander, elle tourne la tête vers lui et gobe l'énorme sexe couvert de semence pour le sucer :
- Yes ! C'est bien ma belle ! Tu apprends vite.
La jeune fille s'applique à bien sucer le gland et à lécher tout le pourtour du membre tandis que celui-ci perd peu à peu de sa superbe.



- Là, c'est bien. J'espère que tu as aimé.
- Oui... beaucoup...
- Tu avais déjà joui autant ?
- Non... jamais...
- Ne le dis pas à tes copains, ils vont être jaloux...
Mais Willem a parfaitement entendu et il savait déjà qu'en penser puisqu'il avait entendu la puissance de l'orgasme de sa copine. Ibrahim retire son bandeau. Willem découvre alors Christine allongée sur le dos, cuisses écartées, du sperme coulant encore généreusement de sa jolie chatte béante et s'égouttant sur le lit. Marcus se redresse alors et, avec un regard victorieux vers Willem, fourre lui aussi son sexe dans la bouche de Christine pour qu'elle le suce à son tour.



Ibrahim se rhabille. Puis il détache Willem et ouvre la baie vitrée pour faire rentrer Pascal. Willem reste assis et regarde l'arme toujours posée sur le coin du lit. Marcus se rhabille à son tour.
- On y va mec ?
- Ouais, c'était le pied, mais les flics pourraient débouler. Cassons-nous.
Et ils repartent par la baie vitrée, oubliant le pistolet sur le bord du lit. Willem se précipite alors pour prendre l'arme, mais, en la saisissant, il se rend compte que quelque chose cloche : le métal n'est pas froid et l'arme est anormalement légère. La regardant en détail, il comprend :
- Un jouet...
Pascal rigole et Christine reste incrédule quelques secondes avant de partir dans un fou-rire nerveux. Willem n'en revient pas : ils se sont laissés abuser par un jouet !

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La villa. 07e : Réconfort


Christine, Willem et Pascal mettent un peu de temps à digérer ce qui vient de se passer. Deux évadés de prison viennent d'abuser d'eux (mais surtout de Christine), en les menaçant avec... un jouet ! Christine se lève :
- Bon, je crois qu'il ne faut pas regretter, on a pris tous les trois du bon temps si j'en crois vos deux éjaculations, les gars...
- Oui... Et, à ce que j'ai entendu, Chris, tu as aussi pris ton pied, non ?
- Oui. Je ne sais pas si c'est raciste de dire ça, mais la réputation des noirs en matière de taille de sexe n'est pas usurpée, au moins pour ces deux-là.
- L'important est qu'il ne vous ai pas fait de mal, intervient Pascal.
- Oh que non ! Que du bien. Maintenant, les garçons, je vais aller me doucher parce que j'empeste le sperme.
La jeune fille va à la salle de bain et se met sous le jet d'eau tiède pour commencer ses ablutions.



Il ne faut pas deux minutes avant que la porte ne s'ouvre et qu'apparaisse Willem.
- Christine, je peux me joindre à vous ?
- Bien sûr, Pascal. Vous allez me donner un coup de main.
- Pas de refus...
Déjà en érection, l'homme la rejoint dans la douche et se met à la savonner, en commençant par son entrejambe.



Christine soupire d'aise :
- Mmmm, il y en a un peu de tout le monde...
- Quoi ?
- Du sperme... Vous y êtes tous passés, dans ma chatte ou dans mon cul.
- Je ne devrais dire ça, car vous avez été abusée, contrainte, violée... mais j'ai trouvé tout cela terriblement excitant...
- Il ne faut pas avoir honte d'être excité et techniquement, je n'ai pas été violée car je désirais vraiment que ces deux vilains garçons me prennent.
Pascal vient se plaquer derrière elle, calant son érection entre ses globes fessiers et continuant à lui savonner l'entrejambe.
- Oh Christine, quelle salope vous êtes !



- Dites donc. On reste poli. Même si c'est vrai... En fait, je trouve surtout curieux que vous me vouvoyez...
- Une forme de respect, sans doute ?
- Oh, mais je respecte Will et je le tutoie.
Pascal n'écoute plus vraiment. Il a empoigné les deux seins de Christine et les malaxes avec ferveur. Christine, soupirant d'aise sous ses caresses, s'est légèrement décalée et a saisi le membre tendu pour le masturber lentement.



Pascal la laisse faire :
- Coquine... Vous en voulez encore ?
- Oui... c'est si bon de jouir.
- Oui. Jouir et faire jouir...
Pascal s'agenouille et lui soulève la cuisse pour glisser son visage contre sa moule et commencer à lui sucer.



Christine crie aussitôt son plaisir :
- Oh Pascal ! Ouiiii...
Pascal n'en revient bien, il sent la cyprine couler dans sa bouche et le bassin de la jeune fille avoir des convulsions significatives. Alors que l'orgasme commence à gagner Christine, Pascal se redresse et masse le clitoris dardé pour entretenir la jouissance. Christine défaille et Pascal la maintient pour qu'elle ne tombe pas. Leurs bouches se cherchent, leurs langues se trouvent.



Quand elle retrouve ses esprits, Christine s'appuie au mur et se cambre dans une invitation explicite :
- À ton tour... Prenez-moi.
L'homme ne se fait pas prier et guide son sexe tendu dans la fente généreusement offerte.



Aussitôt, Christine se remet à feuler, sentant qu'un nouvel orgasme n'est pas loin. La porte s'ouvre alors sur un Willem tout souriant :
- Et bien ? Je vois qu'il n'y a jamais de pause avec toi, Chris... Toujours pas satisfaite ?
- Aaaaah... Jamais, Will ! J'en veux toujours plus !
- Si j'avais imaginé où nous mènerait ce stage de restauration et que le fait de te passer de sous-vêtements libèrerait ainsi ta libido, je crois que je t'aurai brûlé tes soutifs et tes culottes depuis longtemps !
- Oh Will... J'ai envie de jouir... Aaaah... tout le temps...
Elle se penche sur lui pour l'embrasser tandis que Pascal continue à la prendre en levrette.



Sentant un nouvel orgasme monter, elle se décroche de la bouche de son copain et laisse le plaisir la submerger. Pascal se raidit soudain. Les convulsions de sa partenaire annihilent toute résistance de sa part et il sent la sève monter et se répandre en puissantes giclées dans la délicieux fourreau de Christine. Dans une demi-conscience, il songe que c'est nettement plus agréable d'éjaculer en Christine que sur la vitre de la baie de sa chambre. Christine se redresse et cherche à nouveau la bouche de son amant.



Puis elle se retourne vers son copain :
- Will... Il m'a encore fait jouir.
- J'ai vu...
Pascal s'agenouille derrière elle et entreprend de lui nettoyer à nouveau l'entrejambe qui suinte de son sperme encore chaud. La jeune fille demande :
- Will, combien de fois j'ai joui aujourd'hui ?
- On a perdu le compte, Chris...
Willem l'embrasse tandis qu'elle le masturbe.



Pascal a terminé de la nettoyer, mais lui administre en guise de nettoyage une finition à la langue que la jeune fille apprécie particulièrement.
- Will... il va encore me faire jouir, s'il continue...
- Tant mieux, laisse-toi faire.
- Non, je veux que ce soit toi, cette fois-ci.
Christine sort de la douche et va s'appuyer au lavabo, face au miroir :
- Viens Will, c'est ton tour.
Cuisse écartée, elle attend.



Willem ne la fait pas attendre. Il la rejoint et la pénètre. Pascal observe et commente :
- Willem, vous avez une chance inouïe ! Jamais je n'avais vu une fille aussi insatiable. Elle va vous épuiser à la tâche.
- Haaan... C'est pour ça que je me fais aider... Haaaaan.



Christine sent qu'un nouvel orgasme arrive :
- Ooooh Will... ça viens... encore...
- Oui, je le sens, ma chérie... Tu es folle !
- Oui, folle de toi. De ta bite... de toutes les bites !!!



Pascal observe sans se lasser le corps de la jeune fille à nouveau pris de convulsions... Et il voit même la queue de Willem se contracter et il devine les giclées de sperme qui déferlent dans le ventre de Christine.
- Hannn... Chris... Je t'aime tant...
Willem se retire et montre à Pascal le sperme épais qui s'échappe de la fente béante.



Pascal tend la main vers Christine :
- Venez. Je vais vous nettoyer ça.
- mais c'est celui de Willem !
- Qu'importe, j'adore vous nettoyer la chatte.
Christine le rejoint, souriante, et le laisse lui savonner doucement l'entrejambe. Il semble conscient que sa petite chatte est en feu après tant de sollicitation et se montre doux et délicat.



Quand Christine sort de la douche, Willem lui tend une grande serviette blanche.
- J'avoue que je suis subjugué par cet appétit insatiable que tu as développé...
- Tu... tu es fâché ?
- Oh, non. Tu vois que non. Mais je trouve ça complètement fou.
- Tu regrettes ?



Willem rigole :
- Regretter quoi ? Que tu me fasses jouir aussi souvent que je le veux ? Que je te vois jouir, dans mes bras ou ceux d'un autre ?
Tout en discutant, ils se dirigent vers la chambre :
- Mais tu pourrais être jaloux. Pendant le stage... Nos rencontres pendant la rando... Pascal, puis Ibrahim et Marcus. Finalement, ça en fait des bites autres que la tienne.
Elle le fait asseoir et saisit son sexe pour le masturber.



- Oui, beaucoup de bites. Mais la mienne n'est... mmmmh... pas en reste.
- Et c'est celle que je préfère.
- Tu... Tu n'aimerais pas qu'elle soit plus grosse, plus longue ?
- Une fois de temps en temps, c'est le pied de se faire prendre par un pieu conséquent, mais ce serait épuisant à la longue. La tienne, je sais que je ne m'en lasserai jamais.
Elle se penche sur lui pour l'embrasser.



- C'est bien pour ça que je ne me montre pas jaloux. J'ai confiance en toi.
- C'est en nous qu'il faut avoir en confiance, en notre amour...
Christine se glisse un peu plus bas sur le lit et se penche pour gober le gland de Willem et le sucer.



Elle est à son affaire quand Pascal arrive dans la chambre. Elle ne l'a pas entendu. Willem, lui, l'a vu entrer. Il lui fait un signe de tête, l'invitant à venir les rejoindre. Pascal, toujours nu, s'assoit sur le bord du lit et caresse la croupe de la jeune fille. Elle interrompt sa fellation et redresse la tête, souriante :
- J'ai l'impression que ma soif de sexe vous convient bien, les garçons, n'est-ce pas ?
- Oh que oui, Christine ! Vous nous permettez d'imaginer des choses qu'on pensait rester au stade du fantasme.
- Par exemple ?
- Par exemple ce délicieux petit orifice...
L'homme glisse un doigt dans son anus. Christine feule :
- Mmmmmh, c'est d'accord, mais je veux que vous commenciez par me baiser...
- Votre minette n'a pas besoin de repos ?
- Je mouille déjà temps...
Pascal avance deux doigts et les fait pénétrer lentement dans la fente effectivement dégoulinante de cyprine.



Christine reprend sa fellation sous le regard ravi de Willem qui observe Pascal prendre position derrière sa copine :
- Pascal, vous aussi vous avez de la ressource !
- Je crois que mon cher que votre copine est une sorte de catalyseur sexuel : en sa présence, j'ai l'impression d'être en mesure de faire n'importe quelle prouesse sexuelle.
Christine marque une pause et abandonne le membre turgescent de Willem quelques secondes, fermant les yeux et gémissants. Willem sourit :
- Je ne vois pas, mais j'imagine que Pascal est en train de te l'enfiler...
- Oh oui... C'est si bon...



Pascal prend son temps. Il commence à comprendre comment réagit la jeune fille, la cadence à adopter, ne pas se précipiter, et faire monter le rythme petit à petit. Allongé derrière elle, il fait pénétrer lentement sa queue tout en lui caressant les fesses. Christine gémit :
- Oh Will... C'est si bon... Toutes c'est bites...
Elle se met à le masturber vigoureusement tout en lui léchant le gland.



Au bout de quelques minutes, Christine s'interrompt à nouveau :
- Pascal... Ooooooh... Je suis prête...
Lentement, l'homme extrait son long membre tendu et vient appuyer le gland sur l'anus qui semble attendre fébrilement sa visite. C'est Christine qui donne un petit coup de reins en arrière pour engager le gland en elle et permettre à Pascal de poursuivre son intromission.



Christine ne peut s'empêcher de commenter pour Willem qui ne peut pas voir ce qu'il se passe, même s'il devine :
- Oh Will... Il va au fond... Tout au fond... Il est si gros en moi...
- Oui, ma belle Chris. Il n'a pas la bite de Marcus ou Ibrahim, mais il va te défoncer la rondelle, comme tu aimes...
Comme si ce n'était pas suffisant, Pascal trouve le clitoris de Christine et s'amuse à l'agacer.



Christine crie de plaisir :
- Will ! C'est si bon... Viens aussi !
- Je... dans ta bouche ?
- Non, prenez-moi en sandwich tous les deux !



Willem vient s'allonger le long de sa copine tandis que Pascal maintient la cuisse de Christine levée pour lui faciliter l'accès. Le garçon fait lentement pénétrer son sexe :
- Alors ma chérie ? Raconte-moi ce que tu ressens.
- Je... Vous... vous me remplissez. Je suis pleine de vos bites... Et toi ?



- Moi je sens les mouvements de Pascal. C'est étrange, mais très agréable.
Christine semble ne pas tenir plus longtemps et est submergée par un puissant orgasme qu'elle exprime avec des cris incroyables :
- Ooooh Ouuuuui ! Allez-y... Ouiiiii ! Aaaaaaaaaaaaah !
Tandis qu'elle succombe de plaisir, les deux garçons ne tiennent pas davantage et déversent leur semence dans les entrailles de Christine.



Quand ils se retirent, Christine se laisse tomber sur le dos, cuisses écartées.
- Oh les gars, quel pied ! Qu'est-ce que vous m'avez mis encore...
- J'avoue qu'après toutes ces éjaculations, je me demande comment nos couilles peuvent encore fournir tout cela.
Willem et Pascal regardent avec admiration l'épaisse semence blanchâtre qui s'écoule des deux orifices de la jeune fille.



Enfin épuisés, ils s'endorment tous les trois sur le grand lit.
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La villa. 08 : Retour

Le lendemain matin, Willem est réveillé par des gémissements. Ouvrant les yeux, il se rend compte que la chambre est baignée de lumière et que la matinée est déjà bien avancée. Il est seul dans la chambre. Il se lève. Les gémissements viennent du salon. Quand il arrive, il découvre Christine en train de chevaucher Pascal. Tous les deux sont tant à leur plaisir que ni l'un ni l'autre ne semble s'être rendu compte de sa présence.



Willem sourit. Depuis quelques semaines, sa copine est allée de découverte en découverte sur le plan sexuel et il semble qu'elle a repoussé de nombreuses limites. Maintenant, elle semble prête à profiter de chaque opportunité qui se présentera à elle et Willem ne se plaint pas de ces changements : non seulement il est le premier à en profiter et, quand ce n'est pas le cas, il adore voir Christine jouir. C'est Pascal qui se rend compte le premier de sa présence.



- Bonjour Willem. On est venu au salon parce qu'on ne voulait pas te réveiller...
Willem rigole :
- Tu plaisantes ? Tu crois vraiment que je préfère dormir plutôt que faire l'amour à Chris ?
Christine lui sourit :
- Et si tu venais nous rejoindre, Will, au lieu de discuter ?
Willem est déjà parfaitement en érection et l'offre de Christine semble être de venir occuper l'orifice qui reste libre. Il engage son membre tendu et s'enfonce lentement dans l'étroit fourreau, pour le plus grand plaisir de Christine.



Willem adore sentir son sexe coulisser ainsi dans le canal brulant et serré de sa copine, sentir le membre tendu de Pascal qui coulisse à proximité, sentir les réactions, les vibrations du corps de Christine à leurs pénétrations, leurs caresses. Mais un bruit de porte fait tourner la tête de Christine, interrompant son plaisir.



Il s'agit de Richard, le policier qui était déjà passé plus tôt dans la semaine. Il sourit en voyant la scène et referme la porte derrière lui :
- Bien ! C'est toujours un plaisir de passer ici.
Tout en se déshabillant, il s'adresse à Willem :
- Toi, le gringalet, tu me laisses ta place.
Willem s'écarte. Christine demande :
- Qu'est-ce que vous voulez ?



Richard est déjà nu et affiche une érection formidable :
- Là, dans l'immédiat, je pense que tu as bien compris ce que je voulais, non ?
Christine sait effectivement ce qui l'attend et elle ne peut réprimer un cri de surprise quand l'imposante tige du policier s'enfonce doucement dans son anus.



Willem fronce les sourcils. Il a un doute sur le plaisir de Christine.
- Chris, tout va bien ?
Mais les cris de sa copine changent de tonalité :
- Oh oui ! Putain... ils me remplissent...
Richard se met à labourer franchement Christine, lui déclenchant un puissant orgasme.



Willem est rassuré : elle prend manifestement son pied. Il est cependant surpris de la présence de Richard, sans ses collègues. Il jette un œil dans la cour et constate que la voiture est là, mais qu'il n'y a pas d'autres policiers. L'orgasme de Christine qui ne semble pas prendre fin rappelle Willem à la scène. Richard s'est immobilisé et Willem voit ses couilles, mais également celles de Pascal, qui se contractent, signe qu'ils sont en train d'éjaculer en elle.



Après avoir lâché également quelques derniers râles de plaisir, Richard se retire et regarde Willem :
- Wahou ! Quel pied ! Elle vraiment chaude ta copine. Tu ne m'en veux pas de t'avoir piqué la place ?
- Heu, un peu quand même...
- Je pense qu'elle a préféré : tu ne l'aurais pas fait gueuler autant que moi... Et puis regarde un peu tout ce que je lui ai mis !
Willem voit Christine qui se dégage du sexe de Pascal. Le sperme s'échappant de ses deux orifices montrent à Willem à quel point ses deux amants ont été généreux.



Richard se rhabille et explique la raison de sa présence :
- Bon, j'ai profité de la situation, mais venir baiser la petite n'était pas le but de ma visite, même si je dois dire que c'est toujours un plaisir.
Pascal se redresse :
- Alors qu'est-ce que tu fous là ?
- J'ai eu confirmation que les deux fugitifs sont dans le coin et je me suis dit que vous étiez un peu vulnérables. Puisque vous me l'aviez demandé, je vais vous ramener en ville pour que vous puissiez rentrer chez vous.
Christine demande :
- J'ai le temps de prendre une douche ?
- Désolé, il faut qu'on file. Essuie-toi et passe des fringues.



Pendant que Christine se passe des mouchoirs entre les cuisses, Simon file dans la chambre pour s'habiller et récupérer leurs affaires. Pascal lui ramène également une robe :
- Tenez, Christine. C'était à une ex. je pense qu'elle sera à votre taille.
Christine enfile la robe et semble bien l'apprécier :
- Elle est parfaite. Merci, Pascal.



Après avoir dit rapidement au revoir à Pascal, Christine et Willem monte tous les deux à l'arrière de la voiture de Richard. Au bout d'une bonne heure de route dans un silence pesant, Willem interroge Richard :
- Pourquoi ce soudain revirement ? Vous ne sembliez pas très enclin à nous aider l'autre fois...
- Je veux vraiment vous mettre en protection par rapport aux deux évadés. Et puis, j'ai plaisir à torturer Pascal et le priver de votre compagnie me semble plutôt efficace.
Christine commente :
- Vous n'êtes vraiment pas quelqu'un de sympathique...



- Je suis payé pour protéger les gens, pas pour être sympathique. Et d'ailleurs, il me semble bien que tu m'as trouvé plutôt sympathique quand je te l'ai mise dans le cul tout à l'heure, non ? Je suis sûr que rien que le souvenir de cette sodomie te fait mouiller...
- Pffff... n'importe quoi...
Richard oriente le rétroviseur vers les cuisses de la jeune fille.
- Montre-moi.
- Allez vous faire foutre !
- Si tu n'écartes pas les cuisses, je largue ton copain sur le bord de la route et je t'encule dix kilomètres plus loin pour t'aider à t'en rappeler.
Contre son gré, Christine écarte les cuisses pour qu'il puisse l'observer.



Mais cela ne semble pas convenir au policier :
- Tu te fous de ma gueule ? Ta robe retombe et je ne vois rien...
Christine s'amuse de le voir s'impatienter ainsi. Lentement, elle retrousse la robe pour lui révéler son abricot dénudé :
- Et là ? Vous la voyez ma moule ?



- Oui, c'est bien...
- Et vous voyez que je ne mouille pas.
- Te fous pas de ma gueule. Si tu ne mouilles pas, caresse-toi.
- Quoi ?
- Tu discutes mon ordre ?
- Non...
Christine se glisse un doigt entre les lèvres et se masturbe lentement.



Willem intervient :
- Dites ! J'ai un peu de mal à comprendre votre sens du service public, là. Vous nous protégez ou bien vous abusez de votre autorité pour réaliser quelques fantasmes à nos dépends.
- Toi, on ne t'a rien demandé et... Oh putain !
Richard arrête brutalement la voiture sur le bord de la route. Dans la forêt à quelques dizaines de mètres de là, un homme noir marche. Willem reconnaît Marcus. Celui-ci, en voyant Richard sortir de la voiture et partir en courant sans sa direction, s'enfuit le long de la route. Christine sort de la voiture :
- Merde. C'était Marcus. On fait quoi nous ?



Marcus semble distancer significativement Richard, mais ce dernier semble ne pas vouloir abandonner la poursuite. Soudain, Ibrahim sort des fourrés de l'autre côté de la route :
- Christine, monte devant tout de suite.
Christine obéit et remonte en voiture tandis qu'Ibrahim s'installe au volant et démarre. Quelques secondes plus tard, il dépasse Richard et s'arrête au niveau de Marcus pour que celui-ci monte dans la voiture. Il démarre en trombe avant même que Richard ne les rejoigne. Willem s'inquiète :
- Vous nous prenez en otage ?
Ibrahim regarde le décolleté de Christine à côté de lui :
- C'est pas une mauvaise idée, ça...



Marcus rigole :
- Non, on un point de chute à une cinquantaine de kilomètres d'ici. On y récupère quelques affaires puis on ira se perdre en ville.
- Vous ne pensez pas que Richard va prévenir ses collègues ?
- Aucun réseau sur des kilomètres à la ronde. On est tranquille pour plusieurs heures avant qu'il ne parvienne à trouver du réseau. Même s'il retourne à la villa de votre pote.
Après vingt minutes de route, ils bifurquent sur une route secondaire, puis tournent à plusieurs embranchements avant d'atteindre une maison isolée dans la campagne. La voiture garée, tout le monde sort de la voiture et Marcus, retirant sa chemise, va ouvrir la maison :
- Allez-y, entrez.



La jeune fille est un peu troublée en voyant son torse nu, magnifique. Une fois dans le salon, elle voit les regards des deux noirs posés sur elle et comprend qu'ils ont un projet la concernant.
- Messieurs, on vous remercie de nous avoir tiré des griffes du policier. Ce type était malsain et quelque peu mal élevé.
- Oh, ce n'est pas notre cas. Nous avons beau être des condamnés, nous n'en demeurons pas moins des gentlemen.
- Ah oui ? Mais pourquoi étiez-vous en prison ?



- Parce que nous sommes noirs.
- Ce n'est théoriquement pas suffisant.
- Oui, mais quand notre patron a détourné l'argent de la boîte et que ça s'est vu, il était plus simple de dénoncer des noirs que de laisser accuser le patron blanc...
Willem est curieux :
- Mais une peine pour vol ne doit pas vous avoir conduit à une peine trop longue ?
- Vous seriez surpris de la facilité avec laquelle un juge raciste peut trouver des circonstances aggravantes à deux pigeons noirs.
Christine est confuse :
- Si on peut vous aider d'une quelconque manière...
Marcus vient derrière elle et lui caresse les hanches :
- De n'importe quelle manière ?



La jeune fille interroge Willem du regard qui lui sourit déjà et devance sa question :
- Oui, Chris, je vois bien que tu en meurs d'envie. Tu peux t'offrir à eux.
- Mais toi, tu veux...
- Moi, je vais regarder. Cette fois-ci je n'aurais pas les yeux bandés et je pourrais me rendre compte si mon imagination a exagéré ou non les plaisirs que ces deux messieurs vont te donner.
Marcus commence déjà à écarter le décolleté de la petite robe pour dégager la poitrine.



Ibrahim et Marcus se mettent nus. Ibrahim dit à Willem :
- Vraiment sympa, mec. Mais, tu sais, ta copine est une gourmande...
- Je sais...
- Je veux dire, on ne serait peut-être pas de trop à trois pour nous occuper d'elle dignement.
- Dignement ? Laissons la dignité en dehors de ça. Je préfère admirer Chris accumuler les orgasmes. Je vous laisse œuvrer messieurs. Prenez soin d'elle.
Christine retire la petite robe.



Marcus, déjà en érection, vient la rejoindre :
- Tu nous veux tous les deux en même temps ou l'un après l'autre ?
- Je... je ne sais pas... Les d'abord un, puis après l'autre... On verra...
Elle sent le sexe de Marcus qui, lentement, se redresse contre sa cuisse.



Elle regarde Will :
- Tu as vu comme elle est grosse ?
- Du plaisir en perspective. Profites-en bien, Chris.
- Tu as vu ? Je fais tout juste le tour avec mes doigts...



Marcus sent un peu de crainte dans la voix de la jeune fille et la rassure :
- Ne t'inquiète pas, on va y aller doucement. Et puis, c'était bien passé hier soir, non ?
- Oui, très bien passé...
Christine commence à masturber lentement la colonne de chair.



En voyant les mamelons érigés de sa copine, Willem sait qu'elle est déjà très excitée et il imagine sans peine que la mouille suinte déjà de sa fente. Il en a rapidement la confirmation quand Marcus lui soulève une cuisse et exhibe sa moule. Doucement, il guide son gland énorme contre le sexe déjà luisant de cyprine. Lentement, il remonte et fait pénétrer son gland dans le doux fourreau. Christine gémit déjà de plaisir. La colonne de chair disparait peu à peu Marcus commence à le faire coulisser de haut en bas.



Christine gémit de plus en plus. Bien qu'il connaisse la réponse, Willem lui demande :
- Tout va bien, Chris ?
- Oh Ouiiiii ! Ouiiiiiii !
- Mais tu crois qu'Ibrahim pourrait se joindre à vous maintenant ?
- Oooooh, ouiiii... Qu'il... Qu'il vienne... Oooooh



Ibrahim, le sourire aux lèvres, vient rejoindre Christine qui crie de plaisir au rythme des pénétrations de Marcus en elle. Quand Ibrahim arrive contre le dos de la jeune fille, Marcus s'interrompt et laisse son camarade prendre position. Christine semble retenir son souffle tandis qu'elle sent l'imposante tige prendre, doucement mais sûrement, possession de son anus. Une fois engagé sur plus de la moitié de la longueur, Ibrahim commence à bouger, rejoint par Marcus.



Christine crie de plaisir. Willem voit à ses soubresauts qu'elle subit déjà un orgasme. Mais ses convulsions de plaisir déstabilisent Ibrahim qui la soutient et le font basculer en arrière, forte heureusement sur le canapé, qui accompagne confortablement sa chute. Willem sourit :
- Tenez bon, messieurs, elle a un orgasme, mais ce n'est pas terminé !
- Pour qui tu nous prends ? On commence à la connaître...
Si Ibrahim semble coincé pour bien prendre possession de l'anus, Marcus, lui, s'en trouve plus à l'aise pour labourer généreusement la fente de la jeune fille.



Comme annoncé par Willem, Christine ne se contente pas d'un orgasme. Le second la submerge rapidement.
- Ooooh Will ! Ouiiiiii ! C'est si bon !!!
Willem s'amuse de voir que même en cet instant, c'est son nom qu'elle prononce. Marcus se contracte et s'immobilise. Willem ne se fait pas d'illusion, il est déjà en train d'éjaculer en elle tandis qu'elle est toujours sous le coup de son second orgasme.



Marcus reprend son souffle, puis se retire lentement. Willem n'en revient de voir la colonne de chair interminable qui sort du sexe de sa copine. Marcus encourage son compagnon :
- Vas-y, Ibrahim, elle est toute à toi.
Le second noir la soulève alors par les fesses et la fait monter et descendre sur son énorme dard.



À chaque fois que Christine redescend sur le pieu, non seulement quelques gouttes du sperme de Marcus giclent de sa fente, mais elle se remet à crier, signe d'un nouvel orgasme. Quand son corps est à nouveau pris de furieux tremblements, Ibrahim sent toute résistance lui échapper et, dans un râle profond, il s'abandonne dans l'étroit canal, y déversant un flot de sperme conséquent. Quand la tempête semble s'apaiser pour Christine et Ibrahim, celui-ci la soulève délicatement et se dégage pour l'allonger délicatement sur le canapé. Le sperme qui s'échappe alors des deux orifices montre que les deux noirs ont été plus que généreux.



Vingt minutes plus tard, Christine sort de la salle de bain, rafraichie par une douche, avec sa joile petite robe rouge donnée par Pascal :
- C'était incroyable Will.
- J'ai vu ça... Tu as été magnifique.
- Quel dommage que ce soit des fugitifs...



- Je leur ai donné mon numéro de téléphone malgré tout. On ne sait jamais... Allez, viens. Ils nous attendent dehors à la voiture.
- On rentre enfin chez nous ?
- Oui, Chris. On rentre à la maison.
Rejoignant la voiture, Christine s'appuie au capot et dit à Willem :
- Tu sais mon amour, j'ai l'impression qu'il s'agissait d'une parenthèse dans notre vie et je regrette presque de devoir rentrer.



- Ma chérie, tu as ouvert cette parenthèse, mais j'espère qu'elle n'est pas prête de se refermer.
- Tu crois ?
- Oui, nous avons encore tant à découvrir l'un de l'autre.