Chasse aux fantômes 1 - comment cela a commencé (publié par Evevincent le 05-04-2022)
Chasse aux fantômes 2 - le combat s'organise (publié par Evevincent le 08-04-2022)
^ ---------oOo---------
Chasse aux fantômes 1 - comment cela a commencé
Sylvie se coucha tôt ce soir-là.
Épuisée, elle s'endormit au bout de quelques minutes.
Une ombre apparut.
Elle commença à grandir, se densifiant comme si elle se nourrissait de l'obscurité.
Son sixième sens ou l'aura que dégageait cette ombre réveilla Sylvie qui se redressa sur son lit, tous les sens en alerte.
Inquiète, et ayant cru entendre des bruits, elle décida de se lever pour vérifier que tout était en ordre dans son appartement.
Apaisée, elle alla se recoucher.
Mais une moiteur étouffante régnait dans la pièce et Sylvie dû repousser la couette vers le pied du lit.
Elle s'endormit aussitôt mais son sommeil fut agité.
Elle ne cessait de se tourner et se retourner, murmurant des bribes de paroles ou de mots inintelligibles...
Comme si elle était mue par une force invisible, sa main se glissa depuis son nombril jusqu'à son mont de Vénus en passant sous la dentelle légère de sa culotte.
Son corps se cambra sous cette caresse.
Sa main devint plus précise et écarta la culotte pour se glisser plus intimement sur son sexe surexcité... sa seconde main remonta son débardeur pour caresser ses seins gonflés de désir.
Un râle profond s'échappa sans qu'elle puisse le retenir.
Ses doigts tournaient, roulaient, s'enfonçaient, se tendaient, sur son sexe.
Elle se cambra de plus en plus.
Son cri fut perçant.
Son orgasme fut d'une telle violence qu'elle se réveilla d'un bond.
Dans un état second, comme si elle était hypnotisée, son regard se fixa sur un sexe bandé, sorti de l'ombre, au pied de son lit.
Son corps lança un appel pressant.
Elle avait tout à coup envie de caresses.
Envie de sexe.
Envie de jouir !
À demi inconsciente, elle sentit sa chatte ruisseler d'un désir surnaturel.
Sa main, mue par une force dont elle ne put se soustraire, se dirigea vers ce membre dressé devant elle et elle commença à le masturber.
La taille de l'objet la surprit.
Il était délicieusement raide.
Elle s'appliqua à faire courir sa main sur la moindre parcelle de cet impressionnant morceau de chair.
Sylvie laissa échapper un long gémissement de plaisir et sa bouche s'entrouvrit.
Elle avala ce gland turgescent.
Il s'enfonça plus en avant entre ses lèvres humides, cherchant le contact de sa langue.
Tandis que Sylvie entreprenait de le lécher, elle sentit un contact derrière sa tête qui la poussa à avaler complètement cette colonne de chair d'une raideur incroyable.
Le contact de sa queue tout au fond de sa gorge était un délice...
Qu'importaient ses haut-le-cœur, elle voulait le garder en elle le plus longtemps possible.
À bout de souffle, le cœur au bord de l'explosion, elle se retira ; mais ce n'était que pour mieux l'engloutir de nouveau.
Le fantôme, puisque nous pouvons désormais l'appeler ainsi, la fit s'allonger sur le dos et lui enleva sa culotte.
Un frisson parcourut tout son corps et elle ouvrit largement ses jambes.
Tout au fond d'elle, sans rien y comprendre, son plaisir montait.
Elle avait de plus en plus de mal à se contrôler...
Alternativement, une chaleur brûlante et des doigts invisibles titillaient son clitoris.
Le fantôme continuait encore et encore et il était particulièrement adroit pour la laisser juste au bord de l'extase.
Cela faisait déjà deux ou trois fois qu'il réussissait à l'empêcher de basculer de l'autre côté.
Mue par une impulsion soudaine et incontrôlée, elle se redressa pour saisir encore une fois cette bite incroyable et lui prodiguer une fellation très gourmande.
Le sexe du fantôme ne tarda pas à se redresser encore au contact de sa langue...
Il ne cessait de durcir sous ses caresses.
Sa taille devint de plus en plus imposante.
Le fantôme était sacrément bien monté.
Emportée par son plaisir, elle ne pouvait pas imaginer l'incongruité de la scène.
Une fellation prodiguée à un être invisible...
Le fantôme lui retira son débardeur et la poussa sur le canapé.
Elle se cambra autant qu'elle le pouvait.
Tout alla très vite : deux mains délicieusement chaudes se posèrent sur ses hanches et, sans avoir eu le temps de réaliser, une énorme queue s'enfonça dans son antre dégoulinant de mouille.
Elle faillit défaillir de bonheur.
- « Oh oui, salaud, prends-moi comme une chienne ! J'en veux encore ! » furent les seuls mots qu'elle put prononcer.
Le fantôme décida de changer de position.
Il s'allongea sur le lit et la força à venir s'empaler sur son pieu dressé.
Les seins de Sylvie ballotaient au rythme des coups de buttoir qu'elle recevait et qui l'amenaient d'orgasmes en orgasmes.
Il la pilonna comme un dément, sans se préoccuper le moins de monde de ses cris qui pouvaient être entendus par tout le voisinage.
Encore une fois, toute personne extérieure se serait étonnée de la position et des mouvements désordonnés de Sylvie...
Le fantôme l'allongea à nouveau sur le lit et lui remonta les jambes très haut afin d'avoir accès à sa chatte encore brûlante de désir.
Si tout à l'heure, elle avait eu l'impression de se faire défoncer par un marteau-pilon, cette fois elle avait l'impression qu'un troupeau de bisons lui ravageait la chatte !
Mais cela n'empêcha pas la jouissance de se profiler à grands pas, bien au contraire.
Sylvie jouit comme jamais elle n'avait joui.
Des frissons lui parcoururent tout le corps, de la peau jusqu'au plus profond de son sexe.
La même énergie incontrôlable lui permit de se relever pour recueillir une semence abondante et bien réelle.
En sortant de sa torpeur hypnotique et en se regardant dans le miroir de sa chambre, Sylvie ne put que constater les traces de sperme qui maculaient son visage et ses seins.
Consciente qu'elle venait d'être envoûtée par l'un de ces fantômes qui devenaient de plus en plus nombreux et pervers, Sylvie décida de se rendre chez les « Ghostbusters » afin de leur demander d'intervenir.
Même si elle aimait le sexe et si elle avait prit beaucoup de plaisir, Sylvie considérait qu'il était dangereux de pouvoir se faire envoûter ainsi, à tout moment.
La libido de chaque personne lui appartient... chaque personne doit la libérer quand elle le veut... Sylvie ne pouvait pas envisager que la libération sous emprise et non contrôlée qu'elle avait subie puisse se reproduire...
Chez les « Ghostbusters », elle fut hélas confrontée à une équipe de machos idiots qui rirent de son histoire plutôt que la prendre au sérieux.
Sylvie décida donc de prendre les choses en main personnellement et de créer les Nutbusters...
______________________^ ---------oOo---------
Chasse aux fantômes 2 - le combat s'organise
Sylvie réfléchit très vite.
Il lui fallait trouver des associées très belles et très sexy afin d'attirer le plus de fantômes possible...
Elle pensa tout de suite à Lisa qui accepta immédiatement.
La pause qu'elles prirent devant le miroir avec leur tenue de combat, après la « libération » de Chloé, démontrent qu'elle n'ont aucun souci à se faire.
Leurs charmes leur permettent d'appâter tous les fantômes lubriques qui pullulent de plus en plus dans leur ville.
Sylvie avait également demandé à Léa, sa belle amie black, et à Sophie de se joindre à elles et de se préparer.
En revêtant leurs tenues, elles purent constater que leur charme et leur sensualité n'avait rien à envier à leurs deux amies.
C'était un point essentiel pour être de bonnes chasseuses de fantômes.
Leur première intervention eut lieu à la demande de Boris, le mari de Chloé.
Sa femme semblait être possédée.
Le curé de leur paroisse ayant cru à un canular, Boris eut l'idée de contacter les Nutbusters dont il avait lu distraitement une publicité.
La situation était tellement terrifiante qu'il n'avait rien à perdre...
C'est avec soulagement qu'il accueillit les 4 jeunes femmes.
Il n'eut rien à leur expliquer car de puissants cris hystériques provenaient de l'étage.
Il leur expliqua que, devant la frénésie sexuelle de sa femme, Chloé, il avait été contraint de l'attacher fermement sur leur lit.
Même si Simon l'avait baisée 5 fois, Chloé n'était pas rassasiée et en voulait encore.
Le choix de Simon fut simple.
Soit il tombait d'épuisement physique, soit il attachait sa femme malgré ses cris et ses insultes.
Devant la porte de la chambre, Sylvie répartit les tâches.
Léa et Sophie accompagneraient Simon au rez-de-chaussée et le surveilleraient car il semblait avoir perdu tout sang froid et sa panique risquait de faire échouer leur intervention.
Lisa et elle s'occuperaient de Chloé.
Après avoir validé cette stratégie, Lisa et Sylvie pénétrèrent seules dans la chambre des époux.
Préalablement, elles avaient décidé que pour apprivoiser Chloé, elles devaient leur montrer qu'elles débordaient de la même sensualité qu'elle.
Elles dégrafèrent donc largement leurs combinaison pour exposer leurs opulentes poitrines très rassurantes.
Ainsi, Chloé ne prit pas garde à l'équipement qu'elles avaient sur le dos et qu'elles déposaient délicatement au sol.
Son regard, plein d'envie, ne se détachait pas de ces seins arrogants.
- « S'il vous plaît, donnez-moi vos seins ! J'ai envie de les bouffer ! Vous ne le regretterez pas ! Détachez-moi et vous prendrez un pied d'enfer ! » murmura-t-elle sans penser que ce dernier mot évoquait la possession dont elle était victime...
Elle avait pris un ton suppliant pour les amadouer.
Son désir de sexe tenaillait tout son corps.
- « Ne t'inquiète-pas, Chloé », lui répondit Lisa, « Laisse-nous nous déshabiller et on va s'occuper de toi... »
- « Oh ouiiiii ! Faites vite ! Dépêchez-vous... Je n'en peux plus... je veux jouir... encore... »
Une fois nues, les deux jeunes femmes vinrent s'occuper de Chloé.
Sylvie vint s'accroupir sur sa bouche.
- « Au lieu de crier et de parler, bouffe-moi la chatte ! »
- « Oh oui ! Je vais te la lécher ! Tu es déjà toute excitée ! Tu es aussi salope que moi... » répondit Chloé en se jetant sur ce sexe mouillé qui se présentait à elle.
Pendant ce temps, Lisa se glissa entre les jambes de la « possédée » et lui écarta son body blanc en dentelle.
- « C'est toi, la vraie salope ! Tu ne t'es même pas déshabillée pour baiser Boris ! Ton sexe est encore tout moite et trempé d'excitation... Laisse-moi arranger ça ! »
Lisa entreprit alors un cunnilingus endiablé (qualificatif très approprié pour cet exorcisme...) !
Afin de faciliter ces échanges et permettre à Chloé de participer activement à leur plaisir, Sylvie et Lisa la détachèrent.
Les jeux de langues purent alors se libérer.
Sylvie lécha avec avidité l'opulente poitrine de Chloé tandis que Lisa l'embrassa avec avidité.
Afin de satisfaire l'appétit et l'envie de sexe de Chloé, Sylvie s'allongea, jambes écartées.
Elle approcha la tête de Chloé afin qu'elle lui lèche la chatte avec avidité.
Pendant ce temps, Lisa lui prodiguait alternativement cunnilingus et anulingus.
Elles enchaînèrent alors un balai de positions et d'orgasmes multiples.
Sylvie léchée par Lisa, elle-même léchée par Chloé...
Elles utilisèrent tous les moyens pour obtenir du plaisir, y compris les auto-masturbations et les masturbations réciproques.
Leurs cris stridents, dus à leurs orgasmes presque continus, cessèrent avec leurs épuisements respectifs.
Elles commencèrent à se rhabiller et prirent une photo pour mémoriser ce moment qui fut le plus intense de ceux qu'elles avaient vécus.
Pendant ce temps, Léa, Sophie et Simon étaient redescendus au rez-de-chaussée.
Les deux filles s'efforcèrent de calmer l'inquiétude de Boris.
Mais les cris de jouissance qui provenaient de l'étage ne rendaient pas cette tâche facile...
Sophie eut une idée qu'elle suggéra à Léa.
Elles posèrent tout l'appareillage qu'elles avaient sur le dos et abaissèrent la fermeture éclair de leur combinaison pour offrir de magnifiques décolletés sur leurs opulentes poitrines.
Boris sortit instantanément de sa torpeur.
Son esprit et ses yeux se tournèrent vers des préoccupations et des perspectives beaucoup plus attrayantes.
Sophie et Léa dégrafèrent très vite le pantalon de Boris pour libérer une érection dèjà imposante.
- « Dis-donc, Boris, tu n'es pas aussi épuisé que tu l'as dit... je vois que tu as de belles capacités ! », s'exclama Sophie avec admiration et envie.
Les deux filles se jetèrent sur son membre dressé pour lui prodiguer une magistrale fellation à deux bouches.
Sur le point de tout lâcher, Boris se libéra pour se jeter sur les gros seins de Sophie dont les tétons pointaient de désir.
- « Laisse-moi les manger ! J'en ai trop envie... ils sont si durs et excités...! »
- « Oh ouiiii Boris ! J'ai les seins tellement sensibles que je peux jouir rien qu'avec les caresses de mes vêtements sur leurs aréoles ! Vas-y ! Lèche-les moi ! Je jouiiiiiiis !..... »
Boris se tourna alors vers Léa dont la poitrine, plus menue, n'en était pas moins excitée...
Il se dégageait de son corps un parfum musqué très érotique.
Les deux filles, très excitées, se regardèrent un bref instant pour se partager Boris.
- « J'ai trop envie de me faire bouffer la chatte... » susurra Léa d'une voie sensuelle.
- « Et moi, j'ai envie de sentir sa grosse queue au fond de moi... » répondit Sophie.
- « Nous sommes donc en phase ! » s'exclamèrent-elles avec un rire entendu.
Elles ne mirent pas longtemps à jouir grâce au sexe et à la langue de Boris mais aussi grâce à leurs caresses saphiques mutuelles.
- « J'ai envie d'une queue, maintenant... » demanda Léa.
- « D'accord, Léa, mais moi, je veux que tu me lèches la chatte comme seules les femmes savent le faire... »
Elles se mirent naturellement dans les positions qui leur permettaient tous ces plaisirs.
Boris se mit à pilonner Léa avec fougue tandis que celle-ci prodiguait à Sophie,un cunnilingus dont elle a le secret.
Le regard de Boris ne pouvait se détacher de l'opulente poitrine de Sophie qui ballottait au rythme de ses orgasmes.
Cette position était idéale et permettait à chacun de recevoir du plaisir... le plaisir qu'elle ou il désirait...
Ils partagèrent d'ailleurs sans équivoque et sans retenue leurs sensations :
- « Comme ta chatte est bonne, étroite et lubrifiée, Léa ! »
- « Oh ouiiii... Boris, je sens bien ta grosse bite,au fond de moi... continue... bourre-moi fort ! Et toi, Sophie, jouis dans ma bouche, je veux te sentir mouiller sur ma langue ! »
- « Elle est bonne ta langue, Léa, ne t'arrête pas, je vais exploser sur ton visage ! Et toi, Boris, continue à t'occuper de mes gros seins... J'adore... Je vois que tu les aimes... Vas-y, continue, embrasse-les, pétris-les, mors-les ! Ouiiiiiiii ! »
Les deux filles jouirent une nouvelle fois ensemble.
Boris se redressa.
- « Je veux jouir sur vos seins et sur vos visages...! »
- « Ouiiii, viens Boris, envoie tout ton sperme sur tes deux salopes préférées ! »
Il explosa dans la bouche de Léa qui ne put tout avaler et une partie de sa semence éclaboussa l'opulente poitrine de Sophie.
Épuisées par ce orgasmes répétés, Léa et Sophie partagèrent avec délice le sperme que Boris leur avait offert.
C'est dans cette posture sensuelle et amoureuse que Lisa, Sylvie et Chloé les trouvèrent en redescendant de l'étage.
Sylvie fit un bref compte-rendu de leur intervention :
- « Grâce à nos interventions simultanées sur Chloé et Boris, le fantôme a quitté la maison. Et Chloé a retrouvé sa sensualité naturelle. »
- « Et qu'est devenu le fantôme ? » interrogea Chloé
- « Il est parti, mais nul ne sait où... peut-être devrons-nous à nouveau l'affronter ? » répondit Sylvie, songeuse...
______________________