Urgence à domicile 1 (publié par Evevincent le 06-12-2022)
Urgence à domicile 2 (publié par Evevincent le 09-12-2022)
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Urgence à domicile 1
Histoire inspirée par [http://lisastory.free.fr/histoires.php?num=1502]
- Allo, Allo ! Dr Lisa ! Je me sens mal aujourd'hui puis-je avoir un rendez vous d'urgence ?
La voix du patient au bout du fil semble vraiment angoissée.
Mais je la reconnais, c'est celle d'un mec, plutôt mignon, que j'ai reçu en consultation il y a quelques semaines.
Son prénom est Vincent.
La consultation a un peu... « dérapé »... même si ce dérapage ne m'a pas complètement comblée, je suis en effet assez « gourmande »...

Je me demande pourquoi il me rappelle et je réponds :
- Vous savez que les urgences n'ont lieu qu'à domicile...?
- Oui je sais, et tant mieux car je me vois mal dans cet état dans votre file d'attente, je vous attends vite...
Et il me dicte son adresse.
- Mais, Monsieur, vous vous plaignez de quoi exactement ?
- J'ai un gros problème, un ami ma ramené une bouteille en souvenir de son voyage en République Dominicaine et j'en ai pris un peu trop...
- C'est quoi cette bouteille ?
- Du Bois Bandé !
- Ah oui ! Je vois le topo ! J'espère que vous n'avez pas fait ça suite à notre dernière rencontre ! Ça fait combien de temps que vous êtes dans cet état ?
- 10 heures au moins !
- D'accord ! J'arrive ! Je fais au plus vite !
- Merci Docteur !
Je rassemble mes affaires lorsque une petite voix dit derrière moi :
- Docteur, je peux venir avec vous pour cette urgence ?"

C'est Ève, ma nouvelle stagiaire !
Une très jolie petite blonde avec un air un peu enfantin !
- Oui, pourquoi pas... mais au fait, quel âge as-tu ?
- 19 ans, me répond-elle, un peu surprise par ma question...
- D'accord, change-toi vite et on y va, c'est une urgence...
Nous montons toutes les deux dans ma voiture.

Pendant le trajet nous devisons de choses et d'autre et, au détour d'une phrase, je lui demande :
- Ève, tu as un copain ?
Un peu interloquée elle me répond :
- Non Docteur.
- Et ton dernier flirt remonte à quand ?
- Je .. Je n'en ai encore jamais eu !
Je la regarde un peu surprise...
Elle a l'air très gênée et elle me dit, comme pour détourner la conversation :
- Nous voici arrivées chez notre malade... Il nous appelle pourquoi Mme Lisa ?
Avant de répondre je gare la voiture devant le domicile du patient.
Puis j'observe la petite Ève, elle est sexy avec sa jupe courte, ses talons et son joli débardeur qui laisse deviner ses seins fermes...

Je lui explique :
- C'est un homme qui a pris une trop forte dose d'aphrodisiaque, et il n'arrive pas à débander...
- Ah bon ! (sa voix semble soudain troublée), et que pouvons-nous faire ?
- La seule solution consiste à le baiser jusqu'à ce qu'il se calme ! Mais, ça ne vas pas être une petite affaire ! Le Bois Bandé, c'est pire que le Viagra ! Il faudra, sans doute, le faire jouir plusieurs fois avant qu'il ne retrouve son état normal !
Pendant que je prononce ces paroles, je vois sa main se porter presque inconsciemment à son entrejambe et j'entends sa respiration s'accélérer.
Je relève alors ma jupe, ôte mon string en dentelle, le place dans mon sac à main, et lui dis :
- Fais-en autant, tu seras plus à l'aise pour travailler...

Comme c'est une stagiaire très obéissante, elle s'exécute immédiatement et me tend sa petite culotte déjà toute mouillée.
Nous voilà toutes les deux, nos chattes à l'air et à moitié dissimulées pas nos jupes.
Nous attirons les regards des passants, ce qui renforce notre excitation.

- Tu vois, Ève, lui dis-je sur un ton professoral, rien de tel qu'une petite exhibition comme ça pour te mettre en condition avant le boulot !
- Oui ! Ça fait du bien ! Je suis toute émoustillée !
- Ça ne te gène pas de te faire déflorer aujourd'hui ?
- Non. En fait j'en ai envie depuis longtemps... et ça me permettra de découvrir, en profondeur, tous les dessous du métier ! On n'apprend pas ça à la fac !
- Bien sûr que non ! Quoique !...
Et j'ajoute :
- Dis-moi, Ève, je ne comprend pas... Mignonne comme tu es tu ne dois pas avoir de mal à attirer les mecs et tu me dis que tu en as envie ! Alors, pourquoi es-tu encore vierge ?
- C'est que j'ai un problème ! Je suis autant attirée par les filles que par les mecs, et je ne sais pas quoi choisir !
- Pourquoi choisir ? Tu es bisexuelle, c'est un merveilleux cadeau que t'offre la vie ! Tu vas pouvoir goûter à deux fois plus de plaisirs : celui d'être prise par un homme viril et celui de la douceur d'un corps de femme contre le tien.
Et, surtout, tu vas pouvoir faire quelque chose de merveilleux : partager un homme avec une autre femme et, le faire jouir ensemble, faire l'amour devant lui. Les hommes adorent ça ! Peu ont l'occasion d'y goûter mais presque tous en rêvent !
D'ailleurs, je suis certaine que ça va faire beaucoup de bien à notre patient d'aujourd'hui ! Tu vas voir cela va bien se passer ! Tu en veux un petit avant goût !?

Ce disant, mes lèvres se soudent aux siennes et nous nous embrassons passionnément.
Ma main se porte sur sa chatte qui mouille déjà abondamment et la caresse lentement.
Les regards des passants se font de plus en plus insistants...
- Docteur ! Vous embrassez bien ! Je suis heureuse que nous partagions les mêmes goûts, me dit cette petite vicieuse d'Ève, et si nous allions goûter à la bite maintenant ?
- Oui ma chérie, allons-y ! Tu me sembles prête maintenant !...
Rabaissant nos jupes nous entrons dans l'immeuble.
Nous grimpons les escaliers jusqu'au troisième étage.
Je passe derrière elle et je peux admirer ses fesses sous les mouvements de sa jupe.

On peut dire que je soigne bien mes patients !
Celui d'aujourd'hui est verni, un beau petit cul comme celui-là, ainsi que le mien qui n'est pas mal non plus, je crois qu'on va réussir à le guérir...
Nous arrivons devant la porte.
Ève me semble à nouveau nerveuse.
Je soulève sa jupe pour lui caresser doucement le cul et je lui dis :
- Ne t'en fais pas ma chérie, ça va bien se passer !

Et je sonne !
La porte s'ouvre sur notre patient, plutôt surpris de voir que je suis accompagnée.
Mais il n'est pas le seul surpris, puisqu'Ève reste scotchée sur son cache-sexe.
Manifestement le jean serrait un peu trop notre malade et il a décidé de se mettre à l'aise dans un slip assez souple...
Avec ce type de sous-vêtement, sa gène ne passe pas inaperçue, le piquet de tente est bien mis et la toile est belle et bien tendue, au point d'être presque transparente.

Manifestement ce spectacle fascine ma jeune stagiaire.
- Bonjour Dr Lisa, dit il, je vous attendais, rentrez donc. Vous êtes venue accompagnée ?
- Oui, c'est une stagiaire et je lui ai proposé de m'accompagner pour cette visite.
Ève n'a toujours pas repris ses esprits et a du mal à lui répondre lorsqu'il demande :
- Mme ? Mme ?
- Non, Mlle Ève !
- Et si nous commencions à vous examiner, rétorquais-je !
Je demande alors à notre patient de s'allonger sur son canapé.
Ève et moi, nous nous approchons de son corps.
Je m'aperçois qu'il contemple mes jambes avec avidité au fur et à mesure de mon approche puis son expression change, je devine qu'il a découvert mon sexe nu de tout sous-vêtement.

Un peu perturbé, il change d'angle de vue et contemple l'approche d'Ève.
À son petit sourire, je vois qu'il vient d'apercevoir une deuxième point de vue tout aussi excitant.
Il prend un air entendu, comme s'il comprenait soudain que ce n'est pas un hasard que deux ravissantes femmes viennent ausculter sa bite en offrant leurs chattes à ses yeux.

Ève et moi ne sommes plus qu'à 20 cm de lui et son regard fait des allers-retours entre nos deux minous... il doit faire des comparaisons...
J'ai remarqué, dans la voiture, qu'Ève et moi, nous avons toutes les deux la chatte complètement épilée.
Je ne sais pas si Ève mouille autant que moi...
- Ce n'est pas bien d'exciter ainsi les hommes, Mesdames... dit il !
Et là, je suis surprise de la réponse d'Ève :
- Mais, Monsieur, ce n'est pas nos petites chattes qui vous ont mis dans cet état !
Ève tire alors un grand coup sur son caleçon, la bite entraînée par l'élastique revient se cogner sur le bas ventre du mec.
Ève n'a plus froid aux yeux et a repris largement confiance.

En tant que Docteur, je commence mon travail.
Je sors de ma sacoche un de mes outils de travail, le stéthoscope.
Je demande à Ève de lui tenir la bite pour que je puisse écouter d'un peu de plus prés, et je rends mon diagnostic :
- Elle est plutôt en forme cette « petite », mais un peu trop calme à mon goût. Depuis que vous êtes comme ceci l'avez vous utilisée un peu ?
- Pas vraiment, Mme Lisa, je devais... mais voilà...
- Bon je crois que j'ai un remède à ceci, il va falloir mettre cet engin a rude épreuve.
- C'est à dire quoi exactement ? Je dois me branler intensément ?
- Oui, ça pourrait être ça, mais ne croyez-vous pas que l'on pourrait faire autre chose avec ce joli monstre ?
- Ah je vois, vous êtes coquines, vous deux !
- Eh oui, nous allons te baiser chacun notre tour ! décrète Ève... Jusqu'à ce que la situation redevienne normale !

- Bon ! dis-je à ma jeune stagiaire, nous allons commencer par un peu de « buccothérapie » ! Je vais te montrer. Regarde ! Tu commences à caresser doucement les couilles, comme ça. Vas y n'aies pas peur !
Je prends une de ses boules en main et Ève place ses jolis doigts aux ongles fins et vernis sur l'autre.
Après une brève hésitation elle se met à la caresser doucement.
- C'est doux ! dit-elle
- Tu n'as jamais touché de couilles ? demande Vincent, étonné...
- Non, répond-elle, ce sont mes premières, mais il y a longtemps que j'en rêve !
- Alors, profites-en ! répond-il.
Je reprends ma leçon :
- Maintenant, tu les prends doucement dans la bouche et tu les fais rouler sous ta langue, comme ça !

Je joins le geste à la parole, bientôt imitée par Ève, et nous voilà toutes les deux à les déguster ensemble.
- Ensuite, Ève, il faut bien explorer les environs, on peut soigner l'organe malade en traitant les zones voisines.
Je descends alors ma langue entre ses fesses, jusqu'à l'entrée de son anus dans lequel je tourne ma langue doucement.
Je cède la place à Ève qui, passant une fois de plus d'une certaine réserve à une audace incroyable, se précipite pour lui laper la raie et lui sucer le cul avec une gourmandise qui m'estomaque.
Pendant ce temps, je commence à donner quelques petits coups de langue sur le gland.

Il est temps de revenir au cœur du sujet.
Je montre à Ève comment faire courir la langue de haut en bas et de bas en haut sur la verge de notre malade.
Nous la léchons, chacune d'un coté, jusqu'à ce que nos langues viennent courir sur son gland que nous nous partageons comme une glace à la fraise.

Puis, au hasard de notre dégustation, nos langues se touchent et Ève, subitement, abandonne la bite pour coller ses lèvres aux miennes.
Nous nous embrassons longuement.
Sa bouche est déjà pleine de l'odeur de la queue et de du cul de notre patient qui finit par protester :
- Dites-donc les filles, vous n'avez pas finis votre boulot ! Vous pourrez vous amuser après !

Il a raison !
Nous ne pouvons pas commettre une « non-assistance à bite en danger », mais il faut que je montre d'abord à Ève comment sucer.
- Tu vois, petite Ève, une bite c'est très délicat ! Tu dois la sucer avec fermeté mais aussi beaucoup de douceur, sinon ça peut faire mal. Masque bien tes dents avec tes lèvres, ta bouche doit être un nid aussi douillet que ta chatte pour ce petit oiseau !

Je montre ainsi à Ève comment le sucer, longuement, doucement, profondément.
J'aspire sa queue et joue de ma langue dessus.
Puis je cède la place à Ève qui se débrouille plutôt bien pour sa première fois vu l'expression satisfaite du patient.
- Docteur Lisa ! me dit-elle, c'est si bon une bite ! Mais ça m'a mis la chatte en feu !
Je lui dis alors de se mettre dans une position de travail plus ergonomique.
Elle s'allonge donc à quatre pattes au dessus du mec, enfermant son visage sous sa jupe pour qu'il puisse lui bouffer le minou...

Elle reprend sa fellation en faisant de réels progrès dont témoignent les râles sonores de notre ami.
Elle ne s'interrompt que pour pousser à son tour des petits cris aigus de plaisir, toute heureuse des caresses de la langue masculine sur sa moule encore vierge.
De mon coté j'appuie son travail en m'occupant à nouveau de l'anus, des couilles et des rares morceaux de bite qu'elle veut bien laisser à ma portée.
Tout à coup, une véritable fontaine de sperme jaillit de la queue.
Ève a un mouvement de recul, mais je lui dis :
- Mais non, ma chérie, goûte ! C'est très bon et excellent pour la santé ! Ce serait dommage de gâcher tout ce bon foutre bien chaud !

Ève avale, d'abord timidement quelque goûtes de sperme :
- Mmmm !! C'est salé ! Mais c'est bon !
Puis elle se met à laper goulûment la bite si vite que je dois me rabattre sur les quelques goûtes qui restent pour avoir ma part de dessert.

Mais ce n'est pas grave, car il va manifestement y avoir du rab...
Malgré cette superbe éjaculation, sa queue est restée, droite comme un I et toute aussi dure qu'avant...

à suivre...?^ ---------oOo---------
Urgence à domicile 2
Histoire inspirée par [http://lisastory.free.fr/histoires.php?num=1502]
[Résumé de l'épisode précédent :]
Je suis le Docteur Lisa.
Je suis appelée en urgence au domicile de l'un de mes patients, Vincent.
Ma stagiaire, Ève, encore vierge malgré son âge et son charme, me demande de m'accompagner.
Il s'avère que Vincent souffre de priapisme suite à l'ingestion d'une trop grande quantité de Bois Bandé.
S'ensuit une initiation qui montre qu'Ève est loin d'être farouche, malgré son innocence.
- Ça n'a pas marché Docteur Lisa ! dit Ève d'une voix faussement dépitée.
- C'était à prévoir, la médecine est une école de patience ! Il faut recommencer jusqu'à ce que ça marche !
- Cette fois-ci, j'ai trop envie qu'il me la mette dans la chatte, répond-elle d'une voix guillerette...
- C'est d'accord, je crois qu'une vraie « pénétratothérapie », associée peut-être à une « enculothérapie », devrait donner un meilleur résultat...

- Comme c'est agréable de se faire bouffer la chatte d'une telle manière, vous devriez essayer Docteur Lisa, dit, toute épanouie, ma stagiaire.
Je prends alors sa place au dessus du visage de Vincent alors que celui-ci, toujours excité, ne peut s'empêcher de se masturber.

- Docteur! Je commence par quoi la « pénétratothérapie » ou l'« enculothérapie » ? demande Ève de sa petite voix naïve d'élève appliquée.
- Comme tu veux, mais je pense que tu devrais essayer la « pénétratothérapie », vu que tu n'as jamais pratiqué ses deux traitements... et fais attention, elle est quand même belle cette bite, elle a une belle circonférence et elle est longue !
- Merci du conseil, Docteur !
Ève prend alors la queue dans sa main droite et la dirige vers sa vulve.
Elle a un peu de mal a introduire le sexe dans sa chatte et je décide de l'aider :
- Ève, lui dis-je, lâche la queue de ta main droite ! Je vais la prendre et la diriger vers ta chatte et regarde moi !

Nous recommençons à jouer ensemble avec nos langues, mais cette fois notre client, comprenant que cette astuce permet à Ève de se relâcher un peu ne proteste pas.
Je lui dis alors :
- Descends tout doucement, tu dois la sentir grappiller les cm de ton vagin au fur et à mesure !
- Docteur je sens bien les cm passer mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir !
- Oui, tu n'es qu'à la moitié, mais n'essaye pas pour l'instant de descendre a fond, commence plutôt à remonter puis à redescendre tout doucement...

Notre patient ne se plaint pas, sentir sa queue bien serrée dans cette petite chatte n'est pas pour lui déplaire.
Pendant ce temps, je m'excite sur son visage, il darde ma chatte de sa langue tendue et je joue avec mon bassin pour me branler grâce à cette langue vorace.
Il ne bouge plus, il laisse ma chatte venir à la rencontre de sa langue !
C'est délicieux mais avec un petit goût de trop peu !
Je lui donne donc mon petit trou à sucer!
Je sens qu'il en profite un peu, il me l'humidifie jusqu'à ce que je lui redonne ma chatte à lécher.
Et là, il s'occupe principalement de titiller mon clito, je sens sa bouche me le sucer, me le mordiller, le branler avec sa langue!
J'aime !
Je suis aux anges et je commence à pousser des petits cris.
J'adore que l'on s'occupe de mon clito et je comprends qu'il le trouve à son goût...
Il s'y attarde longtemps tout en se faisant branler la bite par la chatte d'Ève.

De son coté, Ève prend beaucoup de plaisir puisque mes petits cris sont à peine audibles par rapport aux siens.
Je sens notre patient très excité par nos cris de plaisir qui se répondent.
Soudain, Ève pousse un grand cri.
J'ai peur que les voisins ne s'en aperçoivent !
Mais notre hôte ne semble pas s'en inquiéter.
En fait, sa bite vient d'être entièrement engloutie dans la chatte de ma stagiaire.
Mais cette dernière ne s'arrête pas à ce stade puisque elle enchaîne avec des mouvements amples et rapides de son bassin !

Avec émotion et un peu de nostalgie en pensant à mon propre dépucelage, je regarde cette queue se mouvoir dans ce jeune vagin et je lui dis :
- Tu vois, Ève ! C'est super le sexe!
- Oui Docteur, j'adore déjà ! Monsieur, ça ne vous serre pas trop ?
- Un peu, répond notre malade, mais prenez du plaisir, ma maladie ne se guérira pas comme ça, et je suis très content que ma bite ait servit à vous dépuceler !
- Mais, Monsieur, je ne suis pas encore complètement dépucelée, je n'ai dépucelé que ma bouche et que ma chatte, il reste encore mon cul !
- C'est vrai, mais là je changerai de position pour vous prendre d'une autre façon.
- Oh ouiii, je suis impatiente !

Il faut que je reprenne le dessus sur ma stagiaire qui commence à en prendre un peu trop à son aise...
- C'est moi le Docteur ! C'est moi qui prescrit et là, je vois que ta « pénétratothérapie » n'a pas eu trop d'effet, donc tu permets que je prenne ta place !
- Sans problème Docteur, je ne voulais pas vous offenser, répond-elle un peu penaude.
Je suis un peu sur les nerfs...
À la fois pour me défouler et pour montrer à cette petite apprentie pute insolente ce qu'est une vraie « pénétrothérapie », je m'empale à fond sur la bite et je commence des va-et-vient rapides

Notre patient sent la différence, rien de tel que le métier !
Je sens sa bite en feu.
Je décélère.
Je remonte en haut de sa verge et je lâche tout, c'est agréable !
Je me redresse et je me laisse retomber rapidement sur son pieu et je me masturbe activement sur cette masse chaude et palpitante...
- Ève ! redonne ta chatte à bouffer à notre malade, tu ne vas le laisser comme ça quand même !
Je vois alors Ève se rapprocher.
Elle se met à califourchon sur lui et vient poser ses fesses rebondies sur son visage.
- Mmmm! Sa chatte dépucelée est d'autant meilleure ! dit-il la bouche pleine...

Vu sa position, je me retourne et j'en profite pour lui malaxer ses seins.
J'ai une vue agréable sur sa chatte gonflée par le plaisir.
J'interromps ma « pénétrothérapie » et je laisse sa bite à l'air quelques instants pour la glisser entre mes seins.
Je branle activement la verge avec mes seins...
C'est l'une de mes spécialités et je maîtrise parfaitement le geste.

Alors que ma stagiaire est en train de décoller d'extase en se faisant manger le cul, je lui demande :
- Ève, tu peux me passer ma sacoche, s'il te plait ? J'ai les mains prises...!
- Oui, Docteur, Tenez !
- Pose-la là, merci !
Ève retourne à son monde de plaisir buccogénital et n'a pas l'air de s'intéresser à la sacoche ni surtout à ce que je vais faire.
Je prend un tube dans mes mains, j'en en mets sur le bout de mon majeur et, 2 secondes après, Ève se redresse brusquement.
- Ne t'inquiète pas, Ève, pour te dépuceler le cul il est préférable que je prépare le chemin !
Je frictionne alors son anus avec mes doigts imbibés de lubrifiant, puis je commence à introduire le début de mon doigt.
Mais là, ça a du mal à entrer malgré les léchouilles de notre ami.
Je prends alors le tube et je verse du lubrifiant dans son anus.
J'introduis aussitôt mon doigt et je commence des va-et-vient...
Son cul commence à se dilater petit à petit, j'introduis alors un deuxième doigt puis je continue mes mouvements de va-et-vient.

Ève pousse alors des petits cris et je lubrifie de nouveau son petit anneau.
J'y vais maintenant avec trois doigts et la dilatation commence à se voir à l'œil nu.
C'est alors que notre patient se rappelle à notre souvenir :
- Docteur et ma bite, on en fait quoi ?
- Attendez un peu, vous allez devoir enculer cette petite... Je la prépare et maintenant elle est prête à se faire défoncer le cul !
Je prends donc Ève dans les bras pour la mettre par terre.
- À quatre pattes, Ève, le cul en l'air et le visage collé au parquet !
Elle obéit docilement.
- Docteur, vous avez bien travaillé, dit le patient, son petit trou est bien dilaté et n'attend que ma bite...
Il introduit quand même trois et quatre doigt et commence à la branler pour voir sa réaction.
- Je vois que tu aimes ça, Ève... dit-il
- Oui, Monsieur, c'est encore meilleure dans le cul que dans la chatte...
- Mais, t'es vraiment une petite chienne, Ève ! Attends que je t'encule !
- Vas-y défonce moi le cul !

Sachant qu'Ève est vierge de ce coté, il introduit sa queue avec précautions dans son cul, mais à nouveau Ève réclame :
- Vas-y qu'est ce que tu attends, défonce moi !
Pendant ce temps je me branle sur le canapé et je regarde la bite entrer et sortir de son cul.
Il la défonce sans retenue, elle gémit mais elle en redemande...
Il active ses va-et-vient et les gros coups de bite et je sens qu'il n'en peut plus, il va éclater !

Le langage vulgaire d'Ève, cette petite enculade et ma branlette espagnole l'ont mis à rude épreuve !
- Docteur, venez vite ! J'ai quelque chose pour vous !
J'accoure vers lui.
- Tenez ! Tout à l'heure, Ève ne vous a rien laissé, voici donc ma semence !
Je lui réponds alors :
- Envoie la sauce au fond de ma gorge !
- Tiens ! Bois, salope !
Je reçois toute sa semence dans ma bouche.
Je joue alors avec dans ma bouche, savourant le goût chaud et salé sur mes papilles, puis j'ouvre la bouche pour montrer à Ève tout le foutre que j'ai sur le bout de ma langue...
Quelques gouttes tombent sur ma poitrine.
- Tu vois ! lui dis je, tout à l'heure, tu ne m'as rien laissé, et là, c'est à mon tour...!

Malgré cela, la bite de notre ami reste toujours au garde a vous...
- Que fait-on maintenant, Docteur , demande t-il.
Je réponds :
- On continue, mais cette fois-ci tu vas travailler un peu plus...
- Ok Docteur, dit notre patient, je vais travailler un peu plus et je vais commencer par vous...
Ce disant, il s'allonge sur le canapé, sur le dos, puis m'attire à lui pour un petit « tête à queue » .
Je l'introduis dans ma bouche puis il me prend par la taille et nous voilà en position de 69.
Il a ma chatte en bouche et moi sa bite.

Cette petite pute en herbe d'Ève, voyant nos acrobaties, ne veux pas être en reste.
Nos langues se rencontrent autour du membre de Vincent, nos lèvres se ressoudent un instant mais je lui fait sentir que je ne souhaite pas lui laisser pour l'instant la dégustation de mon sucre d'orge préféré !

Elle décide donc de porter assistance à Vincent qui me lèche la chatte avec avidité.
Tandis qu'il s'occupe de mon minou, elle me prodige un annulingus très intime.
C'est si bon de sentir leurs langues se succéder entre mes jambes !

Ils échangent ensuite des baisers salés, parfumés au goût de ma chatte et de mon cul...
- Elle a bon goût, n'est ce pas ? dit-il à Ève.
- Exquise, répond-elle, j'adore le goût de sa chatte ! presque autant que celui de ta bite !
Cette petite cochonne semble avoir perdu toutes ses inhibitions.
Il est temps de parfaire sa formation, après tout je suis sa maîtresse de stage...
- Ève ! Peux-tu aller chercher ma sacoche s'il te plaît ?
Même si elle rechigne à abandonner sa dégustation, elle s'exécute et pose la sacoche ouverte sur le canapé à coté de moi.
- Sors donc le gros « thermogode », tu vas me prendre la température !
Le « thermogode » en question est un gros godemiché équipé d'un capteur de température, un des mes instruments préférés.
- Vous voulez la température buccale ou rectale Docteur ? demande-t-elle
Je lui réponds sur un ton professoral et un peu agacé :
- Tu vois bien que j'ai la bouche occupée !
Après avoir enduit le « thermogode » de lubrifiant, elle me l'introduit doucement dans le cul tout en me léchant ma chatte inondée.

Consciencieusement, Ève accélère son va-et-vient, dilatant de plus en plus mon cul.
- Je vous encule bien maîtresse ? demande Ève avec une petite voix d'écolière qui contraste avec la crudité de son langage.
- Oui c'est bon Ève ! Éclate-moi bien le cul et tu auras une bonne note !
Elle continue en me prodiguant un cunnilingus avide et pervers.
C'est trop pour moi, la jouissance arrive avec violence et je hurle de plaisir.

Épuisée, je m'effondre avec un râle sur le canapé ou je reprends mon souffle, repue, avec toujours le gode dans le cul.
Ce n'est manifestement pas leur cas : la bite de Vincent, toujours tendue comme une hampe de drapeaux, et les halètements frénétiques d'Ève, qui ne peut s'empêcher de se toucher la chatte, montrent qu'il ne sont toujours pas rassasiés.
Alors, Ève me retire le « thermogode » d'un geste brusque.
Cela produit un « pop » sonore et m'arrache un frisson intense.
Ils ont maintenant une superbe vue sur mon anus dilaté et je vois à leurs regards et au frémissement de la queue que ce spectacle les inspire.
Ève regarde l'indication du « thermogode » et dit :
- Docteur ! Je confirme que vous êtes une chaude lapine !

Puis elle range l'engin dans ma sacoche et commence à la fouiller à la recherche d'autres trésors.
Finalement elle en extrait un gode ceinture.
- Qu'est ce que c'est ? demande t-elle
- Cela me permet de jouer le rôle du mec, je me le passe autour de la taille, avec la grosse bite extérieure je peux baiser la fille et ses mouvements sont transmis au petit gode interne qui me rentre dans la chatte et me titille le clito...
- S'il vous plait, Docteur, montrez-moi, baisez-moi avec ! demande Ève...
Bien que fatiguée, j'accepte et j'enfile l'engin.

Notre patient proteste une fois de plus en affirmant qu'avec nos jeux saphiques nous l'abandonnons à son triste sort...
Ève lui répond :
- Dites-donc, j'ai trois trous, et le Docteur aussi, il faut bien qu'ils servent !
A ce moment elle le pousse sur le canapé.
Il se retrouve sur le dos avec la bite en l'air.
Ève se place à califourchon sur lui et s'empale d'un coup sur son dard.
Sa chatte est tellement trempée qu'il y rentre comme dans du beurre.
À mon tour, je me place derrière elle avec mon engin et je ne lui arrache qu'un petit cri lorsque je l'encule à fond.

La voilà prise en sandwich entre nous deux :
- Oh, Docteur Lisa ! Oh Monsieur ! C'est si bon deux bites à la fois ! Baisez moi ! Défoncez moi ! Enculez moi !
Encouragés par ces paroles obscènes toujours prononcées avec sa voix naïve de petite fille, nous nous mettons ensemble à l'ouvrage, coordonnant nos coups de butoir.
Ce gode est vraiment très bien conçu, les ondes des coups de bites du mec se transmettent à travers la fine paroi d'Ève à mon membre de plastique qui les transmet à son tour jusqu'au fond de ma chatte.
J'ai vraiment la sensation de lui pénétrer le cul.
Au mouvement d'avant en arrière de notre double pénétration j'ajoute un mouvement de basculement latéral, à la fois pour donner plus de sensation à ma stagiaire mais aussi pour permettre à notre patient d'accéder à mes seins.
Deux paires de seins s'agitent devant lui et réclament ses caresses...
Mais il y a aussi trois bouches et trois langues qui se cherchent, se trouvent, jouent ensemble, se perdent puis se retrouvent.
Nos trois corps n'en font plus qu'un, entièrement consacré au plaisir.
Ève hurle :
- Oui !! Plus fort !! Défoncez-moi ! Écartelez-moi la chatte et le cul !
Encore deux ou trois coups de hanche de notre part et c'est par un cri aigu et obscène que notre petite chienne exprime sa jouissance.
J'espère que ses voisins sont compréhensifs...
En tout cas, nous lui faisons de la pub auprès de ses voisines !

Nous nous retirons tous les deux, mais Ève ne souhaite pas en rester là :
- À mon tour de vous baiser Docteur ! Donnez moi votre bite...!
Je suis si fière de mon élève et de ses performances que je ne relève même pas le ton autoritaire avec lequel elle s'est adressée à moi, peu compatible avec nos relations hiérarchiques...
J'enlève mon accessoire pour le lui donner.
Sitôt équipée, elle me dit, toujours sur le même ton :
- Allongez-vous sur le dos, sur le canapé...
Je m'exécute, écartant les jambes, prête à accueillir sa bite factice.
Ève se tourne alors vers le patient :
- Mets-toi derrière moi, nous allons la baiser ensemble cette salope !
À ce moment là, elle se glisse entre mes cuisses et fourre le gode dans ma chatte d'un coup brutal qui m'arrache un cri.
Déchaînée elle me dit :
- Tu aimes ça, chienne ! Mais tu vas voir ! À deux, on va te bourrer encore plus fort !
Derrière elle, le mec examine son petit trou, plus dilaté que jamais qu'elle lui présente en offrande comme une invitation.
Il comprend alors ce qu'elle veut dire et il s'enfonce en elle, l'enculant à fond d'un coup sec.
- Oui...! C'est bon ! dit-elle, encule-moi bien ! Et maintenant défonçons cette petite pute !
« Petite pute toi-même », me mets-je à penser tout en me disant que, pour moi, il s'agit d'un compliment.
Vincent alterne ses pénétration entre le cul et la chatte d'Ève afin de lubrifier sa bite, en effet, son sphincter, récemment défloré est encore très étroit.

Maintenant, ils se mettent à deux pour me défoncer, unissant leurs forces et leurs coups de reins.
J'ai l'impression d'être prise par un taureau.
Par moment j'ai aussi le sentiment que la bite du mec traverse Ève pour venir me baiser.
Ève, elle aussi, est hystérique...
Elle nous abreuve de paroles obscènes entre deux halètements et est couverte de sueur.
Notre patient redouble ses coups de butoir également au comble de l'excitation.
Cette fois-ci, la jouissance est simultanée pour nous trois, un concert de râles sonores marque la fin de la chevauchée fantastique.

Nous restons un moment hébétés dans cette position, puis Ève se retire de moi et il se retire d'elle.
Elle tourne son dos vers moi et me présente son cul.
Les bords de son anus sont rouges et, du trou béant et extraordinairement dilaté, coule la manne blanche du sperme.
Je me précipite pour lui lécher le cul et déguster cette liqueur.
De son coté, Ève nettoie de sa langue se qui est resté sur la bite.
Elle le fait avec ardeur.
Le goût musqué de son cul se mêlant à celui du sperme du mec semblent l'exciter.

La bite est bientôt parfaitement nettoyée, mais toujours raide !
- Ce n'est pas vrai !, dit Ève en reprenant son ton de petite fille boudeuse, il ne débande toujours pas, on ne vas pas y arriver !
- Ressaisis-toi, Ève, tu es une professionnelle, ne te laisse pas si facilement décourager, on va y arriver, je sens qu'on est prêt du but !
- Mais oui !, dit-il à son tour, je sens que ça va déjà mieux, même si ça ne se voit pas encore... encore un petit effort et nous allons y arriver !
Pour tout réponse, Ève se remet à fouiller dans ma sacoche, en quête d'un ustensile susceptible de le mener à la guérison.
Elle en sort un gode double symétrique, avec une queue à chaque bout.
- Ouah ! Sympa dit elle !
- Ève, voyons ! Il faut penser à notre patient !
- Mais j'y pense !, répond-elle avant de me chuchoter son idée à l'oreille.

Je la trouve excellente et nous décidons de la mettre en application tout de suite.
Tout d'abord, nous lui demandons de mettre une musique douce et lascive.
Nous commençons par nous préparer.
En position de 69 sur le canapé nous nous bouffons longuement, mutuellement la chatte pendant qu'il nous regarde en se branlant.
Puis nous nous asseyons l'une en face de l'autre, les jambes écartées.
J'introduis alors une extrémité du gode dans la chatte d'Ève puis je m'empale à mon tour sur l'autre extrémité.

Nous nous rapprochons de plus en plus l'une de l'autre, accentuant la pénétration du gode dans nos moules et mettant ainsi nos seins en contact pour qu'ils roulent l'un sur l'autre.
C'est alors que nous lui demandons de venir se placer entre nous.
Je m'empare de sa bite et la place entre nos deux poitrines.
Lentement, au rythme de la musique, nous malaxons son sexe entre nos deux paires de seins toutes chaudes.
Parfois sa queue échappe à ce doux écrin, elle a alors droit à un coup de langue ou une caresse buccale avant d'être ramenée dans son nid douillet.
Nos mains, qui ne restent pas inactives, courent sur ses fesses, caressent son anus et ses couilles.
En même temps, nous nous donnons des coups de hanche pour faire remuer le gode dans nos sexes, ce qui a pour effet de comprimer la bitte toujours glissée entre nos seins.

Cette double branlette espagnole dure longtemps, jusqu'à ce qu'enfin une fontaine de foutre jaillisse de sa queue pour nous inonder la poitrine.

Nous nous léchons alors les seins mutuellement pour pouvoir déguster encore sa semence, mets auquel nous sommes maintenant habituées mais dont nous ne nous lassons pas.
Après avoir échangées toutes les deux un long baiser salé, nous nous tournons vers lui et vers sa queue qui enfin pend entre ses jambes.
- Tu vois, Ève, qu'il ne faut pas désespérer, dis-je à ma stagiaire, tu en verras d'autre dans ta carrière...
- Merci, Docteur Lisa, merci Ève, nous dit-il, je me sens mieux maintenant, je vais pouvoir rentrer dans mon pantalon enfin !

Je lui fais son ordonnance pour la sécu et la mutuelle et nous prenons congé car nous avons d'autre patients à visiter.
- Au revoir, Monsieur, lui dis-je, à l'avenir, évitez le Bois Bandé...! Mais bon, en cas de rechute, n'hésitez pas à nous appeler, ce sera toujours un plaisir !
Comme pour appuyer mon propos, Ève jette un dernier regard gourmand sur sa bite maintenant assagie, avant de refermer la porte derrière elle.
Une fois sur le palier je fais la leçon à Ève :
- Je te signale que tu ne dois pas lui procurer à nouveau du Bois Bandé, c'est contraire à la déontologie !
Elle éclate de rire et tombe dans mes bras.
Nos lèvres se cherchent se trouvent, et nous nous embrassons longuement.
