Angela - épisode 1 : Cap au Sud ! (publié par Boris le 17-07-2023)
Angela - épisode 2 : Villa de rêve (publié par Boris le 01-08-2023)
Angela - épisode 3 : Visite de la Villa (publié par Boris le 19-08-2023)
Angela - épisode 4 : Signature de l'état des lieux (publié par Boris le 01-09-2023)
Angela - épisode 5 : Initiation au nudisme (publié par Boris le 15-09-2023)
Angela - épisode 6 : Délicieuse ascension (publié par Boris le 02-10-2023)
Angela - épisode 7 : Petite pause crapuleuse (publié par Boris le 17-10-2023)
Angela - épisode 8 : Réveil militaire (publié par Boris le 01-11-2023)
Angela - épisode 9 : Visiteurs importuns (publié par Boris le 15-11-2023)
Angela - épisode 10 : Gâterie à la piscine (publié par Boris le 01-12-2023)
Angela - épisode 11 : Repas sur la terrasse (publié par Boris le 15-12-2023)
Angela - épisode 12 : Marée Haute (publié par Boris le 02-01-2024)
Angela - épisode 13 : Faute avouée (publié par Boris le 16-01-2024)
Angela - épisode 14 : Mise au point (publié par Boris le 01-02-2024)
Angela - épisode 15 : Réparation matinale (publié par Boris le 16-02-2024)
Angela - épisode 16 : Voyeurisme discret (publié par Boris le 01-03-2024)
Angela - épisode 17 : Quiproquo (publié par Boris le 15-03-2024)
Angela - épisode 18 : À distance (publié par Boris le 01-04-2024)
Angela - épisode 19 : L'île aux trésors (publié par Boris le 15-04-2024)
Angela - épisode 20 : Coutumes locales (publié par Boris le 01-05-2024)
Angela - épisode 21 : Ablutions (publié par Boris le 16-05-2024)
Angela - épisode 22 : Tentative (publié par Boris le 01-06-2024)
Angela - épisode 23 : Apéritif (publié par Boris le 15-06-2024)
Angela - épisode 24 : Mise à l'épreuve (publié par Boris le 01-07-2024)
Angela - épisode 25 : Sable chaud (publié par Boris le 15-07-2024)
Angela - épisode 26 : Jeu de plage (publié par Boris le 01-08-2024)
Angela - épisode 27 : Cache-cache (publié par Boris le 15-08-2024)
Angela - épisode 28 : Politesses (publié par Boris le 01-09-2024)
Angela - épisode 29 : Fête de folie (publié par Boris le 15-09-2024)
Angela - épisode 30 : Songes intenses (publié par Boris le 01-10-2024)
Angela - épisode 31 : Petit déjeuner tardif (publié par Boris le 15-10-2024)
Angela - épisode 32 : Excitation progressive (publié par Boris le 15-01-2025)
Angela - épisode 33 : Cache-cache dans le parc (publié par Boris le 01-02-2025)
Angela - épisode 34 : Locataire potentiel (publié par Boris le 13-02-2025)
Angela - épisode 35 : Visite guidée (publié par Boris le 01-03-2025)
Angela - épisode 36 : Double plaisir (publié par Boris le 15-03-2025)
Angela - épisode 37 : Baignade matinale (publié par Boris le 01-04-2025)
Angela - épisode 38 : Arrivée des militaires (publié par Boris le 15-04-2025)
Angela - épisode 39 : Échange de services (publié par Boris le 01-05-2025)
Angela - épisode 40 : Voyeurs à la piscine (publié par Boris le 15-05-2025)
Angela - épisode 41 : Escalade (publié par Boris le 01-06-2025)
Angela - épisode 42 : Vision troublée, vision troublante (publié par Boris le 15-06-2025)
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Angela - épisode 1 : Cap au Sud !
Pour mes 22 ans, mes parents m'ont offert des vacances dans le Sud. Comme j'étais avec Luc depuis maintenant plus de trois ans, ils nous considéraient comme un couple à part entière et nous faisaient confiance. Luc s'amusait même à les appeler "beau-papa" et "belle-maman". Le budget alloué était conséquent et cela permettait de m'offrir une prestation luxueuse, loin des campings ou des chambres chez l'habitant que nous avions l'habitude de partager quand nous partions en vacances avec mes parents. Très excitée à l'idée de m'offrir des vacances de nantis, j'avais aussitôt mené des recherches sur un site d'annonces en ligne et avait trouvé mon bonheur : grande villa de 200m² avec piscine, donnant directement sur la mer avec l'accès à une petite plage. Les photos étaient somptueuses et, sans trop y croire, j'avais aussitôt envoyé un mail pour faire la réservation en espérant que la location serait disponible pour l'une des deux semaines de vacances de Luc, puisqu'il travaillait presque tout l'été pour pouvoir financer une partie de ses études (ses parents étant moins à l'aise financièrement que les miens). La réponse, positive, était tombée dès le lendemain et, avec toute la retenue qui le caractérise, Luc avait exprimé sa satisfaction. Son manque d'enthousiasme était frustrant, mais pas surprenant. Au moins, il n'était pas contre ! Et de toute façon, c'était mon cadeau d'anniversaire, il n'avait donc pas son mot à dire. Il avait néanmoins accepté de prendre le volant et avait tenu à être le seul à conduire, ponctuant les longues heures de trajet vers le soleil par plusieurs haltes sur des aires d'autoroute, afin de ne pas jouer avec la fatigue. J'ai l'air d'être agacée par le comportement de Luc, mais ce n'est pas réellement le cas. Je suis éperdument amoureuse de lui et je pense qu'il m'aime lui aussi profondément. Je lui cède toutes ces petites manies comme il cède sur les miennes. Nous avons une totale confiance l'un envers l'autre.
Samedi 30 juillet 15h58
Nous nous sommes levés tôt ce matin pour être sûrs d'arriver en fin d'après-midi. Nous sommes donc sur la route pour aller vers Biarritz, la route des vacances, de nos vacances. D'après le GPS, il nous reste un peu moins d'une heure de route avant de parvenir à notre lieu de villégiature. Il fait beau, très beau même ! Le soleil cogne dur et l'absence de climatisation dans la voiture nous oblige à conduire avec les fenêtres ouvertes. Le paysage est magnifique. Je commence à vraiment me sentir en vacances. J'ai l'impression que Luc aussi. Je tourne la tête vers lui.

Il me sourit.
- Tout va bien mon amour ? Tu as besoin de faire une pause ?
- Oui, une dernière pourrait être utile... J'en profiterai pour boire. On cuit dans cette boîte de conserve !
C'est vrai qu'il transpire un peu et qu'il doit sûrement être fatigué d'avoir conduit toute la journée.
- Tu te rends compte. Des vraies vacances de riche, rien que nous deux !

- Oui, j'espère juste qu'on trouvera à s'occuper.
- L'annonce disait qu'il y avait une plage juste à côté et même une piscine. On va en profiter pour ne surtout rien faire !
- Le programme me convient. Tiens ! "Aire de l'Océan Ouest" dans deux kilomètres. Voilà un nom qui sent bon les vacances et ça sent surtout la pause rafraîchissement.
- Super ! J'étouffe, moi aussi !
- Faut dire que tu aurais peut-être pu te passer de soutif, tu aurais eu moins chaud...
Luc tire sur le décolleté de mon débardeur pour jeter un œil à mon soutien-gorge qu'il trouve superflu.

Cela n'est pas la première fois que Luc me fait part de son fantasme de me voir déambuler sans soutien-gorge. Il a déjà l'occasion d'en profiter quand je suis en pyjama ou en nuisette, mais je n'ai jamais osé m'en passer en journée, mes seins étant un peu gros et j'ai peur que cela fasse vulgaire.
- Tu sais que c'est important que je porte un soutien-gorge si tu ne veux pas que mes seins s'affaissent avec le temps.

Luc sourit. Il semble content qu'on aborde le sujet (la plupart du temps, je lui oppose un silence farouche) et qu'il puisse avancer ses arguments :
- Je te l'ai déjà dit : les seins en gants de toilette, c'est si tu ne t'entretiens pas et que tu ne les muscles pas. Mais si tu les libères, compte sur moi pour les solliciter afin qu'ils gardent toute leur fermeté. Le soutif qui empêche les nichons de s'affaisser, c'est une légende pour faire acheter de la lingerie.
- N'empêche que ça me gêne. J'aurais l'impression d'être à poil.
- Si tu savais comme j'aimerais pourtant...
- Tu en vois déjà pas mal avec ce débardeur, non ?
Je tire un peu le décolleté pour qu'il profite du sillon de mes seins.

- Mmmm, oui. C'est vrai qu'il est sympa ce débardeur. Mais il serait encore plus sympa sans soutif dessous.
Je m'amuse à serrer mes bras pour faire saillir davantage ma poitrine dans le décolleté.
- Sans le soutien-gorge, je n'aurai pas un aussi joli décolleté.

- Détrompe-toi ! Les seins libres offrent des vues magnifiques !
- Dis-donc ! Où as-tu eu l'occasion de te faire cette opinion puisque je mets toujours un soutien-gorge ?
- ...
Ma question semble le gêner et je pense en déceler la raison :
- Ah oui... Angela, c'est ça ?
Je tente de sourire, mais parler de son ex est toujours difficile pour moi, même s'il n'est resté que moins d'un an avec elle alors que nous sommes ensemble depuis 3 ans.

À ce que j'ai pu comprendre du peu qu'il a bien voulu m'en dire, ils sont sortis ensemble durant sa dernière année de Lycée. Luc en avait été très amoureux et ils se sont quittés après la rentrée suivante, quand les études les avaient conduits à prendre des chemins séparés. Pour moi, ça a été la chance de rencontrer Luc à l'université ! Mais il semble toujours parler d'Angela avec un souvenir ému, comme s'il en était toujours amoureux. Il est vrai qu'elle était apparemment moins coincée que moi. C'était une fille que j'aurais facilement qualifiée de salope. Mais peut-être que Luc aimerait justement que je me montre un peu plus salope. Il n'a pas répondu et je vois comme une certaine nostalgie dans son regard fixé sur l'asphalte de l'A63. J'en déduis qu'Angela ne mettait pas toujours de soutien-gorge, elle... Pour ne pas lui montrer mon trouble, je pianote sur mon téléphone tandis que Luc met son clignotant pour prendre la bretelle de sortie vers l'aire de repos.

Quand nous sommes garés, j'ouvre ma portière en grand, histoire de faire entrer un peu de fraîcheur et je me tourne vers Luc :
- Tu bois un coup et tu vas te dégourdir les jambes ?
- Oui, et je vais passer aux toilettes.
- Ok, je donne un coup de fil au proprio pour lui dire qu'on arrive dans environ une heure.
Je lui passe une main dans les cheveux alors qu'il se rince apparemment l'œil sur mes cuisses et dans mon décolleté. Au moins là, il ne pense pas à Angela...

Pendant qu'il récupère la gourde d'eau à l'arrière de la voiture, je passe mon coup de fil :
- Allo ? M. Le Tarin ?
- Ah vous êtes la demoiselle pour la villa ?
- Oui, c'est ça.
- Vous y êtes ?
- Non, pas encore. Mais d'ici une heure environ.
- Très bien. La maison est ouverte et il y aura le jardinier pour vous accueillir. C'est mon fils qui passera pour l'état des lieux, nous on est trop loin. C'est lui qui gère ça.
- Ok, c'est parfait.

- Bonne fin de route mademoiselle. Au revoir.
Il raccroche. Je range mon téléphone. Je vois Luc refermer la porte arrière.
- Pardon, Juliette, tu voulais sûrement boire aussi...
- Oui, mais va aux toilettes. Je sais boire toute seule à mon âge.
J'ouvre la portière et je me penche pour ramasser la gourde qu'il avait posée à l'ombre au sol devant la banquette. Je l'entends alors dire :
- Oh putain, magnifique !

Je me redresse vivement, regardant tout autour de nous, mais, ne voyant rien de particulier, je me tourne vers Luc pour savoir dans quelle direction il regardait et je constate qu'il me regarde avec un sourire stupide :
- Eh bien, quoi ?
- Quand tu t'es penchée pour récupérer la gourde ! Si tu savais comme ton short met bien en valeur tes fesses.
J'avoue que j'ai mis ce short uniquement parce que je savais qu'il allait faire très chaud, mais je ne m'étais pas vraiment rendu compte, avant cet instant, à quel point il était à la limite de la décence.
- Idiot ! Tu n'es qu'un pervers. Pour toi, je ne suis donc qu'une paire de seins et une paire de fesses ?

Avec un sourire ravi, Luc me répond :
- S'il te plaît, ne m'oblige pas à te dire ce que je pense de cette synthèse...
- Pfff, espèce de pervers.
- Excuse-moi. Et excuse-moi aussi pour tout à l'heure au sujet de ton soutif. Tu es magnifique et je n'ai aucun droit sur ton corps et ce que tu veux en montrer.
Il me sert contre lui, les mains sur mes fesses. Je me love dans ses bras malgré la chaleur moite qui nous fait transpirer et je l'embrasse.

- Allez, va aux toilettes pendant que je bois.
- À vos ordres...
Dès qu'il s'éloigne, je m'enferme dans la voiture et, sans retirer mon débardeur, je me contorsionne pour me débarrasser de mon soutien-gorge. Après tout, si Angela le faisait, je peux bien le faire. Ici, personne ne nous connaît et puis il faut bien que j'essaye si je ne veux pas mourir idiote. L'opération "Comme Angela" effectuée, je cache mon soutif sous mon siège. Puis, je me glisse sur son siège pour m'y étendre, mettant mes pieds sur le volant et ouvrant la portière en attendant son retour. Quelques minutes plus tard, il revient, ravi :
- Voilà des jambes admirables que je te remercie d'accepter d'exhiber.

Apparemment, il n'a pas encore remarqué l'essentiel...
- Tu aimes mes jambes ?
- Comment ne pas les aimer ? Mais en attendant, ne va pas les fatiguer. Laisse-moi la place, je finis le trajet.
Un peu vexée qu'il n'ait rien remarqué, je prends mon temps pour sortir, espérant qu'il remarque.
- Juliette !

Enfin, je comprends au ton incrédule de sa voix qu'il a enfin constaté la particularité de ma tenue.
- Oui, Luc ?
- Tu... Ah mince, tu es magnifique !
- Tu semblais si concentré sur mes jambes que j'ai cru que tu ne le remarquerais jamais...
Je tire sur le débardeur pour ne laisser à Luc aucun doute sur la liberté de mes seins.

Il semble encore plus ravi que la première fois où je l'ai laissé me regarder me doucher.
- Merci ! Franchement, ça te va hyper bien...
- Oui, je t'avoue que je me sens un peu gênée et ça va parce qu'il n'y a personne dans le coin.
- C'est terriblement excitant...
Je regarde son short et je constate effectivement une proéminence :
- Merde ! Tu... Tu... ?

Je ne parviens pas à prononcer le mot en public, mais Luc a bien compris ma question.
- Oui, Juliette, je bande...
- Mince, juste parce que j'ai viré mon soutif ?
- Oui, c'est un fantasme que tu réalises.
- Et c'est mes seins ou mes fesses qui t'excitent le plus ?
Je me tourne et remonte mon short pour dévoiler mes fesses.

Il ouvre grand les yeux :
- Quoi ? Tu... tu as aussi viré ta...
Je comprends son soudain émoi et interrompts rapidement son rêve éveillé :
- Non non non, ça tu peux toujours courir avant que je me passe de culotte. Elle est toujours là sous le short... Discrète, mais présente.
Je me cambre sur la voiture.

Mais même si je lui ai brisé son second rêve, le premier semble être suffisamment puissant pour lui laisser ce visage béat et cet air stupide.
- Allez, hop, en voiture ! Sinon, le jardinier va nous attendre.
On remonte en voiture :
- Le jardinier ?
- Oui, c'est le jardinier qui nous accueillera. Dis-donc, puisqu'on est là, ce ne serait pas pertinent d'en profiter pour refaire le plein ici ?
Luc hoche la tête. Il va se garer devant une pompe. Je lui dis :
- Je paie, c'est moi qui ai tous les sous. Toi, tu te fais bichonner.
Je prépare ma carte et je sors faire le plein.

Les pistolets des pompes à essence sont toujours mal foutus. C'est courbé au bout et ça ne s'enfile jamais bien dans l'orifice du réservoir. Je galère à trouver le sens dans lequel bien l'insérer, mais je finis par y parvenir. Luc m'observe depuis sa place :
- Tu y arrives, ma belle ?
"Ma belle" ? D'habitude, c'est plutôt "ma chérie". Mais j'aime bien aussi "ma belle". Penchée au-dessus du réservoir, je poursuis le remplissage avec les effluves immondes d'essence.

Je réponds à Luc :
- Oui, c'est bon. Pas toujours facile à enfiler ces machins-là...
Luc rigole et je comprends que l'excitation que j'ai éveillée en lui le branche en mode "graveleux" et que je dois faire attention à ce que je dis. Alors que le plein touche à sa fin, je remarque un homme au volant de sa Mercedes qui semble ravi de patienter derrière nous. Au moins un qui n'est pas stressé et qui se sent déjà en vacances. Mais un bref coup de vent qui s'immisce dans mon décolleté me fait prendre conscience que je suis sans soutien-gorge et que le décolleté généreux de mon débardeur révèle à cet homme l'objet de son ravissement.

Je me redresse vivement, repositionnant le pistolet dans son fourreau et je retourne m'asseoir. Luc rigole :
- Qu'est-ce qui se passe ? Tu es rouge comme une pivoine ? Tu as pris un coup de soleil en restant à l'ombre ?
- Non, j'étais un peu penchée pour faire le plein et le type derrière en a profité pour se rincer l'œil.
- Haha ! Il aurait eu tort de se priver !
- Quoi ? Tu n'es même pas jaloux ?
- Non, pourquoi ? Tu n'es pas allée l'aguicher, que je sache.
- Quand même.
- Et moi, j'en profite beaucoup plus que lui...
Il tend la main et fait glisser de mon épaule la bretelle de mon débardeur.

Luc redémarre et, avant de sortir de l'aire de repos, il se gare sur la toute dernière place de parking. Je m'en étonne :
- Tu as oublié un truc ?
- Non... Mais, mais tu as raison. Je suis jaloux : je trouve que le gars derrière en a plus profité que moi quand même et ce n'est pas juste.
Je sens le gros cinéma de sa part et, assez excitée moi aussi par tout cela, je décide de rentrer dans son jeu. Je soulève mon débardeur et lui dévoile mes seins :
- Là, tu penses que c'est plus juste ?

- Il a vu pendant combien de temps ?
- Je ne sais pas... sans doute tout le temps du remplissage. Trois ou quatre minutes...
- Pffff, quel chanceux.
- Mais lui, il n'a pu que regarder...
Luc a bien compris le message et tend une main pour me caresser les seins.

Je vois à son regard trouble à quel point il adore cela. Et ce n'est pas le seul indice : un véritable chapiteau s'est formé dans son short ! Je n'avais jamais vu cela !
- Mince, vu ton état, tu penses être en mesure de conduire ?
- Non, c'est certain...
- Ben, on fait quoi alors ?
Il pousse un profond soupir, comme si la réponse était évidente. J'ai bien compris qu'il va me falloir le soulager. Mais je ne me vois pas jouer l'équilibriste et la contorsionniste dans la voiture pour lui faire l'amour, ni lui faire une fellation. Faire ma première fellation sur une aire d'autoroute ! Cela manquerait singulièrement de romantisme. Je me résous à lui administrer une petite masturbation que j'imagine bien suffisante pour venir à bout de cette suprême excitation. Pendant qu'il continue à jouer avec ma poitrine, je lui déboutonne son short et extrait de son boxer son sexe déjà parfaitement raide.

Quand je commence à le masturber, il abandonne mes seins et semble porter toute sa concentration sur ma main qui monte et descend avec une rigueur métronomique sur sa tige tendue.
- Je suis folle...
- Non ma chérie, c'est hyper agréable et personne ne peut nous voir ici...
- Quand même...

- Mmmmmh, je t'aime...
- Tu peux, oui. Je ne suis pas sûre qu'il y ait beaucoup de filles qui soulagent leur mec de cette manière dans des lieux publics.
Il ne répond pas. Je fais la connerie de le regarder et, là, je lui trouve le même air que quand j'imagine qu'il pense à Angela. Et j'imagine alors Angela en train de masturber Luc dans un parking sous-terrain, dans un cinéma et pourquoi pas même au restaurant sous la table ? Mais pourquoi je m'inflige ça ? Pourquoi faut-il que je me compare à cette fille qui appartient au passé. Je me concentre sur ce que je fais : une branlette à mon copain.

Soudain, je le sens se tendre. Il va venir. Quelle conne, je n'ai même pas prévu un mouchoir pour accueillir sa semence... Déjà, il gémit d'aise, sa queue se contracte dans ma main et il se met à décharger son jus épais et blanchâtre sur mes doigts. En moi-même, je me dis "Pourvu qu'il n'ait pas éjaculé en pensant à Angela". De ma main propre, je rabaisse mon débardeur sur les seins. Luc reprend son souffle peu à peu. Le sperme semble s'être tari.

De lui-même, il me dit :
- Tu es exceptionnelle, merci, Juliette !
Sa réponse est tellement sincère que je me rassure. C'est bien moi qui viens de le faire éjaculer dans la voiture. Pas Angela.
- Je t'aime, mon chéri.
Je sors un paquet de mouchoirs de la boîte à gant et commence à essuyer. Il rigole :
- Ce ne serait pas plus simple si tu nettoyais avec ta langue ?
- Tu plaisantes ? C'est trop dégueu...
- Moi, je ne trouve pas dégueu ta mouille quand je te fais un cunni...
- Dis donc. Tu as déjà eu le droit à une branlette et une belle vue sur mes nichons, tu ne crois pas que ça suffit pour aujourd'hui ?
- Oui, tu as raison. Merci ma chérie.
Et je le vois regarder mes seins qui ballottent dans le débardeur pendant que j'essuie mes doigts englués.

Je m'affale dans mon siège, moi aussi épuisée comme s'il venait de me donner un orgasme.
- On y va ? On va être en retard...
Luc redémarre et reprend la direction de l'A63 direction Biarritz. En souriant, il me dit :
- C'est mieux qu'on ait fait ça là plutôt que devant le jardinier, non ?
- Tu me laisserais te masturber devant un autre gars ?

En émettant cette hypothèse, je sens un petit fourmillement dans mon ventre. L'idée est, je trouve, assez excitante... Luc ne réfléchit pas longtemps avant de répondre :
- Je crois que oui, tant que c'est moi que tu masturbes.
- Mais il verrait aussi mes seins, non ?
Je soulève mon débardeur pour exhiber ma poitrine à Luc, avant qu'on ne rejoigne la circulation.

Luc stoppe alors soudain la voiture et un poids-lourd klaxonne en passant devant nous. Manifestement, le conducteur est ravi du spectacle que je viens de lui offrir de manière involontaire. Je rabaisse mon débardeur, honteuse de mon exhibition :
- Quelle conne !
- Désolé, ma chérie... Il y avait ce céder-le-passage et je ne pouvais pas l'ignorer sous prétexte que tu avais les nichons à l'air...
- Oh, la honte...

- Allons, ce n'est pas très grave. C'est juste le deuxième type qui profite de la vue de tes seins aujourd'hui.
Je sens à son ton amusé qu'on ne va pas en rester là. Et la suite arrive effectivement.
- Du coup, tu comprendras que je suis un peu jaloux que tu te sois exhibée devant ce camionneur...
- Et bien, pour l'heure, tu roules et tu ravales ta jalousie parce qu'on est attendu.
- OK, j'en reste là. J'avoue être déjà comblé.
- Attention, cet écart ne constitue pas un acquis.
- Dommage, je trouvais que c'était une excellente entrée en matière pour des vacances qui commencent tout juste.
- J'avoue que tout ça m'a bien amusée aussi, mais ne va pas croire que tu auras le droit à une branlette quotidienne.
Je ne lui parle pas du soutien-gorge. J'hésite. Je ne suis pas à l'aise sans, mais j'ai beaucoup aimé l'effet que cela a eu sur Luc.

Je crois bien qu'il avait perdu tous ses neurones et qu'il aurait fait tout ce que je lui demandais. Pour la première fois, je me rends vraiment compte du pouvoir que mon corps peut avoir sur les hommes. Je n'en dis rien à Luc, mais j'espère pousser cette petite expérimentation un peu plus loin, et il sera mon cobaye. Pour le moment, inutile que Luc se fasse des films, je ne sais pas encore jusqu'où je suis prête à aller, ni ce que Luc est prêt à accepter non plus.
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Angela - épisode 2 : Villa de rêve
Samedi 30 juillet 16h53
- C'est là !
Je reconnais la villa avant même que le GPS ne nous indique que nous sommes arrivés. Nous sommes subjugués par la beauté du lieu. La villa est exactement comme sur les photos, mais je prends conscience, en la voyant au milieu de toute cette verdure, à quel point elle se trouve isolée. Il ne semble pas y avoir la moindre autre habitation dans les kilomètres alentour.
- Mince, c'est gigantesque !
- Ouais, ça va être génial. Ce sera rien que pour nous !!!

- Tu crois qu'on peut se garer dans la cour ? Ou je reste dehors ?
- Peut-être laisser la voiture là pour le moment. On va demander. Normalement, il doit y avoir un jardinier pour nous accueillir.
- Un jardinier ?
- Oui. Moi aussi ça m'a surprise, mais quand je vois la taille de la propriété, on dirait presque un parc ! Je comprends mieux pourquoi la présence d'un jardinier se justifie. On n'est pas habitués à autant d'espace et c'est sûr que ça doit demander un peu d'entretien.
Luc reste garé le long de la haie sans rentrer dans la propriété. Avant de descendre, il me sourit et regarde mes mamelons qui pointent à travers mon débardeur.
- Elles sont bien chouettes, ces vacances.
Je me dis qu'effectivement, je suis un peu indécente et je décide de remettre mon soutien-gorge.
- Tiens. Rince-toi l'œil une dernière fois. Après, je remballe.

- Bah pourquoi ? Il ne fait pas moins chaud ici.
- Oui, mais je trouve ça un peu indécent.
- Tu rigoles ? Je le remarque parce que je te connais, mais personne ne s'arrête à ce genre de détail.
- Ah oui ? Tu crois sincèrement être le seul mec obsédé par les nichons ?
- Mmmm... oui. Tu marques un point.
Luc me regarde remettre mon soutien-gorge avec une petite pointe de nostalgie, comme s'il n'allait plus jamais revoir mes seins.

Je le soupçonne de surjouer un peu pour me faire culpabiliser. Je remarque qu'il a à nouveau un début d'érection, mais je détourne le regard et évite surtout d'aborder le sujet. Ce n'est vraiment pas le moment que je songe à le soulager encore, car le jardinier nous a peut-être entendus et peut venir pour nous accueillir. Je termine donc de remettre mon débardeur.
- Allons voir cette villa de rêve d'un peu plus près.

Nous sortons de la voiture. Luc prend une profonde inspiration :
- Ouf ! La route était longue et ça fait du bien d'être enfin là.
- Merci d'avoir conduit toute la route mon chéri. Tu dois être bien fatigué. J'ai trouvé effectivement que tu semblais moins attentif sur la fin...
- Il y avait d'autres raisons à ma perte d'attention...
Il sourit en regardant en direction de ma poitrine, maintenant protégée de ses yeux-lasers par le soutien-gorge. J'en profite pour m'étirer.

Nous passons le portail et remontons l'allée vers la villa, entourée d'un vaste parc arboré. La fraîcheur apportée par l'ombre des arbres est un vrai plaisir. Un petit bruit métallique sur notre droite nous fait tourner la tête. Armé d'une cisaille à longs bras, le jardinier nous sourit. Il nous a certainement vus ou entendus et son coup de cisaille avait pour seul objectif de nous faire connaître sa présence :
- Bonjour les jeunes. Vous avez fait bonne route.
- Très bonne, merci ! Surtout la fin.
Luc me fait un clin d'œil et je vois bien à quelle partie du trajet il fait référence.

- Luc et ma copine, Juliette.
- Enchanté Juliette, moi c'est Joann.
- Bonjour. M. Le Tarin m'avait dit que vous seriez là pour nous accueillir.
J'observe Joann. L'homme doit avoir une dizaine d'années de plus que nous, mais sans doute moins de quarante ans. Il est grand, costaud et plutôt bel homme. Je sens à sa façon de me regarder que je ne le laisse pas indifférent.

Il me tend sa main puissante pour serrer la mienne, finalement avec beaucoup de douceur :
- Oui, leur fils passera tout à l'heure pour vous expliquer deux trois choses pour votre séjour. Moi, je ne m'occupe que du jardin.
- C'est plus qu'un jardin, c'est un parc.
- C'est vrai qu'il y a de quoi faire, mais je n'interviens ici qu'un ou deux jours par semaine. Si vous voulez, vous pouvez entrer la voiture dans la cour et descendre les bagages. Je peux vous donner un coup de main, comme ça, vous pourrez faire le tour de la villa avant de vous installer.
Luc, toujours courtois et prévenant :
- Merci, c'est très gentil. Juliette, je m'occupe de la voiture et des bagages. Va donc jeter un coup d'œil à la vue derrière, j'ai l'impression qu'on est juste à côté de la mer.
Effectivement, on entend le bruit caractéristique du ressac.

Joann précise :
- C'est tellement prêt que c'est juste au pied. Pour ainsi dire, il y a un bout d'océan rien que pour vous.
- Comment ça ?
- Là-bas, vous verrez un petit escalier qui descend le long de la falaise. En bas, il y a une crique qui, de fait, est privée puisque c'est le seul accès. Sauf bien sûr par la mer. Parfois, des gens viennent à la nage ou en bateau pour profiter de l'isolement de cette plage. Il ne faudra pas hésiter à leur signifier que c'est privé.
Luc est ébahi :
- Mince, je ne m'attendais pas à ça !
Il se penche sur moi et m'embrasse, apparemment ravi du choix que j'ai fait.

Pendant que Luc retourne chercher la voiture, je m'avance dans le parc en contournant la villa pour aller en direction du bruit des vagues. En passant le coin de la maison, j'aperçois la piscine dont j'avais vu les photos sur l'annonce. Je ne m'en souvenais même plus ! Piscine et plage privée... Les riches ne se refusent rien ! En tout cas, ce petit paradis est à nous pendant une semaine. Alors que je suis près du bord de la falaise, sans avoir encore pu identifier où se trouve l'escalier qui permet d'y descendre, j'entends le moteur de notre voiture. Je vois Luc se garer dans la cour et décharger les bagages.

Tout heureuse d'avoir pour nous un lieu aussi spectaculaire, j'atteins enfin le bord de la falaise et découvre la fameuse petite plage privative. La vue sur la mer est splendide. La propriété se trouve au haut d'une falaise surplombant une petite crique complètement isolée, où les vagues venaient doucement mourir sur une plage de sable fin. Mais j'aperçois sur cette plage également un autre détail que Joann a suggéré : un couple est installé sur notre plage ! Et à y regarder de plus près, il me semble bien qu'ils soient nus... Ils sont nus et font l'amour. Sur notre plage ! Je suis un peu perdue. Je ne peux quand même pas interrompre les ébats d'un couple amoureux. Je décide de ne pas intervenir. Mais de quand même rester à observer discrètement. Madame chevauche monsieur et le mouvement de son bassin laisse suggérer que c'est elle qui mène la danse.

J'ai déjà vu des scènes crues à la télé et je suis même tombé par hasard sur des pornos, mais je n'ai jamais ressenti le besoin d'observer d'autres personnes faire l'amour. Pourtant, il me semble cette fois-ci que je ne peux pas faire autrement. Je veux voir ce qu'ils font. Madame se redresse et continue à monter et descendre sur la verge de monsieur. Il la saisit à la taille pour accompagner sa lente chevauchée.

Je sens que je commence à avoir encore plus chaud. Surtout à mon ventre. Pas de doute, je suis en train de mouiller ma culotte. J'admire les jolis seins de Madame qui s'agitent au rythme de ses mouvements. Monsieur tend les mains et semble jouer avec les mamelons. Madame rejette la tête en arrière. J'écoute. J'entends à peine un petit gémissement, mais le bruit des vagues couvre probablement ses gémissements de plaisir.

Monsieur semble moins discret, car ses râles de plaisir me parviennent malgré le tumulte des vagues. Je l'imagine en train de se vider dans le ventre de Madame. Le soleil sur son corps dessine une musculature conséquente et je me dis qu'il ne doit pas être désagréable d'être dans les bras d'un type de cette stature. Je vois sa main sur le ventre de Madame, sans doute son pouce continue d'exciter le clitoris.

Madame se baisse et l'embrasse, puis elle roule sur le côté et reste allongée sur le sable juste à côté de lui alors que les vagues de la marée montante viennent leur lécher les pieds. La cuisse légèrement relevée de monsieur m'empêche de distinguer bien son sexe, que j'aurais bien voulu admirer. Le peu que j'en vois semble être une belle saucisse déjà ramollie.

J'ai un peu honte d'avoir espionné ce couple et je préfère retourner voir Luc qui continue de décharger la voiture. Joann m'intercepte et me demande :
- Belle vue n'est-ce pas ?
- Magnifique. Mais dites-moi, vous êtes sûr que la plage est privative ?
- Oui, mais quand la villa est inoccupée, des nudistes viennent quelque fois profiter de la discrétion de la crique. J'en surprends de temps en temps. Je ne les chasse que quand je sais que la villa est louée.
- Les propriétaires ne viennent jamais ?
- Non. De temps en temps, Lionel, leur fils, pour être tranquille. Il pratique le naturisme quand il est seul ici. Et la plupart des locataires le font également. C'est vrai que c'est idéal comme situation. Je crois que tous les locataires se sont essayés au naturisme durant leur séjour.
- Même quand vous êtes là ?

Joann rigole :
- Oh, moi je ne suis que le jardinier et je ne suis que de passage quelques heures, pas tous les jours. Si je vous dis qu'ils s'y sont tous essayés, c'est que j'ai eu l'occasion de les voir. Mais ça ne me gêne pas et eux non plus. Apparemment, la pudeur est un concept qui s'oublie dans un tel paradis. L'isolement de la villa, l'absence de voisinage, la petite crique, il faut avouer que ça s'y prête bien.
Joann reprend son travail, ramassant les branches mortes au pied d'un grand bouleau. Je rejoins Luc et veux qu'il vienne voir ce que j'ai vu :
- Luc, viens voir.
- J'ai rentré tous les bagages. C'est immense là-dedans.
On longe la piscine et on s'approche de la falaise, distinguant vite la plage. Ils sont partis ! Le couple n'est plus là... Je suis déçue et je ne sais pas si ça mérite que j'en parle à Luc. Je me contente donc d'une banalité pour justifier notre visite au bord de la falaise :
- C'est le paradis, tu ne trouves pas ?
- Oui... Dis-moi, comment tu as dit que c'est le nom du proprio ?
- Le Tarin. Mais je ne te l'avais pas dit puisque tu ne m'as pas beaucoup aidée pour gérer la réservation...

- Je sais, je suis désolé... tu sais... le boulot...
Il se penche et m'embrasse dans le cou :
- En fait, je te demande ça, parce qu'au Lycée, j'avais un bon copain qui s'appelait comme ça aussi... C'est étonnant. Et dans l'entrée, il y a un portrait d'un homme qui m'a fait penser à lui en plus vieux. Ça pourrait être son père. Et avec le nom, ce serait une drôle de coïncidence.
- À l'autre bout de la France, je ne pense pas que ça puisse être le même.
- Il m'avait parlé que ses parents avaient une villa dans la Sud, mais j'imagine que c'était sur la Côte d'Azur.
- Le Sud, on y est aussi...
- Oui, ça pourrait. C'est vrai qu'il n'a jamais été plus précis. Quand même, Le Tarin, ce n'est pas un nom commun.
- Et vous n'avez pas gardé le contact ?

- Il est parti en école d'ingénieur, il était brillant... Moi, je suis allé à la Fac. Ce serait dingue que ce soit mon pote...
- Mais vous vous connaissiez si bien que ça ?
- Plutôt oui. Durant l'année de terminale, Lionel et moi, on a beaucoup partagé...
Luc a un petit sourire à l'évocation de ce souvenir. Je me montre curieuse :
- C'est à dire ?
- Eh bien... Tu sais, je t'ai parlé un peu d'Angela, mon amourette de Lycée.
Jalouse, je n'hésite pas à lui manifester mon agacement à l'évocation de ce nom :
- Oui, Angela à laquelle tu as offert ton pucelage, merci de me le rappeler.

- Et bien, mon pote aussi...
- Ton pote aussi, quoi ?
- Mon pote aussi, c'est elle qui l'a dépucelé.
- Ah ? Il est aussi sorti avec ? Et c'est toi qui lui as piqué, ou l'inverse ?
- Écoute, je n'aime pas trop évoquer ce souvenir... Je vais demander à Joann si je peux laisser la voiture dans la cour.
Luc repart de l'autre côté de la maison, me laissant avec un sentiment de jalousie assez marqué. Encore cette Angela. Angela la salope qui ne met pas de soutif. Angela la salope qui est sortie avec mon mec et ensuite avec son pote. Ou l'inverse, je n'ai pas réussi à savoir. Et moi ? Je suis qu'une pauvre conne qui pense qu'un soutif est indispensable à ma garde-robe. Faire sans est inenvisageable.

Et puis me reviennent en mémoire les remarques de Joann sur les locataires qui ont tous pratiqué le naturisme ici. Me mettre à poil est inenvisageable, mais c'est vrai que le soutien-gorge, ce n'est pas grand-chose et ça fera plaisir à Luc. Allez, je me lance. Joann et Luc sont de l'autre côté de la maison, l'immensité de l'océan sans personne devant moi et un peu de végétation autour pour me cacher. Je fais un contrôle à 360 degrés et je retire mon débardeur.

Bien sûr, je refais un contrôle visuel attentif tout autour avant de quitter aussi mon soutien-gorge. À peine l'ai-je retiré que j'entends une voix dans mon dos :
- Ah, vous ne perdez pas de temps... Ceci dit, vous auriez tort de vous priver, le naturisme est une expérience très agréable.
C'est Joann qui vient de surgir, avec un gros sac de branchages coupés à la main. Je cache ma poitrine et ne tourne que la tête :
- Heu, je ne me mets pas à poil. Je retire juste mon soutif parce que j'ai très chaud.

- Vous faites ce que vous voulez. Vous êtes ici chez vous pendant toute la durée de votre séjour. Vous avez pris combien de temps ?
- Une semaine...
Tout en lui tournant le dos, je remets mon débardeur rapidement.
- C'est court, mais ça vous laissera sans doute le temps d'expérimenter quelques pratiques qui ne vous sont pas familières.
Curieuse remarque... Joann fait-il uniquement référence au naturisme ? Je repense à la branlette que j'ai faite plus tôt à Luc sur l'aire d'autoroute. Non... impossible qu'il fasse référence à cela. Sans doute cherche-t-il à me convertir au naturisme pour se rincer un peu l'œil. Mais dans ce cas, moi aussi j'aimerais bien me rincer l'œil. Je prends un air faussement détaché en rajustant les bretelles de mon débardeur et je lui demande :
- Et vous, vous ne pratiquez pas ?

Le jardinier me sourit, sentant sans doute l'indiscrétion de ma question, mais il me répond :
- Ah moi, je fais partie du décor. C'est l'occupant qui décide. Si vous voulez que je reste habillé, je reste habillé, même si vous décidez d'être nu. Et si vous voulez que je bosse à poil, ça ne me pose aucun problème. Même si vous restez habillés.
Cette proposition me donne presqu'envie de lui demander tout de suite de quitter ses vêtements pour admirer son corps que je devine athlétique, mais je me dis que c'est inapproprié et que cela doit rester un fantasme. Pour nos tenus, il faut d'abord que j'en parle à Luc, ne sachant pas vraiment s'il serait adepte du naturisme.

Il sourit en me voyant le dévorer des yeux, se doutant sans doute des fantasmes que sa proposition a suscités.
- Je voulais vous dire que le fils du propriétaire vient de me laisser un message. Il ne sera là que d'ici une demi-heure et vous propose de visiter la maison et de vous installer en l'attendant.
Le jardinier repart. Je ne sais pas si c'est l'excitation, mais malgré l'absence de soutien-gorge, j'ai bien chaud... Je m'attache donc les cheveux dans l'espoir qu'un peu d'air sur la nuque me rafraîchisse. Puis, je retourne voir Luc pour si l'absence de soutien-gorge l'émeut toujours autant. Atteignant le coin de la maison, je vois qu'il a laissé la portière arrière de la voiture ouverte. Je fais donc un crochet par la voiture pour refermer la portière. Rapidement, je jette mon soutien-gorge sur la banquette arrière, puis je referme la porte.

J'entends la voix de Luc alors qu'il sort de la maison :
- Mmmm, quand tu portes ce mini-short, c'est un plaisir que tu me tournes le dos...
Lentement, je me retourne et le laisse découvrir la surprise. Cette fois-ci, je vois son visage s'illuminer, ses yeux pétiller et j'imagine même ce qui se passe dans son short.
- Oh, tu as retiré ton...
- Oui, j'avais trop chaud.
Je remonte un peu le débardeur pour dégager mon ventre, comme si cela venait confirmer mon argument.

Je lui souris :
- En fait, tu t'en fiches sûrement de la raison pour laquelle je l'ai retiré ?
- Oui, complètement. L'important est de deviner sous le tissu la masse de tes seins qui bougent quand tu marches, et tes mamelons qui pointent légèrement.
Mince, son regard et ses mots m'excitent et je sens que mes tétons passent d'un pointage léger à franchement tendus.
- Dis donc, plus bas. Le jardinier pourrait nous entendre...
- Et alors ?
N'ayant pas gagné en fraîcheur, je détache mes cheveux.
- Tu me fais visiter l'intérieur ?

Quand il est à mon niveau, Luc s'arrête :
- Passe devant. C'est mieux.
- C'est mieux pourquoi ?
Je devine bien son manège :
- Bah, pour découvrir la maison.
- Ah, je pensais bêtement que tu voulais en profiter pour me reluquer les fesses...

- Rhaaaa, oui, tu as raison. Je suis un sale pervers et tu m'as démasqué.
Nous rigolons. Avant de rentrer, je jette un regard en arrière et vois que Joann rigole. Il a sans doute profité de notre conversation. L'entrée par un petit vestibule donne directement sur une immense pièce de vie avec cuisine ouverte. La pièce est garnie de canapés et de fauteuils qui semblent nous attendre. Luc se laisse tomber sur le canapé :
- Alors, tu en penses quoi ?
- La vue, la plage en bas, la piscine, j'avoue que c'est vraiment top ! Et beaucoup plus grand que ce que j'avais vu en photo. Ça va être génial !

- Bon, dès que le proprio est passé, on file en ville à l'office du tourisme pour trouver quelques musées sympas à visiter.
- Tu déconnes ?
- Évidemment ! On va surtout profiter de ce petit paradis.
Il se lève et vient se serrer contre moi :
- Juliette, je t'avoue que cet endroit me donne beaucoup, beaucoup d'idées très chaudes te concernant...

Je tourne vers lui et me colle pour l'embrasser, mais il s'écarte un peu. Il baisse les yeux et se perd quelques secondes dans mon décolleté.
- Dis donc, qu'est-ce que tu fais, petit cochon ?
- Pour l'instant, je profite de l'instant, de la situation, de ta beauté. Et il vaut mieux que tu ne saches pas toutes idées qui me viennent en tête en ce moment...
Je rigole et, écrasant ma poitrine contre son torse, je me recolle à lui pour l'embrasser.

Nos langues se cherchent et s'enroulent. J'ai chaud. C'est bon. Petite pause pour reprendre mon souffle, j'en profite pour demander :
- Raconte-moi...
- Quoi ?
- Raconte-moi tes idées.
- Je ne suis pas certaine que tu sois prête à entendre certains de mes fantasmes.
Sa remarque me vexe un peu. Et quoi ? Je ne suis pas assez ouverte d'esprit pour comprendre ce qu'il désire ? J'insiste :
- Je prends le risque.
- Cela t'exciterait que je te raconte mes fantasmes ?
- Oui, Luc...
Il se penche et m'embrasse à nouveau. Sa main glisse entre mes cuisses et caresse mon entrejambe à travers le short. Il doit certainement y sentir la chaleur, mais j'espère qu'il ne sent pas déjà que ça s'humidifie de ce côté...

Nouvelle pause pour reprendre notre respiration. Je réattaque pour lui arracher le récit de ses fantasmes :
- Toi aussi, je suis sûre que ça t'exciterait de me raconter tes fantasmes...
Je lui masse l'entrejambe à mon tour, mais moi j'y découvre plus qu'une chaleur significative : une proéminence conséquente déforme son short. Très excitée, je prends l'initiative de le libérer. Il est bouche bée et ses yeux semblent sortir de leurs orbites tellement il est subjugué :
- Qu'est-ce que tu fais, Juliette ?
- Ne t'inquiète pas, le proprio a dit qu'il sera là seulement dans une demi-heure.
Il affiche déjà une érection dont je suis très fière (après tout, c'est grâce à moi), et je commence à le masturber doucement.

Il semble quand même hésiter :
- Heu, mais si Joann vient ?
- Il est dans le jardin. Aucune raison qu'il vienne.
- Oui mais... tu vas me faire éjaculer sur le tapis ?
Il n'a pas tort, ce serait un peu crado... J'improvise. Je le repousse dans le canapé d'où il venait de se lever et je m'agenouille entre ses cuisses :
- Comme ça, ça coulera sur ton ventre et tes cuisses et on pourra essayer.
- Pragmatique. Pas très romantique, mais pragmatique.
Il a vu où, lui, que masturber une queue c'est romantique ? J'évite de lui en faire la remarque. Peut-être qu'il croit réellement qu'une fille qui branle son mec c'est glamour. Je le masturbe lentement, en le regardant avec un regard que je tente de faire le plus coquin possible.

Bon sang ! Qu'est-ce que je suis en train de faire ? Qu'est-ce qui m'arrive ? Est-ce que je deviens cette salope de Angela ? En tout cas, l'intensité du baiser que Luc m'a donné m'incite à penser qu'il adore tout ça. Pour le motiver, je me redresse et relève mon débardeur sur mes seins. Il ouvre de grands yeux, ravi :
- Oh la vache ! Il faut vraiment qu'on parte en vacances plus souvent !
- Ne t'emballe pas. Ce n'est pas parce que je te masturbe aujourd'hui que tu y auras le droit tous les jours.

- Je ne m'emballe pas. Je profite de ce que tu m'offres. C'est déjà énorme.
C'est vrai qu'elle est énorme sa queue ! Je me demande même si elle a déjà été aussi grosse. Si on avait le temps, je lui aurais demandé de me faire l'amour, mais le propriétaire va bientôt débouler et pourrait nous surprendre. Je dois même accélérer la cadence. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je me penche et lui lèche la base du gland. Il gémit de plaisir sous cette nouvelle caresse.

Il se trémousse. Mince, je suis peut-être allée trop loin ? En même temps, s'il éjacule déjà, ce sera fait. Sans prendre sa queue en bouche, je continue à lécher le gland, comme s'il s'agissait d'une glace que je déguste. D'ailleurs, le goût de son précum sur ma langue me surprend. Je m'attendais à quelque chose de fort et je trouve ça finalement assez délicat, bien qu'assez salé. Je reprends ma masturbation et je le sens se contracter. On y est. Quand il se détend, son sperme se met à jaillir. Incroyable ! J'adore voir son sperme sortir, preuve de son plaisir, résultat de notre amour. Le liquide blanchâtre s'écoule lentement sur mes doigts puis son ventre tandis qu'il tente d'étouffer ses gémissements de plaisir.

De ma main non souillée, je rabaisse mon débardeur sur mes seins et je regarde mon homme amoureusement. Je m'étonne d'être ainsi fascinée par le sperme. Plus tôt dans la voiture, je n'avais pas eu le temps de prendre conscience de ça. Et là, c'est aussi la première fois que je touche son sexe avec ma langue. Est-ce qu'Angela l'avait sucé ? Je le regarde reprendre son souffle. Il me sourit :
- Merci, c'était bon... très bon.
C'est tout ? Mince, j'espérais un peu plus d'éloges ! Il sort de sa poche de short un paquet de mouchoirs en papier et m'en tend un pour que je m'essuie les doigts, pendant qu'il s'occupe de sa queue et de son ventre. Soudain, un bruit de conversation se fait entendre dehors.
- Ah, on a eu chaud... Je crois que le proprio est en avance. Termine vite, je sors à sa rencontre, ça te laissera un peu de temps pour te rajuster.

Je me fais la réflexion qu'il est trop tard pour remettre mon soutien-gorge et j'abandonne Luc pour aller voir si c'est le propriétaire qui arrive.
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Angela - épisode 3 : Visite de la Villa
Samedi 30 juillet 17:22
Quand je m'approche de la porte restée entrouverte, j'entends la conversation de deux hommes. Curieuse, je patiente un peu pour savoir si on parle de nous. C'est la voix de Joann que je reconnais quand j'intercepte les échanges :
- ... et la demoiselle est vraiment très jolie.
- Ah oui ? La demoiselle ? Elle est jeune ?
- Oui, pour une fois, c'est vrai qu'elle ne doit pas avoir plus de 22 ou 23 ans. Comme vous.
- Intéressant. C'est vrai que ça change des femmes plutôt matures qui viennent habituellement.
Le compliment n'est pas désagréable, mais je trouve curieux que le propriétaire évoque ses hôtes en ces termes avec son jardinier.

La conversation se poursuit. Je patiente encore.
- Et tu sais s'ils sont pratiquants ?
- Je n'ai pas eu l'impression. Mais ils se convertiront vite. Votre villa à un pouvoir magique sur les gens.
Je ne comprends pas de quoi ils parlent. Il veut savoir si on pratique une religion ? C'est quoi cette histoire de magie ? Je décide de me manifester et je sors, découvrant un charmant jeune homme discutant avec le jardinier :
- Bonjour, excusez-moi, je vous entends parler de magie... J'espère que votre maison n'est pas hantée.

- Ah bonjour ! Non, on parlait de la magie des lieux, le paysage, le jardin... J'espère que ça vous plaît.
- Énormément, c'est splendide !
- Et vous irez parfaitement dans ce cadre magnifique.
- Pardon ?

Il me fait un sourire charmeur et m'explique :
- Parce que vous êtes magnifique vous-même.
Je rigole à ce compliment un peu grossier, mais malgré tout charmant. Je m'avance et lui tends la main :
- Juliette.

- Enchanté. Je suis Lionel.
Je sors en repoussant la porte, pour être certaine que Luc ait le temps de reprendre une allure décente. Joann retourne à l'entretien des haies et nous laisse. Je sens un regard intéressé de Lionel sur moi, en particulier pour mon buste. En attendant le retour de Luc, j'essaie de satisfaire ma curiosité :
- Par hasard, vous n'étiez pas au lycée en région parisienne avant de venir dans la région.
- Heu, si, pourquoi ?
- Mon copain s'appelle, Luc. Luc Léonty. Vous le connaîtriez ?

Il écarquille les yeux :
- Mais oui ! Incroyable !!! Luc est là ? C'est votre copain ?
- Oui, il se passe un coup d'eau sur le visage et il arrive. Quand je lui ai dit que le propriétaire s'appelait Le Tarin, il s'est demandé si ce n'était pas vous.
- Il vous a donc parlé de moi ?
- Pas vraiment. Juste que vous étiez bons amis et que vous lui aviez piqué sa copine.
Mais quelle conne ! Pourquoi je dis ça moi ? En plus, Luc ne m'a jamais dit ça, c'est une interprétation que j'ai faite...

Lionel fronce les sourcils, semblant ne pas comprendre. Merde, je me suis trompée...
- Angela ? Je ne lui ai pas piqué.
- Ah pardon, j'ai mal compris ce qu'il m'a dit... Elle est donc sortie avec lui après vous ?
Lionel sourit. Je me dis que je vais en savoir enfin un peu plus sur Luc. J'attends sa réponse.

- Bah, en fait non plus... Mais ce n'est pas à moi de vous raconter cette histoire.
Je ne comprends pas. Avec qui Angela est sortie en premier ? Pourquoi tant de mystère et surtout ce sourire étrange qu'a eu Lionel, le même sourire que Luc quand il semble penser à elle. Je ne sais plus quoi dire et je me sens stupide de m'être montrée curieuse. Heureusement, j'entends le bruit de la porte derrière moi.

Luc apparaît enfin et, dès qu'il pose le regard sur Lionel, son visage rayonne :
- Lionel ? Merde ! C'est donc bien toi Le Tarin, propriétaire de cette splendeur ?
- Luc, ça fait une paye ! Oui, mais ce n'est pas vraiment moi le proprio. La villa est à mes parents. C'est la fameuse maison de vacances dans le Sud dont je te parlais. Mais question splendeur, je vois que tu as toujours aussi bon goût en matière de fille. Juliette est superbe.
- Oui, c'est la femme de ma vie.
Je ronronne et me serre contre mon amoureux.

Un silence gênant s'installe entre les deux garçons. Lionel me détaille avec un sourire gourmand et Luc le regarde. Ils semblent échanger beaucoup par le regard, mais je ne comprends pas vraiment. Je pense qu'ils ont été très complices au lycée. Lionel demande :
- Vous avez eu le temps de faire le tour et de voir la piscine ?
Je réponds avant Luc :
- Oui, et j'ai aperçu la plage. D'ailleurs...
Lionel sourit à mon air gêné et termine ma phrase :
- Il y avait des nudistes ?
- Oui...
- Il ne faut pas que ça vous choque. Le lieu s'y prête bien et peut-être que vous aurez envie d'essayer vous aussi. On fait un tour à l'intérieur pour l'état des lieux ?
Luc lui répond :
- On te suit.

Comme on commence par la cuisine, Lionel fait remarquer le robinet particulier de l'évier : un embout souple très sobre.
- Ce robinet n'est pas commun. Il faut que je vous explique. La manette ne sert qu'à régler la température de l'eau. C'est en tirant sur le manche que vous l'ouvrez et, plus vous tirez, plus ça gicle.
Je ne peux m'empêcher de pouffer de rire imaginant que Lionel parle d'autre chose que d'un robinet. Luc rigole aussi et il saisit alors l'embout et le dirige vers moi en tirant dessus. L'eau asperge mon débardeur !

- Hé ! T'es con !
Je suis trempée et l'eau froide, malgré la chaleur étouffante, n'est pas particulièrement agréable. Luc semble gêné, il ne s'attendait sans doute pas à ce que ce soit aussi simple, ni à ce que le jet soit si puissant.
- Mince, désolé Juliette... Je ne pensais pas que ça sortirait autant...
- Quel abruti ! Je suis trempée maintenant...

Luc dirige à nouveau l'embout du robinet vers moi :
- Si tu me traites à nouveau d'abruti, tu y auras encore droit !
- Pfff, t'es maladroit, mais tu n'es pas assez débile pour recommencer exprès.
- Ah oui, débile ?
Et il tire à nouveau sur le manche et l'eau jaillit dans ma direction, inondant mon débardeur.

- Non, mais merde ! Tu joues à quoi ? Elle est glacée en plus !
- Tu préfères que je la mette plus chaude ?
- Je préfère que tu lâches ce robinet !

- T'énerve pas, ma chérie. Ce n'est que de l'eau...
- Oui, mais là devant ton copain, alors qu'on visite, ce n'était pas vraiment le moment.
Je me tourne vers Lionel :
- Il était déjà si immature au lycée ?

Lionel semble hésiter à répondre :
- Heu non... Enfin, si peut-être.
- En tout cas, il n'a pas gagné en maturité.
Je vois alors à ses yeux exorbités qu'il y a un problème. Je me souviens alors que je n'ai plus de soutien-gorge et je prends conscience que j'exhibe aux garçons mes seins nettement visibles par transparence sous mon débardeur détrempé. Je me retourne pour cacher ma poitrine à la vue de Lionel.
- Oups ! Pardon... je n'avais pas fait attention que j'étais... indécente.

Lionel sourit :
- Ce n'est pas indécent. Moi je trouve ça charmant.
- Moi aussi, renchérit Luc.
- Toi, ça ne m'étonne pas. Espèce de pervers.
- Bon, je monte te chercher du change dans la chambre pour me faire pardonner.
Je veux lui dire que ce serait plus simple que je monte me changer moi-même, mais cette andouille est déjà partie. Un peu par vengeance, je décide de ne pas cacher mes seins à son copain et je me tourne vers lui.
- Vous devez nous trouver un peu puérils par rapport aux locataires que vous avez habituellement.

Lionel ne se gêne pas pour regarder ma poitrine qui semble être à son goût :
- Vous savez, je parlais de magie des lieux tout à l'heure. Je crois qu'il y a un peu de ça, même dans le comportement de Luc.
- Je ne vois pas ce qu'il y a de magique à jouer avec l'eau et à se comporter comme un gamin.
- Ce n'est pas ça. Juste, il se sent suffisamment en confiance ici pour considérer que la décence n'est pas une contrainte.
- La décence ?
En posant la question, je comprends : Lionel semble s'adresser directement à mes seins. Son regard sur moi m'excite et je sens mes mamelons se tendre à travers le tissu.

Lionel complète son argumentaire :
- Vous savez, les locataires qui louent ici habituellement pratiquent le naturisme et ils choisissent cette villa par sa situation parfaite pour pratiquer en toute tranquillité.
- Oui, votre jardinier l'a évoqué, effectivement.
Il rigole.
- Ah, je vois que Joann sait aller à l'essentiel.
J'entends Luc redescendre enfin.

- Tiens, ma chérie. Je t'ai pris un autre short et un autre débardeur.
- Tu as aussi pris une culotte ?
- Bah non, pourquoi ?
J'entrouvre mon short pour lui montrer :
- Parce que tu me l'as aussi trempée, idiot.

Luc sourit, apparemment ravi que j'exhibe ma culotte ainsi devant Lionel. Moi qui pensais que cela le rendrait jaloux, je me rends compte que je ne le connais pas aussi bien que je le crois. Lionel ressort :
- Je vais chercher les papiers de l'état des lieux dans ma voiture, ça vous laisse le temps de vous changer.
Dès qu'il est sorti, Luc se rue sur moi et soulève mon débardeur pour me caresser les seins.
- Mmmmm, tu m'excites. J'aimerais bien que tu restes comme ça...
J'écarte Luc pour pouvoir me changer.
- Avec mon débardeur transparent devant ton copain ?

- Je pense que ça ne lui déplait pas.
- Ça, j'en suis certaine. Mais toi, tu acceptes qu'il voie mes nichons ?
Luc semble réfléchir :
- Je ne sais pas. Bien sûr, j'aime avoir l'exclusivité de ton corps de rêve, mais d'un autre côté je trouverai égoïste d'être le seul à en profiter.
- Ah oui ? Tu me partagerais avec ton copain ?

Il s'insurge :
- Non ! Je n'ai pas dit ça. Je dis que je suis fier d'être avec toi et que je suis encore plus fier de savoir que d'autres hommes te désirent.
Tellement prévisible. Luc n'est finalement pas si différent de la plupart des hommes.
- D'accord, une fierté machiste. Je suis la jolie copine que tu exhibes pour montrer à quel point tu es vrai homme ?
Je regarde les vêtements qu'il m'a descendus :
- Tu n'as pas pris de soutif ?

- Ha bah non, tu n'en avais pas, là. Déjà que je trouve dommage que tu ne restes pas en tee-shirt mouillé, je n'allais pas te ramener un soutien-gorge. Tes seins sont si jolis.
Le bruit de la porte derrière lui interrompt notre conversation. Lionel revient avec un porte document et un stylo. Je cache mes seins avec mes mains avant qu'il n'atteigne la cuisine.
- Oups, je crois que j'arrive un peu trop tôt.
Luc rigole et répond :
- Oui, une minute plus tard et elle aurait aussi retiré le bas.

Je me demande s'il s'agit d'une blague ou si Luc aurait réellement souhaité que Lionel me surprenne complètement à poil. Lionel tend les documents à Luc. Il les prend et me les tend :
- Tiens, c'est toi qui as fait la réservation. Il vaut mieux que ce soit toi qui signes.
Il sourit. Il voit bien que si je prends ce qu'il me tend, je vais devoir révéler un sein à Lionel. D'ailleurs, ce petit cochon attend lui aussi, les yeux rivés sur moi. Je joue le jeu. Je fais glisser ma main gauche jusqu'à mon sein droit et je libère ainsi mon autre main pour saisir les documents.

Luc sourit :
- Bien joué.
- Je peux terminer de me changer maintenant ?
Lionel comprend et retourne dehors. Luc semble déçu.
- Tu sais, il a déjà eu un petit aperçu de tes seins et ça ne l'aurait pas choqué de te voir en culotte.
- Sauf que ma culotte, je vais devoir la retirer. Elle est trempée.

Luc vient se coller à moi et me serre contre lui.
- Mmmmm, tu m'excites comme ça... Et je ne suis pas certain que ce soit uniquement l'eau qui mouille ta culotte.
Il glisse sa main dans mon short et caresse ma minette à travers le tissu humide. C'est bon.

Je suis presque déçue quand il remonte sa main, mais c'est pour la faire redescendre directement dans la culotte cette fois. Et je dois bien lui donner raison : ces petits jeux d'exhibition depuis l'aire de repos sur l'autoroute et là, avec son copain, sans compter les deux masturbations que je lui ai offertes, tout cela m'a énormément excitée. Quand ses doigts s'immiscent dans ma fente, ils découvrent une fontaine de mouille. Je suis à deux doigts de le laisser continuer pour qu'il me donne un orgasme.

Toutefois, je pense à Lionel qui attend dehors. À contrecœur, je retire sa main et me retourne :
- Désolée, mais je dois terminer de me changer.
- Un petit orgasme, rapidement, avant, non ?
- C'est gentil, mais Lionel attend pour finir l'état des lieux.
Je l'embrasse en l'écartant doucement.

Tandis que je retire mon short, je tente d'engager la conversation sur le sujet mystérieux qui aiguise ma curiosité en profitant de l'état d'excitation de Luc pour lui soutirer quelques informations :
- Je n'ai pas bien compris lequel de vous deux est sorti en premier avec Angela ?
- Les deux.
- Comment ça, les deux ?

Je retire mon short. Luc semble gêné. Je le mène sur un terrain qu'il a réussi à contourner jusqu'à présent.
- Et bien... Angela est sortie avec nous deux... en même temps...
- Tu déconnes ? Quelle salope ! Et vous vous en êtes rendu compte au bout de combien de temps ?
- Tu ne comprends pas. On le savait dès le début. C'était convenu comme ça.
J'interromps le retrait de ma culotte en entendant ça.
- Toi ? Tu... tu as fait ça ?

Luc poursuit, apparemment plutôt content que je sois plus surprise qu'en colère :
- C'était bizarre, c'est vrai. Mais c'était chouette.
- Merde ! Tu es en train de me dire que vous avez fait un ménage à trois pendant ton année de terminale ?
- Bah oui. Mais ce n'était pas vraiment un ménage à trois puisqu'on habitait chez nos parents. Mais c'est vrai que les parents de Lionel n'étaient pas souvent là, donc on squattait beaucoup chez eux.
Je suis subjuguée par cette révélation et je comprends mieux les réticences qu'il avait quand j'évoquais le sujet.
- Je n'en reviens pas que tu m'avoues ça maintenant.

Je continue machinalement à retirer ma culotte pour me changer. Luc continue :
- Il n'y a rien à avouer. Ce n'était pas une relation cachée, ni malsaine.
- La pauvre...
- Quoi la pauvre ?
Je me moque un peu de lui :
- Se retrouver avec deux mecs boutonneux sur le dos...

- Alors là, je t'arrête. C'est elle qui menait la danse. C'était une délurée. Rien à voir avec toi.
- Rien à voir avec moi ? Développe.
- Je veux dire. Elle était à l'aise avec son corps et, par exemple, elle ne mettait jamais de soutif et se fichait complètement que l'on puisse deviner ses seins sous ses fringues.
L'enfoiré ! Me comparer avec elle... alors que je suis à poil devant lui. Je cache ma colère et je m'appuie à la table, tendant ma croupe vers lui dans une pose volontairement vulgaire :
- Et si je te laisse me baiser ici, je serai aussi délurée qu'elle ?

- Oh Juliette, ne sois pas jalouse !
Il comprend qu'il est allé trop loin. Il s'approche de moi et me saisit à la taille. Va-t-il me prendre au mot et me faire l'amour alors que Lionel est dehors, juste à côté ? Il s'agenouille derrière moi et plonge sa bouche entre mes cuisses. Je ne m'y attendais pas ! Sa langue me lèche la moule et remonte même vers mon anus. C'est divin ! Il ne m'avait jamais fait ça.

Le nez entre mes fesses, Luc me fait minette. Sa langue s'insinue entre les lèvres de ma chatte. Je sais que je dégouline de mouille. Je retiens mes gémissements. Lionel peut-il m'entendre ? Luc me soulève une cuisse et me fait poser le genou sur la table, se donnant un accès privilégié à mon temple. En cet instant unique, je pense pourtant à Angela. Lui a-t-il fait la même chose ? Mon Dieu ! Deux gars ? Elle avait deux gars pour elle ? Je m'imagine toutes les combinaisons possibles. Quelle salope ! Et comment Luc a-t-il pu accepter de partager avec Lionel ? Ooooh ! Malgré ma position, la langue de ce salopard a trouvé mon petit clitoris...

- Oui...
Je suis proche de l'orgasme. Et maintenant, non seulement j'imagine Luc en train de sucer Angela dans la même position, mais j'imagine aussi Lionel devant elle. Elle le suce. Quelle salope ! Mais ça m'excite tant... Et si Lionel entrait ? Est-ce que... Je... Je ne parviens même plus à penser... Je ne peux plus retenir cet orgasme que mon corps réclame depuis l'aire d'autoroute.
- Aaaaaah ! Oui...

Je succombe. Mon corps vibre, pris de terribles tremblements incontrôlables. Luc me maintient fermement pour que mon clitoris n'échappe pas au bout de sa langue qui continue à exciter mon interrupteur. Je perds contrôle. Je tombe. Je lui échappe. Est-ce que j'ai crié ? Pourvu que Lionel n'ait rien entendu.
Il me faut plusieurs secondes avant de reprendre mes esprits. Luc me regarde avec un regard à la fois tendre et fier. Le conquérant a domestiqué la sauvageonne. Je me redresse au-dessus de lui. Une goutte de cyprine lui tombe sur le nez.
- Oups, excuse-moi...

- C'est un plaisir...
Je veux lui dire que je l'aime, que j'ai adoré ce qu'il m'a fait. Mais la porte s'ouvre à ce moment-là et on entend la voix de Lionel :
- c'est bon Juliette ? Vous êtes décente ?
Je n'ai pas le temps de répondre qu'il est déjà dans l'embrasure de la porte de la cuisine. Je dissimule ma nudité comme je peux.
- Heu... pas tout à fait.

- Zut désolé. Je repars.
Mais Luc l'arrête :
- Dis-moi, Lionel, on se tutoie tous les deux. Peut-être que Juliette et toi pouvez aussi vous tutoyer ?
Lionel se retourne et me regarde en souriant :
- Oui, je crois qu'on peut se tutoyer.
Un peu embarrassée par la situation et surtout ma tenue, je réponds bêtement :
- Si vous voulez...

Lionel tourne à nouveau les talons. Cette fois-ci Luc lui dit :
- On viendra te chercher. Encore désolé...
Je repense à nouveau à Angela. Est-ce que Luc pourrait envisager de me partager moi aussi avec son copain ? Je n'ose pas lui demander ouvertement. Je continue à le questionner sur ce ménage à trois :
- Vous vous tapiez Angela tous les deux ?
- T'es encore là-dessus... Bah... oui.
- En même temps ?

Bon sang ! Pourvu que Luc ne sente pas à quel point tout cela m'excite. Je ne veux pas qu'il puisse penser que je suis une salope comme Angela. D'ailleurs, je regrette presque ce que je viens de faire, lui proposer de me baiser. Au lieu de cela, il a été si... généreux. Il me répond :
- La plupart du temps, oui.
Je suis jalouse. Cette fille se tapait deux mecs en même temps. Dont mon Luc ! J'attrape mon short pour l'enfiler. Je souris pour ne pas montrer à Luc que cela me met en colère :
- Et toi, tu n'étais pas jaloux que Lionel lui fasse l'amour et qu'il la fasse jouir.

- Curieusement, non. On s'entendait super bien avec Lionel et Angela ne nous mettait jamais en concurrence.
Je fulmine. Luc semble se souvenir avec beaucoup d'émotions de cette période. Il poursuit avec cet air agaçant de délicieuse nostalgie que je lui connais déjà :
- C'était quand même une chaude... Je me demande si durant cette année de Lycée, je n'ai pas plus baisé que toutes les années suivantes réunies...
Je devrais me révolter contre une telle remarque, un tel manque de tact, mais je dois avouer que le sexe m'a toujours intimidé et que nos rapports sexuels avec Luc étaient conventionnels. J'attends toujours que ce soit lui qui me sollicite, toujours pour ne pas passer pour une salope. Je garde le sourire et tente de positiver, surtout avec le souvenir de l'épique cunnilingus qu'il vient de m'offrir :
- Tu veux dire qu'on a du temps à rattraper ?

Il soupire, apparemment rassuré que je prenne ça avec humour.
- Pardon, ma chérie, c'était grossier. Ce n'est pas une critique, juste qu'elle était très demandeuse.
Donc il trouve que je ne suis pas assez demandeuse à son goût. Je ne peux pas dire le contraire. Je suis une timide du sexe. Je termine d'ajuster mon short et attrape mon débardeur. Luc va à la porte :
- J'appelle Lionel.
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Angela - épisode 4 : Signature de l'état des lieux
Samedi 30 juillet 17:37
Luc ouvre la porte. Lionel attendait juste derrière. J'ai juste le temps d'enfiler mon débardeur, mais, dans la précipitation, je ne me rends pas compte qu'une partie de mon sein déborde.

Ce n'est qu'en voyait les regards amusés des garçons vers ma poitrine que je contrôle ma tenue et comprends la raison de leur air stupide. Je me rajuste. Devrais-je être agacée par leurs regards pervers ? En tout cas, ce qui est certain, c'est que cela m'excite. Lionel se place devant l'escalier et retire ses tennis :
- Je vous montre rapidement les chambres à l'étage.
- Il faut retirer les chaussures ?
- C'est mieux, mais faites comme vous voulez.
- Pas de soucis, j'aime bien marcher pied nu.
Je m'assois sur un petit banc à côté de l'escalier pour délacer mes chaussures.

Luc me dit :
- Ma chérie, je veux être présent, à chaque fois que tu retireras tes chaussures pour monter, et quand tu les remettras, une fois en bas, surtout avec ce petit débardeur.
Là, je me doutais bien que mon décolleté aurait son petit effet. Levant la tête, je constate que les deux garçons plongent sans vergogne leurs regards dans le sillon de mes seins nus.
- Tout est prétexte à jouer les voyeurs avec toi...

Lionel lève la main :
- Avec moi aussi. J'apprécie tout autant que Luc le spectacle que tu nous offres.
- Oui... ça m'aurait étonnée... Pas pour rien que vous étiez copains tous les deux.
Je me relève et entends Luc commenter à l'attention de Lionel :
- Et l'envers vaut l'endroit...
Je fais semblant de m'offusquer et tire un peu sur mon short :
- Il ne faut pas vous emmerder les garçons ! Matez mon cul autant que vous voulez, comme si je n'étais qu'une poupée.

Lionel désigne l'escalier :
- Puisque tu es désormais pieds nus, tu es autorisée à visiter l'étage.
Ce cochon me laisse monter d'abord. Nul doute qu'il veut encore se rincer l'œil sur mon popotin. Dès le début de l'ascension, je me retourne et vois les deux garçons sourire bêtement en me reluquant le postérieur.

- Bravo, vous ne manquez pas une occasion...
- Regarde donc devant toi ma chérie, l'escalier est plutôt raide...
J'entends Lionel murmurer à Luc :
- Et il n'y a pas que l'escalier...
Super ! Le même humour. Ils étaient faits pour se rencontrer. Tout en montant, j'ai quand même un doute. N'ayant pas de culotte sous le short, j'espère que l'entrejambe de celui-ci est assez large pour ne pas révéler à mes deux courtisans libidineux davantage que je ne souhaiterais leur révéler.

Et j'ai de plus en plus de doute en voyant leurs mines ravies et empourprées quand je me retourne :
- Qu'est-ce qu'il y a les garçons ? Monter un escalier aussi raide vous donne chaud ?
Lionel hoche la tête en souriant :
- Il fait déjà chaud, mais une telle activité n'arrange rien...
- Voici les chambres, les garçons. Vous allez pouvoir vous reposer cinq minutes.

Luc rigole :
- D'accord, mais tu t'installes entre nous ?
- Dans tes rêves.
Encore une fois, je me demande s'il plaisante ou si c'est réellement un fantasme. Angela a-t-elle expérimenté le sandwich avec eux ? Je chasse cette vision de ma tête et me penche sur le lit pour en tester la souplesse.

- Le matelas semble ferme.
Lionel me répond.
- On les change tous les cinq ans. Tu veux tester ?
Je le regarde et constate que son offre va peut-être au-delà de simplement m'allonger sur le lit. Je m'abstiens donc de commenter ou de m'allonger et j'allume la lampe de chevet, mais celle-ci reste lamentablement éteinte. Lionel va essayer la seconde qui, elle, s'illumine aussitôt :
- Ah désolé, ce doit être l'ampoule. À moins qu'elle ne soit pas branchée.
Dans un réflexe inconsidéré, je me mets à quatre pattes le long du lit pour regarder si le cordon est bien branché dans la prise murale.

- C'est pourtant bien branché...
Aucun garçon ne répond. J'ai soudain un frisson qui me parcours l'échine. Ma position avec le cul en l'air, les cuisses écartées et le mini-short leur offre peut-être un spectacle que je ne souhaitais pas nécessairement donner... Je me relève et découvre la mine ravie de Luc et celle subjuguée de Lionel :
- Oups ! Désolée, je n'ai pas nécessairement la tenue adaptée pour ce genre d'acrobatie...

Luc rigole :
- Oh si ma chérie ! Parfaitement adaptée au contraire, c'est juste nous qui ne sommes pas habitués à voir cela et nous nous contentons du silence pour ce vibrant hommage à la beauté.
Lionel semble plus gêné par ce qu'il vient de voir :
- Heu, je vais appeler Bernard pour la lampe.
- Bernard ?
- Oui, un ami de mes parents qui s'occupe de tout le petit bricolage ici : électricité, plomberie... Je redescends lui passer un coup de fil et je vais préparer les papiers pour l'état des lieux. Je vous laisse terminer de faire le tour et regarder attentivement s'il n'y a pas de problème. Je vous attends en bas.
Dès que Lionel a repoussé la porte de la chambre, je décide de m'amuser un peu avec Luc et je me remets à quatre pattes sur le lit, lui exposant ma croupe :
- Lionel a dit de regarder attentivement s'il n'y a pas de problème. À toi de jouer.

- Juliette, tu as conscience que Lionel est juste en bas ?
- Et alors ? Je crois qu'il a déjà admirer mon mini-short, non ?
- Vu comme ça...
Luc attrape mon short et tire dessus.
- Hey ! Je ne t'ai pas dit de me le retirer !

- Ah désolé. J'ai sans doute surinterprété.
- Parce que, du coup, si tu descends mon short, tu en vois davantage que Lionel.
- Bon, du coup, je crois que je vais encore surinterpréter...
Comme je m'y attendais, Luc abaisse davantage mon short.

- Hey ! Dis donc, te voilà bien entreprenant !
- Je suis faible... Je ne peux pas résister à un si joli popotin...
Luc saisit alors mes hanches et je sens son souffle chaud sur mes cuisses. D'avance, je gémis de plaisir. L'instant d'après, sa langue se pose sur ma vulve et remonte lentement... jusqu'à mon anus !

Je tourne la tête :
- Dis donc ! Laisse mon petit trou...
- Tu n'aimes pas ?
- Si... mais c'est mon trou du cul. Pas touche. Tu peux juste regarder.

Je regarde alors en direction de la porte entrouverte et il me semble distinguer derrière une silhouette dans l'ombre du couloir. Finalement, Lionel n'est pas descendu (et c'est vrai que je n'ai pas entendu ses pas dans les escaliers). Je devrais le dire à Luc pour qu'il referme la porte, ou qu'il remonte mon short... Mais je ne fais rien. Je ne veux pas que Lionel se rende compte que j'ai vu qu'il se rinçait l'œil. Luc ne me laisse pas non plus l'opportunité de réagir, car il replonge son menton entre mes cuisses et me suce franchement la moule.

Je gémis de plus belle. Dois-je tenter de refouler l'expression de mon plaisir ? De tout façon, Lionel a déjà bien vu ce qu'il voulait. Mais d'un autre côté, ça risque d'alarmer Luc qui pensera que mes gémissements risquent d'alerter Lionel... Je retiens donc autant que possible mon plaisir et seul un grognement vibrant sort de ma bouche. Cela semble pourtant inquiéter Luc :
- Oups, désolé. On va s'arrêter là, sinon ça va déraper.
- Tu déconnes ! Termine ce que tu as commencé ! Suce-moi.

Je ne me reconnais pas. Je suis le cul à l'air et je demande à mon copain de me lécher la raie alors que je sais que son pote nous observe depuis le couloir. Comme dit précédemment, il est faible et mon injonction lui suffit à revenir à la charge.
- Ok, mais essaye de jouir discrètement...
Comme si j'étais en mesure de me contrôler à ce point... Il commence par me caresser les fesses.

- Bon sang, je me demande si Lionel n'a pas raison...
Entre deux gémissements, je lui demande d'expliciter :
- Mmmm... De quoi ?
- Il a dit que la villa était magique... Je crois que la magie concerne ta libido...
Je le sens insérer un doigt dans ma fente.
- Huuu... Pas la tienne ?
Il se met à me masturber lentement.

- Si, notre libido... Quel pied !
- Huuuuu... Quel doigt ! Huuuu... Ceci dit...
- Oui ?
- Huuuuu... L'aire d'autoroute était magique aussi ? Mmmmm...
- Tu as raison, c'est seulement parce que ce sont nos vacances.
Il se penche à nouveau et, profitant que je suis déjà complètement abandonnée au plaisir, il recommence à me lécher l'anus.

Je n'ai même pas la force de lui dire d'arrêter. Surtout aussi parce que je n'en ai pas du tout envie. C'est un plaisir nouveau et j'espère qu'il ne va pas s'arrêter. À cet instant, je l'imagine avec cette fameuse Angela, en train de lui bouffer le cul, comme avec moi. Est-ce elle qui lui a appris à jouer si talentueusement de la langue ? Mon cerveau se vrille. Mon corps vibre. L'orgasme est là. Angela n'est plus. C'est mon orgasme et c'est mon Luc. Est-ce que je gémis toujours ou est-ce que ce sont des cris ? Je bascule sur le côté, échappant aux douces et terribles caresses de mon copain.

Luc sourit en me regardant :
- Pfffff, je n'aurais jamais cru commencer cette première journée de vacances comme ça !
Et moi donc !
- C'était génial ! J'adore quand tu me câlines la moule comme ça.
- Et le cul ? Tu as aimé aussi, apparemment ?
Je me relève.
- Tu as abusé de la situation...
- Quand je vois la cyprine qui coule encore, je me dis que ça répond à ma question...

Il a raison. Je ne peux pas cacher ça... Je sens bien que j'ai mouillé plus que d'habitude. J'évite de lui dire que le voyeurisme de Lionel n'est sûrement pas étranger à mon excitation.
- C'est la situation, les vacances.
Je remonte mon short.

Luc est rayonnant :
- Je sens qu'on va passer des vacances géniales !
- Si tu entends par là qu'on va passer notre temps à baiser, je t'arrête tout de suite. Là, c'est pour fêter notre premier jour de vacances, mais ne t'attends pas à ce que ce soit comme ça jusqu'à la fin du séjour.
Luc me sourit. J'ai déjà dit vaguement ça un peu plus tôt et il sent peut-être que je n'y crois pas vraiment moi-même.
- En tout cas, merci Luc. C'était vraiment génial. Le cunni debout et le cunni à quatre pattes, c'était une première et j'ai adoré.
Heu... j'ai vraiment dit ça, moi ?

Je constate que mon pauvre Luc a une érection de tous les diables :
- Tu veux peut-être que je te soulage.
Je m'apprête à caresser son entrejambe, mais il écarte ma main.
- Merci. Tu as déjà été généreuse et Lionel va nous attendre. Comme il ouvre la porte pour sortir, je m'attends à trouver notre hôte dans le couloir, mais notre hôte a de toute évidence profité de mon orgasme pour redescendre discrètement. Quand nous arrivons, Lionel tend à Luc un stylo :
- Aucun autre problème que l'ampoule ? Si tout est OK, tu peux signer l'état des lieux ici.
Luc me tend le stylo :
- Si tu es en état, ce serait mieux que ce soit toi qui signes.
- Pourquoi je ne serais pas en état ?

Je vois que Lionel a aussi saisit le sous-entendu, à son petit sourire et à son regard fixé à mes mamelons que je sens tendre le tissu. Je me demande alors si Luc n'était au courant que Lionel était resté pour nous observer. Je prends le stylo et me penche pour consulter le document avant de le signer. J'aperçois Luc passer derrière moi et le suspecte d'en profiter pour encore mater mon séant. Je m'attends à ce que Lionel l'imite, mais je le vois rester devant moi, sans doute pour contrôler que je signe au bon endroit.

Mmmmm, non. Ce n'est pas ça. Inutile de relever les yeux pour savoir. Je sais pourquoi il est resté devant et ce qu'il regarde. Comme je suis penchée en avant, ma position lui offre sans doute une très jolie vue dans mon décolleté et il doit voir une bonne partie de ma poitrine. Curieusement, mon excitation n'est pas retombée et, au lieu de m'offusquer d'être un objet d'étude pour les garçons, je prends au contraire plus de temps que nécessaire pour consulter le document, laissant à Lionel tout le temps nécessaire pour profiter de mes seins.

Quand je me redresse enfin, j'entends les deux garçons reprendre une respiration profonde, comme s'ils avaient retenu leur souffle durant tout ce temps. Je suis extrêmement fière et j'ai un sentiment de pouvoir sur les garçons, ce que je trouve particulièrement grisant.
- Voilà. C'est fait. Et maintenant ?

Lionel dit :
- Bien, je vais vous laisser vous installer et profiter du lieu. Vous êtes chez vous et vous pouvez même faire ici ce que vous n'oseriez pas faire chez vous...
Encore ce sous-entendu au naturisme ? Ou bien aux ébats sexuels dont il a eu un avant-goût ? Quoi que ce soit, moi, cet endroit me plaît énormément.
- Super ! Moi, j'adore déjà.

Lionel reprend son stylo et ses documents dûment signés et nous laisse :
- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous m'appelez.
- Ou on demande au jardinier ?
- Non Joann, n'est là qu'une ou deux fois par semaine et seulement quelques heures car il s'occupe de plusieurs jardins sur la commune. Moi, je serai assez disponible et j'essayerai d'être réactif.
Aussitôt la porte refermée, Luc se rue sur moi et me caresse les seins, faisant glisser une bretelle de mon débardeur.
- Moi, aussi j'adore déjà !

Je me retourne et l'embrasse. Nous nous détachons, souriants. Luc me murmure à l'oreille :
- J'adore te faire jouir. Tu es magnifique quand tu t'abandonnes au plaisir.
- Et moi j'adore tout ce que tu fais avec ta langue... Pourquoi je n'en profite qu'aujourd'hui ?
Mince, en le disant, je fais le rapprochement : les cunnis, j'y ai eu droit à partir du moment où Luc a retrouvé Lionel. Je me fais peut-être un film, mais je suis presque certaine que c'est un truc qu'il faisait à Angela... Merde. Elle fait chier... J'ai l'impression que même en vacances, elle est présente.

- Tout va bien, Juliette ? Tu sembles contrariée tout à coup.
- Je repense à toi et Lionel qui sortiez ensemble avec Angela. Toi, ça ne te posait pas de problème qu'elle se tape aussi Lionel ?
- Bah, c'était curieusement assez simple et naturel et, non, ça ne me posait pas de problème.
- Super. Donc toi, ce que tu veux, c'est une salope chaudasse qui baise à tout va ?

- Ne te fâche. Je n'ai pas dit ça et Angela n'était pas comme ça non plus. Il y a un juste milieu.
- Ah oui ? Un juste milieu ?
- Oui, disons qu'avec son appétit sexuel, c'était bien que nous soyons Lionel et moi pour la satisfaire.
- Oh ! Deux âmes charitables qui se sacrifient pour contenter les désirs d'une nymphomane. Moi je pense surtout que vous étiez deux pervers...
- Écoute, je ne pense pas être très différent des autres mecs et je pense que n'importe qui dans notre situation, à Lionel et moi, en aurait aussi profité. Mais ne te fâche pas, je t'en prie. Si j'accepte de te raconter ça, c'est pour que tout soit clair entre nous. Je t'aime. N'en doute pas un seul instant.
- Tu m'aimes, mais tu m'aimerais d'avantage si j'étais plus "délurée"...

- Je ne vais pas te mentir. Quand tu te montres coquine comme aujourd'hui, j'adore... Mais, je t'aime de toute façon, hier comme aujourd'hui.
Il me fait un clin d'œil et ajoute :
- Mais surtout comme aujourd'hui...
Bon, il m'aime davantage quand je suis une salope... Me voilà bien ! Bon, il faut bien reconnaître que je me suis bien amusée aujourd'hui et que je n'ai pas été en reste avec de magnifiques orgasmes. Finalement, il a raison, mon Luc : il n'est sans doute pas si différent des autres garçons. Et puis ce mystère qu'il entretenait autour d'Angela tombe peu à peu. On va pouvoir crever l'abcès et apprendre à mieux se connaître. Quoiqu'aujourd'hui, c'est moi que j'ai l'impression de découvrir.
- On remonte déballer nos affaires pour s'installer un peu ?

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Angela - épisode 5 : Initiation au nudisme
Samedi 30 juillet 17:51
Luc pose la valise au milieu du lit et l'ouvre :
- Tiens, je te laisse prendre tes affaires, les miennes sont en dessous.
Pourquoi au milieu du lit ? En me penchant pour attraper mes vêtements, je sens son regard sur mes fesses.

- Dis donc, j'ai l'impression que tu es plus intéressé par mater mon cul que par ranger des vêtements, je me trompe ?
Il vient se coller à moi par-derrière et me caresse les seins à travers le tissu du débardeur, faisant peu à peu remonter celui-ci.
- Non, tu as raison. Je préfère largement te regarder.
Je le sens bander dans mon dos.

Je sens que le rangement du peu de vêtements que nous avons va prendre beaucoup plus de temps que prévu, mais cela m'amuse. Je lui fais une proposition à laquelle il ne s'attendait pas :
- Puisque tu préfères regarder, si je me mets à poil, tu me laisses terminer de ranger sans m'importuner ?
- On y est ? On se lance dans le nudisme ?
- Dans la chambre, ça me semble exagéré de parler de nudisme.
Je retire mon débardeur.

À peine le débardeur est-il tombé sur le lit que je sens Luc à nouveau contre moi :
- Hey ! Tu avais promis !
- Je n'ai rien promis du tout. Et techniquement, tu avais dit quand tu seras à poil, or tu as encore ton petit short.
Je rigole de l'argumentaire qu'il est capable d'échafauder pour arriver à ses fins et je penche la tête en arrière pour lancer ma bouche à l'assaut de la sienne.

Je me décolle de lui et je commence à abaisser mon short :
- Tu ne m'empêches pas de le retirer ?
Il semble surpris par ma question :
- Pourquoi je t'en empêcherais ?
- Pour la raison que tu viens d'invoquer. Tu n'auras plus le droit de me tripoter quand je l'aurais retiré.

Luc semble réfléchir en prenant un air exagérément concentré, comme s'il jouait sa propre vie en répondant à cette question.
- J'hésite...
- Et oui, c'est un dilemme : soit tu peux me caresser, mais je garde le short, soit je suis aussi nue que Vénus, mais tu ne pourras toucher qu'avec les yeux.

Je le vois se décider :
- Je suis un incorrigible voyeur. Je vais donc opter pour te regarder terminer de ranger le contenu de cette valise dans le plus simple appareil.
- Je ne range que mes affaires.
- Ah non, les miennes aussi. Il faut que ça dure un minimum.
- Ok, mais à condition que toi aussi tu te mettes à poil.
Je vois à son regard étonné qu'il ne s'attendait pas à ce que j'énonce cette condition. Mais il a tellement envie de me voir nue qu'il retire déjà son tee-shirt. Je commence donc à abaisser mon short, tout en le surveillant.

Quand il termine de retirer son short, j'exprime ma déception :
- Mince, j'imaginais que je te ferais plus d'effet...
Et s'offusque :
- Hé ! Je ne suis pas au maximum, mais ce n'est pas ridicule non plus !

- Je plaisante...
- J'espère bien.
- Et ça va me permettre d'observer si le rangement de cette valise te stimule.

- Oh pour ça, tu vas nécessairement voir l'évolution très rapidement.
- Comme quand je me penche en avant pour ramasser une culotte par terre ?
- Oui, c'est un excellent exemple...

Effectivement, je peux admirer sa queue gagner en volume et se dresser peu à peu comme un hommage à ma croupe. Et moi qui comptais l'exciter de cette manière, je me rends compte rapidement que je suis aussi excitée que lui et je passe mon temps entre deux tee-shirts pliés à observer la progression de son érection :
- Je vois que tu tiens parole...

- Pour le plaisir de tes yeux, ma belle ! C'est là tout l'intérêt du nudisme.
- Quoi donc ?
- De pouvoir se rincer l'œil mutuellement.

- J'avoue que ça me plaît bien.
- Alors, on essayera sur la plage ?
- Ne t'emballe pas. Et profite déjà de ce que je t'offre.
Pour le pousser à bout, je me mets à quatre pattes le long du lit pour glisser la valise vide sous le lit, exposant à Luc ma croupe.

Luc réagit aussitôt :
- Tu veux ma mort ? Je n'ai pas le droit de te toucher et tu m'exposes ton cul comme ça ?
- Ton supplice est terminé, tu vas pouvoir.
- Tu restais dix secondes de plus dans cette position et je te violais !
- Ce n'est pas un viol si je suis consentante...

- Si tu es consentante, remets-toi à quatre pattes !
- Non, on ne va pas passer la journée enfermés dans la chambre alors qu'on dispose d'une piscine et d'une plage.
Je reprends mon short et l'enfile tranquillement en sentant les yeux de Luc se poser sur mes fesses.

- Et tu préfères piscine ou plage ?
- Ah je crois que je vais me laisser tenter par une séance de bronzage sur la plage.
Je termine de remonter mon short en tirant bien dessus pour faire remonter mes fesses.

- Mais si on fait du nudisme, quel intérêt de remettre tes vêtements ?
- Je te l'ai dit. Je peux concevoir de rester nue dans la maison, et encore plus dans la chambre ou la salle de bain, tant que c'est à l'abri des regards. Mais j'avoue que sortir à poil ne me semble pas si simple si quelqu'un arrive sans prévenir, Lionel ou Joann.

- Ce serait si grave ?
- Je ne sais pas... Juste que ça me gêne. Toi tu serais prêt à sortir à poil et à descendre en tenu d'Adam sur la plage ?
- Je t'avoue que je ne suis pas plus à l'aise que ça non plus.
- Et tu me demandes de le faire ? Tu es gonflé !

- Par contre, si tu décides de faire du naturisme, je te promets de le faire aussi.
- Voilà un argument qui peut me motiver ! On verra quand on sera sur place.
- Alors, tu peux tenir pour acquis que je serai à poil moi aussi...
- J'ai hâte de voir ça !

Nous descendons l'escalier qui longe la falaise pour atteindre la petite crique tapissée de sable fin et léchée par les vagues de l'Océan Atlantique. Je regarde attentivement tout autour pour m'assurer que nous sommes vraiment seuls. Luc me regarde avec un sourire ravi :
- Bon... on y est. On a la plage pour nous.
- Vas-y, commence !

- Moi, je suis déjà torse nu. Je n'ai plus que mon short.
- C'est vrai, mais un mec peut rester torse nu sans que personne ne s'en formalise.
- Je te promets de ne pas être choqué à la vue de ta poitrine.
- Petit malin...

Je m'amuse de son regard attentif alors que je commence à faire glisser les bretelles de mon débardeur. Quand je dégage ma poitrine, Luc s'exclame :
- Mon Dieu ! C'est vraiment le paradis ici !
- Ce sera le paradis quand tu auras retiré ton short.
- Toi d'abord.
Je lui tourne le dos, le privant du spectacle de mes seins aux mamelons tendus :
- Ah non. C'est ton tour.

Presque dépité, il soupire et commence à se déshabiller. Quand il exhibe son sexe, je suis presque déçue :
- Oh ! Mais tu ne bandes pas au max, là ?
- Bah, c'est déjà pas mal non ?
- C'est un peu gonflé, un peu tendu, mais je t'ai connu plus glorieux.
- Ne t'inquiète pas, ça ne va pas tarder...

Une fois nu, Luc me somme d'un simple hochement de tête de l'imiter. Je me mets de profil :
- Du calme, je t'ai promis de me mettre à poil si tu le faisais. Tu vas être satisfait.
J'ouvre le bouton du short.

Mais alors que je commence à l'abaisser, mon attention est attirée par un mouvement en haut de la falaise du côté de la villa.
- Merde...
- Quoi ? J'ai l'impression d'avoir vu quelqu'un passer, là-haut.
- Peut-être Joann ?
- J'en sais rien.
- Tu n'as pas vu qui c'était ?
- Non, juste un mouvement fugace...

- C'est peut-être le vent ou l'ombre d'un nuage ?
Je scrute la falaise attentivement, mais ne vois personne. Peut-être que Luc a raison. Je me rassure en me disant qu'au pire il s'agit peut-être de Joann qui travaille encore. Voyant Luc en train de s'impatienter, j'achève d'abaisser mon short, lui exposant ma croupe nue de manière parfaitement indécente.

Cette fois-ci, Luc bande franchement et son sexe dressé fait plaisir à voir. Je ne suis pas franchement aussi à l'aise que lui à me retrouver nue sur la plage et je ne peux m'empêcher de cacher mes parties intimes, ce qui le fait aussitôt réagir :
- Hey, non ! C'est de la triche ?
- Quoi ! Tu veux que je danse au milieu de la plage avec les bras en l'air ?

Il hoche la tête de droite à gauche en souriant :
- Je n'irai pas jusque-là, même si ta proposition me plairait effectivement beaucoup. En fait, je ne te comprends pas.
- La pudeur ne se commande pas.
- Oui, mais pourquoi être pudique ? Tu as honte de ton corps ?
- Non, ça va...
- Alors pourquoi ne pas te dévoiler ? Surtout qu'il n'y a que moi...
- Je sais, je suis désolée, c'est un réflexe.

Je me force à me montrer moins pudique et commence à marcher sur la plage. Luc semble apprécier :
- Alors tu commences à t'habituer ?
- Là, en vingt secondes ? Non pas vraiment.
- Tu as pourtant l'air moins pudique.
- Je me force...

Je suis allée rejoindre un des rochers imposants qui sont au pied de la falaise. Je m'y sens plus à l'abri, mais ça ne m'empêche pas de scruter le haut de la falaise et les abords de l'océan. Cela semble agacer Luc :
- Arrête de croire qu'on nous observe.
- Écoute, c'est la première fois que je fais du nudisme, alors mets-toi à ma place.

- Quel gâchis !
- Quoi ?
- Premièrement, tu ne profites même pas du site, de la situation. On est nus, sur une place magnifique, face à l'océan. Moi, je trouve ça génial. Et deuxièmement, quand on a un corps aussi parfait que le tien, il n'y a pas lieu de le dissimuler.
- Ah oui ? Alors, parce que j'ai un corps parfait à tes yeux, tu veux que je me pavane à poil devant tout le monde ?
Je m'étire alors en me cambrant pour bien faire saillir mes courbes, le laissant imaginer que d'autres hommes puissent être présents.

Son temps d'attente pour me répondre m'inquiète et je me tourne vers lui :
- Hey ! C'est ça que tu veux ??? Que je m'exhibe devant tes copains.
Il hésite. Je sens qu'il n'est pas à l'aise avec cette question. Il finit par me donner la réponse que j'attendais, peut-être pas celle qui était la plus sincère :
- Non, bien sûr que non. Mais là, on est que nous.
Je le regarde et je pense qu'il sait que je ne crois pas à la sincérité de cette réponse.

Je traverse la plage vers le côté opposé de la falaise. Luc soupire :
- Tu ne veux pas t'asseoir et profiter de ce petit paradis ?
- Tu es Adam et je suis Ève, c'est ça ?

- Ah oui ! Je n'avais pas fait le rapprochement.
- Et j'imagine que nous avons la responsabilité de repeupler la Terre.
- Voilà. C'est une super idée.
- Et on commence...
Mon attention est alors captée par un nouveau mouvement en haut de la falaise. Cette fois-ci, je suis certaine d'avoir vu quelqu'un.

Luc tourne la tête dans la même direction que moi et tente de comprendre ce que j'ai vu. Mais la silhouette a déjà disparu.
- Quoi ? Encore un mouvement.
Je ne veux pas qu'il se moque de moi. Je préfère ne rien dire de ce que j'ai aperçu :
- Sans doute l'ombre d'un nuage, tu as raison...

- De toute façon, que veux-tu que quelqu'un puisse voir de là-haut.
Je décide de rentrer dans son jeu pour tenter de le faire réagir :
- Tu veux dire que si j'écarte les cuisses comme ça, il ne verra pas ma moule ?

J'entends Luc déglutir péniblement. Apparemment le spectacle lui plaît, mais ce n'est pas la réaction que j'escomptais :
- Cela ne te choque pas d'imaginer que quelqu'un d'autre que toi puisse profiter de ça.
- Ma chérie, tu es si belle que ce serait égoïste d'être le seul à profiter de la vue de ton corps somptueux.
- Ah, nous y voilà ! Tu ferais donc dans l'échangisme ?

Luc s'offusque :
- Mais pas du tout ! Juste que ça m'excite de savoir que d'autres hommes puissent fantasmer sur toi.
- Et s'ils se masturbent ensuite en pensant à moi, ça ne te gêne pas ?
- Chacun fait ce qu'il veut dans l'intimité. Moi, ça me plaît que tu sois désirable et surtout désirée.
- Ah oui ? En fait, tu es un salaud. Tu ferais passer un bonbon sous le nez d'une fillette et tu le mangerais sous son nez sans le moindre scrupule ?
- L'image n'est pas des plus adaptées, mais l'idée est là, oui.

Je vois que son sexe se tend à cette seule évocation :
- Dis donc, Luc, tu as avoué être voyeur, mais en plus, tu es aussi exhibitionniste ?
- Ah par contre, ce que je fais sur une plage privée, je ne le ferais pas dans la rue ou même à la maison.
- Je comprends. En fait, tu aimes que, moi, je m'exhibe.

- Heu, oui...
Je le sens un peu honteux de m'avoir ouvert une partie de son jardin secret. Mais loin de vouloir me moquer de lui, je lui signifie ce que j'en pense :
- Moi, ça ne m'excite pas particulièrement de savoir qu'il y a un voyeur.
En lui disant cela, je repense à Lionel qui nous a observés dans la chambre. Cela m'a bien excité, mais je ne veux pas que Luc pense que je suis une salope comme son Angela. Je m'approche de lui et ajoute :
- Mais en revanche, ça m'excite de savoir que, toi, ça t'excite.
Je me penche en avant pour lui faire un clin d'œil.

Je viens le rejoindre :
- Et s'il y a effectivement Joann là-haut et qu'il est en train de se palucher en reluquant mes seins, ça t'excite ?
- Oui... Savoir que ma copine est désirée par d'autres hommes, ça flatte mon ego.
- C'est pas un peu macho, ça ?
- Sans doute que si. Mais je suis étonné que ça puisse te poser un problème.
- Et pourquoi donc ?
- Parce que tu devrais aussi être flattée de savoir que d'autres hommes te désirent, non ? Moi, ça me flatterait de savoir qu'une nana se caresse en pensant à moi. Cela te semble malsain ?

- Non, tu as raison... Et Lionel, tu crois qu'il me désire lui aussi ?
- Ma pauvre Juliette. Tu ne te rends compte de rien ?
- De quoi ?
Luc se colle à moi, son sexe tendu contre mon ventre, et empoigne mes seins pour les caresser.
- Tu es si belle que je crois qu'aucun homme ne peut être insensible à ta beauté... surtout dans cette tenue !

- Tu exagères... En tout cas, c'est certain que toi, ça t'excite.
Je lui empoigne le manche et commence à le masturber lentement, tout en lui caressant les testicules de l'autre main.
- Imagine que Joann ou Lionel sont là-haut à me regarder te branler.
- Oui, ils auraient envie que tu leur fasses la même chose...

- Et tu voudrais que je leur fasse la même chose ?
- Je...
Est-ce qu'il hésite à répondre parce qu'il a peur de m'avouer qu'il aimerait me voir branler d'autres hommes ? Ou parce qu'il aime ce que je lui fais ? La réponse ne tarde pas. Il se met à haleter, à rentrer son ventre. Je le sens se tendre. Il pousse un râle et se met soudain à éjaculer. Un premier jet vient s'écraser sur mon ventre. Puis le reste de sa semence se décharge doucement dans mes mains, s'écoulant le long de sa hampe qui frémit entre mes doigts.

Alors que son sperme s'écoule encore, il se penche vers moi, réclamant ma bouche. Nous échangeons un baiser passionné, nos lèvres collées, nos langues enlacées. Quand nous nous décollons, il me répète sa phrase fétiche du jour :
- C'est le paradis, ici !
- Peut-être, mais ton paradis, il me laisse les mains poisseuses !

- Va te les passer dans l'eau, ça suffira.
- Tu as raison.
Sous son regard amusé, je vais me mettre les pieds dans l'eau et me penche pour laisser les vagues me nettoyer les mains.

Alors que je me frotte les mains dans l'eau, Luc m'observe et m'interpelle :
- Juliette, tu en as aussi sur le ventre.
- Oui, j'ai vu merci.

Dès que je me suis passé un peu d'eau, Luc revient à la charge :
- Et tu en as un peu sur les seins.
- Tu es sûr ?
- Oui oui, ça a peut-être séché, mais ça a giclé assez haut.
Sans trop discuter, je me passe rapidement de l'eau sur la poitrine.

Et c'est en voyant son sourire niais que je crois déceler qu'il se moque de moi.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- J'adore voir tes mamelons pointer et l'eau fraîche leur fait le plus grand bien.
- Pffff... idiot.

Revenue sur la plage, je remets mon short. Remettant le sien, Luc me demande :
- Alors, Juliette ? Qu'as-tu pensé de cette nouvelle expérience ?
- Je dois avouer que c'est très agréable de rester nue au soleil.

En le voyant m'observer amoureusement, je ne sais pas pourquoi, je me suis mise à penser à Angela.
- Mais dis-moi, Luc, c'est la première fois que tu fais ça ?
- Bah oui, pourquoi ?
Une fierté m'envahit. J'ai fait avec lui quelque chose qu'il n'a jamais fait avec Angela !
- Pour rien. C'est chouette qu'on découvre ça ensemble.

Je le vois sourire et répondre :
- Ce n'est qu'un début. Apparemment, on peut très bien généraliser le naturisme aussi là haut, à la villa.
- Oui, ça, on verra. Je n'en suis pas encore là.

J'attrape mon débardeur et l'enfile. Je me rends alors compte de l'effet secondaire des manigances de Luc. Non seulement l'eau froide m'avait effectivement fait darder les mamelons, mais, comme je n'ai pas pris de serviette pour me sécher, le tissu du débardeur se colle à ma peau humide.
Luc rigole :
- À défaut de faire du naturisme, je crois que tu feras excellente impression à Joann ou Lionel.
- Lionel a déjà profité de mon débardeur mouillé tout à l'heure dans la cuisine.
- Mais pas Joann...

Je dois avouer que même si je suis habillée, mon débardeur trempé par l'eau laisse voir mes seins par transparence. J'espère que ça aura le temps de sécher d'ici que l'on remonte à la villa.
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Angela - épisode 6 : Délicieuse ascension
Samedi 30 juillet 18:33
Luc semble traîner la patte et passe son temps à me regarder. Je pense savoir ce qu'il se passe :
- Tu ne veux pas remonter ?
- Si si, bien sûr.
- Alors pourquoi tu sembles si peu motivé ?
- Hum, disons que je veux en profiter au maximum.
- De la vue ?
- Oui, c'est cela, de la vue.
Bien sûr, la vue dont il parle, c'est celle sur ma poitrine qui semble capter toute son attention. Il faut dire que le débardeur humide ne dissimule pas grand-chose.

- N'empêche que ce n'est pas très agréable d'avoir le tissu qui colle à la peau, d'autant que ça refroidit vite.
- Attends...
Comme je l'attends avec un air amusé, Luc s'approche de moi en souriant :
- Pour que ça sèche plus vite, le mieux c'est de le relever comme ça.
Je rigole et le laisse relever mon débardeur par-dessus mes seins. Il admire et commente :
- Et tes tétons ont réagi très positivement à cette fraîcheur. J'adore quand ils sont dressés comme ça.
- Ah oui ? Moi, à voir ton caleçon, j'ai bien l'impression que c'est contagieux...

Il rigole en regardant son érection qui déforme outrageusement le tissu du short au niveau de son bas-ventre.
- Héhé, oui. Très contagieux...
- Et tu crois que ça va sécher plus vite en bouchon comme ça ?
- Évidemment ! Au moins tes seins vont sécher et tu auras moins froid.
- Sauf que le débardeur sera encore mouillé en arrivant là-haut et qu'il sera encore transparent et froid !
Il lève les bras au ciel en signe de victoire et crie :
- OUIII !
- Chut, idiot ! Joann est peut-être encore là-haut.

- Cela te gêne qu'il te voie nue ?
Je n'ose pas dire à Luc que je soupçonne Joann d'avoir déjà joué les voyeurs pendant que je m'essayais au naturisme. Par un esprit un peu mesquin, je me dis que je serai aussi gênée d'avoir les seins visibles sous mon débardeur que lui d'avoir une érection nettement visible dans son short. Je décide donc, aussi pour lui faire plaisir, de commencer l'ascension en gardant les seins à l'air. En avançant vers l'escalier à flanc de falaise, je constate que le tissu de mon mini-short en jeans, trempé lui aussi, se colle et se tend sur mes fesses. Cela n'est pas particulièrement agréable pour marcher et monter les marches.
- Pour mon short, je ne peux pas le remonter pour qu'il sèche lui...
Luc réagit aussitôt et abaisse mon short en commentant :
- Tu n'as pas le sens pratique ma chérie. Voilà la solution !
Cela me fait rire, mais je le remonte :
- Pourquoi ne suis-je pas surprise ?

- Parce que tu commences à me connaître.
- Parce que j'ai pris conscience que tu es un gros pervers.
- Pas du tout. Juste que j'ai le sens pratique. D'ailleurs, tu as raison pour le débardeur, il ne faut le laisser en boule au-dessus de tes seins. Retire-le, je vais le prendre, il séchera mieux.
- Oh oui ! Comme tu as le sens pratique et je sens bien à quel point tu es désintéressé. Sauf qu'il est hors de question que je me pointe en haut avec les nichons à l'air.
- Promis, juré, je te le rends avant qu'on soit en haut.
- Mouais...
Pourquoi est-ce que je me laisse convaincre aussi facilement ? Je lui donne mon débardeur en espérant pouvoir lui faire confiance.

Comme j'avance vers l'escalier, il vient me rejoindre. Je sais déjà ce qu'il veut : empoigner mes seins et jouer avec mes tétons. Je lui écarte les mains avant qu'elles ne s'abattent sur mes globes mammaires et lui rabats contre les cuisses :
- Bas les pattes !
- Quoi ? Je ne fais rien de mal.
- À ce rythme, on n'est pas près d'atteindre le haut de cet escalier.
- Et alors ? C'est les vacances. On a le temps. Tu es belle, je veux en profiter.
- Oui...
Il se penche pour m'embrasser dans le cou.

Je soupire, plus furieuse contre moi-même de céder à tous ses caprices que contre ces petits jeux érotiques qui, finalement, me plaisent beaucoup à moi aussi. Je me retourne contre lui :
- Tu es un incorrigible pervers.
- Je préfère "épicurien"...
Je me penche vers mon Épicure et nous nous embrassons passionnément.

Quand nos bouches se séparent, je sens que je suis en train de mouiller. Ce coquin a réussi à m'exciter à nouveau. Et il ne s'arrête évidemment pas en si bon chemin :
- Quel dilemme !
- Quoi ?
- Quand je vois tes fesses magnifiques dans ce petit short serré, je suis partagé entre l'envie de le remonter encore un peu pour faire saillir le bas de tes fesses ou de l'abaisser pour en voir davantage.
- Il n'est pas question que tu me l'abaisses.

- Bien sûr que si. Le débat est ouvert.
Il saisit alors mon short à deux mains et me l'abaisse vivement sur les cuisses, exhibant mes fesses nues et probablement un peu davantage.
- Hey ! Tu es insupportable !
- Non, épicurien. Souviens-toi.

Je remonte le short :
- Et jusqu'où va un épicurien ?
- Tant qu'il y a du plaisir à prendre, l'épicurien ne recule devant rien.
- Oh, tu as l'air de bien t'y connaître.

- C'est un peu ta faute. Ta seule beauté est un hommage aux plaisirs de la vie et je me refuse de ne pas en profiter.
- Parce que ce n'est pas négociable ?
- Bien sûr que non ! Si tu ne retires pas toi-même ce short, je te l'abaisserai à chaque marche.
- Mais tu me le rendras en haut avec mon débardeur ?
- Évidemment, pour qui me prends-tu ?
Encore une fois, je soupire. Encore une fois, surtout dépitée par ma propre faiblesse. Et je retire donc mon short.

Je lui tends le short en jeans trempé :
- Garde-les bien étendus pour qu'ils commencent à sécher.
Je n'ai bien sûr aucun doute sur le fait que les deux minutes d'ascension, en prenant beaucoup de temps pour admirer le paysage, ne seront pas suffisantes pour que tout cela sèche, malgré une chaleur particulièrement étouffante et le vent tiède qui l'accompagne. Je constate à quel point Luc est ravi de me voir commencer à monter, totalement nue.

Il reste derrière moi, pas trop près, sans doute pour avoir le meilleur point de vue sur ma croupe. Je prends mon temps :
- J'espère que je ne monte pas trop vite ?
- C'est parfait !
- Pervers !

- Épicurien !
- Cela sonne moins comme une insulte...
- Comme tu y vas. Comme si ce que je te demande est répréhensible.
- Parce que ça te semble naturel que je sois nue pendant les vacances ?
- Déjà ce n'est pas un lieu public, donc on fait ce qu'on veut. Ensuite, oui, quand je te vois nue ainsi, je trouve cela tout à fait naturel.
- Ouais... en fait, tu aimes me voir au naturel...

- Exactement. Et ne me dis pas que ça ne te plaît pas, à toi aussi.
- Je le fais pour toi.
- Pas seulement.
- Qu'est-ce que tu veux dire ?
Je me mets à inspecter le haut de l'escalier et la plage en bas, croyant comprendre dans son allusion qu'il n'est pas seul à profiter du spectacle. Mais il me précise sa réponse :
- Tu le fais aussi parce que ça t'excite. Et ça, tu ne peux pas me dire que ce n'est pas le cas.
Je comprends qu'il a une vue privilégiée pour constater que je mouille et je ne peux effectivement pas cacher cet état de fait.

- Oui... C'est vrai.
- Héhé, tu ne peux rien me cacher. Alors arrête de dire que je suis pervers. Toi aussi tu aimes ça. Je me trompe ?
- Non... C'est bon de savoir que je t'excite.
- Si tu savais à quel point ! Je n'ai qu'une envie, c'est de te dévorer la moule que tu exhibes sous mes yeux.
- Et qu'est-ce qui empêche mon épicurien de résister ?
Qu'ai-je dit ? Évidemment, Luc ne résiste pas une seconde de plus et m'attrape à la taille pour lécher mon abricot juteux.

Je lâche un feulement de plaisir en sentant sa langue s'immiscer entre mes lèvres gorgées de désir. Ses doigts s'en mêlent, se glissent en moi, explorent mon intimité. Et sa langue remonte, explore mon petit trou.
- Que ? Qu'est-ce que tu fais ?

Il ne répond pas et continue à me lécher l'anus. C'est bon, ça me donne chaud. Mon cœur palpite. Mon ventre dégouline. Je sens que je perds contrôle. Et si quelqu'un apparaît en haut de l'escalier ?
- Luc... C'est bon... mais arrête s'il te plaît...
Sans doute ne suis-je pas assez péremptoire. Il semble au contraire vouloir accentuer l'intromission de sa langue dans ce canal inexploré à ce jour.

J'ai le sentiment que je vais bientôt jouir, mais je ne veux pas que cela s'entende si quelqu'un est à la villa. Mais il est trop tard pour dire à Luc d'arrêter. Il n'en a pas envie et moi non plus. Il interrompt son exploration linguale et ses doigts reviennent explorer ma vulve. Il me masturbe, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. Je suis sur le point de succomber. Il introduit deux doigts. Je ne tiens plus. Impossible de ne pas crier. Mon orgasme est impossible à retenir. De multiples décharges électriques envahissent mon bassin, se diffusent à tout mon corps, tandis que ma gorge laisse échapper l'expression de mon extase. Plusieurs muscles se tétanisent : mes cuisses, mon ventre, mes fesses... alors que Luc continue à faire aller et venir sans relâche ses doigts en moi.

Luc attend quelques secondes que les spasmes se calment avant de retirer ses doigts. Quand il me libère, je sens un léger flot de cyprine qui s'échappe et s'écoule le long de ma cuisse. Il s'empresse de recueillir mon nectar avec ses doigts et de les porter à sa bouche.
- Mmmmh, tu es toujours aussi délicieuse, ma chérie.
- Et toi tu trouves toujours à me surprendre pour me faire jouir.

- J'essaye d'être imaginatif et je suis ravi que cela te plaise.
- Par contre, je n'ai pas été très discrète. Si quelqu'un a entendu là-haut, il risque de venir, donc je veux bien tu me passes mes fringues.
Il me tend mon short que j'enfile rapidement, surprise qu'il ne soit pas trempé :
- Il est presque sec. On a mis tant de temps que ça à monter ?

- Héhé, non. Mais il y a le soleil, le vent et surtout ton corps qui dégage en permanence une chaleur torride.
- Idiot !
Il me rend mon débardeur qui est lui aussi seulement très légèrement humide. Alors que je l'ajuste, je m'amuse de voir la réaction de Luc :
- Tu en fais une tête ! Tu en as bien profité non ?
- Oui, mais j'espérais que ton haut soit encore un peu humide pour continuer à admirer ta poitrine par transparence.
- Désolée. Tout à une fin. Et comme ça tu en profites mieux quand ça arrive.

Encore à bout de souffle je reprends l'ascension, suivi de près par mon homme, et je me rends compte à quel point il est difficile, juste après un orgasme, de fournir cet effort pourtant moindre. Alors que nous atteignons les dernières marches de l'escalier, je tombe nez à nez avec Joann, torse nu et en jeans, qui me regarde en souriant.
- J'ai entendu des cris, je me suis inquiété.
Nous a-t-il vus juste avant ? Est-ce lui que je pense avoir aperçu plus tôt en haut de la falaise quand nous étions nus sur la plage ? Au petit sourire qu'il affiche, je me le demande.

Essoufflée, je m'appuie les mains sur la dernière marche, juste à ses pieds :
- Tout va bien... On a fait les fous en remontant... je... je dois reprendre mon souffle.
- Courir dans les escaliers, à flanc de falaise, ce n'est pas très prudent.
En relevant la tête vers lui pour lui répondre qu'on a fait attention, je me rends compte qu'il a le regard perdu dans mon décolleté et il semble se délecter de la vue de mes seins nus sous le débardeur.

Je devrais me redresser pour soustraire mes seins nus à ce voyeur, mais, comme plus tôt avec Lionel, j'apprécie de sentir ce pouvoir que j'exerce sur Joann. Voyant que la conversation est au point mort, Luc s'impatiente derrière moi :
- Et tu comptes terminer de monter ces cinq dernières marches ou on passe la soirée ici ?
- Je t'ai dit que je suis essoufflée. L'ascension m'a donné chaud.
- Je sais ce qu'il te faut pour te rafraîchir.
Je n'ai pas le temps de réagir que, déjà, Luc abaisse à nouveau mon short, exposant mes fesses. Je le rajuste aussitôt en le grondant gentiment :
- Dis donc, tu oublies que je n'ai pas de culotte.

Il rigole et répond :
- ça, non. Je ne risque pas d'oublier et c'est justement pour en profiter.
- Idiot.
Heureusement, d'où il se trouve, Joann n'a pas vraiment pu voir les manigances de Luc derrière moi. Il est de toute façon en extase dans mon décolleté.
- Excusez Luc, il est souvent un peu puéril.
- Oh, ça ne me choque pas.

Peut-être que ça ne le choque pas, mais à force de regarder mes seins ballotter dans le décolleté, cela lui a déclenché une formidable érection. Son jeans est outrageusement déformé et je suis certaine qu'il n'existe pas au fond de sa poche un manche de tournevis aussi gros que la proéminence que j'ai sous les yeux. Un peu espiègle, je demande à Joann :
- Je vois que vous portez un jeans serré. Ce n'est pas un peu étroit pour travailler ?
- Si, j'avoue. Surtout dans certaines circonstances.
Je ne sais pas si je dois apprécier ou non d'être une "circonstance", mais la forme que je devine, suscitée par la "circonstance", est plutôt agréable.

Je décide de terminer de monter avant que Luc n'abaisse à nouveau mon short. En passant devant Joann, je ne résiste pas à lui rappeler sa proposition.
- Dites-moi Joann, si vous êtes plus à l'aise à travailler nu, il ne faut pas que ça vous gêne. C'est vrai que le lieu s'y prête bien.
- Je vous remercie. Mais il faut encore que votre copain soit d'accord.
Pleine d'espoir, je me tourne vers Luc :
- Mon chéri, tu ne vois pas d'inconvénient à ce que le jardinier travail nu s'il est plus à l'aie sans vêtement ?

Luc répond aussitôt avec beaucoup de calme :
- Aucun souci, Joann. Mettez-vous à l'aise. Peut-être que nous y viendrons aussi.
Luc me fait un clin d'œil et, quand je me retourne vers le jardinier, j'ai la surprise de découvrir qu'il a déjà retiré son jeans et qu'il affiche une érection qui correspond bien aux mensurations suspectées à travers le tissu.
- Désolé pour l'état...

C'est Luc qui répond :
- Ce serait faire injure à Juliette de ne pas bander en sa présence. Je vous avoue que moi, aussi, je bande.
Merde ! Il a vraiment dit ça ? Il accepte qu'un autre homme soit en érection devant moi ? Probablement à cause de moi ? Moi qui croyais connaître Luc... En tout cas, le corps nu de Joann exposé ainsi devant moi ne me laisse pas indifférente.
- Vous voilà plus à l'aise pour vos occupations, non ?

- C'est indéniable. Mais je vous rassure, je me rhabille pour les tâches avec des outils dangereux.
- C'est sage. Et pour rentrer chez vous.
- Bien sûr. D'ailleurs, je vais bientôt rentrer. Je vous laisse, je vais ranger mes outils.
Mon Dieu, heureusement qu'il ne range pas l'outil que j'ai sous les yeux ! Quand il se retourne et s'éloigne, je ne peux m'empêcher d'admirer sa carrure et surtout ses fesses musclées.

Je veux partager mon exaltation avec Luc :
- Waouh, Luc ! C'est vraiment le paradis ici ! C'est la première fois qu'un mec se met à poil quand je lui demande !
- Ah parce que tu demandes souvent à des mecs de se mettre à poil ?
- Bah non, idiot. Mais c'est hyper excitant d'avoir l'impression d'avoir le contrôle sur un mec.
- Tu crois qu'il se soumettra au moindre de tes désirs ?
- Si je lui demande gentiment, j'en suis certaine.

- En tout cas, moi tu ne m'as jamais demandé de me mettre à poil...
- Là, j'ai envie que tu te mettes à poil, que tu le sois en permanence et que tu passes devant moi pour que j'admire ton cul.
- Héhé, ça t'a bien chauffée de voir le jardinier en naturiste, hein ?
- Luc, rentrons. Ou je ne réponds plus de rien.

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Angela - épisode 7 : Petite pause crapuleuse
Samedi 30 juillet 18:59
Une fois à l'intérieur de la villa, Luc me demande :
- Alors cette expérience de naturisme ?
- C'était assez agréable, j'avoue. Sentir le soleil sur ma peau était effectivement très agréable.
Dois-je dire à Luc que j'ai surtout été excitée à l'idée que Joann nous observait peut-être depuis le haut de la falaise ? Luc semble aussi bien échauffé à voir son entrejambe :
- J'ai l'impression que tu es dans le même état que ce pauvre Joann tout à l'heure ?

- Que veux-tu, Juliette, c'est naturel. Qui ne banderait pas en te voyant ?
- Tu as déjà dit ça à Joann tout à l'heure. Tu radotes.
- Du coup, ça confirme ce que je disais : tu es si excitante que mon cerveau n'est plus assez irrigué.
- Et pourtant, je me suis rhabillée.
Je relève mon débardeur car, même si j'adore avoir ce genre de conversation avec mon mec, de toute façon j'ai bien l'intention que Luc me fasse l'amour.

Luc me regarde amoureusement relever mon débardeur au-dessus de ma poitrine :
- Tu aimes que je m'exhibe ?
- Oui. Et toi, est-ce que ça t'a mise mal à l'aise que Joann manque de te voir nue ?
J'hésite à lui exprimer ce que j'ai ressenti, car j'en ai un peu honte.

Il semble percevoir ma réticence à me livrer :
- Si cela t'a excitée, il ne faut pas que cela te perturbe. Je crois que c'est naturel.
- Oui... ça m'a fait un peu d'effet.

Luc sourit. Cela semble donc lui convenir.
- Et toi, mon chéri, tu n'es pas jaloux que d'autres hommes puissent voir les parties intimes que tu devrais être le seul à contempler ?
- On en a déjà parlé. Je t'ai dit que je trouve ça très... émouvant. J'ai confiance en notre amour et je ne pense pas qu'il puisse être entaché de quelque manière que ce soit par nos petits jeux.
Il vient vers moi et m'attire à lui de son bras gauche. De son autre main, il s'amuse avec mes seins et nos bouches se retrouvent pour un baiser torride.

Je sens que je mouille. J'ai envie de lui, mais je ne veux pas précipiter les choses. C'est si bon de prendre son temps. Quand nos lèvres se séparent, je lui murmure, comme un secret :
- Luc, je t'aime.
Il sourit et, sans me répondre, se penche sur mes seins pour les embrasser à tour de rôle.

- Mmmm, ça vous rend dingue, les nichons, hein ?
- Oui.
- Le jardinier aussi... tout à l'heure.
- Quoi ?
- En haut de l'escalier... Il voyait tout dans mon décolleté.

Curieux, Luc s'interrompt et m'écoute en souriant. Je poursuis :
- J'étais penchée et, comme tu m'as abaissé mon short, j'ai gardé la pose suffisamment longtemps pour qu'il se rince bien l'œil.
- À propos de short...
Il ne perd pas le Nord... Je fais donc glisser mon short sur mes cuisses.

- Dis donc, je suis à poil, mais toi tu es toujours habillé... Tu vas encore te contenter de regarder ?
- Je dois dire que c'est plaisant de te voir t'effeuiller ainsi devant moi.
- Mais moi aussi, j'ai envie de te voir nu.
Pour l'inciter à se déshabiller, je lui dissimule la vue de mes seins.

- Tu ne verras plus mes seins tant que tu ne seras pas à poil.
- Je me contenterai de tes cuisses et de ton ventre.
- Oui, de toute façon, quoi que je cache tu trouveras toujours quelque chose à voir.

- Tu es si belle à contempler, et pas seulement tes parties intimes.
- Mais moi aussi, je veux pouvoir te contempler.
- Alors si tu veux me voir nu, il va falloir que tu interviennes...
Je soupire et je le rejoins. Il me revient donc l'honneur de le déshabiller moi-même. J'avoue que ça me plaît bien.

Une fois son tee-shirt retiré, il me saisit à la taille et me contemple :
- J'adore quand tu t'occupes de moi. Cela ressemble à des préliminaires.
- Oui, je crois que je suis bien tombée.
- Ah oui ?
- Plusieurs copines me racontaient souvent comment leurs mecs les pénétraient dès qu'ils étaient en érection sans se soucier des préliminaires.
- C'est important les préliminaires, ça fait monter la température et ça augmente le désir.
- Je t'aime, mon petit épicurien.
Nous nous embrassons à nouveau.

Quand nos lèvres se séparent, il me sourit :
- Donc ça y est ? Je ne suis plus un pervers ?
- Non. J'ai compris ta quête du plaisir. Ton plaisir, mais aussi le mien.
- Évidemment.
- Et mon plaisir pour le moment, c'est que tu retires ce short.

- Oh Juliette, que j'aime quand tu es comme ça !
- C'est quoi comme ça ?
- Quand tu prends des initiatives et que tu sembles assoiffée de sexe.
Je baisse son short et extrais son sexe en érection, que je saisis doucement pour le masturber.

Mais soudain, dans le reflet de la baie vitrée, alors que le jour décline dehors, je m'aperçois : nue en train de masturber mon mec. Est-ce bien moi ? Luc a dit "assoiffée de sexe" comme il aurait pu plus simplement dire "salope". Est-ce que c'est ce que je suis en train de devenir ? Est-ce bien moi ? J'abandonne Luc et m'écarte :
- Je... Qu'est-ce qu'on est en train de faire ?

Luc n'est pas fâché. Il me sourit, bien qu'il soit certainement surpris de ma réaction. Il se montre rassurant.
- De l'épicurisme. On découvre des plaisirs qu'on n'avait osé s'offrir auparavant.
- Mais pourquoi ?
- Le contexte, je pense. Notre éducation peut-être un peu puritaine est une contrainte et, ici, dans cette villa, tout semble moins contraignant. C'est sans doute ce que Lionel appelait la magie de la villa.

Comment fait-il pour avoir cette faculté d'analyse ? J'ai l'impression d'être immature, de ne pas comprendre le sens profond de l'existence. Nous avons pourtant le même âge. C'est l'expérience. Il a beaucoup plus d'expérience que moi. Il a eu Angela. Lionel et lui ont eu Angela. C'est cette salope qui lui a tout appris. Et moi je suis derrière, à la traine. Au moins, c'est moi maintenant qui profite de ce qu'elle lui a appris. Je réagis. Je m'approche de lui. Il tend la main vers mon entrejambe, je le laisse en prendre possession.

Au contact de ses doigts sur ma vulve, je me rends compte à quel point je mouille en abondance. Je saisi son sexe. Il est chaud et parfaitement raide. Luc est dans le même état d'excitation que moi. Il me demande :
- Combien d'orgasme as-tu eu aujourd'hui ?
- Je ne sais pas... beaucoup.
J'ai effectivement perdu le compte. Il m'empêche de me concentrer sur le décompte de ma journée, en m'embrassant à nouveau.

Je n'en peux plus. Je le repousse sur le canapé et soupire profondément en voyant sa queue dressée. Il rigole :
- Je crois qu'on a bien mérité ça !
- Tu parles, j'en rêve depuis ce matin.
- Alors, qu'est-ce qui te retient ?

- Plus rien !
Je m'approche. Je m'assois à côté de lui et saisis son membre turgescent. Il me caresse doucement les seins. Il rigole encore :
- Bravo pour ta patience, si tu patientes effectivement depuis ce matin !
- Justement, j'ai trop envie, mais je ne veux pas précipiter les choses.

Il fait mine de se relever :
- Si tu préfères, on peut aller dormir et reprendre ça demain matin ?
- Idiot !
Je me relève et escalade Luc pour prendre position. Son dard trouve naturellement son accès tant attendu. Je retiens mon souffle tandis qu'il me pénètre.

Bien que Luc soit particulièrement gros (je pense que c'est encore un effet très positif de notre séjour ici), je mouille tant qu'il me pénètre sans la moindre difficulté. Une fois qu'il est bien emmanché en moi, je reprends mon souffle :
- Allons-y. Doucement.

Alors que je commence à monter et descendre sur son délicieux manche, je le sens qui regarde vers la porte d'entrée. Comme je ne le sens pas vraiment à son affaire, je lui demande :
- Que... Qu'est-ce que tu regardes ?
- Tu es sûre que Joann est parti ?
- Je... je crois, oui...

Ma réponse, ou peut-être le fait que cela ne m'inquiète pas, semble le rassurer et il se laisse davantage aller au plaisir. Il me prend alors l'envie de pimenter notre séance par un petit jeu pour voir comment il réagit.
- Et... et si Joann ouvrait cette porte ? Que... mmmmmh... que ferais-tu ?
À ma grande surprise, il reprend mon idée en retirant l'aspect hypothétique :
- Joann est entré. Il nous observe.

Sa réponse fait son effet. J'ai beau savoir que Joann est parti, le ton que prend Luc me fait douter. Je ne peux m'empêcher de regarder en direction de la porte pour m'assurer qu'il s'agit bien d'un scénario hypothétique et que le jardinier n'est pas effectivement entré dans la villa. Curieusement, je sens presque une pointe de déception en constatant que Joann n'est pas là. Je prends conscience que ce petit jeu me plaît particulièrement : envisager qu'un voyeur nous observe.

Luc doit sentir que son petit jeu m'émoustille. Il poursuit :
- Il regarde ton cul. Il aime beaucoup. Il est resté nu depuis tout à l'heure et il bande déjà très bien.
- Il va... Mmmm... Est-ce que... il va s'approcher ?
- Oui, discrètement, il s'approche.

- Oooh... Il... il veut me caresser ?
- Évidemment, qui ne le voudrait pas ?
- Mais il va le faire ?
- Il faut lui demander...
Luc le dit avec tant que conviction que je tourne à nouveau la tête pour constater que Joann n'est malheureusement pas là.

Je suis si chaude à l'idée que Joann puisse être là à nous observer que l'orgasme me gagne. Toute l'excitation de la journée semble se concentrer dans cet orgasme et mes cuisses et mes fesses sont prises de spasmes violents tandis que je hurle mon plaisir :
- Oooooh ! Ouiiiii ! Aaaaaaaaaah...
Cela semble déclencher l'éjaculation de Luc. Il grogne. J'aime l'entendre grogner comme ça au moment où il jouit. Et je sens alors qu'il propulse en moi une quantité considérable de sperme. Peu à peu, Luc termine de se vider en moi, alors que mon orgasme finit par se calmer. Il se retire et je sens un flot de semence s'écouler. Je regarde encore une fois vers la porte. Pas de Joann.

Luc reprend son souffle :
- Oh ma chérie, c'était génial. Je crois que je n'ai jamais autant joui.
J'ai envie de lui dire que les vacances commencent tout juste et que la suite pourrait être encore mieux, mais je ne veux pas m'avancer sur ses attentes, ni sur mes capacités. Je me relève. Je sens son sperme qui s'écoule sur mes cuisses. Il sourit :
- Bon sang ! Je...
Il hésite à le dire, je termine sa phrase :
- Oui, tu m'as mis tout ça. Tu as été très généreux.
- J'aurais pas cru...

Je rigole et me retourne :
- À moins que Joann, en mode furtif, soit venu lui aussi se déverser en moi, je crois qu'il va te falloir assumer cette effusion.
- Et si Joann avait la possibilité de se rendre invisible ?
- Et tu crois que ce serait vos deux semences que j'aurais là ?
Je porte la main entre mes cuisses pleines de sperme.

Nous rigolons. Luc me regarde avec étonnement :
- J'espère que ça ne te dégoûte pas tout ce sperme.
Il est vrai que, si j'ai déjà parfois un peu sucé Luc, je ne l'ai jamais laissé éjaculer dans ma bouche, même si je suis certaine qu'il adorerait ça. Le sperme me dégoûte. Ou du moins le sperme me dégoûtait. J'avais découvert un peu plus tôt dans la journée que son précum n'était pas si mauvais que ça. Luc me regarde, toujours aussi étonné. Peut-il lire en moi les réflexions que je me fais ? Comprend-il mon hésitation en me voyant observer mes doigts pleins de sa semence ? Je me lance. Je porte mes doigts à ma bouche pour les lécher.

Luc m'observe attentivement. Il bande à nouveau. Il finit par me demander :
- Alors ? C'est comment ?
- Bah tu dois savoir quel goût ça a, non ? C'est bien ton sperme, que je sache ?
- Je n'ai jamais goûté. Curieusement, ça ne m'attire pas vraiment. Toi, as-tu déjà goûté ta cyprine ?
- J'avoue effectivement que non...
Je termine de me lécher les doigts et je réponds à sa question précédente :
- C'est suave.

- Suave ?
- Oui, c'est doux, j'aime bien. Un peu salé, mais c'est agréable.
- Alors tu peux en profiter car il y a de quoi faire avec ce qu'il y a entre tes cuisses et, si tu as besoin, je peux évidemment remettre ça quand tu veux.
- Je n'ai aucun doute là-dessus !
Je consulte l'heure sur son téléphone portable laissé sur la table basse :
- Il est déjà bientôt vingt heures... Je vais prendre une petite douche.

Luc se dirige vers la cuisine :
- Je nous prépare une petite salade fraîche pour ce soir.
En arrivant à la salle de bain, je sens encore le sperme de Luc qui s'écoule le long de mes cuisses. Déjà nue, je n'ai plus qu'à me faufiler dans la douche et à laisser couler l'eau tiède sur moi.

Ce n'est qu'au moment de prendre du savon que je me rends compte que je n'ai rien pris, ni serviette, ni savon. J'appelle Luc à l'aide :
- Luc ! Luc ? Tu peux m'amener le savon et une serviette ?
Armé d'une grande serviette blanche et d'un savon de Marseille, il entre, toujours nu, mais plus vraiment en érection. Je me moque de lui :
- Oh, elle n'avait pas l'air très excitante cette salade !

- C'est pour ça que je n'ai eu aucun scrupule à l'abandonner quand tu m'as appelé au secours.
- Et mon prince charmant a accouru !
Il me rejoint sous la douche et, plutôt que de me donner le savon, il entreprend de me savonner lui-même. Commençant par mes seins et descendant peu à peu sur mon ventre et mon entrecuisse.

Il s'y attarde plus longtemps.
- Je crois que ça va être bien propre.
- Je te dois bien ça, ma chérie.
- Oui...
Il commence à bien m'exciter avec ses doigts qui investissent de plus en plus ma moule.

Bien sûr, lui aussi ça l'excite et je vois que son sexe se gonfle et se redresse joliment. Je saisis son manche que je sens déjà palpiter entre mes doigts.
- On dirait que toi aussi, tu as besoin d'être savonné, non ?
- Mmmmh oui...
Je m'accroupis et commence à le masturber lentement, glissant mon autre main entre ses cuisses pour lui masser les testicules.

En fait, j'ai très envie de goûter à nouveau à son sperme. Simple curiosité. J'espère que je ne suis pas déjà addicte ! Je m'apprête à lui proposer d'éjaculer dans ma bouche :
- Dis Luc, j'aimerai goûter encore à ton...
Mais il se retourne soudain et, avant que je n'aie le temps d'ouvrir la bouche, il se met à gicler à tout va, propulsant plusieurs jets de son sperme épais sur mon visage, sans atteindre ma bouche.

Je reste quelques secondes avec son sexe palpitant en main, encore sous la surprise de cette éjaculation. Il reprend rapidement son souffle :
- Je... je suis désolé, ma chérie... C'est parti plus vite que je ne l'aurai cru.
Avant que je n'aie le temps de lui dire que c'était presque ce que je voulais, mais que je vais quand même pouvoir goûter à sa semence, il dirige la pomme de douche vers mon visage et, en deux secondes, fait disparaître les giclées blanchâtres.
- Non !
- Quoi ?
- Je voulais y goûter à nouveau...
- Oh, ne t'en fais pas pour ça.
Dès qu'il a savonné et rincé un peu son sexe, Luc sort de la douche et va prendre la serviette pour me la tendre.

Mais je ne la saisis finalement pas :
- Tu as assumé ton délit en me nettoyant. Tu dois maintenant aller jusqu'au bout en m'essuyant aussi.
- Ah oui ? Pourquoi pas. Avec plaisir.
Il s'accroupit et commence à me sécher les pieds. Quand il commence à remonter, j'écarte les cuisses et lui expose mon coquillage :
- Je crois qu'ici, ça va être dur de sécher. J'ai l'impression que ça mouille en permanence.

- Ne t'inquiète pas. Je suis têtu. J'y passerais le temps qu'il faudra...
Bien sûr, il y passe du temps et bien sûr, ses caresses sur les cuisses et les lèvres de mon sexe me font mouiller, encore et encore. Cela semble l'amuser et je n'ose pas lui dire d'arrêter tellement c'est bon.

Mais je ne suis pas certaine qu'il puisse me donner un orgasme ainsi malgré toute la délicatesse qu'il y met. Je le fais se redresser :
- Viens allons dans la chambre.
Il ne discute pas. Il sourit béatement, manifestement ravi que je prenne les choses en mains. Et quand je dis les choses...

Tout en le masturbant pour entretenir une fière érection, je lui murmure :
- Tout à l'heure, tu m'as frustrée en éjaculant si vite et ensuite en nettoyant aussitôt ton sperme.
- Désolé, ma chérie.
- Maintenant, tu vas devoir te faire pardonner.
- Je suis impatient que tu me montres comment...
Sans lâcher son sexe, je le fais s'allonger et je continue à masturber tranquillement son mandrin.

- Écarte un peu les cuisses pour me faire une place.
Il s'exécute et je viens m'installer entre ses jambes. Je saisis sa hampe turgescente et commence à déposer sur son sexe de petits baisers, d'abord au niveau de ses bourses puis remontant vers son gland.
- Mmmmmm, ma chérie... Rappelle-moi de te frustrer régulièrement.

Ma langue tourne autour de son gland. Luc est si gros, sans doute très excité de me voir le sucer à nouveau. J'ignore quand il va venir, s'il va venir. D'ailleurs, je lui pose la question :
- Il t'en reste au moins ?
- Je pense, oui. On verra bien...
Je me concentre. Je le suce, je le lèche, je le masturbe. Jamais je ne me suis montrée aussi salope avec Luc, sans doute est-ce que je me sens encore en compétition avec sa mystérieuse ex-copine Angela.

Je ne dois pas être si mauvaise que ça ou peut-être que la fatigue de Luc lui a annihilé toute résistance. Je l'entends gémir. Il me prévient gentiment :
- Ça y est ! Haaaaaaaaaaannnnnnn...
Ses bourses se contractent et son sexe est pris de spasmes tandis que sa semence est encore une fois propulsée par ces convulsions. J'en reçois deux giclées au niveau de la bouche et de la joue. Le reste s'écoule lentement de sa hampe et s'accumule au niveau de mon pouce.

Luc rouvre les yeux, me sourit. Il semble être au paradis. Il y a presque de l'incrédulité dans le regard qu'il me porte. Moi-même, je me demande : est-ce vraiment moi ? D'où me vient cette nouvelle soif de sexe, ce besoin de jouir et de faire éjaculer Luc ? Est-ce le fantôme d'Angela qui a pris possession de moi ? Est-ce que je ne suis pas moi-même en train de devenir Angela ? Pourquoi faut-il que je pense si souvent à elle ? N'y pensons plus. Je dois garder à l'esprit mon objectif. Je porte la main à ma bouche. Ma langue recueille la semence de Luc. Même goût que tout à l'heure. Pas désagréable, sans être non plus à la hauteur d'un grand cru, mais tellement excitant.

Et je vois aux regards de Luc que tout cela lui a particulièrement plu. Avant, je nous voyais juste amoureux l'un de l'autre, maintenant, je pense qu'il s'agit d'une folle passion.
Je viens m'allonger contre lui. Nous nous enlaçons et, épuisés par cette journée magique, nous nous endormons pour cette première nuit dans la villa.
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Angela - épisode 8 : Réveil militaire
Dimanche 31 juillet 10:07
La lumière du jour me réveille. Je regarde mon téléphone portable sur la table de chevet : déjà plus de 10 heures. Je souris en perdant mon regard dans le blanc uniforme du plafond. Nous sommes en vacances et la journée de la veille et été riches de nouvelles expériences très excitantes. Le seul souvenir d'avoir fait l'amour à Luc avant de dormir hier soir me procure des vagues de chaleur : je sens mes mamelons s'ériger et je frotte avec bonheur mes cuisses l'une contre l'autre. Je tourne la tête vers Luc. Il est déjà levé et me sourit, nu debout à côté du lit. Quel plaisir de voir cela au réveil ! J'ai très envie de lui sauter dessus pour qu'il me fasse à nouveau l'amour. Je me redresse et m'étire, ondulant mes courbes pour l'inciter à venir me rejoindre.

Il rigole et me dit :
- Voilà un réveil comme tous les hommes aimeraient en avoir.
- Oui, mais là, c'est juste notre réveil à nous...
Je vois son sexe se gonfler et se redresser peu à peu, mais il ne bouge pas et se contente de sourire. Je l'invite plus explicitement :
- Tu viens ?

Un pincement de la bouche exprime son regret :
- J'ai très envie, mais si ça ne te dérange pas, je vais commencer par prendre une douche. J'ai besoin de me rafraîchir.
Je prends effectivement conscience qu'il fait déjà chaud dans la chambre. On avait laissé les volets entrebâillés et la fenêtre ouverte pour profiter de la fraîcheur relative de la nuit, mais l'air qui entre maintenant est plutôt tiède et c'est vrai qu'on transpire déjà beaucoup. Je me lève pour fermer la fenêtre. Il se dirige vers la salle de bain et me demande :
- Tu m'accompagnes ?
J'hésite. Si je l'accompagne, c'est sûr qu'on va faire l'amour sous la douche et j'en ai vraiment très envie. Mais en même temps, je ne veux pas qu'on attaque aussi directement. Même si j'ai très envie de sexe, j'ai peur qu'en commençant ainsi, la journée s'essouffle et que cela me déçoive. Je botte en touche diplomatiquement :
- Va prendre ta douche pendant que je prépare le petit déjeuner. Après, j'aimerais bien qu'on retourne à la plage.

Dès que Luc disparaît dans la salle de bain, j'enfile une parure rouge pour descendre. Je sais qu'il serait déçu de me voir mettre des sous-vêtements, mais je ne me sens pas encore assez en confiance dans la villa pour oser m'y balader en tenue d'Ève. D'autant que je ne voudrais pas qu'on me voie par la fenêtre. Théoriquement, Joann ne s'occupe pas du jardin aujourd'hui. Lionel n'a pas indiqué s'il repasserait. Vu qu'il vient de retrouver Luc, avec lequel il a été très proche à la fin du lycée, il ne serait pas étonnant qu'il ait envie de venir lui rendre visite pour discuter. Quand je pense qu'ils sont sortis avec la même nana, cette Angela... La table du petit déjeuner est rapidement préparée et je décide de m'allonger sur le canapé pour écouter un peu de musique en attendant que Luc descende.

Je lance le dernier album de Coldplay, que je n'ai pas encore eu le temps d'écouter hormis le titre qui passe régulièrement à la radio. Au milieu du deuxième morceau, je perçois des pas dans les escaliers. Quelques instants après, je sens sa présence derrière moi. Je coupe la musique et tourne la tête :
- Tu es prêt ?
Je découvre avec plaisir qu'il ne s'est pas habillé.

En voyant mon sourire, il me répond :
- Je suis douché et apparemment, la tenue que j'ai choisie te plaît.
- Oui, beaucoup ! Surtout le bas. Et, toi, que penses-tu de la parure que tu m'as offerte il y a quelques semaines ?
- Elle te va très bien. Mais ce n'est pas la thématique de nos vacances.

Je retire mes écouteurs et laisse mon téléphone sur le canapé pour me lever :
- La thématique ? Quelle thématique ?
- Tu sais bien. Celle évoquée par Joann et Lionel. Celle que tu as brièvement testée hier sur la plage.
- Ah, le naturisme ? J'en déduis que mon petit ensemble ne t'émeut pas ?

- Oh ne soit pas triste ma chérie. Il est superbe cet ensemble et c'est un écrin qui met parfaitement en valeur tes courbes somptueuses, mais j'avoue que l'idée de faire des vacances naturistes me plaît beaucoup.
- Ah oui, ton côté épicurien, c'est cela ?
- Exactement.
Je commence à abaisser ma culotte.
- Donc, il faut que je retire cet écrin pour te dévoiler mon corps au naturel, sans artifice ?

Luc sourit :
- Voilà. Je t'aime, ma Juju...
La culotte à mi-cuisse, je me retourne, lui exposant mes fesses nues dont il semble se régaler, et dégrafe le soutien-gorge.
- Tu m'aimes surtout quand je cède à tes petits caprices, non ?

- Je t'aime encore plus !
Il est si concentré sur chacun de mes gestes, que je sens presque le souffle de son regard dans mon dos, sur mes hanches, mes épaules.
- Et qu'aimes-tu le plus chez moi ? Mes fesses ou mes seins ?
- Les deux... et tout le reste. Que ferais-je en ayant seulement une paire de seins ou une paire de fesses ?
- Tu triches. Ce n'est pas une réponse valable.
- Alors, disons que j'ai une légère préférence pour ta poitrine.

Je retire le soutien-gorge, mais je continue à lui tourner le dos :
- Je vois ça... Mes fesses ne suffisent pas à émouvoir ton petit soldat.
- Il est pourtant déjà bien réveillé.
- Oui, mais pas au garde-à-vous. Et si...

Je me retourne lentement, exhibant mes seins. Luc peut déjà constater ma propre excitation à l'érection de mes mamelons.
- Voyons si le petit soldat peut se montrer davantage discipliné...
- Il est à vos ordres, Capitaine.
- Aux ordres de mes seins ?
- Oui, Capitaine.
- Dans ce cas, je peux remettre ma culotte, si le petit soldat ne reconnaît que l'autorité de mes seins.
Je remonte ma culotte en m'approchant de Luc.

Luc réagit aussitôt :
- Oh, mon petit soldat reconnaît toute forme d'autorité.
- Ah oui ? Si mes fesses lui disent de se tenir bien droit, il le fera ?
- Sans aucun doute.
Je me retourne devant lui et me penche pour faire glisser la culotte à mes pieds, exhibant ma croupe.

Je garde un œil sur Luc et son petit soldat et constate à quel point il est obéissant :
- Impressionnant ! Il est très discipliné ce petit soldat.
- Une discipline de fer ! Mais est-ce encore un petit soldat ?

- Hum, tu as raison, mon chéri, c'est désormais un grand soldat que j'ai sous ma coupe.
- Et bientôt, sous ta croupe ?
- Oh, te voilà bien impertinent !
Je me mets de profil pour lui dissimuler à la fois mes fesses et mes seins.

- Je m'excuse, Capitaine !
- On ne s'excuse pas, soldat. On présente ses excuses ou on demande à être excusé.
- Mince... Bon pour la cour martiale ou juste corvée de patate ?
- Je ne sais pas encore, mais ce soldat va rentrer dans le rang !

Voyant mes mains à hauteur de mon sexe, Luc sourit en comprenant ce que j'appelle "le rang". Il rigole et répond :
- Avec plaisir, Capitaine.
- Pour le moment, assieds-toi et écarte bien les cuisses pour que je voie bien ton soldat.

- Repos pour moi ?
- Oui, mais pas pour ton soldat ! J'exige une tenue impeccable.
- Ce ne sera pas difficile...

- Pourtant, il me semble se relâcher légèrement...
- Le Capitaine doit motiver ses troupes.
Je m'assois face à Luc et poursuis notre petit jeu en relevant les jambes et en écartant les cuisses pour bien exposer mon sexe :
- Ce signe de victoire l'aide-t-il à garder courage ?

- Oui, Capitaine.
- Maintenant, prends ton soldat épuise-le. Je veux le voir transpirer.
- Transpirer ? Tu veux que... ?
- Oui. Branle-le lentement jusqu'au bout, mais je veux que ça sorte lentement. Donc maîtrise et contrôle.
- Ok, Capitaine.
Luc prend son membre en main et se masturbe lentement.

J'adore. Je n'avais jamais vu Luc se masturber devant moi et le voir faire à ma demande m'excite au plus haut point. Je vois ses yeux explorer mon corps ; son regard caresse mes seins, tourne autour de mes mamelons, tente de s'insinuer dans ma fente. J'imagine qu'il a déjà fait ça : se branler pendant que Lionel baisait Angela. Devant moi, c'est une première et je suis si excitée que j'ai moi aussi envie de me masturber.
- Ton soldat est robuste ?
- Jusqu'à un certain point...
- Il n'a pas le choix : il faudra qu'il rentre dans le rang.
Je me caresse la vulve, excitant mon clitoris.

Peut-être que Luc s'imagine déjà me pénétrer à cette nouvelle évocation de "rentrer dans le rang". J'ai sans doute poussé le jeu trop loin : mon homme est déjà au bord de l'éjaculation.
- Soldat ! Maîtrise et contrôle ! Pas d'effusion.
Luc resserre ses doigts autour de sa hampe palpitante pour bloquer l'éjaculation, mais quelques gouttes s'échappent déjà.

Cela m'excite tant de le voir éjaculer que je m'insère deux doigts dans la fente pour me masturber aussi.
- Hoooo, ton soldat doit encore résister un peu...
Je tente d'atteindre l'orgasme avant qu'il achève son éjaculation. Mon poignet prend un rythme furieux pour atteindre rapidement le plaisir. Je n'en reviens pas qu'on se donne l'un l'autre en spectacle de cette manière.

L'orgasme arrive. J'ai du mal à garder les yeux ouverts. Pourtant je vois la queue de Luc tendue comme jamais. Je ne sais pas si c'est un effet d'optique ou si sa queue est réellement beaucoup plus conséquente que d'habitude. Peut-être le fait qu'il en serre la base pour bloquer le sperme. Luc m'implore :
- Capitaine, aaaah... la pression est trop forte !
- Oooooh, tiens bon, soldat ! On y est presque !
La pression est effectivement telle que je vois encore quelques petites giclées s'échapper et s'écraser sur le ventre et les cuisses de Luc.

Raté ! Il a éjaculé avant que je jouisse. Mon orgasme est pourtant là.
- Aaaaah ! Vous... vous serez puni, soldat... Ooooooooh...
Je laisse mes doigts immobiles. Mes cuisses et mon bassin sont pris de soubresauts terribles.

J'entends Luc pleurnicher :
- Je... Je tiens... Capitaine, je tiens...
Je mets quelques secondes avant de rouvrir les yeux. Surprise ! Luc garde le poing fermé sur son membre turgescent qui semble palpiter comme jamais. Mon homme est rouge et me regarde avec des yeux exorbités :
- Ca... Capitaine...
Je comprends qu'il retient toujours la majeure partie de l'éjaculation. Je dois le libérer :
- Repos, soldat !
Il retire aussitôt sa main et un flot de sperme épais s'échappe alors de la colonne de chaire, tandis qu'il lâche un puissant râle de soulagement.

Je vois le liquide blanchâtre s'écouler le long de la tige et de ses couilles pour venir souiller le carrelage du salon. Je me lève :
- Soldat ! Je vous dois des excuses. Certes, vous n'avez pas contenu toute l'effusion, mais vous avez néanmoins réussi à maîtriser la plus grande partie de votre fluide jusqu'au signal. Je suis fière de vous.
Luc rigole alors qu'il peine à reprendre son souffle :
- Putain, j'ai cru crever... Mais la libération, c'était le nirvana !
- Tu aimes qu'un militaire te donne des ordres ?

- Si c'est toi, indéniablement !
- En tout cas, je n'aurais pas cru que tu puisses tenir aussi bien...
- Le Capitaine a une récompense pour ses meilleurs soldats ?
- Oh, il veut un bisou de son Capitaine ?
Je m'agenouille entre ses cuisses écartées et me saisis sa hampe pleine de sperme pour lui lécher le gland amoureusement.

- Mmmmh... Jamais mon soldat n'aurait imaginé que le Capitaine lui-même s'occuperait de sa toilette.
- Le Capitaine sait récompenser ses soldats à leur juste valeur.
- Le soldat s'en souviendra et obéira à son Capitaine.
Je prends son membre en bouche et le nettoie aussi bien que possible.

Luc garde une érection superbe, et je me demande même s'il ne serait pas en mesure de jouir à nouveau quand je m'attarde à lécher le sperme sur ses bourses. Mais il maîtrise et contrôle, semble-t-il... Je me relève avant qu'il ne croie qu'il s'agisse d'une fellation. Il semble déçu de me voir me mettre debout.
- Le Capitaine va remettre sa parure flamboyante ?
- Si le Capitaine doit rester nu pour faire régner la discipline, le Capitaine consent à rester nu à l'intérieur de la villa. Mais pour l'heure, on va prendre le petit déjeuner et après on descendra à la plage.
- Faire du nudisme ?
- En bikini dans un premier temps. Après, on verra. Pour le moment, à table.

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Angela - épisode 9 : Visiteurs importuns
Dimanche 31 juillet 10:31
Après cette petite mise en bouche matinale, inutile de dire que Luc et moi sommes très chauds. Heureusement nous avons les mêmes attentes et nous sommes sur la même longueur d'onde : il ne s'agit pas faire une semaine orgiaque à enchaîner les séances de jambes en l'air dans toutes les pièces de la villa. Étant dans un endroit magnifique, nous voulons aussi profiter du lieu, la piscine, la plage, le jardin. Le petit déjeuner est assez sage et silencieux, malgré quelques échanges de regards qui en disent long sur nos désirs respectifs et quelques sourires entendus semblant signifier : "la journée ne fait que commencer". Luc, comme moi, doit se demander ce qui va se passer ensuite. Nous nous entendons pour décider que l'on ne prévoit pas nos activités en fonction d'attentes sexuelles particulières, mais que nous laissons les événements se dérouler, acceptant la surprise et les imprévus. Après une rapide toilette, j'ai donc enfilé un joli bikini rouge en vue d'aller profiter un peu de la plage. La matinée est déjà bien avancée et la température élevée incite à se rapprocher de l'eau.

Une fois descendus dans notre petite crique privée, Luc a étendu les deux serviettes et nous nous sommes allongés tous les deux pour offrir notre peau aux rayons du soleil. Luc n'a pas tenu très longtemps pour exprimer son désir :
- Tu ne veux pas réessayer le naturisme ?
- Mmmmm ?
- Ton maillot va laisser des traces de bronzages disgracieuses.
Je le sens commencer à tirer sur le nœud de mon soutien-gorge.

- Ai-je vraiment le choix ?
- Je suis ton coach en esthétique et je désapprouve ces marques sur ta peau magnifique.
- Voilà, donc ce n'est pas du naturisme, mais juste des considérations esthétiques ?
- Tu as tout compris, ma Juju.
Je le sens tirer sur ma culotte pour dégager mes fesses.

Bien sûr, il ne se contente pas de ça, sa main glisse entre mes cuisses et ses doigts explorent ma vulve. Se faire caresser ainsi sous le soleil du matin, face à la mer, c'est une sensation particulièrement agréable et je dois me faire violence pour ne pas me retourner et demander à Luc de me faire l'amour sur la plage. Il ne peut s'empêcher de commenter :
- Une énigme pour toi, Juliette : qu'est-ce qui est mouillée sans s'être encore baignée ?
- Ma petite chatte ?
- Bravo.

Doucement, il continue à me doigter, sans faire pénétrer ses doigts, ni chercher à débusquer mon clitoris qui ne demande pourtant pas mieux. Je sens qu'il veut faire durer le plaisir et il raison, nous avons toute la journée. Je me laisse à somnoler tandis qu'il continue sa petite affaire. Je garde les yeux fermés quand il me dit :
- Imagine que deux gars arrivent à la nage ?
- Mmmmm, c'est un de tes fantasmes ?
- Ils nous regardent. Ils me regardent te caresser les fesses et la moule.
- J'imagine que ça leur plaît ?

- Oui, ça semble être le cas.
- Ils auraient quel âge ?
- Je pense qu'ils sont un peu plus vieux que nous.
Le fantasme de Luc m'excite. Je sens que je mouille sous ses doigts et il commence à être plus audacieux : il pousse l'exploration plus en profondeur.

- Mmmmm, c'est bon.
Alors que je suis presque prête à me laisser aller à un orgasme, il s'interrompt.
- Que fais-tu ?
- Retire ta culotte, on sera plus à l'aise.
Je me mets à genoux et je me débarrasse de mon bikini.

Je me rallonge sur ma serviette, toujours sur le ventre. Luc passe une main entre mes cuisses et m'incite doucement, par pression, à les écarter. Je sais qu'il veut voir mes trésors alors j'écarte légèrement les jambes. Il ne fait rien, ne dit rien, sans doute en admiration. Puis il me demande :
- Tu sais que les deux garçons sont toujours là ?
- Ah ? J'imagine que ça t'exciterait que je m'exhibe devant deux inconnus, non ?

- Oui, savoir que d'autres gars te désirent, mais que tu es à moi, c'est gratifiant.
- Pffff... l'ego masculin.
- Et toi, tu ressens quoi du fait de ces deux regards inconnus qui peuvent admirer ta croupe que je suis théoriquement le seul à pouvoir admirer ?
Tout en disant cela, il reprend ses caresses sur mes cuisses et mes fesses.

- Mmmmm, je crois que c'est effectivement agréable de se sentir désirée et aussi j'espère que ça te rend un peu jaloux pour que tu te montres encore plus attentif à mes désirs.
- Tu trouves que je ne suis pas assez attentif ?
- Bien sûr que si ! Je te taquine. Dis-moi, tu bandes ?
- Oui. Et un des deux gars aussi. Il s'est mis exactement dans le bon axe pour bien voir ton coquillage et tes fesses.
- Ils sont nus ?
- Non, en maillot.

- Mais il est sans doute trop loin pour voir, non ?
- Ils ne sont qu'à quelques mètres, mais ils sont très discrets.
- Mmmmm, tu racontes bien, je sens presque leurs regards sur moi...
- Ils ne te quittent pas des yeux.
Luc m'écarte un peu plus les cuisses. Je le laisse faire.

- Ils voient que je mouille ?
- Je ne pense pas.
- Caresse-moi, s'il te plaît. Tu m'as donné très envie avec ton histoire.
Il pose sa main sur mes fesses.
- Tu sais, ce n'est pas vraiment une histoire...

- Oui, je sais, c'est un fantasme.
- Heu, Juliette...
- Allez, fais-moi jouir devant ces deux gars.
Il glisse lentement un doigt dans ma fente trempée de cyprine. Il me masturbe doucement. L'orgasme n'est pas loin. Son annulaire vient rejoindre son majeur et je sens le bout de ses doigts caresser tendrement ma matrice intérieure.

Luc n'a besoin que de quelques minutes de ce traitement pour m'arracher un orgasme. Je me tords de plaisir sur ma serviette, retenant par pudeur mes gémissements. Ce n'est pas l'orgasme du siècle, mais c'est bon de jouir ainsi sur la plage. J'entrouvre les yeux et vois mon homme me sourire :
- Tu as été rapide à venir.
- Tu m'as bien préparée... C'était très bon.
- Les deux gars aussi ont apprécié. Et ils bandent toujours autant dans leur maillot.

Par jeu, j'écarte très largement mes cuisses pour exhiber ma moule le mieux possible :
- Comme ça, ils peuvent voir ma mouille ?
- Évidemment, ma Juju, ta jute dégouline sur la serviette.

Comme dans un petit cocon, je devine que je peux m'assoupir facilement.
- Luc, tu peux me mettre de la crème solaire ? Je n'ai pas le courage de me relever...
- Bien sûr... Mince... Je n'ai pas pris le tube, je remonte vite le chercher.
- Merci.

Il m'abandonne, étendue en mode "étoile de mer" sur ma serviette, totalement impudique. Je m'imagine que les deux voyeurs profitent du départ de Luc pour s'approcher et observer de plus près mon intimité. Jusqu'où seraient prêts à aller deux mecs excités par une fille qui s'exhibe nue sur une plage isolée ? Se contenteraient-ils de regarder ? Tenteraient-ils des attouchements ? Négocieraient-ils avec moi pour que je leur offre plus de mes charmes ? Je pars déjà du principe pour mon fantasme qu'il ne s'agit pas de malades mentaux qui pourraient tenter de me violer. J'imagine deux gentlemen qui useraient d'arguments pour arriver à leurs fins.

Quels arguments parviendraient à me convaincre ? La fin du monde, derniers survivants, il faut repeupler la terre ? Pas crédible. Faire connaissance ? Pourquoi pas ? Cela implique des discussions, de se découvrir. Faire un jeu ? Je suis joueuse, j'aime relever des challenges, donc cela pourrait marcher. J'en suis à ces considérations quand il me semble percevoir des bruits de pas dans le sable sec. Luc est déjà de retour. J'en suis surprise et ravie et, sans rouvrir les yeux, je lui exprime ma gratitude :
- Tu as été rapide. Tu ne veux pas que je devienne rouge comme une tomate ?

Je l'entends ricaner.
- Il est évident que l'esthète que tu es n'apprécierait pas d'être au bras d'une fille brûlée par les coups de soleil, d'autant que je risquerais de ne pas supporter la moindre caresse.
Il ricane encore et, malgré son silence, je sens son regard explorant ma nudité.

J'aime bien quand il m'observe ainsi en silence.
- Tu m'en mets ?
Je me redresse, la tête entre les bras, pour lui présenter mon dos.

Il s'agenouille à côté de moi. Pose ses mains sur mes fesses et les caresse.
- Dis donc, avec de la crème, ce ne serait pas plus efficace pour se protéger du soleil ?
Mais comme je vais me retourner pour le gronder, je sens qu'il m'insère deux doigts dans l'anus.

Je devrais l'engueuler, mais j'ai moi aussi envie de profiter de la situation.
- Mmmmm, j'avais dit pas mon petit trou... Mais c'est bon... Continue...
Il commence à faire aller et venir doucement ses doigts en les faisant tourner comme s'il s'agissait de vis. En quelques minutes, je sens monter le plaisir. Je n'en reviens pas moi-même. Mon bassin et mes cuisses se tétanisent et les convulsions de mon orgasme me font échapper aux doigts bienfaiteurs.

Quand je tourne la tête vers celui que je crois être Luc, je découvre qu'il s'agit d'un inconnu.
- Mais qui êtes-vous ?
À quatre pattes sur le sable, je prends conscience que l'histoire de Luc n'était pas un fantasme, mais qu'il me racontait ce qu'il voyait. Le second gars est plus loin, de l'autre côté.

Celui qui vient de me branler l'anus semble surpris par ma réaction :
- Eh, tout va bien ! On n'est pas méchants. Je croyais que tu étais d'accord... Ton copain nous a vus et t'a dit qu'on était là, donc pourquoi cette réaction ?
- Je... Je suis désolée... Je pensais que c'était un fantasme.
L'autre gars plus loin semble gêné aussi :
- Vraiment désolé, mademoiselle. Comme votre copain nous a laissé regarder, on a pris ça pour une invitation.

Je m'assois sur ma serviette, dissimulant ma poitrine. J'étais à la fois gênée et en colère d'avoir subi ce quiproquo :
- En même temps, me branler le cul, c'est peut-être surinterpréter l'invitation, non ?
- Oui, j'avoue que je n'ai pas résisté... Vous êtes si belle et votre croupe, à portée de main, j'ai succombé.
- Et vous vous êtes dit : "Elle me demande de lui mettre de la crème dans le dos, je peux bien lui mettre un doigt ou deux dans le cul..."

- Mais vous n'avez pas vu que je n'étais pas votre copain ?
- Non, je n'imaginais pas qu'elle était vraie, son histoire de deux gars qui arrivaient par la mer pour nous mâter...
- Là, ce n'est pas notre faute.
- De toute façon, cette plage est privée, je vais vous demander de partir.

- Oh bah, non. Ne le prenez pas comme ça. Damien et moi, on venait juste nager, faire une pause sur le sable. C'est tout.
Ohlala, s'ils commencent à donner les prénoms, je crois qu'ils vont me demander le mien et qu'ils vont tenter de sympathiser pour m'amadouer. Je me lève en dissimulant mes parties intimes. Celui qui s'appelle Damien répond :
- Allez Cédric, la demoiselle veut qu'on la laisse tranquille. On va nager plus loin et on trouvera peut-être un autre endroit où se reposer.
- Tu as raison, on en a déjà bien profité.
Je réagis en rigolant :
- Oui, tu peux dire ça : me donner un orgasme en me masturbant le petit trou, tu n'as pas perdu ta journée.

Cédric rigole :
- Héhé, oui. C'est la première fois que je fais connaissance avec une jeune fille en commençant par son trou du cul.
Je ne devrais pas rire de sa plaisanterie, mais c'est nerveux et ces deux lascars commencent à m'amuser. Tant pis si le fait de sympathiser risque de les rendre plus difficiles à déloger. De toute façon, ils n'ont pas l'air méchants et moins lourds que j'aurais pu le croire. J'attrape ma culotte et l'enfile sous le regard intéressé des deux garçons qui profitent ainsi de attributs que je ne dissimule plus.
- Bon, vous pouvez rester un peu les garçons.

- Oh, merci, mademoiselle. C'est vraiment gentil de votre part, mademoiselle.
J'ai bien compris à l'insistance du "mademoiselle", qu'il attend que je donne mon prénom. Pendant que je remets mon soutif, je consens à lui donner :
- Moi, c'est Juliette.

Cédric me complimente :
- Waouh, c'est drôlement joli comme prénom ! Et ça vous va hyper bien.
Damien n'est pas en reste et gagne aussi des points :
- Nous autoriser à rester c'est déjà sympa, mais nous donner votre prénom c'est franchement chouette de votre part. Moi, ça me touche.

J'essaie de ne pas trop regarder les maillots des deux zigotos, car ils sont encore tous les deux déformés par de belles érections. Mince, je me sens coupable de m'intéresser à ces deux bites alors que Luc n'est pas là... Cela dit, il m'a quand même laissée seule avec les deux gars. Il devait bien avoir une idée derrière la tête. D'ailleurs, il met finalement beaucoup de temps pour ramener un flacon de protection solaire. Les deux garçons jouent dans l'eau, comme des gamins : ça s'éclabousse, ça se bouscule, ça rigole, ça se court après. Ils ont l'air un peu plus âgés que nous, mais s'amusent comme s'ils avaient dix ans de moins. Je les envie presque.

Cédric voit que je les observe et m'interpelle :
- Juliette, viens te baigner avec nous !
- Je ne sais pas, mon copain doit revenir m'apporter de la crème solaire.
- Il n'a pas l'air d'arriver. Viens avec nous en attendant !
- Ok.
Je me lève et viens les rejoindre dans l'eau.

Ils continuent à s'arroser mutuellement, mais semblent vouloir m'épargner. Alors, moi j'attaque en les arrosant tous les deux.
- Ah, elle veut jouer aussi ? Alors, elle va jouer !
Aussitôt, la riposte arrive : Cédric et Damien se liguent contre moi et m'obligent à battre en retraite. Derrière moi, j'entends le moteur d'un hors-bord, qui passe sans doute à une centaine de mètres. Alors que j'étais en train de tenter d'échapper à l'assaut des deux garçons, une énorme vague, provoquée par le hors-bord, me déséquilibre. Je peine à me relever, tombant d'abord en avant, puis en arrière.

Quand je parviens enfin à me stabiliser à nouveau, je vois les deux garçons qui me regardent en rigolant.
- Ce n'est pas sympa de vous moquer. Je n'ai pas vu arriver cette vague et je n'ai pas vraiment le pied marin.
Damien s'approche :
- Oh, ce n'est pas ta chorégraphie qui nous amuse, mais plutôt le résultat sur ta tenue...
- Quoi ?

Baissant les yeux, je constate que mes seins se sont tous les deux échappés des bonnets du bikini.
- Oh merde !
- Bah, non. On les trouve chouettes tes seins. Autant les laisser prendre l'air.
Je leur tourne le dos.
- Le problème c'est que le bikini n'est pas assez serré et ça bâille facilement.

- Un coup de main ?
Damien est déjà derrière moi et commence à jouer avec le nœud.
- Tu le serres, tu ne le défais pas, hein ?
- Déjà, fais voir à quel point ça bâille...
Tout se passe très vite alors. Ses mains se posent sur mes seins et les massent à travers le tissu du soutien-gorge. Contre mes fesses, je sens quelque chose de dur qui me semble être son érection. Cédric est venu nous rejoindre et commence à me masser l'entrejambe, sûrement pour s'assurer que ma culotte tient mieux que mon soutien-gorge. Je suis si surprise par tous ces contacts simultanés que je n'ai même pas le réflexe de les repousser.

Quand les doigts de Cédric commencent à vouloir s'immiscer dans ma fente, je prends conscience que je suis allée trop loin. Même si c'est très agréable de se faire caresser par de nouvelles mains, on ne sait pas où ça peut s'arrêter. Je les repousse donc vivement et ils sont tellement surpris de ma réaction que je parviens à m'écarter à quelques mètres d'eux facilement. Je vois alors que mon soutien-gorge de bikini est complètement dénoué. J'ai même de la chance de ne pas l'avoir perdu.
- Vous exagérez, les garçons. Vous avez abusé de la situation.

Bien sûr, ils rigolent. Alors que Cédric semble partir à la nage plus loin, Damien s'approche de moi. Je recule au fur et à mesure de sa progression pour conserver un espace de sécurité, mais j'ai bien du mal à nouer correctement mon soutien-gorge.
- Damien, va donc nager avec ton copain et lâche-moi un peu la grappe.
- Allez, on s'amuse, c'est tout.
- Oui, je suis venue pour m'amuser, pas pour me retrouver à poil entre deux ados libidineux.
Au moment où je parviens enfin à terminer de raccrocher mon soutien-gorge, je sens quelque chose sous l'eau qui agrippe ma culotte et l'entraîne par le fond.

- Cédric !
Ce salaud est arrivé sous l'eau derrière moi, en toute discrétion, et il a presque réussi à me piquer ma culotte de bikini.
Damien rigole :
- Haha, allez Juliette, tu étais si jolie au naturel tout à l'heure sur la plage. Pourquoi insister pour garder ces deux pauvres bouts de tissu ?
- Parce que tout à l'heure, je ne savais pas que vous étiez là.
Je remonte ma culotte, mais Cédric surgit derrière moi et dénoue le nœud de mon soutien-gorge.
- Cédric ! Tu fais chier !

Damien vient me rejoindre. Je rajuste ma culotte et le mets en garde :
- Toi, tu ferais mieux de rester à l'écart si tu ne veux pas prendre un coup de genou là où ça fait mal.
- Doucement, Juliette. Je venais juste pour refaire le nœud de ton soutif.
- Vrai ?
- Promis, je refais le nœud de ton soutif.
Je lui tourne le dos et il refait effectivement le nœud de mon soutien-gorge. Mais quand il s'éloigne en rigolant, je prends conscience qu'il en a aussi profité pour retirer les deux nœuds de ma culotte.
- Vous êtes de vrais gamins !

Je ne peux pas leur avouer, mais tout cela m'excite et si je guette l'escalier qui monte à la villa, c'est dans l'espoir que Luc vienne me sauver, mais pas trop vite quand même... Le temps que je raccroche correctement ma culotte, Cédric surgit à nouveau derrière moi et dénoue avec une dextérité incroyable les deux nœuds de mon soutien-gorge. Il est si rapide qu'il s'empare du bout de tissu rouge et le met en boule pour le lancer à Damien.
- Ah, vous êtes impossibles...

Damien rigole :
- Allez Juliette, offre-nous juste le spectacle de tes seins et on te fout la paix.
- Dans tes rêves, je vais retourner sur la plage attendre Luc.
Je cache ma poitrine et je commence à regagner la plage, mais je vois que les garçons tentent de me rejoindre.

Damien se positionne devant moi, Cédric derrière. Damien me tend mon soutien-gorge :
- Tiens, attrape-le !
Il le lance volontairement trop haut, m'obligeant à sauter, les bras tendus en l'air. Inutile, car trop haut. Derrière moi, Cédric a réceptionné le soutif et se paye même le luxe de m'abaisser ma culotte.

- Bon sang, mais ça suffit. Essayez de vous comporter en adulte !
- Mais on est des adultes. Juste qu'on a des exigences : que tu restes nue pour te baigner avec nous. Juste pour qu'on se rince l'œil.
- Et pourquoi je serais à poil alors que vous avez vos maillots ?

Je remonte ma culotte. Damien acquiesce :
- Elle a raison. Ce n'est pas équitable.
Je le vois alors se baisser dans l'eau pour retirer son maillot. Quand il se redresse, la moitié de son sexe est hors de l'eau, tant il bande.

Damien s'approche de moi avec son sexe bandé. Je prends peur. Je recule, mais c'est sans compter sur Cédric qui, dans mon dos, récidive pour la troisième fois à m'abaisser la culotte, cette fois-ci jusqu'aux chevilles.
- Laissez-moi...
- Hé, attends Juliette, n'aie pas peur. C'était juste un jeu.
Je tente de courir, mais, entravée par ma culotte sur mes chevilles, je tombe et me retrouve à quatre pattes dans l'eau avec les deux zigotos derrière moi.

Damien applaudit :
- Juliette ! Incroyable ! On n'en demandait pas tant. Nous offrir cette vue, c'est vraiment sympa.
Il est vrai qu'ils devaient avoir un point de vue parfait sur ma croupe. C'est alors que je vois Luc qui commence à descendre les escaliers. En courant dans sa direction, nue, je l'appelle :
- Luc !!! Viens me sauver !

C'est bien une comédie de ma part puisque je savais que les jeux des deux garçons n'avaient pour but que de se rincer l'œil et de s'exciter. Mais en voyant ma réaction, Damien et Cédric ont vraiment cru que j'étais aux abois et que j'appelais sincèrement mon homme au secours.
- Mais Juliette, ce n'était qu'un jeu.
- Oui, on ne te voulait pas de mal.
En les entendant, je m'arrête, dissimulant ma poitrine :
- Vous m'avez piqué mon maillot, qui sait ce qui m'attendait ensuite...

Luc arrive en bas de l'escalier et vient vers nous. Damien et Cédric prennent peur. Ils s'enfoncent dans la mer, repartant à la nage de là où ils venaient. Luc me rejoint, rigolard :
- Tu as réussi à leur faire peur ?
- Non c'est de toi qu'ils ont eu peur.
- Armé de ma crème solaire ? Et pourquoi ? Ils se sont montrés discourtois ?
- Arrête ta comédie. Je sais que tu m'as volontairement laissée avec eux.

- Oui. Et je vous ai espionnés de là-haut... J'ai tout vu, ou presque, mais pas entendu. À part peut-être...
- Quoi ?
- Il m'a semblé t'entendre jouir quand l'un des gars avait une main entre tes cuisses.
- Si tu veux savoir, il m'a fait jouir...

- Juste en te caressant la minette ?
J'hésite à lui avouer comment j'ai succombé à cet orgasme. Je me lance, on verra bien sa réaction :
- Il m'a branlé le cul, ce salaud ! Je croyais que c'était toi...

- Waouh ! Génial ! Tu as joui par le cul ?
- Oui... Après c'était un peu particulier...
- Et tu as cru que c'était moi ? Cela veut dire que tu es prête à accepter n'importe laquelle de mes expériences épicuriennes ?
Je vois son regard balayer mon corps, comme s'il était déjà en train d'envisager ce qu'il allait pouvoir me faire. Je cache aussitôt mes parties intimes.
- Ne rêve pas. Tu as passé ton tour. Un autre en a profité. Tant pis pour toi.

- J'assume. Ils ne se sont pas montrés trop brusques ou grossiers avec toi ?
- Non, plutôt sympas. Très joueurs. Presque attachants, mais on n'a pas vraiment eu le temps de discuter.
- C'est toi qui les a fait fuir en m'appelant à l'aide.
- Oui, je regrette un peu d'avoir fait ça, mais c'était très grisant de voir mon pouvoir de femme sur ces deux gars.
Je regarde vers l'océan, mais je ne distingue plus les deux nageurs. Ils ont déjà disparu au-delà de la pointe.

Je cherche au bord de l'eau si je vois mon bikini :
- Le principal jeu qu'ils ont trouvé avait pour objet de me retirer mon bikini pour me mettre à poil.
- Oui, j'ai vu. Finalement, assez peu d'attouchement. Ils se sont montrés sages. Ou timide ?
- Excités, mais respectueux un minimum.
Luc retrouve ma culotte et me l'apporte. Je l'enfile :
- Tu vois mon soutif ?

- Non... je crains que tes deux amis l'aient conservé en prise de guerre.
- Je ne vais pas remonter topless...
- Je t'ai aussi descendu de quoi te rhabiller un peu.
- Oh, tu es très prévenant, Luc. Merci.
J'enfile le débardeur qu'il me tend.

Il m'observe en souriant. Je me demande pourquoi. Je lui demande à lui :
- Qu'est-ce que te rends si joyeux ? Le fait qu'un inconnu m'ait mis deux doigts dans l'anus ?
- Non, beaucoup plus simple que ça. Ta peau mouillée, le coton blanc... Magnifique !
Je constate effectivement que le débardeur éponge l'eau de ma baignade et commence à devenir transparent.

Je regarde Luc, méfiante :
- Pourquoi tu m'as ramené ce haut-là ?
- Pour que tu puisses remonter à la villa dans une tenue décente.
- Mais tu ne savais pas que j'allais perdre mon soutif.
- ...
- J'en déduis que tu avais pour objectif de me le faire passer après une baignade dans le seul but qu'il se trempe et que tu puisses voir mes seins pas transparence. Je me trompe ?

- Je suis subjugué. L'esprit de Sherlock Holmes dans ce corps de déesse ! Tu m'as percé à jour, ma Juju. Oui, le tee-shirt mouillé de la cuisine hier m'a donné envie de réitérer l'expérience.
- Je m'en doutais. Bon, on remonte ?
- Si tu veux. Quelle est la suite du programme ?
- Tu crois qu'on a le temps de profiter de la piscine avant de se mettre à table ?
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Angela - épisode 10 : Gâterie à la piscine
Dimanche 31 juillet 11:27
Il fait si chaud que, le temps de remonter à la piscine, mon débardeur est presque sec, au grand regret de Luc.
- Luc, je vais aller chercher un autre soutien-gorge.
Luc s'approche de moi et me retire le débardeur :
- Et pourquoi ma Juju ne pourrait-elle pas laisser ses seins visibles ? Il n'y a que toi et moi.
- Oui, mais si Lionel arrive ?

- Il te suffit de garder ton bikini à portée de main pour le remettre s'il arrive.
- Sauf que je n'ai plus le haut...
- Hum... je n'ai pas été très honnête avec toi.
Il me fait un sourire coupable et ouvre la paume de sa main dans laquelle je découvre mon haut de bikini rouge roulé en boule.
- Je m'en doutais. Pervers et manipulateur.

- Épicurien !
- Il a bon dos Épicure. Rends-moi mon soutif.
Comme il ne semble pas disposé à obtempérer, je tente de lui arracher des mains, mais il esquive mon geste :
- Attends, Juliette. Écoute, j'ai une proposition : tu oublies ton bikini et je me mets moi aussi à poil.
- T'es gonflé ! Je n'avais pas imaginé être la seule à faire du nudisme.
Devançant la négociation, il retire son maillot et exhibe son sexe nu, illustrant parfaitement que Luc est gonflé, au propre comme au figuré.

La vision de son sexe en érection me donne aussitôt chaud au ventre. J'ai très envie de l'imiter. Je vais le faire, mais je dois lui laisser croire que je le fais à contrecœur, uniquement pour le satisfaire.
- Ce que tu fais, c'est du chantage.
- Tout de suite les grands mots. Ose dire que ça ne t'excite pas de te baigner nue !
Je préfère ne rien répondre et je lui tourne le dos pour abaisser ma culotte.

Luc rigole :
- Je t'avoue que je ne croyais pas que ce serait si simple !
- Si simple ? Je prends sur moi. J'ai de la pudeur et me mettre à poil n'est pas si simple, même devant toi. Mais je t'avoue de mon côté que c'est de te voir nu qui me stimule.

Une fois ma culotte et mon soutif posés sur le bord de la piscine, prêts à être attrapés en cas de besoin, j'inspecte le portail de la propriété :
- Tu es certain que Lionel ne t'a pas dit qu'il passerait aujourd'hui ?
- Et alors ? Même s'il passe, tu sais ce qu'il pense du naturisme, non ?
- Oui, toi il t'a déjà vu nu, évidemment...

- Oui, on se connaît plutôt bien.
- Vous avez déjà fait des choses... ensemble ? Je veux dire... sans Angela ?
- Ahah, c'est ton fantasme, c'est ça ? Que j'ai une relation homosexuelle ?
- Bah oui, ça m'exciterait de voir deux mecs se câliner...

- Je vais te décevoir : on ne l'a jamais fait et ça ne m'attire pas particulièrement.
Je suis effectivement déçue, mais j'essaye de ne pas trop lui montrer, perdant mon regard dans le parc. Je découvre alors soudain qu'il y a un vélo appuyé contre un arbre non loin du portail.
- Mince ! C'est le vélo de Joann !
- Je croyais qu'il ne venait qu'un jour par semaine ?
- Il a sans doute des trucs à finir...

Je ne le dis pas à Luc, mais je me demande s'il ne fait pas des heures supplémentaires ici, juste pour le plaisir de faire le voyeur.
- Bon, désolée Luc, mais moi je vais remettre mon bikini.
- Allez, c'est bon. Joann aussi nous a dit qu'il avait l'habitude de voir des locataires pratiquer le naturisme.
- Moi je veux bien faire du naturisme, mais pas de l'exhibitionnisme.

Même si je ne vois pas Joann, peut-être de l'autre côté de la maison ou dissimulé par un des massifs d'arbustes, je décide de remettre mon bikini. Quand je rattache mon soutien-gorge, Luc fait une tête d'enterrement :
- Allez, Juliette, t'es pas drôle.
- Pas drôle et pudique. Désolée.

Luc insiste :
- Si tu remets ton bikini, je remets mon maillot.
- Eh bien tant pis, remets ton maillot. Mais si tu le fais pour me punir et pas par pudeur, c'est ridicule.
J'achève de remettre ma culotte.

Je vois Luc hésiter, puis attraper son maillot pour l'enfiler en pestant :
- Quel gâchis...
- J'en déduis que tu as toi aussi un peu de pudeur ?

- Sache que ce qui me désole le plus c'est que tu vas sans doute perdre cette belle érection.
Luc me jette un regard noir :
- Pour ça, pas de risque. Tu restes très bandante, même en bikini...

- C'est étonnant, je trouve, que ça te gêne qu'un inconnu voie ta queue, mais pas de montrer que tu es en érection dans ton maillot.
- Que veux-tu, l'âme humaine est complexe.
- Même pour un épicurien tel que toi ?

Luc rigole :
- Fais gaffe que l'épicurien n'ait pas l'idée d'imiter les deux types de la plage tout à l'heure et qu'il ne vienne pas t'arracher ton bikini.
- Si je suis mise nue sous la contrainte, ce n'est pas de mon fait, donc il est possible que je me sente moins pudique.
- Ah ouais ? J'aurais dit l'inverse. Mieux assumé quand c'est un choix. Tu veux que je te pique ton bikini pour voir ce que tu ressens ?
- Non, je te remercie.
Je préfère descendre dans l'eau pour me rafraîchir avant que Luc ne décide tenter l'expérience sans mon consentement.

Appuyée au bord du bassin, j'interroge Luc en voyant qu'il bande toujours :
- Et selon qui te voit en érection, la pudeur n'est peut-être pas la même, si ?
- Sans doute, tu penses à quoi ?
- Je me dis que si c'est un mec ça te gênera, alors que si c'est une nana tu auras peut-être une certaine fierté à exhiber tes attributs ?

- Je pense que c'est plus complexe que ça. Devant toi par exemple, j'ai clairement envie d'exhiber mes attributs. Devant d'autres filles, je dirais que ça dépend de l'âge.
- Évidemment, majeure, mais pas encore à la retraite...
- Et pour les mecs, j'imagine que je ne ferais pas le malin devant un mec hyper bien gaulé et monté comme un taureau, alors que je serai plus à l'aise devant des types moins bien dotés par la nature que moi.
- Et devant Lionel ?

- Lionel, sans s'être tripotés l'un l'autre, on se connaît presque intimement. Angela nous a souvent dit qu'on était "jumeaux de bite" parce qu'on avait des calibres très proches.
L'évocation d'Angela me fait regretter ma question. En même temps, je m'attends à quoi ? J'aime bien qu'on parle sexe avec Luc, donc ce n'est pas étonnant qu'à un moment ou à un autre la conversation touche à son expérience avec Angela. Mais si, depuis hier, j'ai l'impression de mieux connaître Luc, chaque échange faisant référence à Angela me fait prendre conscience que j'ai encore beaucoup à apprendre sur lui. Une idée me vient alors et je me tourne vers Luc pour lui poser ma question :
- Si Lionel propose de faire du nudisme avec nous, ça ne te posera pas de problème que je puisse voir sa queue, voire son érection ?

- Non, ça ne me posait pas de problème avec Angela, donc si ça arrive, tu pourras te rincer l'œil autant que tu voudras.
- Mmmm, ça me donne presque envie de me remettre nue dans l'espoir qu'il arrive et qu'il demande à nous rejoindre.
- Tu deviens une petite coquine, Juliette.
- Et je vois à ce fier chapiteau dressé que tu apprécies quand je suis coquine.

- Alors que tu gardes ton bikini. Ce hideux bikini qui va te faire des marques de bronzage.
- Et toi, alors ?
- Moi, c'est différent, je suis un mec et j'assume le chocolat-vanille.
- N'importe quoi. Les filles aiment autant voir un mec avec un bronzage uniforme que les mecs apprécient le bronzage uniforme des nanas. Mais je te rejoins sur le fait que ce n'est pas très beau. Regarde un peu mes fesses toutes blanches.

- Tes fesses, blanches ou bronzées, restent appétissantes quoi qu'il arrive.
- Tu aimes autant chocolat que vanille ?
- J'aime tes fesses.
- Et pas mes seins ?

- Bien sûr que si ! Je les adore !
- Bon, alors pour te faire plaisir, j'accepte de retirer le soutif.
- Malgré Joann qui peut surgir ?
- Cela te gêne qu'il voie mes nichons ?
Je commence à dénouer le nœud de mon soutif.

Luc sourit :
- J'espère bien qu'il bandera quand il verra tes seins.
- Il les a déjà aperçus dans mon décolleté hier.
- C'est différent. Hier, c'était une vision volée ; là, c'est généreusement offert.
- Oui, c'est vrai que c'est un peu différent.
Luc a les yeux qui brillent dès qu'il voit mes seins libérés de l'emprise du soutien-gorge.

Une voix derrière moi me fait sursauter :
- Ah ! C'est bien que vous commenciez à vous lâcher un peu.
Je reconnais la voix de Joann et me retourne en dissimulant ma poitrine avec mes mains.
- Bonjour Joann.
- Bonjour Mademoiselle. Bonjour Monsieur.
- Je croyais que vous ne veniez qu'un jour par semaine ?

- Heu... normalement oui, mais là, j'ai vu qu'il y avait pas mal de taille à faire, des branches mortes à cause de la sécheresse.
Il ne semble pas gêné par mes seins nus et ne les quitte pas des yeux, attendant sans doute que je retire mes mains. Il sourit et se tourne vers Luc :
- Si c'est le fait que je sois habillé qui vous met mal à l'aise pour faire du naturisme, je peux moi aussi retirer mes vêtements, comme hier soir. Moi, ça ne me pose pas de problème.
- Heu, oui, si Juliette est d'accord, moi non plus, ça ne me gêne pas.
Joann se tourne vers moi, attendant ma réponse. Je prends un air détaché, mais je réponds avec une toute petite voix :
- Oh... Oui. Si vous voulez.
Le jardinier s'exécute et se débarrasse de ses vêtements en quelques secondes. Son sexe, au repos, est déjà de fort belle facture.

- Voilà, j'espère que ça vous mettra plus à l'aise.
Je repense alors à ce qu'a dit Luc avant l'arrivée de Joann : il serait ravi que Joann bande en voyant mes seins. Sans non plus, m'exhiber comme une salope, je retire mes mains et dévoile mes attributs.
- Merci Joann. Effectivement, ça me met plus à l'aise.

Je le vois porter un regard très accentué sur ma poitrine, comme s'il cherche à imprimer de manière durable cette image dans sa mémoire. Luc a un petit sourire en coin. Je me mets au bord pour m'approcher du jardinier :
- Joann, vous avez beaucoup de jardins à vous occuper ?
- Une petite quinzaine.
- Mais vous prenez plus de temps pour celui-là ?
- Oui, ils ne font pas tous la même taille. La plupart sont faits en moins de deux heures par semaine. Celui de M. et Mme Le Tarin est plus grand. C'est un parc.

- Et peut-être plus agréable ?
- Ah oui ! C'est le seul où il y a des locataires. C'est drôlement plus sympa pour discuter.
Je me redresse un peu sur le bord pour faire ballotter un peu mes seins. Il ne cherche pas à détourner le regard et profite du spectacle.

Toutefois, son sexe, quoique long et légèrement gonflé, ne s'est pas redressé du tout malgré l'exhibition de mes appâts. Il finit par me faire un grand sourire, en me regardant, cette fois-ci, dans les yeux :
- Bon, j'ai du travail. Je vous laisse. N'hésitez pas à vous mettre à l'aise.
Il se retourne pour repartir au fond du parc et je profite une nouvelle fois avec plaisir de sa magnifique paire de fesses musclées !

- Merde ! Tu as vu ça, Luc ? Il a un joli petit cul !
- Ahah, tu te montres vraiment de plus en plus coquine...
Je ne peux pas m'empêcher d'admirer ces magnifiques fesses musclées.

Luc vient s'asseoir sur le rebord du bassin, les pieds dans l'eau, et se moque de moi :
- Attention, ma chérie, je crois que tu baves...
- Tu parles, je mouille, oui !
Je me hisse sur le bord de la piscine pour profiter du spectacle avant que le splendide séant de Joann disparaisse derrière un bosquet.

Je me retourne vers mon Luc :
- Tu vois, il semble habitué au naturisme, lui. Il ne se met pas à bander dès qu'il voit une paire de nichons.
- Ah là, on peut dire que je manque cruellement d'expérience. Tu m'as donné une gaule terrible à discuter avec lui les seins à l'air.
- Je vois ça. Toi, tu réagis positivement à mes seins.

- Alors qu'est-ce qui fonctionne chez moi qui ne fonctionne pas chez Joann ?
- C'est curieux, car hier, quand il est resté à profiter de mon décolleté, il bandait bien.
- Peut-être la situation ? Il a peut-être l'habitude de voir des nanas topless dans cette piscine.
- Ou bien il se contrôle parfaitement.

- Ce serait balaise... Et il aurait délibérément exhibé son érection hier ?
- Oui pour voir ma réaction...
- Moi, je ne contrôle rien... Je crois que c'est toi qui contrôles mon érection, ma Juju.
- Ah oui ? Fais-moi voir un peu ça.
Je lui sors son membre tendu.

Quand j'extrais la bête, Luc a un frémissement :
- Tu n'attendais que ça, pas vrai, petit pervers... oups, pardon : épicurien.
- Je l'espérais, mais c'est tellement meilleur que ce soit de ton initiative.
Je penche la tête pour lui téter le gland.

On pourrait faire cela en silence, mais Luc se sent obligé de m'encourager :
- Mmmmmm, tes lèvres sont du velours...
Je saisis la tige et la masturbe doucement tout en déposant un baiser sur ses bourses. Nouveau frémissement. Je décide de lui lécher les testicules, pour voir. Quand ma langue caresse ses bourses, il frémit encore.

Je crois avoir découvert un point sensible et il me le confirme :
- Oh putain, c'est bon ça !
J'embouche le paquet et aspire en faisant tourner ma langue autour.

- Oooooh, diablesse, tu vas m'avoir.
Dans le mille ! Je viens de découvrir une caresse qu'il semble particulièrement apprécier. Je sens qu'il est sur le point de jouir. Je m'interromps, espérant faire durer encore la séance. Je ralentis ma masturbation pour le maintenir bien raide sans qu'il éjacule.
- On dirait que ça te plaît.
- Putain, oui ! Où as-tu appris ça ?
- Initiative personnelle. Expérimentation.

- Stoooop ! Je... Oh merde...
Je comprends qu'il n'a pas réussi à se retenir. J'enserre la base de son membre alors qu'il est pris de convulsions. La pression semble trop forte et du sperme parvient à s'échapper, s'écoulant doucement le long de sa hampe et sur mes doigts.
- Oh, ça manque cruellement de contrôle, ça, Luc.

Alors que je relâche la pression, pensant que la plus grande partie était déjà sortie, je reçois au menton une puissante giclée de sperme, qui me fait prendre conscience que c'est loin d'être terminé. Il se cambre pour tendre son sexe vers moi, tout en râlant comme un pendu :
- Haaaaaaaan... Haaaaaaaaan...
Je le prends en bouche, presque instinctivement et je serre bien les lèvres autour de la colonne turgescente pour accueillir le reste de sa semence. Il y en a plus que prévu. Beaucoup plus. Je n'ai pas envisagé de l'avaler, mais comme l'éjaculation semble ne pas se tarir, je me vois dans l'obligation de déglutir pour faire de la place. Quand Luc semble enfin vidé, il retombe allongé en arrière sur le bord de la piscine et lâchant un profond soupir. Je me redresse, heureuse :
- J'adore quand tu perds le contrôle, mon chéri.

Il met un peu de temps à reprendre son souffle et finit par me répondre :
- Je n'ai rien pu faire. C'est toi qui m'as fait perdre le contrôle. Je te l'ai dit, tu as un contrôle total sur moi.
- Tu veux dire que tu es mon jouet sexuel pendant le reste des vacances ?

Il rigole, sans répondre. Je pense que l'idée ne lui déplaît pas. Et moi non plus. Je décide de le narguer. Je me redresse et me décale là où le bassin est moins profond pour avoir les fesses hors de l'eau.
- C'est dommage que tu aies éjaculé si vite... J'avais d'autres projets.
J'abaisse alors ma culotte lentement.

Luc se redresse en fronçant les sourcils :
- Oh, non. Ne fais pas ça...
- Pas quoi ? C'est bien toi qui voulais que je me mette nue, non ?

- Oui...
- Tu regrettes que je t'aie sucé ?
- Bah non. Tu es plutôt douée.
Zut, je scotche sur le "plutôt douée" puisque je m'imagine aussitôt qu'il me compare à Angela. Est-ce qu'elle lui a déjà sucé les couilles ? Probablement, une salope comme Angela doit avoir ça dans le sang. Je dois arrêter de penser à elle.
- Luc, tu ne me rejoins pas ?

- Je reprends mon souffle. Je reprends mes esprits... Bref, je reprends un peu tout. Tu m'as vidé !
- Hihi, j'ai vu ça, oui.
- Mais je sais ce que tu veux. Et ne t'inquiète pas, tu auras le droit à un orgasme.
- Un seul ?
Je sors lentement du bassin, exposant volontairement ma croupe à Luc.

- Ah diablesse. Je vais bientôt être en mesure de te donner tous les orgasmes que tu voudras.
- Oh, te voilà bien présomptueux !
- Je ferai de mon mieux.
- Tu as intérêt parce que tu n'imagines pas à quel point je mouille !

- Si, j'imagine assez bien... Mais il va falloir que tu patientes quelques minutes, Juliette.
- Dans ce cas, une douche fraîche me fera le plus grand bien.
Je vais ouvrir le robinet de la douche à côté de la piscine. L'eau est tiède, puis plus fraîche.

Je me mets sous le jet et profite de sentir l'eau couler sur ma peau. Luc me regarde :
- Là, tu vas m'aider à retrouver une forme olympique...
- Une simple douche te fait de l'effet ?
- Ce n'est pas la douche. C'est toi ! L'eau qui coule sur tes courbes...
- Alors, profite...

Toujours pour le narguer, je me cambre et lui expose ma croupe. Dans cette position, je pense qu'il voit ma moule et l'eau qui ruisselle dessus.
- Et puis, Luc, ne t'en fais pas. J'ai déjà eu un orgasme tout à l'heure sur la plage...
- Ah, ne remue pas le couteau dans la plaie !
- Et toi ? Tu ne veux pas venir remuer ton couteau dans ma plaie ?

Nous rigolons.
- Bah, regarde. Je pense que je suis apte au service, non ?
Je me retourne et constate qu'il bande effectivement généreusement à nouveau.

- Alors qu'attends-tu pour venir me rejoindre ?
- Sous la douche ?
- Oui. Ou dans la piscine, si tu préfères ?

Mais c'est alors que surgit Joann, toujours totalement nu. On l'avait oublié, celui-là...
- Bien, je vois que vous vous êtes enfin décidés. Alors, pas si difficile ?
Luc, exposant son membre fièrement en érection, lui sourit :
- Non, moi j'aime bien.
- Et vous, Juliette ?
Je me sens un peu gênée de répondre à des questions intimes au jardinier que je ne connais pas vraiment :
- Heu... Oui, c'est agréable.
- Excitant, non ?

Son regard sur mes seins m'indique qu'il a probablement noté que mes mamelons sont érigés.
- Je... non... c'est la douche. Elle est un peu froide.
- Ah non, je sais d'expérience qu'elle plutôt tiède. Votre ami semble l'assumer facilement, il ne faut pas avoir honte d'être excitée. C'est une réaction naturelle de vos tétons.
- Mais arrêter de mater mes tétons !
Je cache mes seins et me penche en avant.

Luc intervient en faveur de Joann qui semble embarrassé par ma réaction :
- Juliette, tu exagères ! Joann a vu tes seins tout à l'heure. Il m'a même semblé que tu lui exposais assez facilement.
- Oui, mais il n'était alors pas question de mon excitation.

- Et alors ? Moi aussi je suis excité et je l'assume.
- Toi, je me demande si tu ne serais pas capable de te masturber devant Joann, tant tu es excité.
- Effectivement...
À ma grande surprise, Luc semble considérer cela comme un défi. Il empoigne son érection et fait coulisser sa main dessus en me faisant un grand sourire.

- Tu es vraiment un pervers...
- Tu veux dire épicurien ?
Joann fronce les sourcils :
- Un quoi ?
Luc lui répond :
- Un épicurien. Quelqu'un qui veut jouir de la vie.
Les deux gars me détaillent, considérant sans doute que jouir de la vie passe par moi.
- Eh ! Arrêtez de me mâter comme ça !

Luc se défend :
- Désolé, ma Juju, tu es tellement excitante. Regarde dans quel état tu me mets...
Je saisis la balle au bond :
- Toi, oui. Mais pas pour Joann qui semble assez indifférent à mes charmes.

Joann réagit :
- Oh, Juliette, ne vous formalisez pas. Ce n'est qu'une question de contrôle. Je ne voulais pas vous embarrasser avec mon érection. Cela semblait vous avoir choqué hier, en haut de l'escalier.
Et il nous prouve qu'il maîtrise effectivement son érection : je vois son sexe gonfler, se tendre et se dresser. Magnifique.

Joann sourit en voyant mon trouble :
- Juliette, ça vous choque ? Ou bien vous êtes à l'aise avec ça.
- Disons que ça ne me choque pas, mais je ne suis pas vraiment à l'aise non plus...

- Et qu'éprouvez-vous de cette situation ?
Je n'en reviens pas. Il est jardinier ou psychologue ? Comme je tarde à répondre, c'est Luc qui le fait à ma place :
- Je crois que ça l'excite, si j'en juge par ses mamelons et son regard sur vous.
- Luc ! Tu exagères !
Je leur tourne le dos pour qu'ils arrêtent de se servir de mes mamelons érigés comme argument pour me faire admettre que je suis excitée par leurs érections.

- Oh, ne te fâche pas, ma Juju. C'était pour rire.
J'attrape une serviette et commence à me sécher, mal à l'aise d'être nue entre ces deux hommes en érections. Immanquablement, je ne peux qu'assimiler cette situation à celle d'Angela.
- C'est bon, je vais aller préparer le repas. Il est déjà tard.

Bien sûr, Luc négocie.
- Allons, Juliette. Reste un peu. Je m'en occuperai après du déjeuner.
- Après quoi ?
- Je ne sais pas, on discute. C'est intéressant de partager avec Joann ce qu'on ressent à faire du nudisme, non ?
- Eh bien, discutez-en et tu me feras un résumé pendant le repas.

Je souris en imaginant Joann et Luc parler quéquette tous les deux et s'autocongratuler sur leurs érections respectives. Évidemment que ma présence féminine est indispensable à cette discussion puisque la finalité est de parler de choses excitantes pour faire monter la tension. Me voyant pousser la porte de la villa, Luc exprime sa déception :
- On a l'air de quoi nous ?
- De deux mecs à poil au bord d'une piscine !

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Angela - épisode 11 : Repas sur la terrasse
Dimanche 31 juillet 12:54
Chose peut-être étrange, pour le repas, ma pudeur m'interdit de rester nue et, avant d'aller préparer le repas, je monte à la chambre passer une culotte, un soutien-gorge et un tee-shirt léger. Quand Luc vient enfin me rejoindre dans la cuisine, je viens de terminer de préparer une grosse salade niçoise pour le déjeuner. Il s'étonne de ma tenue :
- Qu'est-ce qui se passe ? Tu as froid ?
- Non. Juste que je ne me voyais ni cuisiner, ni déjeuner à poil.
- C'est dommage...
- J'ai quand même pris de la lingerie sexy. Tu aimes ?
Je soulève mon tee-shirt pour lui montrer ma culotte dont la dentelle permet d'apercevoir ma minette.

Luc ne semble pas emballé :
- Oui, pas mal, mais j'aurais préféré sans.
- Tu vas devoir te contenter de ça jusqu'à la fin du repas. Je n'ai jamais dit que je terminais la semaine à poil.
- Non, tu as raison. Il faut faire des pauses. Tu veux que je passe un short ?
- Tu fais comme tu veux. Moi ça me va si tu restes à poil. Cela me permet de voir ton... émotion.

- Alors toi, tu t'habilles et moi je dois rester à poil ?
- Ah non. Tu fais ce que tu veux. Mais te connaissant, je suppose que tu vas chercher à m'exhiber ta queue le plus possible pour me mettre en appétit.
Luc sourit :
- Tu commences à bien me connaître... Mais tu es tellement habillée que ma queue ne va pas se montrer sous son meilleur jour...
- Même avec mon tee-shirt transparent ?
- On voit que tu as un soutif en dessous...
- Oui, mais regarde : c'est aussi de la dentelle transparente...
Je soulève mon haut pour lui dévoiler ma lingerie.

Là encore, Luc ne montre pas un grand enthousiasme :
- Oui, c'est joli.
- Juste joli ? Même pas excitant.
- Bah, vois par toi-même.
Il me désigne son sexe légèrement gonflé, mais pas du tout dressé.
- Effectivement, tu ne sembles pas sensible à ma lingerie...

Luc semble presque embêté :
- Désolé, ma Juju... Cela étant, je suis d'accord qu'avec toute l'excitation que l'on a subit depuis notre arrivée ici, une pause ne fera pas de mal.
- Je suis quand même un peu vexée que ma lingerie te fasse si peu d'effet.
- Ce n'est pas ta lingerie, je pense que c'est moi. Je suis certain que si on demande à Joann, il la trouvera très excitante.
Il veut que je demande à Joann son avis sur ma lingerie ? Cette remarque m'a tellement surprise que je veux qu'il prenne conscience de ce qu'il vient de proposer.
- OK.
- Quoi "OK" ?
Je sors donc sur la terrasse et pars retrouver Joann qui est en train de passer le râteau sur la pelouse, totalement nu.

J'en profite pour admirer son charmant fessier avant de l'interrompre :
- Joann ? On voulait vous demander quelque chose avec Luc.
Il pose son râteau et se tourne vers moi
- Oui ?
- Qu'est-ce que vous pensez de ma tenue ?

Ma question ne semble pas le gêner et il semble même ravi d'avoir un prétexte pour me détailler. Curieusement, Luc reste en retrait et écoute passivement. Joann finit par me dire :
- C'est une tenue très sexy. Le jeu de transparence est très bien choisi.
- Pourtant, ça ne vous fait pas bander tellement...
- Votre tenue est sexy, mais elle n'est pas coordonnée au contexte.

Celle-là, je ne la comprends pas :
- Coordonnée au contexte ?
- Oui. C'est une tenue qui, à mon sens, est beaucoup trop déshabillée si vous comptez la mettre en public, et à la fois trop habillée pour vos vacances dans cette villa.
Je me retourne et vois le sourire de Luc, satisfait de la réponse du jardinier.
- Je vois, vous vous liguez contre moi. J'accepte de faire un effort.
Sans retirer mon tee-shirt, je passe mes mains en dessous pour dégrafer et retirer le soutien-gorge. Je le présente aux garçons, sachant qu'ils regardent davantage ma poitrine qu'ils devinent par transparence sous le tissu de mon haut.

Luc hoche la tête :
- C'est effectivement déjà mieux.
- Et tu n'obtiendras rien de plus !
- Je suis têtu.
- Je sais. Et moi j'ai faim. Allons manger.

À la fin de repas, je constate que Luc bande un peu :
- Alors ? Il y a aussi des tenues qui peuvent être excitantes, non ?
- Oui, j'aime bien deviner tes seins par transparence, surtout quand ils bougent sous ton tee-shirt. Et toi, ça t'excite de me voir bander ?
- Regarde.
J'écarte les cuisses pour qu'il puisse voir ma culotte un peu humide.

Il fait la moue :
- Charmant, mais on ne voit pas grand-chose avec cette culotte...
- Quoi ?
- J'imagine que tu veux me montrer que tu mouilles ?
- Oui... ça ne se voit pas ?

- Tu veux que j'aille chercher Joann pour lui demander son avis ?
Je le sens très sarcastique...
- N'exagère pas. Quoique tu en penses, je ne la retirerai pas. Tu vas devoir te contenter de ce que tu vois à travers la dentelle.

- Oui, mais c'est toi qui veux me montrer que tu mouilles. Moi je ne vois pas tant que ça à travers la culotte, donc je te le dis. C'est tout.
- Ah d'accord. Tu m'informes. Tu n'éprouves aucune frustration à ne pas voir ma minette qui dégouline de mouille ?
- Oui, forcément, si tu commences à me parler comme ça, ça ne va pas arranger les choses.
- Arranger quoi ? Ta queue que je vois se dresser de plus en plus ?

- Oui, je crois que ça m'excite davantage de parler sexe avec toi que de te voir en petite tenue.
- Ah ? Donc on ne se regarde plus ? On ne se touche plus ? On se contente de discuter ? C'est une conception très platonique de l'épicurisme, non ?
- Tu vas trop loin dans ton interprétation. Parler de sexe ne remplace pas le sexe. On pourrait considérer ça comme un préliminaire, comme l'observation, les caresses...
- Mmmmmm, moi, j'ai quand même besoin de caresses, Luc.

- Évidemment... Tu les auras, c'est promis.
- Et tu hiérarchises, ces préliminaires ?
- Je dirais d'abord la discussion, ça fait monter la tension. Puis les jeux de regards et enfin les caresses.
- Et là, on peut passer aux regards ?
Je tire sur mon décolleté pour extraire un sein et lui exposer, comme si je lui présente le dessert.

Nous sommes tirés de notre analyse érotique par la voix de Joann, dans mon dos :
- Excusez-moi. Vous avez terminé votre repas ?
Luc lui répond :
- Heu, oui.
- L'un de vous peut me donner un coup de main pour l'arrosage ?
Je tourne la tête et vois que Joann présente une érection presque aussi fière que celle de Luc

A-t-il entendu notre conversation sur les préliminaires pour être excité ainsi ? Avant que Luc ne réponde, je me lève :
- Est-ce que ça nécessite de la force ?
- Pas particulièrement.
- Alors, j'arrive. Luc va en profiter pour ranger la table.
Je suis Joann dans le jardin sous le regard amusé de Luc. Il a vu que mon décolleté bâille sur un sein. Joann ne semble pas l'avoir remarqué.

Il me présente un tuyau d'arrosage qui passe sous la haie :
- Voilà, je suis en train d'arroser derrière, mais au passage de la haie, le tuyau se plie et bloque l'eau.
- Ok, vous voulez que je le soulève pour que ça coule mieux ?
Je prends le tuyau et le monte en l'air. Je vois que Joann apprécie ma pose et que son regard s'intéresse plus à mes fesses qu'à la position du tuyau.

Il finit par dire :
- Heu non, pardon, ce n'est pas comme ça. Vous voyez, ça plie encore davantage le tuyau, au contraire, il faut prendre de part et d'autre du pli pour le forcer à rester droit. Ce n'est pas difficile, mais ça me permettra de terminer l'arrosage de cette partie.
- Ah d'accord. Et vous, vous êtes donc de l'autre côté de la haie avec votre tuyau.
En prononçant le dernier mot, je ne peux m'empêcher de laisser tomber mon regard sur son membre toujours en érection. Joann voit mon regard et semble un peu gêné. Il tente de forcer son sexe vers le bas, mais sa belle tige est bien trop tendue.
- Excusez-moi, Juliette.

- Oh ne vous excusez. Il me semble que c'est une réaction bien naturelle, non ?
- Oui. Je ne suis pas insensible à votre charme.
Il passe de l'autre côté de la haie.
- Tant mieux, j'ai cru plutôt que je ne vous motivais pas beaucoup, même en culotte.

- Disons que j'arrive parfois à me contrôler vu que ça m'arrive fréquemment de travailler nu. Mais là, c'est quand même difficile.
- Mais dites-moi, j'ai une question, peut-être un peu personnelle... À être nu avec des locataires, il n'y a jamais eu de dérapage ? Vous n'avez jamais rien fait avec des locataires ?
- Oh, habituellement, ce sont des couples nudistes beaucoup plus âgés. Personnellement, les femmes de soixante ans, même bien conservées, ce n'est pas mon truc. En revanche, j'en ai vu certaine qui se masturbait en me regardant travailler, sans doute attirées par ma jeunesse.
- Je peux le comprendre...
Je me penche en avant pour maintenir le tuyau d'arrosage droit et l'empêcher de se plier. Dans cette position, je sais que j'offre à Joann une formidable vue sur mes seins nus dans mon décolleté.

- Comme ça, c'est bon ?
- Oui, parfait ! Le débit est normal.
Il pense sans doute que le bas de son corps est bien caché derrière la haie, mais je parviens à voir pas mal de choses. Tandis que je sens son regard qui explore mon décolleté, je vois son sexe se gonfler et se tendre significativement.

Tout cela commence à m'exciter passablement. C'est un jeu de voyeurisme particulièrement chaud puisque Joann regarde mes seins en pensant que je ne le vois pas et moi je regarde son érection se former peu à peu. Sait-il que je le regarde ? J'entends alors du bruit derrière moi. Luc, toujours nu lui aussi, a fait une approche discrète par le côté de façon à ce que Joann ne puisse pas le voir. Mon homme est maintenant accroupi derrière moi. Ses chuchotements sont couverts par le bruit de l'arrosage.
- Mmmm... Voilà une culotte de dentelle qui semble plus mouillée que tout à l'heure.

Tout bas, je lui explique :
- Notre jardinier a les yeux perdus dans mon décolleté, et il bande joliment.
- Vous êtes donc tous les deux bien occupés.
Je ne m'y attends pas du tout : Luc attrape ma culotte et me l'abaisse jusqu'aux chevilles. Maintenant, il est évident que ma fente trempée de cyprine exprime mieux que des mots mon excitation.

Luc pose une main sur ma hanche. Je pense qu'il veut me caresser, mais en réalité, il imprime une légère pression pour me déséquilibrer.
- Voilà qui est mieux...
Je comprends d'où il tire sa satisfaction : pour me rééquilibrer, j'ai dû écarter les jambes, quittant ainsi définitivement ma culotte et exhibant ma vulve au regard de Luc.

Toujours murmurant, il commente ce qu'il voit :
- Oh, mais c'est que tu mouilles encore plus que je le pensais.
Je veux lui dire d'arrêter, mais j'ai peur que Joann ne finisse pas détecter la présence de Luc. Il s'approche derrière ma croupe et je peux sentir son souffle sur ma moule.

Luc ne résiste pas longtemps, pour mon plus grand plaisir :
- Mmmmm, tu mouilles tant qu'on crève d'envie d'y glisser quelque chose.
En l'entendant murmurer cela, je n'ai qu'une envie. Qu'il se relève, se dévoile à Joann, et me prenne en levrette devant le jardinier. Il en a certainement envie lui aussi. Pourtant, à ma grande surprise, Luc reste accroupi derrière moi, et il se contente de glisser son index dans ma fente pour me masturber lentement.

L'érection de Joann semble être à son maximum. Je suis très fière que mes seins puissent le stimuler autant. Cependant, je prends soudain conscience que vu la profondeur de mon décolleté, il doit certainement voir bien plus que mes seins. Probablement voit-il mon ventre, peut-être mon sexe et sans doute Luc, entre mes cuisses qui est en train de me câliner les fesses et le sexe. Finalement, c'est un jeu de dupe. Joann sait que Luc est là. Il sait probablement que je regarde sa prodigieuse érection. Chacun offre à l'autre ce qu'il veut voir et fait semblant que ce soit accidentel. J'adore m'exhiber ainsi.

Et le jeu commence à prendre des proportions incontrôlables. Sans doute que les mouvements de mon bassin trahissent mon plaisir d'accueillir le doigt inquisiteur de Luc. Je ne le vois pas, mais je suis certaine qu'il bande lui aussi autant que Joann. Je sais que je commence à avoir le souffle court. Joann doit probablement voir mes mamelons s'ériger. Moi-même, je les sens se tendre. Tout cela doit être trop excitant pour le jardinier. Il pose le tuyau d'arrosage au sol, coincé entre deux troncs d'arbustes de la haie, et porte la main à son sexe pour se masturber lentement.

Il a les yeux toujours rivés dans mon décolleté. Sans doute voit-il le doigt de Luc quitter ma moule. Sans doute voit-il son menton s'approcher. Sans doute a-t-il perçu mon tressautement quand la langue de Luc s'est insinuée dans ma fente humide. Sans doute a-t-il entendu mon frémissement de plaisir :
- Tout va bien, Juliette ?
- Oui...
J'ai du mal à formuler ma réponse avec la langue de Luc qui me fouille la vulve.

- Je... Il faut encore arroser beaucoup ?
- Oui, c'est très sec. Tout est bu au fur et à mesure.
Et là, nouvelle surprise. La langue de Luc remonte plus haut et s'attarde sur mon petit trou. Il tourne autour et tente parfois de tendre sa langue comme une lance pour se glisser dans l'étroit canal.

Là, ce n'est plus un frémissement, mais un terrible gémissement incontrôlable :
- Ooooooh !
Joann sait très bien de quoi il s'agit, car il voit tout d'où il est. Toutefois, il continue à jouer le jeu de l'innocence :
- Ne vous en faites pas Juliette, c'est bientôt terminé et je n'aurai plus besoin de vous.
Est-ce une phrase à double sens ? Parle-t-il d'une prochaine éjaculation suscitée par décolleté ?

- Je... Cela ne me dérange pas de vous aider...
De l'autre côté de la haie. Joann semble avoir définitivement abandonné le tuyau d'arrosage et s'occupe d'un manche plus court, mais autrement plus large. Je suis fascinée de voir sa main astiquer son membre avec un rythme de plus en plus soutenu. Je soupçonne qu'il soit effectivement sur le point d'éjaculer.

Difficile pour moi de me concentrer sur ce spectacle pourtant magique. Luc n'en finit pas de me câliner. Je ne sais plus ce que je veux. Ne pas jouir devant le jardinier ? Me laisser aller et montrer à Joann comment je suis pendant un orgasme ? Finalement, qu'importe ce que je veux : Luc a décidé pour moi. Comment pourrais-je l'arrêter maintenant ? Le voudrais-je seulement ? La honte serait de jouir alors que Joann ne prévoit pas d'éjaculer. Ne pas jouir sera difficile pour moi puisque Luc me prend d'assaut par plusieurs fronts. Sa langue semble toujours chercher à forcer mon passage secret tandis que ses doigts tentent de s'insinuer par la porte principale déjà entrebâillée.

Je me laisse aller au plaisir de ces douces intrusions. Mais l'assaut final est soudain donné : la langue insiste sur mon anus ; je sens le majeur me pénétrer profondément, puis me pistonner avec une cadence soutenue. J'y suis.
- Hhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
C'est un orgasme. Joann ne peut s'y tromper. Mon corps est pris de spasme. Je perds presque l'équilibre, mais Luc me tient fermement et continue son invasion sans faillir.

Je perds presque conscience. Pourtant, j'entends très nettement un râle profond, retenu :
- Onhhhhhhhhhhhhhhhhhhh...
C'est Joann qui éjacule, presque synchronisé avec mon orgasme. Je me force à rouvrir les yeux pour voir les longues giclées de sperme venir souiller l'herbe trempée au pied de la haie.

Dès que je reprends un peu mon souffle et mes esprits, je me retourne pour voir mon bienfaiteur. Luc s'est arrêté.
- Quand un jardinier te demande d'arroser, tu paies de ta personne.
Il est à genoux et sourit bêtement. Je sens un long filet de cyprine s'échapper de ma fente et comprends sa remarque.

Luc se penche sous ma fontaine et tend la langue et me disant :
- Merci, ma Juju...
Il recueille le fruit de mon plaisir et remonte pour finalement faire terminer la course de sa bouche sur ma moule et me la sucer doucement, m'arrachant encore quelques soubresauts de plaisir.

Je me redresse enfin. Luc s'éloigne déjà, repartant d'où il est venu, comme un voleur. Pourtant, il m'a plus donné que volé. Je regarde au sol derrière moi et ne vois aucune trace. Il ne semble pas avoir éjaculé. Cela m'aurait pourtant amusée. Je le vois réapparaître au niveau de la villa. Son profil ne laisse pas de doute : il est encore en érection. J'entends la voix de Joann et, encore sous le coup de mon orgasme, je me retourne vers lui :
- Je crois que ça ira.
- Oui, c'est assez mouillé ?

- Oh oui, tant qu'assez. Mais, dites-moi, Juliette, vous n'aviez pas une culotte tout à l'heure ?
Je prends alors conscience de ma tenue débraillée : mon tee-shirt a glissé de mes épaules et dévoilent mes seins, tandis qu'il est retroussé sur mon ventre, laissant visible mon sexe, heureusement bien nettoyé de sa cyprine par la langue savante de Luc.

- Oups, excusez-moi...
- Oh ne vous excusez pas. Cette petite séance d'arrosage a été plaisante pour tout le monde, n'est-ce pas ?
- Oui, plutôt !
Joann me fait un grand sourire et je peux constater que, malgré son éjaculation, il affiche encore une fière érection.

Il voit mon regard fasciné.
- Héhé, désolé. Là, je n'ai pas contrôlé...
- Tout le plaisir est pour moi...
Mais pourquoi je fais cette vanne-là au jardinier qui est à poil devant moi et qui vient d'éjaculer sous mes yeux ? Je me redresse vivement, ne sachant pas trop que penser de ce qui vient de se passer.

Un mec presque inconnu s'est masturbé en regardant mes seins et a fini par éjaculer. Mon mec m'a arraché ma culotte et m'a donné un orgasme devant ce presque inconnu. D'où a pu lui venir une telle idée ? Était-ce le genre de jeux auxquels il jouait avec Lionel quand ils étaient avec Angela ? Tiens, je repense à elle, mais après, cette fois-ci. Il y a du mieux. Et si c'est Angela qui a appris tout cela à Luc, il faudra que je la remercie si je la croise. Ces petits jeux ont été du grand n'importe quoi, mais, avec du recul, cela m'a beaucoup excitée et je crois que j'aimerai beaucoup recommencer.
Je vais aller aider Luc à débarrasser et à ranger, puis je lui proposerai qu'on retourne à la plage.
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Angela - épisode 12 : Marée Haute
Dimanche 31 juillet 14:11
Quand je regagne la villa, je constate, déçue, que Luc est en train de se rhabiller :
- Oh bah, qu'est-ce que tu fais ?
- On ne peut pas vivre que d'amour et d'eau fraîche, ma chérie. À un moment, il faut qu'on fasse des courses pour remplir le frigo.
- Après ce qu'on vient de faire, je pensais que tu me ferais l'amour.
Je m'étire, faisant saillir ma poitrine pour le faire succomber.

Mais le bougre se montre résistant :
- Héhé, tu es une vile tentatrice ! Mais il faut vraiment prendre le temps de faire quelques courses.
- On ira après.
- Après quoi ?
- Après avoir fait l'amour sur la plage...

Je le vois marquer un temps d'arrêt. Il hésite. J'attrape mon bikini noir et commence à enfiler la culotte :
- Même si Joann nous observe d'en haut...
- Si je dis oui, je ne sais pas si je réussirai à me contenter de ça.
- Tu veux plus, mon gros cochon ?
- Si je descends sur la plage avec toi, j'ai peur qu'on n'ait pas le courage de remonter après...
- On ira en fin d'après-midi.

Je le sens à deux doigts de succomber. Je me sens un peu conne, car je ne me sais pas si moi j'aurais le courage de faire l'amour comme ça en public. Mais il fallait que je trouve quelque chose d'original pour le convaincre et, maintenant qu'il semble sur le point d'accepter, je ne peux plus vraiment revenir sur ma proposition.
Toc toc !
- Qu'est-ce que vous faites, les amoureux ?
J'ai tout juste le temps de dissimuler ma poitrine aux yeux de Lionel qui vient d'ouvrir la porte.

- Oh, désolé... Je vous attends dehors.
Luc le retient et l'invite à rentrer.
- Bonjour, Lionel. Entre.
Pendant que je me retourne pour enfiler mon haut de bikini, Luc lui dit :
- On doit aller faire quelques courses.
- En cette saison, il n'y a que l'hypermarché de Bayonne qui est ouvert le dimanche après-midi, mais ils ferment vers 16h et ce n'est pas juste à côté.
- On a le temps.
J'interviens :
- Heu, mais là, moi j'étais plutôt partie pour la plage. On fera les courses après, non ?

- Ma chérie, va à la plage. Je vais vite faire les courses et je te rejoins.
- Mais on a dit qu'on ferait...
Je m'interromps, ne voulant pas exposer devant Lionel notre petit projet. Luc rigole :
- À mon retour, Juju.
- Mais moi, je ne vais pas aller seule à la plage...
- Lionel peut sans doute t'accompagner.
Celui-ci hoche la tête, sans montrer d'enthousiasme particulier. Je suis sidérée qu'il me laisse aller à la plage avec son copain alors qu'il sait à quel point je suis excitée. Il ajoute :
- Cela vous permettra de faire un peu connaissance et de baver sur mes défauts.
- Oh là, il va nous falloir plus qu'un après-midi !

Équipé de ses sacs de course, Luc s'en va et nous laisse Lionel et moi. Il me regarde avec un petit sourire :
- On y va ?
- Oui.
J'ai la sensation d'être une petite souris qui attend de se faire croquer par le chat. En arrivant sur la plage, le sable qui s'est chargé de soleil tout le début de journée nous renvoie une nappe de chaleur lourde. Lionel commente judicieusement :
- On a peut-être intérêt à se baigner d'abord, non ?
- Oui, sinon on va cramer...

Certes, l'eau est rafraîchissante, mais il y a aussi un peu de vent et surtout de grosses vagues. Lionel partage son expérience :
- Ce sont les vagues appréciées par les surfeurs, mais il faut faire attention quand on se baigne à ne pas se faire emmener, sinon on peut se faire rouler comme dans une machine à laver...
- Oui, mais ça fait un bien fou avec cette chaleur !

Nous restons timidement à quelques mètres l'un de l'autre.
- Alors, vous êtes ensemble depuis la fac, toi et Luc ?
- Oui. Il m'a trouvée quand vous vous êtes perdus de vue, toi et...
- Et Angela.
Je n'ose lui poser toutes les questions qui me viennent à l'esprit quand il évoque Angela. J'observe Lionel plus en détail. Il est bien foutu, peut-être un peu plus costaud que Luc, mais un peu plus petit aussi.

Il m'observe aussi. Il semble aussi sur la réserve. Ce ne sera sans doute pas facile d'en savoir plus sur Angela. Il me demande quand même :
- Luc t'a un peu parlé d'elle ?
- Pas vraiment. Il reste très secret à son sujet.
Il semble sentir que je suis en attente d'informations et me répond :
- Ce n'est peut-être pas à moi de t'en parler.
- C'est lui qui a tenu à aller faire les courses et il est parfaitement conscient qu'on va parler de lui. Il assume.
Lionel rigole, amusé de voir que je veuille justifier ma curiosité. Je le vois soudain ouvrir de grands yeux, mais, avant qu'il ne puisse me prévenir, une vague est déjà sur moi et me fait perdre l'équilibre.

Je pousse un cri ridicule. Ce qui n'a malheureusement aucun impact sur la puissance de la vague et n'a servi qu'à attirer l'attention de Lionel sur moi, alors que ce n'était vraiment pas nécessaire. Je suis sous l'eau. La vague passée, je retrouve un semblant d'équilibre et parviens à m'asseoir. Je fais les comptes : j'ai toujours ma culotte, mais il semblerait que mon soutif se soit fait la malle. Lionel sourit, ravi de la situation, et je cache maladroitement ma poitrine nue :
- Tu rigoles, mais j'aurais pu me faire mal !

- Oui, mais j'ai l'impression que tout va bien, non ?
- Pas exactement, la vague m'a fauchée moi et m'a fauchée mon haut. Tu le vois ?
- C'est encore marée montante. Il va finir par ressurgir sur la plage.
Je me redresse pour voir si je l'aperçois.

Lionel ne dit plus un mot. Je sais qu'il a déjà vu mes seins, mais les circonstances sont ici différentes puisque j'ai décidé de ne pas me montrer trop pudique avec lui. Je lui expose donc mes seins et cela le laisse bouche bée.
- Lionel, tu m'aides à le chercher ?
- Heu, franchement, tu es très bien comme ça.

Il n'en perd pas une miette, mais son maillot semble ne trahir aucune émotion particulière.
- Oui, je sais que tu pratiques le naturisme, mais moi je n'y suis pas encore habituée.
- Cette vague providentielle va peut-être t'aider à passer le cap ?
- Bon... peut-être le soutif, mais pour le bas je ne suis pas encore prête...

- Pourtant, c'est déjà en bonne voie.
Suivant son regard, je découvre que la vague a également dénoué une partie de ma culotte et que celle-ci bâille depuis sur mon sexe dénudé.
- Merde !
Alors que je termine de refaire le nœud, Lionel me met en garde :
- Attention, Juliette !
Mais il est trop tard, une nouvelle vague imposante est sur moi et me renverse, me roulant sur quelques mètres. Je me retrouve à quatre pattes.

Un nouveau bilan est nécessaire. La vague m'a laissé ma culotte, mais a traîtreusement tenté de me la retirer. Elle est descendue largement sur mes cuisses et Lionel semble ravi de pouvoir admirer mon fessier. Il rigole :
- Le sort s'acharne. La nature te fait savoir que tu profiterais mieux de cette baignade si tu n'avais pas à te préoccuper de tes vêtements.
- La nature me fait savoir que je ne sais pas attacher mon bikini convenablement.
Je me redresse pour remonter ma culotte.

Lionel insiste :
- Franchement, tu la remets, alors qu'à la prochaine vague, tu l'auras à nouveau aux chevilles.
- Je te remercie pour ta sollicitude, mais j'ai le sentiment que tu trouves ces arguments surtout pour pouvoir me voir à poil.
Je lui tourne le dos pour terminer d'ajuster le dernier bout de vêtement qu'il me reste.

Lionel se défend :
- Je ne veux que te simplifier la vie.
- Et me voir à poil.
- Bon, je ne vais pas te mentir. Tu as un corps magnifique et j'apprécie aussi de pouvoir te regarder.
- J'ai un corps magnifique, mais ça te laisse de marbre...
Il semble ne pas comprendre ma remarque et vient vers moi :
- Que veux-tu dire ?

- Je veux dire que tu ne sembles pas très excité de me voir dans cette tenue...
Il suit mon regard sur son maillot et comprend ce que je veux dire :
- Oh, ne te formalise pas. C'est juste l'habitude. La pratique du naturisme me permet de garder le contrôle un minimum. Mais je t'assure que tu es très excitante.
Quand même un peu vexée, je vais à sa rencontre avec la ferme intention de lui demander la preuve visuelle de ce contrôle insensé.

Nous ne sommes qu'à quelques mètres quand je prends conscience qu'une immense vague arrive sur ma gauche. J'ai le réflexe de sauter pour garder la tête hors de l'eau alors que je vois que Lionel plonge dans la vague. Je manque cruellement d'habitude pour ça aussi. Bien sûr, je me retrouve avec les jambes en l'air, roulée à nouveau sur quelques mètres. Quand mes mains et mes pieds reprennent contact avec le sable, je suis à quatre pattes et le bilan s'est alourdi : ma culotte n'est plus là et je suis les fesses à l'air.

J'entends la voix de Lionel derrière moi :
- Elle était balaize celle-là ! Il ne faut pas sauter, il faut plonger dedans, c'est le mieux pour ne pas se faire emmener.
- Excuse-moi. Je veux bien des conseils sur la meilleure façon d'aborder une vague, mais pour le moment, j'aimerai retrouver ma culotte.

- Et pourquoi faire, puisque le destin s'acharne ?
- Déjà, pour ne pas être à poil devant un ami de mon copain.
- Je ne comprends pas pourquoi tu insistes. Tu as peur que Luc t'en veuille de te mettre nue devant moi ?

Nous revoilà à Luc. Et donc à Angela. Je me dis qu'il y a là une opportunité pour en savoir un peu plus. Sans me soucier, ni de ma tenue, ni de ma posture pourtant particulièrement indécente, je me concentre sur la façon d'interroger Lionel :
- Je sais que Luc n'est pas d'un naturel jaloux. Il a confiance en moi.
- Je ne sais pas si c'est une question de confiance, je dirais qu'il te laisse libre de tes choix, non ?
- Libre de me mettre à poil devant d'autres hommes ?

Lionel voit bien que je le provoque puisqu'il a sous les yeux l'illustration de ma phrase. Il semble pourtant un peu gêné :
- Heu, oui, par exemple.
- Angela pratiquait l'exhibition ?
Dans ma tête la question est venue logiquement dans la conversation, mais pour Lionel cela ne semble pas si évident que ça et il semble surpris par la question :
- Angela ? Heu oui, elle n'était pas très pudique... pourquoi cette question ?
Je ne dois pas lui montrer que cette fille m'obsède depuis que j'ai appris son existence. Je prends donc un air détaché :
- Oh, juste pour savoir comment réagissait Luc quand elle faisait de l'exhibition.

Il sourit, envisageant déjà la réponse :
- Oh, il réagissait de manière très naturelle, comme n'importe quel homme qui a le plaisir d'observer les appâts d'une jolie fille.
Je sens son regard appuyé sur mes cuisses, mon ventre et mes seins. Un réflexe de pudeur me fait cacher ma poitrine.

Lionel rigole :
- Allons, tu t'es déjà essayé au nudisme. Pourquoi montres-tu autant de pudeur ?
- Peut-être parce qu'on ne se connaît que depuis hier ?
- Je comprends. On doit être sur un pied d'égalité.
Il attrape son maillot et se penche pour le retirer, s'exhibant nu devant moi.

- Voilà, ça te met sans doute plus à l'aise.
- Pas particulièrement.
Il fait une boule avec le short et le lance jusque sur la plage.
- Pourtant, je suis maintenant aussi nu que toi.
Ces efforts pour essayer de me mettre à l'aise m'amusent beaucoup :
- Justement, je n'ai pas l'habitude de me baigner à poil avec des amis de Luc.

- Il faut un début à tout.
- Sans doute, mais avoue que ce n'est pas une situation très commune.
- Détrompe-toi, je me baigne très souvent nu.
Ce qui me sidère, c'est qu'il ne bande pas du tout.
- Oui, je vois que tu es habitué...

Il semble surpris de ma remarque :
- Qu'est-ce qui te fait dire cela ?
- Le fait que tu restes insensible à mes charmes.
- Détrompe-toi. Je suis loin d'être insensible. Je trouve par exemple tes seins ravissants.
Je suis surprise par cet aveu aussi direct et cache ma poitrine avec mes mains.
- Pourtant, tu ne bandes pas...

- Parce que je suis habitué. J'arrive à me contrôler.
- Tu amènes souvent des filles ici ?
- Oui, quelques-unes...
- Angela est venue ici ?

Il semble trouver curieux et amusant que je m'intéresse autant à Angela.
- Serait-ce de la jalousie que je sens dans toutes ces questions sur Angela ?
Là, je le trouve vache. Vexée, je lui tourne le dos.
- Pas du tout, simple curiosité pour mieux connaître Luc.

J'entends dans mon dos Lionel répondre :
- Voilà un point de vue particulièrement exceptionnel...
Je me retourne et constate qu'il a les yeux rivés à ma croupe. Je vois alors que son sexe commence à se redresser.

Sentant mon regard sur son sexe, Lionel détourne alors mon attention :
- Là ! Ce n'est pas ton maillot ?
Il désigne un morceau de tissu noir qui flotte, porté par les vagues sur la plage.
- Je crois que si...
Ballottée par les vagues ma culotte semble être devenue sauvage et ne se laisse pas attraper si facilement, ce qui amuse Lionel.

C'est bien ma culotte, mais il y a quelques algues agglutinées autour. Lionel s'interroge :
- Ce n'est pas ton maillot ?
- Si, mais c'est devenu le support de tout un écosystème.

- La preuve qu'il est plus utile dans l'océan que sur tes fesses.
- Ce n'est pas très écologique, comme discours...
- Si je parviens à te convertir au naturisme, tu n'auras plus à acheter de maillot.
- Ah, en fait, ce n'est pas pour que je reste à poil, mais uniquement dans un souci de préserver la planète ?

Je parviens à retirer tout corps étranger de ma culotte et la rince une dernière fois dans les vagues. Lionel comprend bien mon intention :
- Franchement, regarde ! Je suis à poil. Pas de soucis. Pourquoi tu veux remettre cette culotte que tu vas reperdre à la prochaine vague.
- Je crois que la prochaine vague attendra. J'ai eu mon compte de baignade.

J'avance vers la plage car les vagues sont parfois un peu fortes et je prends conscience que le simple fait de lever une jambe me place en position de déséquilibre. Lionel me suit, infatigable dans son discours :
- Juliette, je suis sûr que si Luc était à, il te dirait comme moi !
- Je n'en doute pas un seul instant.
J'enfile enfin ma culotte et la remonte.

Mon regard balaye alors la plage puis les vagues, à la recherche de mon soutien-gorge.
- Et mon soutif ? Tu ne l'as pas aperçu ?
- Déjà que je regrette de t'avoir montré ta culotte.
- Oui, j'imagine.

Lionel soupire, comme désabusé. Il semble battre en retraite face à ma détermination.
- Bon, je te l'avoue. Ton soutif, je l'avais déjà récupéré et je l'ai mis en boule dans mon maillot quand je l'ai jeté sur la plage...
Regardant plus en détail la boule de tissu, je distingue que s'en échappe un lien noir qui n'en fait effectivement pas partie.
- Et qu'est-ce qui te fait changer d'avis ?
- Je ne veux pas que tu dises à Luc que je t'ai forcée à te mettre à poil.

Je récupère mon soutien-gorge et me retourne vers Lionel :
- Tu as peur de Luc ?
- Non, mais je ne veux pas qu'il pense que je tente de reproduire avec toi ce qu'on a vécu avec Angela.
- Mais c'est peut-être ce qu'il souhaite ?

Lionel a un instant d'hésitation :
- Quoi ? Tu... Il t'a dit ça ?
- Pas du tout, mais lui aussi insiste pour que je me dévoile, que ce soit devant toi ou Joann. Commençant à comprendre la teneur de votre relation avec Angela, je me suis nécessairement posé des questions...
À sa grande surprise, non seulement je ne remets pas mon soutien-gorge, mais je retire même ma culotte.
- Tu... Tu te mets à poil ?
- Bah, oui puisque tu m'as autorisée à me rhabiller...

Il sourit béatement :
- L'art de la contradiction.
- Tu ne vas pas te plaindre ?
- Bien sûr que non !
Je m'étends sur ma serviette :
- Si ça ne t'ennuie pas, je vais profiter un peu du soleil.

- Profite.
- Toi aussi.
- Moi aussi quoi ?
- Toi aussi tu profites.
- Du soleil ?
- Non, je suis à poil.
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
Je désigne d'un regard son sexe qui, bien qu'il ne soit pas dressé, est particulièrement gonflé et trahit une excitation évidente.

Étendue, je ferme les yeux.
- Mmmm, c'est si bon de sentir les rayons du soleil me caresser la peau après cette petite baignade.
- Oui, j'adorerais aussi.
- Il te suffit de t'allonger...

Un silence se fait. J'entrouvre un œil et je vois hilare. Je me remémore ce que je viens de dire. Je crois comprendre. Ce qu'il adorerait, c'est, comme les rayons du soleil, me caresser la peau. Je referme l'œil et lui dit :
- Ok, j'ai compris ta vanne. Malin. Quand tu auras fini de te rincer l'œil et de te moquer de moi, tu peux peut-être venir t'allonger à côté de moi.

Il semble y consentir. Je l'entends se déplacer. Il installe sans doute sa serviette.
- Mais Juliette, ne compte pas sur moi pour arrêter de me rincer l'œil. Tu as un corps trop divin pour que quoi que ce soit d'autre ici puisse avoir un quelconque intérêt.
Quand je rouvre les yeux, il est effectivement allongé et est légèrement tourné vers moi, cuisses écartées et le sexe en semi-érection. Indécent !
- Alors, Juliette ? C'est agréable d'être nu au soleil, non ?

Je ne peux m'empêcher de regarder ce sexe magnifique qu'il exhibe ostensiblement. Ne voulant pas succomber à ce trouble, je regarde en l'air et ferme même les yeux pour qu'il ne se doute pas de l'intérêt que je lui porte. Je lui réponds pourtant :
- Oui, mais ce n'est pas le fait d'être nue qui me gêne, c'est surtout qu'on puisse me voir.

- Moi, je te vois. Je te vois même très bien et je te trouve superbe. Quelle gêne peux-tu avoir à être observée par quelqu'un qui te trouve belle ?
- Le jugement.
- Oh, mais tu n'as pas à craindre cela. Tu es magnifique. Voilà mon seul jugement à ton sujet. Tu as des parties de ton corps qui ne te plaisent pas ?
Je ne compte pas succomber à ses éloges. Surtout s'il commence à faire la réclame de chaque partie de mon anatomie. Je coupe court à un éventuel inventaire :
- Je ne m'explique pas cette gêne.

- C'est dommage, tu es très agréable à regarder.
Je sens son regard sur moi. Ce n'est pas désagréable, même excitant. Je l'entends s'étirer et bâiller. Je risque un coup d'œil en me disant qu'il ne me verra pas. Il est allongé sur le dos et son érection est désormais plus sérieuse.

Je sens l'excitation grandir. Je crois que je mouille un peu. On est là, tous les deux, complètement nus. Il ne se gêne pas pour me regarder et il bande. Moi, je ne veux pas qu'il sache à quel point il m'attire. Je regarde son sexe à la dérobée et le sang se met à battre dans mes tempes. Nous sommes excités tous les deux. Qui ne le serait pas dans une telle situation ? Nous nous désirons mutuellement. Le seul rempart est que je lui laisse croire que je suis indifférente. Si je lui montre mon intérêt, que se passera-t-il ?

Mince, je sens vraiment la cyprine poindre rien qu'à penser à ça... Et je sens que mes mamelons pointent franchement. Impossible qu'il ne le voie pas ! Je pense à Luc. Que penserait-il de moi en me voyant ? En même temps, c'est lui qui a insisté pour que je descende à la plage avec son copain naturiste, le gars avec lequel il a partagé sa précédente copine. Je tourne un peu la tête et entrouvre les yeux :
- Dis-donc, ça te fait drôlement bander d'être à poil au soleil !

- Je te l'ai dit, tu es la cause principale de ma turpitude.
- Elle est joliment dressée, cette turpitude.
- Tu peux t'approcher pour mieux la voir. Elle palpite pour toi, comme un cœur.
- Elle palpite ?
- Regarde, si tu ne me crois pas !
En me relevant pour le rejoindre, je sais qu'il a gagné. Je m'allonge à côté de lui et saisis le membre tendu.

Il se tourne vers moi, avec l'air satisfait du gars qui a obtenu ce qu'il voulait :
- Alors ? Tu la sens palpiter ?
- Oui, c'est étonnant.
- Et tu peux accélérer le rythme des palpitations si tu...
Il laisse sa phrase en suspens, mais j'ai compris ce qu'il veut. Je commence à le masturber lentement.

Il tend alors la main et explore mon entrejambe. Rapidement, un doigt, puis deux se glissent dans ma fente avec une facilité déconcertante. Il ne peut que constater à quel point je dégouline de cyprine.
- Mmmm, je savais que tu en avais autant envie que moi...

Je retire sa main et me redresse :
- Ce n'est pas parce que j'en ai envie que je vais y succomber.
- Pourquoi... Mmmh... pourquoi ne pas... succomber à tes envies ?
- Pour Luc.
- Tu penses que... que Luc ne veut pas que... que je te caresse la moule, mais... mmmmmh, mais qu'il accepte que tu me branles ?
- Je n'en sais rien...

J'accélère la cadence. Il ferme les yeux. Cela doit l'exciter particulièrement de savoir que la copine de son pote est en train de le masturber sur la plage. Il se met à râler. Je sens son sexe se tendre. Les palpitations deviennent un tremblement de terre et son sexe entre en éruption, crachant un flot de sperme bouillonnant. J'immobilise ma main pour sentir entre mes doigts les décharges successives de son éjaculation. C'est magnifique.

Je me relève. Il halète. Retrouvant son souffle, il me dit :
- Merci, je crois que tu m'avais tellement excité que j'aurais fini par éjaculer sans même que tu aies à toucher à mon sexe.
- J'aurais dû laisser faire la nature, alors...
- Non, je préfère que ce soit toi.
Je sens son regard sur ma croupe. Il voit nécessairement que je mouille encore. Il sent ma gêne et me dit :
- Tu n'es pas obligée d'en parler à Luc.
- Je verrai.

Lui n'a pas l'air inquiet que je puisse raconter cet écart à Luc. Croyant avoir entendu un bruit de moteur, je ramasse ma culotte et mon string et les remets avant de prendre le chemin de l'escalier pour remonter à la villa.
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Angela - épisode 13 : Faute avouée
Dimanche 31 juillet 15:28
J'ai laissé Lionel seul sur la plage. Le fait d'avoir été soulagé semble l'avoir plongé dans une douce quiétude. Quand je regarde la plage en arrivant en haut des escaliers, je vois qu'il est toujours allongé nu, assoupi. Près du portail, j'aperçois notre voiture. Luc est donc rentré. Je m'étonne qu'il ne soit pas descendu nous rejoindre. En m'approchant de la porte de la villa, il apparaît, en maillot de bain :
- Ah, tu te changeais ?
- Oui. J'allais vous rejoindre. Lionel est reparti ?
Luc vient m'embrasser. Je sens qu'il est en attente de savoir comment ça s'est passé.

- Non, il dort sur la plage.
- Alors ? Raconte-moi un peu...
Il prend ma main et m'emmène vers la piscine.
- Juste un peu ? Tu ne veux pas connaître tous les détails ?

- Parce qu'il y a beaucoup de détails à raconter ?
Nous nous arrêtons près de la petite cabine pour se changer, proche de la douche. Je le sens à la fois fébrile de savoir, mais également un peu inquiet. Je ne dois pas le faire languir trop.
- Il y en a quelques-uns. D'abord, il m'a vue intégralement nue.

Luc est suspendu à mes lèvres. Je crois presque entendre son cœur battre à travers sa poitrine.
- Et ?
- Tu n'es pas fâché ?
Il soupire et m'attire à lui pour m'embrasser à pleine bouche.

Quand le baiser s'achève, il revient à la charge :
- Alors ? Vous avez fait du naturisme ? C'est lui qui t'a retiré ton maillot ?
- Oulala, du calme. Je vois que tout cela t'excite énormément.
Et cela n'est pas seulement visible dans son comportement, mais aussi dans la bosse magistrale qui déforme son maillot. Voyant mon regard sur son entrejambe, il passe la main sur son maillot :
- Oui, tu me fais bien bander...

- Tu es un sacré pervers de trouver excitant qu'un autre mec m'ait vue à poil.
- Allons, épicurien, on a dit. Pas pervers.
Je vois bien que je l'ai en mon pouvoir et je trouve cela particulièrement grisant :
- Mmmmm. Si tu veux que je te raconte la suite, il va falloir que tu quittes ce maillot et que tu me montres ce qu'il y a dedans.

- Ah ouais ? Tu me fais du chantage, maintenant ?
- Parce que tu n'as pas envie d'extraire ta queue de ce maillot étroit ?
- Oh, la vache, si...
Il baisse son maillot et exhibe son membre tendu pour mon plus grand plaisir.

Moi aussi, j'ai très envie de quitter mon bikini, mais je veux le faire patienter encore. Peut-être Luc l'a-t-il senti. Il s'approche et
écarte les bonnets de mon soutien-gorge pour exhiber ma poitrine.
- Vas-y, raconte !
Puis il se penche pour me sucer les mamelons.

Pas facile de me concentrer sur mes souvenirs, même s'ils sont frais :
- Je... c'est les vagues qui m'ont fait perdre mon bikini. J'ai cru le perdre. Lionel, par soucis d'équité, s'est mis à poil lui-aussi.
Luc relève la tête :
- Il bandait.
- Pas tout de suite. Il semblait bien se maîtriser.
- Le goujat.
D'une main, Luc décale ma culotte pour me glisser un doigt dans la fente, rendue déjà bien humide par l'évocation de cette baignade avec Lionel.

C'est de plus en plus compliqué de me concentrer sur mon histoire avec un doigt qui va et vient dans ma minette. Désirant faire durer le plaisir, je me contrains à écarter Luc et l'oblige à retirer son doigt :
- Stop !
- Quoi ?
- Je ne vais pas pouvoir te raconter comment ça s'est passé avec Lionel. Et puis, il peut remonter à tout moment.

Luc hausse les sourcils avec un air désabusé :
- Lionel, on s'en fout. Vous étiez tous les deux à poil sur la plage, non ?
- Oui.
Face à son air sûr de lui, je décide de le mettre un peu mal à l'aise. Je lui abaisse complètement son short et m'accroupis devant lui :
- Tu ne veux pas savoir s'il a retiré lui-même son short ou si c'est moi qui lui ai enlevé ?
- Quoi ?
Et pour le faire douter de ce qui a pu se passer avec Lionel, je le prends en bouche pour le sucer doucement.

Il commence à se faire des films et j'aime ça :
- Tu... tu l'as sucé ?
Voilà. Il doute. Mais je ne peux pas lui répondre puisque je le suce. Il décide donc de me faire relever, sans doute à contrecœur :
- Bon, vas-y. Dis-moi ce que vous avez fait.
- Ce sont les vagues qui m'ont mise à poil. Quand j'ai retrouvé ma culotte, je l'ai remise, mais Lionel m'a convaincu de la retirer.
Comme pour illustrer ce que je lui évoque, je retire à nouveau ma culotte.

Luc se tait. Il observe. Je poursuis :
- Ce n'est qu'en voyant mon cul qu'il a commencé à bander enfin.
- Avant, il ne réagissait pas ?
- Pas plus que ça, mais il semble que mon cul lui a fait perdre le contrôle de son érection.
- Et qui ne perdrait pas le contrôle ?
Luc me pousse contre le tronc d'un palmier et sort mes seins du soutien-gorge. L'instant d'après, je sens sa tige raide s'introduire en moi pour une suave levrette.

Tout en me prenant doucement, Luc me questionne en murmurant à mon oreille :
- Il t'a caressé ?
- Même pas ! Ou à peine.
- Et toi ?
- Pffff, je n'ai pas su résister. Il bandait comme un taureau. Je l'ai branlé un peu et il a vite éjaculé sur mes doigts.
Je sens que ça excite Luc : son sexe grossit en moi, sa bouche cherche la mienne. Nous nous embrassons.

J'aperçois alors une silhouette s'approcher de nous. C'est Lionel qui remonte et semble ravi de nous voir en pleine action. Je préviens Luc :
- Luc... Lionel est là...
- Je t'ai dit qu'on s'en fout...
Luc continue à me prendre, comme si son copain n'était pas là.

Lionel vient juste à côté de nous :
- Luc, félicitations ! Juliette est vraiment une fille extraordinaire.
Luc m'abandonne et s'écarte. Un frisson me parcourt, car la situation me fait immédiatement repenser à Angela. Luc va-t-il m'offrir à Lionel ? Vont-ils me prendre tous les deux ? Je devrais être paniquée, mais je me contrôle, excitée à l'idée de ce qui pourrait suivre. Les garçons se regardent et échangent un sourire. Merde, quelle complicité y'a-t-il entre eux ? Je me sens comme une étrangère qui ne parle pas la langue. Lionel s'agenouille devant moi et plonge son visage entre mes cuisses. Je sens aussitôt sa langue remonter ma fente encore béante et dénicher mon clitoris tout gonflé d'excitation. Machinalement, je masturbe Luc. Il me sourit et m'embrasse.

Je n'avais pas d'idée préconçue sur Lionel, mais si Angela a conservé deux amants, c'est qu'ils se valaient l'un comme l'autre. Lionel ne devait donc pas être moins doué que Luc. Sa langue me prouve que c'est bien le cas. C'est aussi bon qu'avec Luc. Mais c'est nouveau, différent, donc meilleur. Ma main s'immobilise sur le membre turgescent de Luc. Je me concentre sur mon plaisir. En un rien de temps, une onde de choc me submerge. Mon sexe est une batterie et de petites décharges électriques s'en échappent, tétanisant par à-coup mes muscles les uns après les autres.

Ce n'est pas l'orgasme du siècle, j'en ai conscience, mais pour un premier cunnilingus, c'est déjà excellent et cela me laisse entrevoir l'étendue des compétences de Lionel. Et mes fantasmes se mettent à vagabonder sur tout ce que je pourrais faire avec lui, tout ce qu'il pourrait me faire. Un sentiment de honte me submerge à avoir ces pensées alors que j'ai le sexe de Luc dans ma main. Comme pour expier ma faute, je me penche sur lui et lui fais une fellation aussi appliquée que me le permet l'orgasme que je viens de subir.

Luc me caresse le dos et c'est en sentant une autre paire de mains sur mes cuisses que je prends conscience que j'expose ma croupe indécente à Lionel. J'entends Luc lui dire :
- Apparemment, c'est son cul qui t'a fait bander tout à l'heure ?
- C'est son cul qui m'a fait perdre le contrôle, mais chaque partie du corps de ta Juliette est somptueuse et m'excite.
- Si elle est d'accord, elle te laissera peut-être la caresser.
Il me caresse déjà les cuisses, mais je pense que Luc fait référence à mes fesses ou à ma moule. La bouche occupée, j'acquiesce à cette demande en écartant mes fesses avec une main.

D'où je suis il me semble que Lionel n'a pas su interpréter mon geste. D'ailleurs, j'entends Luc lui expliciter :
- Je crois qu'elle est d'accord...
Lionel rigole :
- J'ai bien compris, mais je me délecte d'abord de la vue. Ce que j'ai aperçu plus tôt sur la plage était splendide, mais pouvoir en profiter d'aussi près est extraordinaire.
Lionel finit cependant par poser un doigt sur ma fente et à le remonter jusqu'à mon anus.

Ce contact sur mon petit trou me fait lâcher un instant la queue de Luc et je laisse échapper un petit frémissement.
- Lionel, je crois que tu vas vite découvrir ce que Juju apprécie.
- Vous pratiquez aussi par-là de temps en temps ?
Merde, Lionel est-il en train de demander à Luc si j'accepte la sodomie ? Luc lui fait-il signe que je suis vierge de ce côté ? Lionel envisagerait d'explorer cette voie-là ? Et moi... ?
Il fait pénétrer son doigt dans mon petit trou et je sens qu'un second se glisse dans ma fente.

Dieu, que c'est bon ! La langue de Luc hier, les doigts d'un inconnu sur la plage ce matin, le doigt de Lionel maintenant... Demain, ce sera la bite du jardinier ? J'entends Luc lui dire tout bas :
- Oui, c'est nouveau pour elle, mais elle aime ça.
Il me connaît bien, mon Luc. Mais a-t-il le droit de m'offrir comme ça à son pote ? De toute façon, je n'ai pas du tout envie que Lionel s'arrête. Je pousse même un gémissement de plaisir sans retenue quand il ajoute un second doigt dans ma fente. Vais-je avoir le droit à encore plus de doigts ?

Mais, frustration, Lionel retire ses doigts. Je relève la tête. Luc sourit en voyant toute la déception que mon visage exprime :
- Tu as aimé ce qu'il t'a fait ?
- Oui...
- Tu veux qu'il continue ?
- Oui...
Presque aussitôt, je sens le majeur de Lionel réinvestir mon anus.

Luc semble ravi de voir ma réaction.
- Tu en veux plus ?
De quoi parle-t-il ? Me propose-t-il que Lionel me mette quelque chose de plus conséquent que son doigt ou juste qu'il ajoute d'autres doigts ? Oh, et puis est-ce que ça change quelque chose ? Je continue sur ma lancée, on verra bien ce qu'il décidera :
- Oui...
Lionel ne me met apparemment pas sa queue, mais complète sa pénétration anale avec son index.

- Ooooooh...
- Eh bien, ma chérie ! Il semble que ça te fait de l'effet.
- ... Oui...
Je grogne presque et je m'en veux d'être aussi faible, mais c'est tellement bon. Je suis esclave de Luc et Lionel. Ils savent qu'ils feront ce qu'ils voudront de moi, désormais. Lionel retire ses doigts inquisiteurs et commente :
- Juliette, c'est magnifique de voir à quel point cela te fait mouiller.

Je me retourne vers lui, presque en colère :
- Pourquoi tu t'arrêtes ?
- Je me dis que tu aimerais peut-être que Luc reprenne ce qu'il a commencé, non ?
- Il est occupé...
J'embrasse alors Luc à pleine bouche et reprends ma masturbation, espérant ainsi que Lionel comprenne que je veux être prise en levrette. Dix secondes suffisent avant que je sente son érection entre mes cuisses. Va-t-il tenter la sodomie ? Non... il pénètre mon sexe.

Bien que je sois déçue, je me dis que c'est sans mieux ainsi : on ne sodomise pas une jeune fille à la première rencontre. Et puis, je n'ai pas à me plaindre, Lionel me baise délicieusement bien : doucement, mais sûrement. Quand nos bouches se séparent, Luc s'inquiète de ce que je pense de cette situation :
- Ça va ?
- Oh oui...
Je sens sa queue palpiter dans ma main. Lui, c'est sûr que ça l'excite et ça lui rappelle probablement l'époque avec Angela. Je plonge sur son sexe pour le sucer avec autant de passion que j'avais mis sur sa langue quelques secondes avant.

Lionel me prend lentement, sans précipitation. Je dois me concentrer pour que ça dure longtemps. Ne pas jouir, et ne pas faire jouir. Luc demande à Lionel :
- Alors ?
- C'est le pied, quelle chance tu as !
J'en déduis que je n'ai pas encore le statut qu'avait Angela. Je suis à Luc et il me prête à Lionel.

L'orgasme monte. J'interromps ma fellation. Les yeux fermés, je sens une puissante vague de plaisir m'envahir. Mes cuisses tremblent. Ma vue se brouille. J'imagine que je suis en train de gémir, peut-être de crier. Je sens pourtant avec frustration que Lionel ressort, et les jets de sperme qu'il projette sur mes fesses et dans mon dos me font penser que mon orgasme a déclenché son éjaculation. Je ne m'étais pas vraiment inquiétée de cet aspect, mais c'est vrai qu'il n'avait pas de capote. C'est sans doute pour cela qu'il a préféré ne pas jouir en moi.

Nous mettons quelques minutes à reprendre nos esprits. Luc n'a pas éjaculé et il bande encore comme un taureau. Je ne le touche pas, de peur qu'il n'explose au moindre contact. Il semble néanmoins ravi que son pote m'ait prise en levrette. Je ne suis pas mécontente de ce qui vient de se passer, mais je suis un peu perturbée par la réaction de Luc, même si cela semble correspondre à des fantasmes qu'il a pu exprimer depuis que nous sommes arrivées à la villa. Est-ce que je suis en train de devenir Angela, juste pour lui plaire ? Il s'adresse à Lionel :
- C'est dingue qu'on se soit retrouvé !
- Le destin nous joue parfois des tours, mais celui-ci il peut me le jouer tous les jours.
Je sens sa main sur mes fesses. Il semble y étaler sa semence, comme s'il s'agissait d'une crème pour la peau.

Lionel s'allonge sur un transat au bord de la piscine et semble d'assoupir presque aussitôt. Je me tourne vers Luc :
- Tu as été le laissé pour compte dans cette histoire.
- Bah, ça ne m'a pas déplu...
Je ramasse ma culotte pour l'enfiler :
- Oui, c'est indéniable. Tu veux que je m'occupe de toi ou tu préfères pioncer comme ton copain ?

Il regarde son érection priapique :
- J'avoue que je suis trop excité pour en rester là... Mais je ne t'impose rien.
- Parce que tu crois que j'ai eu mon compte ?
Je saisis son érection et le masturbe doucement. Il me caresse la poitrine, faisant tourner mes mamelons dans le creux de la paume de sa main pour les faire s'ériger.

- Tu as déjà eu un orgasme, non ?
- Ah, parce qu'il y a des quotas ? Ou c'est qu'il faut qu'on jouisse exactement le même nombre de fois toi et moi ?
- Je conçois juste que tu puisses ne pas avoir envie de t'occuper de moi.
- La question ne se pose pas, puisque je t'aime passionnément.
Ravi de ma réponse, il m'embrasse dans le cou.

Il tire alors un matelas sur le transat derrière nous et le fait glisser au sol. Nous nous agenouillons dessus :
- Tu ne voulais pas profiter du transat.
- Pas certain de leur solidité. Ce serait dommage de le casser et que le proprio nous garde la caution.
- Tu as si envie que ça ?
- Pas toi ?
Il me masse l'entrejambe à travers le maillot.

Je sens le sexe de Luc s'agiter contre ma cuisse, comme s'il cherchait à s'approcher du mien. Luc murmure à mon oreille :
- Tu étais magnifique au moment où il t'a fait jouir.
- Oui, mais j'ai encore envie...
J'ai envie qu'il me prenne et il le sait.

Luc me fait pivoter et, toujours à genou, il abaisse ma culotte. Il me caresse le ventre, remonte à mes seins. Ses mains m'explorent comme si elles découvraient ma peau, mes courbes, mes recoins intimes.
- Pourquoi tu ne me prends pas tout de suite ?
- Parce que c'est meilleur si ça dure.
- C'est meilleur si c'est dur.
Je saisis son membre palpitant et le masturbe doucement.

J'ai peur de déclencher son éjaculation tant il semble gros et excité. Pourtant, je suis certaine qu'il me le dirait s'il était sur le point d'exploser. À moins qu'il ne veuille jouir entre mes doigts ? Non... Il sait que je le veux en moi. Il maîtrise mieux que je ne l'espérais. J'essaye quand même de ne pas accélérer la cadence, juste pour le maintenir en forme pour quand il jugera que l'attente aura assez duré et que mon niveau de patience aura été dépassé. Après plusieurs minutes, je suis contrainte de le menacer :
- Faut-il que je réveille ton copain pour qu'il s'occupe de moi ?
- Mais, Juju, je m'occupe de toi, non ?

- Je veux que tu me prennes.
- Je te prépare...
- Je suis prête.
- Tu n'aimes pas mes caresses ?
- Si, mais je te veux en moi.
Je vois que Lionel est réveillé. Il est debout. Il nous observe et il bande.

J'hésite à lui proposer de se joindre à nous puisqu'il semble à nouveau opérationnel, mais je dois laisser cette initiative à Luc. Lionel m'a déjà pénétrée et c'est au tour de Luc. Son tour... Mais qu'est-ce que je suis en train de faire, moi ? Je suis en train de culpabiliser ? Je veux que mon mec me fasse l'amour pour compenser le fait que son pote m'ait fait jouir juste avant ? Qu'importe. Luc se recule un peu et me fait lâcher sa tige. C'est bon signe. Je le sens la guider entre mes cuisses.

Lentement, il me pénètre. C'est divin de sentir son sexe, gros et palpitant, s'insérer dans ma fente inondée de cyprine. Nous lâchons un râle de plaisir tous les deux en même temps, comme si ce cri attendait au fond de nous depuis une éternité. Cela fait rire Lionel :
- Vous êtes sur la même longueur d'onde, c'est si mignon.
Je devrais me montrer pudique, gênée qu'un homme nous regarde faire l'amour, même si lui-même m'a pénétrée peu avant. Mais le plaisir est trop grand et je trouve même excitant de voir à quel point cela fait bander Lionel. Après s'être bien installé en moi, Luc commence à me limer.

J'ai le sentiment qu'il s'agit de la plus belle levrette qu'il m'ait donnée. Sans doute avait-il raison de me faire patienter. Je ne peux m'empêcher de concentrer mon attention sur Lionel qui joue les voyeurs face à moi. Qu'est-ce qui l'excite ? Mes seins qui s'agitent au gré des assauts de plus en plus vigoureux de Luc ? Mon visage qui exprime tout le plaisir que j'ai à sentir mon homme me prendre ? L'espoir qu'il puisse venir participer ? Luc l'a vu. Mais il ne lui propose pas. Pas cette fois-ci. Il m'a déjà offerte à lui, mais je reste à lui. Lionel semble se contenter de regarder. D'une main, il se masse les testicules. Son érection est parfaite. Dois-je supplier Luc pour qu'il ait pitié de son copain ?

Je n'ai pas le temps de lui demander. Luc accélère la cadence. Ses assauts montent en intensité, tant et si bien que je perds l'équilibre et que je m'affale à plat ventre tandis qu'il continue à me prendre en levrette avec toujours la même intensité. Aurait-il deviné mon envie de laisser Lionel nous rejoindre ? Est-ce sa réaction pour ne pas laisser à Lionel l'opportunité de participer ? Lionel ne semble pas affecter et commente en souriant :
- J'ai l'impression qu'il s'agit de l'assaut final...

Lionel semble bien connaître Luc. Aussi bien que moi ? Je suis au comble du plaisir quand je l'entends grogner alors qu'il s'immobilise. Moi aussi, je sais qu'on y est.
- Rhaaaaaaaaaaaaa...
Une puissante giclée envahit mes entrailles. Plus de contrôle possible. Mon orgasme est là, lui aussi. Mon corps vibre, secoué de multiples pulsations électriques, alors que Luc se déverse joyeusement en moi en continuant de râler.

Devant nous, Lionel se masturbe frénétiquement et dit :
- Moi aussi !
Malgré mes spasmes de plaisir, je le vois alors se mettre à éjaculer : une violente giclée vient s'écraser à quelques centimètres de mon visage.

Luc reprend son souffle comme s'il venait de courir un marathon. Je ne suis guère mieux. Je le sens sortir, lentement. Il reste debout entre mes cuisses et se recule un peu. Lionel vient le rejoindre et commente :
- C'est toujours aussi intense vous deux ?
- C'est toujours intense, mais là, c'était vraiment particulier.
- En tout cas, on dirait que tu te retenais depuis longtemps...
Je sais ce qu'ils regardent tous les deux : je sens la semence épaisse de Luc s'écouler de ma chatte.

Après quelques secondes, Luc dit en rigolant :
- Désolé pour le matelas, vieux...
- Pfff, si tu savais ce que je peux m'en foutre.
Je me relève, les jambes encore un peu flageolantes :
- Moi, je vais prendre une douche, si vous n'y voyez pas d'inconvénient.

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Angela - épisode 14 : Mise au point
Dimanche 31 juillet 20:13
La fin d'après-midi a été très calme. Après une douche indispensable, je suis venue rejoindre Luc et Lionel qui lézardaient à côté de la piscine. Bien que ce côté soit bien ombragé, il faisait très chaud et seul le bruit des vagues un peu plus bas nous apportait un semblant de sentiment de fraîcheur. J'ai imité les garçons et je me suis laissée aller à une petite sieste. En réalité, je me suis franchement endormie.

Quand je me réveille, le soleil est déjà bas. Luc sort de la piscine et me regarde en souriant.
- On s'est tous endormis comme des larves ! Lionel et moi, on a rouvert les yeux il y a une heure seulement. Il est reparti il y a une demi-heure et j'en ai profité pour faire quelques longueurs.
- Mince, j'ai dormi presque trois heures ?
- Oui. On t'a laissé dormir, mais je t'avoue qu'on a tous les deux eu très envie de nous occuper encore de toi, vu la position dans laquelle tu dormais.
- Vous auriez dû...

Luc sourit et commence à avoir une érection. Comme il s'approche de moi, je regarde l'heure sur mon portable.
- Mince, huit heure et quart. Tu veux manger quelque chose ?
- J'ai préparé une salade pendant que tu dormais. Lionel m'a donné un coup de main.
- Oh ! J'ai manqué ça ?
- Quoi donc ?
- Deux mecs à poil qui font la cuisine, j'aurais trop voulu voir ça !

Luc file dans la maison :
- Installe-toi sur la terrasse, je vais chercher le repas.
Quel gentleman ! Je suis même surprise qu'il ne me saute pas dessus. Toutefois, je ne tiens pas à manger nue, je retourne donc chercher de quoi me vêtir dans la villa. Quand je passe devant la cuisine, Luc est en train de charger un plateau avec la vaisselle et un grand saladier apparemment bien garni. Quand je redescends, vêtue d'une courte tunique flamboyante, mon chéri a dressé la table sur la terrasse et m'attend. En m'asseyant face à lui, je constate qu'il est resté nu. Il me demande :
- Tu as eu peur d'avoir froid ?
- Non, un soupçon de pudeur pour me mettre à table.

- J'avoue que ça me fait bizarre aussi.
- Et Lionel ne voulait pas rester manger avec nous ?
- Non, il avait un rendez-vous en ville.
- Dommage...
- Plains-toi ! Je crois que tu as été particulièrement bien servie pour cette première journée, non ?
- Oui, mais j'ai quand même trouvé curieux que tu m'aies laissée aux mains de deux inconnus sur la plage ce matin.

- Je voulais voir comment tu réagirais.
- Tu voulais savoir si je te tromperais ?
- Non, je ne le vois pas comme ça. Je voulais voir si tu étais capable de profiter de la situation pour ton propre plaisir.
- C'est quand même une drôle d'idée... Tu ne trouves pas ?

- Tu m'as semblé en avoir plutôt bien profité, non ?
- Oui, ça m'a beaucoup excitée... Et toi aussi. D'ailleurs, j'ai beaucoup aimé te tailler une pipe dans la piscine.
- Héhé ! Moi aussi...
- Par contre, je t'ai trouvé gonflé de me donner un orgasme pendant que j'aidais Joann à arroser le jardin, et qu'il se rinçait l'œil dans mon décolleté.

- Ah oui ? Tu regrettes ?
- Non, c'était délicieux, mais dangereux...
- C'est ce qui fait tout le sel de la chose. Et puis tu t'es rincé l'œil sur l'érection de Joann, non ?
- Tu parles, il se masturbait carrément. Il devait croire que je ne le voyais pas.

- Et tu as aimé passer un peu de temps avec Lionel sur la plage ?
- Disons que ça m'a permis de faire connaissance avec lui.
- C'est bien que vous ayez pu vous présenter l'un à l'autre.
- Il m'a aussi parlé un peu de toi...
- Il m'a dit que c'était surtout toi qui t'étais intéressée à Angela.
- J'avoue que je suis assez gênée de me retrouver ici avec toi et Lionel en sachant ce que vous aviez vécu tous les deux avec Angela.

- Tu ne crois quand même pas que je puisse envisager de reproduire cette situation avec toi ?
- J'avoue avoir des doutes. Je suis certaine que cette idée t'excite.
- Oui, ça m'excite, mais ne doute pas que notre amour soit la priorité.
- Là, rien qu'à en parler, je suis sûre que tu bandes.
Il sourit et se lève pour que je puisse contrôler son état. Son sexe n'est malheureusement pas en érection, mais il est quand même bien gonflé.

- Tu vois, je ne bande pas.
- Tu es quand même un peu excité, ne le nies pas.
- Oui, ta petite tunique dévoile tes cuisses très haut et je fantasme déjà à l'idée de te retirer ta culotte.
- Et tu ne le feras pas !
- Tu n'aimerais pas ?
Pour lui faire comprendre qu'il ne pourra pas me la retirer puisque je n'en ai pas mise, j'écarte les cuisses.

Je vois Luc rayonner : ses yeux pétillent, sa bouche s'élargit en un large sourire, son sexe se gonfle et se tend.
- Oh, la coquine !
- Ah, je préfère voir cette réaction... Mais je pense que tu banderais déjà comme un âne si Lionel était là pour plonger son regard entre mes cuisses.
- Tu es dure avec moi.
- Mais toi, tu es encore un peu mou...

- La journée n'a pas été de tout repos.
- Oh, tu ne serais pas prêt à t'occuper de moi ?
- Bien sûr que si !
- Alors, je vais te donner un peu de matière...
Il sourit en me voyant commencer à délacer le décolleté de ma tunique.

Il m'interroge :
- Et maintenant que tu connais un peu Lionel, tu t'exposerais ainsi devant lui ?
- Sur demande, certainement pas ! Mais tout dépend du contexte.
- Par exemple s'il fait trop chaud ? Ou s'il te convainc que les traces de bronzage sont disgracieuses ?
- Un contexte, une situation, ça se met en place, ça ne peut pas se résumer en une phrase.
- Un peu comme des préliminaires ?
- Exactement.
J'écarte les pans de ma tunique pour exposer ma poitrine.

Luc ouvre grand les yeux. C'est dingue comme mes seins peuvent agir comme des aimants sur ses yeux. Son sexe se redresse enfin.
- Voilà ! Tu commences à être sensible à mes charmes.
- Je suis toujours sensible à tes charmes, ma Juju.

J'ai les cuisses écartées. Il me détaille. Je vois son regard faire la navette entre mon sexe, mes seins et mon visage. Il attend. J'attends. Il attend que je lui propose de venir me prendre ? Mais on vient de parler de préliminaires, cela ne collera pas. Il réfléchit. J'attends. C'est excitant de sentir ce pouvoir : il ne veut pas me décevoir. Il n'agit pas selon son instinct. Il veut arriver à ses fins, mais pas par la force. Il veut que ce soit moi qui l'invite.

- Ce que tu vois te plaît ?
- Beaucoup. Et toi ?
- Oui, j'adore voir ta queue tendue ainsi. C'est un message fort sur le désir que je t'inspire.
- Mais je ne sais pas si je vais me contrôler longtemps...
- Approche.

Luc semble presque intimidé. Il vient me rejoindre et semble attendre mes instructions.
- Moi, je vois que tu me désires. Toi, tu veux voir si je te désire ?
- Oui...
Je prends sa main et la pose sur mon ventre. Je laisse ses doigts explorer ma fente et se rendre compte à quel point je mouille.

Mais là, je sens que je perds le contrôle. Ses doigts sont doux et trouvent vite mon clitoris. C'est un interrupteur sensible qui me fait perdre tout discernement. Il a pu se rendre compte de mon état et il sent sans doute déjà que je ne lui refuserai rien. Je veux qu'il me prenne, mais je ne lui demanderai pas. Il doit le sentir, me comprendre, me connaître. Après m'avoir caressée longuement, quand il vient se mettre entre mes cuisses, le sexe dressé haut, je crois qu'il va me pénétrer et je n'attends que ça. Pourtant, il semble vouloir accorder plus d'importance à mon plaisir qu'au sien et j'ai l'agréable surprise de le voir s'agenouiller et plonger sa bouche sur mon sexe pour le lécher délicatement.

Merde ! Il va me faire jouir trop vite s'il continue comme ça. Je ne veux pourtant pas lui dire qu'il doit prendre garde à faire des pauses s'il ne veut pas que j'explose. A-t-il deviné mes pensées ? Il redresse la tête :
- Une vraie fontaine, ma Juju !
Sans doute attend-il que je le supplie de me prendre. À défaut, sa langue repart à l'assaut de mon clitoris.

Et devinez quoi ? La question qui me brûle les lèvres à ce moment-là, c'est : est-ce que Angela lui disait ce qu'elle désirait ou bien est-ce qu'il la connaissait assez pour connaître ses attentes ? Pourquoi faut-il toujours que je pense à Angela dans ces moments-là ? Pourquoi faut-il que je me sente obligée de me comparer à elle ? Luc me fait heureusement redescendre au présent, à lui, à nous : tout en laissant sa langue poursuivre son manège sur mon joystick, je le sens introduire son majeur dans ma fente.

Bon sang ! Quel délice... J'attendais une pénétration, mais, par manque de souplesse, il n'aurait pas pu me gratifier d'un cunnilingus en même temps. Les yeux fermés, je profite donc de cette délicieuse attention. Il me masturbe doucement, comme si ma minette était fragile. Il veut faire durer le plaisir, et j'adore ça. Pourtant, après une trop courte minute, il retire son doigt et se redresse :
- Que tu es belle ainsi offerte !
Je me sens dégoulinante de mouille, mon coquillage probablement grand ouvert en attente d'être comblé.

Je redresse la tête. Il s'est assis face à moi. Il affiche une érection magistrale et me dit :
- Qu'est-ce que tu m'excites, ma Juju...
- Alors, pourquoi tu ne viens pas me prendre ?
- Justement parce que je suis trop excité ! Regarde comment je bande !

Force est de constater que le bougre a une trique plus conséquente qu'à son habitude.
- Moi aussi, je suis super excitée. Je suis sûre que ça ira.
Je me redresse pour quitter ma tunique.

Luc semble hésiter :
- Je vais attendre que ça retombe un peu...
- Tu déconnes ? J'ai envie d'essayer ton format XL, moi !

- Mais je vais te faire mal, non ?
J'écarte grand les cuisses :
- Regarde ma minette. Est-ce qu'elle ne te semble pas être toute disposée à être comblée ?

- Arrête ! Tu m'excites encore plus...
- Alors, viens et mets-la-moi ! J'en peux plus d'attendre...
Je me mets un doigt dans la fente pour qu'il se rende compte à quel point j'ai envie de sa queue.

Il vient me rejoindre, la trique dirigée vers mon ventre, telle une lance pointée pour mener l'assaut. Je ne compte pas me défendre, mais au contraire accueillir à jambes ouvertes ce vigoureux assaillant. Il appuie son gland contre mon coquillage humide. Un petit coup de reins le fait s'engager. Il poursuit par une lente intromission. Je le sens bien passer, c'est vrai qu'il est particulièrement gros. J'adore.

Il s'interrompt presque, se contentant de très lents aller-retours :
- Tout va bien ?
- Oui... Pourquoi ?
- Ton expression... Tu ne sembles pas apaisée, tu sembles même souffrir...
- Je souffre de me dire que je regrette maintenant de n'avoir... mmmmh... pas découvert avant que tu puisses... haaaaan... être aussi gros... mmmmh... Et je serai apaisée quand on aura terminé...
Ma réponse semble le rassurer et il prend un rythme plus soutenu.

C'est comme si je suis pénétré par un sexe nouveau, plus vigoureux, plus gros.
- Oh ouiii... C'est génial !
- Han... Oui... Je n'ai jamais été excité comme ça...
- Mmmmmh... je note la recette...

J'ai même l'impression qu'il grossit encore en moi. C'est une sensation fabuleuse. Sans doute apprécie-t-il que je le complimente sur cette partie particulière de son anatomie :
- Oh Luc ! Tu es si gros... C'est si bon...
Il ralentit la cadence. J'imagine qu'il se contrôle pour ne pas éjaculer trop vite.

Je lui souris. Il me répond :
- Je veux faire durer le plaisir...
- J'avais compris... Mais moi, je crois que je ne vais pas pouvoir. Hannnn...
Et je sens alors monter un terrible orgasme, irrépressible. Je me laisse aller... Il m'envahit.

Luc ne bouge plus. Je l'imagine lutter pour ne pas jouir, ne pas succomber à toutes ces décharges électriques qui envahissent mon ventre et mes cuisses. Pourtant, il se retient. Quand mon orgasme s'atténue et que je commence à refaire surface, je sens mon amant se retirer lentement, abandonnant ma vulve encore vibrante. Nos souffles se mêlent à nos gémissements de plaisir.

Je redresse la tête. Je me sens comme saoule. Il me sourit assis à nouveau face à moi, face à mon ventre pourtant encore offert à ses désirs. Comme fait-il ? Sa lance est toujours victorieusement tendue. Je vois les veines palpiter.
- Tu tiens le choc ?
- Oui... difficilement. Quelques secondes de plus et j'explosais.
- Il ne faut pas que j'y touche, alors ?
- On va attendre un peu, c'est plus sage.

Je garde les cuisses écartées. J'attends qu'il soit prêt. Il m'accuse de ne pas l'aider :
- Il faut que mon excitation retombe... Tu ne me facilites pas les choses.
- Désolée, c'est plus fort que moi. Quand je vois une magnifique queue comme celle-là, j'écarte les cuisses pour qu'elle me prenne.
- N'importe quelle queue ?
- Mmmmh ? Oui. Je suis faible. Si Joann ou Lionel, ou même un illustre inconnu se présente en érection maintenant, je m'offrirai à lui sans réfléchir, comme une grosse salope...

J'observe sa réaction. Il sait que je fantasme, que je ne ferai jamais un truc pareil, que je me donne un rôle. Celui d'Angela ? Mais je vois surtout que son sexe, qui avait commencé à se détendre, reprend une rigidité phénoménale.
- Mince ! Apparemment, ça t'excite d'imaginer que je puisse m'offrir au premier venu ?
- L'idée de te voir jouir par un autre ne me rebute pas...
- En attendant, il n'y a que toi. Je vais m'en contenter.
Je me positionne à quatre pattes sur mon siège, lui présentant ma croupe.

- Rhaaa, tu es terrible ! J'ai besoin de me calmer et toi tu remets de l'huile sur les braises.
- Oui, j'ai le feu au cul ! Et regarde, je crois que question huile, il y a ce qu'il faut...
J'écarte mes fesses pour lui exposer ma moule que j'imagine luisante de cyprine.

Luc se lève enfin, convaincu :
- Tu es une sorcière ! Je ne peux échapper à ton sortilège.
- Tant mieux.
Il présente son sexe contre ma moule. Je n'ai qu'à donner un petit coup de reins en arrière pour que son gland s'engage en moi.
- Mmmmh... c'est bon !
- Pourtant, je ne suis pas le premier venu...
- Je vais faire avec... Aaaaah...

Alors qu'il commence à doucement aller et venir en moi, je me penche sur la table, regardant vers le jardin, dans l'espoir d'y découvrir Joann ou même Lionel en train de nous épier. Luc surprend mon regard :
- Mmmmh, tu t'assures que nous sommes seuls, ou bien tu aimerais justement que quelqu'un nous surprenne ?
- Je... oooooh... je crois que... oooooh... j'aimerais qu'on nous regarde... aaaaah...

- Tu as aimé t'exhiber dans la piscine devant Joann ?
- Oui...
- Tu as aimé le voir éjaculer dans le jardin ?
- Oui...
Je sens Luc grossir en moi. Il accélère aussi légèrement. J'écarte un peu les cuisses. Il va plus loin.

- Tu as aimé masturber Lionel et le faire jouir ?
- Oh oui...
- Et qu'il explore tes orifices pendant que tu me suçais ?
- Oh oui, c'était bon...
- Il t'a mis un doigt dans le cul, non ?
- Oui... c'était si bon... Oooooh...
Luc fait glisser son doigt dans mon petit trou. Je suis au bord de l'orgasme...

- Tu... han ! Tu as aimé qu'il te pénètre ?
- Oh oui... Aaaaaaah... Aaaaaaah... ouiiiiiii...
Un terrible orgasme me terrasse et je sens que Luc ne cherche pas à opposer la moindre résistance à son éjaculation : alors que j'ai l'impression que tout mon corps subi de violents spasmes de plaisir, plusieurs giclées de sperme brûlant viennent envahir mon ventre.

Nous restons immobiles, imbriqués l'un à l'autre. Mon orgasme met un peu de temps à s'atténuer. Luc ne perd pas en vigueur, mais les palpitations de son sexe s'estompent elles aussi peu à peu. Je lui demande :
- J'ai eu l'impression que ce sont mes écarts qui t'excitent le plus.
- Tes écarts ?
- Oui, quand je vois Joann éjaculer dans le jardin, quand je masturbe Lionel sur la plage ou quand il me prend en levrette. J'ai eu l'impression que ces évocations t'avaient particulièrement excité.
- Pas toi ?
- Si, un peu.
Luc se retire et je sens une longue coulée de sa semence qui s'échappe de ma fente et s'écoule le long de ma cuisse.

Je me retourne et le regarde. Il semble ravi. Je ne sais pas quoi penser. Est-ce normal que ça excite mon mec que je me tape d'autres mecs ? Il semble ne pas débander et du sperme s'échappe encore.
- Tu es atteint de priapisme ?
- Tu aimerais ?
- Une belle queue comme ça, prête 24h/24, quelle fille n'aimerait pas ?

- C'est que l'excitation est encore très présente...
- Et tu dégoulines encore.
- Tu n'as pas vraiment de leçon à me donner à ce sujet.
Je sens effectivement toujours son sperme qui ruisselle de mon sexe.

Puisqu'il bande encore, une idée me vient :
- Tu sais ce que j'ai découvert aujourd'hui ?
- Non... mais je sens que tu as envie de m'en parler.
J'ai un souvenir ému de l'orgasme donné par Cédric ce matin sur la plage, puis de Luc me léchant le cul pendant l'arrosage de Joann, et enfin les doigts de Lionel dans mon petit trou quand nous étions à côté de la piscine. J'en fais l'aveu à Luc :
- Le plaisir anal !

Il rigole.
- Oui, j'ai vu à quel point ça t'avait excitée quand Lionel a exploré ta rondelle.
- Et tu n'es pas fâché de passer après Cédric et Lionel ?
- Ils ne t'ont mis que des doigts, non ?
Il s'approche et me lèche le petit trou.

C'est déjà tellement bon. Et je sais qu'après, même s'il me gratifie d'un ou deux doigts, il ne s'arrêtera pas là.
- Tu te sens capable de remettre ça tout de suite ?
- Évidemment.
J'ai bien vu qu'il n'a pas débandé et, en plus, l'évocation de ma découverte du plaisir anal semble l'avoir encore plus excité. Il me montre que ma question est stupide et engage déjà son gland dans mon petit trou qui ne demande pas mieux.

C'est divin. Sentir le sexe de Luc palpiter dans cette partie de mon corps est incroyable. Je mouille comme jamais et ma cyprine doit dégouliner, mélanger à son sperme. Peu à peu, il s'enfonce en moi. Et plus il va loin, plus c'est bon. Je prends conscience à quel point il est long, à quel point il est gros. Il ressort lentement. Il prépare la place.

Et il s'y met enfin et commence à me limer sans précipitation :
- Alors, c'est mieux que deux doigts, non ?
- Oui...
Et il va et vient en moi, de plus en plus vite. Je sens ma moule s'ouvrir à chaque assaut comme si elle réclame elle aussi son dû.

Je ne peux pas dire combien de temps cela dure, car un orgasme formidable m'envahit. C'est, je crois, le troisième, depuis notre repas sur la terrasse. Sont-ce les agitations frénétiques de mon orgasme qui ont propulsé le sexe de Luc hors de son fourreau, ou bien est-ce un choix de sa part ? Toujours est-il que je le sens s'épancher sur mes fesses et dans mon dos, en plusieurs giclées, chacune accompagnée d'un râle conséquent.

Après avoir recouvré mes esprits et retrouvé mon souffle, je tourne la tête et constate avec stupéfaction à quel point Luc a été généreux.
- Mince, mais tu as déjà beaucoup éjaculé tout à l'heure, non ?
- Oui...
- C'est incroyable !

- Héhé, ce n'est pas pour rien qu'on parlait de ma corne d'abondance.
- Qui ça "on" ?
Je sens Luc gêné et j'ai déjà la réponse à ma question. Mais j'insiste :
- Qui a dit que ta queue était une corne d'abondance ?

Il doit savoir que j'ai déjà deviné, donc il me répond sans trop hésiter :
- Angela.
- Bien sûr.
Une autre question me brûle les lèvres : a-t-il aussi sodomisé Angela ? Mais j'ai déjà la réponse là aussi. Comment pourrait-il en être autrement puisqu'ils faisaient ménage à trois. Elle a sûrement dû essayer d'être prise en sandwich. Mais je ne dois pas ressasser ça et arrêter de me comparer à cette fille. C'est le passé. Le présent, ça a été de magnifiques orgasmes et une journée qui est allée de découvertes en découvertes. Je mets Luc à l'aise :
- Maintenant, cette corne est à moi !

Ma réponse rassure Luc :
- Ma chérie, la sodomie te rend rayonnante !
- Sans doute, mais ça ne veut pas dire que cet accès est autorisé n'importe quand, ni par n'importe qui.
- Bien sûr. Tu décides.
- Et je décide qu'il est temps d'aller se doucher puis de se coucher.
Et il fait si chaud que, après la douche, nous restons nus pour aller dormir. Malgré ma longue sieste de la fin d'après-midi, les nombreux événements et toutes les découvertes de la journée m'ont épuisée et je n'ai aucune peine à trouver le sommeil dans les bras de mon homme.

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Angela - épisode 15 : Réparation matinale
Lundi 1er août 9:09
Dès l'aube, le soleil donne sur la villa et la chauffe rapidement. La fin de la nuit ayant été plus fraîche, j'avais remis un débardeur. Là, il devait déjà faire plus de 25 voire 30 dans la chambre. C'est le portable de Luc qui nous réveille, une notification SMS. Il se lève pour le consulter et me dit :
- Un message de Lionel.
- Vous vous êtes échangé vos numéros ?

- Oui. Je te lis le message. "Salut Luc. Bernard va passer ce matin pour la lampe. Il a d'autres petites choses à voir ici ou là dans la villa, donc n'hésitez pas à profiter de la piscine ou de la plage pour ne pas être dérangé."
- Et Bernard arrive quand ?
- Je ne sais pas. Il est peut-être en bas à attendre qu'on ouvre les volets ?
- Merde, faut qu'on libère la chambre ?

- Bah, pas forcément. Si tu préfères rester couchée, lui ça ne le dérangera sûrement pas de travailler avec une jolie nana peu vêtue à proximité.
- Tu crois qu'il se mettra nu comme Joann ?
- J'ai cru comprendre qu'il est beaucoup plus âgé puisque c'est un ami des parents. Pas certain qu'il soit à ton goût...
- Qui te dit que je ne fantasme pas sur les hommes plus âgés ? Un homme qui a de l'expérience et qui sait ce qu'attend une femme...

- Ah ? Parce que tu trouves que je ne comprends pas assez tes attentes ?
- Je ne sais pas... Tu sais ce que je veux ?
- Là, je dirais que tu veux que Bernard monte réparer cette lampe. Ta tenue le mettra mal à l'aise et guettera une bosse proéminente révélatrice d'une érection.
- C'est pas mal.

- Donc je descends et, s'il est là, je lui dis de monter ?
- Hé attends ! Il s'agit d'un fantasme. Je ne sais même pas quelle gueule il a. Et toi, tu laisserais un type qu'on n'a jamais vu me mater le cul ?
- Tu as un si joli séant. Pourquoi serais-je le seul à profiter du spectacle ?
- Parce que tu es mon mec, peut-être ?

- Oh, mais moi je profite de beaucoup plus qu'un simple spectacle.
Je réfléchis quand même aux conséquences que pourrait avoir ce genre de petit jeu d'exhibition avec un inconnu :
- Mais s'il essaye de me toucher ?

Merde, j'espérais une réponse du tac au tac de Luc, me disant qu'il l'en empêcherait, mais ce n'est pas le cas et il semble réfléchir avant de me répondre :
- Tout dépend de jusqu'où vont les attouchements...
- Quoi ? Tu le laisserais me tripoter ? Et c'est quoi le seuil que tu tolères ?

Nouvelle réflexion.
- Écoute, ne t'en fais pas. Je serais de toute façon dans le coin pour veiller que ça ne dérape pas.
- Je suis curieuse de savoir à quel moment tu estimeras que ça aura dérapé... Quand il m'aura mis un doigt dans la fente ou quand il me mettra sa queue dans le cul ?
- Ne sois pas vulgaire.
Il a raison... J'ai un peu honte de m'être laissée aller à ce vocabulaire.
- Bon, va le chercher. Cette discussion commence à m'exciter et je n'exclus pas que ce soit moi qui lui saute dessus, au Bernard.

- Vraiment ?
- Bah oui. Tu ne m'as pas fait cette proposition en l'air j'espère ?
Luc semble surpris de ma réaction. Il sourit. Et il bande. Il enfile un short et descend. J'entends des voix. Bernard est donc là. J'appréhende un peu. Est-ce qu'Angela pratiquait aussi ce genre de jeux d'exhibition ? Après quelques minutes, j'entends que quelqu'un monte les marches. On frappe à la porte. Je me redresse sur le lit :
- Oui.

La porte s'entrouvre. Laissant apparaître la tête d'un homme âgé, mais plutôt bien conservé. Mal rasé, cheveux hirsutes, torse puissant, grandes mains : plutôt pas mal, je dirais même sexy. Son regard tombe sur ma poitrine où il doit distinguer mes mamelons qui pointent à travers le tissu du débardeur.
- Je... je viens pour la lampe.
- Oui, Lionel nous a dit.
- Je ne vous dérange pas ?
- Non, allez-y.

Il entre, portant une vieille boîte à outils métallique toute rouillée, et s'installe à genoux devant la table de chevet. Il ouvre sa boîte et saisit un tournevis. De l'autre main, il prend la lampe et la retourne. Il semble très concentré. Je veux voir si je peux le distraire un peu. Je me lève et vais à la fenêtre pour ouvrir les volets. Je sais que le débardeur est trop court pour couvrir mes fesses. Quand je referme la fenêtre, je vois dans le reflet de la vitre que le visage de Bernard est tourné vers mon dos et qu'il a les yeux exorbités.
- Vous vous en sortez ?

- Heu, oui. En fait, je crois que c'est un des câbles de la prise qui est déconnecté. Je vais ouvrir le boîtier pour voir. Après, il faudra que je m'occupe de la climatisation. Le bloc sur la terrasse semble mal fonctionner.
- Oui, il fait si chaud que j'ai du mal à supporter un simple débardeur.
Je commence à retirer mon débardeur et je vois qu'il m'observe du coin de l'œil.

- J'espère que ça ne vous gêne pas si je me mets nue ?
Il n'ose pas tourner la tête et se concentre sur son tournevis comme s'il cherche à en comprendre le fonctionnement.
- Heu non, non... Pas de souci.
Je retire donc le débardeur et je me rallonge sur le lit juste à côté de lui.

Je prends mon téléphone sur la table de chevet pour regarder l'heure. Je sens le regard de Bernard sur moi. Sur mon dos, mes fesses, mes cuisses. Il est presque 9h20. J'éteins le téléphone, mais je le garde pour utiliser l'écran comme un miroir. Je l'oriente pour surveiller ce que fait Bernard. Et je découvre que la réparation de la prise n'avance pas beaucoup et qu'il est effectivement en extase sur mon corps.

Je repose mon téléphone et tourne la tête vers lui. Il semble soudainement très concentré sur la prise.
- Vous connaissez Lionel depuis longtemps ?
Il semble ravi que je lui adresse la parole, lui permettant de ne plus faire semblant de travailler et l'autorisant à me regarder pour me répondre.
- Je l'ai vu grandir. Je suis un ami de ses parents et je le voyais à chaque vacances ici, jusqu'à ce qu'il vienne s'installer dans le coin.
- Et c'est vrai que tous les locataires pratiquent le nudisme ?

- Oui. La villa est mise en location sur des sites dédiés aux naturistes. Donc la plupart du temps, ce sont des habitués. Mais il arrive parfois qu'il y ait des locataires qui n'aient jamais pratiqué. J'ai l'impression que vous êtes plutôt habitués, vous...
- Et vous vous trompez. Je n'avais jamais pratiqué avant. Mais il paraît que c'est la magie du lieu : cela incite les gens à s'essayer au nudisme.

- Ah oui, c'est la première fois ?
Je m'amuse de voir que notre conversation semble légitimer son droit à me détailler de pied en cap avec un intérêt, me semble-t-il, plus marqué pour mes seins.
- Oui. Nous débutons. Enfin, moi du moins, car je me rends compte que je ne connais pas si bien Luc et il est bien possible qu'il ait déjà pratiqué avant qu'on ne se connaisse.
- Et ce n'est pas compliqué de passer de la pudeur à l'exhibition ?
Je me surprends à accepter cette conversation comme si nous parlions de météo.
- À vrai dire, je trouve ça plutôt agréable d'être nue.

- Mais vous n'éprouvez aucune gêne à ce que je vous regarde ?
- Si. Bien sûr. Mais ça me plaît aussi beaucoup de savoir que je vous excite. Car je vous excite, n'est-ce pas ?
- Je ne suis pas de marbre. Évidemment que vous m'excitez. Vous êtes magnifique.
Et là, il me traverse l'esprit que j'aimerais lui demander à voir son érection. Mais faire cela me ferait franchir un seuil qui risquerait de nous amener trop loin qu'un simple échange verbal. Comme s'il lisait dans mes pensées, il se redresse et je peux voir une bosse impressionnante déformer son pantalon. Il a dû comprendre ce que je regarde et, comme par mimétisme, le regard de Bernard se dirige vers mon entrejambe. J'ai alors un étrange sursaut de pudeur qui me fait mettre la main entre les cuisses pour ne pas lui dévoiler que je mouille.

Un silence gênant s'installe. Il se reconcentre sur la prise électrique. Je me lève.
- Je vous laisse travailler. Je vais prendre une douche.
- J'en ai pour cinq minutes.
- Prenez votre temps, nous sommes en vacances.

Je me demande ce que fait Luc. Écoute-t-il depuis le rez-de-chaussée pour deviner comment la situation évolue ? Est-il monté discrètement et se cache-t-il dans une autre pièce pour surveiller ? Je me dis qu'à part une conversation plutôt franche et désinhibée, la situation n'évolue peut-être pas comme il l'espère. Mais... qu'espère-t-il au juste ? Si c'est juste m'offrir aux regards de Bernard, j'ai fait ma part du contrat puisqu'il ne s'est pas privé de se rincer l'œil. Sans doute qu'Angela aurait été plus loin ? Mais je ne suis pas Angela et je suis déjà fière de ce que je me suis autorisée à faire : j'ai pu obtenir une érection qui m'a semblé très honorable. D'ailleurs, jusqu'à ce que je quitte la chambre, je sens son regard sur mon dos.

Plutôt excitée en ce qui me concerne, j'entre dans la salle de bain avec une furieuse envie de me masturber. Volontairement, je laisse la porte assez ouverte pour que Bernard puisse me voir depuis la chambre en face. J'ouvre le robinet de la douchette et un jet d'eau ni trop froid, ni trop chaud, vient caresser ma peau. Mes mamelons s'érigent aussitôt.

Dans le reflet du miroir de la salle de bain, je vois que Bernard ne fait plus trop d'électricité et qu'il entreprend de se rincer l'œil encore. Il s'approche jusqu'au pas de la porte de la chambre, traverse le couloir à pas de loup et m'observe par la porte entrebâillée. Ce n'est que du voyeurisme et je sais que Luc l'accepte volontiers. Mais, puis-je me donner davantage en spectacle ? Peu importe, je suis si excitée que la question disparaît de mon esprit avant d'avoir trouvé une réponse. Déjà, je dirige le jet d'eau vers mon ventre et mes doigts glissent sur mon entrejambe.

Je me tourne vers la porte. Bernard ne peut pas manquer une miette de cette petite exhibition. C'est la première fois que je me caresse ainsi devant un presque inconnu. En fait, ce lieu n'est pas seulement magique en ce qui concerne le nudisme. Il a un réel pouvoir désinhibant et cela a nécessairement des conséquences sur les limites sexuelles que je m'étais imposées jusqu'alors. J'ai envie de me donner un orgasme sous les yeux de Bernard.

Je me suis tournée un peu et j'ai les yeux fermés pour mettre plus à son aise mon voyeur, mais de temps en temps j'entrouvre un œil et observe Bernard dans le miroir. Le gaillard a aussi pris ses aises : il a sorti de son pantalon une érection conséquente qu'il astique de sa main droite. Cela m'excite moi aussi et je continue à me caresser avec encore plus d'entrain, espérant même qu'il va éjaculer en me regardant.

Les yeux fermés, je me tourne franchement vers la porte et active mes doigts sur mon clitoris pour atteindre la jouissance avant que Luc ne monte et ne gâche tout. Je regrette presque de ne pas pouvoir lui dire de rester en retrait pour que Bernard aille lui aussi jusqu'au bout de sa masturbation.

Je l'imagine entrer discrètement dans la salle de bain, venir juste derrière la paroi de la douche, à quelques centimètres de moi. Nous serions seulement séparés par cette plaque de verre transparente. Au moment de mon orgasme, il éjaculerait sur la vitre, généreusement. Cette image a raison de mon endurance et mon orgasme m'emporte pour de bon.

Je mets un peu de temps à retrouver mes esprits. J'hésite à rouvrir les yeux, de peur d'effaroucher mon voyeur et qu'il ne prenne la poudre d'escampette avant d'avoir terminé son affaire. Je penche la tête pour regarder au sol. Je ne vois pas de trace de sperme sur la vitre, ni ne décèle de présence dans la salle de bain.

Pourtant, une voix me fait rouvrir les yeux :
- Petite coquine.
Celle de Luc. Il se tient dans l'embrasure de la porte, là où Bernard était une minute auparavant. Je chuchote :
- Il est parti ?

Luc me fait signe qu'il est retourné dans la chambre.
- Il s'occupe de la lampe.
Je lui fais signe de s'approcher pour pouvoir l'interroger sans risquer d'être entendu de Bernard.

- Pas de trace de sperme dans le couloir ou à l'entrée de la salle de bain ?
Luc se retourne et scrute le sol.
- Apparemment pas. Il se masturbait ?
- Oui, juste à l'entrée pendant que je me masturbais également.

- Sauf que toi tu es allée jusqu'au bout.
- Oui et j'aurais bien voulu que lui aussi.
- Ah oui ? Et c'est moi le pervers ?
- Je ne suis pas perverse, juste épicurienne. Rappelle-toi.

- Héhé, je vois que mon argument fait école.
- Et j'aurais préféré que tu restes en bas un peu plus longtemps...
- Ouais... Je t'avoue que j'étais curieux de voir comment ça évoluait. Il aurait pu avoir envie de te rejoindre sous la douche, non ?

- Et alors ? Ses doigts auraient replacé les miens entre mes cuisses et mes doigts auraient remplacé les siens sur sa queue. J'imagine que ça t'aurait plu ?
Luc sourit :
- Je ne sais pas...
Il me tend une serviette. Je vois une proéminence à son entrejambe :
- En tout cas, ne me dis pas que ça ne t'a pas excité.

- Non, effectivement. J'étais fébrile en bas et j'ai bandé rien qu'à imaginer tout ce qui pouvait se passer.
- Tu sais que j'ai retiré mon débardeur devant lui et qu'il m'a vue toute nue pendant qu'on discutait. Il s'est bien rincé l'œil.
- Coquine. Et tu t'encombres d'une serviette ?

Je le laisse tirer sur la serviette et elle tombe au pied du lavabo. Ses mains tièdes se posent sur mes hanches. Il me caresse le dos, redescend sur mes fesses. Il remonte jusqu'aux épaules et me force doucement à me courber au-dessus de la vasque. Puis, ses mains redescendent jusqu'à mes cuisses qu'il me fait écarter peu à peu. Il s'accroupit pour admirer ma vulve humide.

- Mmmm, j'ai trop envie de toi !
Luc a dit cela à voix haute...
- Chut ! Bernard va nous entendre.
- C'est bien l'idée...
Il me glisse un doigt dans la fente et commence à me masturber doucement. Puis une langue divine vient explorer mon petit trou, provoquant de petites décharges de plaisir dans mon bassin.

Cette sensation sur mon anus est magique et j'ai envie de lui demander de me sodomiser, mais je suis si excitée que je ne parviens à dire que :
- Luc, prends-moi...
Il se redresse et guide sans peine son sexe bandé dans ma fente. Malgré ma légère déception, sa main qui se glisse jusqu'à mon clitoris ne me fait pas trop regretter ce nouveau fantasme.

Dans le reflet du miroir, je vois que Bernard nous observe depuis la chambre et qu'il a à nouveau extrait son membre tendu pour l'astiquer joyeusement. Puisque la discrétion n'est pas de mise, je ne fais pas particulièrement d'efforts pour étouffer mes gémissements de plaisir, d'autant que Luc ne se montre pas particulièrement doux. Il me besogne avec vigueur, presque violemment, comme s'il voulait exposer sa masculinité devant ce voyeur.

Il m'a relevé une jambe sur le meuble, me forçant à avoir les cuisses écartées au maximum. Je le sens aller loin en moi. C'est délicieux et cela offre sans doute un spectacle encore plus excitant à Bernard. L'orgasme arrive. Mon corps tremble. Luc me maintient heureusement, car j'ai l'impression de perdre l'équilibre pendant un instant. Il s'immobilise. Mon orgasme a déclenché le sien. Il se vide abondamment en moi.

Je ressens chaque salve de sperme qui déforme sa tige turgescente avant de m'inonder les entrailles. Lentement, il se retire. Je veux reposer mon pied droit au sol, mais il me maintient la cuisse sur le lavabo.
- Attends un peu.
Je pense qu'il veut exposer à Bernard ma croupe qui dégouline de son sperme.

J'ai l'impression que ça me coule beaucoup sur les cuisses. C'est assez inconfortable et j'implore Luc d'en rester là :
- S'il te plaît...
Il me laisse poser mon pied au sol et ramasse la serviette pour me la tendre.
- Je vais peut-être reprendre une douche rapide.
- Non, essuie juste, s'il te plaît.
- Là, je ne vois plus vraiment ce qui tient de l'épicurisme.

- Juste que je veux que tu gardes mon odeur.
- Pas ton odeur, celle de ton sperme.
- Oui, si tu veux.
- Tu marques ton territoire ?

- Il y a peut-être un peu de ça...
Dans la chambre, Bernard est à quatre pattes à côté de la table de chevet, affairé avec la prise électrique. Quand nous entrons, il se redresse :
- Voilà, c'était juste un fil qui s'était déconnecté.
Je me moque de lui :
- Cela vous a pris finalement plus de cinq minutes...
- Oui... Il y a toujours des facteurs extérieurs qui n'aident pas à respecter les délais.
Luc me tend un tee-shirt blanc. Je l'interroge du regard :
- Quoi ? C'est tout ? Pas de culotte ?

- Il se contente de hocher la tête en souriant.
Je passe le tee-shirt et nous descendons sur la terrasse pour prendre un petit déjeuner rapide.
- Tu sais que Bernard doit intervenir sur le climatiseur qui se trouve juste derrière moi ?
- Oui, j'ai entendu ça. Et c'est un peu l'idée de ta tenue.
- Ah d'accord. J'expose mon cul...

Luc apporte une petite table haute et l'installe sur la terrasse :
- On va prendre le petit déjeuner debout.
- Évidemment...
Et le stratagème de Luc fonctionne à merveille. Bernard redescend et vient s'accroupir à côté du bloc de climatisation avec sa boîte à outils. Il a une vue dégagée sur ma croupe et je vois au visage satisfait de Luc que Bernard est certainement en train de se rincer l'œil tandis qu'il dévisse lentement le capot métallique du climatiseur.

Après quelques minutes, alors que Bernard commence à analyser l'origine de la panne, Luc me dit :
- Tu as de la chance. Toi, tu es au soleil.
En lui répondant naturellement, je prends conscience du nouveau subterfuge :
- Tu veux qu'on recule un peu la table ?
Il opère aussitôt et je me retrouve ainsi à être à moins d'un mètre de Bernard qui aurait pu voir si j'avais un grain de beauté sur les fesses.

Un bruit métallique me fait tourner la tête : Bernard a renversé sa caisse à outils :
- Tout va bien, Bernard ?
- Heu... oui, oui. Juste une maladresse.
Et Luc en remet une couche :
- Rhaaa, le soleil tourne. Je suis déjà presque à l'ombre.
Il l'aurait été sans doute dans quinze minutes, mais cela justifie d'encore rapprocher notre table de Bernard. Là, j'ai vraiment l'impression que Bernard a le nez entre mes fesses. Mon anatomie intime ne doit plus vraiment avoir de secret pour lui.

Mais ce qui est encore plus impressionnant, c'est l'énorme érection de Luc, à côté de moi et ses yeux qui pétillent de joie. Il semble ravi de m'offrir en spectacle à Bernard. Je pourrais m'en inquiéter si moi-même je n'étais pas passablement excitée à ce petit jeu d'exhibition. Le petit déjeuner terminé, je suis retournée à la cuisine, suivie de près par Luc. J'en profite pour lui demander le résultat de cette lutinerie :
- Alors ? Commet a-t-il réagi ?

- Incroyable ! Il ne quittait pas ton cul des yeux. Il était rouge et je me suis même demandé s'il n'avait pas éjaculé dans son pantalon quand tu t'es mise juste au-dessus de lui.
- Tu déconnes ?
- Je pense qu'il a été à deux doigts...
Zut, j'aurais trouvé ça amusant qu'un gars puisse éjaculer, rien qu'en me regardant.
- Bon, si on veut que la climatisation fonctionne à nouveau, il va falloir le laisser travailler, sinon il y sera encore demain. On pourrait descendre à la plage, non ?
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Angela - épisode 16 : Voyeurisme discret
Lundi 1er août 10:11
Quand nous arrivons sur la plage, je comprends enfin pourquoi Luc n'a pas décroché un mot pendant que nous descendions.
- Bon, Juju, je comprends que tu puisses encore avoir quelques réticences à circuler à poil dans le jardin, mais là on est sur la plage, seuls, c'est l'occasion ou jamais, non ?
J'avais effectivement mis mon bikini rouge, mais cela semble agacé mon homme.
- Luc, je n'ai jamais dit que je ne voulais pas faire de nudisme, mais effectivement ça me gêne toujours que l'on puisse tomber sur Joann ou sur Lionel.

- Ils t'ont déjà vue nue tous les deux...
- Je sais, mais ça me fait encore bizarre. Toi en tout cas, tu sembles avoir perdu toute pudeur.
Luc était descendu en tenue d'Adam et ne semble avoir aucun problème avec la nudité.
- Franchement, même si un inconnu te voit nue, de quoi as-tu peur ?
- Je ne dis pas que c'est logique ou censé...

- Effectivement, ça ne l'est pas. Si c'est le jugement que tu crains, regarde comme tu es belle ! Qui pourrait te trouver le moindre défaut.
- Ce n'est pas le jugement physique que je crains...
- Et quoi ?
- Qu'on puisse se dire que je suis une salope.
Luc ne me contredit pas. J'aurais aimé qu'il démente, mais ce que je viens de faire ces deux derniers jours ne plaide pas vraiment dans le sens d'une prude jeune fille. Je dois ouvrir les yeux. Je lui souris :
- Alors que je ne suis que TA salope...

- Héhé, oui. J'avoue que j'ai l'impression d'être au paradis quand je vois tout ce que tu as fait depuis qu'on est arrivés ici.
Luc entre dans l'eau et joue avec les vagues.
- Tout cela te plaît ? Tu ne trouves pas qu'on va trop loin ? Avec Bernard ce matin par exemple...
- Non, c'était un jeu. Rien de plus.
- Mais tu voudrais que j'aille plus loin ?
- Non. Je veux que tu découvres toi-même tes limites. Les limites que tu te fixeras m'iront parfaitement.

- Et tu n'as pas peur que j'aille trop loin ?
- Tu n'iras jamais trop loin pour moi.
Et quoi ? Il considère qu'il a toujours un coup d'avance sur moi, que je serais toujours moins salope que... que cette salope d'Angela ! Jusqu'où dois-je aller pour ne pas souffrir la comparaison ? Je commence à dénouer mon soutien-gorge et je m'assois sur le sable pour retirer ma culotte.

Luc est évidemment ravi, même si je n'ai pas vraiment envisagé de rester en bikini sur la plage. Pas après avoir déjà fait du naturisme avec Lionel la veille. Une fois nue, je jette par réflexe un œil du côté de la villa, par réflexe de pudeur. Et il me semble y voir une silhouette qui se cache derrière la haie juste au moment où j'ai tourné la tête.
- Bernard est reparti ?

- Je pense, s'il a terminé... Pourquoi ? Tu as aperçu du monde là-haut ?
- Je ne sais pas... J'ai cru... Joann était là samedi et dimanche donc il ne repassera sans doute pas aujourd'hui.
- Tu veux mon avis ? Joann passera tous les jours. Il t'a vue. Il est accro et il va arranger ses travaux dans les autres jardins pour passer le maximum de temps ici.
- Tu crois ?

- Évidemment. N'importe quel mec tomberait sous ton charme. Si en plus il te voit nue, inutile de dire que tu deviens un fantasme ambulant.
- Oh ! Je suis ton fantasme ambulant.
- Le mien. Celui de Lionel, de Joann et certainement de Bernard aussi désormais...
- Pauvre Bernard...

- Ne t'inquiète pas pour lui. Il est sans doute rentré se soulager chez lui dès qu'on est parti.
- Ou bien il se masturbe en nous regardant depuis là-haut.
- En TE regardant !
- Bien sûr. J'ai donc le choix entre tous ces mâles ?
- Qu'est-ce que tu veux dire ?

- Ne t'inquiète pas... Il n'est pas question que je remplace mon Luc chéri par le premier venu.
- Lionel n'est pas le premier venu. Il a du charme.
- Je te le concède. Il ne me laisse pas indifférente.
- Et il me semble que tu as exprimé ton appétit pour les fesses de Joann.
- Mais tu as aussi des fesses magnifiques, mon chéri.
- Moi aussi, j'adore les tiennes...
- Ah oui ?

- En fait, je crois que tu me balades...
- Quoi ?
- Oui. Tu fais ta prude, la fille qui découvre sa sexualité, sa libido, qui n'assume pas être une perfection de beauté, mais en réalité, tu es parfaitement consciente de ton énorme pouvoir de séduction et tu joues ce rôle parce que tu penses que c'est ce que je veux.
- Je suis donc TA salope et je suis manipulatrice ???

Je le rejoins dans l'eau. Il rigole.
- Je ne sais pas... Tout cela est génial, mais si étrange, si inattendu...
- Écoute, arrête de te torturer. Je m'amuse beaucoup à faire toutes ces découvertes. Et je t'assure ne pas chercher à te manipuler. Même moi, j'ai l'impression d'être manipulée, mais pas par toi.
Il s'approche, inquiet de ce que je viens de dire :
- Quoi ? Qui te manipulerait ?
- Angela...

Il me prend dans ses bras :
- Oh ma chérie... Non. Ne pense pas ça. C'est le passé.
- Mais à chaque découverte que je fais, j'ai l'impression que tu avais déjà fait ça avec elle et que j'ai toujours un train de retard.
- Oh, Juju, ne pense pas ça. Angela avait un tempérament de feu et j'ai beaucoup appris avec elle, mais ça ne veut pas dire que je souhaite que tu sois comme elle.
- Non ?

- Bien sûr que non ! Tu veux savoir ce qui m'excite le plus chez toi ?
Je m'écarte et l'observe. Il affiche une érection colossale, une véritable colonne de chair.
- Non...
- Et bien, c'est justement tout ce que tu découvres, ta progression et même ce qu'on découvre ensemble.
- La vache, oui. Tu as une gaule d'enfer !

- Et il ne tient qu'à toi d'en profiter.
- Hors de question que je passe à côté de ça... Sors de l'eau.
Et je cours regagner la plage, impatiente que l'on fasse l'amour.

Luc affiche un sourire aussi large que sa queue est tendue. Pourtant, il prend son temps pour venir me rejoindre.
- Tu n'as pas envie ?
- Oh que si ! Mais je ne veux rien précipiter.
- Comment tu veux me prendre ? En levrette ?
Je me positionne à quatre pattes, la croupe tendue vers lui.

Il rigole :
- Si tu veux...
Mais qu'est-ce que je veux ? Je veux le voir aussi. Je me retourne.
- Ou comme ça ? Pour qu'on se voie ?

- Oui, je suis d'accord qu'il est important de se voir, ma Juju. Mais on va étendre une serviette d'abord.
Effectivement, dans ma précipitation j'ai oublié à quel point le sable peut être pénible. J'attrape donc une grande serviette et l'étends sur le sable sec.
- Là, tu es prêt ?
- Comme tu peux le voir...
Luc m'exhibe son sexe turgescent.

- Je vois, mais je veux toucher...
Je lui prends la main et le fait s'agenouiller à côté de moi. J'empoigne son membre et ma main remonte jusqu'à ce que mes doigts se posent sur ses testicules. Il frémit. Sa main dans mon dos descend entre mes fesses et son majeur s'amuse à explorer mon anus.

Moi aussi, je frémis à ce contact. Je le fais s'asseoir, sans lâcher son manche. Il me sourit :
- Alors ? Au toucher, tu penses que je suis prêt ?
- On ne peut plus...
- Alors ?
- Alors je profite encore un peu. Si j'aime sentir ta queue en moi, j'aime aussi beaucoup la sentir palpiter entre mes doigts.

Il ne semble pas s'y opposer, mais mon ventre me rappelle qu'il attend lui aussi son dû. Je fais s'allonger Luc et me relève. Son sexe est fièrement dressé vers le soleil. Je me baisse. Luc pose ses mains sous mes fesses pour accompagner ma descente et guider ma fente sur son pieu rigide. Son gland appuie sur les lèvres de ma chatte. Doucement, il s'engage en moi. C'est un délice.

Luc redresse la tête et ouvre de grands yeux.
- Quoi ? Un problème ?
- Non, mais je crois qu'on a un spectateur...
- Tu me fais marcher ?
- Non. Je crois que c'est Bernard. Il est derrière les rochers au pied de l'escalier...

- Attends... Mmmmm...Tu me fais comme samedi soir où tu m'as fait fantasmer... Mmmmm... en imaginant que Joann venait nous rejoindre dans la villa ? Ou comme hier... Mmmmm... quand il y avait Cédric et Damien qui étaient réellement là ?
- Han... Regarde par toi-même...
Toujours emmanchée sur Luc, je me contorsionne pour regarder derrière moi vers l'escalier.

Je ne vois strictement personne.
- Ok... Mmmmm... donc c'est un fantasme...
- Non, il t'a vu te retourner... Han... et s'est mis derrière les rochers au moment où tu regardais...
- C'est bon, j'ai compris... Mmmmm...
- Non, mais je te jure. Han...Là, il se masturbe en nous regardant.

- Oui et il va... Mmmmm... s'approcher pour venir me prendre par derrière ?
- Han... Tu... tu voudrais ?
Comme il semble évident qu'il s'agit encore d'un fantasme, je joue le jeu :
- Bien sûr. Haaaa... Quelle expérience ça doit être d'être prise en sandwich.

Luc semble décontenancé. J'ajoute :
- Surtout... Mmmmm... s'il en a une grosse comme la tienne... Elle est grosse ?
- À ce que je vois... Han... elle est assez respectable...

- Il s'approche ?
- Non... il se masturbe... Han... ça semble lui suffire.
- Mmmmm... Tu lui fais signe de venir ?
- Quoi ? Tu déconnes...
Je sens Luc se tendre. Sa queue grossit. Il râle et déverse en moi un flot de semence chaude, déclenchant mon orgasme.

Nos râles de plaisir se mêlent. Nos corps se mélangent, nous ne faisons qu'un. Je mets un moment à retrouver mes esprits et, quand je rouvre les yeux, je le vois dans l'ombre d'un renfoncement des rochers au pied de l'escalier. Bernard. Bernard, à genoux, qui se masturbe frénétiquement.

Je suis sidérée. Pourtant, depuis le début, Luc me disait la vérité. Juste que je ne l'ai pas cru... Quelle conne. En même temps, c'est très excitant de se dire qu'il apprécie le spectacle. Toujours empalée sur le manche de Luc qui a fini de se répandre en moi, je me tourne pour bien le voir. Lui aussi voit bien que je l'ai vu.

Luc ne s'est pas encore remis de son éjaculation. Est-ce que je propose à Bernard de s'approcher ? J'ai très envie de voir sa queue de plus près et surtout le voir éjaculer. Éjaculer pour moi. Là, je crois que je suis une belle salope. Je m'apprête à lui faire signe de s'approcher, sans trop savoir comment cela va se finir, mais notre voyeur vient d'arriver au bout : sans un bruit, je le vois éjaculer, répandant dans le sable devant lui plusieurs giclées de sperme.

Sitôt terminé, il se relève, se rhabille et remonte l'escalier rapidement, sans un bruit. Luc revient à lui :
- C'était délicieux ma chérie, encore une fois...
- Tu sais que je ne te croyais pas, concernant Bernard.
- Mais je t'assure qu'il était bel et bien là.
- Je sais...

- Quoi ? Tu l'as quand même vu ?
- Oui. Et je l'ai même vu se terminer...
- Wahou ! Et tu as aimé...
- Oui, mais c'était gâché.

- Et quoi ? Tu voulais lui dire de venir ?
- J'étais à deux doigts de le faire, mais il a éjaculé juste au moment où je voulais lui faire signe...
- Et bien... Ma salope !
- Oui, ta salope rien qu'à toi, mon petit épicurien.

Luc se relève et scrute vers l'escalier :
- Il est parti ?
- Oui, vu sa timidité, je l'imagine mal rester pour nous remercier du spectacle.
- C'est sûr que ça peut être un peu gênant comme situation. J'espère qu'il sera parti quand on remontera.
- Le meilleur moyen de le savoir, c'est justement de remonter.

Au fond de moi, je ne sais pas vraiment si j'ai envie que Bernard soit parti ou qu'il soit encore là. J'aimerais sentir nos embarras mutuels à avoir partagé cela sans l'avoir anticipé. Je me dirige vers l'escalier, laissant à Luc le soin de rassembler nos affaires, la serviette et mon bikini.

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Angela - épisode 17 : Quiproquo
Lundi 1er août 11:48
Tandis que nous remontons, Luc garde le silence. Est-il un peu tendu, comme moi, à l'idée de croiser en haut Bernard ? Arrivée en haut de l'escalier, nous scrutons le jardin et nous rendons compte qu'il est désert. Nous rentrons dans la villa, finalement satisfaits de ne pas avoir rencontré Bernard. Je me rends compte que Luc sourit bêtement :
- Quoi ?
- Rien. Je suis juste surpris que tu n'aies pas remis ton bikini pour remonter...
Mince ! Il a raison... Après ce qu'on venait de faire, j'étais si obnubilée sur la manière de gérer une discussion avec Bernard que j'en avais oublié ma nudité. Je ne montre pas qu'il s'agit d'un oubli :
- Pourquoi, tu crois que ça aurait choqué Bernard après ce qu'il vient de voir ?

- Oh non ! Il aurait sûrement apprécié.
- Je suis certaine qu'il est resté caché dans le parc pour continuer à nous observer.
Luc s'assoit dans le canapé :
- Je ne pense pas, je n'ai pas vu sa voiture.
- Elle n'était pas là non plus quand on est sorti. Il est sans doute garé à l'extérieur.
- Je ne pense quand même pas qu'il ait pu rester. Tu aurais aimé le croiser ?

Luc a encore le sexe bien gonflé et bien tendu.
- Toi, en tout cas, l'idée semble t'exciter.
- Pfff, non, c'est toi. Tu m'excites, je n'y peux rien.
- Mais on vient de faire l'amour !
- Je sais, mais voilà, tu me fais bander. Désolé.
- Ne le sois pas ! Moi, ça me convient parfaitement.

- Je te rassure, j'ai débandé un peu en revenant de la plage...
- Et ça t'a repris quand ?
- Quand j'avais ta croupe qui ondulait sous mes yeux pour remonter l'escalier. Radical !

- Mmmm, ça m'excite de savoir que je t'excite...
- Oui et du coup, moi aussi ça m'excite de...
- Arrête ! C'est sans fin. Si on refait l'amour, l'excitation retombera ?

- Rien n'est moins sûr...
- Mais ça vaut le coup d'essayer, non ?
- Oui. De toute façon, je n'ai pas l'impression de pouvoir débander facilement...

- J'avoue que ta queue est splendide et que j'ai bien envie de m'en occuper.
- Elle est à ta disposition, tu le sais.
- Oui...
Je viens m'asseoir à côté de lui et saisis son membre tendu pour le masturber doucement.

Luc regarde alternativement ma main sur son sexe et mes seins dont les mamelons s'érigent plus que de raison. Son regard se pose pourtant dans mes yeux et il me demande :
- Tu crois qu'on va passer toute notre semaine de vacances à faire l'amour ?
- Pourquoi ça t'inquiète ? Ce serait un problème ?
- Oh, je ne pense pas, non...
Je m'avance sur lui positionnant sa tige entre mes seins.

- Tant mieux, j'ai envie de jouir et de te faire jouir sans discontinuer...
- Oh ma Juju, ce programme me va à ravir !
- Je vois ça...
Son sexe est bandé au maximum, je me redresse pour le masturber.

Son attention est soudain attirée vers la porte, derrière moi. Il sourit. Je sens le subterfuge à plein nez.
- Quoi ? Tu vas me faire croire que Bernard ou mieux, Lionel, vient d'entrer ?
- Lionel ? Tu aimerais que Lionel soit là ?
- Allez, dis-moi ce qui se passe derrière moi.
- Ah ? D'accord... Bon, alors... heu... il t'observe.
- Il est nu ?
- Pas encore, mais ça semble en bonne voie puisqu'il déboutonne son short.

- Oh. Il va donc s'exhiber devant nous. Cela ne te gêne pas ?
- Ma foi, c'est curieux, mais...
Je prends conscience qu'il a nécessairement déjà vu Lionel à poil quand ils étaient tous les deux avec Angela :
- Je suis conne... C'est vrai que tu as déjà eu l'occasion de le voir nu.
Il fronce les sourcils. Je me penche sur lui pour lui lécher le gland.

Luc regarde toujours derrière moi pour me faire croire à la présence d'un visiteur. Il sait que ce petit jeu m'excite.
- Il commence à abaisser son short.
Je redresse la tête :
- J'espère au moins qu'il bande à voir mon cul !
- De ce que j'en vois pour le moment, tu ne le laisses pas indifférent.

- Tant mieux, il faut qu'il soit en pleine forme.
- Tu veux qu'il nous rejoigne ?
- Tu penses sincèrement qu'il pourrait se contenter de regarder mes fesses ?
Je reprends à lui sucer le sexe. Il est apparemment ravi à l'idée que je puisse proposer à Lionel de participer.

Luc semble bien apprécier ma langue sur son gland. Il poursuit sa description :
- Il est nu.
- Sa queue est belle ? Bien dressée ?
- Je ne sais pas si je peux émettre un avis sur la beauté d'une bite, mais en revanche je peux te rassurer sur son érection pleine et entière.

- Mmmmh, alors je l'attends.
J'engouffre le sexe de Luc et le suce franchement. Il a de plus en plus de mal à me raconter la suite de ce qu'il imagine :
- Il... Il s'approche... Il admire ta croupe. Tu es certaine de vouloir qu'il te prenne ?
Je me redresse et lui souris :
- C'est bien ce que tu veux toi aussi, non ?
Je replonge sur son membre dressé, creusant mes reins pour faire ressortir ma croupe pour le visiteur imaginaire.

Il se passe alors quelque chose de surprenant. Alors que je suce Luc, j'ai dans mon champ de vision ses deux mains de chaque côté de son corps. Mais alors, à qui sont ces mains qui viennent de se poser sur mes fesses et qui les écartent pour dégager mon abricot humide ? Est-ce que j'aurais tellement fantasmé Lionel qu'il aurait pris corps derrière moi ? J'interromps ma fellation et je veux confirmer visuellement que je ne rêve pas, mais Luc a posé sa main sur ma tête et ne souhaite apparemment pas que j'abandonne son pieu turgescent. Je laisse donc faire, puisque ces mains m'explorent plutôt délicatement.

Je relève les yeux. Luc me sourit. Il semble satisfait que je laisse faire son pote. J'ai même l'impression que son sexe gagne en volume dans ma bouche. Nous y voilà donc. Je me retrouve à la merci de ces deux gars comme Angela avant moi. Mais Angela l'avait décidé. Moi, je subis leurs petits jeux pervers. Bien volontairement et avec beaucoup de plaisir, il faut bien l'avouer. Les mains quittent ma croupe. Un souffle chaud sur mon anus me fait alors frémir et, l'instant d'après, une langue se pose sur ma moule et semble se délecter de ma cyprine.

Il est doué le bougre. Il n'a même pas encore effleuré mon clitoris, mais c'est terriblement bon. Ma cyprine semble affluer au fur et à mesure qu'il me lape la moule. La bouche pleine du gland frémissant de Luc, je pousse des gémissements de plaisir. Sa main ne me contraint plus, mais il me caresse tendrement la nuque, m'encourageant à poursuivre.

Je redresse la tête et lui souris :
- Tu aimes ?
- Oui... Que tu me suces et qu'il te suce. Tu sembles encore plus gourmande quand tu te fais bouffer la moule.
- Oui... il est doué.
Mon bienfaiteur ne réagit pas au compliment, mais il s'écarte, sans doute pour apprécier le résultat de son cunnilingus.

La suite ne se fait pas attendre. Une main vient me prendre en écharpe et l'autre se pose entre mes cuisses. C'est le pouce qui vient se glisser entre mes lèvres et débusque sans peine mon clitoris. Je feule de plaisir à ce délicieux contact. Luc me sourit :
- Il est doué ?
- Oui, autant de la langue que des doigts... Mmmmmh...
Et comme en réponse à ma remarque, la pointe de sa langue vient accompagner le pouce sur ma fente trempée.

Puis, c'est une nouvelle surprise :
- Oh ?!
- Quoi ?
- Aaah... Il me lèche l'anus...
- Tu aimes ?
- Oh Ouiiii...

- Oh ma Juju, il a découvert tout seul que tu aimais cela...
- Tu... tu ne lui as pas dit ?
- Bien sûr que non ! Je ne crie pas sur tous les toits que tu as découvert récemment le plaisir anal.
Un pouce continue de me taquiner le clitoris tandis que l'autre vient remplacer la langue et s'immisce petit à petit dans mon fondement.

Luc me dit :
- Raconte-moi ce qu'il te fait, ce que tu ressens.
- Oooooh... Tu ne vois pas ?
- Si, mais je veux aussi t'entendre me le dire.
- Aaaah... Tu ne préfères pas que... Ooooh... que je te suce ? Mmmmmh...
- Tu n'as qu'à alterner.
- Ok... Alors, là... Ooooh... il me met apparemment... Aaaah... deux doigts et me branle...

- Tu crois qu'il va te faire jouir comme ça ?
- Non... Il me prépare... Mmmmmm...
Je prends conscience qu'en disant cela, c'est comme si j'autorisais ouvertement Lionel à me sodomiser. Surexcitée, je replonge sur le sexe de mon homme et lui caresse les testicules de mon autre main. Là, c'est lui qui râle de plaisir.

Et puis la branlette de mon œillet s'interrompt. L'homme se redresse et je sens sa colonne de chair chaude se caler entre mes fesses. Luc réclame la description :
- Alors ?
- Il... Il se frotte entre mes fesses...
- Tu aimes ?
- Oui, ses couilles viennent frotter contre ma moule, c'est bon...

Réaction à ma remarque, le membre semble s'appuyer davantage entre mes fesses. Je me cambre pour mieux sentir contre ma moule. Ses couilles entrent même en contact avec mon clitoris. Je feule encore. Luc veut savoir :
- Alors ? Dis-moi.
- Il appuie...

- Tu vas le laisser te pénétrer ?
Je m'étonne de la question de Luc :
- Oui... Tu es contre ?
- Oh non... Je m'étonne juste...
Lionel semble s'écarter. Je sens sa main sur ma croupe. Peut-être hésite-t-il entre les deux passages ? Je sens que ma moule ruisselle de cyprine.

Luc se cambre pour me donner un coup de gland dans le menton :
- Raconte.
- Il... Il présente son gland...
- Où ça ?
Lui aussi se pose la question...
- Contre ma moule...

Je n'ai pas besoin de dire à Luc qu'il me pénètre, il voit forcément que le ventre de son ami se rapproche peu à peu de mes fesses. Pourtant, il veut que je lui dise :
- Raconte.
- Aaaaah... Il... Il entre... Aaaaah... Il est en moi...

Je tente de sucer Luc, mais c'est difficile tant je gémis et tant mon souffle me devient indispensable. Je tente malgré tout :
- Il... va et vient... Oooooh...
- C'est bon ?
- Ouiiii... Il est gros... Ooooooh... Il me doigte le clito en même temps... Aaaaaah...

Lionel se redresse et me saisit aux hanches. Luc veut entretenir le dialogue :
- Il te baise bien ?
- Ooooooh ouiiii...
- Suce-moi un peu, ma Juju.
Il me demande ça alors qu'il semble déjà être prêt à éjaculer... Je me plie à ses désirs.

- Il ne te caresse plus la moule. Fais-le, ton orgasme n'en sera que plus intense.
Et quoi ? Il décide de tout maintenant ? Et après, il va demander à son pote de m'enculer ? Pourtant, en bonne salope (SA salope), je m'exécute et passe une main entre mes cuisses pour me caresser le bouton d'amour.

Je sens alors une main quitter mes hanches et un pouce s'immiscer à nouveau dans mon anus. Quel délice ! J'abandonne la fellation :
- Aaaaah... Il me branle le cul ! Ooooh...
Sentir le pouce s'introduire en même temps qu'il me baise est purement divin.

Luc semble aux anges, même si je ne le suce plus.
- Tu crois qu'il va te donner un orgasme ?
- Avec un pouce, il va mettre un peu plus de temps...
Luc rigole et je l'accompagne, puisque j'invite explicitement Lionel à remplacer son pouce par son sexe.

Pourtant, il ne change pas de voie. Il continue à me branler l'anus et à me besogner la moule sans relâche. Bien sûr qu'il va me donner un orgasme, et il le sait sans doute. Peut-être qu'il est aussi trop tard pour lui et qu'il risquerait d'éjaculer s'il sortait maintenant.
- Aaaaah... Oh ouiiii ! C'est bon...

Luc est ravi de mon enthousiasme :
- Je t'aime, ma Juju.
Je suis sur le point de jouir, je ne m'occupe plus de Luc. Il empoigne son sexe tendu et se masturbe lentement, ce qui contraste avec le rythme effréné avec le lequel Lionel me baise.

L'orgasme est là ! Je jouis...
- Oooooooooh Ouiiiiiii !
Luc est béat. Je saisis à nouveau son sexe alors que je suis terrassée par l'orgasme.

Lionel s'est arrêté, probablement aussi sur le point d'éjaculer. Je reprends mon souffle. Luc semble en attente. Je lui demande :
- Je le laisse venir en moi cette fois-ci ?
Luc fronce les sourcils :
- Comment ça, cette fois-ci ?
Un doute me submerge et je tourne la tête, pour me rendre compte qu'il ne s'agit pas de Lionel. Le gars qui me prend en levrette et me doigte l'anus, c'est Bernard !

Les yeux mi-clos, le visage tordu par le plaisir, il semble sur le point d'éjaculer. J'éructe de surprise :
- Merde, pas lui !
D'un mouvement vers Luc, je me dégage du sexe turgescent de Bernard juste au moment où celui-ci commence à éjaculer.

Il gueule son plaisir :
- Rhaaaaa...
C'était moins une ! Dans un réflexe, il a saisi son sexe et le masturbe frénétiquement pour propulser dans mon dos et entre mes fesses plusieurs puissantes giclées de sperme.

Luc, pas démonté, me demande :
- Qu'est-ce qui s'est passé, Juju ?
- Je... je pensais que c'était Lionel...
- Quoi ??? Mais non ! C'est...
- Bernard, oui merci, je viens de m'en rendre compte. Et il vient de me beurrer la croupe de son sperme gluant.

J'entends alors la voix de Bernard :
- Excusez-moi Juliette, si j'avais su qu'il y avait méprise, je ne me serais pas permis tout cela...
Malgré son repentir, il frotte son sexe contre mes fesses, comme pour l'essuyer.

Encore sous le choc, je regarde Luc et je m'aperçois qu'il a du sperme plein le ventre :
- Tu as joui ?
- Oui, au moment où tu as repris mon sexe pendant ton orgasme. Tu étais magnifique.

Bernard semble confus :
- Bon bah, je vais vous laisser. Je suis désolé, Juliette...
Comme Luc s'apprête à se lever, je saisis son sexe encore bandé et le maintiens assis. Je le regarde droit dans les yeux et m'adresse à Bernard :
- Ne vous en faites pas Bernard. C'était un quiproquo, mais un délicieux quiproquo.

- Merci, mademoiselle.
Et il quitte la pièce en s'étant habillé rapidement. Je m'adresse à Luc cette fois :
- Pourquoi ne m'as-tu rien dit ?
- Mais je te l'ai dit que Bernard était là !

- Oui, mais je pensais que c'était un jeu de rôle, comme samedi soir... Et on avait évoqué Lionel.
- C'est toi qui as évoqué Lionel.
- Mouais... Je me demande quand même jusqu'à quel point tu étais complice de ce quiproquo.
- Mais en rien, ma chérie. J'ai été stupéfait que tu t'offres ainsi à Bernard. Mais... ça veut dire que tout ça, tu l'aurais autorisé à Lionel ?
- Si tu veux savoir, j'étais même partie pour le laisser me sodomiser, tellement j'étais excitée.
Luc bande à nouveau. Avec un sentiment de colère et d'excitation mélangées, je reprends ce que je n'avais pas achevé moi-même.

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Angela - épisode 18 : À distance
Lundi 1er août 13:57
Le repas est plutôt silencieux, Luc comme moi avons besoin de réfléchir sur le quiproquo qui venait de se passer avec Bernard. Je suis à la fois en colère d'avoir été prise en levrette par un inconnu, par méprise, et à la fois excitée que cela ait eu lieu. Luc a fui mon regard une bonne partie du repas et je devine qu'il a lui aussi un mélange de sentiment : bien sûr l'excitation (puisqu'il semble tout disposer à me partager avec n'importe qui), mais probablement aussi de la honte d'avoir cru que j'accepterai cela sans discuter. Angela faisait peut être cela de bon gré, mais je ne suis pas Angela.

Luc a proposé de débarrasser la table. Un peu refroidi par l'intrusion de Bernard dans nos jeux amoureux, je me dis qu'il faut peut-être aussi que j'arrête de me balader à poil toute la journée. Je remonte donc dans la chambre pour passer un petit top orange léger et m'enrouler la taille dans un paréo. Quand je redescends dans le salon, Luc m'invite à m'asseoir.
- Bon, Juliette, j'ai un peu déconné. C'est sans doute allé trop loin.
- "Un peu" ? "Sans doute" ? Tu veux dédramatiser le fait qu'un inconnu me prenait en levrette pendant que je te suçais ?

- Désolé. J'ai vraiment cru que tu savais que c'était Bernard. J'étais même étonné que tu acceptes. Tu l'as vu, non ?
- Oui... Mais je croyais que tu étais étonné que je me montre aussi salope.
- C'était le cas, mais surtout que ce soit avec l'électricien.
- Je croyais que c'était Lionel...

Luc a le visage moins grave :
- OK. Mais donc, tu aurais été d'accord pour que Lionel te prenne en levrette ?
- Oui...
- Wahou !
- C'est ton pote. On a discuté, je commence à le connaître et on a déjà fait quelques petites choses ensemble...

- Si je fais le point : tu l'as masturbé sur la plage, il t'a prise en levrette et a éjaculé sur tes fesses.
- C'est une énumération un peu technique, mais concrètement, c'est ça.
- Et tu m'as dit tout à l'heure que tu étais prête à le laisser te sodomiser ?
- Bernard m'avait bien chauffée, il faut le reconnaître. Mais, oui, j'étais prête à lui offrir ça.

- Alors que tu me l'as offert seulement hier soir ?
- Bah oui, mais c'était hyper bien. Je voulais réessayer...
- Mince ! Je ne m'attendais pas à ce que tu sois aussi vite accro à la sodo.
- Lionel et Joann ont raison : elle est magique cette maison. Tu te rends compte de tout ce qu'on a découvert ensemble depuis qu'on est là ? Qui aurait cru que je me mette au naturisme ?
- D'ailleurs, je trouve que ça fait beaucoup de tissu tout ça...
- Pffff, je te reconnais bien là. Mais tu as raison, je suis quand même mieux sans.
Je dénoue mon paréo et commence à me débarrasser de mon top sous le regard de Luc déjà brillant d'excitation.

- Si Lionel vient, tu vas lui demander de te sodomiser ?
- T'es con ! Bien sûr que non. C'est une situation, ça ne se décide pas au détour d'une conversation.
- Mais ça te fait envie ?
- Oui. Et toi ? Tu serais d'accord ?
- Oui. J'ai confiance en Lionel.
- Et puis, vous avez l'expérience tous les deux.
Immanquablement, l'image d'Angela prise en sandwich entre ses deux amants m'est revenue à l'esprit.

Luc voit que je ne suis pas enchantée de l'envisager en train de prendre Angela en sandwich avec Lionel.
- Hey, Juju. C'est toi que j'aime. Ce qu'on a pu faire avec Lionel, c'est le passé. Le présent, c'est à toi de le décider. Et quoi que tu décides, je t'aimerai. Ne va pas croire un seul instant que je puisse te comparer à Angela. Tu es magnifique, beaucoup plus sexy qu'elle.
- Tu dis ça parce que je suis à poil. Je ne suis pas certaine de la clarté de ton jugement.

Je me lève, un peu réassurée, et rajuste rapidement mon paréo pour me placer dos à la fenêtre.
- Mais si elle se pointait, là ?
- Tu penses sérieusement que je te quitterai pour elle ?
- Non, mais tu pourras encore la désirer, non ?

- Là, c'est une autre question qui ne relève plus de l'amour. Toi, tu es la seule fille que j'aime, je dirai même avec passion. Mais en revanche, ne te vexe pas, tu n'es pas la seule fille que je désire. Par exemple, je désire aussi Pénélope Cruz.
- N'importe quoi, elle est inabordable. Mais ce que tu veux me dire, c'est qu'Angela, tu la désires encore ?
- Je pense qu'elle est en mesure de me faire bander, oui. Mais toi, en plus de me faire bander, je t'aime à la folie.
- C'est vrai ?

- Bien sûr ! Tu en doutes.
Il me désigne son érection.
- Je ne doute pas de ton désir, ni de ton amour. Mais je ne sais pas, si Angela revenait dans ta vie, si tu ne pourrais pas retomber amoureux d'elle puisque vous avez vécu des choses très fortes ensemble.
- C'est le passé. Et on vit nous aussi des choses très fortes, non ? Par exemple, on a la chance d'avoir un jardinier qui bosse à poil.
Un coup d'œil à la fenêtre me permet de voir effectivement Joann, nu dans le parc.

- Tu avais raison. Il est censé ne passer qu'une ou deux fois par semaine et on va sans doute le voir tous les jours.
- Je te le dis, je pense qu'il bâcle les autres jardins pour pouvoir passer plus de temps ici. Et tu n'es pas étrangère à cette organisation...
Je trouve très excitant de le voir déambuler dans le jardin en tenue d'Adam.
- Tu crois qu'il bosse à poil aussi chez les autres ?

Luc rigole :
- À moins que ce soit aussi des villas naturistes, je ne pense pas. Il ferait virer pour attentat à la pudeur.
Je m'assois par terre pour l'observer plus discrètement.
- Moi, s'il vient bosser à poil chez moi, sans que je sois nudiste, il n' a aucun risque pour que je le vire.

Luc se moque de moi :
- Ne serait-ce pas que tu désires un autre homme que moi ?
- Oui, tu as raison. Il est plus âgé que nous, mais il est bien foutu, non ?
- Je n'ai pas vraiment d'avis concernant la gent masculine. Et puis là, il n'est pas au mieux de sa forme.
C'est vrai qu'il ne bande pas du tout.

- Oui, c'est dommage.
- Tu peux y remédier...
- Quoi ? Tu veux que je me montre pour le faire bander ?

- Si tu veux le voir en érection, ça me semble évident.
- Et tu n'es pas jaloux que je fasse cela ?
- Non, regarde : ça m'excite !
Je dois avouer que Luc bande comme un taureau et qu'en l'état il m'excite beaucoup plus que Joann.

- Espèce de pervers !
- Non.
- Ah, oui... Épicurien... Mais dis-moi, l'épicurien, il n'est pas jaloux du tout quand son pote Lionel me baise ? Il n'a pas peur que je puisse trouver que Lionel me baise mieux que lui ?
- C'est peut-être le cas. Mais j'ai l'impression que c'est à moi que tu te confies, à moi que tu te dévoiles et donc que c'est moi que tu aimes, non ?
- Tu marques un point.

- J'ai totalement confiance en toi, ma Juju.
Je tente de le déstabiliser :
- Tu ne devrais peut-être pas. Maintenant, j'ai très envie de Joann aussi me prenne en levrette. Après tout, Bernard y a eu droit. Du coup, l'épicurien ne verra aucun inconvénient à ce que je me tape aussi Joann, n'est-ce pas ?
- Je t'en prie. Va voir Joann et propose-lui.
Il marque encore un point. Je ne peux pas faire ça cash. Et de toute façon, cette idée n'était que pour le provoquer. Est-ce que je désire vraiment que le jardinier me prenne en levrette ?

- Juju, tu essayes d'imaginer un stratagème pour y parvenir ?
- Non, il bosse nu en toute sincérité. Je ne suis pas certaine que je sois la raison de son retour aujourd'hui.
- J'ai vu les regards qu'il te porte. N'ai aucun doute là-dessus : il te désire, lui aussi.
- Pourtant, il ne regarde même pas dans cette direction.

- Il peut se dire qu'on fait la sieste ou qu'on est descendu à la plage.
- Il serait allé voir au bord pour nous apercevoir.
- Le soleil donne de ce côté, il y a peut-être un reflet qui l'empêche de voir à l'intérieur.
- Voilà une explication plus plausible. J'ouvre la baie vitrée ?

- Je t'en prie.
- Et dès qu'il me verra, il bandera comme toi ?
- Ah bah, non. Faut pas exagérer. Il ne peut pas se mettre en quelques secondes à avoir une aussi belle érection que la mienne.
- J'avoue qu'elle est magnifique ta queue...

- Allez, ouvre. Mais fait comme si tu ne l'avais pas encore vu et que tu découvres seulement sa présence.
J'ouvre la baie vitrée. Joann me salue de la main avec un grand sourire. Je lui réponds timidement. Luc se moque de moi :
- C'est bien timide tout ça. Tu espères vraiment le faire bander juste avec une main levée.
- Laisse-moi faire. Je vais adopter une méthode progressive.

En fait, je voulais interpeller Joann, mais je me rends compte qu'il se dirige vers moi :
- Bonjour Joann.
- Bonjour Juliette.
- Alors, vous avez finalement encore du travail ici cette semaine ?

Je m'étonne moi-même d'entamer aussi facilement la conversation avec un homme totalement nu en étant moi-même presque nue. Il interrompt sa progression et semble embêté.
- Heu, oui... On ne dirait pas, mais le parc est grand. Quand j'aurai fini je consacrerai plus de temps aux autres jardins. Beaucoup de travail en ce moment, ici. C'est plutôt tendu.
Moi, ce que je vois qui est tendu, c'est son sexe qui gonfle et se redresse alors que je sens ses yeux se promener sur mes seins.

- Je vous souhaite bon courage, dans ce cas.
- Merci. Je vais essayer de ne pas faire de bruit si Luc se repose.
Je prends conscience que le reflet de la baie vitrée l'empêche probablement de voir Luc et il me croit seule. Je profite qu'il retourne à sa tâche pour détailler ses fesses musclées.
- Il a quand même de très belles fesses.

Luc me dit :
- Et bien c'est très très progressif ton approche pour l'exciter, je trouve...
- Oui, je n'ai pas su profiter. Mais en même temps, il a dit avoir beaucoup de travail.
- C'était juste pour justifier sa présence. Regarde, il passe son temps à regarder par ici.
C'est vrai qu'il ne semble pas très actif. Il regarde souvent dans ma direction et son érection est maintenant franchement marquée.

- N'empêche que ça marche. Il bande alors qu'il en voit pas grand-chose d'où il est. Tu ne veux pas lui en montrer un peu plus ?
- Bah, il voit déjà mes seins, c'est bien, non ?
Luc me fait un sourire désarmant qui me fait comprendre que c'est insuffisant à son goût. Abandonnant mon paréo, je me lève et tourne le dos à la fenêtre, exposant à Joann mon postérieur.

Je m'assois sur le bord du canapé, face à la fenêtre. Luc demande à savoir :
- Alors, il te regarde toujours ?
- Oui, il regarde de plus en plus souvent vers moi.
- Peut-être que tu pourrais écarter les cuisses ?
- Carrément ?

Luc soupire, me faisant comprendre que je suis longue à comprendre. Mais, oui, si je dois exciter notre jardinier (et il semble bien que je me sois engagée dans cette voie), il faut que je me montre un peu plus exhibitionniste. Je contente Luc :
- Allons-y...
J'écarte lentement les cuisses, mais je laisse une main devant mon entrejambe.

Luc sourit :
- Alors ?
Joann est en train d'arroser, mais je vois sa seconde main se saisir de l'érection.

- Merde ! Il se masturbe...
Luc est incrédule :
- Sans déconner ?
- Je te jure. Il se branle et me regarde régulièrement.
- C'est parce que d'où il est, avec ta main positionnée ainsi, il pense que tu te caresses toi aussi en le regardant.
Je retire vivement ma main et exhibe donc mon entrejambe.

- Tu crois qu'il voit ma minette d'où il est ?
- C'est sûr qu'il faudrait qu'il se rapproche, mais c'est sûrement assez explicite. Caresse-toi les seins, ça va le faire venir.
- Mais je ne veux pas qu'il vienne !
- Faudrait savoir... Bon, qu'il s'approche au moins.
Je bascule au fond du canapé et, toujours cuisses largement écartées, je me caresse la poitrine.

Luc se masturbe doucement.
- En fait, Luc, je me demande si c'est pour Joann ou pour toi que je fais tout ça...
- Ma Juju, j'espère que tu le fais aussi un peu pour toi !
- Oui... Oh ! Il s'approche... et il se masturbe toujours.

Luc semble vouloir diriger ma scène, il chuchote :
- Il semble suffisamment près pour te voir te caresser.
- Tu veux que je me masturbe devant lui ?
- Bah oui. Mais ne le fais pas pour lui ou pour moi, fais-le pour toi.
J'avoue que dans l'état d'excitation où je suis, cela me fait drôlement envie. Ma main glisse vers mon entrejambe et mon majeur débusque mon clitoris.

Je suis les instructions de Luc. Je me masturbe. Je prends conscience que je mouille beaucoup et que je suis en mesure de me donner un orgasme en peu de temps.
- Luc... Je... je suis trop excitée... je vais jouir...
- Parfait, ma Juju. Tu ne peux pas nous offrir plus beau spectacle.
Les yeux fermés, je continue à faire tourner mes doigts autour de mon bouton d'amour.

Mais Luc me rappelle à l'ordre :
- Tu le fais pour toi, mais je pense que c'est important qu'il sache que tu le regardes aussi. C'est un échange, un partage de plaisir.
En rouvrant les yeux, je vois que Joann a les yeux rivés sur moi et que sa main s'agite de plus en plus vite sur son membre turgescent.

- Branle-toi. Mets-toi un doigt, non : deux doigts !
Je sais que cela va m'achever, mais Luc semble y tenir. Je m'enfonce donc le majeur et l'annulaire dans ma fente juteuse et me masturbe doucement. Le plaisir monte.

Un premier séisme arrive et me vrille les cuisses. Luc me dit de retirer mes doigts pour montrer ma moule pendant l'orgasme, mais j'ai à peine conscience qu'il me parle. Mes cuisses et mon bassin sont pris de tremblements saccadés. Cela dure sans doute plusieurs secondes, peut-être une minute. Quand je reprends conscience, je vois deux paires d'yeux exorbités perdues dans mon entrejambe.

L'instant d'après, un râle sourd se fait entendre dehors.
- Mmmmmmmmm....
Joann l'étouffe le plus discrètement possible, mais il ne peut pas contenir l'afflux de sperme qui jaillit de son membre.

Plusieurs jets sont propulsés à presqu'un mètre de ses pieds. J'admire béatement la performance.
- Bravo, Joann !
Il reprend ses esprits et me regarde, avec un air un peu stupide :
- Oh je... je suis confus.
- Mais ne le soyez pas. Regardez, moi aussi, j'ai joui.
Mes cuisses encore largement écartées laissent voir la cyprine épaisse qui s'échappe de ma moule.

Penaud, Joann s'éloigne pour reprendre son arrosage interrompu. Sur le côté, j'entends la voix étouffée de Luc :
- Hhhhhhhh, moi aussi...
Un coup d'œil me permet de voir qu'il n'est pas en meilleur état que Joann. Du sperme macule son ventre et son sexe est encore pris de soubresauts, crachant encore un peu de sa liqueur.

- Et bien ! Du coup, je l'ai fait autant pour toi que pour lui ?
- Oui, tu as été superbe ma chérie. J'adore te voir jouir.
- Moi, j'ai raté le début de ton éjaculation. Tu m'en devras une.

Luc sourit bêtement :
- Avec plaisir... Tu peux me ramener une serviette, s'il te plaît ?
Son ventre, son sexe et ses testicules sont dégoulinants de sperme.

- Une serviette ? Ce serait gâcher...
- Tu as une autre idée ?
- Bien sûr. Tu te doutes de laquelle, non ?

- J'ai une petite idée...
- Je veux te l'entendre dire.
- Que je te dise quoi ?
- Que tu me demandes ce que tu veux que je fasse, puisque tu n'auras pas de serviette...

Luc se mord les lèvres, ravi que je lui fasse prononcer ces mots :
- Ma Juju d'amour, est-ce que tu voudrais bien me lécher tout ça ?
- Bien sûr, mon chéri.
Je vais le rejoindre et m'agenouille entre ses cuisses. Je commence pour lui lécher les cuisses et les testicules.

Cela semble bien lui convenir :
- Ooooouuuh, ma Juju... Tu vas me faire éjaculer à nouveau...
Je lui lèche ensuite la hampe, méticuleusement. Aucune goutte de sperme n'échappe à ma langue experte et je l'ingurgite au fur et à mesure. Enfin, mes lèvres se referment sur le gland toujours tendu.

- Mmmmm, tu vas m'avoir.
Je le sens effectivement sur le point de jouir. Je me redresse alors vivement, espiègle :
- Tu as raison. C'est suffisant pour aujourd'hui.
- Que... ? Quoi ? Non mais, je...
- Ne t'inquiète pas, je te taquine. Mais je te maintiens ainsi dans un état avancé d'excitation. L'après-midi n'est pas terminé. C'est quoi la suite du programme ?

Luc n'en finit pas de sourire.
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Angela - épisode 19 : L'île aux trésors
Lundi 1er août 15:22
Luc ne réfléchit pas longtemps à la suite du programme :
- Et si nous allions profiter de la piscine ?
Je trouve effectivement que c'est une excellente idée. Luc attrape une serviette de bain et, nu comme un ver, va rejoindre le bassin. Je le suis, mais je marque un temps d'hésitation en voyant que Johann travaille à proximité dans le jardin.

Luc se moque évidemment de moi :
- Et bien quoi ? Tu viens de te donner en spectacle devant lui et là ça te gêne de te baigner à poil ?
- Je sais, c'est ridicule... La pudeur, ça ne se commande pas.
- C'est vrai que je ne t'ai pas trouvée particulièrement pudique tout à l'heure quand tu livrais à son regard tes cuisses grandes ouvertes.
- Je n'ai pas d'explication à te donner. Et tout cas, toi, ça ne semble te poser aucun problème.
- Comme tu peux le voir. Te voir t'exposer m'excite.

Luc affiche une belle érection, ce qui m'émoustille évidemment.
- Toujours de l'épicurisme ?
- Exactement. Et aussi parce que c'est tout simplement très agréable d'être à poil, de sentir le soleil sur la peau, l'air tiède. Tu ne trouves pas ?
- Si, c'est vrai que c'est bon.

- Je suis content que tu ne considères pas cela uniquement comme de la perversion.
- Pas uniquement, mais tu reconnais toi-même qu'il y en a un peu.
- De ma part, tu le sais. Pour Joann, ce n'est pas certain.
C'est vrai que Joann jardine tout nu dans le parc et ne semble pas s'occuper de notre présence.

- Ou c'est un gentleman qui sait maîtriser ses pulsions.
- Ah, oui. Alors là, c'est sûr que moi je suis un vaurien avec ma pulsion qui se dresse impudiquement.
- Toi, tu n'as aucune pudeur ? Tu n'éprouves aucune gêne à t'exposer ainsi devant Joann ?

- Bah, non. Je sais qu'il ne s'intéresse qu'à toi.
- S'il était homo ?
- Il ne m'a pas semblé être homo...
- Oui, mais s'il était bi ?
L'idée que les garçons puissent s'amuser entre eux me donne chaud au ventre et j'espère que Luc ne se rend pas compte de ce trouble.

- Je ne pense pas que ça me dérangerait.
Luc descend dans le bassin. Même s'il dit ne pas être embarrassé par le regard d'un autre homme, je vois que son excitation retombe depuis qu'on aborde ce sujet.
- Qu'il puisse te juger ? La taille de ta queue ?
- Bah, non. Je pense qu'il s'en tape.

- Parce que tu ne te projettes pas, mais si c'était une jolie jardinière nue, tu t'exposerais ainsi devant elle ?
- Ah oui, d'autant plus !
Je rigole :
- Hihi, tu n'es définitivement pas un gentleman.

- Non, mais toi tu es trop pudique et tu te poses trop de questions chiantes. Viens donc te baigner au lieu de rester devant la porte vitrée.
- Je ne suis pas certaine de vouloir me baigner.
- Dans ce cas-là, quel est l'intérêt d'avoir une piscine à disposition ?
- Pour le cadre. Et ça ne veut pas dire que je ne me baignerai pas dans une heure. Là, je veux juste m'allonger et profiter du soleil.

Luc part en dos crawlé et s'arrête en plein milieu du bassin :
- Si tu me rejoignais, tu pourrais profiter d'autre chose.
- Oui, je pense voir à quoi tu fais référence : le grand mat qui se dresse sans voile ?

- Ou bien tu considères que je suis retourné et qu'il s'agit de la quille qui assure ma stabilité.
Je rigole tandis que je m'assois sur un transat :
- Haha, c'est un point de vue, effectivement. Toutefois, je dirais plutôt le gouvernail.

- Un gouvernail ?
- Oui, je crois que cet équipement est celui qui dirige tout le navire, non ?
- Héhé, oui ! Tu as certainement raison.
Il se redresse, présentant fièrement son gouvernail qui semble avoir mis le cap vers moi.

Je me moque de lui :
- Malheureusement, un bateau se doit de rester à flot et je suis trop loin dans les terres.
- Tu ignores que l'homme est amphibie ?
- Ah ? Tu viendrais donc jusqu'à mon île pour me ravir mon trésor ?

- J'y suis tout disposé et je remuerais ciel et terre pour le trouver.
- Oh, il n'est pas très bien caché, tu sais.
Je m'allonge sur le transat et écarte les cuisses pour dévoiler mon coquillage à mon pirate.

- Ah bah non ! S'il n'y a pas de chasse au trésor, cela perd tout son intérêt.
- Je rêve! Tu abandonnes la partie ?
- Pas du tout, mais je pense qu'un tel trésor doit se mériter. Même si je vois que tu me l'offres de bon cœur, j'estime qu'il me faut le gagner.
Le goujat ! Il refuse de me faire l'amour !
- Méfie-toi qu'un autre pirate pourrait passer par là et te ravir ce qui te revient de droit.

Luc sourit et observe Joann qui est en train de ramasser des abricots qu'il met dans un seau posé dans une brouette à côté de lui.
- Ma Juju, tu penses à ce pirate-là ?
- Lui ou n'importe quel autre...
- Celui-ci est occupé et le reste de la mer semble très calme. Laisse-moi juste le temps de trouver un moyen de gagner ce trésor de manière juste.

- Tu as tort. Il est à portée et Dieu seul sait s'il le sera encore quand tu auras décidé quelle est ta quête.
Je rouvre les cuisses pour le faire craquer. Mais le pirate résiste :
- Aide-moi à la trouver, cette quête !
- Débrouille-toi... Et fais vite, car j'ai de plus en plus envie qu'on vienne me ravir mes bijoux.

- Est-ce qu'un combat épique contre un monstre tentaculaire peut constituer une quête suffisante ?
- Oui, mais je ne sais pas où tu vas trouver ça ici. Dommage d'ailleurs, je me laisserai bien palper par les tentacules gluants d'une créature libidineuse.
- Olala... Ne serait-ce pas un peu pervers comme fantasme ?
- Si tu me sauves de cette créature, ce sera entre l'épique et l'épicurien...

- Héhé, j'aime assez l'image.
Joann s'approche alors avec sa brouette contenant plusieurs seaux pleins d'abricots :
- Dites, Lionel m'a demandé de vous proposer quelques abricots. Est-ce que ça vous tente ?

J'ai du mal à me concentrer sur sa question tant mon attention est attirée par sa nudité et son corps musclé, mais je parviens à réagir :
- Oh oui, merci !
Il sort alors un seau et me l'apporte.
- Un seau complet, Joann ? On ne va jamais pouvoir manger tout ça !
- Il y a des bocaux vides disponibles sous l'évier de la cuisine. Vous pouvez en faire des confitures ou de la compote.
- C'est drôlement gentil, merci. Je vais m'en occuper.

Mais avant que je ne me lève, Luc rejoint Joann et attrape le seau :
- Laisse, ma chérie, je m'en occupe.
- Mais je peux m'en occuper puisque je ne fais rien.
- Si : tu bronzes. D'ailleurs passe un peu de crème si tu ne veux pas brûler.
Il me tend le flacon de lotion solaire. Je suis surprise, mais ravie :
- Merci, gentleman.

Je commence à m'en mettre sur les cuisses. Sans le regarder, je prends conscience de la présence de Joann et qu'il me regarde. Sans doute que, de la cuisine, Luc nous observe par la fenêtre. Je l'entends me crier :
- Et mets-en bien partout. Si tu bronzes cuisses écartées, ce serait con de prendre un coup de soleil sur ton entrecuisse.
Je le prends au mot et me mets un peu de lotion sur l'intérieur des cuisses et me l'étale en insistant particulièrement sur les lèvres de ma minette.

Bien sûr très rapidement, l'onction se transforme en caresse et je me retrouve vite à gémir tandis que mes doigts taquinent mon clitoris. Et Luc, joueur, en rajoute une couche :
- Et fais attention à ne pas trop t'approcher de ton coquillage. À chaque fois, tu as du mal à résister à ne pas te masturber.
Quel salaud ! Mais quel stratège ! Il oriente la scène pour mon plaisir et pour contenter mon spectateur. Je laisse donc mon index et mon majeur investir ma fente.

Je sais que Joann m'observe toujours, quand je tourne la tête dans sa direction, je fais mine de découvrir sa présence et retire mes doigts, mais garde les cuisses ouvertes.
- Oh Joann, excusez-moi. Je pensais être seule et je suis incorrigible.
- Il n'y a pas de mal. Le naturisme peut facilement avoir des effets de bord.

Quand je vois son sexe déjà bien gonflé, je me dis que c'est un bien bel effet de bord. Je décide de continuer à l'exciter.
- Je dois prendre garde à ne pas attraper de coup de soleil. Luc veut que je sois bronzée même ici, mais c'est un endroit où la peau est plus sensible.
- Je... je... c'est certain.
- Et c'est déjà si brûlant...
J'écarte les cuisses en grand et expose ma moule.

Je pense que je l'ai accroché puisqu'il ne semble pas du tout enclin à retourner travailler. Je le taquine :
- Et vous allez en faire quoi de tous ces abricots ?
- De ces... ? Ah, oh oui. Les abricots. Lionel m'en laisse une partie et il récupérera le reste en fin d'après-midi.
- D'ici là, j'aurai un peu bronzé, même mon petit abricot.

- Je... je vais retourner pour...
- D'ailleurs, vous les aimez comment les abricots ? Bien fermes ou plutôt juteux.
Machinalement, les yeux rivés entre mes cuisses, Joann me répond :
- Plutôt juteux, je crois...

Là, je ne savais plus s'il parlait de ses goûts pour le fruit ou s'il parlait de mon abricot dégoulinant de cyprine. Je suis certaine que Luc nous espionne toujours :
- Luc ! Je n'y arrive pas...
- Quoi donc ma chérie ?
- À me mettre de la crème sans me caresser...

- Ma pauvre, il faut pourtant que tu te protèges du soleil.
- Tu peux venir m'en mettre ?
Je devine quelle va être sa réponse. Sans doute qu'on est sur la même longueur d'onde, je ne suis pas surprise :
- Ma Juju, je suis occupé avec les abricots. Demande à Joann.
Je saisis le flacon et regarde Joann qui a parfaitement compris ce qu'on attend de lui.

Il saisit le flacon et semble ne pas savoir par où commencer.
- Je... je vous en mets où ?
- Je crois qu'il faut en mettre partout pour être sûr : les seins, le ventre, les cuisses. Il ne faudra rien oublier bien sûr...

Comme il dirige le spray vers mes épaules, je l'arrête :
- Mettez-en plutôt dans vos mains pour l'étaler ensuite.
- D'accord...
À quelques centimètres de moi, j'ai à portée de mains son sexe magnifique, déjà bien gonflé.

Je m'allonge et me laisse aller. Je ferme les yeux, espérant mettre Joann plus à l'aise et lui facilitant la prise d'initiative. Ses mains glissent sur mon corps. Je repense à la quête de Luc et à la créature tentaculaire qui viendrait à l'assaut de mon île pour me voler mon trésor. Je m'imagine que Joann est cette créature et qu'il est en train d'explorer chaque parcelle du lieu pour dénicher ma cachette secrète.

Ses mains restent sur mon ventre, sans doute trop timide pour oser explorer plus loin toutes les richesses de mon île :
- Il ne faut pas rester dans la plaine. Vous pouvez aussi visiter les montagnes et la crevasse.
- Pardon ?
Évidemment, il ne comprend pas vraiment ma métaphore. Je dois donc être plus explicite :
- Il y a d'autres parties de mon corps qui méritent votre protection...
Il me sourit et empoigne avec plaisir mes seins aux mamelons tendus.

- Mmmm, voilà. N'hésitez pas...
Le jardinier qui maîtrise si parfaitement son érection semble avoir perdu tout contrôle. Son sexe semble énorme. Je le vois, dressé, se balancer au-dessus de moi, au rythme des mouvements de mon masseur.

Sans doute à cause de l'altitude des montagnes, la pression atmosphérique se fait plus importante, d'où l'importante tension de l'organe de Joann.
- Joann, c'est très agréable de se faire mettre de la crème par un homme.
- Juliette, attention... Votre phrase peut être à double sens...
- Hihi, oui, excusez-moi.

- Il n'y a pas de mal. Je prends aussi beaucoup de plaisir à vous passer de la crème. Mais ça, vous vous en rendez bien compte.
- Oui, vous les hommes, vous savez rendre hommage aux femmes de manière très ostentatoire.
- C'est effectivement difficilement dissimulable...
- Nous c'est plus discret. D'ailleurs, je veux bien que vous mettiez un peu de crème aussi plus bas.
Son sourire laisse entendre qu'il a compris. Ses mains descendent jusqu'à mes cuisses et passent de la crème en effleurant mon abricot.

Je feule à chaque fois que ses doigts entrent en contact avec les lèvres de mon sexe. Joann doit le sentir. Je ferme les yeux. Ma respiration est plus poussée. Sa main se pose sur mon pubis. Ses doigts glissent sur ma fente. J'ai une folle envie qu'il me pénètre. Mais Joann prend son temps. Son autre main repart à l'exploration de mes seins, de mes épaules.

- Juliette. Je dois vous avouer que c'est difficile pour moi...
Je rouvre les yeux.
- Difficile ?
- Oui, vous passer ainsi de la crème est particulièrement excitant et j'espère pouvoir garder le contrôle, mais je ne peux pas vous garantir d'y parvenir.
Son sexe est effectivement monstrueusement bandé.

- Et bien tant pis. Vous avez vu que j'ai toutes les peines du monde à ne pas me caresser quand je me passe de la crème, alors je ne vais pas vous en vouloir si vous succombez.
- Succomber ?
- Hihi, oui, j'ai bien compris ce que je risque.
Comme ses doigts commencent à explorer un peu plus avant ma fente, je saisis son membre turgescent qui palpite entre mes doigts.

Sans doute interprète-t-il cela comme une invitation à aller plus loin. Il aurait pu venir se mettre entre mes cuisses et me pénétrer, je l'aurais laissé faire tant j'avais envie d'être prise. Je me sens presque aussi salope que j'imagine Angela pouvait l'être. Mais Joann prend son temps. Il enfonce deux doigts dans ma chatte dégoulinante de liqueur et commence un lent va-et-vient.

- Mmmmmh, Joann...
Il se déplace. Va-t-il me prendre ? Il est entre mes cuisses. Je sens son souffle sur mon ventre. Va-t-il me faire un cunnilingus ? Ses doigts reprennent contact avec mon sexe et débusquent mon clitoris dardé. Il tourne, il me rend folle. Je suis prête à le supplier de me pénétrer.

Pourquoi ne le fait-il pas ? N'a-t-il pas envie ? Ne me désire-t-il pas ?
- Joann, s'il vous plaît...
Mais au lieu de ça, il pose le pouce de sa main droite sur mon petit bouton et le torture délicieusement tandis qu'il me pénètre de trois doigts.

L'orgasme est proche d'arriver. Mais Joann s'arrête soudain et jure :
- Merde !
Je redresse la tête pour voir son sexe avoir un soubresaut et laisser échapper un petit jet de sperme.

Il semble complètement désemparé. Un nouveau jet est propulsé et m'éclabousse le ventre. Je m'amuse de voir cela se faire et tente de le rassurer :
- Joann, c'est très bien. Laissez faire.
Mais alors que ses couilles se contractent à nouveau pour expulser une nouvelle giclée de semence, Joann s'empare du canon indomptable et l'enserre de ses doigts pour le faire taire.

Je lui prends le poignet et lui sourit :
- Laissez. C'est trop tard. Il faut que ça sorte.
- Mais je...
Il me laisse retirer sa main et l'éjaculation libérée m'atteint jusqu'à la poitrine.

Malgré la frustration de mon orgasme avorté, je rigole de voir notre jardinier éjaculer ainsi, alors que je le croyais totalement maître de son sexe. Il semble lui trouver cela vexant :
- Je... Je vous avais prévenu... Je suis désolé Juliette.
- Ne le soyez pas. C'est un beau cadeau pour une femme de lui montrer ainsi à quel point elle est excitante.

Quelques gouttes s'échappent encore à chaque soubresaut de son membre toujours bandé.
- Mais je vous en ai mis partout. D'habitude, je me contrôle mieux que ça.
Je me redresse :
- C'est ma faute... Je me suis amusée à vous exciter.

- Quand même. J'avais bien compris votre petit jeu, mais je croyais pouvoir me maîtriser. Je vais chercher une serviette pour vous essuyer ça.
- Ne vous donnez pas cette peine. Étalez-moi tout ça sur la peau comme si c'était de la crème solaire.
- Mon... mon sperme ?
- Oui. Vous me devez bien ça.
Un peu déconfit, le pauvre jardinier s'exécute, étalant de ses mains sa semence sur ma peau bronzée.

Et que ses doigts s'approchent de mon abricot, je lui rappelle ce qu'il a laissé inachevé :
- D'ailleurs, vous étiez bien affairé avant cet incident amusant, non ?
Pas besoin de lui en dire davantage. Ses doigts reprennent leur exploration de ma fente humide.

- Mmmmmh, Joann, c'est si bon, le soleil sur ma peau et vos doigts entre mes cuisses. Vous faites cela avec toutes les locataires de la villa ?
- J'avoue que vous êtes la première...
Il fait aller et venir lentement deux doigts dans ma fente. Ma main part à l'exploration pour saisir son sexe que j'imagine toujours en érection.

Il m'écarte la main et me fait signe qu'il ne préfère pas. Je l'interroge :
- Pourquoi ? Vous avez déjà éjaculé. Vous êtes tranquille.
- Pas si sûr...
J'obéis et le laisse se concentrer sur la masturbation qu'il me prodigue.

Son autre main me caresse le ventre et remonte à mes seins, s'amusant à agacer mes mamelons.
- Ohhhh, Joann... Je vais bientôt jouir... Mmmmmmh...
Je ne sais plus combien de doigts ont envahi mon vagin et me fouillent délicieusement, mais l'orgasme est là. Mon bassin et mes cuisses sont prises de convulsions. Je jouis.

Je suis à demi-consciente quand je l'entends à nouveau jurer :
- Oh merde...
En entrouvrant les yeux, je le vois repartir dans une nouvelle explosion de sperme.

Je reçois plusieurs giclées au visage et sur la poitrine. Cette fois-ci, Joann ne semble pas vouloir bloquer la montée de sa sève. Il éjacule généreusement, sans retenue. Tout sur moi.
- Rhaaaa, Juliette...

Un dernier filet de sperme s'échappe de son membre turgescent. Encore sous le coup de mon orgasme, je suis stupéfaite, fascinée.
- Joann, c'est incroyable...
- Oh, je... je ne voulais pas.
Il semble horrifié de voir qu'il vient de m'éjaculer au visage. Moi, ça m'amuse de le voir perdre son fier contrôle.
- Tout va bien Joann. Ce n'est qu'un peu de sperme.

Joann semble peiner à retrouver son souffle. Il a reculé d'un pas et a le regard qui alterne entre mon visage souillé de sa semence et la villa, sans doute inquiet que Luc puisse avoir vu la scène. Pourtant, je suis convaincue que mon copain n'a rien manqué et qu'il bande à tout rompre. Je rassure Joann :
- Pour faire disparaître ça rapidement, le mieux reste encore de l'étaler comme tout à l'heure.
- Mais vous allez empester le sperme.
- Je dirai à Luc que la crème solaire est périmée...

Joann se rapproche de moi et reprend à étaler sa semence depuis mes joues et mon cou jusqu'à ma poitrine. Je surveille son érection qui est encore si proche de mon visage et ne semble pas vouloir s'apaiser. Il voit mon regard :
- Héhé, je crois que ce sera tout. Ne vous inquiétez pas...
- Oh, mais je ne m'inquiète pas.
Juste que j'envisageai éventuellement d'appliquer un nettoyage buccal à ce beau membre englué de quelques filets de sperme. Mais Joann passe derrière moi pour s'occuper de mes seins sous un autre angle et éloignant de ce fait l'objet de ma convoitise.

Nous entendons alors la voix de Luc depuis l'intérieur de la villa :
- Tout va bien, ma chérie ? Vous vous en êtes sortis avec la crème ?
Joann prend le parti de retourner diplomatiquement à ses occupations végétales. Je me redresse et j'élève ma voix pour que Luc entende ma réponse :
- Oui, Joann m'en a mis plein partout.

Bien sûr, ma phrase est volontairement équivoque et Joann se retourne vers moi en souriant. Quand Luc apparaît à la baie vitrée, Joann trouve encore à s'éloigner, apparemment mal à l'aise. Luc me sourit :
- Tu es magnifique.
- Tu l'as vu éjaculer ?
- Oui, les deux fois.
- Il m'en a mis partout et il a bien tout étalé.

Luc a le sexe gonflé. Je lui demande :
- Tu t'es branlé en nous regardant ?
- Oui, un peu. C'était très excitant.

- Tu n'as pas éjaculé ?
- Non, je me réserve.
- Tu veux m'en mettre un peu plus ?

- Je crois que tu as eu ton compte. Si j'ai bien vu, il t'a donné un orgasme.
- Avec les doigts, ça compte ?
- C'était un orgasme quand même.

- C'est vrai... D'ailleurs, je dégouline encore de mouille...
- Fais-moi voir ça.
Je me lève et lui tourne le dos. J'écarte les fesses pour qu'il puisse voir ma moule luisante de cyprine.
- Tu vois ?

- Oui, mais je t'aurais imaginée plus excitée...
- Je ne sais pas ce qu'il te faut !
Je me retourne et le vois écarquiller les yeux au moment ou un filet de ma liqueur s'échappe de ma fente. Luc n'a donc plus de doute.
- Ah oui, là, c'est indéniable.

- Tu me fais l'amour, Luc ?
- Là, sur la terrasse ? Avec Joann qui regarde ?
- Oui.
- Si ça ne te dérange pas, ma Juju, je pense que ce sera plus confortable dans le salon et Joann pourra toujours nous observer par la baie vitrée.
- OK. Je prends une douche avant, car j'empeste quand même le sperme.
Je me glisse sous la douche qui est à côté de la piscine et procède à un nettoyage rapide sous l'eau tiède.

Luc me regarde et semble heureux de me regarder me doucher :
- Tu aimes le spectacle ?
- Tu es ravissante. J'ai une chance inouïe.
- Viens donc me rejoindre.

Luc hoche la tête :
- C'est tentant, mais je préfère t'attendre dans le salon.
^ ---------oOo---------
Angela - épisode 20 : Coutumes locales
Lundi 1er août 18:08
Une fois ma douche terminée, je reste quelques minutes au bord de la piscine pour profiter du soleil de cette fin d'après-midi et me laisser sécher à ses rayons brûlants. Quand je sens que ma peau commence à chauffer, je me relève. Je cherche du regard Joann dans le parc, mais ne parviens pas à le voir. Soit il se trouve de l'autre côté, soit il est reparti. Dommage, puisqu'on avait prévu avec Luc de lui offrir un petit spectacle dont il aurait pu profiter à travers la baie vitrée.

Quand je fais coulisser la baie vitrée, Luc découvre sur mon visage ma déception :
- Eh bien ? Tu n'es plus motivée ?
- Joann est apparemment parti.
- Ah... Et l'absence de spectateur fait que tu n'as plus envie de faire l'amour ?

- Mmmm, si quand je te vois, assis, nu, tel un dieu grec, j'ai bien envie quand même.
- Tu ressembles également à Aphrodite.
- Ah oui ? Je suis ta déesse de l'amour ? Mais toi, quel dieu es-tu ?

- Ah, je ne sais pas... Zeus le Puissant, Priape le fertile ou le bel Apollon ?
- Apollon, bien sûr.
- Je suis quand même mieux doté que les représentations masculines de ces dieux. Ces statues ont toujours des sexes minuscules.

- Priape est représenté beaucoup mieux doté que tu ne l'es actuellement. Ceci dit, tu n'es pas au mieux de ta forme. Aphrodite pourrait se vexer.
- Ah oui ! Tu crois ça ?
- Bah oui. La beauté de la déesse de l'Amour devrait te motiver.

En me souriant, Luc pose une main sur sa cuisse et son index se glisse sous son membre ramolli pour en caresser les testicules. Il ne faut pas très longtemps pour la tige se gonfle et se redresse :
- Alors ? Aphrodite est rassurée sur son pouvoir ?

- Oui, mais tu as un peu aidé.
- Une très légère stimulation, mais je t'avoue que c'est bien la beauté de ton corps qui m'excite.
- En tout cas, je suis heureuse de voir que tu as un peu de contrôle sur ton sexe.

- Tu en doutais ?
- Disons que j'ai été surprise par Joann, tout à l'heure. Tu as vu ? Il a éjaculé deux fois sans que je le touche.
- Évidemment, mais lui te touchait. L'alchimie de l'excitation passe par le contact, dans un sens comme dans l'autre.

- Mmmm. Et un homme pourrait-il éjaculer sans le moindre contact ?
- Juste avec ce qu'il voit ?
- Ou ce qu'il imagine, s'il a une imagination fertile.
Je m'approche de Luc, comme pour le défier.

- Il faudrait un sacré niveau d'excitation. Cela nécessiterait un mental extraordinaire.
- Et tu n'as jamais éjaculé dans tes draps la nuit quand tu étais plus jeune, juste par des rêves érotiques ?
- Si, mais je ne sais pas lequel est la cause de l'autre... Là, ce que je sais, c'est que notre petite conversation m'excite drôlement.
Son sexe est effectivement joliment tendu, prêt à l'emploi.

- Tu penses que le plaisir d'une érection pendant le sommeil pourrait orienter le rêve vers l'érotisme ?
- Cela ne me semblerait pas incongru.
- Mais qu'est-ce qui déclencherait l'érection ?

- Un excès d'excitation durant la journée, peut-être une trop forte accumulation de sperme dans les testicules...
- Donc si je t'excite ce soir, sans te soulager, tu serais en mesure d'éjaculer durant ton sommeil ?
- Bon sang, tu serais prête à tenter l'expérience ? Gâcher tout ce bon sperme ?

- Ce serait de la simple curiosité. Et ce serait effectivement dommage.
- Alors qu'attends-tu ? Un spectateur ?
- Oh, non. Je suis bien trop pudique pour cela...

- Ce n'est pas ce que tu m'as dit tout à l'heure. Cela ne serait-il pas de la fausse pudeur ?
- Sans doute. Aphrodite a le droit de se montrer pudique. Les jeux de l'amour passent par une diversité de sentiments. Et là, la déesse souhaite se donner à un dieu sans que les humains en soient témoins.
- Alors, puisque nous sommes tranquilles, viens profiter de ton Apollon.

Je viens enjamber cette superbe promesse de plaisir en souriant :
- Aphrodite elle-même n'aurait sans doute pas résisté à un tel phallus.
Je me laisse empaler sur l'énorme pieu. Il est particulièrement gros et parfaitement raide. Une fois le gland engagé dans ma fente dégoulinante, le reste suit lentement.

Luc me guide. Cela semble lui plaire. Je le sens palpiter en moi. Pourtant, il bouge peu. Sans doute craint-il d'éjaculer trop vite.
- Mmmmmm Juliette...
Il me caresse les fesses, tandis que je commence à monter et descendre lentement sur son mandrin.

Toute l'excitation de cette journée semble se concentrer dans le plaisir de cette pénétration et j'ai l'impression, à voir l'expression de Luc, qu'il éprouve la même sensation. Je sens soudain un léger courant d'air tiède dans mon dos, suivi d'un bruit de porte. J'interromps ma chevauchée et tourne la tête vers l'entrée :
- Tu as entendu ?

Luc écoute :
- Quoi ?
- Quelqu'un est entré, non ?
- Et alors ? Si c'est Joann, c'est ce que tu voulais, non ?
Il accompagne ma chevauchée par des coups de reins pour aller plus loin en moi. Je me redresse pour me cambrer. Luc en profite pour me sucer le mamelon que je lui mets à portée de bouche.

Dans un concert de gémissements, nous reprenons notre folle cavalcade sans nous soucier de savoir si Joann nous épie ou non. Je sens à la respiration de Luc, à son rythme cardiaque, à la tension dans ses mains, qu'il n'est plus très loin de l'ultime plaisir, celui qui le fera se déverser en moi. Et je sais que je suis moi-même sur le point de non-retour. Le plaisir monte au creux de mes reins et m'envahit toute entière.

- Oooooh Luc...
Les spasmes de mon plaisir déclenchent l'éjaculation de mon homme. Il stoppe tout mouvement du bassin. Ses mains se contractent sur mes cuisses. Je le sens se tendre en moi, puis libérer un flot de semence chaude.
- Rhaaaa Juliette !
Je me redresse pour lui donner mes seins à sucer. Son sexe s'échappe du fourreau.

Sans doute a-t-il déjà tout déversé en moi.
- Oh, Luc, c'était si fort...
- Quelle chevauchée !
- Oui, tu m'en as encore mis beaucoup...
Sa semence s'écoule doucement de ma fente béante.

Une voix rieuse retentit derrière nous, pas celle de Joann :
- Joann m'avait dit qu'il y avait des abricots à venir récupérer, mais je vois, Luc, que tu as déjà fourré le plus beau d'entre eux...
C'est Lionel, apparemment plutôt fier de sa blague. Surprise, je me redresse précipitamment en cachant mes parties intimes.

- Lionel ? Excuse-nous... On ne pensait pas que...
- Oh, mais ne vous excusez pas. C'est à moi de vous présenter mes excuses pour cette entrée intempestive.
Lionel s'approche de moi pour me faire la bise. Je trouve surréaliste d'être nue entre les bras d'un homme habillé, un copain de Luc.

Il reste collé à moi, comme si nous dansions. Luc rigole :
- Ah oui, c'est possible que le rituel de la bise soit un peu court pour Lionel.
- Comment cela ?
- Eh bien, il a l'habitude de ne pas se contenter de déposer un baiser sur la joue.
- Ah oui ?

Lionel acquiesce :
- Oui, surtout si la fille est nue est qu'elle me présente d'autres surfaces à embrasser.
J'aurais imaginé un baiser passionné avec la langue, mais le garçon semble plus s'intéresser à mes seins qu'à ma bouche. Il se penche et me lèche un mamelon.

- Heu... Luc, techniquement, ton copain, il me lèche le téton, il ne l'embrasse pas vraiment.
- Ah oui, effectivement. J'imagine qu'il s'agit d'une coutume locale.
- Ah d'accord.
Je m'amuse de ce petit jeu et laisse Lionel empoigner mes seins à pleines mains pour sucer alternativement mes deux pointes déjà bien érigées.

Je demande à Luc :
- Et je vais devoir aussi lui sucer les mamelons en retour ?
- Je ne connais pas vraiment cette coutume. Je pense qu'il t'indiquera lui-même ce qu'il attendra de toi en retour.
J'imagine déjà que ça ne s'arrêtera pas à lui lécher le torse. Je dois avouer que cette coutume me plaît beaucoup, car ses caresses et ses coups de langue commencent à faire leur effet.

Mais Lionel ne semble pas vouloir se contenter de mes seins. Sa bouche descend peu à peu sur mon ventre.
- Luc ? Ton copain semble s'effondrer.
- Oui, j'imagine que cette façon de dire bonjour est un moyen de découvrir plus intimement son partenaire.
- Tu diras aussi bonjour comme ça aux demoiselles de la région ?

Luc rigole :
- Je ne suis pas contre. C'est important de respecter les coutumes locales.
Contre toute attente, Lionel se redresse. Je l'interroge :
- Ah ? Pas de petit bisou entre mes cuisses.
Lionel me sourit :
- Si, c'est un baiser qui se prépare...
Ses doigts se posent sur ma fente et débusquent mon clitoris tandis que sa bouche réinvestit un mamelon.

- Mmmmmm, cette façon de dire bonjour est originale, mais j'avoue que c'est très... agréable.
Luc s'étonne :
- Seulement "agréable" ?
Je veux lui répondre pour lui dire que je veux réserver un vocabulaire plus intense à la suite de la cérémonie, mais Lionel s'écarte pour retirer son tee-shirt, me révélant son corps d'athlète, puis il s'accroupit devant moi et sa langue vient remplacer ses doigts.

Luc commente :
- Ses lèvres contre les tiennes...
Je complète :
- Et surtout sa langue contre mon clito...
Lionel se relève et passe derrière moi, me caressant au passage. Sa bouche vient se lover dans mon cou.

Tout en faisant glisser ses mains douces sur mon corps, il me contourne et approche son visage du mien :
- Juliette, j'aimerais aussi goûter à ces lèvres-là, mais ça ne fait pas partie de la coutume locale.
- Ah ? Je ne sais pas trop. Il faudrait demander à Luc ce qu'il en pense.

Je tourne la tête vers mon copain, pour me rendre compte qu'il a enfilé un jeans. Serait-il pudique face à son copain ? Ou bien est-ce pour me dissimuler son érection et me laisser me concentrer sur Lionel ? Luc nous rejoint.
- Ma Juju, s'il a déjà goûté à tes lèvres intimes, il peut légitimement goûter à celles de ta bouche.
Pendant que nous dissertons, Lionel s'amuse avec un de mes mamelons et le malmène gentiment, m'arrachant un petit gémissement de plaisir.

Sans trop de surprise, quand ma main se pose sur l'entrejambe de notre propriétaire, je sens une franche érection. Je dis à Luc :
- Mais ma bouche n'est qu'à toi, non ?
- Ta bouche ne peut pas être réservée qu'à moi. Elle est magique. Tous ceux que tu apprécies peuvent en profiter.
- Oui... comme le reste de mon corps ?
- Exactement, ma Juju.

Luc retourne s'asseoir. Je me tourne vers Lionel :
- Je crois que nous pouvons dépasser ta coutume locale...
Il pose sa main sur ma nuque et m'attire tendrement à lui jusqu'à ce que nos bouches se joignent.

Nos langues se cherchent et se trouvent. Il a les yeux fermés. Je ferme les miens, goûtant à cet instant magique. Quand la baiser s'interrompt, Lionel se penche pour couvrir mon buste de baisers tandis que sa main caresse doucement mon entrejambe. Luc s'amuse :
- Je crois qu'il reprend la coutume locale. Lionel, il faut que tu expliques la suite à Juliette.
Même si je me doute que nous n'allons effectivement pas en rester là, je le laisse dire, préférant me concentrer sur les attentions de Lionel.

Lionel se redresse et sourit à Luc :
- Tu connais la suite de la coutume locale ?
- Disons que je l'imagine assez bien. Déjà il me semble que tu dois te mettre dans la même tenue que la demoiselle.
- Héhé, bien sûr.
Je regarde avec intérêt Lionel déboutonner son jeans.

Il en surgit une belle érection, telle un diable sortant de sa boîte trop étroite.
- Mon pauvre Lionel, cette coutume t'a mis dans un état où il est effectivement préférable que ton membre soit libéré.
- Oui, c'est une coutume compliquée à gérer.

- Et ça doit l'être encore plus quand il y a plein de jeunes filles à honorer, car cette cérémonie d'accueil me semble bien longue...
Les garçons rigolent, mais Lionel précise :
- Cette coutume ne s'applique que lors d'une rencontre avec une seule demoiselle.
- Oh, je suis donc particulièrement chanceuse.

Luc ajoute :
- Et tu ne sais pas jusqu'à quel point !
- Ah oui ? Devrais-je maintenant saisir ce mât et le palucher comme pour une poignée de main, ou bien le couvrir de baisers ?
Lionel sourit :
- La coutume veut que tu choisisses, mais certaines lient les deux pratiques...
Son sexe en érection est si attirant, je pense effectivement me laisser tenter par les deux propositions.

Je m'accroupis devant Lionel et je saisis son membre d'une main presque timide. Luc réagit :
- Allons, ma chérie, ça ne va pas te manger. C'est d'ailleurs à toi de le gloutonner.
- Gloutonner ?
Amusée par le terme choisi, je me penche et lèche le gland de Lionel.

Luc a finalement retiré son jeans et il exhibe une érection phénoménale. Le coquin apprécie de me voir sucer son copain. Sans doute que cela lui rappelle l'époque où ils étaient avec Angela. Cette salope devait s'amuser à en faire patienter un pendant qu'elle s'occupait de l'autre et à alterner, les gardant dans un état d'excitation permanent. Et moi, en découvrant ces deux sexes qui se dressent, seulement pour moi, je me sens aussi salope qu'Angela.

Dans un état second, comme gargarisée par ces deux sexes magnifiques, je prends l'initiative de caresser les testicules de Lionel. Luc me dit :
- Oui, tu as raison, il adore ça. Et surtout de se les faire sucer.
Comme je ne pense pas que Luc ait jamais sucé les couilles de son pote, j'imagine que c'est Angela qui le faisait. Ma bouche abandonne alors le gland pour venir lécher les bourses de mon partenaire.

Lionel pousse un profond soupir de satisfaction, puis il tourne la tête vers Luc :
- Waouh... Elle gloutonne délicieusement bien...
- Ah, non. Là, elle ne gloutonne pas encore vraiment.
Je souris aux commentaires des garçons, qui sous prétexte de blagues, m'encouragent à aller plus loin. Je fais remonter ma langue le long du membre turgescent jusqu'au gland.

Je m'attarde un peu à sa base, car j'ai repéré que c'est une zone particulièrement sensible pour Luc et il n'y a pas de raison que ce soit différent pour d'autres garçons. Lionel demande :
- Mmmmmm... C'est donc ça gloutonner ?
- Toujours pas. Elle prépare juste le terrain...
Quel vicieux ! Je me vois donc dans l'obligation de prendre la tige frémissante entre mes lèvres, mais je garde ma langue sous le gland pour continuer à le cajoler.

Lionel gémit de plaisir :
- Hannn... Je crois que là elle y est...
- Oui, elle y est presque.
Ok, donc Luc ne veut pas seulement que je le lèche, mais que je lui pompe carrément le dard. Lionel semble vouloir m'y encourager aussi : il passe une main sur ma nuque et rassemble mes cheveux pour les empoigner afin d'accompagner mes pompages.

Lionel est aux anges :
- Mmmm, quelle gloutonne tu fais !
Sur le côté, j'entends un râle de la part de Luc. J'ai juste le temps de tourner un peu la tête pour me rendre compte qu'il est en train d'éjaculer. Le salaud ! Sans que je le touche !

Lionel se moque de lui :
- Haha, petit joueur Luc ! C'est moi que ta copine gloutonne et c'est toi qui jouis en premier ?
Pas très cool de la part de Lionel de le mettre en concurrence. J'aurais imaginé qu'ils avaient dépassé ça depuis... Angela. Je repousse Lionel sur le canapé et je m'agenouille à côté de lui pour continuer à lui tailler une pipe que j'espère inoubliable.

- Haaann, Juliette, laisse-moi venir dans ta bouche.
J'abandonne ma friandise et me redresse en souriant :
- Tu n'aurais pas dû te moquer de mon copain...
Le sentant sur le point d'éjaculer, je la masturbe doucement. Malgré sa déception, il n'est plus en état ni de réagir, ni d'exiger quoi que ce soit. Le sperme se met à jaillir.

À mon tour, je me moque :
- Oh, tu n'as pas su retenir ta liqueur...
- Haaaaan, diablesse !
J'empoigne fermement son manche encore tremblant et je l'astique pour que ça gicle le plus possible, envoyant des gouttes de sperme sur ses cuisses et son ventre.

Mais comme je ne suis pas si méchante que ça, dès que l'effusion s'éteint, je me penche sur Lionel et lui lèche consciencieusement chaque perle et flaque de semence qui jonche son aine. Luc semble s'en amuser :
- Waouh, je te savais gloutonne, mais pas à ce point...
- Pour me rattraper de ne pas l'avoir laissé éjaculer dans ma bouche.
Et le reste étant assez propre, je m'attaque à nettoyer méticuleusement de ma langue sa hampe encore raide, pour achever mon périple par un nettoyage fin de son gland, prisonnier de mes lèvres.

Luc me sourit :
- Et moi ?
- Toi ? J'ai l'impression que tu préfères l'observation à l'action.
- Du coup, je veux bien te voir lécher aussi mon sperme.

- Merci. J'ai eu mon compte de crème avec ton copain.
- C'est gâché.
- Demande à Lionel s'il peut le faire.

Les garçons rigolent, mais je vois qu'ils se forcent un peu : l'idée-même semble les déranger un peu, ce qui m'amuse beaucoup, surtout en sachant tout ce qu'ils ont pu partager quand ils étaient avec Angela. Je monte à la salle de bain, les laissant tous les deux à poil dans le salon.
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Angela - épisode 21 : Ablutions
Lundi 1er août 18:51
En rentrant dans la salle de bain, j'ai un sentiment étrange. Qu'est-ce que je suis en train de faire ? On était venu en vacances avec Luc passer une semaine en amoureux et voilà que je devenais accro au sexe avec ce besoin irrépressible de jouir et de faire jouir. Cela fait seulement trois jours que nous sommes ici et j'ai presque envie de donner raison à Joann et Lionel quand ils parlent de l'effet magique du lieu. Moi qui ne suis pourtant pas mystique, j'y croirais presque.

Je suis dans la douche. J'ouvre le robinet. L'eau est déjà tiède et contraste avec un léger courant d'air. Je me rends compte que j'ai laissé la porte de la salle de bain ouverte. Je m'apprête à couper l'eau pour aller la fermer, mais je me dis finalement que c'est sans doute un acte manqué : pourquoi les garçons ne viendraient-ils pas eux aussi prendre une douche. Je guette leur arrivée par la porte, mais il leur faut peut-être un peu de temps pour se remettre de leurs éjaculations.

Tant pis, je prends le pommeau de douche et m'asperge le corps et les cheveux. J'ai toujours trouvé excitant de sentir l'eau couler sur ma peau, que ce soit sous la douche à la maison ou en collectivité au sport. D'ailleurs, quand je me douchais en maillot à la piscine, j'en tirai une certaine frustration. Je me pose la question s'il existe des piscines naturistes en dehors des campings dédiés à cette pratique.

Je m'imagine dans une piscine publique avec Luc et Lionel. On s'amuserait à se tripoter sous l'eau sans que les gens le sachent. Je me moquerais de l'érection des garçons, visible dans leur maillot, quand on sortirait de l'eau pour passer aux douches. Ils viendraient m'entourer sous le jet d'eau, tout contre moi, me cachant aux autres, et ils me retireraient discrètement mon bikini pour me tripoter jusqu'à me faire jouir. Il faut que j'en parle à Luc. Je suis certaine que cette idée va lui plaire.

Déjà, j'espère qu'ils vont monter et venir jeter un œil. La douche est grande et on pourrait certainement y tenir à trois. Et ce n'est pas parce qu'il y a de la place que ça les empêcherait de se serrer contre moi. Là, je me verrais bien entre Luc et Lionel. Mmmmm. Oui, mais lequel devant ? Lequel derrière ? Qu'est-ce que préférerait Luc ? Il est étonnant que je me pose cette question alors qu'il m'a semblé évident que Luc préfère regarder que de participer.

Je ferme les yeux et me passe le jet sur le visage et sur les cheveux. Je sens pourtant une présence. Sont-ils montés tous les deux ? J'ai tendance à croire qu'il s'agit de Lionel, car si Luc était présent, il n'aurait pas manqué de m'indiquer sa présence par un joli compliment. Le nouvel arrivant garde donc le silence pour se rincer l'œil en toute impunité et je vais faire en sorte de garder les yeux fermés pour qu'il puisse me regarder autant que cela lui plaira.

Je me mets face à la porte, yeux fermés, jambes écartées. Je m'arrose la poitrine et me caresse le ventre et les cuisses. Même si j'en ai très envie, je me retiens de me caresser. C'est trop tôt. Je dois me doucher sensuellement, mais normalement. Son excitation sera d'autant plus grande qu'il aura patienté pour un spectacle de plus en plus chaud. J'ai très envie d'ouvrir les yeux, mais je dois impérativement lui laisser croire que je pense être seule.

Il doit voir que mes mamelons s'érigent. Quand je faisais du tennis et que je passais aux douches collectives avec les autres filles, mes tétons qui pointaient étaient déjà une gêne et je tournais le dos aux filles pour qu'elles ne les voient pas. Pourquoi donc avais-je honte à me trouver bien sous la douche et à en éprouver de l'excitation ? J'avais peur aussi qu'on puisse penser que ce soit la présence d'autres filles nues qui m'excite et qu'on pense que je sois lesbienne. Je dirige le jet vers mon ventre, puis entre mes cuisses.

C'est un délice. J'imagine que mon voyeur bande. J'aimerais savoir s'il s'est rhabillé ou s'il est toujours nu, mais je me discipline et fais en sorte de garder les yeux fermés. Il est temps de changer de point de vue. Je lui tourne le dos et me place face au mur, cuisses légèrement écartées. Que voit-il ? Certes, mes fesses, mais voit-il aussi mon coquillage ?

Je passe le jet dans mes cheveux et laisse les longues mèches couvrir mon visage. Je vais tenter d'identifier mon voyeur en dissimulant mon regard derrière mes cheveux. J'ai l'idée de détourner son attention : je me cambre et, dirigeant le jet sur ma croupe, j'écarte une fesse de ma main libre, exhibant franchement ma moule et sans doute mon petit trou. Je profite qu'il a, j'imagine, l'attention entièrement captée sur mon séant pour tourner la tête et l'observer discrètement.

Bingo ! Il s'agit bien de Lionel et ce qu'il voit semble bien lui plaire. Il ne s'est pas rhabillé et, nu comme un ver, il exhibe une érection qui me rassure sur la qualité du spectacle que je lui offre. Je n'ai donc pas fait tout ça pour rien. Il ne se masturbe pourtant pas. Jusqu'où je dois aller pour qu'il en vienne à accepter de se branler en me regardant. Je raccroche le pommeau de douche et garde encore la position quelques secondes.

Puis je me retourne lentement, laissant l'eau couler sur moi au fur et à mesure. Il s'est bien rincé l'œil sur ma croupe, il peut maintenant revenir à mes seins. Tous les hommes aiment les seins. Les fesses aussi, certainement, mais ils ont un rapport aux seins particulier : je crois qu'un mec face à une jolie paire de seins perd la moitié de ses capacités intellectuelles. Je présente donc lentement ma poitrine à mon voyeur.

Comment fait-il pour ne pas se manifester, rester silencieux ? Luc m'aurait déjà rejoint et j'aurais probablement sa queue entre les fesses. Lionel serait-il timide ? Ou bien il prendrait le temps de jauger la marchandise avant d'en profiter ? Ceci dit, je ne peux pas le comparer à Luc. Luc est mon copain, ce qui lui donne quelques droits, ou du moins quelques libertés, de jouir de mon corps. Lionel n'a pas cette liberté. Il lui faut mon accord explicite et peut-être aussi celui de Luc.

Et mon accord, il ne pourra l'avoir que lorsque nos regards se seront croisés. Deux options alors : je m'amuse de sa présence et il sait que j'accepte implicitement que nous prenions un peu de bon temps ensemble ; je m'offusque de sa présence et il devra alors quitter la salle de bain. Sans doute me connaît-il maintenant assez pour savoir quelle sera ma réaction. Alors pourquoi attend-il ? Je commence à me caresser l'entrejambe, espérant ainsi le faire réagir.

J'ai les yeux toujours fermés, comme si j'étais concentrée sur mon plaisir, mais je suis en réalité attentive aux bruits : un souffle, un mouvement dans l'air, le craquement d'un meuble bousculé ? Rien. Je ne suis pas aussi désirable que je l'espère ? À moins que ce salaud joue avec moi. Luc est bien capable de faire ça aussi. Ils ont peut-être été à la même école ? Angela... Je décide d'en finir. J'ouvre les yeux. Lionel me sourit. Il bande, mais ses mains se tiennent loin de son érection.

Je joue bien sûr la scène de la fausse pudeur en cachant ma poitrine, ce qui lui laisse l'opportunité d'admirer mon sexe :
- Lionel ? Qu'est-ce que tu fais là ?
- Je dois partir, mais je voulais prendre une douche avant. J'attendais que tu aies terminé.
- Je n'ai pas tout à fait fini...

- Je peux patienter un peu. J'ai de quoi m'occuper.
Son sourire carnassier est explicite : s'occuper en me regardant me doucher.
- Mais la douche est grande, tu peux commencer pendant que je termine.
- Je ne veux pas te déranger.
Gros malin. Je sais qu'il s'agit d'une formule de politesse et que tu es ravi de me déranger. Je continue à jouer le jeu :
- Et je pourrais te frotter le dos, si tu es pressé.

- Pas sûr que ça me fasse réellement gagner du temps, mais d'accord. Ce n'est pas de refus.
Je rêve : il se fait prier. Quel manipulateur ! Il me rejoint sous la douche et se place sous le jet. Je commence à lui savonner le dos, mais très vite il se retourne, le sexe tendu vers moi. Je résiste à la tentation et continue en lui frottant le torse. Lionel a une poitrine et des pectoraux un peu plus musclés que ceux de Luc. Quel plaisir de faire courir mes doigts dessus.

- Juliette, tu sais t'occuper de tes invités...
- C'est un peu curieux, non ? Tu es mon invité, mais je suis chez toi ?
- En réalité chez mes parents et vous avez signé un contrat de location donc vous êtes chez vous pour la semaine.
- Ok.
À force, mes mains descendent sur son ventre, mon bras effleure parfois son gland, faisant frémir Lionel.

Il passe sa main dans mon dos :
- Je peux aussi te frotter. Échange de bons procédés.
- D'accord.
Je me retourne et cale son érection entre mes fesses. La voix de Luc se fait entendre :
- Je vois que vous vous êtes arrangés.
- Oui, Juliette m'a gentiment proposé de me doucher avec elle pour gagner du temps.

- Gagner du temps ? J'en doute. Mais ça t'évite au moins d'attendre.
Je m'offusque :
- Ah oui ? Ne pas avoir à attendre est le seul avantage dans cette affaire ?
- Oh non, répond Lionel, il y en a bien d'autres...
Ses mains empoignent mes seins et les caresses. J'observe la réaction de Luc.

Il semble très excité et son sexe est déjà gonflé et tendu.
- Dis donc, ton copain ne serait pas en train de me peloter ?
- Ah non, Juju. Je crois qu'il t'aide seulement à te doucher. C'est parfaitement innocent. Que vas-tu imaginer ?
- Pardon, j'ai les idées mal placées et j'ai mal interprété son geste.
Les garçons rigolent.

Je sens l'érection de Lionel entre mes fesses. Je m'amuse à me frotter contre son membre tendu.
- D'ailleurs, il n'y a pas que mes idées qui soient mal placées.
- Au contraire, Juliette, je trouve que c'est assez bien placé.
Je me retourne :
- Ah oui ? Il n'y a pas de meilleure place ?

Luc me rappelle à l'ordre en rigolant :
- Attention Juju, je crois que tu as encore les idées mal placées.
- Oui, tu as raison. Contentons-nous de nous aider mutuellement à nous doucher.
Je saisis le sexe de Lionel et commence à le masturber tout en regardant Luc.

- Il faut que ton copain soit bien propre avant de repartir.
- Pour ça, je te fais confiance, Juju.
- Et tu ne veux pas venir nous aider, toi aussi ?
- Oh, non. Je vais attendre mon tour.
Le salaud ! Plutôt que de venir participer, il préfère jouer le voyeur et se masturbe en nous regardant.

Bon, je dois avouer ne pas être plus surprise que ça. Tant pis pour lui. Sa réaction est aussi l'acceptation que je puisse m'amuser avec Lionel. Et vu comment il bande, je ne vais pas me priver :
- J'espère que ça ne te dérange pas si je m'occupe de savonner essentiellement cette partie de ton corps.
- Pas du tout. Pour ma part, je vais me concentrer surtout sur tes seins.
- Oui, il faut bien les savonner.

- Mais toi, fais attention, Juliette. À force de savonner ma queue, je n'exclus pas une irruption de plaisir.
- Je ne l'exclus pas non plus...
Je crois que je ne lui savonne plus vraiment sa tige. On peut dire qu'il s'agit d'une masturbation en bonne et due forme.

- Est-ce qu'il s'agit toujours d'un savonnage ?
- Je dois dire que je pense être passée à autre chose.
- Ah oui ? Quoi exactement ?
- Je pense qu'on appelle cela une branlette... Mais je peux reprendre le savonnage d'autres parties si tu veux...
Je remonte à la base de sa queue et malaxe ses testicules.

- Mmmmm, Juliette. Luc a beaucoup de chance.
- Tu en as aussi. Je crois n'avoir pas encore eu l'occasion de lui masser les couilles comme je te le fais.
- Je ne parlais pas spécifiquement de ça. Tu es une fille exceptionnelle.
Alors que je m'occupe à deux mains de sa queue et qu'il me pelote, la question qui me vient est "Aussi exceptionnelle qu'Angela ?"

Luc répond à la remarque de son copain :
- Oui, je sais la chance que j'ai...
Lionel se tend soudain et, haletant, me dit :
- Je crois que tu vas m'avoir...
L'instant d'après, je vois une puissante giclée de sperme jaillir et s'écraser sur la paroi de la douche. Puis une seconde et une troisième. Je poursuis mon astiquage, fascinée de l'avoir fait éjaculer aussi facilement.

Luc rigole :
- Héhé... Lionel prend conscience de ton pouvoir, ma Juju.
- Mon pouvoir ?
- Oui, personne ne peut te résister.
Lionel perd déjà en vigueur, mais je continue à le masturber. Il se tourne. Je me plaque dans son dos, sans lâcher ma précieuse prise.

Tout en continuant ma manipulation, je dis à Luc :
- Il ne faut pas exagérer, Luc. Tu en parles comme si je vampirisais tous les mecs qui passent à ma portée. Pour le moment, c'est juste toi et un peu Lionel.
- Et Joann...
Lionel réagit :
- Joann ?
- Oui... Je lui ai demandé de me passer de la crème solaire cet après-midi et il a éjaculé sur moi...
- Ah oui ?
Je sens la queue de Lionel réagir à nouveau à ma masturbation;

Luc semble vouloir faire l'énumération de mes partenaires de ces derniers jours :
- Et aussi Bernard, ce matin...
Lionel réagit encore plus vivement qu'avec Joann :
- Bernard ???
- Heu, oui... Il s'est branlé en nous regardant faire l'amour sur la plage. Et ensuite, il m'a prise en levrette, mais c'était un quiproquo...

- Un quiproquo ?
Luc intervient :
- Oui, elle était en train de me sucer et elle pensait qu'il s'agissait de quelqu'un d'autre...
Je le coupe avant qu'il n'en dise davantage. Inutile que Lionel sache que j'ai laissé Bernard me baiser parce que je pensais qu'il s'agissait de Lionel...
- Bref, je ne savais pas que c'était Bernard...
- Mais il était ravi.

Lionel rigole :
- Qui ne l'aurait pas été !
Alors que Lionel a retrouvé une belle vigueur entre mes doigts, je l'abandonne et je m'accroupis derrière lui pour lui savonner les cuisses et les fesses. Il n'y a pas que les quéquettes dans la vie et les jolies fesses de Lionel me font très envie.

Quand je glisse ma main entre ses cuisses pour atteindre ses fesses, mes doigts effleurent ses testicules. Il frémit de plaisir. Je ne résiste pas à l'envie de saisir à nouveau sa queue et à l'astiquer.
- Déjà prêt pour reprendre du service ?

- Quand tu me stimules comme ça, je ne suis pas près de débander...
- Oh, je m'occupe juste de te laver la bite puisqu'elle était pleine de sperme.
- Ah oui, merci. J'ai sur-interprété tes intentions, Juliette.
- Je t'avoue que je ne m'en lasse pas...

- Méfie-toi...
- Tu pourrais exploser à nouveau ? Déjà ?
Luc rigole :
- J'ai vu Lionel éjaculer trois fois en moins de dix minutes.
Je ne demande pas dans quel cadre et avec qui. Je connais la réponse. En attendant, c'est moi qui le tiens en mon pouvoir.

Lionel m'oblige à lâcher prise et se retourne :
- Juliette, excuse-moi, mais je ne tiens pas à éjaculer une seconde fois sur la vitre...
- Je comprends.
Je saisis sa splendide érection et je reprends : une main pour les couilles, une pour la tige.

Dans cette position, agenouillée devant lui, s'il gicle, je vais tout prendre en pleine poire et cela semble mieux convenir à Lionel que de jouir sur la vitre, apparemment. Sa queue est à nouveau tendue à l'extrême, magnifique. Son gland semble m'appeler tel un fruit gourmand. Je ne résiste pas à le gober et à le sucer. C'est dingue que je n'aie pas pratiqué la fellation avant nos vacances ici et qu'en deux jours je sois devenue accro.

- Han... Luc, ta Juliette suce divinement bien.
- Oui... et j'ai découvert ça seulement ici !
- Je vous l'avais dit... Hannnn... Cette villa a un pouvoir magique sur ses occupants... Ohhhh...
Son sexe en bouche, je fais tourner ma langue autour de son gland.

Luc me regarde avec attention :
- Attention, Juju, Lionel ne prévient pas toujours quand il vient...
J'abandonne quelques secondes ma fellation pour lui demander :
- Et il n'a pas droit de jouir dans ma bouche ?

Luc sourit :
- Oh si ! Si tu es d'accord bien sûr...
- Je crois que c'est ma bouche qui le suce, donc je gère.
Mais, alors que je voulais le reprendre entre mes lèvres, Lionel se met à éjaculer et badigeonne tout le bas de mon visage de plusieurs giclées de sperme épais.

Luc rigole :
- Tu vois, je te l'avais dit... Héhé...
- tu le connais bien, ton pote.
- Tu n'as pas idée.
- Oh si, j'ai bien une idée de ce que vous avez fait ensemble.
Luc se masturbe et fait un clin d'oeil de toute évidence adressé à Lionel.

Bien sûr que c'est avec Angela. Mais je ne veux pas prononcer son nom, de peur que cela crée un malaise. Consciente de l'importante quantité de semence qui goutte de mon menton sur mes seins, je dis à Luc :
- En tout cas, Lionel avait de la ressource...

- Pourquoi "avait" ? demande Luc. Lionel n'a pas encore dit son dernier mot.
Je regarde Lionel, interrogative. Il me sourit stupidement, l'air de dire qu'il peut encore éjaculer une troisième fois...
- Merci, mais je crois que j'ai eu mon compte. J'en ai plein le menton et les seins, même un peu dans la bouche.

- Je vais arranger cela.
- Merci, je vais me débrouiller.
- Non, j'insiste, c'est mon sperme après tout.
- Et ce sont mes seins.
- Ce qui fait un deuxième argument en ma faveur.
Collé derrière moi, Lionel entreprend de ma savonner les seins.

- Mmmm... Je croyais que tu étais pressé, Lionel...
- J'ai revu mes priorités...
Et là, ce sont mes seins qui semblent avoir gagné.

Je sens son sexe se durcir à nouveau contre mes fesses :
- Tu... tu reprends déjà du service ?
- Tu y contribues grandement...
Je passe ma main derrière pour saisir sa queue.

- C'est dingue...
- C'est toi qui nous rends dingue, ma belle !
Il malaxe mes seins avec ardeur et je lui rends la politesse sur son membre dressé dans mon dos.

Puis il plie les genoux. Je pense qu'il va me pénétrer, mais non : il cale sa queue entre mes fesses et y coulisse doucement. Je joue le jeu en me cambrant pour accentuer la pression, mais il me redresse d'un bras viril tandis que son autre main glisse entre mes cuisses et caresse ma moule. Un délice, surtout quand son majeur s'invite dans ma fente bien savonnée.

J'étais si excitée et je ne m'y attendais pas. Un orgasme me gagne et tétanise mes jambes. Je jouis fort. Les doigts de Lionel continuent de jouer avec mon sexe, s'amusant avec mon clitoris tendu pour prolonger autant que possible mon plaisir. Quand je rouvre les yeux, je vois Luc me sourire :
- Tout va bien, ma chérie ?
- ... Très bien...
Il bande magnifiquement. J'ai presque envie de sortir de la douche pour aller le sucer lui aussi.

Lionel est maintenant à côté de moi, sa main est toujours entre mes cuisses à s'occuper de ma moule.
- Merci Lionel... Tu peux arrêter, je crois que c'est fini.
- Et moi je crois que non.
Sa main se glisse entre mes cuisses.

- Quoi ???
Il me plaque le dos contre le mur de la douche :
- J'ai joui deux fois. Tu y as le droit aussi.
- Mais je n'ai pas tes facultés de récupération...
- Laisse-moi en juger.
Il commence à explorer ma fente.

En fait, à chaque fois que ses doigts viennent taquiner mon clitoris, de petites décharges se déclenchent. Cela est épuisant, mais délicieux. Je regarde Luc. Il semble attendre ma réponse et j'imagine qu'il vaut que je tente l'expérience.
- OK... Essayons...
Je laisse donc Lionel faire son expérimentation et accepte avec plaisir d'être son cobaye.

Mais les lèvres de mon sexe sont trop sensibles et les attouchements de Lionel sont presque douloureux malgré le plaisir qu'ils me procurent.
- Je... Je suis désolée... C'est délicieux, mais c'est encore trop sensible...
- OK, il y a une autre méthode.
Il me fait me retourner et me frotte le dos.

- Tu me douches ?
- Non, je te prépare pour la suite...
- La suite de ton expérience ?
Il ne répond pas. Il prend le pommeau de douche et s'agenouille pour diriger celui-ci sur mes fesses. Il les écarte. Je sens avec délice les petites gouttes venir fouetter ma vulve.

J'écarte les cuisses et le cambre pour mieux accueillir cette caresse. Lionel me demande :
- C'est mieux ? Moins sensible ?
- Oui... c'est doux...
- Oui, je vois tes lèvres se gonfler à nouveau.

- Tu vas me faire jouir comme ça ?
- Non. Il ne s'agit que de la préparation.
Il accroche le pommeau sur son support mural et m'écarte les fesses. Je sens un doigt glisser doucement sur ma fente et s'immiscer entre mes lèvres pour atteindre l'entrée de mon vagin.

- Mmmmmmm...
- Tu aimes apparemment.
- Ouiii... Hhhhhhhh...
Ce salaud a compris qu'il doit laisser tranquille mon clitoris, mais il me connaît d'autres zones érogènes.

Il se redresse et me prend à la taille. Va-t-il me pénétrer ? Je sens son sexe contre mes fesses. Il ne semble pas être dans le bon axe. Il se penche sur moi :
- Tu es prête ?
- Prête à quoi ?
- C'est une surprise...
- Alors, je suis prête pour la surprise.

Lionel s'adresse à Luc :
- Je peux ?
- Ah, ce n'est pas à moi qu'il faut demander et j'ai l'impression que Juju t'a donné son accord.
Mon pauvre Luc bande comme un taureau à l'idée que son copain me prenne en levrette juste sous ses yeux.

Lionel se décolle de moi :
- Allons-y...
Il saisit son sexe et en fait doucement glisser le gland sur mes lèvres, remontant jusqu'à l'anus, puis reproduisant le circuit en sens inverse. Hésiterait-il ?

Mais, alors que son gland est contre ma petite rosette, je le sens marquer une pression. C'est donc ça la surprise. Il est gros, mais je veux le sentir en moi. Comme il semble peiner à me pénétrer, j'écarte les cuisses et me cambre franchement. Le gland passe. Le reste suit. C'est un moment d'extase.

Lentement, il se met à coulisser. En me saisissant les seins, il me fait me redresser et me chuchote à l'oreille :
- Maintenant, tu peux resserrer les jambes.
- Mais je vais te coincer...
- Ne t'inquiète pas pour moi.
Je resserre donc les cuisses.

C'est incroyable. Il continue à venir en moi. Le chemin est fait et c'est effectivement encore meilleur quand je resserre, sans doute pour lui aussi. L'orgasme monte. Il me gagne. Il m'envahit. Je défaillis. Le souffle coupé, je m'entends geindre de plaisir. Lionel continue à me pistonner sans relâche, sans pitié.

Je suis encore à subir les secousses de mon second orgasme que je le sens s'immobiliser en moi, une main crispée sur la hanche, l'autre sur ma cuisse.
- Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaa...
Son râle de plaisir s'accompagne de puissantes giclées de sperme qui envahissent mes entrailles.

Il se déverse sans retenue. Comment ses couilles peuvent-elles contenir autant de sperme ? Je reprends mon souffle :
- J'en suis à deux, mais du coup tu en es à trois. Tu as toujours un coup d'avance...
- Désolé... C'était trop bon.
Il reprend le pommeau de douche et me couvre les épaules et le dos du jet d'eau tiède. Il m'embrasse dans le cou.

- Merci Lionel. C'était effectivement une belle surprise.
- Je ne t'ai pas fait mal ?
- Un tout petit peu au début, mais très vite c'était l'extase.
Je sens sa semence qui s'écoule de mon anus, mais Lionel dirige le jet d'eau entre mes cuisses et me nettoie doucement les fesses.
- Ce n'était pas ta première fois au moins ?
- Non...

Luc se rappelle à nos souvenirs en rigolant. Il complète ma réponse :
- Non, elle a expérimenté sa première sodomie hier soir.
Lionel sourit :
- Vous voyez ? Elle est magique cette villa.
Je sors de la douche et interpelle Luc qui bande toujours comme un étalon en rut :
- Et toi ? Tu ne voulais pas nous rejoindre ?

- Non, je voulais voir comment Lionel s'occuperait de toi et comment tu réagirais.
- Et alors ? J'ai bien réagi selon toi ?
- Tu as été parfaite.
- Et toi ça ne te fait rien que ton pote me sodomise sous tes yeux ?
- Moi, j'adore te voir jouir. Autant que de te faire jouir.
- Oui, mais tu peux jouir et me faire jouir en même temps, non ?
Luc me tend une serviette.

- Oui, mais je profiterai moins du spectacle de ton corps qui vibre de plaisir.
- J'avais l'impression de subir plus que des vibrations...
- Tu as raison, dans ton cas, cela s'apparente plus à un séisme.
- Et cela a déclenché un raz-de-marée, si j'en crois tout ce que Lionel m'a mis...

Les garçons rigolent. Lionel sort à son tour de la douche et attrape une serviette.
- Juliette, je suis hyper en retard à cause de toi.
- Tu plaisantes ?!
- Évidemment ! C'était génial.
Je constate qu'il bande encore, même après trois éjaculations.

- Tu es atteint de priapisme, comme Luc ?
- De quoi ?
- Priapisme : une érection permanente.
- Haha, non. Mais si Luc et moi sommes atteints, c'est, je crois, que tu en es la source, ma belle.
Je ne peux m'empêcher d'admirer ses fesses musclées pendant qu'il étend sa serviette sur le support.

Lionel quitte la salle de bain. J'attends qu'il soit sorti pour demander à Luc :
- Tu crois qu'il pense que je suis une salope ?
- Quoi ? Mais bien sûr que non !
- Mais tu te rends compte de tout ce qu'on vient de faire.

- Ah oui. Je m'en suis bien rendu compte.
- Quand vous faisiez ce genre de choses avec... Angela, c'était pareil ? Tu regardais ?
- Holala, attention. Ne mélange pas tout. Tu n'es pas Angela. Et ce que je vis avec toi n'a rien à voir de ce que nous avons vécu Lionel et moi avec Angela.
Un peu déstabilisée par se réponse franche, je demande :
- C'était mieux ?...

- Quoi ?! Mais bien sûr que non ! Il ne faut pas que tu te compares avec Angela. Tu es très différente et je suis beaucoup plus amoureux de toi que je ne l'étais d'Angela.
- Mais tu sembles y penser avec beaucoup de nostalgie.
- Je ne vais pas te cacher que j'ai découvert beaucoup de ma sexualité avec elle. Mais j'ai le sentiment que ce que nous vivons ensemble est beaucoup plus fort. D'ailleurs, comme tu peux le voir et comme te l'a dit Lionel, tu es responsable de mon priapisme.
Soulagée par ses paroles, je m'agenouille devant lui avec un grand sourire :
- Aphrodite va s'occuper de Priape pour le remercier de sa patience.

Il ne me repousse pas. Je prends donc son gland en bouche et me mets à le lécher, mais mes questions semblent en avoir suscité d'autres dans l'esprit de Luc :
- J'espère que tu n'es pas jalouse d'Angela à cause de ce qu'on t'a raconté sur notre ménage à trois...
Je relève la tête :
- Je t'avoue que j'ai beaucoup tergiversé, surtout depuis l'arrivée de Lionel.
Je gobe son gland pour le sucer.

Ma langue danse un ballet endiablé autour de son gland qu'il semble apprécier.
- Mmmmm... Juju, tu es une déesse... Haaaaan...
Je le sens déjà se tendre. Ceci dit, il nous a regardés jouir plusieurs fois et a montré une plutôt belle résistance. Rien d'anormal finalement à ce qu'il se laisse aller entre les lèvres de sa déesse.

- Rhaaaannn...
Je reçois une première giclée au fond de la gorge, mais je me dis que si je le garde en bouche, cela va faire de trop. Je le sors donc et le laisse continuer à éjaculer en me badigeonnant le visage de ses jets successifs de sperme épais. Quand enfin la fontaine semble se tarir, je lui demande :
- Mon Apollon va-t-il débander, maintenant ?

- Oui, là je crois que j'ai eu mon compte... Je suis exténué. J'ai surtout besoin de dormir.
- Moi aussi.
- Dis-moi, ma Juju, ça ne te répugne pas tout ce sperme sur le visage ?
- Ma foi, non. Pourquoi ?

- Juste pour être sûr que tu ne fasses pas ça pour me faire plaisir.
- Je le fais pour moi et pour toi, bien sûr.
- Je veux dire : j'espère que cette histoire avec Angela ne te met pas dans une situation de concurrence ou de jalousie.
Je lui mens :
- Bien sûr que non. C'est la magie de la villa, je te rappelle.

- Oui. C'est quand même effectivement étrange ce lieu...
- Je ne crois pas. Il s'agit d'un concours de circonstances. Le lieu incite à être à poil et ça fait naître des idées.
- Tu crois ?
- Oui. Pour ma part, je n'ai jamais autant pensé au sexe, mais je n'ai jamais non plus été autant en présence de beaux hommes nus...

- Oui, d'ailleurs, je trouve que tu t'intéresses beaucoup aux fesses de Joann et à celles Lionel. Je dois être jaloux ?
- Non, mon chéri. Je profite de nouvelles fesses que je ne connais pas, rien de plus.
- Et moi je profite d'une nouvelle Juliette que j'ai l'impression de redécouvrir d'heure en heure.
- C'est donc la magie de la villa.

- Bon, il va falloir que je repasse sous la douche.
- Oui, cela me semble sage avant d'aller dormir.
Je me remets sous la douche et dit à Luc :
- Cela va nous coûter une fortune en eau !

- C'est Lionel qui paye !
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Angela - épisode 22 : Tentative
Mardi 2 août 9:11
La nuit a été bonne. Nous étions Luc et moi si exténués par notre journée précédente et par cette incroyable douche hier soir que nous nous sommes endormis aussitôt couchés. C'est la lumière du jour qui m'a réveillée. Il est déjà plus de neuf heures. Je me lève et entendant du bruit dehors, je vais à la fenêtre ouverte, sans me soucier de ma nudité.

Joann est déjà au travail. Il est donc revenu. Comme l'avait prédit Luc, il semble trouver plus de choses à faire ici que dans les autres jardins dont il a la charge. Il faut dire qu'ici, il a l'opportunité de travailler nu et il peut aussi profiter de ma nudité à l'occasion. Ce qui me surprend, c'est qu'il semble en pleine érection alors qu'il se maîtrise habituellement plutôt bien.

- Mmmm... Bien dormi, ma chérie ?
- Oui. Comme un bébé. Et toi aussi apparemment...
- Oui, ça a été plutôt intense hier.
- Tu regrettes ?

- Bien sûr que non ! C'était génial. Je n'ai jamais vécu de journée aussi intense.
Je souris. C'est un beau compliment puisqu'il m'indique ainsi que ses expériences sexuelles les plus mémorables ont été passées avec moi et non avec Angela. Il me voit rêveuse et me demande :
- Tu prends le frais ?
- Non, je me rince l'œil. Joann bosse à poil.

- Ah. Et tu admires ses fesses musclées ?
- Oui, mais aussi sa bite. Il bande bien le bougre !
- Il te voit ?
- Non. Mais il a une érection d'enfer.
- C'est donc qu'il pense à toi.
- Tu crois ?

- Évidemment ! Pourquoi est-ce qu'on le voit tous les jours alors qu'il est censé ne venir qu'un jour par semaine ?
- Peut-être juste parce qu'il aime jardiner à poil et il n'y a qu'ici qu'il peut le faire.
- Ou parce qu'ici il a la possibilité d'admirer une des plus jolies filles du monde.
- Petit flatteur !

Luc réfléchit quelques secondes puis me dit :
- Tu veux faire une expérience ? Va t'étendre au bord de la piscine et caresse-toi comme si tu te croyais seule. Soit il va se masturber en te regardant, soit il va se manifester pour tenter d'aller un peu plus loin que du voyeurisme. Et comme il fait l'effort de revenir aujourd'hui, j'ai dans l'idée que c'est davantage cette seconde option qui l'intéresse.
L'idée de Luc est très excitante. Mettre Joann à l'épreuve me fait très envie. Sans tergiverser, je traverse le salon et vais m'installer sur une chaise longue, visible aussi depuis la chambre.

J'aperçois Joann plus loin derrière la haie, mais je fais comme si je ne l'avais pas vu. Sans surprise, les bruits d'outils que j'entendais tout à l'heure dans la chambre disparaissent totalement. Je n'entends plus que le vent et le ressac des vagues sur les rochers. Donc pour le moment, le jeune jardinier veut profiter du spectacle sans être vu. À moi de jouer. J'écarte les jambes et commence à me caresser, les cuisses, le ventre, les seins.

Que c'est agréable de se cajoler ainsi sous les rayons du soleil matinal. Et quand en plus de me faire du bien, je sais que j'ai deux mecs qui me matent, c'est encore plus excitant, je prends conscience que je suis déjà dans un état d'excitation avancée et que je suis tout à fait en mesure de me donner un orgasme de cette manière. Mes doigts insistent sur ma fente déjà humide et sur mon clitoris tout tendu.

Luc se masturbe certainement dans la chambre. Impossible de voir ce que fait Joann, mais vu qu'il bandait déjà avant que je ne commence, il n'y a pas de raison à ce qu'il soit au moins dans le même état. Peut-être même a-t-il déjà éjaculé ? Je l'imagine répandre sa semence dans la petite haie de buis devant lui. Mince ! J'y suis aussi ! Cette idée déclenche mon orgasme. Mon corps se tend, mon sexe brûle et fond, plusieurs petites décharges semblent émaner de mon intimité et vrillent mon ventre et mes cuisses. Et tout cela sous les yeux de Luc et de Joann, sous les rayons du soleil, sans avoir à simuler. Quel délice !

Une voix se fait entendre :
- Tout va bien, Juliette ?
C'est bien sûr Joann. Je feins la surprise :
- Oh, Joann ! Vous êtes là aujourd'hui ?
- Oui, des trucs importants à terminer.
Les trucs importants semblent lui donner une érection phénoménale.

- Je vous ai entendu gémir, je me suis demandé si vous ne faisiez pas une insolation.
Je suis assez émue par ce sexe tendu et je joue la comédie de la jeune fille prude en dissimulant maladroitement mes seins. Je parviens à lui répondre en balbutiant :
- Non, tout va bien. Très très bien...

- Tant mieux, je me suis inquiété.
Je me redresse sur ma chaise :
- C'est gentil, Joann. Et c'est l'inquiétude qui vous donne des érections ?

- Ah ? Heu... non. Héhé... C'est le soleil matinal. J'adore être à poil comme ça à cette heure, et ça me fait bander un peu...
- Un peu ? Non. Vous avez une sérieuse gaule.
- Oui... Vous n'arrangez rien, non plus !
Enfin, il avoue que je suis la cause de son état magnifique.

Je suis en train de chercher la manière dont je pourrais lui proposer de l'aider à se soulager quand je le vois saisir sur la murette son jeans et commencer à l'enfiler.
- Heu... Vous vous rhabillez ?
- Oui, je dois faire une course en ville. Je ne peux pas sortir de la propriété à poil...

L'idée me séduirait, pourtant. Je me lève.
- C'est dommage que l'on ne puisse pas vivre nus et qu'il y ait tous ces tabous sur la nudité.
- Je ne suis pas d'accord avec vous. Je connais les hommes, peu sont capables de résister à leurs pulsions et les filles seraient harcelées, dans le meilleur des cas...
- Mais vous ne semblez pas faire partie de ces hommes.

- Oui. J'arrive à me contrôler. Mais vraiment, Juliette, vous ne m'aidez pas !
Le pauvre semble ne pas parvenir à faire rentrer son érection dans son jeans. Joueuse, je me retourne pour saisir la serviette par terre, mais, au lieu de m'accroupir, je me penche en avant pour lui présenter, pas du tout innocemment, ma croupe.
- Ah oui ? Pourquoi dites-vous cela ?

- Ne faites pas l'innocente ! Vous savez à quel point vous êtes jolie. Vous avez un corps parfait.
- C'est gentil, Joann.
- Ce n'est pas de la flatterie, Juliette. Vous avez bien vu hier que j'ai éjaculé deux fois seulement en vous passant de la crème.
- Vous m'avez un peu masturbée quand même...

- Je sais que vous jouez avec moi. Et je suspecte même que c'est avec la complicité de votre copain, qui peut-être nous épie depuis la villa. Vous vous rendez certainement compte que vous voir est une souffrance.
- Une souffrance ? À ce point ?
- Oui, j'éprouve un désir irrépressible pour vous...
- Je... je suis désolée.
J'avais presque honte de m'être amusée à ses dépens, mais je n'avais pas imaginé que nos petits jeux sexy puissent être mal vécus par Joann.

Il a réussi à fermer son jeans, mais à quel prix ? Je vois à quel point sa queue est compressée sous le tissu tendu :
- Joann, ne sortez pas dans cet état. Laissez-moi vous soulager.
Il semble réfléchir avant de répondre :
- OK, mais on le fait à ma manière.
Va-t-il me demander de lui faire l'amour ? Je crois que je ne lui opposerais aucune résistance. Non. Il s'agenouille devant moi et plonge son visage entre mes cuisses pour entamer un délicieux cunnilingus.

J'aimerais qu'il me fasse jouir ainsi, mais il se redresse et me demande :
- Je peux vous embrasser ?
Pour toute réponse, je tends mes lèvres vers les siennes et l'embrasse à pleine bouche.

Nos langues se mélangent avec délice. Curieusement, j'ai un sentiment de culpabilité vis-à-vis de Luc. Quelle curieuse façon de réagir ! Alors qu'une minute avant, j'espérais et étais prête à ce que Joann me pénètre et me fasse l'amour, là j'ai un cas de conscience parce que nous échangeons un baiser ? Parce que ma bouche serait plus intime que mon sexe ? Elle serait réservée à mon homme ? Ma chatte s'offre pour le plaisir, à qui veut ? Alors que ma bouche serait réservée à mon seul amour ? Tandis que nous échangeons ce long baiser, qui commence à ressembler à un baiser passionné, la main que Joann avait posée sur ma taille remonte et empoigne un sein.

Je sais que ça excite Luc que je puisse aguicher d'autres hommes, qu'ils me voient, qu'ils me touchent. Mais jusqu'où cela va ? Il a laissé Lionel me pénétrer, Bernard aussi, donc j'imagine que ça ne lui poserait pas de problème si Joann me pénétrait. J'écarte sa main et la redescends. Je pose la mienne sur son entrejambe, certaine de ce que je vais y trouver : une bosse dure et palpitante, pleine de promesses.

Nos lèvres se séparent.
- Vous devez vous sentir bien à l'étroit...
- Oui, c'est un peu douloureux. Il faut que vous la libériez.
Je commence à rouvrir son jeans.

Son sexe est toujours énorme. Je suis fascinée. Il semble ravi de voir ma réaction :
- Elle vous plaît ?
- Oui. Et elle est si chaude.
- Elle brûle de désir.

Je le masturbe doucement.
- Comment puis-je vous soulager ?
- Là, vous êtes sur la bonne voie.

- Mais que désirez-vous ?
- Ce que je désire ? Tous vos trésors...
Il pose une main entre mes cuisses et ses doigts s'activent sur ma fente, puis il se penche à nouveau pour m'embrasser.

Quand nos bouches se détachent, je lui demande :
- Ma bouche ?
- Oui, j'aime beaucoup votre bouche.
Je pense avoir compris. Je m'accroupis lentement tout en le regardant dans les yeux pour m'assurer de son approbation.

Joann termine de retirer son jeans et me sourit quand je commence à lui lécher la hampe :
- Mmmmm, votre copain doit être ravi...
Oui, Luc doit certainement avoir une magnifique érection et il se masturbe sans doute en me voyant commencer une fellation au jardinier.

Puis ma langue s'enroule autour du gland énorme. Le souffle de Joann semble plus court. Je me demande si c'est son cœur que j'entends palpiter ou si ce sont les pulsations de son sexe. Mes lèvres enserrent le gland comme s'il s'agissait d'une boule de glace que je voulais détacher de son cornet. Puis ma bouche descend, plongeant son sexe au fond de ma gorge.

Je regarde en direction de la chambre. Je vois bouger légèrement derrière la fenêtre et crois distinguer un pouce levé de Luc. Joann l'a vu aussi :
- Je crois que nous avons l'approbation de Luc.
Je n'avais pas cherché à avoir une permission plus explicite, mais le fait que Joann soit, lui, rassuré à ce sujet m'encourage quand même à poursuivre ma fellation.
Je m'interromps un instant pour lever la tête :
- Vous voulez vous contenter de ma bouche ?
J'espère en réalité qu'il va me faire l'amour. Mon sexe le réclame...
- Votre bouche, c'est du velours, Juliette.
Bon, je reprends donc ma fellation et porte sa queue aussi loin que possible dans ma bouche.

Je vois que cela fait son effet et Joann semble vraiment apprécier.
- Ooooh... Juliette...
Il pose ses mains sur ma tête semblant ne pas souhaiter que je m'arrête.

Mais il se met soudain à râler :
- Raaaaahhhhhh !
Je sens une puissance giclée de sperme au fond de ma bouche. Comme il ne me tient plus la tête, je me dégage et le laisse terminer d'éjaculer sur mes seins.

Quand enfin il a terminé, il étend les bras et dit :
- Merci, mon Dieu !
- Sauf preuve du contraire, il me semble que c'est plus une déesse qu'un dieu qui vient de vous sucer, non ?
Je suis passablement frustrée qu'il se soit contenté d'une fellation., mais, malgré les reflets sur la fenêtre de la chambre, je crois distinguer le pouce levé de Luc, montrant sa satisfaction.

- Ah Juliette, c'était magique !
À son enthousiasme, un doute m'envahit :
- Heu... Joann, ce n'est quand même pas la première fois qu'on vous taille une pipe ?

Il rigole :
- Ne vous moquez pas... Je n'ai pas eu beaucoup de petites copines et aucune ne m'a jamais proposé ça...
- C'est votre jour de chance, alors.
- Oui, je vous dois beaucoup.
- Mais vous avez été déjà très généreux.
Il rigole en voyant tout le sperme qui macule ma poitrine.

- Vous... vous voulez une serviette pour vous essuyer ?
Je me relève à son niveau :
- Joann, vous savez qu'on peut juste l'étaler, ça suffira.

Il pose les mains sur mes seins et commence à étaler la semence sur mon buste, mes épaules, mes bras.
- Il y en a beaucoup... Vous n'aviez pas éjaculé depuis longtemps ?
- Juliette, vous le savez : j'ai joui deux fois hier. Déjà sur vous...
Il passe derrière moi et continue d'étaler sur mon ventre, mon dos. C'est très agréable. Il semble avoir un goût plus prononcé pour mes seins auxquels il revient très régulièrement.

Quand il a terminé de m'oindre, je constate qu'il bande toujours :
- Joann, vous ne débandez pas ?
- Non... mais c'est toujours de votre faute.
- Alors, je me dois de faire en sorte que vous puissiez être en mesure de remettre votre pantalon.
Je saisis son sexe avec, cette fois, l'idée de le convaincre de me baiser. Pourtant, il ne semble pas complètement acquis à ma proposition :
- Juliette, c'est gentil, mais je dois quand même aller chez mon autre client.

Tandis qu'il enfile son jeans sans parvenir à y rentrer son sexe toujours bandé, je lui fais remarquer qu'il s'en va un peu vite :
- Dites-donc, ce n'est pas très charitable...
- Pardon ?
Il ne comprend pas ma remarque.
- Et moi ? Je n'ai pas joui...

Il pourrait objecter que je me suis donné un orgasme avant son intervention, mais il semble confus :
- Oh pardon, Juliette. C'est vrai que c'est très égoïste...
- En même temps, ce n'est pas en vous taillant une pipe que je peux avoir un orgasme.
- Vous souhaitez que je m'occupe de vous avant d'y aller ?
Je vois son sexe toujours en parfaite érection et me dis que je vais avoir ce que je veux.

- On va pouvoir faire d'une pierre deux coups...
- C'est-à-dire ?
- Je vais tenter de calmer cette érection qui vous empêche de vous rhabiller et vous aller éteindre le brasier que j'ai entre les cuisses.
J'écarte les jambes pour lui montrer ce que j'attends de lui.

Il s'approche de moi, mais ne semble pas savoir que faire. Lui qui semblait plus sûr de lui tout à l'heure, ressemble maintenant à un petit garçon timide. Mais un petit garçon timide avec une splendide queue tendue à quelques centimètres de mon visage.
- Vous avez une queue magnifique Joann...
Malgré mon envie qu'il me baise, je ne résiste pas à reprendre son sexe en bouche avant.

Je sais que Luc regarde toujours. Je sens son regard sur nous. Joann se met à balbutier :
- Je... attention Juliette... vous...
Tout en continuant à lui sucer le gland, je relève les yeux vers lui, sans prendre conscience de ce qui se passe.

Joann se tend soudain. Je comprends trop tard qu'il va à nouveau éjaculer. Je le sors de ma bouche dans l'espoir que cela arrête ou au moins ralentisse le processus, mais c'est trop tard : le sperme se met à gicler et je prends une première salve au menton, les suivantes sur la poitrine.
- Oh non, Joann...

- Je... je suis désolé Juliette.
- Mais je voulais que vous me preniez...
- Vous m'avez pris de court... C'est arrivé si vite... incontrôlable... Vous voulez que je vous l'étale encore ?
- Non, je voulais que vous me baisiez...

Je suis vraiment frustrée. Je lui en veux, mais en même temps j'ai conscience que c'est en grande partie de ma faute. Alors que je fais contre mauvaise fortune bon cœur et me dis que ce n'est que partie remise. Là, pour le moment, je le vois débander. Donc il ne sera plus opérationnel dans l'immédiat. D'ailleurs, il voit qu'il va pouvoir enfin remettre son jeans.
- Juliette, je suis désolé.

Il se redresse, jeans remonté, matériel rangé. Il semble en total désarroi. Je le rassure :
- Je ne vous ai pas facilité la tâche... Mais filez, je vous ai déjà assez mis en retard.
- Merci... Je me rachèterai. Promis !
Il file, me laissant avec ma frustration et du sperme sur les seins. Je passe rapidement sous la douche pour quitter cette liqueur qui commence à sécher sur ma peau.

La douche me fait un bien fou. En plus de me laver, elle me rafraîchit et me délasse. J'en veux moins à Joann. Il s'agissait d'une expérience, nous en connaissons les résultats. C'est la deuxième fois que je me rends compte que Joann ne maîtrise pas si bien que ça ses érections et son éjaculation. Je retourne m'allonger sur ma chaise longue et m'installe pour laisser le soleil me sécher. J'écarte largement les cuisses dans l'espoir que cela donne à Luc l'envie de venir me rejoindre.

Cela fonctionne. J'entends la baie vitrée s'ouvrir et Luc apparaître :
- Te voilà spécialisée dans les pipes, ma chérie ?
- J'espérais autre chose, mais Joann est trop... émotif.

- J'ai vu ça...
- Comme hier, il a éjaculé deux fois sur moi.
- Mais hier, il t'avait juste caressée. Il y a du mieux.
- Tu as aimé ?
- Très beau spectacle.
Je vois qu'il affiche encore une érection très honorable.

- Moi, j'espérais plus...
- J'imagine bien. Mais quelle idée de l'avoir sucé une seconde fois ! Il semblait d'accord pour te faire l'amour, non ?
- Oui, mais je voulais juste le sucer un peu avant...

- Tu dois être bien frustrée, non ?
- Eh bien oui, mais je suis aussi assez contente d'avoir pu jouer ainsi avec Joann. D'ailleurs, il était tout à fait conscient de notre manège.
- "Notre" manège ?
- Oui, il savait que tu te paluchais en nous regardant. D'ailleurs, tu as joui ?

- Non, je n'ai pas éjaculé.
- Tu te fous de moi ?
- Crois-le ou non, je me suis masturbé, mais je n'ai pas été au bout. Je me réservais.
- Dans ce cas, tu es dans le même état que moi et on peut sûrement s'entraider, non ?
J'écarte largement les cuisses pour lui offre ma fente humide.

- Arf ! Dur... Je viens d'avoir un message de Lionel qui demandait s'il pouvait passer.
- Là, maintenant ?
- Oui.
- Et en quoi ça te gêne qu'il nous surprenne à faire l'amour ? Cela ne t'a pas dérangé hier soir dans le salon, ni dimanche après-midi près de la piscine.

- Justement, j'imagine autre chose.
- Ah ? Nous voilà donc arrivés au ménage à trois, comme avec Angela ?
- Ne dis pas de bêtise. Cela n'a rien à voir.
- On verra bien.

Luc n'aime apparemment pas que je fasse référence à Angela, mais moi ça commence à m'amuser de tenter de comprendre qui elle était à partir de mes expériences sexuelles avec Luc.
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Angela - épisode 23 : Apéritif
Mardi 2 août 10:42
Quand je redescends au salon, Luc exprime sa surprise :
- Une robe ?
- Oui. On a beau vivre à poil ici, quand je sais qu'un invité vient, je préfère être vêtue.
- Mais ce n'est pas un invité ! C'est Lionel.
- Et Lionel mérite une jolie petite robe.

- Oui, elle est sexy, c'est sûr. Mais Lionel t'a déjà vue nue donc il préférera sûrement pouvoir voir ton corps.
- Et il le verra. Mais il faut aussi ménager un effet de surprise.
- Ah oui ? C'est un genre de papier cadeau ?
- Voilà. Ce sera l'occasion de lui faire redécouvrir mon anatomie petit à petit.
Quand je passe devant lui, Luc soulève le bas de ma robe :
- Oh non ! Là, c'est abusé de mettre une culotte.

- Cela fait partie du cadeau à déballer, ça peut l'exciter.
- Je reconnais que la robe, c'est une bonne idée. Moi aussi, je trouve ça excitant, mais la culotte, franchement, c'est d'un autre âge !
- Oui, tu as sans doute raison. Mais ne va pas t'imaginer que cette excentricité durera au-delà de nos vacances ici.
Je me penche pour faire glisser ma culotte jusqu'à mes chevilles.

En voyant mes fesses et ma moule, Luc prend conscience que ma robe est vraiment très courte :
- Wahou, je valide définitivement l'idée de la robe.
- Je crois comprendre pourquoi. Donc tu admets que ça peut être excitant de cacher et de dévoiler peu à peu ?
- Oui, vas-y dévoile-moi ton trésor peu à peu.
Je me cambre et relève doucement la robe. Vu la tête qu'il fait, je crois que ce qu'il voit est la huitième merveille du monde.

- Tu crois que ma robe va plaire à Lionel ?
- Aucun doute ! Moi en tout cas, tu viens de me redonner une trique qui ne va pas s'apaiser tout de suite...
- Mon pauvre chéri, tu aurais besoin de te soulager, mais tu veux te réserver pour quand Lionel sera là ?
- Oui... Je vais prendre une douche. Froide, ça va me calmer un peu.
Amusée, je le regarde monter à la salle de bain.

J'entends l'eau de la douche commencer à couler en haut quand Lionel arrive :
- Bonjour Juliette.
- Bonjour Lionel, ça va ?
- Oui, c'est une matinée magnifique et ta robe te va à ravir.

- Luc est sous la douche, il ne va pas tarder.
- Oh, quand on était au lycée, il était capable de passer des heures dans la salle de bain.
- Hihi, oui, c'est vrai. C'est toujours un peu le cas.
Je sors lui faire la bise et je vois qu'il lorgne avec intérêt le décolleté de ma robe quand je me penche.

Je n'ai aucun doute, ma robe lui plaît. Il examine la piscine :
- Vous vous baignez un peu ?
- Oui, c'est agréable. On alterne entre la plage et la piscine. On n'est pas habitué à tout ce luxe.
Je vois une feuille de platane qui flotte près du bord de la piscine. Je me penche pour la ramasser :
- Tes parents ont hérité de cette maison ou c'est une acquisition ?

L'absence de réponse de Lionel me surprend d'abord, puis je me souviens de la réaction de Luc quand je me suis penchée. La robe est courte et Lionel voit nécessairement ma moule. Il faut dire que la feuille est coquine et que les vaguelettes de la piscine la font danser, rendant sa capture moins évidente que je ne l'ai envisagé. Ce qui est évident, c'est que le cerveau de Lionel n'a pas enregistré ma question et que le garçon se rince l'œil pendant ce temps.

Je me redresse brandissant la feuille enfin soumise :
- La chipie se dérobait. Elle est sauvage.
Lionel est béat et a les yeux rivés à mon ventre. La courte robe est un peu remontée et dévoile sans doute presque mon sexe nu. Je m'empresse de me rajuster :
- Oups, désolée...

Lionel semble reprendre pied avec la réalité et rigole.
- Il n'y a pas de mal. C'est vraiment une très jolie robe.
Je rentre dans le salon et l'invite à me suivre :
- Luc apprécie ma robe, car elle est très courte, mais il craint qu'on ne voie ma culotte.
Lionel rigole :
- Je te rassure, on ne voit pas ta culotte.
Lionel a bien sûr noté qu'il est impossible de la voir puisque je n'en porte pas. Je m'assieds en tirant pudiquement le tissu sur mes cuisses.

- Donc tu la trouves trop longue ?
- Je n'ai pas dit ça. Je la trouve parfaite au niveau longueur.
- Et le décolleté n'est pas trop marqué ?
Je serre un peu les bras pour faire saillir mes seins dans le décolleté.

Il avale péniblement sa salive avant de me répondre :
- Non, il est très bien aussi ce décolleté. Je trouve cette petite robe légère à la fois décontractée et distinguée.
- Ah oui ? Distinguée ? Tu me trouves distinguée ?
Est-ce que Lionel trouvait aussi qu'Angela était une fille distinguée ?

- Disons que cette tenue, même si elle est sexy, n'a rien de vulgaire.
- Ah oui ? Eh bien moi, je trouve que ton débardeur te donne un look de bad-boy.
- Je ne veux pas que tu puisses croire que je suis un mauvais garçon.
Et sans demande de ma part, il retire son tee-shirt. J'en profite pour admirer aussi la belle bosse qui déforme son entrejambe.

- Mais les filles peuvent aussi fantasmer sur des mauvais garçons. Surtout quand ceux-ci affichent une érection conséquente.
- Oh ! Excuse-moi... Ta robe, tu vois, elle me fait de l'effet... D'ailleurs, il est heureux que tu gardes les cuisses serrées, sinon...
- Sinon ?
Je me penche en avant en écartant les cuisses. Toutefois, je pose mes mains sur ma robe pour l'empêcher de révéler ma minette, mais cette position offre déjà à Lionel une vue très dégagée dans mon décolleté.

- Ce n'est pas sympa, Juliette ! Ce jeans est très serré et ça me fait un mal de chien de bander comme ça...
- Tu n'as qu'à le retirer.
Il semble hésiter puis, voyant mon sourire, il se décide à le déboutonner.

- Oh ! Je ne pensais pas que tu oserais...
- Et pourquoi ? Il me semble que tu l'as déjà vue... Il me semble même qu'elle s'est déjà glissée entre tes cuisses, non ?
- Hihi, oui, je crois que je me souviens. Mais tu étais derrière moi et je ne l'ai pas bien vue...

- Pas vue, mais tu l'as sentie ?
- Oh oui ! Mais je suis quand même surprise.
Il affiche en effet un sexe conséquent, pas bandé, mais déjà bien gonflé d'excitation.
- Surprise ?

- Peut-être devrais-je dire "excitée par la vue de cette belle bête" ?
- Tu es excitée ?
- Oui...
- Montre-moi.
Son regard désigne mon entrecuisse. J'écarte les jambes pour lui montrer que je mouille.

- Oh Juliette, tu as une moule magnifique.
Il est interrompu dans sa contemplation par une notification de message. Le goujat le consulte et me dit :
- Héhé, Joann ne peut plus se passer de toi. Il me demande s'il peut revenir travailler ici, car il a fini plus tôt que prévu chez le client de ce matin.
- Oui, lui aussi semble apprécier mon coquillage...

- Ah oui ?
- Hier après-midi il a éjaculé en me regardant me masturber derrière la baie vitrée. Après ça, il est gentiment venu me passer de la crème solaire et il a éjaculé deux fois sans que je le touche.
- Deux fois ?
- Oui, il a des couilles intarissables. Et ce matin, il a éjaculé encore deux fois. Bon, j'avoue que cette fois-ci, je l'ai sucé.
- Juliette, je ne t'aurais pas cru aussi coquine. Du coup, je bande maintenant...

Luc, totalement nu, redescend et rigole en nous voyant :
- Lionel, tu exagères, tu es déjà à poil et en érection.
Je me lève et ajoute :
- Alors que, tu as vu mon chéri, j'ai toujours ma robe...
Luc rigole :
- C'est vrai ça : c'est ta robe qui le fait bander ?
- Elle est sexy ma robe, non ?

- Oui, mais c'est aussi parce que Juliette m'a raconté pour Joann...
Lionel hésite à poursuivre, sans doute se demandant si Luc est bien au courant de tout.
Luc le rassure :
- Oui, il nous semblait maîtriser parfaitement ses érections, mais on a pu voir à quel point il éjaculait facilement.
- Il faudra le mettre à l'épreuve...

Je suis surprise que ce soit Lionel qui ait fait cette proposition. Je mouille encore à l'idée que je serai certainement l'objet de cette mise à l'épreuve. Est-ce qu'Angela participait aussi à ce genre d'épreuve ? Luc nous propose d'aller sur la terrasse. Il y a une feuille de platane de l'autre côté de la table. Je me penche pour l'attraper, sans vraiment prendre conscience du spectacle que j'offre aux garçons. C'est Luc qui me dit :
- Wahou ! Ma chérie, toi aussi ça t'excite d'évoquer les éjaculations de Joann...

Il est vrai que je sens que je dégouline littéralement.
- Oups ! Oui, ça m'a un peu frustrée de le voir éjaculer ainsi tout à l'heure.
Lionel fait une grimace :
- Et moi qui pensais que c'était mon corps d'athlète qui t'excitait...
- Ton corps aussi. Et surtout ta queue...

Luc est surpris que je me permette de dire ça :
- Bah merde ! On déborde un peu du flirt, là, non ?
- Et quoi ? Vous êtes tous les deux à poil en train de bander et tu crois que je vais me contenter de flirter alors qu'un feu embrase mon ventre ?
Lionel prend ma défense :
- Elle a raison, Luc. Je crois qu'on a dépassé le stade du flirt il y a déjà un moment...

Luc semble quand même un peu désorienté :
- Je... OK. Et donc ? Il se passe quoi maintenant ? On attend Joann ?
Il n'est pas question que ça se transforme en gang bang. Je dois continuer à faire monter leur excitation. Je m'assois au milieu de la table et dis en souriant :
- Non, on prend l'apéro...

Lionel est surpris :
- Il est à peine onze heures...
Luc fait la moue :
- Et vu ta position, c'est Lionel et moi qui nous chargeons d'apporter les verres et les bouteilles ?
Je m'allonge sur la table et, robe retroussée sur mon ventre, j'écarte un peu les cuisses :
- Les verres ne seront pas utiles...

Luc sait sans doute où je veux en venir, mais il continue à faire celui qui n'a pas compris :
- Tu veux qu'on boive au goulot ?
J'écarte explicitement les cuisses :
- Pas au goulot. À la moule. Directement.

Luc s'approche en premier :
- Alors, tant pis pour l'heure. Voilà une offre bien sympathique...
Il se penche entre les cuisses écartées et fait glisser son index le long de la fente humide. Un filet de cyprine se colle à son doigt.
- Mmmmm, juteux à souhait...

- Oui, les garçons, dégustez-moi...
- Je vais m'assurer qu'il y en aura assez pour deux.
Luc pose son pouce sur le clitoris dardé et joue avec en tournant doucement autour.

Je feule de plaisir telle une chatte en chaleur.
- Oooh Luc... Bois-moi s'il te plaît.
- Avec plaisir, ma chérie.
Il plonge enfin son visage sur mon entrejambe et le bout de sa langue navigue sur mon abricot depuis la base qui coule comme une fontaine jusqu'à mon bouton d'amour qui me déclenche de petites décharges de plaisir à chaque contact.

Après quelques délectables secondes, Luc se redresse et s'adresse à son copain :
- Tu vas voir, c'est un nectar onctueux.
- Je n'attends que d'avoir enfin la place...
- Attends encore un peu, je vais la faire remouiller un peu.
Mon copain plonge son majeur, caressant de son extrémité, des parties très sensibles de mon intimité.

Je fonds, je dégouline. Avait-il réellement besoin de faire ça pour Lionel ou cherche-t-il à me donner un orgasme avant de laisser la place à son copain ? Aurait-il peur que je jouisse dans sa bouche sans avoir joui dans la sienne ? Quel que soit son projet, le délice de cette pénétration m'empêche de me plaindre de l'iniquité de cet accès à l'apéritif, surtout quand il joint un second doigt au premier.

Lionel semble accepter de patienter. Il sait où est sa place. Il n'a pas de droit sur moi. Luc a la priorité et sans doute est-ce à moi de dire à Luc que c'est le tour de son copain. Mais là, c'est compliqué de lui demander d'arrêter. Tout en continuant de me masturber de deux doigts, il mobilise son autre main pour câliner mon clitoris.

Je sens monter, inéluctablement...
- Haaaaaaaa...
L'orgasme. Intense et doux. Quel bonheur de jouir ainsi sous les yeux de deux amants. Luc s'est reculé. Tous les deux ont les yeux plongés entre mes cuisses. Ils bandent. Ils admirent les secousses qui font vibrer mes cuisses et mon bassin. Je mets quelques minutes à me calmer. Je me redresse :
- Merci Luc, c'était délicieux. Je crois que c'est au tour de Lionel...

Lionel s'approche, un large sourire illumine son visage. Je lui demande :
- Cela te convient-il pour l'apéritif ?
- Oh que oui ! Ce joli coquillage est très appétissant.
J'écarte largement les cuisses pour m'exposer le mieux possible.

Il pose une main sur ma cuisse et remonte doucement vers ma moule. Ses doigts effleurent ma peau, mais convergent vers le point le plus sensible. Il pose son index et son majeur sur ma fente et commence à la masser doucement, sans entrer directement en contact avec mon clitoris. C'est un délice et je mouille encore. Puis ses doigts se font explorateurs et s'immiscent dans ma fente. Une charmante masturbation s'ensuit, alors que Lionel plonge ses yeux dans les miens.

Il procède par lentes intromissions et caresse délicatement mes muqueuses internes. Je suffoque presque de plaisir. Quand il ressort ses doigts, ils sont trempés de mon jus. Lionel semble en béatitude devant mon sexe luisant :
- Je crois que c'est le plus beau minou du monde...

Je me moque de lui :
- Si tu te permets de dire ça, c'est que tu as dû en voir un paquet !
- Je ne le cache pas. Mais c'est surtout un véritable point de vue d'esthète. Même si c'était la première que je voyais, je saurais y reconnaître la perfection.
- Ah oui ? Et tu préfères ma chatte à mes seins ?
Je me redresse pour retirer ma robe.

- Je ne tiens pas à décomposer ton corps, car c'est son harmonie globale qui en fait sa perfection.
Je me sens fondre sous ces compliments. Je tente de cacher mon trouble par de l'humour :
- En gros, tu me trouves bandante.

- Je pense que ça va au-delà. Tout mon corps réclame ton corps et...
- Oh ! Assez de palabres. Pour l'heure, ma moule réclame ta bouche.
- Mille excuses...
Il vient s'installer entre mes cuisses et commence à me lécher la fente.

Je sens que je dégouline encore. Sa langue me balaye la fente, parfois à plat pour embrasser mes lèvres, parfois dardée pour s'introduire entre et faire sortir le nectar. Je pose ma main sur sa tête et le maintiens. Je veux qu'il me fasse jouir ainsi, avec sa langue.

Lionel relève la tête et me regarde :
- Tu aimes ?
- Oui... Et toi ? Cet apéritif te convient-il ?
- Parfaitement suave !
Lionel se concentre alors sur mon bouton d'amour et insère doucement deux doigts dans ma fente.

C'est terriblement bon. Je sens que je vais défaillir, mais je m'accroche pour ne pas me laisser submerger par l'orgasme. Et puis Lionel me donne le coup de grâce. Implacable ! Il ressort presque entièrement ses deux doigts et je sens qu'il positionne son annulaire contre ma rosette. Quand son majeur et son index replongent en moi, ils sont accompagnés par l'annulaire qui s'engage lentement dans l'étroit canal.

Ceci doublé d'une langue qui me torture délicieusement le clitoris, et je comprends qu'il ne sert à rien de lutter. Mon corps vibre. Je ne contrôle plus rien. Je crie de plaisir. Je suis secouée de décharges électriques. Chaque partie de ma peau semble être en fusion. C'est un orgasme puissant. Je me tords tant de plaisir que je bascule sur le côté, obligeant mon amant à abandonner une partie de ses conquêtes.

Il ne laisse qu'un doigt dans mon anus alors que les convulsions secouent encore mes cuisses et mon ventre. Quand enfin l'orgasme se calme, je rouvre les yeux. Les deux garçons m'observent, ravis. Les deux sexes sont magnifiquement bandés. Je retrouve mon souffle :
- Merci, les garçons, c'était formidable.

- Lionel t'a donné un bel orgasme, ma chérie. Tu étais magnifique.
- Mais ce n'était que l'apéritif, tu sais ?
- Ah oui, tu te sens prête pour continuer sur le plat principal ?
- Plus que jamais...
Toujours allongée sur le dos, j'écarte les cuisses pour exposer ma moule béante.

Lionel s'écarte pour laisser la place à Luc :
- Je crois que c'est ton tour.
- Juju me connaît bien. Je pense qu'elle appréciera un peu de nouveauté.
- Si tu le dis.
Lionel vient donc me rejoindre, mais au lieu de me pénétrer, il s'agenouille entre mes cuisses et reprend le cunnilingus.

C'est bien sûr délicieux, mais ce n'est pas ce que je veux :
- Mmmmm... je crois que... Ooooh... Je n'ai pas été assez claire...
Luc rigole :
- Si, ma chérie, mais Lionel a l'habitude de toujours bien préparer avant...
Lionel se relève et admire son travail : ma fente est béante et dégouline de cyprine.

Il s'avance alors, présentant son sexe tendu contre ma minette en feu :
- Tu as été très claire Juliette. Voici ce que tu désirais.
Son gland s'appuie doucement sur ma fente.

Il me regarde dans les yeux avec le même air doux que prend Luc quand il va me donner du plaisir. Il semble attendre mon assentiment. Je pose ma main sur mon coquillage et écarte les lèvres :
- Vas-y.

Lentement, il me pénètre. Mon ventre en feu l'attendait depuis si longtemps ! Quel délice. Je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir de cette colonne de chair dure qui commence à aller et venir en moi.
- Mmmmm... Oui... C'est bon...
- Meilleur qu'un cunnilingus ?

Bonne question. Mais difficile de comparer. Le cunnilingus se concentre sur les lèvres et le clitoris alors que la pénétration satisfait le vagin. Je ne saurais même pas dire si je suis clitoridienne ou vaginale. Le résultat est le même : un orgasme à la clé. Mon absence de réponse n'empêche pas Lionel de continuer à me faire l'amour avec une douce et lente régularité, comme s'il ne voulait surtout rien précipiter. Et je l'en remercie.

L'orgasme n'est plus très loin, mais le coquin sort soudain sa lame de mon fourreau. Je m'apprête à protester quand je l'entends râler de plaisir :
- Rhaaaaa...
Le gland posé sur mon ventre, Lionel se met à éjaculer. Plusieurs longues giclées jaillissent et zèbrent mon ventre.

Je ne dis rien de ma frustration puisque les garçons m'ont déjà donné chacun un orgasme. Lionel cherche mon regard. Veut-il que j'approuve sa sortie ? Ou au contraire que je lui exprime mes regrets de ne pas avoir reçu sa semence en moi ?
- Ça va ?
- Oui... C'était trop bon. J'aurais voulu me retenir plus longtemps pour te faire jouir... mais impossible...

- Ce n'est pas grave... J'avais déjà joui avant. Et ça me fascine de voir tout ce que tu as balancé.
- Heu... tu veux que j'essuie ?
- Non, je pense que ça ne va pas déranger Luc quand il va me prendre.

Luc penche la tête en souriant :
- Ah ? J'en déduis que c'est mon tour...
- Pourquoi ? Tu ne veux pas essayer de me donner un orgasme avant d'éjaculer ?
- Oh si ! Je vais essayer de relever le défi.
À son tour, il vient entre mes cuisses et n'a aucune peine à me pénétrer.

Luc va et vient en moi. J'ai l'impression qu'il essaye de prendre la même cadence qu'avait prise Lionel. À moins qu'il ne s'agisse de la cadence qui permet de tenir le plus longtemps possible ? Luc regarde avec amusement les filets de sperme sur mon ventre. Je lui souris :
- Tu as vu ? Ooooh... Il a été généreux...
- Oui... Tu l'as bien mérité.

- Aaahhh... Tu vas aussi jouir sur mon ventre ?
- Hannn... Il y a d'autres options ?
- Sois un peu imaginatif...
Je le laisse décider de la suite. Il semble réfléchir, hésiter. Même si moi, j'aimerais que Luc vienne en moi, j'étale la semence de Lionel sur mon ventre au cas où il déciderait de faire comme son copain.

Et comme Lionel, il s'échappe, laissant ma moule béante. Je m'attends alors à recevoir l'explosion de son plaisir. Mais au lieu de ça, mon copain positionne son gland contre ma rosette. J'ouvre les yeux, surprise :
- Ah oui ?
- Oui. J'ai l'impression que ça te plaît par là...

Je n'ai plus la force de répondre. Seuls mes gémissements s'échappent de ma bouche. Et puis Luc me donne le coup de grâce : alors qu'il me ramone le canal, il plonge deux doigts dans ma moule et me masturbe délicieusement. Fatal. L'orgasme est déjà là.
- Aaaaaaaaaaaah...
Je perds toute notion de la réalité. Je ne suis plus que plaisir, des ondes de plaisir irradiées par mon sexe en fusion.

Comment Luc fait-il pour ne pas éjaculer ? Sans doute qu'il a été bien entraîné par Angela... Plongée dans mon orgasme, il me faut un certain temps avant de me rendre compte qu'il a quitté mon anus et qu'il va et vient doucement dans ma fente en feu. Puis, il s'immobilise. Je sens son sexe en moi se contracter, se gonfler, se tendre. Il hurle mon nom, tandis que je sens plusieurs explosions. Luc se répand généreusement en moi.

Je mets un temps fou à émerger. Toujours allongée sur le dos sur la table, je me rends compte que je garde les cuisses encore écartées, comme si ce n'était pas fini. Luc est assis entre mes cuisses et caresse ma moule gluante de son sperme :
- Alors, ma Juju ? Tu as préféré laquelle de ces deux pénétrations ?
Ses doigts investissent mes deux orifices.

- Difficile à dire. Quand tu étais dans mon cul avec deux doigts dans ma chatte, je crois que c'est ce qui m'a fait chavirer.
- Oh, te voilà devenue poète, ma Juju ?
Luc se moque, mais j'ai de quoi le calmer. Je lui désigne mon sexe d'où je sens son sperme s'écouler.:
- Ah ? Parce que ce que tu viens de me mettre, tu dirais que c'est de la poésie ?

Luc rigole :
- Non, tu as raison, ma Juju. L'amour c'est plus un feu d'artifice que de la poésie.
Lionel se manifeste :
- Ah tiens, ça me fait penser à ce pour quoi je suis venu vous voir.
- Ah oui, c'est vrai ça. Tu es venu pour quoi ? Ce n'était pas pour me baiser ?

- Héhé, non, ce n'était pas l'intention première. C'est que j'organise une petite fête chez moi ce soir. Il y aura de la musique, de la danse et un peu d'alcool.
- De l'alcool ?
- Oui, mais rassure-toi, Juliette. Seulement ce qu'il faut pour se désinhiber.
Je me redresse et m'assois au bord de la table :
- Tu crois vraiment que j'ai besoin d'être désinhibée ?

- On ne sera pas que tous les trois. J'invite aussi d'autres amis.
- Ah oui, je vois. Donc il faudra prévoir des vêtements...
- Pour sortir en société, oui, c'est préférable. Mais la petite robe que tu avais là fera très bien l'affaire.
- Super ! Merci pour l'invitation, Lionel.

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Angela - épisode 24 : Mise à l'épreuve
Mardi 2 août 11:37
Un bruit de moteur se fait entendre de l'autre côté. Quelqu'un vient d'arriver en voiture.
- Merde... Je vais me passer autre chose...
Luc me désigne ma robe :
- Pourquoi ne pas remettre celle-là ?
- En soirée, c'est bien, mais le noir me tient un peu chaud. Je vais chercher quelque chose de plus clair.

Quand j'entre dans la chambre, j'entends les pas de Luc qui monte l'escalier. Sans doute veut-il m'aider à choisir ma tenue, mais je sais déjà quelle robe je souhaite mettre. J'enfile rapidement un string et trouve sans chercher la robe que je souhaitais passer. Je termine de l'enfiler juste au moment où Luc arrive :
- Déjà habillée ? Tu es rapide comme l'éclair !
- Eh oui. Est-ce que ça te convient ?

- Pas mal, mais elle est un peu transparente et on voit que tu as une culotte en dessous.
Il s'allonge par terre dans l'embrasure de la porte. Je ne comprends pas trop la manœuvre :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Vas-y, sors. Je vais m'occuper d'arranger ça...
J'ai compris : quand je suis au-dessus de lui, il passe ses mains sous ma robe et attrape mon string pour me le retirer.
- Voilà qui me semble beaucoup mieux.
- Je te reconnais bien là.

- Pas un petit merci pour l'aide apportée ?
- Je crois que tu profites suffisamment du spectacle et ça compense amplement le service rendu.
- C'est exact. Amplement...
J'avance et je le laisse allongé au sol à se rincer l'œil sur mes fesses.

Quand je descends, Lionel se moque de moi :
- Comme tu peux le voir, tu es montée pour rien... Il ne s'agissait que de Joann.
Joann est là effectivement, souriant, vêtu d'un tee-shirt et d'un short en jeans blanc.
- En voiture ? Vous n'êtes pas en vélo habituellement ?

- Si, mais mon pneu a crevé. Je ne voulais pas perdre de temps.
- Oh, je vois. Impatient de travailler.
- Heu oui... Ici, le cadre est exceptionnel.
- Et puis aussi parce que vous préférez jardiner à poil, non ?

- Heu oui, bien sûr.
Lionel a compris où je voulais en venir et prend le relais :
- Dans ce cas, Joann, si c'est ce qui te motive pour venir ici, tu peux te mettre à l'aise.
Joann semble hésiter. Il me regarde et je pense que mon sourire exprime suffisamment mon attente pour le convaincre.

Il se décide donc à quitter ces vêtements, commençant par son tee-shirt. Je l'encourage avec des arguments imparables :
- De toute façon, un short blanc pour jardiner, vous auriez risqué de le tacher.
Il sourit et déboutonnant son short :
- Et vous ne pensez bien sûr qu'à mon confort, Juliette...
- Bien sûr...
Il commence à abaisser le vêtement, sous lequel il ne porte rien, libérant son sexe déjà gonflé bien que pas en parfaite érection.

- Il ne faut pas hésiter ainsi, Joann. Il me semble que je vous ai déjà vu nu à plusieurs reprises.
- Je serais plus à l'aise si vous n'étiez pas vous-même habillée, Juliette.
- Oh... mais c'est que je crains que cela ne vous mette en érection.
Je fais glisser une bretelle de ma robe.

Lionel réplique :
- Et ce serait un problème, Juliette ?
- Oh non. Mais peut-être qu'il sera moins efficace.
Lionel défend son employé :
- Je suis certain qu'il travaille tout aussi bien avec une érection.
- Vous croyez ?
Je prends cela pour un défi et je me penche, comme pour me masser le mollet, face à Joann pour qu'il puisse profiter de mon décolleté.

Lionel sourit et regarde son jardinier qui semble garder son contrôle :
- Juliette, est-ce que tu chercherais à le faire bander ?
- Oui, puisque tu m'as mise au défi.

- Ah, parce qu'en lui montrant tes seins, tu crois qu'il va perdre le contrôle ?
J'étais étonnée du contrôle de Joann le premier jour, mais mes dernières expériences m'ont prouvées qu'il était faillible.
- Je crois que c'est un homme normal, comme toi et Luc.
Malgré l'entraînement, que j'imagine intense, qu'Angela a pu faire vivre à Lionel et Luc, je sais qu'ils sont tous les deux sensibles à quelques atouts féminins. Je libère mes seins sous les regards avides des trois garçons.

Joann rigole :
- C'est très gentil de nous offrir ce spectacle, Juliette. Mais j'ai déjà pu voir votre superbe poitrine à plusieurs reprises.
- Alors, c'est qu'il vous en faut un peu plus ?
Je soulève le bas de ma robe, dévoilant mon entrejambe nu.

- En tout cas, vous me mettez plus à l'aise en restant moins habillée, Juliette.
- Mais mon objectif est que vous soyez dans le même état que Luc et Lionel. Eux ne contrôlent déjà plus leur érection.
- Et pourtant, vous voyez ? Je suis excité, mais je ne bande pas.

Une question me vient à l'esprit que je pose au jardinier :
- Mais ne trouvez-vous pas plus excitant que je m'effeuille ainsi petit à petit, plutôt que si vous m'aviez trouvée nue en arrivant ?
- Oh si, bien sûr !
Je me tourne vers Luc et Lionel :
- Vous voyez que j'ai bien fait de mettre cette robe !

Luc hoche la tête :
- Moi, j'étais déjà convaincu. Mais le string aurait été de trop, n'est-ce pas ?
Je me retourne vers Joann :
- Luc m'a retiré le string que j'avais enfilé.
Je me retourne en relevant ma robe pour exposer ma croupe, espérant obtenir une réaction conséquente de Joann.

Mais quand je me retourne, je constate avec déception que le jardinier garde plutôt bien le contrôle de son sexe, alors que Luc et Lionel ont les queues parfaitement dressées. Luc semble percevoir ma contrariété :
- Ne t'en fais pas Juju, Joann a l'habitude d'être à poil, c'est normal qu'il maîtrise.
- Pourtant Lionel a aussi l'habitude et il ne semble pas maîtriser grand-chose.

Luc affiche un sourire radieux :
- Dans ce cas, il faut monter d'un cran.
Et quoi ? J'ai déjà tout montré. Il ne veut quand même pas que je taille une pipe à Joann devant lui et son pote ? Je me débarrasse de ma robe pour être dans la même tenue que les trois garçons :
- Je ne garde pas longtemps mes vêtements, ici.

Lionel et Luc sont ravis. Joann a le sexe gonflé, mais sans être dressé. Lionel dit :
- C'est la magie du lieu. Le retour aux sources. On peut vivre nus comme Adam et Ève au temps de l'Eden.
- Je n'ai pas souvenir qu'Adam et Ève forniquaient toute la journée...
Luc rigole :
- C'est donc que c'est encore mieux que le Paradis !

Joann intervient et s'adresse à Lionel :
- Cela fait plaisir de les voir plus à l'aise. Ils étaient un peu timides avec le naturisme samedi, mais après quelques jours, ça semble aller mieux.
- Et toi ? Il n'y a jamais eu des locataires aussi... jeunes. Tu arrives à travailler ?
Je m'assoie, intéressée par la réponse du jardinier.

- J'avoue que c'est difficile de travailler, car la demoiselle est vraiment très belle et que ça nuit à ma concentration. Du coup, j'ai pris du retard et suis obligé de revenir régulièrement.
- Oui, ça on a vu...
J'interviens :
- Joann se montre très serviable. Hier, il m'a étalé de la crème solaire sur tout le corps...
J'écarte les cuisses pour bien expliciter ce que j'entends par "partout".

Lionel hoche la tête :
- Joann est plus qu'un jardinier. Il a le cœur sur la main.
- Oui et les doigts très habiles...
Je ferme les yeux en me souvenant avec plaisir de ses doigts s'activant sur ma minette.

Lionel sourit :
- Et pourtant il reste un vrai gentleman, gardant le contrôle en toute circonstance.
- Ah là, non. Je t'arrête Lionel. Joann m'a généreusement étalé de la crème, il m'a caressé la moule, mais cela a semblé lui faire perdre son soi-disant contrôle : ton plus-que-jardinier a même éjaculé deux fois. Je crois que c'est mon entrejambe qui l'a perdu...
Sans la moindre pudeur, j'expose aux garçons mon coquillage humide.

Luc rigole :
- Ah ! Juliette... Tu es insatiable. Comment veux-tu que ça se termine, maintenant. Tu as vu dans quel état tu nous as mis ?
Enfin ! Joann bande. Son sexe se dresse fièrement comme pour Lionel et Luc. Sans se concerter, mais sans doute tous motivés par le spectacle que je leur offre, ils empoignent leurs tiges et se l'astiquent.

- Hihi, je crois que j'ai réussi.
Luc secoue la tête d'un air blasé :
- Je n'en doutais pas ma chérie. Tu ferais bander un eunuque.
- Joann n'a absolument rien à voir avec un eunuque.

J'ai l'impression que son sexe est plus imposant que celui de Lionel ou celui de Luc. Lionel semble vouloir résoudre l'énigme du contrôle de son jardinier :
- Juliette, si ce que tu dis est vrai, Joann ne résistera pas à venir s'occuper de ton bel abricot ?
- Je crois effectivement qu'il faut tenter l'expérience.

Joann sourit, de ce genre de sourire qui montre une profonde satisfaction. Il s'approche de moi, sûr de lui.
- Juliette, voulez-vous que je câline cet appétissant fruit que vous offrez à nos regards ?
- Je l'offre à plus que votre regard, plus-que-jardinier.
Il s'accroupit entre mes cuisses. D'une main, ses doigts écartent les lèvres, de l'autre, son majeur glisse sur ma fente, montant et descendant. Je feule de plaisir. Puis son doigt s'enfonce doucement entre les deux bourrelets de chair et trouve son chemin pour me masturber doucement.

J'observe Joann qui, bien qu'en érection, semble garder la maîtrise de son sexe. Lionel montre le même intérêt que moi pour faire perdre le contrôle à Joann :
- Peut-être qu'il faut varier, non ? Un cunnilingus ?
Joann ne discute pas la proposition de son employeur. Il retire son doigt et se penche sur ma fente. Une puissante décharge électrique se déclenche quand sa langue se pose sur mes lèvres et qu'il vient taquiner mon clitoris.

Luc s'amuse de me voir réagir aussi vite :
- Pour le moment, ma Juju, j'ai l'impression que c'est toi qui perds le contrôle...
- Oooooh oui... Il est doué... Oooooh...
Sa langue plonge dans ma fente, fouille délicieusement mon intimité, aspire ma liqueur qui semble couler comme une fontaine.

Je vibre, comme un téléphone indiquant une notification. Ma notification, c'est un subtil orgasme que m'offre Joann. Je maintiens fermement sa tête contre mon entrejambe pour qu'il continue, qu'il ne s'arrête jamais. Et il poursuit sans cesse, gonflant mon plaisir, accentuant mon orgasme. Je gémis de plus en plus. Je sens mes seins durs, mes mamelons tendus, ma chatte dégoulinante.

Je vibre trop, je ne peux plus le maintenir contre mon ventre. Je dois m'appuyer à la table pour ne pas tomber. Joann sent qu'il m'a eue. Il m'a bien eue. Il se relève, satisfait pendant que je reprends doucement mon souffle :
- Alors, Juliette, qui perd le contrôle ?
- J'adore quand vous me faites m'abandonner...

Luc fait le bilan :
- Bon, Joann n'a pas éjaculé, mais, ceci dit, je n'éjacule pas non plus quand je te fais un cunnilingus, ma Juju...
Je suis effectivement un peu vexée de ne pas l'avoir fait craquer. Je me lève et me tourne vers le jardinier :
- Joann, vous avez bien été vous-même surpris par vos deux éjaculations, hier, non ?

Joann semble gêné de l'avouer, mais il le fait :
- Oui. C'était étrange. La fatigue peut-être ?
- Moi, j'aurais dit l'excitation. En tout cas, vous semblez bien en forme aujourd'hui...
Je vois presque les vaisseaux palpiter sur sa hampe tendue.

Lionel ajoute :
- Nous le sommes tous les trois jolie Juliette.
- Mais Luc et toi êtes prévisibles. J'essaie de comprendre ce qui s'est passé hier pour Joann. À moins qu'il soit gêné par votre présence ?
Joann rigole en prenant à la taille Luc :
- Je vous donne vraiment l'impression d'être gêné, là ?

- Non, effectivement...
Luc intervient :
- Peut-être qu'il faut pousser l'expérience plus loin. Est-ce que tu accepterais qu'il te prenne en levrette pour voir combien de temps il tient ?
- Une levrette ? Pourquoi pas ?
Je me retourne face à la table.

Joann a les yeux exorbités. J'ai l'impression que j'ai touché juste. Il ne m'a encore jamais pénétrée alors qu'il en crève d'envie. L'idée de me prendre va sûrement l'exciter au plus haut point. Je me penche en avant sur la table en lui souriant :
- Allez, Joann, faites-nous encore la démonstration de ce beau contrôle.

Je m'attends presque à ce qu'il éjacule avant d'arriver jusqu'à moi. Il semble beaucoup moins fier en s'approchant. Pourtant, il arrive à mon niveau, sexe dressé, sans avoir laissé les vannes s'ouvrir. Il reste quelques secondes en admiration devant ma croupe, sans doute que mon sexe dégoulinant de cyprine lui indique à quel point j'ai envie qu'il me pénètre.

Lentement, je sens sa queue s'introduire dans ma fente, sans la moindre difficulté. Il s'enfonce en moi doucement.
- Mmmmm, Joann...
- Oui, Juliette ?
- Je... j'ai peur de perdre encore le contrôle...
Il me saisit fermement à la taille et commence à aller et venir tranquillement. Luc et Lionel me regardent. Ils semblent aimer tous les deux.

Luc s'assoit. Je ne vois aucune pointe de jalousie dans ses yeux, dans son expression. Il semble aussi concentré que s'il était en train de mener une expérience scientifique avec une méthode rigoureuse :
- Alors, ma Juju ? J'ai l'impression que Joann résiste, non ?

Mais le délice de cette pénétration m'empêche de lui répondre. Penchée sur la table, je gémis et ne trouve qu'à encourager mon partenaire :
- Oooooh... Oui... Joann... Continue... C'est bon... Ooooooh...
Et Joann n'a pas besoin de mon exhortation. Il est vigoureux et se maîtrise parfaitement, ce qui est loin d'être mon cas.

J'ai un instant de doute sur ce qui est arrivé la veille. Était-ce le même homme ? Je suis partagée maintenant entre le désir de le faire succomber pour satisfaire ma fierté et le désir impérieux d'accueillir un nouvel orgasme. Le regard amoureux de Luc m'aide à prendre une décision. Je dois le faire éjaculer. Je me redresse et je me concentre pour faire fonctionner les muscles de mon vagin autour de sa queue palpitante.

C'est incroyable, mon espèce de massage interne semble fonctionner, car je le sens comme grossir et palpiter en moi. Mais c'est aussi à mes dépens car je sens l'orgasme monter, incontrôlable. Les soubresauts de mon plaisir semblent déclencher enfin son éjaculation. Emmanchée en moi, son énorme queue semble expulser une quantité de sperme incroyable, telle une lance à incendie.

Il reste fiché en moi. Je sens son cœur battre contre mon dos. Joann semble aussi essoufflé que moi. Luc et Lionel rigolent et m'applaudissent. J'ai l'impression qu'il éjacule encore, qu'à chaque contraction de son sexe il expulse encore et encore du sperme en moi. Quand cela semble se calmer, il se retire lentement. Luc et Lionel retiennent leur souffle. À peine sa queue sortie, je sens ma fente commencer à libérer une partie de sa semence.

Et puis j'entends Luc prononcer :
- Oh putain !
Et alors qu'il prononce cela, sous les yeux exorbités de Lionel, je sens un flot de semence incroyable s'échapper. Joann place son sexe contre ma fente pour tenter d'arrête la fuite, mais en vain, le sperme coule et coule encore.

Lionel regarde Luc :
- C'est plutôt lui, la corne d'abondance ! Je ne savais pas que Joann avait cette capacité !
- De loin, hier, ça ne m'avait pas semblé aussi abondant...
- En tout cas, je vois que ça t'excite au plus haut point.
Luc a effectivement la queue parfaitement bandée, prête à exploser.

Joann, toujours en érection, revient de la salle de bain et me tend une serviette, l'air embarrassé :
- Désolé Juliette... Je pensais pouvoir me contrôler.
- Hey, c'est moi qui ai tenu à vous faire jouir. J'en assume la responsabilité.
Je m'essuie les cuisses et l'entrejambe poisseux du sperme du plus-que-jardinier.

J'ajoute en souriant à Joann :
- En tout cas, ça doit aller mieux maintenant que vous avez les couilles vides, non ?
- Vides ? Pas si sûr...
- Oh ! Tu me mets au défi de te faire jouir une seconde fois ?
Joann sourit. Je prends position, à quatre pattes sur le banc, croupe offerte.

Lionel me regarde :
- Quoi ? Je ne suis pas sûr d'avoir compris, ce qui vient de se dire, là...
Luc lui répond :
- Je crois que ma Juju est affamée et qu'elle veut encore profiter du contrôle de Joann.
Lionel semble incrédule :
- Si elle est affamée, je peux aussi m'occuper d'elle.
- Je crois que Joann dispose de meilleurs arguments...
- Pfff...

J'ai entendu leur conversation. Cela m'amuse de voir Lionel réagir comme cela, mais je tente de le rassurer quand même :
- Lionel, je dois encore évaluer la résistance de ton jardinier.
- Tu parles, tu veux qu'il te redonne cet orgasme magistral qu'il vient de te donner.
Je n'ose pas lui dire qu'il a raison...

Quand Joann arrive sur moi, il pose ses mains sur mes fesses et reste en admiration de ma moule qui doit encore être dilatée par son passage récent. Il se penche sur moi, mais il me surprend en me léchant l'anus. Je gémis aussitôt en sentant sa langue tenter de se faire un passage dans cet étroit canal. Alors, Lionel et Luc se transforment en commentateurs sportifs et prennent des voix stupides :
- Eh bien mon cher Lionel, je crois que Joann vient de prendre conscience qu'une autre voie était possible.

- Oui, il se redresse. Il pointe son javelot vers la cible, mais...
- Ah non ! Il semble s'engager dans une voie connue.
- Oui, sans doute qu'il n'est pas prêt, mon cher Luc.
- Pourtant, il semble être au top.

- Mais regardez ! Sa monture semble vouloir lui dire quelque chose.
- Oui, mon cher Lionel, elle doit lui signifier qu'il ne prend pas de risque à prendre un passage aussi large.
- Effectivement et elle se caresse le clitoris en même temps. Qu'est-ce que cela signifie ?
- Que Joann ne serait pas en mesure de la faire jouir ?

- Ou du moins, pas par ce passage, mon cher Luc.
- Oh ! Lui aurait-elle suggéré elle-même l'autre voie ?
- Peut-être, mais... Oui, regardez mon cher Luc, Joann explore l'autre voie de son pouce.

- Incroyable ! Elle gémit si fort. Elle semble adorer cela.
- Mais sans doute que ce serait meilleur avec quelque chose de plus conséquent.
- Cela va sans dire. Oh, mais il semblerait que Joann se retire justement pour... Oh non, il a déjà éjaculé !
- Attention, mon cher Luc, je crois qu'il s'agit en fait du sperme issu du premier assaut.

- Ah oui, je crois que vous avez raison.
- Alors, quelle voie va-t-il emprunter désormais.
- Ah, il remet ça, mon cher Lionel, avec le pouce dans le fondement.

- Ah quel dommage ! Sa monture semblait pourtant prête à subir un assaut plus conséquent.
Entre deux gémissements, je m'autorise à m'adresser à eux :
- Aaaaaah... Vous êtes... Aaaaaah... vraiment trop cons... Ooooooh...
Et les commentaires de ces deux abrutis ont fini par décider Joann. Je ne suis pas vraiment convaincue de vouloir qu'il me mette son énorme pieu dans le cul. Et c'est pourtant ce qu'il fait, avec une facilité presque déconcertante.

J'ai l'impression qu'il me déchire, mais pourtant, c'est si bon. Luc et Lionel semblent avoir arrêté de jouer aux commentateurs débiles et semblent subjugués par ce qu'ils voient : l'énorme bite de Joann qui disparait millimètre par millimètre dans mon petit trou. Mon pauvre Luc ne semble pas tenir cette vision bouleversante et se met à éjaculer.

Luc est out. Lionel semble vouloir reprendre du service :
- Mon cher Luc, je vois toute l'émotion que cette pénétration suscite chez vous et je vous en excuse bien volontiers. Je vous avoue être moi-même subjugué par les capacités sexuelles de ce jeune Joann.

Le jardinier semble ignorer les commentaires de Lionel, mais me pilonne de plus en plus vite. Je sens un nouvel orgasme monter. Mon bassin est pris de convulsions. Est-ce ce qui déclenche la deuxième éjaculation de Joann ? Toujours est-il qu'il se plante soudain aussi loin que possible dans mon cul alors que celui-ci subit de violents soubresauts de plaisir.

À nouveau, je sens ce déluge envahir mes entrailles. Joann avait donc raison : il n'avait pas les couilles complètement vides. Ni Luc ni Lionel ne commentent la scène. Quand il se retire, son sexe, libéré de la pression de l'étroit canal, expulse une ultime giclée de sperme sur mon anus et sur mon coquillage.

Luc me sourit :
- Alors, ma chérie ? Après cette mise à l'épreuve, es-tu en mesure de nous dire s'il contrôle ou pas ?
- Je dirais... qu'il a un certain contrôle. Ce qui est sûr, c'est qu'il baise divinement bien.

Lionel fanfaronne :
- Je choisis mon personnel en fonction de ses prouesses sexuelles...
- Tu déconnes ?
- Évidemment.
Je me rends compte que Lionel a aussi du sperme sur le ventre. Il a donc lui aussi éjaculé et n'a pas réussi à garder la maîtrise de son engin.

Je m'assois et je félicite Joann :
- Bravo, moi qui vous ai pris hier pour un éjaculateur précoce, j'ai eu ma leçon. Vous savez garder le contrôle, c'est indéniable.
- Et pourtant ce n'était pas facile. J'ai rarement connu une créature aussi excitante.
Je pense à Angela. Serais-je plus excitante qu'elle ? Joann ne l'ayant pas connue, j'aurais préféré que ce compliment vienne de Luc ou Lionel, mais c'est déjà très gratifiant.
- Joann, je crois que vous méritez amplement le titre de plus-que-jardinier.

Luc sourit :
- Ma chérie, dans ce cas, pourquoi ne pas lui accorder le titre de "laboureur" ?
Tout le monde rit aux éclats et Lionel est le premier à mettre fin à cette étonnante séance :
- Je dois partir organiser ma petite fête de ce soir, je vous laisse.
- Et en tant que laboureur, j'ai moi aussi quelques labeurs.
Je me tourne vers Luc :
- On mange et après on descend profiter de la plage ?

^ ---------oOo---------
Angela - épisode 25 : Sable chaud
Mardi 2 août 13:53
Une fois le repas achevé, Luc range la cuisine pendant que je remonte dans la chambre chercher les affaires pour la plage. Quand je redescends, je lui tends une serviette et pose l'autre pour enfiler mon bikini. En me voyant faire, Luc se moque de moi :
- Heu, tu comptes enfiler un bikini juste pour descendre l'escalier et le retirer une fois en bas sur la plage ?
Je me sens un peu conne. J'imagine qu'Angela est parfaitement impudique.
- Oui, je sais, c'est con. Mais j'ai encore un peu de pudeur. Et le premier jour, il y avait un couple sur la plage.

- Je comprends, mais, le gars et la nana, ils étaient bien à poil, non ?
- Oui... Mais Damien et Cédric, non.
- Les deux gars de dimanche ?
- Oui.
- Ils étaient en maillot, mais ils t'ont vue toute nue.
- La faute à qui ? C'est toi qui m'as retiré mon bikini sans me dire qu'ils étaient là.

- C'est faux. Je te l'ai dit, mais tu as cru que je plaisantais. Et il me semble bien que l'un des deux t'a donné un orgasme, non ?
- Oui... Cédric, je crois.
Je me rappelle avec émotion de ce doigt délicat dans mon cul qui m'avait fait jouir délicieusement.
- Bon, et au pire, s'il y a des intrus, on pourra toujours se couvrir avec nos serviettes.
Lassée de cette négociation, je saisis ma serviette :
- Tu as raison. Allons-y.

Alors que nous commençons à descendre l'escalier, je scrute la plage et constate qu'elle est déserte. Cela me rassure. Luc semble le voir :
- Tu es rassurée ? Nous serons seuls.
Je le taquine :
- Peut-être que je ne suis pas rassurée, mais déçue...
- Déçue ?
- Bah oui, je commence à prendre goût aux voyeurs.

Cela amuse Luc :
- Petite dévergondée. Et tu prends même goût aux voyeurs qui ne touchent pas qu'avec les yeux...
- Dis donc ! Tu sous-entends que je suis une salope ?
- Épicurienne, ma chérie. Épicurienne.
- Ah oui, j'avais oublié qu'il y a un terme scientifique pour désigner la même chose.

Arrivés sur la plage, je pose ma serviette. Le sable est chaud. L'air est tiède, légèrement rafraichi par un léger vent d'ouest. On n'entend que le bruit des vagues. Difficile de trouver à se plaindre.
- Quelle chance on a d'avoir trouvé cette location !
- Oui, et c'est dingue que ce soit celle d'un pote de lycée.
- Nous profitons d'un bon karma.
Je m'étire au soleil sous le regard satisfait de Luc.

- Qu'on est bien ici !
- Le soleil te va si bien, ma Juju...
- Oui, toi aussi. Il te fait bien bander apparemment...
- Ce n'est pas le soleil. C'est toi qui m'excites, ma chérie.
Il me caresse un sein et se penche pour me sucer le mamelon. Délicieux.

Je suis sérieusement excitée et j'ai très envie qu'il me prenne. Alors que je m'apprête à m'étendre sur ma serviette, je fais un dernier contrôle visuel aux alentours :
- Oh, je crois qu'on a de la visite...
- Quoi ? Où ça ?
- Là-bas, sur la droite.

- Tu crois ? Les deux points noirs ? Ce n'est pas des trucs qui flottent ?
- Ce sont deux nageurs qui ne sortent que les yeux de l'eau et je pense qu'ils essayent d'être discrets parce qu'ils nous ont repérés.
- Ils t'ont surtout repérée, toi !
De toute évidence, les deux voyeurs se rapprochent lentement, mais inexorablement de notre crique.

Même si cela est difficile à déterminer à cette distance, j'ai l'impression qu'il s'agit de Cédric et Damien, les deux garçons venus la veille sur cette même plage. Leur présence ne semble pas contrarier Luc :
- Tu voulais des voyeurs ? Donnons-leur du spectacle.
Il s'allonge sur sa serviette, sexe tendu. Mais au lieu de m'empaler sur lui, je m'allonge contre lui, ce qui semble le contrarier :
- Tu ne veux pas faire l'amour ?
- Si, mais ça n'exclut pas des préliminaires.
- Excuse-moi, tu as raison.
- J'ai toujours raison.

Il me caresse. Ses mains parcourent mes épaules, mes seins, mon ventre, mes hanches, mes cuisses et l'une d'elles vient se perdre dans mon sillon d'amour déjà bien trempé de mouille.
- Mmmm, ça aurait été con de se passer des préliminaires, effectivement...
Je sens sa virilité dans mon dos. Je me redresse pour l'embrasser.

Comme je suis dos à l'océan, je ne vois pas nos deux voyeurs :
- Tu me dis où ils en sont ?
- Tu n'as qu'à te tourner et tu verras...
- Je ne peux pas je suis occupée.
- Occupée ?
Je me penche et prends son gland en bouche pour le sucer tandis que je lui caresse les testicules.

- Mmmmm coquine... Je vais donc devoir te décrire la progression de ces deux messieurs.
- ...
Je ne peux pas répondre, mais montre d'un hochement de tête que ça me convient. J'ai l'impression de revivre la précédente séance où il me décrivait la progression des garçons sur la plage alors que j'étais persuadée qu'il s'agissait d'une histoire sortie de son imagination.
- Oui, car ce sont des hommes. Ils sont maintenant assez proches pour que l'on aperçoive leur torse. Ils savent que je les vois et ne tentent pas de se cacher. Je dirais d'ici qu'il s'agit de nos deux amis. Cédric et Damien, c'est cela ?

Je hoche la tête avec un "Mmm Mmm" en guise d'acquiescement. Ce petit jeu de description m'excite au plus au point. Il me plaît de croire que j'ai l'exclusivité de ces petits jeux et qu'Angela n'en a jamais profités. De plus, si Cédric et Damien reviennent, c'est que les garçons ont été contents de leur précédent passage sur cette plage. À quatre pattes entre les jambes écartées de Luc, je pompe son dard en imaginant Cédric et Damien qui se rincent l'œil derrière moi.

Luc continue à me raconter leur approche :
- Ils sortent de l'eau. Ils ont l'air satisfait de ce qu'ils voient.
Heureusement ! Ils ont une vue parfaitement dégagée sur ma croupe.
- Et, je suis surpris : ils sont à poil. Je ne sais pas ce qu'ils ont fait de leur maillot, mais ils sont venus ici totalement nus. Je ne suis pas certain qu'ils venaient pour faire du bronzage intégral.

J'en doute également.
- Ma Juju, je t'avoue en revanche que leur ravissement se lit sur leur visage, mais qu'aucun des deux ne bande encore franchement. C'est tout juste gonflé.
Après avoir nagé dans l'eau fraîche, cela ne m'étonne pas plus que ça, mais je considère la remarque de Luc comme un défi qu'il me demande de relever. Aussi, je me cambre encore davantage et ondule un peu du bassin.

- Ah, ils se séparent. L'un d'eux, désolé je ne suis pas en mesure de savoir lequel est Cédric et lequel est Damien, l'un des deux donc semble vouloir faire le tour pour te voir sous d'autres angles. L'autre s'allonge et observe.
Quand il rentre dans mon champ de vision, je reconnais Cédric. Apparemment, il aime me voir ainsi, car désormais il bande franchement.

Tout cela semble bien exciter Luc. Son sexe est particulièrement gonflé et je fais attention à ne pas le sucer trop fort pour qu'il n'éjacule pas tout de suite. Je redresse la tête et m'adresse à Cédric tout en alternant avec des coups de langue sur le gland de Luc :
- Bonjour Cédric. Vous êtes passés nous faire un petit coucou ?

- Oui, on a tenté notre chance et ça a payé.
- Damien est avec toi ?
- Oui, il s'est installé derrière toi. Il semble beaucoup apprécier cette partie de la crique...
Je tourne la tête et constate que Damien est effectivement derrière moi et se masturbe tranquillement. Il me salue :
- Bonjour Juliette !

Bon sang ! Que ça m'excite ! Je suis en train faire des politesses à deux garçons, tout en suçant la queue de mon mec. Quelle situation incroyable ! Luc salue à son tour les garçons :
- Bonjour, moi c'est Luc.
- Damien, enchanté.
Luc tourne la tête vers Cédric qui est appuyé à la falaise.
- Cédric, enchanté aussi.

- J'ai cru comprendre que vous aviez déjà fait la connaissance de Juliette.
- Oui, on est passé rapidement Dimanche en fin d'après-midi et on a discuté un peu.
Je me redresse en voulant ajouter que Cédric avait quand même fait un peu plus que discuter puisqu'il m'a donné un orgasme en me branlant l'anus :
- Heu... pas que discuté...
- Oui, on s'est baigné un peu aussi...
Luc se relève. J'ai son membre juste sous le nez et je le reprends en bouche, laissant à Luc le soin de faire la conversation.

- Il faut que vous sachiez, messieurs, que le nudisme est une expérience nouvelle pour nous.
Dans mon dos, j'entends la voix de Damien :
- Pourtant, ni l'un ni l'autre vous ne semblez faire preuve de trop de pudeur.

- Cela n'a pas été sans mal. Nous nous sommes un peu fait violence au début. Mais on y a vite pris goût et, comme vous le voyez, le fait d'être nus en permanence a eu des conséquences sur notre libido.
Cédric assis contre la falaise se caresse le sexe et commente :
- Ce n'est pas nous qui nous en plaindrons...

Luc poursuit son exposé sur notre situation comme s'il produisait une démonstration à un colloque international :
- Et donc, une fois la pudeur mise de côté, nous avons pu découvrir le plaisir que procure l'exhibitionnisme.
Je lève les yeux vers Luc tandis que je lui lèche doucement la base du gland.

Il comprend que je veux savoir ce qui se passe derrière moi :
- Ah oui. Alors, notre ami Damien s'astique tranquillement, pourtant il ne voit plus tes fesses et ne profite que de ton dos. Mais il faut croire que ton dos... Oh ! Alors, oui, je confirme que ton dos l'excite au plus haut point car il est en train d'éjaculer.
Là, je ne résiste pas au plaisir de voir cela. Je me retourne et constate que Damien expulse plusieurs salves de sperme sur le sable.

Il me sourit, presque gêné. Je me retourne vers Cédric qui lui aussi se masturbe en me regardant :
- Et toi ? Tu n'as pas eu la chance de reluquer mon dos, mais tu m'as l'air passablement excité aussi.
Il hoche la tête, semblant ne pas pouvoir en dire plus. Et je le vois soudain lâcher son sexe et se mettre lui aussi à éjaculer.

Alors que je m'apprête à reprendre ma fellation, j'entends Luc lâcher un petit grognement.
- Hannnn...
Lui aussi explose ! Et il dirige volontairement sa semence sur ma poitrine, maculant mes seins de son épaisse liqueur blanchâtre.

Il rigole alors que les dernières gouttes s'écoulent lentement de son membre turgescent.
- Ahah, désolé ma Juju... Tout cela était trop excitant...
- Je vois ça.
À deux mains, je m'étale sa semence encore tiède sur les seins, comme s'il s'agissait de crème solaire.
- Pas certain que ça me protège des coups de soleil...

Luc s'allonge sur sa serviette, je l'imite.
- C'est dingue que vous ayez tous les trois éjaculé aussi vite ! On dirait que vous revenez de l'armée et que je suis la première nana que vous voyez.
- Ah oui ? Tu penses que les militaires sont des éjaculateurs précoces ?
- Je ne sais pas, mais vous trois en tout cas, vous montrez moins de résistance que je n'aurais imaginé.
Luc empoigne un sein et me caresse.

Je veux échanger avec Luc et je baisse d'un ton pour que Cédric et Damien n'entendent pas :
- Moi, je suis un peu frustrée, car j'espérais qu'il y aurait éventuellement un peu de participation des deux autres.
- Ah ? Tu voulais qu'ils te fassent l'amour ?
- Au moins qu'ils me caressent, après on aurait vu comment ça pouvait évoluer.
Luc se redresse :
- Je pense que tu peux garder espoir. Damien semble à nouveau opérationnel.

Un coup d'œil me permet de constater que Damien affiche une érection conséquente. Je me lève et constate que Cédric aussi a retrouvé toute sa vaillance.
- Bon, ton sperme est en train de sécher. Je vais me baigner pour m'en débarrasser et après tu pourras me passer de la crème.

Me dirigeant vers l'océan, je me retourne vers Luc :
- Tu ne m'accompagnes pas ?
- Oh, je crois que tu te débrouilleras bien toute seule.
- Méfie-toi qu'un autre chevalier servant ne vienne proposer ses services à ta place...

- Pas sûr que cela me gêne.
Je constate effectivement que cette idée l'excite et qu'il recommence à bander. Je m'avance dans les vagues jusqu'à avoir les fesses immergées et m'asperge la poitrine d'eau.

Cédric se lève alors et s'avance vers moi. Il passe entre Damien et Luc et, quand il arrive au bord de l'eau, il se retourne vers Luc :
- Est-ce que ça te dérange si je me baigne avec elle ?
- La mer est à tout le monde...

- Oui, mais je veux dire, est-ce que je peux l'aider à se laver ?
- C'est à Juliette qu'il faut le demander.
Cédric se tourne vers moi :
- Juliette, tu veux un coup de main ?
Je me baisse lentement dans l'eau, mettant mes seins sous la ligne de flottaison.

Cédric attend ma réponse. Je me relève lentement, exhibant ma poitrine :
- Je crois que ça ne part pas si facilement que ça...
- Donc besoin de moi ?
- Je ne dis pas non.

Cédric vient me rejoindre. Cette andouille ne semble pas réellement avoir envie de me peloter car il me demande :
- Mais tu as frotté un peu ?
- Pourquoi ? Tu ne veux pas le faire ? Le sperme d'un autre te dégoûte peut-être ?
- Oh, heu non. Je ne pense pas, c'est juste que...

- C'est juste que tu es un peu intimidé et que tu ne sais pas vraiment m'aborder...
- Oui, c'est un peu ça. Je me sens un peu con...
- Attends, il y a trop de vague ici, on va ressortir un peu.
Sous ce prétexte fallacieux, je veux surtout que nous nous rapprochions de Luc et Damien pour qu'ils puissent mieux nous voir.

Arrivée à une vingtaine de mètres de la plage, je m'arrête.
- Alors, tu m'aides à me nettoyer les seins ?
- Tu n'en as eu que sur les seins ?
- Maintenant que tu le dis, c'est vrai que j'en ai peut-être aussi qui a coulé un peu plus bas...

L'intérêt est que Damien et Luc entendent aussi notre conversation. Cédric se colle presque à moi. Il se penche un peu pour prendre de l'eau dans ses mains et me frotte les cuisses et le ventre :
- Te voilà bien timide...
- Pardon ?
- J'en ai surtout sur les seins, tu sais...

Il sourit et entreprend enfin de me laver la poitrine. Avec le peu d'eau qu'il parvient à prendre avec ses mains, il effleure de sa bouche mon mamelon à chaque fois qu'il doit se pencher. Après quelques minutes amusantes de ce manège, mes tétons pointent intensément.
- Je crois aussi que j'en ai reçu un peu dans le dos...
- Dans le dos ? Mais c'est imposs...
Il se tait, ayant compris ce que j'attends de lui. Il se plaque à moi et me caresse doucement les fesses.

Je sens maintenant son érection contre mon ventre. Un coup d'œil vers la plage me permet de constater que Luc et Damien y sont toujours allongés, attentifs à ce que nous faisons et apparemment plutôt excités. Seul Luc se masturbe en nous regardant. Je l'interpelle :
- Luc, je crois bien avoir déclenché une belle érection...
- Trois, ma Juju. Tu es responsable de trois belles érections.

Je glousse comme une gamine :
- Hihi... C'est vrai...
Luc ajoute :
- Puisque Cédric vient de te rendre service, tu peux peut-être lui demander comment le remercier.
Je me tourne vers Cédric et l'enlace :
- Je crois que mon copain accepte que je te masturbe.

- J'adorerai te prendre en levrette...
- N'en demande pas trop. Si tu veux, tu peux te branler entre mes fesses.
- Mmmm, je veux bien essayer.
Je me retourne et il vient se coller à moi. C'est terriblement excitant de sentir sa tige tendue entre mes fesses, si proche de mon anus, si proche de mon sexe.

Il en profite pour me peloter un peu. J'avoue ne pas être contre. Il fait glisser sa queue entre mes deux globes fessiers, faisant frotter un peu ses couilles contre mon anus. C'est délicieux. Quand je me cambre un peu pour qu'elles viennent frotter contre ma moule, Cédric surinterprète mes intentions et se baisse un peu. L'instant d'après, je sens son membre investir ma fente et y plonger d'une seule traite.
- Ooooh !!!

Luc me demande :
- Il... Il te pénètre ?
- Oooh... Oui... Je crois bien que ouiiii...
Cela semble avoir raison de la résistance de mon pauvre Luc. Il arrête de se masturber, mais c'est trop tard. Son sexe expulse sur son ventre un flot de sperme épais.

Et à côté, Damien ne vaut guère mieux. Lui semble au contraire décidé à ne pas retenir sa jouissance et se masturbe frénétiquement, semblant fasciné par mes seins qui dansent au rythme des coups de reins que m'assène Cédric. Damien se met à râler et l'instant d'après, je le vois lui aussi éjaculer, laissant la semence blanchâtre s'écraser sur son ventre.

C'est incroyable qu'ils se mettent tous ainsi à jouir pour si peu. Je croyais Luc plus résistant, mis à l'épreuve régulièrement par Angela. Je suis sidérée. Je prends conscience que Cédric freine ses assauts et je devine qui est lui aussi sur le point de jouir. Comme mon propre orgasme semble encore bien loin, je décide de couper court à cette infructueuse collaboration et m'extrais de son étreinte pour l'abandonner.

- Mais...
C'est tout ce que Cédric a le temps de dire alors que je me retourne pour voir sa mine déconfite. Son sexe est magistralement tendu, superbe. Il reste comme pétrifié et je vois soudain ses couilles se contracter. Le sperme se met à jaillir et s'écoule lentement le long de sa tige qui tressaute à chaque expulsion.

Je ressors de l'eau en rigolant et me moque des garçons :
- Bon sang, c'est dingue que vous vous contrôliez aussi mal ! Surtout vous deux, là. Allongés sur la plage juste à observer et vous balancez la sauce en un rien de temps ! J'espérais avoir à faire de grands sportifs, mais apparemment, il va falloir que je demande de l'aide à Lionel si je veux avoir un orgasme ?

Damien et Cédric semblent peu apprécier mon jugement, mais Luc rigole car il sait que je fais ça pour les faire réagir.
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Angela - épisode 26 : Jeu de plage
Mardi 2 août 16:11
Ma remarque sur le manque d'endurance des garçons semble avoir blessé Damien dans son amour propre. Il se lève et défend sa virilité :
- Juliette, ne remets pas en cause nos capacités physiques. Si nous avons tous joui si vite, c'est que tu es particulièrement excitante...
- Le compliment me va droit au cœur, mais en attendant, je vous imaginais plus sportifs Cédric et toi.
- Nous le sommes !

- C'est vrai que vous semblez plutôt musclés, les garçons. Vous faites du sport ?
- Course, natation et un peu de salle.
- C'est sûr que ça aide à être bien gaulé...
Je dois admettre que Damien et Cédric sont bien foutus.

Damien capte mon regard sur lui :
- Oh, j'ai l'impression que je suis à ton goût, n'est-ce pas ?
- C'est toujours plus agréable un mec un peu musclé qu'un gringalet chétif.
- Yeah ! Je ne me plains pas.

Luc me demande en souriant :
- Et tu me classes dans quelle catégorie, ma chérie ?
- Ne dis pas de bêtises. Avec le vélo et la natation, tu sais que tu as un corps de rêve.
- C'est toujours agréable à entendre, surtout de la part d'une fille au corps parfait.
- Hihi, tu me gênes...

Luc fait une proposition :
- Et si on faisait un peu de sport ?
- Qu'est-ce que tu as en tête ?
J'imagine déjà que le sport en question ne sera pas si innocent que ça et que j'y jouerai un rôle particulier.

Luc expose son idée :
- J'imaginais profiter de la plage pour faire un genre de baseball.
- Baiseball ?

- Oui, si tu veux, Juju. Mais laisse-moi expliquer. On n'a pas de batte, mais on pourrait partir du principe que l'important c'est d'envoyer loin quelque chose. On peut donc envoyer une pomme de pin en guise de balle, lancée à la main.
Cédric intervient :
- Moi, je suis sûr de pouvoir lancer super loin. J'étais hyper bon en javelot au lycée.
Il fait saillir ses biceps et je m'amuse de voir qu'il est encore en érection.

Luc l'arrête :
- Sauf que c'est Juliette qui va lancer.
- Ah oui ? Mais je ne pense pas pouvoir lancer très loin.
- La crique n'étant pas grande, tu peux aussi la lancer dans la mer. La pomme de pin flotte, elle restera visible.
- Et après, une fois la pomme de pin lancée ?

- Après, tu devras faire un tour de plage avant que l'un d'entre nous récupère la balle et vienne te toucher. Si tu fais le tour avant, tu as gagné. Si on te rattrape, tu perds.
Sachant pouvoir lancer assez loin et ayant de bonnes capacités de courses, je suis plutôt confiante.
- Mais c'est hyper facile, je cours très vite, même sur le sable.
- C'est pour ça que tu devras faire le tour à quatre pattes.
- À quatre pattes ? Là, par contre, je n'aurais aucune chance.
- Sauf qu'on ne va pas travailler en équipe de notre côté. Nous serons nécessairement en compétition pour attraper la pomme de pin et celui qui l'attrapera en premier sera forcément ralenti par les deux autres.
- Hihi, je vais voir des garçons à poil se battre pour une pomme de pin !

Luc me sourit avec un regard qui m'inquiète. J'y décèle une sorte de perversion que je découvre peu à peu chez lui (et qui n'est pas pour me déplaire) :
- Ma Juju, ne te réjouis pas trop vite. Un dernier détail de règle : celui qui apportera la pomme de pin jusqu'à ta position, avant que tu aies achevé ton tour, aura le droit de...
- De ???
- Puisque tu seras à quatre pattes, de te prendre en levrette.

- Je m'oppose à cette règle !
- Faisons cela démocratiquement : qui est pour ?
Damien, Cédric et Luc lèvent évidemment la main.
- Je m'incline...
Damien et Cédric sont subjugués que j'accepte cette règle. Je pars en quête de la pomme de pin.

Luc s'inquiète :
- Juju, tu vas où ?
- Il nous faut une pomme de pin, non ?
J'en trouve une belle, bien ouverte, au pied de la falaise. Je me penche pour la ramasser, mais tournant le dos aux garçons, je place ma main entre mes cuisses pour leur dissimuler mon coquillage.

Armée de ma pomme de pin, je demande quand même quelques clarifications de règles à Luc :
- Si je suis rattrapée, combien de temps doit durer la levrette ?
- Jusqu'à ce que ton vainqueur ou toi ayez un orgasme.
- OK. Et si je parviens à faire un tour sans être rattrapée ?
- Tu pourras faire de nous ce que tu veux.
La perspective est alléchante et j'envisage déjà plusieurs options.

Pendant que j'étais en quête de mon projectile, les garçons ont matérialisé, avec nos serviettes et des branches, les angles d'un grand carré qui me servira de parcours sur la plage. Je me positionne donc sur un angle qui constitue mon point de départ et d'arrivée et je lance de toutes mes forces la pomme de pin à la limite entre la falaise et la mer, espérant ainsi que ce sera plus compliqué pour eux. Ma pomme de pin arrive exactement où je le voulais.
- Yes !

Les garçons se mettent à courir aussitôt. Je suis tellement fascinée de les voir courir à poil avec leurs quéquettes qui se balancent de droite à gauche que j'en oublie de commencer mon parcours à quatre pattes. Luc est dernier, car il n'était pas du bon côté par rapport à mon lancer. En passant devant moi, il me dit :
- Ne perds pas de temps ! Nous, on n'en perdra pas !

Quelle conne ! Il a raison. Je suis si captivée par leur course et leurs fesses musclées en action que j'en ai oublié de partir. Je me dépêche de me mettre à quatre pattes et commence à cavaler sur le sable chaud en direction de l'angle suivant. Je tourne régulièrement la tête pour voir où ils en sont.
- Prenez votre temps les garçons, de toute façon vous n'y arriverez pas.

Quand je parviens au premier angle, je constate qu'ils sont tous les trois les pieds dans l'eau et se tirent les uns les autres, brassant les bras dans les vagues pour éloigner la pomme de pin, la perdant parfois de vue quand elle se retrouve immergée sous l'eau temporairement.
- Ne vous fatiguez pas, j'entame déjà le deuxième côté.

J'arrive à la deuxième étape, la moitié de mon parcours. Je sens que ça va quand même être tendu, car dès qu'un gars aura récupéré la pomme de pin, il viendra me couper la course juste avant l'arrivée pour s'assurer de ma défaite. Et c'est Damien qui parvient à attraper le précieux projectile. Il repart en courant et la brandit pour la mettre hors d'atteinte des mains batailleuses de ses concurrents. Heureusement pour moi, Luc et Cédric ne le lâchent pas et s'interposent entre moi et lui pour l'obliger à faire des détours. J'entends pourtant Damien crier :
- Elle est à moi !
Comme il reluque ma croupe, je me demande vraiment s'il parle de la pomme de pin ou de moi !

Malgré les efforts des deux autres, Damien parvient à me rattraper alors que je viens à peine de franchir le troisième angle et qu'il ne me reste plus qu'un côté à parcourir pour rejoindre l'arrivée. Damien me pose une main sur l'épaule pour formaliser sa victoire, puis se recule et admire ma croupe :
- Je crois que j'ai gagné, Juliette...
- J'en ai bien l'impression.

Son sexe est déjà bien gonflé par l'excitation, mais n'est pas parfaitement dressé :
- Oh, mais tu ne sembles pas si motivé que cela Damien !
- Tu peux me donner un coup de main ? Ou de langue...
- Dans tes rêves. Ce n'est pas dans les règles.
Un peu déçu, mais malgré tout beau joueur, il se masturbe un peu pour donner à sa tige la consistance nécessaire à une pénétration efficace.

Je garde ma position à quatre pattes sur le sable, les cuisses assez écartées pour qu'il puisse venir prendre position. Il engage son gland en moi sans la moindre difficulté (il faut dire que je suis particulièrement excitée moi aussi) et lâche un profond soupir de soulagement, comme s'il attendait ce moment depuis longtemps :
- Aaaaaaah ! Quel pied.
Tandis qu'il commence à aller et venir en moi, je tourne la tête pour constater que Luc et Cédric observent attentivement.

- Attention, Damien, les deux juges vérifient que l'on ne triche pas.
- Je n'en ai pas l'intention.
Il me pistonne efficacement et je sens l'orgasme monter peu à peu. Il m'abandonne soudain, mais c'est pour se relever et me prendre debout. C'est apparemment réglementaire (les arbitres ne s'y opposent pas) et c'est surtout terriblement bon. Mon orgasme arrive très vite.

Mon corps est secoué de spasmes. Luc attend que je reprenne mes esprits pour annoncer à Damien que c'est terminé.
- J'ai l'impression que tu n'as pas joui, Damien, mais c'est terminé puisque Juliette a eu un orgasme.
Plutôt frustré, Damien se retire. Malgré mon orgasme, le fait qu'il me laisse sans avoir éjaculé me frustre moi aussi.

J'interroge Luc :
- Combien de manches ?
- Trois, pour qu'on puisse chacun tenter notre chance.
Je me relève, un peu pantelante, et je prends conscience que cet orgasme ne va pas m'aider pour la manche suivante.

Je ramasse la pomme de pin et, sans trop réfléchir, je la lance le plus loin possible au fond de la crique. Je commence mon périple à quatre pattes, mais me tournant régulièrement pour voir où en sont les garçons, je dévie et me retrouve devant les vagues qui viennent lécher le sable.

Luc se moque de moi :
- Tu fais des détours exprès pour être sûr qu'on t'attrape ?
- Tu ne cherches pas à récupérer la pomme de pin ? Le prix ne mérite pas quelques efforts à tes yeux ?

- Bien sûr que si, mais Damien est frustré de n'avoir pas pu jouir et Cédric est encore plus frustré de n'avoir pas pu essayer...
Effectivement les deux garçons paraissent presque se battre pour être le premier à atteindre le projectile qui à leurs yeux doit être un véritable trésor. C'est Cédric qui semble l'avoir attrapé et il accourt vers moi. Merde ! Je me suis laissée distraire...

Cédric semble ne pas se presser. Il sourit, même ! Il voit que je me suis écartée de mon chemin et que je n'atteindrai pas l'angle suivant avant qu'il n'arrive sur moi. Je décide de m'enfoncer dans les vagues tout en gardant à l'esprit qu'à quatre pattes je ne pourrai pas progresser tant que ça...

Luc se moque encore de moi :
- Tu ne peux plus lui échapper, ma Juju... Fuir ne te mènera nulle part. Il faut accepter l'inéluctable.
Effectivement, Cédric ne prend même pas la peine de venir me chercher dans l'eau. Il attend sur la plage que je revienne. Je sors de l'eau et garde la position à quatre pattes, lui exposant ma moule :
- Bravo, tu as été rapide...

Cédric tend la pomme de pin à Luc en souriant. Le sexe déjà en érection, il vient s'agenouiller derrière moi et me pénètre en râlant :
- Haaaannn !
Damien commente :
- Oui, moi aussi, ça m'a fait le même effet...

Comme s'il était blasé, Luc ajoute :
- Eh oui...
Cédric me saisit aux hanches et entame de vigoureux va-et-vient, m'arrachant des cris de plaisir.

Je ne suis pas loin d'avoir un second orgasme quand Cédric semble avoir une idée lumineuse. De voir mon petit œillet lui faire l'œil alors qu'il me pénètre lui remémore probablement le plaisir que m'avait procuré une introduction anale. Tout en continuant à me prendre en levrette, il enfonce doucement son pouce dans mon petit trou et m'envoie au septième ciel. J'ai l'impression que je dégouline de mouille. Je crie mon plaisir. Cédric accélère. Je crois qu'il veut jouir avant la fin de mon orgasme.

Un peu salope, je me concentre pour me remettre aussi vite que possible de mes émotions. Et parviens à articuler :
- Merci... c'était délicieux.
Luc, en juge vigilant intervient :
- Terminé, Cédric. Juliette a joui. Tu dois te retirer.
Il s'exécute, frustré lui aussi. Je sens du liquide couler de ma moule. Je mets ma main, mais je constate qu'il ne s'agit que de ma cyprine.

Encore un peu dans les vapes, je me redresse. Mon ventre et mes cuisses ont encore quelques spasmes qui pourraient trahir ma tricherie et le fait que mon orgasme n'était pas tout à fait terminé, mais les garçons semblent heureusement se concentrer sur mon visage qui exprime ma satisfaction :
- Cette petite séance sportive est vraiment une excellente idée, les garçons.

Je prends la pomme de pin que me tend Luc et cherche un endroit stratégique pour la lancer de manière à la rendre difficile d'accès. Voyant la falaise, je me dis que si je parviens à la coincer contre un rocher en hauteur, cela constituera une certaine difficulté pour les garçons. Je tente.
- Merde !
Mon lancer est trop fort et la pomme de pin rebondit sur la paroi avant de retomber à quelques mètres devant les pieds de Luc.

Les trois garçons se mettent aussitôt à courir. Damien se plaint :
- C'est pas juste, c'est Luc qui est juste à côté.
Luc n'a effectivement que quelques mètres à parcourir pour atteindre le projectile.

Voyant que je ne vais pas gagner encore cette manche, je me dépêche quand même de partir à quatre pattes en direction de l'avant-dernier angle. Luc est déjà sur le chemin du retour :
- Inutile de te fatiguer, ma belle... tu es à moi.
Tournant la tête, je constate qu'il vient vers moi en marchant, tranquillement, admirant ma croupe.

Quand il arrive à moi, j'interromps ma progression.
- Je crois que je vais devoir me soumettre... Penses-tu réussir à jouir avant moi ?
- Ce n'est pas mon objectif. J'ai surtout envie de tester quelque chose.
- Ah oui ?
- Oui... De voir Cédric t'enfiler son pouce dans le fondement, forcément, ça donne des idées...
J'ai compris son idée et surtout, je sens son idée quand elle se presse, turgescente, contre mon anus.

Oh mon Dieu ! Qu'est-ce que c'est bon ! Il appuie, il force, il me déchire, mais qu'est-ce que c'est bon.
- Aaaaaah salaud !
- Je te fais mal ?
- Mmmm, tu me fais surtout du bien...
Luc progresse lentement, prenant son temps pour investir mon canal étroit.

- Oh putain, Luc ! Tu vas me faire jouir... Et tu vas devoir t'arrêter...
- Tu... tu veux que j'arrête ?
- Oh putain, non ! Continue...
Je le sens soudain se contracter. Il a atteint le point de non-retour. Il se retire et, râlant comme un âne, il dirige plusieurs jets de foutre sur mes fesses.

- Salaud ! Tu as triché. Ta règle n'a parlé que de levrette, pas de sodomie.
- C'est vrai, tu as raison. Qu'en pensent les juges ?
Il se tourne vers Cédric et Damien qui répondent à l'unisson.
- On valide !
Ils ont apparemment beaucoup apprécié de voir Luc m'enculer et semblent fascinés par son sperme qui macule mes fesses.

Je me relève :
- Bon, vous êtes passés tous les trois, je pense que ça suffit, non ?
Damien et Cédric s'insurgent :
- Bah, tu n'as même pas fait un tour complet sur trois lancers... Cela mérite que tu réessayes.
- Et tu n'as pas encore envoyé dans la mer. Peut-être que ça te laisserait plus de temps ?
Si Luc a un peu débandé, Cédric et Damien affichent encore une érection impeccable et cela me fait bien envie :
- OK, une dernière. Préparez-vous !

Les garçons se positionnent rapidement tous les trois entre moi et l'océan, convaincus que j'allais opter pour l'option proposée par Damien. Je me recule, comme si je voulais lancer la pomme de pin loin au-dessus d'eux, mais au lieu de faire ce qu'ils attendent fébrilement, je me retourne et lance la pomme de pin tout en haut de la falaise. Luc est subjugué :
- Wahou ! Là, ça va être chaud...
- Rappelle-moi la règle si je fais un tour complet avant que vous ne retrouviez le projectile ?

- Faire ce que tu veux de nous...
- Mmmmh, je vais faire le parcours en réfléchissant à ce que je vais faire de vous.
Damien commence à escalader les rochers. Cédric le met en garde :
- Ne va pas te rompre le cou.
- T'inquiète, le jeu en vaut la chandelle et je suis un excellent grimpeur.

Luc observe l'ascension de Damien :
- Ma chérie, tu devrais quand même ne pas trop traîner, car Damien semble effectivement plutôt à l'aise à escalader ces rochers...
- Tu as raison, il faut je m'y mette.
Je me mets à quatre pattes et commence mon tour de piste.

À mi-parcours, je regarde où Damien en est. Il est presque en haut de la falaise, mais semble mal pris pour achever son escalade. Luc et Cédric n'ont même pas tenté l'ascension. Je suis presque vexée de me dire que seul Damien a encore envie de moi...
- J'ai l'impression que c'est moi qui vais gagner, non ?

Damien est dégoûté :
- Je t'assure que ce n'est pas la motivation qui me manque. Mais là, impossible de me hisser plus haut. Bravo pour ton tir, princesse.
Damien commence à redescendre.

Je me relève :
- Tu abandonnes ? Vous déclarez donc forfait, les garçons ?
Luc me rappelle à l'ordre :
- Tant que tu n'as pas terminé ton tour, tu n'as pas gagné.
- Tu dis ça juste parce que tu veux encore me reluquer le cul, non ?

Cédric rigole :
- Oui, on serait tous ravis de te voir continuer à te trémousser sur le sable avec le cul en l'air, mais j'avoue que, pour ma part, j'ai aussi envie de savoir ce que tu nous réserves. Donc j'accepte la défaite, même si tu ne termines pas le tour. Nous diras-tu à quelle sauce tu comptes nous manger ?
- Hihi, tu ne crois pas si bien dire !

Damien arrive en bas de la falaise. Je lui fais signe d'approcher :
- Les garçons, pendant que j'étais à quatre pattes, je me suis dit que certains de mes orifices avaient besoin d'un peu de repos, mais qu'il était fort injuste que Damien et Cédric n'aient pas éjaculé alors qu'ils m'ont tous les deux donné un bel orgasme. Je vais donc vous masturber pour vous faire jouir.
Damien vient me rejoindre :
- C'est très charitable de ta part, mais n'as-tu pas d'autres envies nous concernant ?

Je sens bien qu'il est déçu et qu'il aurait espéré davantage. Je lui réponds honnêtement :
- Si, mais là, comme je l'ai indiqué, certaines parties de mon anatomie ont besoin de se mettre en veille.
Je saisis son membre déjà raide et commence à le masturber doucement.

Je le vois grimacer :
- Un problème ?
- On pourrait aller dans l'eau ?
- Pourquoi ? Tu as trop chaud ?
De mon autre main, je lui masse les testicules.

Il frémit, mais finit par me dire :
- Désolé, Juliette, mais ça fait un peu mal, car tu as du sable sur les doigts.
Merde ! Quelle conne ! Il a raison. Je ne vais pas parvenir à le soulager si je suis en train de le torturer.
- Oups ! Désolée ! J'ai une autre option, dans ce cas.
Je m'agenouille alors devant lui et embouche son gland.

Là, même si j'ai laissé quelques grains de sable, mes lèvres et ma langue nettoient efficacement la hampe tendue. Cela semble lui convenir :
- Oh putain ! Tu sais y faire...
Je ne réponds pas, mais prends ça comme un compliment.

Et je sais apparemment si bien y faire que je sens soudain Damien se tendre et ses couilles se contracter. L'explosion est donc imminente. Je ressors son sexe de ma bouche en ne laissant que le gland posé sur le bout de ma langue. Soudain, un premier jet arrive et m'explose au niveau de l'œil. Tandis que cette première salve coule sur ma joue, une autre vient s'écraser sur ma langue et je la laisse s'écouler lentement de ma bouche.

Je regarde Luc. Il semble ravi.
- Tu as vu, Luc ? Damien a de la ressource !
- Et malgré son éjaculation, il ne débande pas...
- Oui, je sais, c'est gâcher de ne pas profiter de ce sexe magnifique.

Luc hoche la tête de droite à gauche :
- Tu en as déjà profité, il me semble. Tu te souviens ? Il t'a fait jouir en te prenant en levrette il y a moins d'une heure...
- Oui, je me souviens. Justement...
Je me lèche les lèvres pleines de sperme pour lui montrer que j'ai encore un certain appétit.

Je relève les yeux :
- Et toi, Damien ? Satisfait de ton gage pour n'avoir pas réussi à ramener la pomme de pin ?
- Non, j'avoue que c'est délicieux et c'est la première fois que je vois mon sperme sur la poitrine d'une fille.
- Ah ? Et ça te plaît ?

Damien louche sur mes seins et hoche la tête en signe d'approbation. Son copain s'approche alors de moi :
- Je pense que c'est mon tour, maintenant.
- Oh, voyez l'animal ! Il bande déjà comme un taureau avant même que je m'occupe de lui !
Je saisis son sexe dressé qui semble raide comme du bois.

Je commence à le masturber doucement et je lui demande :
- Toi aussi, tu trouves que ce n'est pas très agréable le sable collé à mes doigts ?
- J'avoue que ce serait certainement mieux sans...
- En tout cas, ça ne te fait perdre ta vigueur.

- Tes mains sont douces malgré le sable...
- Mais je ne suis pas chienne et tu vas aussi avoir le droit à ma bouche.
Cédric sourit en me voyant m'agenouiller devant lui pour gober son membre tendu.

Luc aussi semble apprécier de me voir sucer Cédric :
- Alors, Cédric ? Elle est douée, non ?
- Ah putain, c'est le pied ! Oh merde ! Je...
J'interromps ma fellation pour regarder Cédric. Je vois à son visage que ce que je craignais est imminent : il est sur le point d'éjaculer.

Un râle de plaisir précède l'effusion. Le sperme se met à jaillir. J'ai beau avoir la bouche grande ouverte et la langue pendue, les giclées de sperme m'atteignent à cinq reprises au visage. Cédric est essoufflé, il me regarde, hébété alors que quelques gouttes de semence tombent sur le sable.
- Je... Je suis... désolé...
- Tu as un peu raté ma bouche, mais tu t'es montré généreux.

Il sourit, ravi que je le flatte. Je me relève et dis à Luc :
- Il ne reste plus que toi !
- Oh, moi, j'ai déjà joui, souviens-toi.
Oui, Luc m'a offert une délicieuse sodomie.
- Je m'en souviens très bien... Si tu passes ton tour, je vais me laver.
Je m'avance dans la mer et nettoie le sperme gluant avec l'eau fraîche.

Cédric et Damien viennent me rejoindre :
- Juliette, c'est toujours un plaisir de passer te voir sur cette plage. Il faut qu'on rentre.
- Merci les garçons. Cette épreuve de baiseball m'aura mis les genoux en feu, mais aussi l'entrecuisse.

- Vous êtes encore là longtemps ?
- Jusqu'à la fin de la semaine. C'est une location.
- Oui, on sait. On connaît un peu le fils des proprios, Lionel.
- Ah oui ?
Je me sens presque honteuse, car je me dis qu'ils vont certainement raconter à Lionel ce que nous avons fait ensemble sur cette plage.

- Allez, à une prochaine. Salut !
Damien et Cédric repartent à la nage. Je vais retrouver Luc qui bande toujours en me regardant.
- Tu es certain que tu ne veux pas toi aussi profiter de ma bouche.
- Ce serait un délice, je le sais. Mais je veux me réserver pour la soirée chez Lionel.
- Ah oui ? Tu crois que je vais m'offrir à toi pendant cette soirée ?

- À moi, à Lionel... on verra bien. Mais avant cela, allons nous préparer.
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Angela - épisode 27 : Cache-cache
Mardi 2 août 18:27
Une fois remontée à la villa, j'ai pris une douche. Luc a sagement attendu que j'aie terminé pour prendre ma place. Mais lorsque je lui ai dit que j'allais essayer des tenues pour ce soir, il a semblé plus qu'intéressé. Sa douche a été expédiée en moins de cinq minutes. Quand il me rejoint dans le salon, seulement habillé d'un blue-jeans, je suis en train d'enfiler une petite robe noire.
- Oh, tu es déjà douché ?

- Oui... J'ai fait vite... J'adore te voir t'habiller et te déshabiller.
- Tu devrais m'accompagner quand je fais du shopping, alors...
- Je vais y réfléchir sérieusement. Mais, là, c'est quand même un peu différent.
- Qu'est-ce qui est différent ?

- Peut-être le fait que tu ne portes aucun sous-vêtement ?
- Ah ? Tu crois que je devrais ?
- Mon Dieu ! Non ! Certainement pas !
- Ouf, tu me rassures. J'ai pris goût à m'en passer et, avec cette chaleur, je trouve ça vraiment plus confortable.

- Fais quand même attention à ce que la robe ne soit pas trop courte.
- Oh, comme c'est mignon ! Tu veux être le seul à voir mes fesses ?
- Non, pas spécialement, mais on ne sait pas trop qui sera invité à la fête de Lionel.
- Moi, je pense que ce sera surtout des mecs, et surtout des obsédés comme toi.

- Alors, je ne suis pas certain de pouvoir assurer ta sécurité...
- Vu comment je galère à l'enfiler, c'est sûr qu'il faudra être motivé pour me la retirer.
- Oh, mais je suis motivé, moi !
- Alors, viens m'aider à remonter cette foutue fermeture-éclair.

- Je suis certain que tu vas y arriver toute seule.
- Ah oui ? Même pas un petit coup de main ?
- Non.
- Ce n'est pas très sympa, ça...

- Disons que c'est intéressé surtout. J'adore te voir enfiler des tenues.
- Pour mieux me les retirer ?
- Pas nécessairement, je te trouve très excitante quand tu t'habilles.
Un coup d'œil à son jeans me montre qu'il a effectivement une érection conséquente.

- Tu me trouves excitante quand je suis habillée ou quand je suis nue ?
- Ah, je vais peut-être te surprendre, mais je crois que c'est une jolie robe qui parvient à montrer et à dissimuler à la fois.
- Juste la robe. Dans ce cas-là, je te la retire et je te laisse faire ta petite affaire avec...
Je rigole en voyant son air agacé.

- Pffff... Tu sais bien quel effet tu as sur moi, habillée, déshabillée...
- Merci, mon chéri.
Je parviens à décoincer la fermeture et à la remonter.
- Désolé, cher monsieur, mais je crois que vous n'allez plus pouvoir voir mes seins...

- Ne remonte pas la fermeture jusqu'en haut. Laisse voir un peu de ta poitrine.
- Pour attirer le regard des amis de Lionel ?
- Oui et pour les faire bander.
- Tu crois qu'ils banderont en me voyant dans cette robe ?

- J'en suis persuadé !
- Tu bandes, toi ?
- Évidemment ! Quelle question ?!
- Montre-moi.
Luc semblait n'attendre que ça. L'instant d'après il abaisse son pantalon et exhibe une fière érection pleine de promesses.

- Hum, si je fais bander les amis de Lionel autant que toi, ça va être chaud.
- Certains voudront certainement jouer avec cette petite fermeture-éclair.
- Tu as envie, toi ?
- J'hésite...
- Attends, je le fais pour toi...
Je saisis la tirette de la fermeture et la descends aussi lentement que possible.

- Je croyais qu'elle était coincée ?
- Pas tant que ça...
- Tu veux dire que pendant une danse, ton cavalier pourrait facilement l'abaisser ?
- Pourquoi un seul cavalier ? Un pourrait ouvrir le décolleté, mais d'autres pourraient aussi faire glisser mes bretelles...

- Et tu les laisserais faire ?
- S'ils sont nombreux, que puis-je faire avec seulement mes deux mains ?
- Au moins, protéger ce qui peut l'être.
- Tu as raison...
Je porte mes mains à ma poitrine comme pour protéger mes seins.

- En espérant qu'ils ne seront pas trop insistants...
- Ah oui ? Tu penses qu'ils pourraient se mettre à plusieurs pour me retirer les mains.
- Ou carrément la robe !
Je vois le sexe de Luc avoir de petits tressautements.

- Dis donc, on dirait que ça t'excite d'imaginer que je puisse me faire mettre à poil par plusieurs mecs !
- D'imaginer que je ne sois pas le seul à te désirer...
- Tu crois que les amis de Luc me désireront autant que toi ?
Je retire mes mains, dévoilant mes seins.

- Je pense que tu es si belle qu'aucun homme n'est en mesure de te résister.
- De me résister ou de résister à l'envie de me mettre nue ?
Je descends doucement la fermeture-éclair.
- De te mettre nue et de te caresser.
- Tu... tu les laisseras me caresser ?
Je retire les bretelles et abaisse la robe sur ma taille.

- Tant qu'ils ne te feront pas mal...
- Alors tu les regarderas me retirer ma robe sans rien faire ?
- Si. Je pense que je les encouragerais.
- Salaud. Je vais me retrouver à poil et rien ne les empêchera de me faire plus que des caresses.
La robe est à mes pieds.

- Et... Et qu'aimerais-tu qu'ils te fassent ?
- Oh, j'ai développé grâce à toi et à cette villa de nombreux fantasmes. Tu veux que je t'en expose certains ?
- ... Bien sûr !
- Alors, être prise en sandwich, pouvoir sucer plusieurs mecs en même temps et pourquoi pas me faire sodomiser devant toi ?
- Ho ! Haaaaannn...
J'écarquille les yeux en voyant que Luc commence à éjaculer, alors qu'il ne s'est même pas masturbé, qu'il n'a même pas touché à son sexe.

Plusieurs jets de sperme sont projetés sur le tapis. La fin se termine en quelques jaillissements qui s'écoulent doucement le long de sa hampe, sur ses testicules, avant de goutter sur le tapis du salon.
- Merde ! C'est dingue ! Tu as tout balancé comme ça ? Sans le moindre contact ?

- Je... je te l'ai dit... Tu es irrésistible.
- Oui, mais à ce point là, ça bat tous les records !
- Tu es ma championne...
- Tu imagines si tous les mecs se mettent à éjaculer sur la piste de danse en me voyant ? Quel joyeux bordel ce serait !
Je rigole et termine de m'extraire de la petite robe.

Je viens le rejoindre en souriant :
- Je crois qu'un petit nettoyage s'impose, non ?
- Pas de refus...
Je m'agenouille devant lui et lèche sa semence en commençant par ses testicules.

Bien sûr, son sexe qui a vaguement commencé à débander retrouve une vigueur insoupçonnée. Je le vois se dresser juste sous mes yeux, se tendant comme un arc. Ma langue remonte alors le long de la hampe jusqu'à la base de son gland. Il frémit. Puis, je redescends jusqu'aux testicules. Je refais plusieurs montées et descentes ainsi, pour m'assurer de parfaitement nettoyer chaque parcelle de son membre.

Luc me met en garde :
- Méfie-toi...
- Quoi ? Tu n'as pas déjà tout donné ? Tu serais capable d'éjaculer à nouveau ? Aussi vite ?
- Si tu continues...
Je prends cela comme un challenge et saisis son membre pour le sucer intensément.

Luc se tend soudain. Je ne le suce vraiment que depuis à peine vingt secondes ! Je me recule pour le regarder. Je vois à ses yeux qu'il est trop tard. Son membre turgescent est prêt à exploser. Il le saisit, comme s'il voulait calmer la bête, mais la pression est trop forte et le processus inéluctable. Une puissante giclée de sperme jaillit et vient me fouetter le front.

D'autres suivent, toutes aussi intenses. J'en prends sur le nez, les joues, dans la bouche. J'ai l'impression d'en recevoir partout. Je dois fermer les yeux de peur d'en recevoir dans l'œil. Luc râle comme un âne. Je suis si excitée de le voir jouir aussi intensément juste après quelques minutes que je sens la cyprine qui goutte de ma fente. Quand la douche de sperme s'achève enfin, j'ai l'impression d'avoir tout le visage englué sous un masque de semence épaisse.

Même Luc n'en revient pas :
- Putain, c'est dingue ! Désolé, ma Juju...
- Ne t'excuse pas, c'est génial ! Tu crois que tu pourrais encore jouir une troisième fois ?

- Là, non, je ne suis pas sûr. Et c'est peut-être mon cœur qui lâchera...
- Ce serait dommage... En tout cas, je suis sidérée que tu aies pu remettre ça aussi vite.
- Oui, c'est fou.
- Et puis, une telle quantité ?

- Faut croire qu'il y avait de la réserve.
- Heureusement que tu n'as pas éjaculé dans ma bouche, j'aurais étouffé...
- Tu as tout pris au visage ?
- Non, pas tout.
Je fais ressortir de ma bouche le sperme que j'ai pris garde de ne pas avaler. Je le laisse couler sur mon menton.

Luc a les yeux exorbités :
- Tu me rends dingue, ma Juju.
- Hihi, j'ai l'impression que tu te contrôles de moins en moins.
- Je suis à ta merci...
- Il faudra quand même essayer de te contenir ce soir. Il y aura des gens... Et je ne vais pas pouvoir te laisser m'éjaculer dessus en public.

On frappe à la porte. Luc répond aussitôt :
- Entrez !
- Mais t'es con ? On ne sait pas qui c'est !
Fort heureusement, c'est Lionel qui trouve très amusant de nous trouver ainsi.
- Zut, j'arrive un poil tard, non ?
- Oh, Luc était en train de me mettre de la crème solaire...
Lionel passe un doigt entre mes seins et y recueille un peu de semence qu'il tourne entre ses doigts :
- C'est curieux... Cette crème solaire ressemble beaucoup à du sperme.

Luc rigole et me tend une serviette :
- Tu ne pourras pas duper Lionel.
Je m'essuie le visage et la poitrine.
- Je n'espérais pas vraiment le duper, mais j'espérais que cela lui donnerait l'idée de me l'étaler sur le corps.

- Beurk, le sperme de Luc ?
- Bah, tu viens bien d'en prendre au bout des doigts.
- Je plaisante, ça ne me gêne pas. Mais je préférerais quand même t'étaler plutôt le mien.
Je lui lance la serviette, pleine du sperme de Luc.
- Tu veux essayer ?

- Explique-moi déjà comment cela est arrivé.
- J'étais en train d'essayer une petite robe pour ce soir et cela a hautement excité Luc.
- Alors, je veux voir la petite robe en question.
- Bouge pas, je vais en chercher une autre.
- Pourquoi pas la même ?
- Je pense que j'ai mieux.

Je retourne dans la chambre et passe rapidement une robe encore plus fine que la précédente. Luc en profite pour se rhabiller. Quand il me voit revenir, il sourit bêtement :
- Ce n'est pas une nuisette ça ?
- Non, ce n'est pas une nuisette. Comme une nuisette, ça peut se porter sans rien dessous, mais ce n'est pas une nuisette.

Lionel semble intéressé :
- Et donc tu ne portes rien dessous, pas même un string ?
- La robe est fine. Tu ne devines pas à travers ?

Lionel écarquille les yeux :
- Non, tu serais à contre-jour, on verrait peut-être mais pas là.
- Et pourtant...
Je relève juste assez le bas de ma minirobe pour que les garçons puissent voir mon sexe libre.

- Mmmm effectivement, ça peut se porter sans.
- Et ça reste décent, non ?
Luc hoche la tête en riant :
- Décent, ce n'est pas vraiment le mot...
- Pourtant, vous ne voyez pas ma minette, si ?

- Non, on ne la voit pas. Mais décent n'est tout de même pas le terme adéquat.
- Alors, pudique, peut-être ?
Je remonte à nouveau le bas de la robe, mais plus haut cette fois.

Lionel nous fait une explication sémantique :
- La décence s'applique à ta tenue. La pudeur à ton comportement. Là, Juliette, tu n'es ni décente ni pudique.
Je tire sur le bas de ma robe, faisant sauter le nœud d'une bretelle. Un pan de mon décolleté tombe et libère un sein.
- Oups...

Luc rigole :
- Décidément, ma chérie, tu ne sais ni ce qu'est la décence ni la pudeur...
Je place ma main sur mon sein pour le dissimuler :
- C'est un accident. Je sais ce qu'est la pudeur quand même !

- Si tel était le cas, tu serais déjà allée te cacher pour te dérober à nos regards.
- Oh, parce que vous, les garçons, vous n'avez pas besoin de vous cacher pour dissimuler les érections galopantes qui déforment vos falzars ?
Je soulève ma robe exhibant du même coup une partie de ma poitrine et mon entrejambe nu.

Pendant que je me rajuste, Lionel rigole et dit à Luc :
- La petite a raison. C'est à nous de nous cacher.
- Hey, je vous prends au mot ! On fait un cache-cache. Je compte jusqu'à 50. Vous vous cachez. Le premier qui parviendra à me surprendre sans que je le voie pourra se faire sucer. On fait ça ?

Luc me fait un clin d'œil :
- On est joueur.
Je pense qu'il a compris que l'objectif est que ce soit Lionel qui gagne. Je m'appuie au mur, les yeux contre mon avant-bras et commence à compter :
- Un, deux, trois...

Pendant que j'ai les yeux fermés, je sens la présence de Luc derrière moi.
- Quatre, cinq... Tu ne vas pas te cacher ?
- Bien franchement, ce n'est pas moi que tu as envie de trouver, non ? Et puis, il me faut un peu de repos...
Il s'amuse à faire glisser une bretelle de ma petite robe.

Je sens son sexe nu contre ma hanche.
- Dis donc, si tu as tant besoin de repos, pourquoi tu t'es mis à poil ?
- Je serai plus discret sans vêtement. Un vrai ninja.
- Les ninjas ne sont pas à poil et toi, tu n'as manifestement pas tant besoin de repos...
Je saisis son membre qui est tendu à l'extrême et le masturbe.

Il écarte mon poignet et me dit :
- Compte donc, sinon Lionel va s'endormir dans sa cachette et il ronflera si fort que c'est toi qui le surprendras.
- Tu as raison. Six, sept, huit...
J'entends Luc s'éloigner.

Le décompte arrive à son terme :
- Cinquante ! J'arrive.
Je rajuste ma bretelle.

Luc étant à poil et en érection, je me rends compte que l'idée de le chercher dans la villa est très excitante. Mais l'idée de me faire surprendre par Lionel m'excite encore davantage. Un bruissement derrière moi me fait me retourner :
- Luc, tu es trop nul : ta bite fait une bosse derrière le rideau.

- Ah merde !
- Idiot. Tu l'as fait exprès. Parce que tu n'es pas en état de te faire sucer à nouveau et parce que tu veux que ce soit Lionel qui me trouve en premier.
- Tu lis en moi comme un livre ouvert.
J'attaque les recherches en faisant attention à ne pas trouver Lionel puisque l'objectif est que ce soit lui qui me trouve. Luc me suit à la trace. Je m'amuse à l'exciter en me penchant plus que de raison pour regarder derrière les meubles, lui faisant profiter de ma minirobe trop courte.

Luc a bien vu mon manège :
- Si je t'avais surprise dans cette position, je n'aurais pas réclamé une pipe, mais je t'aurais prise en levrette sur-le-champ.
Je me redresse :
- Dis donc, ce n'est pas du tout ce que nous avons décidé.

Luc sourit :
- Prends garde que l'excitation ne nous fasse pas enfreindre ces règles.
- Et bien attendant, elles sont inchangées et ce n'est pas mon cul que j'ai mis en gage si j'échoue.
Je tire sur ma petite robe pour dissimuler mes fesses au satyre.

Luc affiche toujours une érection magistrale :
- Mon pauvre chéri. Non seulement tu as besoin d'une pause, car tu n'es plus en état, mais en plus tu restes derrière moi et la vue de mon popotin t'empêche de trouver le repos mérité...
- Je n'ai finalement pas tant besoin d'un répit.
- Oui, mais je t'ai trouvé, donc tu as perdu.

Tout en parlant, nous avions vaguement fait le tour des pièces du bas.
- Pas vu de trace de Lionel en bas. Il doit être en haut.
- Vas-y ! Je vais tenter de me calmer.
- Non, suis-moi. Je veux que ma victoire ou sa victoire soit validée par un témoin neutre.

En entrant dans la chambre, j'aperçois le sommet de la chevelure de notre hôte allongé derrière le lit. Je fais mine de ne pas l'avoir vu et vais vers le placard aux miroirs coulissants. Je m'appuie sur un fauteuil posé devant et commence à faire coulisser les grandes portes.
- Lionel, tu ne peux être caché qu'ici, tu es foutu !

Tandis que j'ouvre tout doucement la porte coulissante du placard, je vois dans le reflet du miroir que ma position offre à Luc un angle de vue très intéressant. À côté de Luc, je vois l'ombre de Lionel qui se redresse derrière le lit. Il est sans doute désolé de devoir faire vite pour me surprendre, car il aurait certainement apprécié de pouvoir se rincer l'œil tranquillement sur ma croupe au lieu de devoir surgir de son trou.

Il sait sans doute que je le vois dans le reflet du miroir. Il sait bien sûr que cette partie de cache-cache n'est qu'une mascarade, un prétexte pour lui faire une fellation. La bonne surprise est que Lionel joue le jeu et il réussit réellement à me surprendre ! En me glissant son majeur dans la fente !
- Oh !!!
- Perdu, Juliette ! C'est moi qui t'ai trouvée !

Évidemment, avec un doigt qui me masturbe le coquillage, je ne la ramène pas et me contente d'un "Bravo" entre deux soupirs d'aise. Luc revient à son idée précédente :
- Alors, Lionel ? La perdante n'a-t-elle pas un cul appétissant ?
- Oh que si ! On en mangerait.
L'instant d'après, je sens la langue de notre hôte se poser sur mon œillet et me le lécher.

Je feule de plaisir, telle une chatte en chaleur. Luc précise à Lionel sa pensée, que moi j'avais déjà bien comprise :
- Tu peux sans doute négocier autre chose qu'une pipe ?
Là, avec sa langue qui fouille ma rondelle et son doigt dans ma moule, je n'ai plus la force de résister :
- Oh oui... prends-moi, Lionel !
Contre toute attente, il se redresse et tempête :
- Quoi ?! Mais ce ne sont pas les règles édictées ! On avait dit une pipe. J'ai le droit à ma pipe !

Je suis complètement perdue. Pourquoi refuser de me prendre ? Dans l'état où j'étais, j'aurais même accepté (voire demandé) une sodomie sans broncher. Frustrée, je me redresse :
- Tu... tu... tu es sûr ?
- Certain !
- Tu préfères une fellation ?

- Je préfère quand on respecte les règles.
Je regarde Luc qui semble aussi surpris que moi et je finis par lui dire :
- Il y a donc encore des gentlemen dans ce bas monde ?
Luc rigole :
- C'est un opportuniste. Il sait que la semaine est loin d'être terminée.
- N'empêche.
Je m'agenouille devant Lionel et déboutonne son pantalon pour extraire son membre déjà bien bandé.

Son sexe me semble énorme. Sans doute que cette petite partie de cache-cache l'a particulièrement excité. Je gobe son gland et fais tourner ma langue autour. Il soupire de plaisir :
- Aaaaah ! Juliette... Je ne saurais dire si je préfère être entre tes cuisses ou dans ta bouche tant tu suces divinement bien.
Du coin de l'œil, je vois que Luc bande toujours autant.

Assis sur le bord du lit, il me regarde opérer :
- Lionel, fais gaffe à sa robe. Elle va t'avoir plus vite que tu le crois.
- C'est certain, mais je sais me contrôler, sa robe ne craint rien.
Je regarde Luc. Il sourit avec l'air de dire "Je t'aurais prévenu".

De mon côté, je me donne effectivement comme challenge de le faire jouir aussi vite que j'ai fait jouir Luc à l'arrivée de Lionel. Et je pense être sur la bonne voie quand j'entends Lionel supplier :
- Doucement... doucement... attends !
Mais je lui maintiens la queue fermement dans ma bouche, ma langue et mes lèvres se délectant de cette énorme friandise.

Et puis, je l'amène au point de non-retour.
- Ah merde ! Non, pas déjà.
J'imagine Luc sourire en voyant que son copain ne se contrôle pas mieux que lui. Je laisse Lionel sortir sa queue de ma bouche alors que l'explosion est imminente. L'instant d'après, d'épaisses giclées de sperme s'écrasent sur mon nez et sur ma joue. D'autres tombent dans mon décolleté. Pas sûr que ma robe en réchappe.

Quand l'éjaculation de Lionel s'achève, il se retourne vers Luc avec une expression d'incompréhension :
- Je n'ai rien vu venir !
- Pareil... Elle est douée.
Je constate que le sperme n'a pas que coulé dans mon décolleté, mais qu'il y en a sur tout le devant de la robe. Lionel a été aussi généreux que Luc.

- Bon, je crois que ma robe est foutue pour ce soir...
Lionel fait comme si ce n'était pas le cas :
- Penses-tu ! Ce sera sec d'ici ce soir. Les invités penseront qu'il s'agit d'une décoration originale.
- Pour être originale, elle est originale : c'est même décoré sur l'envers !
Je tire sur le décolleté pour lui montrer qu'il y a aussi beaucoup de sperme entre mes seins.

Je ne compte de toute façon pas me présenter devant les amis de Lionel avec une robe tachée de sperme.
- Je n'ai pas envie de passer pour une traînée, je vais de toute façon prendre une douche.
- Mais tu mettras l'autre robe, du coup ?
- Je vais voir. En tout cas, pas celle-là, c'est certain.
Je commence à retirer ma robe.

Luc soupire :
- Dommage...
Je montre ma robe tachée à Luc :
- Franchement, tu aurais aimé que je me présente avec du sperme sur ma robe ?
- J'aurais trouvé ça excitant...
- Dans ce cas, je ne prends pas de douche et je ferai la bise aux amis de Lionel en leur faisant profiter un peu de son sperme ?

Lionel rigole et, en se dirigeant vers la porte, nous fait part de son avis :
- Moi, je vote pour une douche et une autre robe !
Luc se résigne en rigolant :
- Oui, c'est sans doute plus sage.
Je ramasse la serviette et laisse Luc pour aller me doucher.

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Angela - épisode 28 : Politesses
Mardi 2 août 21:25
Après ma douche, je vais choisir la robe que je dois mettre ce soir. Il est déjà l'heure de partir et je n'ai plus vraiment le temps de faire de nouveaux essais, mais les précédents m'ont conforté au moins dans le style et la couleur : légère, courte et surtout noire ! Cela fait à la fois classe et discret. Je ne veux pas non plus être le phare de la soirée et que toutes les autres nanas me détestent. Déjà que ne pas mettre de sous-vêtement est sûrement assez osé. Quand je descends rejoindre Luc, il est surpris :
- Tu l'as finalement lavée ?
- Bien sûr que non. C'est une autre. J'ai amené plusieurs robes noires, mais c'est vrai qu'elles se ressemblent beaucoup.

- Elle te va à ravir elle aussi.
- Ne me dis pas que tu es déjà sur le point d'éjaculer !
- Non, mais je bande déjà sérieusement.
Assez excitée à l'idée qu'il bande déjà, je m'appuie à la voiture.
- Fais-moi voir ça.

- Heu... Là ? On n'est pas déjà en retard ?
- Tu sais, je pense que ce n'est pas dramatique s'ils commencent à boire sans nous.
- Bon... OK.
Sans déboutonner son pantalon, Luc ouvre sa braguette et se contorsionne pour finalement extraire une érection plus qu'honnête.

- Miam, belle pièce, mon chéri. Tu penses que tu peux faire mieux ?
- Là c'est déjà dur à maintenir dans le pantalon.
- Alors ça ne va pas t'aider si je fais ça ?
J'ouvre le décolleté de ma robe pour exhiber ma poitrine.

Luc soupire :
- Juju, ce n'est pas sympa. On va vraiment être en retard.
- Oui, mais vu l'état dans lequel tu es, ça me semble préférable.
- Comment ça ?
- Tu préfères assumer d'arriver en retard ou d'arriver avec une gaule de tous les diables ?

- Vu comme ça, effectivement...
Je m'appuie au coffre de la voiture, cuisses écartées et soulève ma robe :
- Allez, vas-y.
- Oh merci, je sens biens que tu fais ça uniquement pour me soulager et que c'est purement désintéressé.
- Je joins l'utile à l'agréable...
Me soulevant une cuisse, il me pénètre doucement.

- Mmmm, ça rentre tout seul. Toi aussi, tu avais besoin...
- Ouiiii... Je te manipule, mon chéri.
- Et j'adore ça. Haaaan...
Il commence à aller et venir en moi à un rythme de croisière.

- Moi aussi... Ooooooh...
- Mieux vaut éteindre ce feu avant d'aller... han... à cette fête...
- Oh ouiii... Tu as raison...
Luc accélère et je sens monter l'orgasme.

Après quelques minutes intenses, Luc se calme. Je sais qu'il est sur le point de venir. Je sens en moi les palpitations intenses de son sexe. J'y suis aussi.
- Oooooh Luuuuc !
Luc fiche son sexe au plus profond du mien et je le sens se répandre en moi alors que les spasmes de l'orgasme me font gémir et presque perdre l'équilibre.

Luc ne bouge plus. Il attend d'avoir tout donné et que les soubresauts de mon plaisir se calment et me permettent de retrouver mon souffle. Quand il se retire, il me dit :
- Désolé, tu vas devoir reprendre une douche...
Je sens effectivement sa semence suinter de ma fente.

- Après ce que tu as donné tout à l'heure, tu as déjà rechargé les batteries ?
- La corne d'abondance, tu te rappelles...
- Ah oui... En attendant, on est trop en retard et on n'a plus vraiment le temps pour une douche.
Je rajuste ma robe.

Je monte côté conducteur, ce qui étonne Luc.
- Tu ne veux pas que je conduise ?
- Non, si j'ai les mains sur le volant, je serai moins tentée de te tripoter. Tu as l'adresse ?
- Oui, il me l'a envoyé par SMS. Je vais te guider.
Luc monte côté passager et semble ravi du choix que j'ai fait pour ma robe.

Pendant le trajet, il me dit :
- Je dois t'avouer que ta petite robe m'excite.
- Comment ça ? Tu bandes encore ? Parce qu'elle est courte ?
- Oui... Et c'est ton décolleté aussi...
Je me hisse pour voir dans le rétroviseur et constate que les bretelles ont glissé vers l'avant et offrent un généreux décolleté sur ma poitrine.

- Mais tu viens de te vider les couilles, ça devrait te calmer, non ?
- Je ne sais. Je n'ai pas peut-être pas tout donné...
- J'avais eu l'impression que c'était beaucoup, moi !
Je profite de l'arrêt à un stop pour vérifier. J'écarte les cuisses et je relève la robe pour voir qu'il y a très peu de sperme à s'être échappé de ma moule.

- Ah bah, non. Tu as peut-être raison. C'est curieux...
- Ceci dit, j'étais bien planté au fond...
- Oui, ça met peut-être un peu de temps.
Avec mes doigts, j'écarte un peu les lèvres pour voir si un peu de semence peut sortir.

- Rien... Bon, allons-y. C'est encore loin.
- La prochaine à droite et tu te gareras en haut du chemin qui sera sur la gauche après la grange.
- Ok. Je m'occupe de toi dès qu'on est garé.
Pendant les derniers kilomètres, je m'amuse à le libérer pour le masturber pendant que Luc tire sur mon décolleté pour dégager un sein.

Quand je me gare, je vois Lionel approcher. Il semble un peu fâché, sans doute par notre retard. Il s'approche à la fenêtre de mon côté et se rend compte que Luc a la queue à l'air :
- Et bien, mon salaud. Ta Juliette ne te laisse aucun répit.
- Non. Et il va falloir que je m'en occupe si je veux qu'il puisse remettre tout ça dans son pantalon avant de venir rencontrer tes invités.

Lionel semble gêné que je dise cela.
- C'est que justement...
- Ne t'inquiète pas, on va faire ça vite. Passe de l'autre côté, tu verras mieux.
Luc semble ravi que je m'occupe de lui devant son copain.

- Tu aimes que Lionel me regarde te sucer ?
- Oh putain, oui.
- Tu voudras que je le suce après ?
- Oui, ce serait fair-play...
- OK.

Je commence par masturber un peu Luc tout en regardant Lionel. Luc ouvre sa fenêtre pour que son copain profite mieux du spectacle. Je me penche sur le membre tendu et commence par lui lécher les testicules. Luc a l'air d'apprécier :
- Juju...
Je remonte le long de sa verge frémissante.

Il me met en garde :
- Attention, Juju...
- Quoi ? Déjà ?
Je le sens se tendre. Je plonge aussitôt sur son mât d'amour et l'engloutis dans ma bouche. Luc se met à râler alors que sa semence se répand dans ma bouche par vagues successives. Je maintiens son gland entre mes lèvres et regarde Lionel qui n'en perd pas une miette.

Dès que Luc a terminé, je le pompe encore quelques secondes pour m'assurer que tout est sorti. Puis, je me redresse :
- Tu fais le tour, Lionel ?
Il ne se fait pas prier et vient à ma fenêtre. La bosse qui déforme son pantalon est impressionnante. Je le libère, mais au moment où son sexe s'éjecte de son écrin, il commence déjà à éjaculer, badigeonnant la portière :
- Quoi ? Mais vous êtes incorrigible, les gars ! Vous ne tenez pas une demi-seconde !
J'embouche aussitôt le membre turgescent pour accueillir dans ma bouche les derniers jets de son nectar.

Quand il semble avoir terminé, j'ouvre la portière pour être plus à l'aise :
- C'est n'importe quoi les gars de jouir aussi vite.
Lionel se défend :
- C'est de ta faute Juliette. Tu dégages une telle énergie sexuelle. Je... oh merde !
Une ultime giclée de sperme vient me fouetter le cou. J'ai le réflexe de baisser aussitôt mon décolleté pour éviter de tacher la robe. Et je reprends aussitôt le membre indiscipliné en bouche pour prévenir toute récidive.

Quand je suis certaine que Lionel m'a tout donné, je le libère :
- Bon sang, mais vous ne contrôlez plus rien aujourd'hui, ou quoi ?
Lionel me tend un mouchoir pour que je m'essuie le décolleté.
- Je crois qu'il n'y a qu'avec toi que ça nous fait ça...
Je sors de la voiture et constate qu'il y a une goutte de sperme sur le bas de la robe :
- Mince, tu m'en as mis là...

J'essuie comme peut la vilaine petite goutte blanchâtre et je prends une profonde inspiration :
- Et voilà ! Nous sommes enfin prêts pour ta soirée !
- C'est que, là, les plans ont un peu changé...
- Hey, on est en retard, mais on est là !

Luc sort de la voiture et regarde Lionel avec gravité :
- Attends, Juju. Écoute Lionel, il y a autre chose.
- Oui, il y a une panne d'électricité dans tout le quartier et j'ai dû annuler la fête.
Comme il nous expose ça, je vois que son regard se perd dans mon décolleté :
- Attends, tu nous fais une blague, là ?

- Non, Juliette. Je suis désolé. Je viens de renvoyer tout le monde. Mes frigos sont HS, pas de musique, pas de lumière. Bref, je préfère reporter à une autre date. Mais c'est sûr que pour vous, ce sera plus compliqué vu que vous partez en fin de semaine...
- Tu as dit à tout le monde de rentrer, mais tu ne nous as pas prévenus ?
Luc soupire dans mon dos :
- Si, je viens de lire son SMS... Il est arrivé pendant qu'on...
- Oh mince. Je suis confuse Lionel.

- Ce n'est pas de ta faute. C'est moi qui suis désolé que vous ayez fait le trajet pour rien.
Je suis sincèrement navrée pour ce pauvre Lionel et me vient une idée :
- Mais, nous, on a de l'électricité et c'est grand à la villa. Tu peux amener ce que tu avais prévu pour boire et manger, le frigidaire est presque vide. Tu peux rappeler tes amis ?

- Je... je vais essayer. C'est très sympa, Juliette. Mais tu es certaine que ça ne vous dérange pas ?
- Bah, non, je m'étais habillée en conséquence, donc j'ai bien envie de la faire cette soirée.
- Oui, je vois ça...
Le regard de Lionel pointe sur le bas de ma minirobe et, avec le soleil couchant dans le dos, j'imagine qu'il doit pouvoir apercevoir l'ombre de mon entrejambe par jeu de lumière.

Luc rigole :
- Cela a été compliqué. Elle voulait être sexy, mais pas trop quand même.
Lionel hoche la tête négativement :
- Juliette, avec ou sans culotte, quoique tu portes, tu es toujours terriblement sexy et tu as pu voir l'effet que ça nous faisait.
- Oui, mais c'est peut-être plus efficace sans, non ?

Luc sourit :
- Oh, ma Juju ! J'adore quand tu nous montres que tu ne portes rien dessous.
Lionel ajoute :
- Vu comment la robe est courte, je pense que plus d'un convive aurait été ravi, car il n'en faut pas beaucoup pour voir ta minette.
- Oui... Hihi. Mais j'aurais été vigilante.

Lionel me fait pourtant remarquer que la vigilance n'aurait pas été suffisante.
- Même sans te pencher, on voit déjà un peu le bas de tes fesses...
- Ah oui ? Et si je me penche un peu ?
Je tourne le dos aux garçons, écarte un peu les cuisses et me cambre juste assez pour sentir la robe remonter sur ma taille.

Luc soupire :
- Magnifique ! On voit absolument tout, ma chérie !
Je rigole en voyant leurs yeux exorbités et je me rajuste pour remonter en voiture.
- Allez hop ! Retour à la villa. Lionel, tu vois si tu parviens à récupérer quelques-uns de tes amis qui ne seront pas repartis trop loin ?
- Allez-y. Je vérifie qui est encore dans le coin et je vous rejoins à la villa.
Le chemin du retour est plutôt sage et je suis même surprise que Luc ne tente rien. Je suis pourtant certaine qu'il bande encore comme un fou. De retour à la villa, je décide d'aller prendre une douche pour me rafraîchir.
- Je vais me doucher.? Tu m'accompagnes ?

- Ce n'est pas l'envie qui me manque, tu le sais bien, mais ce ne serait pas raisonnable et je préfère rester là si des invités arrivent. Et puis Lionel aura sûrement besoin d'un coup de main pour décharger le repas et les boissons.
Pour voir jusqu'où va son allégeance à son copain, je décide de me déshabiller devant lui et fais glisser à mes pieds la minirobe.

- Ah, Juliette ! Tu es diabolique. J'ai bandé comme un âne pendant tout le voyage du retour et là, ça va être compliqué si les invités arrivent.
- Tu veux que je te soulage ?
- Hors de ma vue, pécheresse ! Va te doucher et laisse-moi débander en paix.
Avant d'atteindre l'escalier pour monter à la douche, je jette un coup d'œil à l'admirable proéminence qui déforme son entrejambe.

Une fois sous la douche, je décide de ne mettre que peu d'eau chaude pour que l'eau fraîche calme un peu mon excitation. Je reste ainsi plusieurs minutes sous l'eau à me détendre, même si je n'arrive pas à penser à autre chose que les incroyables éjaculations de Luc et Lionel aujourd'hui. Qu'est-ce que va bien pouvoir donner cette soirée ? Et est-ce que Lionel va réussir à faire venir quelques-uns de ses amis ?

Si on se retrouve uniquement tous les trois, je sais déjà comment va finir la soirée : les garçons voudrait faire un remake de leur relation avec Angela. Même si cette perspective n'est pas pour me déplaire, j'avoue que je serais assez excitée par l'imprévu que peut susciter la présence d'autres personnes qui ne nous connaissent. J'en suis à ces réflexions quand j'entends la porte de la salle de bain s'ouvrir :
- Enfin, tu te décides à me rejoindre ?

Mais en tournant la tête, je constate qu'il ne s'agit pas du tout de Luc ! Je dissimule rapidement et sans doute maladroitement mes parties intimes au regard de l'intrus.
- Salut, Juliette. Je t'apporte une serviette.
- Cédric ?! Mais qu'est-ce que tu fous là ?

- Bah, c'est Lionel qui nous a appelés pour nous dire que la fête était finalement ici...
- Tu connais Lionel ?
- Bah, oui ! On est amis depuis longtemps. Il passait toutes ses vacances ici quand il était môme. Bref, Damien et Luc l'aident à installer la bouffe et la bibine.
- Damien est là aussi ?

- Oui...
- Et il y a d'autres invités ?
- Je n'ai pas l'impression.
Je m'amuse à me montrer moins pudique pour voir sa réaction :
- Merci pour la serviette. Tu peux aller aider en bas.

- Oh, je crois qu'ils se débrouillent bien sans moi. Je vais rester pour bavarder un peu avec toi.
- Moi, je n'ai pas grand-chose à te dire... Tu risques de t'ennuyer.
Il referme la porte et s'appuie au mur pour m'observer.
- C'est un programme qui me convient parfaitement. J'adore m'ennuyer.
J'écarte les cuisses et dirige le jet d'eau sur mon coquillage.

- Mmmmm, c'est délicieux une bonne douche fraîche...
- Et c'est très agréable aussi de regarder une fille impudique profiter d'une bonne douche fraîche.
Je vois à la déformation marquée de son entrejambe que Cédric bande bien.
- De toute façon, si Luc t'a envoyé pour m'apporter une serviette, c'est qu'il voulait que tu te rinces l'œil.

- Et comme ma présence ne semble pas te déranger, je ne vois pas pourquoi je ne profiterai pas du spectacle.
Je coupe le jet d'eau et sors de la douche :
- Et cette serviette, tu me la passes ?

Cédric bondit pour me la tendre :
- Tiens !
- Merci. Un vrai gentleman.
Je commence par me sécher les jambes et le ventre avant de m'essuyer le buste et la figure :
- Tu sais que je vais devoir me rhabiller ?

- Avec quoi ? Je ne vois aucun vêtement !
- Je vais aller m'habiller dans la chambre.
- Ah non, ton mec a précisé que tu devais remettre la petite robe que tu as laissée en bas.
- Je vois... Tu peux descendre me la chercher, s'il te plaît ?
- Luc a dit que tu devais venir t'habiller en bas.
- D'accord, l'exhibition commence déjà... J'ai au moins la serviette pour descendre.

Enroulée dans ma petite serviette, je descends l'escalier, suivie par Cédric. En bas, les garçons semblent avoir terminé l'installation et il n'y a que des têtes connues : Luc, Lionel et Damien. Moi qui espérais un peu de nouveautés et de surprises... La soirée sera sans doute banale : ils vont me prendre la serviette et me faire l'amour à tour de rôle ou en partouze. Si l'issue de la soirée est déjà écrite, la perspective d'avoir quatre mecs pour moi toute seule me convient plutôt bien. Les regards se tournent vers moi quand j'arrive dans le salon.
- Finalement, il n'y a que des habitués.

Luc se lève :
- Juliette, tu pourrais saluer nos invités, non ?
- Bonjour, messieurs.
- C'est un peu léger, tu ne trouves pas ?
- J'aimerais récupérer ma robe, si possible, avant la tournée des bises...

Lionel se lève et vient me rejoindre :
- L'un de nous a caché ta robe.
- Oh, je vois. Et vous me l'échangez contre ma serviette ?
- Presque...
Il fait glisser ma serviette, découvrant mon corps nu à tous, et poursuit :
- ... contre le nom de celui qui l'a caché.

- Ah oui ? Mais me dira-t-il où est cachée ma robe ?
- J'imagine que si tu es convaincante, c'est envisageable.
- Et le coquin ne risque-t-il pas de ne me trouver jamais assez convaincante à son goût ?
Je regarde les trois autres gars qui me dévorent des yeux et semblent attendre que je quitte définitivement la serviette.

Luc entame les négociations :
- Nous sommes des gentlemen, tu peux nous faire confiance. Les autres seront juges et pourront intervenir en cas d'abus.
- J'ai bien peur que les juges profitent autant de la situation que celui qui a dissimulé ma robe.
Je leur fais face et laisse tomber la serviette. Nue, je tente de deviner lequel des quatre est celui avec lequel je vais devoir être convaincante.

Luc dit :
- Bon du coup, puisque tu as quitté ta serviette, on est obligé de te dire qui a caché ta robe.
Il me fait attendre avant de répondre. J'espère que ce sera Damien car il connaît moins les lieux et n'aura peut-être pas trouvé une cachette très difficile à trouver. Si c'est Lionel, cela va rendre la fouille plus complexe et m'incitera à effectivement me monter convaincante :
- Alors ? Qui est-ce ?

Lionel sourit et répond :
- C'est moi !
- Je ne sais pas pourquoi, mais je m'en doutais...
Je viens le rejoindre :
- Alors ? Qu'est-ce que je vais devoir te faire pour récupérer ma robe ?

- Et bien tu vas être surprise. Juste te souvenir des coutumes locales.
- Quoi ? Comme hier soir ?
- Oui, exactement.
- Et donc, Cédric et Damien doivent me sucer les seins et la moule ?

- Ce qu'ils veulent ! C'est à chacun de choisir.
- Mais, sont-ils eux-mêmes seulement au courant de ces coutumes.
Lionel me fait un clin d'œil :
- J'ai eu l'occasion de leur expliquer ce matin...
Damien est déjà contre moi. Sa main se pose sur ma hanche et glisse vers mon entrejambe. Il murmure à mon oreille.
- Bonjour, Juliette, moi je veux t'embrasser ici...

- Il faut que tu viennes devant si tu veux respecter la coutume...
- Disons que je veux innover tout en respectant la coutume.
- Ah oui ?
- Penche-toi en avant...
- Que je... ?
Il m'attrape un sein et m'attire vers le canapé.

Je me laisse faire et me penche sur le dossier du canapé, appuyant une jambe sur l'accoudoir, ce qui semble le satisfaire :
- C'est parfait.
L'instant d'après, je sens sa bouche contre ma moule, son nez dans mon cul et sa langue qui s'immisce dans ma fente.

Bien sûr, cela est délicieux. Cédric semble s'impatienter.
- C'est juste un baiser, non ?
Lionel précise les règles :
- Ah ce n'est pas dit. Je pense qu'il est possible que la rencontre conduise éventuellement à un orgasme.
En sentant la bouche de Damien, je ne peux que confirmer :
- Il est en bonne voie...

Cédric râle :
- Ce serait bien que ça ne dure pas trois plombes. J'attends, moi.
Luc rigole :
- Sois patient. Juliette prendra aussi du temps pour toi. Mais il faut qu'elle lui rende ensuite son salut. Et je pense que tu seras aussi ravi de pouvoir en profiter autant que Damien, non ?
Cédric hoche la tête. Damien ne s'intéresse pas à ce qui se dit. Il me lèche ma minette avec beaucoup de délicatesse, faisant glisser sa langue dans ma fente.

Puis, Damien m'abandonne. Ou, pour être exacte, il change de méthode. Il se lève et glisse deux doigts dans ma moule. Il commente :
- Elle est délicieuse. Sa mouille est un nectar. Je pourrais y rester des heures, mais j'ai cru comprendre que Cédric était impatient...
J'en déduis que Damien compte me donner un orgasme puisqu'il me masturbe doucement au lieu de céder sa place à son copain.

Il ne faut pas bien longtemps pour cette délicieuse pénétration déclenche mon orgasme. Je me mets à vibrer, tombant la tête sur le canapé. Damien en profite pour accélérer ses va-et-vient et accentuer mon plaisir. Mon bassin est pris de secousses, je gémis de plaisir et j'entraperçois le sourire satisfait de Damien qui maintient ses deux doigts en moi.

Quand je retrouve connaissance, je vois Luc me sourire :
- Alors, ma chérie ?
- Mmmmm, j'adore les coutumes locales.
- Et ce n'est que le début...
- Oui... c'est le tour de Cédric...
- Ah non, il faut d'abord rendre la politesse à Damien.
- C'est vrai... j'avais oublié !

Damien a quitté ses vêtements et affiche une impeccable érection. Il fait semblant de s'offusquer :
- Et bien quand même ! Comment peux-tu oublier un mec aussi bien monté ??
- Désolée, je vais me racheter.
Je m'agenouille devant lui et saisit ses bourses pour les masser.

Quand ma bouche enserre son mandrin, il pousse un soupir de plaisir :
- Oh mon Dieu ! Quel délice...
Il pose ses deux mains sur ma tête, comme pour s'assurer que je n'allais pas l'abandonner au moment ultime.

Luc rigole :
- Ne t'inquiète pas Damien, elle ne va pas se sauver. Elle ira au bout...
Damien me libère la tête et me laisse opérer. Mes lèvres montent et descendent sur la hampe de chair palpitante en concentrant l'activité de ma langue sur la base du gland.

Lionel dit alors :
- Cédric, ça va bientôt être ton tour.
Il a sans doute remarqué que Damien allait jouir. Il se contracte effectivement et pousse un profond râle de plaisir. L'instant d'après un flot de semence chaude envahit ma bouche. Les giclées se succèdent à un rythme soutenu et je dois laisser en échapper une partie tant il y en a.

Quand il a terminé, je me relève et me lèche les lèvres pour me débarrasser du sperme qui avait coulé. Je me tourne vers Cédric :
- Tu es prêt ?
- Évidemment !
- Alors, viens.

Il reste pourtant à côté de Luc et Lionel, qui le regardent sans comprendre pourquoi il ne vient pas me rejoindre :
- Qu'est-ce que tu fous ?
- Juste, je me dis que ce n'est pas juste, on est habillé tous les quatre et toi tu es nue.
- Oh, tu es assez perspicace !

- Ne te moque pas. Je veux seulement te proposer de récupérer ta robe. Tu as déjà passé une partie de l'épreuve.
En l'écoutant, je me dis que ce petit pervers veut que je sois en robe pour me "dire bonjour", mais ça me convient :
- Si tu veux. Lionel soulève un coussin de canapé, découvrant ma minirobe. Cédric la ramasse et me la tend pour que je m'habille :
- Voilà un vrai gentleman, qui ne laisse pas une fille sans défense dans une situation délicate.

- Bah, j'avoue que c'est un peu intéressé...
- Ah oui ?
- Oui, je te trouve vraiment très excitante dans cette petite robe.
- Parce qu'elle est courte ?
Je la relève juste assez pour dévoiler ma moule nue aux garçons.

Cédric rigole :
- Parce qu'elle t'habille autant qu'elle te déshabille...
- Et tu vas quand même me saluer selon les coutumes locales ?

- Très certainement !
Je relève un peu la robe sur mes fesses et pose un pied sur le canapé pour exhiber ma moule :
- Tu veux faire comme Damien ?

- J'avoue que c'est tentant...
Il se penche derrière moi et je devine qu'il doit voir à quel point je mouille.
- Alors, laisse-toi tenter.

- C'est que j'ai moi aussi envie d'un peu d'originalité.
Je me retourne et rajuste le bas de la robe :
- Ah oui ? Et quoi est-ce que je dois m'attendre ? Je dois faire le poirier ?

- Non, c'est beaucoup plus simple que ça... Assieds-toi.
- Je me méfie. Quand c'est simple, c'est souvent plus pervers...
Luc intervient :
- Allons, ma Juju. Tu sais bien qu'on dit épicurien !
Je m'assois et attends que Damien expose la manière dont il veut me saluer.

Il s'approche de moi en souriant :
- Tu es magnifique Juliette. Luc est un sacré veinard.
- Oui, un sacré veinard partageur. Maintenant, dis-moi un peu ce que tu veux.
- Juste découvrir petit à petit tes trésors...
Il attrape le bas de ma robe et le soulève pour voir ma minette.

Il pose une main sur mon genou et le caresse délicatement. Je m'attends à ce que sa main remonte à la rencontre de mon intimité, mais il se contente de m'écarter doucement les cuisses.
- J'ai l'impression que ça va être plus long qu'avec Damien, non ?
- Oui, plus long et plus excitant...
Je confirme que ça m'excite d'exhiber ma moule à ces quatre garçons.

Mais l'excitation est telle que je commence à perdre patience :
- Et après ?
- Après ? J'imagine qu'il faut que je te salue.
- Oui, ce serait bien de s'y mettre, là...

Au lieu de venir s'accroupir entre mes cuisses, Cédric vient s'asseoir à côté de moi sur le canapé. Sa main se pose entre mes cuisses. Du bout de l'index, il explore ma fente en montant et descendant successivement.
- Bonjour Juliette...
- Bonjour Cédric...
Le doigt se glisse peu à peu entre mes lèvres humides, jusqu'à débusquer mon clitoris.

Quand il se relève, Cédric se tourne vers Luc :
- Je pense qu'on va passer saluer Juliette tous les jours.
Je me redresse et m'offusque que le salut soit déjà terminé :
- Et c'est tout ?

Cédric rigole :
- Bien sûr que non ! J'aime bien prendre mon temps.
Damien fait remarquer justement :
- Alors que tu t'es montré particulièrement impatient quand c'était mon tour...
- Désolé, mais j'avais hâte de lui dire bonjour.
Il s'agenouille entre mes cuisses et plonge son visage contre mon coquillage, dégainant aussitôt une langue agile et inquisitrice.

Je gémis aussitôt de plaisir alors qu'il se contente de glisser sa langue comme il le faisait avec son doigt. Luc s'amuse de voir cela :
- Juliette semble apprécier cette coutume locale.
- Oh putain, oui ! Aaaaah c'est bon...

- Ma chérie, tout cela semble te donner très chaud.
Luc vient à côté de moi, sans perturber Cédric dans son activité, et soulève ma robe au-dessus de ma poitrine pour exhiber mes seins.
- Vous voyez les gars, les tétons tendus montrent à quel point elle aime ça.

L'orgasme est là. Mon corps vibre, surtout mes cuisses et mon bassin. Je crie. Ma robe retombe sur mon ventre. Cédric tente de maintenir sa tête en position, sa langue s'activant de plus belle sur mon abricot. Les soubresauts continuent, délicieux. Les bretelles de ma robe glissent et la robe glisse sur mon ventre, me laissant dépoitraillée. Quand je reprends mes esprits, Cédric est debout à côté des trois autres gars et semble contempler son œuvre.

Il me faut quelques secondes pour me relever :
- Ouf ! C'est important de respecter les règles de politesse.
- Et surtout les coutumes locales, ajoute Lionel.
- Oui, surtout les coutumes locales.
Je tente de remettre un peu d'ordre à ma tenue.

Damien me rappelle à l'ordre même si c'est parfaitement inutile :
- Il faut maintenant que tu le salues à ton tour.
- Je n'avais pas l'intention de me débiner.

Mes yeux fixés dans les siens, je m'approche de Cédric. Je fais mine de l'embrasser, mais au moment où mes lèvres vont se poser sur les siennes, je me baisse et me mets accroupie à ses pieds pour le libérer, avec les cuisses écartées. Vu le regard des trois autres vers mon ventre, je me doute que la robe trop courte ne dissimule pas mon sexe dénudé et probablement bien mouillé.

Le sexe que j'extrais est déjà bien bandé, long et dur. Avant de le prendre en bouche, je lui dis :
- Bonjour Cédric...
- Bonjour jolie Juliette.
Je pose son gland sur ma langue et observe son regard alors qu'il frémit de plaisir.

Quand je referme mes lèvres sur sa queue et que ma langue commence à tourner autour du gland, Cédric gémit de plaisir :
- Oooooh c'est terrible !
Luc hoche la tête :
- Quand je pense qu'on n'a découvert ce don que depuis quelques jours...
Tout en regardant mon mec, je me mets à pomper Damien.

À nouveau Lionel, observateur, me prévient que j'ai atteint mon but :
- Attention, Juliette ! Je crois que ça arrive...
Et, effectivement, dans les secondes qui suivent, le sperme de Cédric jaillit dans ma bouche. Je décide cette fois-ci de garder la bouche un peu ouverte pour laisser s'échapper la semence épaisse et ne pas avoir à l'avaler.

Cédric râle de plaisir et son sperme coule sur mes doigts, le long de mon poignet, jusqu'à mon coude. Quand Cédric retrouve son souffle, il se tourne vers Damien :
- Je crois qu'il faut vraiment qu'on fasse l'effort de venir saluer la petite Juliette tous les jours.
Je m'assois sur le canapé et soupire :
- Comme si c'était un effort...

Luc frappe dans ses mains :
- Bon, il est presque minuit. Maintenant que les salutations sont faites, la fête peut commencer ?
- Bah non, mon chéri. Il faut que toi aussi tu dises bonjour aux amis de Lionel.
Tout le monde rigole en imaginant les garçons en train de se sucer les uns les autres. Moi, ça ne me fait pas rire, puisque ça m'aurait beaucoup intéressée de voir ça.
^ ---------oOo---------
Angela - épisode 29 : Fête de folie
Mercredi 3 août 00:02
Lionel lance la musique. Il a choisi des classiques de disco des années 80, ce qu'écoutaient nos parents, mais qui reste indétrônable quand il s'agit de faire la fête. Je profite que Lionel n'a pas mis encore le son trop fort pour clarifier quelques éléments sur le programme de la soirée :
- Lionel, tous les invités disponibles sont arrivés ou on attend encore quelques personnes ?

- Et non, ma belle, tu vas devoir te contenter de nous. Quatre gars, ça te suffira ?
- Justement, je m'étais dit que s'il y avait quelques filles en plus, ça aurait pu être sympa.
- Et oui, mais les quelques couples habitent un peu plus loin et n'ont pas eu le courage de revenir...
- Et tu n'as aucune copine célibataire ?

- Tu te doutes bien que si c'était le cas, je ne serais moi-même pas célibataire.
- Tu as aussi le droit d'avoir des copines sans sortir avec.
Luc ajoute en rigolant :
- Lionel se contente de la copine des autres.
Je vois à la mine de Lionel qu'il ne trouve pas la blague amusante et je gronde Luc pour son manque de tact :
- C'est malin, Luc... D'autant que dans le cas d'Angela, on ne peut pas dire que c'était ta copine exclusive.

Luc est gêné :
- Oui, désolé Lionel... c'était con comme remarque.
Damien demande :
- Qui est Angela ?
Je vois que Lionel et Luc se regardent, embarrassés par la question. Je prends les devants :
- Puisque vous n'assumez pas, je vais me charger d'expliquer. Angela est une fille avec laquelle ils sont sortis tous les deux en même temps pendant un an.

Damien et Cédric sont stupéfaits :
- Un ménage à trois ? Tous les deux ? Cette Angela devait être aux anges !
Je demande un éclaircissement à Damien sur cette dernière remarque :
- Parce que, pour toi, une nana est plus heureuse si elle a plus de mecs ?

- Heu, non, pas forcément. Mais elle sait qu'elle ne manquera de rien question sexe.
Luc et Lionel se regardent en souriant, complices. Je soupire.
Damien ajoute :
- Tu devrais t'estimer privilégiée de pouvoir passer une soirée seule avec quatre garçons.
Je me penche pour rajuster ma boucle de chaussure :
- Une soirée, ce n'est pas une année...

Cédric vient se positionner derrière moi et dit :
- Quand je vois ça, je me dis qu'une soirée avec toi, c'est déjà hyper bien.
Je prends conscience que ma robe révèle sans doute ma croupe et ma minette qui doit dégouliner de mouille.

Damien vient le rejoindre tandis que je me bats avec mon attache de chaussure récalcitrante :
- Ouais. Et tu peux nous dire ce que tu veux, Juliette, on voit bien de quoi tu as envie.
- Moi, je dis que tu peux faire mieux qu'Angela et tenter quatre.
Les deux garçons ricanent.

Luc et Lionel ne disent et rien et semblent attendre ma réaction à cette proposition qu'ils ne trouvent peut-être pas si conne. Je me redresse vivement et demande à Luc :
- Tu serais prêt à me partager avec trois autres mecs ?
- Heu attends... Tu viens bien de les sucer les trois gars en question, non ?
- Oui, c'était un jeu. Mais tu serais prêt à me laisser aller plus loin ?
Je lui tourne le dos en me cambrant pour qu'il voie ma croupe et qu'il comprenne bien que je parle ici de laisser d'autres gars me baiser.

Luc ne sait pas comment réagir et cherche à comprendre ce que moi je souhaite. Mais il sent aussi que c'est peut-être une pente glissante. Il tente sa chance :
- Juliette, on ne parle pas de partager entre quatre mecs, ni de faire une partouze ce soir. Juste, on fantasme, tu vois.
- Oui, je vois. Et vous, vous voyez que vos fantasmes m'excitent aussi, mais ça ne veut pas dire que je suis prête à faire n'importe quoi.

Luc fait un pas vers moi :
- Juliette, tu sais, on est des gentlemen et c'est toi qui nous dis ce que l'on fait.
- Oh, bonne idée ! Un genre de "Jacques a dit" ?
- Heu... Oui, si tu veux.
Je me retourne et rajuste les bretelles de ma robe qui avaient glissé pendant que je me battais avec ma chaussure.
- Alors, Juliette a dit : arrêtez de bander les garçons.

Les garçons rigolent. Lionel dit :
- T'es conne, c'est impossible. Toi non plus, tu ne peux pas arrêter de mouiller sur commande.
- C'est vrai. Alors, Juliette a dit : Cédric et Damien, roulez-vous une pelle.

Luc et Lionel rigolent. Cédric et Damien ont les yeux exorbités. Cédric dit :
- Heu, non merci. Ce n'est pas vraiment dans le contrat...
- Alors tu veux bien embrasser ma moule, mais pas la bouche de ton copain ?
Il semble déconfit. Je m'accroupis et me mets en position d'attente.

Lionel vient me rejoindre :
- Arrête, Juliette. Tu les mets mal à l'aise. Ils sont cent pour cent hétéro et tu vas les faire débander à leur demander un truc pareil.
Je me colle contre lui :
- Juliette a dit : danse avec moi.

- Ah voilà, une requête plus raisonnable.
Lionel m'enlace et nous commençons à danser. Je sens la chaleur de son sexe contre ma cuisse, malgré l'épaisseur des tissus qui nous séparent.
- Juliette a dit : caresse-moi...

- Avec plaisir, ma belle.
Ses mains caressent mon dos, ma taille et descendent sur mes fesses. Je frémis. Il me pelote le séant et, peu à peu, je sens que ma robe se retrousse et que Lionel offre aux trois gars la vue sur ma croupe. Je lui murmure :
- Juliette n'a pas dit d'exposer son cul.
- Non, mais Juliette aime ça...
Je sens une main se glisser entre mes fesses pour atteindre du bout des doigts ma moule humide.

- Arrête, tu vas me faire jouir devant tout le monde.
- Tu n'as pas dit "Juliette a dit", donc je continue.
- Juliette a dit : je veux te sentir contre moi.
À regret, il abandonne mes fesses et relève ma cuisse pour venir se fondre contre moi.

Je peux désormais sentir les palpitations de son sexe bandé contre mon ventre. Je crois que je suis trop excitée pour ne pas faire n'importe quoi pendant cette soirée...
- Juliette a dit : tu peux quand même me caresser les fesses.
Ses mains glissent le long de mes cuisses et viennent se repositionner sur l'endroit stratégique.

Il s'écarte un peu et passe sa main à l'intérieur de ma cuisse. Il ne soutient plus ma jambe, mais je la garde levée pour lui faciliter l'accès à ce qu'il veut : ses doigts s'immiscent dans ma fente, tandis que son pouce roule sur mon clitoris. Je défaille et l'embrasse.

Quand je sens qu'il pourrait bien me donner un orgasme, je me ressaisis. Me laisser aller à jouir devant tout le monde dès maintenant pourrait laisser croire que l'orgie est ouverte. Lionel m'interroge du regard :
- Ce n'était pas bien ?
- Oh que si.
Luc, derrière moi, répond :
- Je confirme, elle a beaucoup aimé.

Je rajuste ma robe et me retourne pour regarder Luc :
- Juliette n'a pas dit à Luc de faire des commentaires.
Lionel me dit à l'oreille :
- Mais on est tous contents de pouvoir admirer ton minou.

- Juliette a dit qu'elle voulait être caressée, pas exposée.
- Ok, c'est toi qui fixes les règles.
Lionel reprend à me caresser les fesses.

Je veux le sentir contre moi, sentir son désir.
- Juliette a dit : colle-toi à moi.
Lionel vient se plaquer à nouveau contre mes fesses. Sa main glisse sur ma cuisse et remonte sous ma robe, sans la soulever. Ses doigts atteignent mon clitoris, discrètement.

Luc râle :
- Ce n'est pas juste, on ne voit rien !
Je tourne la tête vers Lionel et lui murmure :
- Juliette a dit : fais glisser les bretelles de ma robe et montre mes seins à mon copain.
- À tes ordres.

Dès que ma poitrine est dégagée, Lionel ne se prive pas pour me caresser les seins. J'interroge Lionel :
- Juliette a-t-elle dit de lui caresser les seins ?
- Juliette me dira si elle veut que j'arrête...
Et j'avoue ne pas avoir vraiment envie, surtout à sentir l'envie de Lionel grossir contre mes fesses.

Moi aussi, j'ai envie de voir et de toucher. Dépoitraillée, à la vue de tous, je me retourne et pose ma main sur l'érection qui déforme son pantalon :
- Tu me la montres ?
- Désolé, mais je veux faire durer un peu le plaisir.

- Durer le plaisir ?
- Oui, je la sors, je ne suis pas sûr de garder le contrôle...
Il s'écarte, me laissant à demi nue au milieu du salon. J'insiste en suivant le protocole :
- Juliette a dit : Lionel, montre-moi ton érection.

- Désolé Juliette. Je sais que j'enfreins les règles, mais ça peut déraper.
- Mais j'ai peut-être envie de te voir déraper.
- Oui, mais je ne veux rien précipiter.
- Si tu ne me la montres pas, je vais me rhabiller...

- C'est dommage. Mais je préfère attendre un peu. D'autres peuvent danser avec toi.
- Un autre sera peut-être plus respectueux des règles du jeu.
- Peut-être. Mais ça me convient aussi de passer un peu de temps à regarder comment ça va évoluer.
- Très bien monsieur le voyeur.

Damien m'interpelle :
- Regarde Juliette. Moi, je veux bien te la montrer !
Il m'expose son sexe bandé, énorme. Je sens une chaleur dans mon ventre, avec l'envie de le rejoindre et de jouer avec cette splendide queue.

Je me tourne vers lui :
- Bravo Damien. Mais je n'ai pas dit "Juliette a dit", ce n'est donc pas valide.
- C'est vache ! J'ai fait un effort moi.
- C'est vrai. Tiens, en compensation, je te montre mes seins.

- Magnifique, Juliette ! Mais...
- Mais ?
- Mais j'aimerais bien admirer aussi ton minou...
Magnanime, je soulève ma mini robe pour exposer l'objet de sa convoitise.

- Merci ! Je peux venir danser avec toi ?
- Dans ton état ? Es-tu sûr que ce sera une danse ?
- Je peux me contrôler.
- Je n'en suis pas certaine...

Il n'insiste pas. Je rajuste les bretelles de ma robe et regarde les garçons qui attendent la prochaine instruction. Lionel semble détendu, alors que Cédric, Damien et même Luc semblent attendre que je propose à l'un d'eux de venir danser.
- Juliette a dit : Cédric, viens danser avec moi.

Il vient me rejoindre et se colle à moi. Il danse langoureusement.
- Juliette a dit : tu peux me caresser aussi.
Il s'attaque aussitôt à mes seins et son pelotage finit par faire glisser une bretelle de ma robe, exposant un sein.
- Oups... Tu vas me gronder ?
- Non, pourquoi ?

- Parce que tu ne m'as pas dit de sortir un sein.
- Juliette a dit : tu peux retirer ma robe, si tu veux.
- Bien sûr que je veux !
Aussitôt, il fait glisser l'autre bretelle, dézippe le dos et fait tomber la robe sur mes hanches. Il se penche pour me sucer un mamelon tandis qu'il continue à pousser ma robe sur mes cuisses.

Avant qu'il ne me la retire complètement, je me retourne et place mes fesses nues contre la bosse de son pantalon. Il est aussi excité que l'était Lionel avant lui. Ses mains se posent sur mon ventre, je les laisse lentement remonter et empoigner mes seins pour les malaxer. Quel plaisir de sentir ses mains sur moi et ses lèvres dans mon cou !

Je laisse ma robe tomber au sol et je taquine Cédric :
- Juliette a dit : arrête de bander.
- Je ne peux pas... Trouve-moi un gage en compensation.

- Un gage ? OK. Alors tu n'as plus le droit de toucher à mes seins...
- Quoi ? C'est vache...
- Tu aimes tant ça ?
- J'adore sentir tes mamelons s'ériger sous mes caresses.

- Tant pis pour toi, il fallait respecter les règles.
- Mais arrêter de bander, ça ne peut pas se faire sur commande !
- Peut-être qu'arrêter de ma peloter t'aiderait ?
Mais je continue à faire onduler ma croupe contre la bosse bien dure de son entrejambe. Il en profite pour remonter ses mains sur mes seins.

Sans le repousser, je le gronde :
- Tu ne respectes aucune règle, Cédric ?
- Je suis en rupture avec l'autorité... Mais j'ai l'impression que ça ne déplaît pas à Juliette.
C'est amusant qu'il me parle à la troisième personne. Et oui, j'aime sentir ses mains parcourir ma poitrine.

Il se penche à mon oreille :
- Je crois que tu aimes les bad boys...
Dans un souffle, je lui réponds :
- Oui...
Nos bouches se trouvent. Sa main gauche se glisse entre mes cuisses et remonte, me forçant à écarter les jambes. Ses doigts atteignent ma vulve et la caressent.

- Je sais quel va être ton gage.
- Ah oui ?
- Je vais te laisser éjaculer dans ton pantalon...
Je lui masse doucement l'entrejambe. Le bougre ne semble être contre.

- Fais comme tu veux...
Il me retourne et continue de m'embrasser dans le cou. Luc rigole :
- Bravo Cédric, tu as trouvé son point faible. En l'embrassant ainsi, elle te mangera dans la main.
Ce salaud n'a pas tort, je suis censé diriger la manœuvre, mais c'est Cédric qui me contrôle.

Tournée contre lui, baisse la tête pour chercher sa bouche. Nos lèvres se trouvent à nouveau et nous nous embrassons avec passion. Sa main glisse entre mes cuisses et ses doigts s'immiscent dans ma fente humide tandis que je tente de glisser ma main dans son pantalon pour atteindre son érection.

Quand ma main parvient à se frayer un chemin vers l'objet de ma convoitise, je découvre un sexe plus imposant que je ne m'y attendais. Sans doute l'ai-je bien excité et ses palpitations me font penser qu'il est probablement au bord de l'éjaculation. Je décide de l'extraire pour voir où il en est.
- Waouh ! Tu es bien excité ! Oh !
Je suis surprise par sa main qui, posée sur mes fesses, vient de mener quelques doigts jusqu'à ma vulve.

Ses caresses sur et entre mes lèvres sont délicieuses. Je feule de plaisir et Luc me demande :
- Dis donc, si son gage était que tu le fasses éjaculer dans son pantalon, il va falloir que tu sois sacrément rapide pour lui remettre en place avant l'explosion, qui me semble pourtant imminente.
Je rigole et tourne le dos à Cédric pour frotter mes fesses contre son membre dressé.
- Oh non, je suis certaine que Cédric sait se contrôler.

Après quelques secondes à profiter de cette position apparemment plutôt confortable, Cédric finit par se reculer, souhaitant éviter sans doute une éjaculation trop précoce à son goût.
- Et bien quoi ? Tu me fuis ?
- Non, mais tu aurais fini par m'avoir...
- Puisque tu ne te sens pas capable de ne pas bander, Juliette a dit : éjacule !
Lui retirant sa ceinture, je lui baisse son pantalon.

- Je ne peux pas sur commande, mais tu peux m'y aider.
Je tiens son sexe dans ma main, mais sans le masturber. Il comprend que je ne vais pas l'aider. Il remet sa main entre mes cuisses et se met à me masturber, lui pour de vrai.

Lionel condamne mon comportement :
- Tu es dure, Juliette. Tu pourrais au moins le masturber un peu.
- Non, c'est son gage. Qu'il éjacule ainsi.

Cédric s'approche de moi et chuchote à mon oreille :
- Il ne faut plus grand-chose.
- Je sais...
Imperceptiblement, mes doigts enserrent et desserrent la hampe turgescente.

Je le sens se contracter. Il ferme les yeux et me dit :
- Tu y es...
Je lâche son sexe et l'embrasse à pleine bouche.

L'instant d'après, je sens son sexe exploser. La colonne de chair a des soubresauts à chaque expulsion. La semence jaillit contre mon ventre. Les trois autres garçons applaudissent. Lionel commente même :
- Enfin ! On pensait que ça allait durer toute la nuit.
Cédric s'écarte. Son sperme coule contre mon ventre.

Luc ajoute :
- Bravo Cédric, tu as été généreux à ce que je vois.
- Et puissant, ajoute Lionel. Regardez, elle en a jusque sur les seins.
Je ne m'en étais pas rendu compte, mais c'est vrai que Cédric a giclé assez haut.

Je me tourne vers les autres garçons pour exposer mon ventre souillé :
- C'est vrai qu'il devait y avoir de la pression là-dedans.
- Faut dire que tu l'as méchamment excité, dit Damien.
- Tu as bien vu que je l'ai à peine touché : tout ça, c'est sorti tout seul !

Luc propose :
- Tu veux une serviette ma chérie ?
Je m'approche des garçons :
- Bah, comme vous avez l'air d'apprécier quand je vous lèche la queue pour vous nettoyer après l'éjaculation, je me disais que l'un d'entre vous allait peut-être se dévouer pour me nettoyer avec sa langue.

Les trois gars prennent un air dégoûté, mais que je trouve surjoué pour Lionel et Luc. Ces deux-là ont sans doute eu l'occasion d'échanger quelques fluides corporels quand ils se partageaient Angela. Cédric rigole de voir la tête qu'ils font. Je me tourne alors vers lui :
- Et toi, Cédric ? Acceptes-tu de nettoyer l'objet de ton forfait ?

Vif d'esprit, il saisit une serviette et me l'apporte :
- Bien sûr que je suis prêt à assumer les conséquences de mon éjaculation !
Et il commence à m'essuyer les seins. Je lui prends la serviette des mains pour poursuivre seule :
- Je pensais à un nettoyage avec la langue, gros malin...

Je redonne la serviette à Cédric qui la repose sur un accoudoir du canapé. Damien s'approche de moi :
- C'est à mon tour de danser avec toi, non ?
- D'accord. Je vais peut-être remettre la robe, non ?

- Inutile, je vais me mettre dans la même tenue pour qu'on soit en harmonie.
- En harmonie ? Rien que ça ?
- Oui, l'harmonie de la nature.
En un rien de temps, il a tout enlevé et exhibe fièrement son sexe conséquent.

- La nature t'a bien pourvu, mais je crains que ton excroissance ne nous gêne pour danser ?
- Oh, elle a l'air raide, mais en réalité, elle garde une certaine souplesse. Et elle peut même se dresser complètement pour ne pas prendre trop de place.
- D'accord, et quel type de danse tu souhaites ?

C'est un slow qui passe actuellement sur la playlist de Lionel. Damien me sourit :
- Ça, je trouve que c'est parfait. On peut prendre le temps, sans précipitation.
- Quand je vois comment tu bandes, tu ne crains pas que des contacts un peu serrés ne provoquent quelque chose.
- Tu m'as déjà fait éjaculer tout à l'heure...
- Oui, mais ces bourses me semblent encore bien pleines...
Je lui masse les testicules, ce qui semble le ravir.

- Il y a toujours une prise de risque...
Comme je commence à le masturber, il se met à empoigner mes seins pour jouer avec. Luc rigole :
- Je ne connaissais pas cette façon de danser le slow...
- Nous ne sommes pas assez serrés l'un contre l'autre ?

- Bah oui, ça ne ressemble pas à une danse, là.
Je me tourne donc vers Damien et me colle à lui en ondulant. Son sexe est chaud et palpite contre mon ventre. Je me décolle un peu pour poursuivre ma masturbation.

Il me murmure à l'oreille :
- Alors ? Que dit Juliette ?
- Juliette a dit que cette grosse queue va bientôt libérer quelques giclées de sperme.
- Sans effort...
Il ferme les yeux et son membre turgescent se met effectivement à cracher plusieurs salves de sperme. Les premiers jets, comme avec Cédric, montent haut jusqu'à mes seins. Les suivants sont moins puissants et s'épanchent lentement sur mon ventre et sur ma main.

Je ne m'attendais pas à ce qu'il vienne si vite :
- Dis donc, ça manque un peu de contrôle, non ?
- Oui, désolé. Mais ça a été extrêmement bon.
- J'ai vu ça.

Je lui présente mon ventre et ma poitrine, à nouveau souillés de semence :
- Tu lèches ou tu me passes la serviette ?
Il reste quelques secondes à contempler, comme s'il hésitait.

Un instant, je me dis qu'il va s'agenouiller devant moi pour me lécher, et cette perspective me plairait beaucoup. Malheureusement, il vient me rejoindre se contente d'étaler sa semence sur mon ventre et mes seins.
- Et voilà, ça ne se voit plus !
- Oui, mais ça va sentir...
- Comme ça je te marque avec mon odeur.

- Pour que plus aucun autre mâle n'ose m'approcher ?
- À voir...
Damien s'écarte, comme s'il laissait la place aux autres. Je m'étire :
- Alors ? Qui veut encore danser avec moi alors que je suis souillée ?

Luc se lève, voulant apparemment manifester que la marque laissée par Damien ne l'incommode pas. Mais Lionel, déjà nu, est plus rapide que lui et s'avance déjà vers moi :
- Moi, Juliette, je veux danser un peu, mais j'aimerais que tu laisses tes mains loin de ma queue, car je ne veux pas finir aussi vite que Damien, même si cela semblait très agréable.

- On joue à Lionel a dit, maintenant ?
- Si tu veux. Lionel a dit : tourne-toi et cambre-toi un peu...
Docilement, je m'exécute et présente à ces messieurs ma croupe, car j'imagine bien que c'est cela que Lionel veut que j'expose.

- Mmmm, Juliette, tu es vraiment magnifique.
- Hum, là, tu ne regardes que mon cul, c'est donc mon cul que tu trouves magnifique ?
Lionel vient me rejoindre. Il pose une main sur ma hanche, l'autre sur mon sein, et me dit :
- Personne ici ne peut nier que tout en toi est magnifique.

Je sens son sexe bandé contre ma hanche.
- Attention avec ton machin, tu pourrais blesser quelqu'un...
- Hey ! Tu as interdiction d'y toucher.
- Je le tiens pour être sûr qu'il ne fasse pas bêtise...
Lionel se laisse faire, malgré mon infraction des règles.

Luc s'insurge en rigolant :
- Mais c'est n'importe quoi ce jeu ! Personne ne respecte les règles.
Je lui explique mon point de vue :
- Disons qu'il s'agit d'un cadre, mais qu'on peut en sortir si le désir devient impérieux.
- Donc tu ne peux résister à masturber ce pauvre Lionel ?
- Oui...

- De toute façon, si Lionel met en place des règles et qu'il n'exige pas qu'elles soient respectées, je ne vois pas l'intérêt.
- Bien sûr que si, mon chéri. Dans quelques secondes, je vais faire en sorte de ne plus pouvoir prendre en main ce bel engin.
- Ah oui, on est tous curieux de voir ça.
Tout le monde rigole en me voyant diriger la hampe rigide entre mes cuisses pour qu'elle s'enfonce dans ma moule. Lionel ne dit rien, il profite de ce que je lui offre.

Lentement, il me pénètre. Damien fait un commentaire :
- Il semble très intense, ce slow.
- Très profond, surtout, ajoute Cédric.
- Oui, mais on ne voit pas grand-chose.
Ils exagèrent, mais je décide de leur montrer ce qui se passe. Je soulève une cuisse et Lionel a la gentillesse de me la porter levée pour que je ne fatigue pas trop.

Luc, toujours attentionné, repousse la table basse vers nous.
- Tiens, Juliette, je pense que tu seras plus à l'aise.
Je peux effectivement poser le pied dessus et laisser plus de latitude à Lionel pour laisser ses mains explorer mon corps pendant qu'il me prend en levrette.

Mais, après m'avoir caressée longuement, le garçon en veut plus. Il me soulève davantage la jambe pour m'attirer contre lui et surtout se permettre de me pénétrer encore plus loin. Je sens un orgasme arriver. Lionel lui-même n'en mène pas large et le contrôle qu'il s'impose pour ne pas éjaculer semble le faire souffrir.

Alors que mon corps est secoué des spasmes de mon orgasme, Lionel sort sa queue et la cale entre mes fesses. Je sens son sperme gicler dans mon dos. Nous restons ainsi quelques minutes, le temps de reprendre haleine. Je me retourne alors pour lui demander :
- Tu as préféré éjaculer sur mes fesses qu'en moi ?

Il ne semble pas comprendre :
- Comment ça ?
Damien intervient :
- De ce que j'ai vu, il a commencé à jouir en toi avant de sortir. Ce qu'il t'a mis dans le dos, c'était la fin.
Écartant un peu les cuisses, je prends effectivement conscience que du sperme s'écoule doucement de ma chatte.

- Ah oui... Avec mon orgasme, je ne m'en étais pas rendu compte.
- Désolé Juliette, je n'aurais pas dû.
- Oh, mais pas de soucis. Par contre, maintenant, tu vas devoir me nettoyer ça à la langue, sauf si un de tes copains veut s'en occuper.

Luc rigole et les autres semblent mal à l'aise.
- C'est dingue que le sperme vous dégoûte ainsi. Même le vôtre (je regarde Lionel). C'est quand même grâce à ça qu'on donne la vie et c'est le résultat d'un plaisir intense. Pourquoi cette réaction ?
Lionel, pragmatique, me tend la serviette pour que je m'essuie les fesses et me répond :
- Sans doute parce que ça sort par le même endroit qu'où on pisse...
- Moi, ça ne me dégoûte pas. J'aime bien ce que c'est et ce que ça représente.

Luc se lève et vient me rejoindre :
- Bon, je n'ai pas souvenir qu'on ait parlé d'une soirée bukkake.
- Quoi ? C'est quoi ça ?
- C'est quand plusieurs mecs se soulagent en même temps sur le corps d'une fille.
Je me tourne vers Lionel :
- Vous l'avez fait avec Angela ?

Lionel semble gêné et regarde Luc, qui lui me répond sans me répondre :
- Un bukkake, ce n'est pas seulement deux gars. C'est une dizaine, voire plus. Mais on n'est pas là pour ça, je pense, on est là pour danser.
Je connaissais le concept, mais ne connaissais pas le nom de cette pratique. Pour l'heure, Luc est en train de m'enlacer et je réponds à sa danse en frottant ma cuisse contre sa hanche.

Il m'attrape alors cette cuisse, et la remonte haut.
- Luc a dit : dansons collés-serrés.
En sentant sa queue pénétrer ma moule, je me dis qu'il s'agit plutôt d'un « collés-emboîtés ».

Tout en dansant, Luc va et vient en moi. La sensation est divine. Je le sens terriblement gros en moi. J'imagine qu'il est excité de pouvoir me baiser ainsi devant d'autres mecs. Moi aussi, cela me fait un effet terrible. Je vois que Damien et Cédric sont assis confortablement dans le canapé à nous observer. Les cuisses écartées, ils se masturbent gentiment. Luc relève encore plus ma jambe pour que tout le monde voie bien ses pénétrations.

Moi, ayant eu un orgasme peu avant, je mets peu de temps à sentir le plaisir arriver, mais Luc me soulève et me hisse pour que je m'accroche à son cou, les deux pieds en l'air. Cédric commente :
- C'est toujours une danse quand on n'a pas les pieds par terre ?
Damien rigole :
- Ouais, là c'est Luc qui danse pour deux...

Dans cette position, Luc m'amène devant les gars qui se paluche, leur offrant une vue imprenable, à la fois sur sa pénétration, et sur mon anus. Lionel sourit. Cédric et Damien se paluchent fébrilement. Pas sûr qu'ils tiennent le choc. Surtout quand je me mets à miauler de plaisir parce que Luc me branle le cul avec deux doigts.

Bien que je sois dans un état second, au bord de l'orgasme, j'entends la voix de Cédric :
- Oh putain... ça y est !
Baissant les yeux, je le vois éjaculer, son sperme épais s'écoulant lentement le long de sa hampe et sur ses doigts.

Tout cela a aussi raison de moi. Mon orgasme monte et je ne vais pas m'empêcher de l'exprimer, car cela excite certainement les garçons :
- Ooooh, Luc... Ouiiiii ! Aaaaaaaaah
Tout mon corps se tétanise de plaisir. Luc a du mérite de me porter alors que je suis une vraie pile électrique.

Je suis d'autant plus admirative de mon homme qu'il me semble qu'il n'a pas encore joui. Je m'accroche à lui pour reprendre mon souffle, puis je me tourne vers les garçons :
- Personne pour nous accompagner dans cette danse ?

Damien, surexcité, se lève aussitôt et demande :
- Pour... danser ?
J'écarte mes fesses pour qu'il comprenne bien que j'ai envie d'essayer d'être prise en sandwich. Et il le comprend si bien qu'il se met à éjaculer sans même avoir eu à toucher son membre turgescent.
- Aaaah merde... Haaaan...

Vu son état de fébrilité, je me doutais qu'il n'allait pas résister longtemps. Lionel rigole et lui tape dans le dos :
- Dommage mon vieux, mais ce n'est pas grave. C'est des choses qui arrivent.
Rigolard, il vient nous rejoindre. Luc me laisse reposer une jambe au sol et j'attrape la tige érigée de Lionel pour m'assurer de sa raideur.

Lionel appuie son sexe contre mon anus. J'ai un peu peur, mais il ne force pas. Luc s'interrompt pour lui faciliter la manœuvre. Je me détends. Cédric et Damien commentent :
- Putain, c'est cette danse-là que j'aurais voulu faire...
- Laisse tomber, on n'est pas à la hauteur. C'est déjà top la danse qu'elle nous a offerte. Dis-toi qu'on l'a chauffée pour que Lionel et Luc la fassent maintenant grimper au rideau.

Le gland de Lionel parvient à s'immiscer dans mon petit trou. Par contre, cela semble tant l'exciter qu'il est déjà particulièrement gros. Peut-être trop. Il y va doucement. Luc me baise doucement, pour me détendre. Mais je crie de plaisir quand je sens le sexe de Lionel commencer à me pénétrer vraiment.

Je ne me rends pas compte où en est Lionel, mais j'ai l'impression qu'il est entièrement en moi. Je me trompe et je le sais par les commentaires de Damien :
- Putain, il ne lui a pas encore mis la moitié et elle est déjà aux anges.

Luc me soulève à nouveau pour aider Lionel. Je ne touche plus le sol. Cela semble mieux convenir à Lionel qui commence ses va-et-vient en moi, en essayant d'aller à chaque fois un peu plus loin.
- Oh putain les gars ! C'est si bon de vous sentir tous les deux...
Ils ne répondent pas, concentrés sur ce qu'ils font. Je me dis qu'Angela a sans doute eu l'occasion d'être prise ainsi en sandwich.

Mes deux amants se déchaînent et ils jouissent presque en même temps. Je les sens se déverser en moi, d'abord Luc, puis Lionel. Sentir ces deux queues me remplir et s'épancher en moi est absolument divin. Cela déclenche un orgasme terrible qui me fait crier de plaisir, probablement entendu à des kilomètres à la ronde.

Je ne saurais dire combien de temps mon orgasme a duré, ni combien de temps nous sommes restés tous les trois ainsi. Je sens que Lionel se retire, puis, juste après, Luc me soulève pour se libérer aussi. Quand il me dépose, je sens leur semence qui s'écoule de mes orifices et je serre les cuisses. Cédric et Damien sont sur le canapé à me regarder, la queue déjà basse :
- Désolé les gars, il n'y avait que de la place pour deux...

Damien se lève et me sourit :
- De toute façon, tu as vu, je n'aurais pas été opérationnel... Merci pour ce que tu nous as offert. C'était splendide de te voir jouir ainsi.
Son sexe ne bande plus, mais est encore maculé de sperme épais.

Cédric est toujours assis :
- Oui, on a pris du bon temps. Et toi aussi apparemment, vu comment ils t'ont fait gueuler.
- Hihi, oui, j'ai pris mon pied.
Le pauvre garçon a un peu débandé et lui aussi à la main et le ventre maculé de semence blanchâtre.

- Je vois que vous aviez encore de la ressource, tous les deux...
Damien rigole :
- On n'est pas débutants non plus... Lionel et Luc ont été moins généreux ?
- Je pense que si...
Je m'allonge sur le canapé en face, cuisses écartées pour lui montrer le sperme qui s'échappe de mes orifices.

Damien attrape la serviette et y cherche un coin encore non souillé pour s'essuyer.
- Ce n'est pas tout ça, mais il est hyper tard. On va vous laisser dormir.
- Attendez les gars, vu l'état dans lequel vous êtes, ça ne me semble pas très sage de prendre la route à cette heure.

Lionel fronce les sourcils :
- Tu veux qu'on reste dormir ici ?
- Bah oui. Le lit de la chambre est hyper grand, on y teindra à trois. Et Cédric et Damien peuvent prendre chacun un canapé.

Luc hoche la tête :
- Juliette est la voix de la sagesse.
Je me lève :
- Donc c'est décidé. Chacun passe à la douche et dodo.

Bien sûr, je ne me fais pas vraiment d'illusions : si Luc et moi partageons le lit avec Lionel, je ne suis pas certaine de vraiment pouvoir dormir pendant cette fin de nuit.
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Angela - épisode 30 : Songes intenses
Mercredi 3 août 02:17
Alors que nous pensons la soirée terminée et qu'on va pouvoir aller dormir, nous nous rendons compte que ce n'est pas réellement le cas, car chacun a besoin d'une bonne douche. Pendant qu'on passe un par un à la salle de bain, les autres attendent dans le salon à discuter, à poil. Moi, je suis passée en première et j'attends maintenant avec les autres que chacun des gars y soit passé. Même si nous restons plus sages, cela ne m'empêche pas de m'amuser avec les tiges de Cédric et Damien que je m'amuse à faire se dresser entre mes doigts.

Lionel a sorti des bouteilles d'alcool auxquelles nous n'avions presque pas touché pendant la soirée.
- Allez, je n'ai quand même pas ramené tous ces apéros pour rien !
Avec la fatigue et les activités intenses de la journée, je ne me méfie pas et je bois plus que de raison. Si bien que, quand nous montons enfin nous coucher, moi, Luc et Lionel, l'ascension est plus compliquée que prévue. Une fois arrivée au lit, je m'effondre et le sommeil me cueille aussitôt.

Malgré la fatigue et l'alcool, je ne parviens pas à trouver un sommeil profond. J'ai l'impression de comater, tandis que je perçois la respiration profonde de Luc à côté de moi qui semble s'être adonné tout entier aux bras de Morphée. Je suis donc dans un état de sorte de rêve éveillé. Je repense à la fameuse magie de la villa, cet éveil sexuel que ce lieu a éveillé en moi. Je repense aux érections des garçons, à leurs éjaculations. Je rêve qu'ils se masturbent, tous debout autour de moi, et qu'ils éjaculent sur mon corps. Je rêve que je mouille. Mais est-ce vraiment un rêve ? Ma main entre mes cuisses me confirme que le rêve a eu une incidence sur la réalité.

Où s'achève le rêve ? Où commence la réalité ? Tout ce sperme sur moi, est-ce un rêve ? Et ces mains qui me touchent ? Oui, je sais qu'elles sont bien réelles puisque ce sont les miennes. J'écarte les cuisses pour que des mains viennent s'y aventurer. Je garde les mains sur ma poitrine pour laisser l'accès libre à un de mes amants oniriques. Lequel va tendre la main pour laisser ses doigts courir sur mon coquillage ?

Et puis, toujours dans ce demi-sommeil, les sensations se font plus précises. Mais ce ne sont pas des doigts que je sens entre mes cuisses, mais une langue. Que les rêves peuvent être doux ! Que les rêves peuvent donner du plaisir ! Mais quand des mains tièdes écartent mes cuisses et que la langue commence à se frayer un chemin dans ma fente, je commence à avoir des doutes.

Je m'éveille doucement. J'ouvre les yeux. Je redresse la tête. Le sommet chevelu du crâne à qui semble appartenir la langue qui s'aventure sur mon sexe me laisse à penser qu'il s'agit d'un homme, mais, à cause de l'obscurité, l'identification ne peut pas aller plus loin. Qu'importe à qui appartient cette langue. Cette langue me donne du plaisir et, dans mon état, identifier son propriétaire me semble secondaire.

Je garde les cuisses écartées au maximum pour laisser cette langue atteindre le moindre recoin de mon sexe.
- Mmmmm, Luc... c'est bon...
Je pars du principe qu'il s'agit de Luc puisque nous partageons le lit, mais je me souviens aussi avoir invité Lionel à dormir avec nous. Lionel ou Luc ?

Mon bienfaiteur trouve mon clitoris et le titille jusqu'à le faire darder à la limite du supportable.
- Oooooh, Luc, tu vas me faire jouir...
Je sens mes seins tous durs, mes mamelons qui pointent.

Et puis j'entends une voix à côté de moi :
- Oui, vas-y ma chérie, jouis !
La voix de Luc. Ce n'est donc pas sa bouche qui s'active entre mes cuisses. Luc est toujours à côté de moi et masturbe une érection splendide.

Je me redresse un peu :
- Oooh Lionel...
Lui aussi se redresse et me sourit :
- Je suis heureux que tu me reconnaisses enfin.

Puis il plonge un doigt dans ma fente trempée :
- De t'entendre gémir dans ton sommeil, ça m'a donné envie de t'aider un peu.
Et sa langue replonge sur mon clitoris tendu.

Il s'interrompt quelques secondes et me regarde :
- Pas trop déçue que ce ne soit pas Luc ?
- Non... C'est bon... Mmmm...
Et sa langue repart à l'assaut de mon entrejambe.

C'est divin et je me retiens pour ne pas jouir trop vite, même si la fatigue ne m'aide pas. Luc y va même d'un conseil à son camarade :
- Prends ton temps, Lionel. Rien ne presse.
À côté, lui aussi se masturbe tranquillement, sans précipitation, en nous observant.

Et puis le plaisir devient irrépressible. Impossible de retenir plus longtemps mon orgasme.
- Oooooh... Aaaaah... Lionel...
Lionel l'a senti, car il accélère son jeu de langue et finit par m'avoir.

Je me perds. Je perds tout point de repère. Pendant quelques instants, mon corps n'est plus que vibrations. Je m'entends crier avec volupté. J'ai une pensée pour Cédric et Damien qui, dans le salon, ont forcément été réveillés par cette expression très sonore de mon plaisir. Lionel semble continuer à faire danser sa langue tant que son ballet m'arrache des cris. J'appuie mes mains sur sa tête pour lui imposer de continuer encore et encore.

Dans une demi-conscience, j'entends Luc m'appeler :
- Oh... Juju...
Tournant la tête vers lui, je vois, comme un écho à mon surnom, son jus jaillir de son sexe turgescent pour éclabousser son torse et son ventre.

Épuisée, je m'effondre, alors que Lionel me laisse enfin tranquille. Je me sens partir à nouveau dans le sommeil. Pourtant, je garde les cuisses écartées, peut-être pour que les garçons me fassent l'amour. Après tout, Luc a éjaculé, mais Lionel pas encore. Je sens son souffle sur moi, il me caresse un sein et m'embrasse dans le cou.

Les gars pourraient abuser sans peine de moi et je les laisserai faire avec plaisir. Pourtant cela ne semble pas le cas : je sens que l'on remonte les couvertures sur moi et qu'on me chuchote à l'oreille :
- Dors bien, ma belle.
Et c'est ce que je fais.

Mais les rêves érotiques me poursuivent. J'imagine maintenant que Luc et Lionel sont à me caresser le corps, les cuisses, les épaules, les seins, le ventre et surtout ma chatte en feu. Ils me chuchotent tous les deux :
- Tu es douce... Tu es chaude... Tu es désirable...

Ils m'embrassent. À tour de rôle, leurs langues cherchent la mienne et nous nous embrassons. Les caresses se poursuivent. Les chuchotements aussi :
- Tu es douce... Tu es chaude... Tu es désirable...
Je sens leurs sexes dressés contre mes cuisses. J'écarte les cuisses pour que l'un d'eux vienne m'investir.

Des mains me prennent les chevilles et me hissent les jambes. Un nouveau chuchotement :
- Tu es désirable...
Et un sexe me pénètre enfin.

Lentement, le membre palpitant s'enfonce en moi. C'est un vrai délice. Comment un simple rêve peut-il tromper mon esprit et donner autant de plaisir à mon corps ? Mon amant commence à aller et venir. Qui ? Je voudrais que ce soit Lionel. Luc a déjà joui. Lionel pas encore, il aurait bien le droit de se payer sur la bête pour l'orgasme qu'il m'a donné plus tôt.

Et puis j'ai un doute. Les assauts de mon amant me sortent de mon rêve. Et je me rends alors compte qu'il ne s'agit pas d'un rêve, mais qu'un homme est réellement en train de me faire l'amour. Sans ouvrir les yeux, je sens les assauts à la fois puissants et tranquilles de Lionel. Me suffit-il de fantasmer pour que mes rêves deviennent réalité ? Ou bien est-ce le sommeil qui me fait perdre les notions de réalité et que depuis le début, les caresses et les chuchotements, c'est Lionel ?

J'ouvre les yeux et confirme visuellement que mon amant est bien Lionel. Il me sourit :
- Désolé, je t'ai réveillée...
- C'est un plaisir...
- Je sais...
Tout en continuant à me pénétrer tranquillement, il fait tourner son pouce sur mon clitoris. Je sens à quel point je mouille et que l'orgasme va me reprendre. Il me donne son pouce à lécher.

Curieux que les mecs puissent croire qu'on aime lécher notre propre jus alors que leur propre sperme les dégoûte ! Je veux bien avaler du sperme, mais je ne prends pas particulièrement de plaisir à lécher ma jute. Mais ça semble lui faire plaisir et l'exciter, alors je me plie à ce petit caprice. Puis il empoigne mes seins et continue à me faire l'amour, mais avec plus de ferveur.

Et là, je me rends compte que je ne contrôle plus grand-chose :
- Ooooooh... Je... je viens encore...
Un nouvel orgasme m'envahit. Je crie à nouveau. Lionel continue.

Puis, alors que je suis encore à subir les spasmes de ma jouissance, il éjacule :
- Haaaaan... moi aussiiiii...
Je sens une première giclée puissante en moi. Puis, il s'extirpe et poursuit son éjaculation en dirigeant les jets vers mon ventre.

Lionel éructe, le visage exprimant un plaisir intense.
- On va réveiller tout le monde.
Luc rigole à côté :
- Moi, si c'est pour t'entendre jouir, tu peux me réveiller autant de fois que tu veux, ma Juju.
Je regarde Lionel qui semble comblé :
- Et toi, Lionel ? Tu n'as pas envie de dormir.
- Si, mais j'ai plus envie de te faire l'amour que de dormir.

Et c'est ainsi, entourée de mes deux amants et le ventre couvert de semence que je me rendors, quelques secondes plus tard. J'entends dans mon sommeil un bruit d'eau qui coule et je devine que Lionel est parti prendre une douche. Je devrais moi aussi, mais je suis trop épuisée pour avoir la force, ne serait-ce que de me lever.

Dans mon sommeil, je sens les mains de Luc sur moi, il étale le sperme de Lionel sur mon ventre. J'écarte les cuisses. Je veux qu'il me prenne lui aussi. Je veux qu'il jouisse encore, même s'il a déjà joui. Parce que c'est mon homme. Parce que je l'aime. Je tourne la tête vers lui et lui chuchote :
- Fais-moi l'amour...
- Oh, je suis trop crevé... Plus tard, ma Juju...
Nous nous embrassons.

Puis je replonge dans mes rêves érotiques. Est-ce un rêve ? Des mains saisissent mes chevilles et me replient les jambes. Mais quand j'ouvre les yeux et découvre un sexe en érection juste au-dessus de ma bouche. Pas celui de Luc, ni celui de Lionel. Dans la pénombre, je n'arrive pas à distinguer s'il s'agit de Cédric ou de Damien, mais Cédric étant moins bien pourvu que Damien, je devine au format de ce membre qu'il s'agit sans doute de Damien.

C'est donc Cédric qui m'écarte les cuisses. Il murmure :
- Deux fois que tu nous réveilles. On n'est pas de marbre. Nous aussi on veut te faire jouir.
Il m'écarte largement les cuisses et je sens alors un peu du sperme de Lionel qui s'écoule de ma moule.

Je me dis que la semence de Lionel va sans doute le dégoûter, mais, curieusement, je sens malgré tout son souffle entre mes cuisses et finalement sa langue contre mes lèvres. Cédric est en train de me lécher la moule, de lécher le sperme de son copain Lionel ! Je trouve ça incroyable. Je saisis la queue de Damien et le masturbe doucement. Ne suis-je pas en train de rêver ?

Puis Cédric semble vouloir passer à autre chose, ce qui est dommage car il est assez adroit avec sa langue.
- Tu pouvais continuer...
- Je vais te proposer autre chose...
Mais je ne vais pas me plaindre, je sens qu'il écarte mes lèvres, sans doute pour présenter son sexe.

L'instant d'après son gland commence à se frayer un chemin dans ma fente. Il ne rencontre bien sûr aucune difficulté, vu comment mon antre est lubrifié de cyprine et de sperme. Il me demande :
- Luc et Lionel ?
- Seulement Lionel...
- Le salaud, il a été généreux. Pas Luc ?
Luc dort profondément à côté de nous. Je n'en reviens pas qu'on soit autant sur ce lit ! Je réponds :
- Il s'est branlé pendant que Lionel me faisait jouir.
- Moi aussi je me suis branlé à chaque fois que je t'ai entendue couiner.
En quelques secondes son sexe est entièrement en moi et je sens qu'il refoule une partie du sperme de Lionel.

Je continue à masturber Damien. Il saisit soudain mon poignet pour m'immobiliser :
- Attends...
Quelques secondes de silence. Puis il éructe :
- Merde ! Pas déjà.
Il relâche mon poignet et je sens une intense pression dans sa tige. Je le lâche à mon tour et sens qu'il est effectivement trop tard : il se met à éjaculer, libérant sa semence sur mes seins.

Cette vision semble décupler le désir de Cédric qui se met à me labourer comme s'il avait un train à prendre.
- Han ! Han! Han !
Cela a le mérite de déclencher un nouvel orgasme.

Mes convulsions de plaisir électrisent tout mon bassin, mes cuisses et mon ventre. Cédric s'immobilise. Je comprends qu'il va venir lui aussi. Je l'encourage :
- Vas-y...
Il se retire alors partiellement, ne laissant que son gland en moi et se met à éjaculer. Quel plaisir de sentir à nouveau le sperme chaud m'inonder les entrailles.

Damien soupire :
- Ma pauvre, tu vas devoir prendre une douche, je t'en ai mis partout.
- Trop crevée, tant pis... Et toi, tu vas en prendre une dès que Lionel sera sorti ?
- La flemme aussi...
- Attends...
J'ouvre la bouche pour lui signifier que je peux le nettoyer un peu.

Il me semble qu'il accepte cette toilette de chat puisqu'il glisse joyeusement entre mes lèvres son sexe qui commence à débander. Je le suce doucement et me rends compte qu'il reprend peu à peu de la vigueur. Cédric s'extrait d'entre mes cuisses et sort de la chambre. Damien se penche alors sur moi et m'embrasse.

- Moi je ne t'ai pas encore fait jouir.
- Luc non plus.
- Luc dort.
- Et tu te sentirais prêt à remettre ça alors que tu viens de jouir ?
- Évidemment !
Il écarte mes cuisses et observe le bouillon de sécrétions diverses qui s'échappent de ma moule :
- Tu crois qu'il y a encore un peu de place pour ton sperme ?

- Tu as raison, cela semble déjà saturé. Et tu as peut-être besoin de repos.
Résigné, il me caresse les seins, tout en y étalant son sperme. Je relève les cuisses haut et soulève mon bassin pour présenter mon anus :
- Il y a peut-être une autre option, pour toi...

L'idée semble lui plaire :
- J'adore cette option, mais... tu as déjà pratiqué ?
- Un peu... J'ai découvert en début de semaine, mais j'y ai goûté plusieurs fois hier : Luc le matin, Joann le midi, Luc à nouveau sur la plage - tu as bien vu - et Lionel hier soir... Il faut y aller doucement, surtout que tu es gros...
- OK. Allons-y progressivement alors.
Doucement, il introduit son majeur dans mon anus.

À sa réponse et à l'assurance de ses gestes, je me demande s'il n'a pas l'habitude de cette situation. Habitué à ce que son sexe imposant puisse effrayer quand une sodomie est envisagée, peut-être Damien prépare-t-il chacune de ses conquêtes de cette manière. Pour l'heure, je ne vais pas me plaindre, le premier doigt était délicieux, les deux actuels sont divins.

Je ne sais pas à quel moment Damien a jugé que j'étais prête, mais quand il retire ses doigts et se redresse, je sais que ça ne va pas être pour me réciter un poème.
- Aaaaaaah !
Quand il engage son gland dans mon petit trou, je ne peux réprimer ce cri de douleur tant il est gros.

Il se penche sur moi et me dit :
- Tu as fait le plus dur. Maintenant, profite.
Et le salaud a raison. Je prends un pied d'enfer tandis qu'il me ramone la rondelle. Je me glisse même deux doigts dans la chatte pour accentuer mon plaisir.

Il s'interrompt et se penche à nouveau sur moi en souriant :
- Laisse. Je m'en occupe.
Il m'attrape le poignet et me retire la main, remplaçant mes doigts par les siens. Dès qu'il reprend la sodomie, je crie de plaisir.

La voix de Lionel se fait entendre :
- Bah, mon salaud, tu l'as bien réveillée, la petite !
Je tourne la tête pour voir qu'il revient de la douche avec une serviette autour de la taille. Je crois distinguer son sexe tendu sous la serviette.

Il ajoute :
- Et il faut que Luc soit sacrément crevé pour ne pas être réveillé par ce concert.
Tournant la tête de l'autre côté, je constate que Luc dort effectivement à poings fermés.

J'ai presque des remords à me faire sodomiser par Damien alors que Luc dort juste à côté. Mais cela m'excite aussi beaucoup qu'il ne voie pas et que je puisse lui raconter demain. Que vais-je lui dire ? Que Damien m'a enculée et qu'il avait deux doigts plongés dans ma minette et que j'ai...
- Ooooooooh...
Que j'ai joui intensément ?

Damien s'immobilise. Sans doute pour me laisser profiter de ce plaisir. Avant que mon orgasme ne s'épuise, mon amant se retire, mais pour mieux s'enfiler dans ma moule béante qui ne demande pas mieux. Et là, alors que je convulse de plaisir, il se met à éjaculer. Son pieu planté en moi se met à cracher une quantité incroyable de sperme.

Quand il se retire, une dernière salve de sperme s'écrase sur mon clitoris. Damien quitte la chambre, Lionel lui dit :
- La douche est libre.
Il s'allonge à côté de moi. Puis, je sens tout le flot de semence de Damien qui s'écoule de ma fente.

Totalement épuisée, je m'effondre à nouveau dans un sommeil profond peuplé de rêves érotiques, voire même pornographiques. Quand j'émerge au petit matin, Lionel est en train de s'habiller :
- Bien dormi, princesse ?
- Pas beaucoup, je pense...

- Non, pas beaucoup. En revanche, tu as beaucoup joui.
- Oui, vous m'avez épuisée, tous les quatre.
- Tous les quatre ? Non. Tous les trois. Je crois que Luc s'est masturbé pendant que je t'ai donné le premier orgasme de la nuit, puis il est tombé dans les bras de Morphée, comme la Belle au Bois Dormant.
Un coup d'œil à mon chéri me confirme qu'il n'a effectivement pas été le plus vaillant de la nuit.

- Dans ce cas, un baiser devrait le réveiller.
- Je te laisse le transformer en grenouille. Moi, je descends prendre un café.
Lionel sort de la chambre et je me redresse pour me pencher sur Luc et lui embrasser le coin de la bouche. Il se réveille effectivement. Quelle magie incroyable !
- Tu as bien dormi mon chéri ?

- Pfff, j'ai l'impression que j'ai trop bu hier soir... Et toi ?
- Moi, tu as vu...
- Ah oui. Lionel t'a fait l'amour. Je me souviens quand même de ça.
- Ce n'est pas vraiment tout...

- Comment ça ?
- Après, tu t'es endormi. Et beaucoup d'autres choses se sont passées.
Il s'assoit sur le bord du lit :
- Là, tu stimules ma curiosité.

- Je ne vais pas tout te détailler, mais Cédric et Damien ont été réveillés par mes orgasmes et sont montés pour voir s'ils pouvaient se rendre utiles.
- Oh, tu t'es occupée d'eux ?
- J'étais trop crevée. Cédric m'a fait l'amour et...Damien m'a sodomisée.
Je vois à l'amusement de Luc que mon visage exprime sans doute le souvenir ému de leur passage.

- Tu as joui ?
- Oh putain, oui ! J'ai joui si fort plusieurs fois que c'est étonnant que cela ne t'ait pas réveillée.
- Même la sodomie ?
- Oui... C'était un peu douloureux, mais Damien a été doué et j'ai pris un pied incroyable.

Luc fait la moue :
- C'est quand même rageant. Ils t'ont fait jouir tous les trois, et moi j'ai pioncé !
- Tu auras sûrement encore l'occasion de te rattraper, mon chéri.

- Oui, j'espère bien.
Je me glisse jusqu'au bord du lit :
- Merci, mon chéri.
- De quoi ?
Je m'apprête à lui répondre "De me laisser être votre Angela", mais je me ravise.
- De me laisser découvrir tout ça, sans te montrer jaloux ou possessif.

- Te voir jouir balaye tout. Je t'aime, ma Juju.
Je me lève, ravie de ces échanges :
- Je t'aime aussi. On va prendre le petit déjeuner ?

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Angela - épisode 31 : Petit déjeuner tardif
Mercredi 3 août 9:53
Avant de descendre, je regarde dans la penderie ce que je peux me mettre. Descendre toute nue alors qu'il y a quatre garçons dans la maison me semble inconvenant, malgré la soirée et la nuit que nous avons passées. Je trouve une petite robe de chambre orange, très fine, transparente. Cela se porte normalement sur autre chose, mais je me dis que, puisque les garçons s'attendent à ce que je reste nue, autant que je m'habille avec quelque chose qui soit plutôt... déshabillé.
La villa est calme. Pourtant tout le monde semble levé, puisque Damien et Cédric ne sont plus sur les canapés du salon. J'entends le bruit de la douche. Chacun se prépare. Je sors sur la terrasse encore à l'ombre à cette heure, mais où la chaleur du soleil commence déjà à se faire sentir. J'entends du bruit dans mon dos.

- Bonjour Juliette.
C'est la voix de Damien, dans la cuisine. Il n'est vêtu que d'un boxer et dépose sur la table la cafetière et quelques tasses.
- Bonjour. Merci pour le café.
- Tu as bien dormi ?
- Dormir est un bien grand mot... Il me semble avoir eu la visite de plusieurs personnes pendant la nuit...

- Heu, oui, c'est vrai que tu as été sans doute beaucoup sollicitée...
- Je ne me plains pas, note bien.
- Oui, tu avais l'air assez satisfaite de nos visites.
En appuyant sur le "satisfaite", Damien pose sa main sur son entrejambe où son sexe semble déjà réagir aux souvenirs de la veille au soir... ou à mon déshabillé orange.

- Je t'avoue que je ne me souviens plus de tout en détail... mais je crois me souvenir que tu t'es autorisé à me mettre ton machin dans un endroit peu conventionnel.
- Oui... Tu regrettes ?
- Pas du tout, mais je ne t'aurais certainement pas laissé faire si je n'avais pas été dans cet état.
- Fatiguée ? Bourrée ?
- Non, excitée par vos assauts successifs...

Damien sourit, manifestement plutôt fier de lui. Et son outil, qui m'a donné tant de plaisir hier soir, semble aussi réagir et grossit encore significativement dans le boxer.
- Oh, tu bandes en permanence.
- Si c'est l'impression que je te donne, c'est que je bande à chaque fois que je suis en ta présence.
- Flatteur !

- Non, réaliste. Tu sembles représenter tout ce dont un homme peut rêver : intelligente, compréhensive, superbe physiquement. Luc a une chance inouïe.
Je crois que je rougis un peu.
- C'est gentil, mais il faut justement prendre Luc en considération dans cette équation. C'est grâce à lui si je m'autorise toutes ces découvertes.

En prononçant ces mots, je me rends compte que si Luc est aussi "ouvert", c'est probablement grâce à son expérience avec Angela qu'il partageait avec Lionel. Damien hoche la tête et ajoute :
- C'est en tout cas une aubaine que vous soyez venu passer vos vacances ici.
- C'est effectivement le paradis ici. Il y a plein de garçons en érection, hihi !
- Oui... ne te moque pas, s'il te plaît.
- Si tu te sens à l'étroit, n'hésite pas à adopter l'uniforme réglementaire de la villa.
- Pas bête !
Et Damien, sans la moindre pudeur (mais pourquoi en aurait-il ?), abaisse son boxer et libère la bête.
- Impressionnant !
- Cela ne te choque pas ?
- Pourquoi le serais-je ? Ne suis-je pas la cause de cette magnifique rigidité ?
- C'est injuste, nous les mecs, ça se voit comme le nez au milieu de la figure quand une fille nous plaît.
- Oui, nous c'est plus discret.
- Et d'autant plus si tu restes habillée alors que moi je suis nu.
- Oh, voyez-vous ça ? Je suis trop habillée pour monsieur ?
Je laisse glisser le déshabillé de mon épaule, dégageant un sein.

- Ah oui, c'est vrai que les tétons tendus sont aussi une marque d'excitation.
- Sauf qu'ils réagissent aussi au froid... Là, j'ai peut-être froid...
- Vu comment la température monte, je ne pense pas, mais ce n'est pas à cela que je pense.
- Je sais bien à quoi tu penses.
Je libère mon autre sein et glisse une main entre mes cuisses pour constater que je mouille effectivement.

- Si tu savais comme tu es excitante.
- Je le vois, mais d'ailleurs, je me dis que tu ne bandes pas tant que ça...
- Quand tu auras tout dévoilé, elle se dressera pour toi.

- Ah oui ?
- Essaie.
J'ouvre mon déshabillé, et me retrouve ainsi presque totalement... déshabillée. Je constate que son sexe se dresse effectivement lentement tandis que ses yeux semblent caresser mon corps.
- Oh, mais c'est vrai que c'est aussi réactif que des mamelons.

- Je t'avoue que toutes les filles ne me font pas cet effet-là...
- C'est agréable à entendre.
- Tu es agréable à regarder.
Son sexe continue à se dresser et à se gonfler doucement.

- C'est dingue ! Et qu'est-ce qu'il se passerait si je m'approchais de toi et que je te caressais les couilles ?
- Je... je...
- Et si j'empoignais cette magnifique hampe pour la masturber tranquillement ?
Il ne répond pas, comme si le fait de me répondre pouvait le faire jouir. J'ai laissé le déshabillé tomber. Je suis nue et je m'offre à son regard comme il m'offre le spectacle de son sexe qui se dresse.

Même si son sexe est maintenant tendu à l'extrême, je continue à l'exciter :
- Une main à te masser les couilles, une autre coulissant sur ta hampe, combien de temps tiendrais-tu ?
- ...
- Et si ma bouche venait s'enrouler autour de ta queue ? Que ma langue faisait le tour de ton gland ? Est-ce que... Oh !
Je découvre avec stupeur qu'il commence à éjaculer.

Pris de soubresauts, son sexe expulse le sperme doucement, par saccades. L'épaisse semence s'écoule lentement sous la tige et goutte par terre avant d'atteindre les bourses.
- Waouh ! Je n'aurais pas cru pouvoir faire éjaculer un homme rien qu'en lui suggérant des caresses, sans même un contact.

Le pauvre Damien est tout penaud, comme un enfant pris à voler un bonbon.
- Je... je suis désolé, Juliette.
- Oh, mais ne le sois pas ! C'est très gratifiant pour moi de savoir que je suis excitante à ce point.
- Ce n'est pas que toi. C'est aussi ta voix, tes mots...

- Ma voix est excitante ?
- Elle est douce et chaleureuse. Oui, elle est excitante.
- Hihi, tu es adorable. Allez, va te doucher. Je vais finir de préparer la table du petit déjeuner pour les autres.

- Tu ne veux pas que je te rende la pareille ?
- Hé ? Tu crois pouvoir me donner un orgasme en me décrivant le cunnilingus que tu me ferais ?
- Ou la manière dont je pourrais jouer avec ton anus...
- Ah ce serait peut-être plus efficace effectivement, mais ça ne suffira pas. Allez, file.
Damien part à la salle de bain, apparemment à contrecœur. Je m'affaire donc à préparer une petite salade de fruits improvisée.

Une voix derrière moi se fait entendre :
- Magnifique spectacle !
Il s'agit de Cédric qui trouve mon séant plutôt à son goût, si j'en crois son érection.

- Bonjour, Cédric. Bien dormi ?
- Comme un loir, après notre petit câlin de cette nuit. C'était bien agréable et je trouve tout aussi agréable la coutume naturiste de cette villa. Tu es particulièrement appétissante.
- Je ne fais pas partie du petit déjeuner.

- Dommage...
Je profite de sa présence pour tenter d'en savoir un peu plus sur Lionel :
- Dis-moi, tu connais bien Lionel ?

- Tu sais que ça pourrait être vexant que tu t'intéresses plus à mon pote qu'à moi alors que je suis à poil devant toi.
- Pardon... Je t'assure que je ne suis pas insensible à ton... état.
Il sourit et scrute mon entrejambe :
- C'est ce que je crois observer.
Je prends conscience qu'il doit voir que les lèvres de mon sexe sont humides, trahissant mon excitation. J'y porte les mains pour soustraire à son regard cette évidence.
- Hey, ça ne se fait pas de regarder le sexe d'une femme !

- Mais ça se fait pour une femme de regarder celui d'un homme ?
- Sans doute pas, mais ce serait dommage que je n'en profite pas...
- Cela ne me gêne pas. Et est-ce que je peux regarder tes seins ?

- J'aurais tendance à dire que si ça t'aide à rester en érection, ce serait même encouragé.
Il me sert une tasse de café qu'il me tend :
- Alors, je vais profiter de ce petit déjeuner pour me rincer l'œil.
- J'espère que tu n'auras pas les mêmes déboires que Damien...

- Ah ? Que lui est-il arrivé ?
- Le pauvre, rien qu'à me regarder, il s'est mis à éjaculer...
- Rien qu'à te regarder ? C'est possible ?
- Oui... Bon, je l'ai peut-être un peu excité en lui décrivant quelques petites choses salaces que je pourrais lui faire...
Je bois une gorgée de café et observe la réaction de Cédric.

Il sourit et dit :
- Je suis prêt à tenter l'expérience.
- Ah oui ? Tu n'as pas peur que cela te fasse éjaculer ?
- J'ai envie de tenter l'expérience.
- Même si tu passes après pour un éjaculateur précoce ?

- Tu sais qu'il n'en est rien. Damien n'en est pas du tout un et moi non plus. Ce qui me rend d'autant plus curieux de tenter l'expérience. Comment de simples mots peuvent faire cet effet ?
- Sans doute comme quand on lit une histoire érotique et que la tension monte...

- Oui mais là, tu lui as parlé combien de temps ?
- À peine deux minutes...
- Alors soit tu es une sorcière, soit il était déjà sacrément excité. Que lui as-tu fait ?
- Bon, peut-être que je l'ai excité avant en m'effeuillant devant lui...
Je bois une gorgée de café.

- Ahah, je m'en doutais !
- Et peut-être qu'il avait en tête ce qu'il m'a fait cette nuit...
- Sans vouloir t'offenser, je crois qu'on est tous venus te rendre visite cette nuit.
Je pose ma tasse sur la table.
- Oui, mais Damien a visité un endroit que ni Lionel, ni toi n'avez envisagé.
Cédric me rejoint, intéressé :
- Quoi, il t'a... ?
- Sodomisée, enculée, oui. Et il n'a effectivement pas été précoce du tout.

Cédric s'écarte, stupéfait par cette révélation :
- Le salaud ! Je ne me serais pas permis.
Je tire une chaise pour m'asseoir et reprends mon café :
- Lui, il l'a fait...

- Quoi ? C'est toi qui lui as demandé ?
- Même pas. C'était son initiative, mais je n'ai pas regretté.
- Et moi ? Tu me laisserais faire ?
- Tu n'en as pas eu l'idée cette nuit...

- Cette nuit, non. Mais là, maintenant, j'avoue que l'idée me travers l'esprit.
Je regarde son sexe parfaitement tendu :
- Et pas que l'esprit, j'ai l'impression...
Je me lève et retourne ma chaise pour m'y installer à cheval, offrant ma croupe de manière éloquente à Cédric.

- Je... tu... Là ? Dans la cuisine ?
- Bah, oui, là on est seuls. Et ça ne t'a pas dérangé de me baiser cette nuit avec Damien, alors que Luc dormait à côté.
Même si Cédric était moins bien monté que Damien, j'avais très envie d'essayer une nouvelle queue dans mon cul.

Cédric s'approche. Je le surveille du coin de l'œil. Après ce qui vient d'arriver à ce pauvre Damien, je m'attends presque à ce qu'il commence à éjaculer avant même d'être arrivé jusqu'à moi. Je me cambre sur la chaise et recule pour dégager mes fesses de l'assise, libérant ainsi l'accès à mes trous intimes. Autant lui laisser le choix...

Il pose une main sur mon épaule et murmure :
- Je crois que ça va être le meilleur petit déjeuner de ma vie...
Je sens alors son sexe s'engager dans ma fente humide, sans la moindre difficulté.

- Oooooh putain, c'est déjà bon par là... Aaaaaah ouiiii...
- Attends, je prépare le terrain... Han...
Il commence à aller et venir lentement avec pour objectif apparent de bien lubrifier sa queue à ma fontaine.

Le salaud prend son temps. Finalement, il me prépare autant qu'il se prépare.
- Haaaaan Haaaaan...
- Aaaaaaah Ouiii... Ooooooh...
Il sait qu'il peut me donner un orgasme ainsi, mais il va sans doute investir l'autre voie dès qu'il sentira que je suis au bord de l'orgasme.

Il n'a pas besoin que je lui dise que je sens que j'y suis presque. Il se retire doucement, puis appuie contre ma rosette son gland tout poisseux de ma cyprine.
- Tu es prête ?
- Oui...
Il est moins gros que Damien, mais, dans cette position, je le sens quand même passer.

Une fois bien engagé, il commence à me limer, s'enfonçant un peu plus loin à chaque assaut, d'abord doucement, puis, une fois le passage bien préparé, avec une cadence de plus en plus soutenue. En rythme avec ses pénétrations, je me mets à ahaner, puis rapidement à gémir et enfin à crier mon plaisir.
- Vous en faites un bordel, dès le petit déjeuner.
Je tourne la tête, reconnaissant la voix de Lionel.

J'ai à peine conscience qu'il est nu, lui aussi en érection, et qu'il prend une chaise pour s'asseoir à côté de nous comme s'il s'agissait d'un repas tout à fait normal. Cédric ne semble pas perturbé le moins du monde par la présence de son ami et, poursuivant son ramonage méthodique, il finit par me donner un terrible orgasme que mes organes vocaux expriment en même temps que tout mon corps.

Alors que je suis au septième ciel, Cédric s'immobilise et laisse sa semence chaude envahir mes entrailles et râlant de plaisir. Il reste fiché en moi presque qu'une minute à finir de se vider tandis que je reprends peu à peu mon souffle. J'ouvre les yeux. À côté de nous, Lionel rigole :
- Dis donc, Juliette, te voilà devenue insatiable !

- Je... J'avoue que c'est une découverte... intéressante...
- Alors ? Ton avis, maintenant que tu les as toutes essayées ?
Je mets quelques secondes à comprendre. Lionel a fait le compte que chacun des gars fréquentant cette villa avait pu investir mon petit trou. Je réfléchis à ma réponse et lui sourit :
- Je crois que j'aime bien varier.

Il rigole :
- Luc a vraiment beaucoup de chance.
- Tu te trouves moins chanceux, alors que tu possèdes cette villa de rêve ?
- Elle est à mes parents. Et oui, je suis moins chanceux puisque c'est avec lui que tu es.
Je vois tout de suite qu'il aimerait que je lui propose un ménage à trois, comme ils l'ont fait avec Angela. Je lui fais un clin d'œil :
- Je ne peux pas être avec tout le monde en même temps...

- Ce serait pourtant envisageable.
- Je ne suis pas Angela, Lionel.
- Par certains aspects pourtant...
Il s'interrompt en me voyant grimacer parce que Cédric est en train d'extraire sa queue de mon anus. Je sens sa semence encore chaude qui s'écoule et goutte sur l'assise de la chaise.

Je me rassois :
- De quels aspects parles-tu ?
- Excuse-moi, ce n'est pas un jugement, juste un constat, donc ne le prends pas mal...
- Accouche !

Lionel semble un peu gêner de devoir me dire ce qui semble être mes quatre vérités.
- Et bien que tu sembles avoir une certaine addiction au sexe.
- Ah oui ? J'ai une addiction au sexe, et c'est vous, pauvres mâles, qui en subissez les conséquences !
Je viens le rejoindre, lui caresse le cou, l'embrasse dans la nuque et lui chuchote à l'oreille :
- Branle-toi...
Sans discuter, Lionel s'exécute.

Je me redresse :
- C'est moi qui ai une addiction ? Aucun de vous quatre qui ne manquez pas une occasion pour me faire profiter de vos queues et qui éjaculez à tout va tout au long de la journée ?
- Ne... ne le prends pas comme ça... On est tous un peu déréglés par cette villa.
- Ah oui ! J'oubliais : c'est cet endroit magique qui nous enflamme la libido. C'est à cause de la villa si tu bandes comme un âne.

- Non, c'est à cause de toi...
- Ah merci de le reconnaître. Il n'y a pas de villa magique. Juste des situations que vous avez créées pour me le faire croire, m'inciter au nudisme, jouer avec mon excitation. Vous m'avez manipulée.
Je saisis son érection et me mets à le masturber frénétiquement. Le pauvre n'ose plus rien faire. En moins d'une minute, je l'amène à l'éjaculation. J'interromps la course de mon poignet pour laisser le sperme s'écouler lentement du canon.

Lionel souffle comme un bœuf. Je continue à lui dire ce que je pense de cet endroit :
- Lionel, je pense que vous m'avez manipulée, toi et Luc.
- Quoi ? Mais c'est faux ! Jamais de la vie.
- Ne m'avez-vous pas parlé d'Angela dans le seul but que je me compare à elle et que je fasse tout pour essayer de l'égaler ?
L'épanchement de sperme semble se tarir.

Lionel me regarde, éberlué :
- Mais pas du tout ! Luc aurait préféré que tu n'en saches rien... Et je te jure qu'on n'a jamais eu l'intention de t'inciter à lui ressembler.
Luc arrive à ce moment-là dans la cuisine :
- Ressembler à qui ?
Je prends mon courage à deux mains et lui pose directement la question :
- Est-ce que tu veux que je ressemble à Angela ?

- Quoi ? Tu délires ! Je t'aime comme tu es.
- Mais tu ne m'aimes pas davantage depuis que je suis une salope comme Angela ?
- Ma Juju, je t'ai aimé avant cet incroyable changement et je t'aimerai tout autant après quand on reprendra pied avec la réalité en rentrant à la maison.
- Et tu apprécies quand il y a le sperme d'un autre qui dégouline de mon cul ?
Je me tourne pour lui montrer la semence de Cédric.

Cédric voit que je suis un peu perdue :
- Ma Juju, je t'aime. J'aime quand tu jouis, car tu sembles rayonner comme un soleil. J'aimerais qu'il n'y ait que moi qui te fasse briller comme ça, mais, tu l'as vu cette nuit, on n'est pas trop de quatre pour te donner du plaisir. Tu m'en veux de laisser faire ça ? Tu m'en veux de ne pas être jaloux ?
- Non, je suis à toi, même quand je prends du plaisir dans d'autres bras.
Il se colle à moi, m'embrasse dans le cou, caresse mes seins. Je me rends compte que j'ai failli faire une crise d'hystérie. Les bras de Luc et ses baisers me ramènent à la raison.

Je lui murmure :
- Je... je suis désolée, Luc.
- Tais-toi... J'ai envie de toi.
- Moi aussi...
Il me relève une jambe sur la table et s'accroupit derrière moi. Son majeur vient alors caresser ma fente offerte et il commence à me masturber tendrement.

Puis, je sens ses doigts remplacés par sa langue. Il doit nécessairement avoir du sperme de Cédric. Je lui dis :
- Luc... Mmmmm... C'est... C'est du sperme de Cédric.
- Tant pis...
Il semble s'en ficher et continue à me lécher délicieusement la moule.

Comment ai-je pu faire une telle scène alors qu'il est si attentionné avec moi ? Je veux qu'il me prenne, être à lui rien qu'à lui. Même devant son pote Lionel. Surtout devant Lionel.
- Luc, prends-moi, s'il te plaît.
Il se redresse et guide son érection magistrale dans ma grotte d'amour.

Lentement, il s'engage jusqu'au fond.
- Oh Luc...
- Oui ma Juju, je t'aime.
Tranquillement, il commence à aller et venir en moi.

Puis il se penche pour me dire à l'oreille :
- Tu vois, ce que je vais regretter, c'est que je serais dans un état second dans quelques secondes et que je pourrais pas apprécier ta beauté rayonnante au moment de ton orgasme.
- Tant pis. Jouissons ensemble, c'est le plus important.

Tout en me prenant, il me sourit, comme amusé. Je lui demande :
- Quoi ?
- Rien, juste qu'il m'a semblé que le sperme... de Cédric, c'est cela ? Haaan... Ce sperme sortait plutôt de ton petit trou... je me trompe ?
- Non... Ooooooh... Cédric m'a divinement sodomisée...

J'observe ses yeux pour y déceler une pointe de jalousie, mais j'y vois l'étincelle d'une idée lumineuse. Il me dit :
- Tu veux que... han... moi aussi ?
- J'aimerais... oui ! Beaucoup...
Il se retire et me fait descendre la jambe pour reposer mon pied par terre. Il appuie alors son gland sur ma rosette.

Lentement, il me pénètre. Bien sûr, Cédric a déjà fait le passage et cela est d'autant plus agréable, pour moi comme pour lui. Je l'encourage :
- Oh Luc, tu es si gros... Ouiii...
Il me redresse et s'enfonce loin en moi.

- Hannn... Juju... Juju...
Je sens le sperme goutter sur mes cuisses. Je sais que ce n'est pas celui de Luc puisqu'il n'a pas encore joui, mais c'est probablement la semence de Cédric qui, sous la pression du braquemart de Luc, est expulsée en pluie épaisse.

L'orgasme arrive soudainement, tel un ouragan. Un tsunami envahit mon corps et je sens alors les chaudes effusions de Luc en moi. Son sexe expulse à chaque soubresaut un flot de sperme, ce qui décuple mon plaisir. Je ne saurais par dire combien de temps nous avons joui tous les deux, mais quand il est sorti, j'ai senti que j'avais tout l'entrecuisse beurré de sperme, sans doute celui de Cédric et celui de mon Luc.

Reprenant mes esprits, je me rends compte du ridicule de mes réactions précédentes :
- Oh Luc, je suis désolée...
- Non, c'est moi. J'aurais dû te parler plus franchement d'Angela depuis longtemps... Je ne pensais pas que tu essaierais de te comparer à elle. Tu es mille fois mieux qu'Angela.
Sa bouche trouve la mienne et nous échangeons un baiser passionné.

Lionel est un vrai gentleman. Il reste silencieux à nous observer. Il a compris que ce moment était à nous, rien qu'à nous. Mais il sait sans doute qu'il y aura d'autres moments où il pourra participer.
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Angela - épisode 32 : Excitation progressive
Mercredi 3 août 10:47
Après le petit déjeuner assez mouvementé, tout le monde s'est douché (plus ou moins sagement) et s'est rhabillé, comme pour marquer une pause dans cette semaine complètement délirante. J'ai passé un petit chemisier blanc assez léger et un mini short en jeans. Luc a accompagné Lionel chez lui pour l'aider à ramener les bouteilles et son matériel de musique. Je reste donc seule à la villa avec Cédric et Damien. Je propose aux garçons que l'on sorte discuter dans le jardin. Damien me suit de bon cœur, mais Cédric semble plus réticent et aurait apparemment préféré rester à l'intérieur. Il nous accompagne malgré tout et je note à ses regards en direction de ma poitrine qu'il a noté l'absence de soutien-gorge.
- Désolée les garçons, j'espère que je ne vous choque pas à me conduire ainsi...

Damien sourit
- J'ai cru comprendre que tu n'es pas comme ça habituellement ?
- Effectivement. Lionel dit que c'est la villa, un genre de pouvoir magique...
- Qui te donne envie de te mettre nue ?
- Surtout qui me donne le feu au cul !
Je me retourne et fais onduler mon popotin sous leurs yeux éberlués.

Cédric dit :
- La magie a du bon, je trouve...
- Ah oui ? Tu aimes mon petit short ?
Cette fois-ci, je me cambre franchement.

C'est quand je me retourne que, en voyant leur tête, je prends conscience que le short est vraiment mini et que j'ai peut-être dévoilé plus que je ne l'aurais voulu.
- Oups, pardon ! C'était peut-être inapproprié...
Cédric hoche la tête :
- Pas du tout. Je pense que c'est encore la magie de la villa qui s'exprime à travers toi.
- Tu crois vraiment à cela ?

- Comment expliquerais-tu cette débauche de sexe que vous avez Luc et toi ?
- Moi, j'ai une autre explication.
- Sans magie, du coup ?
- Sans magie. Cela concerne l'ex de Lionel et Luc.

Damien hoche la tête comme s'il avait anticipé cette réponse :
- Angela... qu'ils se sont tapés tous les deux.
- Oui. Déjà, Luc s'est toujours montré assez discret à son sujet et le mystère qui planait autour de cette fille m'a beaucoup obsédé. Quand j'ai appris qu'en plus ils avaient fait du triolisme, j'ai eu une réaction que je ne pensais pas avoir...
- Tu t'es comparée à Angela et tu as essayé de l'égaler devant Luc et Lionel.
- C'est ça, mais surtout devant Luc.
Machinalement, je fais glisser les manches de mon top de mes épaules.

- Parce que tu crois qu'il l'aime encore ?
- Je ne pense pas, mais il lui arrive de temps en temps de penser à elle avec nostalgie et émotion. Je crois qu'au début, au fil des sous-entendus de Lionel et de Luc, quand j'ai compris qui elle était et ce qu'elle faisait, je me disais qu'en faisant comme elle, Luc m'aimerait davantage.
- Donc tu t'es mis à t'exhiber et à t'offrir à d'autres hommes. Nous ça nous va, tu t'en doutes.
- Oui, je crois que vous avez bien profité de la situation.

- Mais là... Je veux dire, tu sembles encore très... chaude, non ? Pourtant Luc n'est pas là pour te voir...
- C'est que très rapidement, j'y ai pris beaucoup de plaisir. Un plaisir égoïste. Et maintenant, même si je m'en rends compte, je n'éprouve aucune culpabilité à rechercher encore ce plaisir. Avec ou sans Luc.
- Ah oui ? Comment ça ?
Damien a très bien compris où je veux en venir. Il pose seulement la question pour me forcer à expliciter mon attente. Je dégage donc un sein de mon top :
- Tu ne comprends pas ce que je veux ?

Cédric bégaye :
- Tu... Tu... Tu veux qu'on te fasse l'amour ? Tu veux tromper Luc ?
- Ahah ! Tu n'as rien compris... Ce ne sera pas un secret pour Luc. Non, ce que je veux c'est sentir l'excitation monter. La mienne et la vôtre.

Damien hésite sur la marche à suivre. Mon discours semble ambigu et il ne veut pas faire d'impair :
- Et donc ? On fait quoi ? On se met à poil ? Qu'est-ce que tu attends de nous ?
- Hihi, vous êtes tout perturbés... Là, j'ai envie de bronzer dans le jardin. Me mettre nue, ça m'excite et je sais que ça va vous exciter aussi. Et si vous êtes excités, ça va encore plus m'exciter. Après, je ne sais pas, mais voilà ce que j'envisage dans l'immédiat.

Mes seins sont dégagés. Les yeux de deux garçons sont rivés dessus. Je les tiens. Damien demande :
- On peut... te caresser ?
- Pour le moment, je veux que votre excitation monte lentement.

Cédric hoche la tête :
- Là, je te garantis qu'elle est bien montée, l'excitation, en ce qui me concerne.
Je comprends à quoi il fait référence quand je vois la bosse qui déforme l'entrejambe de son jeans.
- Oulala, oui. Mes seins semblent terriblement efficaces.

Damien rigole :
- Tes seins sont effectivement un atout considérable pour nous exciter.
- Oh ! Tu penses que je vais trop vite ?
Je cache pudiquement mes seins.

Cédric réagit :
- Bah, maintenant, tu sais, ça ne va plus changer grand-chose...
- Ah ? Vous bandez déjà complètement.
- Oui, c'est raté pour l'excitation progressive...
- Donc je peux achever de me mettre nue.
Je me relève et leur tourne le dos pour retirer mon short.

Damien exprime son avis :
- Ah, je pense que, si tu nous tournes le dos, la vue de tes fesses risque d'être particulièrement excitante...
Je me retourne :
- Davantage que si vous voyez ma minette ?

- Pour moi, oui, c'est certain.
- Serais-tu donc plus adepte de la levrette que du missionnaire ?
- Oui, sans aucun doute.
J'abaisse le short, révélant mon sexe nu.

- Pourtant, en missionnaire, tu peux voir mes seins...
- En levrette, on peut aussi les attraper et les caresser.
- Mais pas les embrasser...

Mon short arrive au sol.
- C'est vrai. De toute façon, je prends ce qu'on me propose.
- Voilà une politique pragmatique.
- Opportuniste, je dirais.
- Et ce serait opportuniste que vous glissiez tous les deux une main dans le pantalon pour vous caresser ?

Je m'agenouille sur la serviette et regarde leur mine incrédule. Cédric négocie davantage :
- On pourrait plutôt les sortir, non ?
- Non, je pense à la progression de ma propre excitation. Chaque chose en son temps.
Les garçons s'exécutent et j'observe les réactions sur leurs visages.

- Vous n'êtes pas trop à l'étroit ?
- Si. On aimerait se mettre à poil, comme toi.
- Continuez encore un peu. Je ne veux pas être déçue quand vous les exposerez.

Cédric me supplie :
- Allez, s'il te plaît, on va finir par juter dans nos falzars !
- Haha, c'est amusant que vous m'obéissiez au doigt et à l'œil.
- C'est qu'on espère qu'on sera récompensés de notre discipline.
- Ok. Retirez vos futals, les gars.

Alors qu'ils se précipitent tous les deux pour retirer tee-shirt et ouvrir leurs jeans, je leur tourne le dos et me mets à quatre pattes pour leur présenter ma croupe :
- Est-ce que ça vous motive, cette position ?

- Tu crois sincèrement qu'on a besoin d'être plus motivés ? questionne Cédric.
- Non, c'est vrai que vous avez déjà des érections superbes.
- Et tu peux en faire ce que tu veux. À toi de décider de leur sort.

- Alors continuez à vous palucher, mais interdiction d'éjaculer.
- Tu veux nous faire souffrir ?
- Non, seulement vous exciter au plus haut point.
Je me cambre pour voir s'ils apprécient la vue de la croupe offerte.

Damien soupire :
- Nous sommes déjà excités au plus haut point.
- Le plus haut point, ce sera quand vous éjaculerez !
- Tu nous l'as interdit. Tu joues avec nous...
- Oui. J'adore ça.

- Tu es diabolique... soupire à son tour Cédric.
- Oh : Parce que vous êtes évidemment des anges ?
Je m'allonge sur la serviette, cuisses écartées.

Cédric vient se mettre devant moi :
- Et toi, de voir nos pines ainsi tendues, ça ne te donne pas envie de te caresser ?
- Oh si beaucoup !

- Alors, pourquoi ne pas le faire ?
- Parce que c'est vous qui le ferez tout à l'heure.
- Et pourquoi pas maintenant ?

- C'est une bonne question...
- Moi, je veux bien m'occuper de toi.
- Moi aussi, surenchérit Damien qui ne veut pas rester en retrait.
- Désolée, les garçons. On va éviter l'orgie. Ce sera l'un après l'autre.

Aussitôt, Cédric vient s'agenouiller à côté de moi et me caresse les fesses. Je m'apprête à le gronder puisque je ne lui avais pas dit qu'il pouvait venir déjà, mais j'accueille avec un gémissement silencieux sa main qui se glisse entre mes cuisses pour venir débusquer du bout du doigt mon clitoris dardé.

Le coquin sait déjà qu'il me tient en son pouvoir. En quelques secondes, j'ai perdu le contrôle que j'avais sur lui. Je tente de reprendre la main :
- Cédric, tu... je...
- Oui, Juliette ?
- Ooooooh...
Il glisse son majeur dans ma fente trempée et commence à me pistonner.

C'est Damien qui, se sentant peut-être exclu de la fête, tente de raisonner son copain :
- Cédric, je crois que n'a pas compris le principe d'excitation et de plaisir progressif...
- Tu as raison. J'ai tendance à m'emballer. Désolé Juliette...
On aurait pu croire que sa réponse exprimait son repenti, mais il n'en est rien puisqu'il fait accompagner son majeur de son index dans ma moule.

Je me rends compte que, machinalement, j'écarte au maximum les cuisses pour lui faciliter l'accès. Comment puis-je être aussi docile face à l'appel du plaisir ? Je gémis. Ma chatte dégouline. Cédric est maître du jeu. Rien ne s'opposera à ce qu'il me fasse tout ce qu'il imaginera. J'accueille avec un cri de plaisir son doigt effleurant mon anus.

Mon Dieu ! Pourquoi ne puis-je réagir ? Parce que je veux connaître la suite, une suite qui sera nécessairement synonyme de plaisir. Et je sais que j'ai bien fait de faire confiance à mon instinct quand je sens Cédric insérer deux doigts dans mon anus pour entamer une lente masturbation, absolument divine.

Je suis en bonne voie pour un bel orgasme, mais Cédric veut jouer avec moi et je le sens soudain retirer ses doigts. Frustrée, je m'apprête à me retourner pour exiger de sa part qu'il aille au bout, mais il appuie sur mes épaules pour me maintenir allongée sur la serviette. L'instant d'après, je comprends (et ne regrette pas) la manœuvre puisqu'il guide son membre turgescent dans ma fente trempée.

Il n'a aucune peine à me pénétrer de presque tout son long tant je mouille. Dès qu'il est en place, il se met à me besogner tranquillement. C'est un vrai délice, même si j'admets qu'on a amplement dévié de l'objectif d'une excitation progressive. Je gémis de plaisir et il lui faut sans doute à peine deux minutes pour me donner un orgasme. Mon corps est pris de tremblements et je perds mes appuis, tombant sur le côté, emmenant mon amant dans ma chute.

Cela ne l'empêche pas de rester bien emmanché en moi et de continuer à me labourer, accélérant proportionnellement à l'intensité de mes cris. Avant la fin de mon orgasme, je le sens venir à son tour. Il râle de plaisir et déverse en moi un flot de sperme chaud. Quand il semble se remettre, il s'extrait et me saisit aux hanches pour me repositionner à quatre pattes le cul en l'air, comme s'il remettait un bibelot qu'il avait dérangé.

Je sens sa semence qui s'écoule de mon sexe alors que je me remets doucement de mon orgasme et que je prends conscience de ce qui vient de se passer. Je me rassieds sur ma serviette et souris à Damien :
- Tu as abusé d'une faible femme...

- Ah oui ? J'ai eu l'impression qu'elle était consentante.
- Elle l'était parce que tu l'as manipulée...
- Tu me reproches de t'avoir doigté la moule ?
- Je te le reproche, mais je ne le regrette pas.

Je m'allonge sur ma serviette alors que Cédric s'approche :
- Ton copain n'a pas vraiment respecté la règle de l'excitation progressive...
- Non, mais tu l'as laissé faire.
- Parce que j'ai succombé trop vite au plaisir.

- Puis-je moi aussi t'offrir un peu de ce plaisir ?
- Tu veux me donner du plaisir ou en prendre.
- J'en prendrais en t'en donnant, mais je vais essayer de faire plus progressif que Damien.
Quand je vois à quel point il bande, je me dis que ce sera un vrai challenge pour lui.

- OK, tu peux venir t'occuper de moi, Cédric.
L'invitation est explicite, mais comme je reste allongée sur le dos, sans bouger, il semble hésiter :
- Tu ne sais pas comment m'aborder ?

- Heu, j'avoue que c'est intimidant...
- Je peux te proposer un angle d'attaque ?
J'écarte les cuisses en grand et expose ma minette.

Là, je pense que c'est suffisamment explicite. Cédric vient s'agenouiller à côté de moi et sa main se pose sur mon ventre pour glisser lentement sur mon coquillage. Alors qu'il va et vient contre les lèvres de mon sexe, peu à peu, son doigt se glisse dans ma fente et continue son manège. Il fait peu à peu sortir le sperme de Damien, mélanger à ma cyprine. Cette caresse est un délice et je recommence à gémir.

- Ooooh... Cédric, ça ne te gêne pas le sperme de Damien ?
- J'aurais préféré sans, mais tu m'excites suffisamment pour que je fasse abstraction.
Et pour me montrer à quel point il en est capable, il vient se mettre à quatre pattes entre mes cuisses pour commencer à me lécher la moule.

Sa bouche me suce la moule et aspire l'ensemble des fluides présents.
- Mmmmmm... J'admire et j'apprécie ta capacité d'abstraction...
Cédric ne répond pas, mais ses doigts écartent mes lèvres pour permettre à sa langue d'aller débusquer mon clitoris.

Là, c'est vraiment le top et je sais qu'il va m'avoir... Tant pis pour l'excitation progressive !
- Oooooooh... Cédric, tu... Aaaaaah... Oooooh !
L'orgasme est là et fait trembler mes cuisses, mon ventre et mon bassin.

Je suis en train de monter doucement au septième ciel quand mon amant se redresse soudain. Mon clitoris aurait souhaité être taquiné encore un peu, mais je perçois au regard de Cédric que quelque chose ne va pas. Je nage dans les eaux tumultueuses de ma jouissance et ne prends pas conscience de ce qui se passe et, pourtant, j'ai sous les yeux son sexe turgescent qui semble prêt à exploser.

Sans doute ne se contrôle-t-il pas. Il espère qu'en abandonnant ma minette et en se mettant debout cela calmera le bouillonnement et contiendra l'effusion.
- Et merde... Hhhhhhh !
Le soupire de désespoir qu'il lâche est accompagné de plusieurs jets de spermes successifs qui, de par sa position, viennent s'écraser sur mon ventre.

Cédric reprend plus vite conscience que moi :
- Je suis désolé, Juliette...
Je me redresse et m'amuse de cet incident :
- Ne le sois pas ! Cela arrive. Et peut-être que mon idée d'excitation progressive ne fonctionne pas si bien que ça.

Derrière Cédric, Damien intervient dans la conversation :
- Moi, je crois que si.
Je me lève pour aller le voir :
- Ah, oui ? Tu trouves que tu as été progressif, il y a cinq minutes ?

Allongé dans un transat, il expose fièrement son sexe parfaitement bandé.
- Je pense que c'était un mal nécessaire...
- Explique-moi ce que tu entends par là.
- Et bien, il fallait qu'on évacue cette tension sexuelle pour ensuite pouvoir mieux en profiter.

Je m'accroupis entre ses cuisses écartées et je saisis son érection pour la caresser :
- Selon toi, maintenant que tu as éjaculé, tu es en mesure d'apprécier une excitation progressive qui te donnera une ultime éjaculation ?
- Je ne sais pas si je peux y parvenir, mais je veux au moins essayer.

Je tourne la tête vers Cédric :
- Tu en penses quoi, Cédric ? Tu penses que tu peux aussi tenter l'expérience ?
- Juliette, tu feras bien toutes les expériences que tu veux avec nous.
- Hihi, je suis une chercheuse en sexologie.

Damien me rappelle à l'ordre :
- Et je suis ton premier cobaye...
Je me penche et prends en bouche son sexe bien dressé pour le sucer.

Je le regarde quand même puisque je me souviens qu'il a éjaculé très vite quand je l'ai sucé sur la plage la veille. Il semble lire le doute dans mes yeux et me rassure :
- Ne t'inquiète pas. Je te dirais si ça va trop vite.
Il appuie alors sa main sur ma nuque pour me signifier qu'il ne compte pas me laisser partir maintenant.

Voyant que je ne compte pas m'arrêter, il relâche la pression et me permet de me concentrer sur son gland. Il commente pour Cédric :
- Bah mon vieux, je crois que j'avais raison. Ce qu'elle me fait est un délice, mais je crois être en mesure de me retenir un certain temps.

Quand j'entends ça, je me demande s'il ne me lance pas un défi. Aussi, je m'active lèvres et langue avec toute la dextérité possible pour tenter de lui donner tort.
- Hola ! Doucement, Juliette... Tu...

Un instant, je crois avoir gagné, car il se redresse.
- Hey ! Mmmmmm... doucement... tu...
Mes doigts glissent de sa hampe jusqu'à ses testicules pour les masser doucement dans la paume de ma main, tandis que ma bouche se concentre sur son gland.

- Attends, Juliette...
Il me fait me redresser. Je crois que c'est pour avoir un sursis, mais il m'attire à lui et me soulève pour que je le chevauche. Il présente alors son sexe tendu contre ma fente et, d'une poussée souple, m'empale sur son dard. C'est un véritable délice.

Damien se contrôle donc plutôt bien et je ne le regrette pas, car c'est un plaisir inouï de le chevaucher. Mon plaisir monte et je pense qu'un orgasme ne va pas tarder à ce rythme. Derrière, Cédric s'impatiente :
- Dis donc, Damien, ne résiste pas trop quand même...
- Il reste une place si tu veux ! lui répond Damien.
Comme il écarte mes fesses, je suppose qu'il propose à son copain de venir me prendre sandwich.

- Ne déconnez pas, les garçons... Ooooh
- Dis donc, s'offusque Cédric, tu ne t'es pas refusée pour cette danse entre Lionel et Luc cette nuit !
- Je sais, mais... Oooooh... pas là...
Je veux surtout profiter de faire l'amour avec Damien.

Et puis, je me sens soulevée. Damien se lève en me tenant par les cuisses. Il est maintenant debout et je m'accroche à son cou pour ne pas trop subir la gravité qui me ferait m'empaler trop vite sur son énorme braquemart.

Je ne prends conscience du lien entre cette nouvelle position et les échanges juste avant que lorsque j'entends la voix de Cédric derrière moi :
- Super ! Trop sympa, mon pote.
Tournant la tête, je vois la splendide tige parfaitement bandée de Cédric et je comprends ce qui m'attend.

Tandis que son gland commence à forcer mon anus, Cédric me chuchote à l'oreille :
- Tu as eu l'air de bien aimer cette nuit...
- Hhhhhh... Ouiiii !
Et j'adore sentir maintenant leurs deux queues qui vont et viennent en moi.

- Tu nous diras si on se démerde mieux de Lionel et Luc.
- On... On s'en fout... Oooooh... C'est le pied... Oooooh... C'est tout ce qui compte... Aaaaaah !
- Je crois qu'elle y est !
Cédric a raison. Un orgasme est en train de m'envahir et je me mets à crier de plaisir.

Pendant que je jouis, je sens que Damien défaille : son sexe entre en éruption et une douce lave envahit mon ventre. Cédric semble se contenir. Et puis, quand j'ouvre les yeux, c'est pour voir que Luc est rentré.
- Déjà rentré, mon chéri ?

Il s'est déjà mis à poil et nous observe, le sexe en érection :
- Je vois que vous avez trouvé comment vous occuper.
- Oui... On a fait des expériences.
- Elles me semblent très intéressantes, ces expériences.

- Oui, l'objectif était de faire monter lentement l'excitation pour que la jouissance soit plus forte.
- Et ça a bien marché ?
Damien répond à Luc :
- Bah, pas trop en fait...

Luc rigole :
- Cela ne m'étonne pas ! Avec Juliette, c'est difficile de résister.
Damien me laisse reposer une jambe au sol et dit, un peu honteux :
- Moi, j'ai foiré deux fois...
J'ajoute pour Luc :
- Oui, Damien a été peu résistant, mais je ne vais pas m'en plaindre.

Damien se retire d'abord et va s'installer sur une chaise longue de la piscine en la tournant vers moi. Cédric se retire aussi, mais reste collé à moi :
- Merci pour cette expérience, Juliette.
- Mais toi, tu n'as pas joui ?
- Non, pas cette fois-ci. Peut-être que cette excitation progressive fonctionne pour moi...

Luc voit que Cédric s'est retiré :
- Oh non, Cédric ! Je ne voulais pas te faire fuir. Tu pouvais terminer.
- Merci, Luc, mais là je vais essayer de tenir le plus longtemps possible.
Je le regarde s'installer à côté de Damien sur une seconde chaise longue.
- Moi aussi, mon chéri, j'ai joui plusieurs fois. Ce n'est pas toujours facile de doser l'excitation.
Sentant le sperme de Damien s'écouler de ma fente, je serre les cuisses.

Luc s'écarte :
- Désolé, j'ai l'impression que mon arrivée a un peu perturbé le déroulé de cette expérience, non ?
- Non, regarde. Damien a déjà éjaculé et Cédric a dit qu'il voulait se retenir.
Je vois que "se retenir", n'exclut pas de rester inactif, car Cédric se masturbe en me regardant.

Mais vu comment il bande, j'ai l'impression que ça l'excite beaucoup d'avoir pu me sodomiser sous les yeux de mon mari. Je m'amuse à prendre une pose particulièrement sexy en m'appuyant le dos à un arbre, cambrée pour faire ressortir ma croupe et mes seins. Vu le regard des trois gars, je pense que je me débrouille plutôt bien.

Et je me débrouille même si bien que j'entends soudain Cédric, murmurer :
- Hhhhhhh... Juliette...
L'instant d'après son sexe tressaute et du sperme en jaillit doucement, s'écoulant sur sa hampe et ses doigts.

Luc rigole :
- Voilà, l'expérience prend fin, mais avec un bilan mitigé.
Damien réagit :
- Oh, moi, je ne regrette rien ! Même si je me demande encore dans quoi je me suis fourré.
Luc rigole et répond :
- Quand je vois ce qui coule de la minette de ma Juju, je crois pour ma part savoir dans quoi tu t'es fourré il y a quelques minutes.

Nous partons tous les quatre dans un fou-rire, alors que se fait entendre le moteur de la voiture de Lionel dans l'allée.
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Angela - épisode 33 : Cache-cache dans le parc
Mercredi 3 août 11:38
Si tout le monde est surpris de voir Lionel sortir de sa voiture vêtu d'un simple maillot de bain, lui l'est encore davantage de retrouver Cédric, Damien, Luc et moi totalement nus dans le parc.
- Je comptais profiter avec vous de la piscine, mais je ne m'attendais pas à ce que tout le monde se soit mis au nudisme.
Je rigole :
- La magie de la villa !

- Et je vois que Cédric et Damien profitent encore un peu du lieu.
Je rigole encore :
- Hihi, plus de l'hôtesse que du lieu, si tu vois ce que je veux dire...
- Je vois parfaitement !

- Mais ça te choque peut-être de nous trouver tous à poil ? Peut-être que nous aurions dû nous cacher en t'entendant arriver.
- Cela aurait pu être une bonne idée. J'aurais pris beaucoup de plaisir à te chercher dans le parc, Juliette.
- Moi, je crois que tu aurais surtout eu plaisir à me trouver, non ?

- On ne peut rien te cacher...
- Tu ne vas quand même pas garder ton maillot ?
- Non, effectivement, même si j'ai peu honte de montrer que je suis déjà en érection.
- Oh, il n'y a aucune honte à avoir. Au contraire, cela me flatte.
Lionel abaisse son maillot, dévoilant une belle érection.

Luc intervient alors :
- Et si nous faisions justement un cache-cache dans le parc ?
- Ah oui ? Je vois que la suggestion de Lionel n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd... Je me cache et vous me cherchez tous les quatre ?
Je m'étais déjà mise en position pour compter contre un tronc d'arbre :

- Non, me répond Luc. C'est toi qui vas nous chercher. Je propose ça en deux étapes. D'abord, tu masturberas chacun d'entre nous au fur et à mesure que tu nous trouveras. Pendant la masturbation, ta victime devra compter chaque seconde jusqu'à l'éjaculation. Chacun doit bien retenir ce temps pour l'étape suivante. Une fois que tu nous auras trouvés tous les quatre, on échange les rôles. Pendant cette seconde étape, c'est nous, les gars, qui allons compter, mais chacun ne pourra partir à ta recherche que quand il aura atteint son temps précédent. Le premier à te trouver peut te faire jouir. Les suivants regarderont, mais le dernier sera éliminé des manches suivantes.
- Ah ? Il y a plusieurs manches ?

- Bah oui, au moins trois manches. À la deuxième, il n'y aura que trois participants et à la dernière, plus que deux. C'est la fin de cette troisième manche qui désignera le gagnant.
- Si je comprends bien tes règles, je ne suis qu'un maillon du fonctionnement du jeu et moi, je ne peux pas gagner ?
- Tu ne peux pas perdre non plus. Disons que c'est toi qui diriges le jeu.
- C'est vrai. Allez je compte jusqu'à 60 et je pars à votre recherche. Cachez-vous, les gars !

Je commence à décompter :
- 60, 59, 58...
Je les entends s'éloigner. Quand j'arrive à la moitié du décompte, je me rends compte au bruit derrière moi que l'un d'eux est encore là.
- Je ne sais pas qui tu es, mais si tu ne te caches pas, je vais te trouver en premier.
La réponse est rapide et je reconnais la voix de Cédric :
- Ma stratégie est de te mater pour être au top quand tu vas me branler...
Je comprends qu'il mate mon cul pour que sa branlette soit la plus rapide possible et qu'il puisse être le premier à me trouver ensuite.

Je reprends mon décompte en me disant que les règles de Luc ont des failles et que Cédric s'est montré plus malin que les autres. Je termine :
- 4, 3, 2 et 1 !
J'ouvre les yeux tourne la tête. Cédric est effectivement là, me présentant une belle érection.
- Oh, je crois que tu m'as trouvé, Juliette...
- Tu exagères, Cédric. Tu n'as pas joué le jeu.

- Luc n'a pas envisagé qu'on puisse être très mauvais pour se cacher.
Je tente de lui montrer qu'il a eu tort de vouloir tricher :
- Tu contournes les règles. En fait, je ne t'ai pas trouvé, puisque je ne t'ai pas cherché. Je vais donc commencer ma recherche, mais ce sera pour les autres.

- Allons, j'ai juste élaboré une stratégie, contrairement aux autres.
- N'empêche que ce n'est pas fair-play...
- Ok, j'avoue. Mais là, tu n'as pas envie de savoir combien de temps je vais tenir ?

J'avoue que voir sa belle queue tendue ne me laisse pas indifférente :
- Ok, je vais prendre mon temps, pour ta peine.
Je m'avance vers lui. Beau joueur, dès que son érection est dans ma main, il commence aussitôt à compter.

Au bout de dix secondes, il se penche sur moi et me dit :
- Compte pour moi.
Comme il m'embrasse dans le cou, je ne trouve pas ça désagréable et accepte de poursuivre le compte. En revanche, je ne m'attendais pas à ce qu'il joigne son bécotage par des doigts explorateurs qui viennent investir mon intimité.

Je ne sais plus où j'en suis. Ce salaud m'a fait perdre le compte.
- Tu triches encore... 38, 39...
Je me redresse et utilise ma seconde main pour lui masser les testicules.

Erreur fatale ! Pourquoi ai-je fait cela ? J'ai précipité son plaisir et je le sens se tendre. J'en suis à 48 quand son sperme se met à jaillir.
- Hannnnn...
- Merde ! Tu n'as donc aucune résistance ?
- Hhhhh... non, pas quand tu me caresses les couilles comme tu l'as fait.
- Moi qui voulais que ça dure le plus longtemps possible pour te punir, j'ai raté...
- Un peu, oui...

- Bon. Retiens 48 pour tout à l'heure. Il faut que je trouve les autres.
Je laisse Cédric pour poursuivre mes recherches (j'ai encore trois gars à trouver !), mais il me suit à distance respectable. Il pourra au moins jouer au voyeur. Le suivant n'est pas trop dur à débusquer. Damien a opté pour une stratégie proche de celle de son copain : il est allongé et tient une petite branche d'arbre devant son visage en ersatz de camouflage.

- Voilà une cachette bien peu efficace...
- Ah zut ! Tu m'as vu ?
- Ne fait pas l'innocent. Ton copain Cédric a fait pire puisqu'il est resté derrière moi pendant que je comptais.
- Pfff, il est gonflé. Moi, au moins, j'ai fait semblant.
- Avec le même objectif que lui. Tu es prêt à compter ?

Il se contente de se mettre sur le dos, exhibant fièrement son sexe bandé.
- Je suis à ta disposition, ma jolie.
Comme je m'approche de lui, il écarte les cuisses, m'invitant de toute évidence à m'installer entre. Je m'agenouille donc et saisis sa tige dressée.

Il commence à compter à haute voix, mais je sens peu à peu que sa fière déclamation du début commence à vaciller. Je décide de changer de position et de m'installer à côté de lui. Plus je le masturbe et plus il semble avoir besoin de se concentrer pour ne pas perdre le fil. Je sens qu'il souffle de plus en plus et j'exploite ma seconde main pour lui caresser les testicules.

Cela semble suffisant. Il en est à 112 quand les premières effusions de sperme s'échappent de son gland turgescent.
- Haaaaaaannnnnnnn...
Sa semence épaisse s'écoule sur mes doigts et je continue à le masturber jusqu'à ce que la source semble tarie.

Je m'essuie les mains dans l'herbe épaisse et me relève. Damien reprend son souffle :
- J'ai fait mieux que Cédric ?
- Tout dépend de ta stratégie.
- Faire le moins de temps possible...
- Petit malin. Non, Cédric partira plus de vingt secondes avant toi.

Je laisse un Damien contrarié pour poursuivre mes recherches. Je n'ai pas à aller très loin, car je découvre Lionel caché, debout derrière des buissons. Si lui est mieux caché que ses copains, il semble avoir fait le même calcul stratégique puisqu'il se masturbe pour entretenir son érection, probablement pour que je le fasse jouir plus rapidement.

- Vu, Lionel ! Mais tu sembles ne t'être pas ennuyé...
- Bah, en fait...
- Ne te fatigue pas, Cédric et Damien ont eux aussi trouvé la faille des règles de Luc.
Je viens à lui et saisis son membre tendu pour le masturber. Il me fait alors tourner un peu pour pouvoir m'empoigner les seins et les caresser.

- 1, 2, 3...
Voilà, une tactique différente ! Cédric s'était rincé l'œil ; Damien m'avait caressé la moule ; Lionel s'excite sans doute davantage en me pelotant la poitrine. Après un certain temps, je lui dis :
- Je ne sais pas trop si tu as le droit de faire ça...
- 109, 110... Si ce n'est pas interdit, c'est que c'est autorisé. 112...

- Si chacun prend des libertés, à quoi servent les règles ?
- 131... Il faut davantage les voir comme un...
- Guide ?
Je dois terminer sa phrase, car il vient d'arriver au bout et se met à éjaculer, inondant ma hanche droite de sa semence.

- Tu as été plus long que les autres. 135, c'est presque le double de Cédric.
- Tant pis... On verra bien. Désolé, je t'en ai mis partout...
- Oui, tu as été généreux. Il faut dire que Cédric et Damien ont déjà été un peu sollicités avant ton arrivée.

- Je m'en doutais un peu.
Je me frotte la hanche et les fesses pour étaler le sperme.
- Je te laisse, il ne me reste plus que Luc à trouver.

Je poursuis mon exploration du parc. Derrière moi, j'entends Cédric, Damien et Lionel qui me suivent à distance et échangent sur leurs résultats. Je finis par voir Luc, accroupi derrière un vieux tronc couché.
- Je te vois, Luc. Bravo tu as été le dernier !
- En fait, je me suis déplacé au fur et à mesure... J'ai observé chacune des masturbations que tu as faites à nos amis...
Ce qui explique l'érection conséquente qu'il affiche.

- Tu es finalement le mieux caché...
- Oui, j'ai compris un peu tard que la règle était en faveur de ceux qui éjaculaient rapidement.
- Alors que les trois autres ont rapidement fait le calcul... Tu t'es fait avoir !

- Bah, je ne vais pas me plaindre puisque je vais avoir le même traitement que les autres.
Je viens le rejoindre alors qu'il est assis sur le tronc et saisis son sexe bandé. Il commence à compter :
- 1, 2, 3...
Il pose ses mains autour de mon cou et m'attire à lui pour que je l'embrasse.

- Tu crois que le baiser est autorisé ?
Lionel, non loin, répond :
- Je crois que nous nous sommes tous autorisé quelques libertés par rapport aux règles établies. Je pense que tu peux.
- Oh, tu es bien charitable de m'autoriser à embrasser mon mec.

J'embrasse alors Luc à pleine bouche, interrompant son décompte qu'il semble poursuivre dans sa tête. Finalement, c'est Lionel qui reprend la numération à sa place. Luc semble très content de ce baiser, sans doute parce que je marque ainsi ce qui le distingue, lui, des trois autres. Son sexe est bien bandé et j'espère le faire venir rapidement, mais il ne semble pas vouloir précipiter l'éjaculation.

Alors que Lionel égraine les nombres, Cédric et Damien encouragent Luc :
- Allez ! Allez ! Vas-y, Luc !
Et c'est seulement quand Lionel arrive à 150 que je le sens se tendre. Sept secondes plus tard, le sperme se met à jaillir et je me penche sur lui pour recevoir quelques jets sur mes seins.

Lionel demande :
- Tu es éliminé, Luc ?
- Non, je partirais chercher Juju à 157, donc après vous, mais rien ne dit que ce soit moi qui la trouve en dernier. Il suffit qu'elle se cache bien et tout le monde aura sa chance.
Je me masse les seins pour étaler le sperme de Luc.
- Je ne vais assurément pas opter pour la stratégie de Cédric.

Luc me demande :
- Tu es prête, ma chérie ?
- Donc là, c'est à moi de me cacher ?
- Oui et on part te chercher tous les quatre, chacun pouvant partir dès qu'il a atteint son décompte.
Cédric me fait un clin d'œil. Je demande confirmation de la suite :
- Et donc, celui qui me trouvera en premier pourra me faire l'amour ?

- Oui, répond Luc. Et le dernier à te rejoindre sera éliminé pour les manches suivantes.
Les garçons me tournent le dos et commencent à compter :
- 1, 2, 3...
Avant de partir, je profite d'un coup d'œil en arrière pour admirer les quatre magnifiques paires de fesses qu'ils m'offrent.

C'est surprenant d'entendre les quatre gars compter d'une seule voix. Je décide d'essayer de gagner du temps : ils vont tous se retourner et partir derrière, je vais donc tenter de les contourner pour me cacher devant eux, mais il faut que je fasse un large tour et surtout que je sois discrète, car Cédric va bientôt partir. Je n'ai pas encore atteint ma cachette quand je l'entends justement crier qu'il part.

Coup de chance, ma tactique a fonctionné et il part dans le sens opposé. Je redouble de prudence et poursuis mon échappée jusqu'à me retrouver à proximité du portail d'entrée. Je trouve alors une cachette derrière un groupe assez dense de buissons et attends. Damien est aussi parti à ma recherche, suivi de peu de Lionel. Quand le décompte s'arrête, Luc part à son tour, mais, contrairement aux autres, il est le seul à venir dans ma direction. Je le vois passer à quelques mètres de moi, avec une belle érection.

Comme peut-il passer si près de moi sans me voir ? C'est impossible ! Il regarde droit devant lui, pas du tout l'attitude de quelqu'un qui cherche. Il repart alors dans la direction opposée vers les autres gars. Je me redresse pour observer quand ils s'approcheront, mais c'est la voix de Cédric derrière moi qui me fait sursauter :
- Yes ! Je t'ai trouvée, jolie Juliette !
Je suis presque déçue que ce soit Cédric, puisqu'il avait un peu triché.
- Bravo.

- Tu vois, ma stratégie a payé.
- Tu as eu de la chance, Luc est passé juste à côté de moi sans me voir.
- Moi, je suis plus futé. Je me suis dit que tu nous avais sans doute contournés et j'ai moi aussi fait le tour jusqu'au portail.

- Tu as été discret comme un renard. Je ne t'ai pas entendu.
- Et je suis donc vainqueur de cette première manche.
- Comment veux-tu que nous procédions ?

- Mmmm, j'ai beaucoup apprécié la vue pendant que tu comptais et j'avoue que ça m'a donné des idées.
- Je dois donc me remettre contre un tronc ?
Il hoche la tête, le sourire jusqu'aux oreilles. Je prends position, m'appuyant à un vieux chêne vert.

Cédric vient me rejoindre, avec la fierté d'un conquérant.
- Jouer à tes jeux tout à l'heure était amusant, mais j'avoue que c'est exaltant de te gagner.
Ne suis-je donc que le prix de sa victoire ? À y réfléchir, vu la manière dont Luc a énoncé les règles, il peut difficilement en être autrement. Je me cambre. Cédric me saisit aux hanches pour m'attirer à lui, m'obligeant à me pencher davantage pour m'appuyer à l'arbre. Et il me pénètre.

Ce cache-cache m'a finalement mis les nerfs à l'épreuve et je prends un grand plaisir à sentir la queue de Cédric s'engouffrer en moi. Lionel, suivi de près par Damien arrivent sur le lieu, sans doute attirés par mes gémissements de plaisir. Cela semble exciter mon amant d'avoir quelques spectateurs pour être témoin de sa victoire, car il ne ménage pas ses efforts.

Il me soulève une cuisse et me maintient la jambe levée, comme s'il voulait que ses camarades puissent observer sa pénétration. Est-ce par fierté ? J'entends Damien se plaindre :
- Je n'aurais pas pensé qu'elle puisse faire le tour et passer derrière sans qu'on l'entende.
Cédric lui répond :
- Là, maintenant, tu l'entends ?

C'est vrai que je gémis de plus en plus et que l'orgasme semble s'approcher. Lionel répond :
- Oui, c'est ce qui nous a alertés...
Luc arrive enfin. C'est donc mon chéri qui sera éliminé pour les manches suivantes. Il ne sera donc que témoin. Peut-être est-ce qu'il souhaite ? De le voir avec son sourire, ses yeux amoureux, son érection tandis qu'un autre est en train de me baiser, cela me fait chavirer et l'orgasme me gagne. Alors que je défaille, je sens que Cédric s'immobilise et éjacule en moi.

Il nous faut quelques minutes pour retrouver nos esprits. Quand je me décolle de l'arbre, Luc annonce la suite :
- Bien, seconde manche, mais sans moi. Si vous êtes d'accord, je m'occuperais de compter votre temps quand elle vous trouvera.
- Donc tu restes avec moi ?

Luc hoche la tête et je commence à compter, appuyée à l'arbre contre lequel Cédric venait de me prendre en levrette. Au moins, la présence de Luc incitera sans doute Cédric à se cacher vraiment. Et effectivement, une fois le décompte fini, les trois autres gars semblent avoir disparu. Je pars aussitôt à leur recherche, suivie discrètement par Luc. C'est Damien que je découvre en premier.
- Cette fois-ci, tu étais bien caché.

- Oui... Il faut dire que tu es accompagnée de celui qui a établi les règles, donc je fais gaffe.
- Tu as raison. Sinon c'est exclusion du jeu. Voyons voir combien de temps tu tiens...
Luc me dit :
- Tu peux changer si tu veux, ma Juju. Si tu en as marre des branlettes, tu peux leur offrir ta bouche.
- Bonne idée !
Je m'agenouille devant Damien et prends son sexe en bouche. Luc commence à compter. Comme je les ai déjà tous fait éjaculer, j'imagine que ce sera plus long pour cette seconde manche.

Finalement, Damien se met à éjaculer plus rapidement que je ne l'aurais cru. Luc le voit aussitôt :
- 72 ! Bravo Damien.
Quand il retire son sexe de ma bouche, je laisse s'écouler une importante quantité de semence, surprise qu'il éjacule encore autant.

Je me redresse et m'essuie la bouche d'un revers de la main, quand j'entends un bruit derrière moi. Je vois une tête se baisser derrière une haie de lauriers. J'ai reconnu la chevelure de Cédric :
- Vu, Cédric !

Je ne suis pas étonnée de le trouver derrière moi vu le goût qu'il a pour mon séant. Il se redresse, un peu penaud.
- Tu as vu ? Cette fois-ci, j'ai joué le jeu.
- Oui, c'est plus fair-play.
Je m'agenouille devant lui et, quand il approche son sexe tendu de mes lèvres où restent encore quelques traces du sperme de son copain, Luc commence à compter.

Je le prends donc aussitôt en bouche et commence à le pomper.
- Mmmm, quel dommage qu'on doive faire ça vite et qu'on ne puisse pas en profiter plus longtemps.
Damien rigole :
- Ah, mais rien ne t'oblige à te précipiter.
Moi-même je prends mon temps.

Mais pourtant, là encore, l'éjaculation me surprend. Son râle de plaisir informe Luc de la fin de la numération :
- 87 ! Tu as été plus long que la première fois !
Deux puissantes salves de sperme viennent fouetter mon palais. Je les avale aussitôt, mais je retire la lance de ma bouche alors qu'une troisième giclée vient maculer mon visage.

Dès qu'il a repris son souffle, Cédric semble trouver important de se justifier :
- Oui... mais moi... je l'ai aussi prise en levrette tout à l'heure...
Et c'est vrai que ça lui donne probablement un handicap.

Je me redresse :
- Il ne me reste plus qu'à trouver Lionel.
Cédric, mauvais joueur, me fait signe de la direction où le chercher. En me mettant à quatre pattes, je vois effectivement une jambe dépasser de derrière un conifère suffisamment dense pour cacher le reste de son corps. Je décide d'avancer discrètement à quatre pattes jusqu'à lui.

Chose amusante, je me retrouve presque à ses pieds alors qu'il ne semble pas me voir. Son sexe dressé est presque à portée de bouche. Je tends la main pour le saisir, déclenchant sa surprise :
- Mais, que... ?!
Et je me redresse aussitôt pour entamer la fellation due.

Luc n'étant pas encore là, Lionel entreprend de commencer à compter. Cela alerte les trois autres qui viennent nous rejoindre et Luc poursuit la numération, laissant Lionel se concentrer sur le plaisir de la fellation que je lui prodigue.
- 94... 95 ! Il y est !
Et je sens effectivement le sperme jaillir dans ma bouche. Je l'ouvre alors pour que tous puissent voir la semence s'écouler sur ma langue, mais un jet plus puissant vient me fouetter la joue.

Luc encourage son copain :
- Bravo Lionel ! C'est un meilleur score que tout à l'heure.
- Je suis plus sensible aux fellations qu'aux masturbations...
J'interviens :
- Et moi ? Tu ne me félicites pas, mon chéri ?

- Si ma belle. Tu es toujours aussi exceptionnelle, surtout en situation de jeu.
- Surtout ce genre de jeux, n'est-ce pas ?
Je commence à connaître le goût de mon Luc pour les jeux pervers dont je suis l'objet. Je me redresse :
- Vous comptez pendant que je me cache ?

Cette fois-ci, Luc ne le suit pas. Ce serait évidemment une faute, car sa présence à mes côtés faciliterait ma découverte par les autres. Une fois assez éloignée, je décide de me mettre à quatre pattes en me disant qu'ils me chercheront peut-être plutôt à hauteur d'hommes.
Damien a terminé son décompte et part à ma recherche. Bien que je sois partie en ligne droite cette fois-ci, Damien se souvient de ma stratégie durant la première manche et part en direction opposée, partant sur l'hypothèse que j'ai encore pu faire une grande boucle pour les contourner. Je l'observe s'éloigner alors que Cédric arrive au bout de son décompte.

Lui semble faire un calcul différent : sans doute considère-t-il que je ne vais pas suivre deux fois de suite la même stratégie. Et il arrive dans ma direction. Je m'aplatis autant que possible dans l'herbe. Il cherche encore et s'approche. Je retiens mon souffle. Je le vois tourner les talons. Il ne m'a donc pas vue !

Je me redresse doucement et poursuis ma progression à quatre pattes vers l'endroit où est passé Cédric en me disant que, ayant déjà fouillé ici, il n'y reviendra pas. Mais j'ai oublié Lionel dans mon équation et il avait fait la même hypothèse que Cédric :
- Te voilà !
- Zut...

- Je me doutais que tu changerais de direction et que tu serais de ce côté. Il semblerait que je sois vainqueur, même en étant parti le dernier !
- C'était finement joué. Tu sais que Cédric m'a manqué de peu. Il s'avançait un peu plus et il me repérait.
- Mais j'ai un œil de lynx.

- Et une bite de taureau, cela fait de toi un genre de chimère.
- La chimère a donc le droit de te faire l'amour ?
- Oui, vas-y. Cela fera venir les autres.

À quatre pattes, j'écarte les cuisses pour le voir s'approcher de moi, sexe tendu. Délicatement, il me caresse les fesses en disant :
- Mais d'où vous viennent ces idées de jeux, avec Luc ?
- C'est surtout Luc. Vous ne faisiez pas ça avec Angela ?
Je le sens se bloquer, alors qu'il était prêt à me pénétrer.

- Non. Nous n'avons jamais fait ça. C'est sûrement toi qui inspires cela à Luc. Et arrête de te comparer avec elle. Vous n'avez absolument rien à voir.
Et il accompagne son avertissement d'une pénétration franche, mais délicate, qui m'arrache un soupire d'aise.

Je m'en veux presque d'avoir posé cette question. Maintenant, je dois effectivement oublier Angela et profiter du présent, profiter de cette queue qui va et vient en moi et me donne tant de plaisir. Les mains sur mes hanches, Lionel me prend en levrette avec assurance et me fait rapidement gémir.

Luc et Damien arrivent alors, suivis de peu par Cédric qui, haletant, semble avoir couru pour ne pas arriver le dernier.
- Je suis dégoûté ! Je suis passé là tout à l'heure et je ne l'ai pas vue...
Lionel répond :
- Veni, vidi, vici.
- Quoi ? interroge Cédric.
Luc lui explique la devise de César et sa traduction. Cédric vient se positionner derrière Lionel. Toujours ce goût pour cette vue ?
- Bonne idée cette position aussi... Je suis vraiment dégoûté...

Et je sens l'orgasme arriver. Je le laisse m'envahir, m'étreindre. Je ne suis plus que plaisir. Je fonds. Et Lionel se liquéfie lui aussi. Je l'entends. Je le sens. Son sexe palpite en moi. Plusieurs giclées de sperme sont expulsées en moi. Comment font ces garçons pour jouir autant sans se reposer ?

Quand il se retire, je sens sa semence s'écouler de mon sexe et je le vois s'écouler dans l'herbe. Luc fait le point :
- Fin de la dernière épreuve ! C'est Cédric qui est éliminé cette fois-ci. Restent donc en lice pour la troisième et dernière manche Damien et Lionel.
- Et moi j'ai la chance que je ne peux jamais être éliminée.

- Tu seras toujours gagnante, quoi qu'il arrive, ma chérie.
Je me relève :
- Donc je dois reprendre le décompte. Allez vous cacher, les gars.
Je me mets dos à un grand pin pour commencer à compter.

Luc me rappelle à l'ordre :
- Juju, si tu ne te mets pas contre le tronc, tu peux les voir passer. Il faut au moins que tu fermes les yeux.
- Ok, ok.
Je poursuis mon décompte en levant la tête et en gardant les yeux fermés.

Arrivé à zéro, j'annonce en criant :
- J'arrive !
Et je pars en quête des deux hommes, toujours suivie des deux éliminés.

Et c'est Damien, encore une fois, que je découvre en premier.
- Vu, Damien !
- Ouais, ce n'était pas une super cachette... Ces buissons sont très ajourés.
Il se redresse, m'exhibant une bien belle érection.
- Je vois que tu es déjà opérationnel pour le décompte.

Luc arrive alors avec Cédric :
- Bravo, ma Juju. Tu peux le mettre à l'épreuve, mais n'hésite pas à varier.
Je me tourne vers Damien :
- Une levrette, ça te va ?
- Évidemment !
Je me penche en avant et il vient guider son sexe dans le mien.

J'écarte les cuisses pour lui faciliter la pénétration :
- Cela te convient !
- Oh putain, oui ! J'adore.

Luc est déjà 75 et j'ai l'impression que Damien fatigue. Je me redresse et lui fais une proposition :
- Tu veux me caresser les seins en même temps ?
- Oh oui...

Mais il ne s'intéresse pas si longtemps que ça à mes seins. Il m'attrape une cuisse et me relève une jambe le faisant pivoter latéralement contre lui. Il ne bouge presque plus. Je sens qu'il n'est pas loin de jouir, même si mon orgasme semble encore loin. Je m'attends à ce qu'il éjacule n'importe quand.

Et soudain, je le sens se déverser en moi. Luc doit voir aux contractions de son sexe qu'il est en train de venir.
- 128 ! Bravo Damien. Pas ton meilleur score, mais possible que Lionel ne soit pas meilleur puisqu'il a déjà dépensé pas mal d'énergie en profitant du prix de sa victoire.
- Il faut que je le trouve avant. Cela lui laisse le temps de recharger ses batteries.

Quand Damien se retire, je commence déjà à fouiller le parc du regard. Cédric s'approche de moi et me dit :
- Si tu veux savoir, Lionel s'est caché du côté de...
Je l'interromps :
- Chut ! Sois beau joueur. Ne dis rien, s'il te plaît.

Laissant Damien et Cédric, je pars dans à la recherche de Lionel, uniquement accompagnée de Luc. Je fais deux fois le tour du parc avant de finalement l'apercevoir derrière un buisson proche de la falaise.
- Lionel ! Tu m'as donné du mal. Je ne pensais pas te trouver aussi loin.
- En fait, j'ai bougé un peu. Tu m'as manqué de peu à deux occasions...

- Au moins, tu joues le jeu du cache-cache sérieusement. Je vais donc devoir te faire éjaculer pendant que Luc comptera, mais tu souhaites peut-être autre chose qu'une masturbation ou une fellation ?
- J'ai aussi eu le droit à la levrette. Je suis d'accord pour changer.
- Mmmmm, je crois qu'il reste l'amazone, non ?

- Ah oui ! C'est une excellente idée, Juliette !
Ravi de ma proposition, il s'allonge, sexe déjà dressé, attendant que je vienne prendre position. Je l'enjambe pour me mettre à cheval sur lui et je guide sa tige dans ma fente déjà largement lubrifiée. Dès que je commence à monter et descendre sur lui, Luc commence à compter :
- 1, 2, 3...

Damien et Cédric, attirés par mes gémissements de plaisir, finissent par nous rejoindre. Cédric ne peut s'empêcher de commenter :
- Miam, c'était un délice d'investir cette croupe, mais c'est aussi très plaisant à l'œil de pouvoir la voir se faire investir par quelqu'un d'autre. N'est-ce pas, Luc ?
Je me retourne pour voir Luc hocher la tête en souriant tout en continuant de compter.

Damien demande :
- Lionel n'a pas demandé à essayer l'autre voie ?
Je comprends très bien de quoi il parle et je lui réponds :
- Non... Aaaaaah... Pas pour cette fois... Ooooooh...

À peine, ai-je terminé ma phrase que je sens Lionel se tendre. Aussitôt, une giclée de sperme chaud vient envahir mon ventre, suivie de plusieurs autres, déclenchant mon propre orgasme. C'est dans une semi-conscience que j'entends Luc annoncer :
- 227 ! Là, Damien va partir plus d'une minute avant lui...
Quand nous nous calmons enfin, je me relève pour libérer Lionel et bascule à côté de lui. Cuisses écartées, je laisse à tous la possibilité de voir l'étonnante quantité de sperme qu'il a pu me mettre encore cette fois.

Luc rigole :
- La corne d'abondance, ma chérie !
Cédric semble un peu jaloux :
- Bon, on ne va pas y passer la nuit. La deuxième phase de cette dernière manche décidera du vainqueur.
Sans attendre, Luc débute le compte. Je pars donc aussitôt me cacher dans le parc.

Je décide de retourner à ma première cachette, gageant qu'ils penseront que je n'oserais pas y retourner. D'ailleurs, cela semble fonctionner, car je reste cachée pendant plus de quatre minutes. J'écoute, attentive au moindre bruit. J'entends les voix de Luc qui semble réprimander Cédric pour l'interprétation des règles qu'il a pu faire. Concentrée sur cette conversation qui m'amuse, je me redresse pour voir si je distingue l'approche de Damien ou de Lionel, car maintenant, ils sont forcément tous les deux en chasse.

Entendant un bruit sur ma droite, je me mets à quatre pattes derrière un buisson et ne fais plus le moindre bruit. J'entends des pas sur ma gauche, d'autres sur ma droite. Mince ! Ils sont là tous les deux ! Je retiens mon souffle. Puis je les entends rire tous les deux derrière moi :
- Héhé ! Quelle charmante position tu as, Juliette, pour te cacher.

Me retournant, je soupire de déception d'avoir été découverte :
- Bravo, les gars. Lequel m'a vue en premier ?
Lionel regarde Damien et celui-ci hausse les épaules :
- Je crois qu'on t'a vu tous les deux en même temps.

- Dans ce cas, vous allez avoir le droit de me faire l'amour tous les deux ?
- J'imagine que c'est que Luc aurait prévu. On attend qu'il arrive pour lui demander ?
- Non, faisons comme ça.
J'ai très envie d'avoir ces deux beaux mecs pour moi. C'est Damien qui s'avance en premier et vient me prendre en levrette.

Lionel vient alors s'agenouiller devant moi et me propose apparemment de le sucer, ce que je fais de bon cœur. Quand Luc arrive, il comprend aussitôt la situation :
- Eh bien ! Nous avons deux vainqueurs, semble-t-il. Bravo, les gars ! Mais toi Lionel, tu as encore de l'énergie ?
- Pas sûr... Mais Juliette se débrouille très bien, je ne t'apprends rien...

Cédric y va aussi de ses commentaires :
- Et Damien ? Lui aussi, il a déjà beaucoup donné.
Luc répond en souriant :
- Oui, mais Juliette gère.
- Je vois ça. Mais ça m'étonne qu'il n'ait pas eu l'idée d'essayer l'autre voie cette fois-ci...
De quoi je me mêle ? Si je n'avais pas la bouche occupée, j'aurais rembarré ce jaloux.

Mais Damien a très bien entendu la suggestion de son copain et, quand je le sens se retirer, je sais qu'il s'agit d'une pause et que je vais sentir la pénétration suivante, ailleurs. Il pose son gland sur mon anus et attend. Je pense qu'il s'agit d'une demande d'autorisation, il ne veut pas me sodomiser sans mon consentement. Je dois donc moi-même donner un petit coup de reins en arrière pour qu'il embroche son gland dans mon petit trou.

Dès qu'il commence à aller et venir, je sens une sensation très différente. Il n'est pas trop gros en moi et me donne déjà du plaisir. Il faut dire que je ne suis pas mécontente non plus que ma minette puisse avoir une pause, mais si je crains ne pas être en mesure d'avoir un orgasme de cette manière.

Ce n'est pas le cas de Damien que j'entends ahaner comme une bête et soudain se retirer. A-t-il des scrupules à éjaculer en moi ? Ou bien est-ce pour le spectacle pour énerver Cédric ? Toujours est-il que Damien garde sa queue sortie au-dessus de ma croupe alors qu'il éjacule, m'inondant le dos et les fesses de se semence chaude.

Et ma grande surprise, Lionel nous montre qu'il a lui aussi de la ressource malgré ses multiples éjaculations précédentes pendant le jeu. Sans doute que de voir son copain jouir sur mon cul a ouvert les vannes de son plaisir. Et, son plaisir vient assaillir ma bouche avec tant de vigueur que je me vois contrainte d'en avaler une bonne partie pour ne pas étouffer. Quand enfin mes deux amants me libèrent, je me redresse et Luc me demande :
- Mais ils t'ont donné un orgasme, ma Juju ?
- Pffff, non. Mais ne t'inquiète pas, j'ai eu mon compte avec ton jeu.

- Cela t'a plu ?
- Beaucoup, très excitant. Et je vois que, même si tu as été éliminé à la première manche, toi aussi cela t'a bien excité.
- Je ne peux rien te cacher, ma chérie.
Mon cher Luc affiche une érection bien appétissante.

Luc se tourne vers les gars :
- Bravo pour cette victoire partagée, messieurs, et pour votre participation active. Toi aussi, Cédric.
Lionel ajoute :
- Moi, je pense qu'on soit surtout remercier Juliette pour avoir rendu ce jeu aussi passionnant.
- Oui, j'avoue que sans moi, ce cache-cache aurait pris une autre tournure.

- Heu, dit Cédric. Personne n'aurait accepté de jouer sans toi.
- Dommage, moi j'aurais voulu voir ça !
- Voir quoi ?
- Des mecs qui se cherchent et qui s'enfilent quand ils se trouvent !
Luc et Lionel rigolent alors que Cédric et Damien affichent une mine de dégoût. J'ajoute :
- Il n'y a pas de raison que ce soit toujours mon cul qui trinque !

Tout le monde éclate de rire.
^ ---------oOo---------
Angela - épisode 34 : Locataire potentiel
Mercredi 3 août 15:44
Cédric et Damien sont repartis. Alors que nous retournons à la maison nous raffraîchir, Lionel court jusqu'à sa voiture où il entant la sonnerie de son téléphone portable. Luc et moi rentront préparer une boisson fraîche. Quand Lionel nous rejoint, il s'est rhabillé et semble embêté :
- Heu, désolé, vous allez devoir vous rhabiller.
- Ah oui ?

- J'avais oublié que j'avais donné rendez-vous à un gars pour visiter la villa... Un locataire potentiel.
- Heureusement qu'il n'est pas arrivé pendant qu'on faisait le cache-cache !
- Oui ! Il aurait eu une drôle de surprise.
- Mais, il vient, là ? Maintenant ?

- Oui, il est au portail, je lui avais donné rendez-vous devant la maison. Je devais vous en parler en arrivant tout à l'heure, mais j'avoue que ça m'est un peu sorti de la tête quand je vous ai vus tous à poil.
Luc précise :
- Surtout quand tu as vu Juliette, non ?
- Oui...
Lionel me regarde, comme s'il avait besoin de se souvenir de l'origine de son trou de mémoire.

Pendant que Lionel va chercher le visiteur, Luc et moi remontons dans la chambre pour passer des vêtements. Luc me tend une petite robe colorée, assez fine et très courte.
- Un peu léger, non ?
- Non. Tu seras magnifique.
- Tu sais, c'est la villa qu'il visite, pas les locataires...
Comme il faut faire vite, je passe la petite robe et nous redescendons. Lionel est là, avec un homme sans doute un peu plus âgé que nous. Luc va lui serrer la main :
- Moi, c'est Luc et voici Juliette.

Son regard se pose sur moi. À cet instant, en voyant les trois paires d'yeux et les sourires satisfaits, je me rends vraiment compte que ma robe est un peu transparente et particulièrement courte. Notre visiteur se présente :
- Je suis Gaspard. On m'a parlé de cette villa particulière et on m'a donné le contact de Lionel que j'ai appelé pour faire une visite, mais je ne pensais pas qu'il y avait déjà des locataires, je ne voudrais pas vous déranger.

Il est assis sur l'accoudoir du canapé. Je m'avance vers lui :
- Ne vous en faites pas, ce n'est pas un soucis.
Lionel ajoute en me faisant un clin d'œil :
- Ce sont des amis. Ils sont d'accord.
Gaspard me demande :
- On se fait la bise ?
- Heu, oui. Bien sûr.
Comme il ne se lève pas, je me penche pour lui faire la bise et je prends conscience qu'il doit ainsi bien profiter de mon décolleté.

Gaspard se tourne vers Lionel :
- Mais, vous m'aviez parlé d'une villa naturiste... Et je ne vois que des gens habillés.
- Nous nous sommes rhabillés pour votre visite. Vous êtes naturiste ?
- Oui.
J'ose :
- Dans ce cas, ne vous gênez pas pour nous si vous voulez vous mettre nu pour la visite...
À ma grande surprise, il commence à déboutonner sa chemise :
- D'accord.

Je ne m'y attendais pas du tout et, à voir les têtes de Lionel et Luc, eux non plus ! Gaspard s'interrompt en voyant nos réactions :
- Heu, excusez-moi. Si ça vous pose problème, on peut faire la visite en mode textile.
Sans pouvoir dissimuler mon trouble, je m'empresse de répondre :
- Oh non. Cela ira très bien. Nous avons aussi découvert les plaisirs du nudisme depuis le début de la semaine.

Lionel demande :
- Mais ça ne vous gêne pas d'être nu au milieu de gens habillés ?
- C'est une question d'habitude...
Il sort son portefeuille et le pose sur l'accoudoir du canapé avant de déboutonner son pantalon.

Lionel dit à Luc :
- On ferait peut-être bien d'en faire autant.
- Oui, je me sens con à être habillé, du coup.
Sans doute avec l'idée que cela m'incite à les imiter, les deux gars quittent rapidement leurs fringues et exposent des sexes déjà en érection.

Je me moque gentillement d'eux :
- Et bien, vous vous contrôlez assez peu, les garçons... Je suis pourtant habillée.
Luc me répond :
- Oui, mais tu est très excitante dans cette robe courte et un peu transparente.
- Elle est trop courte ?

- Une robe n'est jamais trop courte, ma Juju.
Quand Gaspard abaisse enfin son pantalon, il dévoile un sexe impressionnant, déjà gonflé, mais pas en érection :
- Eh oui, messieurs. Je partage votre point de vue sur la robe de Juliette, mais je contrôle un peu.

J'ai envie de lui dire que c'est un contrôle très relatif vu qu'il n'est pas très loin d'être en érection, mais je ne veux pas le vexer et me donne plutôt comme challenge de le faire bander franchement. Je passe mes mains dans mes cheveux pour faire saillir mes seins (et peut-être que cela permet aussi à la petite robe de remonter suffisamment haut pour découvrir ma minette ?) :
- Vous êtes un gentleman, Gaspard.

Je sens comme un amusement de Lionel à ma remarque. Il ne l'exprime pas, mais je lis à son expression qu'il trouve un peu abusé d'attribuer le terme de gentleman à un gars qui a la queue à l'aire. En revanche, il me dit :
- Et toi, Juliette ?
Je prend alors conscience que je suis la seule à être encore habillée. Si je retire ma robe, c'est sûr que notre visiteur se mettra à bander.

Alors qu'il est en train d'abaisser son boxer, Gaspard me demande à nouveau :
- Vous êtes sûre que cela ne vous met pas mal à l'aise ?
- Pas du tout ! réponds-je aussitôt.
- Je connais des gens qui sont gênés de se mettre nus devant des inconnus.

- Cela ne semble pas être votre cas, Gaspard...
- Non, je supporte mal les vêtements... Si je le pouvais, je crois que je bosserais aussi à poil.
- Quel est votre métier ?

- Je suis masseur...
- Ah oui ? Pourtant, vos clients sont à poil, eux.
- Oui, mais ça ferait mauvais genre d'être à poil aussi. Même si la plupart préfèrent rester sur le ventre.
- Le dos serait moins sujet à vous émouvoir ?
Je me tourne en remontant ma robe pour lui exposer ma croupe.

- Oh, bien sûr que si, même si la plupart des dos que je masse ne sont pas aussi splendides que celui-ci.
- Gaspard, vous êtes un vil flatteur.
- Ce n'est pas de la flatterie, je pense sincèrement que vous avez un corps somptueux.
Pourtant, le gaillard n'est pas en érection.

Une fois totalement nu, il me demande :
- Le naturisme est donc une nouveauté pour vous ?
- Oui, mais c'est heureusement un sport qui s'apprend très vite.

- Vous êtes là seulement une semaine ?
- Oui, mes parents nous ont offert ces vacances pour mon anniversaire.
- Ah oui ? Quel âge avez-vous eu ?
- Je viens d'avoir 22 ans.

Luc demande :
- Et vous, Gaspard, quel âge avez-vous ?
- J'ai 35 ans. Je dois vous paraître comme un vieux croulant.

- Ah, mais pas du tout !
- Vous trouvez ?
- Oui. Vous êtes bien bâti et en pleine forme. Je pensais même que vous aviez 10 ans de moins. Vous faites du sport ?
- Oui, je nage beaucoup.
- Cela se voit...

- Et vous Juliette, vous faites du sport ?
Luc et Lionel rigolent derrière lui. Ils ne sont apparemment pas intégrés à la conversation et s'amusent que la visite de la villa soit devenue un flirt.
- Très occasionnellement.
- Pourtant vous semblez assez musclée. Vos seins semblent plutôt fermes.
- Mes seins ?

- Oui, ils sont magnifiques !
- Merci. Ils plaisent beaucoup à Luc.
Luc ajoute :
- Et à Lionel.
Lionel surenchérit :
- Et à tout le monde, je pense.
Gaspard s'adresse à Luc :
- Vous avez une femme somptueuse. Cela doit être dur de ne pas être excité en sa présence.

- Pourtant, dis-je, vous-même ne montrez pas une si grande excitation.
- Oh. C'est juste que je me contrôle.
- Ah oui ? Et ça donne quoi si vous baissez la garde ?

- Si je baisse la garde ? Vous voulez voir ?
- Bien sûr !
Et là, incroyable, je vois son sexe se tendre et se dresser en seulement quelques secondes.

- Voilà, ça me rassure que vous soyez dans le même état que Luc et Lionel.
- Il fallait le dire ! Mine de rien, ça m'a demandé un peu de concentration pour la contrôler.
- Et c'est dommage. Elle est si belle ainsi dressée.

- Mais c'est vous qui la faites dresser, belle Juliette.
Lionel a sans doute peur que la conversation s'éternise sur d'autres banalités à propos de mes seins ou du sexe de Gaspard. Il recentre la conversation sur l'objet de la présence de notre visiteur :
- Je vous fais la visite ?
- Et bien, peut-être que Luc et Juliette pourraient s'en charger puisqu'ils vivent ici depuis quelques jours. Ils pourront faire profiter de leurs expériences.
Je m'approche de Luc :
- Qu'en dis-tu, c'est une bonne idée, non ?

- Excellente, ma Juju. Mais tu sais quoi, comme on a un peu laissé du bazard partout, je vais passer avant vous dans les pièces pour ranger rapidement. Et toi, tu lui fais la visite. Qu'en penses-tu ?
Je pense que Luc a une idée derrière la tête et qu'il a envie de me voir batifoler avec le beau Gaspard.
- OK !
Nous échangeons un long baiser et je ne résiste pas à le masturber un peu au passage, surtout avec l'idée que ça puisse exciter notre visiteur.

Luc monte à l'étage :
- Commencez par la salle de bain. Je vais mettre un peu d'ordre dans la chambre.
Je me tourne vers Gaspard :
- Cela vous convient ?

- Je visiterai n'importe quoi avec vous Juliette. N'hésitez pas à me dire le vécu que vous avez eu dans chaque pièce, en tant que naturiste, les expériences, ce qui changeait de vos habitudes.
- Ce n'est pas nécessairement très différent de ce que l'on pourrait faire en étant habillé.

- Je ne sais pas. C'est à vous de me le dire.
- OK, j'essaierai d'y réfléchir... Vous me suivez ?
Je lui tourne le dos, mais je constate qu'il ne m'emboîte le pas qu'après avoir admiré ma croupe.

- Nous commençons par la salle de bain.
- Oh, la douche est sans doute la pièce où, même avant, vous vous mettiez assez naturellement nue ?
Un peu agacée par une telle évidence, je lui réponds un peu sèchement :
- Oui, c'est plus pratique pour se laver.

- Je voulais dire, même en dehors de la douche elle-même. Vous arrive-t-il de vous brosser les dents ou de vous maquiller nue ?
- Cela a dû m'arriver, mais ce n'est que exceptionnellement, quand je savais que j'étais seule.
- Vous tenez à votre intimité ?
- Cela dépend pour quoi. Je ne trouve pas nécessairement très sexy que Luc me voie me brosser les dents par exemple. Mais ça ne me gêne pas s'il me regarde pendant que je me passe de la crème.

- Moi, à sa place, je proposerais de vous la passer moi-même.
Un instant, l'envie me prend de lui proposer de le faire effectivement et je sens que je commence à mouiller. Je me retourne en me cachant l'entrejambe avec les mains :
- Heu... Voilà. Pas grand chose de plus à dire. Elle est fonctionnelle et on y loge facilement à deux pour la toilette.

- Très bien.
Me vient alors une question :
- Vous serez deux ?
- Non, je serai seul.
Je pense "quel gâchi" en moi-même.
- OK. Je vous montre la chambre ?

Luc sort de la chambre quand nous arrivons dans le couloir :
- Elle est à vous. Je vais ranger le salon pendant que tu lui montres. Prenez votre temps.
J'ai l'impression que Luc m'incite à avoir une conversation plus "approfondie" avec Gaspard. D'ailleurs, il a peut-être aussi compris la même chose que moi puisqu'il saute sur le lit et s'y allonge sur le dos, sexe dressé.
- Alors, ce lit, vous en pensez quoi, Juliette ?

- Heu... le lit est très bien.
- Et quand on est à deux dessus, ça va ?
Je sais très bien ce que Gaspard souhaite, mais je fais l'innoncente :
- Bah oui, c'est un deux places...

Il insiste :
- Je veux dire, le matelas reste ferme, même à deux dessus ?
Là, j'en ai marre et j'ai vraiment envie de dépasser l'étape du flirt. Je viens m'agenouiller sur le lit et, sans lui demander, je saisis son sexe dressé :
- Oui, ça reste bien ferme. Vous voyez ?

- Ah, Juliette... Je savais que vous me feriez profiter d'une visite agréable.
- Il faut dire que vous êtes bien pourvu. C'est difficile de résister.
- Et je trouve que vous êtes plutôt résistante par rapport d'autres filles.
Je commence à le masturber doucement.
- Oh, il y en a eu beaucoup ?
- Oui. Trop pour les compter et pour en tenir un compte juste.

- Aucune fille ne vous résiste ?
- Ce n'est pas à moi qu'elle résisterait. Je n'impose rien. C'est contre elles-mêmes qu'elle doivent résister, mais à chaque fois, elles craquent.
- Oh, mon pauvre. Et vous, vous subissez ?
- Voilà. Ma vie est très compliquée.

- Je peux peut-être vous l'adoucir un peu ?
Je me penche vers son sexe tendu, posant ma langue sur son gland. Il acquiesce :
- Mmmmh, oui... Vous avez vous aussi succombé. Je dois me résigner.

Je gobe son sexe dressé. Il essaie de me faire croire que son gémissement de plaisir est une plainte d'être la proie de la fatalité :
- Haaan... Tant de femmes ont trompé leur mari à cause de moi...
Je relève la tête :
- Je ne le trompe pas : il sait ce que nous faisons et je lui raconterai. Il aura le droit à tous les détails.
Je replonge sur le dard et entame une suave fellation.

Il ferme les yeux et semble apprécier ce que je lui fais.
- Mmmmm... Vous êtes douée...
Je ne sais pas si je suis douée, mais j'avoue que j'adore pomper cette grosse queue.

Mais notre visiteur semble vouloir davantage :
- Mmmm... Dites-moi... Si ça excite votre mec que vous lui racontiez m'avoir sucé, peut-être que ça l'exciterait encore plus d'entendre que vous m'aurez chevauché, non ?
Je me redresse :
- C'est une idée. Mais de toute façon, j'en avais envie et j'aurais été incapable de résister.
- Oh, moi je propose ça, parce que d'habitude, les nanas ne me laissent pas le choix...
- J'imagine bien.

- Alors, faites-vous plaisir. De toute façon, je sais que vous ne me demanderez pas mon avis.
Je m'amuse de la façon dont il retourne la situation en me faisant passer pour une nymphoman, mais je trouve qu'il est quand même particulièrement arrogant. Je me redresse et l'enjambe pour venir me positionner au-dessus de lui. Il m'aide à descendre en me guidant la fente humide sur sa grosses tige bien dure.

Le gland, énorme, trouve son chemin dans ma fente, heureusement bien trempée. Le reste de la hampe suit peu à peu. C'est un vrai délice de se sentir ainsi remplie et je laisse échapper mon plaisir, sachant que Lionel et Luc l'entendent sûrement.
- Oh ouiiiii !

- Héhé, elle est bien... Hannnn... bien grosse, hein ? Hannnn...
- Oooh oui. Ouiiii. Tellement grosse...
Les mains sous mes fesses, il me fait aller et venir sur son membre turgescent.

- Ooooooh ouiiiii...
Je ne cherche pas à atténuer mon plaisir : je sais que Luc apprécie. Je sens que ce sexe énorme va me donner un magnifique orgasme, alors je profite de ce que Luc m'offre.

Gaspard semble lui aussi prendre beaucoup de plaisir. Il n'a plus la force de m'assommer de son couplet arrogant sur son irresistibilté. Je comprends qu'il va bientôt jouir quand il me dit :
- Juliette ! Hannnn... Je vais... Hannnn...
Je me déchaîne alors pour l'achever. Pour nous achever.

Et là, c'est incroyable. Nous jouissons en même temps. Mon orgasme me foudroie alors que je sens son sexe exploser en moi, déversant ce qui me semble être des litres de sperme.
- Aaaaaaaaaaaah !
- Haaaaaannnnnn !
Impossible que Lionel et Luc aient pu manquer ce choeur improbable, même s'ils étaient à l'autre bout du parc ou en bas sur la plage.

Combien de temps a duré mon orgasme ? Combien de temps a duré son éjaculation ? Impossible à dire. J'ai l'impression que le temps s'est arrêté. Quand je reprends conscience, je suis effondrée sur Gaspard ; son sexe s'est rétracté et a quitté mon fourreau ; son sperme s'écoule de ma fente. Il me murmure :
- Vous êtes douée pour les visites...

Nous nous redressons. Il me dit :
- J'espère que votre copain et le proprio ne nous ont pas entendus...
- Bien sûr que non, c'est hyper bien isolé, ici.
- Quand même, vous n'avez pas eu trop de retenue, je trouve.
On entend alors la voix de Lionel en bas :
- Tout va bien, là-haut ? On a cru entendre crier.
Gaspard et moi portons en même temps le doigt sur la bouche pour indiquer qu'on doit garder le silence.

Je réponds quand même à Lionel :
- Tout va bien ! Je me suis cogné un orteil sur le pied de lit.
Gaspard me chuchotte :
- Vous croyez vraiment qu'ils vont gober ça ?
- Bien sûr que non. Mais ça détourne la conversation.

Quand nous redescendons, Luc vient à moi et me sourit :
- Oh, ma Juju, cette visite semble t'avoir épuisée. Tu veux que je prenne la suite ?
- Oui. Il reste la cuisine et le salon.
Gaspard attrape ses vêtements et commence à se rhabiller :
- Oh, ne vous inquiétez pas. Avec ce que m'a montré Juliette, je suis déjà convaincu.

Alors que notre ardant visiteur termine de s'habiller, je décide d'aller prendre une douche :
- Je vous laisse, je vais me laver.
- Ah non ! dit Luc. Tu ne peux pas laisser partir Gaspard sans lui dire au revoir.
- Bien sûr.
J'ai bien compris ce que veut Luc. Et Gaspard aussi. Dès que je suis contre lui, il ne se contente pas d'une bise, mais m'embrasse à pleine bouche et je sens une main caressant mes fesses.

Pendant l'interminable baiser, je sens contre mon ventre une bosse se former. Notre visiteur se remet donc à bander magistralement ! Je sens une envie irrépressible de sortir sa grosse queue et de m'amuser encore et encore avec. Peut-être n'est-il pas si arrogant que cela et que l'attirance des femmes pour son sexe est une réalité qu'il subit. Tandis que sa main glisse entre mes cuisses pour taquiner mon clitoris, je tente de déboutonner son pantalon.

Et c'est Lionel qui intervient pour nous éviter de repartir dans une partie de jambe en l'air devant tout le monde.
- Hey ! Il est tard et je crois que notre ami a un peu de route.
Gaspard se détâche à regret :
- Oui. Je dois y aller. Encore meci pour la visite. C'est parfait.
Puis s'adressant à Lionel :
- Je vous rappelle demain pour les dates disponibles à réserver.
- Parfait, j'attends votre appel.
- Aurevoir. Merci. Aurevoir, Juliette.
- Aurevoir, Gaspard.

Je le laisse partir à regret, mais je sais qu'il reviendra. Son portefeuille a glissé de l'accoudoir et s'est perdu dans les coussins. Je l'ai vu, mais je me suis bien gardée de le signaler, espérant ainsi un retour rapide. J'ai à nouveau une pensée pour Angela. S'est-elle, elle aussi, donnée à un inconnu comme je viens de le faire ? Ou bien suis-je allée au-delà de celle qui a été mon inspiratrice depuis notre arrivée dans cette villa ?
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Angela - épisode 35 : Visite guidée
Mercredi 3 août 20:07
Une fois Gaspard parti, Lionel et Luc me regardent en souriant :
- Alors ?
- Alors, quoi ? Il était bien gaulé, j'en ai profité, c'est tout.

Les garçons rigolent et Luc demande :
- Et il ne s'est pas posé de questions ?
- Si, un peu. Mais comme moi je n'avais pas l'air de m'en poser, cela l'a rassuré et il en a profité lui aussi.
- Tu n'as pas su résister à son énorme sexe ?
- À dire vrai, je n'ai même pas essayé de résister...

Lionel penche la tête sur le côté avec un sourire énigmatique. Je me dis qu'il a une idée en tête et il ne tarde pas à l'exprimer :
- Même si je connais bien la maison, ça m'intéresse de voir comment tu fais pour convaincre un mec en lui montrant seulement deux pièces.
- Vous voulez une visite personnalisée, les garçons ?
- Oui, voilà.
- OK. Vous me suivez ?

Les gars m'emboîtent le pas alors que je me dirige vers la cuisine.
- Alors, là. C'est la cuisine.
- Quel est son intérêt principal ?
- Mmm... je dirais sans doute la présence de quelques légumes spécifiques, comme la carotte ou le concombre.
- Oui, je vois. Tu nous fais une démonstration ?
- Ce n'est pas vraiment l'heure du repas, Messieurs...

- Dommage. Ce qui m'intéressait, c'était surtout l'assaisonnement.
- Je le fais maison et ça ne coûte rien.
Luc hoche la tête :
- Cela doit être délicieux, mais tu dois le réserver à des invités proches.
- Rassure-toi, je cuisine mes crudités différemment quand tes parents ou les miens sont là.

Lionel regarde les plans de travail :
- Au fait, tu ne les trouves pas un peu bas, ces plans ? Pour le dos...
- Heu, oui, ils sont un peu bas effectivement. Cela m'oblige à me cambrer un peu.

- OK, je verrai avec mes parents s'ils peuvent faire changer celui-ci par un qui serait un peu plus haut.
Je me positionne alors face à l'îlot central en tournant le dos aux garçons :
- Mais ça a quand même un intérêt qu'il ne soit pas trop haut.

- Ah oui ? Lequel ?
- Et bien, comme il est un peu large, on peut facilement monter dessus pour atteindre quelque chose, sans avoir à faire tout le tour.
Je monte alors à quatre pattes sur l'îlot, voyant aux sexes dressés et aux yeux écarquillés des garçons que la position ne leur déplait pas.

Lionel rigole :
- Haha, du coup, on va plutôt le laisser à cette hauteur.
- Oui ? Toi aussi, tu trouves que c'est pratique ?

Luc ajoute :
- Peut-être quand même un problème de sécurité pour redescendre, non ?
Lionel vient vers moi et me saisit par la taille pour accompagner mon retour au sol :
- Je vais sécuriser la descente de notre Juliette.
Alors que j'ai posé un pied par terre, je sens surtout que ce petit profiteur m'empale sur son sexe dressé.

- Ooooh... Ouiii... Je me sens bien en sécurité pour redescendre...
- Han... et moi je vais essayer de te faire grimper... han... au rideau...
Lionel me prend maintenant surtout en levrette.

Luc intervient :
- Tu es un vrai gentleman, Lionel. Tu ne crois pas qu'elle serait plus en sécurité si nous étions deux ?
- Je gère. Han... Regarde. Il suffit... Han... de multiplier les prises.
Je sens alors qu'il commence à me fourrer un doigt dans l'anus.

- Ooooh... C'est bon... Mais... Ooooh... Je ne vais pas glisser...
Je sens que l'orgasme n'est plus très loin, mais Lionel m'abandonne soudain et se met à éjaculer en râlant. Il inonde mon dos et mes fesses de plusieurs giclées de sperme dont certaines s'achèvent même sur le plan de travail.
- Oups ! Désolé, Juliette. C'est arrivé plus vite que je ne l'aurais cru.

- Pas de soucis...
J'attrape une grande serviette que me tend un Luc hilare. Je m'essuie les fesses :
- Merci Luc. Lionel, tu devais être bien excité pour jouir aussi vite.

- C'est effectivement un exercice difficile de suivre une visite faite par une fille aussi sexy.
- Pas de flatterie. Ce n'est pas moi qui suis en location, c'est la villa. Passons au salon, vous voulez bien ?
Dès que nous y arrivons, je fais le tour de la table basse pour rejoindre le canapé et m'y allonge, jambes écartées, pour me caresser la moule.
- Comme vous pouvez le voir, le canapé est particulièrement confortable.

- Oui, on dirait, dit Luc. Puis-je l'essayer ?
J'écarte encore plus largement les cuisses :
- Je te fais une petite place là...

Luc vient s'asseoir entre mes cuisses et me sourit :
- J'aime beaucoup ce canapé.
- Oui, c'est l'endroit idéal pour prendre l'apéritif. Si tu as soif, je peux te servir quelque chose.
- Merci, je crois que ce que je veux est déjà à portée.
Il se penche sur mon entrejambe et commence à me lécher la minette.

Lionel demande :
- Dommage qu'il n'y en ait pas pour deux...
- Mmmm... Désolé Lionel, je n'ai qu'un abricot.

Luc se redresse :
- Et je crois qu'il est bien mûr !
Il guide son sexe dans ma fente et commence à aller et venir.

C'est délicieux, mais c'est frustrant de voir Lionel bander juste à côté de nous. Était-ce pareil avec Angela ? Chacun attendait que l'autre ait fini ? Cette salope aurait accepté cela ? Moi je n'ai pas le cœur...
- Ooooh... Lionel... Approche... Ooooh... Moi aussi, je veux mon apérooooh...

Il ne se fait pas prier. Il attendait juste mon invitation. Sans doute qu'Angela fonctionnait aussi comme ça. Sa queue est bien grosse et bien tendue. Lui aussi ça l'excite de regarder son pote me baiser. Bon, c'est vrai que Luc, lui, a toute légitimité pour le faire. Je prends entre mes doigts le sexe gonflé et le porte à ma bouche pour le lécher.

Soudain, j'entends Luc dire :
- Lionel ! Sale pervers ! Tu pourrais attendre ! Elle ne t'a même pas encore vraiment sucé.
Et je comprends pourquoi il dit cela en sentant les giclées successives de sperme qui viennent maculer mon visage et le bord du canapé. Lionel se recule :
- Dé... Désolé... Trop excité...
Je garde les yeux fermés au cas où d'autres giclées arriveraient encore.

Et puis Lionel dit :
- Tu peux parler, toi ! Je n'ai pas l'impression que tu fasses beaucoup mieux.
Effectivement, je sens un puissant jet de sperme exploser en moi. Luc s'extrait alors et termine de se déverser sur ma moule. Je saisis alors son membre encore tendu pour le traire et en extraire jusqu'à la dernière goutte.

Je me redresse et prends la serviette que me tend Lionel. C'est la même que tout à l'heure, mais qu'importe. On prendra une douche après cette visite. Je m'essuie le visage et l'entrejambe avant de me moquer un peu des garçons :
- Dites donc, tous les deux ! Vous me semblez bien émotifs... Allez-vous réussir à poursuivre la visite sans éjaculer dans chaque pièce ?

Luc rigole :
- Je pense que ça mérite d'essayer...
Je redonne la serviette à Lionel et je les invite à me suivre dans la salle de bain. Je me place dans l'embrasure :
- Alors, dans cette pièce, les gars, c'est un peu spécial, car il y a plusieurs facteurs érotiques...

- Explique-nous ça, dit Lionel.
- Déjà, il y a le miroir. Celui-ci me permet de vous voir sans vous regarder directement. Mais il vous permet aussi à vous de multiplier les points de vue à un même instant.
- Effectivement, répond Luc en admirant ma croupe.

Je poursuis mon argumentaire :
- Par ailleurs, pour me laver, je suis contrainte de prendre des poses plutôt indécentes.
- Là, il faut que tu nous montres.
- Bien sûr, Lionel.
J'écarte les cuisses en me cambrant au-dessus du lavabo.

- Et pour quelle raison dois-tu écarter autant les cuisses ?
- Pour me laver l'entrejambe, figure-toi !
Je me retourne et relève une jambe sur le meuble du lavabo, en précisant :
- Et pour se laver les jambes aussi...

Les garçons sourient bêtement devant ma démonstration. Il semble que je les ai épuisés dans le salon pour qu'ils ne tentent rien ici. Je ne les sollicite pas pour leur laisser le temps de se refaire.
- Bon, et je ne vous présente pas la douche, particulièrement érotique : la porte vitrée qui ne cache rien, l'eau tiède qui coule, les mains qui parcourent chaque centimètre de peau.
- Tu nous fais une démonstration ? demande Lionel.
- Non, nous allons avancer dans la chambre.

Les garçons, queues en l'air, me suivent jusqu'à la chambre. Je monte sur le lit et m'y agenouille en me tournant vers eux :
- Bon, c'est classique, évidemment. Le lit c'est bien sûr l'endroit idéal pour faire l'amour. C'est moelleux et c'est suffisamment grand pour tenir à plusieurs.
Luc, amusé, relève ma remarque :
- Je note que tu ne dis pas "deux".
- Deux, c'est déjà plusieurs, non ?

Lionel intervient :
- Je ne suis pas d'accord. Je pense que tu pourrais très bien prendre du plaisir seule sur ce lit.
- Ah oui ? Décris-moi la chose, je vais essayer...
- Et bien, tu t'allonges sur le dos en écartant les cuisses et tu caresses ta vulve et ton clitoris du bout de tes doigts.
Je prends position comme demandé :
- J'écarte comme ça ? C'est assez ?

- Heu, oui. Et tu peux te caresser ou te masturber.
- Et tu penses que je prendrais du plaisir ?
- J'en suis certain !
- Mais moi, je pense que je pendrais beaucoup plus de plaisir si l'un de vous deux me pénétrait.

Lionel s'avance :
- Je suis ton homme !
J'ai envie de faire un jeu de mot et de lui répondre qu'officiellement, c'est Luc mon homme, mais je me dis que l'instant n'est plus à la plaisanterie. Je le vois s'approcher, son sexe franchement bien bandé :
- Vas-y doucement, tu sembles particulièrement en forme...
- La faute à qui ?
Il engage son gland dans ma fente trempée et m'arrache un soupir de plaisir.

Lentement, il s'engage. Son sexe me semble réellement plus conséquent que d'habitude. Suis-je capable d'exciter un homme au point de le faire bander plus qu'il n'en a l'habitude ? Ou bien est-ce une propriété propre à Lionel ? Angela aurait pu répondre à cette question. Pour ma part, je profite de l'opportunité. Alors qu'il va et vient tranquillement, je glisse ma main entre mes cuisses et saisis la base de son sexe pour lui caresser les testicules.

Mais cette caresse semble être de trop pour Lionel :
- Han... Non... Non, non, non ! Pas déjà ! Hannnnnnn...
Il va gicler. Je veux voir ça ! Je saisis son membre turgescent et le sors pour le masturber vigoureusement. C'est moins une ! Il explose, propulsant plusieurs salves de sperme sur mon ventre et entre mes seins.
- Mmmmm, ça manque encore un peu de résistance, mon cher, non ?

Il reprend son souffle. C'est Luc qui répond pour lui :
- Il ne pouvait pas résister à tes caresses sur ses couilles. C'est son péché mignon !
Je m'étonne :
- Et d'où tu sais un truc pareil sur Lionel, toi ?
Je les regarde alternativement. Lionel finit pas répondre avec un demi-sourire, comme s'il me disait une vérité que je ne pouvais accepter :
- Angela... Mais, je te rassure, tu fais ça beaucoup mieux qu'elle... Quand je vois ce que tu m'as fait gicler...

Angela... Toujours ce spectre qui rôde autour de nos étreintes dès lors que Lionel et Luc sont présents. Je ne veux pas y penser. Je chasse cette idée et je me mets à quatre pattes sur le lit pour que Luc ne soit pas en reste :
- Bon, toi aussi, il faut que tu visites ce lit !

Luc s'approche, ravi :
- Avec plaisir, ma chérie.
Il reste cependant à côté du lit et s'agenouille pour venir planter son visage entre mes fesses.

Sa langue contre mon abricot est un vrai délice et il semble lui aussi se délecter de ma cyprine :
- Mmmm... Tu coules, ma Juju. C'est fantastique.
Puis, sans attendre mon invitation (qui aurait d'ailleurs plutôt été un ordre s'il avait attendu plus longtemps), Luc se redresse pour venir me prendre en levrette. Lui aussi, j'ai le sentiment qu'il est particulièrement gros ce soir... Lionel se mord sa lèvre supérieure en nous regardant :
- J'aurais bien voulu comme ça, aussi.

- Oooh... Dis donc... Ooooh... Tu as déjà essayé le lit... Oooh...
- Oui, mais je n'ai pas essayé l'hôtesse dans cette position...
- On verra.
Il répond à mon sourire par un hochement de tête. Il attend donc patiemment son tour, tandis que Luc accélère peu à peu la cadence.

Cette fois-ci, j'y ai le droit : mon orgasme monte si bien que, même si Luc éjacule maintenant, je sais que vais jouir fort. Je me mets à crier :
- Oooh ouiii, Luc ! Ouiiiii !
Mon corps est pris de spasmes. Luc se redresse et accélère encore, me besognant encore plus, décuplant mon plaisir. Et il s'immobilise, alors que tout mon ventre se convulse, propulsant en moi le produit de son plaisir.

Quand il ressort, je sens sa semence qui s'échappe de ma fente béante (ma position, cuisses écartées y est pour quelque chose). Je reprends mon souffle et lui demande :
- Mais comment tu fais pour te remplir les couilles aussi vite ?
- Aucune idée... Désolé.
- Oh, je ne me plains pas, c'est juste que c'est étonnant.

Je vois que Lionel est en attente :
- Tu veux prendre ton tour ?
- Si tu es d'accord...
- Tu ne veux pas que je m'essuie un peu ? Luc m'en a mis partout...

- Non, ça ne me gêne pas.
Tu m'étonnes. Ils ont dû souvent mélanger les sauces avec Angela. Je me frotte quand même l'entrejambe pour étaler le sperme et limiter les coulures.
- Bon, bah si tu veux tester encore le lit avec l'hôtesse, c'est le moment.

- Merci, Juliette.
Amusant qu'il me remercie pour le plaisir qu'on va se donner mutuellement. J'aime quand les gars sont polis et n'affichent pas un machisme ridicule. Je tends mon cul en le sentant s'approcher. Il commence par m'embrasser les fesses.

Va-t-il me sucer la moule et, par la même occasion, lécher le sperme de son copain ? Ses mains se posent sur ma croupe et me caressent. Je m'attends à sentir sa bouche sur mes lèvres, mais il me surprend en posant la pointe de sa langue sur mon petit trou. C'est très agréable. Très très agréable.
- Mmmmm... Tu me rends folle, Lionel.

- J'adore rendre folle l'hôtesse...
- Ne me fais pas trop attendre...
Il se redresse. Son sexe est tendu à l'extrême, imposant. Je garde le cul en l'air. Que va-t-il choisir ?
- Oooooh !!!
Il a choisi l'autre voie, celle plus étroite, celle interdite.

Il commence à aller et venir en moi. C'est un peu douloureux au début, mais le plaisir gagne vite. J'écarte les cuisses pour lui faciliter le passage. Je sens ma moule qui dégouline de mouille, ou peut-être du sperme de Luc ?
Entre mes jambes ouvertes, je vois Luc, souriant, qui admire la queue de son copain en train de ramoner l'anus de sa Juju chérie.

Le plaisir monte incroyablement vite. Il faut croire que j'en avais vraiment envie. L'orgasme est là, encore, fort. Comment puis-je jouir à nouveau aussi vite ? Lionel s'immobilise. Je sens les remous de mon plaisir autour de son pieu palpitant. Il résiste, un peu, puis succombe, laissant son plaisir succéder au mien et son sperme s'épancher dans mon fondement. Je ne prends conscience qu'il s'est retiré qu'en sentant sa semence s'écouler de mon trou, plus tellement petit...

Mais comment font les garçons pour éjaculer autant ? L'image de la corne d'abondance me revient. Est-ce que tous les hommes ont cette incroyable capacité ? Ou bien est-ce seulement Luc et Lionel qui ont profité d'une formation exceptionnelle avec Angela ? Quand je me redresse, Luc me tend la serviette pour que je m'essuie l'entrejambe et les fesses.
- Eh bien, les garçons ! J'ai l'impression que cette position vous a particulièrement stimulés.

- J'avoue que la chambre a plus de charme que le salon.
- Oh, mais le salon peut avoir le même charme si l'hôtesse prend la même position.
- Une contre-visite du salon s'impose donc !
Je prends la main de Luc pour les inviter à me suivre :
- Venez, je vous refais la visite.

Une fois que nous sommes arrivés en bas, je me plante derrière le canapé :
- Messieurs, je ne vous cache pas que la pièce maîtresse du salon, c'est ce canapé.
- Oui, on a déjà vu ça tout à l'heure, dit Luc.
- Mais vous n'en avez pas exploité toutes les ressources !

- Ah, mais nous attendons beaucoup de cette contre-visite, dit Lionel.
- Et bien vous allez pouvoir considérer ce meuble fondamental sous un autre angle.
Je prends position à quatre pattes sur le canapé, présentant ma croupe aux garçons.

- Tu te trompes, Juliette. Ce n'est pas un autre angle du canapé dont nous profitons, mais un autre point de vue sur l'hôtesse.
- Et ce point de vue convient-il aux visiteurs ?
Je me redresse et écarte les cuisses pour exhiber la croupe.

Luc répond :
- Ce point de vue offre effectivement une tout autre perspective à cette pièce...
Il s'avance et vient me prendre en levrette sous le regard amusé de Lionel.

Il me demande en rigolant :
- Est-ce que notre hôtesse aime ce genre de visite approfondie ?
- Mmmm... Oooh oui... J'aime ça, Luc !

Il me baise doucement, avec une cadence qui augmente lentement, très lentement. C'est délicieux et il sait à mes gémissements que j'adore ça, qu'il va encore me donner un orgasme. Que je l'aime ! Alors qu'il me fait l'amour, je tourne la tête vers lui pour chercher sa bouche. Nos lèvres se trouvent et nos langues s'enlacent dans un suave baiser.

Pas sûr qu'il soit en mesure de jouir encore. Je ne suis même pas sûre d'en être capable moi-même. Pourtant, après deux ou trois minutes à ce rythme, sans chercher à résister, je sens que le plaisir monte inexorablement. Je veux attendre qu'il jouisse. Ne pas jouir avant lui.
- Ooooh ! Ouiiii ! Ouiiiii !
- Hannn ! Hannnn ! Hannnnn !

En presque parfaite synchronisation, mon orgasme commence alors que son sperme gicle à nouveau en moi. Je reste emmanchée sur lui une bonne minute avant de regagner mes esprits. Puis je lui demande :
- Mais comment fais-tu pour éjaculer autant en si peu de temps ?
Je le sens se retirer et une partie du sperme en moi en profite pour s'échapper

- J'allais te poser une question similaire, ma Juju. Comment tu fais pour nous faire autant éjaculer ?
- Vil flatteur. Tu oublies la magie de la villa.
Lionel rigole :
- Ce n'est pas simplement de la magie, c'est de la sorcellerie.

Je me relève et m'approche pour l'observer :
- Mince ! Toi aussi tu bandes encore ?
- Ah oui, je n'ai pas eu l'impression d'avoir débandé.
- Impressionnant ! C'est du priapisme à ce stade, non ?

Luc soupire :
- Tu as sans doute raison, ma Juju. Regarde ! Je viens d'éjaculer et je ne débande pas ! Tu ne m'as pas fait avaler un truc utilisé par les acteurs de porno ?
Je me retourne vers lui et saisis son sexe parfaitement dressé :
- C'est la villa.
Luc plonge une main entre mes cuisses, doigtant ma chatte affamée.

- Bon sang, Juju ! Tu nous rends complètement dingues ! Tu te rends compte qu'on passe nos journées à baiser !
- Non, mon chéri, on fait l'amour. Et on continuera jusqu'à ce que vous ne puissiez ni l'un ni l'autre éjaculer.
Luc me pousse un peu et je me retrouve entre les cuisses écartées de Lionel. Je n'ai qu'à plier un peu les genoux pour m'engager sur la tige tendue.

Luc semble ne pas en revenir :
- C'est dingue... On est dingue...
Lionel profite bien de la situation :
- Ooooh, Juliette... Quel pied !
J'empoigne le sexe de Luc pour lui lécher le gland tandis que je commence à monter et descendre sur la colonne de chair de Lionel.

J'entends un bruit dans l'entrée qui me fait tourner la tête vers la porte.
- Que... ?
- Je vais voir, dit Luc en m'abandonnant.

Je prends à peine conscience que Luc est en train d'aller ouvrir la porte d'entrée, à poil, et que nous sommes, Lionel et moi, à continuer une folle cavalcade. Mes gémissements rivalisent avec les râles de plaisir de Lionel. C'est tellement bon que j'ai les yeux fermés pour me concentrer sur mon plaisir, aidée par le majeur inquisiteur de Lionel qui électrise mon clitoris.

En rouvrant à moitié les yeux, je constate une présence supplémentaire à celle de Luc.
- Merde ! Gaspard ?
Luc rigole :
- Pas de panique, il vient juste récupérer son portefeuille qu'il pense avoir fait tomber derrière le canapé...
Je me tourne vers Lionel :
- Heu, on reprendra après ?
- Bah non, je pense qu'il s'en fou, s'il veut juste récupérer ses papiers.

Gênée par la situation, je me redresse quand même pour me dégager de Lionel, mais, à peine son sexe sorti, Lionel me saisit aux hanches pour m'empaler à nouveau, mais cette fois dans mon petit trou. Je pousse un cri de surprise autant que de plaisir en sentant son sexe s'enfoncer peu à peu dans mon anus. J'écarte largement les cuisses pour lui faciliter l'accès et il me caresse la moule pour me détendre.

C'est un délice et j'en oublie Gaspard, qui semble ne plus trop penser à son portefeuille. J'en gémis de plaisir. Luc rigole et monte sur le canapé :
- Sois plus discrète, ma Juju. Il faut que nous laissions à notre visiteur l'image d'une villa calme.
Et pour me faire taire, mon chéri ne trouve rien de mieux que de me fourrer son membre turgescent dans la bouche.

Bonne poire, je lui fais une fellation que je ne suis pas certaine qu'il mérite. Tout en le suçant, je prends conscience que Gaspard a quitté tous ses vêtements et qu'il exhibe une érection fort appétissante. Quand il s'approche de nous, dans un curieux réflexe de pudeur ridicule, je resserre les cuisses pour ne pas lui exposer mon coquillage, mais aussitôt Luc et Lionel interviennent pour me maintenir les cuisses écartées et m'obliger à exhiber ma fente humide.

Tant la situation que la queue de Lionel dans mon anus, les facteurs sont réunis pour qu'un nouvel orgasme m'envahisse et me fasse perdre pied. Je crie sans doute. Luc semble s'être écarté. Lionel s'est immobilisé. Il se concentre pour ne pas jouir malgré les soubresauts de mon sexe autour du sien. Je le sens pourtant porter une main à mon entrejambe et, écartant mes lèvres, dire :
- Il reste une place...

Encore sous le coup de mon orgasme, je n'ai pas vraiment compris ce qu'il a dit. C'est en voyant Gaspard s'approcher alors que Lionel me maintient les jambes écartées que je comprends qu'il vient de l'inviter à me prendre en sandwich. C'était un plaisir découvert récemment, d'abord avec Lionel et Luc pendant une danse, puis avec Cédric et Damien au bord de la piscine en fin de matinée. Là, c'était quand même avec un presque inconnu... Mais le temps de me faire cette réflexion, il était déjà engagé en moi.

C'est une sensation incroyable de sentir ces deux queues en moi. Ils bougent parfois synchronisés, m'emplissant tout le ventre, parfois en alternance, se poussant l'un et l'autre. C'est si bon que je sens un nouvel orgasme monter. Luc le voit et je l'entends commenter :
- Tu es si belle quand tu prends autant de plaisir, ma Juju.

Un petit orgasme me gagne à nouveau. Lionel semble tenir le coup. Gaspard aussi. Luc, sans surprise, se masturbe en nous regardant. Voyant mon regard vers mon homme, Gaspard demande :
- Peut-être qu'il peut venir aussi ?
Il met alors son index entre mes lèvres et m'ouvre la bouche au cas où nous n'aurions pas compris qu'il proposait à Luc de venir se faire sucer.

Luc attend de voir ma réaction pour s'approche.
- Tu es sûre, ma Juju ?
Un regard me suffit à lui signifier que je suis d'accord. Il vient et je gobe son gland avec gourmandise.

Et puis Lionel plonge aussi loin que possible en moi et s'immobilise. Un râle rauque accompagne de puissants jets de sperme chaud qui se répandent dans mes entrailles. Gaspard semble s'immobiliser le temps que Lionel termine d'éjaculer. C'est alors que je sens que Luc vient lui aussi de succomber : sa semence envahit ma bouche avec un rythme impressionnant. Mais où les garçons trouvent-ils toutes ces ressources ?

Gaspard est le premier à se retirer. Curieux, car je n'ai pas l'impression qu'il ait joui. Quand Luc quitte ma bouche, je laisse échapper une grande partie de son jus. Lionel me soulève alors pour me dégager et, sitôt son pieu libéré de mon petit trou, je sens un flot de sperme s'écouler. Je prends conscience que Gaspard n'a donc pas éjaculé.

Assise sur le canapé entre Luc et Lionel, j'attrape la serviette pour m'essuyer la bouche et l'entrecuisse. Gaspard fait le tour du canapé. Dans un premier temps, je pense qu'il cherche ses fringues avant de me rappeler qu'il est venu récupérer son portefeuille. Je me lève :
- Vous l'avez trouvé ?
- Oui, il était tombé derrière. Merci.
- Désolée que vous nous ayez surpris en pleine action...
- Aucun problème. Je comprends.
- En fait, Luc et Lionel ont été inspirés par la visite que je vous ai faite et en voulaient une aussi, pièce par pièce...

- Et vous en étiez au salon ?
Luc intervient :
- Je dirais même plus spécifiquement que nous en étions au canapé.
- Ah ? Et il vous reste quoi à faire visiter ?
Je regarde le tapis sous mes pieds et m'y agenouille :
- Le tapis ?

Luc me dit :
- Excellente idée, ma chérie. D'ailleurs, c'est l'occasion de remercier Gaspard pour sa visite impromptue, car il me semble qu'il n'a pas joui, tout à l'heure...
- Heu... Gaspard ? Vous êtes d'accord ?
Sans répondre, Gaspard s'approche, manifestant son approbation.

Je me penche sur sa magnifique queue et pose mes doigts sur ses bourses en le faisant frémir. Luc demande :
- Vous êtes pressé, cher Monsieur ?
- Pas particulièrement.
Je comprends que je dois prendre mon temps. Je commence donc par lui lécher doucement la hampe du bas vers le haut.

Lionel semble apprécier lui aussi de me voir sucer son futur locataire et, peut-être pour assurer son investissement, il vante la qualité de ma visite :
- Nous avons pu nous aussi apprécier le professionnalisme de Juliette.
- Ah oui ?
Gaspard écoute Lionel. Je lèche son sexe parfaitement dressé.

- Elle a su nous montrer les avantages de chaque pièce, ses particularités, son confort spécifique.
- C'était donc une visite plus poussée qu'avec moi ?
Je prends son gland entre mes lèvres et fais jouer ma langue sur le bout.

- Oui, très approfondie. Et pour chacun de nous, puisque nous étions deux.
- Votre amie... est très investie... Je...
Alors que je commence à le pomper, je sens qu'il a de plus en plus de mal à tenir la conversation.

- Oui, je l'ai prise en missionnaire sur le lit. Luc a enchaîné en la prenant en levrette. Tout ça bien sûr pour nous assurer de la qualité du lit. Et vous c'était quoi ?
- Oooh... Je... Très classique... Hhhhh... En amazone...
J'augmente la tension en lui massant les testicules.

- Ah, il n'y a pas une position qui lui échappe à Juliette. Nous-mêmes avons pu ensuite profiter de plusieurs démonstrations pour tester le confort du canapé.
- Heeee... Elle doit être... épuisée... Hhhhh...
- Oui, je ne compte pas combien de fois nous avons joui chacun... Et pourtant, vous voyez qu'elle ne ménage pas ses efforts.
Non, je ne les ménage pas et je me demande combien de temps Gaspard va encore tenir.

- Hannn... Elle est vraiment... exceptionnelle...
Luc complète :
- Et pourtant, c'était une fille assez classique et timide question sexe avant qu'on ne découvre cette villa.
Sans doute que Gaspard a du mal à croire en cela en me voyant le sucer comme je le fais.

Lionel ajoute :
- La villa a un côté magique qui désinhibe...
Gaspard reprend :
- Oui... magique...
Et enfin, je sens les soubresauts dans son sexe. Je le saisis et le branle devant ma bouche ouverte. Le sperme explose de partout, sur mes seins, dans mon cou, dans ma bouche.

Lionel commente :
- Par contre, Juliette ne sera plus là pour votre séjour... Je vous conseille de venir accompagné, c'est plus amusant.
La douche se calme et la semence s'écoule maintenant lentement de la tige encore parfaitement tendue.

Je me tourne vers les garçons :
- C'est bon ? Vous pensez que c'est suffisant pour le convaincre de signer ici ?
Lionel rigole :
- Je ne sais pas. Tu peux insister un peu plus, mais là il a peut-être son compte, non ?
- Et pourquoi ne serait-il pas en mesure d'enchaîner les éjaculations, tout comme vous ?

Gaspard encore sous le coup de sa jouissance, ne semble pas comprendre de quoi on parle. Quand je reprends son gland entre mes lèvres, il se laisse faire, mais pousse un profond soupir, comme s'il ne se doutait pas de l'expérience que je suis en train de mener et qu'il considérait que cette prise en bouche n'était que pour le nettoyer.

Comme j'insiste et recommence à le pomper, il semble prendre conscience de ce que je fais et comprends la teneur de nos échanges précédents. Je lève les yeux vers lui et vois au froncement de ses sourcils qu'il ne s'attendait pas à cela, mais il semble maintenant résigné à participer à cette expérience.

Il interroge Luc :
- Combien de fois avez-vous éjaculé chacun ?
- Je ne sais plus... Pendant la visite, peut-être trois fois chacun. Depuis le début de la journée, impossible de comptabiliser.
Il reste béat de cette annonce. Je poursuis ma fellation avec application.

Et puis, je sens que ma petite pipe commence à porter ses fruits. Il se tend soudain. Lionel se penche derrière lui et observe ses couilles avant de commenter :
- Je crois que ça arrive, Juliette.
Effectivement, je sens une nouvelle giclée de sperme envahir ma bouche.

- Hannnnnn... C'est magique !
Je trouve amusant qu'il reprenne le concept qu'on vient de lui présenter. Est-il lui aussi convaincu du caractère surnaturel de ce lieu ? Je lui lèche la base du gland en le regardant.

Lionel lui dit :
- Oui, la villa est vraiment magique...
Mais Gaspard précise :
- Non, je pense que c'est votre Juliette qui est vraiment magique.
- Eh oui, les gars !

Luc rigole et me tend la serviette :
- Tiens. Je ne sais pas si ça essuiera quoi que ce soit et si tu ne vas pas en rajouter davantage que tu n'en enlèves.
La serviette est effectivement poisseuse et empeste le sperme.

Gaspard se rhabille. Même si je suis crevée, je tente de le retenir dans l'espoir de profiter encore un peu de sa magnifique queue :
- Vous partez déjà ?
- Heu... Bah oui.
- Mais vous n'avez éjaculé que deux fois.

Luc prend pitié de Gaspard :
- Allons Juliette. Je crois qu'on peut arrêter là. On est tous au bout du rouleau.
Je saisis son sexe en érection :
- Pourtant, il a l'air encore bien raide ton rouleau à toi...

Gaspard est rhabillé et rigole :
- Haha, vous avez raison de la préserver, Luc. Elle est précieuse. Quant à moi, je vous laisse et je vais réfléchir à qui pourrait m'accompagner pendant mes vacances.
Notre visiteur s'en va. Je tire le rideau pour le regarder partir, comme un prédateur qui aurait laissé s'échapper sa proie.

Lionel s'amuse de me voir comme ça :
- Luc a raison, Juliette. Il faut qu'on dorme. On pourra encore s'amuser demain.
- Oui, mais ce sera sans Gaspard.
- Mais il y aura peut-être d'autres surprises...
- J'espère.

Je compte effectivement sur la magie de la villa.
^ ---------oOo---------
Angela - épisode 36 : Double plaisir
Jeudi 4 août 9:02
Lionel est resté dormir à la Villa, mais nous étions si fatigués que nous avons passé une nuit presque sage. Malgré un soleil très matinal, nous sommes restés à lézarder au lit jusqu'à 9h. Les garçons ont été les premiers à se lever et cela m'a presque vexée qu'ils n'aient pas profité du réveil étiré pour me tripoter.
- Dites donc, les gars. Vous êtes bien sages, ce matin.

Luc sourit :
- On te doit bien un peu de répit... Après tout, on est deux, voire même trois hier soir, à te solliciter, donc c'est normal que tu puisses avoir un peu de temps pour toi.
- Et quand est-ce que j'aurais pu exprimer cela ?

Lionel rigole :
- Mademoiselle a dormi et est donc prête pour s'envoyer en l'air dès le réveil ?
- Je ne dis pas non. Mais je suis étonnée que vous ne l'ayez pas envisagé avant de vous lever. Seriez-vous repus, messieurs ?

Luc hoche la tête :
- Oh, je ne dis pas que ça ne m'a pas traversé l'esprit. Mais, je ne voulais pas passer pour un sauvage assoiffé de sexe dès le réveil.
- Aux yeux de qui ? C'est la présence de Lionel qui t'a arrêté ?

- Je ne sais pas. Tu es vexée que je me sois levé sans te faire l'amour ?
- Un peu, oui... Avec Angela, vous vous seriez levés le matin sans rien tenter ?
- Avec Angela ?
Luc lève les yeux au ciel comme si cela n'avait rien à voir avec notre situation.
- Avec Angela, c'est surtout elle qui ne nous aurait pas laissés nous lever.
- Ah oui ? Donc tu me reproches de vous avoir laissés vous lever sans vous solliciter ?

Lionel rigole :
- Eh ! On se calme. Juliette, je crois qu'on ne peut pas non plus être en permanence des machines sexuelles. Après si tu as des besoins, et c'est l'impression que tu nous donnes, il te suffit de les exprimer et on se pliera en quatre pour les satisfaire.
Luc s'est glissé de l'autre côté du lit et, lorgnant sur mon cul, ajoute :
- Quand tu es ainsi pliée en deux, moi je veux bien effectivement me plier en quatre.

- Fais-toi plaisir, mon chéri. Je ne demande pas mieux.
- Mmmmm, je vais essayer de m'excuser de t'avoir négligée au réveil...
Il s'agenouille derrière le lit et place son visage entre mes fesses pour plonger sa langue dans ma fente humide.

- Ah putain que c'est bon...
Lionel s'amuse de me voir prendre mon pied :
- Il suffit de peu de chose pour la satisfaire, la petite Juliette.
- Ooooh... mais une bite de quinze centimètres serait plus efficace qu'une langue de cinq centimètres...

Mais Luc s'interrompt et se relève. Je tourne la tête pour savoir s'il se prépare justement à me prendre en levrette, mais je le vois rigoler en m'observant :
- Putain ! Tu fais quoi ? Tu ne vas pas me laisser comme ça ?

- Hihi... C'est dingue que tu sois aussi impatiente ! Tu ne veux pas faire monter l'excitation ?
Je me redresse et m'agenouille sur le lit :
- Mince, tu as raison. Je deviens folle.
Je prends une profonde inspiration :
- Désolée, les gars. C'est vrai qu'on a tout notre temps... Autant en profiter pour faire durer le plaisir.

Luc sourit :
- Voilà, ça me semble être un meilleur état d'esprit plutôt que de faire de nous tes esclaves sexuels.
- Sans doute, mais ça me plairait bien aussi que vous obéissiez à tous mes ordres et accédiez à tous mes fantasmes.

Lionel dit, presque tout bas :
- C'était plus l'état d'esprit d'Angela, effectivement.
Je me tourne vers lui :
- Et à elle, vous ne lui refusiez pas ?

- Tu n'es pas Angela. Ne cherche pas à te comparer à elle. C'était différent.
- Elle était mieux ?
- Non. Différente. Et nous t'aimons en tant que Juliette et certainement pas en tant qu'ersatz d'Angela.
Pour appuyer les propos de son copain, Luc vient s'allonger à côté de moi et m'embrasse les seins tendrement.

Il se redresse et sa main vient caresser mon entrejambe :
- Lionel à raison. J'espère que tu ne fais pas tout ça à cause d'Angela...
Je ne peux que mentir :
- Non. Je... Peut-être un peu au début... Maintenant, j'avoue que j'ai pris goût à cette débauche de sexe...
Lionel vient nous rejoindre :
- Et nous aussi !

Leurs sexes sont déjà au garde-à-vous et je les saisis pour les caresser.
- C'est indéniable. Vous bandez toute la journée.
Je me redresse et me retourne pour les masturber tous les deux :
- Vous savez comment ça s'appelle, les gars ?

- Comment s'appelle quoi ? demande Luc.
- Comment s'appelle le fait d'avoir une érection permanente.
- Non...
- Du priapisme. Et moi j'adore le priapisme. Vous voir bander en permanence, ça me met en appétit.

- Et nous te voyons là, effectivement, bien affamée, belle Juliette.
Je m'installe entre les cuisses de Lionel et me penche vers son sexe dressé magnifiquement :
- Tu m'autorises à te sucer, Lionel ?
- Seulement si tu en as envie.
- Tu penses que j'en ai envie ?

- Je ne sais pas. Je me dis que si tu m'as demandé l'autorisation, c'est que tu en as envie, non ? Un gamin ne demande pas l'autorisation de prendre en bonbon s'il n'a pas envie d'en manger un.
- C'est juste. Mais est-ce que j'ai envie de commencer par toi, ou par Luc ?

Luc râle :
- Rhaaa, Juliette ! Arrête ton cirque, il va finir par débander !
- Non, le priapisme l'en empêche...
Je me penche et lèche son gland du bout de la langue.

Lionel rejette la tête en arrière :
- Aaaah, Dieu que c'est bon !
Luc rigole :
- Il me semble que c'est plus la bouche d'une déesse que celle d'un dieu, Lionel.
Je glisse son gland entre mes lèvres et en excite l'extrémité avec ma langue.

Lionel soupire de plaisir :
- Une déesse, oui. C'est divin !
Je me recule et fais descendre ma bouche jusqu'à ses testicules pour lui sucer les boules. Il redresse la tête.

Luc se moque de lui :
- Surpris par cette attaque ?
- Hhhhh... Oui... C'est bon...
Après quelques secondes de ce traitement, je me redresse pour le prendre en bouche.

Mon chéri me caresse les fesses :
- Mmmmm, Juju. Ne te mets pas à quatre pattes ou je crois que je ne résisterai pas.
La remarque est purement rhétorique puisqu'il me signifie ainsi ce qu'il attend de moi. Je redresse donc ma croupe pour me mettre à genoux, tout en continuant ma fellation appliquée sur la queue de Lionel.

Lionel, sourcils froncés, me dit :
- Tu ne sais pas à quoi tu... Hannnn !
Je plonge son sexe au fond de ma gorge, l'empêchant de me dire ce que je sais déjà, tandis que Luc se lève pour passer derrière moi.

Je sens son sexe sur ma vulve. Il caresse mes lèvres avec son gland quelques secondes, humectant son sexe de ma cyprine. Quand il juge que nous sommes suffisamment lubrifiés, il appuie son gland et me pénètre. Cette délicieuse intromission devrait me faire crier de plaisir, mais ma bouche est trop occupée à sucer Lionel et je me mets à le pomper avec encore plus d'ardeur.

Lionel implore Luc d'y aller doucement :
- Hey, doucement ! À chaque pénétration, elle plonge encore plus loin... Je ne vais pas tenir, moi.
La réponse de Luc est laconique :
- T'inquiète ! Priapisme...

Mais le priapisme, même s'il permet de conserver une belle vigueur longtemps, n'empêche pas l'éjaculation et ce pauvre Lionel le sait parfaitement puisqu'il sent déjà ses couilles se contracter et sait ce qui va suivre, ce que je sens déjà dans ma bouche : une effusion de sperme chaud et épais. Lionel râle de plaisir. Je décide de ne pas avaler et laisse la semence s'écouler sur mes doigts et le long de sa hampe.

Quand la fontaine se tarit, je relève la tête :
- C'était pas mal, apparemment ?
- Divin !
- Attention... aaaah... à ne pas débander, sinon... aaaah... tu ne seras plus le Priape sur... aaaah... sur lequel je souhaite encore compter.

- Je... Je ferai au mieux, Juliette.
Il s'effondre en soupirant comme s'il venait de courir un cent mètres. Je m'affale sur son ventre, le visage contre son sexe gluant de sperme. Luc continue à me pistonner. Encore une fois, je le trouve particulièrement gros en moi, signe d'une excitation intense.

Lionel s'échappe. Je contrôle au passage qu'il ne débande pas. Ouf ! Son érection semble conserver toute sa vigueur.
- Reprends des forces, on n'en a pas fini...
Il acquiesce de la tête. Je me retourne vers Luc :
- Tu... aaaaah... tu tiens le coup, mon chéri ?

- Han ! Oui... Tu n'as laissé... Han ! aucune chance à ce pauvre Lionel... Han !
- Tu aurais... oooooh... tu aurais fait mieux ?
Luc interrompt ses assauts et se penche sur moi pour me caresser les seins. Est-il sur le point d'éjaculer ?

- Hhhhhh... Je tiens le coup... Hhhhh... Et toi ?
- Je ne suis plus très loin... Mais si tu marques une pause, c'est que c'est imminent pour toi, non ?
Lionel nous interrompt :
- Il ménage sa monture...
Je ne sais pas si c'est la queue de Luc ou moi, la monture... Je constate que Lionel semble encore très excité par ce qu'il voit lui aussi, car il bande encore comme un beau diable.

Si cela l'excite de nous regarder, j'avoue que cela m'excite aussi qu'il nous regarde. Et Luc, reposé, reprend ses assauts avec entrain. Il me fait de longues et lentes intromissions qu'il accélère peu à peu. Il est si gros ! C'est un vrai délice et l'orgasme me gagne en quelques minutes, intense, magnifique.

Je m'affale, la tête sur le lit, tandis que Luc me besogne, prolongeant ma jouissance, l'accentuant. Je cris :
- Oh Ouiiii ! Encore !!!
Lionel vient alors s'asseoir juste devant moi et me dit :
- Tu en réclames une autre, Juliette ?
Son sexe bandé, énorme, se pose sur mon visage.

Alors qu'il est prêt lui aussi de jouir, Luc m'exhorte :
- Oh oui ! Vas-y ma chérie ! Suce-le !
Sans me faire prier, dès que j'ai pu reprendre un peu de souffle, je tourne un peu la tête pour prendre la queue palpitante de Lionel entre mes lèvres. Luc s'immobilise alors en râlant de plaisir.

- Hannnnnn !!!
Je sens son membre turgescent déverser en moi un flot de semence chaude. Lionel, que je n'ai sucé qu'une minute, semble lui non plus ne pas être en mesure de contenir son éjaculation et je sens soudain plusieurs salves de son jus gluant se répandre dans ma bouche. Je ne veux pas avaler et je garde tout en bouche, queue et sperme jusqu'à ce que je doive reprendre ma respiration. La semence s'écoule sur l'oreiller et Lionel sort son sexe de ma bouche pour me gratifier de deux dernières giclées qui s'écrasent sur ma joue et mon menton.

Quand je reprends mon souffle, je me redresse et m'essuie le visage du dos de la main, en me le léchant ensuite, à la manière d'une chatte.
- Et bien, les garçons ! Je ne sais pas auquel de vous deux le titre de "corne d'abondance" s'applique le mieux ! J'en ai eu plein la bouche par Lionel, mais je sens que Luc a été généreux lui aussi.
Luc regarde ma croupe et sourit en voyant son sperme s'écouler de ma fente.

Luc s'écarte et Lionel se relève. Je constate qu'ils sont encore en érection tous les deux :
- Bon sang, mais vous avez pris un truc pour garder une gaule comme ça, même après avoir éjaculé ?
Luc rigole en sortant de la chambre :
- C'est toi, notre came, Juju.
- Où vas-tu ?

Sans me répondre, il revient quelques secondes après être passé dans la salle de bain avec une serviette dans la main :
- Un petit nettoyage s'impose...
Il m'essuie l'entrejambe et, voyant la queue pleine de sperme de Lionel qui s'allonge sur le lit, il ajoute :
- Je te la passe après.
Je me tourne alors un peu pour attraper le sexe de Lionel :
- C'est bon, je m'en occupe.

Lionel sourit :
- Ce cher Priape avait-il donc à sa disposition une Juliette pour lui maintenir une érection permanente ?
- Je suis nulle en mythologie...
Je commence à lécher sa tige toujours dressée.

Luc prend son portable et pianote dessus avant de nous dire :
- Sur internet, ça dit qu'il s'agit du dieu phallique des jardins chez les Grecs, assurant la prospérité, qui en vint à l'époque romaine à personnifier la virilité dans l'amour physique. Il était apparemment réputé pour avoir un phallus démesuré.

Lionel rigole :
- Comme nous, héhé !
Luc nous regarde, amusé, alors que j'ai évidemment repris une fellation réglementaire sur la queue de Lionel.

Luc poursuit :
- Pour le priapisme, ils disent aussi que si l'érection dure plus de quatre heure sans discontinuer, cela devient une urgence médicale... Bon, je te fais confiance pour nous soulager, Juju, avant qu'on en arrive là.
La bouche déjà bien occupée, je ne lui réponds que par un clin d'œil.

Je remarque que, même s'il est toujours en érection, il n'est pas au top, ce qui, finalement me rassure après ce qu'il vient de me dire. Il n'empêche que c'est étonnant qu'il n'ait pas débandé davantage après son éjaculation. D'ailleurs, Lionel a lui déjà joui deux fois et, vu ce que j'ai dans la bouche, il semble être sur les rails pour une troisième tournée.
Luc me dit :
- Peut-être que tu peux lui offrir autre chose que ta bouche pour sa troisième éjaculation ?
Luc aussi tient les comptes, même pour son copain. J'avoue que ça me convenait bien puisque mon partenaire profite de ma position à quatre pattes pour me doigter l'anus et la moule.

Je relève la tête vers Lionel :
- Tu en dis quoi ?
- Ta bouche me convenait, mais je suis ouvert à toute proposition.
- Alors, tu vas avoir ma chatte...

Je l'enjambe et, cuisses écartées au-dessus de sa lame, je le laisse la guider dans mon fourreau. Lentement, je me laisse empaler sur le délicieux barreau.
- Oooooooh... C'est bon, ça...

Je commence à monter et descendre sur son pieu. Luc s'allonge à côté de nous pour nous regarder et se caresse les testicules :
- Oh, ma Juju, que c'est bon de te voir prendre du plaisir. C'est quand même pour toi plus agréable qu'une pipe, non ?

- Ouiiii...
J'écarte au mieux les jambes pour que Luc puisse bien voir la bite de son pote aller et venir entre les cuisses de sa petite copine.

- Mmmm... Tu aimes ce que tu vois, Luc ? Hhhhh...
- Oh oui. Tu n'es jamais si belle et si excitante que quand tu prends du plaisir.
Stimulé par le spectacle, il se masturbe d'une main et se caresse les couilles de l'autre.

- Et mon cul... Ooooh... il t'inspire aussi ?
- Oh que si !
- Tu n'aimerais pas... Hhhhhh... qu'une grosse queue... Mmmmmm... vienne le remplir pendant... Hhhhh... que Lionel me baise ?

- Oh putain, si ! Tu voudrais en plus une bite dans le cul ?
- Hhhhh... Oui... Ce serait top... Hhhhhh...
Luc s'astique frénétiquement et je vois alors, effarée, qu'il se met à éjaculer.

C'est malin ! C'était à la bite de Luc que je pensais... Du coup, c'est foutu :
- Ooooh Luc, je voulais que tu... Oooooh... Que tu me prennes en sandwich...
Lionel se déchaîne sous moi. Je sens un nouvel orgasme arriver.

- Ooooh Ouiiii ! Luc ! Je vais jouir, moi aussi ! Aaaaaaah...
Et les râles que pousse Lionel nous indiquent qu'il est mûr lui aussi. Je suis encore sous le coup de mon orgasme quand je le sens se déverser en moi. Nous jouissons tous les trois en même temps, c'est magique ! Même Luc continue à inonder son ventre et ses cuisses de sa semence épaisse.

Reprenant mon souffle, je me redresse un peu pour libérer le sexe de Lionel et laisser s'échapper ce qu'il m'a envoyé dans la chatte.
- Les garçons ! C'est génial, on a tous les trois joui en même temps.

Quand nous sommes à peu près calmés, je me lève et gronde Luc pour n'avoir pas compris mon invitation :
- Tu exagères, je t'invite à venir me sodomiser et, toi, te masturbe jusqu'à exploser...
- Désolé, ma chérie...
- Maintenant, tu vas commencer à débander...

Voyant ma déception, il me dit :
- Tu rigoles ! On n'en a pas terminé avec toi et, si veux être prise en sandwich, tu vas obtenir gain de cause.
- Oh, tu te sens assez en forme pour investir ce côté-là, maintenant ?
Je me retourne pour présenter ma croupe aux garçons.

- Évidemment ! Tu trouves que j'ai débandé ?
- Il m'avait pourtant semblé...
- Héhé, observe un peu la bête ! Elle est au top pour te satisfaire.
J'avoue que s'il avait un peu débandé, la perspective d'une sodomie semble lui avoir redonné de la vigueur.

Je viens donc le rejoindre et l'enjambe pour lui faire l'amour comme je viens de le faire avec Lionel.
- Tu es sûr, mon chéri ?
- Oui, ma Juju. Vas-y.
Même si j'ai la chatte en feu de tant de pénétrations, l'introduction de la queue de Luc est un vrai délice.

Luc semble aussi apprécier. Il accompagne mes montées et descentes avec ses mains sous mes fesses, même si une main ne peut s'empêcher de venir régulièrement me malaxer les seins.
- Dis, Juliette. Tu es toujours tentée par... ?
C'est la voix de Lionel. Il bande dur et observe avec envie mon petit trou.

- Oh ouiiii ! Aaaaaah... Viens...
Pas besoin de le supplier. Il vient s'agenouiller entre les cuisses de Luc et guide sa tige raide et humide dans mon petit trou. Lentement, celui-ci s'écarte pour laisser passer le gland, puis le reste suit, presque naturellement.

Une fois bien introduit, il commence doucement à aller et venir. Je bouge moi aussi sur Luc. Quelle sensation incroyable de se sentir ainsi remplie par deux queues qui palpitent en moi. Peu à peu, nous nous synchronisons et les deux pieux vont et viennent en moi en suivant le même rythme. C'est le nirvana ! Je me penche sur Luc pour l'embrasser.

Et puis l'harmonie disparaît peu à peu. Lionel prend un rythme propre, essayant peut-être même volontairement de jouer sa partie à contretemps. C'est finalement encore plus fort. J'ai l'impression de ne pas avoir de répit ! Du plaisir en continu et l'orgasme monte, puissant, alors que Lionel m'empoigne les seins comme s'il s'agissait de poignées pour me pilonner avec plus d'intensité. Je hurle ! Peut-être même que je perds connaissance quelques instants tant le plaisir est inouï.

Et puis, j'ai conscience de râles, de queues qui vibrent en moi, de sperme qui inonde mes entrailles. Cela me semble durer plusieurs minutes, mais j'imagine que ça ne dure finalement que quelques secondes en réalité. Lionel se dégage avec un "Plop !" accompagnant la libération d'une grande partie de sa semence de mon anus. Je m'avance un peu pour libérer le sexe de Luc, là aussi, laissant s'écouler la semence de ma fente. Je tourne la tête vers Lionel. Je lis sur son visage une extase.

Je me décale sur le côté, laissant Luc se lever, et je m'agenouille sur le matelas :
- Oh, les gars. Merci. Je crois que c'était une de mes plus belles jouissances !
- Nous aussi, Juliette, dit Lionel.
Je suis ravie de pouvoir entrer dans leur palmarès. Peut-être suis-je devenue meilleure qu'Angela ?
- Tu nous as épuisés, complète Luc.
- Moi aussi. Il va falloir que je fasse une pause de quelques heures car j'ai la chatte en feu...

Les garçons rigolent. Je m'offusque :
- Quoi ? Vous trouvez ça drôle ?
- Non, répond Luc. Juste que c'est amusant que tu n'envisages une pause que de quelques heures. Tu es devenue vraiment accro au sexe.
- En tout cas, je suis venue à bout de votre priapisme, les gars. C'est le principal.
Les garçons rigolent en constatant qu'ils ont effectivement bien débandé.

- On te laisse te reposer, Juju ?
- Non, je vais prendre une douche et après j'irai bien à la piscine me rafraîchir.
- Te rafraîchir ?
- Oui, j'ai besoin de m'aérer la chatte !
Nous rigolons à nouveau.

^ ---------oOo---------
Angela - épisode 37 : Baignade matinale
Jeudi 4 août 10:24
Quand je reviens de ma douche, Luc a enfilé un short de bain et je constate que Lionel s'est totalement rhabillé :
- Je m'excuse, je dois aller travailler.
Je prends alors conscience que je n'ai jamais demandé à Lionel quel était son métier :
- Tu fais quoi exactement, comme boulot ?

- Je suis journaliste. Je fais des piges pour différents journaux locaux. Mais ça, c'est pour bouffer. Sinon je suis photographe et j'arrive à vendre quelques prestations pour des mariages ou des anniversaires.
- Ah oui ? Il faudra nous montrer ça, à l'occasion.
- Bien volontiers.
Il s'apprête à repartir quand son téléphone vibre dans sa poche. Il le sort et consulte sa messagerie avant de nous dire ce qui nous concerne :
- J'ai un message de Joann qui me prévient qu'il a un empêchement ce matin et qu'il envoie son stagiaire, Mike, pour commencer à nettoyer la piscine. Joann arrivera plus tard en fin de matinée.
Je demande :
- Mais du coup, il vaut peut-être mieux qu'on garde des maillots si on veut aller à la piscine ?

- Je pense que c'est plus sage. Il est majeur, mais quand même.
Luc se tourne vers moi :
- C'est foutu pour t'aérer l'entrejambe ma chérie.
- Oh, je pense que ça ira quand même.
Luc accompagne Lionel à la porte pendant que je monte enfiler de quoi être plus décente : un string et une petite robe légère. Quand Luc me rejoint dans la chambre, j'ai déjà enfilé le string et commence à mettre ma robe.
- Une robe ? Il est stagiaire, pas curé !
- Ah ? Un curé n'a pas le droit de se rincer l'œil ?

- Si, mais je trouve que la robe c'est abusé, surtout si tu as un string en dessous.
- Si j'enlève le string, je pense que la robe est trop courte pour cacher...
- L'essentiel ! Mais si tu veux te baigner, tu vas te mettre seins nus ?
- J'hésite effectivement.

Je vois bien que ça amuserait bien Luc que je m'exhibe devant ce jeune homme. Je prends pourtant mon soutien-gorge assorti avant de descendre, même si je ne l'enfile pas.
Luc met un short de bain. À peine sommes-nous sortis qu'un jeune homme arrive en vélo. Il le range le long du mur derrière le portail et vient aussitôt se présenter en nous tendant la main :
- Bonjour. Désolé de vous déranger. Je suis Mike, le jardinier en stage avec Joann. Il va être en retard, mais il m'a dit de venir pour nettoyer la piscine. Il m'a tout expliqué.

- Oui, il y a eu un peu de vent cette nuit et c'est vrai qu'il y a quelques feuilles qui sont tombées dans l'eau.
Il détaille ma tenue et je vois que son regard s'attarde sur ma poitrine et sur mes jambes.
- Vous vouliez vous baigner ?
- Oui, mais on va patienter un peu. Nous sommes en vacances, alors que vous vous bossez.
- Je me dépêche de faire ça pour pas vous embêter trop longtemps.
- Vous êtes adorable. Merci.

Luc s'est déjà installé dans un transat avec un magazine. Je viens le rejoindre et m'allonge à côté de lui :
- On va devoir patienter un peu...
- J'ai prévu de la lecture, tu vois. Mais j'imagine que ça ne va pas te poser problème d'admirer le stagiaire s'occuper de la piscine.
- Effectivement, il n'est pas vilain et ce n'est pas désagréable de voir les muscles de son dos s'activer pendant qu'il manipule cette grande perche.

- Héhé... Et toi, tu ne veux pas la manipuler cette perche ?
Je me lève et me retourne pour lui faire un clin d'œil :
- Pas cette perche-là, non...

Je vais rejoindre Mike :
- Dites donc, ça doit être super lourd avec un manche aussi long. Vous ne fatiguez pas ?
- C'est lourd, mais ça va.
- C'est vrai que vous êtes très musclé pour votre âge.
- J'ai dix-neuf ans, je ne suis pas si jeune. Et je vais à la salle.
J'en profite pour lui caresser la poitrine :
- Tu as entendu, Luc ? Il n'a que dix-neuf ans et il est déjà hyper baraqué.

Luc me répond :
- Dix-neuf ans ? Pour t'avoir serré la main tout à l'heure, c'est bien une méthode de jeunot.
Mike fronce les sourcils, ne comprenant pas la remarque de Luc. Je me penche vers lui :
- Oui, normalement, on fait la bise à une fille...
Quand il se penche pour me faire la bise, je tourne la tête et m'empare de sa bouche. Malgré sa surprise, il joue le jeu et nos langues s'emmêlent aussitôt. Je laisse ma main descendre sur son short et découvre qu'il commence à bander sérieusement.

Je m'écarte, feignant la surprise :
- Oh, excusez-moi ! Je pensais mettre la main sur le manche... enfin l'autre manche...
Mike rigole :
- J'ai presque terminé, vous pouvez vous baigner. Je vais m'occuper des abords.
- Super !
Je retire aussitôt ma petite robe en la faisant passer par-dessus ma tête.

Luc me gronde gentiment :
- Attention, Juju. Mike est peut-être encore jeune pour voir une paire de seins nus.
Je cache aussitôt pudiquement ma poitrine :
- Oups ! Pardon, Mike.

Mike réagit :
- Bah, quand même ! Je suis majeur. Et des nichons, ça ne manque pas sur la plage.
- Oui, mais là on n'est pas sur la plage, c'est un cadre privé.
- Raison de plus pour ne pas vous soucier de moi !
- C'est que je ne voudrais pas vous exciter...

- C'est déjà fait, madame !
Luc rigole et se lève pour m'apporter mon soutien-gorge :
- Héhé, "madame" ? Juliette n'a que quelques années de plus que vous. "Mademoiselle" serait plus adaptée.
Il me tend mon haut de maillot et je m'empresse de l'attacher.

- Je suis désolée, Mike...
Il attend que Luc soit retourné s'asseoir pour me dire, presque tout bas :
- Désolée de quoi ? Vous n'y êtes pour rien. Et moi non plus. Vous êtes belle, je réagis. Rien de plus naturel.
- Si je garde le soutien-gorge, vous allez pouvoir travailler plus sereinement.

- Pas sûr que ça suffise...
- Oui, mais j'ai trop chaud pour remettre ma robe et j'ai besoin de me rafraîchir. Donc que vous le vouliez ou non, je resterai en bikini.

- OK. Moi, je disais juste que, avec ou sans, le résultat sera le même pour moi.
Je fais semblant de ne pas avoir entendu, car je pense que je l'exciterai davantage si je ne me dévoile que peu à peu. Je m'assieds sur le bord du bassin et me laisse doucement glisser dans l'eau, les bras en l'air, laissant mes seins flotter à la surface de l'eau.

- Luc, tu ne veux pas te baigner ?
- Merci, je termine ma lecture...
Je me tourne vers le jeune stagiaire qui me tourne le dos dès que je regarde dans sa direction, sans doute pour cacher son érection galopante.
- Et vous ? Une petite baignade vous rafraîchirait, non ?

Étonnamment, il me répond franchement :
- Désolé, mais ça n'arrangera certainement pas mon état...
En le voyant de profil, je constate que son short est tendu comme un chapiteau. Le spectacle peut donc commencer. Je m'élance dans l'eau, plongeant pour échapper à son regard. J'y mets une certaine énergie, pour montrer que moi aussi je suis jeune et en forme.

Peut-être trop d'énergie, car je sens que mon string glisse sur mes cuisses et que les liens de mon soutien-gorge sont en train de se défaire. J'hésite à rester sous l'eau pour me rajuster, mais je décide finalement de rejoindre la partie du bassin où il y a le moins de fond et je me redresse en appelant mon homme :
- Luc ! Je crois qu'il va falloir que je me trouve un bikini qui tienne mieux que celui-là !

Luc rigole. Mike regarde aussi. C'était le but. Luc se lève :
- Tu veux que je monte t'en chercher un autre ?
- Non laisse, je vais essayer de mieux serrer les nœuds.

Je prends évidemment mon temps pour que Mike puisse m'observer à loisir. J'imagine qu'il y a de plus en plus de place sous son chapiteau. En me voyant remonter mon string, Luc me dit :
- Ce sera sans doute moins confortable si tu serres davantage, non ?
- Que veux-tu que je fasse d'autre ?

Je sais bien entendu quelle va être sa réponse. Et sans doute que Mike s'en doute également :
- Ma chérie, retire-le carrément. Si tu nages, sous l'eau, on ne verra rien.
- Tu crois ?

Luc prend l'avis de Mike :
- Qu'en pensez-vous Mike ?
Celui hoche la tête, l'air de dire :
- Bah quand même, si, on va en voir beaucoup...
Comme ce n'est pas verbalisé, je prends les devants et retire le soutien-gorge :
- Merci, Mike. Ce sera effectivement plus confortable pour nager.

Il ne répond pas, obnubilé par mes seins. Tandis que j'abaisse mon string, je le guette du coin de l'œil. Il semble statufié. Je vois même son sexe avoir des soubresauts dans son short. J'espère qu'il n'est pas en train d'éjaculer prématurément ! Non, je ne vois pas d'humidité se former sur le tissu distendu. Je le sors de son rêve éveillé :
- Mike, vous ne faites pas une insolation, là ?

Il se retourne à nouveau aussitôt et reprend son nettoyage des abords :
- Non... Juste un coup de chaud.
Je me concentre pour ne pas sourire. Je me laisse aller en arrière et commence à agiter doucement mes cuisses pour nager sur le dos.

Dans cette position, inutile de préciser que mes seins ondulent à la surface de l'eau à chaque mouvement et que ma minette est presque à la surface de l'eau. Mike ne doit rien manquer. Je n'ose pas le regarder. Je regarde vers Luc dont un œil dépasse du livre. Lui bande complètement. Peu de chance que mon manège puisse calmer le pauvre stagiaire. Je sens que j'approche du bord du bassin. J'arrête de nager et ferme les yeux.

Quand je me relève, Mike me tourne aussitôt le dos. J'imagine donc qu'il doit magnifiquement bien bander. Je veux continuer à l'exciter encore :
- Tout va bien, Mike ? J'espère que ma tenue ne vous choque pas ?

- Votre tenue ? Quelle tenue ?
Luc rigole :
- C'est vrai ça, Juju. Quelle tenue ?
Je m'approche de la grosse bouée verte fluo :
- C'est vous qui m'avez autorisée ! Luc, tu viens me rejoindre ? On peut même utiliser cette grosse bouée.

- Désolé, ma chérie. Je suis bien là. Demande à Mike. Peut-être qu'il voudra bien venir jouer avec toi...
Luc s'adresse à moi comme si j'étais une gamine, mais je sais qu'il veut juste exprimer ainsi son détachement pour laisser éventuellement la place à Mike. Je me tourne donc vers le stagiaire :
- Mike ? Une petite pause mouillée ?
- P... P... Pardon ?
- Vous venez vous baigner avec moi ?

- Heu, non... Là, il faut que je finisse.
- Pfff, vous n'êtes pas drôles, les garçons...
Je sors de l'eau sur le bord le long duquel balaye Mike. Je m'amuse à d'abord passer une cuisse sur le bord en lui laissant le temps d'apercevoir ma minette.

Je sors de l'eau :
- Bon, puisque personne ne veut jouer avec moi, je vais bronzer.
Je me penche pour récupérer mon bikini par terre. Je sais que cette position offrira aux garçons une vue particulièrement sympathique de mon popotin. Un coup d'œil vers Mike me montre qu'il n'en perd pas une miette.

En me voyant me redresser avec mon maillot en main, Luc râle :
- Quoi ? Tu remets ton maillot pour bronzer ?
- Bah oui, je ne vais pas rester à poil devant Mike.

- Mike est jeune, mais ce n'est plus un gamin.
- J'ai pu m'en rendre compte à certains détails.
Et le plus évident est évidemment l'impressionnante déformation de son short au niveau de l'entrejambe alors qu'il profite de la vue sur mon string, ou sans doute plutôt mes fesses...

Luc insiste :
- Alors, pourquoi remettre ton maillot ? Tu vas avoir des traces de bronzage.
- Mon chéri, laisse-moi gérer.
- Pfff, je suis nul en psychologie féminine...
Je termine donc de remettre mon bikini et viens m'installer sur une autre chaise longue, plus proche de la piscine et donc de Mike.

À ma grande surprise, c'est Mike qui, sans gêne aucune, reprend à son compte la croisade de Luc :
- Votre mari à raison, Mademoiselle. Vous allez avoir des marques de bronzage. Et franchement, ça ne me gêne pas.
Ben voyons ! Devant une telle unanimité, je ne peux que m'incliner. Je soupire pour laisser croire que j'accepte sous la contrainte, et je me débarrasse de mon soutien-gorge.

Curieusement, Mike change de secteur de travail : il passe de derrière ma chaise à longue à juste devant et ne se prive pas pour regarder mes seins. Puisqu'il ne semble pas avoir froid aux yeux, malgré son âge, je décide de sauter sur l'occasion pour voir jusqu'où il peut aller. Je me lève, sans pudeur et lui dit :
- Mike, vous trouvez ça juste ?

Il fronce les sourcils, mais ne quitte pas mes seins des yeux.
- Quoi donc ?
- Que vous puissiez vous rincer l'œil sans rien m'offrir en retour...
- Je suis torse nu aussi, non ?
Je désigne d'un mouvement de tête l'érection qui tend son short :
- J'aimerais en voir un peu plus...

Il sourit et relève les yeux vers les miens. Il a manifestement compris ce que je souhaitais et je crois déceler une certaine fierté dans son regard. Comme je l'espérais, Mike n'est pas un timide. Tout en me fixant (mais cette fois ce ne sont plus mes seins qu'il regarde, mais bien mes yeux, comme pour vérifier ma réaction), il abaisse son short et libère un bien beau morceau.

Ce sexe gonflé, plutôt conséquent, me confirme que Mike n'est effectivement plus un gamin. Il semble satisfait de lire la surprise et l'envie sur mon visage. Tout en me regardant, Mike laisse son sexe se redresser peu à peu, jusqu'à afficher une belle courbure en arc bandé. Cela me fascine, mais je sais que je peux moi aussi jouer de mes atouts pour le charmer :
- Ce sont mes seins qui vous font bander comme ça, Mike ?

Il semble perturbé, ému, et met quelques secondes à me répondre dans un souffle :
- Oui...
Il est à deux mètres de moi, mais j'ai l'impression d'entendre son cœur tambouriner dans sa poitrine tant tout cela semble l'exciter. Son sexe semble doué d'une vie propre, se soulevant, se contractant.

Voyant qu'il semble obnubilé par ma poitrine, j'en rajoute une couche :
- Luc adore les sucer, les caresser. Moi aussi, j'aime qu'on me les caresse, qu'on me les suce...
Et là, il a les yeux soudain exorbités et se fige. Tout son corps se raidit et, dans cette immobilité, seul son sexe semble vivre encore : pris de soubresauts, il se met soudain à éjaculer !

Mike et moi, en même temps, nous exclamons :
- Merde !
Luc rigole derrière nous :
- Haha ! Voilà ce qui arrive quand on joue avec le feu, belle Juliette...
Mike met sa main sous son gland pour recueillir la semence, malgré une petite flaque qui souille déjà le sol à ses pieds.

Malgré son aisance, Mike semble embêté :
- Je suis désolé, Mademoiselle... Mais vous êtes si belle...
- Ce n'est rien. C'est juste dommage. Tu veux que je te nettoie ça ?
Il voit la serviette posée sur ma chaise longue et me répond :
- Heu... oui.
Mais, sans prendre la serviette, je m'agenouille devant lui et lui offre ma bouche pour faire la toilette de son sexe englué de sperme.

Luc commente :
- Ne soyez pas surpris, Mike. Juliette se sent un peu responsable et c'est sa manière à elle d'assumer ses actes.
Bon, je mets peut-être un peu trop d'entrain à assumer mes actes, car je suis plus à lui faire une suave fellation qu'une toilette.

Je le pompe, je le suce, je le lèche. Tout y passe méticuleusement : le gland, la hampe encore parfaitement raide, les couilles (certainement pas totalement vidées). Je mets tant de cœur à l'ouvrage que j'ai même l'impression qu'il est presque plus gros que tout à l'heure (mais c'est aussi peut-être parce que je le vois de plus près).

Sentant des soubresauts arriver dans son sexe, je m'interromps et me relève, m'attendant à ce qu'une nouvelle éjaculation arrive. Mais Mike prend une profonde inspiration et semble parvenir à endiguer une nouvelle explosion. J'admire ce contrôle qui contraste tellement avec la première éjaculation libératrice et incontrôlable dont il m'a gratifié. Son visage semble refouler sa frustration et il se contente de dire, d'une façon très naturelle :
- Merci, mademoiselle. Elle est bien propre. Je vais pouvoir reprendre le travail.

J'avoue que je prends moi aussi sur moi. Une belle queue comme ça, je crois que j'aurai pu me l'enfiler ailleurs que dans la bouche sans que son propriétaire s'y oppose. Mais il vient d'éjaculer, il faut que je lui laisse le temps de reprendre un peu son souffle, même si moi j'en ai très envie. Je l'observe reprendre le long manche de l'épuisette et faire méthodiquement le tour de la piscine pour enlever des feuilles qu'il a déjà retirées depuis longtemps.

Luc est hilare en me voyant me rallonger sur ma chaise longue :
- Tout va bien, ma Juju ?
Je lui tire la langue, car je sais qu'il se moque de moi. Il sait à quel point j'ai moi aussi envie de jouir.

Luc me demande :
- Dis donc, tu t'es laissée convaincre par les traces de bronzage pour retirer le soutien-gorge, mais ça concerne aussi le string...
- Viens me le retirer toi-même, si tu as fini ta lecture.

Apparemment ravi que je le sollicite, Luc vient me rejoindre. Mike s'approche aussi. Luc attend qu'il soit à côté de nous pour commencer à descendre ce dernier bout de tissu qui dissimulait mon intimité. Je ne les vois pas, mais j'imagine qu'ils sont tous les deux en émoi en regardant mes fesses et probablement aussi mon abricot, sans doute humide.

Il pose le string par terre :
- Et voilà, Juju. Pas de marque de bronzage !
- Tu es très prévenant. Merci, Luc.

- Est-ce que tu pousserais la galanterie à me proposer aussi de me mettre un peu d'ambre solaire ?
- Tu es déjà bien bronzée, non ? Tu crains les coups de soleil ?
- Oui, ça cogne ce matin. Et j'ai des zones plus sensibles...
J'écarte un peu les cuisses pour exhiber un peu ma moule dénudée.

- Il me reste un article à lire. Je ne veux pas avoir les mains poisseuses...
Et il ne propose pas que Mike le fasse à sa place ? Je sais pourtant que c'est ce qu'il veut. Mais ce petit pervers veut sans doute que je le demande moi-même. Alors, soit.
- Mike, vous pourriez le faire ?

Il tourne vers moi :
- Ce n'est pas vraiment dans mes objectifs de stage...
Luc intervient :
- Dites-vous qu'il s'agit d'une fleur du jardin qu'il faut préserver d'un soleil ardent.
Cela semble le convaincre et il pose son outil le long de la piscine.

Mike a bien compris nos petits jeux et il y prend part avec intelligence, se faisant prier, ne semblant jamais surpris de la façon dont les événements évoluent. S'agenouillant à côté de moi, il commence par me caresser le dos, puis descend rapidement à ma croupe pour me masser les fesses, s'amusant à les écarter, sans doute pour mieux voir ma fente humide.

Il pourrait me masturber, je le laisserai faire. Il pourrait prendre en levrette, je le laisserai faire. Mais nous sommes dans un jeu de rôle et Luc nous rappelle à l'ordre :
- Mike, je crains que, pour se protéger des coups de soleil, le massage ne suffise pas et un peu de crème solaire serait plus efficace.
Le stagiaire attrape le flacon et en fait couler sur mes cuisses, mon dos et mes fesses. Beaucoup sur mes fesses.

Il repose le flacon au sol et entreprend de faire pénétrer l'huile. Sentir ses mains partout sur moi est un délice. Luc l'encourage à être plus entreprenant :
- Juju a bien précisé qu'il y avait des endroits qui sont plus sensibles au soleil.
Mike M'écarte alors doucement les cuisses et ses doigts effleurent enfin mon coquillage.

C'est un véritable bonheur ! J'écarte les cuisses aussi largement que possible, mais la chaise longue étant peu large (sinon ce serait une chaise large...), je dois garder les genoux sur les bords et cela m'oblige à me cambrer un peu, faisant saillir ma croupe. Cela semble inspirer Mike qui, en plus de me caresser franchement la moule, s'amuse à venir aussi effleurer ma rondelle.

J'ai les yeux fermés, le souffle court. J'entends Luc me demander :
- Tout va bien, ma Juju ?
- Ouiiiii...
Mike s'amuse à accompagner mon "ouiiiii" par l'intromission de deux doigts dans ma fente. Je me cambre une peu plus pour l'accueillir.

Quand ces doigts quittent ma moule, je sens que Mike change de côté. Il glisse une main sous ma croupe et deux doigts viennent explorer ma fente par l'autre côté, caressant du bout du pouce mon clitoris. Mon Dieu ! Ce n'est vraiment pas un gamin et ce n'est certainement pas la première minette qu'il explore ainsi. Je me cambre encore. Et deux doigts viennent pénétrer doucement mon anus. Je suis à deux doigts (quatre en réalité !!!) de l'orgasme.

Soudain, il s'arrête et m'abandonne :
- Je crois que vous êtes bien protégée.
Le salaud ! J'y étais presque ! A-t-il agit ainsi par vengeance parce que j'ai interrompu tout à l'heure la fellation juste avant qu'il n'éjacule, ou bien est-ce une stratégie (la même que la mienne) qui consiste à m'exciter au plus haut point ?

Frustrée, mais terriblement bien, je me retourne sur ma chaise longue. Moi aussi, je joue le jeu.
- Merci, Mike. Je dirai à Joann à quel point vous avez été serviable.
Cuisses écartées, je m'offre au soleil, mais surtout aux regards lubriques de Luc et de Mike.

Luc m'interpelle :
- Ma Juju, tu vas pouvoir dire tout de suite à Joann tout le bien que tu penses de son stagiaire, car il arrive.
Je tourne la tête et vois Joann arriver, en short et en tee-shirt. En nous voyant près de la piscine, il vient nous rejoindre et retire son tee-shirt :
- Bonjour, je vois que Mike s'est laissé convaincre par le naturisme.

- Oui, Mike est un chic garçon. Il met beaucoup de cœur à l'ouvrage. Regardez la piscine, Joann, elle est impeccable.
- C'est vrai. Mike, je crois qu'on va s'occuper de la haie maintenant.
- D'accord Monsieur. Mais je peux le faire tout seul, si vous voulez vous reposer un peu.
Je vois que Joann est effectivement essoufflé :
- Il a raison, vous semblez avoir couru un cent mètres.

- C'est le vélo...
- Alors installez-vous quelques minutes pour reprendre des forces. Mike peut bien commencer tout seul avec la haie.
Joann se laisse convaincre et s'installe. Je viens le rejoindre :
- Est-ce qu'un petit massage vous ferait du bien ?
Sans attendre sa réponse, je commence à lui caresser la cuisse et laisse ma main remonter jusque dans son short.

- Heu, Juliette... Vous n'allez pas vraiment me détendre si...
- Moi, ça me va si cette partie-là se tend et que le reste se détend.
Je me penche sur son torse et embrasse ses mamelons, laissant courir ma langue sur ses abdominaux.

- Aaaah, Juliette. Vais-je réussir à reprendre le travail ? Vous vous occupez si bien de moi...
- Votre stagiaire est là pour le travail. Profitez-en.
Posant une main derrière sa nuque je l'attire à moi pour l'embrasser. Alors que nos lèvres se découvrent, je sens sa main partir en exploration de mon entrejambe.

Quand nous interrompons notre baiser, je constate qu'il bande parfaitement dans son short et que ses doigts luisent de ma cyprine. Nous sommes prêts. Innocemment, je le laisse et retourne m'installer sur ma chaise longue à côté de la sienne.
- N'hésitez pas à vous mettre à l'aise aussi, Joann. Mike n'a pas hésité longtemps.

- C'est gentil, Juliette. Mais je ne suis plus très décent...
- Montrez-moi cela ?
Il descend un peu son caleçon pour extraire une belle érection.
- Mais c'est au contraire bien mieux quand c'est comme ça, voyons !

- Vous croyez ?
- J'en suis convaincue.
- Mais je ne voudrais pas choquer le gamin...
Je me redresse sur ma chaise pour lui expliquer :
- Le gamin, comme vous dites, s'est laissé sucer et a bien failli me donner en orgasme en me doigtant les orifices...

- Oh, je vois... Mais il n'a pas eu la délicatesse de vous donner un orgasme.
- Non, seriez-vous prêt à réparer ce préjudice ? En tant que tuteur de stage, ça me semblerait normal que vous lui montriez, non ?
- C'est effectivement logique.
Comme Joann se laisse très facilement convaincre (il commence à me connaître), je viens le rejoindre et commence à le masturber.

Me voyant manipuler la tige raide de Joann, Luc rigole :
- Je comprends mieux pourquoi on appelle ça un "tuteur"... Si c'est possible, je veux bien relire le rapport du stage, moi.
Je ne réponds pas à ses bêtises, me penchant sur le sexe de notre jardinier pour le prendre en bouche.

Occupés Joann et moi par cette fellation, Luc prend en charge la suite du stage de Mike :
- Mike, je crois que ton tuteur est un peu défaillant en ce qui te concerne. Viens par ici.
Mike pose sa cisaille et s'approche de nous pour savoir ce que Luc va lui dire.
- Écoute, si je fais le bilan de ce qui vient de se dire, Joann était censé te montrer comment donner un orgasme à ma copine. Mais il semble que vu la tournure des choses, ce n'est pas lui qui va te montrer.
- Qui, alors ? Vous ?
- Moi ? Bah, non. C'est vous qui êtes en stage. C'est à vous d'apprendre...
- Mais c'est votre copine...
Luc ne répond pas, j'imagine qu'il lui a fait signe de s'en occuper. Le cul tendu en l'air, je ne suis pas surprise de sentir le gland de Mike venir s'appuyer contre ma fente dégoulinante de cyprine. En quelques secondes, il est en moi et commence à aller et venir.

Quel délice ! Sucer Joann pendant que je me fais prendre en levrette par son jeune stagiaire ! Et force est de constater que le jeunot n'en est là encore pas à une découverte : il maîtrise parfaitement les pénétrations et me caresse le dos et les fesses. Je me dis même que je pourrais chambrer ensuite Luc en lui demandant si ce n'est pas lui qui aura appris du stagiaire.

Dans ces moments-là, Luc n'a pas la langue dans sa poche, ni le reste d'ailleurs, puisque je le vois se masturber en encourageant Mike :
- C'est bien, Mike. Vous êtes sur la bonne voie. Je la connais et je vois à son visage qu'elle prend son pied.
Ce salaud a raison ! Et plus je prends du plaisir à la levrette de Mike, plus je suce Joann avec passion.

Et le pauvre ne parvient bientôt plus à se contrôler. Il se redresse soudain, apparemment tentant de se calmer pour ne pas éjaculer, mais il est déjà trop tard. Son canon tire plusieurs puissantes salves au fond de ma bouche et, quand il s'écarte, c'est un flot de sperme qui s'écoule de ma langue et forme une épaisse flaque sur l'assise de la chaise longue.

Quand il a terminé d'éjaculer, il va s'asseoir sur celle d'à côté et regarde les compétences de son stagiaire. Si Joann a eu son compte, je n'en suis plus très loin non plus. Mes gémissements trahissent mon plaisir et quand cela devient des cris, nos deux spectateurs doivent se douter que l'orgasme va me prendre vite.

- Ooooooh Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii!
- Han ! Hannnn... Haaaaaaaaaaaaan !
Malgré un puissant orgasme, je sens en moi les giclées de sperme en saccades qui inondent mon ventre.

- Oh merde...
Mike se retire précipitamment. Sans doute ne comptait-il pas éjaculer en moi et s'est laissé surprendre. Maintenant, il garde son sexe calé entre mes fesses semble n'en pas finir de gicler, décorant mon popotin et mon dos d'une pluie de sperme.

Avant de me laisser, il a la gentillesse d'étaler tout cela, comme s'il me remettait de la crème solaire. Je me redresse :
- Merci, Mike.
- De rien, mademoiselle. C'était un plaisir.
- Si ton stage portait sur le sexe, je te le validerais tout de suite.

- Oh, ça fait longtemps que je ne suis plus stagiaire dans ce domaine.
- Je m'en suis rendu compte...
Voulant l'avis de Luc sur ce qu'il avait vu, je me tourne vers lui et constate que le spectacle lui a beaucoup plu :
- Oh, tu as aimé, toi !

- Oui. Une fois de plus, tu étais magnifique...
Le sexe de Luc est couvert de sperme encore dégoulinant et il y en a plein entre ses cuisses sur la chaise longue. Sans doute a-t-il été particulièrement motivé de voir sa petite copine avec une queue dans la bouche et une autre entre les cuisses. Je distingue encore quelques soubresauts de ses testicules, preuve que l'éjaculation n'est terminée que depuis quelques secondes.

Je pousse un profond soupir de plaisir. C'est si bon de profiter d'orgasmes au soleil de voir tous ces mecs qui éjaculent pour moi. Quel lieu magique ! Je me tourne vers la villa et remarque alors, au-dessus de la baie vitrée, un espace rectangulaire où la couleur est plus claire, comme si on avait retiré un panneau, sans doute le nom de la villa. Il faudra que j'interroge Lionel à ce sujet.

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Angela - épisode 38 : Arrivée des militaires
Jeudi 4 août 13:52
Après cette séance de piscine un peu particulière, j'ai convaincu Luc de descendre sur la plage pour laisser Joann et Mike travailler au jardin. Même si nous avons prévu de faire du nudisme, j'ai malgré tout préféré emmener un bikini pour pouvoir l'enfiler en cas de visites intempestives de notre petite crique pas si privée que ça, puisque déjà Cédric et Damien y étaient venus. Alors que je me baigne, j'aperçois un canot qui passe non loin de là.

Je me dis donc que ce n'était pas si ridicule de prévoir un bikini, même si Luc s'était moqué de moi. En voyant que le canot semble s'approcher, j'en informe Luc :
- Luc, j'ai l'impression que ce canot vient vers la crique, non ?

Il lève la tête et scrute l'embarcation qui est encore trop loin pour qu'on en distingue les occupants.
- Mmm ? Oui, peut-être...
- Mais elle est privée ou pas cette plage, merde !
- Ne t'agace pas avant de savoir qui c'est.

C'est sûr que Luc ne semble pas s'agacer, ni même s'inquiéter. Il se rince l'œil en me regardant et bande gentiment.
- Toi, du moment que tu peux me voir à poil, le monde peut bien s'effondrer !
- Si tu savais comme tu es sexy, ma chérie...
À force de me le dire, je finis par y croire.

Je regarde à nouveau vers l'embarcation :
- Pas de doute, ils viennent vers nous.
- Cédric et Damien ?
- Peut-être... Pas sûre. Je crois distinguer trois personnes.

Là, Luc semble s'intéresser aux intrus. Le chiffre "3" lui ferait-il peur ? Il se redresse et regarde à son tour les intrus approcher.
- Tu as raison : ils sont trois. Et vu la carrure, ce n'est pas Damien et Cédric. D'ici, ça semble des costauds et je crois que c'est trois mecs.

- Merde. C'est chiant. Personne ne sait que c'est privé, ici ?
- Bah, en même temps, il n'y a pas de panneau en mer indiquant que la crique est réservée.
- En attendant, on fait quoi ?

- On attend qu'ils arrivent et on leur explique que c'est privé.
- Et s'ils nous disent qu'ils s'en foutent ?
- Dans ce cas, soit on appelle Lionel qui contactera la gendarmerie, soit on leur jette du sable dans les yeux !
- T'es con ! Je vais mettre mon bikini.

- Ah bah non ! Du coup, je les déteste ces types et je vais de toute façon leur jeter du sable dans les yeux par vengeance !
De rage, il me lance mon string. Je le ramasse pour commencer à l'enfiler :
- N'empêche que s'ils sont baraqués, tu ne feras pas le poids.

- Je ne compte pas me battre avec qui que ce soit... C'est surtout toi qui devrais te faire du mouron.
- Ah ? Parce que tu ne me protégeras pas ?
- Seulement s'ils veulent te faire du mal, mais je ne vois pas pourquoi ils s'en prendraient à nous.
- Parce que tu leur aurais jeté du sable dans les yeux par exemple.

- Ah oui... tu as raison. Vaut mieux que j'oublie cette histoire de sable.
- Mais s'ils s'en prennent à toi, moi je te protégerais.
- Et comment, ma Juju ?
- Avec mon cul, évidemment.

- Ah oui ! Les femmes sont les championnes de la paix.
Je remonte mon string sur mes cuisses :
- Tu oublies quand même que la guerre de Troie a eu lieu à cause d'une histoire de fesses...

- C'est vrai. Moi, c'est tes fesses à toi qui vont me manquer...
- Un string ne cache pas beaucoup les fesses, c'est plus le devant.
- Et c'est tout aussi dommageable.
- En attendant de savoir à qui on a à faire, je préfère ne pas rester à poil.

- Moi, j'assume. Et je me dis que ça donne une illustration très claire du caractère privé de cette crique.
- Hihi, je t'imagine déjà, la quéquette à l'air, en train de négocier avec trois mecs qui font de la gonflette et leur demander de partir.

- J'espère juste qu'ils ne sont pas homos, sinon je suis mal...
Je ramasse mon soutien-gorge pour commencer à le mettre.
- Ce serait amusant ! Comment tu réagirais ?

- Bah, j'avoue que ce n'est pas trop mon truc, mais je crois que je leur ferais comprendre que, moi, je ne suis pas intéressé.
Je termine de nouer mon soutien-gorge :
- Ah dommage, ça m'aurait bien excitée de te voir te faire enfiler par un inconnu.

Même si c'est de l'humour, mon fantasme semble le mettre bien mal à l'aise. Quelque part, je le comprends, alors je n'insiste pas, mais, en même temps, je me dis que moi j'ai accepté beaucoup de choses pour lui depuis le début de la semaine et que je ne sais pas du tout ce que lui aurait fait pour moi si nos rôles étaient inversés. Je m'assois quelques secondes à côté de lui pour l'embrasser, puis je le laisse pour retourner vers les intrus qui viennent de sortir de leur canot pneumatique.

Deux gars costauds semblent attendre vers la barque tandis qu'un troisième, un peu plus âgé me semble-t-il, vient dans ma direction. Quand il est à quelques mètres, je lance une première sommation peu bienveillante :
- C'est une plage privée, ici.

Le gars hoche la tête et sourit. Il n'a pas l'air méchant, mais semble calme et décidé dans le ton qu'il emploie (beaucoup moins agressif que le mien) :
- Désolé de vous déranger. Je m'appelle Laurent, je suis sergent dans l'armée et mes deux troufions, là-bas, c'est Marc et Milo. J'ai un accord avec M. et Mme Le Tarin pour venir un ou deux jours pour former mes gars à l'escalade sur cette falaise. M. et Mme Le Tarin m'avaient dit qu'ils préviendraient les locataires. Vous êtes bien les locataires de la villa au-dessus ?

Le gars est bien foutu, j'avoue. Et s'il est militaire, rien d'étonnant à ce qu'il soit costaud.
- Bah, non on n'a pas été prévenu. Mais en même temps, on n'a pas eu vraiment de contact avec les propriétaires, on est passé par leur fils.
- Lionel ? Il doit être au courant, il vous confirmera.
- Lui, non plus ne nous a rien dit...

Est-ce que nos petites sauteries avec Lionel lui auraient fait oublier de nous parler de la présence des militaires en exercices ? Le sergent semble embêté :
- C'est ennuyeux. J'ai fait ramer mes gars plus de deux heures pour arriver ici. Mais si ça pose problème, on va repartir.

Mince, ce serait dommage de laisser partir ce beau spécimen, surtout si ses copains sont taillés dans le même bois.
- Bah non, reposez-vous au moins un peu. On va s'arranger.

Je me tourne vers Luc :
- Luc, tu pourrais remonter téléphoner à Lionel pour qu'il nous confirme cette histoire.
- Oui, je fais ça.
- Merci, t'es adorable.

Il se lève et me fait un clin d'œil. Me retournant vers le sergent, je le vois regarder Luc remonter vers la villa. Il commente :
- Lionel nous avait dit que c'était souvent des nudistes qui louaient la villa.
- Heu, oui...
- Votre copain, il en fait, mais pas vous ?

Je le soupçonne de connaître la réponse puisqu'il m'a probablement vue mettre mon bikini à leur arrivée :
- Si, mais ça me gêne de me présenter nue devant des inconnus.
- Ah, il ne faut pas vous gêner pour nous, mademoiselle.
- C'est à moi d'en juger. Mais ne restez pas dans l'eau, venez au moins vous reposer sur la plage.

- "Au moins" ? me demande-t-il dans mon dos.
Que peut-il interpréter par cela ? Qu'il pourra faire plus que se reposer ou qu'il pourrait aussi aller se reposer à la villa ? Voire que je pourrais lui offrir plus que ma simple hospitalité ? Pffff, je me fais des films. Sans avoir attendu ma réponse (qui ne vient de toute façon pas), il ajoute :
- Oh, vous avez plein de sable dans le dos...

Et je sens alors ses mains frotter doucement mes fesses. Voilà un dos qui est bien bas... Et pourtant, je le laisse faire ! Son geste est à la fois sûr et délicat, mais je n'y décèle aucun désir sexuel, sauf quand ses doigts entraînent malencontreusement mon string vers le bas.
- Oups, désolé, mademoiselle. J'y suis allé un peu fort.

Je remonte vivement ma culotte et me retourne sans encore savoir si je vais le gronder ou lui dire que ce n'est pas grave, mais ce que je vois, je ne m'y attendais pas : mon militaire gradé a une main dans le maillot, manifestement en train de se tripoter l'engin ! Lui aussi est d'ailleurs surpris que je me sois retournée.

Avant que j'exprime mon irritation pour cet outrage, il a vite retiré sa main en souriant :
- Désolé, je remettais les bijoux de famille en place... Pas classe.
Non, pas classe. Et je doute qu'il ait vraiment besoin de mettre la main dans le maillot pour cela. Mais je n'ose pas lui faire la morale, car il affiche un début d'érection qui me trouble et me laisse sans voix.

Il affiche alors un petit sourire en coin, montrant sa satisfaction de prendre l'ascendant sur moi par l'intermédiaire de son gourdin. Bref, un mâle arrogant comme on en trouve sans doute beaucoup chez les militaires. Mon émotion est balayée par les deux autres militaires qui arrivent à leur tour, en courant dans l'eau avec rires et cris. De vrais gamins !

J'avoue que le spectacle de ces deux garçons à la musculature bien développée ne me laisse pas de marbre. Laurent pense que je les trouve trop bruyants :
- Excusez-les, ils ont besoin de se détendre après avoir ramé plusieurs heures.
- Oh, ce n'est pas grave. Ils ont besoin de se défouler.

- Oui. L'exercice leur fait du bien.
- Mais dites-moi, c'est un tout petit bataillon, seulement deux soldats.
- Ce ne sont que des volontaires. Ramer deux heures pour enchaîner avec de l'escalade, il n'y a que les plus motivés qui en sont capables.
Les deux gars arrivent :
- Bonjour Mademoiselle. Moi, c'est Marc.
- Et moi Milo.

Je sens leurs regards sur moi : sur mes seins bien sûr, mais aussi sur mon ventre et mes cuisses. Leur chef explique la situation :
- Ce jeune couple loue la villa de la famille Le Tarin, mais n'ont pas été mis au courant de nos exercices. Le jeune homme est parti téléphoner pour confirmer. En attendant, la demoiselle accepte qu'on se repose un peu.
Puisqu'ils m'ont donné leurs noms, je trouve poli de me présenter aussi :
- Mon copain, c'est Luc et moi, c'est Juliette.

Mon Dieu ! Que c'est beau, ces muscles finement sculptés : bras, torse, abdominaux, cuisses. J'ai trop envie d'y toucher... Luc n'est pas chétif, mais il faut avouer que là, c'est quand même un autre acabit. Laurent sent le silence pesant de nos troubles respectifs et prend les choses en mains :
- Allez, les gars. On ne mollit pas. Courez un peu le long de la plage.
En le voyant partir, je ne peux que valider cet ordre : ils sont encore plus sexy en pleine action.

Le sergent me demande :
- Et vous et Luc, vous faites un peu de sports ?
- On a fait un genre de base-ball ici même avec deux amis il y a deux jours.
Je n'ose pas lui préciser que j'étais à quatre pattes et que les amis en question m'ont pris en levrette plusieurs fois, mais je le vois froncer les sourcils, comme s'il décelait dans mon regard un petit air lubrique.

- Tant mieux, c'est important l'exercice physique pour rester en forme.
- Nous faisons beaucoup d'exercices physiques avec Luc depuis que nous sommes à la villa.
Il hoche la tête, comme s'il comprenait mon sous-entendu et ose finalement demander :
- Quels genres d'exercices ?

J'hésite à tout dire et me lance finalement dans la voie de l'humour :
- Oh, et bien, un peu de tout. La fellation me permet de travailler mon apnée, la sodomie les fessiers et la levrette ma souplesse.
Il ouvre de grands yeux et éclate finalement de rire. Et puis, c'est à mon tour d'être surprise, car je vois les deux soldats revenir, mais sans leur maillot, exhibant un matériel à la hauteur de leur musculature.

Laurent voit que je suis subjuguée et engueule sa troupe :
- Les gars ! Qu'est-ce que vous foutez ?
- Bah, vous nous aviez bien dit que c'était une plage naturiste et qu'on pourrait se mettre à poil ? Ce n'est pas à la caserne qu'on peut faire ça, alors on en profite.
- Oui, mais là il y a une dame !
Je réagis en retirant mon soutien-gorge :
- Oh, laissez. Ce n'est pas grave et puis ils ont raison : c'est une plage nudiste.

C'est au tour du sergent d'être subjugué. Ils portent apparemment un intérêt tout particulier à ma poitrine dénudée. Tout en retournant dans l'eau, je me moque gentiment de Laurent :
- Et bien ? N'est-ce pas au supérieur de montrer l'exemple ? Vos hommes sont déjà à poil, eux...
- Heu, si...
Il retire son maillot, mais, quand il se redresse, il garde pudiquement les mains devant son entrejambe.

Puisque je m'étais exprimée un peu crûment juste avant en explicitant les exercices que nous pratiquions et que le sergent avait trouvé cela amusant, je réitère par une question très directe :
- Pudeur ou érection ?
- Début d'érection... désolé, mademoiselle...
- C'est naturel, ne vous en faites pas. Je ne suis pas choquée. Luc bande presque en permanence.

Laurent se sent obligé de préciser leurs qualités morales :
- Dans l'armée, il y a des règles et nous sommes des gens sérieux. Je vous promets que nous saurons nous tenir. Et je me porte garant de mes hommes.
Il retire enfin ses mains et je peux admirer un beau sexe, quoiqu'insuffisamment érigé à mon goût.

En attendant le retour de Luc, je me dis que je peux m'amuser un peu à les exciter pour voir jusqu'à quel point ils sont soumis à leur discipline inflexible.
- Finalement, puisque nous sommes sur la même longueur d'onde concernant la tenue vestimentaire de rigueur sur cette plage, il faut que je me mette au diapason...
Tout en regardant leurs réactions, je commence à baisser mon string, leur dévoilant mon entrecuisse.

Marc et Milo sont béats. Sans doute que la plage était censée être déserte pour leur entraînement et qu'ils ne s'attendaient à y trouver une nymphomane. Je m'amuse de voir qu'ils commencent à bander sérieusement. Cela agace le sergent qui fait valoir son autorité :
- Allez, les gars. On poursuit. Continuez à courir.
Certes, c'est dommage de les voir s'éloigner, mais quel plaisir de pouvoir admirer les fesses musclées des deux soldats !

Puisque je n'ai plus que Laurent à exciter, je lui tourne le dos pour achever de retirer mon string, faussement pudique :
- Excusez-moi, je termine de me mettre en tenue.
Et je me penche pour faire glisser le bout de tissu à mes chevilles et offrir au jeune gradé une vue parfaitement indécente sur ma croupe.

Et le résultat est largement à la hauteur de l'effort : Laurent affiche une splendide érection :
- Dites donc. C'est ce que vous apprenez à l'armée ? Avoir des érections devant les demoiselles ?
- Heu, non. Comme vous le disiez tout à l'heure, c'est une réaction naturelle. J'espère que cela ne vous offense pas trop...

J'ai tellement envie de lui dire que j'ai très envie de le sucer, puis de me glisser ce bel engin entre les cuisses, mais j'ai un minimum d'éducation. Et puis, pour faire monter l'excitation, il est préférable de jouer un rôle inverse en me montrant pudique. Je cache ma poitrine avec les mains et réponds :
- C'est... impressionnant...

- Je ne veux pas vous choquer. Laissez-moi quelques secondes, je vais arranger cela.
- Comment cela ?
Comment peut-il arranger cela sans que cela passe par un vidage de couilles ? Mais, étonnamment, il se contente de regarder son sexe, comme s'il lui donnait des ordres par télépathie. Et là, chose incroyable, je vois le sexe perdre en vigueur et se rabaisser.

- Incroyable ! Quel contrôle !
- L'expérience. Et toujours de l'entraînement.
Il semble très fier de lui et me tourne le dos pour aller voir ses hommes. Je me régale de ses jolies fesses musclées.

Curieuse, je lui demande :
- Vous entraînez vos hommes aussi à ce contrôle ?
- Non. C'est un travail que chacun doit faire sur lui-même, mais ce n'est pas de la responsabilité de l'Armée.
- Le rôle de l'Armée se cantonne donc à produire des hommes vigoureux.

- Pour la défense de la patrie, mademoiselle. Seulement pour la défense de la patrie.
- Je n'imaginais rien d'autre, évidemment.
- Évidemment.

Je ne sais pas trop que penser de Laurent, car il semble maintenant avoir compris mon petit jeu et doit probablement me considérer comme une nymphomane, mais ne semble pas vouloir en profiter. Peut-être doit-il garder son autorité sur ses hommes ? Je m'interroge si mon petit jeu ne va pas se retourner contre moi et si je ne ferais pas mieux de remonter rejoindre Luc qui a peut-être du mal à joindre Lionel.

Je relève la tête vers la villa et distingue une silhouette en haut de la falaise. Il me semble reconnaître mon homme. Il serait donc en train de se rincer l'œil depuis là-haut et souhaite donc que je m'amuse, comme d'habitude. Sauf que Laurent ne semble pas vouloir profiter de mes charmes. Ce qui n'est pas le cas de Marc et Milo qui semblent faire une pause pour me regarder en commentant ce qu'ils voient.

Je m'approche un peu pour essayer d'entendre ce qu'ils disent, car leur conversation est couverte par le bruit des vagues.
- On a quand même du bol. Une jolie nana sur la plage et en plus elle fait du naturisme.
- Mais le chef ne nous laissera jamais nous amuser avec.
- On peut au moins se rincer l'œil, ce n'est pas perdu.

J'avais donc sans doute davantage mes chances avec ces deux-là. Quand le sergent se rend compte qu'ils prennent du bon à me regarder marcher non loin d'eux, il les rappelle à l'ordre :
- Les gars, c'est ça que vous appelez un entraînement ?
- On entraîne nos yeux, chef !
- Courrez donc un peu encore.
Je me tourne vers Laurent :
- C'est peut-être ma présence qui les perturbe.

- C'est certain. Mais il faut qu'ils s'endurcissent.
J'ai bien envie de lui dire qu'il y a déjà une partie de leur corps qui semble mieux endurcie que le reste, mais je ne suis pas certaine que ce soit opportun.
- Bon, je vais m'asseoir. Cela les aidera à se concentrer sur leur entraînement.

Tandis que je m'agenouille sur le sable, le chef donne ses ordres :
- Les gars, c'est très simple, si je vois une érection supérieure à l'horizontale, il y aura punition : ce sera vingt pompes.
Les garçons soupirent. Le chef me dit :
- Vous me direz si vous voyez qu'ils ne respectent pas.
- Heu, oui, je vais surveiller cela...

Finalement, ce n'est pas si désagréable d'avoir cette mission : contrôler le sexe des soldats. Je n'ai même pas besoin de regarder en douce. C'est ma mission : observer des érections. Assise sur le sable au milieu de la plage, ils passent immanquablement devant moi et ça commence à m'exciter drôlement, car ils sont bien foutus. Pourtant, pas un sexe plus haut que l'autre. En fait, les garçons ont trouvé comment garder le contrôle : ne pas me regarder ! Même si je fais des efforts pour écarter un peu les cuisses et faire saillir ma poitrine.

Le sergent retourne au canot. Au troisième passage de Marc devant moi, je tente ma chance en me redressant :
- Pfff, c'est désagréable ce sable qui colle à la peau...
Je me redresse et me frotte les cuisses et le ventre, jambes bien écartées. Immanquablement, je capte son regard.

Et je vois alors son sexe se tendre à l'horizontale ! Dois-je le dénoncer au chef ? Je l'entends dire :
- Merde...
- Désolée... C'est de ma faute ?
- Oui, mais la mienne aussi...

Je trouve élégant que ce garçon ne fasse pas reposer sur mes épaules (ou mes seins sans doute) la seule responsabilité de son érection.
- Votre sexe est à l'horizontale, donc techniquement, votre supérieur l'autorise.

- Ouais, mais c'est une question de point de vue. Pas sûr que le chef le voit à l'horizontal.
- Vous voulez que je lui demande ?
- Hé, non ! S'il vous plaît, pas un mot, sinon je vais me taper des pompes... Dans le sable, c'est l'horreur.

- Moi, tant que j'estime que c'est à l'horizontale, je n'ai pas de raison de lui signaler.
- Merci...
Coquine, j'écarte alors largement mes jambes et je vois le regard de mon militaire se perdre entre mes cuisses, sur mon coquillage.

Et bien sûr, j'obtiens ce que je voulais voir : le sexe de ce pauvre Marc se dresse bien au-delà de l'horizontale.
- Merde ! Merde ! Merde !
- Ne vous inquiétez pas, je ne vais rien dire. Je suis bien trop contente de voir votre queue dans un tel état.

Du canot, le chef appelle :
- Hey ! Tourne-toi un peu !
Nous savons qu'il s'adresse à Marc, mais je lui sauve la mise en me levant pour faire croire que je pense que c'est à moi qu'il parle.
- Comment ?

Laurent n'insiste pas. Peut-être me fait-il confiance et croit que je lui dirais si un de ces hommes se montrait indécent. Milo nous rejoint alors et se moque de son collègue :
- Et bien alors Marco ! On dirait que tu vas faire des pompes.

- Non, la demoiselle ne va rien dire. Elle est adorable.
- Oui, adorable. Je trouve aussi. Et elle te fait de l'effet.
J'interviens dans leur conversation :
- Oui, c'est de ma faute...

- Ah, mais c'est qu'il est faible, le Marco ! Il bande d'un rien.
- Parce que vous vous en sortez mieux, sans doute ?
Comme pour Marc, j'écarte les cuisses et dévoile ma minette aux garçons.

Aussitôt, le sexe de Milo se met au garde-à-vous.
- Oh merde...
Il réagit aussitôt en se mettant à courir espérant sans doute débander avant que son chef ne s'aperçoive de son état.

Mais Laurent, bien qu'occupé au canot, garde un œil sur ses hommes et à peine a-t-il fait dix mètres que l'on entend le sergent crier :
- Milo ! Cinquante pompes.
Le pauvre garçon s'exécute aussitôt.

Je comprends ce que disait Marc plus tôt concernant la difficulté des pompes dans le sable. C'est surtout le fait d'être à poil qui pose problème puisque le gland frotte dans le sable, ce qui doit immanquablement être rapidement douloureux. Je viens me mettre à côté de Milo et prends la même position que lui.

- Cinq... Six... Qu'est-ce que vous faites ?
- C'est aussi de ma faute, ça me semble normal que je participe... Et puis j'espère que de me voir faire vous excitera un peu encore et que cela vous fera bander davantage, ce qui mettrait votre sexe plus contre votre ventre et rendrait l'exercice moins douloureux.
- Merde ! Neuf... Vous avez raison... Cela fonctionne. Dix...

J'essaye de le suivre, mais je n'ai pas sa carrure : quand j'en fais péniblement un, il en enchaîne quatre. Il me voit peiner :
- Merci, ça ira.
- Je préfère rester jusqu'à la fin pour vous garder parfaitement en forme.

Il sait bien de quoi je veux parler. Après quelques minutes, il atteint cinquante et s'affale sur le sable. Je me relève tandis que le sergent m'interpelle depuis le canot :
- Alors, c'est bon ? Il en a fait cinquante ?
- Oui, il a été jusqu'au bout !

Cela semble satisfaire le sergent. Je me retourne vers Milo.
- Est-ce que ça va ?
- Évidemment ! Je suis entraîné pour bien pire que ça...
- J'espère que vous ne parlez pas de moi quand vous dites "pire"...

- Bien sûr que non ! Je parlais des pompes.
- J'aime mieux ça... Mais je vois que ça n'a pas affecté votre émoi.
Malgré sa fatigue, le garçon affiche une érection encore galopante.

Derrière nous, Laurent appelle Marc pour qu'il l'aide à ramener le canot pneumatique sur la plage. Je propose à Milo de rester discret :
- Attention, vous bandez encore trop. Restez bien allongé que votre chef ne vous voit pas.

- Restez tourner vers moi. En leur présentant votre dos, votre chef ne verra pas que vous bandez toujours.
- Vous, en revanche, vous vous régalez...
- Effectivement.

Je trouve que c'est vraiment frustrant de voir une si belle érection et de ne pas en profiter. J'en viens à négocier :
- Écoutez, Milo. La seule solution pour que vous débandiez, c'est que vous éjaculiez. Si vous voulez, je peux vous sucer un peu pour vous aider.
Milo reste interdit devant une proposition aussi franche. Sans attendre sa réponse, je m'agenouille devant lui et commence par lui sucer les boules.

Il ne dit rien, mais au moins, il ne me repousse pas. Le traitement semble bien fonctionner : sa respiration se fait plus poussive, comme s'il entamait un marathon. Je décide de me contenter de cette petite gâterie : pas de fellation, pas de masturbation, juste un savant léchage de ses bourses.

Après une petite minute de ce traitement intensif, j'obtiens ce que je veux. Milo fait un pas en arrière en m'écartant sur le côté :
- Attention, je... Hannnnn...
Et il se met à éjaculer, doucement, mais sûrement. Sa semence épaisse s'échappe tranquillement et s'écoule ensuite lentement le long de sa hampe jusqu'à ses testicules avant de se mêler à l'écume des vagues.

Je me relève.
- Bien, je crois que ça devrait aller mieux maintenant.
J'attends un peu pour vérifier qu'il débande, mais ça ne semble pas fonctionner. Il s'inquiète :
- Merde... ça n'a pas fonctionné...
- Oups, je suis désolée.

Laurent vient dans notre direction :
- Milo ! Va donc récupérer ton sac dans le canot et aide Marc à l'attacher à un rocher, qu'on ne se le fasse pas emmener par la marée.
Milo, la queue pleine de sperme et en érection, n'ose pas se retourner et passer devant son chef. Il file sur le côté et plonge dans les vagues. Laurent ne comprend pas et me demande :
- Mais qu'est-ce qu'il fout ?

- Je crois qu'il avait besoin de se rafraîchir. Ils n'ont pas votre maîtrise.
Je désigne à Laurent son sexe dont il contrôle le niveau d'érection et qui donne toujours autant envie. Laurent sourit :
- Ah ? Il a bandé plus que de raison ?
Ravie d'avoir fait jouir Milo, mais frustrée de ne pas avoir eu moi-même un orgasme, j'opte pour moi aussi me calmer dans l'eau fraîche et suit la trace du jeune soldat en répondant au sergent :
- À mon goût, vous ne banderez jamais trop...

Quand je vois ressortir Milo des vagues, il a enfin débandé et il a pu se nettoyer de son sperme. Je vois alors Luc qui redescend les escaliers.
- Messieurs, mon copain revient. Je pense qu'il serait plus sage de remettre vos maillots.
Les trois militaires s'exécutent docilement en un clin d'œil et Laurent vient même me proposer ses services :
- Vous voulez de l'aide pour nouer le soutien-gorge ?
- C'est gentil, mais je suis une grande fille et je sais me débrouiller.

Peut-être qu'il aurait souhaité me tripoter. Cela ne m'aurait pas déplu, mais Luc l'aurait vu. Nous devons laisser croire encore aux militaires qu'ils ont pu profiter de la petite salope dans le dos de son petit copain. Mon Dieu, suis-je devenue pire qu'Angela ? Pourquoi "pire", d'ailleurs ? Suis-je devenue plus salope qu'Angela ?
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Angela - épisode 39 : Échange de services
Jeudi 4 août 15:17
Luc arrive sur la plage et vient me rejoindre. J'exagère volontairement le plaisir que j'ai à le retrouver :
- Luc ! Enfin ! J'ai cru que tu ne reviendrais pas !
Je saute même de joie, mais c'est sans doute un peu trop.

Il rigole et, en arrivant, me dit :
- N'en fais pas trop quand même...
- Tu as tout vu ?
- J'ai vu que tu en as fait éjaculer un en lui suçant les couilles. J'aurais cru que tu serais plus efficace pendant tout ce temps.

- Tu plaisantes ? Ces mecs sont hyper disciplinés. Si leur chef dit de ne pas bander, ils ne bandent pas. Ce n'était pas si facile, même si on était tous à poil.
Il me fait un clin d'œil et ajoute :
- Je sais que tu as fait tout ton possible, ma Juju.
- Mais je n'ai pas dit mon dernier mot.

- Bon, j'ai eu Lionel. Tout est arrangé. Effectivement, il a oublié de nous prévenir. Il est vraiment désolé. Est-ce que tu vois une objection à ce que ces hommes restent profiter de la plage avec nous ?
- Pas du tout mon chéri. Nous on bronze, eux ils s'entraînent. La plage est assez grande.
Luc observe Milo et Marc qui sont en train de s'entraîner à la lutte.

- C'est vrai qu'ils sont studieux.
Laurent arrive pour savoir ce qu'il en est :
- Alors ?
- Alors, c'est bon, Laurent. Lionel m'a confirmé. Et vous pouvez rester faire vos exercices si ça ne vous gêne pas qu'on profite de la plage de notre côté pour bronzer.
- Parfait. Merci beaucoup. Et n'hésitez pas à vous mettre à l'aise. Vous, vous n'aurez pas de marques de bronzage, mais votre copine ferait mieux de retirer son maillot.
Ah oui ? Carrément ! Laurent s'adresse à Luc pour me dire de mettre à poil. Je n'attends pas l'aval de qui que ce soit et je retire en deux secondes mon soutien-gorge.

Luc rigole :
- Bah voilà. Suffit de proposer. Merci, Juju.
- Quoi ? Si je n'ai pas envie d'avoir de marques de bronzage, ça me regarde, non ?
- Ah, mais je suis totalement d'accord avec toi, ma chérie.
Un peu hésitant, Laurent nous demande :
- Et... ça vous dérange si mes gars et moi, on se met aussi à poil ? En fait, il n'y a qu'ici qu'on peut faire du naturisme et je le leur avais promis...

Luc se tourne vers moi :
- Moi, je suis déjà à poil. Je me vois mal refuser. Mais toi, Juju ? Tu pourrais trouver que ces garçons manquent de pudeur... non ?
- Si on est tous à poil, il n'y aura plus de malaise.
Et je m'apprête à faire glisser mon string.

Luc m'interrompt :
- Heu attends, Juju. La proposition était qu'eux se mettent à poil. Si toi tu te mets à poil, il est possible que cela excite ces messieurs et que cela nuise à leurs exercices.
Je n'en reviens pas qu'il me dise ça ! Mais sans doute est-ce une pudeur feinte de sa part. Avec Angela, la question ne se serait pas posée. Pourquoi est-ce que je pense à Angela au moment où Luc me demande de ne pas me mettre nue ?
- Ah oui ? Donc moi, créature tentatrice, je ne dois pas me mettre nue pour ne pas exciter ces pauvres messieurs ? Laurent, vous en pensez quoi ? Si je retire ces bouts de ficelle, cela va changer fondamentalement ma tenue ?

Laurent soupire, gêné :
- Heu, non, effectivement. Vous avez raison. Mais dans les faits, sans votre string, vous serez nue et c'est sûr que cela pourra exciter mes gars.
Quelle audace ! Même Angela n'aurait certainement pas laissé passer une telle remarque.
- La belle affaire ! Une fille nue excite des hommes ! Quelle nouveauté !!! Marc et Milo vont donc me sauter dessus sitôt qu'ils verront ma moule ? Vous, Laurent, vous allez me sauter dessus ?

- Bien sûr que non ! Répond le sergent.
Dans cette petite mise en scène, je mise sur une preuve par l'exemple en me fondant sur la maîtrise qu'a Laurent sur son érection :
- Est-ce que cela vous fait bander, sergent ?
En voyant mon clin d'œil, Laurent comprend. Il se concentre quelques secondes, puis abaisse son short, exhibant un sexe bien gonflé, mais pas en érection.

Je termine de retirer mon string et m'exhibe sans pudeur :
- Ah ! Tu vois, Luc. Aucun souci à se faire. Ces messieurs sont de vrais gentlemen. Je vais donc pouvoir bronzer tranquillement pendant qu'ils s'entraînent.
Luc s'amuse de tout mon stratagème. Tout ça pour laisser croire aux militaires que Luc est le dindon de la farce, alors qu'il est en réalité mon complice.

- Bien, nous vous laissons et nous allons faire nos exercices dans l'eau pour commencer.
Laurent va rejoindre ses hommes qui jouent dans l'eau. J'en profite pour admirer ses jolies fesses musclées. Devant lui, Marc sourit. Il a sans doute repéré mes regards intéressés sur le postérieur de son chef.

Luc me demande :
- Tu as descendu de la crème solaire ?
- Ah, non. Mince...
- Ne bouge pas. Je remonte en chercher. Baigne-toi avec eux en attendant.
La proposition est effectivement savoureuse. Alors qu'il repart à nouveau, je vais rejoindre les hommes dans l'eau.
- Est-ce que je peux me joindre à vous le temps que Luc redescende avec de la crème solaire ?

Marc sourit :
- Évidemment, mademoiselle. Là on s'écarte les uns des autres pour faire des exercices de tension.
- Ah ? Ok, je vais vous regarder pour voir en quoi ça consiste.
Je ne cherche pas nécessairement à comprendre en quoi consistent ces exercices. Ce qui m'intéresse, ce sont les jolies fesses que me présente Marc.

Marc s'étire, bras tendus devant, sur les côtés, derrière. Il remonte une cuisse, arrondissant sa fesse musclée, puis l'autre. J'avoue que cela me trouble particulièrement. Si je trouve déjà excitant de voir Luc à poil, pouvoir contempler un militaire musclé faisant des exercices embrase mon ventre. Marc reste à me présenter son dos, ses fesses, mais tourne la tête vers moi et me sourit en me voyant figée par ce spectacle :
- Tout va bien, mademoiselle ? Vous semblez avoir pris un coup de chaud...
Je me ressaisis :
- Heu, oui. Désolée. Tout va bien.

Mais mon trouble ne lui a pas échappé :
- Vous devriez peut-être vous éloigner. Je crains qu'il y ait ici quelque danger pour vous...
- Un danger ?
- Oui, j'ai l'impression que mes fesses vous attirent particulièrement.

Et c'est seulement quand il se retourne un peu que je crois distinguer un bref instant que ces exercices ne se limitent pas à des étirements musculaires : il me semble qu'il est en train de se masturber. Si ses fesses me troublent, j'ai l'impression que mes seins l'excitent particulièrement :
- Oui, vous avez de très belles fesses. Mieux vaut que je m'éloigne...
- Oh, je disais cela pour plaisanter !
- Ah oui ? Il est vrai que si je m'éloigne, en ce qui vous concerne, vous ne pourrez plus admirer ma poitrine...

Il ne me répond pas mais je vois son bras gauche bouger de manière significative. Aucun doute, même s'il me tourne le dos, je suis persuadé qu'il se masturbe en regardant mes seins. Je m'amuse donc à tourner un peu sur moi-même, à me cambrer ou à me pencher un peu en avant, pour qu'il puisse en admirer le profil, les courbes, la fermeté. Et cela semble lui plaire, car je le vois soudain fermer les yeux et pousser un profond soupir. Après quelques secondes, il se retourne enfin et me montre fièrement qu'il vient d'éjaculer.

Son sexe gonflé affiche plusieurs traces de sperme et sa main gauche également. Il me dit :
- Vous êtes très stimulante, mademoiselle.
- Oh, mon Dieu ! Hihi !
Je pars en courant, comme si cela me choquait au plus haut point.

Je l'entends me suivre :
- Hey ! Attendez ! Ne partez pas !
- Laissez-moi, espèce de satyre !
- S'il vous plaît, attendez...
Il est presque sur moi. Je m'enfonce dans l'eau.

- Hihi, vous ne m'attraperez pas !
Je pense qu'il veut me signaler de ne surtout rien dire à son chef, mais je trouve amusant de jouer au loup et à l'agneau. Étant maintenant suffisamment dans l'eau, je plonge en espérant être plus rapide à la nage, mais mon poursuivant en profite pour me saisir les chevilles. Je prends conscience que, ainsi écartelée, il peut profiter d'une vue bien dégagée sur mon entrecuisse.

- Laissez-moi !
- Héhé, je veux surtout vous éviter la noyade.
Il me lâche une cheville, maintenant sa prise de la seconde, mais sa main libérée part à l'exploration de ma moule offerte.

Je pourrais le dénoncer à son chef et l'obliger ainsi à faire des pompes sur la plage, comme son collègue Milo un peu plus tôt. Mais il faut reconnaître que la caresse est loin d'être brutale et que j'éprouve un certain plaisir (et même un plaisir certain) à ses attouchements sur mon intimité. Me voyant ne pas lui résister, il m'attirer à lui, abandonnant sa prise de ma cheville par une saisie de ma taille. Et je sens alors quelque chose d'exceptionnellement dur entre mes fesses, ainsi que ses couilles contre ma fente.

Bon sang ! Je suis si excitée que s'il essayait de me prendre en levrette, je ne m'y opposerai sûrement pas. En a-t-il lui aussi l'idée et l'envie ? Certainement ! Mais la voix de son chef le rappelle à l'ordre. Sans doute suspicieux de ce qui se passe sous l'eau, le sergent l'interpelle :
- Marc ! Si tu as besoin d'exercice, porte-la !
La discipline militaire fait qu'il obéit instantanément : je me sens soulevée par deux mains puissantes et, trois secondes après, je me retrouve juchée sur ses épaules !

- Vous êtes drôlement costaud !
- Et vous drôlement jolie ! Je vous porterais au bout du monde...
- Hihi... Sur la plage, ça me semble déjà un bon début.
Quand il arrive sur le sable, il me laisse descendre, mais je lui fais une bonne blague : en glissant le long de son corps, j'écarte les cuisses pour m'embrocher naturellement sur son sexe en érection !

Le pauvre étouffe un cri de surprise et lance un regard éperdu vers son chef. Heureusement celui-ci ne nous voit pas à ce moment-là.
- Vous êtes folle !
Marc, craignant de devoir faire des pompes, me relève pour se dégager et me tenant contre lui comme un vulgaire sac de grains, il m'emporte dans la mer.

Dès qu'il a de l'eau jusqu'au bassin, jugeant que c'est suffisant, il me jette dans une vague :
- Allez hop ! Cela va vous rafraîchir.
Quand je me relève, je constate, même sous l'eau, qu'il bande toujours autant :
- Hihi, si votre chef voyait ça...

Je le vois qui s'avance soudain plus loin dans la mer comme si sa pudeur le poussait à me cacher son érection, mais j'en comprends la raison en entendant la voix de Milo derrière moi :
- Dis donc, Marc, tu fais quoi avec la demoiselle ? Je ne suis pas sûr que ça fasse partie de l'entraînement.
Je me tourne pour lui répondre :
- Comme vous avez pu le voir, il m'a portée. Même si je ne suis pas très lourde, je pense que cela doit quand lui avoir fait travailler plusieurs muscles.

- Mouais... De ce que j'ai cru voir d'où j'étais, il n'y a pas que ses muscles qui ont travaillé.
- Ah ? Et que croyez-vous avoir vu, Milo ?
- J'ai cru le voir vous saisir la taille pour vous attirer contre lui, mais comme c'était sous l'eau, je ne peux pas dire exactement ce qu'il a pu faire.
Ouf ! Milo n'a apparemment pas vu que je me suis embrochée sur la tige de Marc quand celui-ci m'a descendue de ses épaules.
- Vous pensez qu'il aurait pu me pénétrer sans que je m'en rende compte ?

- Heu... non. Il est aussi bien équipé que moi, donc je pense que vous l'auriez sentie...
Je désigne son érection qui semble à la limite de dépasser l'horizontale :
- C'est vrai que vous êtes plutôt bien équipés, les garçons... Mais vous n'avez pas peur que votre chef vous fasse faire des pompes ?
- Heu... si. Mais vous n'arrangez pas vraiment mon état.
Doux euphémisme, je tente ma chance :
- Mettez-vous contre moi, il ne vous verra pas !

Je le vois regarder son chef, puis mon cul, à nouveau son chef et enfin encore mon cul. Il vient me rejoindre avec la queue largement au-dessus de l'horizontale. Il se plaque contre moi et je sens son sexe tendu palpiter entre mes fesses. J'ai tellement envie qu'il me prenne en levrette ! Il commence à monter et descendre pour se branler entre mes fesses. Je décide de tenter ma chance : au moment où il a les genoux pliés et que son gland est presque contre ma vulve, je me hisse sur la pointe des pieds et me cambre pour m'emmancher sur sa hampe d'un coup sec. Il est surpris et ne bouge pas, mais quel délice !

Cet idiot se recule en s'excusant :
- Oh pardon, je ne voulais pas !
Je suis surtout agacée qu'il n'ait même pas tenté d'en profiter, mais je décide de me venger en lui faisant porter la responsabilité de cette levrette impromptue :
- Hey ! Mais ça ne va pas ?! Je vais le dire à votre chef.
- Non ! Pitié ! Ne dites rien.
- Dans ce cas, je vais vous arracher les couilles.
J'ai surtout envie de le masturber, mais il voit à mon sourire que je ne suis pas réellement menaçante, même si, par sécurité, il me maintient les mains aussi loin que possible de son érection.

- Je parviens à libérer une main et donne une petite tape, pas très méchante, sur son gland :
- Pour vous apprendre à vous maîtriser en présence d'une dame !
- Aye ! La garce !
- Ah, non ! Pas de riposte, sinon je crie et votre chef vous punira !
Je décide de ne pas pousser davantage le bouchon et retourne vers la plage en courant.

Je retourne à ma serviette et m'y allonge sur le ventre. Laurent, le sergent, vient pendre des nouvelles (même si je le soupçonne surtout de vouloir se rincer l'œil à ma croupe) :
- Tout va bien, Juliette ?
- Si on exclut le fait que mon mec n'arrive apparemment pas à remettre la main sur la crème solaire, je dirais que ça va.

- Pour la crème, nous, on en a si vous voulez...
- Je ne sais pas... Luc ne verrait sans doute pas d'un très bon œil que vous me mettiez de la crème dans le dos...
- En même temps, on peut vous prêter la crème et vous vous en mettez vous-même, non ?
Mais il le fait exprès ? Comment peut-il passer à côté d'une telle occasion de me tripoter les fesses ?
- C'est gentil, mais j'aurais nécessairement besoin d'aide pour le dos. Je manque de souplesse.

- D'accord. Je demande à un de mes gars de s'occuper de votre dos et vous vous occuperez de vos... du reste.
- OK.
Pourquoi ne le fait-il pas lui-même ? Aurait-il peur de se faire surprendre par Luc pour déléguer cette tâche à un simple soldat ? Il appelle celui qui est le plus proche :
- Marc ! Fais une pause et viens mettre de la crème dans le dos de la petite dame.
- Merci, sergent.

Tandis qu'il s'éloigne, il interpelle Milo :
- Milo ! Viens me filer un coup de main pour sortir du bateau le sac avec les tentes.
Je les vois s'éloigner vers leur embarcation et Marc arrive, brandissant un petit tube de crème. Alors qu'il s'agenouille à côté de moi, j'écarte les cuisses pour lui faire comprendre qu'il n'y a pas que mon dos que je souhaite offrir à ses caresses.

- Allez-y ! Le soleil cogne dur, je ne voudrais pas avoir de coups de soleil...
Et pourtant, en vrai gentleman, Milo me tartine de crème les épaules et le dos sans jamais oser descendre plus bas.
- Milo, un coup de soleil sur les cuisses ou les fesses, ça fait très mal, vous savez ?

Mon militaire se révèle être finalement un grand timide. Quand je pense que je l'ai sucé un peu plus tôt et qu'il a failli m'éjaculer dans la bouche, je trouve étonnant qu'il n'en profite pas davantage. Il bredouille un discret "Oui, Juliette..." et je sens ses mains se poser sur mes cuisses. Quand il a bien étalé la crème sur mes jambes, il est bien forcé de s'occuper de mes fesses et, enfin, ses doigts effleurent délicieusement mon coquillage qui, à chaque nouvel attouchement, suinte un peu plus de cyprine.

Puis il change de position : il se place près de ma tête et ses mains parcourent à nouveau mon dos, descendant jusqu'à mes globes fessiers. Cela tient presque plus du massage sensuel que du tartinage de crème solaire. Je ferme les yeux pour apprécier, mais j'essaye de lui signifier que je veux autre chose :
- Mmmmm, vos mains sont très douces, Milo... mais je crois que ça ira pour mon dos.

Mon message est apparemment assez clair. Je rouvre les yeux au moment où Milo se lève pour change à nouveau de place, et j'ai tout juste le temps de voir sa formidable érection. Je regrette de ne pas en avoir profité alors qu'il était à portée de bouche. Il s'assoit alors entre mes cuisses écartées et semble rester quelques secondes en émoi devant le spectacle de ma moule, sans doute dégoulinante de ma liqueur d'amour.

- Faites bien l'intérieur des cuisses, s'il vous plaît...
- Heu... OK.
Quand je sens ses doigts effleurer ma minette, je lâche un profond soupir de satisfaction. Cela semble l'encourager, car, juste après, il plonge son majeur dans ma fente inondée et commence à me masturber délicieusement.

- Oooooh, Milo... Enfin ! Hhhhhhh...
- ... Merde !
Mon sympathique militaire se lève soudain et file vers la mer, sans se précipiter, mais d'un pas décidé. Craindrait-il son chef qui lui ferait faire des pompes dans le sable s'il voyait son érection incontrôlée ? Mais ce n'est pas le cas, Laurent et Marc sont tous les deux en train de sortir de gros sacs du bateau pneumatique. Reportant mon regard vers Milo, je comprends enfin son émoi : il est parti précipitamment, car il ne se contrôlait plus et, tournant le dos aux deux autres, il est en train d'éjaculer.

Un peu honteuse d'avoir provoqué cette situation, je suis malgré cela assez fière d'avoir déclenché cette magnifique éjaculation, même si je trouve dommage qu'il ne soit pas resté pour me faire profiter de cette belle explosion. Je bascule sur le dos pour qu'il puisse à son retour m'étaler de la crème aussi sur le ventre et les seins.

Le léger vent d'ouest me porte la voix du chef :
- Milo, viens remplacer Marc. Ce bon à rien a failli mettre la tente à la baille.
Je me redresse et vois Marc afficher un sourire victorieux quand il croise Milo. Cela ne semble pas l'affecter d'être remplacé par son collègue et il semble au contraire ravi de pouvoir venir prendre sa place sur la plage pour s'occuper de moi :
- Juliette, un coup de main pour mettre un peu de crème ?
- Théoriquement, devant, je suis en mesure de le faire moi-même...

- Oui, mais ça vous évitera d'avoir les mains engluées et le sable qui s'y colle.
- Voilà un argument très pertinent.
Je me rallonge et il vient s'agenouiller à côté de moi. Il commence par le ventre en faisant de régulières incursions sur mon buste. Puis il descend sur les cuisses, et c'est là que je l'attends.

Il semble beaucoup s'amuser à effleurer mes mamelons pour les sentir tout durs sous ses doigts. De son autre main, il s'occupe de mes cuisses et n'hésite à faire l'intérieur en remontant jusqu'à ma moule. Marc est moins timide que Milo :
- Mmmmm... Merci, Marc. C'est agréable. Milo n'osait pas. Et quand il s'est enfin décidé, il s'est mis à éjaculer...
- Comme ça ?
- Oui. Juste parce qu'il me masturbait...

- Ah ?
- C'est un garçon émotif ?
- Peut-être... Mais je pense surtout que vous êtes particulièrement excitante.
- C'est gentil. Vous pensez que vous aussi ça vous ferait éjaculer de me masturber ?
- Je ne sais pas trop...
- On essaye ?
Il sourit. Il voit bien quelle salope je suis, malgré mes airs ingénus. Tandis qu'il descend sa main sur ma vulve, des doigts caressent un téton, comme s'il voulait mesurer mon excitation à sa dureté.

Nous sommes alors tous les deux surpris par la voix de Laurent :
- Ah, Marc... Toujours dévoué pour venir au secours d'une jeune fille en perdition.
- Il me met juste de la crème... solaire !
- Oui, je vois ça. Et il a raison d'insister sur l'entrejambe, car c'est la partie la plus sensible.
Je ne commente pas. Mais nous avons tous les deux remarqué que le sergent est à la limite d'avoir une érection qui dépasse l'horizontale.

Il semble ne pas vouloir intervenir. Tant mieux, car les caresses de Marc sont de plus en plus précises et je me sens tout à fait en mesure d'avoir un orgasme, ainsi étendue nue sur la plage. Le sergent s'assoit à proximité et observe les gestes de son soldat. Celui-ci se concentre désormais à deux mains entre mes cuisses que j'ai écartées en grand pour qu'il accède à ma fontaine d'amour.

Dix doigts qui s'activent sur mes zones érogènes, mes lèvres, mon clitoris ! Je me sens fondre de plaisir. Le chef commente :
- Il me semble qu'on a dépassé le simple stade de la protection solaire, non ?
- Oui, chef... Je vais devoir faire des pompes.
- Non. La demoiselle semble en avoir besoin.
Oh que oui ! Quel constat pertinent ! J'ai très envie d'une pénétration, mais s'il me donne un orgasme avec ses doigts, je prends aussi.

Encouragé par la réaction de sa hiérarchie, Marc en profite pour explorer mon sexe. Un délice !
- Mmmmm, Juliette. Vous semblez effectivement avoir grand besoin qu'on vous cajole votre petit abricot.
- Oui... Hhhhhhh... Il est mûr... bien mûr... Oooooh !
Marc fait enfin pénétrer son majeur dans mon vagin.

Sans doute pour qu'on ne l'oublie pas, Laurent s'autorise à commenter :
- Il me semble bien juteux, cet abricot...
- Oui, Juliette est très réceptive.
Marc s'autorise à insérer deux doigts et le pouce de son autre main taquine mon bouton d'amour.

- Oooooh... Ouiii... Mmmmmmm...
Je sens que l'orgasme n'est plus loin... Si seulement Luc pouvait voir ça ! Le sergent intervient :
- Attention, je ne sais pas si tu peux la faire jouir. Son copain ne serait peut-être pas très content.
Quoi ? De quoi je me mêle ? J'implore Marc de continuer :
- Si... continuez...
Mais Marc a déjà retiré ses doigts et laisse ma minette avec un appétit féroce inassouvi.

- Oh, s'il vous plaît, continuez à câliner mon coquillage.
J'entends Marc pester :
- Merde...
Je relève la tête :
- Quoi ?
- Je viens de mettre les mains dans le sable... Je vais aller me les laver.
Laurent intervient en faveur de son soldat :
- Tu n'as qu'à continuer à la câliner avec ton gland. Il est tout propre, lui.

Marc ne semble pas croire que son chef lui propose ça :
- Que je... ?
Moi ça me va carrément et je suis enthousiaste à cette idée :
- Oh oui, s'il vous plaît !
Marc obtempère et s'agenouille entre mes cuisses, posant son sexe tendu sur ma fente et commençant à le frotter contre.

Mince, cette andouille suit les ordres de son chef à la lettre et ne me pénètre pas, se contentant effectivement de me masturber avec son braquemart. Je tente ma chance et, à un moment où son gland est en position basse, je me cambre et me redresse pour faire en sorte qu'il m'enfile au moment où il remontera.

Mais son chef, rabat-joie, intervient encore :
- Attention à ne pas la pénétrer. Son copain pourrait revenir et, à ce stade, on peut encore se défendre en disant que c'était juste pour lui étaler de la crème solaire.
Malin le chef, voire même machiavélique. Ces militaires savent arriver à leurs fins et trouver les justifications. Marc contrôle donc son membre et poursuit sa masturbation en e faisant glisser sur ma fente.

Celle-ci s'écarte de plus en plus pour laisser le membre s'ancrer bien dans le sillon et le gland venir frotter contre mon clitoris. C'est très agréable. Et après quelques minutes de ce délicieux traitement, je sens l'orgasme monter. Pas très puissant, mais bien présent. Je me tends, je vibre, je me tords et, dans la bataille, sans même le vouloir, je parviens finalement à m'emmancher sur la tige bienfaitrice.

Marc est surpris et, au lieu d'en profiter pour m'embrocher et me pilonner (ce qui aurait été le top), il se retire. Mais ce n'est ni par peur de l'arrivée de Luc, ni par peur de réprimande de son chef : juste que lui aussi était surexcité et que, alors qu'il avait son gland qui faisait une percée involontaire, mon petit orgasme avait déclenché son éjaculation. Dès que j'ai senti les premières giclées de sperme s'écraser sur mon ventre, j'ai saisi le membre turgescent pour le branler et l'accompagner dans ce feu d'artifice.

Marc s'écarte aussitôt :
- Désolé, Juliette... C'est arrivé d'un coup...
Le sergent rigole :
- Alors, soldat ? Incapable de se discipliner ? Si Juliette voulait de la crème sur son abricot, je pense qu'elle est servie.

Je jette un œil vers l'escalier le long de la falaise : toujours aucune trace de Luc. Voyant mon regard, Marc regarde dans la même direction, se rendant compte qu'il est peut-être allé un peu trop loin, même si c'était avec la bénédiction de son chef. Je lui souris pour le rassurer :
- Ce n'est pas grave. Effectivement, comme dit le sergent, ce n'est que de la crème. Il suffit de l'étaler pour que les traces disparaissent. Le sperme va se mélanger à la crème solaire et personne ne saura.
Aussitôt, le jeune soldat m'étale méticuleusement sa semence sur mon ventre et sur mes cuisses.

La voix de Milo se fait entendre à l'autre bout de la plage :
- Marc ! Viens donc m'aider à sortir les tentes.
Un peu à regret, le soldat va rejoindre son collègue. Je me lève et regarde Laurent qui reste allongé sur le sable :
- Dites donc, vous les incitez un peu à la débauche, vos hommes, non ?

- Ah, un peu de distraction ne fait pas de mal et vous aviez l'air plutôt partante, non ?
- Carrément ! Et vous ne vouliez pas profiter de votre privilège de chef pour l'écarter et reprendre les manœuvres à votre compte ?
- Ce serait de l'abus d'autorité...
La règle du contrôle de l'érection semble complètement oubliée, car Laurent bande magnifiquement, sans retenue.

- Vous semblez intègre, mais je vois que vous affichez une érection que vous ne contrôlez plus.
- Je contrôle ! Qu'allez-vous penser ?! Regardez, mon sexe est à l'horizontale.
- Parce que vous êtes allongé, ne vous moquez pas de moi.

- Désolé, c'était pour plaisanter...
Il se redresse et cela ne fait plus aucun doute : son sexe pointe magistralement vers le ciel.
- Là, je crois que vous êtes bon pour cinquante pompes, non ?
- On ne peut pas trouver un arrangement ? J'ai cru apercevoir que vous l'aviez fait pour mes hommes.
Mince ! Il nous a vus. Le chef a l'œil. Et le chef a aussi une splendide érection qui me fait drôlement envie.

- Vous pensez à quoi, sergent ?
- Je ne sais pas, vous avez trouvé diverses solutions pour soulager mes hommes, vous avez sans doute vous-même des idées.
- Et moi qui pensais qu'on avait été discrets...

- Vous l'avez été. Mais nous sommes des hommes et quand il y a une magnifique femme nue à proximité, nos regards sont irrémédiablement attirés...
- Ah, c'est donc ma faute. Je n'ai donc plus qu'à assumer mon sex-appeal en faisant éjaculer tous les garçons que je fais bander ?
- Bien sûr que non !
Ses yeux et sa queue ne disent pas cela. Je lui souris et m'accroupis à côté de lui pour saisir son membre tendu et le masturber lentement.

Laurent ferme les yeux et dit :
- Haaaa... C'est tellement bon. Il y aura certains éléments qui ne pourront pas figurer dans mon rapport...
- Pourquoi donc ? "Un peu de distraction ne fait pas de mal", vous l'avez dit. Cela ne s'applique pas aux gradés ?
- Oh si...
Il glisse sa main entre mes cuisses pour me doigter la moule. Il doit bien se rendre compte à quel point je suis excitée moi-même.

Cela fait déjà un moment que Marc et Milo ne s'occupent pas de sortir les tentes pour les monter. Tandis que je masturbe leur chef, ils s'approchent discrètement de nous. Je viens alors me placer à quatre pattes entre les cuisses du sergent et m'adresse aux deux soldats pour justifier ce qu'ils voient :
- Votre chef aussi à besoin d'être soulagé. Vous êtes très tendus, vous autres, militaires...
Je me penche pour lui sucer le gland.

Malgré le contrôle si fièrement annoncé, comme ses deux soldats, le sergent ne semble pas faire preuve d'une si grande résistance. Il se tend soudain :
- Haaaaan...
Je me redresse et le masturbe lentement jusqu'à ce que le sperme jaillisse lentement, épais et tiède, et qu'il coule sur mes doigts.

Quand il rouvre les yeux, je dis à Laurent :
- Maintenant que vous êtes soulagés tous les trois, vous allez pouvoir reprendre l'entraînement.
Le chef soupire :
- Pfff, ouais. Faut monter ses foutues tentes.
- Et vous avez des sardines spéciales pour ça ?
- Des sardines spéciales ?
- Oui. Je pense que les sardines classiques, dans le sable, ça ne fonctionnera pas...

Laurent se relève et regarde ses hommes :
- Qu'on est cons ! On ne va pas pouvoir monter les tentes !
Marc hausse les épaules :
- Ce n'est pas très grave en cette saison. On peut dormir à la belle étoile.
Je m'assois sur le sable et demande :
- Sergent, vous faisiez comment les années précédentes avec vos tentes ?

- Bah, on n'avait pas de tentes...
- Vous dormiez à la belle étoile ?
- Non. Monsieur et Madame Le Tarin nous laissaient la maison ouverte.
- Ah...
Je ne sais que dire. Je m'imagine déjà avec ces trois militaires dans mon lit pour une nuit endiablée. Mais je ne peux pas prendre cette décision sans en parler à Luc. Je me contente donc de ce "Ah" de constatation neutre, sans implication.

Laurent complète sa réponse :
- Mais comme ils nous avaient dit qu'il y avait des locataires, on s'est dit que monter des tentes sur la plage sera parfait.
Milo propose :
- Et pourquoi ne pas les monter dans le jardin ?
Gardant un air détaché de la conversation, je réponds :
- Je pense que des tentes risquent de dégrader les pelouses...

Marc revient à la charge :
- Il nous reste donc la belle étoile. Moi ça me convient.
Laurent et Milo ne semblent pas emballés par cette idée. Que j'aimerai les inviter à partager la villa avec nous ! Je vois alors mon sauveur arriver : Luc !
- Enfin ! Tu en as mis du temps pour trouver ce tube de crème !

- Oui, il a fallu que je retourne toute la maison, car il n'était pas à sa place habituelle. Mais à ce que je vois, tu en as trouvé ailleurs ?
- Oui. Ces charmants militaires m'ont proposé la leur et ils ont même accepté de me la mettre eux-mêmes.
- Ce sont de vrais gentlemen.
Au sourire et à l'érection de Luc, je sais qu'il était là-haut avec des jumelles et qu'il n'en a pas perdu une miette.

Je me lève pour aller l'embrasser.
- Mon chéri, j'ai très envie de toi.
Il me murmure à l'oreille :
- Je pense bien. Aucun des trois ne s'est dit que tu avais toi aussi des besoins ?
- J'ai eu un petit orgasme...
- J'ai vu...

- Tu me fais l'amour ?
- Non. Pas devant eux. Il faut y aller progressivement. Je te ferais l'amour là-haut tout à l'heure.
- Ah, tu es dur. Moi je voulais les faire saliver un peu.
- Suce-moi dans ce cas...
L'idée est séduisante. Vérifiant que nos trois militaires sont bien au spectacle, je m'agenouille devant Luc et saisit son membre dressé.

Le sergent commente :
- Vous avez là une copine qui n'a pas froid aux yeux...
- Oui, elle résiste difficilement à un sexe en érection.
- Oui, on...
Le chef s'interrompt, craignant d'une mauvaise réaction de Luc s'il apprend que je les aie fait jouir tous les trois.
Luc demande aux gars :
- Mmmmm... J'espère qu'on en vous choque pas ?
Les trois spectateurs sont apparemment ravis de pouvoir rester.

- Oh heu, non. Vous êtes chez vous, vous faites ce que vous voulez. Ce sont nous les intrus... D'ailleurs, peut-être que vous préférez qu'on vous laisse un peu d'intimité.
- Haaaan... Inutile... ça ne nous gêne pas. N'est-ce pas ma chérie ?
Je me détache un peu pour faire "non" de la tête.

Luc en remet pourtant une couche :
- Hann... Je suis impressionné par votre maîtrise, les gars... Mmmmm... À peine un début d'érection...
Un peu gêné, le chef répond :
- Heu, oui... On a un peu l'habitude du naturisme.

- Ah ouais ? Les militaires pratiquent régulièrement... han... le naturisme ?
- Heu, pas vraiment, non. Mais il y a des militaires qui le font. Pas pendant les heures de service, évidemment.
- Et là, vous n'êtes pas en service ?
- Si, mais c'est un peu différent...
Je n'en reviens pas que Luc tienne cette conversation pendant que je lui fais une fellation.

- Mmmm... Doucement ma chérie... Tu vas m'avoir...
Je sors son sexe de ma bouche et lui souris :
- J'y compte bien, figure-toi !

Ma langue sur son gland semble achever le travail. Fièrement, il dit :
- Messieurs, on y est ! Haaaaaaaaan...
Comme si son éjaculation était ce que tous attendaient... En tout cas, sa semence jaillit puissamment et il m'en met tant dans la bouche que je dois en laisser échapper un peu qui s'écoule sur mon menton et sur mes seins.

Quand il a terminé, il se penche et m'embrasse sur le front :
- Bravo, c'était magnifique... Tu auras ta part bientôt, je te le jure.
- J'y compte bien !

Luc se tourne vers les trois militaires qui étaient, semble-t-il, à la limite d'applaudir pour ce qu'ils venaient de voir :
- Messieurs, vous avez besoin d'un coup de main pour monter les tentes ?
Je lui explique la discussion qu'il a manqué :
- Mon chéri, ils ne peuvent pas installer ces tentes sur la plage à cause du sable...

- Ah oui ! C'est vrai ça... Et... (il regarde vers la villa), dans le parc là-haut, ça risque de flinguer la pelouse...
- D'habitude, ils logent dans la villa quand il n'y a pas de locataire, mais là, ils vont devoir dormir à la belle étoile.
- Quoi ? Hors de question ! La villa est grande, il y a sûrement la place de les accueillir tous les trois.
Je me relève et m'étire, victorieuse de cette décision annoncée par Luc.

Le chef s'avance :
- C'est drôlement sympa de votre part !
- Bah, non, c'est tout à fait normal.
- On sera aussi discret que possible.
En voyant son érection, j'espère qu'il ne sera pas trop discret quand même.

Luc se retourne et me fait un clin d'œil. On est apparemment sur la même longueur d'onde. Que je l'aime, mon Luc !
- Bien, messieurs, on vous laisse vous entraîner ? Nous on a à faire là-haut.
- Merci pour votre générosité à tous les deux. Vous nous ferez signe quand on pourra monter.
- Vers l'heure du repas. Mais si vous avez besoin de quelque chose avant cela, n'hésitez pas à venir.

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Angela - épisode 40 : Voyeurs à la piscine
Jeudi 4 août 16:35
Luc et moi sommes remontés à la villa, laissant les trois militaires s'entraîner sur la plage. Quand nous arrivons au niveau de la piscine, Luc me dit :
- Tu as été sage : masturbation et fellation, je pensais que tu aurais été plus...
- Salope ? Tu ne trouves pas que c'est déjà un bon début ? On va les avoir à domicile donc on va pouvoir progresser petit à petit.
- Comme toujours, tu as raison.
Nous nous embrassons.

- Mais du coup, j'ai très très très envie que tu me prennes...
- Mais tu ne voulais pas devant eux tout à l'heure ?
- Non. Je t'ai expliqué. Progressivement...
Il me caresse les fesses, je le masturbe.

- Je t'avoue que ça m'aurait bien excité de te faire l'amour devant ces trois gars costauds.
- Moi aussi... Mais je veux garder le contrôle.
- C'est vrai qu'ils ont l'air bien accros, maintenant. Tu en feras ce que tu veux.
Il se place derrière moi et, tandis que je continue à l'astiquer, il me caresse les seins d'une main pendant que la seconde part explorer entre mes cuisses.

- Trois beaux mecs, on va bien s'amuser...
- Surtout toi...
- Ne me mens pas, je sais que ça t'excite de m'imaginer avec ces trois mecs.
En guise de réponse, il me relève une jambe et d'un élégant mouvement du bassin, il introduit son membre bandé dans ma fontaine.

Dix secondes. On a dû faire l'amour à peine dix secondes. Un bruit de moteur nous interrompt. Luc se retire. Je suis frustrée.
- Qui ça peut être ? Lionel devait repasser ?
- Pas que je sache...

- Johann ?
- Non, il est reparti tout à l'heure avec son stagiaire pendant que je vous espionnais avec les jumelles.
Je récupère mon bikini et commence à vouloir renouer les liens de mon string, avec beaucoup de difficulté dans la précipitation.

Luc s'étonne :
- Qu'est-ce que tu fous ?
- Bah, on ne sait pas qui arrive. Je ne vais pas rester à poil.
- Bah, moi si. On est chez nous.

- Peut-être, mais imagine que ce soit les parents de Lionel ?
- Déjà, ça m'étonnerait. Et ensuite, ils sont au courant que leur villa est la plupart du temps louée par des nudistes.
- Et si c'est un livreur ou un gars qui vient faire un relevé de compteur ?

- Bah merde. Je suis surpris que cela te rende pudique. Je te croyais être devenue cent pour cent exhibitionniste.
- Comme Angela ?
- Quoi ? Mais arrête de tout ramener à Angela !
- Angela restait à poil quand vous vous faisiez livrer des pizzas ?

Je le vois interloqué. Aurais-je touché juste, par le plus grand des hasards ?
- C'est Lionel qui t'a raconté ça ?
- Même pas ! Je me l'imagine, d'après le tableau que vous m'avez dépeint d'elle.

- Bah...Oui. C'est arrivé une ou deux fois effectivement. Mais arrête de te comparer à elle, merde ! Tu es mille fois mieux qu'elle.
Notre conversation qui commençait à tourner à l'engueulade est interrompue par l'arrivée opportune de Lionel, en maillot de bain :
- Salut, la compagnie. De quoi vous parlez qui fasse monter le ton comme ça ?

Soulagée que ce soit Lionel, je me débarrasse du soutien-gorge et descends dans la piscine. Face à mon silence, Luc lui répond :
- Angela. Mais qu'est-ce que tu fous là ? Tu ne m'as pas dit que tu passerais et tu es déjà en maillot ?
- J'ai pu me libérer plus tôt cet après-midi et je suis passé pour vous proposer de vous accompagner faire des courses en ville. En arrivant, j'ai entendu vos voix venant de la piscine, donc je me suis changé à la voiture avant de venir. Je dérange ?
C'est moi qui réponds :
- Bien sûr que non !

Je vois que ça contrarie un peu Luc, mais j'ai bien envie de profiter de l'occasion pour faire l'amour à trois. D'ailleurs, Lionel semble avoir les mêmes intentions :
- Bon, si ça ne vous dérange pas, je vais adopter la même tenue que Luc.
Et il abaisse son maillot, dévoilant une érection déjà tendue.

Luc me rejoint dans le bassin. Je lui demande tout bas :
- Est-ce que ça t'embête qu'il participe ?
- Non, mais j'aurais voulu qu'on clarifie cette histoire avec Angela.
- On verra ça plus tard. Pour le moment, j'ai envie de bites et d'orgasmes.
- Tu es à la bonne adresse, ma chérie.

Lionel nous regarde et me dit :
- Juliette, il ne faut pas que tu penses à cette histoire. C'est du passé. Et si tu regardes bien, tu verras que, si nous bandons Luc et moi, c'est pour toi et pas pour le souvenir d'Angela.

- J'espère bien ! Cela me ferait mal de m'occuper de vous alors que vous pensez à une autre.
Je repousse Luc contre le rebord de la piscine et je saisis sa tige raide pour le masturber sous l'eau.
- Oh, ma Juju... Que je t'aime.

- Moi aussi...
Nous nous embrassons. Lionel vient au-dessus de nous :
- C'est pas bientôt fini les roucoulades ? On est là pour le sexe, non ?

Luc le gronde :
- Je pense qu'un minimum de romantisme ne nuira pas.
Lionel descend nous rejoindre. Tous les deux bandent parfaitement. Je leur masse les testicules :
- Bravo les gars, je compte sur vous pour me donner un bel orgasme.

- Un seul ?
- Oui, mais un gros !
- Mais on est deux...
- Il va falloir vous synchroniser.
Lionel commence à abaisser mon string. Je le fais patienter :
- Attends un peu... Je veux d'abord que vous soyez au top.

Je m'agenouille et prends le membre de Luc en bouche. Le salaud est bien excité, car je le trouve particulièrement gros. Lionel attend son tour en se posant des questions sur la suite :
- Du coup, si j'ai bien compris, elle envisage quoi ?
- Bah, je crois que c'est un sandwich, non ?
Bravo, les gars, pour votre perspicacité.

- Mais sans précipitation, si j'ai bien compris...
- Voilà. Juju sait ce qu'elle veut, mais la manière dont on y arrive n'est pas programmée. Laissons-nous porter...
La sagesse de Luc m'incite à lui donner le meilleur de ma langue dans cette fellation, mais ce serait dommage de le faire éjaculer prématurément.

Je les abandonne temporairement.
- Qu'est-ce que tu fais, Juliette ?
- Laisse-la faire et profite.
Je sors de l'eau et retire mon string.

Une fois nue, je les regarde. Lequel aimerai-je avoir devant et lequel derrière ? Peut-être le moins gros derrière et, pour le moment, à ce que je vois, Luc bande beaucoup plus que Lionel. Luc s'amuse de me voir réfléchir :
- Tu fais ton marché, ma Juju ?
- Exactement !

Je descends les rejoindre et viens contre Luc qui semble ravi :
- Mmmm, je vais pouvoir profiter de tes seins.
- De les voir. Mais Lionel pourra les caresser, même de derrière.
Il m'attrape à la taille et me soulève. Presque naturellement, je retombe sur son sexe tendu sur lequel je m'enfonce presque jusqu'à la garde.

Quel bien ça fait se sentir cette grosse queue aller et venir en moi. Après toute cette excitation avec les militaires sur la plage, j'avoue que je me sens presque en état de manque ! Les mains sous mes fesses, Luc me maintient tandis qu'il me pistonne de son dard en donnant d'amples coups de reins.

J'entends Lionel dire derrière :
- Si je comprends bien, je ferme la marche...
Je tourne la tête pour le regarder et me demande si c'était un bon choix : le sexe de Lionel me semble maintenant tout aussi gros que celui de Luc.

- Viens à côté pour le moment Lionel...
Je sens sa déception :
- Ah ? Je vais avoir du mal à pouvoir participer à ton méga-orgasme...
Dès qu'il est à côté de nous, je tends le bras pour saisir son membre turgescent et je le caresse lentement.

Luc le rassure :
- Ne t'inquiète pas. Elle te prépare, c'est tout.
Sauf qu'à mon goût, Lionel est déjà bien assez gros pour mon petit trou. J'hésite presque à le faire éjaculer pour qu'il débande un peu et qu'il me sodomise au second service.

Non. Ce serait dommage. Et puis, on l'a déjà fait. Je crois. Je ne sais plus trop... Tant de sexe, ces derniers jours. Mon cerveau s'embrume. Et Luc qui me pistonne tranquillement. Je suis prête :
- Allons-y...
Mon chéri a bien entendu mon message. Il me soulève et, tout en me gardant emmanché à lui, il nous hisse sur le bord de la piscine. Dès qu'on est installé, je me rends compte que dans l'eau c'est lui qui menait la danse, mais que là, il est coincé et que c'est à moi de diriger. Je me cambre et commence à monter et descendre. De voir mes seins ballotter, il ne résiste pas et se redresse pour m'embrasser les mamelons.

Lionel ne perd pas de temps à sortir de l'eau, mais au lieu de venir directement là où il est attendu, il vient devant moi et me présente sa belle queue à sucer. Gourmande comme je suis, je ne lui refuse pas cette petite gâterie. Comme je me redresse pour lui happer le gland, la tige de Luc s'échappe et quand il replonge en moi...
- Oooooooh !
C'est pour me la mettre dans le petit trou. Malgré sa taille conséquente, ça passe plutôt bien et je parviens à sucer Lionel en même temps.

Après quelques secondes, ce dernier manifeste son impatience en s'extirpant de ma bouche :
- C'est bon, je suis prêt.
Il semble que Lionel est impatient. Quand il se met en position, il constate que la place est déjà prise par Luc :
- Eh Luc ! Tu déconnes !
Luc rigole et s'extrait de mon anus pour laisser la place à son copain. Dix secondes plus tard, les queues de mes deux amants coulissent en moi.

- Oh putain, les gars... c'est bon ! Ouiiiii...
- Han... Oui, Juliette. C'est étroit, mais j'adore !
- Oooh... Mmmm...
Luc ne dit pas vraiment grand-chose, tout occupé qu'il est à me sucer les tétons l'un après l'autre.

Le bal s'accélère. Luc donne des coups de reins pour s'enfoncer en moi tandis que Lionel me pilonne. Luc se synchronise avec lui, craignant sans doute que, en étant désynchronisés, je lui échappe quand Lionel me pousse vers l'avant. Le plaisir monte :
- Ooooh... Les garçons, ouiiii... Je vais venir...

Ils se déchaînent alors tous les deux, accélérant la montée d'un orgasme d'une intensité de sept sur l'échelle de Richter. Lionel s'interrompt. Je sais qu'il y est aussi et qu'il temporise. J'y suis ! Les spasmes du plaisir envahissent mon ventre et mes cuisses. Lionel ne peut plus se retire et éjacule généreusement dans mon cul tandis que Luc atteint enfin lui aussi la jouissance et déverse sa semence chaude dans mon ventre. Nos râles de plaisir et nos grognements de jouissance se mêlent dans un concert improbable et pas réellement mélodieux.

Nous mettons quelques minutes à reprendre nos esprits, restant emboîtés les uns aux autres. Lionel est le premier à se relever, me libérant. Je me dégage de Luc :
- Mince, les gars... ça coule de partout !
- Va dans la piscine, me dit Lionel, ce sera le plus simple pour te nettoyer.
Je lui obéis (après tout, c'est sa piscine) et je me remets à l'eau pour me frotter l'entrejambe.

Luc vient me rejoindre :
- Alors ?
- Tu ne m'avais pas menti : vous m'avez donné un orgasme magistral.
Il me caresse tendrement le sexe.

Lionel rigole :
- Il faut dire qu'on est sacrément bien entraînés.
- Grâce à Angela ?
- Ah , ça suffit, Juliette ! me répond Lionel, agacé de ma réponse. Arrête de tout ramener à cette fille.
- Je plaisantais, rassure-toi.

Luc demande à Lionel :
- Tout à l'heure, Lionel, tu as évoqué nous accompagner faire des courses ?
- Oui, vous avez besoin ?
- Oui. Je vais t'accompagner, mais on va laisser Juliette se reposer. Elle l'a bien mérité.

- Ah ! Voilà de vrais gentlemen, merci Luc !
Luc retourne à la villa pour se rhabiller tandis que Lionel fait de même à sa voiture. Je m'assois au bord de la piscine, les pieds dans l'eau fraîche. Après l'activité intense que je viens d'avoir, cela me fait un bien fou.

Quand j'entends la voiture partir, je me dis que d'être enfin seule n'est pas si désagréable. Même si j'adore la débauche de sexe dont nous profitons depuis le début de nos vacances ici, me retrouver sans homme est une première et cela me plaît assez. Je me laisse glisser dans la piscine avec l'idée de nager un peu pour me délasser.

S'il y a une nage que j'affectionne particulièrement, c'est bien le dos. Avec les oreilles dans l'eau, on se déconnecte des bruits extérieurs. L'eau nous porte tel un doux matelas et quelques battements de jambes seuls parviennent à nous maintenir à la surface. Les yeux fermés, je profite de cette sensation de plénitude à me retrouver entre ce coussin d'eau fraîche et les tièdes rayons du soleil qui caressent ma peau.

Une piscine quand on est au bord de la mer, quel luxe ! Certains diraient que c'est superflu puisqu'il y a déjà la mer pour se baigner, mais, avec les vagues, ce genre de moment de détente est impossible et seule une piscine peut offrir cela. Mon Dieu ! Si Lionel et Luc étaient là, je suis certaine que cette scène leur ferait de l'effet. Même les yeux fermés, je sais que mes seins flottent à la surface de l'eau, tels deux îles surmontées de deux petits menhirs. Car je sens que mes tétons sont bien raides.

Combien de temps auraient-ils tenu avant de venir me rejoindre pour me caresser ? Et combien de temps aurais-je moi-même tenu si j'avais vu leurs érections suscitées par la situation ? Il est certain que je profite mieux de ce moment de détente seule que si Luc et Lionel avaient été présents. Je me redresse et m'essore les cheveux.

Je crois que je vais installer une chaise-longue à l'ombre et m'offrir une petite sieste en attendant le retour de mes deux hommes. Alors que je m'apprête à sortir de la piscine, j'entends une voix derrière moi :
- Si vous avez besoin, on peut vous passer de la crème...

- Qu'est-ce que vous faites là ?
- On s'entraîne à l'escalade.
Je constate qu'ils ont remis leurs shorts de bain, mais que l'entrejambe est déjà joliment déformé.
- Vous avez remis vos maillots ?

- Oui. Le chef nous dit de les enfiler en arrivant en haut, on ne sait jamais sur qui on peut tomber.
- Et vous êtes là depuis longtemps ?
Milo répond :
- Assez pour vous avoir vue nager. Vous êtes une vraie sirène.
- Merci...

Marc ajoute :
- Je suis arrivé un peu avant lui et moi je vous ai vu avec Luc et un autre gars.
Nous avions donc un voyeur pendant nos ébats...
- Il s'agit de Lionel, le fils des propriétaires. Il se trouve que c'est un ami d'enfance de Luc.

Marc me fait un clin d'œil :
- Ah d'accord. Cela explique sans doute que vous soyez si proches tous les trois.
- Mais, dites-moi, votre chef ne va pas s'inquiéter de ne pas vous voir redescendre ?
Milo s'assoit sur le bord de la piscine et Marc l'imite :
- Il fait son rapport téléphonique avec sa hiérarchie à la caserne. En général, ça dure bien vingt minutes...

De toute évidence, ils veulent rester se rincer l'œil et peut-être qu'ils espèrent d'autres faveurs de ma part. M'ayant vu me faire prendre en sandwich, Marc s'imagine sans doute que je serai prête à renouveler l'expérience avec deux militaires. J'avoue que l'idée ne me déplairait pas, mais j'estime que ce serait aller trop vite. Je tiens à poursuivre ma stratégie de progression.
- Vous voulez vous baigner un peu ?

Milo regarde Marc comme s'il attend que celui-ci réponde. Voyant qu'il sourit bêtement en regardant ma poitrine qui flotte à la surface de l'eau et que je ne prends pas la peine de dissimuler, il se décide à répondre :
- Non, merci. On se pose juste un peu avant de redescendre.
- Vous avez tort, c'est très agréable.
Je ressors du bassin par le côté opposé, espérant que la vue de ma croupe les fasse bander un peu plus.

- On n'en doute pas, mais c'est aussi très agréable de vous regarder vous baigner.
- Et qu'est-ce qui est agréable : le fait que je me baigne ou le fait que je sois nue ?
- Les deux ! répond aussitôt Marc. On s'est laissé prendre au chant de la sirène.

- Alors, si la sirène a maintenant le pouvoir de vous contrôler, la sirène trouve particulièrement injuste que sa nudité soit contemplée par deux personnes qui sont habillées.
- Ah oui, dit Milo, c'est vrai que nos caleçons de bain sont peut-être inutiles.
- Il est encore temps de vous en débarrasser...

Les deux garçons se lèvent et retirent leurs maillots, sans se formaliser que je sois à les regarder en me léchant les lèvres. Ils sont apparemment ravis de pouvoir exhiber leurs virilités et surtout de pouvoir constater l'effet que ces belles érections ont sur moi :
- Êtes-vous satisfaite ? demande Marc.

- Très ! Et c'est très agréable de voir que vous êtes totalement sous le charme du chant de la sirène.
Les garçons sourient et me disent :
- Et nous répondrons au moindre de ses désirs.
- Mmmmm, voilà qui est intéressant. Mais attention, je peux avoir une imagination débordante.

- Il n'y a que si nous étions attachés à un mât que nous pourrions résister.
Ces gros bras connaissent leurs classiques, c'est agréable de constater que ce ne sont pas que des muscles.
- Ne me donnez pas ce genre d'idée ! J'avoue que vous attacher me plairait beaucoup.
- C'est à vous de voir : soit nous faire agir à votre guise, soit agir sur nous à votre guise...

- Dans les deux cas, je vous contrôle...
- Dans la limite du raisonnable.
Je sens qu'ils commencent à avoir un peu peur de ce que je pourrais leur demander. Je m'assois au bord de l'eau pour demander :
- Est-ce que ce serait raisonnable de vous demander de vous masturber ?

- Avec plaisir ! répond aussitôt Milo avec enthousiasme.
Chacun prend son sexe en main et commence à se caresser lentement. Je trouve cela magnifique. Profitant de la situation, je tente ma chance :
- Et si la sirène vous demande de vous masturber l'un l'autre ?
Je les vois se regarder, un peu gênés. Je pense avoir touché un point sensible.

Je redescends dans la piscine (être dans l'eau est plus naturel pour une sirène) et les rassure :
- Détendez-vous. Je vois que vous n'êtes pas très portés sur les relations homosexuelles.
- Désolé, dit Marc. Personnellement, je préfère effectivement profiter de la sirène que de mes collègues marins.
- Dommage, car ça m'aurait bien excitée de vous voir...

- Mais vous avez peut-être d'autres envies, non ? demande Milo.
- Oui, j'avoue que j'ai quelques idées vous concernant. Asseyez-vous sur le bord de la piscine.
Le chant de la sirène fonctionne parfaitement et les garçons obéissent sans discuter.

Je me redresse, ravie de les avoir à ma merci :
- J'ai beau être une sirène perverse, je ne suis pas dénuée de compassion...
- Ce qui signifie ? s'inquiète Marc.
- Que je vais vous soulager pour que vous puissiez poursuivre votre entraînement sereinement.

Je les vois sourire tous les deux. Je ne vais pas pouvoir m'occuper de tous les deux en même temps, je dois faire un choix. Je m'approche de Milo, plus timide que Marc, et vient m'accrocher à sa cuisse tandis que je prends en main son membre tendu :
- Ce programme vous convient, beau marin ?

- Oui... belle sirène.
À côté, Marc commence à se masturber. Je l'arrête aussitôt :
- Stop ! Vous n'avez pas voulu masturber votre camarade tout à l'heure, donc la sirène vous interdit de vous branler vous-même.
Marc rigole, mais obéit, lâchant son membre dressé. Je descends un peu dans l'eau entre les cuisses de Milo et, tout en le masturbant lentement, je lui suce les testicules.

Milo semble bien apprécier ce traitement. Qui n'aimerait pas ? Quand je pense que son érection est à son maximum, je me redresse et prends son gland en bouche. Je prends alors conscience qu'il est particulièrement long et gros tant je peine à me le glisser entre mes lèvres. Ma fellation est laborieuse de par la taille de son engin, mais cela s'achève vite. Un râle puissant m'alerte de l'imminence de l'éjaculation et, l'instant d'après, un flot de sperme chaud envahit ma cavité buccale et je suis contrainte d'avaler au fur et à mesure pour ne pas étouffer.

Quand je le libère enfin, Milo s'écoule en arrière sur le bord de la piscine :
- Haaaaa... Quel pied !
Je me redresse et me tourne vers Marc :
- Vous êtes prêt ?
- Je n'ai rien perdu en vigueur à vous voir dévorer mon camarade.

J'avoue que son érection semble aussi imposante que celle de ma précédente victime. Quand je m'approche de lui, il se met debout dans l'eau, me présentant son membre turgescent à hauteur de visage. Je n'ai même pas besoin de me pencher pour le prendre en bouche. À peine ai-je commencé ma fellation que je le sens se tendre. Serait-il déjà prêt à éjaculer ? Non, je vois le visage rigolard de Milo à côté et comprends que nous sommes observés. Sans quitter ma proie, je tourne le regard et découvre qu'il s'agit du chef.

Laurent se tient derrière moi. Il est nu et en érection. Je suis rassurée qu'il ne semble pas fâché et que ses deux soldats ne subiront peut-être pas de punition pour avoir fait cette pause durant leur entraînement d'escalade. J'interromps cependant ma tâche :
- Désolé, sergent. Ils n'y sont pour rien... C'est moi qui les ai charmés.
- Héhé ! Je vois ça... Le chant de la sirène, c'est cela ?

Je souris :
- Oui, c'est exactement cela.
- Et j'ai l'impression que Milo a déjà été victime de ton pouvoir.
- Oui, il n'a pas pu résister. Mais à dire vrai, mon idée était surtout de les soulager pour qu'ils puissent reprendre leur entraînement.

Laurent hoche la tête :
- Oui, je vois que c'était totalement désintéressé de votre part.
- Totalement.
Marc se lève :
- Et donc ? J'ai le droit d'être soulagé quand même ?

Le sergent s'agace :
- Marc, je crois que la pause a assez duré. Combien d'ascensions avez-vous faites depuis vingt minutes ?
- Une seule, chef !
Marc baisse la tête et Milo se relève pour montrer qu'il encore opérationnel pour l'entraînement.
Je me sens un peu honteuse qu'ils se fassent disputer par ma faute et je sors du bassin.
- Ne soyez pas trop dur avec eux, c'est surtout de ma faute.

- Non. C'est à eux de se maîtriser. Imaginez que l'ennemi déploie une armée de sirènes à votre image !
- Ce serait une bonne idée : on ferait l'amour et plus la guerre.
- Sauf que l'objectif serait d'anéantir nos soldats pour faire main basse sur nos territoires et nos ressources.
- Vous ne me pensez quand même pas au service de l'ennemi, sergent ?

- Nous devons nous préparer à tout dans l'armée. Vous pourriez être une espionne, voire un assassin dissimulant une lame dans son dos, prêt à nous égorger dès qu'on a baissé la garde.
- En ce qui concerne vos deux soldats, je peux vous assurer que la garde est restée vaillamment levée. Et pour ce qui est d'une arme dissimulée dans mon dos, je vous laisse vérifier par vous-même...
Je leur tourne le dos, m'appuyant à un arbre, exhibant ma croupe.

Laurent peine à avaler sa salive :
- J'en conviens, aucune arme dissimulée.
Marc rigole :
- Attention, chef. Il est possible que Juliette soit elle-même une arme, capable de nous épuiser en nous faisant l'amour jusqu'à la mort !
Milo ajoute :
- Moi, ça me semble une belle manière de mourir pour mon pays.
Nous rigolons tous les quatre.

Puis le sergent leur rappelle qu'il est responsable de la discipline de l'unité :
- Allez hop ! Redescendez au bas de la falaise vous entraîner à l'escalade, bande de bons à rien.
Obéissants, les deux soldats le précèdent vers l'escalier pour redescendre sur la plage. Quand Laurent arrive en haut de l'escalier, il se retourne vers moi et me dit :
- Si ça vous tente d'essayer l'escalade avec les gars, on pourra vous donner quelques conseils.
- Dans cette tenue ?

- Les garçons vont sûrement se remettre à l'aise en bas, donc c'est vous qui voyez.
L'idée est séduisante et je décide de leur emboîter le pas.
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Angela - épisode 41 : Escalade
Jeudi 4 août 18:05
Une fois au bas de la falaise, je jauge la hauteur et les prises potentielles pour l'ascension :
- Ce n'est pas dangereux ?
Laurent rigole :
- Si on n'y connaît rien et qu'on se précipite. Mais là, c'est du gâteau. Vous allez voir.
- Sans équipement ?

- Oui. À poil.
- Aucun risque de se blesser ?
- Quelques règles simples : on observe les prises éventuelles, on prépare le chemin qui semble le plus sûr, on teste chaque prise et chaque appui, on se prépare aux prises et aux appuis suivants. Vous n'avez pas le vertige ?

- Non. Mais je ne suis quand même pas très rassurée...
- Franchement, ici, ce n'est pas une vraie falaise. Même les mômes doivent y grimper sans se poser de questions. Vous observez bien les gars et ça ira. Et ils garderont aussi un œil sur vous.
- Vu ma tenue, ça me semble évident...

Laurent interpelle Marc :
- Tu passes en premier ?
- Ok. Juliette, il faudra regarder surtout mes mains et mes pieds. Pas trop mes fesses...

- Hihi, ce sera peut-être le plus dur...
Laurent soupire :
- Essayez de le faire sérieusement, ça évitera un accident. Milo montera après vous, comme ça il pourra vous conseiller si vous êtes mal prise.
Je me tourne vers Milo et vois qu'il est ravi de passer derrière moi.

Ce que je n'ai pas dit, c'est que j'ai fait deux années d'escalade quand j'étais au lycée et je me débrouillais plutôt bien. Là, c'est surtout le fait d'être à poil qui me semble poser problème. D'un autre côté, cela m'excite drôlement de voir les garçons monter en tenue d'Adam, donc il est logique que je sois moi-même en tenue d'Eve. Et je ne regrette pas le spectacle en voyant les fesses de Marc pendant qu'il commence à monter.

À le voir faire, je prends effectivement conscience qu'il s'agit davantage d'un amas de gros rochers qu'une paroi verticale avec des prises disparates. Je me tourne vers Laurent :
- Sergent, je dois attendre un peu ?
- Non, vous pouvez vous lancer.
Je regarde en l'air et entame l'ascension.

Au-dessus, Marc a atteint un rocher formant une petite plateforme sur lequel il peut faire une pause. Il se retourne et me regarde monter vers lui :
- Vous vous débrouillez bien.
- Je vous ai bien observé.
- J'ai plutôt l'impression que vous avez déjà pratiqué l'escalade.
Je marque une pause. S'il se rince l'œil à regarder mes seins, moi je me régale de voir son sexe qui, bien que pas vraiment en érection, est tout de même bien gonflé.

Quand j'arrive à son niveau, il reprend son ascension :
- Vous ne m'attendez pas ?
- Non. Il faut qu'on se suive, sinon on peut se gêner.
J'admire ses fesses musclées et son sexe alors qu'il progresse.

Marc se doute que je joue les voyeuses :
- Et concentrez-vous sur vos prises...
La prise qui m'intéresse le plus est en train de s'éloigner. Alors que je me rince l'œil allégrement, Milo, en bas, profite lui aussi du spectacle de mes fesses et sans doute de bien plus encore :
- Il faut avancer, Juliette.

- Vous pouvez me dépasser si je gêne.
- Non, je reste derrière pour éventuellement vous récupérer en cas de chute.
- Cela est fort prévenant de votre part.

Je m'apprête à grimper pour suivre Marc, mais un détail retient mon attention sur Milo :
- Oh, mais je vois que vous bandez, Milo !
- Désolé, avec ce que je vois, c'est difficile d'empêcher cette réaction.
Son membre est magnifiquement dressé.

Alors que j'escalade les rochers, je ne peux m'empêcher de le regarder progresser avec son sexe tendu :
- Pas trop difficile de grimper avec votre membre qui dépasse ?
- Je n'ai effectivement pas vraiment l'habitude, mais je me débrouille. Vous devriez plutôt regarder vos prises au-dessus.
- Certes, mais il faut bien que je voie où je pose mes pieds aussi.

- Et cela vous donne l'occasion de vérifier si vous me faites toujours de l'effet.
- Oui, j'avoue que c'est agréable de constater que je vous fais réagir ainsi.
- Réaction naturelle. Votre présence ajoute une difficulté de plus à l'ascension.
- Ah oui ? Vous considérez que ce que vous voyez est une difficulté ?
Je relève une jambe au maximum, sachant que j'expose mes fesses et ma moule.

- Ah, Juliette ! Vous ne me facilitez pas les choses... La difficulté est de me concentrer sur mes prises alors que mon regard est ostensiblement attiré vers le charmant spectacle de votre croupe.
- Et cela vous fait bander magistralement.
S'il n'y avait pas les dangers de la chute et des rochers, je me laisserais volontiers tomber sur Milo pour qu'il me sauve et m'empale sur son pieu.

Et je dois alors reconnaître que la concentration est essentielle pour l'ascension. En voulant passer au-dessus d'une crevasse plus large que je ne le pensais, je me retrouve à faire le grand écart, coincée avec les jambes écartées.
- Mince ! Je suis bloquée...
Milo lève la tête. Il doit avoir une vue exceptionnelle sur mon coquillage exhibé.

Après quelques secondes à profiter du spectacle, il finit par me conseiller :
- Vous pouvez vous remettre dans la position précédente ?
- Non. Je me suis lancée et si je retire mon pied, je vais tomber.
- Ne bougez pas. Je monte.

En peu de temps, Milo est juste en dessous de moi. J'ai un peu honte, car, dans la position où je suis coincée, je lui expose vraiment franchement ma moule et mon anus. Il semble rester en admiration quelques secondes avant de me dire :
- Bon, vos prises sont bonnes ?
- Oui. Je ne risque pas de glisser, mais impossible de bouger.
- Même pas un peu ?
Il s'amuse à contrôler ma stabilité en me glissant un doigt dans la fente.

- Oooooh, Milo ! Vous exagérez...
Je dois manquer de conviction, car il se met alors à me masturber lentement.
- Milo... Mmmmmm... Vous pensez que... Oooooh... que ça va m'aider ?
- Je ne pense pas, mais l'opportunité était trop belle de vous faire mouiller.
Quand il retire son doigt, je sens effectivement un filet de cyprine s'échapper.

Milo a la bouche grande ouverte juste en dessous pour recueillir le nectar.
- Mmmmm, votre jus est divin, Juliette.
Il se hisse alors entre mes cuisses, m'obligeant à abandonner une prise, remplacée par un appui sur ses épaules. Ses mains puissantes sur ma taille me soulèvent et me déposent un peu plus haut sur la petite plateforme que j'avais visée. Il m'y rejoint. Je me love alors contre lui et l'embrasse, tout en masturbant son érection, à la fois pour le remercier de m'avoir sauvée, mais aussi parce que j'en avais grande envie.

Soudain, il abandonne ma bouche :
- Attends ! Je...
Je crois que j'ai mis trop d'entrain à le masturber : il écarte ma main, mais il est déjà trop tard. Son sexe expulse une première salve de sperme qui va se perdre plus bas dans les rochers.

D'autres suivantes, chaotiques : certains sur mes bras, d'autres sur son ventre. Cela m'amuse qu'il se soit laissé aller si vite. Je l'abandonne en rigolant, reprenant l'ascension vers Marc. Milo semble croire que j'ai eu peur de ce qui vient de se passer :
- Juliette, excusez-moi ! Je suis désolé...
- Il n'y a pas de mal. C'était rigolo, mais il faut bien monter, non ?

Il semble surpris que je puisse si vite reprendre l'escalade :
- Heu... Oui, bien sûr. Mais, faites attention à éviter les grands écarts.
- Ou pas ! C'était plutôt plaisant que vous veniez me sauver.
Il me fait presque une révérence :
- À votre service.

Au-dessus, Marc semble s'impatienter
- Dites donc ! C'est mou en bas, ça n'avance pas très vite.
Nous a-t-il vus nous embrasser ? A-t-il vu Milo éjaculer ? Quand il dit que c'est "mou", fait-il référence à l'état actuel de la queue de son camarade ? Sans attendre Milo, je poursuis l'enchaînement de mes prises et arrive au niveau de Marc pour constater qu'il bande lui aussi magistralement.

Quand j'arrive à son niveau, il me sourit et se pousse sur le côté :
- Vous vous débrouillez bien, Juliette. Mieux que Milo apparemment...
- Je lui ai donné un peu d'émotion. Il faut qu'il reprenne ses esprits.
- Allez, passez devant. Milo est trop bas pour vous sécuriser.
- Merci.
Je passe au-dessus de lui et je remarque qu'il en profite pour se rincer franchement l'œil au spectacle que je lui offre.

- C'est moi qui vous fais bander comme ça ?
- Évidemment ! Quoi d'autre ? Mais vous le savez parfaitement. D'ailleurs, vous aussi ça vous excite ?
Je m'arrête pour l'attendre :
- Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?
- Votre miel qui coule doucement...
Et il me glisse lui aussi un doigt dans la moule.

- Dites-moi, vous pensez sérieusement que ça me sécurise de me mettre un doigt ici ?
- Heu, excusez-moi, c'était trop tentant...
- Oh, ne vous excusez pas. Je voulais seulement vous signifier qu'avec un doigt il y a trop de jeu et qu'il faudrait quelque chose de plus adapté au niveau taille... plus conséquent.
Fort heureusement, bien que militaire, Marc n'a pas le QI d'un bulot et il comprend ce que j'attends de lui.

En bas sur la plage, je vois le sergent Laurent faire de grands gestes et crier :
- Eh Oh ! Là-haut ! J'ai l'impression que ça ne monte plus beaucoup !
Il voit ce que nous faisons et se dit que ça ne fait pas tout à fait partie de l'entraînement. Chose amusante, c'est Milo qui, plus bas, prend la remarque pour lui. D'où il est, il ne nous voit pas. Il répond :
- Oui, chef. Je faisais une pause, je repars.

Et malgré l'exhortation de son chef, Marc a engagé son membre tendu dans ma ruche gorgée de miel (pour filer la métaphore qu'il a entamée). Tandis qu'il commence à aller et venir, il s'inquiète que je sois si mouillée :
- Milo aussi, vous a... ?
- Aaaaah... Milo m'a sauvée. Il m'a doigté la moule... Ahhhh... et je l'ai branlé un peu... Mmmmm... Mais il ne m'a pas prise en levrette...

- Et... Hhhhh... Et il a éjaculé...
- Oui... Ahhhhh... Sur ma main... Aaaaah...
Je plonge une main entre mes cuisses et caresse les testicules de mon compagnon de cordée :
- Mmmmh... Vous aussi ? Vous allez éjaculer ?

Marc ne me répond pas, mais ses assauts de plus en plus frénétiques et ses râles de moins en moins discrets me laissent penser qu'il va bientôt s'épancher. En effet, alors que mon propre orgasme me gagne, je sens plusieurs jets puissants de semence envahirent mon ventre. Nous restons une bonne minute ainsi avant que Milo n'arrive et ne commente :
- Eh ben, vous ne vous emmerdez pas tous les deux.
Marc se retire et je sens son sperme s'écouler de ma fente béante.

Je rigole :
- Au moins, avec une si bonne prise, je ne suis pas tombée.
Milo rigole en hochant la tête :
- Vous êtes incroyable Juliette. Terminons l'ascension avant que le chef ne s'agace.
En moins d'une minute, nous arrivons en haut de la falaise dans la végétation un peu sauvage que Johann laisse pousser sans contrainte.
- Et voilà, nous avons réussi.

Marc soupire :
- Nous, il va falloir qu'on remette ça.
Milo ajoute :
- Et j'ai le sentiment que le chef va nous contraindre à essayer l'autre flanc de la falaise, de l'autre côté.
Il dit ça comme si c'était une tragédie. J'essaye de dédramatiser :
- Allons, les gars. Vous êtes là pour vous entraîner et... la journée n'est pas terminée.

- Vous avez raison. Merci, Juliette, pour cette belle ascension.
- De rien les gars. Pendant que vous allez trimer, moi je vais parfaire mon bronzage.
Je saisis un flacon d'huile solaire pour m'en étaler sur la peau. Aussitôt, Milo me propose son aide :
- Je peux le faire, si vous voulez !
- Merci, votre chef vous attend en bas. Je devrais y arriver seule.

Un peu déçus, les deux garçons repartent vers l'escalier, non sans se retourner plusieurs fois pour profiter du spectacle que je leur offre. Je constate au passage qu'ils se sont remis à bander tous les deux. Quelle salope je suis ! Angela est-elle allée aussi loin ? Je me demande même si je n'ai pas atteint en moins d'une semaine un palmarès supérieur au sien ! Mais qu'est-ce que je dis, moi ? Tout cela n'est pas un concours.

S'il n'y avait pas eu le fantôme d'Angela à planer au-dessus de Luc et Lionel depuis ces quelques jours, est-ce que j'aurais osé faire tout ce que j'ai fait ? Je ne me contente pas de coucher avec Luc et Lionel en même temps, j'en suis venue à m'offrir au jardinier, à un stagiaire ou à un (petit) groupe de militaires. Est-ce à cause d'Angela que je suis devenue accro au sexe ?

Je me découvre moi-même et je découvre également un autre Luc. Un Luc pervers qui aime me voir baiser avec d'autres, qui me laisse réaliser n'importe lequel de mes fantasmes. Quelle nana ne rêverait pas d'avoir un mec aussi à l'écoute de ses désirs ?
Je m'allonge sur la chaise longue, offrant ma peau huilée aux rayons brûlant du soleil.

Après quelques minutes, je sens mes cuisses chauffer. Je ne me suis sans doute pas assez attardée sur cette partie et je risque de le payer cher si je prends un coup de soleil. Je reprends donc le flacon d'huile de protection et j'écarte les cuisses pour bien huiler l'intérieur, évidemment une partie plus fragile puisque plus rarement exposée aux UV.

Et le contexte ne m'aide pas. Excitée par mes militaires que j'ai bien chauffés et même expérimentés, j'ai encore une folle envie de jouir. Mes mains sur mes cuisses dérivent rapidement et mes doigts trouvent tout de suite la voie à suivre. Deux doigts s'enfoncent dans la fente. Je ne retiens pas mes gémissements, je ne me préoccupe même pas de savoir si un jardinier ou un soldat pourrait jouer les voyeurs, cachés derrière un buisson.

Je pense au petit stagiaire du matin dont j'ai déjà oublié le nom, à mes trois militaires, à Luc à Lionel, à Johann et à Bernard. Tout ça ! Du coup, avec un tel tableau de chasse, je mérite bien un troisième doigt. Et c'est ce troisième doigt qui m'amène à l'orgasme.

Oh, j'aurais évidemment préféré que ce soit les doigts d'un autre, voire un membre tendu, qui me donnent cet orgasme, mais quand on est excitée au point où je le suis, on fait avec ce qu'on a. Je me dis que cela devrait me calmer et me remettre en jambes pour quand les gars remonteront de leur entraînement.

Et c'est sur ce fantasme qui reste à construire que je finis par m'assoupir sur ma chaise-longue.
Je suis réveillée par le bruit du moteur de la voiture : Luc et Lionel sont de retour. Par jeu, je m'amuse à garder les yeux fermés pour leur faire croire que je dors. Je les entends chuchoter, aussi discrètement que des mômes :
- Pas de bruit ! Elle dort. On va lui faire une surprise.

Je sens qu'on m'écarte les cuisses et on pose une main sur mes yeux. La voix douce de Luc me dit à l'oreille :
- Dors, ma belle. Garde les yeux fermés. On va s'occuper de toi.
Il retire sa main. Je garde les yeux fermés et je souris, marquant mon accord muet. Je sens alors des mains sur mes cuisses qui écartent mes lèvres et une langue qui vient taquiner mon clitoris.

Qui est mon bienfaiteur ? Je joue le jeu de rester aveugle. Cela m'excite beaucoup. L'homme se redresse. Luc dit :
- Elle mouille déjà drôlement...
- Pas sûr que ce ne soit que de la mouille. Nos amis militaires se sont peut-être occupés d'elle.
- Ce ne serait pas surprenant.
Silence. Je sens un doigt me pénétrer et aller et venir doucement.

Puis, une bouche se pose juste au-dessus et reprend contact avec mon bouton d'amour.
- Ooooooh...
Un doigt vient se poser sur ma bouche, me signifiant de garder le silence. Je commente malgré tout :
- Je veux bien faire semblant de dormir, mais ce sera compliqué de réprimer l'expression sonore de mon plaisir... Mmmmm...

Pas de réponse. Le jeu est donc que je ne sache pas qui s'occupe de moi. C'est ce qu'on pourrait appeler un "blind-test", sauf que là il ne s'agit ni de chanson, ni de dégustation, c'est donc un blind-test tactile. Et c'est bien de toucher dont il est question puisque mon amant me masturbe désormais avec deux doigts.

Et je n'arrive pas à déterminer s'il s'agit des doigts de Luc ou ceux de Lionel. Je tente ma chance pour voir comment mon bienfaiteur va réagir si je l'interpelle :
- Oh oui ! Lionel, c'est si bon... ne t'arrête pas !

La masturbation se poursuit, divine, sans que mon galant amant ne réagisse. Impossible de savoir qui me donne du plaisir. Quelques secondes après, les doigts ressortent. Peu après trois nouveaux doigts s'insèrent en moi. Quel délice ! Mais impossible de déterminer si c'est le même gars. Un des doigts est-il plus froid que les autres ? Cela serait un indice. Mais mon amant pourrait aussi changer de main pour brouiller les pistes. Je pense quand même qu'il s'agissait d'une main gauche précédemment et que là c'est une main droite.

Donc ça ne m'avance pas plus pour savoir de qui il s'agit. Quand il retire ses doigts, je sens une inspiration que je pense être celle de Lionel. Mon tourmenteur se relève. Mais est-ce lui qui se réinstalle pour me tromper ou bien est-ce maintenant Luc. Cette fois-ci, j'ai le droit à quatre doigt qui se glissent lentement dans mon vagin. Le pouce à gauche m'indique qu'il s'agit cette fois sans aucun doute de la main gauche.

Les doigts bougent en moi, c'est un vrai délice ! Luc ne m'a jamais fait ça, mais ça ne prouve rien tant il y a eu de premières fois, de découvertes cette semaine. Et puis, impossible de raisonner, tout bascule, tout devient feu d'artifice, chaleur, lumière, vibration : mon bassin, mes cuisses, mon ventre sont pris de soubresauts terribles. La main se retire, laissant mon intimité continuer à vibrer de plaisir pendant plusieurs secondes, accompagnées par mes cris d'orgasme.

Difficile de dire combien dure mon orgasme tant j'ai l'impression d'être hors du temps depuis que je garde les yeux fermés. Et puis là, dans une demi-conscience, je sens que la suite arrive. Mon orgasme ne marque donc pas la fin du jeu : un gland se pose sur ma vulve dégoulinante de cyprine et s'y insère lentement.

La bête entre lentement dans son antre. Elle est conséquente, mais, là encore, je ne veux pas tirer de conclusion : Luc m'a surprise en bandant plus que de coutume et il pourrait très bien être très excité de se faire passer pour Lionel. Quoi qu'il en soit, la sexe qui me pénètre est gros et bien raide et me fait un bien fou.

Mon amant me lève une jambe. Il veut aller plus loin. Sa main se crispe sur ma cuisse et je sens ses ongles. Il me semble avoir repéré que Lionel a moins d'ongles que Luc. Je pense donc qu'il s'agit de mon chéri. Lionel ou Luc, je ne suis pas loin de subir un nouvel orgasme.

Mais mon amant (Luc ?) se débine et ressort, sans avoir joui, ni m'avoir fait jouir. Après quelques secondes, la voix de Luc se fait entendre :
- Tu peux ouvrir les yeux ma chérie.
Je les regarde. Ils rigolent de me voir essayer de savoir qui a fait quoi. Est-ce que l'un des deux est plus essoufflé que l'autre ? Peut-être Luc.

Lionel me demande :
- Alors, Juliette ? La bouche de qui ? Les doigts de qui ? La queue de qui ?
J'y vais au bluff :
- La bouche de Luc, puis vous avez alterné pour les doigts et c'est Luc qui m'a pénétrée.
Luc hoche la tête et semble très fier :
- Bravo, ma belle !

Je n'ose pas lui dire que c'était un peu au hasard. Je redresse mon bassin vers eux et leur fais une proposition :
- Vous m'avez donné deux orgasmes les garçons et aucun de vous n'a joui. Est-ce que ça vous tente que je referme les yeux et qu'on continue à jouer en explorant d'autres parties de mon corps ?

Luc rigole :
- Tu es vraiment devenue insatiable, ma chérie.
- Ne me dis pas que ça te déplaît !
- Oh que non ! Je t'aime encore plus !
Je ferme les yeux et j'écarte les cuisses. Quelques secondes après, je sens les mains de l'un des deux caresser doucement ma minette.

Une bouche se pose sur mon sexe et la langue lape mon jus. Je m'autorise un commentaire pour orienter la suite :
- Je crois que cette voie a déjà été explorée, non ?
Mon amant comprend mon attente et sa langue descend jusqu'à mon anus pour un délicieux anulingus.

Je suis persuadée qu'il s'agit de Luc, car j'ai senti un menton très légèrement piquant et j'ai repéré que Lionel était rasé de près. Il interrompt sa délicate caresse, se redressant. J'imagine que Lionel prend sa place. Lui aussi a compris ce que je voulais essayer et m'introduit son majeur dans le fondement. Je ne résiste pas à en profiter pour me caresser la moule en même temps.

- Mmmmm, qui que tu sois, tu as trouvé la voie... Mais je crains qu'un doigt ne soit pas suffisant.
Pas de réponse, mais le doigt ressort. Lionel veut-il me punir ? Je ne sens pas de mouvement, j'imagine qu'il garde sa place entre mes cuisses. Et ma requête n'est pas réellement bien interprétée (ou il se joue de moi), car il m'insère alors deux doigts dans mon petit trou.

- Mmmmm, c'est mieux, mais on va peut-être sauter les étapes du troisième et quatrième doigt. Je suis certaine que mon bel amant a quelque chose de plus long et vigoureux à me proposer. À sa façon d'appuyer son gland contre mon anus et à le faire pénétrer avec une extrême lenteur, j'aurai tendance à penser qu'il s'agit toujours de Lionel.

Quand sa lame commence à s'habituer à son fourreau étroit, il commence à aller et venir, s'autorisant à pousser chaque intromission un peu plus loin, faisant monter l'intensité de mon plaisir (et peut-être du sien). Après quelques magnifiques minutes, Lionel (j'imagine) se retire. Je suis frustrée, car je n'ai pas joui, mais lui non plus. Les yeux fermés, je sens pourtant un mouvement. Il s'est déplacé à côté de moi et je l'imagine à côté de moi, sans doute à se masturber, ce dont j'ai la confirmation quand je sens plusieurs giclées de sperme s'écraser sur mes seins.

Le râle qui l'accompagne me confirme aussi qu'il s'agit bien de Lionel. Puis, une main se pose sur mon visage pour que je le tourne vers la gauche. Mon nez rencontre un gland, celui de Luc. Il le guide plus bas sur ma bouche. Ma main part à la recherche de cette queue et en chasse la main de Luc quand elle trouve enfin sa proie. Sans surprise, celui-ci aussi se met à éjaculer généreusement sur mon menton et dans mon cou.

J'en profite pour me donner un coup de langue sur les lèvres et goûter à ce sperme. Aucun doute, il s'agit bien de celui de Luc. Les garçons s'écartent et je reste allongée sur le dos. Si les militaires étaient en planque à nous mâter, ils n'ont pas dû regretter le spectacle. Je souffle un peu, prenant le temps de reprendre mes esprits.

Quand j'ouvre les yeux, les garçons ont débandé tous les deux et me sourient bêtement :
- Alors Juliette ? Qui a fait quoi ?
- La langue de Luc, puis les doigts et la bite de Lionel, et enfin il est venu sur mes seins pendant que mon chéri m'a gratifié d'un masque pour la peau.

Luc se penche vers moi en hochant la tête :
- Un masque parfaitement biologique, ma chérie.
Je m'essuie le visage et les seins en étalant la semence de mes deux amants, comme si cela complétait l'huile de protection solaire :
- Merci, mon chéri.

Les regardants alternativement, je m'autorise à leur demander :
- Et Angela ? Savait-elle vous distinguer les yeux fermés ?
Luc un peu gêné, finit par me répondre :
- Oui, mais on est restés presque une année entière avec elle. Elle n'avait pas particulièrement de mérite.

Oh ! Mon chéri ne le dit pas, mais il sous-entend quand même que je suis plus douée qu'Angela sur ce point, ce qui me ravit. Me redressant, je demande à Lionel :
- Quelle heure est-il ? Il est sans doute temps d'aller préparer le repas, non ?

C'est une voix derrière nous, de l'autre côté de la piscine qui me répond et nous surprend. Il s'agit de Laurent, le sergent, qui s'est installé sur une chaise longue de l'autre côté. J'ignore depuis combien de temps il est là, mais son érection me laisse penser qu'il ne vient pas d'arriver :
- Il est effectivement l'heure, mais on va s'en charger avec les gars, c'est le moins que l'on puisse faire pour vous remercier de nous avoir proposé de dormir dans la villa.

Je me moque gentiment :
- Oh ! Des hommes en cuisine, ça doit valoir le détour !
- Ne vous moquez pas, Juliette. Mes hommes et moi avons beaucoup d'autres ressources encore.
- J'ai hâte de les découvrir.

Lionel rigole :
- Bon, occupons-nous vite de ce repas, car j'ai moi aussi hâte de découvrir la soirée.^ ---------oOo---------
Angela - épisode 42 : Vision troublée, vision troublante
Jeudi 4 août 20:17
Nous avons bien dû admettre que nos trois nouveaux amis militaires n'avaient pas deux mains gauches et, avec ce que nous avions dans le frigo, ils nous ont régalé d'un repas sain et léger, exactement ce qu'il nous fallait après la chaude journée que nous avions eue. Avant de passer à table, sans que l'on se concerte, chacun avait remis des vêtements. J'avais opté pour un minishort et un débardeur en ce qui me concerne, ce qui n'a pas empêché les garçons de se rincer l'œil dans mon décolleté durant le repas.

Alors que Marc et Milo terminent de débarrasser la table, Laurent dit à Luc :
- Vous avez de la chance d'avoir une femme qui soit en mesure de vous reconnaître les yeux fermés.
Laurent fait référence à ce qui s'était passé un peu plus tôt, au bord de la piscine.
- Je ne suis pas certain qu'elle m'ait réellement reconnu. Je pense qu'elle s'est fiée à d'autres sens et qu'elle nous a dit les réponses au bluff.
Je m'insurge :
- Peu importe la méthode, du moment que je suis en mesure de te reconnaître, non ?

Lionel vient à mon secours :
- C'est vrai. Que ce soit intuitif ou par des indices sensoriels, le fait est qu'elle a réussi à nous distinguer l'un de l'autre.
- Merci, Lionel.

Luc ne lâche pourtant pas l'affaire :
- Oui, mais je pense qu'il est facile de nous distinguer tous les deux, avec plus de garçons, je pense que c'est impossible.
- Bien sûr que si ! Chacun a une façon de caresser, de toucher, de lécher, de sucer, de réagir. Bref, vous êtes tous différents.
- Tous les cinq, tu penses que tu aurais pu nous distinguer ?
- Peut-être pas en cinq minutes, mais si vous m'en laissiez le temps, oui.

Je vois Luc réfléchir en m'observant. Puis, il se lance :
- Tu crois que si tu as les yeux bandés et que l'un d'entre nous t'embrasse, tu sauras dire qui ?
Je le vois venir, mais je décide de jouer son jeu :
- Je pense, oui. Au moins toi et Lionel.

- Ok. Tu serais prête à relever le défi, maintenant ?
- Heu... Oui. Trouve-moi un bandeau.
Laurent fouille alors dans les poches latérales de son sac à dos en disant :
- Attendez, j'ai mieux !
Et il sort et brandit un petit flacon en plastique :
- C'est un collyre très puissant. Deux gouttes dans chaque œil et Juliette ne sera plus capable de distinguer que de vagues formes. J'ai confisqué ça à des gars qui l'utilisaient pour un bizutage la semaine dernière. Normalement, l'effet dure environ une heure.
Luc prend le flacon et je m'allonge sur le canapé, tête en arrière et yeux grands ouverts.

Ce n'est pas très agréable, mais il faut avouer que c'est drôlement efficace : en moins d'une minute, tout devient flou et je prends conscience que même me déplacer peut comporter des risques :
- Holala, je vais me cogner partout !
Laurent rigole :
- Vous trouverez bien une âme charitable pour vous guider dans vos déplacements.
Tout le monde rigole, car je pense qu'ils y voient tous une opportunité pour me tripoter.

Quelqu'un s'approche de moi en me tendant quelque chose. La voix est celle de Laurent :
- Tiens, bois un coup, ça va t'aider !
Il me met dans la main un verre que je porte à ma bouche. Il s'agit d'un apéritif type vin cuit avec une légère amertume. Très bon.

Une main se pose sur ma hanche et je sens un souffle dans mon cou. Est-ce toujours Laurent ? Le silence règne. Le jeu est donc commencé. Il m'embrasse dans le cou et sa main remonte sur mon sein. S'il ne m'embrasse pas vraiment sur la bouche, cela va me compliquer la tâche.

Je pose mon verre et me tourne vers lui. Nos bouches se trouvent. Sans être en mesure de dire ce qui caractérise le baiser de Lionel de celui de Luc, je pense qu'il s'agit de Lionel. Il embrasse très bien (non que Luc n'embrasse pas bien, mais c'est différent) et je sens que je pourrais me laisser aller à plus qu'un baiser entre ses bras.

Et c'est aussi ce qu'il semble se dire, car je sens sa main se glisser sous mon débardeur et remonter lentement. Il l'entraîne au passage me découvrant le ventre, puis quand sa douce main atteint mon sein, je suppose qu'il le découvre aussi, même si je ne peux pas le contrôler de visu. Je ne dis rien, appréciant cette petite exhibition dont les garçons pensent peut-être que je ne me rends pas compte. Je sens son sexe bander et rayonner de chaleur contre ma cuisse.

Quand nous devons enfin reprendre notre souffle, nous nous décollons. Je ne m'occupe pas de rajuster mon débardeur et j'imagine que les garçons vont en profiter pour se rincer l'œil sans m'alerter sur ma tenue. Je brise le silence en faisant mon annonce :
- Mmmmm, je suis certaine qui s'agit de Lionel.

Personne ne répond, mais quelques applaudissements confirment mon bon jugement. Je remets en ordre mon débardeur, en me disant qu'ici tous m'ont vue nue, au moins sur la plage et dans la piscine.
- Qui prend la suite ?

Une forme s'approche de moi sur ma gauche. Je tourne la tête et sens son souffle s'approcher de mon visage. Je n'ai même pas besoin de l'embrasser pour savoir qu'il s'agit de mon homme. Mais je joue le jeu. Je tourne tête vers lui et nos langues partent à la rencontre l'une de l'autre. Ce coquin en profite pour glisser une main dans mon décolleté et me pincer doucement le téton, comme s'il n'était pas déjà assez tendu.

Nous nous mettons face à face, ce qui l'oblige à retirer sa main de mon décolleté. Je ferme les yeux. Bien sûr, cela ne change rien, mais cela m'aide à me concentrer et à m'assurer qu'il s'agit bien de Luc. Il me fait un baiser ardent, mais comme il m'en fait souvent. Il ne cherche donc pas à me tromper et souhaite que je gagne. Que je gagne quoi, d'ailleurs ?

Et puis ça dérape. Il fait glisser les bretelles de mon débardeur. Qu'il veuille m'exhiber ne m'étonne pas vraiment et me confirme qu'il s'agit bien de mon Luc. Mais quand il abandonne ma bouche pour se jeter sur mes seins et les embrasser à pleine bouche, j'avoue que j'ai un doute. Luc m'a habitué à plus de retenue. Ceci dit, je l'avais aussi habitué moi-même à beaucoup plus de pudeur, donc Luc peut très bien se montrer imprévisible... et gourmand !

Quand il finit de me dévorer les seins, il se recule, ma laissant dépoitraillée. Un silence se fait. Personne ne prend la parole pour ne pas me donner d'indice qui me permettrait de démasquer mon amant. Ils attendent mon analyse :
- C'était Luc.

Nouveaux applaudissements. Pour le moment, le challenge n'était pas bien difficile et je ne suis pas la seule à m'en rendre compte. Alors que je n'ai encore embrassé aucun militaire, Luc veut faire progresser le jeu :
- C'était facile, tu connais nos bouches par cœur. Mais reconnaîtrais-tu aussi nos queues ?
Il ne s'agit apparemment pas d'une question rhétorique. Luc envisage que je joue avec leur sexe. Pourquoi pas ? En rajustant mon débardeur, je réponds :
- Je crois que j'ai assez pratiqué Lionel cette semaine pour le distinguer de toi.

Mais Luc n'en reste pas là :
- Les nôtres, je n'en doute pas, mais si on ajoute nos invités dans l'équation ?
- Attendez... Vous voulez que je vous suce tous les cinq et que je devine qui je suce ?
- C'est un peu l'idée.
- Et je gagne quoi si je réussis ?

Luc répond :
- Tu auras le droit de me demander ce que tu veux, n'importe où, n'importe quand.
- Mmmm, ça ouvre plein de perspectives. J'accepte !
Applaudissements. Un homme s'approche de moi, mais pas Luc qui était, d'après la voix, plutôt de l'autre côté. Je m'agenouille et palpe l'entrejambe de mon amant à travers son pantalon.
- Je peux déjà dire que ce spécimen bande déjà beaucoup.

Bien sûr, personne ne commente. Ils n'ont pas eu à se concerter sur ce point, tout le monde joue le jeu du silence pour ne pas m'aider. J'ouvre la braguette et abaisse le pantalon pour extraire l'objet de mes convoitises : un sexe bien dressé qui ne demande apparemment qu'à être sucé pour être identifié. Ce que je m'empresse de faire, toujours sous les regards silencieux des autres.

Pour l'avoir sucé déjà plusieurs fois, je suis presque certaine qu'il s'agit de Lionel. Je lui abaisse davantage le pantalon pour être plus à l'aise et en profite pour lui caresser les fesses. Il frémit et cela me conforte dans mon intuition. Même si je l'ai démasqué, je poursuis ma fellation par pur plaisir. De toute façon, le silence imposé empêche qui que ce soit de se plaindre de ce que je fais ou non.

Ma langue s'active sur son gland. Je sens la tige de Lionel grossir de plus en plus dans ma bouche. Et puis soudain, il pose sa main à l'arrière de ma tête et enfonce ma bouche plus loin sur la hampe turgescente. Je le suspecte d'être proche de l'éjaculation et je ne suis pas la seule. Laurent rompt le silence :
- Ah non, ce serait trop facile !

Je vois une silhouette s'approcher de nous et obliger mon amant à se reculer. C'est le sergent qui impose les règles :
- Elle te connaît. Si tu éjacules dans sa bouche, elle saura que c'est toi. Oh merde...
Je ne vois pas, mais si j'en crois le bruit de quelque liquide qui s'égoutte au sol, je pense que Lionel est en train d'éjaculer, libérant la semence que j'avais si savamment appelée. Je regrette de ne pas pouvoir voir ça.

- Bon. Tu sais maintenant que ce n'est pas moi que tu suçais puisque tu as entendu ma voix, mais je pense que c'est mieux si tu ne prends pas en bouche le sperme. Ce serait trop facile pour reconnaître Luc ou Lionel.
- Vous êtes dur ! C'est déjà assez difficile. Je ne vois pas pourquoi le critère du goût devrait être écarté. Et de toute façon, même sans l'avoir goûté, je suis certaine que c'était Lionel.
Applaudissements. On bouge autour de moi. Quelqu'un me prend la main et me pousse dans le dos. On m'amène jusqu'au canapé et on m'y laisse. Je vois une forme assise. Ma main effleure un genou et remonte sur la cuisse jusqu'à une belle bosse bien dure.
- Je crois que j'ai trouvé ce que je cherchais.

En aveugle, je déboutonne le pantalon. Mon nouvel amant se soulève pour faire glisser le jeans sur ses cuisses. Mes mains découvrent une belle queue bien raide au gland déjà humide. Je masturbe la tige un peu, sans trouver d'indice sur l'identité de mon amant. Je me penche et le prends en bouche, faisant tourner ma langue autour du gland.

Ce n'est pas Lionel. Ce n'est pas Luc. Mais qui ? Curieusement, je m'en fiche. Ce qui m'importe c'est de sentir mon excitation monter, de sentir cette queue se gonfler dans ma bouche, de sentir quatre voyeurs qui se masturbent peut-être en me voyant faire, de sentir le regard de mon amant qui me regarde le sucer, peut-être en profitant du spectacle de mes seins qui jouent librement dans mon décolleté.

Je le sens se contracter. Il va jouir. Laurent va-t-il intervenir ? Non... Peut-être est-ce justement Laurent et qu'il ne veut pas se priver lui-même d'éjaculer dans ma bouche. Un premier jet de sperme vient me fouetter le palais. Je me redresse et distingue vaguement sur l'énorme gland palpitant une effusion blanchâtre qui s'écoule.

Je manque d'indice. Le goût ne me dit rien, il s'agit donc d'un militaire. Je tente ma chance :
- C'est le sergent ?
Mais la voix de Laurent se fait entendre derrière moi :
- Perdu !
- Mince... Et quel est mon gage ? On n'a pas parlé de ce qui se passe si je perds.

Toujours la voix de Laurent (personne ne veut se dévoiler, même pas Luc pour faire entendre son avis dans cette transaction) :
- Vous perdez un vêtement.
Je m'exécute puisque tout le monde semble d'accord sur cette règle.

Je fais quand même une remarque :
- Si c'est à chaque erreur, avec seulement un short et un débardeur, je vais vite me retrouver à poil.
- À vous d'être vigilante, Juliette.
- J'ai l'impression que c'est joué d'avance...
Qu'importe puisqu'ils m'ont déjà vue nue.

Le silence se fait. Je me demande si Luc ne se retrouve pas piégé par les décisions de Laurent. Et si Luc n'était même plus dans la pièce ? Seins nus devant plusieurs hommes, je scrute ce monde flou qui m'entoure pour distinguer les silhouettes : celui sur le canapé (qui n'est donc pas Laurent), et quatre autres debout. Donc Luc est toujours là, mais garde le silence.

- Luc. Je sais que tu veux garder le silence, mais es-tu toujours d'accord avec les règles de ce challenge ?
C'est le chef qui me répond :
- Il hoche la tête. Il est OK.
J'aurais voulu qu'il me réponde lui-même...

Et si le sergent avait mis Luc dehors et remplacé par un autre gars (Johann, Cédric, Damien, voire Bernard ?). Je me fais des films, Lionel n'accepterait pas ça. Mes réflexions sont interrompues par des chuchotements, puis par deux silhouettes qui s'approchent de moi. Chacun se met à me caresser un sein.
- Heu... Je suis supposée reconnaître les mains sur mes seins, c'est ça ?

À nouveau la voix du chef, apparemment le seul à avoir le droit de parler :
- On n'a pas vraiment déterminé si le jeu continue ou pas. Désirez-vous continuer, Juliette.
- Je ne suis pas contre. C'est plutôt amusant.
- Dans ce cas, avec quelles modalités ?
- Je ne pense pas avoir sucé tout le monde...
Je saisis les queues de mes deux tripoteurs et pense au passage reconnaître la queue de Lionel, mais sans certitude.

Laurent intervient :
- Non, pas plusieurs à la fois. Chacun son tour.
- Ceci dit, sergent, c'est vous qui édictez les règles au fur et à mesure... Je pourrais avoir mon mot à dire. Qu'est-ce qui se passe si je gagne ? Luc a proposé de se soumettre au moindre de mes désirs, ce qui me convient bien, mais vous ? Vous profitez aussi du jeu, il serait normal que vous aussi puissiez montrer votre reconnaissance si je suis victorieuse.
- Moi, je suis d'accord pour que chacun d'entre nous vous soit soumis. Vous êtes d'accord les gars ?
J'entends enfin d'autres voix derrière moi, celles de Lionel, Marc et Milo qui acquissent.

Le prix me semble à la hauteur :
- OK. Super, les gars. Toutefois, qu'est-ce qui se passe si je me trompe ?
- Tu perds une fringue.
- Oui, j'ai bien compris. Mais je pense que je ne vais pas garder mon petit short très longtemps...

- OK, alors, une fois qu'il n'y aura plus de vêtement en jeu, disons que si tu te trompes de nom, celui que tu n'auras pas réussi à reconnaître pourra te demander quelque chose.
Je m'assois sur le canapé :
- N'importe quoi ?
- Dans la limite du raisonnable.
- Ok. Mais j'ajoute aussi que cette demande devra d'abord être validée par Luc.

J'entends aussitôt la voix de Luc :
- J'accepte !
- Heu... Tu ne sais pas encore ce qui pourrait être demandé. Évite de signer un chèque en blanc...

Il rigole de la métaphore :
- Héhé. Tu as raison. De toute façon, tu vas gagner ma chérie. Reprenons le jeu.
Sans se concerter, je vois les cinq silhouettes se rassembler et se tourner autour les uns les autres. Compris : ils mélangent les cartes pour que je ne puisse pas me fier à la position des voix que j'ai entendues. Il y a des murmures. J'imagine qu'ils se concertent pour savoir qui sera le troisième à venir se faire sucer. L'heureux candidat ne tarde pas à venir me présenter son érection.

Le sexe est conséquent et je repense à ceux de militaire :
- Wahoo, vu la bête, je sais déjà que ce n'est ni Lionel, ni Luc. Heu, désolé les gars, ce n'est pas une critique. Vous êtes très bien équipé aussi.
Le silence que j'ai en réponse ne me rassure pas particulièrement.

Malgré ce malaise, je décide de détourner l'attention d'une manière très simple : il me suffit de mettre dans ma bouche cette colonne de chair et de la sucer pour que Luc et Lionel ne pensent plus à ma maladresse. Une main ferme et puissante se pose derrière ma tête pour me forcer à imprimer un rythme de plus en plus soutenu à ma fellation.

Ni Luc, ni Lionel ne me contraindraient ainsi. Mais je connais trop mal les queues des trois militaires pour avoir une hypothèse valide. Tout à l'heure, ce n'était pas Laurent. Cette fois-ci, ce pourrait être lui... Mais ce n'est pas parce que je ne l'entends pas que cela fait de lui mon suspect. Et puis, il y a un râle retenu, une contraction du bassin et des fesses, puis un liquide chaud et poisseux qui envahit ma bouche.

Quand enfin il a terminé, il ressort de ma bouche et se recule parmi les autres. J'avale tout ce qu'il m'a mis dans la bouche. Je commente :
- Bon, pas facile. Je n'ai aucun indice et le goût de ce sperme ne me dit rien. Je tente ma chance : Milo ?

Cette fois-ci, c'est Luc qui prend la parole pour m'expliquer mon erreur :
- Perdu, ma chérie. Tu nous dois un short.
Alors que je me relève pour déboutonner mon short, je demande :
- J'ai le droit de savoir qui c'était ?

Luc semble se concerter avec les autres pour avoir leur accord, avant de me réponde :
- C'était Marc.
Je vais donc associer ce goût de sperme à Marc. J'entends alors sa voix derrière moi :
- Puisque tu ne m'as pas reconnu, je vais m'occuper de te retirer ton short.

Puisque je sais qui il est, il s'autorise à me parler :
- Même si ce short vous va à merveille, j'ai hâte de vous voir sans.
- Vous avez déjà vu mon cul sur la plage, non ?
- J'ai la mémoire courte...
- Contrairement à votre queue !
Tout le monde rigole pendant que Marc peine à m'abaisser mon minishort trop bien ajusté.

Je m'agace qu'il me remue dans tous les sens pour ne pas arriver à l'abaisser de cinq centimètres. Je l'écarte gentiment :
- Attendez, Marc, je vais plutôt le faire ou vous allez m'arracher les fesses.
Il me laisse faire, restant derrière moi, ce qui me laisse imaginer le spectacle dont il doit profiter.

Je m'interromps en gardant le short à mi-cuisse et me penche en avant :
- Est-ce que ce n'est pas mieux quand je m'en charge moi-même ?
- Oh que si !
La main de Marc me caresse les fesses.

- Du coup, je vais finir. Tu peux aller te remélanger avec les autres.
- Bah, non, là je peux terminer de te le retirer moi-même, ce short.
Sauf que, malgré son annonce, ses deux mains continuent de me malaxer les fesses et ne semblent pas répondre à l'ordre de me retirer le short.

Je le repousse gentiment :
- Allez, il ne faut pas que tu sois reconnu pour la suite.
- C'était quoi la suite ? Tu dois nous reconnaître quand on te tripote.
- Non, je pense que c'est impossible.
Marc prend quand même l'initiative de me caresser la moule et de me sucer un mamelon.

Ce n'est pas désagréable, mais je crains que ça ne traîne en longueur. Je le repousse donc une seconde fois, plus fermement :
- Allez, ça suffit. En plus, je sais que c'est toi.
Il n'insiste pas et je vois sa silhouette retrouver les quatre autres gars. Une nouvelle silhouette se détache du groupe et vient me rejoindre. Lui aussi semble vouloir s'occuper surtout de ma moule et il m'insère même son pouce dans la fente.

Donc les garçons veulent quand même tous me tripoter les uns après les autres. Je ne peux que laisser faire. C'est d'ailleurs délicieux, mais impossible de savoir qui est mon bienfaiteur. Bien sûr ce qu'il me fait, ni Luc ni Lionel ne me l'ont fait, mais ce n'est pas un argument suffisant pour les écarter de la candidature. Je tente, au hasard :
- C'est Laurent ?
Il se retire rejoindre les autres. Pas de réactions des juges, ni applaudissements. J'en déduis que ce n'était pas lui. En tout cas, qui que ce soit, il m'a fait bien mouiller.

Un nouveau candidat vient me rejoindre. Curieusement, il vient se positionner derrière moi. Ses mains glissent sur mes hanches. J'en envie qu'elles descendent entre mes cuisses et continuent à câliner mon entrejambe, mais les doigts remontent tous pour emprisonner mes seins et les caresser doucement.

Ce n'est pas désagréable, mais ça m'embête de perdre le jeu sur ce challenge que je pense impossible. Je me dégage de mon tripoteur et dit à tous :
- Bon, je vous ai dit que ce n'était pas la peine de me demander qui pour juste du tripotage, je ne suis pas en mesure de le déterminer. Surtout pour mes seins, où je pense que vous les pelotez tous à peu près de la même manière.

Aucune réponse. Normal, personne ne veut se faire reconnaître. Une autre silhouette s'approche. Une main se pose sur ma hanche, l'autre sur ma fente. Un doigt s'immisce entre mes lèvres humides et finit pas débusquer mon clitoris.
- Mmmmm... je suis pas sûr d'avoir été assez claire concernant les tripotages, mais j'avoue qu'il y en a qui sont plus intéressants que d'autres, même si je ne suis toujours pas en mesure de vous identifier.

Enfin, une voix se fait entendre, celle de Luc :
- Tu sais, ma Juju, au-delà de ce défi, il y a aussi le plaisir. Là, il faut que tu acceptes juste de recevoir. On ne te tiendra pas rigueur de ne pas nous reconnaître sur ces attouchements. Mais quand je vois le doigt trempé de... de ton dernier tripoteur, j'ai l'impression que ça ne te déplaît pas.
Je resserre les cuisses et cache mon entrejambe, car j'imagine qu'ils voient tous la cyprine qui dégouline de ma fente.

- Oh, ma Juju, c'est bien inutile de te montrer pudique à ce stade. Tu es toujours dans le flou ?
- Oui... je ne vois que de vagues silhouettes. Je ne vois même pas si vous êtes à poil ou habillés.
- En tout cas, nous on n'est pas dans le flou et on voit ce qui coule entre tes cuisses...

- Vous pourriez y goûter à tour de rôle...
J'entends Luc se rapprocher :
- Oh, pas sûr qu'il y en ait encore assez pour tout le monde. Je pense qu'on peut continuer sur d'autres pistes pour que tu sois excitée encore davantage.
Il caresse ma moule, sans doute pour vérifier que je suis en capacité de produire plus de cyprine.

Quelqu'un s'approche de Luc et lui murmure quelque chose à l'oreille. Luc ajoute alors :
- Quelqu'un souhaite qu'on reprenne sur les baisers. Tu es d'accord ? Tu valides en tant que défi ?
- Oui, ça me semble beaucoup plus à ma portée.
Luc laisse alors la place à l'autre et je tends mes lèvres vers les siennes pour que nos bouches se rencontrent. Luc dépose un chaste baiser sur une de mes fesses tandis que je pose ma main sur l'entrejambe de mon nouveau défi.

Le baiser est long et agréable. Il ne me semble pas avoir déjà embrassé cet homme. Qui n'est passé tout à l'heure ? Il me semble qu'il n'y a que Laurent, mais je ne sais plus très bien. En caressant l'érection de cet homme à travers la toile de son pantalon, la paume de ma main rencontre une boucle de ceinture aux reliefs très marqués. Je suis donc maintenant certaine qu'il s'agit du sergent. Je me détache de lui pour faire ma déclaration.
- Je sais !

Personne ne répond. Puis, sachant que je ne pouvais pas le suspecter, Luc demande :
- Et bien ? Dis-nous !
Les sentant impatients, je décide de m'amuser un peu :
- En fait, j'hésite entre deux. J'aimerai recommencer le baiser.
Il semble que Luc valide, car l'homme revient et se colle à moi pour m'embrasser. Il en profite même pour me caresser les fesses !

En fait, je suis certaine qu'il s'agit du chef. Mais nous n'avons pas fixé le taux de réussite qui conditionne ma victoire. Si je donne la bonne réponse et que c'est la fin du jeu, je pense que tout le monde sera déçu. Je décide de faire durer le plaisir. Je trouve extrêmement excitant d'être nue à la disposition de cinq garçons, et avec l'adhésion de mon copain !
- C'était Milo ?

Bien sûr pas d'applaudissement et même un genre de murmure qui s'apparente à de la déception. Lionel me dit :
- Non, Juliette. Je ne sais pas si on te le compte comme une erreur.
- Je n'ai pas dit que je serais en mesure de vous reconnaître tous, seulement Luc et toi.
- C'est vrai.
Lionel me place un verre dans la main. Je sens le même parfum alcoolisé que le premier verre.

Je bois tout d'une traite. Lionel s'exclame :
- Doucement ! C'est hyper fort ! Ce n'est pas de l'eau...
- Houlala, oui, c'est vrai que je ne m'attendais pas à ce que ce soit si fort... Je n'ai pas fait attention la première fois. Si ça commence à tourner en plus d'être flou, ça ne va pas m'aider...

Comme je titube un peu, Lionel me prend par les épaules et m'amène le long du mur, contre lequel il me fait m'asseoir :
- Voilà, je pense plus raisonnable que tu t'assoies quelques minutes.
- Merci, oui. C'est épuisant ce jeu où je n'y vois rien...
Lionel me dit :
- Tu veux faire une pause ?
- Non, on peut continuer sur les baisers. Mais je reste assise pour le début.

- Ok, mais si jamais tu nous confonds moi ou Luc avec un autre gars, celui qui subit le préjudice pourra passer la nuit avec toi.
- Et si je me trompe plusieurs fois ?
- Il te faudra assumer...
- OK et si je ne me trompe pas ?
- Tu décideras de qui passera la nuit avec toi sans minimum ou maximum de nombre.
Le deal me semble acceptable puisqu'il me semble que je suis gagnante quoiqu'il arrive. Quelques secondes après, un des gars vient s'asseoir à côté de moi et se penche pour m'embrasser à pleine bouche.

La main de mon amant se pose sur mon ventre. Presque automatiquement, j'écarte les jambes. Le message est clair et bien compris : la main glisse entre mes cuisses écartées. Un doigt glisse sur ma fente humide et, après plusieurs allers-retours, le doigt me pénètre enfin.

Luc ! Impossible que je me trompe. Après vingt secondes de baiser, je m'écarte pour annoncer ma conclusion :
- C'est mon chéri !
Le doigt quitte ma moule frémissante qui aurait pourtant bien voulu être encore câlinée.

Applaudissements. Je me relève. Quelqu'un s'approche et des mains se posent sur ma taille :
- Qui es-tu bel inconnu ?
Je pose mes mains sur son torse et remonte à son cou.

Je m'avance vers lui, car il ne semble pas faire l'effort de s'approcher.
- Ai-je affaire à un timide ?
Nos bouches se trouvent. Je sens un sexe bandé contre mon ventre, je ne résiste pas à m'en saisir.

Alors que nous prolongeons le baiser, j'entends quelqu'un murmurer :
- C'est long...
Je souris en me demandant si cela fait référence à la durée de notre baiser ou si cela concerne le sexe que j'astique.

Personne ne hurle au scandale, même si masturber ce membre pourrait m'aider à reconnaître mon nouveau partenaire. Je reconnais Lionel, à son baiser, mais aussi à son érection. Je fais pourtant durer le baiser un peu plus longtemps en jouant avec ma langue. C'est lui interrompt le baiser : trop excité, ma petite masturbation l'a fait éjaculer et je sens sa semence tiède qui s'écoule doucement sur mes doigts.

Peut-être un peu jaloux, Luc réagit quand même :
- C'est de la triche, ce n'était pas qu'un baiser, le fait de le masturber va forcément t'aider !
- Et alors ?
Je porte les doigts à ma bouche pour y lécher le sperme. Ils attendent ma réponse :
- Il s'agit de Lionel ?

- Que tu as reconnu grâce au goût de son sperme !
- Non, par son baiser. Lionel embrasse très bien.
Un autre garçon s'approche. Il me reste Milo et Marc. Là encore, je sens son gland contre mon ventre et décide de le masturber un peu pendant qu'il m'embrasse.

Je sens qu'il est lui aussi assez ému par ce contact. Entre mes doigts, son membre semble gonfler et se redresser encore. Ma petite branlette le perturbe et je sens qu'il n'est plus vraiment à son baiser, me laissant chercher ses lèvres, sa langue.
- Dis donc, tu es timide, toi...
Il se reprend et m'offre un baiser un peu plus ardent.

Luc me presse et me contraint à mettre fin à ce baiser :
- Tu m'as embrassé moins longtemps.
- Je t'ai reconnu plus vite, c'est tout. Cela devrait justement te rendre fier.
- Dis-nous surtout qui tu penses avoir embrassé.
Je réfléchis, mais ne parviens pas à trouver un argument plus en faveur de Milo ou de Marc.
- Puis-je embrasser le dernier avant de me prononcer ?

Petit silence. Concertation par échange de regards ? Luc annonce la décision :
- Nous sommes d'accord.
Le dernier s'approche. Comme je saisis également son sexe, il s'autorise à me caresser un sein, faisant tourner son pouce sur mon mamelon.

Le baiser ne m'aide pas. Je me concentre sur le sexe que je masturbe. J'y appose même ma seconde main pour caresser les testicules de mon amant. Lui aussi, je le sens perturbé : il n'est plus investi dans son baiser et semble apprécier particulièrement ce petit massage de ses bourses.

Il éloigne son visage de quelques centimètres du mien. Je le sens se contracter, puis son sexe se tendre. De puissants jets s'en échappent : je reçois plusieurs giclées de sperme sur mon ventre tandis que mon amant râle de plaisir. La voix ! Je reconnais celle de Marc.
- Je crois que ce garçon vient lui aussi de se laisser aller !

- Et qui est-il ?
Puisque je vais devoir passer la nuit avec ceux pour lesquels je me suis trompée, j'annonce volontairement Milo :
- Milo !
Luc me demande :
- c'est ta dernière réponse ?
Je porte les doigts au sperme sur mon ventre pour les porter ensuite à ma bouche :
- Mmmmh, oui, je dirais Milo.

Luc soupire :
- Le goût de son sperme t'est sans doute encore inconnu. Ce n'est pas ça, ma chérie.
- M'autorises-tu à vous sucer tous à nouveau, mais justement plus spécifiquement pour goûter chacun de vos spermes ?
- C'est une riche idée, ma Juju !
Les garçons se regroupent pour que je ne puisse plus distinguer lequel était Luc. Puis un s'avance vers moi. Il pose ses mains sur mes épaules. Je saisis son érection. Qui s'est présenté en premier ?

Il appuie doucement pour m'inciter à me mettre à genoux :
- Voyons voir à qui appartient ce beau membre tendu.
Bouche ouverte et langue tendue, je guide le sexe pour commencer mon enquête.

Quand mes lèvres se referment sur la queue palpitante, mon amant laisse échapper un soupire de satisfaction caractéristique que je pense reconnaître. J'ai déjà entendu Lionel réagir comme cela à mes fellations. Je suis partagée dans ma stratégie : pour le moment, j'ai toujours réussi à reconnaître Luc et Lionel, ce qui les exclut de mon lit pour la nuit prochaine. Dois-je annoncer quelqu'un d'autre si je veux avoir aussi Lionel cette nuit ?

En même temps, trois militaires (car je pense que c'est ce qui m'attend puisque je suis incapable de les différencier), c'est déjà beaucoup pour une seule fille ! J'en suis à ces réflexions quand je sens Lionel se tendre. Ma main gauche vient en renfort pour caresser les testicules de mon amant afin de l'achever.

Le râle de plaisir que j'entends semble bien être celui de Lionel. Quand la semence jaillit, je suis presque surprise : le sperme est épais et l'éjaculation peu puissante. Chaque giclée se pose délicatement sur ma langue tendue. Seul un petit jet, un peu plus sauvage, manque de peu ma narine.

Quelques applaudissements retentissent : on ne me félicite pas encore pour mon analyse puisque je n'ai rien annoncé, mais on semble apprécier l'éjaculation épaisse de mon amant. Quand il a terminé, je referme mes lèvres autour de son gland et aspire les dernières gouttes.

Nouvelle confirmation de l'identité de mon amant : le goût de ce sperme et indiscutablement celui de Lionel. Je décide de jouer le jeu sérieusement et de ne pas chercher à avoir de stratégie pour glisser le plus de gars possible dans mon lit. On me tend une serviette. Je la saisis et m'essuie le visage.

- C'était la queue de Lionel, bien sûr !
De nouveaux applaudissements, ceux-là sont pour moi. Lionel s'éloigne dans la pièce et une autre silhouette s'approche. Toujours à genoux, j'ouvre la bouche à son approche et il vient me fourrer son gland entre les lèvres.

Je saisis le membre et me rends compte qu'il est particulièrement imposant :
- Oh ! Ce n'est ni Lionel, ni Luc...
Ricanements. Sans doute que ma phrase laisse sous-entendre que Luc et Lionel sont moins bien dotés que le membre que je suis en train de sucer.

Dans mon souvenir, le chef a un sexe plutôt conséquent, mais difficile de dire si ce sera la plus grosse que je vais sucer puisqu'il m'en reste trois autres à découvrir. En moins d'une minute, mon jeu de lèvres et de langues amène mon amant à l'éjaculation. Moins épaisses que celles de Lionel, mais tout aussi abondantes, les giclées affluent et toutes ne finissent pas dans ma bouche.

Quand la douche s'arrête enfin, je me tourne vers l'assemblée (sans doute avec beaucoup de sperme sur le visage) :
- Est-ce qu'il s'agit de Laurent ?
Pas de réaction. Je fais donc fausse route et Laurent assure sa place dans mon lit.

Mon mâle éjaculateur non identifié se recule, laissant la place au candidat suivant. Avant d'arriver à mon niveau, il se retourne rapidement, sans doute pour faire un signe aux spectateurs, et je vois alors le profil de son sexe bandé qui me confirme mon erreur de jugement sur mon précédent amant. Si Laurent à le sexe le plus imposant, c'est peut-être plutôt celui-ci. En le devinant juste sous mes yeux, je le trouve au moins aussi gros que le précédent que j'ai sucé.

Toutefois, quand j'engouffre la colonne de chair dans ma bouche, j'ai quelques doutes sur mon jugement. En effet, il est sans doute un peu plus gros que celui du précédent (Milo ou Marc donc), mais pas significativement. Le chef pourrait bien avoir une queue encore plus conséquente que ces deux-là.

J'attends l'éjaculation pour déterminer si le goût de la semence m'inspire un nom ou pas. Je m'applique donc à une savante fellation, rapide et efficace, pour mener cet amant le plus vite possible à me cracher son identité. Après bien deux minutes de pipe concentrée, il se retire un instant de ma bouche, au moment de l'explosion, expulsant plusieurs jets de sperme çà et là sur mon visage.
L'amant est généreux et l'éjaculation longue et intense. Son jus me coule dans le cou, entre les seins, sur les cuisses. Il n'y a pas eu de râle. L'homme se contrôle. Je lèche le membre encore palpitant par le dessous, m'amusant à titiller la base du gland. Un petit frémissement se fait entendre. Peut-être Milo ?

Je tente ma chance :
- Serait-ce Milo qui m'a douchée de la sorte ?
Mais aucun applaudissement ne se fait entendre. Peut-être était-ce quand même Laurent, le sergent. Trop tard. Une serviette m'est tendue. Je m'essuie le visage.

À peine la serviette reposée, un nouvel amant se présente à moi. Discret, mais pas timide, ce nouveau candidat se place de manière à ce que son érection soit devant mon visage, mais il attend que je me saisisse de son membre et que je le prenne en bouche.

Dès que j'ai le sexe entre mes lèvres, je reconnais mon chéri. Je pourrai d'emblée annoncer mon expertise, mais cela serait injuste pour Luc qui ne profiterait pas de ma bouche comme ses petits camarades. Je décide donc de prendre mon temps et d'en profiter pour lui offrir une fellation à la hauteur de l'amour que je lui porte. Je commence par faire courir ma langue de ses bourses jusqu'à son gland.

Je fais cela pendant une bonne minute, puis je gobe son gland gonflé et entame de le sucer en jouant toujours de la langue sur le gland tandis que mes lèvres montent et descendent sur sa hampe palpitante. Je sais qu'il adore et son souffle caractéristique, que je reconnaîtrais entre mille, m'indique après quelques minutes qu'il va bientôt jouir.

Il étouffe son râle de plaisir, mais le grognement m'indique qu'il prend son pied. Sortant son sexe de ma bouche, il l'empoigne et se masturbe lentement alors que les premiers jets de sperme viennent s'écraser sur mon visage. Les suivants, moins puissants, s'épanchent sur ma langue et coulent dans ma bouche.

Quand il a terminé, il se recule. Je garde la bouche ouverte, pleine de son nectar, et je laisse s'échapper quelques filets de semence qui s'écoulent dans mon cou et entre mes seins. Je n'ai pas besoin d'avaler puisque je sais quel goût il a et je n'ai aucun doute sur l'identité de mon généreux éjaculateur.

Je sens que tout le monde attend ma réponse. J'avale donc ce qu'il me reste et j'annonce simplement :
- Luc, évidemment.
Les applaudissements fusent. Luc me tend la serviette qui est maintenant poisseuse de l'accumulation de la semence de ces messieurs.
- Il m'en reste encore un, non ?

Luc me répond :
- Tu tiens les comptes à ce que je vois...
Puis il regagne le groupe, ne me permettant pas de distinguer qui vient maintenant vers moi et, sans préavis, me fourre son sexe dans la bouche.

Nul besoin de le sucer : le gaillard semble être déjà bien excité. J'ai l'impression qu'il s'agit de la queue la plus imposante des cinq. Il s'agit donc d'un des trois militaires. Je me suis déjà trompé pour les deux premiers : j'ai annoncé Laurent puis Milo en me trompant. Les ai-je juste inversés ? Comment savoir lequel des trois. Si c'est la plus grosse que je suis en train de sucer, peut-être est-ce celle de Laurent ? Et est celui qui vient demander du rab en me posant son sexe sur le front ?

Il y a quelques rires, des chuchotements secs et l'importun s'écarte, me laissant le loisir de me concentrer sur la fellation de sexe conséquent. Je vais mener ma tâche jusqu'au bout, même si je sais que le goût de sa semence ne m'aidera pas identifier le propriétaire de cette queue. Je sens qu'il n'est plus très loin.

Quand il se met à éjaculer, je garde la bouche ouverte pour recevoir sa semence, mais ses soubresauts le font s'échapper et il me gratifie de deux giclées qui s'égarent, l'une sur ma joue, l'autre sur mon menton. Je m'empresse de saisir le membre en pleine explosion pour le remettre au chaud dans ma bouche tandis qu'il termine d'éjaculer.

Je reçois ensuite trois autres giclées dans la bouche. J'avale par acquit de conscience, mais le goût de cette semence ne m'inspire pas du tout. Peut-être serait-ce Laurent ? J'extrais le sexe énorme de ma bouche et m'apprête à proposer ma réponse quand je suis surprise par deux nouvelles giclées successives qui m'atteignent l'une au front, l'autre à la joue droite.

L'homme a indéniablement de la ressource. Je repense à cette notion de "corne d'abondance" qu'Angela avait trouvée pour qualifier les éjaculations de Luc et Lionel. Je me redresse. Je sens le sperme qui coule entre mes seins, sur mon ventre. Je tente ma chance, sans certitude :
- Laurent ?

Pas d'applaudissement. Je suis déçue, bien sûr, mais en même temps, je sais que cela m'assure d'avoir cette nuit les trois militaires dans mon lit. L'homme qui vient d'éjaculer sur mon visage me tend une serviette et dit :
- Dommage...
Je reconnais la voix de Marc. Tandis que je m'essuie, j'interroge sur un point de règle :
- Si je confonds Marc et Laurent, cela signifie qu'ils gagnent tous les deux une place dans mon lit ?

C'est la voix de Luc qui me répond (logique, c'est lui qui accepte ou non que sa copine se fasse tringler par d'autres) :
- Disons que c'est l'accumulation des erreurs qui permet de décider.
- Et donc ?

- Donc, il me semble indispensable que tu apprennes à mieux connaître nos trois invités pour être en mesure de les distinguer les uns des autres.
- Tu... Tu es d'accord avec ça ?
- J'ai établi les règles et je savais ce que je risquais. Maintenant, avant qu'on aille se coucher, j'aimerais te remercier pour ta persévérance.
- Ah oui ?

- Oui. Tu nous as tous fait jouir, parfois même plusieurs fois, donc il me semble juste qu'on essaye tous de te faire jouir avant qu'on aille se coucher.
- Mais... vous êtes cinq... Cinq orgasmes, je ne sais pas si je vais pouvoir...
- Comme tu es très excitée, je pense que si on dispose chacun de trois minutes, cela devrait suffire aux plus agiles d'entre nous.
M'appuyant à la baie vitrée, je vois un homme s'approcher et s'agenouiller devant moi. J'écarte un peu les jambes et sens sa langue contre mon abricot.

Je ne pense pas qu'il s'agisse de Luc ou de Lionel que je pense pouvoir distinguer. Cette langue me semble nouvelle, c'est celle d'un des trois militaires. Le coquin s'aventure aussi loin que ma position debout le lui permet, glissant sa langue entre mes lèvres trempées.

S'il parvient à me faire généreusement mouiller, ce garçon ne parvient pas à me donner un orgasme avant que Luc ne signale la fin du temps imparti :
- Trois minutes ! C'est fini Milo.
Milo s'écarte et je sens qu'un filet de cyprine s'échappe de ma fente.

Je suis un peu frustrée, car j'aurais bien voulu avoir un orgasme. J'espère que le suivant sera Luc : je sais qu'il est en mesure de me faire grimper au rideau en moins de trois minutes. Je me mets en position : je tourne le dos à ces messieurs, cuisses écartées et je me penche sur le canapé.
- Qui prend la suite ?

Un garçon s'approche et s'installe. Sa langue se pose sur mon coquillage, mais bouge à peine. Je me mets à bouger moi-même en ondulant de la croupe pour mieux profiter de cette langue qui manque d'initiative. J'entends des rires derrière moi. On se moque. L'homme s'écarte. Je suis si excitée que je sens encore la cyprine s'écouler.

- Hey, on n'a pas encore atteint les trois minutes !
Mon amant inconnu revient. Je sens son souffle tiède sur ma chatte, puis remonter. Je pousse un petit cri de surprise au moment où sa langue commence à me lécher l'anus.

Lionel met fin à ce pourtant délicieux anulingus :
- Luc, c'est terminé.
- Quoi ? C'était toi Luc ? Tu n'as pas été aussi reconnaissant que tu l'avais annoncé...
Tout le monde rigole de ma gentille petite moquerie. Je décide de changer de position pour la suite et je m'assois, cuisses écartées.
- À qui le tour ?

Un homme s'approche. Le collyre commence à perdre de son efficacité et il me semble reconnaître la silhouette de Lionel. Il s'agenouille devant moi et tend la main entre mes cuisses, me doigtant la moule :
- Dis donc, ce n'est pas un cunnilingus qui est prévu dans la règle du jeu ?

- Si, ça vient...
Sa voix me confirme qu'il s'agit de Lionel.
- Tu gaspilles ton temps...
L'instant d'après, je ne me moque pas de lui, car sa tête est entre mes cuisses et sa langue fait des merveilles sur mon minou.

Il ne lui faut qu'à peine une minute pour me donner l'orgasme tant attendu. Alors que mes cuisses et mon bassin sont secoués des soubresauts du plaisir, Lionel s'écarte et me laisse avoir mon orgasme seule, exposée aux regards de ces messieurs dont le silence m'indique le niveau d'excitation à me voir jouir ainsi.

Quand je recommence à émerger, les garçons applaudissent. J'exprime ma gratitude à mon amant pour son efficacité, là où mon propre copain avait échoué lamentablement :
- Bravo, Lionel. J'en avais bien besoin de cet orgasme.

Je me laisse aller en arrière sur le canapé :
- Le collyre commence à perdre son effet. On va aller se doucher et puis après aller se coucher.
- Ah non, ma chérie, dit Luc. Il reste encore Marc et Laurent.
Je me demande presque si Luc ne veut pas m'épuiser pour que je ne puisse pas profiter de mes trois militaires pendant la nuit.

- Je me lance.
Je reconnais la voix de Marc. Même si j'ai déjà les cuisses écartées, il m'ouvre les jambes encore plus largement, faisant s'écarter naturellement les lèvres de ma minette. Quand sa langue vient me l'explorer, c'est un délice immédiat.

Lionel et Milo l'encouragent :
- Allez Marc ! Tu peux le faire !
Je confirme qu'il est sur la bonne voie quand je sens les petites décharges qu'il me donne à chaque fois que sa langue vient balayer mon clitoris.

Je me sens partir. Je ne sais pas à combien est le décompte, mais je pose ma main sur sa tête pour l'empêcher d'arrêter alors qu'il est en si bonne voie. L'orgasme est là.
- Ooooooh ! Oooh... Aaaaah oui... Ouiiiiiii... Oh Marc...

Je pense que les garçons lui ont laissé plus de temps que prévu pour que je puisse aller jusqu'au bout de mon orgasme. Quand je reprends mes esprits, je ne sais pas s'il s'est écoulé vingt secondes ou vingt minutes. Portant la main à ma moule hyper-sensible, je constate que celle-ci dégouline de cyprine.

J'ai à peine le temps de me remettre que je sens les mains de mon dernier amant se poser sur mes cuisses. Même si je commence à mieux distinguer ce qui se passe autour de moi, je devine seulement qu'il s'agit de Laurent. Sa langue vient me lécher délicieusement la minette.

Je m'apprête à lui dire que je suis trop fatiguée pour jouir encore quand un nouvel orgasme me terrasse. La langue du chef se concentre sur mon clitoris et je pars à nouveau dans les affres du plaisir. Il ne se retire que quand mes soubresauts le forcent à m'abandonner. Alors que je jouis, encore et encore, à la vue de mes quatre amants, je sens une quantité conséquente de cyprine s'échapper de ma fente aux lèvres écartées.

La voix de Luc me sort de ma torpeur dans laquelle m'a plongé cet orgasme.
- Ma chérie, tu vas pouvoir aller te doucher. Trois vigoureux militaires t'attendent dans la chambre.
- Avec ce qu'on vient de faire, ils ont encore la force de continuer ?

- Prends le temps de te doucher et repose-toi un peu.
Luc m'aide à me relever.
- Merci. Mais tu ne regretteras pas ce qui va se passer ?
- Si tu laisses la porte ouverte pour que je puisse pendre quelques photos, ça me va.
- Pffff... Quel pervers tu fais !
