Chapitre : Parc de jeux

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Laura regarde la structure de jeu :
- J'ai rarement eu l'occasion de jouer dans ce genre de structure quand j'étais gamine. J'avoue que ça me tente...
- N'hésitez pas. C'est l'occasion.
- Cela va me faire rajeunir !



Rejoignant la structure de jeu, Laura en fait le tour pour voir tout ce qu'elle peut y faire pendant que le photographe ajuste son matériel. Quand Laura le retrouve, elle lui demande :
- Alors, je fais quoi ? Je m'amuse comme si j'avais dix ans ?
- Vous avez sûrement une âme d'enfant, non ?
- Certaines choses ont un peu changé, vous savez...
La jeune fille tire sur le décolleté de son débardeur pour exhiber sa poitrine bien ronde.



Jean-Paul en profite pour faire quelques photos avant qu'elle ne se rajuste :
- Il a fallu que j'arrive au lycée pour que ma mère m'achète des soutifs. Ma dernière année de collège a été un peu difficile avec les garçons car mes seins étaient déjà bien formés et je devais prendre des vêtements un peu amples pour que ça ne se voie pas trop...
Laura chevauche une structure de jeu et, cuisses écartées, révèle son entrejambe dénudée.



Jean-Paul demande en rigolant :
- Et les culottes aussi, vous ne les avez eues qu'en lycée ?
- Non, mais j'ai le souvenir d'une fois où, à seize an, j'avais eu un accident. J'étais avec des copines sur une structure de ce genre et je rigolais tellement que je me suis pissée dessus. J'ai donc mi ma culotte à la poubelle et ai terminé l'après-midi sans rien sous ma petite robe. J'ai bien vite repéré les regards pervers d'hommes qui profitaient de mes galipettes pour se rincer l'œil sur ma minette...



Jean-Paul hausse les épaules :
- Les hommes sont faibles, vous le savez.
- Tant que ce ne sont que des regards, ça ne me pose pas de problème.
Laura se lève et se retourne pour rajuster sur ses fesses sa jupe remontée sur sa taille.



Le photographe exprime sa déception :
- Dommage, c'était joli la jupe retroussée comme ça...
- Petit coquin... Vous aussi vous voulez vous rincer l'œil sur ma minette ?
S'asseyant, la jeune fille écarte les cuisses et laisse Jean-Paul photographier sa fente nue.



Jean-Paul répond :
- On ne peut rien vous cacher. Même si le fait d'immortaliser cette magnifique chatte fait perdre le plaisir de l'instant de la découverte d'un moment volé.
- Alors ne prenez pas de photo et rincez-vous l'œil !
- Nous ne sommes pas là pour ça. Par contre, je pense que ça peut être intéressant que vous montiez en haut de la structure et que vous retiriez quelques vêtements.
- Cela va m'exposer à plusieurs centaines de mètres à la ronde, non ?
- Certainement, mais il n'y a personne, vous savez.

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