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Boris
15 avril 2024
00:56:00
message 35981
Un nouvel épisode ?

Boris
15 avril 2024
00:56:59
message 35982


Angela - épisode 19 : L'île aux trésors

Lundi 1er août 15:22


Luc ne réfléchit pas longtemps à la suite du programme :
- Et si nous allions profiter de la piscine ?
Je trouve effectivement que c'est une excellente idée. Luc attrape une serviette de bain et, nu comme un ver, va rejoindre le bassin. Je le suis, mais je marque un temps d'hésitation en voyant que Johann travaille à proximité dans le jardin.



Luc se moque évidemment de moi :
- Et bien quoi ? Tu viens de te donner en spectacle devant lui et là ça te gêne de te baigner à poil ?
- Je sais, c'est ridicule... La pudeur, ça ne se commande pas.
- C'est vrai que je ne t'ai pas trouvée particulièrement pudique tout à l'heure quand tu livrais à son regard tes cuisses grandes ouvertes.
- Je n'ai pas d'explication à te donner. Et tout cas, toi, ça ne semble te poser aucun problème.
- Comme tu peux le voir. Te voir t'exposer m'excite.



Luc affiche une belle érection, ce qui m'émoustille évidemment.
- Toujours de l'épicurisme ?
- Exactement. Et aussi parce que c'est tout simplement très agréable d'être à poil, de sentir le soleil sur la peau, l'air tiède. Tu ne trouves pas ?
- Si, c'est vrai que c'est bon.



- Je suis content que tu ne considères pas cela uniquement comme de la perversion.
- Pas uniquement, mais tu reconnais toi-même qu'il y en a un peu.
- De ma part, tu le sais. Pour Joann, ce n'est pas certain.
C'est vrai que Joann jardine tout nu dans le parc et ne semble pas s'occuper de notre présence.



- Ou c'est un gentleman qui sait maîtriser ses pulsions.
- Ah, oui. Alors là, c'est sûr que moi je suis un vaurien avec ma pulsion qui se dresse impudiquement.
- Toi, tu n'as aucune pudeur ? Tu n'éprouves aucune gêne à t'exposer ainsi devant Joann ?



- Bah, non. Je sais qu'il ne s'intéresse qu'à toi.
- S'il était homo ?
- Il ne m'a pas semblé être homo...
- Oui, mais s'il était bi ?
L'idée que les garçons puissent s'amuser entre eux me donne chaud au ventre et j'espère que Luc ne se rend pas compte de ce trouble.



- Je ne pense pas que ça me dérangerait.
Luc descend dans le bassin. Même s'il dit ne pas être embarrassé par le regard d'un autre homme, je vois que son excitation retombe depuis qu'on aborde ce sujet.
- Qu'il puisse te juger ? La taille de ta queue ?
- Bah, non. Je pense qu'il s'en tape.



- Parce que tu ne te projettes pas, mais si c'était une jolie jardinière nue, tu t'exposerais ainsi devant elle ?
- Ah oui, d'autant plus !
Je rigole :
- Hihi, tu n'es définitivement pas un gentleman.



- Non, mais toi tu es trop pudique et tu te poses trop de questions chiantes. Viens donc te baigner au lieu de rester devant la porte vitrée.
- Je ne suis pas certaine de vouloir me baigner.
- Dans ce cas-là, quel est l'intérêt d'avoir une piscine à disposition ?
- Pour le cadre. Et ça ne veut pas dire que je ne me baignerai pas dans une heure. Là, je veux juste m'allonger et profiter du soleil.



Luc part en dos crawlé et s'arrête en plein milieu du bassin :
- Si tu me rejoignais, tu pourrais profiter d'autre chose.
- Oui, je pense voir à quoi tu fais référence : le grand mat qui se dresse sans voile ?



- Ou bien tu considères que je suis retourné et qu'il s'agit de la quille qui assure ma stabilité.
Je rigole tandis que je m'assois sur un transat :
- Haha, c'est un point de vue, effectivement. Toutefois, je dirais plutôt le gouvernail.



- Un gouvernail ?
- Oui, je crois que cet équipement est celui qui dirige tout le navire, non ?
- Héhé, oui ! Tu as certainement raison.
Il se redresse, présentant fièrement son gouvernail qui semble avoir mis le cap vers moi.



Je me moque de lui :
- Malheureusement, un bateau se doit de rester à flot et je suis trop loin dans les terres.
- Tu ignores que l'homme est amphibie ?
- Ah ? Tu viendrais donc jusqu'à mon île pour me ravir mon trésor ?



- J'y suis tout disposé et je remuerais ciel et terre pour le trouver.
- Oh, il n'est pas très bien caché, tu sais.
Je m'allonge sur le transat et écarte les cuisses pour dévoiler mon coquillage à mon pirate.



- Ah bah non ! S'il n'y a pas de chasse au trésor, cela perd tout son intérêt.
- Je rêve! Tu abandonnes la partie ?
- Pas du tout, mais je pense qu'un tel trésor doit se mériter. Même si je vois que tu me l'offres de bon cœur, j'estime qu'il me faut le gagner.
Le goujat ! Il refuse de me faire l'amour !
- Méfie-toi qu'un autre pirate pourrait passer par là et te ravir ce qui te revient de droit.



Luc sourit et observe Joann qui est en train de ramasser des abricots qu'il met dans un seau posé dans une brouette à côté de lui.
- Ma Juju, tu penses à ce pirate-là ?
- Lui ou n'importe quel autre...
- Celui-ci est occupé et le reste de la mer semble très calme. Laisse-moi juste le temps de trouver un moyen de gagner ce trésor de manière juste.



- Tu as tort. Il est à portée et Dieu seul sait s'il le sera encore quand tu auras décidé quelle est ta quête.
Je rouvre les cuisses pour le faire craquer. Mais le pirate résiste :
- Aide-moi à la trouver, cette quête !
- Débrouille-toi... Et fais vite, car j'ai de plus en plus envie qu'on vienne me ravir mes bijoux.



- Est-ce qu'un combat épique contre un monstre tentaculaire peut constituer une quête suffisante ?
- Oui, mais je ne sais pas où tu vas trouver ça ici. Dommage d'ailleurs, je me laisserai bien palper par les tentacules gluants d'une créature libidineuse.
- Olala... Ne serait-ce pas un peu pervers comme fantasme ?
- Si tu me sauves de cette créature, ce sera entre l'épique et l'épicurien...



- Héhé, j'aime assez l'image.
Joann s'approche alors avec sa brouette contenant plusieurs seaux pleins d'abricots :
- Dites, Lionel m'a demandé de vous proposer quelques abricots. Est-ce que ça vous tente ?



J'ai du mal à me concentrer sur sa question tant mon attention est attirée par sa nudité et son corps musclé, mais je parviens à réagir :
- Oh oui, merci !
Il sort alors un seau et me l'apporte.
- Un seau complet, Joann ? On ne va jamais pouvoir manger tout ça !
- Il y a des bocaux vides disponibles sous l'évier de la cuisine. Vous pouvez en faire des confitures ou de la compote.
- C'est drôlement gentil, merci. Je vais m'en occuper.



Mais avant que je ne me lève, Luc rejoint Joann et attrape le seau :
- Laisse, ma chérie, je m'en occupe.
- Mais je peux m'en occuper puisque je ne fais rien.
- Si : tu bronzes. D'ailleurs passe un peu de crème si tu ne veux pas brûler.
Il me tend le flacon de lotion solaire. Je suis surprise, mais ravie :
- Merci, gentleman.



Je commence à m'en mettre sur les cuisses. Sans le regarder, je prends conscience de la présence de Joann et qu'il me regarde. Sans doute que, de la cuisine, Luc nous observe par la fenêtre. Je l'entends me crier :
- Et mets-en bien partout. Si tu bronzes cuisses écartées, ce serait con de prendre un coup de soleil sur ton entrecuisse.
Je le prends au mot et me mets un peu de lotion sur l'intérieur des cuisses et me l'étale en insistant particulièrement sur les lèvres de ma minette.



Bien sûr très rapidement, l'onction se transforme en caresse et je me retrouve vite à gémir tandis que mes doigts taquinent mon clitoris. Et Luc, joueur, en rajoute une couche :
- Et fais attention à ne pas trop t'approcher de ton coquillage. À chaque fois, tu as du mal à résister à ne pas te masturber.
Quel salaud ! Mais quel stratège ! Il oriente la scène pour mon plaisir et pour contenter mon spectateur. Je laisse donc mon index et mon majeur investir ma fente.



Je sais que Joann m'observe toujours, quand je tourne la tête dans sa direction, je fais mine de découvrir sa présence et retire mes doigts, mais garde les cuisses ouvertes.
- Oh Joann, excusez-moi. Je pensais être seule et je suis incorrigible.
- Il n'y a pas de mal. Le naturisme peut facilement avoir des effets de bord.



Quand je vois son sexe déjà bien gonflé, je me dis que c'est un bien bel effet de bord. Je décide de continuer à l'exciter.
- Je dois prendre garde à ne pas attraper de coup de soleil. Luc veut que je sois bronzée même ici, mais c'est un endroit où la peau est plus sensible.
- Je... je... c'est certain.
- Et c'est déjà si brûlant...
J'écarte les cuisses en grand et expose ma moule.



Je pense que je l'ai accroché puisqu'il ne semble pas du tout enclin à retourner travailler. Je le taquine :
- Et vous allez en faire quoi de tous ces abricots ?
- De ces... ? Ah, oh oui. Les abricots. Lionel m'en laisse une partie et il récupérera le reste en fin d'après-midi.
- D'ici là, j'aurai un peu bronzé, même mon petit abricot.



- Je... je vais retourner pour...
- D'ailleurs, vous les aimez comment les abricots ? Bien fermes ou plutôt juteux.
Machinalement, les yeux rivés entre mes cuisses, Joann me répond :
- Plutôt juteux, je crois...



Là, je ne savais plus s'il parlait de ses goûts pour le fruit ou s'il parlait de mon abricot dégoulinant de cyprine. Je suis certaine que Luc nous espionne toujours :
- Luc ! Je n'y arrive pas...
- Quoi donc ma chérie ?
- À me mettre de la crème sans me caresser...



- Ma pauvre, il faut pourtant que tu te protèges du soleil.
- Tu peux venir m'en mettre ?
Je devine quelle va être sa réponse. Sans doute qu'on est sur la même longueur d'onde, je ne suis pas surprise :
- Ma Juju, je suis occupé avec les abricots. Demande à Joann.
Je saisis le flacon et regarde Joann qui a parfaitement compris ce qu'on attend de lui.



Il saisit le flacon et semble ne pas savoir par où commencer.
- Je... je vous en mets où ?
- Je crois qu'il faut en mettre partout pour être sûr : les seins, le ventre, les cuisses. Il ne faudra rien oublier bien sûr...



Comme il dirige le spray vers mes épaules, je l'arrête :
- Mettez-en plutôt dans vos mains pour l'étaler ensuite.
- D'accord...
À quelques centimètres de moi, j'ai à portée de mains son sexe magnifique, déjà bien gonflé.



Je m'allonge et me laisse aller. Je ferme les yeux, espérant mettre Joann plus à l'aise et lui facilitant la prise d'initiative. Ses mains glissent sur mon corps. Je repense à la quête de Luc et à la créature tentaculaire qui viendrait à l'assaut de mon île pour me voler mon trésor. Je m'imagine que Joann est cette créature et qu'il est en train d'explorer chaque parcelle du lieu pour dénicher ma cachette secrète.



Ses mains restent sur mon ventre, sans doute trop timide pour oser explorer plus loin toutes les richesses de mon île :
- Il ne faut pas rester dans la plaine. Vous pouvez aussi visiter les montagnes et la crevasse.
- Pardon ?
Évidemment, il ne comprend pas vraiment ma métaphore. Je dois donc être plus explicite :
- Il y a d'autres parties de mon corps qui méritent votre protection...
Il me sourit et empoigne avec plaisir mes seins aux mamelons tendus.



- Mmmm, voilà. N'hésitez pas...
Le jardinier qui maîtrise si parfaitement son érection semble avoir perdu tout contrôle. Son sexe semble énorme. Je le vois, dressé, se balancer au-dessus de moi, au rythme des mouvements de mon masseur.



Sans doute à cause de l'altitude des montagnes, la pression atmosphérique se fait plus importante, d'où l'importante tension de l'organe de Joann.
- Joann, c'est très agréable de se faire mettre de la crème par un homme.
- Juliette, attention... Votre phrase peut être à double sens...
- Hihi, oui, excusez-moi.



- Il n'y a pas de mal. Je prends aussi beaucoup de plaisir à vous passer de la crème. Mais ça, vous vous en rendez bien compte.
- Oui, vous les hommes, vous savez rendre hommage aux femmes de manière très ostentatoire.
- C'est effectivement difficilement dissimulable...
- Nous c'est plus discret. D'ailleurs, je veux bien que vous mettiez un peu de crème aussi plus bas.
Son sourire laisse entendre qu'il a compris. Ses mains descendent jusqu'à mes cuisses et passent de la crème en effleurant mon abricot.



Je feule à chaque fois que ses doigts entrent en contact avec les lèvres de mon sexe. Joann doit le sentir. Je ferme les yeux. Ma respiration est plus poussée. Sa main se pose sur mon pubis. Ses doigts glissent sur ma fente. J'ai une folle envie qu'il me pénètre. Mais Joann prend son temps. Son autre main repart à l'exploration de mes seins, de mes épaules.



- Juliette. Je dois vous avouer que c'est difficile pour moi...
Je rouvre les yeux.
- Difficile ?
- Oui, vous passer ainsi de la crème est particulièrement excitant et j'espère pouvoir garder le contrôle, mais je ne peux pas vous garantir d'y parvenir.
Son sexe est effectivement monstrueusement bandé.



- Et bien tant pis. Vous avez vu que j'ai toutes les peines du monde à ne pas me caresser quand je me passe de la crème, alors je ne vais pas vous en vouloir si vous succombez.
- Succomber ?
- Hihi, oui, j'ai bien compris ce que je risque.
Comme ses doigts commencent à explorer un peu plus avant ma fente, je saisis son membre turgescent qui palpite entre mes doigts.



Sans doute interprète-t-il cela comme une invitation à aller plus loin. Il aurait pu venir se mettre entre mes cuisses et me pénétrer, je l'aurais laissé faire tant j'avais envie d'être prise. Je me sens presque aussi salope que j'imagine Angela pouvait l'être. Mais Joann prend son temps. Il enfonce deux doigts dans ma chatte dégoulinante de liqueur et commence un lent va-et-vient.



- Mmmmmh, Joann...
Il se déplace. Va-t-il me prendre ? Il est entre mes cuisses. Je sens son souffle sur mon ventre. Va-t-il me faire un cunnilingus ? Ses doigts reprennent contact avec mon sexe et débusquent mon clitoris dardé. Il tourne, il me rend folle. Je suis prête à le supplier de me pénétrer.



Pourquoi ne le fait-il pas ? N'a-t-il pas envie ? Ne me désire-t-il pas ?
- Joann, s'il vous plaît...
Mais au lieu de ça, il pose le pouce de sa main droite sur mon petit bouton et le torture délicieusement tandis qu'il me pénètre de trois doigts.



L'orgasme est proche d'arriver. Mais Joann s'arrête soudain et jure :
- Merde !
Je redresse la tête pour voir son sexe avoir un soubresaut et laisser échapper un petit jet de sperme.



Il semble complètement désemparé. Un nouveau jet est propulsé et m'éclabousse le ventre. Je m'amuse de voir cela se faire et tente de le rassurer :
- Joann, c'est très bien. Laissez faire.
Mais alors que ses couilles se contractent à nouveau pour expulser une nouvelle giclée de semence, Joann s'empare du canon indomptable et l'enserre de ses doigts pour le faire taire.



Je lui prends le poignet et lui sourit :
- Laissez. C'est trop tard. Il faut que ça sorte.
- Mais je...
Il me laisse retirer sa main et l'éjaculation libérée m'atteint jusqu'à la poitrine.



Malgré la frustration de mon orgasme avorté, je rigole de voir notre jardinier éjaculer ainsi, alors que je le croyais totalement maître de son sexe. Il semble lui trouver cela vexant :
- Je... Je vous avais prévenu... Je suis désolé Juliette.
- Ne le soyez pas. C'est un beau cadeau pour une femme de lui montrer ainsi à quel point elle est excitante.



Quelques gouttes s'échappent encore à chaque soubresaut de son membre toujours bandé.
- Mais je vous en ai mis partout. D'habitude, je me contrôle mieux que ça.
Je me redresse :
- C'est ma faute... Je me suis amusée à vous exciter.



- Quand même. J'avais bien compris votre petit jeu, mais je croyais pouvoir me maîtriser. Je vais chercher une serviette pour vous essuyer ça.
- Ne vous donnez pas cette peine. Étalez-moi tout ça sur la peau comme si c'était de la crème solaire.
- Mon... mon sperme ?
- Oui. Vous me devez bien ça.
Un peu déconfit, le pauvre jardinier s'exécute, étalant de ses mains sa semence sur ma peau bronzée.



Et que ses doigts s'approchent de mon abricot, je lui rappelle ce qu'il a laissé inachevé :
- D'ailleurs, vous étiez bien affairé avant cet incident amusant, non ?
Pas besoin de lui en dire davantage. Ses doigts reprennent leur exploration de ma fente humide.



- Mmmmmh, Joann, c'est si bon, le soleil sur ma peau et vos doigts entre mes cuisses. Vous faites cela avec toutes les locataires de la villa ?
- J'avoue que vous êtes la première...
Il fait aller et venir lentement deux doigts dans ma fente. Ma main part à l'exploration pour saisir son sexe que j'imagine toujours en érection.



Il m'écarte la main et me fait signe qu'il ne préfère pas. Je l'interroge :
- Pourquoi ? Vous avez déjà éjaculé. Vous êtes tranquille.
- Pas si sûr...
J'obéis et le laisse se concentrer sur la masturbation qu'il me prodigue.



Son autre main me caresse le ventre et remonte à mes seins, s'amusant à agacer mes mamelons.
- Ohhhh, Joann... Je vais bientôt jouir... Mmmmmmh...
Je ne sais plus combien de doigts ont envahi mon vagin et me fouillent délicieusement, mais l'orgasme est là. Mon bassin et mes cuisses sont prises de convulsions. Je jouis.



Je suis à demi-consciente quand je l'entends à nouveau jurer :
- Oh merde...
En entrouvrant les yeux, je le vois repartir dans une nouvelle explosion de sperme.



Je reçois plusieurs giclées au visage et sur la poitrine. Cette fois-ci, Joann ne semble pas vouloir bloquer la montée de sa sève. Il éjacule généreusement, sans retenue. Tout sur moi.
- Rhaaaa, Juliette...



Un dernier filet de sperme s'échappe de son membre turgescent. Encore sous le coup de mon orgasme, je suis stupéfaite, fascinée.
- Joann, c'est incroyable...
- Oh, je... je ne voulais pas.
Il semble horrifié de voir qu'il vient de m'éjaculer au visage. Moi, ça m'amuse de le voir perdre son fier contrôle.
- Tout va bien Joann. Ce n'est qu'un peu de sperme.



Joann semble peiner à retrouver son souffle. Il a reculé d'un pas et a le regard qui alterne entre mon visage souillé de sa semence et la villa, sans doute inquiet que Luc puisse avoir vu la scène. Pourtant, je suis convaincue que mon copain n'a rien manqué et qu'il bande à tout rompre. Je rassure Joann :
- Pour faire disparaître ça rapidement, le mieux reste encore de l'étaler comme tout à l'heure.
- Mais vous allez empester le sperme.
- Je dirai à Luc que la crème solaire est périmée...



Joann se rapproche de moi et reprend à étaler sa semence depuis mes joues et mon cou jusqu'à ma poitrine. Je surveille son érection qui est encore si proche de mon visage et ne semble pas vouloir s'apaiser. Il voit mon regard :
- Héhé, je crois que ce sera tout. Ne vous inquiétez pas...
- Oh, mais je ne m'inquiète pas.
Juste que j'envisageai éventuellement d'appliquer un nettoyage buccal à ce beau membre englué de quelques filets de sperme. Mais Joann passe derrière moi pour s'occuper de mes seins sous un autre angle et éloignant de ce fait l'objet de ma convoitise.



Nous entendons alors la voix de Luc depuis l'intérieur de la villa :
- Tout va bien, ma chérie ? Vous vous en êtes sortis avec la crème ?
Joann prend le parti de retourner diplomatiquement à ses occupations végétales. Je me redresse et j'élève ma voix pour que Luc entende ma réponse :
- Oui, Joann m'en a mis plein partout.



Bien sûr, ma phrase est volontairement équivoque et Joann se retourne vers moi en souriant. Quand Luc apparaît à la baie vitrée, Joann trouve encore à s'éloigner, apparemment mal à l'aise. Luc me sourit :
- Tu es magnifique.
- Tu l'as vu éjaculer ?
- Oui, les deux fois.
- Il m'en a mis partout et il a bien tout étalé.



Luc a le sexe gonflé. Je lui demande :
- Tu t'es branlé en nous regardant ?
- Oui, un peu. C'était très excitant.



- Tu n'as pas éjaculé ?
- Non, je me réserve.
- Tu veux m'en mettre un peu plus ?



- Je crois que tu as eu ton compte. Si j'ai bien vu, il t'a donné un orgasme.
- Avec les doigts, ça compte ?
- C'était un orgasme quand même.



- C'est vrai... D'ailleurs, je dégouline encore de mouille...
- Fais-moi voir ça.
Je me lève et lui tourne le dos. J'écarte les fesses pour qu'il puisse voir ma moule luisante de cyprine.
- Tu vois ?



- Oui, mais je t'aurais imaginée plus excitée...
- Je ne sais pas ce qu'il te faut !
Je me retourne et le vois écarquiller les yeux au moment ou un filet de ma liqueur s'échappe de ma fente. Luc n'a donc plus de doute.
- Ah oui, là, c'est indéniable.



- Tu me fais l'amour, Luc ?
- Là, sur la terrasse ? Avec Joann qui regarde ?
- Oui.
- Si ça ne te dérange pas, ma Juju, je pense que ce sera plus confortable dans le salon et Joann pourra toujours nous observer par la baie vitrée.
- OK. Je prends une douche avant, car j'empeste quand même le sperme.
Je me glisse sous la douche qui est à côté de la piscine et procède à un nettoyage rapide sous l'eau tiède.



Luc me regarde et semble heureux de me regarder me doucher :
- Tu aimes le spectacle ?
- Tu es ravissante. J'ai une chance inouïe.
- Viens donc me rejoindre.



Luc hoche la tête :
- C'est tentant, mais je préfère t'attendre dans le salon.


Lisa
16 avril 2024
23:00:43
message 35983
Je ne connaissais pas cette version de l'Île au Trésor, mais je le trouve originale et très excitante ;)
Merci Camille et Boris :)

Bob1234
22 avril 2024
12:08:04
message 35984
Gros bijou de famille .😁😁 (ile aux trésors)
Lisa est ce que le mot trésor prend un majuscule?😊😊


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