Chapitre : La grange

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Continuant sur le sentier, Laura arrive à une large zone où la forêt s'interrompt. Elle se dit que ce n'est pas de chance car, si l'orage éclate, elle n'aura même pas un arbre pour se mettre à l'abri. Alors qu'elle en est à ces réflexions, un petit vent frais se lève, comme l'avait annoncé les deux vieillards. Elle trouve cela finalement plutôt agréable en cette période de canicule.



Mais cela signifie aussi que l'orage est proche et que la pluie ne va pas tarder. Elle hésite à rebrousser chemin, mais se dit que de toute façon, le prochain bus n'est pas pour tout de suite. Et à la réflexion, elle a tellement subi l'écrasante chaleur du soleil, qu'un peu de pluie ne lui fera pas de mal. Quand les premières gouttes tombent, Laura les accueille avec plaisir.



Mais un orage d'été, ce n'est pas que quelques gouttes. En moins d'une minutes, Laura se trouve complètement trempée de la tête au pied. Elle aurait plongé habillée dans une piscine que l'effet ne serait sans doute pas différent. Sa jupe lui colle aux fesses et son débardeur est devenu totalement transparent et s'ajuste à ses seins comme une seconde peau.



Ne pouvant rien y faire, Laura décide d'avancer en espérant trouver un endroit plus accueillant. La pluie s'arrête bientôt, avant même qu'elle n'atteigne la lisière des arbres. Le soleil commence à revenir et elle accueille cette fois-ci avec plaisir son retour. Elle apprécie de sentir les rayons brûlant commencer à chauffer son débardeur et sa jupe. Elle se dit qu'il ne faudra pas longtemps pour que ça sèche.



Si le débardeur collé au sein offre un spectacle particulièrement sexy, Laura déplore qu'il n'y ait pas un seul garçon pour en profiter. D'autant que cela lui fait froid aux seins. Elle se dit alors que, puisqu'elle est seule, rien ne l'empêche de soulever son peu son débardeur pour que ses seins prennent un peu le soleil. Après avoir vérifié, pour la forme, qu'elle est effectivement seule, la jeune fille soulève son débardeur.



Ses seins sèchent vite et le soleil qui vient les caresser est très agréable. Toutefois, le débardeur est tellement détrempé que, en boule au-dessus de sa poitrine, il ne peut pas sécher ainsi. Laura se dit que ça risque de mettre finalement plus de temps que prévu pour que ça sèche. Puisqu'elle est seule, elle envisage donc de retirer tous ses vêtements pour les étendre.



Elle retire ses vêtements dans l'espoir qu'ils sèchent et patiente un peu. Après quelques minutes, elle voit qu'un second orage approche.

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