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Lisa
2 février 2012
2. Week-end à Bordeaux

Quand j'arrive chez mon amie, Séverine, elle m'accueille avec un sourire gêné.
- Écoute je suis désolée...



- Y'a un problème ?
- Non... enfin, oui. En fait, un ami m'a donné rendez-vous ce soir et je n'ai pas su refuser.
- Un ami ou un potentiel amoureux ?
- Ah, je suis contente que tu comprennes ! C'est mon premier rendez-vous avec lui et j'y place beaucoup d'espoir.
- Tu préfères que j'aille dormir à l'hôtel ?
- Non, non, Antony m'invite au restaurant et ensuite je pense qu'on ira chez lui, si tout se passe bien... C'est juste que ça me gène de te laisser toute seule ce soir alors que tu viens de faire tout ce voyage pour venir me voir.
- Oh, ne t'inquiète pas...
Je repense à mon voyage qui a été une aventure incroyable. Je me dis que ce n'est sans doute pas le moment de lui en parler.


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- Au fait justement, ton voyage s'est bien passé ?
- Pas mal du tout ! Le trajet a été l'occasion de rencontrer pas mal de gens et j'ai eu quelques échanges intéressants.
Elle ne m'écoute manifestement pas. Je me dis que ce n'est vraiment pas la peine de parler de mon aventure. En revanche, je dois empester le sperme et j'espère que mon amie ne l'a pas senti...



- Par contre, je suis crevée. Est-ce que je peux prendre une douche, avant qu'on passe à table ?
- Pas de soucis. Après manger, tu voudras bien m'aider à choisir une robe pour ce soir ?


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La douche me fait le plus grand bien. Sentir l'eau couler sur ma peau me délasse presque instantanément et cette douce caresse me fait repenser à la nuit que je viens de passer. Machinalement sous l'effet de l'excitation, mes mains ne frottent plus pour laver mais caressent pour le plaisir.


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Mes mamelons s'érigent, mes doigts s'amusent à les titiller. Mon autre main plonge entre mes cuisses et passe et repasse sur les lèvres de mon entrejambe. Mes yeux se ferment. Je m'imagine en compagnie de ce beau noir qui m'avait sodomiser dans le train avec ses copains.


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Et c'est ainsi que me surprend Séverine qui vient voir où j'en suis.
- Merde ! Excuse-moi... J'aurais dû frapper...
Mes mains reprennent aussitôt leur fonction de lavage.


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Séverine reste quelques instants à me regarder avec un grand sourire, avant d'ajouter :
- Tu sais, y'a pas de honte à avoir, c'est naturel de se masturber. Je me masturbe presque tous les jours voire plusieurs fois par jours certaines fois. On n'a pas de mec, alors c'est normal de se donner du plaisir toute seule.
Je lui fais un grand sourire, sans oser lui avouer que j'ai été baisée par plein d'inconnus quelques heures auparavant. Elle sort en disant :
- Je te laisse terminer. Le repas est prêt, tu pourras descendre dès que tu auras fini.
Son intrusion m'a coupé mon excitation et je me vois mal reprendre mes caresses avant d'aller la rejoindre pour le repas.

A table, la conversation tourne très vite sur notre situation sentimentale, curieusement sans trop déraper sur le sexe. Mon amie a eu une petite aventure de quelques semaines avec un homme marié un peu plus âgé qu'elle. C'est elle qui a coupé court à leur relation, culpabilisant finalement plus que le mari vis à vis de la femme trompée. Elle s'est ensuite inscrite sur un forum de rencontre sur internet et a vite trouvé quelques interlocuteurs. Il faut dire que Séverine est particulièrement mignonne et elle m'avoue qu'elle a utilisé sur ce forum une photo où le décolleté la présente toute à son avantage. Mais beaucoup de mecs rencontrés sur ce forum sont des obsédés qui ne cherchent qu'à tirer un coup sans lendemain et, si mon amie désire elle aussi "tirer un coup", elle espère surtout une relation plus stable que le "coup d'un soir". Le garçon avec lequel elle a rendez-vous ce soir, elle l'a déjà rencontré deux fois pour boire un verre et lui a fait à chaque fois très bon effet. Elle est persuadée que ce soir sera le grand soir. Sur le ton de la plaisanterie, elle me dit :
- Et si il n'assure pas au lit, il faudra que je reprenne mes recherches !
Me voyant rire, elle ajoute :
- Tu dois me prendre pour une salope, non ?
- Oh, non ! Pourquoi ? Je ferais bien comme toi va. Un mec, si c'est pour une vie, autant en avoir un qui assure au pieu !
Je n'ose encore pas lui parler de ma nuit précédente. Si elle savait, elle ne pourrait que me considérer comme la championne du monde des salopes.

Notre repas s'achève assez tard dans l'après-midi. Séverine m'invite à aller dans sa chambre pour essayer des robes.
- Je veux quelque chose de sexy mais pas que ça fasse salope non plus.
- Wahou ! T'as une sacrée garde-robe !
Elle sort de son placard toute une série de robes qu'elle dépose sur le lit. Il y en a plein de très jolies.
- Tu as super bon goût ! J'adore !
- Tu veux en essayer ?
- Tu crois ?
- On fait la même taille, je pense que la plupart t'ira bien...
- Pourquoi pas, j'avoue que ça me tente bien !

Et nous voilà à nous mettre à poil toutes les deux dans sa chambre pour essayer des robes. Je me lâche à essayer des robes très provocantes en retirant mon soutien-gorge, voire même mon string.


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Je vois le regard interloqué de Séverine. Pour ne pas la choquer, je remets mon string. Me voyant faire, elle me demande :
- Et pour ce soir, tu crois que je dois mettre un soutien-gorge, ou pas ?
- Si tu sais déjà qu'il a de la conversation et que tu veux voir ce qu'il vaut au lit, je ne te le conseille pas !
- Ça va le rendre dingue, non ?



- Il y a des chances ! Et tu mettras une culotte ?
- Bien sûr, pourquoi je n'en mettrais pas ?
- Pour te mettre en condition...



- Quoi ?
- Est-ce que ça t'arrive de ne pas mettre de culotte ?
- T'es folle !


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- Et bien essaye... Le fait d'avoir le minou à l'air, surtout si tu es en jupe, c'est drôlement excitant. Moi, ça me fait mouiller grave et si il y a un mec qui se pointe, je ne fais pas ma farouche.
- Tu déconnes ?
- Non, j'aime bien faire ça de temps en temps. C'est sûr que ça fait salope, surtout si le mec s'en rend compte, mais ça m'étonnerait qu'un mec te le reproche... Ce sont tous des vicieux et s'ils s'aperçoivent que tu as la moule à l'air, dans cent pour cent des cas, ça les met en bonne condition pour la suite. Après c'est à toi de voir si tu veux que ça reste ton secret pour que ça n'excite que toi ou si tu veux partager ça avec le mec pour l'exciter lui aussi.



- J'oserais jamais...
- Écoute, tu sais ce que je te propose, c'est de mettre un string pour ce soir et si tu t'en sens l'envie, tu vas aux toilettes pour le retirer, c'est tout.
- Ouais, c'est vrai que je peux toujours improviser en fonction de mon humeur...



- En tout cas, si tu le retire en cour de soirée, mets-le bien au fond de ton sac à main. Je me rappelle d'un soir dans un restaurant avec un type qui me draguait, j'avais mis mon string dans mon sac à main sans prendre la peine de bien le refermer. Il est tomber par terre alors que je retournais dans la salle. Quelques personnes s'en sont aperçus, mais pas le mec avec lequel je sortais. Plusieurs mecs m'ont regardé pendant tout le reste de la soirée, j'en voyais même un dont le pantalon affichait une bosse bien marquée. Finalement je suis passé pour une salope auprès de pleins de mecs alors que j'aurais voulu que ça excite celui avec qui j'étais.
Séverine me regarde quelques instants avec un air étrange. je pense qu'elle vient de se rendre compte quand même que j'étais loin d'être une sainte-nitouche.


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Une fois la robe choisie (avec un string mais sans soutien-gorge), elle reste presque une heure dans la salle de bain à se préparer. J'en profite pour faire un somme. Je me réveille alors qu'elle finit de se préparer dans le salon. Elle m'explique comment ça va se passer pour ce soir :
- Tu as de quoi manger dans le frigo et n'hésite pas à prendre du vin, c'est un Bordeaux que j'ai ouvert hier. Tu peux t'installer dans le canapé du salon pour dormir. Les draps sont rangés dans l'armoire derrière et de toute façon, si tu as besoin de quelque chose, tu farfouilles, tu fais comme chez toi.
- Tu rentreras tard ?
- Aucune idée. Probablement... j'espère ! De toute façon je reviens au plus tard avant demain midi. Bonne soirée !


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- Bonne soirée à toi et bonne chance !
Séverine a l'air d'une collégienne qui va à son premier bal. La soirée est déjà un peu avancée, je commence à me préparer à manger. Le Bordeaux est excellent et j'en abuse un peu par gourmandise. Après le repas, j'épluche la collection de DVD de Séverine. En en tirant un pour lire la jaquette, je remarque qu'il y a une deuxième rangée derrière. Je dégage la première rangée et la pose par terre pour voir ce qu'il y a derrière. Surprise ! Toute une série de films érotiques ou pornographiques. Je suis plutôt étonnée de découvrir ça chez elle. J'en sors un dont le titre éloquent m'inspire puisqu'il semble se passer dans l'Orient-Express. Le film fait 1H40. Je regarde la pendule : 21H45. Si Séverine rentre avant 23H30, je risque d'être prise la main dans le sac. tant pis, je regarde jusqu'à 23H00 et après j'éteins... quand même peu de chance qu'elle rentre avant 23H00. Le film n'est pas récent mais les situations me refont penser à la nuit précédente et je ne résiste pas à l'envie de me masturber. Il fait hyper chaud dans l'appartement. Je regarde comment baisser le chauffage, pas moyen de trouver la commande. Il doit y avoir une commande centralisée, mais où ? Je n'ose pas ouvrir la fenêtre à cause des voisins. Je décide de me mettre nue mais de garder mon tee-shirt et mon string à portée de main. En plus, me voilà plus à l'aise pour me caresser.


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Finalement, je laisse passer l'heure et le film s'achève peu avant 23h30 sans que mon amie ne soit rentrée. Sans vraiment m'en rendre compte, je suis venue à bout de la bouteille de rouge et j'ai la tête assez embrumée. Je range les DVD et remets tout bien en ordre avant de me préparer à me coucher. Je remets mon string et mon tee-shirt pour la nuit mais la chaleur reste insupportable. Le drap a beau être léger, j'en viens à me remettre nue, me disant que de toute façon sous les draps ça ne va pas choquer mon amie. Le contact des draps sur mes seins m'excite à nouveau et je décide de m'offrir un orgasme avant de m'endormir.


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Mes doigts vont bon train entre mes cuisses. Je me remémore toute cette journée : le train, les essayages de robes, le film. Il me faut finalement assez peu de temps pour atteindre l'orgasme. Je me tords de plaisir en gémissant et, épuisée, m'endors aussitôt sans vraiment m'en rendre compte.


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Je suis réveillée vers 2H00 du matin par des chuchotements. Je ne bouge pas, faisant semblant de dormir. C'est voix de Séverine et d'un homme :
- Il fait hyper chaud chez toi !
- Oui j'ai du mal à régler le chauffage en ce moment. Non, n'allume pas la lumière, mon amie dort juste là.
Ils sont un peu bourrés, je sens au ton de la voix et aux gloussements qu'ils se sont bien trouvés et qu'ils sont rentrés ici pour conclure en beauté. J'entends qu'on s'approche du canapé, sans doute le mec. Je fais semblant de dormir mais je me rends compte que je suis totalement nue, le drap ayant glissé à mes pieds, et que j'offre à sa vue mes fesses mais sans doute aussi un peu ma moule car j'ai les cuisses un peu écartées.


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Je l'entends commenter :
- Mmmmh, drôlement bien foutue ta copine ! Elle a un mec ?
- Non et elle est carrément en manque, elle se masturbait sous la douche ce matin...
- C'est bête, faut demander, je peux rendre service moi !
- T'es con ! Viens donc me rendre service à moi d'abord.
Je les entends aller dans la chambre. Rires, chuchotements, bruit caractéristique d'un long baiser avec la langue. Au bruit qu'ils font, je suis sûre qu'ils n'ont pas fermé la porte.


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Je risque un œil. Effectivement, la porte est restée grande ouverte et cela ne semble pas les tracasser. Le mec est canon.


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Il déshabille mon amie et semble émerveillé au moment où les seins se dévoilent. Il ne résiste pas à les embrasser.



Mon amie est nue et entreprend de débarrasser l'homme de ses vêtements. Je prends conscience qu'elle n'avait plus son string. Quand le pantalon de l'homme tombe, elle reste en émoi devant le sexe déjà tendu de son amant. Moi-même ça me fait de l'effet. Elle empoigne le sexe et le masturbe tendrement.


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Lui se penche et l'embrasse dans le cou, ses mains se baladant sur tout son corps. Il la repousse sur le lit et lui écarte les cuisses.


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Il vient s'empaler en elle et commence de lents va-et-vient réguliers.


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Il a un cul superbe et je ne résiste pas à l'envie de me masturber encore.


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Ils baisent ainsi un long moment et changent régulièrement de positions.


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Puis, mon amie se met à gémir assez vite et elle jouit de manière peu discrète en gratifiant son amant de quelques "tu me baises bien", "tu es si gros en moi", etc.


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Le type ne mets pas longtemps à jouir à son tour. Je le vois se contracter, se tendre et j'imagine qu'il est en train d'éjaculer de manière intense dans ma copine. Je n'ai moi-même pas le temps d'arriver à l'orgasme mais je préfère m'arrêter, de peur d'être découverte maintenant que le calme est revenu... mais le calme est temporaire car bien vite j'entends mon amie se mettre à ronfler d'une manière incroyable.


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J'entends le type se lever et je le vois passer, intégralement nu pour aller se chercher un verre d'eau à la cuisine. Toujours un peu saoûle, je me redresse et m'assieds pour le regarder, un peu hébétée.


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Quand il se retourne, il me voit et sourit, pas gêné par nos tenues respectives :
- Bonsoir, je suis Antony. Désolé, on n'a pas été très discret. Si je peux faire quelque chose pour m'excuser...
Je ne réponds pas, toute occupée que je suis à admirer son corps nu, mais je vois qu'il me détaille.


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Et je vois aussi son sexe se gonfler et se dresser à nouveau. Je suis manifestement à son goût. Il ajoute :
- Séverine m'a dit que tu vivais seule. Une belle nana comme toi, je suis assez étonné.
Je reste muette, fascinée par son érection. Il ne peut pas ignorer mon regard fixé sur son sexe.


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Séverine ronfle plein gaz à côté, impossible qu'on la dérange. Mon excitation et l'envie de me taper ce beau mec prennent très vite le pas sur le sentiment de culpabilité éphémère vis à vis de ma copine.


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Il s'approche, me mettant son sexe devant les yeux. Je suis encore un peu pompette de la bouteille de Bordeaux que j'ai descendue et ne me rends plus vraiment compte de la situation. Je ne vois que ce magnifique sexe en érection juste devant moi. Machinalement, je le gobe et le suce un peu.


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Il a un drôle de goût, un mélange de son sperme et probablement de la cyprine de Séverine. Curieusement, je trouve ça très excitant de prendre conscience de ça. J'ai très envie de lui, qu'il me pénètre. Je me mets à quatre patte en lui tournant le dos, l'invitant à me prendre en levrette.



Le bougre se débrouille très bien. Je mouille manifestement abondamment et son sexe coulisse en moi parfaitement, me donnant aussitôt beaucoup de plaisir.



Je suis à peine surprise de le sentir tenter sa chance en appuyant son sexe contre mon anus. D'une main, j'écarte une fesse pour l'aider un peu. Ce geste d'invitation l'incite à en profiter et il plonge en moi d'un violent coup de reins, me faisant pousser un petit cri de surprise.



Fort heureusement, Séverine dort très profondément, bien qu'elle se soit retournée dans son sommeil.


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Je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier de plaisir et je lutte durement pour que l'orgasme qui m'envahit ne me fasse pas hurler.


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Je me demande si lui peut jouir à nouveau, à peine vingt minutes après sa précédente éjaculation. Je le reprends en bouche et soigne ma caresse buccale dans le but de l'achever ainsi. Fière de moi, je réussis à le faire jouir à nouveau et il me lâche d'épais jets de sperme que je ne peux totalement garder en bouche et qui s'échappent et me coulent dans le cou.


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J'avale ce que je peux et lui nettoie aussi bien que possible sa queue qui commence à décliner. Grand prince, il m'essuie le cou et les seins avec un mouchoir en papier et retourne se coucher ainsi.



Bien que la nuit est déjà très avancée, je m'endors très vite avec un sommeil profond et des rêves érotiques. Je me réveille le lendemain quand même un peu crevée mais parfaitement détendue. Je suis déjà habillée quand ils sortent de la chambre. Séverine a le sourire d'une oreille à l'autre.


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Elle ne se doute manifestement pas de l'écart de conduite de son tout nouvel amant. Elle nous présente l'un à l'autre. On joue le jeu et on s'amuse mutuellement du fait qu'on ne découvre nos prénoms que maintenant. Il s'appelle Antony. Il nous quitte après le petit déjeuner, Séverine ne tarit pas d'éloge à son sujet :
- Il embrasse divinement bien !
- Et au lit ? Vous l'avez fait ?
- J'étais un peu pompette... mais je me souviens que j'ai pris un pied d'enfer. Tu ne nous as pas entendu ?


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- Non, tu sais j'étais crevée... Mais ne le lâche pas, je suis certaine que c'est un super coup !
- Tu crois ?
- Certaine ! Il faudra qu'on se revoit pour que tu me le présentes vraiment...
Mon amie a les yeux qui pétillent. D'humeur coquine, elle me montre qu'elle n'a pas mis de culotte sous sa petite robe.


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- Et si on allait faire les boutiques en ville avant que je ne te reconduise au train ce soir ?
- Ok, mais tu ne comptes pas y aller avec cette robe ?
- Tu as raison, elle est un peu trop transparente ?
A ma grande surprise, mon amie commence à retirer sa robe devant moi.


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Elle file dans la chambre et m'appelle une minute après.
- Qu'est ce que tu pense de cette robe ?


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- Parfaite, je pense que ça reste élégant mais suffisamment sexy pour exciter quelques mecs au passage.
- Tu crois ?
- Oh oui ! On peut y aller ?


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- Si tu es prête aussi, oui.
- Oh, je voulais te demander. Hier soir, tu as gardé ton string toute la soirée ?
- Non... je l'ai retiré presque aussitôt arrivé au restaurant et ça m'a mise dans un état d'excitation indescriptible.
- J'en étais sûr. Et là, tu as mis un string ?
- Bien sûr que non !



- Tu es une petite dévergondée !
- Sur tes conseils... Et toi, tu es prête ?
- Je crois oui...


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Nous passons la journée à faire les boutiques toutes les deux et elle en revient régulièrement à sa nouvelle conquête, me parlant de lui comme si c'était l'incarnation de tout ce qu'elle a toujours désirée. Elle semble passionnément amoureuse et je n'ose pas gâcher cela en lui racontant ma bêtise de la nuit dernière. Nous passons ainsi l'après-midi sans trop surveiller l'heure tant et si bien que je manque de rater mon train de retour. Elle me conduit à la hâte jusqu'à la gare et je saute dans le train juste avant son départ sans avoir eus le temps d'acheter mon billet...

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