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J'ai 32 ans. Son frère m'en parlait depuis quelque temps: « ma soeur est libre ». Un jour il me montre une photo d'elle. Elle est blonde - fausse, mais ce n'est pas grave. Son visage est presque masculin. Elle a un pull moulant noir sous lequel on devine une poitrine lourde. ![]() images similaires Ses doigts sont couverts de bagues en or. De ces bagues de la femme opulente. Ses lèvres me plaisent. A ses oreilles des boucles créoles que dévoilent ses cheveux tirés strictement en arrière. Toujours l'or. A son cou quelque colliers qui pendent, et on les imagines collés à ses seins quand elle est nue. ![]() images similaires Elle est fascinante car elle est libre et aborde la quarantaine du haut de son mètre septante cinq. Il y longtemps que j'ai déchiré la photo mais son corps me hante encore et quand je me branle, je me souviens de nos moment torrides. Elle aime le sexe comme on aime le chocolat. Elle prit ma bouche et m'embrassa la première. Ses lèvres pulpeuses me font chavirer. Son corps est puissant, un fauve. Elle dégage une masculinité très forte et troublante. Je pense qu'elle attire les femmes et elle ne se prive pas de gouter aux plaisir saphiques. Et pour ma part, mon attirance pour sa masculinité me fait penser que je tenterai un jour d'autres plaisirs. Pour les fellations, je peux dire qu'elle est la meilleure, non qu'elle suce mieux qu'une autre, mais parce ce qu'elle a compris qu'elle pouvait dominer un homme en lui suçant le sexe et lui avalant le sperme. ![]() images similaires Elle a un certain exhibitionnisme, non qu'elle se montre nue mais elle n'a aucune gêne à parler de ce qu'elle fait avec un autre. Je la félicite pour la touffe bien taillée et elle me répond qu'à la demande de son ancien copain (qui se vidait en elle encore la semaine précédent), elle avait enfin - à quarante ans pris l'habitude esthétiquement agréable de la tailler. ![]() images similaires Je trouve que pour un homme, c'est un plaisir de prendre des ciseaux et un rasoir pour élaguer l'un ou l'autre sexe de femme. Une démarche artistique en quelque sorte, quoiqu'intéressée pour le léchage de l'entrejambe. Ce soir elle me fait plaisir. Dans sa chambre - il y a une malle pleine de tenue et d'accessoires, souvenir de club échangistes et de sa période bisexuelle. Elle se drape dans une tenue qui me fait bander. Ses gros seins sont enserrés dans une guêpière. Ses jambes musclées sont gainés de bas de soie que retiennent des jarretelles. Le string est glissé au dessus de l'ensemble (et se glisse dans son cul). Le noir de cet attirail et l'or de bijoux est harmonieux. ![]() Elle me domine maintenant par la fascination que j'ai pour cet attirail, mais tout à l'heure je la dominerai. Je suis debout et ses baisers glissent de mon cou à mes têtons gonflés. Ses lèvres se promènent sur mon ventre. Mon sexe se raidit et a cette consistance encore molle à l'extérieur mais déjà dure dedans. C'est le prélude à une érection forte et à un besoin de pénétrer une chatte. C'est fait, je bande complètement et elle me lêche les couilles, glissant un doigt peu farouche derrieres elles, s'approchant de mon cul. ![]() images similaires Ma queue laisse couler une première goutte de liquide transparent. Elle vient cueillir cette goutte délicatement au bout de ses lèvres. Habillement elle découvre mon gland et le mets dans sa bouche. Elle est accroupie et je vois ses jambes musclées. De haut je vois ses seins. ![]() images similaires Je ne veux pas jouir dans sa bouche, voulant laisser une bordée ailleurs. Elle se couche enfin sur le parquet se redresse sur les genoux. Je m'agenouille et fait glisser ce string et prenant soins de glisser mes doigts entre sa vulve et sa rondelle. Je bande comme un malade. Mon sexe me démange, il s'agite je dois le calmer de la main pour le guider idéalement. Non, je vais d'abord la lécher, sentir l'odeur de cuir de sa guépière. Elle commence à se tordre. Puis , se rendant compte du spectacle qu'elle offre et de son trou de cul à l'air, elle dit dans un souffle, sans aucune conviction en me regardant: « Je suis un peu génée ». Alors là, c'en est trop: j'empoigne ma barre et je l'appuie sur son anus. Tout doucement, en appuyant de plus en plus, je vois mon gland élargir le chemin et disparaître dans son cul. ![]() Je pousse et commence un va et vient. Son cul enserre ma bite, très fort. Et je la baise ainsi. Elle gémit, se carresse, puis tout doucement, un nouveau miracle se produit, son cul s 'élargit. Je la défonce maintenant comme un fou. Puis la sève monte et dans de long spasmes qui contracte mon cul, je me vide dans le sien. Je retire ma bite moins glorieuse et lui dit : « Il ne faut pas se sentir génée pour si peu ». Un peu de sperme s'écoule sur le parquet, preuve d'un plaisir pas encore partagé. ![]() images similaires Je lui dois un orgasme que ma bouche lui offre avec plaisir. ![]() |