|
« Le Nouveau Monde « Depuis plusieurs mois un ami, Georges, me parle d'une de ses amies, Aline, avec laquelle passe quelques soirées apparemment torrides. Il a toujours un sens de l'exagération, mais là je décèle qu'il ne me ment pas. Je l'avais déjà rencontrée, avenante avec une belle poitrine comme je les aime. Elle était ronde, ce qui ajoutait à son charme. Nous sortions Georges et moi en quête d'un plan cul qui serait foireux comme chaque fois. Sur le trajet, il me parle de cette Aline et de ce qu'ils avaient fait la dernière fois. Elle l'avait massée à l'huile avec une certaine fermeté, ne laissant aucune partie de son corps sans caresses. Elle s'arrangeait pour l'exciter sans le faire éjaculer afin de faire durer leur plaisir. Ils se donnent du plaisir avec leur bouche: fellation, cunnilingus. Puis me raconte-t-il, ils jouèrent à des jeux les plus curieux avec des objets qu'elle voulait sentir en elle. Il me parle même de courgette. Il m'avoue qu'il n'avait pas été dérangé quand les doigts expert d'Aline s'étaient retrouvés dans son cul et qu'elle avait commencé à le sodomiser. J'explique à Georges que son histoire m'excite assez fort et que je commence à bander. Il me répond qu'il me comprend car lui-même doit se branler quand il y pense et que cela pourrait bien arriver s'il ne devait pas conduire. La meilleure, me dit-il c'est qu'elle est tentée par un petit jeu à trois et qu'elle te trouve mignon. Misère, mon sexe se tend complètement et dans un souffle ému je dis à Georges que cela a l'air d'une excellente idée. On essaiera d'organiser cela la semaine d'après. Notre soirée se passe sans surprise à tenter de lever l'une ou l'autre fille. Bon finalement, j'ai sympathisé avec une dame dix ans plus âgée que moi et pleine de potentiel. Georges a juste réussi à énerver quelques filles mais cela n'a pas entamé son enthousiasme naturel. La semaine s 'écoule et la soirée s'organise. Aline allait nous réserver des surprises avait-elle expliqué. Le programme était le suivant: on se ferait une diner léger, puis on s'amuserait. Le samedi, les préparatifs se font et vers 20 heures, j'arrive dans l'appartement de Georges. Aline venait d'arriver. L'appartement de Georges est immense, parquet de chêne blanchi (je crains qu'on ne le blanchisse encore un peu!), décoration sobre et moderne. Il n'y a pas de vis-à-vis et donc pas de tentures: nous voyons les lumières de la ville. Je passerai plus de temps à décrie Aline. C'est une femme opulente. ![]() images similaires Il n'y a pas d'autres mots. Il y a quelque chose d'oedipien: elle me fait penser à ma mère qui se serait transformée en amante après avoir été mère de famille. Je la détaille et j'en ai le souffle coupé. Elle a une chevelure noire qui tombe en larges boucles sur ses épaules. Une robe lui arrive a la cheville, mais une fente laisse apparaître des jambes couvertes de bas noirs à couture. Sa cheville est un peu épaisse mais si bien galbée que j'ai envie de l'embrasser. Ses seins sont moulés et déforment si bien sa robe. Son ventre rond attire mon regard et j'ai envie d'y plonger entier. Elle s 'était parfumée avec Quartz. Un parfum de femme sophistiquée et sûre d'elle. Toujours cette femme opulente. ![]() images similaires Ses doigts, fins, étaient couverts de bagues, son cou était ceint d'un collier fantaisie, qui s'appuie lourdement sur ses seins. Elle avait un rouge à lèvres carmin. Nous nous embrassâmes sur les joues, mais sa poitrine m'effleura et je frissonnai. Georges lui, était magnifique. Méticuleux, il avait tout préparé pour un repas agréable et une soirée qui s'annonçait comme délicieuse. Nous bûmes un champagne excellent sans excès, afin d'être légèrement ivres sans que nos facultés n'en fussent affectées. Aline eut l'idée de nous parler de ses domaines de prédilection: les relations entre les gens, le bien-être. ![]() images similaires Nous nous installâmes dans le canapé qui faisait face à la baie vitrée pour boire ses paroles en imaginant les scénarios les plus lascifs. Nous entourions Aline. Son parfum m'enivrait, je voyais sa poitrine moulée dans sa robe. Ma main s'approcha de sa cuisse et effleura celle-ci. Je voulais voir ses bas. Georges, lui, remontait sa main vers sa poitrine. Elle nous sourit et nous embrassa l'un après l'autre. Puis elle se leva et s'approcha de moi. Georges se mit derrière elle et ouvrit sa robe. Celle-ci tomba et se fut l 'enchantement. Elle garda ses chaussures. Elle portait un soutien-gorge noir à dentelle qui lui remontait les seins. ![]() Je voyais ses aréoles et sa peau sombre tachetée. Son ventre rond et un peu plissé était entouré d'une chaîne d'or lourde. Le fermoir était à hauteur de son nombril et la chaîne pendait jusqu'à son entrejambe. Je pressentais que cette chaîne avait souvent été maculée de sperme chaud des hommes qu 'elle avait séduit. Elle avait une culotte en dentelle échancrée qui lui délimitait les fesses et montrait ses poils pubiens taillés avec précision. Ses jambes étaient couvertes d'un panty sous sa culotte. Je ne tarderais pas à savoir pourquoi elle avait changé l'ordre logique. Georges et moi étions bouche bée devant ce spectacle. Elle remis son manteau pour accroître l'effet qu'elle savait faire sur nous. Elle noue demanda de nous déshabiller afin de pouvoir nous masser l'un après l'autre. ![]() images similaires Elle m'enjoignit de me mettre sur le ventre et me massa avec soin, glissant une main téméraire entre mes fesses Sous prétexte de carresser mes couilles, elle effleura mon trou de cul. Georges nu nous observait et à genou, commençait à se masturber, doucement. ![]() Sa bite avait la même taille que la mienne, ce qui ne devrait donner de complexes ni à l'un ni à l'autre: l'harmonie en quelque sorte. Aline me fit me retourner et je pus la voir splendide. Elle enleva sa culotte et le panty se révéla ouvert à l'entrejambe. Je vis ses poils pubiens noirs et drus. Ma queue enfla et elle s'installa dessus. Puis elle se coucha sur moi, le cul à l'air pendant que mes mains la pelotaient avec gourmandise. Ma queue la pénétra et peu après, Georges en priape victorieux, s'approcha de nous et entreprit de remplir l'autre orifice. Il l'enculait. Nos sexes remplissaient son corps et se frottaient l'un à l'autre. Chacun avait un plaisir décuplé. Puis, l'un après l'autre, nous eûmes nos orgasmes. ![]() images similaires Avant que nos queues n'aient dégonflé, nous les retirâmes, prenant soin de retirer nos capotes. Elle contempla avec respect les réservoirs pleins de sperme. Je ne regrettais pas l'idée de Georges de faire une double pénétration et trouvais agréable d'avoir sentis son sexe contre le mien, uniquement séparé par une mince paroi. Nous nous serrâmes l'un contre l'autre encore transpirant. Je flattai encore Aline de ma langue sur son sexe humide. Elle en était transie Nous nous rafraichîmes et bûmes un coupe de champagne. Aline portait à la taille une superbe serviette, qui nous permettait d'admirer ses seins aux larges aréoles et aux longs tếtons. Ses seins de femme plantureuse, sublimes pendaient, comme nous invitant à les prendre en mains pour les redresser. Georges et moi entourions encore Aline, lui caressant le dos, les seins les cuisses, avec une douceur infinie. Aline me proposa alors de m'allonger dans le canapé et de clore les yeux. Elle posa sur ma tête un foulard, embaumé de son parfum. Sa chaine était toujours là battant sur ses cuisses. Puis à genoux sur le sol, elle me caressa avec douceur, flattant mes tếtons, ma toison pectorale, mes cuisses. Elle approcha se tête et doucement pris mon gland tendu entre ses lèvres. La fellation était douce et appliquée. Elle s'arrêta de me suceren continuant à me caresser. Je ne voyait rien mais imaginait son corps. Georges nous observait sans doute. Aline repris ma queue dans sa bouche et comme elle faisait jouer sa langue mon plaisir grandit. Je sentais le jus monter, et au moment ou il allait s'écouler dans sa bouche avide , Aline me parla et me demanda si cette pipe me faisait du bien. Je lui répondit machinalement que c'était délicieux. Puis j'eus un large sourire, comprenant la farce. Aline enleva le foulard et je vis Georges me sucer et avaler les dernière gouttes de mon sperme. Aline avait la main entre ses cuisses et se masturbait. Le monde basculait pour moi ou plutôt un univers de nouvelles possibilités s'ouvrait à moi. Georges s'approcha de moi et m'embrassa à pleine langue. Je goutais mon sperme dans ma bouche. Aline nous rejoignis et sa langue virevolta dans nos bouches. L 'émotion passée, Georges parla et me dit qu'Aline et lui avaient le plaisir d'être bi et qu'ils avaient souhaité au moins m'initier à ce jeu. Je n'en voulais pas à Georges ni à Aline. ![]() images similaires La suite, à vous de la choisir: C'est ma seule expérience bi : récit à venir « Retour aux sources »{msg=1246} Je découvre de nouveau plaisirs : récit à venir « Une fellation miraculeuse » {msg=1219} Je vous recommande, Chers Lecteurs, de lire Alina Reyes « Derrière la porte » |