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A découvert Ce n'était pas la première fois que Lisa allait dans ce sex-shop. En revanche, en arrivant à la caisse, elle prit conscience que c'était sans doute la première fois qu'elle venait sans Simon. L'idée du gage soumis sur le forum du site internet avait fait son chemin et elle avait décidé d'aller s'acheter des boules de geisha et un rosebud. Elle eut du mal à faire son choix car ceux qui lui plaisaient n'étaient pas les moins chers. Après avoir payé la facture conséquente avec sa carte bleue, Lisa demanda au vendeur : - Avez-vous une cabine où je pourrais les essayer ? Le vendeur, bien que dans un sex-shop, sembla surpris par cette requête. Les clients, et à plus forte raison les rares clientes, faisaient preuve de beaucoup plus de pudeur. Le voyant bouche bée, Lisa se dit qu'elle pouvait bien les essayer devant lui et commença à déboutonner son jeans. ![]() images similaires Le vendeur retrouva quand même ses esprits et se rendit compte que sa cliente allait s'enfiler les boules de geisha et le rosebud devant lui ! - Heu... Excusez-moi ! Désolé, il y a une cabine juste là derrière. - Ah ! Merci... Lisa sourit et fila dans la cabine. Quand elle ressortit cinq minutes plus tard, le vendeur sut à la démarche très chaloupée de la jeune femme qu'elle s'était enfilée les boules de geisha et le rosebud. Lisa passa lentement devant lui en tentant de retenir ses gémissements de plaisir. Elle sortit dans la rue en espérant ne pas mouiller son jeans. Elle décida de traverser le parc. Chaque pas était une douce caresse intérieur et elle avait l'impression de se faire baiser tout en marchant. Sensation exquise quoique peu discrète car Lisa laissait de temps en temps échapper un ou deux gémissements plutôt suggestifs. Au bout d'une demi-heure de promenade intensive et quelques regards interrogatifs de passants masculins, Lisa se rendit compte qu'elle était en train de mouiller sérieusement son jeans. Alors que le ciel commençait à se couvrir et qu'un vent froid faisait darder ses tétons à travers le débardeur, Lisa sentit son téléphone portable vibrer dans la poche de son jeans. - Oui ? - Bonjour Madame, c'est Monsieur Tellier, votre banquier. Voilà, je viens de noter que vous étiez à découvert. Rien de grave, c'est un mouvement qui vient d'avoir lieu, semble-t-il, mais si vous étiez en ville, je me disais qu'il serait aussi simple que vous passiez tout de suite à la banque pour régler ce découvert et les agios. - Ok, j'arrive. A peine avait-elle raccrochée, que l'averse la surprit. Elle avait tout le parc à traverser pour rejoindre le boulevard où se trouvait sa banque. Et bien sûr pas de parapluie ! En un rien de temps, elle fut trempée. ![]() images similaires Mais ce n'était pas le plus gênant ! Sa course folle sous la pluie lui avait surtout valu de se retrouver à la limite de l'orgasme à cause des accessoires qui lui caressaient les parties intimes. Quand elle sortit du parc, c'est à peine si elle sentait ses jambes et elle dut se résigner à marcher pour ne pas jouir sur le trottoir devant tout le monde. D'un côté son jeans était intégralement trempé et on ne pouvait plus distinguer que Lisa avait mouillé abondamment. Mais par ailleurs, son débardeur blanc était devenu comme une seconde peau transparente. ![]() images similaires Quand elle entra dans la banque, le guichetier en resta bouche bée. Il n'aurait sans doute pas été plus surpris si Lisa lui était apparue dans une totale nudité. - B... Bonj... Bonjour Madame. Que je... Que puis-je pour vous ? Lisa se doutait bien de la raison du bégayement de l'agent de l'accueil mais ne fit aucun effort pour dissimuler ses seins quasiment nus. ![]() images similaires - J'ai rendez-vous avec Monsieur Tellier. - Heu... un instant... je le préviens de votre arrivée. Vous êtes ? - Lisa ! Bien qu'il avait décroché le téléphone, le guichetier ne pouvait détacher son regard de cette vision si rare et si agréable. Lisa dégoulinait tant elle était trempée. Quand il eut raccroché, elle s'approcha du guichet où il était assis et lui demanda : - Vous n'auriez pas une serviette par hasard ? ![]() images similaires Avant que le jeune homme ne réponde, le conseiller de Lisa se présenta : - Ah Madame, Bonj... our... Lui aussi resta bouche bée quelques instants, mais en bon commercial, il reprit vite en main le train de la conversation : - Sacrée averse, hein ? Allons dans mon bureau, ce hall d'accueil est un véritable courant d'air. Lisa passa devant lui et marcha lentement pour ne pas trop onduler des hanches, effet assez étrange qu'avait sur elle la combinaison du rosebud et des boules de geisha. Lisa s'installa dans le fauteuil face au bureau et attendit que son banquier lui explique la situation. Celui-ci ne semblait finalement pas si perturbé par la tenue de Lisa. ![]() images similaires - Bien ! Vous avez aujourd'hui eu un petit découvert mais nous allons peut-être pouvoir y remédier rapidement. Avez-vous d'autres liquidités qui permettraient de renflouer votre compte ? Lisa était stupéfaite qu'il puisse rester aussi professionnel alors qu'elle se sentait comme nue devant lui. - Pas vraiment, c'est la fin de mois, ma paye devrait arriver dans deux ou trois jours, c'est gênant ? - Un peu oui... ça va vous faire des frais, les agios ! - Mais ça s'élèverait à combien ? - A priori 39 euros. - Vous êtes sûr, ça semble énorme pour un simple découvert ? Lisa était réellement étonnée de ce montant. Elle voulait quand même essayer de faire perdre ses moyens à son interlocuteur et commença à se balancer lentement de droite à gauche, sachant que ses seins suivraient cette sensuelle ondulation. ![]() images similaires Mais le banquier restait imperturbable, gardant le plus souvent les yeux rivés à son écran d'ordinateur. - Dans votre convention, vous n'avez aucune autorisation de découvert. Le débit qui a eu lieu cet après-midi fait que votre compte se bloque automatiquement. Il nous faut intervenir pour valider ou invalider toute opération sur votre compte et ces interventions ont un coût forfaitaire. - Mon compte est bloqué ? - Oui, pas de paiement par carte ou de retrait de liquide tant que votre compte n'aura pas été renfloué. Qu'est-ce que vous avez acheté de si cher qui vous était indispensable ? - Vous devez bien le savoir, non ? Lisa se pencha en avant en serrant les bras pour galber sa poitrine dans le décolleté du débardeur. ![]() images similaires L'homme resta muet quelques secondes. Lisa était contente de cette petite victoire. Le banquier demanda : - Que voulez-vous dire ? - Sur les écritures de mon compte, vous avez bien dû voir le nom de l'organisme débiteur, non ? - "Love Shop" ? Oui, mais je ne vois pas ce que c'est... Une agence matrimoniale ? - Pas du tout, il s'agit d'un sex-shop. - ... - Et j'y ai acheté des superbes boules de geisha ! ![]() images similaires Le banquier ne regardait plus du tout son écran : - Des quoi ? - Vous savez ces petites boules que les femmes peuvent se glisser dans la chatte pour se donner du plaisir. En le disant, Lisa bougea ses jambes et laissa échapper un petit gémissement de plaisir. Le frémissement qui la parcourut la fit se cambrer et, par la même occasion, fit glisser les bretelles du débardeur sur ses bras. Elle porta les mains à ses seins avant que le débardeur n'en dévoile davantage. ![]() images similaires Le banquier restait muet et se décomposait sur place. Lisa continua : - Mais ce n'est pas ce qui m'a coûter le plus cher. Ce qui est vraiment très très cher, c'est le rosebud de luxe avec un vrai diamant ! - Rosebud ? Un bijou ?? - Oui, mais pour mettre à un endroit bien particulier... Lisa s'apprêta à remonter les bretelles de son débardeur mais s'arrêta voyant qu'elle avait maintenant toute l'attention de son conseiller. ![]() images similaires - Hey ! Mais vous matez mes seins !!! - Non ! Désolé... Si, mais c'est vous aussi qui... Elle le coupa net : - Vous voulez les voir ? - Quoi ? - Si vous voulez que je vous les montre, mais il va falloir oublier mes agios... Lisa vit que son banquier se trouvait devant un dilemme : appliquer le règlement ou céder à ses pulsions primaires ? Lisa attendait sa réponse en souriant. ![]() images similaires Elle eut la réponse sans qu'il ait besoin d'ouvrir la bouche : il se leva et ferma les stores de son bureau qui donnaient sur le couloir. Elle se leva et se mit en arrière pour soulever son débardeur et exhiber sa poitrine nue. ![]() images similaires Le banquier bafouilla : - Ecoutez, je ne sais pas... je ne peux pas... Arrêtez... - Quoi ? Mes seins ne vous plaisent pas ? - Si mais... - Je ne vous fais pas bander ? L'homme n'osa pas répondre. Elle fit le tour du bureau et passa sa main sur l'entrejambe de son banquier. La confirmation était faite : il bandait franchement. Mais Lisa ne voulait pas s'en tenir à ça : - Si vous retirez votre pantalon pour me montrer votre érection, je veux bien vous montrer mon bijou anal. L'homme hésita : - Mais si un collègue entre ? En guise de réponse Lisa tendit le bras et tourna la clé dans la serrure. Cela sembla rassurer le banquier qui commença à retirer son pantalon. Lisa commença aussi à déboutonner son pantalon. ![]() Avec juste le débardeur relevé sur sa poitrine, elle se rassied dans le fauteuil. Le banquier resta debout, la bite en érection et la regarda avec de grands yeux écarquillés : - Vous êtes magnifique ! - Rien que cette vision vaut bien mes agios, non ? - Je crois oui... ![]() images similaires Fière d'avoir déjà obtenu ce qu'elle voulait, Lisa était dans un état d'excitation indescriptible à cause des boules de geisha, du rosebud et de cette grande bite dressée devant elle. Elle se leva pour achever de retirer le débardeur. ![]() images similaires - Allez, vous avez été gentil avec moi, je peux bien vous accorder une faveur à mon tour... Lisa se passa les mains dans les cheveux, faisant ainsi saillir ses seins. ![]() images similaires Le banquier sembla hésiter comme s'il ne savait pas par quoi commencer. Lisa dû le sortir de sa réflexion en le guidant un peu : - Vous voudriez peut-être caresser mes seins ? Lisa se mit à genou sur son fauteuil et se tint la poitrine en signe d'invitation. ![]() images similaires Lisa n'en revenait pas, elle était nue devant son banquier, dans le bureau de son banquier, et celui-ci avait la queue à l'air. La suite des évènements semblait assez limpide. L'invitation de Lisa fut d'ailleurs parfaitement comprise : l'homme acheva de se mettre nu et s'approcha d'elle pour lui peloter la poitrine. ![]() images similaires Quand Lisa en eut assez de se faire malaxer les seins. Elle attrapa le sexe bandé et se releva du fauteuil pour se mettre à genou devant l'homme. Il la regardait faire, sans rien dire. Il était à sa merci et Lisa en était plutôt fière. Sa bouche se referma sur le membre turgescent de son banquier qui laissa échapper un profond râle de contentement. ![]() images similaires Quand Lisa estima qu'elle ne pourrait pas le faire bander davantage, elle l'abandonna et se réinstalla sur le fauteuil en lui présentant son cul. Le banquier découvrit alors le rosebud. ![]() images similaires - Très joli ! - Et cher, figurez-vous... Vous avez le choix soit de prendre la place du rosebud, soit des boules de geisha. - Je vais peut-être profiter de la place laissé par le rosebud. Tout doucement, il tira sur le bijou, faisant frémir Lisa de plaisir. Lisa avait hâte de sentir cette bite dans son cul et qui allait sans doute faire bouger les boules de geisha lors de ses assauts. Comme pour tester l'élasticité du petit trou de Lisa, le banquier lui inséra un doigt tout au fond, ce qui lui procura encore quelques frissons de plaisir. ![]() images similaires Le banquier dut trouver que la place était suffisamment large pour lui car il retira rapidement son doigt et approcha son gland humide contre le trou déjà formé par le rosebud. Lentement, il fit pénétrer sa queue, d'abord le gland, puis, millimètre par millimètre, le reste de la hampe s'engouffra tout au fond de Lisa. Elle sentit même les couilles appuyer entre ses fesses. Et l'assaut commença. Le rythme monta peu à peu et les boules de geisha se mirent à bouger de plus en plus dans le vagin de Lisa. Elle devait se concentrer pour contenir ses gémissements qui auraient certainement alerté les gens dans la banque. En moins de dix minutes, Lisa ne put plus lutter : l'orgasme l'envahit, violent, inéluctable, inoubliable. ![]() images similaires Elle retint ses cris autant que possible, se mettant la main devant la bouche. Il ne lui laissait pas de répits et continuait à la besogner sans relâche alors que tout le corps de Lisa était parcouru de convulsions. D'autres auraient certainement jouit en ayant la bite soumise à ces spasmes sauvages. Mais le banquier était un homme de contrôle et parvint à ne pas se laisser aller à la jouissance tout de suite. Il voulait jouir autrement. Quand Lisa sembla se calmer, complètement épuisée, l'homme se retira lentement et vint lui fourrer sa bite dans la bouche. Dans une état de demi conscience, Lisa se mit à le sucer machinalement. Mais le banquier était si excité qu'il ne tint pas longtemps : il lâcha tout dans la bouche de Lisa sans avoir eut le temps de sortir sa bite comme il l'aurait probablement voulu. Lisa ne put pas tout garder dans sa bouche et ouvrit grand ses lèvres pour laisser s'échapper tout le sperme sur ses seins. ![]() images similaires L'homme n'a pas crié. Il a jouit en silence, à peine le bruit d'un souffle rapide, comme s'il avait couru un cent mètres, pas plus. Lisa commençait à retrouver ses esprits. Elle se caressa les seins pour récupérer au bout de ses doigts le sperme qu'elle avait dû laisser s'échapper. Régulièrement, elle portait ses doigts à sa bouche pour les lécher. C'était la toilette du chat. ![]() Le banquier attrapa un mouchoir et se nettoya rapidement la queue avant de se rhabiller. Lisa finissait de se nettoyer quand il termina de se rajuster et s'installa à son bureau. Lisa se redressa, toujours nue et lui demanda : - Alors, on oublie les agios, on est d'accord ? - Pas de soucis. - Merci, je suis contente qu'on puisse s'entendre. ![]() images similaires Lisa attrapa le rosebud et le tendit au banquier : - Vous pourriez me le remettre, s'il vous plaît ? Le banquier sourit et s'exécuta alors que Lisa se cambrait, le cul tendu vers lui. Elle gémit à nouveau au moment où l'objet reprit sa place dans son anus. Puis, elle renfila son jeans et son débardeur qui avaient tous deux presque séché. Le banquier lui sourit : - Et n'hésitez pas à venir me voir si vous avez un problème de découvert. Lisa lui sourit : - Je peux considérer que je dispose désormais d'une autorisation de découvert ? ![]() - En quelques sortes, oui. Mais n'oubliez pas que la punition sera proportionnelle au montant du découvert. - Je ferai attention ! - Ne vous inquiétez pas, en cas d'accident sur votre compte, on trouvera toujours un terrain d'entente... Ils se saluèrent et Lisa ressortit. Elle quitta la banque en marchant toujours lentement à cause des accessoires. Elle se décida même à les retirer, discrètement derrière une voiture garée, avant de rentrer tant ses parties intimes étaient devenues sensibles. Quand Simon rentra le soir, il eut le droit à une bonne pipe mais ne comprit pas pourquoi il n'avait pas le droit de pénétrer sa femme par ailleurs. Lisa ne lui raconta rien de son passage à la banque et cacha les accessoires achetés. Simon découvrit toute l'histoire en la lisant sur le forum et comprit alors cet étrange secret que gardait Lisa depuis quelques jours. |