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Vacances Corse 1 Je suis arrivée quelque peu fatigué samedi soir à Annecy chez des amis. Je reste chez eux jusqu'à Jeudi avant de prendre le bateau pour Ajaccio. Ils m'ont accueillis à bras ouverts et ont invités un couple de leurs amis dont un joli mec célibataire. Mes amis Alain et Michèle sont un couple de la trentaine très coquin et il faut dire que nous nous sommes bien amusés déjà ensemble. Leurs amis Bernard et Jacqueline, lui plus vieux semble-t-il, portent la quarantaine largement. Quant au célibataire Alex, c'est beau grand et élégant mec qui me fait craquer au premier regard. Quoi qu'il en soit, ils me donnent ma chambre et me disent de me mettre à l'aise et de prendre une douche avant de les rejoindre au salon pour l'apéro. Je déballe donc mes affaires et je vais prendre ma douche sans prendre la précaution de fermer la porte de la salle de bain. Je chantonne sous la douche tout en me savonnant et je me détends de ma longue route. Je n'avais pas remarqué qu'Alex m'observait sans bruit. Me retournant, je sursaute en le voyant et essaye de dissimuler maladroitement mon intimité. Lui, tout sourire de me voir ainsi gênée: -Ne te soucis pas de moi continue de te savonner. Je peux même t'aider. Sans attendre ma réponse, joignant le geste à la parole, il se met nu, entre dans la douche et se collant à moi, il se met à me savonner en insistant évidemment aux bons endroits. Je reste figée ne sachant comment réagir. Les caresses sont agréables et je suis troublée. Je ne sais, si je dois m'offusquer ou me laisser faire quitte à passer pour une fille facile. Le sentir dure dans mon dos me fait défaillir. Presque instinctivement, je lui saisis sa queue bien dure et épaisse et commence à le masturber. Il en profite pour rentrer ses doigts dans mon minou trempé me faisant lâcher un soupir. Je n'y tiens plus, je me retourne, m'agenouille et entreprend une fellation gourmande qu'il accompagne en me tenant la tête. Là il se met à me traiter de bonne suceuse, de salope et autres noms qui me font un effet d'enfer. Nous étions totalement pris dans nos ébats et ne nous étions pas aperçus que les autres intrigués par notre absence prolongée nous observaient avec bonheur. Il se lâcha rapidement dans ma bouche et je le nettoyais avec délectation mais sans avoir jouie. Là j'entendis des rires: -He bien je vois que vous avez fait connaissance. Tu ne perds pas de temps Maryaline" Alain voulu me sécher et me dis: - Ne te rhabille pas, je pense que cette tenue te conviendra mieux pour la fin de la soirée. Arrivée dans le salon, nous entamâmes une gigantesque partouze. Je fût prise partout les trous. Je suçais des clitos, des bites ; une orgie totale vraiment extra où j'ai jouie comme une damnée. Après une bonne douche réparatrice, Je suis allée me coucher et me suis endormie comme une masse en me disant que mes cinq jours à Annecy commençaient fort. |