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L'entretien d'embauche

Maryaline
15 juillet 2012
L'entretien d'embauche


Après une certaine période d'attente je venais peut-être de trouver du travail comme assistante de direction dans une grande surface.
Ayant postulé et obtenu un rendez-vous, je me présentais aux bureaux; vêtue élégamment; escarpins, bas de soie, petite jupe courte mais pas trop et chemisier assorti.

Oui je me trouvais sexy et je trouvais que je mettais bien en valeur mes charmes; sans trop en faire.
C'est important pour avoir un poste.
Une secrétaire me dit d'attendre que le chef du personnel me reçoive.
L'entretien se déroulait de façon classique il me posait des questions sur mes expériences professionnelles et mes diplômes tout en regardant subrepticement mes jambes.
J'étais certaine qu'il bandait le cochon et cela m'arrangeait il faut dire.

J'eus le poste même si c'était un CDD dans une sous-direction. Les mois passèrent assez vite, j'aimais bien l'ambiance de la boite et on me donnait de plus en plus de responsabilités,
On semblait apprécier mon travail.
L'échéance de ma fin de contrat arrivait.
La veille je fus convoquée par le grand patron.
Il faut dire que je ne l'avais encore jamais vu.
Sa secrétaire au physique de bimbo me fit asseoir en me regardant bizarrement.

Je ne savais à quoi m'attendre mais le plus logique était qu'il me débiterait le blabla habituel sur mon bon travail mais que la situation socio-économique était telle qu'il ne pouvait me garder

Monsieur va vous recevoir  me dit la secrétaire en m'ouvrant la porte.
Je m'avançais, pénétrant dans le vaste bureau.
Alors il paraît qu'on est une assistante de direction efficace et sexy Maryaline ?
Cela ne me surprend pas.
La voix me fit sursauter et levant les yeux, je vis tranquillement assis derrière un grand bureau celui qui me fit découvrir certains plaisirs lorsqu'il était mon Maître.
Mais un différent nous avait opposé
Il avait voulu aller trop loin.
Même si je suis salope plutôt docile dans les jeux sexuels cela ne signifie pas être une carpette.
Bref nous étions fâchés.
Ce que je regrettais un peu d'ailleurs.
Mais qu'importe, il n'avait pas à me prendre en otage de la sorte surtout en usant de son pouvoir de patron pour encore un jour !
J'allais donc sortir lorsqu'il me retint :
Attend Maryaline !
j'ai une proposition à te faire !
Je te demande juste de l'écouter et ensuite tu l'acceptes ou la refuses.
C'est simple. D'accord ?
D'accord Maître, heu Monsieur  dis-je troublée.
Bien assied-toi je te prie »


Et appuyant sur l'interphone, il commanda du café à sa secrétaire.
Bien je t'explique.
Je sais que nous avons eu dans le passé un petit différent et crois bien que je le regrette !
Je sais que j'ai oublié la règle essentielle de tout dominant; la maîtrise de soi !
Si on ne domine pas ses pulsions on ne peut dominer une autre personne car on perd sa lucidité.
Je puis t'assurer que cela n'arrivera plus. 
On frappa à la porte et la secrétaire entra et posa le plateau avec le café sur la table basse du salon où nous étions assis.

Véronique auriez-vous l'extrême obligeance de me rappeler ce que je dois faire dans un quart d'heure ?


Je la vis rougir violemment et me regarder rapidement et puis se tourner vers son patron avec un visage exprimant à la fois l'interrogation et la gêne.
Euh... Vous avez rendez-vous avec le chef du personnel...
Non Véronique ça c'est après.
Dans demi-heure pour être précis.
Allons Véronique une secrétaire aussi méticuleuse que vous n'a pu mélanger des rendez-vous !
Surtout quand on sait Maryaline que le chef du personnel est le mari de notre belle Vero.
Alors Véronique avec qui ai-je rendez-vous dans une demi-heure ?
A...A...Avec...Avec moi Monsieur  dit-elle écarlate
Et pour faire quoi Véronique ?
Pour me baiser Monsieur.

Certes j'étais gênée pour elle mais en même temps terriblement excitée.
Je sentais les pointes de mes seins tellement dures ! Et ma fente si humide !
Mouilles-tu salope !!!?
Ouiiii Monsieur » répondit-elle
Et heureusement qu'elle le fit très vite car j'étais sur le point de le dire aussi.
Il se leva et passant la main sous sa jupe il vérifia l'état de son excitation.
A l'expression de son visage je devinais qu'il la doigtait
Oh Monsieur !
Quoi tu n'aimes plus ça salope ?
Pourtant tu es trempée !

Si mais c'est que...
Oh c'est la présence de Maryaline qui te gêne alors ?
Euh...non enfin si un peu


Tu vois Maryaline Véronique est une grande timide !
Son trip c'est le secret !
Elle adore que je la baise à l'insu de son mari.
L'introduire dans mon bureau juste après avoir été enculée.
Comme elle adore que je l'oblige secrètement à ne pas porter de culotte. 


Elle rougit et je souris.
Mais ne rougis pas Véro puisque Maryaline n'en porte pas non plus !
N'est-ce pas ma belle ?

Ce fut à mon tour de rougir mais je décidais de ne pas me laisser impressionner et répondis avec un sourire mutin et provocateur:
Jamais en cette période c'est vrai !
L'appel du printemps me travaille trop au corps !
Il éclata de rire :
Ah je retrouve ma Maryline !
Espiègle, impudique et si sensuelle !
Bien il est temps de te faire ma proposition.
Tu ne m'en voudras pas si je traite le rendez-vous de Véronique en même temps n'est-ce pas ?
Véronique à la niche !
Et je la vis se diriger vers le bureau et s'installer dessous.
Mon patron et ex-maître je ne savais plus trop comment le désigner sortit sa verge.

Elle était déjà bien dure.
La voir ainsi exhibée sans pudeur avec ses belles bourses épilées me troubla car elle me rappelait de bien délicieux souvenirs. Hummmm sa longueur et sa grande largeur étaient comme la puissance de ses coups de boutoir inscrits dans ma chair.
Il s'assit à son bureau et intima l'ordre à Véronique de le sucer.

La scène était plus qu'excitante surtout qu'il décrocha son téléphone et dit:
-Eric je suis désolé j'ai un rendez-vous en ce moment qui s'éternise donc je reporte un tout petit peu le nôtre mais dès qu'il se termine ta femme te préviendra.


Elle ne peut te parler car elle est plongée jusqu'au cou sur un dossier urgent mais une fois sa tâche terminée, elle sera de nouveau disponible. A plus ! 
Il raccrocha.
Pendant la conversation il avait d'une main enfoncé encore plus profondément sa grosse bite dans la bouche de Véronique. L'irrumation était profonde et violente puis il la laissa respirer et lui faire une fellation savante.

Il savourait les talents de sa secrétaire et la situation.
Il me regardait avec ce même sourire complice et pervers que je lui connaissais.
Il savait que j'étais totalement et irrémédiablement excitée ! Le salaud !
Hummmm ouiii là sur le frein ma salope !
Voilà Maryline
Primo tu es une assistante de direction douée et je n'ai d'un point de vue professionnel que des compliments à ton sujet
J'ai justement besoin d'embaucher une assistante de direction pour une nouvelle branche que nous allons ouvrir prochainement.
Là ouiiii masse mes couilles pompe bien à fond hummmmm !!!



Secondo tu es la meilleure petite pute que je connaisse et notre complicité libertine me manque.
Entendons-nous bien je ne te propose pas d'être ton Maître, pas même de coucher avec toi !
Sauf si tu le désires bien sûr.
J'ai juste besoin pour la réunion d'affaire de ce soir d'une assistante de direction efficace, sexy et n'ayant pas froid aux yeux.
Ohhh ouiiii c'est bon ça !!!

Et pourquoi pas elle ?
Elle me semble efficace et sexy.
Moins que toi Maryaline !
Et elle est mariée donc prise le soir et pour le job elle ne correspond pas au profil.
Je te promets que je suis sincère.
Je ne te toucherai pas et ma proposition de CDI est réelle.
Si je couche ?
Ouiiiii accélère là ouiii !! Je viens salope !


Et il se leva et branla fébrilement sa belle verge devant la bouche ouverte de Véronique qui tendait sa langue à l'instar d'une dévote attendant l'hostie.
Il jouit dans un râle et je regardais fascinée, le ventre et le minou en feu, les puissants jets de foutre remplir la bouche de cette salope qui n'en perdait pas une goutte et s'en régalait.

Nettoie-la et retourne à ton travail !

Et n'oublie pas avant d'appeler ton mari de passer aux toilettes te donner un coup de peigne.
Alors Maryaline ?
Ta réponse ?
C'est oui monsieur
Je m'étonnais moi-même de dire si facilement oui à cet homme à qui je m'étais jurée de résister.
Je devais bien le reconnaître, j'étais une nana aimant le cul et surtout lorsqu'il est fait par des salauds qui me traitent comme une petite chienne.

Mon patron et ex-maître était un pro pour ça.
La perspective d'un emploi stable n'était qu'un prétexte.
Non c'était le sexe qui m'attirait.
Véronique acheva de lui nettoyer la bite et méticuleusement la remit dans le pantalon.

Elle sortit de dessous le bureau un petit peu décoiffée et le chemisier ouvert laissant apparaître de superbes seins que mon patron avait largement pelotés pendant la fellation.
Elle se rajusta et se dirigea vers la sortie.

Merci Véronique comme à l'habitude c'était parfait !
Puis une fois la porte refermée il se tourna vers moi et dit:
Ce soir 19 heures je passerai te prendre.
Tenue sexy mais avec élégance comme tu sais le faire.
Tu devras me vouvoyer et dire Monsieur. Compris ?
Oui Monsieur
Bien Maryaline A ce soir donc !

Je sortis et vis arriver Eric le chef du personnel .
il me regarda un peu étonné de me voir là .
Il demanda à sa femme si le patron était libre tout en lui faisant un petit bisou sur le front.
Je vis qu'elle me regardait et je lui adressais un clin d'oeil qui la fit sourire.
Après mon travail je pris un bain et fis une toilette intime très poussée car je me doutais que la soirée allait être chaude.
C'est parfaitement épilée et lavée que je commençais à m'habiller.
J'optais pour un look de secrétaire sexy jupe très courte, un string et un bustier pigeonnant et une petite veste assortie à la jupe.

A 19 heures précises je sortis de chez moi et vis arriver la voiture de mon patron.
Alors que je montais à bord de la limousine, je vis sur la banquette arrière un grand noir d'une trentaine d'années.
Bien tu es élégante à souhait Maryaline dit mon patron en me baisant la main.
Voici Justin N'kolo le nouveau directeur de notre nouvelle branche centrée sur l'Afrique.
Ce soir c'est Monsieur Justin compris ?
Et si la réunion se passe correctement alors tu deviendras sa secrétaire.
Bonsoir Maryaline
Bonsoir Monsieur Justin


La voiture se gara bientôt devant un hôtel très chic et nous montâmes dans une suite.
Là une belle black très élégamment vêtue nous ouvrit.
Il y avait deux autres hommes noirs tous deux âges de la quarantaine.
Un Ivoirien et un Togolais tous deux aussi grands et mastoc que Justin.
J'en mouillais déjà dans ma culotte un de mes fantasmes prenait corps !
Quels corps putain !
Mon patron se tournant vers moi me fit un clin d'oeil et me murmura:
Ceci pour me faire pardonner ma belle petite chienne en chaleur.
Je savais que tu en rêvais !
Il me les présenta à voix haute.
Voici Monsieur Aimé de la Côte d'Ivoire
Monsieur Kivu du Togo
Mademoiselle ou Madame ?
Mademoiselle, Monsieur. Je suis la secrétaire de Monsieur Aimé et je vous en prie appelez-moi Justine.
Charmant prénom !
Merci Monsieur
Le dîner prit deux heures environs.
Il fut surtout question d'affaires.
Moi je suivais la conversation parce qu'il s'agissait certainement de mon futur emploi.
De temps à autres je faisais la discussion avec Justine qui elle semblait se désintéresser complètement des négociations.

Enfin un accord fut conclu.
On signa les contrats, on commanda du champagne.
Une fois le groom sortit mon patron leva son verre et dit:
Et maintenant que la fête commence !
Messieurs cette salope est à vous !
Justin placé derrière moi pris mes mains et m'immobilisa.
Monsieur Kivu remonta ma petite jupe et arracha mon string en me doigtant dit:
Mais elle est déjà trempée cette salope !
Vous aurai-je proposé un produit de contrefaçon ?
Une pute de seconde catégorie ?
Non vous êtes des clients trop précieux.
c'est une chienne soumise et dressée pour donner du plaisir que je vous offre.
Une amoureuse folle de la bite et fantasmant sur les grosses queues noires !
Sortez vos engins Messieurs et la tigresse va se réveiller !!!


Déjà je voyais la belle Justine s'approcher de mon patron en ôtant sa robe la salope était toute nue dessous !





Je voyais quel type de secrétaire c'était.
Mes admirateurs exhibaient eux aussi leurs attributs virils et je n'en croyais pas mes yeux !
Jamais je n'avais vu de queues si longues et si grosses ! GIGANTESQUES !!!!! C'était le mot !
J'en restais bouche bée ne sachant que faire.
Ce fut mon patron qui me réveilla.
Maryaline on se réveille !
Non ce n'est pas un rêve !
Allez mets toi à l'ouvrage et fais moi honneur et sois à la hauteur de tes rêves les plus fous !
Je sais que tu le peux.
Oui Monsieur !


Et virant jupe et bustier je me précipitai sur les deux verges de monsieur Aimé et de Monsieur Kivu.
Mes mains parvenaient à peine à en faire le tour mais je les branlais comme une folle !

Oh oui ces pylônes seraient durs et j'allais les vider.
Je suçais leur gros glands laissant courir ma langue sur leurs freins.

Tout mon art de salope et de pute y passait .
je commençais à entrer dans un état second surtout que je les entendais gémir de plaisir.
Monsieur Justin me doigtait la chatte.
Jusqu'à que je n'en puisse plus et hurle:
Je veux de la bite noire !!
Alors Justin baise-la cette chienne dit mon patron
Oui Monsieur !
Alors salope tu veux une grosse queue noire ?
Ouiiii Monsieur Justin

Il me prit d'un coup sec !
J'avais beau être très mouillée la taille du pénis était telle que je le sentis passer !
Je gémis de douleur et de plaisir mais les va et vient rallumèrent mon ardeur.
Je suçais et branlais ces deux énormes queues en me faisant tringler et fesser.
Du coin de l'oeil, je voyais mon patron s'en donner à coeur joie avec la black.
Il la baisait avec une rage peu commune.
Il la prenait en levrette en la fessant comme un malade.
Il lui tirait la tête en arrière en tirant ses cheveux, malaxait ses énormes seins et les pinçait violemment.
Tout à coup, il l'encula à sec .
Elle hurla mais il restait sourd à ses gémissements.
Je le vis même me sourire.

Votre secrétaire est superbe Monsieur Aimé !
La vôtre aussi cher ami
Mais vous ne l'utilisez qu'en partie cette chienne a trois orifices.
Un parfait vide couilles !
Trois queues noires aussi grosses que les vôtres c'est son rêve !
Vraiment ?
Demandez-lui !
Tu veux être prise dans tous tes trous par nos trois queues salope ?
Ouiiiiiiiiiiii Monsieur Aimé
Tu es ce que les racistes appellent une pute à nègres et fière de l'être ?
Ouiiiiiiiiiii monsieur Kivu
Dis que tu veux être enculée comme une chienne !
Je veux être enculée comme une chienne !
Tu n'es qu'un sac à foutre !
Je ne suis qu'un sac à foutre !

Et se mettant sous moi Monsieur Aimé pénétra ma chatte.
Monsieur Kivu me doigta un certain temps et m'encula.
Je hurlais de douleur et après c'était si bon ces deux énormes queues me labouraient, m'empalaient, me remplissaient !

Il n'y avait plus de mots pour décrire mon ressenti .
J'étais ailleurs et je suçais avec frénésie l'énorme verge de monsieur Justin !!!


A côté mon patron cravachait le cul de Justine qui là méritait son prénom !

Bientôt mes trois amants s'excitèrent et remplirent à ras bord chacun de mes orifices de foutre.

Mais la soirée ne s'arrêta pas là. deux fois chacun et à la.











J'eus droit à un bukkake.





J'étais heureuse et comblée.
Lors de ma toilette, je sentis Justine me caresser hummmmm Elle était belle et savait y faire la salope.
Après avoir joué avec les poires de douche elle me fit un cunni qui me fit jouir.


Cadeau de ton patron.
Il pensait que tu aimerais  me dit-elle en souriant.
 Ceci dit tu es tellement mignonne que je l'aurai fait de ma propre initiative 


















Mon patron me raccompagna.
Merci Maryaline tu as été parfaite !
Pour le remercier je le gratifiais d'un voluptueuse pipe.
Il se lâcha et je buvais avec déléctation son nectar.
J'étais à nouveau son son charme.
_ huuum !! Je te retrouves bien là salope, Toujours aussi chienne.
Je levais les yeux et d'un signe de la tête j'approuvais en souriant, du sperme plein la bouche.
_Tu as peut être envie de faire tes besoin avec tout le sperme et le champagne que tu as bu ce soir?
_Vas faire dans le caniveau. Me dis-t-il d'un ton autoritaire.
Honteuse je m'acroupissais devant lui rigolard,

_T'es vraiment qu'une chienne me lança-t-il
Il me déposa ensuite chez moi en me disant à demain,

L'entretien d'embauche

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