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PROMENADE DOMINICALE EN FORÊT J'avais dormie toute la nuit au pied du lit de mon Maître. Nue, un collier et la laisse attachée au pied du lit, il m'avait affublé d'un plug qui ressemblait à une queue de chien. Le matin au petit déjeuné, aprés m'avoir tenue en laisse et menée à 4 pattes vers la cuisine, mon Maître m'ordonne : « Ecarte tes fesses salope ! » Je m'empressais d'obéir à l'ordre, ponctué d'une claque, impatiente de connaître la suite. Mon Maître sadiquement ôta le plug qu'il m'avait mis dans le cul. Je me sentais horriblement vide et cette béance était insupportable. Alors ma petite salope veux-tu que je t'encule ? Ouiiiiii Oui qui ? Oui Maître Formule-le dans les formes adéquates chienne ! » Et en disant cela il avait posé son énorme gland de mon anus, comme la caresse d'un plaisir à venir et ponctuait chaque ordre et question d'une claque sur les fesses. S'il vous plaît Maître faites-moi l'honneur de prendre mon cul de chienne en chaleur, de défoncer de votre grosse bite mon petit trou. Et bien voilà ! Et il enfonça lentement sa grosse bite dans mon cul, il prenait son temps le salaud ! Certes sa queue était bien lubrifiée par ma mouille et le plug m'avait déjà un peu ouverte; mais sa bite et surtout son gland était très large et je sentais son dard me déchirer. Je gémissais de douleur ce qui eut pour effet de recevoir une nouvelle claque sur les fesses et qu'il tira sur la laisse et le collier. -Tais-toi chienne ! » Le gland passa enfin et la hampe suivit et je sentis toute sa queue se ficher dans mon petit cul ! Il resta immobile un moment et commença le va et vient d'abord lentement pour que je le sente bien aller et venir et sans doute prenait-il son pied à regarder sa grosse bite bien dure s'enfoncer dans mon petit cul. Déjà il n'était plus question de gémissements de douleur mais de plaisir. Il m'enculait à la fois sauvagement et méticuleusement ! J'entendais son souffle rauque de mâle en rut prenant sa femelle et ses coups de boutoir étaient de plus en plus rapides et violents, mais ils restaient précis et profonds et les claques donnaient un rythme régulier. Parfois il se retirait pour contempler son oeuvre et voir à quel point j'étais défoncée, ouverte ! Mouilles-tu chienne ? Ouiiiiii Maître !! Caresse-toi la chatte ! Doigte-toi ! Je veux que tu abandonnes toute décence ! N'aie plus aucune retenue ! Ouiiiiiiiiii Maître Et je me caressais comme une malade ! Jouant avec mon clitoris si sensible et m'enfonçant deux doigts dans la chatte comme pour mieux me sentir prise partout ! Et c'est ce que cherchait mon Maître. Tous tes trous sont miens ma chienne ! Tu le sens au plus profond de ta chair ! Ouiiii Maître !!! Maître puis-je jouir ? Car... Je sens que je vais... Oui salope jouis !! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Mon cri fut à la hauteur de mon orgasme puissant et dévastateur mais je me moquais bien qu'on puisse m'entendre ! J'étais ailleurs. Je revins à moi pour offrir mon visage et ma bouche à mon Maître qui jouit juste après moi ! Les jets de foutre étaient nombreux et drus preuve de son plaisir. Puis je nettoyais sa queue en bonne petite chienne. Oui j'étais sa chienne et cela ne souffrait aucune discussion ! Ensuite en récompense il me donna ma gamelle et je me mis à manger avec plaisir mes croquettes, Après m'avoir traitée comme un animal. Il m'emmena en laisse dans la salle de bain et là dans la grande baignoire il me fit un cunni divin qui me refit jouir. C'est sans doute ce que j'aimais. Il savait répondre à mon besoin, mon désir d'être prise possédée comme une chienne; mais il savait se montrer tendre et très bien éduqué avec la femme que j'étais. Le lendemain vendredi, je reçu un message qui m'invitait à une promenade dominicale en forêt. Comme c'était le début du mois d'août je n'y voyais aucun inconvénient; bien au contraire ! Le message stipulait que je devais mettre ma jolie robe rouge; le reste n'était pas précisé. Et enfin qu'il passerait me prendre à 10 heures du matin. 10 heures, mon Maître était ponctuel. La voiture me prit au pied de chez moi et mon Maître était souriant détendu et plaisantait avec moi. Nous pénétrâmes dans la forêt et il gara la voiture sur une aire, qui formait une espèce de carrefour de différents sentiers pédestres. Je vis mon Maître prendre un petit sac à dos : Notre déjeuner Maryaline. Viens allons faire un tour en forêt. Oui Maître Nous marchâmes un certain temps, la forêt était belle sous le soleil de l'été. Je vois que tu as mis ta petite robe rouge comme je te l'avais ordonné. Oui Maître C'est bien que portes-tu d'autre hormis cette robe ? Euh... Un soutien-gorge et une petite culotte Maître. J'étais rouge de honte presque autant que ma robe dans ma précipitation j'avais plus pensé à mettre des sous-vêtements assortis que d'obéir à la règle intangible d'être toujours libre et accessible pour son Maître. Bien je sanctionnerai plus tard cette erreur pour l'instant tu vas ôter ton soutien-gorge et me le donner. Je m'exécutais en me contorsionnant un peu et il mit le joli soutif rouge dans son sac. Ôtes ta culotte Oui Maître Garde-la à la main et surtout ne la cache pas ! Euh oui Maître Sens-tu le parfum odorant de la végétation ? Et combien est doux et rafraîchissant le doux vent qui vient caresser ton minou brulant ? Oh oui Maître ! Comprends-tu le caractère inacceptable pour une soumise de porter une culotte ou un string sans que son Maître le lui ait ordonné ? Oh oui Maître pardon je Silence chienne je parle ! Met le collier et la laisse ! Oui Maître dis-je rouge de honte de faire çà en public. Je mis le collier et la laisse. Penches toi ! Et sans prevenir il m'enfila dans la chatte pour le lubrifier et dans les fesses ensuite un plug queue de cheval. Je voyais au bout de l'allée et venant vers nous toute une famille. Et presque plus grave que ta faute de soumise. Ton erreur de style lorsqu'on porte une robe qui s'arrête au raz des fesses, qu'on a un corps comme le tien et qu'on est porté sur l'exhibition on ne fait pas dans la pudibonderie ! Laisse-ça aux bigotes et aux cageots ! La morale c'est pour les autres toi tu es un objet sexuel qui doit inspirer le désir. Oui Maître. Mais... Les gens là ! Et je le regardais paniquée, ne sachant quelle attitude adopter face à la famille qui arrivait. Je pouvais déjà voir que les enfants étaient un garçon et une fille de 14-16 ans environ. Main sur la hanche et culotte bien visible à la main droite et tu ne baisses pas les yeux ! Souris ! Tu es une superbe salope et fière de l'être ! Fais-moi honneur chienne ! Ouui Maître » répondis-je un peu hésitante. Mais le désir de me rattraper aux yeux de mon Maître le fait que perdue pour perdue autant le faire avec panache; me redonna confiance et je croisais la famille la tête haute le sourire aux lèvres. La femme me regarda haineusement et décocha un regard désapprobateur envers son mari qui lui fixait ma culotte que je faisais tournoyer autour de mes doigts et mon entrejambe... Mon sourire devenait victorieux il était aussi rouge que ma robe et n'osait pas croiser mon regard. La jeune fille semblait sidérée et ébahie qu'une telle chose puisse être possible ! Et le garçon était bouche bée me contemplant comme une apparition. Comme ils suivaient les parents, quelle ne fût ma surprise de les voir s'embrasser. Je savais que j'allais hanter leurs rêves. Ces deux là ne devaient pas s'ennuyer ensembles, Je mouillais tellement j'étais fière de moi ! Fière d'être une salope confirmée et de faire honneur à mon Maître. C'est un scandale » marmonna la femme et mon Maître s'approchant de moi me mit la main au cul en disant à voix haute. Hummm je vois que tu as le feu aux fesses ma belle et tu mouilles ma cochonne ! Oui promis je vais te baiser tout de suite ! Oh merci Maître ! » répondis-je étonnée et fière de dire ces mots devant des étrangers. Et il remontait la robe, mettant à nu mes fesses et jetant un bref regard derrière moi je vis que pendant que le mari subissait les foudres de son épouse l'adolescent se rinçait l'oeil. Je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses pendant que mon Maître me doigtait. Tu vois que c'est simple Maryaline ! Oui Maître ! Je vois que tu es fière de toi. Un peu je l'avoue Maître mais et vous l'êtes-vous de moi ? Oui un peu mais cela n'empêche pas le fait que tu as fait une erreur et cela ne constitue que le début de ton initiation mon petit chaperon rouge ! Es-tu prête à aller plus loin dans la soumission salope ? Oui Maître je le veux ! Nous étions arrivés dans une petite clairière entre le sentier et ce qui semblait être une route, car j'entendais de temps à autre des véhicules passer. Il alla s'asseoir sur un tronc d'arbre: Bien il est midi l'heure de déjeuner ! Déshabille -toi chienne ! Oui Maître ! Donne-moi ta robe ! Et mets-toi à quatre pattes devant moi - Oui Maître Il prit la robe la mit dans le sac à dos et sortit un collier et une laisse. Lorsque je sentis le collier m'enserrer le cou mon coeur battait et mon minou ruisselait tellement cela m'excitait. Alors ma chienne, en chaleur ? Ouiiiii Maître En effet, je sens ta mouille de pute d'ici ! Il sortit deux écuelles de son sac, versa de l'eau dans la première et des boudoirs dans la plus grande. Mange chienne ! Merci Maître Et je croquais les biscuits sucrés en lapant avidement l'eau car il faisait chaud; comme une bonne petite chienne à son Maître ! Ce dernier dégustait son sandwich en me regardant avec satisfaction. Une fois son repas terminé il rangea les écuelles dans son sac et me tenant en laisse m'entraîna dans les bois. Même s'il évitait les fourrés je sentais la végétation contre ma peau et telle une chienne ma position près du sol me faisait sentir plus fort les différentes odeurs du sous-bois. Nous arrivâmes au bord de la route je commençais à paniquer car même si nous étions un peu en retrait, n'importe quel conducteur pouvait nous voir ! Lorsque soudain j'entendis une voix crier derrière nous; un garde forestier ! Mais c'est quoi ce cirque ! Déjà je m'apprêtais à me relever en essayant de cacher ma nudité de mes mains et en me mettant derrière mon Maître mais celui-ci tira sur la laisse m'obligeant à rester à quatre pattes et il répondit: Mais rien juste un promeneur avec sa chienne Ah oui ? Tenue en laisse j'espère ? Bien sûr ! Et avec un collier avec mon nom et mon adresse au cas où ! Vous me connaissez cher ami je ne veux pas enfreindre votre arrêté sur le vagabondage des animaux errants. Belle petite chienne que vous avez là ! Et du geste à la parole le voilà qui me tripote Oui et assez bien dressée ! Regardez ! Et là mon Maître détacha ma laisse et me dit d'un ton dur Va faire dans le fossé ! » Et m'accroupissant, cuisses bien écartées sous les yeux goguenards des deux hommes, je sentais et entendais mon urine couler sur l'herbe. Et les pointes de mes seins me faisaient mal tellement j'étais excitée !!! C'est vraiment qu'une chienne !!! Et oui et bien dressée au pied ! Oui Maître Et me remettant la laisse il m'entraîna de nouveau un peu dans le sous-bois. Fais -la belle ! » Et je me dressais accroupis les deux pattes avant et le garde forestier avait sortit sa queue et violemment me l'enfourna dans la gueule. Sa queue sans être de la taille de mon Maître était d'un bon calibre et la violence de ses coups m'empêchait de respirer ! Déjà je suffoquais bavant sur ses couilles et mes seins mais il s'en moquait seul son plaisir de mâle dominateur lui importait ! C'est mon Maître qui vint à mon secours ! Ses autres trous sont bons aussi ! Ah oui ? A quatre pattes chienne ! » Et je lui présentais mon petit cul en reprenant à peine ma respiration. Il me prit en levrette toujours avec la même violence ! Ses coups de boutoir et ses claques sur les fesses me ramenaient à l'état de femelle montée rageusement ! Mon Maître me présenta sa belle verge et m'ordonna de le sucer avec art et amour ! Ce que je m'empressais de faire ma langue courrait sur les grosses nervure de cette grosse bite, je léchais le frein du gland, l'aspirais, pompais avec toute mon âme cette queue ! Et les frénétiques coups de bite du garde me rendaient encore plus chienne, encore plus animale !!! Je léchais ses couilles les gobais et sentais tout son foutre Ce fut le garde qui se lâcha en premier et je sentis en même temps que son cri rauque ses jets de sperme remplir ma chatte ! Mon Maître me pinça le mamelons très fort et jouit en jets puissants et moi je gobais folle de joie le nectar de mon Maître. Je jouis en l'entendant dire: Ô oui ma chienne !!! Tu es mon vide couille ! Elle est vraiment trop bonne votre chienne. Nous avons une réunion avec des collégues ce soir et des maîtres de chien de meutes, Si vous le souhaitez joignez vous à nous. Il y aura aussi une exibe de dressage. Je pense que votre chienne y ferait bonne figure. Avec grand plaisir. A ce soir alors. |