|
Esclave par amour Lors de nos discussions déjà l'idée d'aller plus loin me titillait. Lorsqu'un jour, mon Maître me proposât de l'accompagner à une soirée particulière pour assister à un spectacle conforme à mes fantasmes, je fini par dire oui. Il me conduisit dans une soirée très élégante. Il m'avait ordonné pour cette occasion de revêtir ma robe rouge et d'être nue dessous. Le champagne coulait à flot. L'ambiance était chaude et devint érotique quand une femme se renversa sur une table devant un groupe d'hommes. Elle se caressa et on voyait qu'elle adorait s'exhiber. Mon Maître me voyant les yeux écarquillé par ce spectacle, me murmura : « tu aimes ma petite Maryaline? » « huuum .....Oui mon bon Maître, j'adore. J'avais un peu peur d'accepter cette invitation mais je ne regrette pas maintenant. » Je l'embrassais à pleine bouche pour lui marquer mon amour et ma reconnaissance. Déjà les hommes s'enhardissent et la déshabillent totalement ! Elle se retrouvait nue et offerte. Un superbe gang bang se déroulait sous nos yeux ravis. Confortablement installés nous regardions cette belle salope au milieu de cette forêt de queues. Martin me glisse alors à l'oreille : « Je sais que tu l'envies ! » Et tout en me disant çà, sans attendre ma réponse, il s'en assure en relevant ma robe et caressant ma chatte déjà très humide. « Hummm je vois que tu adores ma petite salope. » « Oui c'est trop bon, çà me fait mouiller. » Sans réfléchir, très excitée, je lui lance : « J'ai envie de vous sucer comme elle, Maître » « Alors suce ma pute chérie ! Suces.» Il me claque ton cul en disant cela ! Je me penche, je sors sa queue et il me la met brutalement au fond de la gorge. Je suce avec gourmandise. Mais je perds pas une goutte du spectacle en regardant du coin de l'oeuil l'autre salope qui se fait fourrer par ces grosses queues Martin m'arrache quasiment ma robe et je me retrouve entièrement nue. Livrée aux regards de ces inconnus au même titre que la salope qui se fait sauter à côté de moi. L'excitation de mon Maître augmente avec cette situation et il me donne plusieurs coups puissant dans ma gorge. Il m'étouffe et je bave sur ses couilles. « Maintenant salope fais honneur à Ton Maître ! Vide les bonnes couilles de mes amis chienne ! » Les mâles qui n'attendaient que cela se précipitent sur moi et se mettent à me baiser sans précaution. Ils me tripotent sans vergogne. Tous mes orifices sont investis durement. Je geins, essaye d'échapper aux assauts trop brutaux mais en vain. Je suis littéralement violée. Leurs queues se succèdent et me pénètrent sauvagement. Ils me fourrent encore et encore. Certain commencent à jouir et me remplissent la bouche de sperme. Mon Maître joui à son tour dans ma bouche. Il se recule et se régale du spectacle de ma déchéance. « Ma pute. Mais tu es aux anges et tu as soif de foutre ! » Un à un, ils se vident les couilles sur moi et me crachent leur foutre à la gueule ! J'en prend tant dans la bouche que je m'en étouffe. Je ne sens plus ma chatte ni mon trou du cul tant je me suis faite défoncée rudement. Je n'ai même pas joui. Mon calvaire n'était pas terminé. J'entendis mon Maître Lancer à la volée : « Pissons sur cette chienne pour la nettoyer » Quelle humiliation pour moi. Je regardais Martin d'un air apeuré et supplication. Mais 2 mecs voulaient encore profiter de moi. Il me défoncèrent le cul ensemble et je hurlait de douleur. Lui me regardait durement avec un sourire qui en disait long sur mon obligation d'obéissance. Alors que ces salops explosaient le petit trou, les autres commencèrent à me pisser dessus. L'odeur en était infame. J'avais envie de vomir. Les deux salops qui m'avaient explosé le cul, se lâchèrent dedans. Les deux vicelards se placèrent alors prés de ma bouche et se mirent à pisser dedans. Je ne pus en supporter plus. Je me mis à vomir. Mon maître mécontent de ma tenue, pris sa ceinture et me cingla le corps de plusieurs coups. Malgré ma fatigue, j'essayais de me protéger mais les coups pleuvaient et j'en pris un sur les seins qui m'anéhentie de douleur. Après ces épreuves, j'étais épuisée. Je effondrais au sol dans un demi-sommeil. J'entendis un des hommes parler à mon Maître : « Martin tu es en possession d'une bonne salope. Ta Maryaline mériterait de se faire saillir par mes chiens. Qu'en dis-tu ? » « Superbe idée ! Quand veux tu la faire saillir ? » « He bien terminons là chez moi avec nos amis. Mais nous la transporterons dans la cage de la caisse de mon pick-up. Elle pue vraiment trop. » Sitôt dis sitôt fait. Je fus transportée vers le véhicule. J'étais dans un état second. Ils me mirent dans une cage et la cadenassèrent. Je dormi tout le trajet malgré l'inconfort de la cage. Arrivée sur les lieux, avant de m'emmener au chenil, ils me passèrent au jet pour me laver. Aucune partie de mon corps ne fût épargné. Je les suppliais d'arrêter mais plus je supplias, plus ils en riaient. J'entendis dans mon désarrois mon Maître dire : « Tu sais t'y prendre avec les chiennes, mon ami » « Bien on a tous besoin de repos. Conduisons là au chenil pour la nuit. On la fera saillir demain. » Je n'étais plus qu'une loque. Mon Maître me mis un collier. Puis il m'emmena en laisse dans le chenil. Tout en me caressant gentilement la tête, il me dit : « Repose toi bien. Une longue journée t'attend demain ma petite Maryaline. » Il enleva le collier et referma la cage, me laissant seule dans le noir. Épuisée, je me couchais dans la paille et m'endormais d'un profond sommeil. Au petit matin, j'eus la sensation qu'on me léchait. C'était une sensation agréable et dans un semi sommeil je me laissais aller à cette douce caresse. La langue était légèrement rappeuse mais j'adorais ce contact, Je sentais que j'allais en jouir. J'étais dans un rêve et pensais que c'était mon Maître qui me réveillait ainsi. C'est alors qu'en jouissant sous ces coups de langue, je me réveillais pour m'apercevoir que plusieurs chiens me léchaient. Mon Maître et ces amis avaient fait rentrer les chien ans mon enclos et se régalaient de me voir ainsi léchée par ces animaux. J'eus un sursaut et je me plaquais contre les grilles pour me protéger. « Bien messieurs, je crois que notre petit chienne Maryaline est suffisamment chaude pour se faire saillir ! » Je regardais implorante mon Maître : « Pas çà Maître, je vous en prie » « Ta gueule ! Ne me déçois pas une foi de plus ou la punition sera sévère » Je baissais la tête morte de honte et très angoissée. Je ne voulais surtout pas subir le fouet. Le propriétaire du chenil intervint : « Martin avant de la faire saillir, donnons lui la gamelle. Il ne faudrait pas qu'elle défaillissent durant l'acte . » On m'amena une gamelle remplie d'une sorte de pâtée que je due manger sans les mains. Un chien alléché par la nourriture vint partager le repas avec moi. Un foi ce repas humiliant terminé, ces hommes passèrent à ce qui les intéressaient au plus haut point ma saillie. Je fût mise en position. Le propriétaire présenta la queue de son chien sur mon cul. D'un coup de rein violent, il me pénétra. Je poussais un cri d'effroi et pleurnichais de honte. Il se mis à me labourer le cul frénétiquement. Le pire c'est que je commençais à y prendre du plaisir. J'étais malgré tout torturée par la honte et le commentaire dépravant des spectateurs. Finalement, il se lâchât dans mes fesses mais comble d'effrois, il restait bloqué sa queue ayant trop gonflée dans mon cul. Au bout d'un temps qui me semblait interminable, il réussit à sortir. Le bruit produit à la sortie des queue, fit éclater de rire l'assemblée. Mortifiée de telles humiliation, je restais prostrée du sperme de chien me coulant du cul. Mais un autre molosse était en reste et me sautât dessus. Totalement investi par cette queue infâme, j'étais secouée au ritme des coups de boutoir du montre qui me griffait avec ses pattes. Avant qu'il se lâche en moi, mon Maître tira la laisse du chien pour qu'il se retire. J'en fût soulager. Mais se n'était que pire. Il me fît mettre sur le dos et m'obligeât à sucer l'horrible queue rouge et suintante. Le goût était atroce mais je mis astreignais de peur des représailles. Le chien se retournât et se mis à me lécher la chatte. Quelle honteuse , je me mis à couiner et à gémir sous cette langue bestiale. Comble de l'horreur , il éjaculât brutalement dans ma bouche. « Bien mon cher votre chienne est vraiment top » Mon Maître très satisfait de ma prestation vint me flatter et m'offrit sa que à sucer en récompense. Malgré ma déchéance, j'étais fier de moi. Je le suçais avec extase comme sur un nuage. Il éjaculât en long jet épiai et chaud que j'avalais avec délectation. « Bien ma chérie maintenant nous allons te nettoyer à fond car nous avons envie de t'utiliser cet après midi » Je lui répondis docile : « Bien Maître. » Je fut donc brossée et passée au jet et plongée dans la piscine. Mon maître ensuite m'introduit un gros plug dans le fesses. Puis il m'habillât et m'affublât d'un collier et d'une laisse. Nous quittame ses amis mais c'était pour nous rendre dans un pavillon de casse où d'autre vicelard m'attendaient. Il me fît descendre de la voiture tenue en laisse. Il m'amenât ainsi devant ces inconnue et tout en vantant mes mérites, il me découvrît les seins. Continuant son exposé,il montrât mon cul et expliquât ce que j'avais subis précocement. Il tira sur ma robe et défit mon soutien gorge. Les hommes se congratulaient et étaient impatient de m'utiliser. Je fut mise à 4 pattes par mon Maître qui lançât à l'assemblée : « Elle est à vous ma petite chienne Maryaline. » Aussitôt je fut assaillie. Deux hommes me labouraient littéralement la chatte et la bouche. Ils me prirent à tour de rôle. Maintenant j'y trouvais beaucoup de plaisir et j'en jouissais comme une folle. Ils se vidèrent sur moi et mon Maître était fière de moi. On me lava au jet. Puis en remerciant mon Maître, celui-ci me raccompagnât chez moi. J'étais épuisée. Avant de me libérer, je due le soulager avec ma bouche. Ce que je fis avec grand plaisir. Il se vidât dans ma bouche j'avalais avec délectation et un sourire du travail bien accomplie. J'avais été mise plus bas que terre mais malgré cette dépravation, j'étais heureuse d'avoir été à la hauteur des exigences de mon Maître. |