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Souvenir d'enfance J'ai souvent entendu ma mère pester contre mon frère qui jusqu'à l'âge de 13 ans a pissé dans son lit. J'ai ensuite entendu ma mère dire à mon père que maintenant qu'il ne pissait plus au lit, il avait pris la mauvaise habitude de se masturber toutes les nuits dans ses draps. J'ai 3 ans de plus que ce frère, et à cette époque, j'expérimentais toutes sortes de choses, parce que je découvrais mon corps. Mes seins poussaient depuis deux ans, et ma pilosité était de plus en plus fournie. Je voyais les poils qui envahissaient mes aisselles et mon pubis. D'abord de pauvres poils parsemés puis bientôt une forêt dense. J'aimais à me caresser. Au début, je n'osais pas aller plus loin et bien souvent je ramenais ma main sur mes seins où mes mamelons commençaient à m'énerver et mes aréoles s'étendaient de plus en plus larges. J'avais été fière de voir enfin pousser mes seins quand tout à coup j'en ai eu honte. Honte parce que mes aréoles devenaient si larges, honte parce que je devais accompagner ma mère chez la mercière du village qui devait, j'en étais sûre, raconter à tout le monde combien mes seins poussaient. Jusque là, ça ne m'avait pas gênée d'être nue devant mes parents. . Mais j'ai été prise d'une crise de pudeur qu'heureusement, deux ans plus tard, j'ai pu surmonter. Mes parents ne s'étaient jamais cachés devant moi. Je ne comprenais pas qu'elle me fasse porter un soutien-gorge alors qu'elle n'en mettait pas. Plus tard, elle me dira, voyant que j'oubliais de porter mes soutifs : « ce n'est pas très féminin de se remonter la poitrine jusque sous le menton. Tu verras, j'espère que tu auras une belle poitrine lourde comme la mienne. Les hommes aiment ça et s'ils nous offrent des dentelles, c'est pour tout de suite nous les retirer. » En fait à dix sept ans, j'ai cessé de porter un soutien-gorge et j'ai rencontré un copain qui m'a fait aimer me balader les fesses nues. Je dois tout de même avouer que quelquefois j'en porte, quand c'est indispensable, mais j'ai hâte de le retirer. Il y a une chose que j'aime qu'on me dise quand on me baise, c'est que je suis une bonne pute. Il me faut en venir à ce plaisir singulier que j'ai pour la pisse. Non que j'aime ça, mais ça me trouble à chaque fois que je vois un homme uriner. D'où ça vient? Dans la ferme de mon grand-père, il y avait des animaux et ceux qui me fascinaient étaient le couple de percherons qu'il avait pour tirer le tombereau et qui parfois, juste devant la maison, se mettaient à pisser, à pisser dru, leur pisse giclant en un jet continu sur le pavé, éclaboussant leurs pattes. Ils restaient impassibles sous le liquide qui mouillait leurs sabots. Une fois, étant gamine, je suis allée derrière la ferme et j'ai soulevé ma jupe et j'ai pissé. J'avais une énorme envie et j'étais tellement ignare que je me suis pissée sur les jambes et les pieds. Mais ça avait été une sensation immense, ce liquide chaud, mon urine à moi, qui coulait sur mes jambes. Et puis je suis allée me rincer au robinet de la grange. Ma grand-mère ou ma mère m'avaient apprise à uriner accroupie et j'ai tout de suite détesté ça parce que je les voyais, autour de moi, qui me surveillaient et s'assuraient que j'avais bien fait couler la dernière goutte. A la ferme, les toilettes, c'était une cabane à cinquante mètres de la maison, au milieu du pré, où nous devions aller. Ls hommes sortaient sur le pas de la porte et urinaient sur le tas de fumier. Et nous, les femmes, devions aller dans la cabane. En me penchant et en écartant les lèvres de ma chatte j'avais découvert que s'y ouvrait un trou que je n'allais pas tarder à explorer avec mon stylo puis avec mon doigt. Je me demandais pourquoi cette ouverture était cachée. A quoi pouvait-elle bien servir? J'allais bientôt découvrir à quoi ça servait. Chaque fois que j'allais à la ferme, j'avais mon rituel. Je buvais autant que je pouvais, provocant l'inquiétude ma grand-mère et puis je sortais, allais au milieu du pré et soulevais ma jupe et je pissais. Le printemps de retour, je retrouvais robes et jupes. Mon premier porte-jarretelles je me le suis acheté toute seule. J'avais profité d'un voyage à la ville pour en acheter un dans un hypermarché. Et je l'ai mis, avec des bas à maman. C'était un porte-jarretelles minimum. Je dois avouer que j'avais l'air d'une putain, comme ces filles que nous croisions près de la gare, chaque fois que nous prenions le train pour aller chez mes grands-parents. Ces filles qui dans la neige et le froid restaient jambes nues jusqu'aux fesses et les seins offerts à tous vents. Mes parents nous tiraient par la main, sans regarder. J'ai commencé à fréquenter ce garçon, qui avait les mêmes goûts que moi pour les bas. Quand il a su que j'avais un porte-jarretelles, il m'a offert plusieurs paires de bas. C'était la première fois que j'offrais mon intimité à la vue d'un garçon. Ce n'est pas que j'avais envie de lui, pas encore, mais essayer ces bas me rendait prête à tout. Une fois dans sa chambre, il m'a demandé de retirer ma robe et de mettre mon porte-jarretelles. J'ai enfilé le porte-jarretelles et il a voulu m'enfiler les bas. C'était superbement excitant, puis mon copain m'a dit que sans culotte ce serait bien mieux. Pour la fois je retirais ma culotte devant lui. Il était ébahi par mes poils, tendait la main, me touchait. Je tremblais assez mais j'écartais les jambes pour le laisser faire. Ses doigts s'attardèrent sur mes cuisses, puis vinrent toucher mon con. C'était la première fois qu'un homme me touchait d'aussi près. Je frissonnais. Ses doigts vinrent toucher mes lèvres et je sentis qu'il m'enfonçait un doigt. « J'ai envie de toi. » A ces mots, je ne me sens plus de joie et je m'attends à tout de sa part. Mais il me fait descendre du lit, me fait poser les mains sur les draps et me donne quelques tapes sur les fesses. Je tremble d'effroi. Pour le plaisir je sais déjà ce que c'est. Je tremble seulement parce que je ne sais pas ce qui va se passer. Puis je sens ses mains sur mes hanches, son sexe dur qui frotte mes cuisses et mes fesses. Déjà ses doigts frottent ma coupe et je sens qu'il va me préparer. Il m'enfonce un doigt, puis deux, me demande si j'ai déjà baisé, si j'ai déjà pris une bite. Je sens sa bite fébrile entre mes jambes et mes cuisses. Il lèche mes fesses et moi je voudrais bien qu'il me pince les mamelons. Je lui demande. : « maltraite moi le tétons . Fait moi mal. » Il me traite de salope mais s'exécute et me pince les seins, me les pelote. Moi j'ai plus qu'une idée en tête : qu'il me baise. « Baise-moi. Défonces moi. J'veux ta bite bien profond » Et lui de me dire : « Patiente jeune pute. Je t'assure que tu vas te rappeler de ton dépucelage. » J'ai tellement envie qu'il me fouille, pour voir ce que ça fait une bite. A peine l'ai-je dit qu'il me saisit par les hanches et que je sens sa bite qui s'enfonce, d'un coup, sans fléchir, qui me pénêtre et va jusqu'au fond, et son ventre qui cogne sur mes fesses, et ses bourses qui frottent sur ma vulve. Et il se met à limer, me lime sans arrêt et je sens qu'il exulte. Je ne sais pas, je ne sais plus, j'ai tout oublié. Alors, il m'abandonne et je sens bien qu'il se masturbe si bien que les premiers jets tombent sur mon ventre et mes seins . Mon premier sperme, mon premier mec, le premier qui jouit pour moi et sur moi. Et lui qui rumine : « J' aurait dû acheter des capotes avec une salope comme toi » Et le voilà qui se met à me nettoyer. Il me lèche son propre jus, mes fesses, mon dos. Nous voilà tous les deux allongés sur le lit et lui qui me dit : « J'espère que tu auras des nichons comme ta mère, son décolleté, ses seins qui doivent bien tomber jusque sur son ventre. Si on se marie, je t'interdis d'acheter des soutifs et des culottes. Je veux que tu sois toute nue pour moi sous tes robes, je veux que tes nichons soient libres, que je puisse les tripoter quand je veux. » Il s'est tu et s'est mis à me téter les mamelons, comme un furieux et ça me faisait mal, mais j'ai mis mes mains sur sa tête pour l'empêcher d'arrêter, pour qu'il les avale entièrement, pour qu'il m'avale aussi tout entière. Et pendant qu'il faisait ça, ma main droite à glissé sur mon ventre, entre mes cuisses, et je me suis masturbée. Quand il s'en est rendu compte, il n'a pas été furieux. Il m'a regardé droit dans les yeux et m'a dit : « branles toi salope ! » Il me tenait la cuisse, et moi j'avais mon autre main sur sa tête, et j'ai joui, pour lui. Je n'avais pas honte. C'était la première fois. Il savait ce dont j'étais capable. Je me suis lavée, et j'ai remis ma robe et alors là je me suis mise à pisser, sans pouvoir m'arrêter, incapable de me contrôler. Je pissais sur moi, et je rigolais. Etait-ce lui qui me faisait ça ? Quand nous sortions, souvent ça me prenait sans prévenir. Nous étions arrêtés sur le bord d'un chemin à nous embrasser quand je me mettais à pisser. Il m'est arrivé une fois même de pisser dans le métro. Je suis sortie du métro et ai gagné un bistrot où je me suis lavé les jambes et les chaussures et j'ai repris le métro. |