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Le centre de rétention

Maryaline
5 octobre 2012
Arrivée au centre de rétention, Je fût conduite dans une salle où on me retira les menottes.
Je dû me mettre complètement nue.
J'y ressenti une certaine honte, bien que je ne fut qu'en présence d'une femme.
Maintenant je devais voir le médecin, car on devait vérifier si j'étais en bonne santé.
« Viens par ici. »
Je dû me présenter toute nue devant un médecin.
Le praticien lui prit les mensurations habituels :
Tour de poitrine : 85.
Tour de hanche : 90.
Taille : 1, 60 mètre.
Il me demanda de m'allonger sur la table et mesura la longueur de mes jambes, de la chatte jusqu'au talon : 86 cm. Il se retourna pour jeter un coup d'oeil sur la fiche.
« Je vois que vous désirez vous former pour devenir une pouliche. Vos longues jambes vous seront utiles. »
Puis sa main glissa de ma cheville jusqu'à l'aine, atteignant les lèvres de mon con.
Il me demanda d'écarter les jambes et de nouveau ses mains glissèrent sur mes jambes, de mes genoux à ma chatte et son doigt me toucha les lèvres .
« Oui vous avez de bonnes jambes. Je vais faire quelques radios de votre corps. »
Il fit les radios, puis continua à m'ausculter.
Mes nichons n'étaient pas très gros, mais bien fermes, avec des mamelons saillants d'un beaux brun.
Je pense pouvoir dire que j'ai une belle paire de nichons.
Puis ce fut le tour de mon cul.
Mes hanches étaient étroites, mais très proéminentes et bien rondes.
Le médecin se mit à séparer mes fesses en faisant ressortir leurs formes admirablement cambrées.
Il enduit mon trou du cul avec de la vaseline, mit un gant et enfonça son majeur dans mon trou du cul étroit.
Il me demanda de m'installer sur une chaise spécialement conçue pour un examen gynécologique.
J' écartais mes jambes pour laisser voir ma chatte.
Il écarta les lèvres de ma vulve, puis introduit un spéculum dans mon con, afin d'examiner l'intérieur de mon trou d'amour.
Il termina l'examen en insérant un doigt profondément dans me minou me faisant pousser un gémissement de plaisir.
C'est alors que le médecin dit :
« je vais prendre des photos. »
Ainsi il commença à prendre plusieurs photos de la partie de moin corps exposé, y compris ma chatte mais aussi le trou du cul.
Puis il me demanda de m'agenouiller en écartant bien les jambes.
Il me photographia le cul sous divers angles.
« Ma chère Maryaline, vous êtes en parfaite santé. Nous devons encore faire une photo, afin de nous assurer que vous ne vous êtes pas faite engrosser. Vous devrez prendre des bains de soleil entièrement nue pendant deux jours, de façon à ce que le bronzage soit uniforme, des marques très visibles de votre maillot de bain rend cela indispensable. Mon assistante vous dira ce qu'il convient de faire. »
J'étais rouge de honte du fait de l'examen et pour avoir subi deux enculades prodiguées par la main de ce médecin qui m'avait introduit des doigts dans la chatte et dans mon cul. Je restais sliencieuse et attendait l'assistante du médecin.
Elle me oint d'une crème hydratante et me dit :
« Allonges toi dans le solarium salopoe. »
Je fût ensuite amenée à ma chambre, où je devais rester pendant ma formation.
Il n'y avait qu'un lit assez dur, un banc, rien de plus.
Il y avait une salle de bain pour six chambres.
Après ma douche, je devais me rendre à mon lieu de relaxation.
La salle de relaxation était un endroit spacieux où se trouvaient des chaises et un énorme écran.
Il y avait des femmes, toutes jeunes et originaires de divers pays du monde.
Toutes ces femmes étaient nues.
Personne ne fut surpris de voir une nouvelle venue dans la ferme.
Je pris place à l'emplacement qu'on m'avait indiqué et attendit.
Peu de temps après, la projection commença.
Il s'agissait de vidéos, où on voyait des poneygirls se livrant à diverses tâches, comme déplacer de lourdes charges.
Les vidéos montraient aussi comment elles étaient utilisés comme des bêtes de sexe et étaient sévèrement punis à la moindre incartade.
Je n'étais pas la seule à me masturber devant ces images très érotiques.
La vue de ces femmes traitées comme des juments, m'excitait beaucoup.
Puis on nous allèrent diner.
Afin de s'habituer à nos nouvelles vies, nous dument manger à même le sol et sans couvert.
Ensuite nous rejoingnîmes nos chambres.
J'étais bouleversée.
La vue de ces poneygirls trainant des charriots sur lesquels on avait disposé des charges très lourdes, de les voir se faire fouetter pour des infractions mineures m'avait fortement impressionné.
Le jour suivant fut une journée de repos.
Je dû prendre des bains de soleil pour que ma peau soit parfaitement bronzée.
En fin de journée je dû de nouveau voir le médecin.
C'est alors qu'on m'accrocha un anneau à chaque mamelon.
Un autre sur le nombril et finalement un anneau sur chaque lèvre de mon con.
La douleur fût atroce mais je me sentais heureuse de devenir une pouliche.
En guise de compensation, le médecin me demanda de lui tailler une pipe.
Immédiatement, je m'agenouillais et prit la bite entre mes mains et commença à sucer cette belle pine.
Avant qu'il ne décharge, le médecin retira sa bite et il m'envoya son foutre sur le visage.
Je regagnais la chambre et me coucha pour me reposer et pour oublier la douleur des perforations.
Le foutre du médecin séchait sur ma peau car on m'avait interdit de me laver.
Le lendemain la formation commença.
Le matin quelques cours théoriques eurent lieu tels que :
-Le comportement du poney
-Utilisation des voix bucales
-Utilisation des harnais
-Prédisposition à donner son corps
-Développement de la force et de la vitesse.
-Soumission à son instructeur
-Pénalités pour manquer à ses devoirs
-Instruments utilisés pour la punition.
L'après-midi, il y avait un entrainement physique :
-Placement correcte des harnais
-Apprentissage des mouvements des pouliches.
A partir de ce moment, nous étions logées dans l'étable et devions apprendre à manger, les mains attachées dans le dos dans un plat posé sur le sol.


A toutes heures du jour, nous pouvions être réquisitionnées pour satisfaire les besoins sexuels de n'importe quel homme vivant à la ferme.
Les relations intimes entre les pouliches étant formellement interdites.
Après un mois de formation, j'étais devenue un être tout à fait différent de celui qui avait été introduit à son arrivé à la ferme.
Je dormais sur la paille et mon corps était marqué par les violents coups de fouet qui m'avaient été administrés.
Mon cul était rubicond ainsi que mon dos et ma chatte.
Mes orifices étaient visités une dizaine de fois par jour.
En fonction de leur apprentissage et de leur comportement à effectuer rapidement leurs obligations, les ponygirls étaient marquées au fer sur la fesse.
J'acceptais d'être marquée avec beaucoup de fierté.
Enfin le jour arriva où les pouliches purent montrer leurs compétences.
Celles qui furent classées les 5 premières avaient le droit de participer à un tournoi international.
Les 5 plus mauvaises reçurent 50 coups de fouets sur leurs nichons et 100 coups sur leur cul.
Elles durent manger de la luzerne pendant deux jours.
Toutes les ponygirls étaient excités à l'idée de pouvoir prendre part à la compétition internationale et s'efforcèrent de leur mieux pour gagner, encouragés par les violents coups de fouet et les décharges électriques que l'on appliquait à l'aide d'un pic sur leurs culs.
Les harnais ont été attachés.
Dés le signal, toutes les pouliches commencèrent à courir, mais malgré le peu de temps passé en formation je parvins au sommet en moins de vingt minutes.
J'était en sueur après l'effort mais le rêve était accompli.
Mon entrejambe était mouillée et ce n'était pas la transpiration qui faisait couler cette mouille de mon con.
Après une courte pose, ce fut le signal pour la deuxième course longue d'un kilomètre.
Après un bain rafraichissant, on me demanda de me rendre dans la salle de bal.
Au cours de cette nuit-là, je fût baisée 15 fois dans ma chatte, 5 fois dans mon cul et 30 fois dans la bouche.
C'était horrible ! !
Je m'endormis dans la grange et ne me présentais pas en classe le lendemain matin.
Je dû subir une effroyable punition.
On m'emmena dans la salle de dressage.
Les anneaux de mes mamelons furent attachés à mes poignets et m seins reçurent de violents coups de fouet.
L'un des soigneurs brandissant le fouet m'infligea un terrible coup de fouet sur la chatte.
Je hurlais de douleur et suppliais d'arrêter ce suplice.
Un coup de fouet lui cingla le nombril, où un anneau était attaché.
La douleur était intense.
« Pourrez-vous dormir, pouliche Maryaline ? »
« Non, Monsieur. »
Tout en l'interrogeant, il lui donna un formidable coup de fouet sur son cul.
J'avais mon cul tout strié de marques rouge où parfois perlait une petite goutte de sang.
Toutes les pouliches étaient placées sur un même pied d'égalité.
En pleurnichant :
« Non , Monsieur, je me suis endormie non seulement à cause de la course, mais cette nuit plusieurs hommes m'ont baisée et à la fin j'étais épuisée. »
« Tu es faites pour ça, tu es une pouliche pour gagner les courses et pour donner ton cul, tu sais ? »
« Oui, Monsieur, je ferai ce que vous me demanderez. »
Je reçu encore une douzaine de coups de fouet.
Les coups de fouet les plus douloureux furent ceux qui furent administrés sur mes seins.
Malgré la douleur je me senti fière en tant que pouliche reconnue dans la ferme.
Non seulement on me baisait mais j'étais aussi punie très sévèrement.
Six mois s'étaient écoulés depuis mon entrée à la ferme.
J'étais consciente de mes obligations.
M'adonner à la gymnastique quotidienne et de jouir pendant les séances de baise avec les hommes de la ferme qui adoraient pénétrer ma chatte et mon cul.
La ferme était conçue afin de former des pouliches qui ne restaient pas à la ferme, mais étaient envoyées dans des ponygirldromes.
La pouliche que j'étais devenue pensait que du fait de son appartenance au ponygirldrome, on ne lui demanderait plus de se faire baiser, mais elle se trompait.
Pour faire monter les enchères, le ponygirldrome institua une prime qui était attribuée à celui qui pariait sur la pouliche qui remporterait la course et le gagnant avait le droit de baiser n'importe qu'elle pouliche qui avait pris part à la compétition.
Finalement les autorités durent renoncer à cette action, du fait qu'une centaine de candidats pouvaient me sauter ce qui n'était pas possible.
On modifia la règle et seul un groupe selectionné pouvait m'utiliser comme il le voulait.
Il pouvait me baiser, m''enculer et même m'engrosser.
Ainsi la fréquence des parties de baise avait diminué considérablement et, peu de temps après je n'étais plus enculée que trois ou quatre fois par semaine.


Le centre de rétention

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