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Urgence à domicile

Jolicoeur
7 décembre 2009
Voici une histoire glanée sur le net :

"Consultation à domicile" par Carole
http://www.histoires-de-sexe.net/histoires-sexy/x-histoires-confessions-sexe-erotiques-hds-1705.htm

"Allo Allo Dr Carole, je me sens mal aujourd'hui puis-je avoir un rendez vous d'urgence."
La voix du patient au bout du fil semblait vraiment angoissée. Mais je la reconnu quand même: c'était celle d'un mec, plutôt mignon, que j'avais reçu en consultation peu de temps auparavant. Une consultation qui avait quelque peu ... dérapé si vous voyez ce que je veux dire. Bien que ce dérapage ai tourné court vu que le patient en question n'avait pas complètement "tenu la distance". Je me demandais pourquoi il me rappelait.
" Vous savez que pour les urgences je les pratique à domicile ." répondis-je"

"Oui je sais, et tant mieux car je me vois mal dans cet état dans la file d'attente , je vous attends donc" répondit il en me dictant son adresse.
." Mais , Monsieur , répondis je, vous vous plaignez de quoi exactement?"
- j'ai un gros problème, un ami ma ramené une bouteille de république dominicaine et j'en ai pris un peu trop .
- c'est quoi cette bouteille ?
- Du bois bandé !
- ah oui! Je vois le topo! J'espère que vous n'avez pas fait ça suite à notre dernière rencontre! ça fait combien de temps que vous êtes dans cet état ?
- 10 heures au moins!
- J'arrive, je fais vite!
- Merci Docteur!



J'étais en train de rassembler mes affaires lorsque une petite voix dit derrière moi:

"Docteur, je peux venir avec vous pour cette urgence?" C'était Martine, ma nouvelle stagiaire! Une très jolie petite brune avec un air un peu enfantin!

"Oui, pourquoi pas, répondis-je, quel age as tu au fait Martine ? "
"19 ans" me répondit-elle, l'air un peu surprise par la question.

Nous montons toutes les deux dans la voiture. Pendant le trajet nous devisons de choses et d'autre et au détour d'une phrase je lui demande:
-Martine, tu as un copain?
Un peu interloquée elle me répond:
- Non Docteur.
- Et ton dernier flirt remonte à quand?
- Je .. Je n'en ai encore jamais eu!
Je la regarde un peu surprise, elle a l'air très gênée, elle plonge son visage dans le plan et me dit comme pour détourner la conversation:
"Nous voici arrivé chez notre malade. Il nous appelle pourquoi Mme Carole?"

Avant de répondre je gare la voiture devant le domicile du patient. Puis j'observe la petite Martine, elle est sexy avec sa jupe courte, ses talons et son joli chemisier qui laisse deviner ses seins fermes.


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Je lui explique :
- « C'est un homme qui a pris une trop forte dose d'aphrodisiaque, et il n'arrive pas à débander
- Ah bon ! (sa voix semble soudain troublée), et que pouvons nous faire ?
- La seule solution consister à le baiser jusqu'à ce qu'il se calme ! Mais, ça ne vas pas être une petite affaire ! Le bois bandé, c'est pire que le Viagra ! Il faudra, sans doute, le faire jouir plusieurs fois avant qu'il retrouve son état normal ! »

Pendant que je prononçais ces paroles, je vois sa main se porter presque inconsciemment à son entrejambe et j'entends sa respiration s'accélérer. Je relève alors ma jupe, ôte mon string en dentelle, le place dans mon sac à main, et lui dis : « Fais en autant tu seras plus à l'aise pour travailler ».



Comme c'est une stagiaire très obéissante, elle s'exécute immédiatement et me tend sa petite culotte déjà toute mouillée. Nous voilà toutes les deux, la chatte à l'air, à moitié dissimulée seulement pas nos jupes, et attirant les regards en coins des passants qui renforcent notre excitation.
« Tu vois petite Martine, lui dis je sur un ton professoral, rien de tel qu'une petite exhibition comme ça pour te mettre en condition avant le boulot !»
- oui! ça fait du bien! Je suis toute émoustillée!
- cela ne te gène pas de te faire décapsuler aujourd'hui ?
- Non. En fait j'en ai envie depuis longtemps, et puis cela me permet de découvrir, en profondeur, tous les dessous du métier. On apprend pas ça à la fac !
- Bien sûr que non ! Quoique ! Dis-moi Martine, je ne comprend pas. Mignonne comme tu es tu ne dois pas avoir de mal a attirer les mecs, et tu me dis que tu en as envie! Alors, pourquoi es tu alors encore vierge ?
- C'est que j'ai un problème ! Je suis autant attirée par les filles que par les mecs, et je ne sais quoi choisir.
- Pourquoi choisir ? Tu es bisexuelle, c'est un merveilleux cadeau que t'offre la vie ! Tu vas pouvoir goûter à deux fois plus de plaisir : celui d'être prise par un homme viril et celui de la douceur d'un corps de femme contre le tien. Et puis surtout tu vas pouvoir faire quelque chose de merveilleux : partager un homme avec une autre femme et après l'avoir fait jouir ensemble, vous gouiner devant lui, ou dans l'autre ordre si tu préfères. Les hommes adorent ça ! Peu ont l'occasion d'y goûter mais presque tous en rêvent ! Je suis sûre que ça va faire beaucoup de bien à notre patient d'aujourd'hui ! Tu vas voir cela va bien se passer ! Voici un petit avant goût !

Ce disant, mes lèvres se soudent aux siennes et nous nous roulons un gros patin passionné. Ma main se porte sur sa chatte qui mouille déjà abondamment et la caresse lentement. Les regards des passants se font de plus en plus insistants.



- « Docteur ! Vous embrassez bien ! Je suis heureuse que nous partagions les mêmes goûts, me dit cette petite vicieuse de Martine, et si nous allions goûter à la bite maintenant ?
- Oui ma chérie, allons-y ! Tu me sembles prête maintenant ! »

Rabaissant nos jupes nous sortons de la voiture et entrons dans l'immeuble. Nous grimpons les escaliers jusqu'au troisième étage. Je passe derrière elle et peux admirer ses fesses sous le mouvements de sa jupe. On peut dire que je soigne bien mes patients! Celui d'aujourd'hui est verni, un beau petit cul comme celui là ainsi que le mien, qui n'est pas mal non plus, je crois qu'on va réussir à le guérir.



Nous arrivons devant la porte. Martine me semble à nouveau nerveuse. Je soulève sa jupe pour lui caresser doucement le cul et lui dit : « ne t'en fais pas ma chérie, ça va bien se passer !" Et je sonne !



La porte s'ouvre sur notre patient, plutôt surpris de voir que je suis accompagnée. Mais il ne fut pas le seul surpris puisque Martine resta scotchée sur son caleçon. Manifestement le jeans serrait un peu trop notre malade et il avait décidé de se mettre à l'aise dans un caleçon assez souple. Avec ce type de caleçon, sa gène ne passait pas inaperçu , le piquet de tente était bien mis, la toile était belle et bien tendue et les boutons de bonne qualité. Manifestement ce spectacle fascinait ma jeune stagiaire.



"Bonjour Dr Carole, dit il, je vous attendais, rentrez donc. Vous êtes venue accompagnée ?"
- Oui, c'est une stagiaire et je lui ai proposé de m'accompagner pour cette visite.
Martine n'avait toujours pas repris ses esprits et eu du mal à lui répondre lorsqu'il demanda:
"Mme ? Mme ?"
- Non Mlle Martine.
"Et si nous commencions à vous examiner ! " rétorquais-je!
Je demande alors à notre patient de s'allonger sur son canapé.
Martine et moi nous approchons de son corps. Je m'aperçois qu'il contemple mes jambes avec avidité au fur et à mesure de mon approche puis son expression change, je devine qu'il a découvert ma toison. Un peu perturbé , il change d'angle de vue et contemple l'approche de Martine. A son petit sourire, on voit qu'il vient d'apercevoir une deuxième toison en vue.


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Il prend un air entendu, comme s'il comprenait soudain que ce n'était pas un hasard que deux ravissantes femmes viennent ausculter sa bite en offrant leur chatte à ses yeux. Martine et moi n'étions plus qu'à 20 cm de lui et son regard faisait des aller retour entre nos deux minoux, il devait faire des comparaisons. J'avais pu remarquer dans la voiture que Martine et moi avions la même coupe de chatte: assez modes , style ticket de métro. Je ne sais pas si Martine mouillait autant que moi mais, si elle m'avait dit vrai, ma fente devrait être plus éclatée que la sienne, les grandes lèvres plus voyantes.

« Ce n'est pas bien d'exciter ainsi les hommes, Mesdames. » dit il!
Et là, je fus surprise de la réponse de Martine:
"Mais Monsieur ce n'est pas nos petites chattes qui vous ont mis dans cet état, regardez donc!".


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Martine tira un grand coup sur son caleçon, la bite entraînée par l'élastique revint se cogner sur le bas ventre du mec. Martine n'avait plus froid aux yeux et avait repris largement confiance. En tant que docteur , je commençai mon travail . Je sorti de ma sacoche un de mes outils de travail, le tétoscope. Je demandai alors à Martine de lui tenir la bite pour que je puisse écouter un peu de plus prés, et je rendis alors mon diagnostic :
« Elle est plutôt en forme cette « petite » mais un peu trop calme, à mon goût. Depuis que vous êtes comme ceci l'avez vous utilisée un peu ?"


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- Pas vraiment , Mme Carole , je devais ... mais voilà..
- Bon je crois que j'ai un remède à ceci, il va falloir mettre cet engin a rude épreuve.
- C'est à dire quoi exactement ? Je dois me branler intensément ?
- Oui, ça pourrait être ça , mais ne croyez-vous pas que l'on pourrait pas faire autre chose avec ce joli monstre ?
- Ah je vois, vous êtes coquines vous deux
" Eh ,Nous allons te baiser chacun notre tour!" décréta Martine "jusqu'à temps que la situation redevienne normale!"

"bon! Dis je à ma jeune stagiaire, nous allons commencer par un peu de buccothérapie! Je vais te montrer. Regarde! Tu commence à caresser doucement les couilles, comme ça. Vas y n'aie pas peur!"
Je prends une de ses boules en main et Martine place ses jolis doigts aux ongles fins et vernis sur l'autre. Après une brève hésitation elle se met à la caresser doucement.
"c'est doux! "Dit-elle!
"tu n'as jamais touché de couilles ?" demande t-il étonné!
"non, répond-t-elle, ce sont mes premières, mais il y a longtemps que j'en rêve!"
"alors, profite-en!" répondit-il.

Je reprends ma leçon:

"Maintenant, tu les prends doucement dans la bouche et tu les fait rouler sous ta langue, comme ça!"


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Je joins le geste à la parole, bientôt imité par Martine et nous voilà toutes les deux à déguster ensemble ses roustons.
"ensuite Martine, il faut bien explorer les environs, on peut soigner l'organe malade en traitant les zones voisines."
Je descends alors ma langue entre ses fesses, jusqu'à l'entrée de son anus dans lequel je tourne ma langue doucement. Je cède la place à Martine qui, passant d'une fois de plus d'une certaine réserve à une audace incroyable se précipite pour lui laper la raie et lui sucer le cul avec une gourmandise qui m'estomaque. Pendant ce temps, je commence à donner quelques petits coups de langue sur le gland.


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Il est temps de revenir au cœur du sujet. Je montre à Martine comment faire courir la langue de haut en bas et de bas en haut sur la verge de notre malade. Nous la léchons, chacune d'un coté, jusqu'à ce que nos langues viennent courir sur son gland que nous nous partageons comme une glace à la fraise.



Puis, au hasard de notre dégustation, nos langues se touchent et Martine, subitement, abandonne la bite pour coller ses lèvres aux miennes. Nous nous embrassons longuement. Sa bouche est déjà pleine de l'odeur de la queue et de du cul de notre patient qui finit par protester :
« Dites donc les filles, vous n'avez pas finis votre boulot ! Vous pourrez vous amuser après ! »

Il a raison ! Nous ne pouvons pas commettre une « non-assistance à bite en danger », mais il faut que je montre d'abord à Martine comment sucer.

« Tu vois, petite Martine, une bite c'est très délicat ! Tu dois la sucer avec fermeté mais aussi beaucoup de douceur, sinon ça peut faire mal. Masque bien tes dents avec tes lèvres, ta bouche doit être un nid aussi douillet que ta chatte pour ce petit oiseau ! »

Je montre ainsi à Martine comment le sucer, longuement, doucement, profondément. J'aspire sa queue et joue de ma langue dessus. Puis je cède la place à Martine qui se débrouille plutôt bien pour sa première fois vu l'expression satisfaite du patient.



« Docteur Carole ! Me dit elle, c'est si bon une bite ! Mais ça m'a mis la chatte en feu ! »

Je lui dis alors de se mettre dans une position de travail plus ergonomique. Elle s'allonge donc à quatre pattes au dessus du mec, enfermant son visage sous sa jupe pour qu'il puisse lui bouffer le minou et reprend sa fellation en faisant de réels progrès dont témoignent les râles sonores de notre ami. Elle ne s'interromps que pour pousser à son tour des petits cris aigus de plaisir, toute heureuse des caresses de la langue masculine sur sa moule encore vierge. De mon coté j'appuie son travail en m'occupant à nouveau de l'anus, des couilles et des rares morceaux de bite qu'elle veut bien laisser à ma portée.



Tout à coup, une véritable fontaine de sperme jaillit de la queue. Martine a un mouvement de recul mais je lui dis : « Mais non ma chérie, goûte ! C'est très bon et excellent pour la santé ! Ce serait dommage de gâcher tout ce bon foutre bien chaud ! »
Martine avale, d'abord timidement quelque goûtes de la jute : « mmm !! C'est salé ! Mais c'est bon ! », puis elle se mets à laper goulûment la bite si vite que je dois me rabattre sur les quelques goûtes qui on giclé sur mon visage pour avoir ma part de dessert.


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Mais ce n'est pas grave, car il va manifestement y avoir du Rab. Malgré cette superbe éjaculation, sa queue est restée, droite comme un I et tout aussi dure qu'avant.

« Ça n'a pas marché Docteur Carole ! », dit Martine d'une voix faussement dépitée.

« C'était à prévoir, réponds je, la médecine est une école de patience ! Il faut recommencer jusqu'à ce que ça marche ! »

« Cette fois ci j'ai trop envie qu'il me la mette dans la chatte, répond elle d'une voix guillerette ! »

« C'est d'accord réponds je, je crois qu'une vraie pénétratothérapie, associée peut-être à une enculothérapie devrait donner un meilleur résultat »

« Comme c'est agréable de se faire bouffer la chatte de telle manière, vous devriez essayer Docteur Carole» dis toute épanouie ma stagiaire. Je prends alors sa place au dessus du visage du patient pendant que Martine se retourne et frotte sa bite avec ses fesses.
- « Docteur! Je commence pas quoi la pénétratothérapie ou l'enculothérapie ?» demande t'elle de sa petite voix naïve d'élève appliquée.
- "Comme tu veux, réponds je, mais je pense que tu devrais essayer la pénétratothérapie, vu que tu n'as jamais pratiqué ses deux traitements et fais attention, elle est comme-même belle cette bite , elle a une belle circonférence et elle est longue!"

- "Merci du conseil Docteur!".

Martine pris alors la queue dans sa main droite et la dirigea vers sa vulve. Martine a un peu de mal a introduire le sexe dans son con et je décide de l'aider:
« Martine, lui dis-je, lâche la queue de ta main droite! Je vais la prendre et la diriger vers ta chatte et regarde moi! »
Nous recommençons à jouer ensemble avec nos langues, mais cette fois notre client, comprenant que cette astuce permet à Martine de se relâcher un peu ne proteste pas.


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Je lui dit alors « descend tout doucement , tu dois la sentir grappiller les cm de ton vagin ou fur et à mesure !»
- Docteur je sens bien les cm passer mais il reste encore beaucoups de chemin à parcourir!
- Oui, tu n'es qu'à la moitié , mais n'essaye pas pour l'instant de descendre a fond , commence plutôt à remonter puis redescendre tout doucement »

Notre patient ne se plaint pas, sentir sa queue bien serrée dans cette petite chatte n'est pas pour lui déplaire. Pendant ce temps, je m'excite sur son visage, il darde ma moule de sa langue tendue et je joue avec mon bassin pour me branler la chatte grâce à cette langue vorace. Il ne bouge plus, il laisse ma chatte venir à la rencontre de sa langue! C'est délicieux mais avec un petit goût de trop peu! Je lui donne donc mon petit trou à sucer! Je sens qu'il en profite un peu, il me l'humidifie un max jusqu'à temps que je lui redonne ma chatte à lécher, mais là il s'occupe principalement de titiller mon clito, je sens sa bouche me le sucer, me le mordiller, le branler avec sa langue! J'aime!, Je suis aux anges et commence à pousser des petits cris. J'adore que l'on s'occupe de mon clito, et je comprends qu'il le trouve à son goût, il s'y attarde longtemps tout en se faisant branler la bite par la chatte de Martine. De son coté Martine prend beaucoup de plaisir puisque mes petits cris sont à peine audible par rapport aux siens. Je sens notre patients très excité par nos cris de plaisir qui se répondent.


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Soudain Martine, pousse un grand cris, j'ai peur que les voisins s'en aperçoivent! Mais notre hôte ne semble pas s'en inquiéter. En fait, sa bite venait d'être entièrement engloutie dans la chatte de ma stagiaire. Mais cette dernière ne s'arrêta pas à ce stade puisque elle enchaîna les mouvements de son bassin , la queue de notre patient servait maintenant de joystick! Avec émotion et un peu de nostalgie en pensant à mon propre dépucelage je regarde cette queue se mouvoir dans ce jeune vagin et lui dit « tu vois Martine! C'est super le sexe! »
- Oui Docteur , j'adore déjà! Monsieur! Ca ne vous serre pas trop? »
- Un peu, répondit notre malade, mais prenez du plaisir, ma maladie ne se guérira pas comme ça , mais par contre, je suis déjà très content que ma bite est servit à vous dépuceler!


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- Mais Monsieur, je ne suis pas encore complètement dépucelée, je n'ai dépucelé que ma bouche et ma chatte, il reste quand même mon cul, encore !»
- C'est vrai, mais là je changerai de position pour vous prendre le derche d'une autre façon.
- Ok , je suis impatiente!

Là je sentis qu'il fallait que je reprenne le dessus sur ma stagiaire qui commençait en prendre un peu à son aise.
- « C'est moi le docteur! , C'est moi qui prescrit, et là je vois que ta pénétratothérapie n'a pas eu trop d'effet, donc tu permets que je prenne ta place !»
- Sans problème Docteur, je ne voulais pas vous offenser" , répond t'elle un peu penaude. Je suis un peu sur les nerfs, à la fois pour me défouler et pour montrer à cette petite apprentie pute insolente ce qu'est une vraie pénétrothérapie je m'empale sur la bite à fond et commence des vas et vient rapides


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Notre patient sens la différence , rien de tel que le métier! Je sens sa bite en feu. Je décélère alors. Je remonte en haut de sa verge et je lâche tout , c'est agréable! Je me redresse et me laisse retomber rapidement sur son pieu et je me masturbe sur cette masse chaude et palpitante activement!.
"Martine! redonne ta chatte à bouffer à notre malade, tu ne vas le laisser comme ça quand même!"
Je vois alors Martine se rapprocher. elle se met à califourchon sur lui et vient lui bouffer le visage avec ses fesses rebondies.

- "mmm! Sa chatte dépucelée est d'autant meilleure" dit il la bouche pleine.


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Vue sa position il en profite pour malaxer ses seins, ils sont petits mais cela lui permet d'occuper ses mains. Vue la posture de Martine, j'ai une vue agréable sur son fion, car j'appuie sur son dos , pour qu'elle se cambre plus! Je laisse sa bite à l'air quelque instant, mais pas pour très longtemps car elle s'active de nouveaux mais pas dans ma chatte ni dans mon petit pruneau mais entre mes seins. Je branle activement la verge érectile avec mes seins, c'est une de mes spécialités et je maîtrise parfaitement le geste.


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« Martine tu peux me passer ma sacoche S'il te plait?, demandais je à ma stagiaire en train de décoller d'extase de se faire manger le cul, j'ai les mains prises»
- Oui Docteur, Tenez!
- Pose la là, merci!
Martine retourne à son monde de plaisir buccogénital et n'a pas l'air de s'intéresser à la sacoche ni surtout à ce que je vais faire. Je prend un tube dans mes mains , j'en en mets sur le bout de mon majeur et 2 secondes après Martine se redresse brusquement.
- T'inquiète pas martine, mais pour te dépuceler le cul, il est préférable que je prépare le chemin !»
Je frictionne alors son anus avec mes doigts imbibé de lubrifiant puis commence à introduire le début de mon doigt. Mais là ça a du mal à entrer, malgré les léchouilles de notre ami. Je prends alors le tube et verse du lubrifiant dans son anus . J'introduit aussitôt mon doigt et commence des vas et viens, son cul commence à se dilater petit à petit , j'introduit alors le deuxième puis continue des mouvements de vas et viens. Martine pousse alors des petits cris mais ça va . Je lubrifie de nouveau son petit anneau et j'y vais avec trois doigts, la dilatation commence à se voir à l'œil nu. C'est alors que notre patient se rappelle à notre souvenir:
- Docteur et ma bite , on en fait quoi? »
- attendez un peu , vous allez devoir enculer cette petite mais je la prépare, ça y est elle est prête à se faire défoncer le fion! »
Je prends donc Martine dans les bras pour la mettre par terre. « A quatre pattes Martine, le cul en l'air et le visage collé au parquet !». Elle obéit docilement.
"Docteur vous avez bien travaillé, dit le patient, son petit trou est bien dilaté et n'attends que ma bite. » »
Il introduit quand même trois et quatre doigt et commence à la branler pour voir sa réaction.
« Je vois que t'aime ça Martine » dit-il
- Oui, Monsieur, c'est encore meilleure dans le cul que dans la chatte »
- Mais, t'es vraiment une petite chienne Martine! attends que je t'encule! »
- Vas-y défonce moi le cul»



Sachant que cette dernière était vierge de ce coté, il introduis sa queue avec précaution dans son cul mais à nouveau Martine réclame:
- Vas-y qu'est ce que tu attends, défonce moi! »

Pendant ce temps je me branle sur le canapé et regarde la bite entrer et sortir de son cul. Il la défonce grave, elle gémit mais en redemande, il active donc les vas et viens et les gros coups de bite . Mais là je sens qu'il n'en peut plus , il va éclater! Avec ce langage vulgaire de Martine, cette petite enculade et ma branllette espagnole de tout a l'heure, il est bon !
« Docteur venez vite , j'ai quelque chose pour vous! » ma dit il
J'accourre vers lui.
« tenez! toute à l'heure Martine ne vous a rien laissé, voici donc ma semence !»
Je lui répondis alors « Envoie la sauce au fond de ma gorge! »
-Tiens donc, bois salope!"


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Je reçois tout sa semence dans ma bouche. Je joue alors avec dans ma bouche, savourant le goût chaud et salé sur mes papilles puis j'ouvre la bouche pour montrer le foutre à Martine sur le bout de ma langue mais ne lui donne pas et avale tout.
« Tu vois! lui dis je, tout à l'heure tu m'as rien laissé, et bien c'est à mon tour ».

Après ceci, je regarde la bite de notre amis, mais celle-ci reste toujours au garde a vous.
« que fait-on maintenant Docteur » demande t-il.
Je réponds « on continue mais cette fois ci tu vas travailler un peu plus, en plus tu devrait moins jouir que nous maintenant »


"Ok docteur, dit notre patient, je vais travailler un peu plus et je vais commencer par vous » ce disant, il m'allonge sur le canapé, sur le dos pour préparer un petit « tête à queue » . il s'introduit dans ma bouche puis me prend par la taille, me soulève la tête en bas et se met debout. » il me plaque alors le dos contre le mur et , nous voilà en position de 69 vertical . il a ma chatte en bouche et moi sa bite .



Cette petite pute en herbe de Martine, voyant nos acrobaties, ne veux pas être en reste. Lorgnant sur Les fesses du mec, elle commence à y placer ses mains et les caresse doucement. Ses doigts courent entre ses cuisses, caressent ses couilles, remontent entre ses fesses, explorent l'entrée de son anus. Puis elle se penche et continue son exploration avec sa langue. Après avoir léché son cul, elle descend vers ses couilles alors que je continue de sucer sa bite. Nos langues se rencontrent autour de son membre, nos lèvres se ressoudent un instant mais je lui fait sentir que je ne souhaite pas lui laisser pour l'instant la dégustation de mon sucre d'orge préféré, non mais ! Elle décide donc de partir à la découverte du reste de son corps. Elle se redresse donc doucement derrière lui, lui caressant le dos de ses seins et finalement plaquant sa chatte trempée contre ses fesses. « Monsieur, vous avez un si beau petit cul ! » lui glisse-t-elle à l'oreille pendant qu'il continue à me bouffer la chatte, puis elle ajoute, « je peux goûter ? ». Généreusement, il lui laisse lécher mon con. C'est si bon de sentir leurs langues se succéder sur mon minou ! Ils échangent ensuite des baisers salés, parfumés au goût de ma chatte. « elle a bon goût, n'est ce pas ? » dis t-il à Martine. « exquise, répondit-elle, j'adore le goût de la chatte ! presque autant que celui de la bite ! » Cette petite cochonne semble avoir perdu toutes ses inhibitions. Il est temps de parfaire sa formation, après tout je suis sa maîtresse de stage.
« Martine ! Peut-tu aller chercher ma sacoche s'il te plaît ? » Bien que rechignant à abandonner sa dégustation, elle s'exécute et pose la sacoche ouverte sur le canapé à coté de moi. « sort donc le gros thermomètre rose, tu vas me prendre la température ! » Le thermomètre en question est un gros godemiché équipé d'un capteur de température, un des mes instruments préférés. « vous voulez la température buccale ou rectale docteur ? », demande-t-elle. « tu vois bien que j'ai la bouche occupée ! » lui répondis je sur un ton professoral un peu agacé.



Après avoir enduit le thermogode de lubrifiant, elle me l'introduit doucement dans le cul. Tout en continuant son cunnilingus, notre patient est aux premières loges pour voir l'engin écarter mon rectum et me pénétrer. Consciencieusement, martine accélère son vas et viens, dilatant de plus en plus mon cul sous ses yeux. « Je vous encule bien maîtresse ? » demande Martine avec une petite voix d'écolière qui contraste avec la crudité de son langage. « Oui c'est bon martine ! Eclate moi bien le cul et tu aura une bonne note ! » Répondis je. En tournant légèrement les yeux je peux nous voir dans un miroir. La scène est dantesque. Le mec est coincé entre moi, qui fait les pieds au mur en lui pompant la bite avec Martine qui me lime le cul, lui qui me bouffe la chatte et Martine qui se frotte d'excitation contre ses fesses. C'est trop pour moi, la jouissance arrive avec violence et j'hurle de plaisir en inondant sa bouche de mouille que Martine se précipite pour goûter aussi. Épuisée (le 69 vertical est très excitant mais un peu fatiguant) je m'effondre avec un râle sur le canapé ou je reprends mon souffle, repue, avec toujours le gode dans le cul. Ce n'est manifestement pas leur cas: la bite du patient toujours tendue comme une hampe de drapeaux et les halètements frénétiques de Martine qui ne peut s'empêcher de se toucher la chatte montrent qu'il ne sont toujours pas rassasiés. Alors Martine me retire le thermogode d'un geste brusque. Cela produit un « pop » sonore et m'arrache un frisson intense. Ils ont maintenant une superbe vue sur mon anus dilaté et je vois à leurs regards et au frémissement de la queue que ce spectacle les inspire.
Martine regarde l'indication du thermogode et dit: "docteur! Je confirme que vous êtes une chaude lapine!"

puis elle range l'engin dans ma sacoche et commence à la fouiller à la recherche d'autres trésors. Finalement elle en extrait un gode ceinture.
"qu'est ce que c'est? " demande t-elle.
" cela me permet de jouer le rôle du mec, répondis-je, je me le passe autour de la taille, avec la grosse bite extérieure je peux baiser la fille ou le mec (s'il aime) et ses mouvements sont transmis au petit gode interne qui me rentre dans la chatte et me titille le clito."
"s'il vous plait docteur, montrez moi, baisez moi avec!" demanda Martine.
Bien que fatiguée, j'accepte et commence à enfiler l'engin.
Notre patient proteste une fois de plus qu'avec nos jeux saphiques nous l'abandonnons à son triste sort, ce à quoi Martine lui répond: "dites donc, j'ai trois trous, et le docteur aussi, il faut bien qu'ils servent!"

A ce moment elle le pousse sur le canapé. Il se retrouve sur le dos avec la bite en l'air. Martine se place à califourchon sur lui et s'empale d'un coup sur son dard. Sa chatte est tellement trempée qu'il y rentre comme dans du beurre. A mon tour je me place derrière elle avec mon engin, préalablement enduit de lubrifiant, bien qu'à voir l'aspect ouvert accueillant de son petit trou après la première exploration de notre ami, cela ne semble pas nécessaire. En effet, je ne lui arrache qu'un petit cri lorsque je l'encule à fond. La voilà prise en sandwich entre nous deux : « oh docteur Carole ! Oh Monsieur ! C'est si bon deux bites à la fois ! Baisez moi ! Défoncez moi ! Enculez moi ! ». Encouragés par ces paroles obscènes toujours prononcées avec sa voix naïve de petite fille, nous nous mettons ensemble à l'ouvrage, coordonnant nos coups de butoir. Ce gode est vraiment très bien conçu, les ondes des coups de bites du mec se transmettent à travers la fine paroi de Martine à mon membre de plastique qui les transmets à son tour jusqu'au fond de ma chatte. J'ai vraiment la sensation de lui pénétrer le cul. Au mouvement d'avant en arrière de notre double pénétration j'ajoute un mouvement de basculement latéral, à la fois pour donner plus de sensation à ma stagiaire mais aussi pour permettre à notre patient d'accéder à mes seins. Ce sont, en effet, deux paires de seins qui s'agitent devant lui et réclament ses caresses,
ce sont aussi trois bouches et trois langues qui se cherchent, se trouvent, jouent ensemble, se perde puis se retrouvent. Nos trois corps n'en font plus qu'un, entièrement consacré au plaisir. Martine hurle : « oui !! plus fort !! Défoncez moi ! écartelez moi la chatte et le cul ! » Encore deux ou trois coups de hanche de notre part et c'est par un cri aigu et obscène que notre petite chienne exprime sa jouissance. J'espère que les voisins compréhensifs, en tout cas nous lui faisons de la pub auprès de ses voisines ! Nous nous retirons tous les deux, mais Martine ne souhaite pas en rester là :



« A mon tour de vous baiser docteur ! donnez moi votre bite ». Je suis si fière de mon élève et de ses performances que je ne relève même pas le ton autoritaire avec lequel elle s'est adressée à moi, peu compatible avec nos relations hiérarchiques, et j'enlève mon accessoire pour lui donner. Sitôt équipée avec notre aide, qu'elle me dis toujours sur le même ton : « allongez vous sur le dos, sur le canapé ». Je m'exécute, écartant les jambes près à accueillir sa bite factice. Martine se tourne alors vers le patient : « mets toi derrière moi, nous allons la baiser ensemble cette salope ! ». A ce moment là, elle se glisse entre mes cuisses et fourre le gode dans ma chatte d'un coup brutal qui m'arrache un cri. Déchaînée elle me dit : « tu aimes ça, chienne ! Mais tu vas voir ! à deux on va te bourrer encore plus fort. » Derrière elle, le mec examine son petit trou, plus dilaté que jamais qu'elle lui présente en offrande comme une invitation. Il comprend alors ce qu'elle veut dire et il s'enfonce en elle, l'enculant à fond d'un coup sec. « oui c'est bon dit elle, encule moi bien ! Et maintenant défonçons cette petite pute ! » .
« Petite pute toi même » me mets je à penser toute en me disant que, pour moi, il s'agit d'un compliment. Maintenant ils se mettent à deux pour me défoncer, unissant leurs forces et leurs coups de reins. J'ai l'impression d'être prise par un taureau. Par moment j'ai aussi le sentiment que la bite du mec traverse Martine pour venir me baiser. Martine elle aussi est hystérique, elle nous abreuve de paroles obscènes entre deux halètements et est couverte de sueur.
Notre patient redouble ses coups de butoir également au comble de l'excitation. Cette fois ci la jouissance est simultanée pour nous trois, un concert de râles sonores marque la fin de la chevauchée fantastique. Nous restons un moment hébétés dans cette position, puis Martine se retire de moi et il se retire d'elle. Elle tourne son dos vers moi et me présente son cul. Les bords de son anus sont rouges et, du trou, béant, extraordinairement dilaté, coule la manne blanche du sperme. Je me précipite pour lui lécher le cul et déguster cette liqueur. De son coté, Martine nettoie de sa langue se qui est resté sur la bite. Elle le fais avec ardeur, le goût musqué de son cul se mêlant à celui du sperme du mec semble l'exciter. Au point que la bite est bientôt parfaitement nettoyée, mais toujours raide !


« C'est pas vrai !, dit Martine en reprenant son ton de petite fille boudeuse, il ne débande toujours pas, on ne vas pas y arriver ! »

« Ressaisis toi Martine, tu es une professionnelle, lui répondis-je, ne te laisse pas si facilement décourager, on vas y arriver, je sens qu'on est prêt du but ! »

« mais oui ! Dit-il à son tour, je sens que ça va déjà mieux, même si ça ne se voit pas encore, encore un petit effort et nous allons y arriver !»

Pour tout réponse, Martine se remets à fouiller dans ma sacoche, en quête d'un ustensile susceptible de le mener à la guérison. Elle en sort un gode double symétrique, avec une queue à chaque bout.
« ouah ! Sympa dit elle ! »
« Martine voyons, lui répondis je, il faut penser à notre patient ! »
« mais j'y pense ! », répondit elle, avant de me chuchoter son idée à l'oreille. Je la trouve excellente et nous décidons de la mettre en application tout de suite. Tout d'abord nous lui demandons de mettre une musique douce et lascive.

Nous commençons par nous préparer. En position de 69 sur le canapé nous nous bouffons longuement, mutuellement la cramouille pendant qu'il nous regarde en se branlant.

Puis nous nous asseyons l'une en face de l'autre, les jambes écartées. J'introduis alors une extrémité du gode dans la chatte de Martine puis je m'empale à mon tour sur l'autre extrémité. Nous nous rapprochons de plus en plus l'une de l'autre, accentuant la pénétration du gode dans nos moules et mettant ainsi nos seins en contact, qui roulent alors l'un sur l'autre. C'est alors que nous lui demandons de venir se placer entre nous. Je m'empare de sa bite et la place entre nos deux poitrines. Lentement, au rythme de la musique, nous malaxons son sexe entre nos deux paires de seins toutes chaudes. Parfois sa queue échappe à ce doux écrin, elle a alors droit à un coup de langue ou une caresse buccale avant d'être ramenée dans son nid douillet. Nos mains qui ne restent pas inactives courent sur ses fesses, caressent son anus et ses couilles. En même temps nous nous donnons des coups de hanche pour faire remuer le gode dans nos sexes, ce qui a pour effet de comprimer la quequette entre nos nibars. Cette double branlette espagnole dure longtemps, jusqu'à ce qu'enfin une fontaine de foutre jaillisse de sa queue pour nous inonder la poitrine. C'est alors que nous nous léchons les seins mutuellement pour pouvoir déguster encore sa semence, mets auquel nous sommes maintenant habituées mais dont nous ne nous lassons pas. Après avoir échangées toutes les deux un long baiser salé, nous nous tournons vers lui et vers sa queue qui enfin pend entre ses jambes.



« Tu vois Martine qu'il ne faut pas désespérer, dis-je à ma stagiaire, tu en verras d'autre dans ta carrière »
« Merci Docteur Carole, merci Martine, nous dis t'il, je me sens mieux maintenant, je vais pouvoir rentrer dans mon pantalon enfin ! »

Je lui fais son ordonnance pour la sécu et la mutuelle. Nous prenons congé car nous avons d'autre patients à visiter :

« Au revoir Monsieur, lui dis-je, à l'avenir, évitez le bois bandé mais bon, en cas de rechute, n'hésitez pas à nous appeler, ce sera toujours un plaisir ! »

Comme pour appuyer mon propos, Martine jette un dernier regard gourmand sur sa bite maintenant assagie, avant de refermer la porte derrière elle.

Une fois sur le palier je fais la leçon à Martine : « Je te signale que tu ne dois pas lui procurer à nouveau du bois bandé, c'est contraire à la déontologie ! »

Elle éclate de rire et tombe dans mes bras. Nos lèvres se cherchent se trouvent, et nous nous embrassons longuement.


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