Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote    =

Le chantier

Maryaline
30 novembre 2012
Le chantier

Aprés une dure journée au bahut, je suis pressée de rentrer chez moi.
Pour aller plus vite, je décide de prendre un raccourci par un immeuble en travaux.
Il fait bon aujourd'hui et je suis en petite jupe en jean et juste un top sans bretelle. Je n'ai pas mis de soutien gorges et je n'ai qu'un micro string qui masque mal mon intimité.
En prenant ce raccourci, je n'ai pas pensé que des ouvriers pouvaient encore y travailler.
Alors que je commence à traverser le chantier un ouvrier m'interpelle :
« Hey la p'tite dame là ! Le chantier est interdit au public »
Je sursaute et rougie de me voir ainsi pris en faute.
« Excusez moi monsieur mais je suis pressée et c'est un raccourci »
« Peut'été bien mais vous n'avez pas le droit c'est dangeureux. Mais je veux bien si vous portez un casque. »
Il s'approche de moi et d'autorité me pose un casque crasseu sur la tête tout en possant une main sur mon sein droit.

Je sursaute et il me dit :
« He ma belle faut pas avoir peur. T'es bien foutue dis moi. Et puis y faut qu'tu paye ton passage si tu vois c'que j'veux dire. »
Je suis terrifiée et reste figée.
Il s'écarteet me dit :
« Allé ! A poil la mignonne. Fait moin un streap »
« Mais monsieur !! Je ne peux pas ! Pas ici quand même ? »
« A poil j'te dis salope ! »
Son ton autoritaire ne me donne pas le choix et s'est tremblante que je commence mon effeuillage.

Pour me donner du courage, je le regarde arrogante en baisant mon top.
Il siffle en voyant mes seins.
Ce qui attire d'autres ouvrier qui se rince l'oeuil.
Je fait glisser ma petite robe en jean et me retrouve juste avec mon string qui ne cache rien de mon coquillage.

Là tous se mettent à siffler et frappent dans leurs mains en scandant :
« A poil ! A poil ! A poil ! Salope! "
Un ouvrier s'approche, ouvre sa braguette.
Je le regarde une boule au ventre et je me doute de ce qu'il va me demander.
Il sort sa queue déjà bien raide et vulgairement :
« A genoux et suce moi çà salope ! »
J'hésite un instant et me plie obeissante à son ordre.
Sa queue me passe sous le nez et l'odeur qu'elle dégage ne donne vraiment pas envie de la mettre dans la bouche.
Contrainte et forcée je l'avale en réprimant un haut le cœur.

Passé mon dégout, je me met à le sucer.
Les ouvriers autour m'encourage.
Le mec que je suce leurs dit :
« Elle suce super bien cette pute. C'est une pro ma parole ! »
J'ai honte et en même temps je suis fiére de ce compliment infâme.
Un autre ouvrier s'approche :
« He hamed, laisse en pour les autres ! »
Il pousse son copain et enfonce sa queue dans ma bouche.
Maintenant je ne fais plus attention ou je suis et m'applique dans ma fellation.
Je commence vraiment à prendre plaisir dans cette situation.

« Putain c'est vrai qu'elle suce bien cette pute. Un vrai aspirateur à queue ! »
Tous éclatent de rire à cette réflexion.

Me voilà avec deux belle queues d'ouvrier à sucer et je me donne carément en spectacle.
Je suce avec gourmandise maintenant ces deux chibres tendus pour moi.

« Sa chatte doit être accueillante » dit l'un deux.
Il me retourne et lachant une que de ma bouche il m'enfile sans précaution.

Je pousse un cri de surprise.
Sa queue est large et me pénétre directement très profond.
Alors qu'il commence son va et vien, je reprend la queue de son copain dans la bouche.

Il me bourre si fort que je tommbe à 4 pattes.

Celui que je suce n'y tient plus et lâche de long jet acre dans ma bouche.

Son copain continue à me labourer la chatte sans vergogne.

Tous lui cri :
« Allé fait la gueuler cette chienne ! »

Il redouble de viguer et ses coups de boutoir me font presque mal.
Je gémie de plaisir et pousse des « han han han » à chaque coup de bite.

« Encules là la pute ! » Lancent-t-ils.
« Non non je vous en prie non » suppliais-je
Mais il ne m'écoute pas et je sens sa queue se poser sur mon petit trou.

Tout en m'ensérrant un seins, il pousse fermement de sa queue sur mon anneau.
Sous la poussée mon cul s'ouvre et sa queue me pénétre en me faisant pousser un cri de douleur.
Il est bien au fond de mes entraille au grand plaisir des spectateurs.

Il me laboure lentement le cul mais s'en est trop pour lui et s'enfonçant à fond, il crache son jus dans mes entrailles et se retire pour terminer son éjaculation sur mon dos.


Il lance à l'assemblée :
« J'vous ai préparé l'terrain les gars. Elle est bien graissée. V'nez vous servir. Elle est super bonne la salope »
Il n'en faut pas plus pour que des volontaires viennent profiter de moi.
Je me retrouve avec deux queues qui me bourrent le cul et la chatte.

Je suis remplie comme jamais.
En moi-même je me dis quelle salope tu fais.
Je sens leur que entre mon vagin et mon cul qui bouge bien.
Je cri mais plus de douleur.

A tour de rôle après s'être lâché dans mon cul ou ma chatte, comme à la chaine, ils viennent me prendre.
Je deviens leur vide couille.


Des black, des arrabes, des jeunes des vieux, tous se serve de moi.

J'en prend dans la chatte, dans le cul dans la bouche.

Ils ont tous des gouts différents mais je ne sais meme plus qui je suis.

Le trop plein de sperme coule de mes orrifices.


Je suis comblée et n'arête pas de jouir comme une histérique.

Je ne sais pas combien sont passés sur moi mais je suis remplie et couverte de sperme.
Lorsque le dernier m'envoie ses longs jets de sperme sur moi, je m'écroule épuisée, les trous béant et dégoulinant de sperme.

Je sens quelque chose me léche et stupeur, devant ces violeurs goguenard, un chien léche mon corps couvert de leurs infâme jouissance.

Je suis trop épuisée pour réagir et le laisse faire.
L'un des ouvrier retire le cabot et dit :
« C'est qu'elle aimerait çà la pute ! On va plutôt la laver au jet »
Restant au sol me voilà brusquement agrssé par ce jet d'eau froide qui passe sur les moindre recoins de mon annatomie pour me débarrasser de la subsatance gluante.

Il m'esuient ensuite avec de vieux chiffon sans bien sur oublier mes seins et ma chatte.
« Bon rabilles toi salope et casse toi »
Je rassemble vite fait mes affaire et maladroitement en m''emfyant, je tete de me rabiller.
Arrivée chez moi, je m'écroule et m'endort dans mon divant, les orrifices douloureux de tant de pénétrations mais heureuse.

Je suis réveillé en sursaut par mon propriétaire qui est entrain de m'écrir sur le corps accompagné d'un de Rachid.
 » « Mais que faite vous ? »
« Tu vois bien Maryaline, J'écris »

Ne me laissant pas le temps de répondre, il me fourre sa queue dans la bouche alors que Rachid me pénétre la chatte.
Je suis un vrai pantin.
Dans un état second je pense que je suis devenue une vrai pute.
Depuis que Monsieur Bernard me baise, il faut dire que j'y trouve mon compte car je ne paye plus de loyer.
Tous les deux me ramonent la bouche et la chatte sans se préocuper de moi.
Monsieur Bernard est le premier à se vider sur ma figure.

Suivi rapidement de Rachid

Qui éjacule à son tour dans ma bouche.
Il est tellement prolifique que je ne peux tout avaler.

ne peux tout avaler.Rachid me dit :
« Alors t'as aimé te faire sauter par tous ces ouvriers »
C'est un cauchemard ! Comment sait-il çà ?
Voyant mon air hahurie, ils éclatent de rire et vont se servir un verre me laissant en plan sur le divan.

« Tu bois un coup avec nous ma p'tite salope ? »
« Oui merci »
Ils me vessent un grand verre de vodka.
« Arrêtez je vais être saoule avec çà »
« J'espére bien ! » répond Monsieur Bernard.

Tout en buvant, ils se mettent à me tripotter.
J'ai la tête qui tourne mais ils me resservent un deuxiéme verre.

Bourrée, je me met à sucer Rachid pour le faire rebander.



« Mais que faite-vous ? »

Monsieur Bernard me titile le clito et joue avec ma chatte trempée.

Je passe d'une queue à l'autre mais dans l'état ou je suismes pipes sont pas très efficaces.

A un moment, je suis si bourrée que je vomie sur la queue de Rachid.

« La salope e'm'vomie de'sus »
« Connasse nettoie moi çà »
J'ai honte et lui obeis, c'est vraiment répugnant.

Monsieur Bernar d me ressere un verre que je refuse.
« Tu vas le boire petite pétasse ! En plus çà va te rincer la bouche »
Je me met à boire se verre qui me transporte dans un état pas croyable.

Je n'arrête pas de rire bêtement en caressant la bite de Monsieur Bernard.

Rachid me verse de la vodka dans la bouche.
Je suis à moitié inconciente.

Dans un semi coma ethylique, je les entend qui rigolent en disant :
« On va essayer de voir si les bouteilles lui vont bien »
Et les voilà qui me pénétrent avec les bouteille d'apéro.
« T'as vu la bouteille de martini lui va bien, ha ha ha ha ! » dit Rachid

« Oui mais je la trouve plus saillante avec le jack Daniel » Répond Monsieur Bernard.


« En fait les queues lui vont tellement mieux »

Après avoir abusé de moi,ils me laissére cuver.

Je me réveille le lendemain avec un troupeau de bison dans la tête.
Je suis couverte de sperme séché.
Je ne me rappele de rien sauf de mon passage avec les ouvriers du chantier.
J'ai un gout bizare dans la bouche et mon cul me fait mal.
Je prend deux cachet d'aspirine et me coule sous la douche.

Le chantier

Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote
http://lisastory.free.fr - site réservé aux adultes, strictement interdit aux moins de 18 ans - dernière mise à jour : 15 avril 2024 - Remonter