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Petite soirée en famille Il y a 2 semaines Anne et moi recevons sa belle soeur. Celle ci est de passage dans notre région pour son travail et en profite pour nous rendre visite. C'est une belle femme de 30 ans, chatain, elle s'appelle Louise. Elle me plait beaucoup, elle le sait et en joue. Anne le sait aussi et m'excite avec à chaque fois que nous nous voyons. ![]() images similaires Je rentre du bureau et je trouve Anne et Louise dans la véranda. Anne porte une minijupe en cuir, un pull moulant ainsi que des petites bottes à talons. Je l'embrasse en lui mettant une main sur un sein; elle ne porte pas de soutien gorge et son téton pointe. Je me tourne vers Louise assise et me penche pour l'embrasser. Elle est vétue d'un tailleur sobre et d'escarpins vernis; visiteuse médicale, elle ne doit pas avoir beaucoup de souci pour faire son chiffre. En l'embrassant je suis pris dans un tourbillon de parfum à la noix de coco (je n'y peux rien c'est irrésistible pour moi) et une vue imprenable sur ses seins bien mis en valeur dans un soutien gorge à balconnet à ce qu'il me semble. Elle me regarde me relever un sourire aux lèvres. Je lui rends son sourire. "Mon homme serait il troublé ?" , me demande Anne. "Avec deux splendeurs comme vous, je ne peux rester de glace" réponds je. ![]() L'apéritif est déjà servi et je remarque que les deux belles ne m'ont pas attendu. Je vais prendre une douche et je reviens en jean et tshirt pour leur demander ce qu'elles voudraient manger. Je les retrouve assises l'une contre l'autre; les jambes de Louise sont croisées haut et Anne lui effleure une cuisse jusqu'à l'orée de ses bas. Louise semble apprécier la caresse. "Que souhaitent manger ces dames ?" lançais je. "Un mâle" répond Anne. Devant mon air étonné, elle ajoute "Tu sais que mon frère est en Australie pour un mois. Louise est chaude. Elle ne veut pas le tromper avec le premier venu. Nous pensons que tu dois te dévouer pour lui permettre d'assouvir ses envies de bite." Je connais la largeur d'esprit d'Anne, mais je suis quand même surpris. Louise l'est aussi et lui dit : "Cela me plairait beaucoup mais je ne voudrais pas vous mettre mal à l'aise", "ni passer pour une nymphomane ..." "Ne t'inquiète pas, poursuit Anne, tu sais que mon homme est toujours prêt à rendre service, il a envie de toi depuis toujours, et de toute façon il n'y a rien de mal à être une salope au lit". ![]() Je pense surtout qu'Anne a envie de se taper sa belle soeur qu'elle a toujours trouvée un peu bourgeoise, légèrement snob mais désireuse de plaire et de montrer qu'elle est baisable. Moi même je l'ai toujours trouvée magnifique. Elle a une façon bien à elle de remettre de l'ordre dans ses porte jarretelles; je l'ai aperçue une fois dans la rue devant le portail, une jambe à la cheville fine, le mollet galbé et la cuisse musclée, le tout moulé dans un bas noir et je ne m'en suis jamais vraiement remis. Bref elle me fait bander. ![]() images similaires "J'ai peur que tu ne me trouves pas à ton goût, minaude Louise, Anne est tellement sexy, elle a de si beaux seins". Elle passe ses doigts fins sur la poitrine d'Anne qui gonfle ses seins. Je glisse ma dextre dans l'échancrure du corsage de Louise pour la rassurer et lui prend un sein à pleine main. Celui ci est nu tendu pointant son téton; elle a mis un demi-soutien gorge pigeonnant. Je lui effleure le mammelon, elle penche sa tête sur l'épaule d'Anne qui en profite pour poser ses lèvres sur les siennes. ![]() images similaires N'écoutant que mon courage, j'enlève mon t-shirt et dégraffe ma braguette. Je ne porte pas de sous vêtement et baisse lentement mon jean. Ma queue tendue coincée dans le pantalon est coudée comme un arc et se déplie en jaillissant à 20 cm des visages d'Anne et Louise. Celle-ci ouvre de grands yeux tandis que je me débarasse de mon jean; je suis nu au garde à vous. ![]() images similaires Anne prend la main de Louise et elles me soupèsent les bourses, puis elles effleurent ma hampe avant de serrer mon gland dans leur mains. "Tu aimes ?" demande Anne à Louise; celle-ci ne répond pas et fixe toujours ma bite rigide. "Tu la veux, Salope ?" redemande Anne en lui caressant le visage. "Tu n'en a jamais eu des comme ça ! Il est gros hein ? Tu sais quand il me pénètre, il me défonce comme une bête." Je suis flatté de la présentation que fait Anne de mes compétences. "Essaie de le sucer" dit elle moqueuse. ![]() images similaires Elles libèrent mon sexe et Anne pousse doucement le visage de Louise vers mon gland. Sa langue apparaît et elle lèche mon sexe décalotté. Pas mal. Ses lèvres sont très bien dessinées, sensuelles, on a envie des les embrasser de les sucer, qu'elles me sucent. Pendant ce temps Anne se met à genoux, ce qui remonte sa minijupe et qui fait que ses fesses tendent le cuir de façon exagéré. Mais je ne m'en plains pas. Elle écarte les jambes de Louise, effleure ses cuisses; la bouche de ma suceuse s'ouvre un peu plus et tête mon méat. Anne a franchement ouvert les cuisses de sa belle soeur et a posé une de ses jambes sur son épaule. Son visage est perdu au fin fond de l'entre jambe de Louise; elle a un tempérament de mec ce soir. Elle a écarté le string minimaliste de Louise et lui plante sa langue dans la chatte. Louise est à moitié affalée sur le canapé et me tenant la bite d'une main, elle me pompe comme une damnée. Anne se relève et m'embrasse à pleine langue, sa bouche est pleine des sécrétions de sa belle soeur. ![]() "Elle a bon gout" dis je. Anne sourit, Louise me lache et dit "Tu es trop gros,j'ai mal à la machoire" Je la prends par les cheveux et lui enfourne ma bite au fond de la gorge; elle a un haut le coeur; Anne rit. "Alors petite putain de bourgeoise, cela te change de mon frère ! Il n'y a pas que dans la bouche qu'il est gros." Louise a recraché mon vier. ![]() images similaires Elle regarde Anne puis vers moi. Avec un regard vicieux, elle roule une pelle à Anne puis me happe la bite de nouveau et me pompe comme une folle. Je n'en peux plus et me retire de sa bouche; sans me laisser de répit Anne m'aspire dans la sienne. Les deux femmes me sucent, me lèchent, m'aspirent les couilles et le dard. Le traitement est on ne peut plus motivant et je n'y résiste pas longtemps. Je sens ma sève monter, ma queue se gonfle un peu plus et se contracte convulsivement pour faire jaillir ma semence. Mes deux salopes se placent sous le jet et recueillent ce qu'elles peuvent dans leur bouche. Le reste s'étale sur leur visage et leur cou. Je suis vidé, mes jambes ne me portent plus. Louise pompe les dernières gouttes, Anne lui lèche mon sperme dans le cou, sur le menton et le front; elle le garde dans sa bouche et l'embrasse goulument. Louise lui étale mon foutre sur son visage. Elles rient toutes les deux en me regardant. ![]() images similaires "Nous sommes bonnes hein?" me demande Anne. "Vous m'avez vidé, mes garces" lui dis je. "Une remise en forme s'impose" dit Anne en regardant ma verge plus qu'au repos. Elle se leve et fait glisser son pull; elle découvre son ventre musclée puis ses seins qui s'étalement lourdement sur sa poitrine haute. Elle dégraffe sa jupe qui tombe à ses pieds. Bien campée sur ses jambes écartées, elle est nue devant Louise et moi. Je recommence à durcir devant mon fantasme permanent. "Louise" dit elle "suce mes seins, Sale Gouine" Louise s'avance et lui prend les seins à pleines mains, les malaxe étire ses pointes, les lèche, les tête, les pinces entre ses doigts ou ses lèvres. Anne halète, se cambre, s'effondre sur le canapé. Louise ne la lache pas et poursuit ses caresses. "Arrête, c'est trop fort" supplie Anne. "Tu l'as voulu, catin lubrique, tu ne vas pas t'en tirer comme ça" réponds Louise ![]() Louise s'est agenouillée devant Anne et lui lèche son sexe avec application; sa victime écarte ses cuisses au maximum lui ouvrant la voie vers son vagin. Je remonte la jupe de Louise sur ses fesses et découvre un tanga noir que je lui enlève doucement; il est trempé. je le hume. "Salaud" me lance Anne "Tu me trompes sous mes yeux avec cette vicieuse, cette poule qui se tape tous les toubibs qu'elle visite pour vendre sa marchandise. Elle est pleine de foutre quand elle rentre le soir chez elle, et mon frère peut la piner dans tous ses trous dégoulinants" ![]() images similaires "Et il adore cela. Je suis son esclave; il aime que je lui raconte ma journée de dépravée, comment je me suis faite baisée par un médecin filmée par son assistante qui m'a enfoncé un gode anal après. vas y, prends moi comme une chienne", me dit Louise à quatre pattes. Je pénètre Louise d'un coup, lui arrachant un cri mi plaisir mi stupeur. "Je t'avais dit qu'il est trop gros pour ton petit con" triomphe Anne. ![]() images similaires Retrouvant son souffle, Louise reprend son cunni avec application; je l'envahis lentement d'abord sur toute la longueur de mon braquemeard de nouveau gonflé à son maximum; je m'applique à ressortir à moitié mon gland de son vagin avant de lui re enfoncer ma bite jusqu'aux couilles. Louise a du mal à se concentrer sur ses caresses sur Anne et elle soupire, crie un peu lorsque je suis au fond d'elle. Anne sourit ironique, me fait un clin d'oeil et lui redresse la tête en la tirant par les cheveux. "La chienne apprécie, dirait on, tu vas en prendre plein le cul, tu vas crier comme une truie. Lèche moi mieux que ça." Je ressors mon sexe dégoulinant du con de Louise, elle se remet à enfouir sa langue entre les lèvres d'Anne. Je présente ma bite à la bouche d'Anne qui le renifle, passe sa langue sur mon gland puis l'engloutit d'un coup. Elle l'aspire dans sa bouche et avale toutes les saveurs de Louise. Elle me recrache et lance à Louise "Tu as un bon goût de bourgeoise lubrique, putain, on n'en a pas fini toutes les deux" ![]() Elle me regarde, j'ai compris, je m'assois sur le canapé. Anne a repoussé Louise et s'assoit sur moi. Elle s'empale sur moi en regardant Louise dans les yeux et lui dit : "Il est bien gros pour moi, il me comble, regarde comme il coulisse en moi. Je vais jouir grace à lui, à ce pieu, ce pal monstrueux, qui me dilate". Elle accélère la cadense, son bassin ondule d'avant en arrière, elle feule, elle gémit, elle hurle en se plantant ma verge au fond de son vagin; je lui cogne la matrice. Elle attrape le visage de Louise et la force à lui lécher sa chatte dans laquelle je suis encore enfoncé. "Lèche tout" lui dit elle, "sa queue aussi et ses couilles, ne les oublie pas; tu es une vraie soumise. Regarde cette petite bourgeoise à quatre pattes, le cul nu, en train de nous lécher" me dit elle. "Elle mérite une punition pour avoir trompé mon frère. Sodomise la" Louise stoppe toute activité se relève à moitié et nous lance : "Oh non, il est trop gros Il va me faire mal." Anne la prend par le cou et lui dit "Tu vas nous obéir, esclave! Il va t'éclater le fion comme tous ses salauds qui t'ont enculée. Tu aimes ça, être sodomisée" Anne se soulève, je me retire toujours bandé de sa chatte; mon sexe dégouline de ses sécrétions. Elle embrasse Louise en me tendant ses fesses. Je les écarte pour laisser apparaître son anus humidifié sur lequel je pose mon gland. Elle regarde Louise dans les yeux tandis que je pousse mon bassin en avant et que mon sexe disparaît dans son orifice anal. "hmmmmmm, encule moi, mon homme, mon étalon, mon maître" dit elle en passant sa langue sur ses lèvres. "Tu vois, c'est excellent de sentir cette batte de chair s'enfoncer dans mes intestins. Il me dilate un max, il va me rendre folle de plaisir; je suis à lui, je suis catin du cul" ![]() Je prends ses hanches à pleines mains,elle est pulpeuse à souhait, ses gros seins balancent dans tous les sens en suivant la cadence de mes coups de reins. Louise s'est reculé et nous regarde effarée. Je besogne Anne comme une bête qui monte sa femelle si ce n'est que je l'encule et je décule sans interruption. Anne est cambrée, tendue sous mes assauts, sa tête balotte de tous côtés tandis qu'elle crie, m'injurie, se traite de trainée, de salope, de poufiasse. Je lui donne de grands coups de queue en frappant ses fesses. Elle me supplie à chaque poussée, chaque claque de la terminer, elle n'en peut plus, elle râle et rugit son plaisir. Je me cramponne à elle dans un dernier aller qui me permet de décharger ma semence dans son anus. Nous sommes épuisés. Louise ne bouge plus. Je me retire du cul d'Anne, un filet de sperme nous relie un instant puis je me redresse, le sexe encore dur. Anne reste à quatre pattes le haut du corps appuyé sur le canapé; elle contracte son anus d'où sort mon sperme pollué. ![]() images similaires "Lèche moi" ordonne t'elle à Louise. Celle-ci ne résiste pas et sort sa langue pour lui effleurer son oeillet béant. Elle est aussi à quatre pattes et j'en profite pour me mettre derrière elle. Je lui caresse les fesses, les entrouve, baise son anus tandis qu'elle fourre sa langue dans celui de ma compagne. Je lui léche sa rosette et l'humidifie de salive. Elle apprécie et fait palpiter son petit orifice. Je pose ma queue sur son anus; j'appuie lentenment. Mon gland disparaît doucement; lorsque son plus grand diamètre dilate au maximum le cul de Louise, celle-ci me dit au bord de l'asphyxie : "Stop attends, arrête, je n'en peux plus" Anne se relève et se retourne, elle regarde Louise et lui lance une claque sonore sur la joue. "Tu as voulu être prise comme une chienne, ma chère belle soeur, alors assure" Je prends sa taille entre mes mains et continue à m'enfoncer dans ses reins. Elle râle, elle pleure, Anne est assise devant elle et la regarde lubrique en se caressant l'anus y enfonçant deux doigts. ![]() images similaires Je suis calé en elle, dans sa croupe; elle cherche de l'air, nous supplie d'arrêter. Je commence mes va et vient. Elle se tend, crie à chaque fois que je l'empale, râle à chaque fois que je me retire le gland au bord de son oeillet. Je prends mon temps, ma bite est douloureuse de mes deux jouissances précédentes. Je me délecte du corps de Louise sous moi, elle affaisse son buste contre le sol. "Arrête je n'en peux plus" Je continue et augmente la cadence "Hmmmm, Non, Non Ohhhh, tu me défonces salaud" Je suis derrière elle et ne la touche qu'avec mon braquemard, mes mouvements sont puissants et presque brutaux. "Ohh ouiii, encule moi, vas y encore, perfore moi" lache Louise complètement folle de jouissance. Ma bite l'envahit à chaque poussée et révèle son anus grand ouvert quand je décule. "Ouuuuiiiiii, je jouis comme une truie, je suis votre sale bourgeoise salope" hurle Louise en jouissant. Je l'enfourne une dernière fois jusqu'aux couilles et me répand en elle. "aaahhh, quelle bite ohhh il gicle en moi encore et encore, c'est bon d'être votre jouet" dit elle toute transpirante. ![]() Je me dégage de son cul qui palpite et m'allonge sur le dos au sol. Anne se lève, s'agenouille près de mon sexe, le renifle, le lèche et le tend à Louise. "Tu sens fort du cul. Lave le dans ta bouche". Tandis que Louise me léche la verge avec application, Anne m'embrasse à pleine bouche. Je lui caresse la croupe et passe mes doigts sur tous ses orifices gluants. Louise a fini. Elle git à moitié sur le sol, un bas filé, sa jupe remonté sur la taille. Son haut est ouvert sur ses seins nus toujours maintenus dans son demi soutien gorge. Son tanga a beaucoup souffert.Elle est complètement décoiffée, hagarde. Ses escarpins affinent ses jambes et galbent ses cuisses. Sa chatte et son anus dégoulinent de ses sécrétions et de mon sperme. Je lui souris, Louise aussi. "Qu'est-ce qu'on mange maintenant ?" demande Anne radieuse. |