|
(Je ne metais pas relue dans mon fantasme désolée) Deux amies et moi avons choisi, ce soir, d'aller en boite. Mes amies, femmes d'officiers de marine nationale ont pris soins de confier la garde de leurs jeunes enfants, pour se réserver la soirée. En effet, leurs maris sont embarqués depuis déjà 3 semaines et pour encore 2 bons mois. Afin de briser cette solitude, ces femmes de militaires ont créé une sorte d'association, où elles se retrouvent de temps en temps. Ce soir-là, mes amies ont opté pour une soirée en discothèque. Ce soir j'ai envie de me détendre et de m'amuser un peu. Nous sommes rapidement accostées par des jeunes hommes proches de la vingtaine, pour danser un slow. Pourquoi pas ! Elles dansent donc chacune d'elle en compagnie de ces jeunes hommes. Je suis la plus jeune avec mes 24 ans. Les autres sont âgées de 32 et 33 ans. J'écoute le jeune homme, qui me caresse le dos en me parlant de banalités qui finissent par me faire rire. Le slow terminé, les 2 autres copines retournent près du bar alors que je suis entraînée à la table des 3 jeunes hommes. J'y passe la soirée à discuter, rigoler, et danser de temps en temps. Je m'amuse comme une folle. Vers 1 heure du matin, les copines viennent me chercher. -" Maryaline, tu viens ? On s'en va... " Je n'ai pas le temps de répondre que l'un des hommes dit: " Déjà ! Vous vous couchez comme les poules, les filles! " " Et oui ! On n'a nos enfants à récupérer et demain, il faudra se lever pour les emmener à l'école. " Je commence à me lever. Le jeune homme, toujours avec beaucoup de toupet rétorque : " Toi aussi tu as des enfants ? Allez ! Restes. Les filles, je la ramènerai chez elle ; en tout bien et tout honneur. " Après ces propos, je me rassoie : " Bon je reste. Ils me ramènent. Rentrez bien les filles. ". " Comme tu veux Maryaline ". Nous nous embrassons et elles partent. L'heure de la fermeture est venue. Les deux copains du jeune homme m'accompagnent vers leur voiture. J'ai la tête qui tourne avec tous ce que j'ai bu. Arrivée à mon domicile, je sors de la voiture et commence à remercier les jeunes hommes, à voix basse, pour la soirée passée. IL est presque 3 heures du matin. Le petit lotissement résidentiel, dort d'un profond sommeil. " On ne va pas se quitter comme ça, tu nous offres un petit verre pour finir ou un café". Sous la pression des 3 effrontés, et de peur d'ameuter le quartier par le bruit des jeunes, je ne peux que les laisser rentrer dans sa maison. " Eviter de faire du bruit, vous allez réveiller les voisins. Ce sont des officiers et sous-officiers de marine qui vivent dans le quartier. Je ne voudrais pas que l'on pense n'importe quoi sur moi. " " Alors, il vaut mieux qu'on discute à l'intérieur, n'est-ce pas les gars ? " Après avoir bu quelques verres, les langues se délient très brancher sur le sexe. Les trois jeunes hommes commencent à me regarder avec un air intéressé. Je suis fatiguée et pressée d'aller me coucher. " Tu dois être en manque de rapport vu les absences de ton mari ? " dit l'un d'eux. " Je suis fidèle à mon homme. " " Tu devrais nous sucer tous les trois avant de partir. Ou plus si tu veux ". Ils disent çà en montrant leurs queues. Gênée Je me lève du fauteuil en me penchant en avant. L'un d'eux en profite pour lorgner dans mon décolleté. " En tout cas, elle porte un soutif en dentelle." " Bon, maintenant je suis fatiguée. J'aimerais aller me coucher. Ne comptez pas sur moi pour faire des cochonneries de la sorte. " " OK ma belle, si on part les mains vides, ou plutôt les couilles pleines, on va te faire de la publicité dans le quartier. J'imagine peint à la bombe sur tes murs. " Maryaline, bonne à baiser " ou d'autres choses. Un conseil, fait-nous plaisir. " " Vous êtes vraiment des porcs. ". Le chef de l'équipe s'approche de moi: " Allez fait pas la gueule. On va te consoler. 3 bites à ta disposition. Allez!... Mets-toi à poil! " Je reste figée, incapable d'agir. Le chef commence à me déshabiller. Les 2 autres se sont placés debout à côté. Ils participent au déshabillage. Fébrile, je n'oppose pas de résistance. " Joli petit soutien-gorge. C'est pour faire plaisir à qui, si ce n'est pas à nous ? " Ma petite poitrine y est parfaitement moulée. " Maintenant, on voudrait bien voir le bas. ". " Le chef arrache quasiment ma robe. -" Ouha ! ! ! Le petit slip. La salope ! " Des sifflements, des réflexions affluent des trois jeunes hommes. Je reste honteuse, figée comme une statut au milieu du salon. Je ne porte qu'une mini culotte si petite qu'elle couvre juste le sexe par une partie triangulaire de dentelle et de tulle. " Alors, la petite femme modèle lorsqu'elle est en petite tenue, elle ressemble plutôt à une petite salope. " " Tu vois, tu nous attendais. " " On va bien te baiser, mais avant enlèves tes dessous, toi-même en disant : Je suis une salope. " Troublée et honteuse je retire mon soutien-gorge en disant à voix basse : " Je suis une salope, je suis une salope " Je baisse ensuite mon mini slip en réitérant les mêmes propos sous les sourires et les regards vicieux de mon public. " Ma parole, j'ai du mal à croire que tu es aussi fidèle que ça. Avoues que tu attendais que çà, te faire troncher par trois mecs! Tu ne vas pas être déçue salope. Tu vas en avoir trois d'un seul coup." " Avec un cul comme le tien on va bien s'amuser. Tu vas sucer mes copains pendant que je te prends en levrette. Allez, mets-toi à quatre pattes. " Je m'exécute sans rien dire. "Ecartes les jambes." Je les écarte. Cette humiliation supplémentaire m'excite encore plus. Je suis trempée. J'ai l'impression que mon sexe coule. L'homme m'enfonce son sexe sans ménagement. " Ça glisse tout seul. Elle est trempée la salope. Allez suces mes copains maintenant. " Un sexe s'engouffre dans ma bouche. Le va-et-vient de l'un se coordonne avec la fellation de l'autre. Ce soir, je vie mon fantasme de viol. Les queues changent dans ma bouche. Les hommes me tiennent par les cheveux. Le Chef me burine, faisant claquer mes fesses. Au moment de jouir, il accélère la cadence ne me laissant pas insensible et dans un élan de plaisir accélère son rythme. " Ah je jouis dans cette salope de petite bourgeoise. " Après en avoir terminé, le chef laisse la place à ses potes. Je suis aussitôt chevauchée par les deux autres prise ainsi en sandwich. Placée sur le dos sur le tapis, il m'écarte les jambes au maximum. " Fais voir ta petite chatte et ton clito. Prends ça ! " Je continue à prendre du plaisir et me met à jouir avant que le deuxième de l'équipe en n'ait terminé avec moi. Des gémissements profonds sont sortis de sa gorge tandis que son bas ventre s'est contracté. Le deuxième sentant cela, s'est immédiatement mis à jouir. " A toi, elle vient de jouir. Remets-lui cela." IL ne tardera pas à jouir non plus. Epuisée je m'écroule couverte de sperme sur le tapis. Les trois salopards se rajustent. Il est 5 heures du matin. " On serait bien restés mais notre devoir nous appelle. " " T'es quand même une bonne salope. Salut Anne et merci. Si tes copines en veulent autant! On est à leurs services. " La porte se referme et honteuse mais comblée je vais dans la salle de bain pour se prendre une douche avant de se coucher épuisée. Le lendemain, j'ai rencontré ses copines. Malgré mon envie de leurs raconter mon aventure, je ne leurs ai rien dit. |