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La saillie

Maryaline
7 janvier 2013
La saillie

Je reçois un bristol.

« Maryaline ma soumise
Si tu veux aller bien plus loin, là où tu n'as même jamais fantasmée d'aller alors, tu dois renvoyer cette carte à l'adresse indiquée au dos.
Si tu ne viens pas alors notre relation s'arrêtera là. Tu ne me verra plus jamais ni aucun de mes acolytes. Si bien sur tu décides de franchir ce cap, alors tu entreras dans un nouveau monde.

Signé ton Maître Alain »

Je tremble en là lisant, mon sommeil est agité.
Perdre Alain, non je ne le veux pas mais aller plus loin est inconcevable.
Que dois-je faire ?
Plein de question tournent dans ma tête et j'ai si peur de franchir le pas.
Je fini par renvoyer le bristol à l'adresse indiquée.
Rien ne se passe.
J'essaye plusieurs fois d'aborder le sujet avec Alain mais il reste muet et mystérieux.
Il me félicite seulement d'avoir fait le bon choix.
C'est près de deux semaines plus tard, alors que nous venions de passer la nuit ensemble qu'Alain m'annonce :

« Maryaline, Tu vas être dressée ce matin. Lèves toi et habille toi nous partons dans une quart d'heure. »

Je lui obéie mais la brutalité de l'annonce me fait frémir.

Après une bonne heure de route nous nous arrêtons devant un bâtiment.
Je le reconnais, c'est un gymnase désaffecté qui a fermé il y a quelques mois.
Sur le parking plusieurs voitures!

Alain se dirige vers l'une des voiture, un homme en sort.
Je reconnais Christian.
Christian possède les clefs et nous entrons dans la salle suivi par 3 autres hommes que je ne connais pas.
Ils semblent bien connaître les lieux.
Pierre m'emmène vers les espalliers.

Christian et les trois autres nous suivent.
Le soleil se lève et tape au travers des verriéres.
Il commence à faire chaud.

Alain s'approche de moi et pour me rassurer :
« N'ai pas peur Maryaline, tu aimeras çà. Pour l'instant déshabille-toi ! »
Je suis un peu rétive.
Je connais bien Christian et il m'a déjà vu nue et dans des situation que je qualifierais de scabreuse mais les trois autres, je ne les connais pas.
Presque implorante, je regarde Alain et lui demande timidement :

« Maintenant? Devant eux ? »

« Oui maintenant, je te veux nue maintenant ! Aurais-tu une objection ? »
« Heu... Non »

Fébrile, je me déshabille et me retrouve rapidement nue devant les cinq lascars.
Je rougie et tente instinctivement de cacher ma nudité.

La situation est angoissante car je sais qu'il s'agit d'un dressage.
« Maryaline ! Ne fais pas timide ! Avec Christian, nous nous sommes mis d'accord sur ton programme de dressage. Tu vas découvrir un monde nouveau, surtout obéie à tout et réponds oui monsieur si l'on t'ordonne quelque chose.» Me chuchote Pierre.
Rapidement, un cercle se forme autour de moi.
Le silence est pesant dans la salle de sport.

Alain me tiens par les épaules.
Christian prend la parole :
« Messieurs ! Maryaline est une jeune soumise. Vous avez déjà pu constater sur les photos que nous vous avons envoyé que c'est une jeune et belle salope. Comme vous le voyez maintenant, elle est galbée comme il faut. Vous allez donc dans un premier temps l'examiner sous toutes les coutures. Ensuite nous commencerons son dressage. «

Ces paroles me font frissonner de trouille. Ils avaient donc vu mes photos?

Ils s'approchent alors que Christian commence par décrire mon visage et mon corps de manière délicate.
Rapidement, son langages passe à un registre plus bestial et ordurier.

Maryaline est une bonne salope messieurs.
Venez plus près, voilà.
Commençons par la bouche.

« Ouvre ta bouche ! » dit-il d'un ton sec.
Je suis examiné comme un animal de foire.
J'ai honte, le rouge me monte au visage mais je m'exécute.

Avec un pouce ferme, il écarte ma mâchoire.
Regardez ! Approchez-vous.
« Sort ta langue. Elle a une langue bien baveuse et experte en pipe. C'est une excellente suceuse et endurante de surcroit. Elle peut avaler des quantités de sperme. »
« Coté mamelles, elles est pas mal, n'est-ce pas? Certes, elle est loin de la vache laitière mais c'est petits nibard sont plaisant à triturer. »
L'un des inconnu lance :

« Oui ses mamelles ont l'air d'être fermes et ses tétons pointent bien »

« Oh oui ils sont fermes et très agréables à prendre en main. Vous aurez tout le loisir de vous en assurer ensuite. » dit-il tout en me malaxant trop fermement les seins.
« Passons à son cul messieurs. Cette jeune femelle était vierge du cul il y a quelques mois. Vous imaginez une petite pucelle du cul ? Mais elle est encore très étroite de ce côté-là et vous pourrez l'élargir à souhait »
L'assemblée éclate de rire à ces mots.

Christian étant passé derrière, François ne se retient et après avoir flatté mes fesses, il me les claque, me faisant pousser un petit cri de surprise.
sur mes fesses.
Christian continue :
« Regardez-moi ce petit cul ferme, c'est qu'elle est sportive la chienne »
« Coté chatte, c'est là qu'elle est la meilleure. Elle mouille bien. C'est le pied. Messieurs, je crois que nous avons fait le tour. On commence? »

« OUUUUIIIIIIIIIIIIIII !!!!!! » Le oui est immédiat et ne soulève aucune contestation.

Alain reprend la parole :
« Maryaline, tu vas courir et faire des tours de gymnase, le plus extérieur possible. Tu ne t'arrêteras que lorsque je t'en donnerai l'ordre. François, Marc, Christian vas vous donnez de quoi jouez avec cette salope. »

Christian, leurs tend à chacun un fouet en leurs disant :
« Si elle ralentit vous avez droit de la fouetter. Allez-y sans ménagement, elle va adorer et ça fait partie de son dressage »

« Allez cours ma chienne »

La tête vide, je me mets à courir lentement.
Mais aussitôt «clac », la douleur cinglante du fouet sur mes fesses me force à accélérer.
Lorsque je passe au premier tour devant Alain, il m'ordonne :
« Va plus vite pétasse ! »
Cinq tours ; je ralentis « sclac » Christian se lâche et le fouet frappe mon dos et le côté d'un sein.
« Jlac » Marc viens de toucher mes jambes, me faisant trébucher.
Mais « sclac » un autre coup me fait me relever rapidement pour accélérer ma course.
Marc et François se sont mis torses nus et moi je suis dégoulinante de sueur.
Il fait très chaud dans la salle.
François ne se prive pas de m'insulter:
« Cours salope, cours.. !"

Les hommes se déplacent, ils sont toujours derrière moi et me frappe de leurs fouets même si je ne ralentis pas.
Je suis arrêté par Pierre :
« Maryaline, viens au centre. Lève les bras. »
Je suis essoufflée, mon corps me brûle, mes seins me font mal. Mais tant bien que mal je léve les bras totalement exposée devant ces vicelards.
Ils sont là autour de moi.

Christian reprend les choses en main.
Le fouet dans la main, Il cri ses ordres :
« Maryaline ! Ecarte les jambes ! « slac » Non ! Encore plus ! Lèves les bras ! « schalc » plus haut chiennasse ! »

« Marc, François, Bastien ! Regardez bien comme elle pointe des tétons la salope. C'est là que l'on voit si une chienne est prête pour la saillie. »
Alain de reprendre :

« Avant la saillie, les jeunes il faut la faire juter. Le mieux c'est avec les doigts. Bastien ! A à toi l'honneur. »
Bastien commence par caresser mes cuisses luisantes en touchant délicatement les boursouflures résultant de leurs coups de fouet.
Et brutalement, Il plante son index et son majeur dans mon sexe.
Ca m'électrise je ne peux retenir de longs gémissements.

Ses deux doigts s'activent dans mon vagin et me font vaciller.
Christian revient à la charge :
« Allez salope ! Ouvre la bouche ! C'est l'heure du léchage de doigts!"
Bastien retir ses doigt trempés de cyprine.

« Tiens cochonne ». dit-il en les passant sur mes lèvres, avant de les introduire dans ma bouche.

« Marc, tu as vu comme sa chatte mouille? »

« Oui, j'ai rarement vu une chatte aussi humide, elle va être trop bonne à baiser!!"

Alain dit à François :
« Vas y prend là cette pute n'attend que çà »
« A quatre pattes tout de suite ! »

Je me mets en position et j'attends avec impatience d'être fendue par une queue.
Christian ordonne :
« Salope écarte les jambes plus encore ! Marc fiste-là. Vas y à fond. »

J'esquisse un mouvement un non de la tête.

« Tu préfères le fouet? »

Silence, Je suis effondrée et ne sais plus si je dois continuer.

Alain intervient :

« Veux-tu tout arrêter? »

J'ouvre la bouche pour dire oui, mais je me rends compte que je ne veux rien arrêter.
Me voir si chienne dans son regard, me sentir si humiliée... Tout cela m'excite.
Je murmure :

« Non Alain. Je veux continuer... »

Il hocha la tête et je sens fière de moi.

« Bien. Je ne veux pas te l'entendre dire. Je veux que tu le hurles. « Je veux être dressée »

Haletante, j'obéis :

« JE SUIS VOTRE CHIENNE ET JE VEUX QUE VOUS ME DRESSIEZ »

« Bien, Maryaline. Tu es donc notre objet, tu vas recevoir ce que tu demandes »

Je sens que Christian à ce moment passe le manche du fouet le long de mes fesses, jouant à l'entrée de l'anus sans le pénétrer, puis revenant vers mon sexe.

« Ecartes bien plus les jambes sinon c'est le fouet. »

Marc couché sur moi, prend mes seins à pleines mains et presse de plus en plus les pointes, au fur et à mesure de la montée de sa propre jouissance.
Il réintroduit ces doigts dans ma chatte sans aucune délicatesse me pénètre, me fiste.
Je crie de douleur mélée de jouissance.

Les hommes maintenant nus me regardent leurs mains sur le sexe, je les vois tourner autour de moi.
Se retournant vers ses compères, Marc leurs lance :

« Regardez les mecs, son abricot est mur »
Alain lui dit alors :
« retournes-là. »
Il me pousse sur le côté et Je me retrouve en croix.
Alain me tiens les mains, François la jambe droite et Christian l'autre.
Ils m'écartent les jambes.
Alain annonce :
« vas-y marc défonce lui la chatte »
Marc sans capote se présente et bestialement me pénètre en se mettant immédiatement à me labourer la chatte.
Je me débat mais ils me tiennent fermement.
Bastien alors que j'ouvre la bouche pour crier me fourre sa queue au fond de la gorge.
Ils éjaculent tous les deux presque en même temps.
Le sperme de Bastien m'ettoufe et je tousse.
Mais tracas ne sont pas finis car les salopards décide de m'élargir les fesses et de me prendre en sandwich.
Je suis anéantie et ne me débat même plus.
Philippe commence par me sodomiser et je grimace au passage de sa grosse queue.
Alain lui me fourre sa queue dans la bouche pendant que Christian s'introduit dans ma chatte ouverte et bien huilée.
Marc et Bastien ne sont pas en reste et s'occupent activement à me maltraiter les seins et tirailler mes tétons.
Je ne suis plus qu'un objet sexuel pour eux, un vide couille, une décharge à sperme.
Ils me défoncent par tous les trous et vide leurs sperme sur moi, dans ma bouche, dans mes fesses ou dans ma chatte.
Je suis dans un état second.
Cela dure une éternité.
Puis tout à coup, je ne sais même pas si c'est cet excès ou un orgasme involontaire trop violent, j'ai comme un flash blanc et puis plus rien.
Lorsque je me réveille, je suis dans mon lit toute endolorie et je voie Alain qui me sourit gentiment.
« Tu as été forte ma chérie, je suis fière de toi »
Ses paroles réconfortantes me réjouissent.
Je suis heureuse.

La saillie

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