Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote    =

Un couple offre l'hospitalité à une jeune fille

Maryaline
22 février 2013
La chaleur étouffante qui s'était abattue sur le littoral avait eu pour effet de nous confiner cet après-midi-là dans la fraîcheur reposante de la maison. La chambre exposée au nord offrait ce que l'on peut considérer comme une température raisonnable, quand le mercure du thermomètre à l'ombre atteint sans grand effort les 37°.


images similaires


Nous venions de terminer une de ces siestes coquines qui laissent libre cours à notre appétit sexuel et nous permet de faire exploser nos fantasmes. Sur la porte, des coups secs, mais timides, vinrent perturber l'engourdissement de nos orgasmes apaisés. Péniblement Alain se levait, enfilait un caleçon pour cacher sa virilité molissante mais néanmoins encore honorable et se dirigeait en traînant les pieds vers la porte d'entrée où se profilait une silhouette féminine.



La porte s'ouvrit sur une vraie bombe sexy. Je somnolais épuisée de tant de jouissance mais écoutais la conversation.

La jeune femme, qui devait avoir tout au plus vingt ans, lui demanda si Alain avait vu son ami, qui aurait dû arriver hier soir dans la villa située un peu plus haut, sur le chemin de la plage. Elle avait un corps idéal, des seins bien fermes qui se devinaient sous le tissu diaphane de son haut.

- Non, répondit-il, nous n'avons vu personne. Avec cette chaleur, nous laissons les volets en permanence fermés.

Contrariée et résignée, elle répondit :
- Bon alors je vais devoir dormir à la belle étoile !

Alain hésitait un moment, mais la tentation de passer la nuit sous le même toit que cette créature de rêve, le fît craquer.

- Mais non. On peut vous offrir l'hospitalité, nous avons une chambre, petite, certes, mais avec un lit confortable. C'est mieux que de dormir sur la plage.

Alain la dirigeait dans la chambre et montait m'expliquer brièvement la situation.



Audrey me parut être assez libertine de par son comportement. Elle n'avait pas semblé gênée de la tenue légère d'Alain qui cachait à peine son gros sexe. Cette jeune allumeuse quant à elle portait un mini-short hyper-moulant qui mettait en valeur ses formes et un haut si transparent qu'il ne cachait rien de ses superbes courbes.
J'étais quelque peu réticente mais la présence d'Audrey me faisais présager de journées chaude en perspectives.

Le repas fut bien arrosé. Je m'étonnai moi-même de la quantité de vin que j'avais bu. Moi qui d'ordinaire ne bois pas. Audrey avait bu autant que moi et lorsque la 3ème bouteille de vin fut vidée, elle réclama un digestif. Les 45° de la liqueur de framboise ne semblaient pas l'effrayer. Comme j'hésitais déjà très pompette, Audrey but une gorgée, avança ses lèvres vers les miennes et déposa le liquide alcoolisé dans ma bouche devant le regard éberlué d'Alain. Elle recommença l'opération plusieurs fois, accompagnant la transmission du liquide par sa langue qui venait envahir ma bouche.

Le spectacle que nous offrions ne pouvait qu'exciter Alain. Moi-même je sentais mes seins durcir et mon minou s'ouvrir et s'humidifier. Je commençai à être sévèrement excité par le contact buccal de cette diablesse.
Alain devait certainement bander comme un âne devant le spectacle de ces deux femmes excitantes. Audrey décida soudain de quitter son haut, puis me débarrassa du mien. Sa bouche empesée d'alcool flattait maintenant ma petite poitrine aux tétons bien dardés. Elle m'engageait à caresser ses seins opulents et fermes mais avec l'alcool j'étais maladroite.

Cette furie sexuelle se leva pour se mettre nue. Elle avait un petit cul des plus ravissants. De dos, Alain pouvait admirer l'espace entre ses jambes laissant entrevoir ses lèvres pulpeuse et appétissante qu'il devait avoir envie de dévorer et sucer sans retenue. Il avait sorti sa grosse queue et se masturbait doucement devant le spectacle.

Mais Audrey avait d'autres intentions pour l'instant que de s'occuper de sa queue. Elle arracha presque ma jupe et mon string pour placer ses petits doigts habiles sur ma chatte trempée de désir. Puis elle s'agenouilla devant moi, engagea sa langue entre mes lèvres charnues. Alain ne perdait pas une miette de notre exhibition et en avait l'eau à la bouche. Je gémissais sous cette caresse et lui tenais la tête contre mon minou avide. Audrey, voyant l'excitation d'Alain, tendit vers lui son postérieur. Alain ne se fît pas prier et s'approchait sa grosse queue bandée en main.

Elle me fit asseoir sur le canapé, se tourna vers Alain, caressant ses lèvres rouges de sa langue. Elle offrait à Alain dans cette position le spectacle affriolant de son sexe humide.



De ses lèvres elle saisit l'énorme sexe de mon copain qui poussât sous cette caresse un gémissement de plaisir.
Audrey en se retournant vers moi s'écriat :

- Ouah ! quel homme !
Je me caressais la chatte en les regardant presque passive la tête embrumée d'alcool.

Son sexe se dressait maintenant devant elle. Alain aurait voulu qu'elle s'en saisît, qu'elle le suçât, l'enfonçât au plus profond de sa gorge. Mais elle n'en fit rien. L'érection qu'elle avait occasionnée sembla la désintéresser pour le moment. Elle retourna à sa tâche féminine, préférant la chaleur de mon entrecuisse à la queue désespérément bandée d'Alain.

Elle se mit en levrette et les petits mouvements de son cul plus qu'engageant, appelait Alain à lui défoncer la chatte. Mon copain s'agenouillait et se mit à explorer sauvagement les lèvres de cette petite suceuse de vulve. En écartant un peu plus les jambes, elle se montrait réceptive à ses avances et me suçait le clito avec encore plus de ferveur. Je n'arrêtais pas de gémir.



Même si je connaissais ses liaisons occasionnelles et certaines plus régulières, je n'avais jamais pu le visualiser avec une autre femme. Je n'étais pas offensée de ses ardeurs, tout appliquée que j'étais à profiter des caresses buccales d'Audrey. Mes mains étaient placées dans les cheveux d'Audrey, que j'encourageais ainsi à poursuivre sa tâche sensuelle.

Alain n'y tenant plus présentât son pénis à l'entrée de cette fente juteuse qui s'offrait à lui. Il la pénétrât presque brutalement faisant pousser un cri à Audrey. Il se mît à la bourrer frénétiquement stimuler par les plaintes de cette salope.



Nous gémissions en cœur et Audrey était secouée par les pénétrations sauvages d'Alain. Elle semblait résister au bonheur qu'il voulait lui prodiguer, comme insensible aux aller et venus bouillonnantes de son zob.



Elle poursuivait inlassablement sa succion sur mon clito chauffé à blanc. J'étais passive et haletante. Mes gémissements étaient plus fréquents, plus aigus. Je ne savais pas comment Alain ne pouvait pas s'empêcher de décharger dans cette chatte en feu.
Puis tout s'accéléra : Audrey enfonça ses ongles dans mes fesses. Elle poussa de petits cris rapides, sa langue toujours dans ma vulve. Alain alors encore plus bestial, dans un mouvement du bassin, provoquait l'orgasme d'Audrey et par la même occasion le sien lâchant au fond du con de notre salope de long jet crémeux de sperme chaud tout en hurlant de jouissance comme une bête blessée. Leurs deux jouissances déclenchât alors en moi un orgasme fulgurant.


images similaires


Alain s'écroulât alors, entraînant Audrey avec lui, tout en restant en elle, car son sexe encore dur, avait du mal à quitter ses chairs féminines si accueillantes. Quant à moi, épuisée par cette jouissance et sous l'effet de l'alcool je restais inerte sur le canapé, les jambes écartées, immobile après la tempête sexuelle que je venais de subir.
Nous nous sommes ainsi tous les trois endormie. Quand je me suis réveillée tard le lendemain, je découvrais Alain et Audrey encore endormi sur la carpette et chose amusante, il semblait encore emboité dans notre jeune salope.


Un couple offre l'hospitalité à une jeune fille

Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote
http://lisastory.free.fr - site réservé aux adultes, strictement interdit aux moins de 18 ans - dernière mise à jour : 7 juin 2025 - Remonter