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Marion roulait sur l'autoroute. Elle roulait plutôt vite et dépassait toutes les voitures qui se pointaient devant elle. Marion était une petite bonne femme, aux cheveux mi-longs bruns. Elle avait un joli minois qui aimait sourire, de petits yeux en amande, un petit nez et une petite bouche qui s'harmonisait au trait de son visage. Le reste de son corps était tout aussi attrayant. Une belle poitrine ferme d'un 90 B, un ventre plat et un minou épilé. Elle se sentait bien. Tout bascula pour elle quand des gyrophares bleus se mirent à clignoter derrière sa voiture. - Ho merde! S'exclamât-elle en regardant sa vitesse. Elle roulait à 200km/h. Elle pesta contre sa mauvaise fortune et ralentie graduellement en se rangeant sur l'air d'autoroute. Elle regarda la voiture qui se garait derrière elle. Ce n'était pas une voiture de patrouille normale. Le gendarme se gara et descendit de la voiture. Marion l'observât alors qu'il s'approchait. C'était une armoire à glace, non une montagne de muscles aux cheveux court. - Pressé ma petite dame? Demanda le gendarme en arrivant près de la voiture. - Oui monsieur le gendarme, dit Marion, je ne regardais pas ma vitesse. - Bien, permis de conduire, et papiers du véhicule SVP, répliqua le pendore. - Écoutez, dit Marion, pourrait-on simplement oublier l'incident? - Pourquoi ferais-je une telle chose? Questionnât-il. - Je ne sais pas, dit Marion en déboutonnant deux boutons négligeamment de sa blouse. Le décolleté de la jeune femme était ainsi provoquant et l'agent de sa position devait bien se rincer l'oeuil. Marion fut étonnée de sa propre audace. Ce dernier ne put résister à se passer sa langue sur les lèvres. - La dame est pas seulement pressée, mais aussi en chaleur, commenta le flic. Prenant de la hardiesse devant cette jeune dévergondée, il entra la main dans la blouse de Marion pour saisir un sein. Le pendore avait des gants de cuire et cela excita encore plus la jeune femme qui en soupira de plaisir. C'est à ce moment qu'il vit le shit sur le siège passager. - Tien, tien, qu'avons-nous là? Demandât-il. Marion suivit le regard et vit elle aussi qu'elle avait oublié de ranger le reste du shit. Elle pesta contre sa bêtise une fois de plus. Une douleur au niveau du sein la ramena à la réalité. Le policier venait de lui pincer le mamelon. - C'est pas un sein qui te sortiras de ce merdier maintenant, commenta le policier. - Pitié, plaidât Marion. - Non, sors du véhicule. Le policier se recula et mit la main sur son arme, Marion se résigna et sortie du véhicule. Le policier lui demanda de se retourner et de mettre les mains sur le toit de la voiture. Elle suivit ses instructions. Il lui demandât d'écarter les jambes. La position humiliante et inconfortable l'excita néanmoins. Marion avait les seins pratiquement sortie de sa blouse, elle avait les jambes écartées avec des talons aiguilles et l'absence de petite culotte qui laissait sa chatte respirer. Le policier s'approcha et un bras après l'autre, il lui passa les menottes au poignet. C'est quand il la fouilla qu'il se rendit compte lui aussi de la nudité du mont vénus de Marion. Il la plaqua brutalement sur le capot de sa voiture et lui massa le clitoris rudement. Marion était entraver par des menottes, ses seins écrasés sur le coffre de sa voiture et un gant de cuir la faisait mouiller comme jamais auparavant. Elle pensa rapidement à son copain, mais il ne pouvait rien pour elle. Le plus étonnant, c'est qu'elle ne voulait pas être sauvée de cet homme. - Nous allons aller ailleurs, dit le policier. Tu vas embarquer dans ma voiture. Il emmenât Marion à sa voiture et l'installa à l'arrière. Un crochet spécial retenait les menottes au siège. Le policier sorti une matraque. La jeune femme eut un mouvement de panique. - Lève ton cul du siège! Ordonna-t-il. Marion obéit. Le policier plaça son tonfa sur le siège avec la poignée pointant vers la chatte de Marion. - Assis-toi dessus, ordonna le policier, ce va te préparer pour le reste de la journée. - Mais je suis pressé, protesta la jeune femme. - Plus maintenant, tu fais ce que je te dis, ou c'est la prison pour trafic de drogue. Marion n'avait pas vraiment le choix. Elle était sur le point d'être engagée comme secrétaire pour un avocat réputé. Une arrestation signifierait la perte de touts ses espoirs. Elle se résigna et abaissa sa croupe sur le manche caoutchouteux. Elle bougea son bassin un peu pour bien se positionner et s'empala sur le manche sans pouvoir réprimer un gémissement de plaisir. La situation l'excitait au plus haut point car elle était très bien lubrifier et n'eut aucun mal à accepter l'intrusion de la matraque en elle. Elle regarda entre ses jambes et vit le long bâton noir se prolongeant de sa chatte. Son clitoris était écrasé par le tonfa et le poids de son corps. Le policier referma la porte et mit le véhicule en mouvement. Les vibrations causées par le mouvement faisaient vibrer la matraque qui torturait son clitoris et son puits d'amour. Au bout de deux kilomètres, Marion, malgré ou à cause de l'humiliation eu son premier orgasme. Elle sentait son jus couler sur le manche de la matraque et inonder le siège de la voiture. Quand la voiture, finalement, s'arrêta, elle s'aperçu qu'ils étaient dans une petite ruelle. - Nous avions cette planque jusqu'à la semaine passée, dit le policier, pour une opération de drogue. Vu que c'est terminer, nous y serons tranquilles. Il ouvrit la porte, décrocha les menottes du siège et saisit la matraque toujours dans le con de Marion et s'en servant comme d'une laisse, il la fit sortir de la voiture et l'entraîna vers l'intérieur de la planque. Ce n'était pas facile de marcher avec la matraque enfoncée dans sa chatte, mais mon dieu! Que c'était excitant. Marion mouillait comme une fontaine. À l'intérieur, les murs nus, sans âmes, s'ouvraient sur deux chambres avec des lits à barreau de métal. Au plafond, une grosse poutre était équipée de plusieurs anneaux de métal. - L'ancien locataire faisait pousser de l'herbe ici, les anneaux servaient à retenir les fils électriques. Pour nous, c'est une aubaine. Il plaça la jeune fille sous la poutre et sortie une seconde paire de menottes. Il enchaînât Marion en Y. Ecartant ses jambes, la matraque se libéra de la prison de chair et tomba sur le sol avec fracas. Le policier la ramassa et la remis dans la chatte de Marion sans ménagement. De nouveau, elle s'échappât de son fourreau. Le policier la ramassât et observa sa poignée qui était dégoulinante de mouille. Marion rouge de honte baisait la tête. - Puisque ta chatte n'en veux plus, dit le policier, peut-être que ton cul le voudra. - Non, supplia Marion, j'ai essayé par-là une fois et ça fait trop mal. - La douleur est due au manque de lubrifiant, dit-il. Aujourd'hui, nous en avons en abondance avec la mouille que as laissé sur le manche. Il arrachât la jupe de Marion pour mettre à jour son abricot luisant et imberbe. Il finit de défaire les boutons de la blouse et attacha les pans de la blouse dans le dos de la jeune femme. Maintenant, elle était nue, superbe, belle et indécente à l'extrême les mains attachées et le dos cambré avec ses hauts talons. Il se plaça derrière elle et prenant la matraque par le bout long, il plaça le manche sur la rosette de la salope et poussa de son autre main. L'anus de Marion se rebella un moment contre l'intrus, mais finit par le laisser passer la faisant hurler de douleur. Une fois le tonfa en place, le policier relâcha la matraque et prit les deux seins de Marion en main pour les masser et faire rouler les mamelons entre ses doigts. Marion ne put s'empêcher de gémir de plaisir sur les attouchements du policier. - Je vais me placer entre tes jambes et le lécher ta fente juteuse. - Ho oui! Dit-elle. - Après je vais te baiser, dit le policier. Mais avant, je vais te monter avec quoi je compte te baiser. Le policier se recula un peux et se déshabilla devant-elle. Elle mouillait de plus en plus. Elle vit la bosse dans les boxers de cet homme et eu le souffle couper quand il retira son short. Elle a joué avec le feu et elle s'est brûlée. Cet homme était une montagne de muscle avec un sexe hors normes. Long, très long et très épais, avec de grosses veines bleues qui lui zébraient la colonne. Le grand couronnant le sommet était monstrueux, elle doutait pouvoir le prendre en bouche, encore moins dans la chatte et elle n'osait imaginer une sodomie avec un truc pareil. - Seigneur, souffla-t-elle, quel monstre ! - On me l'a déjà dit, répliqua le policier. - Je ne pourrais jamais la prendre en moi, se plaignit Marion, j'aimerais bien, mais c'est impossible. - Ça aussi, on me l'a déjà dit, confirma le policier. Mais à toutes ces fois, ça finit par entrer. - Impossible, commentât-elle appeurée. - Je vais donc te bouffer la chatte jusqu'à ce que tu me supplie de te la mettre dedans, dit le policier. Il se positionna et débuta un savant cunnilingus. Marion se mit rapidement à se tortiller sous la langue de cet homme. Il avait une technique parfaite alternant les attaques directes au clitoris et les pénétrations profondes de la langue. Quand sa langue s'aventurait dans son vagin, un doigt venait remplacer sur le bouton sensible. La jeune femme sentait ses muqueuses sécréter un flot constant de jus d'amour. Le policier eu fort à faire pour tout avaler. Il avait du mal à croire qu'un petit bout de femme comme elle pouvait mouiller aussi abondament. Marion eut son premier orgasme alors que le policier lui léchait le clitoris. Décidément cet homme voulait qu'elle jouisse comme une folle ça il n'arrêta même pas quelques secondes et lui planta deux doigts au fond de sa fente et attaqua une fois de plus son clitoris. - Baises-moi! Suppliât alors Marion, Baises-moi! - Tu vois, dit le policier, je t'avais dit que tu me l demanderais. Il retira la matraque de son anus, la soulevât de terre comme une plume et la descendit vers son gland. De nouveau, elle joua du bassin pour bien se positionner et il la laissa descendre plus. L'immense gland de cet homme lui ouvrit les chairs comme jamais. Il ne put pas cependant entrer complètement. Marion allait lui dire quand il la prit par les hanches et donna une pousser vers le bas. Elle eût un orgasme instantané quand le gland entra en elle. Dieu du ciel, se dit-elle, je vais me fendre en deux. La gravité faisait son effet et Marion descendait lentement sur la matraque de chair vivante du flic. Elle jouit durant toute cette pénétration, secouant la tête de toutes les directions et criant à s'époumoner. Finalement, elle sentit le monstre arriver au fond de sa grotte. Elle baissa les yeux et vit que ce policier avait encore un bon cinq centimètres hors elle. - Dieu du ciel, criât-elle, tu vas me fendre en deux, ça ne rentre plus. - Tu disais que ça ne rentrerais pas du tout, dit son tortionnaire. - Si j'étais toi, je me questionnerais plus à savoir si mon cul pourra le prendre. Marion n'eut pas le temps de protester. Le policier commença à la faire bouger sur le pieu de chair. Chaque montée et descente lui coupait le souffle et lui donnait un plaisir intense. Son petit corps n'était plus que jouissance. Les coups sur son clitoris, la fit basculer dans un orgasme monstre Elle savait que le pire était à venir. Elle se sentit ballotter dans tous les sens et s'évanouie. Quand finalement elle refit surface, elle était allongée sur le dos dans un lit, menottée aux barreaux de la tête de lit. Le policier lui broutait encore la chatte. - Dis donc mon chou, dit Marion, as-tu l'intention de me laisser mourir de soif? - Non, dit le policier. Il se leva, prit une bouteille d'eau, souleva la tête de la jeune fille et lui donna de l'eau dans une bouteille. - Maintenant, tu vas me sucer comme une pute. Sans attendre, il plaça sa queue devant la bouche de Marion. Elle ouvrit la bouche et commença une belle fellation. Elle le sentit grossir et grandir avec délectation dans sa bouche. Elle le pompa de son mieux et le fit grogner de plaisir. Quand elle le relâcha finalement, il avait reprit toute sa superbe. Elle fut fière de l'avoir sucer comme il le demandait. Il la pénétra de nouveau d'un seul coup jusqu'à la garde et la pistonna avec force durant une minute. Lui relevant les jambes un peu plus, il positionna son gland devant sa rosette et se mit à pousser avec conviction sur l'anus. Lentement mais sûrement, l'entré arrière s'ouvrit. Finalement, le gland réussi à franchir la limite. Il prit une pause de près d'une minute pour laisser la pauvre prendre la mesure de sa grosseur. Après cette pause, il recommença à pousser sur son manche et entra son gigantesque pieux dans les entrailles de Marion. Il la pistonna longtemps et avec force. Elle n'arrivait pas à le croire mais elle allait jouir par le cul. - OUI, cria Marion, Continue, encules-moi comme une chienne. Le policier continua sa cadence d'enfer en la faisant crier fort. Il se pencha légèrement à l'arrière, ramassa la matraque et la planta dans la chatte juteuse de Marion. L'orgasme fut instantané, puissant. Elle trembla de tout son être pendant un long moment, les yeux révulsés. La double pénétration était jouissive pour Marion, mais donnait à notre policier beaucoup de sensation aussi. Il grognât et finalement, dans un concert de jappement et de hurlement bestial, se répandit sans le cul de Marion. Le policier ressortit son monstre du cul de la belle soumise et le présenta devant la bouche de celle-ci. Elle eut un mouvement de recul. - N'oublie pas la drogue, dit-il. Allez, finit le travail en beauté et nettoies-moi bien. Marion haussât les épaules, le prit en bouche et le suça longtemps. Il grogna et lui offrit une seconde rasade de semence crémeuse qu'elle l'avala avec délice. Il libéra sa captive et se r'habillèrent. Pour le retour, elle s'assit à l'avant du véhicule et se fit doigter tout le long du trajet. Elle eut un nouvel orgasme. Au moment de se séparer, Marion lui demanda : - Vais-je te revoir? - Qui sais, dit le policier. - En passant, demanda Marion quel est ton nom? - Laissons ce mystère planer, dit le policier. |