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Sous le bureau de Ninon - Episode 1 >>> Episode suivant

Ninon
3 avril 2013
7h00. Ce lundi matin, en ouvrant le tiroir de ma commode, je constate que je n'ai plus de culotte propre. Ayant passé le weekend chez mes parents, je n'ai pas pris le temps de faire une lessive... Un instant, j'hésite à remettre celle de la veille ou... ne pas en mettre. J'opte finalement pour cette deuxième solution.
Je décide de quand même mettre un collant même si je n'en mets habituellement qu'en plein hiver quand il fait hyper froid. Dans le bus, je me retrouve coincée près du chauffage sous les sièges arrières. Je trouve ça très désagréable. Sitôt arrivée au travail, je file aux toilettes pour retirer le collant et je me trouve avec la minette à l'air sous ma petite jupe, un peu excitée mais aussi un peu stressée à l'idée qu'un de mes collègues ne s'en rende compte.


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8h30. Je salue mes collègues et m'installe au bureau. Je travaille dans un bureau d'étude. Nous sommes 4 dans la pièce et je suis la seule fille. Chacun a son bureau dans un angle et on a donc chacun un espace assez intime (les autres ne voient pas ce qu'on a à l'écran). L'ambiance est bonne, on rigole beaucoup mais les gars se font souvent des "private jokes" dont je me demande parfois si je ne suis pas la cible. Entre eux, ils organisent aussi des paris dont je ne connais pas l'objet, car ils s'échangent de l'argent... et je n'ai jamais eu le droit de participer malgré mes demandes régulières. Ils sont célibataires et moi aussi. Ils me draguent souvent mais je m'amuse à les laisser faire sans donner suite. Il y a Paul qui a mon âge, est plutôt mignon et que je me taperais bien à l'occasion, André qui est très costaud mais avec dix ans de plus que moi et Jérémy qui lui est un peu plus jeune et trop immature à mon goût. Je n'hésite pas à m'habiller sexy car mon corps me le permet mais je me refuse à passer pour une fille facile ni à faire du racolage. J'avoue aujourd'hui être plus gênée qu'excitée à l'idée de ne pas avoir mis de culotte.


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Mon travail dans cette équipe n'est pas très compliqué. Jérémy fait une première sélection des dossiers reçus et fait une première estimation d'un chiffrage possible. Je regarde ensuite les pièces administratives et vois si les conditions du client peuvent s'accorder avec les estimations de Jérémy. Ce sont Paul et André qui font ensuite la proposition de chiffrage final que nous envoyons au client. Le travail est parfois monotone mais comme on s'entend bien et qu'on discute facilement de tout et de rien, ça se passe plutôt bien.

Habituellement, Jérémy me transmet le dossier en le mettant dans une pochette de couleur différente chaque jour. Aujourd'hui, le dossier qu'il vient me transmettre n'est pas glissé dans une pochette et je le regarde interloquée :
- Tu as oublié la pochette ?
- Non, les pochettes correspondent à un code strict... et là, l'absence de pochette répond à ce critère.
Paul et André se marrent.
- Hein ? C'est quoi cette histoire de code ?
- Demande à André.
- Ah non, désolé, ce serait trop compliqué à expliquer, Ninon.
Les autres rigolent derrière leurs écrans... Encore une plaisanterie faite à mes dépends ? Ce genre de réflexions m'agace beaucoup mais je préfère les ignorer car je sais que les garçons ont tendance à s'acharner s'ils se rendent compte que quelque chose me dérange. J'oublie assez vite la réflexion d'André, mon esprit perturbé par la légère fraîcheur qui gagne mon entrecuisse.
Nos bureaux sont profonds et avec un rebord important sur l'arrière, ce qui fait que mes collègues ne risquent pas de surprendre ma frivolité de ce matin. Par jeu, je m'amuse à écarter et refermer alternativement les cuisses sous mon bureau et cela commence à me chauffer l'entrejambe.



Paul me demande :
- Ninon, ça allait dans le bus ce matin ?
- Bah oui, pourquoi ?
- Tu sais que si tu veux que je passe te chercher en voiture, ça ne me dérange pas !
Jérémy intervient :
- Avec un sacré détour quand même ! Moi, Ninon, tu es sur ma route en venant, ce serait facile...
- Oui mais je préfère le bus.
André parle à son tour :
- Le bus, c'est bien, mais il y a souvent des pickpockets...
Les autres rigolent encore... Je ne comprends pas vraiment l'allusion et je me dis qu'ils font référence à une discussion entre eux. André, à ma droite, fait tomber un stylo de mon côté :
- Merde... Ninon, tu veux bien me le ramasser s'il te plaît ?
- Va te faire voir, j'suis pas ton chien !
Tout le monde rigole. André sait que j'ai du caractère et je pense qu'il aime bien que je l'envoie balader de temps en temps. Jérémy insiste :
- Allez, Ninon. André n'est plus tout jeune et il souffre du dos. Un p'tit geste...
- Mais lâchez-moi !!!
Je ne sais pas ce qu'ils avaient ce matin, mais ça commençait à me gonfler. J'hésite un instant à me lever pour ramasser le fameux stylo et mettre fin à cette comédie, mais je me ravise en me souvenant qu'en l'absence de culotte, ce simple mouvement peut me jouer des tours.


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12h30. On se lève pour aller manger. Une fois tout le monde sorti, je me rends compte que j'ai oublié mon badge dans mon tiroir. Je retourne rapidement à mon bureau. Je tape par mégarde dans le stylo d'André et l'envoie valdinguer sous mon bureau. Je prends garde que personne ne se trouve derrière moi avant de me mettre à quatre pattes pour attraper le stylo.


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C'est alors qu'une toute petite lumière rouge attire mon attention sous le plateau de mon bureau. Une webcam ! Les salauds !!! Ils ont osé mettre une webcam sous mon bureau ! Depuis quand ? Et ça signifie qu'aujourd'hui... mon dieu ! Je commence à comprendre certaines de leurs allusions de ce matin. Je suis furieuse contre eux. Je m'apprête à la retirer mais je me ravise. Après tout, il y a peut-être moyen de leur rendre la monnaie. Déjà il fallait que j'élucide un point précis. Sont-ils de mèche tous les trois ou ce petit acte de voyeurisme déplacé est-il à l'initiative d'un seul ?

Une idée me vient alors. Sitôt le repas terminé, je file voir le gars du service informatique :
- Salut Antoine.
- Salut Ninon, je peux t'aider ?
J'hésite à lui expliquer trop de chose de peur qu'il ne soit déjà au courant du forfait d'un des garçons... mais j'ai le sentiment que ce n'est pas le cas.
- Oui, je voulais savoir, ça fait combien de temps qu'on t'a emprunté une webcam ?


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- Oh, ça fait déjà un moment. C'était il y a au moins un an. Pourquoi ? Paul a un problème avec ?
C'est donc Paul qui est derrière tout ça ! Et il a peut-être mis Jérémy et André dans la confidence.
- Non, mais je voulais savoir si tu pouvais m'en prêter d'autres, c'est pour des tests de visioconférence que je dois faire. Je te les ramène après.
- Ok, tiens, sers-toi, c'est là. Et le guide d'utilisation et le driver sont sur le serveur dans le répertoire "matos".
- Super, merci !
Je prends trois webcam et file au bureau pendant que les garçons fument dehors. J'installe discrètement une webcam sous chacun de leurs bureaux et je gagne mon poste pour les mettre en route. Et ça marche ! J'ai une vue imprenable sur chacun de leur siège.

Je cours chercher un café et descends rejoindre les gars dehors pour ne pas éveiller leurs soupçons. Jérémy se tourne vers moi :
- Ah Ninon, on parlait de toi !
- Ah oui ? Je pars aux toilettes et je vous manque déjà ?
- Tu nous manques à la seconde où tu nous laisses !
- Vous êtes mignons.
- Tu n'as pas froid ? Il y a un peu de vent aujourd'hui...
Je comprends l'allusion de Paul cette fois-ci et, voyant les deux autres ricaner, j'imagine qu'ils sont dans la confidence.

13h30. Les cigarettes sont terminées, mon café aussi. Nous remontons au bureau. Je m'installe et admire les entrejambes des garçons lorsqu'ils s'installent. Moi, je sers les cuisses. Je les regarde par dessus l'écran. Ils sont tous les trois absorbés par leur écran. A la caméra, je vois Jérémy porter la main gauche à son entrejambe et se la masser tout doucement.


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Je suis terriblement excité à l'idée de pouvoir les mâter et de contrôler désormais ce qu'ils pourront voir de moi. Paul est-il le seul à avoir à l'écran la vue sur mon intimité ? Je le regarde par dessus son écran et décroise lentement les cuisses. Il ne semble pas réagir. Par contre, sur mon écran, je vois Jérémy se caresser franchement l'entrejambe.


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C'est donc Jérémy qui a une vue sur mon entrejambe. Et les autres ? Je regarde André. Lui aussi est rivé à son écran, mais il travaille sans doute. Alors je remonte un peu ma jupe sur mes cuisses et écarte franchement les jambes, espérant que la webcam donnera une vue parfaite sur mon intimité.


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L'effet est immédiat sur Jérémy : il n'hésite pas à mettre une main dans son pantalon pour se masturber discrètement.


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André jète un coup d'œil dans ma direction. Je sens son regard mais fais mine d'être absorbée par la lecture d'un dossier. Juste après, je vois à l'écran André écarter les cuisses. Il affiche une belle déformation à son pantalon. André affiche donc lui-aussi sur son écran ce que vois la webcam. Je veux le mettre mal à l'aise. Je lui tends le crayon que j'avais ramassé à midi et que j'avais laissé posé sur mon bureau :
- Tiens André, ton crayon !
Il recule mais se ravise et répond un peu empourpré :
- Heu, non, c'est bon, garde-le. J'en ai d'autres, merci.
Je suis contente. Je les tiens. En même temps je me dis qu'ils s'amusent plus à trois à mes dépends que je ne m'amuse toute seule à leurs dépends. Bien que Paul reste impassible, je ne vois pas pourquoi il ne serait pas lui aussi en train de mâter mon sexe puisque c'est lui qui a emprunté la webcam au service informatique. En revanche, pour le moment, il ne laisse rien transparaître.

14h00. Le téléphone sonne. Paul décroche. Il a une courte conversation avec, semble-t-il, notre patron. Il raccroche et se lève :
- André, le boss veut nous voir tous les deux.
- Merde, ça peut pas attendre ?
- Non, c'est maintenant. Il part en réunion à l'extérieur dans une heure et il veut qu'on fasse le point sur les nouvelles procédures qui vont être mises en place.
- Fais chier, encore une heure de perdue...
André se lève en soupirant et place un dossier contre son bas-ventre pour dissimuler ce dont je sais être la responsable. Paul et André quittent la pièce, me laissant seule avec Jérémy.

Je garde les cuisses écartées et Jérémy a toujours la main dans son pantalon, qui s'active lentement. La situation commence à m'exciter sérieusement. Je sens que je mouille, mais je doute que Jérémy puisse s'en rendre compte avec la faible résolution de la webcam. Par contre, j'ai une irrépressible envie de me caresser. Rapidement, je me passe une main sur l'entrejambe.


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Aussitôt je vois à mon écran que Jérémy déboutonne son pantalon et sort carrément son sexe. Je suis éberluée ! Son sexe est long et dur. Je commence à mouiller franchement. Il faut dire que ça fait une éternité que je n'ai pas vu une bite. Je bouge mes cuisses écartées de gauche à droite pour essayer de "ventiler" mon subit coup de chaud... Mais l'effet inverse à lieu : Jérémy se met à se masturber carrément.


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Un instant, j'imagine qu'il va éjaculer, là, sous son bureau, comme un animal. Je suis à la fois dégoûtée et incroyablement excitée.

Vivement, je me lève de mon bureau et le rejoins sans lui laisser le temps de s'ajuster :
- Jérémy, tu pourrais me passer des trombones ? Mais, oh ! Qu'est-ce que tu fous ???
Il cache son sexe avec sa main. Il est rouge comme une pivoine et pivote sur son siège pour me tourner le dos. J'attrape le dossier et le force à se tourner vers moi :
- Putain, tu te branles ? Fais voir, un peu !!


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Je lui écarte les mains de force. Il essaye de s'expliquer :
- Arrête, c'est super gênant...
- Tu matais des photos de cul ?
- Heu, oui... c'est ça...
- Putain, tu t'emmerdes pas... Tu fais ça souvent ?
- Bah non c'est la première fois...
- En tout cas, ta une belle bite, mon salaud !
Je dis ça machinalement, trop excitée pour me retenir. D'ailleurs, au moment où il tente de faire rentrer son érection dans son pantalon, je lui ressors d'une main :
- Attends, je vais t'arranger ça...
Il me regarde, surpris. Je lui souris. Il semble se détendre et me laisse le masturber.


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Il avait un peu débandé sous l'effet de la surprise mais son sexe reprend vite de belles proportions sous mes caresses. Il se met à me caresser la poitrine à travers mon chemisier. Je décide de lui faciliter les choses et déboutonne mon chemisier pour le retirer. Je l'abandonne quelques secondes pour retirer également mon soutien-gorge. Il reste subjugué par le spectacle de mes seins nus. Je remets mon chemisier afin de pouvoir me rajuster rapidement au cas où quelqu'un ferait irruption dans le bureau.


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Je me remets à genoux et reprend ma masturbation, laissant Jérémy me caresser les seins et jouer avec mes mamelons. Je suis incroyablement excitée et je meurs d'envie de m'enfiler cette bite entre les cuisses. Mais Jérémy est mon collègue et que diraient les autres s'ils nous surprenaient à faire l'amour ? Je continue donc à le caresser. Un instant, j'imagine qu'il va éjaculer, là, sur mes mains, finalement pas beaucoup mieux que sous son bureau. Une seule solution m'apparaît alors. Je plonge la tête sur ce sexe tendu et me mets à le sucer doucement.



Jérémy laisse échapper un râle de plaisir qui me rassure. C'est finalement la première fois que je suce un homme et je dois dire que c'est loin d'être aussi désagréable que je l'imaginais. Comme je m'y attendais, Jérémy ne met pas longtemps à jouir. Je sens son sperme monter et venir fouetter mon palais. Je n'ai pas d'autre choix que d'avaler son jus. Immobilisant mes lèvres autour de son gland, je le laisse ainsi se répandre dans ma bouche jusqu'à la dernière goutte.


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15h00. Alors que je recherche mon soutien-gorge, on entend des pas dans le couloir et les voix de Paul et André. Je reboutonne vivement mon chemisier pendant que Jérémy termine de remettre de l'ordre dans son pantalon. Il ouvre un tiroir et en sort une boîte de trombones qu'il me tend.
- Tiens !
Il a tout juste le temps de faire glisser mon soutien-gorge dans le tiroir et le refermer avant que la porte ne s'ouvre. Je sens les regards de Paul et André se poser sur moi alors que je regagne ma place. Je me demande si l'absence de soutien-gorge est identifiable... Paul et André regagnent leur place en silence. Je me tourne vers André :
- Alors, ça a été avec le boss ?
André met quelques secondes avant de me répondre. Il a les yeux fixés sur mes seins.



J'ai la réponse à ma question. Et chaque seconde passée sous le regard d'André, je sens mes tétons se durcir et pointer à travers le tissu. Après seulement trois secondes mais qui m'en ont paru trente, André répond enfin :
- Heu, bah ça va, on a fait le point. Les dossiers qu'on a mis en prioritaire lui conviennent. Et vous ? Vous avez avancé ?
- Oh oui ! A tel point que je n'avais plus de trombone !
Je secoue la boîte en souriant. Jérémy semble embarrassé. Paul le regarde en se demandant ce qui avait bien pu se passer. André, reprend son travail mais n'arrête pas de regarder dans ma direction, et particulièrement vers ma poitrine. L'absence de mon soutien-gorge n'est finalement pas passée inaperçue. Au moins pour André...


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Une idée me vient alors. Une idée coquine. Car bien que j'ai fait jouir Jérémy, je n'en suis moi-même pas moins frustrée et excitée au plus au point. Mon idée est de voir comment Paul va réagir à la vue de mon décolleté. Le moyen est simplissime : je laisse tomber par mégarde la boîte de trombones sous mon bureau et je me penche, cuisses écartées, la tête posée sur le plateau de mon bureau et le décolleté de mon chemisier ouvert sous le bureau, face à la webcam.



A tâtons, je ramasse les trombones un à un et les remets dans la boîte sur le bureau. Du coin de l'œil, je vois à l'écran que les trois mecs ont les cuisses écartées et bandent magnifiquement dans leur pantalon. Je suis très heureuse de mon stratagème et je prends tout mon temps pour ramasser les trombones. Tous les trois, je les vois à l'écran porter la main à leur entrejambe et se caresser, même Jérémy qui avait pourtant éjaculé moins de dix minutes avant.

Une fois les trombones ramassés, je me remets au travail, cuisses serrées. Les gars se calment aussi et reprennent leur travail. Je les imaginais guettant à l'écran régulièrement pour voir si je n'allais pas écarter à nouveaux les cuisses. Mais j'en reste là. Terriblement excitée, mais pas assez dévergondée pour demander à l'un d'eux de me raccompagner chez moi après le travail.

17h00. Je reprends le bus. Mon soutien-gorge est toujours dans le tiroir de Jérémy. J'essayerai de le récupérer demain après la pause déjeuné. J'ai heureusement une veste que j'ai pris le soin de rabattre pour éviter que les autres voyageurs s'aperçoivent de mes tétons qui pointent à travers le chemisier.

17h30. Aussitôt arrivée chez moi, je fonce sous la douche et ne résiste pas à me masturber jusqu'à l'orgasme en pensant à la bite de Jérémy mais aussi à celles de Paul et d'André que j'aurais peut-être l'occasion de voir bientôt...



(à suivre)

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