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Minotaure soumet Anne à un voisin voyeur

Minotaure
24 janvier 2006
Ce matin, il fait très beau et dans la véranda, il fait même chaud. Anne et moi avons pris le petit déjeuner nus et nous nous prélassons au bord de la piscine intérieure. C'est notre cadeau de noël et nous l'apprécions beaucoup.


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Je m'allonge nu sur les dalles chaudes à point et elle vient contre moi, elle se frotte, m'excite et s'excite. Elle se couche sur le flanc, ses fesses contre moi. Je l'effleure, elle ronronne comme une chatte; mon sexe se érige petit à petit; je lui caresse les hanches, ses cuisses musclées, son cul de négresse. Ma bite est au garde à vous et je la pointe entre ses fesses, elle se cambre un peu plus et soupire ; mon gland glisse entre ses cuisses et plonge entre ses lèvres juteuses.


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Je vais et je viens paresseusement en elle. Elle apprécie cette façon langoureuse de la prendre. Cela dure un certain temps; nous avons tout le temps.
"Regarde, me dit elle, il y a un voyeur dans la haie."
"Cela ne me gène pas, suce moi, montre lui que tu es une belle salope"


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"Il n'en est pas question, répond elle, pour qui me prends tu ?"
"Pour mon esclave, ma chose, mon objet de luxure" lui dis je en la prenant par les cheveux.
"Aie, tu exagères, que va penser notre mateur?"
"Je vais t'offrir à son regard, Il va plutôt se branler sur toi!"
"Hein ?"
Sans lui répondre, je lui lie les poignets avec la ceinture d'un peignoir de bain et je pèse sur elle pour la mettre à plat ventre ; je suis toujours planté en elle et je sors petit à petit. Elle a les bras au dessus de la tête, immobilisés. Je me lève, essuie mon sexe sur son visage et je l'entraîne jusqu'à la partie où j'ai placé des anneaux métalliques à une poutre; je lui attache les poignets bien en hauteur.


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Elle est obligée de se tenir sur la pointe des pieds. Je lui ceins les chevilles avec 2 bracelets en cuir et je maintiens ses jambes écartées à deux autres anneaux fixés au sol. Elle n'a pas eu le temps de réagir et s'est laissée manipuler sans mot dire. Elle est superbe dans le soleil. Ses mollets sont galbés à souhait par sa posture sur la pointe des pieds; ses reins sont creusés par le fait qu'elle a les bras ficelés en hauteur, ce qui fait ressortir sa poitrine dont les tétons sont tendus. Elle est parfaitement exposée au jeune homme qui continue à la dévorer des yeux; il a sorti son sexe et le branle lentement.


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Je passe devant elle et admire ses seins bien ronds que j'empaume, dont je triture les pointes. Je lui souris et commence à lui caresser le cou, la nuque, les épaules. Je bande de plus en plus et je m'écarte d'elle. Je lui montre la vue de mon sexe que je décalotte lentement.


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Je tourne les yeux vers notre voyeur et m'écarte d'elle en le regardant.
Elle me regarde sidérée : " Tu ne vas pas oser!"
Elle commence à se débattre et me crie "Détache-moi immédiatement ou j'appelle à l'aide"
"Qu'y a-t-il ? ce n'est pas la première fois que tu es exhibée"
"Tu sais très bien de quoi je parle, on n'a jamais fait l'amour devant quelqu'un de si jeune".
"Justement, il faut qu'il soit éduqué, il doit être puceau, plein de sperme qu'il n'a jamais déversé dans une femme... Tu es magnifique, ma douce salope; je t'offre à ses regards lubriques"


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Je m'installe sur un transat, me branlant doucement en mattant son ventre musclé, ses jambes galbées et ses seins majestueux.
"Mon Amour, je suis désolée, détache moi je ferai ce que tu voudras." minaude Anne
"Voyons cela, es tu prête à être mon esclave aujourd'hui ?"
"Tu me laisses en vue de tous, je suis déshonorée, bafouée, humiliée et tu veux quoi en plus?"
"Tant pis"
"Non, d'accord, je te serais soumise, mais détache moi"
"Tu vas d'abord lui montrer que tu es une belle femelle, je vais te détacher les jambes, te mettre tes mules de catin et tu vas te pavaner devant lui en lui offrant tous tes orifices"



Elle me regarde, puis du coin de l'oeil examine le jeune voyeur tapi dans la haie. Elle l'envisage, il doit avoir 17 ans, fin et musclé.
"Cela m'excite" me dit elle enfin.



Je m'agenouille devant elle et lui lèche son entrejambe. Son con salive et dégouline de bonheur. Anne jouit en feulant. J'avale tout son nectar en me délectant. Je lui détache les jambes en lui conservant les bracelets de chevilles. Je lui enfile une paire de mules transparentes avec des talons de 13cm. Cela lui cambre le reins encore plus. Elle se tourne vers le garçon et lui offre ses seins maintenant plus lourds,


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Puis elle se tourne lentement pour lui faire admirer ses fesses; elle s'arrête alors et en me regardant dans les yeux, elle lève une jambe pour lui présenter sa chatte glabre et suintante. Je me relève et passe derrière elle; je me plante dans son vagin jusqu'aux couilles, elle remet le pied à terre, elle se cambre au maximum et me demande de la baiser comme une chienne.


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"Redemande le correctement, putain" dis je à haute voix
"Ramone mon con de pute, prends ton plaisir de mâle dans mon ventre de chienne." clame Anne la tête en arrière pour être entendue du garçon.
"Tu le mérites bien, Anne. Je vais juter dans ta chatte. A toi de garder mon foutre toute la journée sans culotte."
"Mais ça va couler"
"Hmmm, avec 3 boules de geisha, cela ira"
"Pervers tu n'es qu'un pervers, vas y , défonce moi"


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Je la prends par la taille et la fait monter et descendre sur mon pieu enfoncé dans son sexe. Elle ne touche plus terre. Autant la montée est lente et mesurée, autant la retombée est brutale. Je la monte lentement sur ma bite tendue et lorsque mon gland tugescent est à moitié sorti, je la lache et elle s'empale sur mon braquemard jusqu'aux couilles. A chaque fois qu'elle est au sommet, elle me supplie d'arrêter et elle crie de bonheur lorsque je cogne son utérus.
"Dis moi que je suis ton Seigneur et Maître et que j'ai tous les droits sur toi"
"Tu es Mon Etalon, Mon Dieu d'Amour, Ma bite Divine, je me soumets à tous tes désirs de Mâle Lubrique, Mon Maître, je suis ton esclave vicieuse et obéissante" me dit Anne d'une voix qui monte dans les aigus alors qu'elle jouit une seconde fois.
"Parfait" lui dis je en allant entr'ouvrir une baie.
Je lance au garçon : "Approchez"
et à l'adresse d'Anne "Suce moi"


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Je la délivre de ses liens et me rallonge sur le dos au sol. Elle s'agenouille et sans me toucher de ses mains, elle sort sa langue pour me lécher la hampe pleine de ses sécrétions. Je la regarde et revois derrière elle le voyeur qui pénètre lentement dans la véranda, toujours sa bite à la main.
"Referme la baie et déshabille toi"
Il s'exécute.
"Ton spectateur est toujours là" dis je à Anne "Ne t'arrête pas, il se branle comme un malade. Montre lui ton cul"


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Anne remonte sa croupe et écarte ses cuisses. Je sais que sa moule et son anus sont bien en évidence pour son mateur. Celui-ci s'est arrêté, a repris 2 aller retour et son foutre a jailli sur les dalles.


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"Il a bien joui" dis je à Anne "Il en avait une sacrée quantité ; ne le laisse pas gacher ; va t'en enduire les seins"
Anne me regarde puis se relève; elle marche vers le garçon. Il ne bouge plus. Elle est à genoux à ses pieds. Elle ramasse son sperme et du bout des doigts en étale des coulées gluantes sur ses seins.


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Lorsqu'elle a tout reccueilli, elle se masse les seins sous les yeux ébahis du jeune homme en geignant de plaisir. Je lui relève le cul et me replante dans sa chatte juteuse. Elle se mord les lèvres et le nez au niveau de la verge de son mateur, elle encaisse mes coups de boutoir. Ne pouvant plus se contenir elle attrape la queue du garçon et la branle de bon coeur. Celui-ci avance et se laisse faire. Son gland gonfle et attire la bouche d'Anne sur lui.


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Elle l'engloutit sans broncher. Elle lui tient les bourses dans sa main droite et lui pompe son braquemard. Je me suis retiré d'elle et la regarde faire. Elle le regarde dans les yeux en lui bouffant la queue et lui soupesant les couilles qu'elle gobe bientôt. Le garçon est au bord de l'orgasme.


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Elle s'arrête et lui demande :
"Tu es puceau ?"
"Oui" répond il timidement. Elle le branle tout doucement.
"Ce n'est pas bien de faire ce que tu as fait,il va falloir que je le dise à ta tante"
"Oh non" réplique le jeune homme tandis qu'elle lui lèche les couilles au fin duvet.
"Je ferai ce que vous voudrez, mais ne dites rien à ma tante"


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Il a débandé et Anne aspire toute sa bite dans sa bouche; elle l'aspire doucement un petit moment avant que le jeune puceau veuille bien rebander à nouveau.


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"Voilà qui est mieux" dit Anne en contemplant cette bite longue et fine. "Allonge toi sur ces coussins"
Il s'allonge sur le dos, sa bite dressée vers le ciel; Anne me regarde, je hoche la tête et elle se place au niveau du bassin du garçon, les pieds de part et d'autre de son corps; elle descend lentement vers son sexe en écartant ses cuisses; elle s'arrête lorsque son gland effleure ses lèvres.


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Elle l'engloutit doucement et ondule son bassin lascivement d'avant en arrière. L'ado se laisse faire; Anne tourne la tête vers moi et passe lubriquement sa langue sur les lèvres. Elle accélère le mouvement et se plante la queue de son amant lorque celui-ci jouit. Anne lui sourit, se relève, le relève; elle embrasse ses lèvres et en souriant lui dit "file". Il ne dit rien, nous sourit et il rentre chez lui. Anne vient dans mes bras, enfouit sa tête dans mon cou, me murmure :
"Ai je été une salope telle que le désirait mon Maître?"
Pour toute réponse, je la force à s'agenouiller et lui enfourne mon braquemard dans sa gorge. Mon gland gonflé est au fond de sa gorge ; elle hoquette puis me pompe fort.


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"Tu as été parfaite, ma belle salope, tu vas devoir garder sa semence toute la journée; va chercher les boules de geisha"
"Bien Maître" dit elle en se relevant. Elle rentre dans la maison en serrant les fesses. Pendant ce temps, j'enduis ma bite de crème à bronzer ; je l'applique partout sur mon gland, ma hampe jusqu'aux couilles; elle reluit et est glissante à souhait. Anne revient avec un petit coffret.


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Elle le pose sur la table, l'ouvre et en extrait un chapelet de 3 boules métalliques. Elle me les offre en baissant la tête et voit mon sexe décalotté luisant. Elle me regarde et ses yeux expriment toute sa soumission. Je la retourne et la mets en appui sur les coudes sur la table ; elle écarte légèrement ses cuisses et je caresse ses lèvres souillées de sperme et de ses sécrétions. Je lui introduis une boule.
"C'est glacé" dit-elle
"Tais toi" lui dis-je en enfonçant la seconde, puis la troisième. Elle ne bouge pas.



"Tu vas les garder jusqu'à ce soir, tu jouiras toute la journée et tu les dégusteras quand tu les enlèveras. Redresse toi, marche un peu"
Perchée sur ses hauts talons elle fait quelques pas en se déhanchant. Elle se pince les lèvres et ferme à demi les yeux.
"C'est fort, je ne vais pas tenir" dit elle.
Je lui souris en caressant un petit plug anal. "Remets toi sur la table"


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Totalement soumise elle obéit sans discuter. Sa croupe est bien en évidence; j'écarte ses fesses et applique mon gland contre son anus. Doucement je pousse, il s'ouvre et m'engloutit la bite tandis qu'Anne émet un râle de plaisir. Je sens les boules de geisha dans son vagin.


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Ma bite les fait bouger et elles me massent en même temps que je défonce son cul. Anne crie :
"Enfin, ohhh c'est trop bon, bourre moi, je suis ta chienne, ta femelle à enculer, je vais jouir du cul".


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Elle hurle enfin en contractant son petit anus autour de ma queue avec laquelle je l'ai empalée jusqu'aux couilles. Dans un spasme celles-ci se vident de leur semence qui gicle dans les reins d'Anne. Tétanisés, nous restons un moment immobiles, puis je décule lentement en regardant ma bite sortir de son sphincter qui reste grand ouvert.


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Je reprends le plug que je tartine de ses sécrétions vaginales avant de l'enfoncer dans son oeillet palpitant.



Je lui remets ses chaussures et je vais lui chercher une minirobe moulante qu'elle passe immédiatement. On ne peut ignorer qu'elle est nue en dessous.


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"Et si on allait déjeuner dehors ?" lui dis-je en l'embrassant dans le cou.

Minotaure soumet Anne à un voisin voyeur

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