|
C'était l'année dernière au printemps... Simon et moi sommes allés passer l'après-midi à la campagne chez un collègue de travail de Simon. Il s'appelait Albert et je ne le connaissais pas encore. Je m'étais faite belle : j'avais trouvé un petit chapeau de paille tout mignon, une jupe assez longue (plus de 30 cm...) bleue claire et un petit corsage en coton blanc avec quelques broderies. Je m'étais même maquillée les ongles en bleu ciel. Bien entendu (vous commencez à me connaître), je ne portais rien ni sous ma jupe, ni sous mon débardeur. Simon n'a d'ailleurs pas résisté et, pendant tout le trajet, il m'a fouragé entre les cuisses de sa main droite. En arrivant chez Al, j'étais déjà toute mouillée et passablement excitée. ![]() images similaires Le Al en question n'était d'ailleurs pas vilain du tout, même si le bandanas qu'il avait sur la tête lui donnait un côté un peu puéril. Après avoir fait les présentations, Al nous a proposé de faire un petit tour de sa propriété. Celle-ci comprenait un joli petit bois traversé par un sentier et quelques champs alentours. Alors que nous marchions, je surpris le visage absolument ravi de Simon. En regardant Al, je compris ce que Simon appréciait tant : Al me mattait sans s'en cacher. Ses yeux courraient sur mon corps avec autant d'habileté qu'une paire de mains. Evidemment, son pantalon était déformé par une belle érection et je sentis ma mouille me couler entre les cuisses aussitôt. Simon avait-il promis à Al qu'il pourrait me baiser ? C'était bien dans son genre... et dans le mien aussi d'ailleurs ! Mes tétons pointaient déjà à travers mon corsage et c'était ce qui intéressait le plus Al. ![]() images similaires Je ne savais pas trop comment lancer l'attaque et c'est Simon qui débloqua la situation. - Quelle chaleur ! dit-il. Je crois que je vais déboutonner ma chemise. Tu devrais en faire autant ma chérie... - Tu as raison. Sinon, je vais encore être trempée de sueur. Sous le regard ahuri de Al, je déboutonnai l'intégralité de mon corsage et laissai le tissu retomber sur ma généreuse poitrine. Al ne pouvait décrocher un mot. La bosse de son pantalon était devenue phénoménale. Je me penchai pour ramasser un petit caillou et en me relevant, les pans du tissu s'écartèrent pour révéler mes seins. ![]() Je m'étais arrêtée. Al s'arrêta également mais Simon continua à avancer un peu. Quand il se retourna et vit Al, les yeux rivés à ma poitrine nue, il revint en rigolant. "Tu vois Al, c'est le problème avec Lisa. Elle a une sorte de maladie : elle est complètement nymphomane. Elle aime le sexe à un point tel que, à moi seul, j'ai du mal à la contenter. Alors, à la longue, j'ai fini par accepter de demander de l'aide à des amis". Simon vint me rejoindre et me retira ma jupe bleue, dévoilant mon sexe nu à cet homme que je ne connaissais pas une demi-heure auparavant. Al perdit sa raideur (d'attitude, pas entre ses cuisses) et vint s'accroupir devant moi pour me caresser la moule. Rapidement, il m'embrassa le ventre et usa de sa langue pour me darder le clitoris pendant que Simon, derrière moi, me malaxait les seins. ![]() Al se releva et m'embrassa en enroulant sa langue autour de la mienne avec la fougue d'un adolescent. Je me décollai de Simon pour repousser Al contre une barrière marquant la limite entre le sentier du petit bois et un champ en friche. Al repris son fougueux baiser et j'entrepris de libérer sa malheureuse érection, congestionnée dans les jeans. Sa queue était bien raide et palpitante. Le gland était déjà décalotté tant il était excité. Je commençai à le masturber lentement d'une main en continuant à l'embrasser. ![]() Simon, qui sans doute s'ennuyait un peu, intervint : - Lisa, ce serait génial si on te prenait tous les deux en même temps. - Pas de problème ! répondis-je. - Al ? demanda Simon, tu préfères devant ou derrière ? - Je crois que je vais choisir devant pour pouvoir me délecter de la vue de cette magnifique paire de nichons... Sans tarder, je retirai son pantalon à Al et je le fis s'allonger. A peine avais-je commencé à m'empaler sur sa tige que je sentis la bite de Simon appuyer contre mon anus. Sans préparation, il m'arrive d'avoir un peu de mal à l'accueillir (lui ou un autre) mais j'étais si excitée que ça se passa très bien. Sa bite coulissa rapidement en moi jusqu'à la garde. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses à chaque coup de reins qu'il donnait. Al prit le même rythme que Simon. ![]() Sentir ces deux bites aller et venir en moi fut absolument divin. Pendant un instant, je fus attirée par un éblouissement : le reflet de l'objectif d'un appareil photo. Quelqu'un au bout du sentier nous épiait et prenait des photos de nos ébats. J'hésitai à le signaler à Simon, mais nous étions tous tellement bien partis que je préférai me taire et profiter pleinement de cette merveilleuse sensation de se sentir remplie par deux bites en même temps. En peu de temps (difficile à juger sur le moment, et encore plus après coup), je sentis un orgasme monter et je laissai ma gorge exprimer mon bonheur en de grands cris retentissants. Al et Simon ne mirent pas longtemps à venir. Alors que je me remettais à peine, je sentis Simon jouir dans mon cul. Ces spasmes déclenchèrent l'éjaculation de Al, dont je sentis la chaude sève me fouetter les entrailles d'une manière délicieuse. Après cette formidable chevauchée, je me relevai pour me rhabiller et laisser les garçons se rajuster et je vis une silhouette au bout du chemin qui tournait les talons. Nous sommes rentrés prendre un café à la ferme de Al et nous avons baisé à nouveau sur le canapé. Cette fois-ci je les ai sucés tous les deux. ![]() images similaires Quand nous sommes rentrés chez nous dans la soirée, j'ai hésité à parler à Simon du photographe dans le bois. Finalement, je ne lui en ai jamais parlé et il va donc le découvrir en lisant ce compte-rendu. Quand j'y repense, je crois que ça m'a finalement plus excitée encore de savoir qu'un voyeur me matait pendant mes ébats... |