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Quand Sylvie traine à la piscine...

Sylvie
28 février 2006
Je vais assez souvent à la piscine et, ce jour-là, il n'y eut pas grand monde. D'habitude, à l'heure de la fermeture, je pars en même temps que les autres. Mais cette fois-ci, je me suis retrouvée seule bien avant la fermeture. Si bien que le surveillant de baignade n'avait qu'une seule chose à faire : me matter. Je me suis amusée à l'allumer un peu en prenant un temps infini à plonger, restant devant lui pour lui faire profiter de la vue de mon joli postérieur.
L'heure de fermeture était déjà dépassée depuis plus d'un quart d'heure quand je m'en rendis compte. Je sortis du bassin et me dirigeai vers les douches. Je vis alors que le caleçon du surveillant était déformé à l'extrême par une érection colossale. Je fus assez fière de moi et pris tout mon temps en passant devant lui. Il m'interpela :
- Mademoiselle, si vous le souhaitez, vous pouvez rester encore un peu.
- C'est vrai ? C'est gentil...
- Si vous voulez je peux même vous accompagner sur quelques brasses.
- Ce serait avec joie.
Je l'ai précédé dans l'eau, sachant qu'il gardait les yeux vrillés sur mon cul. Je pouvais être sûr qu'il n'allait pas débander de si tôt. En fait de brasses, dès qu'on fut dans l'eau, je me suis retournée vers lui et je lui ai aussitôt massé son entrejambe. Il me dit :
- Allons sur le bord.
En un instant, nous fûmes à l'échelle et il commençait déjà à me retirer mon soutien-gorge.



Il me fit mettre à genou sur le bord et se mit aussitôt à me sucer les seins. En quelques secondes, je sentais que mes tétons pointaient sous ses coups de langue experts.



Puis il abandonna mes seins pour me retirer ma culotte. Il redescendit dans le bassin et me demanda de m'asseoir sur le bord. Je m'éxécutai en écartant les cuisses afin de lui offrir mon sexe tout imberbe. Il ne perdit pas de temps pour commencer à me caresser et je sentis rapidement ses doigts venir s'agiter entre les lèvres de ma chatte.



En peu de temps, je mouillais comme une fontaine. Il se lècha les doigts et sembla trouver le goût de ma cyprine à son goût car il plongea aussitôt son visage entre mes cuisses. C'était absoluement divin de sentir sa langue fouiller ma moule avec une telle ardeur.



Il continua ainsi jusqu'à me faire jouir. Le temps de me remettre de cet orgasme, il sortit de l'eau avec une idée bien précise en tête : profiter de mon cul. Il me fit mettre à quatre pattes et retira son caleçon. Je sus en voyant son gigantesque braquemard que j'allais sûrement jouir à nouveau.



Il me pénétra sans mal et me remplit complètement, comme si sa bite avait été faite pour moi... Il me besognait violemment, sans ménagement, mais c'était absoluement délicieux. En quelques minutes j'eus mon second orgasme, terriblement plus violent que le premier. Mes cris le motivèrent et je savais qu'il voulait jouir dans mon cul, mais je voulais l'achever autrement. Je me dégageai de lui et je me mis devant lui pour le masturber : je voulais qu'il explose sur mon visage.



Manifestement, cela lui convenait tout à fait car, en un rien de temps, son sexe se tendit et son sperme épais jaillit pour atteindre mon visage et ma poitrine. Je trouvais cela extrêmement jouissif et manifestement mon partenaire était également d'accord. Une fois qu'il eut fini d'éjaculer, il s'effondra à côté de moi. Je l'ai laissé ainsi pour aller aux douches. Je suis sorti en me disant que je le reverrais la semaine suivante. Quelle ne fut pas ma surprise, la semaine d'après, de découvrir qu'il avait été remplacé. Probablement était-il marié et il avait eu envie d'une aventure sans lendemain avant de déménager. Cela ne me dérangeait pas, mais, malgré mes efforts, je n'ai jamais réussi à aguicher aussi facilement le nouveau surveillant de baignade.


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