|
L'initiation anale de Melissa Chapitre 4 Je prends le tube de gel lubrifiant que j'ai préparé à cet effet et posé juste à coté, pour t'en mettre une grosse noix que j'étale sur tout le pourtour de ton anus, puis une autre grosse noix que je pousse soigneusement à l'intérieur. J'en mets aussi généreusement une bonne quantité sur toute la longueur de mon pénis. Ceci, pour que ta première pénétration anale se fasse sans douleur et ne soit que source de plaisir. Devinant mes pensées, et ce que je t'invite à faire, tu ne protestes pas, car tu es dans un tel état d'excitation que tu meures d'envie d'essayer cette nouvelle position. Moi, je reste toujours allongé sur le dos, tandis que toi, tu te mets debout sur le lit, les pieds de chaque coté de mon corps en me faisant face. Puis, en me souriant, tu plies les genoux, et commences à descendre lentement ta croupe vers mon pénis en érection, en écartant bien tes fesses de tes mains. Au contact de mon pénis l'orifice de ton anus se met à « frétiller » et à se contracter, signe que tu es très tentée par cette première pénétration anale. Tu t'arrêtes un moment pour bien sentir cet agréable contact, puis, tu te mets à pousser de tes fesses contre mon pénis pour commencer la lente pénétration qui va te mener bientôt au sommet du plaisir. Pour éviter qu'il ne s'échappe ou plie sous ton poids, je le tiens fermement avec ma main en le maintenant bien droit contre ton orifice anal. Le plus dur est le gland à faire entrer, car toutes les caresses que tu lui as fait subir avec ta bouche depuis tout à l'heure, en long et en large, l'ont rendu plus gros que d'habitude. Bien calée sur tes pieds, tu te mets à pousser, mais il n'arrive toujours pas à entrer dans ton anus, malgré les efforts que tu fais pour ouvrir ton orifice, tu marques une pause, puis, prenant ton courage à deux mains et en positionnant bien l'orifice entrouvert de ton anus contre mon gland, tu pousses tes fesses bien écartées d'un seul coup puissant. Ca y est, il est maintenant entré sans que tu ne ressentes la douleur que tu as crains, car le mouvement bienfaisant de mes doigts, depuis tout à l'heure, a bien dilaté ton orifice anal, si bien que ce sont des gémissements, non pas de douleur, mais de plaisir que tu pousses maintenant. Cela t'encourage à commencer un petit va-et-vient juste avec le bout de mon pénis, comme pour avoir un petit avant goût de ce qui t'attend une fois la pénétration terminée. Pour t'aider à faire ça je tiens mon pénis de ma main pour le maintenir bien droit et l'empêcher de bouger. Pendant ce temps, toi, les mains bien appuyées sur tes cuisses, tu montes et descends ta croupe de haut en bas dans un mouvement très régulier. Le gland de mon pénis se met ainsi à entrer et à sortir de ton anus avec un petit bruit de suçon très excitant à entendre. Tu fermes les yeux pour te concentrer sur ce que tu fais, et à mon grand plaisir, tu prolonges cet agréable mouvement de va-et-vient pendant quelques longues minutes que je voudrais interminables. Maintenant que l'orifice de ton anus est bien dilaté, tu te mets à pousser tes fesses davantage pour terminer l'agréable pénétration. A chaque poussée tu progresses un peu plus sur mon membre dressé. Pour ne pas gêner la manœuvre, j'enlève ma main qui tenait mon pénis. Arrivée à mi chemin, tu marques une pause non pas à cause de la douleur que tu ne ressens plus, mais pour que ton conduit anal s'habitue à la présence si bienfaisante de mon sexe. Puis au bout d'un moment, tu ouvres les yeux, en me souriant comme pour me demander la permission de continuer cette interminable et très agréable pénétration, mais tu n'attends pas ma permission pour te laisser tomber sur moi d'un seul coup puissant, en poussant un long cri de plaisir. Mon pénis finit par devenir complètement invisible en disparaissant entièrement dans ton anus, comme aspiré par une force mystérieuse. Là, tu restes immobile en baissant ta tête pour admirer le résultat, car, au début de la pénétration, j'ai senti que tu avais une toute petite peur, que mon sexe de 19 cm ne puisse entrer entièrement à l'intérieur de toi. Mais il faut dire que le lubrifiant que j'ai utilisé a beaucoup facilité cette manœuvre. Comme tu sembles très satisfaite et contente du résultat, tu te remets à me sourire en restant immobile encore un long moment sans bouger, de manière à bien t'habituer à cette agréable présence au fond de toi. Puis, tu te positionnes en calant bien tes pieds de chaque coté de mon corps, de manière à pouvoir onduler de ton bassin dans un mouvement circulaire autour de mon pénis maintenant complètement invisible, à droite puis à gauche, puis encore à droite. A suivre... |