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Bonsoir, Je mets entre parenthèse mon récit de mes premiers émois. En effet je viens de tomber sur un blog truffé d'astuces, de récits érotiques et même d'humour (régalez-vous avec l'épreuve de chimie corse). Je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager une des histoires. Je l'ai corrigée et légèrement modifiée. Néanmoins ce n'est pas une aventure que j'ai vécue. Cependant les étreintes décrites me sont néanmoins familières. J'aurais sûrement l'occasion d'y revenir..... Voici le lien qui mène à l'histoire originelle. http://docryu.over-blog.fr/article-aperitif-recit-erotique-18-55599237.html Très bonne lecture. Apéritif - 1ère partie A cette époque, je sortais avec une charmante jeune fille. Brune, fine et dotée d'une magnifique poitrine aux pointes fermes et sensibles. Elle se révéla très douée dans les jeux amoureux. Elle ne reculait devant rien, bref, elle n'avait pas froid aux yeux. Bien que jeune, elle jouissait déjà d'une grande expérience. ![]() images similaires Dès les premiers instants passés avec Pipa notre relation fut intense. Je me souviens encore, toute frissonnante, de cette étreinte à l'arrière de ma voiture, au risque d'être vu de tout le monde. ![]() images similaires Et puis elle avait une langue, mon dieu quelle langue! Longue, fine, nerveuse et douce si douce. Je tremblais comme une folle des que je la sentais au creux de mes reins. ![]() Je vous rassure, elle avait la majorité. J'ai, je l'avoue, souvent flirté avec la limite de cette majorité, basculant de temps en temps du mauvais côté. Mais bon, en amour... Je sortais donc avec cette fille depuis deux mois, deux merveilleux mois, lorsque qu'un jour je reçu un coup de fil de sa tante Muriel. Sa nièce, dont elle avait assuré l'éducation n'arrêtait pas de lui rabâcher les oreilles avec : Nadia par ci, Nadia par là. Elle était curieuse de rencontrer cette amie, qui plaisait tant à sa nièce . Je ne pouvais pas refuser, de peur que sa tante finisse par lui interdire de me voir. J'étais trop éprise de ma jeune compagne pour subir cela. On prit donc rendez-vous chez elle, en début de soirée, un jour de la semaine. La veille, j'en parlais un peu avec ma Pipa. Elle me dit de ne pas trop m'en faire. Sa tante Muriel était assez cool en générale bien que connaissant les goûts sexuels de sa nièce . Était-elle aussi cool avec les amantes de sa nièce ? Elle ne pouvait me le dire vu que c'était la première fois que sa tante demandait à rencontrer l'une de ses amantes. Sa langue mutine fit encore des merveilles et me détendit merveilleusement ce soir-là. ![]() Avant que j'aille à mon rendez-vous, je téléphonais à Pipa afin de lui demander quelles étaient les mœurs de cette tante Muriel. Elle n'avait pas de certitude, sûrement plutôt hétéro semblait-il. Je partais hélas avec un handicap. Je me suis habillée de la façon la plus naturelle du monde, chemisier blanc, jupe noire, talons aiguilles, avec quand même, juste au cas où, un string arachnéen blanc du plus bel effet offert par ma compagne. ![]() images similaires Arrivée à destination c'est avec le ventre noué que je frappais à la porte. Celle-ci s'ouvrit sur le portrait craché de ma compagne, en plus mature. ![]() images similaires Après un moment de surprise, elle arbora un sourire très agréable. Visiblement, elle devait s'attendre à quelqu'un de plus jeune, en phase avec l'âge de sa fille. Elle s'effaça et me laissa entrer dans l'appartement que je connaissais très bien pour y avoir déjà fait l'amour avec mon amie. La maîtresse de maison portait un superbe kimono en satin bleu épousant des formes que je devinais merveilleuses. La pièce baignait dans cette lumière orangée et tamisée qui avait délicatement éclairé le corps de mon amie lorsque l'on s'était offerte l'une à l'autre pour la première fois en ce lieu. Je marchais sur ce tapis qui avait été le témoin de nos étreintes passionnées. Dans le coin le plus éclairé, une table ronde délicatement dressée, présentait un seul couvert. La chaîne hi-fi diffusait une très douce musique. - Voici donc la personne qui est entrée dans le cœur de ma fille. » - Je me nomme Nadia » - Je ne le sais que trop bien. » Je ne me sentis pas à ma place. Elle me regarda des pieds à la tête. - Je dois dire que ma fille à fort bon goût. » - Vous êtes absolument ravissante vous aussi. » lui dis-je sans arrière-pensée. Ses cheveux de geai défaits lui conféraient une allure féline, sa démarche souple et ses grands yeux noisette, striés de jaune et rehaussés par un habile maquillage, m'inspirèrent définitivement l'image d'une superbe panthère. ![]() images similaires Elle sourit montrant que ma réplique lui plaisait. Je me détendis. Elle me désigna un fauteuil pour m'y asseoir. Elle continuait à me regarder comme une bête curieuse. - Que trouvez-vous à ma fille ? » - Je... je... » Balbutiai-je. - Préférez-vous les charmes de l'adolescence à ceux de la femme mûre ? » - Pas du tout ! Je... » Je ne savais pas quoi lui dire tellement je me sentais mal à l'aise. Je n'aurais pas dû venir me dis-je intérieurement. Confortablement installée, la nuque appuyée contre le haut dossier de son siège, elle laissa planer sur moi un regard ambigu, doux et attentif à la fois, dans lequel je crus percevoir une perverse étincelle. Je me sentis excitée sous ce regard. Je la regardais, sans pouvoir dire un mot. Un moment je revis sa Pipa dans le même fauteuil, les jambes largement ouvertes, s'offrant à la masturbation avant que je ne lui prodigue un superbe cunnilingus. ![]() images similaires Le visage de la tante Muriel revint. Elle me désigna le bar et me demanda si je désirais un apéritif. J'avais la gorge sèche. Je sentais mon string s'humidifier. ![]() images similaires - Pas d'alcool, s'il vous plait. » - Vous voulez garder la tête froide ? » dit-elle en souriant. Elle était enfoncée entre les larges accoudoirs, le visage incliné, ses longues cuisses allongées, les chevilles croisées. Un pan de son kimono glissa, découvrant en partie ses jambes lisses qui avaient conservé un soupçon du hâle de l'été. ![]() - Laissez-vous tenter ? » Proposa-t-elle avec une moue irrésistible. - He bien d'accord ! » Balbutiai-je, troublée, le regard braqué sur ses genoux superbes. - J'ai une liqueur très légère et odorante que vous pouvez prendre en apéritif. Je ne l'offre que dans les grandes occasions, aux personnes qui me plaisent vraiment. » Sa voix s'était faite soudain plus rauque. Elle me regardait étrangement, les lèvres entrouvertes. Ses seins montaient et descendaient sous la soie bleue et fine. Je voyais distinctement la pointe de ses tétons. Quelque chose allait se passer. ![]() - Je suis sûre que vous en raffolerez. » Reprit-elle. « Me donnerez-vous le plaisir d'en accepter une larme ? » Elle avait mis l'accent sur le verbe « donner ». Pourquoi donner au lieu de faire ? Je m'en doutais un peu mais préférais me voiler la face. - Certainement », dis-je dans un ton rauque à mon tour. Sans me quitter du regard, elle releva alors lentement l'un des genoux que je contemplais. Le kimono s'ouvrit jusqu'à la rondeur de sa hanche. ![]() images similaires Je mouillais un peu plus, le cœur s'emballant. Elle releva l'autre jambe, posa les deux talons, bien écartés sur les bras du fauteuil et se campa avec un air de défi. Je pouvais dire alors, telle tante, telle nièce. Entre ses jambes nues, venait d'apparaître le plus affriolant pubis qu'il m'ait été donné de contempler : taillé en forme de cœur, piquant, aussi noir que ses cheveux. ![]() |