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Davidhandballeur
26 avril 2014
Cinq demoiselles dans la ville : 5. Aurélie, rencontre virtuelle avec un certain Pythagore.

Histoire inspirée de : http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,rencontre-sur-internet,16931.html
Auteur : Cataleya

Aurélie est une jolie femme qui souhaite réussir dans sa vie professionnelle. A 22 ans, elle a réussi à décrocher cet emploi d'assistance sociale. Elle a fait beaucoup de sacrifices pour parvenir à ces fins. Elle a quitté sa région natale, ses parents, ses amis et amies, pour s'installer dans une nouvelle ville. Elle doit commencer une nouvelle vie où tout est à construire. Une vie de jeune femme qu'elle espère épanoui sur les plans professionnels et personnels. Libre, Aurélie est heureuse, elle sait qu'elle doit faire bonne impression pour son premier jour de travail. Après une nuit, elle se réveille et se prépare pour son premier jour de travail.


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Cette première semaine est une prise en contact avec les dossiers qu'elle va devoir traiter le plus rapidement. Elle apprend aussi le fonctionnement du service. Cependant, seule, Aurélie, en rentrant le soir chez elle, se connecte sur un site de rencontres pour se faire des amis et amies dans cette ville.

Depuis quelques jours, elle discute avec un certain, « Pythagore », alors qu'elle a pris comme pseudo, Castille, petit clin d'œil à une région d'Espagne qu'elle aime bien.

Ils ont échangé quelques mails forts banals pour faire un peu connaissance, puis il lui a posé la question : que recherches-tu sur ce site ?
Elle lui a répondu en toute franchise : je voudrais trouver un ami pour longtemps avec qui je pourrais discuter et avec qui je pourrais prendre du plaisir. Je ne veux surtout pas de coup d'un soir.
Il lui a répondu qu'il était partant pour tenter l'expérience avec elle. Aurélie, satisfaite de son expérience virtuelle, sourit devant son écran.


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Et puis, après trois semaines, alors qu'il discutait via un logiciel de messagerie instantanée, Pythagore lui demande: comment imagines-tu notre première soirée ?

"Je serais vêtu d'une robe, un peu décolleté et plutôt courte sous laquelle serait dissimulé un joli ensemble de lingerie. Lorsque tu arriveras, on se fera la bise pour se saluer. Je t'inviterai à prendre un verre, tu accepteras et on discutera, pour se mettre à l'aise. Je m'amuserai à te séduire, en posant ma main sur ton bras et en te caressant du bout des doigts ou en croisant les jambes, ce qui fera obligatoirement remonter légèrement ma robe."


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Devant son ordinateur, Pytthagore est subjugué. Ses yeux parcourt avidement l'écran et ce qu'il lit lui plait beaucoup.

"Puis je me lèverai, t'invitant silencieusement à faire de même et je t'embrasserai, du bout des lèvres, d'un baiser doux, chaste et très bref. Je me reculerai pour voir ta réaction et je pourrais lire dans tes yeux ton envie d'un acte plus passionné. Alors, je reprendrai possession de tes lèvres, les savourant, avant d'y faire glisser ma langue qui dansera avec la tienne. Dans le même temps, mes mains se glisseront dans ton cou, dans tes cheveux, pour rapprocher encore plus ton visage du mien. Quant à toi, tu saisiras mes hanches pour plaquer mon corps au tient et ainsi me faire découvrir ton sexe bandé, preuve du désir que tu éprouves."

Pythagore cligne des yeux, n'osant croire ce qu'il lit. Cette fille est incroyable. En quelques lignes, elle fait travailler son imagination et en effet, il bande. Un nouveau message apparait et il s'empresse de se replonger dans le récit que lui offre Castille.



"Je te déshabillerai, lentement, retirant tes vêtements un à un, en prenant soin d'aiguiser ton désir en déposant de temps en temps des baisers sur ta peau nue. Lorsque tu te présenteras dévêtu devant moi, je t'embrasserai à nouveau. Puis je laisserai mes lèvres descendre sur ton cou et ton torse pendant que mes mains exploreront tes fesses et caresseront tes cuisses, s'approchant sans cesse vers ta virilité, mais sans même l'effleurer.


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Puis, mes lèvres se poseront sur ton ventre et je te prendrais enfin dans ma main pour te branler dans de lents mouvements. Et lorsque ma langue viendra titiller ton gland, tu m'agripperas les cheveux en me demandant de te prendre dans ma bouche. Mais, j'aime faire durer le plaisir alors je glisserai ma langue le long de ta verge, pour venir lécher les deux boules, gonflées de désirs elles aussi puis, je remonterai à nouveau vers ta hampe que je dégusterai en l'embrassant et enfin, je te glisserai tout doucement entre mes lèvres. D'abord le gland, puis ton sexe en entier, l'entrant et le sortant avec délectation."



Pythagore ferme les yeux. Il a commencé à se masturber en lisant les premiers mots du dernier message, sans même s'apercevoir de ce qu'il fait. Elle est douée. Éveiller le désir en lui sans même être présente, sans vidéo ni son. Juste avec des mots. Il se presse pour poursuivre sa lecture, avide de connaître ce qu'elle lui réserve.

"Je te sentirais frémir contre ma langue et ta main agrippera fermement mes cheveux en suivant chaque mouvement de ma tête qui effectuera des va-et-vient sur ton sexe dur, prêt à exploser.
Mais, je me reculerai avant que tu ne perdes le contrôle. J'aime prendre mon temps et je sais que, plus tu seras excité, plus grande sera ta jouissance.
Je te prendrais la main et t'entraînerait dans ma chambre. Je te laisserai me déshabiller. Ton regard viendra se poser sur mes seins, ronds, opulents qui ne demandent qu'à être caressés, pincés, léchés, tétés. Et lorsque tu les découvriras sous tes mains, tes doigts, ta bouche, ta langue, je ne pourrais m'empêcher de laisser échapper quelques gémissements de plaisir.


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Quand tu te seras lassé de mes seins tu iras découvrir l'effet que tes caresses auront eu sur moi, et tu pourras te rendre compte que les lèvres de mon sexe seront déjà mouillées. Alors, tu pourras explorer cet antre chaud, doux, moite et, si tu te montres doué, je pourrais jouir sous tes caresses. Si tu le désires, tu pourras même y goûter, et glisser ta langue en moi ou lécher, titiller, sucer mon petit bouton de rose qui s'épanouira et me fera crier de plaisir."


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Pythagore passe sa langue sur ses lèvres. Il lui est facile de s'imaginer enfonçant un doigt en elle et la sentir se contracter sous la jouissance. Il a arrêté de se masturber. Elle a eu raison. Encore un peu et il n'aurait se retenir. Et il veux jouir avec elle.

"Après avoir connu le plaisir sous tes doigts et ta bouche, je m'allongerai sur le dos et te guiderais en moi. Tu rentreras lentement, centimètre par centimètre, le plus profondément possible et tu attendras quelques secondes, que je puisse savourer le plaisir de te sentir en moi. Puis, tu commenceras des va-et-vient, de plus en plus rapide. Tu m'amèneras peut-être à la jouissance. Ensuite, tu me retourneras et me prendras en levrette. Tu me pilonneras à grand renfort de coups de rein profonds et savoureux. Alors, je jouirai, d'un orgasme puissant et tu pourras toi aussi enfin de déverser dans un râle rauque."


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"Je m'allongerai sur le dos, après que tu te sois retiré. Tu viendras poser ta tête dans le creux de mon épaule, prêt d'un sein et tu poseras une main sur le second.
Nous écouterons nos cœurs se calmer peu à peu puis, lorsque notre respiration aura retrouvé son rythme normal, nos regards se croiseront et nos corps s'enflammeront à nouveau."

Castille

Pythagore regarde l'écran et lui répond
« - Ce récit est beau. Merci Castille pour le plaisir que je prend derrière l'écran... en espérant que ce plaisir devienne un jour réel».

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