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Davidhandballeur
27 avril 2014
Cinq demoiselles dans la ville : 8. Caroline et la lettre anonyme

Après quelques heures de repos, Caroline se lève. Il est déjà quatorze heures. Une rapide douche, un repas rapide, et elle s'installe à son bureau pour préparer et revoir une dernière fois ces cours de lundi. Elle sort ses affaires, commence à ouvrir le livre d'histoire, mais aperçoit entre son cahier de note et son agenda, un morceau de papier, plié en quatre. Sa curiosité la pousse à ouvrir ce morceau de papier et à le lire.


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« Mademoiselle,

Vous vous doutez bien que vous ne laissez pas insensible les garçons de la classe. Nous aimons tous vous observer quand vous deambuler dans les allées de la salle de classe. Nos regards croisent souvent le votre. De temps en temps, nous vous adressons un petit sourire. Souvent, nous parlons de vous à la pause. Personne ne peut rester insensible à votre charme. Ainsi, après votre cours, il n'est pas rare que je me retrouve dans les toilettes du lycée. Je me baisse mon pantalon et mon slip et soulève mon pull. Je prends alors mon pénis en main et je commence à me branler en pensant à votre beauté. Vos cheveux blonds, vos fesses, vos jambes, vos seins, votre bouche, tous ce que vous mettez en valeur chez vous. Vous êtes une femme superbe et l'homme que vous avez choisi à de la chance. J'aimerais être à sa place. J'imagine parfois que vous rentrez dans les toilettes et que vous m'entendez.


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Je me regarde dans la glace de ses toilettes pour voir venir mon érection. Je sais cela ne fait pas très intime, mais c'est un des endroits où l'on peut se cacher et faire cela avec discrétion. Ce jour, vous entrez dans les toilettes et en entendant du bruit dans la cabine, vous décidez d'y regarder de plus près. Que se passe-t-il? Vous me voyez en train de me branler mais vous ne savez pas que je pense à vous. En voyant, ma bite, vous poussez un petit cri. Jamais, vous n'avez pensé qu'elle pouvait être aussi bien membrée. Après tout, je ne suis qu'un adolescent. Je vous aperçois et je continue à me masturber, de plus en plus vite. Votre présence a augmenté mon plaisir. Vous poussez des petits cris et la vision de cette bite vous fait rentrer dans la cabine. Vous avez envie de la gouter, d'en profiter.


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Vous rentrez donc dans la cabine de toilette et vous me regarder. Je n'ose croiser votre regard. Mais, très vite, vous prenez en main ma bite. Vous appliquez délicatement vos deux mains dessus. Vous êtes vraiment une experte. Vous savez vraiment donner du plaisir à un jeune homme qui pense à vous très souvent. Sous vos mouvements, je regarde ma bite gonfler davantage et je pousse un petit cri. Vous savez ce que vous voulez en faire. Je reste à votre disposition. Maintenant, c'est vous qui avez la main sur moi.


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Jugeant que ma bite est assez dure, vous posez un genou sur le lavabo. Vous retroussez votre jupe noire, celle que vous aviez pour la rentrée scolaire et je vois vos jambes. Vos bas m'excite de plus en plus. Vous écartez alors votre petite culotte et vous prononcez mon nom. Vous me voulez en vous. Vous ne pouvez rester insensible à mon charme. Je vais vous satisfaire, vous le saviez en me voyant dans votre classe. Je savais que je vous faisais de l'effet et vous ne pouviez pas le dire devant tout mes camarades. Ils auraient été jaloux, eux qui s'imaginent que vous êtes une experte de la fellation.



Répondant à votre invitation, je vous saisis par les hanches et je m'introduis dans votre fente. Très doucement, je n'ai pas envie de vous faire mal. Je veux prendre mon temps, profiter de ce moment magique. Vos sous vêtements me font prendre de la vigueur. Vous me dîtes d'aller de plus en plus vite et vous savez que vos désirs sont des ordres mademoiselle. Je m'éxécute et au fur et à mesure vous prenez du plaisir. Je le sens et je le vois. Vous écartez votre ce chemisier blanc qui va si bien avec votre jupe noire et vous commencez à vous carresser les seins. Vous crier et vous me dîtes de continuer. Vous prenez du plaisir avec moi. Je suis comblé et vous aussi. Il y a longtemps que vous réviez de ce moment intime avec moi.



Une fois votre plaisir prit, vous voulez continuer car, vous n'êtes pas encore totalement satisfaite. Vous en voulez plus. Alors, vous demandez de me retirer car c'est maintenant à vous de prendre la main. Vous avez maintenant enlevé votre chemisier blanc, de peur de le tâcher. Il ne reste plus que vos bas. Vous prenez une nouvelle fois ma bite bien dure dans une des mains. Avec l'autre, vous me poussez sur la cuvette des toilettes. Cette fois-ci, mon regard croise le votre. Un regard coquin, mais bien vous souhaitez continuer à donner du plaisir à un jeune homme qui pense souvent à vous. Il y a si longtemps que vous n'avez pas fait l'amour.



Vous vous adossez à moi. Vous me dîtes de tenir mon gros membres en érection. Vous voulez le sentir une nouvelle fois en vous. Tout doucement, vous descendez vers moi. Mon membre se rapproche de votre vagin. Vous commencez à le sentir à nouveau et cela ne peut que vous faire échapper un petit cri. Je reste en admiration devant vous, mais vous êtes tellement douée que vous prenez du plaisir. Je vous en donne, vous l'a vouliez, je vous l'ai donné. De voir de si beau garçon en classe, vous n'avez pas pu résister. Vous aimez quand nous venons en fin de cours, vous parlez. Vous aimez vous sentir désiré, admiré. Même si vous vouliez rester inaccessible pour nous, cette fois-ci vous avez craqué.


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Pour vous donner encore plus de plaisir, vous me demandez de vous saisir les hanche. Je vous déjà dit que vos désirs sont des ordres. Donc, je m'éxécute sans attendre. Vous continuez vos mouvements de va et vient et j'en profite pour admirer de plus près vos fesses. Elles se marient trop bien à vos jupes. Vous savez que nous aimons les regarder quand vous écrivez au tableau, om quand vous passez dans les couloirs. J'ai vraiment de la chance. J'ai ma professeur d'histoire pour moi tout seul. Les garçons de la classe, vous êtes jaloux, Mais, je ne le dirais pas. Ce sera notre secret entre nous. Je vous le promet mademoiselle. Vous êtes à moi, toute à moi. Vous allez vivre une véritable passion amoureuse avec moi.


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Vous arrêtez et vous vous mettez maintenant à genoux devant moi. Vous prenez une derrière fois mon gland entre vos mains. Mais, vous ne vous contentez pas de cela. Cette fois-ci, vous le glisser dans votre bouche. Je sens votre langue dessus. Vous commencez une fellation. Il n'y a pas à dire, nous avions raison quand nous disions avec nos camarades que vous êtes vraiment une experte. Vous savez y faire. Le plaisir monte en moi et je commence à crier d'autant plus que vous carressez ma cuisse. Vous prenez votre temps. Vous aimez avoir une bite en bouche.


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Merci Mademoiselle pour cette séance
Anonyme
Evidemment, Caroline ne peut rester insensible à ce récit. Quel élève de Terminale a eu le cran d'écrire cela, mais surtout l'audace de le glisser dans son cartable. Voilà un mystère à éclaircir pour la professeur d'histoire Va-t-elle lui en parler à Fabien ? Va-t-elle garder le secret pour elle et tenter de résoudre cette énigme toute seule. En tous les cas, pendant ce récit, Caroline s'est surprise à se carresser.
Le téléphone sonne, c'est Fabien qui lui annonce qu'il va arriver dans dix minutes. Vite juste le temps de ranger ses affaires et de remettre de l'ordre dans sa tenue.


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