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Simon 1er mai 2014

8. Retour En fin de matinée, Lucie vint m'annoncer qu'il était l'heure pour elle de partir. Comme elle semblait un peu triste, je lui demandai : - Quelqu'un t'amène au train ? - Non, j'ai quarante minutes à faire à pied pour rejoindre la gare... - Si tu veux, je t'y dépose. - C'est vrai ? - Oui, mais à condition que tu te soumettes à petit jeu... - J'accepte ! - Sans savoir de quoi il en retourne ? Tu es bien téméraire... - J'ai bien une idée de la thématique de ton jeu, je commence à te connaître. Je t'écoute ! - Bien. Ma voiture est dans la rue, juste devant la porte du garage. Tu vas sortir et te mettre nue. Tu auras la suite des instructions dès que j'aurais validé cette première partie... - Tu m'accompagnes ? - Non, je vais me mettre sur le trottoir d'en face pour observer ça. Alors que je déposais les bagages tout au fond du coffre, Lucie prenait place devant la porte du garage. images similaires Heureusement la rue était déserte et apparemment peu passante. La jeune fille tenta de négocier : - Je peux rester en sous-vêtements quand même ? - Bien sûr que non, j'ai dit "TOUT" ! Lucie s'exécuta. Elle retira le petit pull puis la jupe. J'admirais les sous-vêtements rouges qui mettaient en valeur ses formes voluptueuses. Comme une voiture approchait, Lucie eut tout juste le temps de se tourner contre le portail du garage, n'offrant à l'automobiliste "que" le spectacle de ses fesses. images similaires Une fois la voiture passée, je traversai la rue pour récupérer le débardeur et la jupe : - Allez ! La suite ! - Attends, je vérifie qu'il n'y a personne... Après un coup d'œil des deux côtés, Lucie tourna à nouveau le dos à la rue, face à la porte du garage, et détacha son soutien-gorge qu'elle laissa par terre. Elle commença à retirer son string alors que j'avais repéré une voiture qui s'approchait. images similaires Lucie venait de terminer de retirer son string quand elle se rendit compte de la voiture qui arrivait. Elle voulait traverser pour me rejoindre et se cacher dans la voiture mais il était trop tard. Elle n'eut que le temps de sa plaquer dans le petit renfoncement de la porte du garage pour ne pas être trop vue. Je m'amusai à traverser la rue juste quand la voiture arrivait. Forcé de s'arrêter quelques secondes, le conducteur ne put manquer d'admirer la jeune fille nue qui ne pouvait dissimuler ses fesses magnifiques. images similaires Quand la voiture fut repartie, Lucie rigola de la bonne blague que je venais de lui faire. Je lui ouvris la portière de la voiture et lui donnai les instructions suivantes : - Maintenant tu vas mettre tes sous-vêtements dans la boîte à gants. Tu ne les récupèreras que quand nous serons arrivés à la gare. - C'est tout ? - Oui... Lucie se pencha sur le siège pour ouvrir la boîte à gant et y déposer sa lingerie. J'admirai ses jolies fesses. Un cycliste qui passait de l'autre côté manqua de peu de percuter le trottoir en découvrant cet improbable spectacle. images similaires Quand Lucie se redressa, elle se rendit compte que le cycliste qui filait avait dû voir son cul : - Merde, tu aurais dû me dire ! - Non, ça n'aurait pas été amusant, sinon... Je lui tendis sa jupe. Lucie l'enfila rapidement. images similaires Puis elle récupéra son petit pull et le renfila. L'effet que j'escomptais était effectivement là : le petit pull moulait parfaitement ses seins et on distinguait assez bien les mamelons à travers les mailles. Je trouvais ça presque plus excitant que de l'avoir fait se mettre à poil dans la rue. Je lui indiquai la fin du jeu : - Parfait. Comme il est l'heure de partir, tu vas aller dire au revoir à tout le monde. - Dans cette tenue, c'est un peu osé, non...? Je croyais que tu m'amenais directement à la gare là ? - Non, ce serait malpolie de partir sans saluer les autres invités et surtout ta cousine qui t'a si gentiment accueillie. - Ok... images similaires Nous retournâmes à la maison. Les filles auxquelles Lucie dit au revoir remarquèrent peu sa tenue si subtilement sexy. Les garçons en revanche repérèrent très vite les détails qui ne trompent pas. Le premier qu'elle embrassa posa sa main sur sa hanche en l'embrassant. Ce contact électrisa Lucie par le simple fait que l'absence de sous-vêtement, bien visible, commençait à bien l'exciter. Un autre type posa sa main assez haut sous le bras et mit sa paume en contact avec le côté du sein. Ce geste n'était pas innocent et Lucie commençait à avoir de plus en plus chaud. Le plus osé fut celui qui posa sa main sur ses fesses et la fit glisser vers le haut, se rendant probablement compte qu'il n'y avait pas que le soutien-gorge qui manquait à l'appel. Lucie était dans un état second quand sa cousine, Nathalie, vint enfin lui dire au revoir. Elle portait une petite robe bleue sans bretelle, très sexy elle aussi. images similaires - Cousine, merci d'être venue ! - Merci de ton accueil. Au moment où Lucie voulut embrasser la joue de Nathalie, celle-ci tourna la tête et leur bouche se trouvèrent soudées l'une à l'autre. Aucune des deux ne s'en offusqua et le baiser se mit à durer. Plus aucun bruit ne s'entendait dans la pièce. Tout le monde observait cette scène magique. Machinalement, Lucie se mit à caresser les seins de Nathalie à travers la robe qui peu à peu glissa vers le bas. Sans arrêter cet incroyable baiser, Nathalie décida de dépoitrailler également sa cousine. Elle tira le large décolleté du pull vers le bas et cela suffit à libérer les merveilleux seins de sa cousine. images similaires Quand les bouches des deux cousines se séparèrent, je me mis à applaudir. Tout le monde, garçons comme filles, m'imitèrent. Lucie était très gênée et elle mit quelques secondes à se rendre compte que tout le monde observait ses seins nus vu qu'elle n'avait pas encore pris soin de réajuster son pull. En retournant à la voiture, Lucie me glissa au creux de l'oreille : - Je suis mûre. Je vais te sauter dessus dès qu'on sera dans la voiture... - Oh, je suis navré, ma belle. Mais là il faut filer car j'ai peur que tu ne rates ton train sinon ! Et j'avais malheureusement raison, l'heure était déjà bien avancée et il était plus que temps de partir. J'ouvris la portière pour Lucie et m'amusai à lui soulever la jupe pour admirer ses jolies fesses nues avant qu'elle n'entre dans la voiture. images similaires Sur la route, Je respectai les limites de vitesse et remerciai le GPS de nous avoir sélectionné un itinéraire avec assez peu de trafic. Nous arrivâmes à la gare seulement onze minutes avant le départ du train. Lucie se tourna vers moi : - On n'a pas le temps, là... - Non, ce ne serait pas raisonnable. - Par contre, je suis certaine d'avoir le temps pour ça. Sans crier gare elle déboutonna mon pantalon et me sortit la bite. Mon sexe était déjà un peu gonflé et je n'avais pas complètement débandé depuis le début de notre petit jeu. Lucie plongea sa bouche dessus et me tailla une pipe magistrale. images similaires Lucie avait raison. Elle avait effectivement le temps de me faire jouir car j'étais si excité qu'il ne fallut que quelques minutes avant que je n'éjacule. Me sentant proche de venir, Lucie me termina en faisant tourner son pouce sous la base du gland et en caressant de la langue le bout de la fente de mon sexe. Le sperme jaillit soudainement. images similaires Lucie me reprit en bouche aussitôt et me pompa alors que les jets de sperme qui suivirent lui fouettaient le palais. Elle en aspira jusqu'à la dernière goutte et sembla avaler tout ce qu'elle avait reçu. images similaires Je l'embrassai amoureusement. Son baiser avait le goût de mon sperme. J'eus soudain un éclair : - N'oublie pas tes sous-vêtements dans la boîte à gants ! - Non, je te les laisse en souvenir... Nous sortîmes de la voiture et je lui ouvris le coffre. Alors que j'allai me pencher pour atteindre les bagages, Lucie m'arrêta : - Laisse, je vais le faire. Recule-toi un peu... Sans trop comprendre, j'obtempérais. Mais je compris bien vite quand j'eus sous les yeux les fesses nues de Lucie comme elle se penchait dans le coffre pour attraper son sac de voyage. images similaires Une dernière fois, Lucie m'embrassa. Le baiser fut long et sensuel. Mon corps plaqué contre le sien, je sentis très nettement une importante chaleur à son entrejambe. Quand nos corps se séparèrent, Lucie me laissa encore une fois admirer ses seins qui jouaient librement sous le tissu fin du petit pull. Je me fis la réflexion que si un chanceux s'installait à côté d'elle dans le train, il n'allait pas être déçu vu comment les tétons pointaient nettement... Le train partit avec à son bord une jeune fille dans un état d'excitation très avancé. Pour ma part, je repassai rapidement chez Nathalie pour récupérer mes affaires et dire au revoir à tout le monde. J'avais hâte de retrouver Lisa et de lui raconter mon weekend dans les moindres détails.

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