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Chez le coiffeur

Maryaline 10 juin 2014

Chez le coiffeur Il doit être environ midi et demie lorsque Ludovic arrive précipitamment chez Maryaline, le salon de coiffure de son quartier. Il est accueilli par une des employées, grande brune racée, aux seins opulents débordant de sa blouse de travail. Celle-ci l'aide à ôter son vêtement et l'installe dans le coin attente avec la presse hebdomadaire « people » habituelle. Il en profite pour se régaler de la vue sur son décolleté plongeant. Il a juste enfilé un survêtement et des tennis. Son esprit vagabonde et s'isole progressivement dans sa bulle. Il se met à fantasmer sur Maryaline qui coiffe un homme et dont la blouse très courte dévoile haut ses magnifiques cuisses. Lorsqu'une voix fraîche et bien posée lui commande de s'installer pour le shampooing. Il aime particulièrement cet instant et se faire doucement masser par cette magnifique brune. Il s'installe confortablement pour en profiter. « Ça va? » dit la voix suave de Maryaline. Il répond par un grognement de satisfaction. Le shampooing commence avec plus de délicatesse et de douceur que d'habitude au point que le rose lui monte aux joues et les seins de Maryaline qui se ballotent sous son nez lui mettent ses sens en éveils. La caresse sensuelle ne tarde pas à mobiliser tout son être. Il imagine des choses folles et des images très érotiques défilent dans sa tête. Le massage lui semble de plus en plus voluptueux jusqu'au premier rinçage. Une bosse prend forme sous son survêtement. Maryaline va fermer alors l'échoppe qui ne reçoit plus de client après treize heures. C'est la petite apprentie, la jeune Christelle qui commence à s'occuper de lui. Il prend le temps de l'observer. C'est un petit bout de fille, blonde aux yeux bleu avec de petits seins qui tendent sa blouse. Sa chute des reins attire le regard vers ses fesses. Elle laisse une sensation infantile d'ingénue. Ses joues deviennent rouges lorsqu'elle s'aperçoit du regard appuyé de Ludovic. Elle reprend le shampooing d'une main plus désordonnée et hésitante qu'avant. La sensualité du geste ne cesse d'augmenter au point que Ludovic ne peut réprimer l'fflue de sans dans son organe de mâle. Au deuxième rinçage, la jeune femme s'assoit légèrement sur l'accoudoir du fauteuil pour sécher sommairement les cheveux de son client. Son sein effleure à plusieurs reprises la joue de celui-ci. Christelle ressent de plus en plus fortement l'excitation de sa « victime » et commence à la partager. Sa respiration oppressée en témoigne. Maryaline observe la scène d'un air amusé. Alors que Ludovic ne pouvait s'attendre à un tel comportement de cette jeune fille, naturellement, elle s'accroupit devant lui et tire la ceinture du survêtement le dénudant brutalement faisant jaillir un sexe presque dur. Un sourire éclaire le visage de Ludovic visiblement satisfait. Maryaline approche et aide sa stagiaire à le défaire du reste de ses vêtements. Il est profondément troublé par l'érotisme de la scène. Christelle recouvre le corps nu de Ludovic d'une large blouse claire et la noue sur la nuque. Elle l'invite à rejoindre un fauteuil pour la coupe et les deux femmes ne perdent pas une miette de son dos et ses fesses musclées. Lorsqu'il s'y assoit, la blouse ne contient pas son sexe tendu. Au bout de quelques minutes, comme pour faire languir le client, elle lui fait un strep tease. Ludovic ne perd rien de la scène grâce aux larges glaces situées devant lui. Maryaline observe toujours d'un air amusé même l'on peut deviner qu'elle est loin d'être insensible à la scène. Christelle s'effeuille sensuellement. C'est dans cette absolue nudité, à peine troublée par de discrets bijoux, qu'elle commence la coupe de Ludovic. Chaque posture dévoile, dans la glace, un trait nouveau de son anatomie. Les aisselles, soigneusement dépourvues de toute pilosité, affirment la finesse de leur dessin. La taille, étirée par une nécessaire extension de tout le corps, apparaît plus fine qu'au premier examen. Les mouvements autour du fauteuil révèlent chaque aspect du sexe, des hanches ou des fesses. Le regard, concentré sur le travail en cours, trahit une émotion peu commune accentué par les commentaires de Maryaline. « Voyez vous Monsieur, Nous initions nos stagiaire avec des clients privilégier pour qu'elles apprennent à bien coiffer en toute circonstance » Ce dernier est tellement hypnotisé par ce ballet incessant qu'il en oublie de regarder la coupe. Aussi est-il surpris d'entendre soudain, à l'issue d'une dernière mise en forme par les fines mains enduites de gel: « et voilà! ». La phrase est suivie d'un très professionnel passage du miroir permettant de contempler l'ouvrage. La blouse est prestement ôtée. Christelle bascule le fauteuil vers l'arrière et, n'y tenant plus, embouche la queue prête à exploser. Après une bonne fellation, elle enfiche son sexe sur le pénis offert. Maryaline qu'en à elle se masturbe en voyeuse. Quelques mouvements de bassin et leurs excitation à son comble, ils se mettent à hurler leur plaisir. Christelle s'effondre sur le corps de son amant, fourbue et ravie. Maryaline n'y tenant plus se rue sur la queue mollissante et la suce pour la nettoyer en gémissant de plaisir.

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