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Balade en bus (2001) http://revebebe.free.fr/histoires/rvb016/reve01627.html Auteur : Flo Premiers émois J'ai envie de vous raconter mes premiers émois avec un mec. Je change juste quelques trucs car je pourrais être démasquée. Il y a 28 ans (pour respecter les règles de publication car j'en ai aujourd'hui j'en ai 46 trouvez l'erreur) J'avais déjà eu des découvertes sexuelles avec des copines. Entre fille nous fantasmions sur les mecs. Et souvent on se vantait de choses que l'on n'avait jamais faites, une futilité comme souvent. J'avis flashé sur un copain de lycée et j'espérais qu'il ferait les le premier pas, mais il a préféré se faire une de mes copines (tous des Salops les mecs !). J'étais donc carrément à l'affût d'une occasion même éphémère l'histoire de me faire dépuceler et d'avoir ma première expérience avec un « mâle » suivent sans la moindre émotion sentimentale. Je comptais bien mettre à profit une exhibition de mon groupe de majorettes, sur la côte pour essayer quelque chose. Comme il y a des majorettes il y a bien sûr des musiciens ! Le déplacement était long, plus de 8 heures de bus et le mélange filles/garçons courant dans les bus. L'occasion était trop belle. Depuis longtemps je connaissais un saxophoniste, franchement beau garçon et son instrument me fascinait. C'était un dragueur patenté, certaines majorettes avaient déjà étaient déniaisées par ses soins. Mais il avait presque 10 ans de plus que moi. Mais ce déplacement était peut-être l'occasion d'essayer quelque chose. Je dois avouer qu'on me classait plutôt dans les filles mignonnes, 1m70, une poitrine déjà très opulente, plutôt mince avec des jambes longues et finement musclées. A l'allée j'étais à 5 places devant lui et il jouait aux cartes avec des copains. Rien n'était perdu, c'est plutôt le retour qui est propice aux tentatives. Le festival se déroule bien, le repas du soir aussi. En fin de repas je m'arrange pour passer à côté de lui et l'aborde avec un sujet bidon. C'était l'occasion de monter avec lui dans le bus et de ce fait de m'asseoir à ses côtés. À mon avis il n'était pas dupe de la situation. Nous avions choisi la banquette du fond qui avait été désertée par une équipe de 3 jeunes. Nous avons bavardé pendant un petit moment, la nuit était tombée et l'obscurité s'était installée dans le bus. Je commençais à trouver le temps long moi aussi assise à côté de lui sans rien faire. J'étais déçu par son manque. Je profitais de l'occasion pour poser ma tête sur son épaule. Je sentis son bras faire le tour et me prendre par l'épaule et me déposa un baisé langoureux tout en remontant doucement sa main le long de mes cuisses nues et remonter sous ma jupette. J'entrouvris ma bouche comme signe de consentement. Nos langues se mélangèrent de longs nstants. Sa main effleurait ma petite culotte. La situation fit monter très vite mon excitation. Son autre main descendit le long de mon cou pour s'arrêter sur un de mes seins. Il le prit fermement à pleine main, puis titilla le téton à travers mon chemisier. Je sentais ses doigts agiles faire des merveilles et le plaisir commençait à naître en moi. Mon excitation monta d'un cran. Le tissu fin, associé au fait que je ne portais pas de soutien-gorge rendait la caresse vraiment délicieuse. J'entendais son souffle s'accélérer. Tout en continuant de me masser doucement la vulve à travers ma culotte qui devait commencer à se tremper, il enleva facilement les boutons de mon chemisier. Sa bouche quitta alors la mienne à mon grand regret pour descendre dans mon coup puis d'un geste expert il entrouvrit mon chemisier pour dégager un de mes seins. Je regardais discrètement pour voir si tout le monde dormait encore. Ca semblait être le cas. Les bouts de mes seins devenaient hyper sensibles et sa langue experte sur mon sein dénudé accentua encore le phénomène. Il s'y prenait de façon admirable et je sentais mon corps s'enflammer. Mon sexe mouillait sérieux et on ne faisait pourtant que commencer. J'allais enfin connaître le « mâle » et en plus un homme pas un gamin de mon âge. Je ne savais pas dire si c'était mon envie de devenir femme, son expérience évidente ou la peur d'être vue dans le bus mais mon excitation était déjà à son paroxysme et je ne pouvais m'empêcher de soupirer à chaque coup de langue savamment prodigués. Sa main entre mes cuisses s'activait plus nerveusement. Le début de nos ébats avait déjà notablement remonté ma jupe et je devais être dans une posture indécente les cuisses écartées ouverte à la caresse. Ses mains frôlaient ma peau et provoquaient en moi des frissons de bonheur. J'avais besoin de sa bouche, ce qu'il fit aussitôt. Sa main se plaqua sur mon sexe en feu. De son index il dessinait mon sillon à travers la soie fine. Je sentais son doigt à l'entrée de mes grandes lèvres. Il continua à me caresser à travers la culotte un petit moment. Ma pauvre culotte devait être dans un état. Je ruisselais de plaisir. Nous mélangions nos langues fougueusement et je sentais que ses caresses et ses baisers me conduiraient bien vite à mon premier orgasme avec un homme. Soudain sa main arrêta de malmener ma culotte. Il prit ma main dans la sienne et la guida jusqu'à sa braguette. Sa main était pouasseuse et témoignait, s'il en était besoin, de mon excitation. J'entrepris fébrillement et pour faire croire que j'étais expérimentée de dégrafer son pantalon mais sans résultat (pas doué la minette hein ! Je me suis ratrappée depuis. lol) Il faut dire que c'était la première fois que j'essayais cette manipulation. Devant mon manque d'expérience, il dégrafa lui-même son pantalon. Il baissa légèrement son slip pour laisser sortir une barre de chair d'une taille qu'il m'a semblé monstrueuse. J'avais pour la première foi une vraie queue devant les yeux. Il prit ma main qu'il déposa sur son sexe. Je la pris délicatement entre mes doigts et entrepris de le décalotter doucement. Les lueurs des phares des voitures que l'on croisait laissaient entrevoir un gland luisant. J'entrepris de le masturber, ce que je n'avais jamais fait bien évidemment jusqu'à ce jour. Il semblait apprécier, enfin je crois. Je sentis sa main prendre ma nuque et attirer mon visage vers sa verge. Je compris bien vite ce qu'il voulait, j'avais vu çà dans une revue d'adulte et je trouvais çà plutôt dégoutant de se mettre un gros truc comme çà dans sa bouche. L'excitation aidant je trouvais ça, plus si sale que ça, voire même excitant de voir si j'étais à la hauteur du challenge. Je ne comptais pas rester devant cette queue comme une oie blanche. Je finissais l'approche et déposais mes lèvres sur le gland. Il y avait une légère odeur de fauve. Je décidais de le sucer un peu puis de le lécher. Il poussat alors sur ma tête pour l'introduire dans ma bouche. Je me retrouvais pour la première foi avec un gland complet en bouche et je réalisais des va-et-vient en aspirant et faisant glisser le gland sur ma langue. Sa main imprimait elle-même le rythme des va-et-vient et la profondeur de la pénétration de son sexe dans ma bouche. Il allait maintenant profond et avait tendance à buter sur mon palet. Tout à coup je sentis un raidissement de ses cuisses. J'eu un instant de panique à l'idée de sentir du sperme dans ma bouche et me redressais. C'est au moment de la sortie du sexe de ma bouche qu'une grosse giclée de sperme aspergea mon visage. Sa main me pris de nouveau fermement la nuque et me réintroduisit presque de force le sexe dans la bouche pour redémarrer les mouvements. Ils étaient plus vifs et sa bitte allait encore plus profond. Je sentais ses spasmes mais je ne pus rien faire d'autre que d'avaler les giclées de sperme. J'ai failli en vomir. Mais ne voulais pas passer pour une jeune pétasse. Il relâcha ensuite l'étreinte de ma nuque, ce qui annonçait la fin des ébats. Je me redressais, assez fière de mon résultat malgré le sperme qui ruisselait de mon visage. Je jetais de nouveau un œil dans le car, tout semblait calme. Tout ceci n'avait fait qu'entretenir mon excitation, ce qui n'échappa pas à mon partenaire. Il me demanda de m'adosser à cheval entre le fauteuil et la fenêtre de façon à bien être cachée. Je m'exécutais sans attendre. Il prit mes cuisses qu'il posa sur les siennes. Je sentais le sperme continuer sa descente entre mes seins sous l'effet de mes mouvements. Il Glissa ses mains entre mes cuisses de façon à les écarter et avoir le champ libre. Je coopérais bien évidemment à la réussite de l'opération. Il baissa ma culotte à mie cuisses. Il glissa son index à l'intérieur de ma fente pour y trouver mon petit bouton. Son doigt s'introduisait légèrement dans mes petites lèvres et ressortait titiller mon clitoris. Je ne me maîtrisais presque plus. Je gémissais de plaisir, totalement livrée à ses caresses. Il devint plus entreprenant et introduisit deux doigts dans ma fente ruisselante. Il entreprit un va-et-vient savoureux et j'entendais un bruit de sucions à chaque aller-retour. Il se mit à accélérer tout en profitant de sa main libre pour titiller de nouveau mon clitoris. Le plaisir décupla très vite et accentua aussi des gémissements. Un orgasme d'une violence jamais atteinte ne tarda pas à naître. Il était très violent et très prolongé car il continuait ses caresses. Je dus mettre ma main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Quand enfin mon volcan intérieur fut éteint j'étais toute mole et à demi somnolente ! Mes cris avaient réveillé quelques voyeurs qui me regardaient d'un sourire béat. Mon sexe battait encore tant il avait été sollicité. Je réajustais ma culotte et mon chemisier non sans oublier d'essuyer le reste de sperme sur mon visage, dans mon décolleté et sur ma main qui avait étouffé mes cris. J'avais même pas honte et même j'étais fier que certains m'est vus. Nous avons terminé le voyage sans un mot, l'un contre l'autre. J'étais pour ma part fière d'être presque une femme car il ne m'avait pas encore dépucelée. L'accueil de quelques copines aux sourires révélateurs à la descente du bus me confirmait qu'elles avaient bien assistées à la scène. Je récupérais mes bagages, sous les regards curieux, en restant impassible. Je rejoignis ensuite mes copines pour faire un bout de chemin ensemble. J'évitais astucieusement toutes questions sur le sujet pendant le trajet. Leurs regards en disaient très long. J'en soupçonnais certaines d'avoir peut-être oublié de dormir pendant le voyage retour. |