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Maryaline
22 août 2014
Comme promis pour David.
J'étais attaché suspendue comme un vulgaire morceau de viande. Le temps me paraissait une éternité et même si je devais subir les pires outrages, j'étais impatiente de voir revenir mes tortionnaires.
J'entends la serrure fonctionner. Le chef de la bande s'avance vers moi et tout en me claquant une fesse, il me dit :
« Aujourd'hui, tu vas savoir ce que c'est d'être au service des hommes ! »
« Mais Monsieur, vous vous êtes déjà servi de moi et vous savez que je suis à votre disposition ! »
« Je n'ai pas dit que c'était nous qui te remplirions. »
Je pris peur et comprenais bien que j'allais être utilisée par tous le cailleras de la cité. Malgré tout je me sentais devenir humide. Tout en me détachant, il me dit :
« En attendant d'être le vide couille de la cité, tu vas me sucer. »
Je prends son sexe dans ma bouche et il me parla, en me regardant dans les yeux :
« Aujourd'hui, salope, tu vas passer la journée à sucer et à avaler du sperme. »
La journée ? Oh mon Dieu ? J'avais peur mais j'étais excitée. Mon corps appartenait à cette bande de jeunes. Et s'ils ont envie de me prêter bizarrement, j'en suis heureuse.
« Tu vas passer la journée à la cave. Tout à l'heure, nous avons distribué des flyers dans la cité. Je crois bien que tu ne vas pas t'ennuyer. Regarde, il est sypa ce flyer ! »
Il m'en tend un. Je frémis en voyant une photo de moi, en train de me faire mettre par tous les trous, avec la légende :
« Pipe gratuite. Maryaline vous attend. 10€ sa chatte et 20€ son cul. »
J'en ai le vertige. Combien seront-ils ?
Cette bande de petit voyous avait-elle vraiment l'intention de me livrer ainsi ou était ce juste une façon de me faire peur ? Comptait-elle vraiment me soumettre à une telle épreuve ? Il éjacule alors dans ma bouche de longues giclées crémeuses. Puis, tout à coup, il me glisse un crochet en métal dans l'anus.
« Allez pétasse en position de chienne. »
Il prend alors une barre d'écartement dans un coin de la cave, me l'attache aux chevilles, en m'écartant beaucoup les jambes, puis fixe cette barre aux anneaux dans le sol. Mes jambes sont écartées et ne peux serrer les genoux. Je me sens très vulnérable, dans cette position. L'idée d'être présentée ainsi à quiconque passerait était très très humiliante.
« Là, il y a une caméra. Tout sera diffusé sur le net en temps réel. Tu devras sucer tous ceux qui viendront te voir, et les laisser jouir où ils veulent. Tu ne dois jamais te cacher, ni te nettoyer, quoi qu'il arrive. Tu ne parles que si on te parle, et toujours avec respect. Tous ceux qui viendront t'utiliser valent mieux que toi. Aujourd'hui, tu n'es qu'une bouche, une chatte, un cul et tu vas nous rendre fier, putain. »
« Oui, Monsieur. »
Sur ces mots, il sort et ferme la porte, sans la verrouiller. Alors commença l'attente. Peut-être cinq minutes plus tard, je vois la porte qui s'ouvre. Je frissonne. Un homme d'une quarantaine d'années, en costume rentre.
« Maryaline j'imagine ? »
« Oui, monsieur, c'est moi. »
« Qu'est-ce que tu fais là ? »
Je suppose qu'il veut m'humilier un peu plus et me l'entendre dire. Je me sais épié et je veux passer cette épreuve.
« Je suis là pour sucer, monsieur. Voulez-vous que je vous suce ? »
Il sourit, s'avançe, ouvre sa braguette et me met son sexe sous le nez.
« Oui. Suce, vite. J'ai plus important à faire. »
J'ouvre la bouche et commence à le sucer. Je lui caresse les couilles, tout en allant et venant sur son sexe. Il ne tient pas longtemps. Il se retire et éjacule sur mes seins en disant :
« Voilà. Je voulais t'avoir pendant que tu es encore propre. Amuse-toi bien. »
Il prend mes cheveux, s'essuie dessus et repart. À nouveau seule, je commence à comprendre à quoi va ressembler le reste de la journée. Comment un homme peut-il arriver ici, me trouver attachée, offerte, nue, mouillée de sperme, et ne pas avoir envie de me souiller et à son tour, de m'humilier. Toute la journée, je vais subir différentes formes de sévices. Ce sera une journée épuisante. Mais en même temps, la situation m'excite, et mes pensées s'affolent.
La porte s'ouvre à nouveau. Le même genre d'homme entre, mais lui ne dit rien. Il a déjà le sexe en main et me le fourre dans la bouche. Son sexe assez long me pénètre jusque dans ma gorge, et il me laisse pas de temps en temps respirer. Très bientôt, ses saillies énergiques le font éjaculer dans ma gorge, et aussitôt il repart. Il ne m'a même pas regardée une seule fois. Il y en eut d'autres. Je ne les comptai plus. Ils jouirent sur mon visage, sur mes seins, souvent dans ma gorge. D'autres ayant payé me prennent par le cul et la chatte. Certains jouissent dans mes cheveux. Cela m'excite à chaque fois, et je pense que des internautes me voient subir tous ces outrages.
Un groupe de trois adolescents arrive en gloussant. L'un d'eux finit par trouver le courage de me toucher un sein. Il le pince et le tire, ce qui me fait gémir. J'ai les seins sensibles. Le garçon me lâche, et s'essuie la main dans mes cheveux. Je suis poissée de sperme. Encouragés par ma docilité, les deux autres sortent leurs sexes en même temps, et commencent à se masturber. L'un des trois dit :
« Le premier qui lui jute sur la bouche a gagné ! »
Je ne sais pas lequel c'était, mais ils y mettent du cœur. Je les entends haleter tous les trois, et tout à coup je reçois des giclées de sperme qui m'éclabousse le visage abondamment. Le premier ayant souillé ma figure crie :
« J'ai gagné !!!! »
Aussitôt un des deux autre, se place derrière moi et m'enfile sans autre précaution. Après deux trois vas et viens dans ma chatte, je sens son éjaculation puissante sur mes fesses. Sa semence coule sur jusque sur mes cuisses. Je rouvre les yeux et le dernier s'enfonce au fond de ma gorge pour se lâcher. Son sperme est si abondant que je m'en étouffe et j'ai des hoquets qui les font s'esclaffer de rire. Puis ils s'amusent à faire des selfy avec moi.
« On vas envoyer le mms aux copains en leurs donnant l'adresse de cette pute ! »
J'allais sans doute faire sensation ! Le dernier me pinça de nouveau durement les seins en riant de voir mes grimaces de douleur.
« La vache, quelle chienne ! »
Ils partirent sans fermer la porte. Si quelqu'un venait, mais pas pour moi... ce serait forcément un voisin. J'ai un peu peur que quelqu'un ne faisant pas partie du jeu me découvre. Je tends l'oreille. Des pas approchent. Je les trouve bizarres, mais je suis dans un état second pour réfléchir sereinement. Quand la personne s'arrête devant moi, je vois que c'est une femme. Elle reste là à me regarder, et je me vois dans ses yeux. Attachée, nue, éclaboussés de sperme. Je suis devenue une traînée pour le plaisir de ces jeunes salops mais malgré ma déchéance et ma honte mais j'y trouve aussi un certain plaisir malsain et une sorte de fierté. Je suis si obéissante que je n'ai pas hésité un seul instant à m'avilir de la sorte. Mais l'arrivée de cette femme me trouble. Certes, Je suis une salope, mais devant cette inconnue, je sens la honte me submerger. Puis elle se place face à moi avec un regard dur. Elle remonte sa jupe et me dévoile sa chatte touffue.
« Tu sais quoi, Maryaline ? Quand j'ai vu ça, je me suis dit que tu étais une pute vénale Mais là à te voire couverte de foutre, tu as l'air d'adorer çà. Alors quoi, tu aimes ça ? Tu aimes te faire décharger dessus par tout le monde ? Tu aimes être un vide couilles ? »
« Oui, madame. Je suis un trou à bite. »
« OK. Une petite chienne soumise, bien sage. Une qui mouille en étant humiliée. »
« Oui, madame. »
« Très bien. Alors voilà un ordre. Bouffe-moi la moule et tu as intérêt à bien me faire jouir salope. »
Tout en me parlant et en me traitant, elle plaque sa chatte poilue et trempée sur mon visage couvert de sperme.
Je la lèche et suce son clito de mon mieux. Mais, alors que je pense qu'elle va jouir, elle se recule.
« Maryaline, t'es sale, t'es couverte du foutre de je ne sais pas combien d'mecs. Lèches-moi le clito et fais-moi jouir, un point c'est tout. »
« Pardon Madame. »
En quelque léchouille, elle a un orgasme bruyant et fulgurant. Elle se remet de sa jouissance les jambes encore flageolante et en se rajustant :
« T'es une bonne salope ! Les mecs avaient raison, t'es bonne. »
Elle sort alors de son sac à main une pièce de deux euros et la laisse tomber devant moi en me regardant dans les yeux.
« T'es fière de faire ça ? Eh bien moi, je dis que tu es une pute à deux euros. »
Je suis stupéfaite. Cette pièce était encore plus humiliante que ce que je venais de subir. Je ne suis pas une prostituée. Là j'ai envie d'arrêter le jeu et je me mets à sangloter mais je ne peux partir car je suis entravée. Sachant qu'on m'observe derrière la caméra, je supplie mes geôliers. Plein d'image me traverse l'esprit. Oui, je suis une fille facile. Si facile que je suis gratuite pour tous ceux qui veulent se répandre en moi et sur moi. Mais cette pièce faisait une différence. A ces pensées, je sentis des fourmillements dans ma chatte. Je suis trempée et épuisée d'être si excitée. Je ne sais pas combien de temps a pu passer. Parfois, il y a une pause entre deux visites, et parfois les sexes s'enchaînent. A un moment trois hommes me prennent en même temps et lâchent leurs jus en moi. J'ai envie de vomir tant j'ai avalé de spermes différents. Je ne sens rien d'autre que du sperme et depuis des heures les queues se succédaient, les insultes, les pincements et les claques sur mes seins et mes fesses. Je suis folle d'excitation. Je veux qu'on me prenne, qu'on me doigte, qu'on me lèche, n'importe quoi ! Je suis le jouet sexuel, l'accessoires, comme la partie intégrante d'une panoplie de sexe shop mais version vivante.
Le dernier, sans doute rentré du travail, a un sifflement ironique en me voyant.
« Eh bien, Maryaline, on dirait que tu as été bien occupée. Combien d'hommes as-tu vidées ? »
« Je ne sais pas, Monsieur. Sans doute plus d'une trentaine. »
« Tu te rends compte qu'il y a des femmes qui ne se font pas sauter par autant d'homme en toute une vie ? Et toi, tu viens de vider les couilles d'autant de mecs en une journée et sans les connaître ! »
« Oui, Monsieur. Je suis une chienne en chaleur. »
« Eh bien jolie chienne, j'ai un os à te donner, tiens ! »
Il me tend sa queue, et pend ma bouche. J'ai mal à la mâchoire. Ma gorge est irritée. Mais je suis si excitée que je lui donne ma bouche comme je l'avais fait au début.
Il continue de me parler en activant les hanches :
« Lili m'a dit que tu léchais bien, aussi. Je connais des gens qui seraient très heureux de t'utiliser. »
Il retire son membre, et jouit dans mes cheveux. Le sperme coule sur mes paupières et mes joues.
« Je te laisse ma carte. Appelle moi quand tu voudras être saillie ! »
Et il colle sa carte sur mon front englué de sperme. La carte reste fixée là alors que du foutre coule sur mes lèvres.
Peu après, Mes lascars me rejoignent. Le chef de la bande met un miroir devant moi.
« Regarde-toi, Maryaline ! Regarde ce qu'ils ont vu, toute la journée ! »
C'est indescriptible. Mes cheveux sont collés, plaqués enduit de semence. Mes joues et le menton luisant de trainés blanchâtres. La carte de visite est restée collée sur le front. Je suis l'incarnation de la perversion. La première pensée qui me vient à l'esprit :
« Ça aurait pu être pire. J'en ai avalé beaucoup. »
Dans ma déchéance, je reste fascinée par mon image. Je réalise alors que c'était ce qui me permettait d'être moi, telle que je ne m'étais même jamais rêvée. Il faut que je leur dise :
« C'est vous qui m'avez fait tout cela. Merci. »
« Nous aussi on t'aime putain ! Maintenant, rentre chez toi et soit à notre disposition. »
Il passe derrière moi, me détache la barre de mes chevilles.
« Maryaline, tu sais combien d'hommes sont venus ici, aujourd'hui ? »
« Non, Monsieur ? »
« Ramasse ta pièce ! Tu l'as méritée. Vingt-huit mecs et une meuf. »
Je me lève péniblement. Une fois debout, Le chef de la bande passe sa main sur ma chatte. Je glapis, et commence à remuer les hanches sur sa main.
« Ne bouge pas, chienne. J'vois que tu t'es bien amusée. T'es trempée. J'ai une bonne nouvelle pour toi, dans ce cas. »
Mes trois lascars me prirent une dernière fois et j'eu un orgasme fulgurant quand ils se vidèrent en moi. Sans pouvoir me nettoyer, J'ai remis mes vêtements et je suis rentrée chez moi épuisée mais fière de ce que je venais de vivre. Après une bonne douche, je m'écroule sur mon lit morte de fatigue et la tête pleine de rêve.


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