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Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - Episode 7 Le samedi, Boris était contrarié. Son équipe n'avait fait que match nul. Il partait avec Guillaume pour la capitale voir son frère qui habitait la région parisienne. Alexa et Julie étaient parties de la veille. Elles s'absentaient le temps d'un week-end pour faire les vendanges et ramener un peu de blé. Sandrine et Pierre étaient toujours absens pour un enterrement prolongé qui réunissait toute sa famille. Au loft, il ne restait qu'Aurélie, Cédric et Stéphanie. Stéphanie connaissant Aurélie et Cédric, s'imaginait bien terminé la soirée par un jeu coquin à trois. ![]() Dans l'après-midi, Stéphanie proposait d'aller faire les musées de la ville et du lèche vitrine. Cédric refusa, regardant une rencontre de rugby à la télévision. Aurélie accepta et les deux filles se retouvaient bras dessus, bras dessous. Aurélie ne s'était pas cassé la tête pour s'habiller. Jeans moule fesses qui mettait en valeurs son joli petit cul et un débardeur rose qui mettait en valeur ses seins. ![]() images similaires Stéphanie avait opté pour une tenue encore plus féminine, avec un jupe et un chemisier violet. ![]() images similaires Il y avait foule, la journée était belle, les gens sortaient.Les deux filles visitèrent deux musées. Il faisait chaud. Ensuite, les deux filles firent les grands magasins surchargés de clientèle. Elles essayaient des chapeaux, des lunettes de soleil en faisant les folles. Des mecs les draguaient ou encore les frôlaient. Ils profitaient du monde, de la cohue pour toucher un sein ou peloter le cul. Plus d'une fois Aurélie et Stéphanie, les laissaient faire.Dans un magasin, Stéphanie trouva son bonheur, un maillot de bain deux pièces, très sexy. Stéphanie l'essaya. Il lui allait comme un gant et mettait en avant ses seins ![]() images similaires Aurélie rentra dans la cabine et complimenta Stéphanie. Elle se colla même à elle, et enroula ses bras autour de sa taille. Sa bouche, collée à l'oreille de Stéphanie, proposa de prendre du plaisir. Les lèvres chaudes d'Aurélie s'accolèrent à celles de Stéphanie pour un baiser puis un long jeu de langue. ![]() Les doigts d'Aurélie fouillaient la moule de Stéphanie, lui cajolaient le bourgeon. Ils faisaient rouler la petite bille de son sein qui durcissait. Le visage de Stéphanie reflétait le plaisir, ses lèvres étaient humides, ses yeux scintillaient de désir. Une fine couche de transpiration faisait briller son corps ; Son ventre allait au contact des doigts qui la sondaient. Des spasmes la firent trembler. Un long gémissement retenu et la délicieuse béatitude voluptueuse. ![]() Les deux filles rentrèrent à vingt heures après avoir bus un verre ou deux en terrasse. Il fallait profiter. de l‘été indien. Le diner était simple, pas de cuisine, pas de vaisselle. À chacun sa pizza amené par un livreur et un stock de rosé bien frais qui rafraichissait au fraiseur. Soirée télé, une comédie légère et dans la foulée un film d'horreur. Aurélie avait les chocottes et se blottissait contre Stéphanie. Cédric était en culotte, les pieds sur la table basse du salon avec un main un grand bol de glace chocolat. ![]() images similaires Les deux filles décidèrent de se faire une matinée piscine, le lendemain en y allant dès huit heures. Sur cela, elles allèrent se coucher. Nue et simplement couverte d'un drap, Stéphanie s'attendait à ce que Magali vienne la rejoindre pour réclamer ce qu'elle lui'avait accordée dans l'après midi. Au fond d'elle, ça ne la déplaisaistpas. Là, elle ne pouvait pas le nier. En moins de quinze jours, elle était devenue complètement bi. Elle assumait à fond sa sexualité. ![]() images similaires Il faut dire qu'au loft, il fallait assurer. Tout le monde baisait avec tout le monde. Dans cette sexualité débridée, Stéphanie y trouvais son compte et d'une certaine manière ne se reconnaissait plus. Peut être que son tempérament s'affirmait ? Toujours est il qu'elle était très contente de vivre ici. Un petit moment qu'elle était dans son lit et toujours pas d'Aurélie Stéphanie hésitait à aller la rejoindre mais y renonçait. Il n'était pas question de provoquer, de l'allumer et surtout, elle ne voulait pas d'histoire avec Julie. Finalement, sans réellement s'en rendre compte, elle tombait dans les bras de Morphée. ![]() images similaires Stéphanie fût réveillé dans la nuit par une sensation agréable, bien plus, un ballet de caresse sur son corps. Les doigts effleuraient son ventre, ils cajolaient ses seins, ils étreignaient ses cuisses, ils frôlaient son pubis. Aurélie était vraiment une petite coquine. Stéphanie lui ouvrait le compas de ses cuisses. Aussitôt ses doigts s'y faufilèrent de touches et de frôlements. À cet instant, la bouche s'y planqua pour boire à sa source qui s'écoulait et lécher son bouton qui dardait. Stéphanie se laissait manger, sans rien entreprendre, les bras ballants. ![]() images similaires Aurélie était une bonne lécheuse, sa langue était un délice. Stéphanie ne pouvait que frémir et l'encourager de ronronnement. Inexorablement, la jouissance montait. Aurélie était une diablesse. À chaque fois qu'elle sentait que Stéphanie allait crier, elle s'arrêtait, elle coupait son orgasme pour mieux y revenir. Cette fille était un monstre. ![]() images similaires D'un coup, elle se retira pour se redresser. Là, StéphaniecompriT à l'ombre qui tranchait l'obscurité que ce n'était pas Aurélie qui venait de la lécher, mais qu'il s'agissait de Cédric. ![]() Il remonta sur elle sans la toucher, il prit sa bouche d'un baiser. ![]() images similaires La main de Stéphanie fila dans l'ouverture pour capter sa queue. Elle s'en saisissait, elle était dure. Plus ou moins, elle l'estimait en la branlant doucement. Pas très longue, elle était plus que ronde. Bel engin que voilà qui allait entrer en elle. ![]() images similaires Cédric avait tellement chauffé Stéphanie qu'elle n'avait pas besoin d'autres préliminaires. Elle plaçait elle-même sa bite à l'orée de son sexe. Il n'avait plus qu'à s'enfoncer. Il le fit en douceur, d'une seule traite, jusqu'à ce que ses couilles s'écrase sur ses fesses. Elle l'accueillait d'un râle de satisfaction en suçotant sa langue. Il se mit en action, la travailla d'allers retours vivaces. De temps en temps il s'arrêtait, coulissait doucement, pour mieux reprendre d'ardeur. Sa queue était bonne ouvrière, consciencieuse, souvent nerveuse, parfois nonchalante. Elle n'était que contraste. Il la limait bien. À force de secousses, d'empalements, de glissements, Stéphanie n'était plus qu'un sexe qui réagissait à chaque envahissement. Cédric était calculateur, il connaissait bien les femmes. Il innonda Stéphanie de sa fièvre au pic de sa jouissance. ![]() images similaires Stéphanie était heureuse de percevoir sa queue palpiter en elle. En quinze jours de présence au loft, elle avait couché avec les trois colocataires mâles, sans compter qu'elle avait sucé le petit dernier, plus des actes libidineux avec Julie et Aurélie, à y ajouter Erwan, l'ami de Patrick dont elle n'avait aucune nouvelle. Sans aucun doute, elle s‘émancipait. Elle n'en était pas spécialement fière, ni honteuse non plus. Elle vivait sa vie au jour le jour comme elle venait en prenant le bon qui s‘y trouvait. Cédric venait de partir après un dernier baiser. Stéphanie aurait aimé qu'il reste, qu'il dorme avec elle. Elle aurait aimé se pelotonner dans ses bras et sommeiller contre sa chaleur d‘homme, sa main dans son dos. ![]() images similaires Quelle ne fut pas sa surprise quand elle entendit des chuchotements. Elle jouait aux grandes oreilles pour tenter d'entendre. Cédric avait la santé. Après Stéphanie, il remettait le couvert, il se tapait Aurélie. Stéphanie ne lui en voulait même pas. Elle entendait le matelas grincer, les gémissements d'Aurélie, la respiration de Cédric. Non, pas possible de trouver le sommeil. Une heure entière à limer et enfin des râles de délivrance. Il était deux heures du matin. Stéphanie avait de nouveau grave envie de baiser. ![]() images similaires À deux heures trente, Cédric était de nouveau dans la chambre de Stéphanie, plongée dans son intimité à se fendre. Elle laissait parler les sensations que Cédric lui occasionnait. Aurélie devait entendre. ![]() Trois heures du mat. Cédric quitta la chambre de Stéphanie pour immédiatement retourner chez Aurélie. Stéphanie entendait encore des voix et des chuchotements. A un moment, Aurélie cria à Stéphanie de venir les rejoindre. Quand elle arriva dans la chambre, Aurélie suçait la bite de Cédric. ![]() images similaires Lorsque Aurélie vit Stéphanie, elle se délesta du gland orgueilleux qu'elle pompait et appela la jolie brune qui ne se fit pas prier pour aller les retrouver à deux langues baveuses sur le gros dard dressé. Là chacune d'elle démontra ses compétences à sucer une bonne queue. ![]() images similaires Les galipettes n'étaient pas terminées Cédric répondait présent d'un levé de bâton lorsque pour le stimuler les deux filles lui offrirent un soixante-neuf entre filles. Aurélie était à plat dos, le visage de Stéphanie soudé à son clitoris. ![]() images similaires Les deux filles échangèrent leurs positions. Cédric prit alors les devants et s'allongea sur le dos. Aurélie monta à califourchon dessus. Cédric l'embrocha. Le plaisir de Stéphanie était immense d'autant plus que Cédric invita Stéphanie à se poser sur sa tête et entreprit de lui lécher le minou. ![]() images similaires Ensuite, Stéphanie fît un petit cunni à Aurélie tandis que Cédric l'a prenait en levrette. ![]() images similaires Après cette séance torride, c'est d'une faciale que Cédric lança ses derniers flots en souillant de ses salves les beaux minois des deux jeunes filles, heureuses de cette nuit. ![]() images similaires Après cette nuit de baise mémorable, il était temps de dormir. Il était quatre heures du matin. La nuit serait courte avec trois heures de sommeil. Stéphanie restait dans le lit d'Aurélie, pour entrelacées y faire sa nuit. |