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Pause sandwiches

Geom9669
7 octobre 2014
Pause sandwiches

Je mets la clé de contact dans le démarrer. Le moteur démarre. Je respire l'odeur de chatte qui persiste sur mes doigts. Je sais que ma barbe a la même odeur. Envoutante. Je me redirige vers mon bureau. Je suis à peine ennuyé d'encore devoir serrer des mains en rentrant. L'odeur de mes doigts se déposera - un peu - sur des mains indignes de recevoir l'odeur du sexe de Valérie. Mais - si la théorie des phéromones est exacte - mes collègues sauront inconsciemment que lorsqu'ils vont manger leur plat du jour, je vais passer deux heures de jouissance infinie. Lorsqu'ils reviennent un peu lourd des plats en sauce, je rayonne d'energie sexuelle. J'imagine que les femmes du bureau se doutent quelque peu de l'odeur de sexe brut qui se dégage de moi. La douche coquine n'y a rien changé et Valérie m'accompagne et son parfum suave m"entoure en une aura qui rend jaloux les hommes et attire les femmes que je croiserai cet après-midi...
Valérie, pendant un heure j'ai léché les moindres replis de ton entrejambe. Je t'ai fait jouir du cul quand mes collègues mangeaient leur oeuf mayonnaise. Ils léchaient une glace, je léchais ton clitoris. Ils aspiraient les pâtes molles, tu me suçais la bite comme une forcénée.
Pendant qu'ils passaient leur badge à la pointeuse, je pointais ma queue à l'intérieur de ta chatte. Dans le miroir de la chambre qui cache nos ébats, je vois nos corps se tendre, nos muscles se bander quand, à force de te défoncer par la porte de service, l'un et l'autre nous allons jouir.

Rentré au bureau, je m'enferme, et je repense à toi. Mon sexe, encore épuisé de nos échanges vigoureux, frémit lorsque je repense à toi. Je glisse la main dans la poche et je sens ta culotte sous mes doigts. Coquine, tu l'as laissée dans ma poche en espérant qu'elle tombe pendant la pause café. Je la prends en main et la porte à mon visage pour sentir ton oderu qui me manquera jusque demain...

Ce soir je renterai chez moi. Là, ma bite ne sert qu'à pisser. Elle se trainera misérablement dans le lit conjugal.
Demain midi, elle se révèlera comme chaque midi dans toute sa vigueur. Héroïne des rendez-vous furtifs de la mi-journée, ma bite recommencera à te faire jouir Valérie...et ma langue telle un serpent se tordant, explorera ton intimité si accueillante.
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Chaque jour, je regarde des tes seins pendre magnifiquement lorsque tu es assise sur ma bouche et que j'embrasse ta magnifique vulve.

Lorsqu'épuisée par de tels assaut, tu demanderas grâce, je te demanderai, Valérie, de me faire connaître ton amie Alexandra pour que nous puissons nous enfoncer encore plus dans le sexe et les jeux sensuels.

Pause sandwiches

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