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Lisa
4 novembre 2014
#2 Défaut de confidentialité

Le client suivant que fait rentrer Simon dans mon bureau est une splendide jeune femme blonde à la poitrine généreuse et habillée, comme moi, d'une robe noire très sexy. Quand Simon referma la porte après m'avoir fait un petit clin d'œil, je l'invitai à s'asseoir. Elle resta debout et je compris à son air renfrognée qu'elle n'était, elle non plus, pas satisfaite des services de notre banque.
- Je suis furieuse !
- Expliquez-moi ça...
- Nous avons des comptes séparés mon mari et moi. Mais il a réussi à aller consulter mes comptes pour chercher des preuves que je le trompais.
- Madame, il me semble que c'est un problème d'ordre privé et que ça ne regarde aucunement la banque.
- Au contraire ! Il a obtenu l'accès en téléphonant à l'agence et en demandant d'initialiser le mot de passe et comme il accède à ma messagerie, il n'a eut aucun mal à exploiter le mail d'initialisation de mot de passe. Vous n'auriez jamais dû répondre à cette demande puisque ce compte ne le concernait pas !
Je compris que Simon avait fait une bourde et qu'il avait mis cette dame dans une situation délicate. Pas étonnant qu'elle soit furieuse...


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- Ecoutez, je comprends votre problème et je pense qu'il y a effectivement eu une faute de notre part. Mais maintenant, le mal est fait... Que pouvons-nous faire pour vous faire oublier ce préjudice ?
- Déjà, je veux voir le responsable de cette erreur.
- Il s'agit du directeur, mon mari. Celui qui vous a accueillie à l'instant.
- Votre mari ? Tiens, tiens... très intéressant. Vous savez qu'il n'a pas arrêté de mater dans mon décolleté avant de m'introduire dans votre bureau ?
- Il faut dire que vous n'avez pas de soutien-gorge et qu'il y est assez sensible...
- Est-ce que ça se voit tant que ça ?
En posant la question, la coquine tira sur les bretelles de sa robe et écarta le décolleté. Je pouvais presque voir ses mamelons.


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Je lui répondis :
- Oui, avec une poitrine comme la vôtre, ça ne passe pas inaperçu...
- Et je vois que vous êtes soumise à votre mari puisque vous n'en portez pas non plus.
- Oh, c'est aussi un choix personnel.
Moi aussi je tirai sur mon décolleté et dégageai complètement un sein.


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Ma cliente ne fut pas insensible à ma petite exhibition :
- Mmm, vous avez une belle poitrine. Votre mari doit apprécier.
- Je suis certaine qu'il apprécierait aussi la vôtre.
- Vous croyez ? Appelez-le, on va lui demander.
La fille fit glisser la robe sur ses hanches, dévoilant totalement sa magnifique poitrine et me laissant deviner, à son aine nue, que, tout comme moi, elle ne portait pas de culotte.


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Je pris le téléphone et demandai sobrement à Simon de venir nous rejoindre :
- Tu peux venir dans mon bureau ?
- Je suis avec un client, là...
- Ce ne sera pas long, fais-le patienter et viens tout de suite.
Il ne posa pas de question et arriva dans la minute. Avant qu'il n'arrive, je dégageai moi aussi mes seins. Il afficha un large sourire en nous découvrant toutes les deux dépoitraillées de chaque côté du bureau.
- Mon dieu ! Qu'est-ce qui se passe ici ?
- On voudrait que tu nous dises laquelle de nos deux poitrines t'excite le plus...


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Simon resta quelques secondes sans rien dire, regardant alternativement mes seins et ceux de ma cliente.
- Je ne sais pas... C'est difficile. Vous êtes toutes les deux magnifiques...
- C'est trop facile ! Décidez-vous, exhorte ma cliente.
Elle a définitivement retiré sa robe et se tient dans une position très sexy.


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Simon finit par répondre :
- Je crois que c'est l'attrait de la nouveauté, mais je trouve vos seins vraiment magnifiques, mademoiselle.
- Madame ! Et j'ai un compte à régler avec vous puisque vous avez donné les codes d'accès de mon compte personnel à mon mari.
- Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir, madame.
- Bien. Pour votre peine, vous allez devoir donner du plaisir.
Elle vint me rejoindre, acheva de me retirer ma robe et me fit tourner le dos à Simon en lui montrant mes fesses, avant de continuer :
- Vous connaissez bien ce cul-là ?


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Simon était un peu décontenancé par la question :
- Heu, oui plutôt bien... Pourquoi ?
- Parce que je vous propose d'en essayer un autre...
Je n'allais pas lui dire que Simon avait une longue liste d'autres culs que le mien à son actif, mais je préférais ne rien dire et lui laisser croire qu'elle allait l'obliger à me tromper sous mes yeux. Elle se mit à quatre pattes et ordonna :
- Mettez-vous nu !


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Simon ne perdit pas de temps et fut débarrassé de ses vêtements en quelques secondes. Il n'avait pas besoin de davantage de stimulation et affichait fièrement une érection prête à l'emploi. Tout en tendant son cul vers lui, la jeune femme ordonna :
- Vous allez me prendre comme si j'étais votre secrétaire.


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Je me remis à mon bureau et admirai mon mari approcher son érection du cul de ma cliente. Le connaissant, je savais qu'il allait d'abord investir sa chatte et la baiser avant de la sodomiser. C'était un vrai plaisir de pouvoir profiter de ce spectacle en restant à mon bureau.


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La bite de Simon trouva son chemin rapidement. La cochonne devait mouiller abondamment et entra son gros dard sans peine. Elle se mit aussitôt à gémir alors qu'il commençait à aller et venir en elle.


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Ma cliente semblait heureuse de se faire baiser. J'admirais ses seins ballotter entre ses bras au rythme des coups de reins de Simon. Comme elle faisait face aux stores de la grande bais vitrée qui étaient heureusement fermés, j'eus envie de lui faire un mauvais coup et d'actionner l'interrupteur pour les ouvrir pour que les passants dans la rue puisse profiter eux aussi du spectacle. Mais sa réaction aurait peut-être alors privé Simon d'une bien sympathique opportunité.


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Elle gémissait de plus en plus fort et se cambrait pour venir au devant des pénétrations de Simon. Il semblait lui aussi prendre un pied d'enfer.


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Soudain, elle se mit à crier son plaisir, terrasser par l'orgasme. Au milieu de gémissements stridents, elle susurra des insanités peu courantes dans une banque :
- Oh oui, vas-y ! Baise-moi ! Va au fond !


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Je mouillais à la voir jouir ainsi, mais je fus un peu frustrée que ça ai été si vite. J'exprimai ma déception :
- C'est dommage, il m'avait semblé que vous vouliez que ce soit votre cul que mon patron investisse... Vous avez joui trop vite car je suis certain qu'il vous aurait donné du plaisir aussi par là...
La fille me regarda en reprenant son souffle et puis murmura :
- Je n'en ai pas fini avec lui.
J'imaginai déjà la suite et je me mordis les lèvres en voyant la grosse bite de Simon s'extraire lentement du sexe de ma cliente.


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Elle lui tendit aussi son cul. La queue de mon mari était plein de sa cyprine et, ainsi bien lubrifiée, elle n'eut pas trop de difficultés pour se faire sa place dans le petit trou. La jeune femme reprenait déjà ses gémissements.


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Simon fit entrer son dard millimètre par millimètre alors que la fille écartait ses fesses pour lui en faciliter l'accès. Quand il faut tout au fond et que ses couilles cognèrent contre le sexe dégoulinant de ma cliente, il se redressa et se plaça au-dessus d'elle pour mieux la pilonner.


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Elle ne fut pas déçue et rapidement, ses gémissements se transformèrent en cris. Elle ne balbutiait des choses incompréhensibles, ne pouvant plus articuler le moindre mot. L'orgasme, violent, lui secoua tout le corps et je voyais sa moule laisser s'échapper encore et encore de la cyprine, comme si elle éjaculait elle-aussi. Elle resserra soudain ses cuisses, pour empêcher Simon de continuer à la pilonner. Coincé au fond d'elle, il subit les dernières décharges de l'orgasme qui déclenchèrent son éjaculation.


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Je vis ses yeux se révulser et je voyais ses couilles se contracter. Il se déversait en elle, le souffle court. Je pris conscience que depuis plusieurs minutes, la main entre mes cuisses, je me masturbais sans la moindre pudeur. Tout cela me fit fondre et j'eus moi aussi un orgasme.


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Simon abandonna la jeune femme et commença à se rhabiller, en disant :
- J'espère, madame, que nous avons réparé le litige que vous étiez venu régler.
La jeune femme se redressa et lui fit signe positivement de la tête.
Simon continua :
- En revanche, je vous conseille de vous rhabiller toutes les deux car je pense que le client qui attend dans mon bureau n'est autre que votre mari, madame.
Elle sourit, manifestement satisfaite de l'avoir trompé presque sous ses yeux. Puis elle se releva et attrapa sa robe. Avant de la renfiler, elle vint le rejoindre et m'embrassa avec passion.



- Je suis bien contente qu'on ait pu régler cette histoire.
- Madame, c'est le rôle de notre agence de servir au mieux tous nos clients.
J'avais à peine achevé de remettre ma robe que le téléphone sonna. C'était Simon :
- On a un problème... J'avais laissé la vidéosurveillance de ton bureau affichée sur mon écran. Le mari impatient a fait le tour de mon bureau et l'a découvert. Il a sûrement vu les dix dernières minutes et il est furieux. Il arrive pour avoir une explication.
Je raccrochai alors qu'on frappait violemment à la porte.


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