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L'enlèvement 4 - Deux filles soumises Jean-François nous proposa d'aller manger. Chloé demanda à ce que l'on puisse se doucher avant. Jean-François accepta mais ne vint pas pour nous regarder, ce qui me surprit un peu. Il devait vouloir nous laisser un peu d'intimité entre filles. Chloé me fit mettre à quatre pattes pour me savonner les fesses. ![]() images similaires Il y eut bien sûr quelques attouchements, quelques caresses, un ou deux doigts à se perdre dans mon sexe et je rendis bien ses gentillesses à ma copine. Mais aucune de nous deux n'amena l'autre jusqu'à l'orgasme, un peu comme si un accord était passé pour que nos orgasmes ne nous soient donnés que par Jean-François. Comme pour nos ablutions, nous nous séchâmes l'une l'autre et Jean-François vint nous chercher à ce moment-là pour aller manger. ![]() - Laissez vos peignoirs ici, je veux vous voir nues pendant le dîner. Nous nous installâmes donc à table en tenue d'Eve. Notre hôte passait beaucoup de temps à observer nos poitrines et cela semblait le mettre en émoi. - Vous êtes toutes les deux délicieusement bandantes. - Nous sommes nues et pas vous, donc il est difficile de voir à quel point on vous excite. Jean-François se leva et baissa son pantalon pour nous montrer sa fière érection : - Et vous, les filles, ça vous excite de manger nues ? Chloé éloigna un peu sa chaise et releva ses jambes pour montrer à Jean-François sa fente humide. ![]() Le repas était terminé. Notre hôte nous demanda de débarrasser la table puis de le rejoindre dans notre chambre. On s'exécuta sans discuter et on ne perdit pas de temps à ranger la cuisine, tant nous avions hâte l'une comme l'autre de rejoindre notre maître. Chloé me précéda et arriva la première dans l'embrasure de la porte. - Stop ! La voix de Jean-François lui intimait de s'arrêter. - Tu es superbe Chloé. - Qu'est-ce qui se passe ? demandai-je. - Lisa, reste dans le couloir derrière Chloé et ne cherche pas à voir ce qui se passe. Chloé va te décrire la situation. - Heu... Il est nu. Il bande. Il se masturbe en me regardant. Je crois qu'il regarde surtout mes seins. ![]() images similaires Les mots de Chloé m'excitait et je mourrais d'envie de rentrer dans la chambre pour voir ça. Mais Jean-François dut sentir que je trépignais et nous autorisa enfin à le rejoindre : - Allez... Vous pouvez entrer. Je le découvris tel que Chloé me l'avait décrit. ![]() images similaires - Chloé, il me semble que c'est ton tour... Chloé s'approcha et écouta la suite des instructions : - Dis-moi que tu as envie de chevaucher cette magnifique bite. - J'ai vraiment envie de chevaucher votre queue, Jean-François. - Parfait ! Viens prendre place. Chloé monta sur le lit et se mit un pied de chaque côté de notre hôte, tout en me regardant. Puis elle plia lentement les genoux et vint positionner son sexe juste au-dessus du gland brillant. Jean-François donna un coup de rein et planta son gland dans la moule de Chloé. ![]() images similaires Il était déjà bien gros et Chloé eut un moment d'arrêt avant de continuer à descendre. Le gémissement qu'elle avait poussé montrait qu'elle allait certainement jouir très vite. Elle continua à plier les genoux et s'enfonça la queue de son amant de plus en plus loin. Jean-François la tenait sous les fesses pour qu'elle ne risque pas de descendre trop vite. ![]() images similaires Derrière Chloé, j'entendis la voix virile de Jean-François : - Lisa, tu aimes me voir baiser ta copine ? - Oh oui... Je mouille. - Tu mouille beaucoup ? - Assez oui... - Dans ce cas, laisse Chloé goûter à ta cyprine. Il fit basculer Chloé sur lui pour qu'elle soit allongée, tout en continuant à lui faire lentement l'amour. Je montai sur le lit et je vins positionner ma moule dégoulinante au-dessus de la bouche de ma copine. Celle-ci ne se fit pas prier pour me déguster la chatte et boire mon jus. Ses petits coups de langues commençaient à me faire un sacré effet. ![]() images similaires Les instructions suivantes de notre maître ne tardèrent pas : - Lisa, tu aimerais goûter à la cyprine de Chloé ? - Oh oui... - Dans ce cas, viens entre nos cuisses. Je redescendis pour venir prendre position et Jean-François en profita pour se retirer de Chloé et libérer sa moule béante. Je penchai pour lécher son jus quand l'ordre se fit plus précis : - Mais tu vas goûter à son jus directement sur ma bite ! C'était bien là la perversité de notre hôte. Cela me convenait tout à fait et je me mis à sucer sa grosse queue toute luisante du jus de ma copine. ![]() images similaires Il me retira sa bite soudainement pour se replonger dans le sexe de Chloé qui l'attendait durant tout ce temps. J'eus d'autres instructions : - Lisa, profite de ta position pour continuer à me lécher les couilles et la bite mais aussi le clito de Chloé. Je suis certain que ça va lui plaire. Je me mis à la tâche, suçant tour à tour les bourses de notre agresseur, sa queue palpitante pleine de la mouille de ma copine. Quand ma langue remontait jusqu'à son clitoris tendu, elle gémissait encore plus fort en se contractant. ![]() images similaires Chloé finit par avoir un orgasme et son bassin secoué par les spasmes du plaisir déclencha l'éjaculation de Jean-François. Je vis sa bite se contracter et commencer à se déverser en Chloé, mais il donna un petit coup de reins en arrière pour se dégager et son sexe se retrouva à l'air à faire jaillir encore quelques jets de sperme épais qui vinrent s'écraser sur la moule de Chloé. Il m'ordonna de le nettoyer : - Vas-y Lisa, fait en sorte que ça brille. ![]() Quand j'eux bien sucer sa queue pour le nettoyer complètement, je n'eux pas à attendre ses directives pour m'atteler à ma tâche suivante : nettoyer également la moule de ma copine. Je me mis donc à lui lécher tout le sperme qui maculait son entrejambe, l'avalant au fur et à mesure sous le regard satisfait de notre hôte. Quand j'eux fini, je pris quand même un peu de temps pour plonger ma langue entre les lèvres gonflées qui s'offraient à moi et titiller encore le petit clitoris que je devinais toujours très sensible. ![]() images similaires Nous étions toutes les deux épuisées par cette première journée et je ne me rendis même pas compte que Jean-François quittait la pièce. C'est quand Chloé vint se lover contre moi pour dormir que je pris conscience que notre kidnappeur était allé se coucher. Je me suis endormie, un peu frustrée mais avec l'espoir que Jean-François revienne pendant la nuit pour venir m'honorer. Mais il n'en fit rien et c'est Chloé qui me réveilla le lendemain matin. Elle était penchée sur moi. Je sentais ses seins contre mon épaule et, voyant que je me réveillais, elle avança ses lèvres vers les miennes. ![]() images similaires Je répondis à son baiser avec passion, trop heureuse d'avoir un réveil aussi doux. Sa main commença à courir sur mes seins, puis à descendre sur mon ventre. Sans détacher sa bouche de la mienne elle fit pénétrer son majeur dans ma fente et commença à me masturber. ![]() images similaires Je commençai à être bien et j'avais très envie de jouir, mais Chloé s'arrêta soudain : - Non, ce n'est pas bien ! Je ne comprenais pas son revirement et elle dut lire la surprise sur mon visage car elle ajouta : - Tu ne crois pas qu'il faut que tu te réserves pour notre agresseur ? - Tu t'es sentie agressée, toi ? - Non, bien sûr. C'est façon de parler... Mais tu ne crois pas qu'il vaut mieux que tu te tiennes prête s'il arrive ? - Oui, tu as raison, préparons-nous ! Par jeu, nous nous installâmes à quatre pattes sur le lit, nos culs tournés vers la porte. ![]() images similaires Chloé semblait aussi excitée que moi et elle avança sa bouche vers moi pour m'embrasser. Nous n'eûmes pas le temps d'échanger un nouveau baiser car la porte s'ouvrit et Jean-François apparut, en peignoir. Il rigola en nous voyant : - Mesdemoiselles ?! J'espère que je ne vous fait pas attendre depuis trop longtemps... Il ouvrit son peignoir et exhiba son sexe déjà bien raide. Chloé et moi rigolions de ce concours de circonstance. ![]() images similaires - Bien, Chloé, tu vas te lever et me raconter ce que vous avez fait cette nuit. - Monsieur, nous avons surtout dormi. J'ai réveillé Lisa en l'embrassant et je l'ai un peu caressée. - Elle a joui ? - Non, nous voulions vous laissez ce plaisir. - Et c'est une bonne décision car quand je vois ton cul Lisa, je me dis que c'est un lieu idéal pour échanger du plaisir. ![]() images similaires Jean-François admirait mon cul et se débarrassa de son peignoir: - Chloé, tu vas lui lécher un peu la chatte pour la préparer. Et comme ça tu pourras aussi te rendre compte de l'état dans lequel tu l'as déjà mise... Je n'attendis pas deux secondes après la fin de la phrase de Jean-François avant de sentir le langue de ma copine venir glisser sur ma fente humide. ![]() images similaires Il nous laissa une ou deux minutes, histoire de bien me chauffer, avant de demander à Chloé de s'écarter pour lui laisser la place. Je m'attendais à ce qu'il guide aussitôt sa bite dans ma moule mais il eut d'autres considérations : - Mmmm, tu as un cul magnifique Lisa. Le choix est difficile... - Le choix ? - Oui, entre ta moule dégoulinante ou ton petit anus serré. Il glissa une main sous moi et glissa un doigt entre les lèvres de ma moule tandis qu'il m'arracha un petit cri de surprise en m'enfonçant deux doigts dans le cul. Il me branlait tout doucement et s'était délicieux. ![]() images similaires Quand il retira ses doigts, ce fut pour m'écarter les fesses à deux mains. Je sentis alors sa langue venir me lécher la moule et remonter inexorablement jusqu'à mon petit trou. Je frétillais de plaisir et je gémissais à chaque coup de langue qu'il donnait contre mon anus. ![]() Puis, il se mit à me branler avec trois doigts. Je sentais la mouille qui s'écoulait de ma chatte et je craignais que Jean-François ne me donne un orgasme ainsi. Je me concentrai pour ne pas succomber au plaisir et lui intimai de me prendre rapidement. - Jean-François, baisez-moi maintenant ! Je vous veux en moi, par pitié ! ![]() images similaires Jean-François s'écarta une seconde. Il bandait comme un taureau en rut et admirait la cyprine qui perlait sur les lèvres de ma moule. Il prit comme un élan pour se positionner derrière moi et donna un coup de reins pour enfoncer d'un seul coup toute la longueur de sa tige en moi. Cela m'arracha un cri de plaisir intense et je crus que j'allais succomber à l'orgasme. Mais je réussis à me contrôler et mon amant put commencer à me baiser. ![]() images similaires Je le sentais cambré, le torse en arrière pour admirer sa queue entrer et sortir de mon ventre. A côté de moi, Chloé semblait fascinée. Elle s'était assise sur l'autre lit et se caressait machinalement. Moi aussi, j'aurais bien voulu voir cela. Mais le plaisir de le sentir était déjà énorme et je me dis que cela était certainement mieux que de le voir. ![]() images similaires Jean-François savait y faire. C'était un baiseur né et il semblait bien connaître le plaisir des femmes. A chaque fois qu'il sentait que l'orgasme risquait de me gagner, il changeait de rythme, ou s'arrêtait quelques secondes et en profitait pour le caresser les seins. Puis, il reprenait sa folle chevauchée, à chaque fois un peu plus intense, m'arrachant de cris de moins en moins humains. ![]() images similaires Quand je le sentis sortir enfin de ma chatte, je me dis "Enfin, il va me sodomiser !". Il attendit. Je tournai la tête pour essayer de comprendre pourquoi et je vis juste qu'il admirait mon cul et souriait, amusé de me voir impatiente : - Dis-moi ce que tu veux. - Je veux que vous m'enculiez, que vous me défonciez la rondelle. - Ton souhait va être exhaussé. Et il appuya son gland contre mon petit trou. Me saisissant aux bras pour me maintenir fermement, il me pénétra en faisant entrer sa grosse queue dans mon petit cul avec une lenteur extrême. ![]() images similaires Je ne pouvais plus me retenir de hurler et l'orgasme n'avait plus qu'à venir car je n'étais plus du tout en état de le contenir. Une fois emmanché en moi jusqu'à ce que je sente ses couilles contre ma moule, Jean-François se redressa et commença à me pilonner. Il me limait tant et si bien le cul que je sentais ma moule béante qui laissait échapper un flot de cyprine à chaque assaut de mon amant. ![]() images similaires J'étais affalée sur le lit à me faire pilonner le cul et à hurler quand j'entendis la voix de Chloé : - Cambre-toi ! Mets ton cul en l'air pour que ce soit meilleur... Je n'eus pas le temps de mettre en pratique le conseil de ma copine que je sentis les mains de Jean-François me saisir sous la taille et de me relever le cul autant que possible. Il était désormais presque debout sur le lit pour m'enculer et c'était absolument divin. L'orgasme me gagna et je ne suis pas certaine que les autres firent la distinction par rapport à mes hurlements d'avant qui étaient déjà très sonores. ![]() images similaires Mais Jean-François sentit forcément les secousses qui m'animaient tel un séisme de plaisir et cela déclencha son éjaculation. Il s'immobilisa alors que son sperme se déversait en saccade au fond de mon cul et qu'il râlait de plaisir. Je pouvais sentir dans mon cul chaque palpitation de sa bite, chaque frémissement avant qu'un nouveau jet de sperme ne jaillisse pour inonder mes entrailles. Quand il eut fini et que nous nous calmâmes, j'avais l'impression d'avoir le cul sous pression, rempli de son foutre. Il interpela Chloé qui se masturbait toujours à côté de nous : - Approche. Quand je vais me retirer, je pense que ça va sortir. Débrouille-toi pour ne rien perdre... Il se retira d'un coup et je sentis un flot de sperme s'écouler de mon anus. ![]() images similaires Aussitôt, Chloé plongea sur mon cul et se mit à lécher le sperme de Jean-François au fur et à mesure qu'il s'écoulait. cette coquine avalait tout au fur et à mesure et ne se privait pas d'utiliser sa langue aussi pour me branler le cul, ce qui n'était pas pour me déplaire pour terminer en beauté cette avalanche de plaisir que je venais de prendre de plein fouet. ![]() Après un moment, Chloé arrêta et m'annonça : - Te voilà toute propre. Je me retournai pour constater que Jean-François était sorti de la chambre. Chloé me désigna deux petites robes qui étaient posées sur le bord du second lit : - Il nous les a laissées pour qu'on s'habille pour le petit déjeuner. - J'adore le raffinement pervers de ce gars. - Moi, j'aurais adoré qu'il m'encule comme il t'a enculée... - La prochaine fois ce sera ton tour. Nous nous embrassâmes avant d'enfiler les petites robes pour descendre rejoindre notre hôte. |