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« ATTACHE MOI » me dit Douce « Quoi ? Oui, j'aimerais que tu m'attaches » Nous n'avions jamais pratiqué ce genre de jeu et au vu de nos relations, je ne pensais pas que Douce ait envie de brusquerie. Et comment faire quand on n'y connaît rien ? Une amie de blog, avec qui j'avais été amené à chatter, me conseilla : «Essaies avec des bas, huuummmmmmm » Je n'osais lui demander si elle avait aimé, ce devait pourtant, à l'entendre. Douce ne porte pas de bas, des collants feraient-ils l'affaire ?dans nos petits jeux, dans nos échanges de mots coquins, je glissais plusieurs fois que la prochaine fois, je l'attacherais bien ; Douce ne protesta pas une fois. Ce dimanche matin, notre réveil fut tardif mais bien langoureux ; nous avions le temps de nous attarder au lit, de nous toucher, de nous caresser. Dans un tiroir de l'armoire je pris une paire de collants. «-je vais t'attacher, mais pas trop serré, tu peux t'enlever quand tu veux. -Que vas-tu me faire ? -Je ne sais pas, t'as envie de quoi ? -Fais ce que tu veux ! » Les collants passés sous un pied du lit, je liais les deux poignets de Douce. ![]() images similaires Puis une cheville, une seule, je n'osais la ligoter réellement, et le foulard utilisé ne serrait vraiment rien. ![]() images similaires Douce semblait vouloir continuer ; et sans que je la touche plus, je sentais son souffle s'accélérer. D'une main je commençais à la caresser, à relever le T-shirt qu'elle avait gardé. Ses tétons toujours si prompts, se durcirent sous mes doigts. Douce s'offrait à mon regard et à mes caresses; je me levais pour prendre mon appareil photo, elle ne protesta pas et je pouvais croire qu'elle s'offrait encore plus ? ![]() images similaires Lorsque la sonnerie retentit, je sursautais, elle se cabra. «J'y vais » dis-je. « Le téléphone, ce ne sera pas long ! -non, laisse le. » Je me levais quand même pour aller décrocher. « Salut, c'est Anne, je dérange ? » Anne est notre meilleure amie commune, une amie-amie, une amie-amante, à l'occasion, avec nous deux ou avec moi. «Vous faites quoi ? -Douce est au lit -encore ? » Je revins, tout en tenant l'appareil, m'asseoir au bord du lit, Douce avait les yeux fermés et le souffle court. « Je vois je dérange ; -non, on jouait -à quoi ? -Tu veux vraiment savoir ? Faut que je lui demande ! -c'est Anne ! » Douce gardait les yeux fermés, mais sa bouche entr'ouverte laissait échapper son souffle de plus en plus court. Ma main droite vint se poser sur son genou droit, qui s'écarta vers moi. « Elle est couchée, sur le dos, les poignets attachés avec des bas et je la caressais. -tu te fous de moi, tu inventes, attachée, elle ? -oui, c'est vrai -passe la moi. » Je posais le combiné contre son oreille, je pris l'écouteur. « -c'est vrai ce qu'il dit ? -Oui dit-elle dans un murmure -tu es ligotée ? -un peu, juste attachée » ![]() images similaires Ma main remontait le long de sa cuisse, vers l'intérieur, là où la peau est très douce, elle plia son genou, je pus ainsi passer ma main par en dessous, atteignant le bas de ses fesses. Je repris le combiné et calais l'écouteur dans son cou, pour qu'elle puisse entendre. « -Elle a l'écouteur ; je la caresse d'une main, sous sa cuisse ; là ma main redescend sous son autre cuisse -elle aime ? -à la voir, je dirais que oui ; ses lèvres s'écartent de plus en plus. -pose ta main sur sa chatte. » Anne m'étonnait fortement, non pas de son langage, je la connaissais, mais d'oser s'exprimer ainsi sachant que Douce l'entendait ; cette dernière me surprenait encore plus par son silence. «- Ses joues sont de plus en plus rouges, mes doigts caressent sa fente, toute mouillée ; -elle s'ouvre ? -oui, pleinement ; -tu y rentres tes doigts ?» Mes doigts n'eurent aucun mal à entrer, d'abord l'index, puis le majeur et enfin trois doigts, ainsi placés mon pouce vint naturellement sur son clitoris, cherchant à le dégager un peu plus. Les corps sont ainsi faits que ce qui existe chez l'homme, vient facilement trouver sa place dans le corps d'une femme. « -repasses le combiné à Douce, je ne l'entends pas. -tu aimes ce qu'il te fait ? -hummm, -Il a toujours bien caressé ; tu es toujours attachée ? -oui, mais pas fort -tu t'offres à ses regards ? -oui, en plus il allait prendre des photos -c'est vrai ? Demandes lui de commencer -Il a entendu -demandes lui ! -Anne voudrait que tu photographies -et toi -oui moi aussi -vous me les enverrez après ? -tu es folle ? -vous me les enverrez ? -oui,»réussit-elle à murmurer, entre deux soupirs. ![]() images similaires Il me fallut poser l'écouteur, retirer ma main de sa chatte, me lever et reprendre l'appareil. Caresser d'une main, photographier de l'autre, pas pratique tout ça ! J'y arrivais tant bien que mal. «-tu as las yeux ouverts ? -non -ouvres les -je voudrais des photos de toi les yeux ouverts quand tu jouis » Etait-ce une illusion mais je sentais que Douce se cambrait encore plus, que mon pouce, qui avait retrouvé son clitoris ne pouvait qu'accélérer ses mouvements ; elle ouvrait grand les yeux, en poussant des soupirs de plus en plus forts ; j'avais du mal, d'une seule main, à cadrer mes photos mais j'y arrivais. Anne continuait à écouter et à parler : «Je voudrais la voir quand elle jouit, les yeux ouverts ; ces photos je voudrais les offrir à mon mec ; -non, tu es folle -oui je suis folle de vous ; je veux que mon mec bande en te voyant mais je veux qu'après ce soit moi qui le fasse jouir -je jouis là ! » Ce n'était plus des gémissements que poussait Douce, ses râles les yeux ouverts, m'excitaient au plus haut point. Je photographiais sans m'interrompre, son visage mais aussi son corps en entier. Sa jouissance la fit se cambrer, crier, exploser. Lorsqu'elle retomba sur le lit, je posai mon appareil photo, laissai le téléphone sur l'oreiller, me déshabillai en vitesse, et me mis sur elle. Sa chatte était si trempée, mon sexe si dur, que je n'eus aucun mal à la pénétrer. Je l'embrassais avec fougue, mes mains caressant ses seins. Il ne fallut pas longtemps pour que je jouisse en elle, en poussant moi aussi des soupirs de bonheur. «Vous avez fait l'amour ? » Anne n'avait pas quitté l'écouteur...' J'ai reconnu tes soupirs, tu as joui en elle ? -oui -offres moi une photo de sa chatte, quand tu te seras retiré » Comme dans un rêve, je repris mon appareil ; Douce ne protesta pas, elle libéra sa cheville du foulard et écarta ses cuisses pour mieux s'offrir à mon regard. Je reposais le téléphone. Je pris avec plaisir ces photos d'une chatte encore bien ouverte, toute trempée et dont suintait mon sperme. Nous nous sommes assoupis un long moment, après que je l'eus détachée. Au réveil je lui dis : « Après, quand j'aurai mis les photos sur ordinateur, on choisira celles à envoyer. -choisis les toi -non, je préfère qu'on le fasse à deux. » En fait, nous l'avons fait que tard le soir. D'abord hésitante, elle donna son avis sur chaque photo, n'écartant aucune des plus chaudes, dont celles où elle était bien ouverte, offrant sa chatte à nos regards. J'expédiais par mail plus de douze photos, conscient qu'un homme allait bander en les regardant. Douce dormait chez Anne Mardi soir et je n'y serai pas... |